samedi 6 février 2010

Complément de plainte réquisitoire et plaidoyer,textes initiaux :

En regard de la répression d'État envers le féminisme, ayant vite oublié si je vous ai déjà adressé cet article, la Femme dans ce siècle de dictature policière, ayant tendance à devoir oublier très rapidement, la mémoire des peuples martyres.

ayant vécu jusqu'à ces derniers temps les types recensés ici des tortures psychiatriques endurées par les femmes depuis la création de cette médecine, je vous prie de trouver ci-dessous, résumé et plaidoyer de l'affaire, me concernant ainsi que toute femme victime de ces tortures, dont certaines encore en vie. Réquisitoire que je fonde sur le texte suivant, ici d'un inédit que je rédige, paraissant sur internet (site Eclipse 2) cause des types de répressions que j'y dénonce, sciemment infligées dans leur totalité, certaines endurées depuis ma naissance sur l'intolérance anti-sémite anti-féministe d'une père sans scrupules dominateur, fabulateur, machiavélique cynique et dictateur contrefaisant le maquereau très respecté, idolâtré et soutenu pour ces faits ( lui prêchant depuis le début de son éthylisme dont ile s tend éni, le vieillissement prématuré des propagandes néo-nazies actuelles, à titre de lysis), les autres, dans le but de "corriger" et "punir" en ma personne, cet engagement éthique lié à une des dernière campagnes d'Amnesty international et de multiples associations féministes, auxquelles j'ai été sensibilisée de ces répressions par elles dénoncées, recensées également :
Moratoire contre la répression psychiatrisée des libertés de la femme, du féminisme en France et en Occident Opération d’opérations en masse du cerveau destinées à mutiler froidement toute zone cérébrale cause de toute lucidité, ne serait-ce que philosophique sur le monde, l’univers et le propre positionnement de l’individu face à la répression qui s’en suit, normalité raison, raisonnement juste, conscience et conscience politique, cognitive. Phénomène reconnu des Femmes Savantes, son savoir sa culture sur le monde, sa philosophie cognitive, ignorance requise tant grave que l’on doit y laisser sa tête sur le sur le bloc opératoire ambulatoire à domicile, autre contrefaçon d’échafaud et qu’elle n’en reste que boniche, borniche fasciste ou bien curée, dans la borne du non savoir, de l’incompréhension totale, l’absence totale de logique, l’hystérie poussant à l’hystérie sociale et politique, Le cerveau réséqué des nerfs de son polypier, le réseau nerveux des organes de son plaisir et de ses zones érogènes réduit à polypier, jusques dans les nerfs sciatiques descendant le long des faces internes des cuises, suivi de leur résection, ou excision des femmes en grand, dévissage ultime des femmes prostituées par la nation et leur père, jaloux de sa fille pour ses futurs beau-fils ou amants de la belle en âge d'aimer, les en séparant selon l’affaire des amants de Vérone. Femme au travail sinon d’accouchement exciseur, au travail salarié tu seras, ou celui de prostituée, l’organe clitoridien jugé hérésie même de la Femme jugé polype du cochon 9, du pavillon 20 et 19. Digne du nerf polypier du bras gauche, en principe celui du cœur, pour mon cas, des deux bras dans les années 80. Discrimination positive populiste envers l’illettrisme, l’ignorance requise de la Femme, illettrisme contrefait par les méthodes totalitaires d’un hôpital Goulag russe et les expériences Poutinistes d’un pouvoir partagé entre Biélorussie et Allemagne néo-nazie, vieux barbons des services spéciaux ne réclamant le peuple que de leurs infirmités, la totalitarisation des mœurs, la ritualisation des maladies dues au Sexe, la liberté d’opinion devenue délit d’opinion, opérée des maux de la Médecine et contrefaits d’un libéralisme économique du domaine médical absurde et abscons, ne vivant plus que pour lui-même dans les dérives d’un capitalisme vers le nazisme pur selon les déterminismes du Goulag marxiste de chaque pays. L’amour jugé Folie, démence dangereuse de la Femme, à castrer de son arbre nerveux sexuel, de ses attributs du plaisir trait en hystérie chez elle pour qu’elle ne reste que Folle, condamnée à la tristesse de la mélancolie à vie traitée, dite chez elle schizophrène. Ses zones cérébrales sensées représenter son cerveau reptilien ou contenir sa pensée, réséquées, castrées ou en partie, considérées testicules de son père, pour ce qui est du cervelet, dans l'acquisition de l'aveuglement idéologique et mental de par la folie d’Œdipe roi de Pères Ubu du milieu médical en vigueur en ce cas, la psychiatrie, modèle actuel de pureté, chrétienne et nazie.. L’amour pour sa gueule d'Ange assassiné ou assassin, son organe du plaisir laissé verrue molle sans vie, innervée, bout de bois pelé râpé profondément, ou absent. Tranché ou amputé. Mutilé. Excisé. Problème initial de la Femme dont la rébellion et l’intelligente émancipée revendicatrice éclairée de clairvoyance est traitée en démence précoce ou démence pure, voire accident dépressif à mégalomanie chez les surdouées, depuis les Femmes Savantes, cherchez l’artiste condamnée au rôle de figurante de sa vie, la gloire vécue par procuration chez celles qui restées de ces mesures répressives encore un rien douées, refuseront l’emploi de Marie Curie, condamnée à la mendicité et au délit d’opinion auprès de la société et de son Père donc envers l’Etat, dans l’indigence absolue de la cécité œdipienne de son rang devant rester si elle rêve artiste, celui de la Bohème, apolitique et désœuvrée sous une France de cette Occupation... La gegène ou poste à soudure dans ces cas considérations et circonstances, non seulement une sensation bizzare larsen et placebo anormale des sens du corps, donc cénesthésique des sens, chez la victime des sensations causée de ce groupe électrogène, mais aussi, une dérivation somatique d’un blocage évident et libidineux de la libido manifeste au niveau du logos par des cris sauvages suivis ou accompagnés de délérium trémens après prise de calmants tels le Tranxène ou ou décompensé de la maladie, suivi d’épuisement léthargique parfois jusqu’à catatonique dans certains cas avérés de schizophrénie déterminable à cet effet, ou de l’hyperactivité mentale coprolalique, et vieillissement prématuré dû à l’inquiétude et état d’anxiété permanent, à calmer. Sic. La douleur cénesthésie causée par la sensation de décharges électrique d’un hypothétique engin de guerre usité en tant que moyen de répression ou de soin systématique de la folie. Obligation aux peuples opprimés des français, d'oublier les griefs et contestations envers un Etat de dictature totalitaire français, dans l'opium alcoolisé des peuples soumis, sous peine d'amnésie plus grave, sous peine de mort du verbe, de ‘érudition dela langue, du corps et de la liberté de pensée, causée par la torture électrique du cerveau et des nerfs sexuels faciaux. Les tabassages pataphysiques et pataphylosophiques aux épissures des postes à soudure ainsi qu’au Soudan, sous Sadham Hussein, ils se pratiquaient eux, sous les plantes des pieds, les pieds, le nez, l'effet sensoriel de la gégène identique... Exigence pornographique de par la médecine sur demande populaire de jeux romains et de pédophilie grecque, de prostitution infantile sur adultes et mineurs au sein des familles, rendues expressément pour ce genre de jeux pervers, de type pétaniste usant des armes pro-sovietiques afin de régner sur la planète et leur progéniture, étendant ce pouvoir fasciste réclamant le droit à la torture libre et à la libre exécution sommaire, sur les animaux et les autres espèces de la terre par le viol sadique y compris homosexuel, pédophile, ainsi que l'intégralité des vices du proxénétisme, et de la prostitution par les lois du poste à soudure, de l'arme de contention utilisés en tant qu'instrument de torture selon les techniques du waterbording aux contrefaçons de poste à soudure usités pour nombre d'opérations neurologiques à neurochirurgicales employées dans les établissements psychiatriques et voire pénitentiaires : les mutilations sexuelles des femmes, cette pratique bien ancrée hélas dans les coutumes françaises et occidentales, rite autant religieux que athée, car la science et la médecine invoquées dans ces cas, la libre pensée fonctionnant selon la raison scientifique devenue religion et raison d ‘État, la médecine (Etat dans l’Etat, Vatican dans le Vatican) et surtout la médecine psychiatrique et ses médecins appelées à tenir le rôle de gourou exciseur, exorciste exorciseur du mal d’Aimer de la femme, et de l’Amour de l’Homme, plus d’amoureux de la planète, encore moins de passionaria, la Passion ne passera, selon l’église évangélique des intégrismes de ces religions, qu’elles soient athées ou pas : L’excision des femmes et de leur pénis « modèle-réduit de celui de l’homme », celle du prépuce des hommes, ce qui équivaut si les organes peuvent ainsi se comparer, à l’excision d ‘une petite lèvre chez la femme, cette excision pouvant se pratiquer par éradication du plaisir sexuel et innervation lente des nerfs des zones érogènes, des organes du plaisir, la femme ayant le seul droit de voir mourir lentement son innervation sexuelle du plaisir, par électrodes, implantées, forme nouvelle de l’infibulation pratiquée encore de nos jours en psychiatrie, de main de personnels médicaux très embarrassés pour l’expliquer car eux même condamnés à la semi ou totale clitoridectomie ne serait-ce que par amputation des nerfs du clitoris ou leur déchirement, son inhibition ou son viol ou à l’ablation du prépuce, ce qui peut créer des problèmes réels, le gland de l’homme excisé du prépuce frottant avec les vêtements serrés, et se mutilant d’avantage, non protégé par le prépuce, le pénis selon certains, toujours excité ou à demi, (car cette mutilation empêche les gestes sains de la masturbation, le manchon du sexe trop réduit de cette ablation, et ne pouvant coulisser) de cette forme de nudité supplémentaire et forcée, homme forcés de cette exaction. D’où des personnels médicaux, « passés par » ces ablations, dits tordus et tracassés de première, autant si ce n’est plus que leurs prétendus malades. La folie indiquée dans les cas de femme ou d’homme possédant ses facultés mentales mais aussi doué de posséder l’intégrale possession de son appareil génital, et son libre usage. La condamnation sociale du plaisir et de la libre possession de son corps, de son appareil génital, une des clefs du christianisme et du capitalisme. Ce qui crée une population de vices et d’inhibés ou mutilés sexuellement, homophiles, forme de droit d’asile social contre ces persécutions. L’inhibition sexuelle autre forme de mutilation génitale, privant de l’usage du clitoris, des organes du plaisir chez l’homme et la femme, et donc, nerf de la guerre de nos sociétés ; le plaisir intégral du corps et de l’orgasme complet, ou réduit à être partiel, condamné par le viol jusqu’à l’auto-lysisme, causé par l’alcool, récupéré par les drogues causant l’orgasme, autrement-dit, l’interdit personnel du plaisir jugé acte de prostitution et condamné au proxénétisme sinon familial, du moins social, médical et répressionnaire. Les viols correctifs, la suralimentation forcée, consentie ou non, sont un exemple de méthodes usitées pour condamner à son annihilation le plaisir sexuel et la pleine possession de ses organes. La torture, génitale et mentale, la mutilation cérébrale ou du système nerveux dans ces cas d’émancipation féminine ou masculine, dès ses prémisses, est qualifié de droit incontestable à incontournable à la mutilation sexuelle et de là nerveuse et cérébrale. D’où l’usage de la répression psychiatrique dans ces cas, en France, et en Occident. Se crée un système de suspicion et de chasses aux sorcières qui dure en France, en Europe, depuis le 19° siècle et la princesse Eugénie, ou le Directoire... Suivi d’une codification vestimentaire des pratiques de ces mutilations, très importante dans al détermination de la folie incriminée dans les cas d’émancipation intellectuelle. Et la pratique court de cette mutilation des femmes au cours d’accouchements répétés pour lesquels elles auront été conditionnées et poussées à les admettre, car rendus dangereux pour leur vie, et roulette russe de la société, le premier certifié assez mutilatoire, violeur et volontairement douloureux pour causer des plaies et dégradations voulues de l’organe féminine, définitives, assez du moins pour empêcher freiner réprimer ou gêner l’orgasme. Accouchements exciseurs causes de revanches des mères sur leurs filles et fils pour leur pleine possession de leur facultés et fonctions naturelles, et des persécutions envers la nubilité des enfants, adolescents, qui vont à l’attribution du diagnostic de folie, justifié ou pas, chez les adolescents. Car certains présentent à la suite de ces exactions, des troubles psychologiques et mentaux, d’autres, simplement rebelles importunés et victimes de ces rites obnubilatoires, et donc internés ou suivis médicalement pour leur rébellion. La stérilisation forcé des femmes dites atteintes de folie pour les persécutions subies de ces rites mutilatoires, les ayant sauvées en quelque sorte, de ces accouchements mutilateurs, leur est reprochée ensuite, par l’innervation aux implants ou aux électrodes, de leur système nerveux sexuel ; électrodes hors convention et non officielles, mais réputées efficaces, je le rappelle, allant jusqu’au plaisir forcé de l’épilepsie, autre forme de viol, dit thérapeutique, et mutilateur également. Remplaçant celles de l’accouchement évité. La réduction obligatoire dans les familles françaises, chrétiennes ou même athées, des petites lèvres des petites filles ou des jeunes femmes, se pratique encore, petites lèvres rendues « enveloppantes » c'est-à-dire très volumineuses et développées, et donc pouvant être cause de gêne épouvantable chez les jeunes filles, conditionnées dès la puberté pour se les faire opérer (jeans serrés mutilateurs, prohibition) et réduire autant que par réduction de poitrine, par toute une sous culture destinée à frustrer de l’acte sexuel afin d’ancrer le plaisir anté-opératoire causé par les rites familiaux et sociaux, par la frustration causant une érection ou semi érection continuelle sans aucune possibilité de satisfaction, sinon causée en cachette dans l’interdit et la surveillance totale de la vie intime, ou au cours d’orgies à farces Jung nazies, facéties et scènes de boui-bouis, de théâtre de cabaret familiales et sociales. Ceci vaut autant pour les hommes, contraints autant que les femmes et les enfants à ne point se toucher, autrement dit à ne point avoir recours au plaisir solitaire condamné à mort par les religions, chrétien en également,, ceci maintenu jusqu’à l’apparition des pollutions, nocturnes et parfois diurnes, ce qui est une gêne sociale, un handicap dans le travail, crée un phénomène relationnel apitoyé et compatissant de relations amicales pour « sauver le jeune homme » de la confusion, ce phénomène ne se passe de clinique privée ou de l’hôpital surtout psychiatrique chez les familles et classes fortunées, les basses classes réglant le problème par la violence familiale et voies de fait mortelles, le proxénétisme, et les violences parfois meurtrières conjugales. Les jeunes gens mariés à leur famille, ni plus ni moins, le temps de se faire « sauver » par la vie maritale ou conjugale, de ce fléau.. D’où le rôle du beau-père castrateur des belles-mères, contrôleuses génitales et malthusiennes du plaisir des couples, une certaine partie de la médecine, psychiatrique surtout, très corrompue dans l’exercice de ses fonctions, préconise depuis le discours de de G. Bush, la chasteté préconisée chez les jeunes jusqu’à leur mariage, rendu obligatoire donc, l’inhibition sinon leur mutilation de leurs fonctions sexuelles et le contrôle mental, génital, de leur vie sexuelle et leur droit à la reproduction, la stérilisation forcée des dissidents et résistants, contestataires et récalcitrants, conseillée et pratiquée par la médecine même. Jusqu’à l’hystérie sociale, la barbarie populaire, la transe sociale et la folie généralisée. L’être sain accusé de folie pour son émancipation et la possession de ses facultés et fonctions naturelles, la folie librement admise, considérée et décrétée norme, la schizophrénie revenant à être une des rares situations de dénonciation de ces faits, ou forme de l’accusation de démence envers la contestation lucide à ces exactions et pratiques, considérée délit d’opinion, ce qui est tu et tabou, le délit d’opinion en France, et en Occident, s’il est condamné par la psychiatrie, est non-dit, ni reconnu aussi ouvertement qu’à l’étranger. Si les femmes connaissent l’excision, la mutilation génitale et ses rites sociaux, les hommes autant. La Beauté des jeunes gens niée, sinon crachée au visage et surexploitée dans certains cas, car causée par tant de souffrance, et de pureté morale des victimes. La suite consiste en la surmutilation du sexe des femmes, dans des rapports de couple, violeurs assez pour rendre frigide. L’essentiel étant qu’aucun ni aucune ne puisse s’en sortir entière, ou entier, autant que cheval et bête de somme, mais coupé pour plus de docilité La psychiatrisation de la femme émancipée afin que son langage érudit soit ramené à la stricte et pure simplicité du langage destiné à l’éducation de sa progéniture soit des plus adéquat à ce qu’en espère la norme sociale que fait respecter la psychiatrie, en tuant en elle toute forme de sa faconde, sa culture et son niveau ramené par la constitution de son corps en celui de prisonnière d’opinion, à celui des basses classes du lumpenprolétariat, norme requise jusques dans la haute société qui préfère ses bécasses qu’elle met sur le pinacle et prostitue en toute liberté, aux femmes cultivées douées de savoir, d’intelligence, de finesse et dénuées des rituels sadomasochiste du culte ; Si la véritable maladie en France, mentale telle qu’elle est prise en charge médicalement par la psychiatrie moderne, n’est l’établissement du diagnostic de démence, envers des prisonniers de la torture électrique dont les sensations causées sont délibérément, si cela n’est clair ni pas compris objet de diagnostic de folie ; Chasse au célibataires et pogroms organisés par la population sur travail commandité de psychiatres, envers l’usage coutumier dit répétitif de la masturbation, ou l’onanisme ou plaisir solitaire, (certifié par la populace et la psychiatrie ne rien foutre ou branler à ne rien faire, langage ordurier médical, donc être résolument Fouriériste), la Veuve joyeuse des amoureux en attente de couple, des couples brisés, de la masturbation à deux, sur des problèmes d’interdit dus à la religion et à un regain de nazisme dans les secteurs médicaux intervenants sur appels délateurs de type vichyssois. Chasses aux sorcières répétées dans les rangs des célibataires dénommés dans ces secteurs psychiatriques réputés pour mettre une fin à ce mal, dans la population des célibataires dénommées vieux garçons et vieilles dès l’âge de la nuptialité, ou de la puberté, jusqu’à des crises de révoltes chez ces personnes pourchassées de soins intensifs à domicile déclarés préventif s’en fait de véritables placements d’office à internement non déclaré sinon suivi médical, soins pouvant atteindre un degré de violence certain, jusqu’aux voies de fait prolongées jusqu’à l’apparition de troubles réels, physiques et/ou mentaux, violences de type violences conjugales parfois jusqu’au décès suivis de violences supplémentaires de type opératoires, sans anesthésiques, viols correctifs et thérapeutiques en genre et de toutes natures, accompagnés et ou suivis d’opérations du cerveau le plus souvent au départ neurologiques et neurochirurgicales, précédent un état de crise post opératoire nécessitant l’hospitalisation réelle et office. Moi-même victime de réductions sexuelles, (réduction des petites lèvres autour du clitoris, ablation de son prépuce, partage en deux répété du frein du clitoris, dès l’âge des 9 ans jusqu’à aujourd’hui, implantation d’électrodes génitales afin de réfréner et punir le plaisir, solitaire ou à deux) et de mutilations nerveuses pour le simple fait de posséder encore l’usage de mes organes génitaux, non mutilés ainsi qu’il est de rigueur par l’accouchement protocolaire, ces pratiques en France monnaie courante.

