mercredi 30 décembre 2009

Je pense que si les énergies vertes écologistes devaient remplacer réellement l’énergie nucléaire, il n’y aurait plus de terre agricole pour l’alimentation des hommes et des animaux, partant du fait que la circulation des véhicules à huile végétale si chaque humain occidental tient encore à son véhicule autant, nécessitera l’utilisation de terres fertiles pour obtenir des huiles et carburants à base de maïs et colza. D’autre part, si les énergies géo- thermique et éolienne parviennent à remplacer l’énergie nucléaire, je me damne, avale mon oreiller ou je monte au ciel, bien que athée, car jamais le niveau de consommation d’énergie électrique pour ce qui est du chauffage et de l’éclairage des industries et particuliers ne parviendra à être alimentée par ces énergies vertes.

Donc, je pense que le seul moyen de se dispenser d’une énergie nucléaire déjà bien trop dangereuse, est de limiter la consommation mondiale en énergie, dans les industries et pas seulement chez les particuliers. Néons, lumières, enseignes, tec, inutiles, dangereuses.



D’autre part, le mal sur la planète du aux déchets radioactifs est déjà fait, les sites de stockage ne serait-ce qu’en France poubelle des déchets radioactifs de l’Europe, nullement retraités mais répartis sur des zones de rétention « aménagés » en jardins et ayant servi pendant des années de centres de vacances, s’ils ne s’installent à proximité, causant cancers futurs et avenirs dans la population des enfants, ou sont sources de ballast pour les routes pour ce qui est du ballast radioactif, le taux de cancer dans le monde occidental ne cesse de croitre, du à ces décharges si c’est tant obsessionnel d’en parler, la pression gouvernementale très forte à ce sujet, et les pressions des industries nucléaires comme la Cogema en France, relaxée après procès, prouvent que seules les organisations peuvent s’y opposer. Le tabac, ne serait-ce que le tabac, véritable éponge à pollution atmosphérique et du sol, poussant à proximité de ces sources de pollution atomique, même traité, restitue ce danger nucléaire et chacun, en plus de mourir lentement de ces sites de déchets nucléaires, part en fumée de ses cigarettes…



Pour ce qui est de la consommation quotidienne d’énergie pour le chauffage, les puits canadiens dans les maisons individuelles, le chauffage solaire photovoltaïque, les jardins patios dans appartements et villas servant de serre chauffante l’hiver et de climatiseur l’été, l’isolation des maisons à base de matériaux naturels (bois) et du terroir (paille, fibres de lavande, etc.) sont des mesures de prévention et d’économie qui, si chaque individu y adhérait, permettraient de se passer de plusieurs réacteurs ou de centrales nucléaires, sachant que si les engins en état de veille tels télévisions, ordinateurs, pouvaient être éteints totalement quand ils ne sont pas utilisés, économiseraient autant. Si chacun économisait dans ses déplacements, les véhicules à essence, et usait des transports en commun, ou de la bicyclette (société de type hollandais), d’autres réacteurs nucléaires pourraient être éteints.

J’ajouterai, que prendre une douche au lieu d’un bain, relève d’une nécessité autant que celle de l’hygiène corporelle, et tout en la respectant, économise de l’eau de la planète et de l’énergie pour la réchauffer, ce sont des petits gestes du quotidien sur lesquels il faut miser pour réduire notre consommation en énergie nucléaire et ressources de la planète. Petits faits du quotidien aussi importants qu’une culotte de jeune mère ou le slip sale du môme qui trainent. Autant d’ailleurs que les déchets radioactifs sur des lieux d’habitation, mais les industriels qui les ont laissés là ont moins été sanctionnés que les gosses et femmes qui n’auront pas rangé leur demeure. S‘attacher à l’essentiel, chaque jour de notre vie, qui n’est qu’ne question de choix individuels et delà personnels. Donc, collectifs, chaque avis s’ajoutant à ceux d’autrui. Chaque grain de sable faisant le désert, chaque goutte d’eau faisant les rivières et les mers.

Pour finir, sans vouloir abuser, le fait que les machines industrielles, utilisées selon les lois du gaspillage, soient régulièrement détruites pour être remplacées selon les lois du marché capitaliste, qui privilégie la nouveauté du gadget au nom du progrès, me parait un fait important. Limiter la casse des nouvelles machines produisant une production d’objets futiles, afin de ne privilégier qu’une consommation essentielle et limitée à la stricte nécessité de la vie quotidienne serait une source moindre de gaspillage de l’énergie destinée elle à les construire et remplacer, voire, détruire. D’avance, merci

Pour y revenir, et finir réellement, je crois qu’il est essentiel que le taux de naissances dans le monde diminue, et qu’il faut commencer parles populations les plus émancipées sur le plan de la sexualité et du contrôle des naissances, car la consommation en énergies dont nucléaires et ressources de la planète des nouveaux arrivants sur la terre s’ajoute aux méfaits des générations passées. Donc, si la pilule est véritablement cancérigène à long terme, utilisez le préservatif, le stérilet lui-même cancérigène à partir d’un certain âge chez les femmes, et le préservatif capable de parer à toutes les MST, dont celles dues à l’infidélité dans les couples et le sida, ce qu’aucun ovule spermicide ne fera, y compris contre l’herpès, qui a causé des vagues d’infirmités depuis les années 80, et un taux élevé de difformités physiques, de maladies et tares mentales. Soyez écologiste de cette façon là aussi. L’émancipation sexuelle et donc financière des peuples du tiers monde (leur population s’accroissant de siècle en siècle) passera par le degré de conscience de l’Occident.



I think that if green energies ecologists were to really replace the nuclear energy, there would be no more ground  agricultural for the food of the men and the animals, on the basis of the fact that the traffic to vegetable oil if each human Westerner holds still with his vehicle as much, will require the use of fertile grounds to obtain oils and fuels containing corn and colza. In addition, if energies géo- thermal and wind manage to replace the nuclear energy, I damne, swallows my pillow or I go up to the sky, although atheist, bus never the level of consumption of electric power as regards the heating and lighting industries and private individuals will not manage to be fed by these green energies.
Therefore, I think that the only means of exempting itself of a nuclear energy already well too dangerous, is to limit world consumption in energy, in industries and not only at the private individuals. Neons, lights, signs, tce, useless, dangerous.

Of another share, the evil on planet of with the radioactive waste is already made, the sites of storage would be this only in France dustbin of the radioactive waste of Europe, by no means reprocessed but distributed on zones of retention “arranged” in gardens and having been used during years as centers of holidays, if they do not settle in the vicinity, causing future cancers and futures in the population of the children,  or are sources of ballast for the roads as regards the radioactive ballast, the rate of cancer in the Western world does not cease growing, of with these discharges if it is so much obsessional to speak about it, the very strong governmental pressure on this subject, and the pressures of nuclear industries like Cogema in France, released after lawsuit, prove that only the organizations can to it be opposed. The tobacco, would be this only the tobacco, genuine sponge with air pollution and of the ground, pushing near these sources of atomic pollution, even treated, restores this nuclear danger and each one, in addition to dying slowly of these sites of nuclear waste, leaves in smoke its cigarettes…

As for daily consumption of energy for the heating, the Canadian wells in the houses, the photovoltaic solar heating, the gardens patios  in apartments and villas  being used of heating greenhouse the winter and air-conditioner the summer,  insulation of the houses containing natural materials (wood)  and of the soil (straw, fibres of lavender, etc) are measurements of prevention and of economy which, if each individual adhered to it, would make it possible to occur several engines or nuclear thermal power stations, knowing that if the machines in waking state such televisions, computers, could be extinct completely when they are not used, would save as much. If each one saved in its displacements, the vehicles with gasoline, and used of public transport, or of  bicycle (company of the Dutch type), other nuclear engines could be extinct.

I will add, that to take a shower instead of a bath, belongs to a need as much as that of the personal hygiene, and all while respecting it, saves water of planet and energy to heat it, they are small gestures of the daily newspaper on which one needs miser to reduce our consumption in nuclear energy and resources of planet. Small facts of the daily newspaper as important as breeches of young mother or the dirty slipway of the kid which trail. As much besides than the radioactive waste on spot dwelling, but the industrialists who left them there were sanctioned less that the kids and women who will not have arranged their residence. S `to attach to essence, each day of our life, which is only question of individual choices and beyond personnel. Therefore, collectives, each opinion being added to those of others. Each sand grain making the desert, each drop of water making the rivers and the seas.

To finish, without wanting to misuse, the fact that the industrial machines, used according to laws' of the wasting, are regularly destroyed to be replaced according to laws' of the capitalist market, which privileges the innovation of the gadget to the name of progress, appears to me an important fact. To limit the breakage of the new machines producing a production of futile objects,  in order to privilege only one consumption essential and limited to the strict need for the everyday life of wasting of intended energy it would be a less source   to build them and replace, even, to destroy. In advance, thank you

There to return, and really finish, I believe that it is essential that the rate of births in the world decreases, and that it is necessary to start speak populations émancipées in the field of the sexuality and the birth control, because consumption in nuclear energies of which and resources of planet of the newcomers on the ground  be added to the misdeeds of the last generations. Therefore, if the pill is truly carcinogenic long-term, use the condom, the coil itself carcinogenic starting from a certain age among women, and the condom able to counter all them  MST, of which those due to the inaccuracy in the couples and the AIDS, which no ovule spermicide will do, including against the herpes, which because of the waves of infirmities since the Eighties, and a high rate of physical deformities, diseases and tares  mental. Be an ecologist in this way there too. Sexual emancipation and thus  financial of the people of the Third World (their population  increasing century in century)  will pass by the degree of conscience of the Occident.

lundi 28 décembre 2009

J'ai fait le tour des associations contre les violences faites aux femmes, en congé de fin d'année encore, les violenes que je subis depuis la Toussaint mettant ma vie quotidienne en danger, je vous prie de me contacter, si je ne l'ai fait dans la journée, sur la région de l'hérault, aucune permanence s'avérant possible, les associations contactées, se disant incompétentes, dès qu'il porte attente à l'image de la médecine, ici en cause, ou de l'autorité parentale, l'image pure et l'impunité, l'immunité de blouse blanche, forme aujourd'hui de robe de noblesse de robe, si inattaquable que ainsi que nombre de relations amicales que j'aurai eu, je risque moi aussi, de ne pas en survivre. L'affaire ayant débuté par une lutte de classes sur laquelle se crispe un secteur médical psychiatrique de la région, pro-soviétique, le secteur de santé mentale 2,(puis le 1 et enfin d'autres) pour m'avoir trouvée trop rupine, de trop bonnes notions culturelles, d'un logos universitaire redouté d'eux, et pour ma qualification de Madame de Maintenon, (mes amants reprochés) Récamier, pute de salon, (je suis artiste, au départ artiste peintre, trépanée pour mon art pictural jugé subversif dans les années 80, puis reconvertie dans l'écriture, auteur de deux livres publiés) et Madame de la Trémouille, insultes gratuites des médecins inquisitionneurs de ce département médical, qui plutot que me venir en aide, et enfermer de sex-concubins en intrud dans mon domicile, et en état de viols quotidiens, de violences agravées, m'auront violée eux aussi, tabassée quotidiennement jusqu'à la mort apparente, au cours d'une partie d'amusement, s'amusant de moi pour le profit dans une "sauterie récréative" qui dure, se disant saouls, ayant bu et fumé, partie de torture de "nantis" ainsi qu'ils se sont déterminés, sur femme pauvre et démunie autant que dans partie de "chauffe" du Moyen Age sur femme serve, partie aussi de meurtre et de snurf, dans mon logement devenu chambre de torture sado-masochiste, depuis mon anniversaire, le 26-11-2009, où ma vie a basculé dans l'horreur. la justice, les forces de l'ordre, les pompiers, leur prêtant aide et appui, intimidations et violences supplémentaires,complices. Mon père incité à soutenir ces pratiques ilicites, les encourageant, les ayant causées depuis ma naissance, et même les rémunérant, les violences à domicile empirant, la phase paroxysmique atteinte ces derniers jours, les fêtes et leur degré d'alcoolémie augmentant la dangerosité des rites médicalisés des tortures médicales endurées, je fais appel à votre aide.

