dimanche 7 février 2010

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Récapitulatif et complément de plainte :
Récapitulatif : Je subis en tant que défenseur des droits de l’homme (et récemment adhérente d' organismes de défense des droits de l'Homme) depuis mes premières prises de conscience, de violentes représailles à un militantisme que l’on me craint dans mes écrits, et ces derniers temps, ayant décidé la réédition de mes derniers livres, ainsi que l’envoi de mon dernier manuscrit à un éditeur, je subis des violences inacceptables, vires et expéditions punitives sans placmement officiel d’équipes médicales du secteur de santé mentale 2, chargées de s'occuper particulièrement de mon cas, envoyées soit sur l’ordre de ma famille, et relations, assez axées sur l’invitation à des personnels médicaux aux répressions de goulag, soit sur appel délateur de corbeaux de voisinage, assez eux indélicats et exacerbés pour pratiquer eux même de exactions et enfreintes aux droits de l’homme, violences physiques de type charcutage neurologique aux laser perquisitions constantes de mon logement, règlements de compte et régimes de faveur selon le mode, par pure farce Jung nazie, des services spéciaux, ne laissant de traces que par empoisonnement de mes boissons chaudes, cafés aux sels arsenicaux et cyanure, lâchers de gaz létaux ou d’ambiance à doses toxiques, ainsi que récement sur les hauts de la ville, dans trams et trains, destinés certainement d'une part et d'autres :

A un programme d’action du CHR de Montpellier et voire sur congrès médical, de l’ensemble du pays, d’euthanasie des malades mentaux, prisonniers d’opinion ainsi constitués depuis les années 30 à 50 par leurs équipes, ce qui se pratique par tradition encore de nos jours, pratiques d'immiscions dans la vie intime et privée, ingérence à la liberté de conscience notoire et préservée par la politique de trust de l’hôpital et du complexe hospitalier de la région de l’Hérault, très contraire au programme de Laborde, programme de prévention, contraire à la politique commerciale de ce trust hospitalier attentant sciemment, attendant la criminalité des pathologies de la démence pour prétendre à la criminalisation de la démence, emprisonner les déments et non prévenir leur crise meurtrière. Afin de prétendre à la traiter par les méthodes de torture de dictature des pavillons de force, en tout pavillon. Au dessus de mon logement, logent des individus très intéressés par ces pressions, parfois eux même malades mentaux récupérés par l’asile psychiatrique et certains secteurs psychiatriques de la ville, pour intimider gravement toute liberté de pensée que par mes activités intellectuelles et littéraires, je leur représente, certains, franchement de partis aryens. N’hésitent au délogement par farce et violences accrues, faisant appel à des engins irradiants de la mafia locale, engins de répression dont s’arment sous l’action de certains membres de la police complice avec les faits,propres sur appel chez « l''inspection » à la répression et l’exécution sommaire, parfois par pendaison, sur tout lieu de détention, public ou privé, y compris hôpitaux, ou à protéger les faits, les pavillons, et destinés sur programme d’action de l’hôpital, à « sécuriser les pavillons » depuis la direction de l'asile psychiatrique par Manville, un ancien membre du SAC, s’arment en fait d’armements militaires souvent de type nucléaire de nouvelle catégorie, armement militaire non classique et d’une assez longue protée, issu de la recherche, testé encore à l’heure actuelle sur tout contrevenant à cette guerre qui inévitablement, s’il ne s’adresse au bon policier capable de l’écouter, se trouvera transféré en tentative de dépôt de plainte, au CHR en question, sous placement d’office. La région privilégiant l’ébriété des foules, sinon par auto-acception de l’enivrement aux toxiques et produits alcoolisés, du moins aux narcotiques puissants. Armement nucléaire, ou à faisceaux, propre à faire accroire à la maladie ou à la créer, le complexe hospitalier de cette ville ne vivant que de ce trafic et de la présence des lésions, pathologies diverses et variées crées sur la région, jusqu’à une profusion de cancers. Ajoutée à un programme d'euthanasie des individus et patients ciblés de la ville, propre aux programmes d'euthanasie nazis, avec attribution de chambre létale; programme apparemment issu de Jacques Blanc, Hitlérien ayant accaparé l'hôpital psychiatrique, le complexe hospitalier en général à une certaine époque de Georges Frêche, et qui depuis, s'allie à des médecins de Patrice la Fuentes, et autres partisans d'extrême droite fanatisés dans la pratique de la torture médicale, et psychiatrique; qui la pratiquent dans leurs officines, sous le nez de la maire, Mme Mandroux, qui aurait tendance à protéger les faits, ou à les ignorer froidement.
Pratique illicite de la torture médicale à titre de soins, dans les basses autant que dans les hautes sphères de la société, en particulier sur victimes intelligentes en fait les plus sensées de ces milieux, de parties de snurf autrement dit de torture orgiaques sous l'incrimination de la démence de leur proie repérée dans l'enfance martyr niée par les forces de l'ordre et les pouvoirs médicaux appelés à témoigner ou venir en aide par témoins de ces orgies scandaleuses en tous milieux, victime souvent soumise à ce genre de parties de genre à thèmes spéciaux et spécifiques de la psychiatrie, parties dites de sauteries récréatives ou de jambes, à très gros gaspillage de vies et de nourriture, des budgets entiers de la victime soumise pour ces faits aux mesures de tutelle et de curatelle de l'UDAF destinées à gérer les surcouts occasionnés , substitution supplémentaire illiciteà ces orgies de tortures parfois mortelles pour la victime choisie le plus souvent dans la bonne société, pour sa pureté et virginité sensorielle à déflorer, des exactions de médecins généralistes, spécialistes et psychiatres non hospitaliers, privés ou hospitaliers, en relai sur la même personne, de la torture électrique létale en parties de snurf d’abord puis d’exécution sommaire, en séances de une heure chacune, infligée tout au long du jour dans des interventions à domicile constantes jusqu’à la cuisson et l’éclatement en purée cuite de zones cérébrales concernées et choisies pour être ensuite lobotomisées, que ce soit au domicile même, ou bien en bloc opératoire, le plus souvent, après rapt à l’insu des victimes, parfois suivi d’un ramener du corps inanimé de l‘opéré du cerveau, pour ma part, lobotomie régulière dès la repousse des zones amputées après leur décès sous décharges électriques, repousse causée par alimentation forcée en ce but, des zones arrières du cerveau, d’un pan du cerveau gauche de l’arrière du crane au front réduit à en poire du coté gauche, opéré, moi y compris, à son domicile, mon corps inanimé et presque sans vie, réanimé par brulure intense des zones du cervelet, organe vital du cerveau reptilien, qui mort et décédé, cause le décès, replacé dans de la position identique dans laquelle il avait été surpris, le plus souvent, endormi, parfois, après lâcher de gaz neutralisant dans son appartement. Dans l’espionite générale de ce que chacun fait, et la loi de la surveillance constante dune société policière en voie de devenir une dictature de type Birman à la française, s’en prenant aisément aujourd’hui plus encore, aux liberté de conscience et au délit d’opinion. Dont le mien, de leur tenir tête, réduite à cette seule action. En sus des thèses de Lempérière fréquemment pratiquées sur mon cas, autrement-dit, vivisection charlatane, section en deux du cerveau par la selle turcique, sa base, amputation du pourtour du cerveau, après tabassages avec appareils de torture électrique ou très irradiants, destinés à causer les dits troubles du comportements résultant prétendument de la section du cerveau en deux, objets des amputations suivantes du pourtour du cerveau...

Électrodes dans les parties génitales, dans la salle de bain, autant que dans partie d’excision égyptienne, engraissage jusqu’au foie gras chez moi de repas dès les huit heures du matin, en sus des repas que prends après opérations neurologies à mon domicile, gavages aux aliments contraires à ma santé jusqu’à des tri-glycérides en dosages mortels, et début de diabète, destiné à m’enlaidir, défigurer physiquement, de l’obésité des barbouzes qui me traitent, forme de tchador médical et médicamenteux, torture chimique qui m'est infligée depuis longtemps, constituée en leur prostituée ensuite, ces équipes et personnels médicaux appelés sur appels de corbeaux et indicateurs de vie privée, commettant viols par sodomie avec vaseline, fellations durant comas, dans un but de proxénétisme d’un mafia infiltrant les secteurs psychiatriques de la ville, commettant la torture psychiatrique et le viol thérapeutique (gavage par alimentation forcée et supplice sinon de l’eau par assoiffement du à des doses massives de neuroleptiques déclencheurs de potomanie, supplice de l’entonnoir et de l’aliment représentant les excréments et ce qui les constitue, des maquereaux, ingérés par la force dans un but de mise à mal, dressage à la coprophagie et cassage de l’organisme, à des fins de matage dit « débourrage » de futures prostituées sinon placées en placements non déclarés à domicile, du moins en pavillon fermé, sous l’étiquette de la démence, pratique de la torture électrique en vue de lavages de cerveau, de l’acte de neurochirurgie à fin de pression physique et assermentation, faits des actes de barbarie, actes de cruauté, (injection de demi-litres de vin entre les os de la boîte crânienne et les plages de cerveau réséqué à l'arrière de la tête, l'arrondi dolichocéphale amputé en forme de livre tenu droit, à demi-ouvert, ou même fermé à angle aigu, tête rendue (après introduction d'un cathéter à robinet, dans une plaie de deux centimètres de largeur, en dessous de l'un des cervelets, amputé pour sa moitié tant brulé par les servies hospitaliers chargés de me réanimer à ce point de cuisson de ces chairs), fontaine à vin, puis à eau destinée à laver les plaies subies sous les os, fait identique pratiqué à l'entrée de mon vagin et de mon rectum, devenus fontaine pareillement à vin et à lubrifiants artificiels en grande dissolution avec eau paraffinée, ou eau de lavement, autant que dans supplice de Marlilyn Monreau, au cours de parties fines à thèmes, électrodes infligées à la naissance des faces internes des cuisses, afin de me forcer à les ouvrir face à leurs exigences et viols, jusqu'au grand-écart, crimes contre l’humanité qui se pratiquent en pavillon et placements illicites à domicile, (dont avortements très fréquents après grossesses dues aux viols parfois avec fellations et actes de carressages jusqu'au coït, moi-même plongée dans un coma épileptique profond du aux violentes décharges de courants déphasants, et considérée durant des années catatonique tant trouvée à mon domicile allongée sans connaissance et dans un coma prolongé nécessitant secours d'urgence qui pris de panique violente, m'infligeaient décharges électriques sur séances d'électrodes, ma lutte continue et ma révolte fréquente contre ces abus en continu, déclarée par d'autres médecins hospitaliers spasmophylie (devant être réglée par l'interdiction chez moi pure et simple de l'usage du café, systématiquement imbibé des glaires de ma mère décédée à ce jour, et des salives, glaires séminales de mon père en plein rut), ou voire schizophrénie paranoïde, quand à peu près la totalité des maladies mentale m'a été invoquée et traitée y compris par les forces de l'ordre chargées de me secourir, immiscions du liquide amniotique retiré dans les aliments, actes de cannibalisme forcé des déchets humains hospitalier, prélevés sur la victime même ou en provenance d’autrui, faits criminels protégés par la police, la justice et la jurisprudence, moi-même encore et fréquemment soumise à leurs actes de carressages durant les interventions, qui me restent invisibles, tour de secte ou de type militaire. Profitant en m'éclairant d'une lampe de poche allumée les rendant invisible car mes yeux éblouis de la photo sensibilité de ces yeux déjà fragiles car rendus de ces tortures fortement myopes, déjà fragiles pour leur couleur bleu donc sensibles a la lumière, sensibilité augmentée des effets secondaires des neuroleptiques infligés à longueur de temps depuis bien avant ma majorité , forme de ceinture de chasteté à port graisseux de vertugadin destiné à augmenter la défiguration de mon corps, sorte de tchador médicamenteux et silice chrétien, à vitriolage médical de la beauté physique et intellectuelle qui m'a été incriminée depuis mon adolescence, et qui pouvait me permettre de réussir en société, de trouver vie maritale digne de ce nom qui pourrait s'avérer une aide à ma cause et me soustraire à ces abus. Boutage donc total et absolu de toute relation, amitié, relation sexuelle ou amoureuse, parties de cuisinage musclées au groupe électrogène destinées à me sortir de mon silence sur les faits, avertis que je survivais en en sachant trop long, ou électrodes parfois contrefaites de faisceaux radioactifs, longtemps pratiquées sur mes sinus maxillaires, frontaux et mastoïdiens, oreilles et lèvre supérieure de la bouche, afin de déterminer le nom de mes dernières prétendues coucheries, ou amours qui me rendaient tant selon ces intrus à mon domicile, « divine »,, ce qui ne saurait se concevoir, sinon sérieusement défigurée, bouffie, rendue obèse ou limitée au sur-poids, rougie et à trogne d'ivrogne avéré vouée au viol éternel dans des délices de Capoue que je refuserai par pudeur; et horreur de ces viols. Usage de la pratique médicale à des fins de proxénétisme, fraude électorale, élimination physique de toute personne qui serait témoin gênant de fraude à des fins d’occulter les affaires crapuleuses, de la région et du pays...

Je vous avais envoyé un courrier concernant les rites de la torture totalitaire psychiatrique en France, tentative de redressement d'une médecine déontologique de la santé mentale non initialement destinée à assurer les répressions d'un pouvoir de dictature sur le pays, le « flicquage » constant et quotidien d'une société policière et d'un état marxiste dont le goulag, récupéré par les pratiques médicales d'une psychiatrie de l'extrême droite, de la gauche marxiste pro-soviétique, est une résurgence du passé sans scrupule et sans façon, l'extrême droite assurant le pouvoir CRS ou KGB à camps mao à domicile de la psychiatrie, autrement dit, l'existence de secteurs de santé mentale goulags véritables ou prisons psychiatriques étatiques de même type que les prisons privées de l'Amérique Bhushienne, où s'y pratiquent des chaises de contention à tortures mortelles, dérapages de violences policières meurtrières, à but de déstabilisation de la gauche, dans un but politique et privé d'instituer la torture sexuelle, physique et mentale non officielles encore mais présentes en tout lieu de détention, sinon au sein de tout couple et de toute famille, dans un but de régner sans contrepartie, ni contre offensive, ni contreculture que ce soit .