Argumentaire :Le devoir d’arriération de la Femme constituée et devant rester arme de guerre ou faible faible-femme et faible d’esprit face à l’Homme et envers le Père et la Mère de famille, familles soumises encore de nos jours aux violences patriarcales de type iraniennes, obnubilés par l'Oedipe Roi, le complexe de Jocaste et la Révolution française, la poutre borne mentale franquiste ou de tous types fasciste prise chez eux pour génie stratège scipionnesque induisant à l’amalgame berluscolinien de la procession Klu-Klux-Clannesque franquiste et mussolinienne, et le goulag soviétique prôné prêché des communistes italiens ou le bloc opératoire ambulatoire assuré, Femme tais-toi et reste ignare ou je te lobotomise, autre forme de violence à domicile ou conjugale du père, de la mère ou de l'époux, totalitaire et médicalisée.

Usant du droit de la lobotomie par neuro-chirurgie et électrodes au même titre que raclée sur prostituée ou délinquante, autant que possible contre toute défense ou accusation de la victime (sa défense, sa contestation même (induite par ces répressions continuelles) criminalisées, au banc des accusés), consécutives aux violences, sinon initiales, du moins perpétuelles, se fondant sur tout prétexte venu. Regain actuel du problème de ce despotisme familial, trouvant mercenariat dans les membres du personnel des CHR et passant vite pour effet de mélancolie chez l'accusée, ses allures de garçonne déjà condamnées de longue date par l'abus constant de traitements neuroleptiques.

Actes de neurochirurgie alliés au pouvoir sur l'organisme des électrodes sous les lazzis et moqueries populaires de la famille et témoins autant que dans excision, opérations du cerveau cause de l'acception profonde somatique du plaisir jusqu'à l'orgasme et le coît, envers l'oedipe incestueux du père ou de la mère, précédée de la défloration dénommée "par le vilebrequin", tire-bouchon genre ou dénommé "Charles De Gaulle" ou perceuse destinée à forer des trous dans les os du crâne pour y introduire le trépan déflorateur, en vogue en Italie et France depuis les temps de Casanova. De nos jours, les forages de trous se pratiquent au laser, ou par la fracture du crâne aux électrodes, et faisceaux dont certains dénommés marteaux. Cf. pétition sur la libre circulation des armes de nouvelle convention. Règne une légère hystérie sociale et un certain révisionnisme vichyssois à l'encontre de ces pratiques et faits infligés jusqu'à femmes enceintes ou ne le sachant encore, autant que dans asile psychiatrique turc. . Causant sciemment le transfert anal et rectal du plaisir chez l'homme et la femme contestataire pour une infliction plu complète et parfaite des vices et déviances de la prostitution, avec soumission à homosexualité. Dénommé par les victimes et la plèbe "se faire baiser, ou niquer". Le père tout au plus dans ce cas soigné pour mythomanie voire hallucinatoire et inventive quand il avoue ses péchés et activités de despotime sur sa victime déclare sa protégée. Et que la Femme n'exprime sous ces procédés, que la joie de se prostituer une fois déflorée par l'œdipe l'inceste institué selon les préceptes de Sade (jusqu'à l'absence de ressentiment) Sodome et Gomorrhe par ses macs dont elle se fait punir par la mère le père et leur famille, dans le silence du viol de la femme battue, du viol thérapeutique et de la violence gratuite, à domicile, de la prostitution gratuite de la femme facile instituée jusques dans le couple, et se confine dans l'auto-confinement totalitaire intimisé en moi-je, à l'adoubement à tous les proxénétismes dans le manque sexuel induit et causé, du devoir de ne point se toucher ni se satisfaire. Fait rituel de la religion et de l’Eglise chrétienne propagé, protégé et imposé par la médecine psychiatrique au nom des valeurs rituelles de la torture dans les mœurs. Constituant par l'imposition des faits de l'ignorance, des femmes incultes à représenter un danger physique pour autrui, forme d'armes d'offensive secrètes, lancées dans la population, meurtrières et pathogènes, constituant prisonniers d’opinion de ces femmes-armes de lutte de classes.

Le viol mutilatoire de la Femme banalisé en occident arme de guerre autant qu’au Congo mais décrété d'origine naturelle et attribué à la nature. .

Odeurs fétides de viol, toujours mutilatoire je le rappelle, institué jusqu'à la cancérisation des plaies tant fréquentes, odeurs animales d’animal blessé de la torture et ses blessures que libèrent les corps mutilés de ces blessures morts ou encore en vie usant les eaux de la planètes destinées à laver ces dernier outrages aux droits humains

Gauchiste, ou énervé, machine à payer les coups qu'on lui donne, le plus aliéné de ses droits, sinon la Femme plus que lui perçue aliénée pour cela, l'énervé de service pour qui les services de la police ne font rien. Ou retour à la case départ, de son parcours de combattant. Pour des prunes qui lui auront été collées au corps et au front, et sa bugne qu'il a prise. L'énervé en question ne devant s'en prendre qu'aux services sociaux s'il y a, ou services médicaux qui s'en feront paraît-il de parfaits avocats. Arraisonnant plus pour arraisonner au groupe électrogène, (implantés s'il le faut jusques dans les plaies fraîches de dents excisées de leur mâchoire, plaies sanguinolentes considérées celles d'un clitoris ablavé à torturer aux aimants à distance et électricité pour que le problème de l'excision dans le Maghreb fasse plus mal ou fait des tortures de l'Algérie.) sinon par le raisonnement envers les arraisoneurs. Ou clitoridectomie directe pour sa fréquence sexuelle, existe une forme dérivée indirecte encore de nos jours en vigueur dans centres hospitaliers et cliniques privées, l’innervation du réseau nerveux de l’arbre des ramifications nerveuses de l’organe clitoridien par tabassage de ce réseau au poste à soudure jusqu’à le paralyser à vie ou le rendre non fonctionnel. Voire le tuer, net ou à la longue et ils en prennent le temps. Torture encore de nos jours en vigueur dans les hôpitaux psychiatriques français, infligée depuis le Moyen Age dans les asiles d’aliénés, au nom de l’hystérie de la femme et de son clitoris à cette époque là trouvé « en massue » tant auto-torturé de maltraitances et tortures induites, voire, cancérisé. D'où chez certains enclines (à force d'exaltation maintenue et d'états seconds prolongés par divers procédés), à se mutiler cet organe du plaisir que la médecine réserve à la fillette, ainsi que multiples zones érogènes dont celles du visage, d’où le port de la ceinture de chasteté hygiénique, encore récemment en vente dans pharmacies. Femme, libérée. Accusée d’hystérie pour l’hystérie collective de certains en mal de se venger de mon inactivité due à l’infirmité voulue passagère chez moi, et donc sujette à des résolutions expéditives scientistes des plus éculées concernant le mal de pureté et donc l’hygiène des jeunes femmes encore capable de posséder leur nuptialité, leur fécondité et les sens de l’Amour. Nuptialité qui selon ces mêmes personnes causeraient mon inactivité et m’empêcherait de retravailler. Femme marquée au fer rouge de la psychiatrie jusques dans son cerveau de bête humaine réduite à l'inhumain de son sexe, aux enfers du bouge devenu son taudis personnel, condamnée au plaisir partiel limité à celui de son clitoris ou de son vagin, à la frigidité de ses autres zones érogènes, sinon en manque et appel constant jamais assouvi et resté inassouvi jusqu'à ce que mort s'en suive, et aux seins de glace. Femmes. Ne jouissant plus que par le tube digestif, devenue ventre à pattes, tubes digestifs déambulatoires en fonction des fonctions seules de la grossesse, uniques survivantes dans l’affaire, et à prpos des grossesses , du taux de fécondité reproché depuis sa conception à la Femme, encouragé le plus souvent par les politiques natalistes des intégrismes politiques et religieux, ce taux de fécondité depuis la haute Antiquité jusqu'au au Moyen Age et de nos jours repoussé subconsciemment par l'homophylie, bref l'homosexualité, (résolvant des problèmes d'intolérance au manque d'empathie entre les partenaires qui en usent, due en partie aux pouvoirs et effets de la semence humaine sur le corps et l'esprit de la femme ou du partenaire, très riche en emphéhormones et neurotransmetteurs, toxines mentales, résidus d'effets corporels, etc) ne devrait se résoudre que par la réintégration du préservatif dans le couple, uni ou non par les liens du mariage, permettent une lutte plus certaine contre les MST dont les plus mortelles, en fonction de relations extra conjugales et aléas de la vie des couples, cherchant meilleure ententen dans un rapport extérieur à leurs frustrations, couples infidèles maudits condamnés depuis que l'humanité est née, au lynchage et voire au décès par les religions, (ce qui fut cause en partie de l'athéisme) pour l'introduction des maladies sexuellement transmissibles au sein de la population, leur propagation due à l'infidélité, et l'embastardissement des patrimoines génétiques qu'ils créent, créant par enfants naturels les bâtards tant coupables de l'Histoire. Condom au début del l'Histoire jusqu'au 20° siècle en peau de boyaux de porc ou de mouton, bref, retracé parl es peaux de boudins et saucisses dont l'extrême droite et l'ancienne Allemagne ont tant défrayé l'Histoire. La Gauche mal à éradiquer dans une chasse aux sorcières incessante contre la liberté de pensée, le féminisme, l’usage du sexe féminin et de la Veuve Joyeuse, un déferlement de violences, de jugements derniers, menés contre les principes de la démocratie, de la république, de l’égalité. Lutte, guerre ou pogrom fondé sur la répression et la torture médicalisées, la torture psychiatrique, dirigé contre les défenseurs des Droits de l'Homme et du Citoyen, de la dignité humaine et de l'humanisme. en cela je suis d'acord sans les soutenir outre,avec un certain révisionisme des camps de concentration, ce qui en réchappé ont été moins aliénés ou corporellement lésés que certains blessés de nos jours morts pour plusieurs par jour prématurément, combien par an, quand d'anciens déportés sont décédés centenaires, ou quasiment dont mon grand-père, réquisitionné au STO sous les Allemands. C'est dire si la France a augmenté le taux de dangerosité de la vie quotidienne en comparaison de celui de la guerre mondiale de 39-45, France allant aujourd'hui, à mon avis, beaucoup plus loin en la matière, que les nazis.
Lutte contre le rêve d'amour, le fantasme amoureux : Le fantasme sexuel si non névrotique ni violent, concédé si uniquement impur, proxénète, homosexuel, violent, entre femmes saphiques ou gros matons. Rêve commué en cauchemar mu par l'inceste pro germanique, la loi de l'orgie répressive et publique. Electrodes-parties fines de viols à tabassages, dans établissements pénitentiaires et disciplinaires peu scrupuleux, ou même de simples pavillons dont certains dits de crise, occupation, pré-occupation par ce fantasme de terrains neutres, vides mentaux pollués d’obstructions systématiques aux idées de la Gauche. Vieux fantasmes de viols issus du lumpenprolétariat qui rêve des amours petit-bourgeois, typiquement sadomasochistes tant inspirées de l’Extrême-droite et du fascisme. Prostituée par malheur surprise amoureuse et fréquente. A traiter par lla traite des blanches et le tabassage comme à coups de poings par le moure de sa jolie frimousse, l'amour la rendant trop fine et belle, des appareils d'Etat et armements des faisceaux. Au nom de l'ignorance devant rester obligatoire envers cet organe féminin, dont l'existence tourmente la médecine et les psychiatres, instituant la tourmente ou tournante médicale à titre de soin de cette folie, posséder encore à un âge procédé, son organe. Prévu virginité qui ne doit résister à l'accouchement prévu viol avec violences pouvant être mortelles selon le degré d'émancipation de la patiente, crispée d'artéfacts sociaux ad-mortem quasiment, la femme de nos jours considérée malade par la médecine sinon en placement d'office, du moment qu'il est aussi prévu qu'il doive un jour mettre au monde en milieu hospitalier ou de clinique privée, et en cas de stérilisation forcée, femme libérée ou qui ne s'ignore promise inexorablement au viol thérapeutique psychiatrique castrateur de la pensée de la femme et mutilatoire de ses sens. Dénommés troubles sensoriels ou des sens, hallucinatoires chez elle. Dénommés troubles sensoriels ou des sens, hallucinatoires chez elle. Que la femme retourne à son sexe de bête qui devra rester sa seule ouverture au monde et son nombril, sous peine de devoir sentir la bête fauve sous les électrodes et le viol, le sévice ordurier de l'Inquisition qui l 'attend, attendu que cette seule et unique focale des pensées auxquelles le machisme devra l'assigner, la sauvera si elle ne l'indique, de sa pensée pacifiste sur le monde, prédicateur de sa perte sui elle se refuse à ce viol supplémentaire. si elle ne tient sa science infuse qu'à l'ingestion forcée du sperme et de la semence d'intelligence de l'Homme qui la rend ainsi à l'Homo Sapiens, en sus de celui de De Gaulle. Et qu'elle se prenne ça dans les gencives en plus du baba voulu trop cool, et digère ça en sus de la merde à l'épinard de son nourrisson, ou qu'elle devra à la constipation sodomite due au traitement jusqu'à des doses létales et fort empoisonnement, merde à l'épinard seul niveau de QI, de connaissance infantile, qui lui est dû et qu'elle devra respecter, en surcroit et surajout de la divine pastille pure imitation pure de son organe du plaisir, qu'elle devra sucer pour éviter de trop pensée, réséquée relobotomisée si trop d'intelligence, de raison et de sens du raisonnement logique non arbitraire et objectif jugée trop d'idée irrationnelle féminine. à traiter de la belladone, plante hallucinogène cause d'empoisonnements graves, poison végétal, seul argument de cette cigüe du peuple qu'elle devra avouer publiquement, sous la torture au groupe électrogène s'il le faut, électrique cela va de soi, infligée à titre d'exécution publique supplémentaire, au pilori du soin de son émancipation physique, intellectuelle, morale, éthique, religieuse, et économique. qu’elle ne se résolve à aucun, même si torture, appel du 8 juin envers son sort sous peine de graves représailles et résections digne du pavillon disciplinaire ou leurs bataillons qu'elle devra endurer qu'elle le veuille ou pas. FIS musulman, fascisme phallocrate repris par les autorités françaises au même titre que soins des capacités de la Femme. Placée sou tchador médicamenteux et barbelés médicaux, défigurée du sévice refusant la communication ou l'exigeant, et mauvais traitement digne du vitriolage des femmes indoues et musulmanes, visée des faisceaux au point indien du milieu qui recevra la décharge fatale si elle persiste en son combat. Nouvelle forme et formule de la torture étatique psychiatrique au même titre que violence conjugale ou à domicile des nouvelles hautes et moyennes classes de l’intelligentsia envers la femme (procédé d’élimination repris par les basses classes), ainsi qu’envers le réseau entier d’hommes d’enfants et de femmes qui la soutiendront dans son émancipation culturelle, sa libération physique corporelle sociale et identitaire. Et qu’elle fasse fondre sa graisse, de nouvelle Juive de la société qu’elle est seul rang auquel elle devra s’assigner et qu’elle souffre la passion d’aimer, représentante de l’Amour, dans la douleur du Christ. Qu’elle aime la chair le vieux cochon et la saucisse. Là au moins, de son intelligence surdouée qui la rend pour le monde dangereuse et suicidaire de tant persister, elle ne fera de mal à personne. Sa belle chevelure d'Ève (apanage sexuel de la femme vitriolé depuis le moyen orient jusqu’en occident) chassée du paradis pour son amour autre que celui envers de Père de famille ou d'autrui, réséquée, mutilée, dépilée aux décharges électriques mutilatoires de son système cérébral, tirs à bout portant dans le crâne, rendue aux cheveux fins du bébés qu'elle n'aurait jamais dû cesser d'être et de rester, et qu'elle n'aura jamais, selon les trois K, l'autorisation étatique de reproduire de sa sale race d'intellectuelle surdouée interdite, répressée, dite abolie. Dépossédée en toute impunité inflexible et psychorigide de son niveau, de son rang de femme et mère de foyer, et de ses biens selon les pressions subies actuellement par la famille Uderzo. Quand le ciel d'un État policier totalitaire aux répressions et censures insidieuses lui tombe sur la tête. Et dont elle devrait perdre la lucidité, l'affaire devant lui rester méconnue et elle ignorante du fait.Procédés lapidatoires de la Femme émancipée, dilapidatoires des caisses d’assurance maladieSon opinion, le long réquisitoire de son éternel combat ablavés, amputés, réséqués, relobotomisés dans la sale la frustration la douleur, la souffrance poussée à son point ultime de cancérisation, et le manque d’hygiène de sa prison portative, son véritable domicile de nouvelle sous-race de juive errante. Son amour jugé érotomanie, ses coups de foudre électrocutés pour crise d’érotomanie aboutissant à la névrose obsessionnelle schizophrène, la Femme devant composer depuis la dernière guerre mondiale avec le grand cheval de guerre allemand lancé au galop ou le dogue allemand qu’est l’Homme idéal pour elle dans les rues de sa vie pour tuer, meurtre d’elle qu’aura connu son ancêtre dont elle est issue et chercher de sa petite main fragile à l’apprivoiser, sous peine de se voir coursée et meurtrie à mort de cet animal fauve. L’homme, un fauve ennemi pour elle pour qui elle est dressée depuis qu'elle est née. Qu’elle devra acheter d'amour, recevoir une son endroit le plus secret, intime de son corps.
Car Homme- fauve capable de l'immoler avec qui elle devra composer, collaboratrice de ce pouvoir absolu, elle devant protéger sa future progéniture avant toute idée de survie pour soi, ne se devant qu’au devoir de mère resté en elle. Changeant simplement de potence à qui se pendre et tenter de se prendre. Lui demandant timidement aide et protection, son protectionnarisme, autant que prostituée à maquereau en mère maquerelle et sa seule mère au monde.rendue indisponible à Lui devenu son dieu, indisponibilité consécutive au combat de lutte passive et présente qu’elle mène contre la violence à domicile déjà établie à titre d’ordre établi. Prise secrètement par la prise électrique femelle avec prise de terre qui fait masse du plaisir refusé ou qui se refuse, à la hussarde de soudards dégénérés de dépravation sordide ou gênée, seul respect qui lui est du. Ce qui fait d'elle Eve éternellement prostituée. Prise malgré tout, sinon par le pilori de la torture électrique du viol thérapeutique. Ses dernières lobotomies ses dernières pertes sanglantes, assimilées à celles de l'idée qui lui sont dues ou ennuis après les petits ennuis règlementaires dus aux tchadors médicamenteux pour sa trop grande raison logique face à sa condition. A laquelle elle n'échappera ni à la systémique de sa systématique. Femme tant devenue inconsciente de sa condition autrement-dit caste sociale, qu’un chat ferait plus pitié sur la table d’opération, que cette truie parfois encore humaine, que la femme rendue si femelle ignorante et ignoble, orgiaque et dépravée que jusqu’aux hommes elle fait honte qui la couvrent d’opprobre, parfois lui pris de pitié Tout à la femme, de ce siècle, n’est du. Tenue pour animal inhumain et naturellement si par l’homme civilisée esclave de ce penchant, sa nature devant tant être contenancée du tchador médicamenteux et du carcan des faisceaux, de l’opération de son cerveau et de son organisme, femme donc si animale et rendue caricaturale de ce trait d’Hommes-Loups et Furies fauves maladives qui les ont conçus, qu’elle doit pour sa conscience rendue comme l’on se rend contestataire à cela, être réséquée de tous bords et cotés, opérations de son corps enlevant à la rose les épines que la nature rebelle à la nature même de l’inquisition lui a bien voulues. Rendue à la vie qu’elle est sensée concevoir inadaptée, et mortelle de ce fait. Son plaisir-né mort-vivant, ramené au viol sodomite de l'organisme féminin jusques dans son cerveau vécu cervelle, en son enveloppe charnelle, devenue corporelle, réséquée de la barbarie frigide des termes scientifiques désignant son anatomie. La femme pour son devoir d’accoucher en clinique ou milieu hospitalier ou médicalisé, condamnée à l‘appellation froide, méthodique de malade, sinon mentale, du moins patiente, à vie. Son intelligence si elle persiste ramenée à celle assommée du plaisir, dit vacuité féminine, en fait requise de ce plaisir connu, intelligence ramenée aussi à celle de ses grossesses craintes et supposées d’enfant autiste, grossesses sans pensées de lui, laissées au vide mental qu’il peut causer et peut amener la mère au d »ni de grossesse si elle ne lui est avouée, d’où l’annonciation à la Vierge, Mythe chrétien envers les grossesses passées inaperçues, la mère perçue obèse seulement, ou goinfre affamée, vide mental soupçonné arriération et réputée affecter la pensée de la femme qui l‘a porté, et laisser idiote, sans plaisir ou autistique. Confondant gifles, brutalités et malaises, ce qui ajoute à l’idée de confusion mentale que se font les médecins, donc, la femme enceinte réputée folle ou inconscience, de sa grossesse, donc irresponsable de concevoir ce bébé, sans aucun discours pour l’en avertir, sa conception tue sinon simplement vécue hallucinatoire ou suggérée, si la mère du bébé s’en doute... Sa schizophrénie depuis qu'elle n'a vu le Loup dans les bois ni l'homme au Loup, de ne vouloir ouvrir ni offrir l’ouverture ni le plaisir de son sexe à tout un chacun dit dans ce cas autrui, ramené à celle du besoin préconçu envers la Femme, de la partie fine sociale, réputée et dénommée devoir être et rester sa seule socialisation, en fait, conforme à l’orgie planétaire actuelle. Effeuillez mon livre avant de m’effeuiller, moi, au claquement de doigts. La Femme condamnée aux travaux forcés intimisés, de séduire ou plutôt apprivoiser son futur époux en premier jusques dans son dernier rapport sexuel (sensé l’éclairer sur son métier et ses tâches, le rapport connu résolutif en cette matière ou science infuse sensée l’éclairerd’où le viol thérapeutique destiné à éclairer son inconscience d’être femme), travaux forcés intégrés par pur alcoolisme du fait et vengeance envers soi plutôt qu’envers autrui par pur pacifisme sinon condamnée à son enfant mal né qui l’a violée de naître, morveux conditionné dans le ventre bourrique qu’elle devra réparer, qui lui arrache le pain de la bouche dès qu’il devient suicidaire ou dangereux, ou dans les cas de célibat forcé pour cause de trop d’émancipation féminine, aux moutard des voisins, déjà grands, condamnée damnée à les éduquer pour sa stérilisation forcée, dans un lent travail autoconceptionnel de soi-même, après destitution par le passage à tabac constant, seul contact de son corps et de sa pensée sous les violences conjugales psychiatrisées du maitre de sa conscience qu’il lui faut entre autre son psychiatre et ses substituts, qui lui ont été imposé, après la dernière amputation de son cerveau et le lavage de cerveau de la raison féminine. Formulée déraison aux yeux de l‘humanité. Sa conscience humaine champ de luzerne ou s’ébattent les Hommes condamnés au coup mortel précédant le tranchet sinon la balafre..
Les zones de ses rêves de femme réséquées. Les zones de ses rêves de femme réséquées. Le suicide ou la raison. Rééduquée pour réapprendre à la formulée après ablation tout comme page serait arrachée sur cahier de brouillon, pleurs, cris, pourquoi la femme pleure et crie, parce son psychiatre l'opère parce que son mari sinon son père la bat. Femme, battue. Réduite au style infantile pour celui de son enfant, qu’elle n’aura si son père le juge bon. si elle n'accepte pas le viol de son corps, la lésion de sa tête, la castration de son sexe. au nom de la société qui la combat, combat qu'elle lui rend d'un travail d’éternelle épaule éminence grise de celui de l'Homme. Son intelligence issue uniquement de lui ou de Lui, dans ce cas parole de Dieu. Quand elle ne peut que vainement agiter la langue en guise de baiser buccal dont elle ne se donnera même pas, réputée pour ce fait jacassière, condamnée pour ses guerres de tranchées et combats inutiles, à l'oncologie de son sexe et aux langues de pies..aux langues de pies.. Condamnée, éternelle coupable depuis Dieu et sa venue sur terre, à corriger ses fautes, de frappe et de français, de chacun des français, à réciter des messes dument apprises pour son devoir devenu liberté, son plaisir limité à celui d’abbesse et de curé. Quémandant son plaisir autant par folie pure qu'esprit suicidaire, amoureuse uniquement du manque sexuel, et ne bandant, ne se prenant que l'appréhension de l'homme, du manque de plaisir connu avec lui, sa connaissance du sexe se limitant à ce quelle peut en deviner, l'initiation à l’Amour réservée à la télépathie amoureuse de l'attente dela rencontre véritable, feeling que son intuition lui dit et qui la sauve du monde de brutes épaisses qui l'attend, dictature supplémentaire à celle de l'Etat..Et ne devant l'amour que quand elle le doit. Réduite en bouillie au style infantile pour celui de son enfant, qu’elle n’aura si son père le juge bon. Eternelle prisonnière d'opinion de l'Homme son nourrisson qui la roule sous la férule et la possède et du psychiatre qu'il lui faudra pour l'y résoudre. Femme préservatif féminin, que l’on met dedans emboutit et que l’on jette, sans que rien ne paraiss et qui aime, du moins cela, sans que cela ne la satisfasse, aimant le sexe par son manque, jusqu’au coït de la jouissance éternelle de l’absence de mari, mort à la guerre, de ce pays mécréant mercantile de dépravations sauvages, mêlant haine et amitié, amour total et guerre totale imbécile, pouvoir absolu, et antiféminisme fraternel. L’Amour flottant d’un air de liberté, dans l’utopie merveilleuse d’une société humaine. Définition de la Femme. Assassinée abattue de main même de la femme de ménage de Karl Marx, encore au dessus de chez elle. Psychiatrie voile français d’une femme hindoue, indigène de ce pays, la Femme en elle. Restée nubile jusqu’à sa pré cancérisation dénommée polype. Justifiant le statut de femme-bonzaï, retaillée telle belle plante depuis l’enfance. Au laser et bistouri laser. Pratiques de l’asile psychiatrique de Turquie envers la Femme, pratique des électrodes en cas de sa grossesse, jugée nerveuse, déniée, ou vécue folie pure, électrodes infligée parce « pendant ce temps elle ne doit pas prendre son traitement », et donc sensées remplacer toute thérapie médicamenteuse envers la Femme jugée trop émancipée. En fait, d’avant-garde, Résections au domicile de la personne, de cerveau, selon les mêmes méthodes d’investigation du domicile de la personne ne question, que celles de la DST, des Services Spéciaux et de l’Eglise de Scientologie, en vue de STO ou le PO. Femme d’honneur de lettres et d’esprit des représailles fascistes à la petite semaine. Pour que la France ne bouge d’un poil sous le bistouri. Au cas où la femme émancipée possède encore les possibilités de son amant, et profite de ses libertés, de la police psychiatrique conjugale de ce mari. Sous le joug de l’Amant idéal qu’il représente en elle. L’Amour y compris selon l’amant une folie érotomane devant resté caché dans le non-dit du maquis de la résistance faite aux générations antécédentes et à celles du pouvoir, la jeunesse, une maladie mentale grave, le plaisir, une hérésie mettant la vie en danger, de soi et d’autrui, suicidaire de se heurter à la société de consommation et la société en perdition en devenir nazi, dans la lutte désespérée contre les libertés féminines sa liberté de conscience, et d’expression, devant rester soumise au fascisme sexuel. Au nom du Père Frère du Roi, (de famille, et sa patrie), du Fils (du voisin), ou du FIS envers toute fille libérée du Maghreb français, tenue dans ce cas pour femme libre et lesbienne, et du Sain Esprit, dans parties de basse fosse, messes noires organisées aux crimes parfaits, et crimes. Camps Mao et Front National, extrême droit entière, décidant de lobotomiser toute infirmité qui refuserait le travail, estimant que la pension d’invalidité n’avait lieu d’exister. Au nom de l’incohérence requise , de l’émiettement du raisonnement, du vide mental obligatoire, de l’obessionnalité sous la contrainte de l’opération, de l’estropiement et de la lobotomie. Selon les rites de la dernière guerre mondiale et du Dernier Empereur, le livre et le film, tenus pour être dans cas de guerre froide, vécus intimement. Les juifs aussi ont vécu la dernière guerre mondiale très intimement, de 39 à 45 ; Folies du vieux Montpellier et à l’heure actuelle, de petites gens impliquées dans les affaires de mœurs du gratin, de la société bourgeoise et de l’aristocratie féodale médicale en vigueur de nos jours, issue de la vieille aristocratie des villes et villages alentour, régnant sur toute ville et région du pays au nom de la substitution précisément à ces fêtes et orgies à blocs opératoires (parties de violences gratuites et politiquement engagées) à base d’opérations et tortures médicales mutilatoires, substitution des victimes de cette fraude dans un Jeu de massacre d’Ionesco. Sur Femme émancipée même apolitique, ou homme libertaire. Sur les condition d’attaques armées de Brigades Rouges des Camps Mao et des interventions, médicales à nos jours, de la gestapo. Il fallait être d'accord avec le médecin et Dieu le père comme par Raison d'Etat (création du Médecin et de la Médecine Psychiatrique d’Etat-Raison d'Etat). Pour savoir si elle possède la Raison, soupesée continuelle de la qualité de la conscience, de l'intelligence de la femme libérée pour ses pensées libertaires, rejugée ainsi que prévenue, conçue prostituée dite femme libre par des fanatiques d'un Ku Klux Klan à la Française, des fanatiques d'une exhumation du S.A.C. faisant partie de l'entourage. Ceci pratiqué, soutenu par les mégères de quartier, leurs sympathisants, des passionnés houligans de la torture américaine, de la torture médicalisée. Antiquement contre-révolutionnaires et résolument hyper-conformistes. Soutenus par des pères fouettards, mères maquerelles, mères sacrifice Immaculées Conception, Dames de Fer grandes Folcoches, Génitrix, pères endeuillés du Grand Mal de leur malade enfant prodigue plutôt qu’à leurs yeux prodige, parents assez matons pour dénigrer les faits de la torture, ceux de la torture médicalisée, dans un révisionnisme de bon aloi, emploient la menace d’internement, les électrodes et le Soin psychiatrique. La politique du Haut Mal Moyenâgeux. Du feu, du fer, le pouvoir des armes, le pouvoir de durcir la guerre par les armes d'une politique expérimentale fascisante propre à la médecine et aux hôpitaux. Qui sensibilisent des familles propices à cette morale de camps d’internement. (Psychiatrie lourde, gros traitements, longs internements, hospitalisations d'office en hôpitaux, à domicile à vie (le plus souvent non déclarées), dispensant des soins officieux, méthodes de répression étatique déclarées publiquement soins). Dénigrement de l'intelligence de la fille, de la femme ainsi que du gauchiste-né à la racine, de jeunes gens émancipés déclarés publiquement et en petit comité en état critique de démence précoce, prémisse de la schizophrénie, si portés sur la critique, la contestation iconoclaste, dès le plus jeune âge de leurs facultés, à la moindre prise de conscience. Diagnostic de cet état critique sur tout contestataire de ces familles à propension vissante, envers tout parent proche contraire aux actes de revanche de fanatiques du bordel fasciste, menés par l'intervention psychiatrique et le Soin. « Ce n'est pas de toi, dis-moi » : la femme libérée considérée esprit nul, ne possédant qu'une intelligence au moindre QI que celui d'autrui. Le QI le plus respecté restant celui de la torture pas raffinée à faire douter de votre parole, promise aux surdouées, intellectuelles, enfants précoces, jeunes gens mûrs avant l'âge pour avoir trop eu à souffrir de ces sévices. Classifiés dans la folie pour ce que l’on en imagine.