Dans l'optique d'une politique véritable de la Santé qui ne mettent en péril des vies innocentes, ni la vie de femmes éclairées sur les problèmes des violences faites aux femmes, ou les auyant subies des existences de souffrance entières, afin que la médecine ne cède aux pornocrates qui règnent, cerveaux de trafics de proxénétisme hospitalier, afin que nul ne cède aux pressions politico-juridico-financières en jeu,
Mobilisez vous contre cette gangrène qui atteint les services publics, déferle dans les institutions y compris scolaires, étudiantes, maternités, crèches, administrations, le médecin appelé su rplace autant que le toubib des boshs, pour une pratique identique de la médecine à celle des nazis, sous des couverts trompeurs d'offre de services et d'humanité, de soins en placements en milieux dits protégés, la formule élégante, gériatrie et maisons de retraites, véritables camps de déportés, barbarie à visage humain, autre...
Hôpital sécuritaire, camp de déportation de la nouvelle et ancienne constestation, hôpitaux, cliniques devenu à nouveau après une brêve amélioration, ceux des années 30 à 50, camps d'extermination pour ce qui est des pavilllons disciplinaires qui n'ont plus rien à voir je le répète avec la pratique médicale, sinon l'extermination raciale anti-sémite de toute rebelle à cette société, de tout réfractaire à ces agissements.

Impossible n'étant français, depuis les SS. Que personne n'a pu voir venir au pouvoir, ni envahir le monde, sauf peut-être quelque Cassandre, bien vite anesthésiée et définitivement endormie en psychiatrie, domaine médicalisé spécialisé des premiers camps d'internement et d'extermination nazis, en France également, pour les révisionnistes. Reptation méthodique du monde nazi, envahissant lentement la planète, de l'usage totalitaire de la médecine psychiatrique œuvrant dans ses sous-sphères médicales de trust pharmaceutico-paramédical et administratif, médecines générales et de spécialisation récupératrices en collaboration étroite avec elle, des dégâts qu'elle peut causer, prétextes à des soins totalitaires meurtriers et usages de torture médicale mortelle à titre de soin;
Mobilisez vous en lisant le site de mon blog : http://chelseyletterstoworld.blogspot.com/
20 déc. 2009 19:17Pour plus de réalité face à l'usage dela torture en France,laissée aux hôpitaux et notamment lles asiles psychiatriques, la tâche de la peine capitale médicalisée qui leur est confiée depuis la création de la science médicale psychiatrique, n'a plus rien à voir avec la pratique déontologique éthique universitaire de la médecine, en vigueur au 17° siècle, siècle des Lumières, où les jeunes carabins flirtaient avec la mort et déterraient afin d'affirmer les premiers pas de la médecine, les cadavres des cimetières pour les étudier, les disséquer à l'heure de l'Inquisition des guerres de religions. au nom du courage de ces premiers étudiants décidant d'un commun accord de défier les charlatanisme de Diafoirus diaboliques et assurant depuis la survie de peuples entiers de l'humanité de leur courage invétéré envers toute cause para bellum qui leur serait opposée, ne cragnant ni la mort ni la douleur ni la souffrance sous la torture, ils auront bati la Médecine qui fit jusqu'à présent la fierté du pays des libertés, la France, une dérive dépravante et condamnatrice de toute pensée lucide qui s'en réfèrerait à l'étude déontologique de la médecine et de la science, dans sa pratique et son application éthique, fait rage et fureur depuis la fin de la guerre, dans une dépravation du service hospitalier et privé, au point qu'il faut crier halte à la substitution du soin réel à l'usage systématique et systématisé de la torture médicale au titre de soin et thérapeutique notamment et surtout dans les domaines psychiatriques et en cancérologie...

Torture au service d'une totalitarisation de la science de personnels médicaux et de médecins dits diplomés armés des armes de la médecine et d'une dictature véritable du Soin, de l'Opération mutilatoire castratrice de nos libertés, de conscience, de pensée, d'action, formée d'une junte militaire réelle de médecins des plus crapuleux et corrompus aux devoirs civiques de la répression et de la torture médicale, mercenaire de pouvoirs politiques étatiques et privés.

Artiste depuis ma vingtaine d'année, peintre arasée des lobes de son imaginaire afin qu'il ne repeigne plus la contestation picturale, puis écrivaine auteur de deux livres de poésie libre aux Editions du Champ Social, fondatrice d'un groupe de musique et de chant contemporains composé d'handicapés mentaux, ou réduit à quelque démence, je milite également en faveur des droits de l'homme, adhérente à la Ligue des droits de l'Homme, et à Amnesty International, associations humanitaires qui se sont avérées incompétente en la matière.

Dans l'optique donc d'une politique véritable de la Santé n'ayant recours aux pressions physiques que je subis, destinées à faire fléchir ou décéder, si je dois tant mourrir pour "des idées", le rush médical que j'endure depuis ces dernières semaines, en voie d'éxécution sinon publique sur la place publique ou en privé, si je ne me tais, le silence sous peine de mort, alternés avec interrogatoires musclés, provocations incessantes obstructionnelles,en provenance du Secteur 2 de santé mentale du CHR, et du secteur 1, en répression abolutiste pour des faits rapportés et rrès inventifs, des accusations mensongères et délations de tout ordre,envers ma vie privée,intime, et autres attaques personnelles d'invididus louches, dont mon popre père, qui pris de folie meurtrière ces derniers temps, et voire d'éthylisme dont il est en déni, a fait appels à ses tueurs à gage et d'élite, d'ordre médical, après m'avoir faite longtemps surveiller, depuis environ 2003. son trip du fuhrer va en crescendo, dns une crise paroxismique où il attente à ma vie, quotidiennement, des ordres qu'il institue à mon égard, pris, manipulé dans le trafic d'un réseau hospitalier, dont un réseau de prostitution pédophile et homophile, à mon avis, usant pour régner de conflits familiaux, de l'infiltration d'équipes psychiatriques sur demande expresse des infirmières en milieux scolarisés aux moindres difficultés d'enfants martyrisésde sévices, maltraitances  de leurs familles, camarades et professeurs tortionnaires en crises aux troubles psychologiques terroristes non protégs médicalement, équipes de secteurs psychiatriques intervant sur place en continu , instituant les répressions en séries de cures d'électrodes de mères fesseuses et pères fouettard dominateurs, sur demande de professeur cuisseur ou vicieuse cuisseuse de ce type de partie fine à matraquade violeuse et scène de torture sur élève érudit ou proche du Fidel au sein des établissements scolaires mettant à mal sérieusements (autant que CRS dans écoles depuis mai 68 et depuis cela en est la norme réparatrice des "petites mauvaises idées" dixit les chefs d'établissements scolaires et médicaux en accord et contrats, sinon le SAMU),  les étudiants et saccageant des vies entières de scolarité et d'études, les étudiants et saccageant des vies entières de scolarité et d'études, , exacerbant les jalousie les plus exterminatrices et féroces envers les derniers résistants, aux bons résultats, pour la mise "sous correction" des têtes de collégiens, lycéens pour la validité lucide et précoce de leurs textes et raisonnements, ou "punir" quelque simpe faute d'inattention déjà causée par ces pratiques, sur le simple fait de enseigants draconniens envrs ce délit d'opnion que leur représentaient les commentaires de textes de ces élèves, réseau profitant également des cas de maltraitance, de violence familiale, d'inceste, de violences à domicile en tous genres,pour non les régler, mais constituer des filles tenues, filles faciles dont il faudrait que je sois, en sus de pratiques de la torture hospitalière,médicale et de maison de correction en partie fine, dites orgies, à inceste destinées à les "former"; la vie entière sacrifiée à ces trafics, astreignant les mlieux bureaucratiques, l'enseignement laïque et privé,l'enseignement bouillon de culture de ces réseaux initialement pédophiles, j'aurais trahi le silence imposé, d'où l'omerta actuelle dont je vous avais fait part.

La répression psychiatrique d'État envahissant les poches de résistances de l'enseignement laïque et privé, via les permanences des infirmières scolaires, faisant appel à des interventions en relai constant au sein des établissements scolaires, crèches, maternelles, établissements primaires, collèges et lycées, dans des cas de mises en difficulté d'élève martyr d'une classe, de camarades, de sa famille et de professeurs exacerbés de leurs crise de psychose non traitée, établissant des scènes de torture sur une tête de leurs élèves des plus érudits, surdoués voire génies connus pour leur tendance de gauche socialiste et géopolitique, génies aux ailes brulées, de séances d'électrodes violeuses tabassages des "petites idées préconçues" dixit les chefs d'établissements scolaires, médicaux, e(autant que CRS dans écoles depuis mai 68 et depuis cela en est la norme réparatrice des "petites mauvaises idées" dixit les chefs d'établissements scolaires et médicaux en accord et contrats, sinon le SAMU), d'équipes psychiatriques établissant une censure répressive des écrits, rédactions des tenants et instruits à la ligne de la Fidel, y compris en âge précoce, tortures violeuses éradiquant en matraquages fortement maintenus la contestation dans les collèges et lycées, instituant les répressions en séries de ces cures d'électrodes des mères fesseuses et pères fouettard dominateurs, sur demande de ces  professeur cuisseur ou vicieuse cuisseuse de ce type de partie fine à matraquade violeuse et scène de torture sur élève érudit ou proche du Fidel au sein des établissements scolaires mettant à mal sérieusements les étudiants et saccageant des vies entières de scolarité et d'études, en "punition" des fautes d'inattention orthographiques déjà causées par instruments de contentions dissipateurs en place, très douloureux, jusqu'au brouillage des idées certaines, la perte de lucidité du monde étudiant, la nullité généralisée du niveau étudiant réduit (le cerveau en bouillie)  à l'étudiant dian-dian timide, inconsistant évaporé, dissipé vide et nul. et la nullité des résultats universitaires qui en résulte, les  exacerbant les jalousie les plus exterminatrices et féroces envers les derniers résistants, aux bons résultats, pour la mise "sous correction" des têtes de collégiens, lycéens pour la validité lucide et précoce de leurs textes et raisonnements, ou "punir" quelque simpe faute d'inattention déjà causée par ces pratiques, sur le simple fait d'enseignants draconniens envers ce délit d'opnion que leur représentaient les commentaires de textes de ces élèves, réseau profitant également des cas de maltraitance, de violence familiale, d'inceste, de violences à domicile en tous genres,pour non les régler, mais constituer des filles tenues, filles faciles dont il faudrait que je sois, en sus de pratiques de la torture hospitalière,médicale et de maison de correction en partie fine, dites orgies, à inceste destinées à les "former"; Sur cette intrusion constante des équipes psychiatriques, au sein des écoles, des crèches, des familles, CRS médicalisés en blouse blanche chargés de partir en chasse aux surdoués et enfants doux, humains, équipes médicales assurant un tri sélectif depuis depuis la crèche privilégiant les plus barbares, incultes, inhumains, vicieux et pervers, aux libidos calqués sur la dépravation, le sordide, la maltraitance physique, psychologique, les brutalités des basses classes,discrimination positive psychiatrique étudiante réduisant les étudiants en masse et en séries, à la crème de cerveau, la baisse générale du niveau culturel, pratique également universitaire depuis Mai 68. Violences de la répression médicalisée, entrainant des jalousies morbides, les plus exterminatrices et féroces envers les derniers résistants, aux bons résultats,barbaries,discriminatoires, tenant de l'apartheid, envers les jeunes intellectuels, aux résultants probants, à la moindre réussite universitaire et sociale, entretiennent le culte de lutte des classes, les répressions dissipatoires de même types, sociales,entreneues par les pouvoirs politiques, les intellectuels, connus pour "se branler à rien faire", écrire pour ne rien faire, le travail manuel privilégié, des impuissances causées, à cette classe douée du raisonnement abstrait; la vie entière de tous sacrifiée à ces trafics, astreignant les mlieux bureaucratiques, l'enseignement laïque et privé,l'enseignement bouillon de culture de ces réseaux initialement pédophiles, j'aurais trahi le silence imposé, d'où l'omerta actuelle dont je vous avais fait part.
A peu tout type de maladie mentale ayant été depuis ma naissance, envers moi nvoqiées, sauf peut-être quelques unes méconnues du grand public.Chaque diagnostic, pouvant conduire à de poursuites pénales, diférant avec le médecin employé.