Ce courrier autrement dit mes compléments de plainte suite à une plainte que j'avais en prime abord déposée auprès de votre tribunal, et suivie de représailles depuis, courrier concernant l'usage de la torture psychiatrique à titre de soin dans les hôpitaux, secteurs psychiatriques, milieux protégés publics, privés, à domicile inclus, je poursuis ma tâche de vous informer que ces pratiques médicales et dérives totalitaires qui s'apesantissent, autant qu'années de plomb, sur la ville et la région de Montpellier, autant que sur ma personne. Il serait urgent à mon avis de considérer le problème qui passe vite inaperçu, de la discrimination raciale qui persiste depuis les années 30 et la montée au pouvoir de Hitler, envers l'étiquette de la démence, qui ainsi que je vous l'ai déjà mentionné, perd de sa validité, et peut servir des pouvoirs totalitaires déjà en place, usant de cette étiquette dans la constitution de prisonniers d'opinion, en tous pays, en France surtout et également, dans le monde intellectuel et artistique, méthodes de persécutions destinant ces faux malades mentaux, à l'analphabétisme populiste requis, sinon le décès sous des tortures des plus arbitraires, physiques, mentales, extrêmement douloureuses, ainsi qu'envers ma personne, des bâtiments de force pratiquant la torture létale et des violences policières très graves, dont la peine de décapitation sous de violentes décharges électriques le plus souvent d'appareils électriques à détenteurs, dont les détonations vont jusqu'à celle d'une arme à eu, , assez prolongées pour atteinte le degré mortel d'électrocution, autre forme de peine de mort du casque électrique américain, trépanations et séances de viols correctifs et décharges électriques en surnombre pouvant conduire au décès, imbibition forcée des glaires, salives, lubrifiants séminaux retirés de ces prisonniers ou issus de déchets hospitaliers prélevés sur morts de leur famille, causes en partie surinfections non traitées, obstruction systématique par intrusions constantes au domicile de ces personnes traitées sur place par abus de ces départements et secteurs, en malades mentaux eux même victimes de ces dérives totalitaires des formes nouvelles de la torture médicale, sur les lieux de leur résidence et sur tout lieu, public, privé, de leur passage, déculottages intempestifs, électrodes en petits comités et en public suivis de partis fines publiques ou non et orgies à défécations et vomissements causés par des décharges électrocutant grièvement le cerveau, pouvant faire prescrire l'innervation des nerfs grièvement électrocutés, leur extraction, voire nerfs sciatiques, usage illicite de décharges d'électrodes à titre de sévices et punitions corporelles, pratiquées sur la quasi totalité de la surface du corps, sur la surface des jambes, les genoux, les pointes des coudes, zones sensibles du corps et très électromagnétiques en soi, fixation sur le devoir de lobotomie des zones arrières du crâne, pour une lutte insensée contre la dolichocéphalie, devant rester depuis les nazis, brachycéphales, mutilations des zones intellectuelles du cerveau, électrocutions des parties génitales, parfois dans un but certain de proxénétisme, à titre d'exemple, mon dernier appartement servant de maison de redressement et de ferme d'abattage pour intellectuelles devant sous ces tortures, s'adonner à la libre prostitution, en réponse à l'un de mes derniers courriels, les visites incessantes suivies de cures d'électrodes, dont celles dites cathodes, posées le long de la moelle épinière, sous les fessiers, dans le haut du dos, l'arrière du cou, dans les deux cervelets dans une matraquade des zones mortelles du corps, pouvant servir de cible dans des exécutions sommaires à l'occasion de virées de pavillons de force, violences assimilables à celles qui s'infligent à l'étranger, tout travail intellectuel m'étant de ces provocations et scènes de viols, tortures sous loi du silence, condamné. je dénonce l'usage de boucliers électriques plaqués contre les côtés de la face, ou électromagnétiques, plus douloureux encore, et générant un supplice infernal tant violent, pouvant causer des lésions graves, nécessitant la neurochirurgie dite à ce moment là récupératrice des dégâts causés, en fait prémédités bien avant l'usage de ces boucliers, sinon implantés, en vigueur dans certains pavillons, tenus par personnels policiers en uniforme bleu marine, les médecins de ces secteurs acquis à la cause aryenne, et appelés afin de limiter les QI de la ville non cadrés par l'université, ou animés d'un esprit libertaire nécessitant dans ce cas, l'appel de ces services, dont chacun peut se servir en tant que SAC.

Je signale également, des partisans apparemment de la Ligue rouge, staliniens obsessionnels d'un secteur de santé mentale, en expéditions punitives en relais incessant d'équipes acharnées sur mes lieux de vie, envers mes libertés de pensée, équipes qui visitent sur appel délateur sectaire mon domicile, font vivre un procédure illicite de type placement d'office, sans réel placement officiel, dans un but d'euthanasie que ces secteurs appelés en renfort préconisent, envers tout ennemis de leur opinion, luttant en faveur de la dépravation, l'institution du bordel chez les femmes émancipées et culturelles, le devoir pour elles (substituées sous l'étiquette de la prétendue démence, à ces fraudes et trafics dont de drogue), de prostitution, le devoir d'ébriété, de quelque cause qu'elle soit, drogue, alcool, coups, blessures, pratique illicite de déchaînements hospitaliers, cures ad mortem d'électrodes, sévices concernant la chair, obligation à l'imbibition forcée d'alcool, vin versé au goulot et alcool à 90° ou merphène imbuqué de force, dilué dans eau minérale ou de ville, en vue de prétendre aux soins décrits et interventions multiples au cours du jour et de la nuit, innervations du système nerveux, condamnations à mort arbitraires, en sus de celles exécutées par les secteurs aryens décrit plus haut, dénommés, "l'inspection". Cassages de bras cassés en deux autant de baguette de pain sec sur genou, coups violents assenés sur dessus de cranes et nuques, pour ma part sur intervention d'un père incestueux ivre en délirium trémens le plus souvent quand il entre, sans effraction dans mon domicile, de façon fréquente et quotidienne, après acte de serrurerie d'un de ses complices, père crapuleux et fabulateur, démagogue acquis à cette cause de l'orgie répressive à mortelle en famille, entre collègues, ramené ces temps derniers ivre mort et séparé parla force d'intervenants sérieux l'ayant surpris me violent et me violentant en état second de toutes ses forces, à son véhicule faisant le planton la journée ou la nuit durant devant mon dernier domicile, croyant devoir me surprendre au nid avec mon denier amant, qu'il souhaiterait lobotomiser et détruire autant qu'il me l'a fait depuis mes premières amours et depuis que je suis née, jalousie de père entièrement parti dans sa forclusion d'œdipe roi, me croyant encore à ce jour croyante donc à lobectomie, ou en la compagnie d'anciens amis ou concubins que j'avais chassés de ma vie pour leurs viols et violences, outrages et envies de prolonger ces pratiques envers la personne, ou lui dans le devoir de corriger le moindre de mes écrits (étant en sus d'être artiste, écrivain) et œuvres d'art qu'il perquisitionne à tout moment, des lobotomies hebdomadaires à séances d'électrodes (faisant le tour pour me les infliger, des cliniques et polycliniques privées, ou secteurs hospitaliers où on le remet afin de devoir s'expliquer sur ses comportements, toute tentative de ma part, de plainte à l'encontre des ces fraudes et abus suivie de ces représailles), et orgies rituelles les précédant, qu'il organise et m'inflige sous peine d'arsenic dans mes boissons, ce père donc et selon faits rapportés, décidant de vivre avec moi à temps complet autant qu'avec ma mère décédée qu'il voudrait et essaie de recréer en moi de ses salives et baves extirpées, qu'il me fait ingérer, me lavant lui même dans mes comas qu'il me cause de ses maltraitances, me faisant surveiller pour son ignorance « de ce qu'il se passe chez moi » par des couples logeant au dessus de mes appartements, ou vieilles femmes maquerelles d'extrême droite violentes et faisant partie de sa vie, logeant autour de mes domiciles et lieux de résidence, passage ou déplacements, véritable Stasi de corbeaux démarcheurs et indicateurs renseignant autant auprès de lui qu'auprès de services médicaux, de l'inspection et des forces de police, qu'ils appellent, sur les scandales causés par ces pratiques douteuses de la psychiatrie, défrayant la chronique de ma vie dans ses moindres détails dans un style universitaire étudié, et choisis pour cela, lui faisant protéger en déni de son mal, le démon de midi et l'alcoolisme doublé d'une tendance à la démence (démence qu'il m'impute par transfert de personnalité et déni de la sienne, lui par peur d'être interné ou incarcéré, ainsi qu'en entrave à la justice que je réclame envers ces crimes, faisant marcher le marché de la prostitution à cette encontre) due à une hépatite C pratiquement en phase terminale, son foie à plus de 60% de fibrose, en sus de revanches à ses douleurs naturelles très violentes inhérentes à des lumbagos, nerfs sciatiques, cruraux, et pénitences dit-on pénales augmentant ces névralgies, destinées à le punir de l'emprisonnement constant requis de ces douleurs hyperalgiques pour ses fautes, doublées d'acoquinements à des médecins protégeant ce type d'inceste à rites pervers violents et dangereux, lui me faisant passer pour sa feme et me contraignant sous les électrodes à un vieillissement prématuré prétexte à des soins supplémentaire et cures de jouvence t rajeunissement au lait et au œufs, omnibulé par les violences des pères iraniens de régimes totalitaires dont ceux des SS, talibans et du FIS. Mon appartement devenu leur boui-boui pour fêtes rituelles de ce type nostalgiques de Staline et d'Hitler, sous rémunération en guise récompense, d'une allocation adulte handicapée doublée d'une pension d'invalidité pour m promotion à ce statut, en cause, l'infirmité qui m'a été causée de ces fraudes, viols, avortements illicites sous la torture, (violentée, tabassée aux électrodes et électrochocs ,électrocutée et cognée parfois jusqu'à la perte artificielle de l'enfant, avec surveillance constante des dates des menstruations, coups s'il s'avère que je ne les ai pas, et dite en aménorrhée due aux excès de neuroleptiques ou à une grossesse, règles parfois causées artificiellement), mutilations bien trop fréquentes pouvant attenter à ma survie, le cerveau l'organe vital du corps par excellence, et tortures, m'obligeant à un statut non-dit de prostituée d'État autant qu'en Allemagne encore de nos jours...
Toute tentative par témoins outrés des transes meurtrières et actes de proxénétisme de mon père, de l'interner en pavillon ou maison de retraite, suivie de représailles à électrodes et mutilations cérébrales, violences dans ce courrier décrites, de ces pavillons et gériatres appelés auxquels il aura été confié, renvoyés à mon domicile me corriger sous astreinte d'internement officiel, sous le prétexte que le père n'avait qu'un peu trop bu. Lui ne reconnaissant que parfois ses torts et sa honte de s'être tant cédé, dans ses parties de monte entre amis et de monte à cru à actes de pédophilie dont violences sur mineur notamment sur ma personne, de ma naissance à ma vie adulte et répétant ses mots d'adieu sur ma future tombe voire urne funéraire à laquelle il me promet, face à mes morts apparentes, systématiquement et sans vergogne relaxé de tout policier et médecin, parce que constaté ivre saoul.

Autant que dans tout exercice de ce type de proxénétisme, affamement de la victime en vue des maintes opérations du cerveau, toute nourriture consommée aussitôt régurgitée sous électrodes, dans l'interdiction de se nourrir par soi-même, et la soumission depuis environ avril dernier, à la suralimentation forcée à base de viande de porc destinée à me rendre d'aspect physique porcin et leur truie faite de porc dont on me veut la hure, sinon trogne à air aviné confectionné de coups et électrocutions, produits rubéfiants très carminatifs contrefaisant la cuisance d'ordinaire due à l'alcool et le nez couperosé, tuméfié, de l'ivrogne, condamnée à la défiguration (confection de cernes par électrodes sur les yeux et orbites) et au physique lubrique à obscène qu'ils me revendiquent, par également intubation de nourritures inappropriées à ma santé, violences caractérisées assermentées nécessitant l'intervention d'équipes payées pour me récupérer autant que possible, mon portrait refait systématiquement à chacune de ces parties à thème de vieux cochons et vieux salauds, (ces temps-ci l'occasion de la fête anniversaire de mes 50 ans), fêtes immondes jusqu'à leur assouvissement, quoique, nymphomanes de ces plaisirs juteux du lucre, ils persistent encore aujourd'hui en ce genre de parties de snurf, monstrueuses dépensières en argent et dessous de table, sur fille ordinaire ou de bonne condition « qui sans ces faits aurait pu rester aussi belle qu'Arielle Dombasle », mon physique d'ordinaire, sans ces sévices, de même type que celui de cette actrice, mon niveau intellectuel repéré depuis l'enfance pour ses excellentes capacités et donc victime depuis des outrages ci-décrits au génie des enfants précoces et surdoués, présentée pour ce fait à ma mère dès ma naissance en tant qu'anormale, livrée à leurs actes de violence, tortures psychiatriques, maltraitances physiques et mentales et actes de bestialité de bourreaux, me promettant en tout temps et tout lieu au décès qui je vendais la mèche, ébruitais l'affaire d'où l'intérêt de me confier à la psychiatrie très tôt, afin de me soumettre à ces pratiques tortionnaires devant faire taire en sus des parties de genre, pierre à deux coups, toute lucidité et prise de conscience de leurs actes et tours de vaches infâmes, consacrant ma vie entière à ce rôle de prostituée et fille forcée de cette pratique illicite de la médecine.