La Gauche mal à éradiquer dans une chasse aux sorcières incessante contre la liberté de pensée, le féminisme, l’usage du sexe féminin et de la Veuve Joyeuse, un déferlement de violences, de jugements derniers, menés contre les principes de la démocratie, de la république, de l’égalité. Lutte, guerre ou pogrom fondé sur la répression et la torture médicalisées, la torture psychiatrique, dirigé contre les défenseurs des Droits de l'Homme et du Citoyen, de la dignité humaine et de l'humanisme. Contre les défenseurs de l’antipsychiatrie tout court, et les femmes libérées. Le féminisme faisant partie intégrante de l’humanisme. La schizophrénie ne touchant surtout que la population de type mâle, les femmes concernées par la psychiatrie étaient, sont surtout masculines, garçons manqués, homosexuelles, émancipées. Cf. la Psychologie des foules, de Gustave Le Bon (1895), concernant les femmes et les enfants, déclarés, traités en races inférieures, propres et propices à la manipulation, certainement parce que peu cultivées, peu scolarisées ou bien trop intellectuelles et cultivées pour le commun des mortels et celui de leur « race ». Pratique rituelle de la torture (sous le prétexte du devoir prétendu de l'amour et de la sexualité hétérogène chez tout individu) sur les individus émancipés de la société française pour cette cause du plaisir solitaire, pratique de son interdit (cause de l'obésité en France et dans le monde) aux méthodes très pérennes, excessives et répressives aussi connue et maintenue taboue et tue mais sue aussi connue que l'excision des femmes en Égypte. la femme pour cet usage libre et non soumis à l'obligation, de son sexe, vécue petite fille. Donc dépourvue autant qu'enfant de conscience, de la Raison, de la Raison d'État donc, et donc folle, à traiter des mesures très répressives et tortionnaires de la Raison d'Etat. Équivalent dans la population masculine. Obligée elle à rester population maculine, ou maculée de ses maculations Je dois en quelque sorte fournir la définition philosophique qui à mon avis convient le mieux à ces mots, cause de complexes très aversifs et de blocages dans la société. Terme masturbation et son concept de plaisir, soulagement et acte naturel ressurgi dans les années précédant et post mai 68. Les femmes de cette époques et militantes de ce mouvement s’étant heurté au machisme avéré de leurs compagnons révolutionnaires, qui ne l’oublions, sont issus de la branche phalangiste stakhanoviste surtout stalinienne et prosoviétique, branche fasciste du communisme révolutionnaire, grande bataille de cette époque concernant le plaisir et le plaisir à deux, bataille perdue. Faction dure très répressive de la gauche qui a jeté le discrédit sur les évènements. L’Homme pour son féminisme détecté ou avoué en milieu hospitalier, roué de coups et de violences aggravées pouvant s’avérer mortelles, bien pis en sus de la torture électrique et des tortures mutilatoires destinées à la Femme. Actes de lynchage de commères matriarcales envers tout féminisme, de violences ’affreux jojos dans le devoir séculier de réduire l’activité sexuelle des couples au besoin de se reproduire, dans la plus stricte pornographie, sous leurs bruits de bottes, selon les préceptes de la religion. Le carcan imposé de la mégère. Cas pris pour exemples même exemplaires de rédemption par la torture. Cas destinés à intimider la population, prioritaires pour la ré-hospitalisation. Par contre, selon la loi de l'infibulation, dans un but répressif, pour assouvir la soif de résolution des vices cachés dans la population, le plus souvent, existe la contrainte au rapport sexuel par ingestion forcée d'aliments aphrodisiaques : Les œufs, tout aliment pouvant provoquer le plaisir selon chacun, une pratique qui relève des rites autour de l’excision des femmes en Égypte et de l’attitude proxénète du public qui précède l’opération. Infibulation par implants électriques. Deus ex natura, mais jamais Deus ex machina. Interdiction du rapport, de la rêverie non forcément érotique surtout quand elle concerne un monde meilleur, sans l'écoute forcée des litanies divagatrices de vieilles femmes, de leurs suivants, durant leurs actes de lynchages, guides nurses chaperons des cités dans les cas de rapports forcés qu’elles infligent. Actes de satyres saphiques. A projections psychologiques de fantasmes multiples à déviants sur sujets analogons, projections parfois meurtrières. Tempes orbitales ravagées pour trop d’idées d’émancipation le plus souvent féminine, pour leur trop grande largeur et épaisseur, creusées de ce fait si elles dépassent de trop des yeux. Centres nerveux des idées féministes selon les toubibs, de type Algérie
Clitoris brutalisés par doigt glacé inquisiteur, moqueur, agité tel doigt dans une oreille sale, au cours du même toilettage après les séances d'électrodes, le bain forcé qui les accompagne bien souvent tant l’odeur de brûlure des chairs est forte : Le plaisir extirpé par réaction aux électrodes, celui de la crise d’épilepsie qui suit l’infliction des décharges, assimilé à la masturbation, sujet de prédilection des leçons de modestie et référence au sale, au crade et à l'aliénation, sinon à l'arriération trisomique (oligophrénie, trisomie déclarées maux de primates). En tout cas et c’est un fait connu, plaisir décrété maladie mentale grave digne de punition le plus souvent corporelle autant qu’elle sera jugée nécessaire. Palpation papale des femmes avant les séances de torture électrique, au cas où elles seraient enceintes। Parfois, imposition des électrodes et chaise percée en cas de craintes de la femme, dite seulement trop constipée par les traitements, dans un souci de la corriger pour sa grossesse jugée improbable, inacceptable et méritant l’avortement illicite que causeront les décharges. Avortements sous coups et blessures, purges à l’huile de paraffine, si huile de ricin périmée. Depuis le temps…
Le débat de l’avortement devrait à mon avis se situer au niveau de la prévention plus qu'à celui de la réparation des négligences de contraception, donc contraception. Le problème étant inhérent à la propagande religieuse mondiale contre la contraception de la femme, qui n'en paie que les frais et se réclame de droit d'interruption de la vie, un pur assassinat j'en convient, l'embryon humain même encore né déjà un être humain, la solution consisterait à éviter qu'il ne soit paru sur terre, et donc, agir au niveau de la fécondation, mais, le hic se situant dans le fait que la religion l'interdit et règne sur la planète, d'où son explosion démographique, l'athéisme n'ayant fait que suivre la morale de la droite, qui préfère s'attaquer aux résultats de la "faute" de conception on désirée, plutôt que la prévenir, et instituent le droit au meurtre d'embryons humains au nom des obligations et devoirs du travail de la femme, que souvent, esclave du travail et de la société, après avoir été esclave des hommes, au nom de ses libertés, elle entreprend de respecter cette dictature de servage, soumise au travail obligatoire au nom de son émancipation. Resituer le problème reviendrait à créer plus de plannings familiaux, de campagnes d'information et d'éducation sexuelle, qu'interdisent les religions, afin de dispenser l'information nécessaire à cette prévention, qui ne se base encore que sur des produits anticonceptionnels cancérigènes à base de produits hormonaux, et non sur l'usage qui devrait rester maitre, du préservatif, si simple, si efficace, l'avortement devant rester thérapeutique et réservé à des cas de santé précaire, les viols et cas de grossesses indésirées pourraient être mieux pris en charge et aboutir à des accouchement avec adoption de l'enfant, si les accouchements à l'heure actuelle ne représentaient encore un danger de mort pour les femmes, la science s'étant bien gardée de quelque progrès en la matière plus efficace, si l'on va de nos jours sur mars en fusée. société de consommation qui détourne le femmes de leur vraie fonction, d'être mères, leur rôle premier, les oblige à concevoir tout comme à avorter pour les besoins d'un capitalisme sauvage, société du gaspi, où l'on jette jusqu'aux bébés à la poubelle pour le simple fait d'avoir omis un préservatif durant l'acte, où les mères pour leurs quelques instants de déprave à laquelle elles sont adoubées, priées pour les lois du travail de n'aimer leurs bébés, les assassinent froidement, conditionnement. L’athéisme, dont je suis, devenu prosélyte en cette matière, intégriste dans son rôle et acheté aux besoins du capitalisme, niera peut-être cette solution, mais elle parait la plus saine. Un peu de morale, d'éthique déontologique dans ce champ de bataille de médecins Diafoirus poujadistes et arrivistes au nom du féminisme qui ont laissé pratiquer de tels débordements de gaspillages de chair humaine, serait nécessaire. Ménopause décrétée, grossesse dite illogique, car ménopause déclarée acquise depuis longtemps, y compris chez sujets même pas ménopausés, depuis leur dernière injection hormonale destinée à les stériliser à vie. Anticonceptionnel retard testé sur femmes encore parfois actives, nullement invalides, certifiées démentes, encore capables d’enfanter, parfois en couple. Si leur stérilité n’est imputée à leur traitement neuroleptique. Désir de rétablissement du bordel, du proxénétisme envers la femme libérée. De la prostitution de l'intelligentsia, du corps de la femme émancipée comme de ses idées. De sa conscience comme de sa mort, de sa morale comme de son amour profond pour la vie, par tout effet de torture des brigades rouges maoïstes comme par ceux, recréés par l’Hôpital et la Médecine Psychiatrique, du SAC, des autorités. Cf. la « Politique du Mâle », de Kate Millett, 1971. Silence hôpital. L’on pense pour vous. Pour celles qui ont osé dire qu’elles ont les règles, traitées en prostituées notoires pour ce seul fait, jusqu’à la confection de règles douloureuses, hyperalgiques (dysménorrhées). Causes de premiers internements désirés à vie, des années 70 à aujourd’hui. Le cerveau de la femme et des féministes ne devant excéder 1 Kg de poids (microcéphalie obligatoire et contrôlée).
Pour son usage aussi de la Veuve Joyeuse, pour son art d'échapper ainsi à l'obligation de coucher avec le premier venu, de préférer soi-même à l'Homme ou plutôt à l’Hyper mâle teutonique nazi à pro-nazi, sans pour autant négliger l'amour libre : Loi en France même de l’excision de bouts de cerveau ou de ses organes sexuels, à défaut de clitoris, contre la femme émancipée, sa force, son choix, son pouvoir de vouloir, sa volonté d'être intransigeante et de défendre ses libertés. Contre celles de la défloration au vilebrequin, parachevée aux courants électriques. Actes sexuels tenus pour provocation saphique voire auto-incestueuse, la rêverie sentimentale, le plaisir onanique chez la femme, tiennent de la position interdite par l'Eglise, selon les règles en vigueur dans certains états américains qui louchent sur les œufs du pauvre et la position interdite, Mai 68, celle qui peut être condamnée de la prison, de l’hôpital psychiatrique à vie, de la peine de mort. Vécue péché mortel par l’ensemble de la population, un Valium, Monsieur Cohn-Bendit ? Par la médecine psychiatrique. Agité. C'est selon. Selon exigences de l’entourage. Cela fonctionne également pour la frigidité ou l’abstinence quand elle n’est obligatoire. Depuis Mai 68, la population des ménagères a mal digéré les libertés sexuelles acquises, le gain en libertés chez la femme défie les règlements, les lois archaïques de la mégère souhaitent mettre un terme, cela se conçoit, au déferlement de droits qui les offense, plante là son gourdin dans le but d'intimidations exemplaires Combat de ce lumpenprolétariat de femmes âgées et de leurs sbires, à gros coups causés par les implants, les visites d’infirmiers, contre toute percolation sociale de leurs prisonniers, la femme devant rester esclave ménagère active jusqu’à ce que mort s’en suive, la rédemption du plaisir par le travail, mythe de la femme soldat. Dans le genre fourmi rouge. Espionne ou pas. Combien de cancers fibromes, polypes pour un ménage mal fait. Surmenées déclarées par autorités, déprimées en état de dépression dès que faiblesse ou travail bâclé. Electrodes. Ah, excusez on savait pas. Condamnation dans la population occidentale du plaisir, de l’usage du sexe féminin dans son intégralité, selon les lois musulmanes, pronazies et américaines, selon de procédés de répression et de mutilation de l’innervation du sexe de la femme, asiates A ce fait, la surnutrition en produits alimentaires hyper protéinés et à base de féculents revenant à la mal bouffe capitaliste et destinée à préparer le corps de la femme à la venue d’un embryon mâle, devient dangereux pour la santé des femmes, emportées par l’envie de procréer, selon les rites de la religion, et de la reproduction des forces de travail, un enfant de sexe masculin, nourriture contraire et inadapté au génotype de la femme (surtout si cette alimentation nocive en soi constante) qui ne devrait que se contenter, destiné à ces aliments, qu’à la nourriture destinée elle à concevoir un enfant de sexe féminin, autrement-dit, les légumes, produits laitiers frais, et fruits en quantités assez conséquentes pour que la femme ne souffre de cancérisation de son organisme et donc de son corps, devenant là ultime enfer mortel.
La surconsommation de cette nourriture hypercalorique, très riche en graisses saturées frites, et en absence quasi totale de fibres, hypocalcémique sinon forte en produits fromagers à bases de pâtes cuites et très fermentées, dégénérative et concentrée en radicaux libres, contrefaisant l'action sur le corps des répressions psychiatriques de la torture électrique, et cause de la virilisation du corps de la femme, entre à son métabolisme, ce que l’usage des traitements neuroleptiques lui ressert, certaines mères en gestation d’une fille nourrie exclusivement de cette nourriture mâle, fournissent à la société des femmes laissées de leurs grossesses hypermâles viriles, soldiers ou soudards, violeuses, saphiques animales. Mamas Da écrasantes de leur poids de connaissance en la matière de prostituer, prostitution de type asiate, maghrébin, vieux genre européen de mères prostitueuses incestueuses querelleuses molesteuses privilégiant l'obscène et la pornographie, ne se donnant qu'à époux effacé ou plus grands fascistes et bourreaux qu'elles selon le mode Dubout le dessinateur du Midi, ivres d’orgueil démesuré en surestimation du moi-je et d’auto persuasion scientiste arbitraire, faisant une allergie systématique au lait frais, en fait, laissé sur la table jusqu'à sa péremption et cause d'intolérence digestives très allergiques,car lait tourné allergène jusqu'au vilitigo connu des nourrissons décrétés, en intolérence au lait, qu’il est vrai l’organisme adulte a du mal à assimiler, néo-führers fléaux aux tortures rituelles devenues rites sociaux, sergents major-chefs-nés de leur famille, menée tambour battant au pas du service militaire, militaristes violentes parfois hyper violentes, incultes et très grossières, donnant une population matriarcale de mégères hommasses, prêtes à reproduire sur autrui ce qu’elles se sont infligées de tortures dont leurs sévices alimentaires, jalouses de tout individu qui leur aurait échappé, émasculeuses mères castratrices mères privilégiants leur progéniture-tiques et sangsues, mégères plus puissantes que pouvoirs de mairies entières, dont la société et l'humanité souffrent, forgeant d'elles la nouvelle Inquisition psychiatrique, pour certaines réutilisées servant d'infirmiers de choc en psychiatrie, fonctionnant sur le mode parasitaire de la vermine, s'arrogeant, s ecroyant tous les droits, prenant le pouvoir par la force du crime contre l'humanité er de devoir assassiner, forgeant en putsch assermenté la société sécuritaire policière, véritable pègre toujours du bon côté du manche de la gégène sinon policière, du moins médicale, pègre milicienne armée des armes du pouvoir s'introduisant en tout lieu où leur proie résiserait ou se situerait, société reliquat du 20° siècle. Mères qui s'invaginent nourriture sous toutes ses formes omnivores autant qu’excréments qui serviront à confectionner ceux de leur progéniture, forme de déviance qui pourrait paraître aussi naturelle, si cultivée, que celles de l’homophilie. Ou homosexualité. Ou celles de la partie fine, pourquoi pas de la zoophilie, de la pédophilie, mis à part que dans ces trois cas l’individu partenaire n’est pas forcément conscient ni consentant. Dans la partouze à viols collectifs, non plus. Le problème du consentement restant le même. Certains, certaines, revendiquant l’homosexualité en toute bonne foi, autant qu’ils revendiqueraient, ou revendiquent, la prostitution, voire, le proxénétisme. Le problème initial de l'homosexualité et des déviances sexuelles revenant à mon avis, au refus de l’inceste de l’enfant envers le père, la mère ou les deux parents, aux diverses canalisations problématiques du refus, sinon saines, du moins, parfois mal assumées et par l’entourage, et par l’enfant une fois adulte ou adolescent. . S'attaquent aux viscères de la conscience tranquille. Eux prenant de gavages de la femme fidèle en gavages assermentés les bourrelets constitués pour les circonvolutions du cerveau qui finit par lui manqué, avec la perte de l’idée et du bout de beef attenant. Femme libérée condamnée au paquet de frites belges chaque jour de sa vie s'il le faut, après le supplice chrétien de l’inquisition du supplice de l’eau, celui du gavage forcé à l’aliment, mariée au corps de médecine et à son entourage pour plus de facilité à la violer en femme facile, ses défenses y compris naturelles, après avoir été exacerbées des violences conjugales ainsi instituées à son encontre pour toute démarche de se défendre et de défendre ses droits qu’elle entreprendrait ou aurait, lobotomisée pour le principe simple de réussir à toucher la chatte à la voisine que chacun s’attribue en tant que chienne et handicapée impotente sinon à rendre impotente et infirme de pédophilie paroxysmique à son égard en guise de lutte contre sa philosophie.
Pogrom sur esclave domestique prostituée sans aucun réflexe de légitime ou self défense permis en poupée gonflable qu'il leur faudrait en fer si on ne l'en gave pour la résolution de ses maux, et qui ne doit se gonfler à l'air libre et prendre l'air qu'elle doit avoir dans le bide que de soi ni gonfler autrui de se refuser à lui... Procédés sur elle de Viêt-Cong en Asie. Pour ce qui est des femmes issues du Maghreb, la plupart isolées dans le monde homosexuel de mamas, gavées au lait de chamelle dès leur nubilité, ou leur âge venu d'être mariées, le plus souvent en mariages arrangés, elles vivent encore en France sous le principe du viol sur les toits de la médina, entre femmes, femmes isolées du monde des hommes, univers féminin reclus et fermé sur lui, tournant autour de la prostitution forcée entre femmes, mode de vie quotidien lié à l'orgie collective barbare ou médiévale conduisant à la prostitution libre ou gratuite de la femme ainsi devenue facile, prostitution typique de cette culture introduite en France par la voie du regroupement familial et de l'immigration. Monde imbibant de vice qui lentement travaille puis de guerre lasse finit par séduire, seule issue et porte de sortie vers une survie qui n'est qu'une demi-mort lente de l'esprit de lutter contre cette tentation du corps , le corps absorbant d'abord les tortures et les coups, puis les plaisirs d'abord respectés chastes, puis lentement orientés vers l'orgie de la prostitution acceptée récompense, d'abord de femme sur femme puis mêlée peu à peu à la prostituions véritable, de tous sexes confondus, les filles devant se donner à tout client, homme ou femme. Dans une prostitution en appartement fermé, ou en semi-liberté, libre ou intimisée en liberté de coucher, découcher, déviance sexuelle en sus de celle de l’homosexualité due à un conditionnement lentement consenti, conçue liberté de pensée féminine ou féministe, en France la fille tenue chargée d'accueillir le client à domicile ou en call-girl. Le féminisme de la femme vécu son handicap, tenu pour du à son sexe également. Substituée par la psychiatrie à son combat et au combat armé mené contre elle, pour le fait considéré d’opinion d’origine de son sang hispanique si d’origines espagnoles, reproduisant la substitution par les pouvoirs de la révolution espagnole, des pauvres et petites gens au service militaire qui revenait aux nobles et que ces gueux auront du enduré, guerre ou pas, rémunérés ou non en fonction sinon enrôlés de force. Problème de la substitution qui règne de nos jours envers la femme même en France, et dans les cas de prostitution. La plupart des femmes qui en sont issues assez charcutées, laissées à moitié assassinées cuites et finies pour finir cureteuse d’abcès en chirurgie ou fouilleuses tritureuses de consciences, capables toutes ou à eu près de tuer pour survivre sinon faire leur médecine en internes le plus souvent barbouzes médicales estropieuses bousilleuses de patients dissidents, laissés finis. Claqués. Certain(e)s patient(es), sur simple appel aux urgences médicales même d’un tiers, c’est le cercueil qui les attend, déjà fiché(e)s, urgences où l'on n'en est plus à l'onguent antitétanique contre les épines de rosier de belles et de leurs jardiniers du moyen age. les secrets de la révolution culturelle humaniste de la Renaissance en urgences médicales et soins due au franc-maçonnisme, révolue. Perdue la pharmacopée médiévale. Europe se faisant, ne serait-ce que par la coalition de cultures médicales, récupérée par le profit capitaliste, apparition de métacultures et de métapopulations, qui emploient les différentes mafias, ce qui peut être triplement mortel pour les victimes choisies.
Les populations féminines maghrébines, black blanche et beur réséquées, lobotomisées des tempes en particulier, des intégrismes du FIS, et des intégrismes extrémistes français. La femme libérée jugée femme libre, autre dénomination de la prostituée ou femme de joie, femme qui n’est jamais celle que l’on croit, termes de formule protocolaire réplique d’approche dans la rencontre proposition de rue.. La séduction chez la femme ramenée à celle de la prostituée chienne. la Femme lapidée, exécutée, morte vivante, au plus profond d'elle même, des persécutions lapidatoires de la torture électrique de la Psychiatrie, selon les rites de Zorba le Grec, le film. Femme élaguée pour que rien ne dépasse des rails du chemin de traverses, qui mènent à Dachau, ou en Russie soviétique. Chargée de nettoyer à la sueur de son front et à l’huile de coude qui sert d’huile de ménage dans le couple français, les vieilles casseroles de cet Etat qui les a faites flamber, au dernier du condamné durant ces dernières décennies, casseroles qui une fois brûlées, sont faites pour attraper, attrape nigaud de taille pour qui se nourrit de cette vendetta, sa pitance brulée inévitablement des vapeurs de la cuisine française depuis les hauts temps de l’interrogatoire. Complexe cannibale d'Hannibal, suite de la trilogie Le Silence des Agneaux, du monde hospitalier, datant de la découverte du Nouveau Monde par Christophe Colomb, fait marquant des violences que cette coutume tribale peut entrainer dans les mondes civilisés, cannibalisme scientifique soviétique et pro-allemand nazi propagé par la psychiatrie, exacerbant cette tendance rituelle des masses populaires. Allant droit au sacrifice humain, à la cuisson de cerveau ou son amputation partielle, morceau parés après morceau, destiné à s'approprier l'intelligence de l’Ennemi et de la Femme tenue pour ennemie éternelle, cannibalisme consommant la beauté physique et intellectuelle de la Femme pour la tuer en elle, ne devant et rester mère nourricière que d'alimenter ces services et réseaux des plus proxénète (le proxénétisme une forme dérivée du cannibalisme populacier), que du fruit de cette chair qu'elle recelait qu'elle est, représente et institue parfois, ce que la plus innocence du fait paiera au prix de sa suppression sinon totale, du moins partielle en ce qu'elle possédait de plus cher en elle. Anthropophagies sociale récupérée de façon détournée et ses dérives fascistes pernicieuses par les pouvoirs capitalistes. Et dépeçage ante-mortem de la Femme. Contrainte à composer avec ce genre de gorilles hurleurs videurs de sa vie autant qu'une Jane Goddal de pacotille devant régir sa vie selon cette loi de la jungle. Sa vie, dans la misère sexuelle et affective, la quête éternelle du plaisir féminin, Eden raté.
Temps contemporains de barbaries phobiques menées à la folie, dont sont accusés la femme libertaire et l'homme émancipé, son unique soutien en ce monde. Son supplice de Tantale de vivre Eve au paradis doté d’un Adam humain et réservé, paradis promis de nos temps modernes, compromis, devenu immolateur de sa survie, du surcroit des folies planétaires de la Terre, sursaturée des grands mythes Chrétiens, condamnée à la guerre ou périr. La survie de l’espèce, destin de la Femme, vouée au prix du sang versé de la mort, seul instinct de l’Homme.
Les dictatures intégristes des pays du Moyen orient et de l’orient depuis les désastres de l’immigration choisie récupérées par les pouvoirs qui passent de ce sur-ajout de pouvoirs absolu, en force en France, opération de forcing pouvoir machiavélique médical infirmier et de camora qui assujettit et se développe sur l’Occident et, la Femme lettrée qui le dénoncera et l’osera, forcée, et devra faire piètre figure, fille soumise à la première pimbêche de ces intégrismes fascistes qui l’aura voulu. Menée tambour battant par la voie de la libre circulation des armes légères reprise et récupérée elle par la médecine psychiatrique qui en use pour régner. Transformant chaque père de famille en véritable Saddam Hussein, barbu de l’Inquisition nouvelle qui alliée à la présence de l'intégrisme du FIS, Inquisition musulmane, sur le territoire national, passe en maître des milieux lettrés de l’intelligentsia aux basses classes populaires. Dans les ghettos français, chaque femme libérée d’origine maghrébine ou même française, passée par les armes ici décrites, armement non conventionnel de l’armée de terre, armes de poing d’infanterie légère, destinées à lobotomiser à travers murs et planchers, sur une portée de faisceau de 50 à 500 m, le crâne des personnes jugées posséder un cerveau assez développé pour relever de l’émancipation politique, intellectuelle, et féminine, ces trois critères allant de pair, l’humanisme faisant leur point de rencontre, cette lutte démesurée envers et contre tout esprit libérateur des dictatures, fait morts et blessés à tel point que la moitié de l’intelligentsia française est soit lobotomisée soit exécutée de cette entreprise de razzia totalitaire envers les cerveau du pays et susceptible de commuer les pouvoirs absolus du monde en liberté. La moitié de la population exécutée de ces armements illicite, les survivants arasés au moindre signe de contestation, divergence d’opinion, soit à son insu, soit de façon si souterraine qu’il est impossible de le faire reconnaître sans se faire taxer de démence.
Cerveaux féminins microcéphaliques atteints de limites aryennes, sur corps déformés d'éléphantiasis, femmes anorexiques tombées dans la nourriture pour s'habituer aux effets disgracieux de la grossesse et ses pertes d'identité mentale, physique, boulimie instituée par les mères dans ce sens d'habituer à la maternité les jeunes femmes nubiles, privée avant toute majorité du besoin sinon de l'assouvissement d'être aimées d'un conjoint réel, castrées de leur désir et de leur plaisir féminin au nom d'une maternité qui doit leur rester un devoir assidu, promis libération féminine et si seulement consentie par la famille, qui les nourrit au lait de chamelle autant que dans république Iranienne ou irakienne ottomane, phénomènes identiques de société patriarcale, de type intégriste musulmane, d'une société parcellisée, micro fracturée en micro cellules intégristes de tous ordres, qui raquettent pour un ordre, quand tant d'autres attendent hommes et femmes survivants à cet ordre d'une cellule parcellaire, pour les tordre dans un sens adverse et les arracher à la paix, de leur vie intime, jugée égoïste et inutile tant qu'elle n'aura servi à quelque phénomène de secte de quelque cellule de plus, ou de toujours la même, qui envahit lentement corps et esprit, dilapide temps de vie et de repos, obnubile et sert d'occupation nazie des corps et des esprits, mobilisés dans cette guerre éternelle qui tant sert à réunir des pays volontairement divisés, combat éternel de réunification de ces pouvoirs divisés, réduits à des clans adverses, pièges tortionnaires exigent tous les sacrifices, pathogènes et mortels. Raquet immonde mais purge véridique. Sodas dans bouteilles à capsule, ingérés par une moitié de la population, mélangés à traitement assoiffant neuroleptiques, destinés à calmer les esprits de révolte de l’agitation publique, et à augmenter la consommation de ces produits, destinés au départ à étancher les soifs les plus rebelles. L’information de campagnes de sensibilisation des Organismes institutions humanitaires et associations françaises et leur mobilisation ne circule plus que par l’infliction des tortures qu’elles ont répertoriées le plus souvent dans ouvrages médiatiques et des sites internet. Femme entre autres tortures, promise à l'incontinence urinaire des viols de son appareil génital, sinon par les lois du coïtus interrompus lysique, broyant par clap-end les muscles génitaux au moment le plus puissant de l'orgasme, piou-pioutage continu de sa sexualité, la Femme violée de ses couches, également condamnées au jeu meurtrier du clap-end, et là, il ne suffira du doigt des pompiers dans le rectum pour les sauver du décès. La culture humanitaire de gauche récupérée par les intégrismes fascistes français et étrangers pour une plus grande imposition de la torture en France, dont ces tortures répertoriées. Ces pouvoirs s’amusant au jeu d’exercer la répression exacerbant jusqu’à l’esprit de révolte jusqu’à la mater de répressions supplémentaires toute révolte qui en serait issue, la débusquant et la traquant jusques dans les moindres consciences tranquilles. Vaincre au prix de la mort les libertés de conscience et d’opinion, tel est le rôle d e l’Etat d’aujourd’hui, jusqu’à la fuite même des grands de ce monde à l’étranger de peur de tombe dans le piège promis de la répression psychiatrique Nul ne pouvant réclamer son indépendance au même titre qu’Amnesty International, politique, religieuse , éthique, philosophique, littéraire, artistique physique et financière bafouée par ces pouvoirs intrusifs à la vie intime et privée. Nostradamus disait, le 21° siècle sera un siècle de religions ou ne sera pas, la religion, une culture fondée sur la croyance en des faits issus du et basés sur le légendaire.