Peine capitale de nos jours encore exécutée,au sein des hôpitaux psychiatriques et généraux euthanasie imposée, infligée destinée d'ordinaire aux vieilles personnes anciens résistants et femmes âgées au sein des maisons de retraite capables des pires meurtres prémédités et violences létales, dont, sur ma personne, non en âge de 65 ans requis pour ce droit à l'exécution capitale dans ce genre de conditions de camps d'extermination, soumise à cette heure à cette décapitation lente commise sous le bâillon chimique de la chape de plomb totalitaire du médicament neuroleptique, le fameux traitement de la torture chimique commune à tout prisonnier politique de ce régime d'années de plomb, afin d'éviter tout ébruitement pour en partie, des faits et agissements pierre d'achoppement de ce livre, Judas, un denier de mes inédits.

Peine capitale tentée entre autres sur mon chat, trouvé rebelle car doué d'une forte intelligente presque humaine, tabassé longtemps aux électrochocs autant qu'être humain, sachant que le crane d'un chat est de taille beaucoup plus réduite que celle d'un être humain, donc, laissé souvent à l'agonie de cette torture, réveillé par vétérinaires intervenues à temps pour lui à mon insu, tabassé quasi à mort à nouveau moi-même autant, par intervention de ces plombières électriciens des départements psychiatriques, en visites constantes sur les appels de mauvais éléments, lui, crucifié longtemps sur cette croix du chat du film 1900, jugé inutile si je devais être exécutée. Tentatives répétées d'exécution de mon chat pris en otage brulé plusieurs fois ces dernières années, jusqu'à l'odeur de viande frite des son crane et de jus de viande, son sang.mon organisme tnt intoxiqué d'overdoss de médicaments, anesthésiques, neuroleptiques quotidiens et retard, en achet se tinjections, sans placment légal, enflé de ces overdoses, causes d'oedme généralisé, jusquà la dificulté respiratore frquemment imputée au tabac, overdoses galement jusqu'à la rétention hydrique, poussée au surpoid, la dévitalisation ds chairs et tissus, par privation continue sciemment prolongée, inanition destinée à m'affaiblir, m'interdire toute riposte verbale, écrite, digérer es tissus cérébraux et réseux nerveux en vue de leur résection partielle et en grand part, digestion des tissus de l'organisme augmentée de glaires et excès salivaires de codamnés à cs mêmes pratiques, dégurgitées au cours de malaises et junes pour les mêmes opérationsneurologiques poussées jusqu'au devoir de neurochirurgie, dit "geste médical", mon corps si ce jeune se prolonge, constitué entièrement, de cytoplasme,d'eau, de quelques tissus interstitiels constitaunt l'enveloppe de cellules, fragilisées du manque de protéines et de nourriture saine;

Ou du moins appropriée, souffrant d'u cancer du sein acquisde ssouffrancs et douleurs insurmontables, de méthodes similaires, destinées à rendre folle ou fou des blessures occasionnées, plaies multiples et répétées, tabassées jusqu'à la réanimation fréquente, brulures pouvant dans certains cas être mortelles, jusqu'à certain degré de cuisson du cerveau, en particulier ds zones à amputer, très cuites, sinon frits dans lebeurre et le "jus" de cerveau voulu.Torture antropophage de type nazi.les zones résques, souvent présentées ensuite sur plateau de légumes régurgités pour l'occasion, fadaises que ces médecins et équipes médicales se sont permises, réputées farces Jung.
En voie de décéder peut-être sous peu, si ces violences perpétrées perssitent, je fais appel à votre aide, si vous pouvez me l'accorder, en réfléchissant au fait que ce genre de proxénétisme, pratique l'immerssion totale dans le monde de "la chambre fermée" à domicile, autant que cela se pratique, en département, dont les pavillons disciplinaires, souvent appelés à me "raisonner".
Merci d'avance pour votre réponse, mes anciens médecins, dont Montalti, Robert Brès,Mr Bottaï, Emile Aguilar, complices et auteurs des faits, avertis de m'attendre, ou en intervention répressive dans mon logement, dans le devoir de tenir en compte aucunement de ma partie civile, en fait, en vue de m'en débouter, à jamais, si j'en survis, les ayant accusés dans mes plaintes, eux ne me laissant, aucun espoir d'en rester libre entre temps, et ne me laissant aucune chance de m'en expliquer, si c'est à moi que devait revenir cette charge, si l'on m'en laisse le choix, et la possibilité, victime déclarée coupable de démence grave dans un but éliminatoire, qui ferait penser au "déni de psychose" que je ferais, démence invoquée dans le simple but de faire taire y compris tiers et témoins pour lesquel, je paierai, sur les faits et pour ce fait impliquée dans une affaire de faux, de faux en justice, de tous abus qu'à pu commettre la science médicale jusqu'à nos jours, je persiste.