Assoiffement, affammement, consommation forcée des déchets par alimentation forcée,domicile devenu leur site de sauteries récréatives de ce style, à coups de beignes et mornifles, débourrages de prostituées enchambrées chez soi, soumises à la loi du silence sous l'électrode temporale pouvant être fatale, commise jusqu'à l'odeur horrible de nerfs brulé jusqu'à leur réduction en corne grillée, et a cuisson des zones cérébrales touchées, la demi-cuisson du cerveau et de l'organisme donc, jusqu'à l'odeur de viande frite, et du sang demi-frit, formes de décapitations partielles ensuite puis par tranchet, autrement-dit lobotomies si résilience encore même faible, et si résistance de témoins scandalisés de telles pratiques, condamnation à des overdoses d'injections retard non officielles et autres traitements médicamenteux servant dans ces cas, à assermenter la fille, et affaiblie ses défenses mentales, puis en viennent encore et systématiquement à la mutilation cérébrale de grandes zones du cerveau, le dessus du crâne, l'arrière de la tête, puis un lobe entier temporal dès leur repousse ainsi que déjà indiqué,cerveau confectionné en cerveau lait, à l'œuf pâtes en gratins et au cochon, rebords brûlés de pain grillé récupérés durant mon enfance et ma majorité, avec pouvoir absolu de me forcer à terminer tout relief de repas que j'aurai laissé, soigneusement conservé depuis afin de me les faire ingurgiter dans les cas d' attente au tournant, (sous prétexte de me rétablir avec en sus de nombre et multiples injections de produits allergènes cuisants), avec tout insecte que j'aurai tué, ainsi que blattes trouvées chez autrui ou dans mes anciens logements, très cancérigènes une fois écrasées, dans un but de me cancériser, toute autre nourriture proscrite jusqu'à la cancérisation, qu'ils souhaitent cérébrale afin de mieux officier et m'éliminer définitivement, se faisant toute une fête d'organiser et préparer cette trépanation hebdomadaire jusqu'à masturber assez efficacement pour me causer orgasmes et coït, piétinant ma viande rouge lors de sa cuisson, pour la mettre sous l'eau et la ver des impuretés de leurs semelles, chargés de me la laisser ingurgiter ensuite, n'ayant plus de moyen autre de survie, quitte parfois à me faire des électrodes pour me sauver des empoisonnements causés et ainsi purger mon organisme, il fallait en accepter l'efficacité, des ingestions forcées ou de ma libre initiative car ignorante des additifs obscènes et vomissures que contenaient ces aliments, soumise aux anesthésiques à longueur de temps, nourritures d'aspect sain qui m'auraient pu être fatales, dont avec arsenic, ou ingérées simplement en état d'affamement mortel.

Scènes de tortures ignobles, ou la victime, en l'occurrence ici moi-même, promise à l'asile psychiatrique et donc au cercueil qui m'y attend, devant faire taire définitivement toute tentative de dénonciation de ce proxénétisme, à peu près tout secteur médical de Montpellier, affilié à cette pratique illicite de la médecine, les médecins des pavillons psychiatriques dont le psychiatre qui m'a été infligé depuis de nombreuses ans, couvrant de mes privations de liberté et obligation à un traitement neuroleptique bâillon de ma lucidité envers les faits, ou le placement en clinique devant faire taire ad mortem l'affaire de proxénétisme à scènes de meurtre et certains requins de la médecine privée spécialiste ou généraliste, rituels dans le rôle véreux de praticien souteneurs. dont certains n'hésitant à faire demande de l'inspection, qui use du bouclier électromagnétique, jusqu'à la torsion des intestins, ainsi que cela a été pour mon cas, ce qui nécessite des examens humiliants à sodomie médicale dans des services annexes, qui vivent sans prétention aucune, des lésions, infirmités causées dans ces services, ou sous placement illicite. Je ne puis que vous suggérer de faire en sorte si vous le pouvez que ce problème de la violence à domicile, parentale, soit abordé vraiment, afin que les personnes victimes ne vivent un cauchemar supplémentaire sous les tortures des plus violentes en internement, fait logique de toute plainte contre ce système de protection de l'inceste et des violences sinon conjugales, du moins à domicile. Parents bourreaux d'enfants devenus ensuite adultes, condamnés ensuite à la gériatrie, sur la demande d'un proche ou du parent bourreau en vie, si lui-même menacé d'être soigné en gériatrie pou sa démence avérée systématiquement respectée en tant que lucidité, substitution systématique également à ces multiples tentatives de témoins et intervenants, (parfois des médecins eux même témoins des actes de folie du père, appelés sur place), de soigner ce père, substitution faite par les pouvoirs public d'un ou plusieurs médecins hospitaliers ou chefs de secteur impliqués voués à le relâcher dans un but de faire taire toute plainte encore possible de la victime, moi-même, bouc émissaire et tête à claques de ce sbourreaux traitée en juive selon les lois aryennes de antisémitisme dont celle de la substitution, limitée dans ses capacités et aptitudes, à la personne vulnérable incapable majeure, voire, confiée entre temps, à des pavillons et secteurs médicaux très discriminatoire, peu scrupuleux envers l'étiquette souvent injustifiée d'adulte handicapé, pavillons dans la phase ultime du plan d'élimination, d'extermination physique et mentale de la personne tant que sa lucidité restera présente..

A cette occasion, je me permets de vous réclamer une action en faveur des filles garçons, hommes et femmes adultes victimes des violences conjugales de pères de famille incestueux, jaloux, violences pouvant se révéler aussi meurtrières que celles causées par les violences conjugales. L'enseignement laïque pouvant receler autant de tortures discrètes ou non commises dans le silence de la femme battue et de l'enfant martyr, dont je peux dire que je suis, enfants dès la naissances condamnés à des doses de séances de torture électrique qui les ont amenés, autant que moi même, à des réanimations quotidiennes, sur les lieux des tortures, le plus souvent, le domicile conjugal des parents, qui parfois, persécutent en famille l'un de leurs membres, incitent la médecine à les corroborer, à appesantir le poids de la torture médicale, psychiatrique, parfois, dès la maternité. Répressions, jusqu'à l'emboutissement des os de la boite crânienne, voire du visage et du pourtour du front, des yeux, n'hésitant à avoir recours aux lobotomies sur célébrités de l'intelligentsia (cf. la forme crânienne de Mr Duhamel, et autres célébrités du monde culturel, de celui du sport, et de la jet société); Milieux sordides de l'éducation laïque, aussi pédophile que le monde chrétien, adonné autant à l'orgie répressive et publique qu'en petit comité sur nouveaux-nés, durant également leur enfance totale soumise à ces tortures totalitaires, jusqu'au décès, le plus souvent, aux alentours des quarante à cinquante ans, date anniversaire du décès programmé des trisomiques dont le niveau est requis pour plus d'efficacité des soins et pratiques illicites de la dégradation totale du système nerveux et du bon fonctionnement cérébral,,date que je viens de passer dans un cap de mise à mort de mon corps et de ma vie. L'éthylisme dans ces milieux médicaux et de l'éducation, à parties fines de même type précédant la lobotomie rituelle dès la repousse des lobes amputés des du cerveau de leur proie, parties à trois, en public, faisant rage et allant de pair avec infirmiers en équipes, soudoyés en bakchichs, affiliés également à ce type de parties de torture, autrement dit, parties de snurf, psychiatrisées, le plus souvent avec scènes de mise à mort pouvant tant infligées à longueur de journée, aller jusqu'à l'effet de casque électrique Américain, en sus de tentatives vaines dans mon cas d'amener au suicide, sinon api ingestion forcée de narcotiques puissants en overdoses, produits rubéfiants et soumission aux effets de torture tropicale par inflicton de Subutex, très sudorifique et hypercalcinant, cause de fièvre brutale et inexpliquée, autres procédés de la torture chimique ou crémant ou conduisant l'organisme à un très violent dessèchement (neuroleptiques en forts dosages, issus d'une recherche technologique visant plus à la répression qu'au soin pur et simple, autant puissants que la digitaline, la colchique, dont certains neuroleptiques sont issus, poison phytothérapeutique puissant autant que cigüe, rien que des plante, selon la publicité mensongère des posologies et de la pharmacopée médicale), en sus d'injections dites retard d'ordinaire officiellement non prescrites, autant que dans messes noires à parties de jupes, dans mon cas, avec viols à violences létales jusqu'à la mort apparente mainte fois causée dans la journée. Rendue exsangue des maintes hémorragies cérébrales obtenues après résections multiples durant la semaine, lobotomies pratiquées après intubations forcées destinées à obtenir la repousse systématisées des zones amputées en question, jusqu'à leur ré-amputation, sur demande de membre de famille exacerbé par de tels possibles, je suppose services hospitaliers et de secteurs privés, prétendant au commerce de ces prélèvement en grande quantités, la moitié d'un cerveau par semaine à peu près, sur une ou un de leur prisonnier, le plus souvent d'opinion, traité en vache à lait, à traite publique de ses matières cérébrales. procédé anthropophage aux rituels cannibales, pouvant aller autant qu'en Guantanamo, à ingestion forcée des cendres de morts de leur famille chez les prisonniers en question, notamment à l'occasion des fêtes de la Toussaint. ,

Pour avoir osé avoir une activité sexuelle et amoureuse avec un amant et avoir été soupçonnée de rapports, en tant qu'handicapée mentale donc devant restée castrée de toute sexualité et de l'infantilisme obligatoire du statut de l'enfance handicapée en fonction de mon opinion et mes activités artistiques, interdit,(sous peine d'obligation sous peine de mort psychiatrisée,et de soumission sous le proxénétisme hospitalier, à la prétendue prostitution libre), d'avoir eu pour amant un de mes médecins, après enquête sur ces relations présupposées de plus de deux ans d'interrogatoires massifs sous décharges électriques, à mon domicile, par intrus s'y introduisant autant que plombiers, pour avoir rédigé les textes de mon dernier blog Eclipse2, pour avoir été soumise ma vie durant à des pratiques pareilles de la médecine, la torture mentale et physique légalisée, banalisée, j'ai été après rapt sur la voie publique et maintes fois été soumise aux viols de psychiatres déchainés sur mon corps, aux lobotomies de quarts de cerveau (mis dans ma poubelle) l'un sur le dessus de l'encéphale droit, après arasement du dessus de cerveau, que j'avais beaucoup plus volumineux, ablation de l'arrière du cerveau, rendu brachycéphale, en forme de livre demi-fermé pour mes livres déjà édités et celui à paraitre, "Judas", ceci, procédé de parties de viols à snurf systématiques quand elles précèdent toute lobotomie à titre de vengeance envers mon opinion sur ces pratiques, ainsi qu'envers mes engagements humanitaires, politiques, et convictions non religieuses, parties de torture à électrochoc jusqu'à les rendre en corne séchée, ablation de ce fait de plusieurs de mes nerfs sciatiques, dont certains relatifs au plaisir, ainsi que certains liés à a résistance aux abus sexuel, ainsi qu'au plaisir infligé, torture électrique des intestins jusqu'à ce qu'il parait, l'ablation en premier lieu de dix centimètres d'intestins grêles pour leur cancérisation, puis de un mètre de ces intestins pour leur degré de cuisson,sans qu'il m'en reste aucune trace afin de plaider chez moi l'hallucination,, car opération sous endoscopie après rapt dans le coma, suite à ces tortures, restituée in situ, ainsi qu'un régime alimentaire intubé d'interventions intempestives contre mon gré depuis le début de l'été, à base de "malbouffe" capitaliste, destiné à les cancériser,piquée aux neuroleptiques des années et en overdoses ces temps derniers à titre de sédatifs,et de bâillon envers toute lucidité que j'aurais des faits, ne voulant que je m'en aperçoive, courses poursuite dans la ville entière afin de m'infliger ces représailles, contre façon du casque électrique de de la peine capitale, tentatives multiples et répétées ces dernières journées de meurtre par électrochocs sur ma personne par personnel affecté à cet emploi, intervenant sans placement officiel, à mon domicile, en constante intrusion et forçage des portes de mon domicile, pire que l'affaire cleastream, m'éblouissant de lampes de poche et feignant chez moi la folie dangereuse,pour mon opinion, que vous connaissez, gavages et avec salives de ma mère, décédée, ainsi que viols organisés avec participation de mon père, dans les pratiques défloratoires de l'excision en Égypte, amputations répétées de l'extrémité du clitoris, sectionnée, cette dernière nuit, au cours précisément, de ces orgies de psychiatres et neurochirurgie proxénètes. Tous plus ou moins, adeptes du führer, dont certains,officiers des secteurs disciplinaires appelés pour la cause, en salut hitlérien face à une statue de la vierge posée sur le buffet de mon appartement, pour la circonstance. Ce que l"on dénomme, un discours confus. Avec l'accord des pompiers qui y sont allés en visite annuelle des étrennes, de leur appareil à électrodes à détenteur, dont la détente et celle d'une arme à feu, pour le fait que je leur ai eu signé un chèque de dix euros, quand ils s'attendaient à plus. sous les provocations incessantes, de provocateurs du FN, certains psychiatriques appelés à la chaine le long de ces dernières journées, n'ayant hésité à tenter de me crever un œil, par culture lepéniste de la pose d'une électrode sur l'orbite, brulant mes paupières, pose constante, heure après heure, durant ma vie entière, des électrodes de ces électrochocs, sur toutes zones du crane, qui recélerai selon eux, une hypertrophie, en fait un cerveau développé. sur la visage, afin de le défigurer, séances de ce genre de groupe électrogène dont l'usage devrait être proscrit en médecine et n'a rien à faire en médecine, usité à titre simplement répressif,et de torture électrique, pose donc de ces électrodes sur mon corps, sur mon crane, jusqu'à la cuisson des chairs, du sang, rendu tel jus de viande frite, fusion de lobe cérébraux ayant giclé en crème de cerveau à travers un orifice pratiqué d'un coup de laser, c'est dire la puissance du groupe électrogène. Électrodes-parties dans la vulve, grillée à vie, grillage de cervelle assurée entre-temps, jusqu'à n e tumeur des petites lèvres, du sexe, et l'amputation répétée, de la chair et des muscles,d 'une grande lèvre, régulièrement réduite en fibrome. Cette nuit encore, introduction d'un doit dans mon conduit annal, après l'opération du quart de cerveau supérieur, afin de me prouver, combien ma vie durant, je l'ai eu dans le zob, violée d'un doigt d'honneur jusqu'à ce que vienne le plaisir, le viol ayant été déterminé viol, si sans plaisir, violée par mon propre plaisir causé de ces stomisations, amputations de nerfs secs et amputés du sommet du crane, aux pieds, extirpés, en les tirant par un orifice pratiqué sur le dessus du crane, dépecée de ces nerfs dès qu'ils auront eu repoussé.. soumise ensuite à des viols par masturbation forcée aux plaisirs saphiques de lesbiennes venues spécialement s'introduire à son domicile, pour également me narguer de ce viol, Le secteur de santé mentale 2 se débrouillant pour m'interposer, après maintes enquêtes et tortures destinées à connaitre mes talons d'Achille, toute pratique médicale, sociale de la torture qui serait un viol, et me serait un viol, pourrait me pousser soit au suicide soit au meurtre, afin de m'imposer des supplices vénaux, jusqu'à obtenir aucune résistance à ces viols, ni aucune réaction, eux tendant l'oreille entre mes fessiers maintenus écartés pour feindre le fait de n'entendre plus rien de moi, contre ce proxénétisme. Un ex-concubin appelé, Luc Lopez, un psychopathe que j'avais hébergé, afin qu'il me fasse la loi, me soumette à ces viols qui m'auront été reproché pour leur indécence, en fait prétexte, par ces parties de meurtre par électrochocs et condamnés par ces lobotomies. condamnant le viol chez la femme, par ces méthodes totalitaires. Fichant la femme belle, l'énergumène, l'ami fidèle, les destituant de elurs droits, les manipulant à leur insu, dans des marchandages, elle ou toi, innommables, datant des SS.