Ayant fait le tour des associations injoignables ou qui s'avèrent incompétentes en matière de violence sexistes envers les femmes battues, prostituées, notamment une certaine criminalité sinon raciale envers les intellectuelles et femmes émancipées, signifiant dans ce cas leur devoir d'abêtissement et d'infantilisation de leur logos, je remarque une nette tendance à la psychiatrisation des femmes violées, battues, prostituées, au sein même de la famille, ainsi qu'il en est pour mon cas, dans le particularités atroces de la torture psychiatrique,tout aussi grave et meurtrière que les violences conjugales qu'elles semblent reproduire, simuler, imposer, ainsi que que le devoir conjugal envers le médecin spécialiste, mariage dans la perte de la fidélité, aussi condamnée, l'obligation ainsi contrainte, au "droit de prostitution" érigé en devoir civique du STO, trafics d'un proxénétisme hospitalier féodal, gériatrique, psychiatrisé, méthodique, dépuceleur de jeunes filles, depuis la défloration au vilebrequin, écarteurs de cuisses (sur le bassinet ) de femmes rebelles à ce système de corruption de service hospitalier et psychiatrique, qui ne consiste plus qu'à imposer la torture médicale, y compris pédiatrique, anti-féministe, sous convention de torture électrique cérébrale constante, mutilatoire des zones cérébrales incriminées pour trop d'idées (de gauche, la gauche vécue mal, démence grave) mutilations nerveuses et cérébrales simulant et à titre de mutilation sexuelle déjà imposée, jusqu'au devoir de neurochirurgie, "geste médical" systématique, systématisé destiné à récupérer les victimes dites protégées, en devoir d'acception de ces pratiques, des dégats causés par la torture électrique, zones cérébrales réduite sen purées cuite de cerveau parfois ayant giclé d'incisions déjà pratiquées, pour résumer, de la torture physique et sexuelle, du viol correctif collectif dit thérapeutique, incessant dans certains cas dont le mien, à table, au lit, au travail, dans l'étude universitaire, scolaire, surveillance totale et absolue de la femme émancipée dans son devoir de manque d'autonomie, d'infantilisation de son statut réduit à celui de petite fille facile, si elle ne renonce à ses revendications, nées de ce ces méthodes de dictature fasciste, régnant dans les complexes hospitaliers, dans le cerveau de tout employé médical, en vogue dans le monde médical, sortes de parties de torture, dites de snurf, à plusieurs, d'équipes venues inquisitionner au sein des foyers, couples, s'attaquant aux femmes seules, célibataires hommes et femmes, mères célibataires, dans une attitude de cette médecine, pédophile aryenne, dans une régression des droits de la femme, sous une loi de substitution du devoir du Christ et de Marie-madeleine crucifiée à sa place, de payer les fautes d'autrui, dans le monde du macquage hospitalier en accord avec le totalitarisme déviant de la police, de la torture médicale qui s'instaure, qui fait peur, plus que honte, un terrorisme psychiatrique, psychiatrisé pour ses crimes et crimes contre l'humanité sous l'étiquette de démence, bien pire que Terreur Blanche qui tient des principes mêmes de l'Inquisition, sur de modes d'intrusion dans la vie intime et privée, de la Gestapo, selon le modèle du film 1900.