La plupart des associations réputées lutter contre le proxénétisme, injoignables, tels le site sysiphe, Acsès, ou autres surtout les jours de fête nationale, dans l'urgence de mon cas, en danger de mort consécutivement aux violences subies, le trafic de proxénétisme et de traite des êtres humains hospitalier sur ma région, la police en complicité avec les agissements de médecins, neurologues, psychiatres, neurochirurgiens se disant ivres saouls, appelés à mon domicile par particuliers qui se destinent au proxénétisme de mon cas, non seulement faisant pression sur juristes et procureur de la république de la région, car pignon sur rue et ayant pratiqué ce proxénétisme, au nom du profit qu'ils en récupèrent, de façon illicite et non déclaré, médecins, spécialistes y compris cancérologues radiologues cliniciens et chefs de services psychiatriques, enrolés dans cette méthode de front hospitalier, dans un plan de traite des contestataires à ce trafic, jusqu'à leur décès prématuré, dont celui de plusieurs personnes que j'ai eu connues, hommes, femmes, réduits, pour plus de facilité,(par abus jusqu'à overdoses de neuroleptiques imposés jusqu'à l'abrutissement, jusqu'à l'arriération même et l'apparence immédiate de la démence, objet de discrimination sexuelle et discréditoire en justice), à la démence, ou vicitmes sous étiquette arbitrairement employée et injustifiée, de la démence. employée à titre de prétexte à l'inflixion de violences sévices et tortures plus graves encore et mortelles, afin de faire taire toute perspiration pouvant concerner la violence à domicile déjà infligée, faire entrave à la justice, interdire totue comparution des vicitmes aux procès qui en sus leur sont faits, dans l'inversion des responsabilités chère à ces praticiens,(instituant une inversion des faits nazie, depuis l'incendie du 3° reich, dite de nos jours "loi de substitution", ici injustement imposée, ayant été punie d'injection de produit neuroleptique retard, pour les violences de cette locataire, infligées dans le but d'instituer le passage à mon domicile, deneurologues, neurochirurgiens et apprentis psychiatres en amusement privé et parties de torture à viols sénextres violentes pour "se faire respecter", sur "femme"de foi" traitée en handicapée mentale, au cours de ces parties de snurf sans préservatif, à viol perbuccaux et génitaux) et aux juristes, faisant appel eux même à ces parapraticiens, corrompus, comptant sur l'ignorence populaire ainsi maintenue. Corruption de la justice pénale, agissant en faveur de la violence caractérisée, trouvée par eux à ce point faible, qu'il fallait les pousser au crime parfois nazi. Ce genre d'affaire rapidement classée sous l'étiquette "violences pas assez caractérisées",juristes eux mêmes proxénètes et protecteurs de ces trafics du CHR, du monde médical privé et de sa sphère médicale, pharceutique politico-financière...
Pratique appuyée en général sur demande de tiers, (une locataire de ma résidence, dont je suis femme battue, psychopathe empolyée à être une de mes souteneurs dans parties de snurf, de torture psychiatrisée, dont plusieurs déments envoyées me prostituer de leurs viols et obssesions à mon domicile) de parents, ascendants ou familles entières, par profit, car duement rémunérés,
Ici, mon père, employé par eux à cet emploi de macquereau régnant par l'inceste depuis a naissance, inceste et violences létales de parent boureau subies ma vie entière, qu'il souhaite faire taire et cacher de ces pratiques médicales, mon domicile devenu leur maison close, bouge, gourbi laissé à son pourrissemnent, et maison d'entrainement disciplinaire, le viol correctif à violences caractérisées et voies de fait employé dès le lever.
Merci d'avance pour votre réponse, certains médecins, jeunes et vieux "pontes" de ces établissements, dont u hopitalprison de a région, apelé à coriger la voisine proxénète, ragulièrement s'institue mon soutenir à mon domicile, promulguant insolemment et ostentatoirement le viol à titre de thérapie pédagogique, sa punission en la femme coupable du plaisir connu de son amant de coeur, du plaisir de la Femme facile, eux en complicité étroite avec maisons de retraite conrrompues à ce système d 'esclavage, et pratiquant l'euthanasie par mort violente lente ou brutale, au domicile des prostituées, victimes de tout age qui leur sont confiées ante l'age règlementaire des 65 ans, âge à partir duquel la mort violente leur est réglementairement infligée, sosula démnommination d'euthnasie, ainsiq ue dans établissments psychiatriques, en opération civile de combat au sein des foyers et domiciles privés, pratiquent cette peine de mort sous électrochocs, autres méthodes ainsi que l'inanition causée par privation de nourriture, sous électrodes, jusqu'à l'apoplexie, ou la torture par implants électriques cardiaques, génitaux, jusqu'à la mort cardiaque, infligée chez moi, maintes morts apparentes, dont j'ai été réanimée, tirée du lit ou réveillée à toute heure pour cette méthode d'intimidation par jeu de l'exécution sommaire, décrite dans les brochures d'Amnesty International, dont je suis adhérente... Seul argument contre cces récits, ces écrits, la torture psychiatrique, en guise de beigne.
Ceci afin que je n'exerce plus aucune campagne sociale en la faveur de cet organisme, campagnes contre la torture à l'étranger (organisme muet, inactif et inopérant contre les tortures psychiatriques de cet ordre pratiquées en France et voulant le rester, dans l'urgence des cas n'examinant strictement que les plaintes rédigées qui leur sont envoyées, toute affaire où les secteurs médicaux seraient impliquées, annulée) et les trafics d'êtres humains, dont je serai inévitablement victime, ou de la LDH dont je suis également adhérente et que je cesse tout écrit de mon site, déjà auteur de deux livres parus aux Editions du Champ Social, http://cheleyletterstoworld.blogspot.com,
 Message du 24/12/09 11:57
Ma vie en danger, vertèbres cervicales quotidiennement ces jours ci déviées, épaule démise, reins cognés trop arqués de l'éplepsie, coups portés à la face et tabassages qoutidiens, destinés à me "raisonner" parfois en continu, souvent pour avoir été trouvée à mon réveil "trop bien", (trop belle trop fine, trop mineure ou trop jolie), à main armée d'appareils dits d'électrothérapie, à détenteur, d'une détente d'arme à feu, autant de balles dans le crane le réduisant en bouillie, parfois jusqu'à l'explosion de cerveau cuit, coups portés à la face à emboutir les os des tempes, jusqu'au port d'attelles sous les os du visage, destinées à me restituer mon apparence initiale; d'où dans ces cas l'invocation du handicap,parfois résiduel, séquelle de ces pratiques illcites au sein des couples, foyers et familles, en faux placements licites, sous couvert de l'étiquette dea démences prétextées par loi de la rétroactivité,, si ces méthodes sont permises, en placement réel. Destinés à "faire disparaitre", ou "se débarrasser" définitivement, d'une personne d'abord vivant en paix, puis victime ici dans mon cas, des violences conjugales d'un parent pour l'inceste qu'il commet, également de ces pratiques, basées sur le viol correctif; dont certaines filles du getttho de Montpellier, ont été victimes sur des matelas pisseux dans les caves des HLM de l'OPAC, certaines fermées, reproduites à  domicile.
Je vous conctacte en désespoir total de cause, ayant fait le tour des associations de protextion envers les femmes, injoignables ou qui s'avèrent incompétentes en matière de violences sexistes envers les femmes, notemment une certaine criminalité sinon raciale envers les intellectuelles et femmes émancipées, signifiant dans ce cas leur devoir d'abetissement et d'ifnantilisation de leur logos, je remarque une nette tendance à la psychiatrisation des femmes violées, battues, prostituées, au sein même de la famille, ainsi qu'il en est pour mon cas, dans le particularités atroces de la torture psychiatrique,totu aussi grave et meurtrière que les violences conjugales qu'elles semblent reproduire, simler, imposer, ainsuii que le devoir conjugal envers le médecin spécialiste, mariage dans la perte de la fidélité, aussi condamnée, l'obligation ainsi contrainte, au "droit de prostitution" érigé en devoir civique du STO, sous prétexte parfois de service sexuel "initiatique à a sexualité chez les incultes et demeurés, trafics d'un proxénétisme hospitalier féodal, gériatrique, psychiatrisé, méthodiqse, dépuceleur de jeunes filles, depuis la défloration au vilebrequin, écarteurs de cuisses de femmes rebelles à ce système de corruption de service hospitalier et psychiatrique, qui ne consiste plus qu'à imposer la torture médicale, y compris pédiatrique, anti-féministe, sous convention de torture électrique cérébrale constante , mutilatoire des zones cérébrales incriminées pour trop d'idées (de gauche, la gauche vécue mal, démence grave) mutilations nerveuses et cérébrales simulant et à titre de mutilation sexuelle déjà imposée, juqu'au devoir de neurochirugie, "geste médical" systématique, systématisé destiné à récupérer les victimes dites protégées, en devoir d'acception de ces pratiques, des dégats causés par la torture électrique, zones cérébrales réduites en purées cuite de cerveau parfois ayant giclé d'incisions déjà pratiquées, pour résumer, de la torture physique et sexuelle, du viol correctif collectif dit thérapeutique, incessant dans certains cas dont le mien, à table, au lit, au travail, dans l'étude universitaire, scolaire, surveillance totale et absolue de la femme émancipée dans son devoir de manque d'autonomie, d'infantilisation de son statut réduit à celui de petite fille facile, si elle ne renonce à ses revendications, nées de ce ces méthodes de dictature fasciste, régnant dans les complexes hospitaliers, dans le cerveau de tout employé médical, en vogue dans le monde médical, sortes departies de torture, dites de snurf, à plusieurs, d'équipes venues inquisitionner au sein des foyers, couples, s'attaquant aux femmes seules, célibataires hommes et femmes, mères célibataires, dans une attitude de cette médecine, pédophile aryenne, dans une régréssion des droits de la femme, sous une loi de substitution du devoir du Christ et de Marie-madeleine crucifiée à sa place, de payer les fautes d'autrui,ses fautes de frappe, les expier notamment en mon cas sous les viols d'un de mes ex-concubins, d'autres violeurs psychoates en intrusions constantes, dans le monde du macquage hospitalier en commun accord avec le totalitarisme déviant de la police, de la torture médicale qui s'instaure, qui fait peur, plus que honte, un terrorisme psychiatrique, psychiatrisé pour ses crimes et crimes contre l'humanité sous l'étiquette de démence, bien pire que Terreur Blanche qui tient des principes mêmes de l'Inquisition, sur de modes d'intrusion dans la vie intimee tprivée, de la Gestapo, selon le modèle du film 1900.
Je fais appel à votre aide, en tant que victime de lois patriarchales encore en vigueur dans les familles y compris athées françaises, fondées sur le modèle néo-nazi subconscient des années 50, la psychiatrisation des idées de gauche, et de mai 68, faisant partie de mon éducation, a sein d 'une famille basée sur le principe du père patriarche et dictateur, pourtant issu de la laïcité, ce modèle se progage, halte; constamment retrépanée pour lapratique en continu de décharges d'appareils à détenteur, de la puissance d'une décharge d'arme à feu, quasi séquestrée à mon domicile sur ordre parental, à peine atteinte ma cinquantaine, afin de me punir des dernières plaintes que j'aurai émises auprès d'un tribunal, concernant ces pratiques illicites de la médecine, dévoyée dans la dépravation de la torture psychiatrique en famille, sans placement réel, les placement aboutissant surotut au décès organisé, prémédité, des victimes, entre "bons voisins" initiés à cette forme de "pédagogie" anti-universitaire, formule nouvelle du SAC, du FIS iranien, revenu en force dans les moeurs, faisant appel au tchador du traitement pédiatiruque, neuroleptique, forme en sus de ceinture de chasteté castratrice des libertés sexuelles, baillon chimique de la liberté de pensée envers toute femme consciente de de cette enfreinte à ses droits...
Je fais appel à votre aide, ma vie réellement en danger, dans la non-assistance à personne en danger commise de toute personne contactée, et surtout de toute médecine appelée à mon secours, reproduisant les violences déjà endurées, dans le silence sur les violences envers femme battue, enfant martyr depuis qu'elle est née, sous ces principes de chasteté, devoir de célibat, du devoir de se soigner d'elle même pour son degré de cognition, de culture, de savoir, d'intelligence, de QI reproché etc...
En exemple des attaques personnelles subies, des vipères, aspics de la région, trouvées (commandées au vivier de la jardinerie d'où le "cadeau" avait été livré), dans le terreau du dernier "cadeau" d'anniversaire de mon père, (en fait lié aux cadeaux rituels dans les excsisions d'organes clitoridens des femmes surtout à l'étranger, ici,mutilations génitales, et cérébrales asociées) des bacs de terre et de plantes destinées à préserver ma vie privée d'yeux voyeurs sur la terrasse de mon rez-de-chausée, vipères venues envahir mon logement, divan, lit, pour lesquelles de véritables chasses nocturnes d'intervenants se sont déroulées, des médecins de centres antipoison, vétérinaires et généralistes appelés à monchevet, pour injecter sérum anti-venin à mes chats, ainsi qu'à moi même, plusieurs nuits durant, pratiquement et toujours à mon inus, tant systématiquemnt, trouvée mourante, quelque association humanitaire veillant à ma survie, ONG française que je remercie bien, à laquelle sinon auxquelles je dois la vie, en sus des témoins bienveilants, les ayant renseignées .
Vipères, symbole conte-nazi de la résistance, inroduites dans ce terrau, ansi que dans sacs de cette terre laissée à mon libre usge, en sortede condamner toute auto-greffe qui me serait faite des zones de cerveau amputées,en assez grande quantité pour effrayer,et donc rendre cette "restitution" de mon cerveau, nécessaire, et sous triatmeentanti-rejet de grffes, je me suis vue condamnée à mort sous électrochocs, dans la nuque, le cervelet, zone mortelle, ainsi que dans les zones ablavées, regreffées, du dessus du crane, électrodes crémantes pratiquées jusqu'à ce que les jonctions cèdent et que les lobobotmies collées cuisent, et leru odeur de décompoosition avancées, lors de leur retrait, rendu ainsi obligatoire sous peu, sans quoi mon décès assuré. totue pratique de la lobotomie, suivie de tentatives répérpétrées d"heure en heure, d'euthanasie, quiconque en serait témoin trouvant cette décapation si peu supportable que si elle lui était commise, qu'il préfère en décider pour la vicitme, ici, en ourtre, moi-même, et la décapiter plus sauvagemetn encore, ou la violenter jusqu'à la mort papparente, la mutiler sauvegment bien d'avatage, lui écraser le restant du cerveau, m'assassiner d'inanition sous appareils d'électrochocs à décharges, voire, l'empoissonner d'humeurs, glaires et salives, liquides séminaux,morceaux de morts en décomposition, parfois, avancée, peine de mort accompagnée de fornications macabres sur la fille trouvée quasi décédée.
D'autant plus que, dans ce logement, sentant fortement le décès, auront été découvert, quotidiennement depuis la Toussaint, des cadavres de nourrissons congelés, certains issus de mon corps, enlevés dès leur naissance, restitués morts, parfois la tête écrasée, séviciés, d'autres, de personnes inconnues, peut-être en tout six, ou décongelés, en état de décomposition pour certains, elle aussi avancée, en sus de lobotomies du dessus du cerveau, de fort volume, autant que couvre-chef, que l'on m'aura faites sentir,(car inanimée et comateuse suite aux opérations neurologiques, neurochirurgicales pratiquées en vue deme punir pour ces décès, de façon arbitraire, sans qu'aucun procès légitime ne soit entrepris) en plus des cadavres découverts, systématiquement remis dans mon coffre à linge sale, enveloppés pour qu'ils ne soient visibles, de chiffons placés entre mes vêtements, ou trouvés par inconnus dans mes poubelles, dans le cadre d'une restitution judique dont j'avais fait la demande lors de ma dernière plainte,les bébés dont j'avais accouché sans m'en être apperçue, accouchement dernier pratiqué à mon domicile par inspecteur sous surveillance d'un jeune homme brun coiffé en arrière, cheveux fournis, de 1 m 80 environ, moi-même restée assise sur mon canapé, sous hypnose ou état comateux hallucinatoire, après péridurale, bébés accouchés sans douleur parfois dans baignoire,(pour le dernier ,une fille apparemment, en vie, Djaelle, ou Djael, née après épiziotomie incisée aux ciseaux de ocuture rouillés, aperçue entre les bras d'une jeune femme, peut-être la voisine au dessus de mon appartement, entre les portes ouvertes d'un tram à un arrêt à auteur de Lapeyronnie et donc de la maternité, ma fille, ou un fils, je ne sais, né(e) à l'automne, fin novembre je crois, ma grossesse passée sous alimentation forcée et prise féquente également forcée jusqu'à auourd'hui de buvards, ou acide, drogue hallucinogène, depuis la conception, en avril ou mai, affectée de menstruations régulières,) bébés raptés dès nésdans institutions non appropriées, restitués d'une façon des plus irrégulières, décédés, ou sinon encore en vie, très maltraités, vrombissant encore tièdes, eux même dans une agonie liée à cette hallucination, nouveaux-nés que j'ai du laisser périr, n'ayant pu les toucher, prise de faiblesse mortelle tant commotionnée des électrochocs, laissée à l'agonie moi-même plongée dans un sommeil profond durant quelques jours,après d'importantes trépanations et cures d'électrochocs, les autres, plus agés, laissés à la libre initiative de chacun les ayant trouvés sans surveillance à mon domicile, et moi-même plongée dans coma, j'ai réclamé leur restitution aux institutions les ayant priise sen charge, afin de leur éviter un malheur, une de mes filles, d'environ 6 ans, trouvée pendue d'une sangle noire, d'origine inconnue, dans ma penderie, une autre , ma dernière encore en vie alors, d'environ 3 ans,portant des lunettes de vue dites "culs de bouteille" tant pour fortement myope, raptée sur la voie publique où il avait garé son véhicule, face à la fenêtre de mon logement, par mon père ou son double, coiffé d'une casquette de tissu ou feutre lisse mi bombe de cavalier, mi casquette de paysan bleu marine, sur vareuse de même couleur, apparement, un inspecteur le simulant et de surcroit, des associations humanitaires contactées voire par la voisne logeant audessus de mon logement, démente pour me faire adpoter plusieurs enfants d'origine étangère, venues me les délivrer, sans documents légaux, les ont laissés dans mon appartement, une fillette indienne, indhoue en sari rose fluorescent d'environ 8 ans, aura été trouvée noyée dans ma baignoire, immergée jusqu'à son décès, puis j'aurai été condamnée à la mort violente lente, pour ces découvertes macabres, par inconnus survenus dans mon domicile,appelés d'urgence et sur mes recommendations, restés invisibles ou quasiment, à mes yeux. le dernier venus m'ayant présenté le cadavre nu autant que celui de bébé juif, d'un de mes fils, à peine âgé de 1 an, dans l'apprentissage de la marche, que j'avais vainement tenté de sauver de son placement en la clinique de Mairet, où il a été trépané des cervelets, réanimée poura circonsance,en fait,logement du premier étage où il a été preque euthanasié sauvagement de trop d'électrodes, dont certaines, pratiquées à la nuque, dans précisément les cervelets,auront été fatals, car tant brulés qu'ensuit amputés, j'ai crié autant que j'ai pu ma haine car les décisions de son homicide prises par l'intermdiaire de cette voisine du premier étage, parlementant avec moi, elle pour l'avoir recueilli devant ma porte, et servant d'intermédiaire avec mes interlocuteurs, des médecins âgés, d'une terrible discrimination raciale,puis autant que dans le dernier Empereur, ayant décidé sur demande de mon père, persiflant, la fin de mon enfant, eux m'en donnant les moindres réalités, pris lorsque je l'ai aperçu, sous anesthésie après opération du cerveau, incapable de me lever, de bouger un bras, amenée en fauteuil roulant face à lui, muette tant asphyxiée après trépanation, systématique à chaque restitution d'enfant, lui, que j'avais vu nu dans le froid, blême, une hanche ensuite désaxée de violences, enfant de cheveux bruns dont elle a causé la mort, de son inconscience. enfant nés des viols subis depuis les sannées 80, voire, bien avant, étant née précoce et prématurée, nubile, pubère, et menstruée, avec galactorée,ceci, du à l'emploi du Distilbène, chez ma mère.
Sans compter les soles frites placées à l'arrière de mon crâne au niveau de mon cervelet grièvement électrocuté d'électrochocs, à travers les chairs frites de ce poisson ensuite très violement et maintes fois brulée afin de me maudire d'avantage.
Depuis l'Inquisition, rien de tel ne m'avait été autant prouvé, sur les pouvoirs fascistes. Décidement, je le rappelle, tout amour si non officiel, promis àla malédiction des amants maudits, à l'épopée américaine ainsi qu'au trihller systéùmatique couronnant la vie de chaque couple, ante vie maritale forme de charivari bushien pire que chez Idi Amin Dada envahissant les moeurs françaises. Et si l'on veut, l'on peut aussi appeler la CIA, mais ils seraient très bien vue leur optique, capable d'y penser.
Artiste depuis ma vingtaine d'année, peintre arasée des lobes de son imaginaire afin qu'il ne repeigne plus la contestation picturale, puis écrivaine auteur de deux livres de poésie libre aux Editions du Champ Social, fondatrice d'un groupe de musique et de chant contemporains composé d'handicapés mentaux, ou réduit à quelque démence, je milite également en faveur des droits de l'homme, adhérente à la Ligue des droits de l'Homme, et à Amnesty International, associations humanitaires qui se sont avérées incompétente en la matière.