Médecine psychiatrique police politique, junte de psychiatres sur la région de Montpellier, en constitution de prisonniers politiques, (dont je suis), usant de la démence œdipienne des pères et mères de familles dont le mien, instaurant de le devoir chez les filles, d'inceste, et de pratiques pareille de l'inceste. le père revenu le lendemain matin, ce matin même, me revioler, tripoter, narguer de ce fait et laisser dans l'orgasme causé, le système nerveux résistant à ces actes de caresses, tué net ou à la longue, amputé, nerfs de la résistance physique et de la douleur causé par la résistance au plaisir physique imposé, avec soumission au masochisme, aux parties de sadomasochisme, dans mon appartement réduit à chambre de ce type de sado-masochisme. Père en quelque sorte devenu mon proxénète, me soumettant en complicité avec ma famille, à ce genre de parties de stupre et de torture et de stomisations sur sa propre fille qu'il confine la situation de la fille forcée, autrement dit, sa fille de charme, qu'il dénomme, sa"danseuse nue", amputations des plus diverses d'organes et zones de mon corps, sous peine de mort destinées à me faire réfléchir, me soumettre à aux orgies de ces messieurs, sous l'étiquette de la démence dans ce logement devenu maison d'entrainement,sans quoi... Crises de führers venus spécialement, certains l'ont avoué,en sauterie récréative, "si l'on ne peut plus s'amuser à bouffer, s'étant faits payer grassement pour ces rites de Montpellier, les "Folies" du gratin. s'amusant dans les heures creuses, à torturer mon nez d'électrodes et radiations des plus cuisantes, avec une instance maladive durant de heures, interdiction de toute nourriture, interventions avec mandales violentes, introduction de vomissures dans mes sandwichs, masturbation de l 'officier chargé de me contrôler, avec la tranche de viande que m'avoir servi un restaurant, en plein restaurant, viande laissée au gout de viol, d'une odeur puissante de sardine, dans mon assiette, après maintes gifles, pratiques destinées à me maintenir à jeun, avec filage de train, anté opération du cerveau préméditée.

Toute alimentation que je tenterais refusée, d'introductions systématique de baves et salives de ma mère anté son décès à Val d'Aurelle, dans des conditions douteuses d'euthanasie après violences euthanasie qui m'a été instaurée d'infirmières y compris de Val d'Aurelle, venues m'irradier longtemps depuis afin de me faire taire D'autant que mon généraliste, pour avoir été décrété trop intime avec moi, fut assez puni pour se retourner contre moi, préférant prendre le parti de mes violeurs établissant un bouge fasciste à mon domicile, puis choisissant de m'éliminer d'abord passivement pour l'entreprise de torture de me séparer de lui, sous peine de mort, moi pour avoir osé prendre un amant par peur, suite aux inconséquences du généraliste, incapable d'interdite toute torture qui m'aura été faite pour lui, qui aura été lui aussi sacrifié, lobotomisé grièvement, moi-même éliminée physiquement définitivement pour les tortures endurées destinées à me séparer d'eux, pour leurs abus précédents,infirmiers intervenant à mon domicile et instituant mon décès sous les décharges électriques continuelles ces trois mois -ci, ,sous peine si j'en survis encore, de me placer pour un décès légal en pavillon fermé par décision de mon généraliste, entrainé à cela pour eux.

je risque le décès sous peu de ces attaques, maintenue à jeun pour la pratique continuelles des électrodes, et trépanations graves rituelles et cycliques, quasi séquestrée à mon domicile depuis trois mois, toute nourriture prise immédiatement rejetée sous électrodes, ou souillée de baves notamment de ma mère avant son décès, destinées à me gangréner, sauvée in extrémis encore récemment de cette gangrène des os, qui m'a été voulue telle que dans un de mes inédits, "la chambre carrée", conte sur les méthodes nazies des pavillons de forces, les hôpitaux prisons en faisant usage jusqu'au décès des victimes, ici, par représailles, il s'agit de moi. Mon médecin généraliste pris en otage pour qu'il tienne le rôle du généraliste du conte, peut-être à son insu; lui préférant penser à me placer en clinique, afin d'en finir, ainsi que tout médecin hospitalier ou non appelé à mon secours, ré infligeant viols, sévices, tortures électriques supplémentaires, certains, par orgie ou partie de torture, dite de snurf, ou par pur profit cynique.

Mon chat pris en otage dans l'affaire, cancérisé mortellement d'irradiations qui m'étaient destinées, puis froidement cuit jusqu'au sang frit d'électrochocs, tabassé et violé, pour ce fait, soumis à des narcotiques puissants qui le mettent grièvement à mal et dont il pourrait mourir, chat tabassé pour me signifier le droit des nazis du film 1900, exécuté ligoté sur poutre, après semblable séparation d'un couple, par sa mort, lors d'un rapport surpris d'une milice aryenne.

Rappel si reçu ou envoyée, de la dernière plainte, toujours suivie de représailles, à cette heure, identiques :

Pour plus de réalité face à l'usage de la torture en France,laissée aux hôpitaux et notamment elles asiles psychiatriques, la tâche de la peine capitale médicalisée qui leur est confiée depuis la création de la science médicale psychiatrique, n'a plus rien à voir avec la pratique déontologique éthique universitaire de la médecine, en vigueur au 17° siècle, siècle des Lumières, où les jeunes carabins flirtaient avec la mort et déterraient afin d'affirmer les premiers pas de la médecine, les cadavres des cimetières pour les étudier, les disséquer à l'heure de l'Inquisition des guerres de religions. au nom du courage de ces premiers étudiants décidant d'un commun accord de défier les charlatanisme de Diafoirus diaboliques et assurant depuis la survie de peuples entiers de l'humanité de leur courage invétéré envers toute cause para bellum qui leur serait opposée, ne craignant ni la mort ni la douleur ni la souffrance sous la torture, ils auront bâti la Médecine qui fit jusqu'à présent la fierté du pays des libertés, la France, une dérive dépravante et condamnatoire de toute pensée lucide qui s'en réfèrerait à l'étude déontologique de la médecine et de la science, dans sa pratique et son application éthique, fait rage et fureur depuis la fin de la guerre, dans une dépravation du service hospitalier et privé, au point qu'il faut crier halte à la substitution du soin réel à l'usage systématique et systématisé de la torture médicale au titre de soin et thérapeutique notamment et surtout dans les domaines psychiatriques et en cancérologie...

Torture au service d'une totalitarisation de la science de personnels médicaux et de médecins dits diplomés armés des armes de la médecine et d'une dictature véritable du Soin, de l'Opération mutilatoire castratrice de nos libertés, de conscience, de pensée, d'action, formée d'une junte militaire réelle de médecins des plus crapuleux et corrompus aux devoirs civiques de la répression et de la torture médicale, mercenaire de pouvoirs politiques étatiques et privés.

A cette occasion, je me permets de vous réclamer une action en faveur des filles garçons, hommes et femmes adultes victimes des violences conjugales de pères de famille incestueux, jaloux, violences pouvant se révéler aussi meurtrières que celles causées par les violences conjugales. L'enseignement laïque pouvant receler autant de tortures discrètes ou non commises dans le silence de la femme battue et de l'enfant martyr, dont je peux dire que je suis, enfants dès la naissances condamnés à des doses de séances de torture électrique qui les ont amenés, autant que moi même, à des réanimations quotidiennes, sur les lieux des tortures, le plus souvent, le domicile conjugal des parents, qui parfois, persécutent en famille l'un de leurs membres, incitent la médecine à les corroborer, à appesantir le poids de la torture médicale, psychiatrique, parfois, dès la maternité. Répressions, jusqu'à l'emboutissement des os de la boite crânienne, voire du visage et du pourtour du front, des yeux, n'hésitant à avoir recours aux lobotomies sur célébrités de l'intelligentsia (cf. la forme crânienne de Mr Duhamel, et autres célébrités du monde culturel, de celui du sport, et de la jet société); Milieux sordides de l'éducation laïque, aussi pédophile que le monde chrétien, adonné autant à l'orgie répressive et publique qu'en petit comité sur nouveaux-nés, durant également leur enfance totale soumise à ces tortures totalitaires, jusqu'au décès, le plus souvent, aux alentours des quarante à cinquante ans, date anniversaire du décès programmé des trisomiques dont le niveau est requis pour plus d'efficacité des soins et pratiques illicites de la dégradation totale du système nerveux et du bon fonctionnement cérébral,,date que je viens de passer dans un cap de mise à mort de mon corps et de ma vie. L'éthylisme dans ces milieux médicaux et de l'éducation, à parties fines de même type précédant la lobotomie rituelle dès la repousse des lobes amputés des du cerveau de leur proie, parties à trois, autres ou plus faisant rage et allant de pair avec celui d'infirmiers en équipes, soudoyés en bakchichs, affiliés également à ce type de parties de torture, autrement dit, parties de snurf, psychiatrisées, le plus souvent avec scènes de mise à mort pouvant tant infligées à longueur de journée, aller jusqu'à l'effet de casque électrique Américain, en sus de tentatives vaines dans mon cas d'amener au suicide, sinon api ingestion forcée de narcotiques puissants en overdoses, produits rubéfiants et soumission aux effets de torture tropicale par inflicton de Subutex, très sudorifique et hypercalcinant, hyperchauffants, très sudorifiques, cause de fièvre brutale et inexpliquée, autres procédés de la torture chimique ou crémant ou conduisant l'organisme à un très violent dessèchement (neuroleptiques en forts dosages, issus d'une recherche technologique visant plus à la répression qu'au soin pur et simple, autant puissants que la digitaline, la colchique, dont certains neuroleptiques sont issus, poison phytothérapeutique puissant autant que cigüe, rien que des plantes, selon la publicité mensongère des posologies et de la pharmacopée médicale), en sus d'injections dites retard d'ordinaire officiellement non prescrites, autant que dans messes noires à parties de jupes, dans mon cas, avec viols à violences létales jusqu'à la mort apparente mainte fois causée dans la journée. Rendue exsangue des maintes hémorragies cérébrales obtenues après résections multiples durant la semaine, lobotomies pratiquées après intubations forcées destinées à obtenir la repousse systématisées des zones amputées en question, jusqu'à leur ré-amputation, sur demande de membre de famille exacerbé par de tels possibles, je suppose services hospitaliers et de secteurs privés, prétendant au commerce de ces prélèvement en grande quantités, la moitié d'un cerveau par semaine à peu près, sur une ou un de leur prisonnier, le plus souvent d'opinion, traité en vache à lait, à traite publique de ses matières cérébrales. procédé anthropophage aux rituels cannibales, pouvant aller autant qu'en Guantanamo, à ingestion forcée des cendres de morts de leur famille chez les prisonniers en question, notamment à l'occasion des fêtes de la Toussaint. Et a présentation de dessus de crânes lobotomisés à la victime, sur plateau de ses légumes dégurgités pour l'occasion de sa mise à jeun par séances d'électrodes, anté-opération..