Je signale le fait, en tant que victime de lois patriarcales encore en vigueur dans les familles y compris athées françaises, fondées sur le modèle néo-nazi subconscient des années 50, la psychiatrisation des idées de gauche, et de mai 68, faisant partie de mon éducation, a sein d 'une famille basée sur le principe du père patriarche et dictateur, pourtant issu de la laïcité, ce modèle se propage, halte.

Constamment retrépanée pour la pratique en continu de décharges d'appareils à détenteur, de la puissance d'une décharge d'arme à feu, quasi séquestrée à mon domicile sur ordre parental, dans une contrefaçon de placement d'office qu"'il a voulue, à peine atteinte ma cinquantaine, afin de me punir des dernières plaintes que j'aurai émises auprès d'un tribunal, concernant ces pratiques illicites de la médecine, dévoyée dans la dépravation de la torture psychiatrique en famille, sans placement réel, les placements aboutissant surtout au décès organisé, prémédité, des victimes, entre "bons voisins" initiés à cette forme de "pédagogie" anti-universitaire, formule nouvelle du SAC, du FIS iranien, revenu en force dans les mœurs, faisant appel au tchador du traitement pédiatrique, neuroleptique, forme en sus de ceinture de chasteté castratrice des libertés sexuelles, bâillon chimique de la liberté de pensée envers toute femme consciente de de cette enfreinte à ses droits...

Vie réellement en danger de la Femme, dans la non-assistance à personne en danger commise de toute personne contactée, et surtout de toute médecine appelée à mon secours, reproduisant les violences déjà endurées, dans le silence sur les violences envers femme battue, enfant martyr depuis qu'elle est née, sous ces principes de chasteté, devoir de célibat, du devoir de se soigner d'elle-même pour son degré de cognition, de culture, de savoir, d'intelligence, de QI reproché etc...

Je crois que dans la version Affreux sales et méchants, existe la version psychiatrisée encore actuelle des violences faites aux Femmes, orgies ghors truculentes assez, assez orgiaques pour faire vomir dans l'imédiat, la décadence romaine n'ayant duré que 1000 ans, suite à celle de la société de dictature volontaire grecque, en duplication de nos jours dans un conglomérat des orgies païennes, religieuses depuis Lucrèce Borga, fascistes et soviétiques, en alliance avec les fascismes dus à la Femme, à son Amant, à l'enfance non morbide réduite au statut mortel de pédalon ou nymphette de choix dans les violences d'une prostitution infantile en famille à l'infini, ce n'était effectivement suffisant, pour que meure la patience immortelle, la raison de vivre des femmes, l'amour, l'humanité et la persévérance en l'affirmation de ses droits, des droits de l'Homme, à l'infini enfreints cf; le site http://chelseyletterstoworld.blogspot;com/, y compris dans sa totalité, ainsi que dans les rédactions parues les plus anciennes, afin d'en juger, site non conventionnel sur l'usage de la torture médicale, psychiatrique et d'Etat, dans la répression médicalisée contre le féminisme, site que je réactualise fréquemment.

Initialement viols avec violences moyens de chantage à a main armé, destiné à me faire taire et accentuer la violence des tortures imposées, , jusqu'à ces dernières parties de beuveries à scènes publiques et privées de proxénétisme, orgies de violences voulues étales, au cours d'interrogatoires à penthotal et Tranxène destinés à m'exacerber dans des récits continuels sous provocations incessantes de violences physiques graves destinées à me tenir, pouvant de ce fait faire accroire à la démence et invitant des médecins d'extrême droite et d'extrême gauche en opposition violente et très répressive à mes opinions, sciences humaines et écologie humanitaire, mouvement éradiqué dès mai 68, sous prétextes d'idées de gauche décrétés démence typique, éradication quasi totale de ce mouvement antitotalitaire , de méthodes totalitaires identiques, dont je suis actuellement, un des rares militants sympathisant, à être autant combattu, médecins crapuleux fanatiques usant de leur fonction et de ses appareils médicaux dits de thérapie, sur vol de certains mes écrits jugés compromettants si publiés, usités en circulation dans de multiples pavillons psychiatriques, en tracts anti-gauchiste, pour instituer ce droit à la torture sur ma personne,destinées à me faire réfléchir, sur les inversions des responsabilités, commune aux répressions faites aux femmes battues : je lui institue la répression, si l'on persiste à la torturer, inversion typique des faisceaux hitlériens, me faisant payer leur fautes selon les critères religieux, m'instituant le service du travail obligatoire en fonction de mes opinions et dites origines décelées sur mes aveux durant actes de cuisine, juives, et me faisant travailler sans rémunération aucune, sinon les tortures, dégradations corporelles (voulues pour dégradation envers le Dreyfus que je leur étais, puni pour se rétracter de ce "j'accuse" auquel il aura été acculé), et de la dignité humaine précitées, liées au statut d'esclave que le statut d'handicapé que très tôt l'on m'a opposé, (objet des racismes , discriminations raciales, ségrégations sexistes et violences raciales rituelles communes à ce statut), leur représentait et pour lequel l'on m'a revendiquée débile, pour plusieurs partis politiques firmes et organisations, me raquettant de ces méthodes obsessionnelles pour obtention de textes reproduits, maintien de ma vie privée dans l'abstinence et le rapport forcé, l'absence d'hygiène, la sur-nutrition, la soumission aux formes obscènes, l'apparence typique des critères de la démence invoquée, ma famille menée de ces pratiques intestines d'adeptes fanatisés, à s'entretuer, par l'entremise de la torture médicale réputée farce, pouvant s'avérer meurtrière, ainsi que cela s'est produit, envers certains de mes parents. dont ma propre mère, mort qui 'est tant reprochée que reproduite par pur abus sur ma personne (invasion diurne et nocturne d'individus casqués de casquettes d'officiers aux saluts hitlériens des faisceaux face aux murs meubles et miroirs, salut auquel mon père avait été durant ma jeunesse, conditionné, puis traité en fonction de cet engouement, à prescrire des cures d'électrodes en continu, du relai des établissements médicaux contactés sur racolage de cette locataire irresponsable dont les extravagances de sa maladie, sont cause du diagnostic de démence invoqué au moindres de mes plaintes et récits, voisine de l'étage au dessus de mon appartement, démente, persécutions aboutissant à de multiples tentatives par jour de meurtres sadiques (par cancérisation à force de :injections préméditées létales de produits pharmaceutiques, irradiations d'appareils puissants, empoisonnements aux métaux lourds dont césium en pastilles destinées d'ordinaire aux scintigraphies, puis, chimiothérapies imposées depuis une nuit, empoisonnements aux eaux d'égout, déchets humains, ordures imbriquée, venins d'animaux, nourritures cancérigènes, récupération de mes déchets alimentaires et vieux produits d'hygiène corporelles que j'avais jugés dangereux jetés, délaissés, donnés,périmés, dans le but de me contraindre à les consommer "juqu'au bout", en punition de mes sympathies écologistes, intoxications pouvant s'avérer mortelles sans purge de l'organisme par électrochocs, pratique répandue du DAR, centre anti-poison, privation de sommeil et de nourriture, d'eau potable, depuis les fêtes de la Toussaint, date du dernier congrès de l'extrême-droite, liée à une réaction à la venue en France de Poutine et date anniversaire de ma naissance, pour mon malheur. en ce qui concerne mon père, les familles qui le soutiennent dont la sienne dont je suis strictement exclue, qui reproduisent sur ma personne ces faits, après les avoir imposé à l'on ne sait combien de leurs victimes, dont ma mère, la propre mère de mon père, père dictateur dominateur démagogue en déni d'éthylisme, d'intolérance anti-féministe et censeur de mes textes, écritures et publications, induit dès ma jeunesse au salut hitlérien des Faisceaux, soigné en conséquence des violences qu'il imposait, racolé à ces fins sur appels délateurs, manipulé par médecins, répressé de violences tortionnaires par la justice et la médecine, forme d'emprisonnement par soumission à des névralgies pouvant lui être fatale, se retourne contre moi, s'en venge sur moi, pour les douleurs extrêmes qu'il a endurées, longtemps maintenu sous ces répressions d'activistes, (quand je n'avais réclamé pour lui que son obligation à des soins) par représailles entre autres celles de plusieurs très gravement lésés, torturés pour le fait d'avoir été médicalement placés ou punis par la loi, et tentatives maintes d'homicide, famille en autres sur la région régissant en organisation associative clandestine (sous prétexte officiel, d'associations de la libre pensée, de parti radical qui issus du parti communiste, se fascisent) la vie civile d'une population féminine,, où face à ces exactions pratiquées en cercles de tortures, qui ne doivent rester que sans réplique, l'on se passe de commentaire. commentaires que je leur toujours eu opposés, ce qui me vaut ce surcroit de violences, tortures et abus infligées sinon dans le but politique d'un type arien de l'apartheid, sinon celui du profit, de me contraindre à céder à un trafic de drogue en réseau tenu par des fascistes de tous bords, m'en voulant la consommation, jusqu'à me prostituer pour m'instituer cette addiction, me pourchassant dans traques dans la ville et la région, m'imposant le devoir de fuir de tout logement et lieu de passage ou la mort rapide. faits dénoncés dans mes plaintes reproduits dès leur réception, sciemment confondue avec des cas de démences jugés similaires, d'où la pluralité des diagnostics traités chez moi, donc, cette autre dépôt de plainte que je vous adresse.