Mon père, pris dans une défonse de revanche envers toute défense que j'aurai, récit qui m'est extirpé de tortures au ximplants électriques, électromagnétiques, électrodes, envers les violences familiales qu'il aurap u commettre, viols de tout ordre qu'il aura eu commis, sans compter ceux que représentent pour lui , les viols thérapeutiques des électrodes, injections retard et cachets imposés depuis pour lui déflorantes,baîllon chimique destiné à masquer son inceste, sinon arsenic, et causes de coït,auquel il me contraint depuis des annnées, bien qu'aujourd'hui je ne sois plus sous la coupe de quelque chef de service assez vicieux pour écouter ses discours mensongers, accableries diffamatoires envers tout silence que j'opposerai, il me provoque de coups de téléphone, suivis immédiatemnt de représailles, invasions en séries de cures d'électrodes, acompagnées de viols des intervenants, représailles pour le fait que des témoins, ma famille, moi-même et médecins capables, l'aient voulu en gériatrie ou psychiatrie, volonté qu'il me rend en m'envoyant maisons de retraite à mon domicile, me séquestrer, tuer de décharges électriques, lui dans ces cs en état demeurtre, me faisant passer pour fille indigne enfant bourreau auprès de qui veut l'entendre,(déjà traité pour sa maniaco-dépressivité éthylique et hystérique en déni, par la famille, ainsique par neuroleptiues Solian et Stablon, ce qu'il me rend, car lobotomisé plusieurs fois,il ne l esupporte, se venge sur moi en réclamant des ablations très importantes de mon cerveau, allant jusqu'à "me faire bouffer se slobotomies, et celes qu'ilaura demandées pour moi, sur mes agresseurs) raffolant de ce jeu de substitution, depuis ma prime jeunesse, chacun le renseignant sur les rituels traditionnels de chacun de m'en infliger autant, sévices et viols préparatoires au bloc opératoire, qu'il me punit, inévitblement, d'actes de neurologie, neurochirurgie plus graves encore, ayant recours à l'alimentation forcée, m'inerdisant toute almentation autonome, en sus de ses moqueries pornos, insuportables,de celles des fauteurs de trouble, fromentant depuis ma nasisance, dans un but libidineux de m'éliminer définitivement de sa vie, me traitant de poids inutile, et macquereau allié assez sûr pou rems ennemis, souteneurs instituant le bordel à mon domicile, se servant de lui et d'un de mes anciens concubins, de jeunes marlous se déclarant mes amants, joints par cette locataire du premier étage, quim'entreprenent dès le lever, pour des séismos, électrodes en tous genres, élecrode parties, à viols en séries rituels suivies, une fois la miotié du cerveau brulé, de trépanations, suivies elles de tentatives d'homicide, parce que de telles mputations ne sauraient se supporter, sans m'achever; ce rituel cyclique dure depuis environ la Toussaint, et empire avec l'alcoolméie des fêtes, cet ex compagnon des années 90, Luc Lopez, dément violent de Robert Brès, auquel l'on me remet systématiquement, et qui se fait une joie intime de dépravé, de tenter l'euthanasie sur moi, sinon ses représailles envers tout réquisitoire que j'aurai envers ses pratiques dévoyées dela médecine, il envahit mon logement, m'impose ses lubies, obsessions sexuelles, a entrepris de me forcer à une vie de couple avec l'un de ses déments, et bien d 'autres, basée sur la revanche, me faire vivre le pavillon de force à domicile, où il aurait les droits de parent bourreau, dans les rites conventionnels de la violence conjugale,voyou de surcroit, se faisant passer auprès de ses psys, pour mon amant, que je recevrais avec mon consentement, quand il force ma porte continuellement. pour s'y livrer en compagnie de ses médecins, infirmiers, infirmières, à de véritables parties de stupre; orgies insultantes, à tortures et vices dangereux pour la vie, oùl'on me viole de tout geste médical, violences et viols recencés depuis ma majorité, que je n'aurais supportés de ma vie ou de cele d'autrui, Luc me frappant avec chaussure au visage, m'ayant démoli une épaule, et plus insultant dans les temres du vice que jamais, équipes passant leur temps à me griler la cerevelle, en guise d'amusement qui leur rapporterait, chacun s'amusant de moi parce que trouvée pauvre fille, encore belle", vieilie prématurment en cinq minutes de sévices et décharges électrique, afin de m'y faire mériter la maison de retraite..

lundi 21 décembre 2009

Résumé de l'affaire

Enfermement, séquestration à mon domicile destinée à me supprimer, si j'ose maintenir ma partie civile, sous peine d'hospitalisation bien plus réelle en pavillon fermé, où mon décès sera prévu et organisé rapidement. Les pavillons de force appelés après inversion des faits, typique de l'aryannisme, suite à des agressions d'un ou deux de leurs patient laché dans mon domicile, d'une locataire logeant à l'étage au dessus du rez-de-chaussée où j'habite,viols et violences qui m'auront été punis, forme de violence subie et rituelle envers les femmes battues, de pavillons destinés à me faire payer les violences déjà subies de ce couple d'inactifs et de ces arriérés, en accord avec un de mes parents, mon père, qui sitot accusé ne serait-ce que par tiers, me le reproche de violences et opérations cérébrales, forme de tabassage d'une femme battue que je dois lui rester, il tente également ce type de supression, sous électrochocs constants et lobotomies importantes trop souvent répétées, par intolérence envers ces texte et peur d'inculpation, autant que chez tout parent bourreau , cause de violence envers femme battue, dont a été longtemps ma mère. Lui, ayant institué ce genre de partie de sauteries récréatives entre psychiatres et leurs équipes, sur une de leurs proies repérée, sauteries à électrochocs d'une junte de médecins hospitaliers et privés (depuis ma naissance, à titre de déviance psychotique sexuelle pédophile à mon égard, sont transfert de personnalité un temps soigné pour maniaco-depression hystérique à mélancolie, sans résultat) aboutissant à des résections neurochirurgivcales, le dessus, l'arrière du crâne, cette locataire en dépendance psychiatrique, ayant décidé de me prostituer à son compte ces parties de snurf, de torture psychiatrique, accompagnées de violences et voies de fait depuis ce maitin, constamment maintenues, d'un matériel électronique et de nouvelle convention, testé encore à l'heure actuelle, trafic également de proxénétisme de ces secteurs médicaux, qui en ont usé des décennies, sous d'autres formes, afin de prétexter l'agitation, l'amputation, la stomisation, les actes formels de neurologie, deneurochirurgie tant ces matériels, d'usage y compris pédiatriques en éducation spécialisée, dont j'ai été vicitime ma vie durant d'enfance martyr, faisceaux électro-magnétiques et irradiants d'armes militaires de pointe, peuvent causer des coups violents de fortes brulures, créer sinon des handicaps traitables ensuites en tous secteurs médicaux et spécialistes des handicaps causés, peuvent aboutir à des placements officels en maisons de santé, dans un seul biut de profit, sinon piur faire taire, parfois définitivement, les vicitmes trop argumentées et aptes à les inculper. Les passages à tabac constant sous matériel de torture électrique, également pouvant etre cause de torture génitale, également par implants électriques, jusqu'à des brulures graves du sexe, voire, amputation pour sa cancérisation, les viols qui accompagnent, précèdent ces pratiques illicites, font partie d'un proxénétisme hospitalier qui non seulement prostitue des hommes, des femmes, des enfants, mais use d'un droit de propriété sur leur corps instituée, pour prétendre à l'opération neurologique constante, suivie de neurochirurgie dès que les zones cérébrales déjà réséquées tout au long de la vie des victimes, auront repoussé, de gavages illicites de l'alimentation forcée, contraire à la santé, et donc créatrice de dégats corporels, que la médecine générale réparera, en concevant un profit illimité, forme de traite de l'être humain supplémentaire... en ce qui me concerne, les secteurs de force s'ont intervenus aussi, (cf résumé précédent, me faisant vivre et alimenter des glaires et humeurs de leurs victimes décédées de pareils crimes en sus de leur degré d'alcoolémie pour certains au pastis,décès qu'ils auront causés et qu'ils me reprochent, (voilà ce que tu nous as fai tfaire, forme de violence faite à femme battue) me faisant sentir des odeurs de cadavres en décomposition,ou de leurs aliments une fois décédés, en ajoutant de leurs baves dans mes aliments, jusqu'à chez moi l'inanition prolongée, s'il s'agit tant chez moi de mélancolie, en fait pratique régulière de ces établissements, taboue, d'où les accusations de mélancolie))afin de me séparer d'amours supposées avec un de mes médecins, généraliste, ou autrui qui m'aura été supposé, cette personne que j'ai un temps connue trépanée assez pour m'infliger cures d'électrodes si je la joints,(je vous le redis, vous fait de caste médicale enfreinte de cette "fréquentation" jugées assez librement consentie par ce généraliste au départ, vous, qui leur était inncacceptable, considéré crime que j'aurais commis, qui m'aura été ainsi reproché, personne que j'avais osé rencontrer dont il fallait me séparer jusqu'au meurtre s'il le fallait, ainsi que de toute autre personne, qui m'aurait rendu service , réséquée elle aussi grièvement, retournée à mon encontre ainsi qu'envers vous je suppose afin de détruire toute confiance qui pourrait me sauver de ce drame, afin de m'isoler d'avantage, prétendre ensuite à la maladie, que j'estime toujours fictive et prétextée pour les raisons suivantes, qu'il faille m'interdire toute relation qui ppurrait m'être une aide, toute écriture, tout appel téléphonique, qui puisse dénoncer ces fraudes, exactions et crimes contre l'humanité commis au nom de ces établissemnts et en dehors de tout placement légal ainsi que sur simple demande parentale ou de tiers, s'il est permis que ces crimes soient légaux en établissement, mon ordinaire étant de devoir êtreséquestrée à domicile pour une plus grande adéquation avec le type de maladie invoquée, qui me sera ensuite traitée, inévitablement, jusqu'à ce que mort s'en suive, des mêmes méthodes, en placement, sinon dans mon logement... Ces actes et agissment en complicité avec certains membres de la police, ou dits inspecteurs qui s'occupent personnellement de mon cas, m'interdisant totue nourriture pour prétexter soit l'anorexie, soit l'incapacité connue à la sckizophrénie de s'alimenter, ainsi que la perte des activités quotidienes, douche, sorties, alimentation, courses, nettoyage, corvées et tâches, autonomie strictement prohibées chez moi, de ces violences continuelles..
En espérant que ce résumé vous aiguillera,
D'avance merci,
Llao Line