Le but étant de créer de toutes pièces les types de symptomatiques typiques des démences rituelles en séquelles à des pratiques illicites de la torture psychiatrique, mutilatoires et commises sous tentatives répétées de meurtre, maltraitances complexes, panoplie protocolaire des symptomatiques systématiques recensées de maladies fictives totalement arbitraires dépendantes de l'imaginaire populaire et issu de folies réelles réputées de médecins sur le sujet très imaginatifs, ayant répertorié certains comportements suite et résultante d'opérations cérébrales, ajoutées à des procédés inquisiteurs de la médecine, prétextes à l'usage ad mortem sinon cause des diminutions réelles physiques, que sont en fait, les dites symptomatiques des maladies mentales reprochée par loi de la rétroactivité à des patients qui auront été confiés au départ à ces pratiques, pour des problèmes autres que ces démences au départ imputées,parfois et le plus souvent, le simple délit d 'opinion et acquises à forte de persévérance sciemment voulue à les leur causer, de tortures électriques en cures, infligées à titre dit préventif sur tout lieu de vie,surtout ante-placement licite et destinées à causer les caractéristique des démences répertoriées, cures à domicile puis en pavillon fermé, grillant le système nerveux ou le réduisant en broyât cuit jusqu'à des projections de cerveau réduit en purée frite de plaies réouverte sous la puissance des chocs électriques, ou la fracture de os, parfois à remplacer, tués net sous la cuisson des décharges d'appareils à détenteur, ou cuits à la longue de décharges d'électrodes aboutissant à la cuisson des chairs,des os et du cerveau, en sus des cuissons aux électrochocs, ou autres formes de la torture électrique, des parties génitales, tabassées également de courants imitant des coups ports violents, causant de fortes douleurs, et dits aimants, contrefaisant le bouclier électrique de l'étranger.

Le métier de personnel médical psychiatrique et de médecins psychiatres, ne consistant plus depuis les années 50 à 80 à ces inflictions des diverses formes de tortures dans ce livre répertoriées, il en existe des plus abominables cela est certain, dans les asiles psychiatriques de la métropole et provinciaux; ainsi que des particularités dans certains types de tortures psychiatriques à 'étranger, aucun des décès de ces établissements et instituions, publiques et privées, recensé publiquement, aucun chiffre ne paraissant actuellement sur le taux de mortalité de ces pavillons, cliniques , centres, plus en simple maltraitance de ces pratiques protocolaires de la torture à titre de soin, à titre pénal d'autant plus de dans pavillons disciplinaires (qu'ont à voir les violences policières et les rites de tortures et persécutions meurtrières de ces pavillons avec la pratique déontologique de la médecine, si la médecine déontologique psychiatrique a eu seulement un jour depuis sa création existé, créée dans un simple but totalitaire, je le rappelle, extrêmement « répressif » d'extermination raciale) que les maisons de retraites déjà contrôlées.

Je rappelle que les métiers dits médicaux, sont strictement liés pour la plupart, à la récupération sociale d'une de leurs déviances psychotique exacerbées dans le sens récupéré d'un emploi le plus souvent très rémunérateur, en principe phénomène très fréquent dans deux secteurs sociaux, le secteur primaire, (les égoutiers, plombiers, déboucheurs de WC, et autres obsédés des WC, agriculteurs) et le secteur tertiaire, dont les métiers de la chirurgie, certaines médecines liées à des types obsessionnels de folie : obsession des pieds chez les podologues, à titre d'exemple, cannibalisme récupérateur des folies de la société, de type film Hannibal chez les neurochirurgiens, analystes biologiques des selles en mal d'obsession coprophage, obsessions à rigidité mentale psychotique qui les motive à un point de foi qui les sert.

Usage à titre privé et collectif de pavillons fermés et dits de force, tenus par sortes de contrefaçons de policiers en uniforme bleu marine et casquette de représentants de l'ordre, en aucune adéquation avec la déontologie propre à la médecine, et n'usant de son étiquette qu'afin de pratiquer en toute liberté à mots couverts, les méthodes de la torture médicale à mots couverts, de violences policières à titre de soins, aptes à dérégler les organismes, le bon fonctionnement cérébral, l'amputation cérébrale et méthodes dites de soins devant être considérées délivrance du mal par les tortures endurées créé, les médecins de ce pavillons déclarés inspecteurs, couvrant dans l'hypocrisie démagogue absolue, l'usage de méthodes policières totalitaires dans l'imposition de la répression contre les libertés individuelles, droits de l'Homme et droits protégés parle code civil, le plaisir ad normem et naturel du corps, le plaisir solitaire, la masturbation onirique (punie de l'arasement des zones arrières du rêve, du rêve amoureux, l'arrondi dolichocéphale de l'arrière du crâne), le maintien du licou ou la peine de mort psychiatrisée chez les femmes mariées ou en devoir de l'être, promises, concubines et femmes en rencontre, le lysisme, le coît interrompus jusqu'au clap-end requis, et l'abstinence forcée chez les femmes adultes et jeunes filles émancipées en général, la soumission au père violeur surtout, pour les fils, au père et à la mère, au devoir conjugal, la protection de l'inceste et du devoir conjugal qui lui est dû, l'obligation au vice, à la dépravation, à la prostitution publique, au devoir de fidélité, à la préparation du corps de la femme (bains forcés sous prétexte d'hygiène, dans baignoires malpropres servant d'infliction de la stérilisation forcée des femmes émancipée par infection à salpingite causée par éradication d'une flore vaginale persécutée de trop de lavages intimes, jusqu'à cette infection stérilisante, due à ces baignoires maintenues sciemment en état de mauvaise hygiène) aux devoirs conjugaux qu'elle doit à l'homme, au mari, obligation sous peine de mort, de graves opérations du cerveau (lobotomisé dès la repousse en imbibition de ces procédés, après gavages intempestifs, des zones incriminées), à la malpropreté évidente des couples, femmes et familles, saleté devant rester commune aux populations, destinée à fournir les cabinets médicaux et secteurs médicaux publics, privés, en patients sur-infectés, jusqu'à la réapparition de la pneumonie et épidémies communes au Moyen Age, ère privilégiée des aryens, obligation aux actes contre-nature décrétés norme, contrainte des mêmes méthodes totalitaires, aux opiums connus du peuple, à son abêtissement intellectuel, à la propagande aryenne en matraquage de la restriction « ne que » signifiant que cela n'était assez, il fallait plus pousser plus loin en violences, jusqu'à celles violemment revendiquée par les groupements dirigeants de ces pavillons, cliniques, des camps nazis, soumission massive obligatoire également aux lois du fascisme dont au phallocratie. L'exécution capitale de nos jours conférée aux hôpitaux, psychiatrique en général. Mort violente ou lente, torture supplémentaire de se voir mourir sans pouvoir s'y opposer, mort infligée d'une croix sur dossier à contrats.

Conditionnements pouvant conduire à la gangrène du corps, des hommes, femmes insoumises à ces lois, à celles du viol par excellence auxquelles elles sont systématiquement substituées sous a la loi de substitution psychiatrique, défendue par psychiatres et forces de police, ou autant que je le suis encore, punies entre autres individus pour les violences subies, par inmbibition forcée de leurs organisme, de déchets hospitaliers, (eaux en grandes quantités dégurgitées, en baves, salives et glaires de tous orifices, eaux de lavage vaginaux et d'appareils sexuels, ainsi qu'après sodomie, fréquente dans ces pavillons et jusques lieux de vie privée sous leur égide,eaux infestées de corps en décomposition), conditionnement basé sur les neuro-transmetteurs d'autrui propres à soi de ces salives et glaires extirpées du corps humain, ou même d'animaux de compagnie familiers, destinées à restituer des physiques ou pensées induites chimiquement par ces « jus » humains, autre forme de lavage de cerveau lobotomisateur, ces salives imbuquées de force, devant digérer, le sujet maintenu à jeun, condition de la correction sous électrodes, les protéines et l'organisme de ce sujet, jusqu'à son cerveau, remplacé ensuite par une nourriture contraire à sa santé, basée sur les contre-indication à la vie de son corps. Opérations barbares très scientistes décrites dans le film « Le perfinateur », de métamorphoses, parfois plusieurs opérations (régulières dans ces établissements) de ce type par vie, dangereuses, en clonages voulus issus de ces pouvoirs de ces salives, avec individus punis pour des fautes dues au vice (bruits salivaires lubriques) ou pour causes libertaires, sujets au cours des électrodes en punissement, ayant fourni ces rejets (transvasement des liquides, sucs d'un sujet décédé ou en vie dans un autre, thérapie de type Frankenstein ou politique fiction en cours) . La liberté de pensée niée, persécutée au profond du corps, de son identité mentale et physique, tué de main froide, forme dérivée de l'exécution capitale, corps devant rester esclave sinon transformé en mélanges de sujets aux idéaux similaires, constitués eux même de tels viols de leur organisme en sa totalité restante des opérations qui précédaient, son intégralité pour lutte pour son intégrité des individus confinés dans l'emprise le plus souvent fatale de ces établissements, bafouée jusqu'à l'extirpation de morceaux de cerveau, dents, bras, etc. laissés sur la table d'opération. En sus des neuroleptiques en guise d'anti-rejet de cette greffe de sucs salivaires et d'humeurs humaines, neuroleptiques en fait produits chimiques, pharmaceutiques, produits dans le but de torturer les fonctions naturelles et l'organisme, et dont la plupart, employés en psychiatrie, jusqu'à la gériatrie, causent la cuisson chimique des chairs jusqu'à leur état de saucisson sec, de corne, matière cérébrale sèche, séchée autant que grumeaux et amas de purée de blédine lyophilisée cuite au lait délayé, ( les régimes secs ajoutés, carencés en fibres, vitamines et oligoéléments nécessaires à la survie, à base de légumineuses, pâtes sèches ,farines de tubercules et régimes sans résidus pour granivores, cancérigènes et prévus anté-coloscopie, pour leurs vertus cancérigènes et de carençage, la surconsommation de produits à base de grains et de blé ayant servi d'électrochocs dès les premiers temps de l'humanité, transformant en nouilles cuites le système neveux et cérébral, l'homme devant rester omnivore) et de porc salé, steak tartare cuit des procédés décrits, en sus de la cuisson létale par fortes décharges électriques, forme de four crématoire ou portatif (chimique ou en implants électriques) , ou mécanique imposée en réponse de ce totalitarisme à la liberté de conscience déclarée démence grave à ce point de devoir la corriger. Jusqu'au pourrissement du corps, parfois encore en vie, et son décès. Autre procédé égyptien d'euthanasie Étatique, d'embaumage du corps innocent du vice exécute pour ses libertés physiques sans entraves et de pensée, jusqu'à ce que mort s'en suive;les faits restant identiques, je me permets de les citer à nouveau.

Complément de plainte : Je dépose cette plainte en désespoir total de cause, ayant fait le tour des associations injoignables ou qui s'avèrent incompétentes en matière de violence sexistes envers les femmes, notamment une certaine criminalité sinon raciale envers les intellectuelles et femmes émancipées, signifiant dans ce cas leur devoir d'abêtissement et d'infantilisation de leur logos, je remarque une nette tendance à la psychiatrisation des femmes violées, battues, prostituées, au sein même de la famille, ainsi qu'il en est pour mon cas, dans le particularités atroces de la torture psychiatrique,tout aussi grave et meurtrière que les violences conjugales qu'elles semblent reproduire, simuler, imposer, ainsi que que le devoir conjugal envers le médecin spécialiste, mariage dans la perte de la fidélité, aussi condamnée, l'obligation ainsi contrainte, au "droit de prostitution" érigé en devoir civique du STO, trafics d'un proxénétisme hospitalier féodal, gériatrique, psychiatrisé, méthodiques, dépuceleur de jeunes filles, depuis la défloration au vilebrequin, écarteurs de cuisses de femmes rebelles à ce système de corruption de service hospitalier et psychiatrique, qui ne consiste plus qu'à imposer la torture médicale, y compris pédiatrique, anti-féministe, sous convention de torture électrique cérébrale constante , mutilatoire des zones cérébrales incriminées pour trop d'idées (de gauche, la gauche vécue mal, démence grave) mutilations nerveuses et cérébrales simulant et à titre de mutilation sexuelle déjà imposée, jusqu'au devoir de neurochirurgie, "geste médical" systématique, systématisé destiné à récupérer les victimes dites protégées, en devoir d'acception de ces pratiques, des dégâts causés par la torture électrique, zones cérébrales réduite sen purées cuite de cerveau parfois ayant giclé d'incisions déjà pratiquées, pour résumer, de la torture physique et sexuelle, du viol correctif collectif dit thérapeutique, incessant dans certains cas dont le mien, à table, au lit, au travail, dans l'étude universitaire, scolaire, surveillance totale et absolue de la femme émancipée dans son devoir de manque d'autonomie, d'infantilisation de son statut réduit à celui de petite fille facile, si elle ne renonce à ses revendications, nées de ce ces méthodes de dictature fasciste, régnant dans les complexes hospitaliers, dans le cerveau de tout employé médical, en vogue dans le monde médical, sortes de parties de torture, dites de snurf, à plusieurs, d'équipes et médecins venus inquisitionner au sein des foyers, couples, s'attaquant aux femmes seules, célibataires hommes et femmes, mères célibataires, dans une attitude de cette médecine, pédophile aryenne, dans une régression des droits de la femme, sous une loi de substitution du devoir du Christ et de Marie-madeleine crucifiée à sa place, de payer les fautes d'autrui, dans le monde du macquage hospitalier en accord avec le totalitarisme déviant de la police, de la torture médicale qui s'instaure, qui fait peur, plus que honte, un terrorisme psychiatrique, psychiatrisé pour ses crimes et crimes contre l'humanité sous l'étiquette de démence, bien pire que Terreur Blanche qui tient des principes mêmes de l'Inquisition, sur des modes d'intrusion dans la vie intime et privée, de la Gestapo, selon le modèle du film 1900.