Plainte et compléments de plainte :
Plainte : Je passe actuellement des instants difficiles face à l’embargo du secteur 2 de santé mentale de Montalti entre autre régi par Robert Brès, Mr Kadhafi en personne qui règne en sultan émir de sa filière kibboutz sur les pavillons et le secteur psychiatrique des alcooliques et drogués. Dans les années 90, après m’avoir voulue sa maîtresse et dit céder à ce fait, je n’ai osé y céder moi-même car il venait de faire mourir Karine Nicol, une de mes amies qui vivait dans l’immeuble St Guillem B sur la Paillade au moment des faits ainsi que causer nombre de morts et de décès dans le pavillon où il exerçait. Karine Nicol, amie morte des séquelles de Mairet où il l’avait enfermée, morte torturée, le cerveau très lobotomisé et réduit, quelques jours après son retour. D’autant qu’il m’enfermait dans ses pavillons, chambres et ailes fermées avec un régime particulier et de faveur pour le fait que certains de ses malades qui me harcelaient, tentaient sur moi le meurtre à main armée en conséquence de mes activités littéraires, m’ayant déjà menacée dans les années 80 du pavillon de force si j’éditais, ce que j’ai vécu à mon domicile, fixe pour délit d’opinion envers son avis et pratique du SAC sur la ville de la part de ses établissements psychiatriques.. Ce qu’il n’a avec ses collègues du Point de Repère, antenne psychiatrique située dans le quartier chaud de Montpellier, les arceaux, que très rarement ou jamais reconnu. J’ai changé de secteur médical de secteur depuis, quand ce secteur 2 persévère en poursuites à mon encontre , met ma vie et ma santé en danger des faits quotidiens de la torture psychiatrique et médicale dont il fait un fer de lance au sein de ville et de la région, arguant de ce fait des idées suicidaires que je ferais, en fait sinon sous leurs coups et blessures, ayant entrainé je le rappelle le décès chez autrui, (ayant été témoin de tortures et meurtres au sein du secteur 2, j’étais trop lucide de ces crimes, j’en savais trop, représentais un danger potentiel, à éliminer), du moins ce serait suicidaire de se heurter d’avantage à ce secteur sans plier sous le joug ou de l’obéissance ou du décès, moi-même et toute autre personne qui s’y opposerait devant, dans le silence sous le pouvoir absolu que ce secteur représente au sein de l’hôpital, se soigner dans le devoir du prisonnier d’opinion ou renoncer à son délit d’opinion face à la politique de trust de ce secteur, dont l’organe de répression est la clinique Mairet. Connue dans Montpellier pour ses crimes contre l’humanité, maltraitances et crimes des plus atroces. Secteur entier fouillant dans la vie privée et intime des particuliers dont moi-même, dans l’ingérence profonde des pouvoirs de l’Inquisition, affectant de supplices chrétiens et chinois qui s’ opposerait à leur fraude et machination, de causer par les pratiques usuelles de ces médecins et personnels hospitaliers, de la torture sous quelque forme qu’elle aura été choisie par eux ou leurs pratiquants, agissant selon les lois des sectes, embrigadant jusqu’au meurtre, le dépérissement certain , le crime et le suicide parfois organisé, déguisé en mort naturelle, les médecins légistes n’y croyant, achetés ou vendus à cette cause de maquillage de fraude et de crimes parfaits. Ces médecins et leurs escadrons volants d’infirmiers et petites semi-prostituées souhaite sinon ma mort, du moins ma perte, l’ayant quitté, lui, aidé entre autres Jo Suariz, en état de proxénète très avarié sinon de meurtre envers moi-même si personne ne l’arrête, et homosexuelle qui ne me veut que la nique de son plus pur talent de tabasseusse de ma tête depuis les années 80, en visite éternelle auprès d’une de ses petites prostituées lesbiennes autant qu’elle, au domicile où cette malade mentale qu’elle a acquise à sa cause de me tabasser est hébergée, en dessous de mon appartement et qui me poursuit de sa haine maladive depuis 22 ans, à elles deux me poursuivent suivant chacun de mes actes et démarches de leurs affabulations, agressions physiques violentes, expéditions punitives et ratonnades multiples en la compagnie de complices, et diverses, rapports, dossiers fabulateurs, dépositions mensongères auprès des médecins de leur secteur. N'examinant de cause à effet que ce qu'ils avaient causé.. Causant faux procès en contumace à mon domicile d’où je devais plaider à travers murs et plafonds, sous la douche, dans les WC, sous les exactions et violences continuelles, ne devant me taire que lorsque mes agresseurs l‘auront eu décidé, sachant me faire parler et taire, me faisant parler pour me faire taire. Interrogatoires de type DST pratiqués de main froide de particuliers, vieilles femmes et leurs familles, aidées de complices, vieux messieurs ou jeunes gens exerçant dans la médecine et la police. Parfois sur leur ordre. Me condamnant à la vie de Jacou le Croquant, doublée de Mandrin, dans la vie de la Bête du Gévaudan et celle de la Tarasque tant la plupart des films légendes et livres de la culture française m’aura été imposée des supplices endurés au cours de ces parties à thèmes qui m’étaient en particulier destinées. Face à l’ignorance des faits et la complicité de la Médecine qui ne se les laisse dire ni avouer, se maintient volontairement dans l'ignorance des nouvelles technologies afin de prétexter chez ceux qui s'y heurtent à la maladie mentale, et celle de ma famille. Sachant cela, elles auront embarqué dans l’affaire d’autres malades du secteur de Lapeyronnie, aussi impliquées qu’delle danse trafic d’armes de nouvelle technologie, médicaments et de drogue accompagnée de trafic de femmes, qui se piquent et prennent des amphétamines à longueur de temps, d’où leur état de démence prolongé suivi de périodes démence à mégalomanie très agressive, ces personnes donc, m’agressent, me tombent dessus, pratiquent sur mes sinus (frontaux, maxillaires et mastoïdiens), zones sensibles et érogènes, du nez, zones sexuelles y compris du pourtour des orbites, du front, du visage, de la bouche, des oreilles et de l’ombilic, de l’aire uro-génitale et anale, des nerfs cruraux et sciatiques, jusqu’à la résection à vif ou non (à mon domicile) après tabassage de zones de cerveau qui s’y trouvent, contenant d'après eux mes plaintes et écrits s’acharnent sur mes nerfs trijumeaux, organes pelviens et autres organes jusqu’à la cancérisation acquise et le fibrome, jusqu’à ces dernières années, aujourd’hui encore comptant sur l‘effet de neuroleptiques pour étouffer mes cris et servir d’anesthésiant. Sévices causant le vieillissement prématuré de mes organes, la ménopause avérée et prématurée. Les médecins psychiatres qui suivent ces déments, véreux, corrompus jusqu’à l’os, tracassés depuis longtemps, s'instituant de droit divin et les laissant agresser, torturer, tortionner sans relâche et sans fin, tortures pratiquées par eux même s’ils le jugent nécessaire pour el nier, à main armée d’appareils dits de contention, en usant pour causer et pratiquer lobotomies, tabassages à la contrefaçon de ces postes à soudure et dieu sait s’ils les contrefont, blessant grièvement à travers murs et plafonds, traversant voire s’il le faut HLM places et rues pour frapper des nuits et des journées entières durant, des années en continu durant jusqu’à ce que mort s’en suivent, investissant appartements et cités, crachant dans boisson introduisant glaires et mèches de trépans dans produits frais tels litres de yaourts et de fromages frais, causant vomissures irrépressibles et anorexie momentanée, suivie de gavages alimentaires et supplices mussoliniens dignes de l’inquisition, me disant amaigrie, de l’eau, du lait, des œufs quotidiens, et aliments destinés à rendre obèse, condamnant à l’obésité éternelle de litres de nourritures des plus diverses parfois passées et infâmes et de litres de lait entiers avalés par la forme sur vomissures dues aux tortures. Ne me laissant que très rarement le soin de me nourrir par moi-même, sinon sous éternels tabassages et cris de douleur violente. Secteur médical dans l’attitude la plus pure emprise du proxénétisme maintenu dans ce secteur hospitalier, antithétique avec la simple déontologie, divulguant mots d’ordres outranciers mensongers quant à ma situation, cause de mes malheurs. Détruisant ma vie intime, privée et sociale de façon obnubilatoire et obsédée, se servant de ma personne et ma pensée, détournée de son vrai but et terrain d’action, comme pare-fous envers les fous que ces médecins laissent me torturer avec tout appareil de chauffe digne du Moyen Age qu’ils trouveront à leur portée pour cela et qui imitera le supplice de la baignoire au groupe électrogène. Le tout étant que cela ne se sache ni ne se dise. Secteur plus respecté dans cette région que la junte militaire du Chili, ayant commis sur cette région et la ville de Montpellier, plus de tortures que la Dame Blanche du dit Chili, réséquant à vif des zones entières du cerveau par appareils à usage de brodequins, estimant que cela devait se passer sans un cri, autant que sous Khmers Rouges durant. Jusqu’à douleurs profondes pouvant être mortelles, cause en sus des lésions causées, de l’épilepsie, dont mes agresseurs ont joué, s’amusant à des jeux sexuels morbides et névrotiques du plaisir épileptique qu’ils me faisaient endurer de ce viol avec violences. Et jouant à l'exécution sommaire sur moi des mois durant. Estropiant d’internes amputeurs des zones cérébrales entières et de systèmes nerveux conduisant sinon au handicap du moins à l’infirmité procurant emploi à toute une sphère pharmaceutique, médicale et paramédicale (kinésithérapeutes, sophrologues, médecines douces et spécialisées, laboratoires d’analyses et d’imagerie médicale, etc.), cabinets d’avocats et juristes. Tous impliqués dans une affaire de profits juteux . D’autant plus que Lapeyronnie, les secteurs psychiatriques demandés en aide par particuliers et témoins de l’affaire, n’interviennent qu’en pratiquant lobotomies, résections en tous genres et aussi par électrodes dument appliquées, ne lobotomisant que les victimes, attendant bien des ans l’irrémédiable des lésions et blessures, n’intervenant que pour réséquer ou simplement trop tard, assez pour prétexter à réparer les gros dégâts que le manque de prévention a causés, laissant une population de victimes dans l’attentat, l’attente de secours et les tentatives répétées d’homicide, refusant de laisser trace de leurs intervention sinon pour tabasser à main armée du moins toujours pour matraquer aux électrochocs les victimes, ne laissant aucun certificat d’agression aux victimes étrangères à leur politique d’entreprise, prostituant par le viol le sévice, la torture médicale mentale démagogique et physique, et le viol thérapeutique jusqu’aux derniers bastions de la conscience, ne passant leurs études que dans cet apprentissage. Tortures exercées, à mon encontre sous le prétexte que l'on ne m'entendais, que mon cerveau réséqué non officiellement avait repoussé, que je paraissais enceinte et que j'avais trouvé compagnon de bien, jusqu’à l’acquisition pour certains sujets dont le corps lâche, de la folie, sinon son apparence, du moins dans les derniers acculements à ce suicide du corps et de l’esprit. ces médecins chargés au départ de résorber une simple affaire d’agression de particuliers par leurs malades, ne lésinant sur les gros moyens des électrodes et lobotomies pour parvenir à leurs fins, en fait confectionner à la chaîne la symptomatique des maladies chez des victimes de leurs patients servis en brûlots dans la population, qu’ils ils se chargent ensuite à vie de résorber et faire semblant de traiter, s’offrant ainsi une clientèle rattachée à eux à vie, dans les conditions de l’esclavage et du servage. Politique d’agression à main armée et non de santé, destinée à remplir les lits d’hôpitaux en roulement sur la région et à s’octroyer le droit au soin à vie sur leurs victimes. Victimes dans le devoir de vivre dans une morale et les conditions à leur domicile et dans leur périmètre d’action, de camps de travail, fasciste ou maoïstes, soumis à des plans Epervier et de surveillance illicite faisant accroire à la paranoïa et la folie, les secteurs en question prétendant le placement d’office alors qu’aucune mesure de justice ne l’avait affirmé à ce moments là, pour opérer d’agissements multiples et des plus sales et salissants aux exactions morales et physiques constantes. Sous les prétextes les plus divers à futiles et tous les diagnostics de la folie. Leur parole contre la mienne. Toute allégation à mon encontre crue et favorisée envers toute partie civile que je monterai. Confusions entre cas causées par feuilles volantes de dossier de cas comparés au mien, intercalées dans feuilles de mon dossier et servant de prétexte à lobotomies par électrochocs et tortures endurées par ces personnes, la similitude des cas en provenance de ces erreurs de feuilles malencontreusement glissées. Vingt, trente années d’erreurs thérapeutiques pareilles, qui ont fait que l’hôpital rôle sur l’or et moi dans la paille, réséquée, torturée et violée durant ces années de foin et de scandales publics à privés entourant l’affaire. Cafés souillés d’urines et de salives, imprégnés de soupes de cachets broyés, destinés à soigner au départ ces malades qui les ont introduits dans mes boissons chaudes, jusqu’au coup de nerfs chez moi, l'angine de poitrine et le cassage de voix, causés par le Prozac en grandes quantités ajouté au Tranxène, ainsi qu'aux tabassages quotidiens, médicaments induisant la rixe et l’altercation en effets secondaires, locataires de l’HLM s’emparant d’un passe pour entrer tels rats d’hôtel dans mon appartement, parfois le vandalisant, dévissant l’entrebâilleur de la porte d’entrée, investissant les lieux, en perquisition permanente, commettant viols a violences, ans même se faire voir, usant du chloroforme dès que j’étais le dos tourné à eux et les locataires attenants des nouvelles formules du poste à soudure pour m'hypnotiser de fortes douleur afin que je ne remarque l'entrée des intervenants dans mon logement, véritables à eux tous, sacs à malices... L’affaire ayant débuté par les violence conjugales que m’ont infligées deux locataires de l’HLM où je loge, individus malsains, alcooliques et déplacés, en crise d’érotomanie très violente et irrépressible envers ma personne, soumise à leurs coups longtemps, depuis à peu près 2005, eux se disant mes amants, mêlant chacun leurs médecins personnels à cet intrusion, faisant ingérence constante dans ma vie intime. Ces dernières années de ma vie une longue plaidoirie, à l’heure actuelle sérieusement endommagée, ce secteur ayant exercé son pouvoir absolu de tenir à me les réséquer, dans un but de destructions de preuves en ma personne, dans le cerveau même. S’occupant personnellement de mes textes. Ne supportant la moindre incartade à la loi des voisins et voisines en fraude, certaines de ces incartades très violentes à mon encontre, et me punissant par électrochocs pour ces fraudes et outrages à la loi commis envers ma personne. Médecins, infirmiers, n’appréciant le type de réparties que j’ai quand ces locataires mitoyens ou de l’HLM d’eux même me prostituent sous la contrefaçon d’électrode et la contrefaçon de ces appareils à électrochocs qu’ils détiennent et dont ils se servent en tant qu’armes d’attaque et non de self-défense, prétendant les étudier sur eux. En usant pour commettre violences tortures et viols répétés et répétitifs jour et nuit, en usant aussi pour leurs loisirs, instants de détente défoulement et amusements sur ma personne ; me tombant dessus à la moindre allégation vite crue sans façon sur ma vie intime et privée, de ces voisinages et commères du quartier, pour commettre ces électrochocs sur la surface de mon crâne, tout comme sur femme battue ou prostituée pour la corriger par raclées afin quelle ne bronche ni ne bouche, ni ose les dénoncer. les bouibouis de la ville utilisant les services de ce Chr ainsi que les cliniques privées au même titre que hommes de main destinés à se faire respecter auprès des personnes impliquées et formes de prostituées que je représente à leur yeux et leur suis pour un délit d'opinion que je ferais envers eux et qu'ils n'avouent ni ne reconnaissent sinon entre eux et parmi leurs complices . Arrachant mes cheveux et nerfs de mon système nerveux pour leur moitié, espérant les faire repousser de gavage de type Mussolinien, par intubation et alimentation artificielle, prétextant l’anorexie chez moi, supplice chrétien connu sous l’Inquisition de l’eau, du lait, des œufs et de l’aliment, au cours de fantaisies orgiaque de voisinages malintentionnés et nuisibles pour la santé, dangereux pour la vie.. M’interdisant par l’interdit de ces armes qui peuvent aller jusqu’à tuer, tout nettoyage de mon corps et de mes logements successifs. Interdit que je transgresse et qui me vaut chaque jour amputations de lobes cérébraux en partie, au grand complet si trop longtemps je persiste à poursuivre mes tâches et corvées, devoirs tels le rangement, de mes documents administratifs et à assurer la maintenance de ma vie, de mon appartement, rendu impraticable et inaccessible autant que celui de mère-grand, placée en maison de retraite car appartement rendu impraticable voire dangereux pour sa vie, car maintenu sous le feu constant et continuel de ces armes et engins à l’étage supérieur, parfois des étages inferieurs.. Dans un tel appartement suis restée quand même, d’où les dégâts corporels importants ainsi qu’au niveau santé physique. Personnes du voisinage arguant que le proxénétisme en France permis seule la prostitution condamnée si devant être obligatoire. Se faire arracher lobes cérébraux et nerfs du système nerveux ou se les faire détruire, crémés, considéré moins grave que se faire arracher dents de mâchoire ou même œil par coups de poings. Défense de me redonner du Prozac pour que je renaisse de mes cendre, incinérée en partie et tuée raide net, d’électrochocs trop déphasants ou trop stimulants, eux passant d’une technique à l’autre dans les types de lobotomies, agrémentés d’aphrodisiaques alimentaires, permettant l’orgasme de l’épilepsie sans fausser le système nerveux génital, le gavage quotidien aux œufs en quantités nécessaires à ces fins, trop dangereux pour mon cancer. Seul ménagement possible à l’affaire. Affaire d'escroquerie à la CAF Sécurité Sociale, et Cotorep sur faux en justice et en écritures, établis sur certificats médicaux de complaisance, déclarant démentes des personnes capables, parfois jusqu'à causer leur décès, pour le profit d'une politique de trust. Me tombant parfois et à leur heure, sur une de mes oreilles, en réséquant le pourtour, espérant y lobotomiser les centres nerveux de l’écoute en moi, utiles en cas de concert chez moi si cela se trouve que j’en organise encore, selon Mr Manville l’Art devant chez l’Handicapé se limiter à l’Art Thérapie et éviter à tout prix de se faire remarquer, et devant renoncer à socialement percoler, braquée en toute occasion dans toute zone ou aire mortelle du corps. Poursuivie pour la qualité et le niveau de mes discours. Mes agresseurs cherchant à tuer sans se faire remarquer, résolvant au silence du meurtre parfait par méthodes de violences allant de l’ablation progressive des deux cervelets, devant être entre–temps séparés maintenus bien écartés autant fessiers dans violade, jusqu’a l’étouffement des cris par appareil irradiant braqué sur larynx et poitrine, au niveau de l’appareil cardiaque. Cuisante les chairs du corps et de la tête jusqu’à l’odeur de viande frite, le sang maintes fois réduit au jus d viande cuite ; eux cherchant le nerf vital dans le cervelet, maintenant le corps envie, et qu’ils pourraient tuer, le rongeant lentement, dans l’espoir de me faire décéder de mort lente après plusieurs tentative répétées chaque année de me tuer de mort violente. . Faisant accroire à une lente maladie dégénérative dont je souffrirais et mourrais. S’introduisant dans mes domiciles à la façon des services secrets. L’administration française, les services médicaux et spéciaux, feraient passer l’Inquisition et le nazisme en force dans le pays, personne ne s’en apercevrait. Ce qui induit l’appellation « d‘idées bizarres » que je ferais. Tous droits du Code Civil et de la Convention des droits de Homme niés, bafoués. En résumé, je dépose plainte contre les personnes auteurs et responsables de ces faits là, tous ou à peu près anonymes, sauf Mr. Rivière et ses complices, étage huit au dessus de mon appartement, pour: Viols avec violences en collège et réunion, viols à titre thérapeutique, espionnage constant, ingérence et maintenance à main armée de ma vie intime et privée, recel d'armes non conventionnelles et de nouvelles technologies non encore reconnues dans les services médicaux, sans port d'arme et trafic d’armes, issues du trafic de drogue de la prostitution et du proxénétisme, ingérence dans la vie privée, torture, torture médicale, maltraitance, barbarie et actes de cruauté, voire crimes contre l'humanité, tentatives réitérées d'homicide, actes de proxénétisme, sévices, voies de fait, coups et blessures, violences aggravées en vue d'expérimentations scientifiques sauvages ou à titre de représailles, simple expérimentation personnelle ou violence gratuite. Pratique de la neurologie à titre d’acte de neurochirurgie avec armement de courte et faible portée à titre d’instruments de soin. Torture rituelles par implants. Charivaris. Incitation à la haine raciale, discrimination raciale sociale sexuelle et ethnique, ségrégation et apartheid, Effets de procédures illicites diffamatoires, de tribunaux d’exception, détournements de lois en vue de faux placements d’office, illicites, à domicile suivis de placements véritables destinés à officialiser et prolonger ceux qui précédaient, exercice illicite de la médecine, expérimentation sauvage sans anesthésiques d’étudiants et étudiantes en médecine sur ma personne, association de malfaiteurs et corruption de fonctionnaires, racket dans le but de prostituer, humilier, dégrader la vie et la santé par profit et amusement, atteinte à la vie privée, expéditions punitives, usurpation d’identité, destructions de preuves physiques, faux en justice et en écritures, effet de bureaucratie soviétique, nazie et de secte. Pénalités illégales. Représailles. Ainsi qu’enfreinte aux articles de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, à la Charte des Malades et aux droits du Code Civil. Mon infirmité consécutive à ces faits, niée et reniée, traitée en refus d’obtempérer pour un travail rend obligatoire autant que sous STO. Trop de fous dangereux du secteur 2 et du secteur de santé mentale de Lapeyronnie, certains leur ayant fugué laissés en liberté, libres d’exercer contrôle et maintenance envers ma vie privée. Je réclame leur enfermement pour un temps durable et une mise en liberté sous contrôle médical à vie avec obligation de soins. Je réclame également sanctions pénales légales envers les médecins et personnels médicaux qui les auront laissés m'attenter à mettre ma vie et ma santé en danger. A force de lobotomies d'électrocutions constantes, viols (2 par heure ces temps derniers) coups et blessures pour ma non violence face à une voisiner et ses acolytes en état de meurtre sur moi depuis de sans et de mois. M'ayant causé maintes lobotomies des zones cérébrales dites contenir mes plaintes et ce livre, remplacées par prothèses gonflables manipulées à distance, testées sur moi actuellement dans expérimentations officieuses, afin de cacher l'ampleur de la résection qui pourrai choquer la vue. Dans l’attente de votre réponse, et vous en remerciant par avance, Je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression de mes sincères salutations. Line Llao