mercredi 16 décembre 2009

Pour avoir osé avoir une activité sexuelle et amoureuse avec un amant et avoir été soupçonnée de rapports, en tant qu'handicapée mentale donc devant restée castrée de toute sexualité et de l'infantilisme obligatoire du statut de l'enfance handicapée en fonction de mon opinion et mes activités artistiques, interdit,(sous peine d'obligation sous peine de mort psychiatrisée,et de soumission sous le proxénétisme hospitalier, à la prétendue prostitution libre), d'avoir eu pour amant un de mes médecins, après enquête sur ces relations présupposées de plus de deux ans d'interrogatoires massifs sous décharges électriques, à mon domicile, par intrus s'y introduisant autant que plombiers, pour avoir rédigé les textes de mon dernier blog Eclipse2, pour avoir été soumise ma vie durant à des pratiques pareilles de la médecine, la torture mentale et physique légalisée, banalisée, j'ai été après rapt sur la voie publique et maintes fois été soumise aux viols de psychiatres déchainés sur mon corps, aux lobotomies de quarts de cerveau (mis dans ma poubelle) l'un sur le dessus de l'encéphale droit, après arasement du dessus de cerveau, que j'avais beaucoup plus volumineux, ablation de l'arrière du cerveau, rendu brachycéphale, en forme de ivre demi-fermé our mes livres déjà édités et celui à paraitre, "Judas", ceci, procédé de parties de viols à snurf systématiques quand elles précèdent toute lobotomie à titre de vengeance envers mon opinion sur ces pratiques, ainsi qu'envers mes engagements humanitaires, politiques, et convictions non religieuses, parties de torture à électrochoc jusqu'à les rendre en corne séchée, ablation de ce fzit de plusieurs de mes nerfs sciatiques, dont certains relatifs au plaisir, ainsi que certains liés à a résistance aux abus sexuel, ainsi qu'au plaisir infligé, torture électrique  des intestins jusqu'à ce qu'il parait, l'ablation en premier lieu de dix centimètres d'intestins grêles pour leur cancérisation, puis de un mètre de ce sinstestins pour leur degré de cuisson, suite à ces tortures, ainsiqu'un régime alimentaire intubé d'interventions intempestives contre mon gré depuis le début de l'été, à base de malbouffe capitaliste, destiné à les cancériser,piquée aux neuroleptiques des années et en overdoses ces temps derniers à titre de sédatifs,et de bâillon envers toute lucidité que j'aurais des faits, ne voulant que je m'en aperçoive,  courses poursuite dans la ville entière afin de m'infliger ces représailles, contre façon du casque électrique de de la peine capitale, tentatives multiples et répétées ces dernières journées de meurtre par électrochocs sur ma personne par personnel affecté à cet emploi,  intervenant sans placement officiel, à mon domicile, en constante intrusion et forçage des portes de mon domicile, pire que l'affaire cleastream, m'éblouissant de lampes de poche et feignant chez moi la folie dangereuse,pour mon opinion, que vous connaissez, gavages et avec salives de ma mère, décédée, ainsi que viols organisés avec participation de mon père, dans les pratiques défloratoires de l'excision en Egypte, amputations répétées de l'extrémité du clitoris, sectionnée, cette dernière nuit, au cours précisément, de ces orgies de psychiatres et neurochirurgie proxénètesns. Tous plus ou moins, adeptes du führer, dont certains,officiers des secteurs disciplinaires appelés pour la cause, en salut hitlérien face à une statue de la vierge posée sur le buffet de mon appartement, pour la circonstance. Ce que l"on dénomme, un discours confus. Avec l'accord des pompiers qui y sont allés en visite annuelle des étrennes, de leur appareil à électrodes à détenteur, dont la détente et celle d'une arme à feu, pour le fait que je leur ai eu signé un chèque de dix euros, quand ils s'attendaient à plus. sous les provocations incessantes, de provocateurs du FN, certains psychiatriques appelés à la chaine le long de ces dernières journées, n'ayant hésité à tenter de me crever un œil, par culture lepéniste de la pose d'une électrode sur l'orbite, brulant mes paupières, pose constante, heure après heure, durant ma vie entière, des électrodes de ces électrochocs, sur toutes zones du crane, qui recellerai selon eux, une hypertrophie, en fait un cerveau développé. sur la visage, afin de le défigurer, séances de ce genre de groupe électrogène dont l'usage devrait être proscrit en médecine  et n'a rien à faire en médecine, usité à titre simplement répressif,et de torture électrique, pose donc de ces électrodes sur mon corps, sur mon crane, jusqu'à la cuisson des chairs, du sang, rendu tel jus de viande frite, fusion de lobe cérébraux ayant giclé en crème de cerveau à travers un orifice pratiqué d'un coup de laser, c'est dire  la puissance du groupe électrogène. Électrodes-parties dans la vulve, grillée à vie, grillage de cervelle assurée entre-temps, jusqu'à n e tumeur des petites lèvres, du sexe, et l'amputation répétée, de la chair et des muscles,d 'une grande lèvre, régulièrement réduite en fibrome. Cette nuit encore, introduction d'un doit dans mon conduit annal, après l'opération du quart de cerveau supérieur, afin de me prouver, combien ma vie durant, je l'ai eu dans le zob, violée d'un doigt d'honneur jusqu'à ce que vienne le plaisir, le viol ayant été déterminé viol, si sans plaisir, violée par mon propre plaisir causé de ces stomisations, amputations de nerfs secs et amputés du sommet du crane, aux pieds, extirpés, en les tirant par un orifice pratiqué sur le dessus du crane, dépecée de ces nerfs dès qu'ils auront eu repoussé.. soumise ensuite à des viols par masturbation forcée aux plaisirs saphiques de lesbiennes venues spécialement s'introduire à son domicile, pour également me narguer de ce viol, Le secteur de santé mentale 2 se débrouillant pour m'interposer, après maintes enquêtes et tortures destinées à connaitre mes talons d'Achille, toute pratique médicale, sociale de la torture qui serait un viol, et me serait un viol, pourrait me pousser soit au suicide soit au meurtre, afin de m'imposer des supplices vénaux, jusqu'à obtenir aucune résistance à ces viols, ni aucune réaction, eux tendant l'oreille entre mes fessiers maintenus écartés pour feindre le fait de n'entendre plus rien de moi, contre ce proxénétisme. Un ex-concubin appelé, un psychopathe que j'avais hébergé, afin qu'il me fasse la loi, me soumette à ces viols qui m'auront été reproché pour leur indécence, en fait prétexte, par ces parties de meurtre par électrochocs et condamnés par ces lobotomies. condamnant le viol chez la femme, par ces méthodes totalitaires.Fichant la femer ebelle, l'énergumène, l'ami fidèle, les destituant de elurs droits, les manipulant à leur insu, dans des marchandages, elle ou toi, innommables, datant des SS.
Médecine psychiatrique police politique, junte de psychiatres sur la région de Montpellier, en constitution de prisonniers politiques, (dont je suis), usant de la démence œdipienne des pères et mères de familles dont le mien, instaurant de le devoir chez les filles, d'inceste, et de pratiques pareille de l'inceste. le père revenu le lendemain matin, ce matin même, me revioler, tripoter, narguer de ce fait et laisser dans l'orgasme causé, le système nerveux résistant à ces actes de caresses, tué net ou à la longue, amputé, nerfs de la résistance physique et de la douleur causé par la résistance au plaisir physique imposé, avec soumission au masochisme, aux parties de sadomasochisme, dans mon appartement réduit à chambre de ce type de sado-masochisme. Père devenu mon proxénète, me soumettant en complicité avec ma famille, à ce genre de parties de stupre et de torture et de stomisations sur sa propre fille qu'il confine la situation de la fille forcée, autrement dit, sa fille de charme, qu'il dénomme, sa"danseuse nue", amputations des plus diverses d'organes et zones de mon corps, sous peine de mort destinées à me faire réfléchir, me soumettre à aux orgies de ces messieurs, sous l'étiquette de la démence dans ce logement devenu maison d'entrainement,sans quoi... Crises de führers venus spécialement, certains l'ont avoué,en sauterie récréative, "si l'on ne peut plus s'amuser à bouffer, s'étant faits payer grassement pour ces rites de Montpellier, les "Folies" du gratin. s'amusant dans les heures creuses, à torturer mon nez d'électrodes et radiations  des plus cuisantes, avec une instance maladive durant de heures, interdiction de toute nourriture, avec intervention avec mandales violentes, interdiction d e vomissures dans mes sandwichs, masturbation de l 'officier chargé de me contrôler, avec la tranche de viande que m'avoir servi un restaurant, en plein restaurant, viande laissée au gout de viol, d'une odeur puissante de sardine, dans mon assiette, après maintes gifles, pratiques destinées à me maintenir à jeun, avec filage de train, anté opération du cerveau préméditée.