Je fais appel à votre aide, en tant que victime de lois patriarcales encore en vigueur dans les familles y compris athées françaises, fondées sur le modèle néo-nazi subconscient des années 50, la psychiatrisation des idées de gauche, faisant partie de mon éducation, a sein d 'une famille basée sur le principe du père patriarche et dictateur, pourtant issu de la laïcité, ce modèle se propage, mes textes couvent censurés, effacés et réduits en doublons, farces d'individus intrus à mon logement destinées à rendre fou, et causer un travail de la femme, rendu inutile, exploit politique des années 50 d'une lutte anti-féministe pratiquée encore de nos jours, par l'asile psychiatrique.

Constamment retrépanée pour la pratique en continu de décharges d'appareils à détenteur, de la puissance d'une décharge d'arme à feu, quasi séquestrée à mon domicile sur ordre parental, à peine atteinte ma cinquantaine, afin de me punir des dernières plaintes que j'aurai émises auprès d'un tribunal, concernant ces pratiques illicites de la médecine, dévoyée dans la dépravation de la torture psychiatrique en famille, sans placement réel, les placements aboutissant surtout au décès organisé, prémédité, des victimes, entre "bons voisins" initiés à cette forme de "pédagogie" anti-universitaire, formule nouvelle du SAC, du FIS iranien, revenu en force dans les mœurs, faisant appel au tchador du traitement pédiatrique, neuroleptique, forme en sus de ceinture de chasteté castratrice des libertés sexuelles, bâillon chimique de la liberté de pensée envers toute femme consciente de de cette enfreinte à ses droits...

Artiste depuis ma vingtaine d'année, peintre arasée des lobes de son imaginaire afin qu'il ne repeigne plus la contestation picturale, puis écrivaine auteur de deux livres de poésie libre aux Editions du Champ Social, fondatrice d'un groupe de musique et de champ contemporains composé d'handicapés mentaux, ou réduit à quelque démence, je milite également en faveur des droits de l'homme, adhérente à la Ligue des droits de l'Homme, et à Amnesty International, associations humanitaires qui se sont avérées incompétente en la matière.

Je fais appel à votre aide, ma vie réellement en danger, dans la non-assistance à personne en danger commise de toute personne contactée, et surtout de toute médecine appelée à mon secours, reproduisant les violences déjà endurées, dans le silence sur les violences envers femme battue, enfant martyr depuis qu'elle est née, sous ces principes de chasteté, devoir de célibat, du devoir de se soigner d'elle-même pour son degré de cognition, de culture, de savoir, d'intelligence, de QI reproché, dans un devoir de souillage de la femme violée et battue qu'elle doit rester.

Dans l'optique d'une politique véritable de la Santé qui ne mettent, entreprise du crime véritable, en péril des vies innocentes, ni la vie de femmes éclairées sur les problèmes des violences faites aux femmes, ou les ayant subies des existences de souffrance entières, afin que la médecine ne cède aux pornocrates qui règnent, cerveaux de trafics de proxénétisme hospitalier, afin que nul ne cède aux pressions politico-juridico-financières en jeu, pressions physiques que je subis, destinées à me faire fléchir ou décéder, si je dois tant mourir pour "des idées", le rush médical que j'endure depuis ces dernières semaines, en voie d'exécution sinon publique sur la place publique ou en privé, si je ne me tais, le silence sous peine de mort, alternés avec interrogatoires musclés, provocations incessantes obstructionnelles,en provenance du Secteur 2 de santé mentale du CHR, et du secteur 1, en répression absolutiste pour des faits rapportés et très inventifs, des accusations mensongères et délations de tout ordre,envers ma vie privée,intime, et autres attaques personnelles d'individus louches, dont mon propre père, qui pris de folie meurtrière ces derniers temps, et voire d éthylisme dont il est en déni, a fait appels à ses tueurs à gage et d'élite, d'ordre médical, après m'avoir faite longtemps surveiller, depuis environ 2003. son trip du führer va en crescendo, dans une crise paroxysmique où il attente à ma vie, quotidiennement, des ordres qu'il institue à mon égard, pris, manipulé dans le trafic d'un réseau hospitalier, dont un réseau de prostitution pédophile et homophile, à mon avis, usant pour régner de conflits familiaux, et des cas de maltraitance, de violence familiale, d'inceste, de violences à domicile en tous genres, pour non les régler, mais constituer des filles tenues, filles faciles dont il faudrait que je sois, en sus de pratiques de la torture hospitalière,médicale et de maison de correction en partie fine, dites orgies, à inceste destinées à les "former"; ma vie entière sacrifiée à ces trafics, astreignant les milieux bureaucratiques, l'enseignement laïque et privé,l'enseignement bouillon de culture de ces réseaux initialement pédophiles, j'aurais trahi le silence imposé, d'où l'omerta actuelle dont je vous avais fait part.

En voie de décéder peut-être sous peu, si ces viols et méthodes ne cessent et persistent, je fais appel la justice , si vous me l'accorder, en réfléchissant au fait que ce genre de proxénétisme, pratique l'immersion totale dans le monde de "la chambre fermée" à domicile, autant que cela se pratique, en département, dont les pavillons disciplinaires, souvent appelés à me "raisonner".

Je réclame que justice soit faite, mes anciens médecins, dont Montalti, Robert Brès,Mr Bottaï, Emile Aguilar, et complices des faits, avertis de m'attendre, ou en interventions répressives dans mon logement, dans le devoir de tenir en compte aucunement de ma partie civile, en fait, en vue de m'en débouter, à jamais, si j'en survis, les ayant accusés dans mes plaintes, eux ne me laissant, aucun espoir d'en rester libre entre temps, et ne me laissant aucune chance de m'en expliquer, si c'est à moi que devait revenir cette charge, victime déclarée coupable de démence grave dans un but éliminatoire, qui ferait penser au "déni de psychose" que je ferais, démence invoquée dans le simple but de faire taire y compris tiers et témoins pour lesquels, je paierai, sur les faits et pour ce fait impliquée dans une affaire de faux, de faux en justice, de tous abus qu'à pu commettre la science médicale jusqu'à nos jours, je persiste.

La plupart des associations réputées lutter contre le proxénétisme, injoignables, ou autres surtout les jours de fête nationale, dans l'urgence de mon cas, en danger de mort consécutivement aux violences subies, le trafic de proxénétisme et de traite des êtres humains hospitalier sur ma région, la police en complicité avec les agissements de médecins, neurologues, psychiatres, neurochirurgiens se disant ivres saouls, appelés à mon domicile par particuliers qui se destinent au proxénétisme de mon cas, non seulement faisant pression sur juristes et peut-être même trompant procureur de la république, collègues et patients car ces médecins pignon sur ru, connus et ayant pratiqué ce proxénétisme, au nom du profit qu'ils en récupèrent, de façon illicite et non déclarée, médecins, spécialistes y compris cancérologues radiologues cliniciens et chefs de services psychiatriques, enrôlés dans cette méthode de front hospitalier, dans un plan de traite des contestataires à ce trafic, jusqu'à leur décès prématuré, dont celui de plusieurs personnes que j'ai eu connues, hommes, femmes, réduits, pour plus de facilité,(par abus de neuroleptiques imposés jusqu'à l'abrutissement, jusqu'à l'arriération même et l'apparence immédiate de la démence, dont la laideur physique requise, objets de discrimination sexuelle et discréditoires en justice), à la démence, ou victimes sous étiquette arbitrairement employée et injustifiée, de la démence. employée à titre de prétexte à l'infliction de violences sévices et tortures plus graves encore et mortelles, afin de faire taire toute perspiration pouvant concerner la violence à domicile déjà infligée, faire entrave à la justice, interdire toute comparution des victimes aux procès qui en sus leur sont faits,ou qu'elles intentent, procès menés dans l'inversion des responsabilités chère à ces praticiens,(instituant une inversion des faits nazie, depuis l'incendie du 3° Reich, dite de nos jours "loi de substitution", ici injustement imposée, ayant été punie d'injection de produit neuroleptique retard, pour les violences de cette locataire, infligées dans le but d'instituer le passage à mon domicile, de neurologues, neurochirurgiens et apprentis psychiatres en amusement privé et parties de torture à viols sénestres violentes pour "se faire respecter", sur "femme"de foi" traitée en handicapée mentale, au cours de ces parties de snurf sans préservatif), elle me provocant dans mes silences, de tabassages organisés, racolant auprès de médecins dits conseillers) et aux juristes, faisant appel eux même à ces praticiens, corrompus, comptant sur l'ignorance populaire ainsi maintenue. La justice pénale, agissant en faveur des violences caractérisées, trouvée à ce point faible, qu'il fallait les pousser au crime parfois nazi. Ce genre d'affaire rapidement classée sous l'étiquette "violences pas assez caractérisées",juristes semble-t-il, assez complices des mêmes proxénètes et protecteurs de ces trafics du CHR, du monde médical privé et de sa sphère médicale, pharmaceutique politico-financière...

Pratique appuyée en général sur demande de tiers, (une locataire de ma résidence, dont je suis femme battue, psychopathe employée à être une de mes souteneurs dans parties de snurf, de torture psychiatrisée, dont plusieurs déments envoyées me prostituer de leurs viols et obsessions à mon domicile) de parents, ascendants ou familles entières, par profit, car dument rémunérés,

Ici, mon père, employé par eux à cet emploi de maquereau régnant par l'inceste depuis ma naissance, inceste ou violences létales de parent bourreau subies ma vie entière, qu'il souhaite faire taire et cacher de ces pratiques médicales, mon domicile devenu leur maison close, bouge, gourbi laissé à son pourrissement, et maison d'entrainement disciplinaire, le viol correctif employé dès le lever suivi des séances en cures d'électrodes..

merci d'avance pour votre réponse, certains médecins, jeunes et vieux "pontes" de ces établissements, promulguant insolemment et ostentatoirement le viol à titre de thérapie, en complicité étroite avec maisons de retraite corrompues à ce système d 'esclavage, et pratiquant l'euthanasie par mort violente et lente ou brutale, au domicile des prostituées , victimes de tout age qui leur sont confiées ante l'age règlementaire des 65, âge à partir duquel la mort violente leur est réglementairement infligée, sous la dénomination d'euthanasie, ainsi que dans établissements psychiatriques, en opération civile de combat au sein des foyers et domiciles privés, pratiquent cette peine de mort sous électrochocs, autres méthodes ainsi que l'inanition causée par privation de nourriture, sous électrodes, jusqu'à l'apoplexie, ou la torture par implants électriques cardiaques, génitaux, jusqu'à la mort cardiaque, infligée chez moi, maintes morts apparentes, dont j'ai été réanimée, tirée du lit ou réveillée à toute heure pour cette méthode d'intimidation par jeu de l'exécution sommaire, décrite dans les brochures d'Amnesty International, dont je suis adhérente..

Ceci afin que je n'exerce plus aucune campagne sociale en la faveur de cet organisme, campagnes contre la torture à l'étranger (organisme muet, inactif et inopérant contre les tortures psychiatriques de cet ordre pratiquées en France et voulant le rester, dans l'urgence des cas n'examinant strictement que les plaintes rédigées qui leur sont envoyées, toute affaire où les secteurs médicaux seraient impliquées, annulée) et les trafics d'êtres humains, dont je serai inévitablement victime, ou de la LDH dont je suis également adhérente et que je cesse tout écrit de mon site, déjà auteur de deux livres parus aux Editions du Champ Social, http://cheleyletterstoworld.blogspot.com,

Ma vie en danger, vertèbres cervicales quotidiennement ces jours ci déviées, coups portés à la face et tabassages quotidiens, destinés à me "raisonner" parfois en continu, souvent pour avoir été trouvée à mon réveil "trop bien", (trop belle trop fine, trop mineure ou trop jolie), à main armée d'appareils dits d'électrothérapie, à détenteur, d'une détente d'arme à feu, autant de balles dans le crane le réduisant en bouillie, parfois jusqu'à l'explosion de cerveau cuit, coups portés à la face à emboutir les os des temps, jusqu'au port d'attelles sous les os du visage, destinées à me restituer mon apparence initiale; d'où dans ces cas l'invocation du handicap,parfois résiduel, séquelle de ces pratiques illcites au sein des couples, foyers et familles, en faux placements licites, sous couvert de l'étiquette dea démences prétextées par loi de la rétroactivité,, si ces méthodes sont permises, en placement réel et officel. Destinés tout autant à "faire disparaitre", ou "se débarrasser" définitivement, d'une personne d'abord vivant en paix, puis victime ici dans mon cas, des violences conjugales d'un parent pour l'inceste qu'il commet, également de ces pratiques, basées sur le viol correctif; dont certaines filles du ghetto de Montpellier, ont été victimes sur des matelas pisseux dans les caves des HLM de l'OPAC, certaines fermées, reproduites à mon domicile. dans un but but certain de me contraindre à un manque d'autonomie, dans l'institution d'une invalidité, en renouvellement aujourd'hui, ainsi que le devoir instauré chez les handicapés, (donc en conséquence du statut qui m'est infligé, à mon égard autant) du service du travail obligatoire, non rémunéré car argent gagné retenu sur l'allocation handicapé, Service du Travail Obligatoire, sous peine de mort, en vigueur sous les nazis, encore de nos jours imposé je le constate, destiné à améliorer mes dépenses, sciemment gaspillées, toute nourriture savamment rendue inconsommable, afin de me contraindre à cette mendicité auprès de l'Etat.