Montpellier, le 19-11-2008 Complément de plainte 1: Vitriolage de la femme libérée en ma personne aux poubelles intubées de l'alimentation forcée réputée chez les anorexiques, poubelles intubées en sus de médicaments hors ordonnance régulière, récoltées dans le voisinage ou auprès de la famille et ses relations, les épingles à chapeaux servant d'épingles à foulard, de l'intégrisme social. Femme libérée en moi-même réséquée, relobotomisée depuis sa stricte petite enfance pour son trop grand répondant. envers le Père, la Mère le FIS et la patrie, au non du Travail et de la fidélité de ses orifices et de son trou. Ou orifice anal quand son violeur se trompe d'orifice. Ne serait-ce que par loi sodomite du pouvoir à lui enseigner de la rude leçon. Avant la rupture d’anévrisme, plus que véritable dans ce cas. Ou l’hémorragie interne, cérébrale ou d’autre nature qui s’avèrera mortelle, sinon antécédemment, suite aux résections de cervelle et morceaux de cerveau de la taille de magrets de canard, prélevés sur le pourtour de la tête, (arrière du cerveau réduit à la brachycéphalie des ses deux côtés et résection de la bosse dolichocéphale, ne lui en laissant que le milieu ou profil arrière, amputation du dessus du crâne et ses deux côtés, le long des deux encéphales pratiquée à la force de décharges électriques jusqu'à la fracture et l'emboutissent des os, et leur percement, décharges électriques réduisant les zones cérébrales électrocutées en bouillie, aspirée ensuite, ceci suivi de cautérisation électrique)) une fois par an ou plus fréquemment, hémorragie menaçante. Et le lavage de cerveau aux électrodes et autres méthodes subsidiaires, en sus de l’intoxication alimentaire due aux intubations aux nourritures périmées en guise de nourritures terrestres, en guise de charivari envers mes amours. Après la vie totale de Muriel Cerf dans le Diable Vert, pour mes dons en écriture. Lobotomies à titre de représailles des établissements de Mairet et du Dr. Bres. Etats dits de délires ou états second causés par ne serait-ce qu’électrochocs, en sus de la malnutrition infligée, maltraitances, violences physiques et mentales, d’individus choisis dans la société, réséqués pour ces dits délires induits à l’électrode, lobotomisés par neurologie et neurochirurgie, dits délires postopératoires, dus en partie aux effets d’anciens anesthésiques, en sus de la commotion cérébrale de l’acte chirurgical, imputés à la démence et résignés de traitements médicamenteux de contention de longue durée, accompagnés le plus souvent de mesures dites de sécurité (armes de poing à faisceaux, lasers, etc.) parfois à vie pour un état de heurts avec les autorités en fait, surpris tel. M'ayant causé maintes lobotomies des zones cérébrales dites contenir mes plaintes et ce livre, remplacées par prothèses gonflables manipulées à distance, testées sur moi actuellement, afin de cacher l'ampleur de la résection qui pourrai choquer la vue. Au nom d'un Po ou placement d'office, en fait pratiqué à l'encontre de ma personne de façon illégale, aucune mesure de préfecture prononcée jusqu'à cette en faveur de cette mesure pour moi. ce genre de lobotomie ne se pratiquant (les trois quarts du cerveau en son pourtour prélevés) qu'en pavillon fermé sous placement d'office avec accord de la mairie, de la préfecture, du maire et du préfet donc, et non à domicile sur la simple invocation signalant que je mangeais de la viande avariée (en fait congelée dans mon congélateur pris pour et considéré par la salle plénière du procès à contumax au cours duquel j'ai été jugée sans un courrier d'avertissement, simple freezer) et criais, en fait sous la torture non mentionnée permise dans les dits placements d'office Au cours desquels auront été opérés des prélèvements frauduleux de kilos de matière cérébrale, ces dernières années servant un trafic de vente d'organes. De multiples vedettes des médias victimes passées par les dangers de ce trafic là, amputés de zones cérébrales entières telles dessus ou arrière du crane, ou ses deux côtés, certaines à vie. D'autre part, mes steaks hachés surgelés ont bien été effectivement volés dans ce congélateur, consommés par la dite vieille femme qui avait proféré son accusation, et remplacés par elle, par ses steaks hachés surgelés de même marque, avariés eux, dont elle s'est débarrassé chez moi et que je me suis forcée à consommée, privée à ce moment là d'argent, vandalisée éternellement de cette mégère qui m'est accablante, accaparante, vociférante et jalouse, violeuse maquerelle de type mâle mensongère et .diffamatoire. me contraignant à vivre "à la colle" par la force avec elle, elle investissant aidée de ses hurleuses et suivantes, mes appartements, qu'elles visitent et où elles règnent en maitre et despotes, violentant et tabassant à longueur de temps tant cela ne leur est répressé. S’installant près de mes domiciles, me surveillant nui et jour de là, espérant pouvoir habiter réellement avec moi, le faisant à mon insu, sans oser encore se faire voir de moi. Lent travail d'approche qu'elles font en véritables ennemis, souhaitant après avoir eu essayé de me soudoyer, me prostituer. M’ayant tabassée jusqu'à mon carcinome malin, et fomentant contre moi, organisant crimes et exactions diverses à m'infliger, de façon préméditée aux yeux au vu et au su de tout un quartier et d'une ville. D'autre part, il m'a été rapporté que j'avais eu des enfants à mon insu, au total huit, accouchés dans des accouchements à mon insu, certainement ayant été raptée sous chloroforme, puis maintenue en état second, enfants dont certains m'ont été présentés de loin, et qui m'ont reconnue leur mère. D’autres mères traitées ainsi m’ayant rapporté les faits de tels trafics dans les maternités.et services. Je suis mère de combien d'autres enfants qui ne m'ont été encore présentés, je ne le sais, peut-être utilisée en tant que mère porteuse trente années durant, violée régulièrement jusqu’à la conception inavouée ou forcée sous neuroleptiques à domicile, me laissant dans l’ignorance et maintenue dans cette ignorance de ces grossesses inavouées, tabassée tout ce temps, traitée aux électrochocs connus pour provoquer l’amnésie, pour que je oublie à la moindre étincelle de lucidité à ce sujet des enfants que j’aurais eus ou concevais, palpée analement en conséquence régulièrement là aussi. D’où les dites sensations cénesthésiques de viol. Vieillie enlaidie artificiellement par l’artifice de l’opération constante sauf en cas de sommeil, sur deux ans (de janvier 2007 à octobre 2008) de chirurgie esthétique pratiquée à vif sous faisceaux contrefaisant courants électriques et engins ou armement non conventionnels, afin qu’ils ne me reconnaissent, ces enfants là. Ils m’ont reconnue tout de même, pour certains revendiquée. Opérations de résection de la moitié du volume initial de mon cerveau, pratiquées toutes les fis où je serai dite et décrétée enceinte, maintenue sous toutes formes de passages à tabac possibles et inimaginables, y compris à main armée des armes non conventionnelles citées, autrement-dit, d’appareils à faisceaux de types rayons employés en oncologie, autrefois désignés par les personnes déclarées malades mentales de ce fait, appareils à ondes, que se fussent radars utilisés en kinésithérapie ou autres appareils dits désormais de soin, testés des décennies sur la tête de malheureux dont je suis, décrétés schizophrènes après qu’ils se soient heurtés à tous les diagnostics, abusifs par ailleurs, de démence, pour les heurts avec les autorités couvrant et niant les faits, au sujet de ces expérimentations sauvages suivies et accompagnées de neurochirurgie lourde et bâtiments de force, afin de nier et dire réparer les dégâts, en fait sinon faire taire et éliminer dans les scandales bruyants de la population envers ces méthodes de la lois des disparitions, des personnes employées sous des formes secrètes du STO, en tant que cobaye pour des expérimentations et tests d’appareils futurs de soins, ou d’armements nucléaires de faible et courte portée en vue d’un prochain renouvellement des armements militaires. Selon les pratiques de la gestapo. Des juges de la région employés pour faire respecter par le détournement de la li du placement d’office, ces agissements aryens. Les douleurs profondes hyperalgiques pouvant causer le décès sans anesthésiques, dues à la torture physique préparatoire et préalable aux placements considérées, préparation destinée à justifier d'un état de délire er d'agitation nécessitant l'intervention neurologique ou neurochirurgicale, les douleurs mortelles induites par la torture électrique supplémentaire, au plus simple algie, sinon hallucinatoires, selon le degré d’aveu et de confidence des faits considérés. Surajoutant au poids des commotions de l'acte chirurgical et neurologique la destruction en masse du système nerveux, électrocuté ou réséqué ceci accompagné d’hémorragies cérébrales ponctionnées et réduites la plupart du temps, par cautérisation électrique successives à l'intervention. .La mélancolie suite au choc physique enduré, répété de multiples fois par vie. Pour ce qui est des électrochocs, en cure. Le cerveau brulé au dernier degré suivant le type de courants électriques utilisés, électromagnétiques, déphasants ou dits revissants, à tel point que sont nécessaires les courants déphasants sous peine de devoir entrer dans la spirale de la violence répressive jusqu'à devoir causer le décès d'acharnements thérapeutiques, chocs de décharges électriques et courants accompagnés ou non de chocs mécaniques dénommés marteaux, accompagnés ou non de chocs mécaniques dénommés marteaux, Jusqu'à l'acquisition du cancer A chaque preuve du fait de mon émancipation culturelle, mon crâne a éclaté, pour sa moitié de cerveau réduite en bouillie, sous les matraques diverses des secteurs cités, en plus de celles des membres actifs des groupes et groupements et de leurs médecins, vivant et habitant autour de mon logement. Tous me tabassant en continu à tour de rôle, relai qui dure depuis environ 2005, mon rôle dans la société nié ainsi pour une intelligence de grandes capacités ou très fort QI ayant tendance à repousser de ses amputation qui m’aurait été trouvée et m’a été ainsi très contestée. Pour des problèmes de divination que l’on me fait, envers cette intelligence, très jalousée du reste, ce qui me vaut tous les malheurs. Dont à priori ceux des prisonniers d’opinion, pour leur trop grande conscience envers le peuple, qui « pris dans le propre piège d’une intelligence hors norme », se font tuer de ce peuple qu’ils sont sensés représenter, émanciper et informer (en France du moins), ce que le peuple ou l’Etat leur refuse, Sans les lobotomies annuelles, de combien mon QI aurait-il été… Très grave question. Mesures d’enfermement dues à l’enfermement dans des procédures illicites à vices de formes immanquables à cette occasion, en enfilades de couloirs de la mort et kyrielles à enchainements sataniques depuis la majorité dans les années 80, années Mitterrand, accompagnées de mesures d’enfermement dit thérapeutique, psychiatrique. La vie enfermée dans procédures-enfermement à domicile ou pas. En fait mesure coercitive militarisée de STO à l’encontre de la population des infirmes et handicapés, sous peine déportation, les placements en asile psychiatriques déportations depuis la montée du nazisme et l’invention de l’asile de fous, dès les premiers temps de la barbarie sur terre. Celui ou celle, tout individu qui refuse de travailler dans cette société, pour une raison ou une autre, devant vivre caché, résistant si objecteur de conscience de ce système, et courir très vite, autant que travailleur salarié. Ce qui est peut-être pire. . Individu et être social libre sous le joug s'il accepte le joug, éternel problème communiste et donc psychiatrique depuis Freud, du perçu et du ressenti profond des Libertés. Femmes, hommes, enfants déportés dans leurs foyers sinon en lits hospitaliers, passés par psychiatres écarteurs (de cuisses) de filles qui se refusent placées sous médicaments à domicile, dans faux placements illicites. Violés sous les électrodes qui les déflorent, puis le usent sexuellement également, séchée ensuite ou fin prête pour leur mari présent ou avenir, sinon, déflorées au vilebrequin, bref trépanées. Filles forcées contraintes de vivre leur nuptialité sous ces brodequins, leur extirpant plaisirs sexuels ineffables dits Délices de Capoue, dans la douleur et la souffrance les plus profondes qui soient infligées de ces factions de Faisceaux nazis que sont des équipes entières de violeurs videurs de lycées et collèges à l’occasion, forceurs de portes de maisons, d’appartements et HLM, violeurs en collège et réunion, soudards de première en tournantes médicales dites de principes. Violant hommes, femmes, enfant, sodomisés jusqu’au dernier pore. Qui ne l’auront que perçu dans leur moi profond, ce genre de viol thérapeutique, équilibrés du repas équilibré, sucé en sus. Pour le bonheur des français, qui se repassent la soupe dans le casque de l'Allemand du STO depuis les années 40. au nom d’un de mes grands-mères qui a eu subi le STO. Les handicapés et handicapés mentaux, personnes dites vulnérables, mobilisés en premier par le Ministère du Travail sur circulaire de ce Ministère, réquisitionnés afin de payer de leur travail non rémunéré et bénévole malgré quelque incitation de départ financière, pour prime à l’emploi, maigre solde de ce travail de soldatesque la dette intérieure du pays, sans quoi, sinon déportés pour les réticents, rebelles et objecteurs à ce fait. Devant se soumettre sous peine de pratiques médicales de la Gestapo, avec intrusions violentes et très répressives à leur domicile. Dont le mien. Sur activisme de groupes fanatiques d’extrême gauche et d’‘extrême droite agissant sur le solidarité d’action de l’ETA. Braquant homme femmes enfants de leur part. Dont moi-même. Agissant en tant que services secrets, ne se leurrer. Cela n’est que le début des opérations. En but d’instaurer un véritable trafic de la violence urbaine, régionale et sociale. A partir de confusions entre cas, causées par feuilles volantes de dossier de cas comparés au mien, intercalées dans feuilles de mon dossier et servant de prétexte à lobotomies par électrochocs et tortures endurées par ces personnes, la similitude des cas en provenance de ces erreurs de feuilles malencontreusement glissées vingt, trente années d’erreurs thérapeutiques pareilles, qui ont fait que l’hôpital rôle sur l’or (et moi dans la paille, réséquée, torturée et violée durant ces années considérées de "foin" planant sur la ville entière qui serait le mien et de scandales publics à privés entourant l’affaire) affaire d'escroquerie auprès de la CAF Sécurité Sociale, et Cotorep sur faux en justice en écritures, établis sur certificats médicaux de complaisance, dossiers constitués de ces pièces déclarant démentes des personnes capables, parfois jusqu'à causer leur décès, pour le profit d'une politique de trust. La psychanalyse puis la psychologie pratiquée dans ces établissements et antennes médicales, destinée au départ à inciter la formulation des maux et malheurs affectant une partie de la population, individualisée et traitée dans ses mouvements sociaux au cas par cas, ce rôle de la médecine qui aurait d’orienter ensuite ces individus vers des juristes et cabinets d’avocats pour affiner leur discernement dans des affaires de corruption, a perdu son rôle initial d’amélioration de la vie quotidienne, détournée de son rôle initial dans des dérives bureaucratiques et pernicieuses, fraude politicienne en soi. Milieu en lui même corrompu. N’hésitant à propager la constitution de ses prisonniers d’opinion. Se heurtant aux essais nucléaires au sein de la population, essais pratiqués par une partie même de cette population de ce territoire français, sur l’ensemble sur l’ensemble du pays, voire deux ou trois continents dont la Russie, l’Europe et l’Amérique. D’où le taux de cancers en occident. Paramètres des pratiques d’une médecine psychiatrique détentrice et agent de contrôle de ces prisonniers d’opinion, médecine ayant elle-même le pouvoir de les détenir de cet armement nucléaire, comble du vice, exerçant certains tests d’engins qui lui reviennent, en cherchant futir usage médical en médecine nucléaire ou chirurgicale, (tous type de faisceaux, lasers et autres), médecine psychiatrique devenue véritable ferme d’essais nucléaires et d tests d’armes et engins de guerre non conventionnels. Tant que personne ne vous teste une ferme solaire sur la figure, cela ne parait pas, sinon en préparation, faisceaux hertziens capables de propager faisceaux manipulant engins implantés électrocutant, à travers postes émetteurs radio, téléviseurs, téléphones radio, portables. Recherche de technologie appliquée aux sciences de l’armée de terre, grée par la psychiatrie sous le couvert du diagnostic de la folie pour les personnes victimes de ce cobayage, le plus souvent, à vif. Causant parois la folie véritable des douleurs blessures et plaies endurées Médecine mentale psychanalytique et d’aide psychologique préventive destinée à l’heure actuelle plus à détecter le délit d’opinion à lobotomiser en placement ou à domicile dans des préplacements dits préventifs qu’à sauver la population de ses maux. Etablissements psychiatriques tenus, régis par vieux messieurs en état de vieux barbons, dans les délices fascistes du couvent et du monastère à la fois, la population de es établissements, véritables boui-bouis et maisons d'entrainement, camps d'exterminations de la région et de la ville, la publicité m'est restée, les gauchistes au Goulag, devenue ou restée pour la plupart mixte. M’attendant dès ma sortie d’hôpital ou de clinique où ces tenants m’expédient de rage froide afin de m’éliminer avec étouffement de l’affaire si j’intente procédure ou tentative de plainte. Espérant parfois me pousser au suicide, n’hésitant à la tentative multiple et répétée de suppression, sinon de ma personne du oins de ma conscience. Espérant de leurs harcèlements incessants me laisser folle, avec la complicité entière ou partielle de ma famille, à l’origine de ces heurts. Manipulée ainsi que ses relations, en tant qu'arme blanche aux arguments de poids et en supplément de pression physique à mon encontre. Vieux messieurs ensuite, portant l’odeur typique de cure d’abeille de leur établissement, venus me violer en douceur personnellement, à titre de médaille du courage pendant les séances d’électrochocs destinés à lobotomiser mon cerveau pour sa moitié, afin de m’enseigner dans le sens de leur enseignement, à me faire mettre le poing de la droite et de l’extrême droite bien profond, me volant dans les plumes depuis une semaine environ, ne se faisant voir de moi dans la contrefaçon des services spéciaux, usant de la perquisition de ce type, violant toutes les lois. Méthodes destinées à faire passer leurs victimes choisies pour hallucinée, pratique de secte, me bannissant du pays, me braquant en pleine nuit également. Après avoir eu tué de main froide chacun de mes fœtus qu’ils auront causé de leurs basses œuvres de tortures ineffables, me les ayant crevés dans le ventre, une fos ma stérilisation forcée, tant revendiquée par une foule de prétendant à ce fait, pour les raison précédente, acquise. J'accuse les tenants et auteurs de ces agissement de : Trafic de proxénétisme, de drogue, de médicaments, de recel, diffusion et usage à mon encontre également et sur l'ensemble de la région d’armements de nouvelle convention, testées sur prétendus malades et malades certifiés déments, d’influence et de femmes ayant appartenu ou appartenant, autant que serves, aux deux départements de secteur mentale de Mr Montalti, ancien département du Dr Ribstein ou secteur 2 et son département de force de, ainsi qu’au département de santé mentale 1 dit de Mairet, bâtiment réputé de force du secteur, tenu par le Dr Pouget, Bâtiments à valeur de secte de type Moon et de Scientologie sur la région, usant de stratagème identiques à ceux de ces sectes. De représailles abus de confiance, détournement de lois, tentatives de meurtre, meurtre sur autrui et escroqueries ; Pratique de la torture et de la torture systématique à titre de soin et de médecine sur personnes fichées et prétendues vulnérables dans ce but, personnes qui ne seraient dites vulnérables sans ces tortures qui leur sont infligées. Certaines restées vulnérables, diminuées et atteintes d'infimités graves de ces méthodes. Récidives après sanctions et pénalités qui m'ont été rapportées, pour leurs représailles. Reniement et enfreinte des droits de l’’Homme. Pressions mentales et physiques inavouées, abus de la part de ces établissements en réseaux de complices et habitants de la ville voire de la région entière, Reproduction des agissements du SAC (Service d’Action Civique) selon les pratiques nazies de la gestapo, sur appel au devoir civique et propagande aryenne accompagnée d’actes de sublimination auprès de la population, au cours d’émissions de radio, dont celles de Fun Radio dont j’ai été employée (en 1998-89).