Toute alimentation que je tenterais refusée, d'introductions systématique de baves et salives de ma mère anté son décès à Val d'Aurelle, dans des conditions douteuses d'euthanasie après violences  euthanasie qui m'a été instaurée d'infirmières y compris de Val d'Aurelle, venues m'irradier longtemps depuis afin de me faire taire D'autant que mon généraliste, pour avoir été décrété trop intime avec moi, fut assez puni pour se retourner contre moi, préférant prendre le parti de mes violeurs établissant un bouge fasciste à mon domicile, puis choisissant de m'éliminer d'abord passivement pour l'entreprise de torture de me séparer de lui, sous peine de mort, moi pour avoir osé prendre un amant par peur, suite aux inconséquences du généraliste, incapable d'interdite toute torture qui m'aura été faite pour lui, qui aura été lui aussi sacrifié, lobotomisé grièvement, moi-même éliminée physiquement définitivement pour les tortures endurées destinées à me séparer d'eux, pour leurs abus précédents,infirmiers  intervenant à mon domicile et instituant mon décès sous les décharges électriques continuelles ces trois mois -ci, , sous peine si j'en survis encore, de me placer pour un décès légal en pavillon fermé par décision de mon généraliste, entrainé à cela pour eux.
je risque le décès sous  peu de ces attaques, maintenue à jeun pour la pratique continuelles des électrodes, et trépanations graves rituelles et cycliques, quasi séquestrée à mon domicile depuis trois mois, toute nourriture prise immédiatement rejetée sous électrodes, ou souillée de baves notamment de ma mère avant son décès, destinées à me gangréner, sauvée in extrémis encore récemment de cette gangrène des os, qui m'a été voulue telle que dans un de mes inédits, "la chambre carrée", conte sur les méthodes nazies des pavillons de forces, les hôpitaux prisons en faisant usage jusqu'au décès des victimes, ici, par représailles, il s'agit de moi. Mon médecin généraliste pris en otage pour qu'il tienne le rôle du généraliste du conte, peut-être à son insu;lui préférant les jolies pommes sans les pépins telle qu'il m'a vue, aux bonnes poires à tête en poire que je suis devenue pour lui, après qu'il ait eu vainement tenté de faire de moi, sa maitresse, pour ses problèmes de couple. Lui ayant trouvé ailleurs bonne amie, m'interdit depuis longtemps tout accès à son cabinet sans électrodes, trépans lasers, nouvelles technologies de certaines cliniques, afin de trouver prétexte dans les récits que je lui en ferai, à me placer en clinique, afin d'en finir, ainsi que par jalousie, maltraitance et violences conjugales aggravées, entreprise raciale de m'éliminer, pour m'avoir revue indisponible puis fâchée de ces tortures infligées pour m'en séparer, ayant parfois essayé de me reprendre, puis brusquement jaloux ou enivré, de vin, de quelque soin qui lui est du, ou de quelque rencontre de plus. tout médecin hospitalier ou non appelé à mon secours, réinfligeant viols, sévices, tortures électriques supplémentaires, certains, par orgie ou partie de torture, dite de snurf, ou par pur profit cynique.

Mon chat pris en otage dans l'affaire, cancérisé mortellement d'irradiations qui m'étaient destinées, puis froidement cuit jusqu'au sang frit d'électrochocs, tabassé et violé, pour ce fait, soumis à des narcotiques puissants qui le mettent grièvement à mal et dont il pourrait mourir, chat tabassé pour me signifier le droit des nazis du film 1900, exécuté ligoté sur poutre, après semblable séparation d'un couple, par sa mort, lors d'un rapport surpris d'une milice aryenne.

samedi 12 décembre 2009

Bonjour, je vous ai confié des écrits dans la boite e-mail de ce site, concernant une affaire d'usage illicite de la médecine psychiatrique dans des pratiques du proxénétisme communes à des secteurs hospitaliers, sur simple demande de pères et mères de familles à structure familiale basée sur la mère maquerelle et le père sinon führer, du moins père patriarche de type taliban, iranien, ou pakistanais,se calquant sur ce pouvoir hyperrépressif, parents protecteurs et leurs complices, obsédés par ce pouvoir du CHR d'intervenir dans le domaine privé à des fins de parties de stupre vénal et donc à des fins de constitution par leurs services, de prostituées sur exigences de leur famille, pédophile de ce système de corruption, en aficionados adeptes de cette dépravation hospitalière, contraintes par ce genre de macquage à des médecins véreux, crapuleux assez pour instituer ce droit de fait d'interventions constantes au domicile, dont ici, le mien,issue de milieux pédophiles de l'enseignement,adeptes de ce type de pédophilie psychiatrisée sur enfant martyr, pour infliger de séances d'électrochocs, électrodes en tous genres, jusqu'à la cuisson de système nerveux et cérébral, destinées à en continuum le tabasser, digéré de plus par imbibitions forcées de salives d'autrui destinées à le digérer, dans un but d'obliger et de m'obliger, à ne point leur résister, quitte pour eux à soumettre à des exécutions sommaires si refus de céder aux rites obligatoires de la prostitution dite ensuite libre,et pratiquées depuis les dernières lois de Sarkozy, en appartement, sans préservatifs, prostitution à déviances sexuelles contre-nature dangereuses pour la vie et la santé, parties de torture à thèmes et trips des plus fascistes dites de snurf, médicalisées, avec actes maints de défiguration, vitriolage de produits nocifs du corps et de la beauté de ces femmes, leur soumission à la consommation forcée de porc, très enlaidissant, de la chevelure, condamnées pour ces agissements au célibat, sous prétextes de placements d'office, le plus souvent, mesure de protection administrative de la personne en milieu dit protégé, à l'usage illicite de la torture psychiatrique des plus fascistes poussée à des degrés de violence et de crémation du système nerveux,(ensuite dépecés le sujet encore en vie, systèmes cérébraux dont certains déclarés ainsi que le mien au départ de l'affaire, de très fort potentiel, donc anormal, décrété anomalie),tels qu'ils peuvent devenir meurtriers, placement le plus souvent affabulé et prétexté pour plus de liberté dans ces agissements dont , brulure du sexe à titre répressif, affamement, privations de nourriture essentielles à la vie,auto-alimentation très prohibée, alimentation des victimes tolérée si seulement expressément, exclusivement sous régime sans protéines d'une l'alimentation forcée par intubation à base de pâtes et de pâtées pour chat , parfois jusqu'à la sur-nutrition des années maintenue, méthode issue de celles de Mussolini, malbouffe destinée à bruler, cuire,dessécher,autre procédé de crémation, digérer les protéines des chairs par l'abus de graisses et de sucre, carençant,obligation en continu au régime sans résidus destiné d'ordinaire aux examens coloscopies, régime en ce cas employé dans un but de cancériser, seule nourriture par ces bourreaux tolérée, car sans fibres, ni légumes, ni fruits, privation de sommeil, de biens vitaux et nécessaires au confort,qui leur est reproché trop bourgeois pour elles, restrictions en complicité avec des organismes de tutelles tels l'UDAF, inflictions arbitraires (sous un prétexte de devoir de substitution envers des victimes de violences), de punitions médicalisées pédophiles telles injections d'anesthésiques à cul nu en public, destinés à des séances de torture électrique, employées par les services médicaux en opérations du cerveau,imposition de nourritures contraires à la santé,forme de brutalités supplémentaires, tortures, sévices institués à titre de punitions corporelles, châtiments corporels arbitraires des rituels orgiaques pédophile encore en vigueur, envers femmes, filles émancipées, donc décrétées "pas sages" si non filles faciles, sinon en devoir d'être et rester filles tenues, de ces pratiques et méthodes policières pouvant aboutir au suicide contraint sinon le meurtre dans d'atroces souffrances mentales et physiques de la victime, ou à la pousser à l'homicide par légitime défense de leur mac, ainsi qu'il aurait du en être pour ma personne, maqueraux du monde hospitalier en état de bourreaux depuis la petite enfance de leur victime, affaiblie physiquement de surcroit, d'inflictions en continu de narcotiques puissants, cuisant les chairs disloquées en plus de la cuisson de l'organisme due aux décharges violentes de courants électriques donc, des massacres, officiellement et rituellement déclarés inexpliqués et subits,incompréhensibles, les instances juridiques, les forces de la police, protégeant sciemment les faits, contraignant au règlement de compte meurtrier. Tentatives d'homicide auxquelles je ne sais par quelle résistance physique commune à ma famille, j'ai survécu, certaines décédées à cette heure de ces violences, ou rendues à la vie très diminuées. Mon appartement devenu leur "ferme" d'abattage privée, certains pavillons psychiatriques usant de telles méthodes envers certaines de leurs protégées dites "rétives"au métier, autrement-dit, leur maison d'abattage, d'entrainement, ou dite de correction destinée à contraindre sous le viol continuel, l'usage en continu de la torture électrique et psychiatrique, à se soumettre aux lois du macquage flicquant proxénète lois de droit de fait destinées à établir depuis 1900 sur la France ce type de dictature régnant dans l'immobilisme social et la peur du psychiatre générée par ces secteurs médicaux institués en organes répressifs des pouvoirs établis,assez cyniques, machiavéliques et mafiosi pour "s'amuser à faire du fric", dans ces formes de placements d'office non déclarés, ni au préfectures, ni à la sécurité sociale, mais trè sfructueuses,argent au black dont ils sont rémunérés, faute de budget plus conséquent, en cause, les suppressions des financements et subventions en provenance de l'état, sic, pour leurs abus et crimes contre l'humanité rituellement traditionnels en tous milieux,déjà connus en prolifération,dans les domaines de la psychiatrie, milieux pro-soviétiques très éthyliques ou SS,d'une supériorité raciale insupportable.

A ce fait, je signale que si à l'étranger le plus souvent l'infliction de la torture reste destinée à créer la douleur physique violente, insupportable et meurtrière, la souffrance mentale en sus, en France, la pratique de la torture consiste à créer des douleurs physiques identiques causées des plaies à ce point imposées médicalement,, sous anesthésiques le plus souvent, destinés à augmenter la souffrance morale, torture morale.

Constituant des cerveaux de prisonniers politiques en soufflés au fromage ou patés en croute aux nerfs réduits en fils du gruyère imposé, cuits au four électrique de la torture électrique poussée à ce point de cuisson nazie et cannibale du corps. A titre de souffrance morale.Au nom d'un militantisme subaigu pour une peine de mort généralisée et médicalisée confiée aux hôpitaux psychiatriques envers tout contestataire, victimes de ces méthodes un peu trop"gênantes" de la société pour l'implacabilité de ses arguments, réquisitoires et plaidoyers, par cuisson progressive et létale sinon accompagnée d'ablation progressive également du cerveau par amputation des zones cuites et brulées, exposées et desséchées selon le mode de traitement électrique, et chimique.
Peine capitale de nos jours encore exécutée,au sein des hôpitaux psychiatriques et généraux euthanasie imposée, infligée destinée d'ordinaire aux vieilles personnes anciens résistants et femmes âgées au sein des maisons de retraite capables des pires meurtres prémédités et violences létales, dont, sur ma personne, non en m'âge de 65 ans requis pour ce droit à l'exécution capitale dans ce genre de conditions de camps d'extermination, soumise à cette heure à cette décapitation lente commise sous le bâillon chimique de la chape de plomb totalitaire du médicament neuroleptique, le fameux traitement de la torture chimique commune à tout prisonnier politique de ce régime d'années de plomb, afin d'éviter tout ébruitement pour en partie, des faits et agissements pierre d'achoppement de ce livre, Judas, un denier de mes inédits.

Peine capitale tentée entre autres sur mon chat, trouvé rebelle car doué d'une forte intelligente presque humaine, tabassé longtemps aux électrochocs autant qu'être humain, sachant que le crane d'un chat est de taille beaucoup plus réduite que celle d'un être humain, donc, laissé souvent à l'agonie de cette torture, réveillé par vétérinaires intervenues à temps pour lui à mon insu, tabassé quasi à mort à nouveau moi-même autant, par intervention de ces plombières électriciens des départements psychiatriques, en visites constantes sur les appels de mauvais éléments, lui, crucifié sur cette croix du chat du film 1900, jugé inutile si je devais être exécutée. Tentatives répétées d'exécution de mon chat pris en otage brulé plusieurs fois ces dernières années, jusqu'à l'odeur de viande frite des son crane et de jus de viande, son sang.

Contre ces pratiques illicites de la médecine, que faire, qu'opposer, quand les autorités refusent de saisir les plaintes, classent les affaires, internent par substitution et déni des faits, loi su silence qui m'impose,entre autres victimes de ce système, cette prostitution laissée sans controle, à actes de barbarie et crimes contre l'humanité constants ?
D'autre part,en ayant fait part à votre service juridique par appel téléphonique, j'attends votre réponse quant à une possible réaction à ces agissements, en résumé de l'affaire.