Enfermement, séquestration à mon domicile destinée à me supprimer, si j'ose maintenir ma partie cicvile, sous peine d'hospitalisation bien plus réelle en pavillon fermé, où mon décès sera prévu et organisé rapidement. Les pavillons de force appelés après inversion des faits, typique de l'arianisme, suite à des agressions d'un ou deux de leurs patient lâché tel un bourdon, farce Jung, dans mon domicile, d'une locataire logeant à l'étage au dessus du rez-de-chaussée où j'habite,viols et violences qui m'auront été punis, forme de violence subie et rituelle envers les femmes battues, de pavillons destinés à me faire payer les violences déjà subies de ce couple d'inactifs et de ces arriérés, en accord avec un de mes parents, mon père, qui sitôt accusé ne serait-ce que par tiers, me le reproche de violences et opérations cérébrales, forme de tabassage d'une femme battue que je dois lui rester, il tente également ce type de suppression, sous électrochocs constants et lobotomies importantes trop souvent répétées, par intolérance envers ces texte et peur d'inculpation, autant que chez tout parent bourreau , cause de violence envers femme battue, dont a été longtemps ma mère. Lui, ayant institué ce genre de partie de sauteries à électrochocs d'une junte de médecins hospitaliers et privés (depuis ma naissance, à titre de déviance psychotique sexuelle pédophile à mon égard, sont transfert de personnalité un temps soigné pour maniaco-dépression hystérique à mélancolie, sans résultat) aboutissant à des résections neurochirurgicales, le dessus, l'arrière du crâne, cette locataire en dépendance psychiatrique, ayant décidé de me prostituer à son compte ces parties de snurf, de torture psychiatrique, accompagnées de violences et voies de fait depuis ce matin, constamment maintenues, d'un matériel électronique et de nouvelle convention, testé encore à l'heure actuelle, trafic également de proxénétisme de ces secteurs médicaux, qui en ont usé des décennies, sous d'autres formes, afin de prétexter l'agitation, l'amputation, la stomisation, les actes formels de neurologie, de neurochirurgie tant ces matériels, d'usage y compris pédiatriques en éducation spécialisée, dont j'ai été victime ma vie durant d'enfance martyr, faisceaux électro-magnétiques et irradiants d'armes militaires de pointe, peuvent causer des coups violents de fortes brulures, créer sinon des handicaps traitables ensuite en tous secteurs médicaux et spécialistes des handicaps causés, peuvent aboutir à des placements officiels en maisons de santé, dans un seul biut de profit, sinon piur faire taire, parfois définitivement, les victimes trop argumentées et aptes à les inculper. Les passages à tabac constant sous matériel de torture électrique, également pouvant être cause de torture génitale, également par implants électriques, jusqu'à des brulures graves du sexe, voire, amputation pour sa cancérisation, les viols qui accompagnent, précèdent ces pratiques illicites, font partie d'un proxénétisme hospitalier qui non seulement prostitue des hommes, des femmes, des enfants, mais use d'un droit de propriété sur leur corps instituée, pour prétendre à l'opération neurologique constante, suivie de neurochirurgie dès que les zones cérébrales déjà réséquées tout au long de la vie des victimes, auront repoussé, de gavages illicites de l'alimentation forcée, contraire à la santé, et donc créatrice de dégâts corporels, que la médecine générale réparera, en concevant un profit illimité, forme de traite de l'être humain supplémentaire... en ce qui me concerne, les secteurs de force sont intervenus aussi, (cf résumé précédent, me faisant vivre et alimenter des glaires et humeurs de leurs victimes décédées de pareils crimes en sus de leur degré d'alcoolémie pour certains au pastis,décès qu'ils auront causés et qu'ils me reprochent, (voilà ce que tu nous as fait faire, forme de violence faite à femme battue) me faisant sentir des odeurs de cadavres en décomposition,ou de leurs aliments une fois décédés, en ajoutant de leurs baves dans mes aliments, jusqu'à chez moi l'inanition prolongée, s'il s'agit tant chez moi de mélancolie, en fait pratique régulière de ces établissements, taboue, d'où les accusations de mélancolie))afin de me séparer d'amours supposées avec un de mes médecins, généraliste, ou autrui qui m'aura été supposé, cette personne que j'ai un temps connue trépanée assez pour m'infliger cures d'électrodes si je la joints,(je vous le redis, vous fait de caste médicale enfreinte de cette "fréquentation" jugées assez librement consentie par ce généraliste au départ, vous, qui leur était inacceptable, considéré crime que j'aurais commis, qui m'aura été ainsi reproché, personne que j'avais osé rencontrer dont il fallait me séparer jusqu'au meurtre s'il le fallait, ainsi que de toute autre personne, qui m'aurait rendu service , réséquée elle aussi grièvement, retournée à mon encontre ainsi qu'envers vous je suppose afin de détruire toute confiance qui pourrait me sauver de ce drame, afin de m'isoler d'avantage, prétendre ensuite à la maladie, que j'estime toujours fictive et prétextée pour les raisons suivantes, qu'il faille m'interdire toute relation qui pourrait m'être une aide, toute écriture, tout appel téléphonique, qui puisse dénoncer ces fraudes, exactions et crimes contre l'humanité commis au nom de ces établissements et en dehors de tout placement légal ainsi que sur simple demande parentale ou de tiers, s'il est permis que ces crimes soient légaux en établissement, mon ordinaire étant de devoir être séquestrée à domicile pour une plus grande adéquation avec le type de maladie invoquée, qui me sera ensuite traitée, inévitablement, jusqu'à ce que mort s'en suive, des mêmes méthodes, en placement, sinon dans mon logement... Ces actes et agissements en complicité avec certains membres de la police, ou dits inspecteurs qui s'occupent personnellement de mon cas, m'interdisant toute nourriture pour prétexter soit l'anorexie, soit l'incapacité connue à la schizophrénie de s'alimenter, ainsi que la perte des activités quotidiennes, douche, sorties, alimentation, courses, nettoyage, corvées et tâches, autonomie strictement prohibées chez moi, de ces violences continuelles.

Affaire d'usage illicite de la médecine psychiatrique dans des pratiques du proxénétisme communes à des secteurs hospitaliers, sur simple demande de pères et mères de familles à structure familiale basée sur la mère maquerelle et le père sinon führer, du moins père patriarche de type taliban, iranien, ou pakistanais,se calquant sur ce pouvoir hyperrépressif, parents protecteurs et leurs complices, obsédés par ce pouvoir du CHR d'intervenir dans le domaine privé à des fins de parties de stupre vénal et donc à des fins de constitution par leurs services, de prostituées sur exigences de leur famille, pédophile de ce système de corruption, en aficionados adeptes de cette dépravation hospitalière, contraintes par ce genre de macquage à des médecins véreux, crapuleux assez pour instituer ce droit de fait d'interventions constantes au domicile, dont ici, le mien,issue de milieux pédophiles de l'enseignement,adeptes de ce type de pédophilie psychiatrisée sur enfant martyr, pour infliger de séances d'électrochocs, électrodes en tous genres, jusqu'à la cuisson de système nerveux et cérébral, destinées à en continuum le tabasser, digéré de plus par imbibitions forcées de salives d'autrui destinées à le digérer, dans un but d'obliger et de m'obliger, à ne point leur résister, quitte pour eux à soumettre à des exécutions sommaires si refus de céder aux rites obligatoires de la prostitution dite ensuite libre,et pratiquées depuis les dernières lois de Sarkozy, en appartement, sans préservatifs, prostitution à déviances sexuelles contre-nature dangereuses pour la vie et la santé, parties de torture à thèmes et trips des plus fascistes dites de snurf, médicalisées, avec actes maints de défiguration, vitriolage de produits nocifs du corps et de la beauté de ces femmes, leur soumission à la consommation forcée de porc, très enlaidissant, de la chevelure, condamnées pour ces agissements au célibat, sous prétextes de placements d'office, le plus souvent, mesure de protection administrative de la personne en milieu dit protégé, à l'usage illicite de la torture psychiatrique des plus fascistes poussée à des degrés de violence et de crémation du système nerveux,(ensuite dépecés le sujet encore en vie, systèmes cérébraux dont certains déclarés ainsi que le mien au départ de l'affaire, de très fort potentiel, donc anormal, décrété anomalie),tels qu'ils peuvent devenir meurtriers, placement le plus souvent affabulé et prétexté pour plus de liberté dans ces agissements dont , brulure du sexe à titre répressif, affamement, privations de nourriture essentielles à la vie,auto-alimentation très prohibée, alimentation des victimes tolérée si seulement expressément, exclusivement sous régime sans protéines d'une l'alimentation forcée par intubation à base de pâtes et de pâtées pour chat , parfois jusqu'à la sur-nutrition des années maintenue, méthode issue de celles de Mussolini, malbouffe virilisante destinée à bruler, cuire,dessécher,autre procédé de crémation, digérer les protéines des chairs par l'abus de graisses et de sucre, carençant,obligation en continu au régime sans résidus destiné d'ordinaire aux examens coloscopies, régime en ce cas employé dans un but de cancériser, seule nourriture par ces bourreaux tolérée, car sans fibres, ni légumes, ni fruits, privation de sommeil, de biens vitaux et nécessaires au confort,qui leur est reproché trop bourgeois pour elles, restrictions en complicité avec des organismes de tutelles tels l'UDAF, inflictions arbitraires (sous un prétexte de devoir de substitution envers des victimes de violences), de punitions médicalisées pédophiles telles injections d'anesthésiques à cul nu en public, dans trams, face à des passagers horrifiés qui les évacuent autant que possible, destinées à des séances de torture électrique, employées par les services médicaux en opérations du cerveau,imposition de nourritures contraires à la santé,forme de brutalités supplémentaires, tortures, sévices institués à titre de punitions corporelles, châtiments corporels arbitraires des rituels orgiaques pédophile encore en vigueur, envers femmes, filles émancipées, donc décrétées "pas sages" si non filles faciles, sinon en devoir d'être et rester filles tenues, de ces pratiques et méthodes policières pouvant aboutir au suicide contraint sinon le meurtre dans d'atroces souffrances mentales et physiques de la victime, ou à la pousser à l'homicide par légitime défense de leur mac, ainsi qu'il aurait du en être pour ma personne, maquereaux du monde hospitalier en état de bourreaux depuis la petite enfance de leur victime, affaiblie physiquement de surcroit, d'inflictions en continu de narcotiques puissants, cuisant les chairs disloquées en plus de la cuisson de l'organisme due aux décharges violentes de courants électriques donc, des massacres, officiellement et rituellement déclarés inexpliqués et subits,incompréhensibles, les instances juridiques, les forces de la police, protégeant sciemment les faits, contraignant au règlement de compte meurtrier. Tentatives d'homicide auxquelles je ne sais par quelle résistance physique commune à ma famille, j'ai survécu, certaines décédées à cette heure de ces violences, ou rendues à la vie très diminuées. Mon appartement devenu leur "ferme" d'abattage privée, certains pavillons psychiatriques usant de telles méthodes envers certaines de leurs protégées dites "rétives"au métier, autrement-dit, leur maison d'abattage, d'entrainement, ou dite de correction destinée à contraindre sous le viol continuel, l'usage en continu de la torture électrique et psychiatrique, à se soumettre aux lois du macquage flicquant proxénète lois de droit de fait destinées à établir depuis 1900 sur la France ce type de dictature régnant dans l'immobilisme social et la peur du psychiatre générée par ces secteurs médicaux institués en organes répressifs des pouvoirs établis,assez cyniques, machiavéliques et mafiosi pour "s'amuser à faire du fric", dans ces formes de placements d'office non déclarés, ni au préfectures, ni à la sécurité sociale, mais trè sfructueuses,argent au black dont ils sont rémunérés, faute de budget plus conséquent, en cause, les suppressions des financements et subventions en provenance de l'état, sic, pour leurs abus et crimes contre l'humanité rituellement traditionnels en tous milieux,déjà connus en prolifération,dans les domaines de la psychiatrie, milieux pro-soviétiques très éthyliques ou SS,d'une supériorité raciale insupportable.

A ce fait, je signale que si à l'étranger le plus souvent l'infliction de la torture reste destinée à créer la douleur physique violente, insupportable et meurtrière, la souffrance mentale en sus, en France, la pratique de la torture consiste à créer des douleurs physiques identiques causées des plaies à ce point imposées médicalement,, sous anesthésiques le plus souvent, destinés à augmenter la souffrance morale, torture morale.

Constituant des cerveaux de prisonniers politiques en soufflés au fromage ou pâtés en croute aux nerfs réduits en fils du gruyère imposé, cuits au four électrique de la torture électrique poussée à ce point de cuisson nazie et cannibale du corps. A titre de souffrance morale. Au nom d'un militantisme subaigu pour une peine de mort généralisée et médicalisée confiée aux hôpitaux psychiatriques envers tout contestataire, victimes de ces méthodes un peu trop"gênantes" de la société pour l'implacabilité de ses arguments, réquisitoires et plaidoyers, par cuisson progressive et létale sinon accompagnée d'ablation progressive également du cerveau par amputation des zones cuites et brulées, exposées et desséchées selon le mode de traitement électrique, et chimique.

Peine capitale de nos jours encore exécutée,au sein des hôpitaux psychiatriques et généraux euthanasie imposée, infligée destinée d'ordinaire aux vieilles personnes anciens résistants et femmes âgées au sein des maisons de retraite capables des pires meurtres prémédités et violences létales, dont, sur ma personne, non en âge des 65 ans requis pour ce droit à l'exécution capitale dans ce genre de conditions de camps d'extermination, soumise à cette heure à cette décapitation lente commise sous le bâillon chimique de la chape de plomb totalitaire du médicament neuroleptique, le fameux traitement de la torture chimique commune à tout prisonnier politique de ce régime d'années de plomb, afin d'éviter tout ébruitement pour en partie, des faits et agissements pierre d'achoppement de ce livre, Judas, un denier de mes inédits.

Peine capitale tentée entre autres sur mon chat, trouvé rebelle car doué d'une forte intelligente presque humaine, tabassé longtemps aux électrochocs autant qu'être humain, sachant que le crane d'un chat est de taille beaucoup plus réduite que celle d'un être humain, donc, laissé souvent à l'agonie de cette torture, réveillé par vétérinaires intervenues à temps pour lui à mon insu, tabassé quasi à mort à nouveau moi-même autant, par intervention de ces plombières électriciens des départements psychiatriques, en visites constantes sur les appels de mauvais éléments, lui, crucifié sur cette croix du chat du film 1900, jugé inutile si je devais être exécutée. Tentatives répétées d'exécution de mon chat pris en otage brulé plusieurs fois ces dernières années, jusqu'à l'odeur de viande frite des son crane et de jus de viande, son sang.

Contre ces pratiques illicites de la médecine, que faire, qu'opposer, quand les autorités refusent de saisir les plaintes, classent les affaires, internent par substitution et déni des faits, loi su silence qui m'impose,entre autres victimes de ce système, cette prostitution laissée sans contrôle, à actes de barbarie et crimes contre l'humanité constants ?

D'autre part,en ayant fait part à votre service juridique par appel téléphonique, j'attends votre réponse quant à une possible réaction à ces agissements, en résumé de l'affaire.

Dans mon cas, ces prétendus soins réglés par paiement avec sa carte vitale et au nom de ces dits soins qui lui auraient été pratiqués, en fait, sur ma personne, ou avec ma propre carte vitale, bancaire, et de mutuelle, par mon propre père, tyran familial, despotique et possessif,( au point d'avoir tué froidement, ma mère en famille, de représailles et méthodes totalitaires similaires, ma mère sur le point de le dénoncer, fuir et de le quitter, ce qu'elle avait tenté maintes fois,sans résultat, dépressive depuis ses dépressions-post-natales, femme battue autant que moi-même de ces méthodes de torture dans ce foyer là,cancérisée mortellement de ces exactions, mon père ayant fait appel aux mêmes services dits médicaux, personnels psychiatriques et leurs sous-fifres, des voisins de la famille, destinés à assurer entre autres flicquages, le devoir conjugal, la fidélité des femmes dans les couples, et le renoncement au divorce, dit le licou, la corde au cou), ainsi que par ses anciens collègues et relations de travail, anciens enseignants présentant les mêmes types de troubles mentaux que lui, assez typiques de l'enseignement.
L'acte de cannibalisme qui reste traditionnel dans cette famille, m'aura poursuivie jusqu'à aujourd'hui, mon père le pratiquant, après y avoir perverti ma mère, souvent hurlante d'horreur, dans un état de lamentations, de cris véhéments, déchirante d'horreur face aux crimes il aura en famille commis, elle trépignant d'impuissante puis vite matée, me forçant à consommer les nerfs, lobotomies, centres nerveux de l'amour affectif et de l'amour physique qu'il m'aura faits amputer de médecins, neurochirurgiens qu'il aura rendus complices de ce drame. jusqu'à un jour de banquet en famille, le plus souvent selon la superstition chrétienne, à 13, consommer des pâtés de tête de mort, selon des préceptes païens de profanation des rites de la religion, accompagnée de crises de ces types de meurtre envers ma personne, devait figurer en tant que Christ à crucifier sur la croix de Marie-Madeleine pécheresse, qui selon leurs préceptes, devait rester mon double, qu'ils condamneront des séances d'électrochocs décrites, suivies de lobotomies des zones brûlées le plus souvent chez moi, le dessus entier du crâne, celles des dolichocéphales sur lesquelles il semble faire une obsession, l'obsession nazie à l'encontre de cette bosse du crâne, l'opérant à la rendre plane, dite brachycéphale, cuite aux électrochocs à l'odeur de steak génital frit. Je le soupçonne, à l'heure actuelle, ce type de démon qui chez lui avec l'âge s'amplifie, de m'avoir faite intuber d'une partie de mon foie, une réséquée en tranche de cette viande de génisse d'ordinaire, de veau, ou d'animaux, pour être de la taille du morceau de chair de foie qu'il m'a ostentatoirement présentée, dans mon coma épileptique, suite aux décharges de courants, avant de la cuire et de me l'enfoncer dans l'œsophage, autant que coin de l'affiche d'Amnesty International, afin de me punir de n'avoir encore eu le cancer du foie de ma mère, qu'il me reproche ainsi aussi, ou bien d'une tranche du foie de ma mère qu'il aura opérée, je pense qu'il s'agirait plutôt du mien,tranche arrachée au scalpel en tranchement à la va-vite tant je devais être à l'agonie de cette opération,(cause répétée d'hémorragies cérébrales importantes, les artères et vaisseaux veineux importants sectionné,s tabassés d'électrodes et donc, dans ces cas réouverts sous les chocs électriques), en zigzags dentelant son rebord, à son odeur génitale s'il ne s'agit en plus de mon utérus, encore à la dernier radio-échographie, sain, qu'il aura tabassé jusqu'à sa demi-cuisson durant des ans, qu'il m'aura amputé d'une hystérectomie (en vengeance de son cancer de la prostate ablavée depuis longtemps), pour l'avoir eu soupçonné encore une fois enceint et voulu faire gouter pour me punir d'avoir osé aimé un autre homme que lui, pour me punir à titre de position sexuelle d'avoir osé être aimée, d'aimer d'amour et d'amour physique aussi, un homme, punie des électrodes et lobotomies pour cet amour également cérébral, les électrodes qu'ils m'aura refaites, lors d'une pièce de théâtre sur le texte de Bertold Bretch, que j'ai jouée, et encore ces derniers temps, me punissant pour tout acte littéraire,création artistique que j'aurai eu depuis mon enfance. Son but essentiel étant de faire passer ma vie entière sous ce genre de vengeance pour toute possession de l'amour que j'aurai, sous électrodes, amputations, usure de ma nuptialité et des tissus de ma jouvence maintenus sous électrodes jusqu'au vieillissement prématuré de mes tissus. Il m'aura menée de ces opérations cérébrales et excisions de mes longs nerfs liés au plaisir , plus d'une fois à l'agonie, du moins très souvent... II persiste à me dépecer encore vive de mes organes vitaux, cœur, foie, par moments la rate, voire utérus, et le cerveau,organe favori,selon les rites ancestraux connus des premiers cannibales, je crains le pire. Sa famille le protégeant contre tout placement en maison de retraite ou en pavillon fermé, en me les infligeant, que quiconque, appellerait qui serait témoin des ses actes, qu'il dit ne pas comprendre ensuite, tenterait afin de me me sauver la vie, de ses représailles continuelles, qui ont débuté avec le début de ma vie, depuis un certain temps, afin de m'interdire toute relation, y compris amoureuses. A mon avis il ne s'est arrêté à cela, il me semble, dans un autre coma épileptique, sur le moment du réveil, à mon domicile, d'où les infirmiers partent sans m'avoir réveillée, laissée encore sous effet de l'anesthésie, non règlementaire car pratiquée à domicile, à la surveillance du père, l'avoir strictement vu, s'il s'agit bien de lui ou d'une relation que j'aurai eu, strictement amicale, car vu de dos, coiffé de la casquette rouge de mon père, casquette qu'il avait un jour oubliée à mon domicile, consommer un de mes nouveaux nés, qu'il aura cuit autant que poulet, après me l'avoir fait extirper à mon insu, mes dernières grossesses cachées peut-être par lui, peut-être sur sa demande et ensuite celle d'un psychiatre, sur l'une de ses lettres un laboratoire d'analyses chargé de réaliser un de mes tests de grossesse l'aura niée ou il m'aura faite avortée de quasi nouveaux-nés, tant les fœtus proches de la naissance, ou il aura tué et congelés ces bébés une fois nés à mon insu, ni sans que je puisse sur le coup m'en douter. Dans ce carnage, il m'aura également contrainte, dans mes comas, à absorber des morceaux de lobotomies, dont j'ignore si certaines, étaient des miennes.
Il aura également conservé longtemps à ce que j'ai pu en constater dans mes demi-comas, certains de mes anciens nouveaux-nés au congélateur, pour les introduire à l'heure prévue par des assistantes sociales de me restituer une de mes dernière s filles, les corps congelés des bébés, pour ensuite me les présentés, toujours congelés, en les plaçant sur mon pubis, une fois relobotomisée pour la circonstance, d'avoir eu osé enfanter, sans son avis. enfants qu'il n'aura jamais eu voulus de moi, car il n'en était le père. Il passe depuis son temps à constamment forcer la baie vitrée de mon rez-de chaussée, afin de venir soit me narguer, soit me défier de persister en ce qu'il refuse, soit pour m'opérer, à ainsi que chaque jour, passant son temps à s'introduire à mon domicile accompagné de ses amis, collègues équipes de personnels infirmiers, et médecins, sont il se fait des relations amicales durables. Sans compter les maintes retailles de l'extrémité du clitoris, tellement électrocuté jusqu'au fibrome, puis gelé d'applications répétées d'un glaçon, organe tant réduit de cette cuisson cryogénique sinon sous fluide glacial, savonnette, et pâte dentifrice très fortement mentholée alternée avec cuisson aux courants électriques,institués sur le prétexte de "devoir parental" (dans mon cas depuis mes premiers langes dans mon cas, surprise à quelques mois d'âge la main dans des langes trop serrés pour cet interdit du plaisir solitaire y compris chez nouveaux-nés), en jambon sec que son amputation aura été nécessaire, fait qu'il reproduit à que j'ai d'entrer en relations avec un ami dont je pourrais prendre plaisir, être aimée et que je pourrais aimer, fait selon eux très dangereux lié à une forme dangereuse de la folie, selon la médecine appelée. Agissant de même envers toute liberté de la Femme déjà acquise, y compris le droit à la vie.
Sans compter pour plus de vice, l'implantation durant mes comas, d'implants électriques manipulés de manettes à télécommande digitale, destinés à m'électrocuter l'organe du plaisir, implants parfois retirés discrètement de mains amies d'intervenants venus à mon insu le récupérer, puis le plus souvent, ces aiguilles de cinq à dix centimètres de long, plantées le long de cette extrémité du clitoris,formule de l'excision française dite "la vis" chez les petites filles, dans le but de griller le réseau nerveux, artériel et veineux pelvien, électrodes de même type implantées dans la zone médiane de la vulve, entre les petites lèvres, précisément dans un autre organe du plaisir relié au clitoris, "la fraise". pratique devenue rituelle pour ses intérêts politico-financiers, débutant dès l'enfance avec la fraise du dentiste, auteur des premières trépanations de ces nerfs du plaisir et de la douleur mortelle donc autant que dans tous appareils sexuel, situés dans les dents.

Certaines fois, implants destinés à raisonner le plaisir féminin pris pour déraison depuis parfois la petite enfance, technique employée en pédiatrie, éducation spécialisée autant qu'elle m'a été imposée, électrocutions de l'organe féminin puni jusqu'à la calcification de l'aiguille et de son électrode, ainsi que par la prostitution sous masquage de ces maquereaux, au nom de la vision de l'homme phallocrate sur la vie sexuelle et donc amoureuse de la Femme, homme fasciste dit usuellement machiste déclarant l'usage de cet organe naturel, par loi rétroactive fasciste, lié et devant rester lié à la prostitution. Soumettant la Femme à ce type de conditionnement, sous peine de sa psychiatrisation, apte à la faire réfléchir sur cet usage du plaisir, qui apparemment, ne devrait lui revenir que si accordé par l'Homme, dans les conditions de la déviance sexuelle et de l'acte contre-nature dangereux pour la santé et la vie, déviances de l'amour, la sexualité donc, due chez la Femme, au pénis féminin, le clitoris, ses ramifications irradiant le vagin, les zones érogènes et organes sexuels de son corps jusques dans les chairs en surface de son crane , corps, son amour, condamné à la jouissance seule, de l'orgie publique de viols correctifs et répressive infligée aux rebelles, précédent l'excision des femmes, devant l'infliger sinon devant être subie d'avantage...Certaines de ces femmes très conditionnées, par esprit de revanche au pur gout d'infliger ces tortures par représailles, incitent à cette pratique et maintiennent le fléau.

Après avoir condamné la Femme rebelle à ce conditionnement, à sa défloration dite dégel, selon les conditions de l'excision à l'étranger, par les méthodes des plus douloureuses de mise en souffrance du corps souvent mis sous anesthésie, et relevant de l'usage de la torture y compris électrique poussée à son summum à titre de prévention thérapeutique ajoutée à la castration neurochirurgicale des zones cérébrales revendicatives en sus de la mutilation de zones neurovégétatives parfois accompagnée de thèse de Lempérière, vivisection très fréquemment sur femmes jugées belles et fines et-donc trop propres car dites top honnêtes, opération dangerosissime consistant à séparer les deux encéphales du cerveau, à en araser le pourtour pour moins de troubles du comportements causés par cette section, accompagnée de la défiguration complète de la victime, pour trop de beauté y compris intérieure, jugée là excessive, devant rester envers l'homme celle de la truie qui ne lui résiste, violée par tout acte contraire à ses actes de prévention sur autrui et envers elle, dont l'insémination punitive de blennorragie (cause de gangrène du corps et donc nécessitant la stomisation de multiples organes, d'os, la résection lobotomique de zones du cerveau infectées) interprétation française de l'excision pratiquée à l'étranger, par la médecine depuis la nuit des temps en France assimilant la propreté jugée dans ce cas excessive, à la possession du clitoris, en fait à l'étranger, il s'agirait de l'inverse, la possession de l'organe féminin, jugée sale et la propreté du sexe devant être rendue à la femme par son excision pour plus de pureté de son esprit, leit-motiv repris par les nazis....

4 commentaires:

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