Dans mon cas, ces prétendus soins réglés par paiement avec sa carte vitale et au nom de ces dits soins qui lui auraient été pratiqués, en fait, sur ma personne, ou avec ma propre carte vitale, bancaire, et de mutuelle, par mon propre père, tyran familial, despotique et possessif,( au point d'avoir tué froidement, ma mère en famille, de représailles et méthodes totalitaires similaires, ma mère sur le point de le dénoncer, fuir et de le quitter, ce qu'elle avait tenté maintes fois,sans résultat, dépressive depuis ses dépressions-post-natales, femme battue autant que moi-même de ces méthodes de torture dans ce foyer là,cancérisée mortellement de ces exactions, mon père ayant fait appel aux mêmes services dits médicaux, personnels psychiatriques et leurs sous-fifres, des voisins de la famille, destinés à assurer entre autres flicquages, le devoir conjugal, la fidélité des femmes dans les couples, et le renoncement au divorce, dit le licou, la corde au cou), ainsi que par ses anciens collègues et relations de travail, anciens enseignants présentant les mêmes types de troubles mentaux que lui, assez typiques de l'enseignement.

L'acte de cannibalisme qui reste traditionnel dans cette famille, m'aura poursuivie jusqu'à aujourd'hui, mon père le pratiquant, après y avoir perverti ma mère, souvent hurlante d'horreur, dans un état de lamentations, de cris véhéments, déchirante d'horreur face aux crimes il ura en famille commis, elle trépignant d'impuissante puis vite matée, me forçant à consommer les nerfs, lobotomies, centres nerveux de l'amour affectif et de l'amour physique qu'il m'aura faite amputer de médecins, neurochirurgiens qu'il aura rendus complice de ce drame. jusqu'à un jour de banquet en famille, le plus souvent selon la superstition chrétienne, à 13, consommer des pâtés de tête de mort, selon des préceptes païens de profanation des rites de la religion, accompagnée de crises de ces types de meurtre envers ma personne, devait figurer en tant que Christ à crucifier sur la croix de Marie-Madeleine pécheresse, qui selon leurs préceptes, devait rester mon double, qu'ils condamneront des séances d'électrochocs décrites, suivies de lobotomies des zones brûlées le plus souvent chez moi, le dessus entier du crâne, celles des dolichocéphales sur lesquelles il semble faire une obsession, l'obsession nazie à l'encontre de cette bosse du crâne, l'opérant à la rendre plane, dite brachycéphale, cuite aux électrochocs à l'odeur de steak génital frit. Je le soupçonne, à l'heure actuelle, ce type de démon qui chez lui avec l'âge s'amplifie, de m'avoir faite intuber d'une partie de mon foie, une réséquée en tranche de cette viande de génisse d'ordinaire, de veau, ou d'animaux, pour être de la taille du morceau de chair de foie qu'il m'a ostentatoirement présentée, dans mon coma épileptique, suite aux décharges de courants, avant de la cuire et de me l'enfoncer dans l'œsophage, autant que coin de l'affiche d'Amnesty International, afin de me punir de n'avoir encore eu le cancer du foie de ma mère, qu'il me reproche ainsi aussi, ou bien d'une tranche du foie de ma mère qu'il aura opérée, je pense qu'il s'agirait plutôt du mien,tranche arrachée au scalpel en tranchement à la va-vite tant je devais être à l'agonie de cette opération,(cause répétée d'hamoragies cérébrales importantes, les artères et vaisseaux veineux imortants sectionné,s tabassés d'électrodes et donc, dans ces cas réouverts sous les chocs électriques), en zigzags dentelant son rebord, à son odeur génitale s'il ne s'agit en plus de mon utérus, encore à la dernier radio-échographie, sain, qu'il aura tabassé jusqu'à sa demi-cuisson durant des ans, qu'il m'aura amputé d'une hystérectomie (en vengeance de son cancer de la prostate ablavée depuis longtemps), pour l'avoir eu soupçonné encore une fois enceint et voulu faire gouter pour me punir d'avoir osé aimé un autre homme que lui,pour me punir à titre de position sexuelle d'avoir osé être aimée, d'aimer d'amour et d'amour physique aussi, un homme, punie des électrodes et lobotomies pour cet amour également cérébral, les électrodes qu'ils m'aura refaites, lors d'une pièce de théâtre sur le texte de Bertold Bretch, que j'ai jouée, et encore ces derniers temps, me punissant pour tout acte littéraire,création artistique que j'aurai eu depuis mon enfance. Son but essentiel étant de faire passer ma vie entière sous ce genre de vengeance pour toute possession de l'amour que j'aurai, sous électrodes, amputations, usure de ma nuptialité et des tissus de ma jouvence maintenus sous électrodes jusqu'au vieillissement prématuré de mes tissus. Il m'aura menée de ces opérations cérébrales et excisions de mes longs nerfs liés au plaisir , plus d'une fois à l'agonie, du moins très souvent... II persiste à me dépecer encore vive de mes organes vitaux, cœur, foie, par moments la rate, utérus, et le cerveau,organe favori,selon les rites ancestraux connus des premiers cannibales, je crains le pire. Sa famille le protégeant contre tout placement en maison de retraite ou en pavillon fermé, en me les infligeant, que quiconque, appellerait qui serait témoin des ses actes, qu'il dit ne pas comprendre ensuite, tenterait afin de me me sauver la vie, de ses représailles continuelles, qui ont débuté avec le début de ma vie, depuis un certain temps, afin de m'interdire toute relation, y compris amoureuses. A mon avis il ne s'est arrêté à cela, il me semble, dans un autre coma épileptique, sur le moment du réveil, à mon domicile, d'où les infirmiers partent sans m'avoir réveillée, laissée encore sous effet de l'anesthésie, non règlementaire car pratiquée à domicile, à la surveillance du père, l'avoir strictement vu, s'il s'agit bien de lui ou d'une ralation que j'aurai eu, strictement amicale, car vu de dos, coiffé dela casquette rouge de mon père, casuqette qu'il avait un jour oubliée à mon domicile, consommer un de mes nouveaux nés, qu'il aura cuit autant que poulet, après me l'avoir fait extirper à mon insu, mes dernière grossesse cachée peut-être par lui,peut-être sur sa demande et ensuite celle d'un psychiatre, sur l'une de ses lettres un laboratoire d'analyses chargé de réaliser un de mes tests de grossesse l'aura niée ou il m'aura faite avortée de quasi nouveaux-nés, tant les fœtus proches de la naissance, ou il aura tué et congelés ces bébés une fois nés à mon insu, ni sans que je puisse sur le coup m'en douter. Dans ce carnage, il m'aura également contrainte, dans mes comas, à absorber des morceaux de lobotomies, dont j'ignore si certaines, étaient des miennes.

Il aura également conservé longtemps à ce que j'ai pu en constater dans mes demi-comas, certains de mes anciens nouveaux-nés au congélateur, pour les introduire à l'heure prévue par des assistantes sociales de me restituer une de mes dernière s filles, les corps congelés des bébés, pour ensuite me les présentés, toujours congelés, en les plaçant sur mon pubis, une fois relobotomisée pour la circonstance, d'avoir eu osé enfanter, sans son avis. enfants qu'il n'aura jamais eu voulus de moi, car il n'en était le père. Il passe depuis son temps à constamment forcer la baie vitrée de mon rez-de chaussée, afin de venir soit me narguer, soit me défier de persister en ce qu'il refuse, soit pour m'opérer, à ainsi que chaque jour, passant son temps à s'introduire à mon domicile accompagné de ses amis, collègues équipes de personnels infirmiers, et médecins, sont il se fait des relations amicales durables. Sans compter les maintes retailles de l'extrémité du clitoris, tellement électrocuté jusqu'au fibrome, puis gelé d'applications répétées d'un glaçon, organe tant réduit de cette cuisson cryogénique sinon sous fluide glacial, savonnette, et pâte dentifrice très fortement mentholée alternée avec cuisson aux courants électriques,institués sur le prétexte de "devoir parental" (dans mon cas depuis mes premiers langes dans mon cas, surprise à quelques mois d'âge la main dans des langes trop serrés pour cet interdit du plaisir solitaire y compris chez nouveaux-nés), en jambon sec que son amputation aura été nécessaire, fait qu'il reproduit à que j'ai d'entrer en relations avec un ami dont je pourrais prendre plaisir, être aimée et que je pourrais aimer, fait selon eux très dangereux lié à une forme dangereuse de la folie, selon la médecine appelée. Agissant de même envers toute liberté de la Femme déjà acquise, y compris le droit à la vie.

Sans compter pour plus de vice, l'implantation durant mes comas, d'implants électriques manipulés de manettes à télécommande digitale, destinés à m'électrocuter l'organe du plaisir, implants parfois retirés discrètement de mains amies d'intervenants venus à mon insu le récupérer, puis le plus souvent, ces aiguilles de cinq à dix centimètres de long, plantées le long de cette extrémité du clitoris,formule de l'excision française dite "la vis" chez les petites filles, dans le but de griller le réseau nerveux, artériel et veineux pelvien, électrodes de même type implantées dans la zone médiane de la vulve, entre les petites lèvres, précisément dans un autre organe du plaisir relié au clitoris, "la fraise". pratique devenue rituelle pour ses intérêts politico-fianciers, débutant dès l'enfance avec la fraise du dentiste, auteur des premières trépanations de ces nerfs du plaisir et de la douleur mortelle donc autant que dans tous appareils sexuel, situés dans les dents.

Certaines fois, implants destinés à raisonner le plaisir féminin pris pour déraison depuis parfois la petite enfance, technique employée en pédiatrie, éducation spécialisée autant qu'elle m'a été imposée, électrocutions de l'organe féminin puni jusqu'à la calcification de l'aiguille et de son électrode, ainsi que par la prostitution sous masquage de ces maquereaux, au nom de la vision de l'homme phallocrate sur la vie sexuelle et donc amoureuse de la Femme, homme fasciste dit usuellement machiste déclarant l'usage de cet organe naturel, par loi rétroactive fasciste, lié et devant rester lié à la prostitution. Soumettant la Femme à ce type de conditionnement, sous peine de sa psychiatrisation, apte à la faire réfléchir sur cet usage du plaisir, qui apparemment, ne devrait lui revenir que si accordé par l'Homme, dans les conditions de la déviance sexuelle et de l'acte contre-nature dangereux pour la santé et la vie, déviances de l'amour, la sexualité donc, due chez la Femme, au pénis féminin, le clitoris, ses ramifications irradiant le vagin, les zones érogènes et organes sexuels de son corps jusques dans les chairs en surface de son crane , corps, son amour, condamné à la jouissance seule, de l'orgie publique de viols correctifs et répressive infligée aux rebelles, précédent l'excision des femmes, devant l'infliger sinon devant être subie d'avantage...Certaines de ces femmes très conditionnées, par esprit de revanche au pur gout d'infliger ces tortures par représailles, incitent à cette pratique et maintiennent le fléau.

Après avoir condamné la Femme rebelle à ce conditionnement, à sa défloration dite dégel, selon les conditions de l'excision à l'étranger, par les méthodes des plus douloureuses de mise en souffrance du corps souvent mis sous anesthésie, et relevant de l'usage de la torture y compris électrique poussée à son summum à titre de prévention thérapeutique ajoutée à la castration neurochirurgicale des zones cérébrales revendicatives en sus de la mutilation de zones neurovégétatives parfois accompagnée de thèse de Lempérière, vivisection très fréquemment sur femmes jugées belles et fine etdonc trop propres car dites top honnêtes, opération dangerosissime consistant à séparer les deux encéphales du cerveau, à en araser le pourtour pour moins de troubles du comportements causés par cette section, accompagnée de la défiguration complète de la victime, pour trop de beauté y compris intérieure, jugée là excessive, devant rester envers l'homme celle de la truie qui ne lui résiste, violée par tout acte contraire à ses actes de prévention sur autrui et envers elle, dont l'insémination punitive de blennorragie (cause de gangrène du corps et donc nécessitant la stomisation de multiples organes, d'os, la résection lobotomique de zones du cerveau infectées)interprétation française de l'excision pratiquée à l'étranger, par la médecine depuis la nuit des temps en France assimilant la propreté jugées dans ce cas excessive, à la possession du clitoris, en fait à l'étranger, il s'agirait de l'inverse, la possession de l'organe féminin, jugée sale et la propreté du sexe devant être rendue à la femme par son excision pour plus de pureté de son esprit, leit-motiv repris par les nazis....