Objet : Complément de plainte 2 : Perquisitions de jour et de nuit, à mes domiciles successifs, exécutées sur l’ordre (rapporté) du père, de ses amis et relations de la famille, prétendus mes amis, en fait, des ripoux très corrompus à la cause du père et des agissements en question en forçant ma porte, dans le but de contrôler mon comportement, mes idées dites préconçues donc coupables, décrétées délirantes de ce fait, sans se faire voir de moi, s’introduisant à pas de loup et discrètement, me chloroformant profitant de mon manque de vigilance du aux traitements médicamenteux, et profitant du moindre de mes dos tournés, pour m’infliger injections et traitements de choc ou enlèvements et rixes. relations de ma famille qui m’ont été toute ma vie durant imposées, servant de police privée au père et aux voisinages miens qu’il aura corrompu, de sa haine œdipienne et Respectueuse du SAC de Charles Pasqua., dont il m’inflige les pénalités psychiatriques depuis que je suis née. Relations, famille instrumentalisée à mon encontre dans l’affaire, ne rêvant plus que de me posséder baiser jusques dans le cul rouler et dénaturer, laissée infirme autant que moi-même Le procès de l’établissement de Mairet et des exactions qui y ont été commises des décennies durant, m’étant fait, pour n’avoir pas été hospitalisée à ce pavillon. Trois motif d’agissements pareils envers moi-même : Faire respecter l’extrême droite, ses miliciens et miliciennes, m’interdire tout délit d’opinion par les voix de la torture médicale, psychiatrique, policière, m’obliger au langage imposé du dialecte de secte fondé sur un délirât de dément choisi pour ce fait, m’infliger les grandes affaires et faits divers de l’actualité afin de m’en tenir informée si m’informer est interdit de ces représailles dont interdiction communiste de consulter les médias et les sources de mon raisonnement, dont l’affaire Cleastrem, psys de Guingamp, affaire des emplois fictifs, bref, les vieilles et nouvelles casseroles de l’Etat français, du capitalisme impérialiste, j’en passe et des certaines. Affaires et faits divers dont est friande l’extrême droite, moi-même dans l’interdit communiste de m’informer et de me tenir informer de cette affaire. L’extrême droite fonctionnant en accord avec le parti communiste en ce sens. Ne se calmant qu’à la condition que je sois passée par les électrodes, injections d'eau de mer jusqu'à la danse de Saint Guy des marins et la phlébite organisée, le caillot assuré, traitements lourds et trépans requis pour me clouer le bec voire lobotomies plus importantes, toutes les fois où ma famille descendrait dans la région et à chaque dispute que me causerait qui que ce soit pour mon délit d’opinion envers lui. Délit d’opinion tenu pour les faits de la maladie mentale envers moi invoquée. Quand la voisine du dessus me passe à tabac, l’on vient par effraction de la porte à mon domicile me repiquer, en surcroit du traitement officiel, pour m'apprendre à la respecter, sachant que les dossiers contenant, s'ils sont répertoriés, ces traces d'injections jusques dans le cervelet et interventions à domicile, sont tenus secrets, jamais présents dans le dossier officiel, ne traitant que le résultat des faits et tortures de cette Inquisition. focalisant ensuite sur mes fautes de frappe de ces textes que je rédige pendant leurs interventions, maltraitances opérations neurologiques, voire neurochirurgicales et vendettas moi-même comme personne travaillant jusques sur le bloc opératoire.. Quand cette voisine me tabasse au faisceau et contrefaçons d'électrochocs, spécialement pour me faire repunir. Moi-même dans le devoir d'écraser longtemps dans le mutisme devant de ces agissements, ne de n'en sortir que quand ces voisinages l'exigeraient selon leur bon vouloir par la voix des armes et de la torture psychiatrique, de la pratique illicite de leur main, de la médecine et de subir leurs opérations quand ils voudront sur moi se calmer les nerfs.. Quand l'affaire a repris pour le fait chez ces intervenants de devoir m'empêcher de percoler socialement par le biais d'un travail rémunéré ou pas, bénévole ou personnel, fruit de mes dons, puis du devoir de m’imposer le devoir de travailler sous le STO sous el prétexter que je ne foutais rien, sic, puis sous les prétexter que je n'avais à échapper à eur emprise en me trouvant quelque compagnon qui puisse m'être bon mari, enquêtant à tous vents pour que se connaisse son identité et lui en imposer autant qu'à moi-même, ce que j'ai dû taire au détriment de ma vie privée et de ma santé. Le cerveau refait couturé de tout acte contre nature. . Loi de la rétroactivité en toute affaire d'agression physique de ce type. Les voix des commères hurlantes et vieilles harpies en campagnes vociférantes considérées voix de la dissociation du moi que je ferais, entre autres personnes persécutées de ces veilles miliciennes. Mes deux sourcils enfoncés délibérément dans la face des tabassages constants, pour le mot malheureux de primates dont j'avais qualifié des agresseurs, à l'étage supérieur. Cf. la chanson de Renaud sur les petites bourgeoises blondasses pétasses maquillées comme un carré d'as, qui leur foutent les glandes, casse toi tu pues laisse les nibards et marche à l'ombre, sur le sujet, dès que cela sent le cramé ou le rousti. C’est moi qui fais la pétasse. Appareils de chauffe dit de chauffage, irradiant fortement ou fours micro-ondes, appareils de guerre totale ou guerre nucléaire, disposés, placés dans appartements mitoyens à ceux des personnes à déloger. Jusqu'au coup de soleil, brûlures en plaques, naevi vitrifiés, déstabilisés, en mélanomes, fortes irritations, micro-taillades et peaux fendillées, incommodations voire insolations. Causes de cancers et cancers généralisés dans le pays. Ou bien appareils à faisceaux micro-ondes et lasers de type anti-tempête (paru dans les informations télévisées), version modèles réduits, testés actuellement sur la moitié de la population, dans la pratique du viol accompagné de torture. N'ayant droit de ma libre opinion et conscience tranquille à l'usage ni emploi de la loi du Talion ou Droit Régalien, ni à l'usage envers autrui des pénalités judiciaires en cours de nos jours, ni aux mesures de répression psychiatrique signifiant les méthodes totalitaires de la torture médicale, ni le droit de faire justice par soi même, le Dr Brès Robert ayant calculé en collaboration avec ses émules et acolytes et la complicité de la famille, le droit de par ces méthodes auxquelles moi j'avais le devoir de me confronter, et qui me revenaient, de me contrer dans les arguments de mon opinion jusqu'au point ultime de la cancérisation. Bref, ayant choisi l'élimination physique pure et simple, avec celle de l'affaire, il triomphe ainsi, n'attendant que mon décès après ce type d'exécution sommaire, me laissant dans la lente agonie promise. Dans des traitements subsidiaires à ceux qu'il espérait et qu'il m'inflige encore en surcroit de ceux que m'impose mon médecin officiel. Si je résistais à la mort subite. Les maladies mentales ou décrétées démences de type dépressif, maniaco-dépressif, et schizophrénique, traitées par lobotomie et résections parfois graves constante à quasi constante des zones frontales, de ces armements nucléaires et d’autres technologies décrits, jusqu’à ce qu’advienne la maladie d’Alzheimer, le plus souvent dès ‘âge de la trentaine et quarantaine, population visée, repérée pour subir ce genre de répression et menacée de ce genre de ratonnade. La féodalité une autre forme de nazisme, précisons. Le pays ayant vécu depuis les premiers temps de l'humanité sous tous les nazismes et des plus divers. Personnels fonctionnaires et médicaux corrompus, à même d'être achetés. Crachats dans le café et la soi-disant pommade en fait une crème pour visage et corps à la rose, sous le prétexte que je n'avait pas droit à ce parfum, le crachat testé de par eux à tire thérapeutique, et ses bienfaits strictement étudiés. la douleur profonde due à la torture mutilatoire une cénesthésie due au délirât non compensé ou décompensé. Eux arguant la pré séquestration ante placement d'office, pré séquestration capable de constituer sinon créer des preuves constituées et constituées de toutes pièces et méthodes de torture ineffables, preuves dites irréfutables destinées à justifier ce placement. Pour justifier d'un état qui nécessite quelque lobotomie ou résection de cervelet, à titre de prévention à un placement décrété nécessaire pour trop grande perspicacité lucide que je ferais. Amputation pour droits imputés, invoqués, de le devoir dans le devoir de partouzer de la partouze de pouvoir absolu, totale et absolue, au nom de la partouze publique, et privée. D'autant plus que l'opération du cerveau est déjà en soi un viol collectif à elle seule, viol dit thérapeutique à tel point que l'on n'y voit plus la notion de viol en soi. Pratiqué au domicile du dit aliéné ou en pavillon. Viols décompensés que font les prisonniers d’opinion ainsi traités. De toutes nourritures cancérigènes, en état éternel de surnutrition, ou laissés faméliques, manquant dérisoirement de fer comme de fers à repasser tant maintenus dans la misère noire qui les fait dire anorexiques, torchés aux électrochocs s'ils manque de papier WC comme de papier monnaie, la pauvreté depuis ces périodes de récession, une vilaine manie (morale de Voltaire concernant les serfs et manants de son époque), à traiter de façon nazie.. Après avoir pollué mon cerveau et ma mémoire de cette affaire qui dure depuis une trentaine d’année, certains de ces psys du secteur 2 de psychiatrie de Montpellier, entre autres ceux comme par hasard du point de repère, ont proposé la lobotomie des centres nerveux contenant l’affaire et de m’en rendre amnésique de façon totale et parfaite, amnésie totale ou partielle, ne concernant dans ce cas que la mémoire immédiate de mes discours et plaidoyers (maintenus assez longtemps sous une foire aux trépans er tasers digne de m’attribuer l’accusation de logorrhéique), se cela pouvait me soulager, et l’ont entrepris, razziant zones frontales, occipitales, pariétales, nasales et de la mémoire. L'on ne va pas tout de même leur appeler l'exorciste pour les déposséder de leur foi de m'abattre et exécuter. Les douleurs causées par la torture physique préparatoire et préalable au placement, considérées, au plus simple algie, sinon hallucinatoires, selon le degré d’aveu et de confidence du fait précité. Pour en revenir aux implants et faisceaux les simulant, réseaux de prostituées issues de la même prostitution infantile dans les familles, femmes et peut-être hommes qui en proviennent les portant, torturé(es) par ces prothèses électroniques, causant ablations de zones cérébrales contenant leurs luttes, réparties implacables et raisonnements, parties civiles et plaidoyers extirpés au cours de longs interrogatoires, qui pourraient les faire gagner en procédure contre ces médecins proxénètes et leurs acolytes, qui les tiennent et détiennent. De ces implants causant deux viols jusqu’à l’orgasme par heure, maintenus éternellement allumés, fonctionnant sur pile atomique au lithium implantée dans le corps. Implants placés jusques dans sinus, mastoïdiens ou rochers, maxiliaires et frontaux, causant les maux et maladies des personnes de mon entourage, maladies voulues chez moi, dont tumeur dans le cervelet gauche et droit. Organe ne concernant je le rappelle si cela est méconnu de certains, que les fonctions vitales naturelles et organiques du corps. Implants électriques électroniques manipulés par drogués alcooliques, faisceaux à fous dangereux et gangsters logeant dans le dit voisinage, commettant en harcèlements de leur mains résections mutilatoires de cervelet et de lobes cérébraux, tant rongés de courants et décharges électriques que réséqués à la longue, ablavés dans des opérations de longue durée voire plusieurs ans, sinon détruits à vif de décharges et amputés ensuite avec ouverture des os. Histoire de loger une balle de plus dans le crâne, ou la nuque d'un prisonnier d'opinion qui l’on s’en plaint chez les médecins, n’en meurent que sur la table d’opération. Plutôt que dans leur lit, s'il faut mourir. Filles, hommes tenus de médecins jeunes et vieux proxénètes et véreux, usant de la torture médicale dans leur parties de viols dites fantaisies pour leur amusement, gains et profits, sur fille de joie placée sous l'étiquette de la maladie dans appartements maisons d’entrainement voire d’abattage sinon en pavillons disciplinaires aux même fonctions, victime, elle aussi, de cette gigantesque farce politique et escroquerie à la Cotorep, à la sécurité Sociale et fraude judiciaire gravissime. Certaines prostituées jusques dans leur emploi, parfois administratif. Avec la complicité des familles. Dans les tortures de république cotonnière. Ou coup de bambou. Sans autre forme de commentaire. Arasant des zones cérébrales entières telles les zones de la vue, pour l’interprétation du mot homonymique de centre nerveux de la vision (hallucinatoire), la vue étant la vision en soi, depuis les premiers temps de la médecine. Terme conflictuel autant que l’interprétation par la médecine, la psychiatrie et la loi, des mots à homonymes tels mousse petit mousse ou mousse de salive), voix (du langage parlé, de chant, ou intérieure, donc automatiquement hallucinatoire et acouphène, terme technique), filles bien en fait terme désignant les chic filles dites bien donc stables mentalement pendant leur traite, selon les lois des trois capitaines d’orgie, chanson entre autres de Brassens ou la chanson d’Hélène, s'attaquant aux filles soutien de la démocratie et de l'intelligentsia. les avocats du diable qu'ils représentent au sein des populations et dont ils font perdurer le mythe, jouant sur les mots. Jusqu'aux senteurs orgiaques de gruyère génital de nombril et smegma, au jambon de curé et charcuterie pour tout acte de boucher charcuteur ou charcutier destiné à vous mettre les jointures en culs, parfums de l'obscène. D'où le taux de suicides en France. Ne laissant en vie que les attardés et assez arriérés de bêtise pour qu'ils ne soient opérés, cela serait leur ablaver le peu qu'il leur reste d'idée, sauvés de la lobotomie par la connerie triomphante de la borne ambiante. L'on n'a pas à faire avaler aux français la couleuvre supplémentaire et la pilule amère de l'usage de la torture médicale, électrique, psychiatrique dans le pays, au nom du bien fondé d'une légitimité du fait de la lutte contre la criminalité des malades mentaux, criminalisation de leur cas, comparé à celui de la délinquance maintenue dans le triomphe des trafics multiples et des plus avariés prenant naissance au sein des établissements psychiatriques, des usagers de la drogue et de l'alcool. au nom d'un fascisme ambiant décrétant que la torture et la bonne est nécessaire en cas d'application de peine, psychiatrisée pour la plupart des citoyens, sauf pour les immigrés d'origine arabe, ceux-ci et les drogués n'ayant droit qu'à la prison. Politique de Jacques Blanc et Manville, de l’ensemble des secteurs psychiatriques qui leur lècheront les bottes dans tout le sens du cirage à la blennorragie de leurs bordels et hôtels borgnes pour se répéter. Cf. Le film Ghotic à ce sujet. Et la mafia dans ce cas est toujours russe, ou américaine. Le forfait hospitalier, forfait du crime parfait bref, véritable forfaiture, leur forfait accompli. Vivez en toute sérénité au milieu de leurs bandes de casseurs en bande... Appareils de chauffe dit de chauffage, irradiant fortement ou fours micro-ondes, appareils de guerre totale ou guerre nucléaire, disposés, placés dans appartements mitoyens à ceux des personnes à déloger. Jusqu'au coup de soleil, brûlures en plaques, naevi vitrifiés, déstabilisés, en mélanomes, fortes irritations, micro-taillades et peaux fendillées, incommodassions voire insolations. Causes de cancers et cancers généralisés dans le pays. Ou bien appareils à faisceaux micro-ondes et lasers de type anti-tempête (paru dans les informations télévisées), version modèles réduits, testés étudiés actuellement sur la moitié de la population, dans la pratique du viol accompagné de torture. Arrachant mes cheveux et nerfs de mon système nerveux pour leur moitié, espérant les faire repousser de gavage de type Mussolinien, par intubation et alimentation artificielle, prétextant l’anorexie chez moi, supplice chrétien connu sous l’Inquisition de l’eau, du lait, des œufs et de l’aliment, au cours de fantaisies orgiaque de voisinages malintentionnés et nuisibles pour la santé, dangereux pour la vie. Médecins, infirmiers, n’appréciant le type de réparties que j’ai quand ces locataires mitoyens ou de l’HLM d’eux même me prostituent sous la contrefaçon d’électrode et la contrefaçon de ces appareils à électrochocs qu’ils détiennent et dont ils se servent en tant qu’armes d’attaque et non de self-défense, prétendant les étudier sur eux. En usant pour commettre violences tortures et viols répétés et répétitifs jour et nuit, en usant aussi pour leurs loisirs, instants de détente défoulement et amusements sur ma personne ;.me tombant dessus à la moindre allégation vite crue sans façon sur ma vie intime et privée, de ces voisinages et commères du quartier pour commettre ces électrochocs sur la surface de mon crâne, tout comme sur femme battue ou prostituée pour la corriger par raclées afin quelle ne bronche ni ne bouche, ni ose les dénoncer. les bouibouis de la ville utilisant les services de ce CHR ainsi que les cliniques privées au même titre que hommes de main destinés à se faire respecter auprès des personnes impliquées et formes de prostituées que je représente à leur yeux et leur suis pour un délit d'opinion que je ferais envers eux et n'avouent ni ne reconnaissent sinon entre eux et parmi leurs complices. M’interdisant par l’interdit de ces armes qui peuvent aller jusqu’à tuer, tout nettoyage de mon corps et de mes logements successifs. Interdit que je transgresse et qui me vaut chaque jour amputations de lobes cérébraux en partie, au grand complet si trop longtemps je persiste à poursuivre mes tâches et corvées, devoirs tels le rangement, de mes documents administratifs et à assurer la maintenance de ma vie, de mon appartement, rendu impraticable et inaccessible autant que celui de mère-grand, placée en maison de retraite car appartement rendu impraticable voire dangereux pour sa vie car maintenu en joue sous le feu constant et continuel de ces armes et engins à l’étage supérieur, parfois des étages inférieurs. Dans un tel appartement suis restée quand même, d’où les dégâts corporels et au niveau de la santé physique. Personnes du voisinage arguant que le proxénétisme en France permis seule la prostitution condamnée si devant être obligatoire. Se faire arracher lobes cérébraux et nerfs du système nerveux ou se les faire détruire, crémés, considéré moins grave que se faire arracher dents de mâchoire ou même œil par coups de poings. Défense de me redonner du prozac pour que je renaisse de mes cendres, incinérée en partie et tuée raide net, d’électrochocs trop déphasants ou trop stimulants passant de l’un à l’autre, agrémentés d’aphrodisiaques alimentaires, dont les œufs, permettant l’orgasme de l’épilepsie sans fausser les systèmes nerveux génital, le gavage quotidien aux œufs en quantités nécessaire à ces fins, trop dangereux pour mon cancer. Seul ménagement possible à l’affaire. Me tombant parfois et à leur heure, sur une de mes oreilles, en réséquant le pourtour, espérant y lobotomiser les centres nerveux de l’écoute en moi, utiles en cas de concert chez moi si cela se trouve que j’en organise encore, selon Mr Manville l’Art devant chez l’Handicapé se limiter à l’Art Thérapie et éviter à tout prix de se faire remarquer, et devant renoncer à socialement percoler, braquée en toute occasion dans toute zone ou aire mortelle du corps. Poursuivie pour la qualité et le niveau de mes discours. Mes agresseurs cherchant à tuer sans se faire remarquer, résolvant au silence du meurtre parfait par méthodes de violences allant de l’ablation progressive des deux cervelets, devant être entre–temps séparés maintenus bien écartés autant fessiers dans violade, jusqu'à l’étouffement des cris par appareil irradiant braqué sur larynx et poitrine, au niveau de l’appareil cardiaque.
Mes agresseurs cherchant à tuer sans se faire remarquer, résolvant au silence du meurtre parfait par méthodes de violences allant de l’ablation progressive des deux cervelets, devant être entre–temps séparés maintenus bien écartés autant fessiers dans violade, jusqu’a l’étouffement des cris par appareil irradiant braqué sur larynx et poitrine, au niveau de l’appareil cardiaque. Cuisante les chairs du corps et de la tête jusqu’à l’odeur de viande frite, le sang maintes fois réduit au jus de viande cuite ; eux cherchant le nerf vital dans le cervelet, maintenant le corps en vie, et qu’ils pourraient tuer, le rongeant lentement, dans l’espoir de me faire décéder de mort lente après plusieurs tentative répétées chaque année de me tuer de mort violente. Faisant accroire à une lente maladie dégénérative dont je souffrirais et mourrais. S’introduisant dans mes domiciles à la façon des services secrets. L’administration française, les services médicaux et spéciaux, feraient passer l’Inquisition et le nazisme en force dans le pays, personne ne s’en apercevrait. Ce qui induit l’appellation « d‘idées bizarres » que je ferais. En résumé, je dépose plainte contre les personnes auteurs et responsables de ces faits là, tous ou à peu près anonymes, contre Mr. Rivière et ses complices, étage huit au dessus de mon appartement, pour : Viols avec violences en collège et réunion, viols à titre thérapeutique, espionnage constant, ingérence et maintenance à main armée de ma vie intime et privée, recel d'armes non conventionnelles et de nouvelles technologies non encore reconnues dans les services médicaux, sans port d'arme et trafic d’armes, issues du trafic de drogue de la prostitution et du proxénétisme, ingérence dans la vie privée, torture, torture médicale, maltraitance, barbarie et actes de cruauté, voire crimes contre l'humanité, tentatives réitérées d'homicide, actes de proxénétisme, sévices, voies de fait, coups et blessures, violences aggravées en vue d'expérimentations scientifiques sauvages ou à titre de représailles, simple expérimentation personnelle ou violence gratuite. Pratique de la neurologie à titre d’acte de neurochirurgie avec armement de courte et faible portée à titre d’instruments de soin.. Torture rituelle par implants. Charivaris. Incitation à la haine raciale, discrimination raciale sociale sexuelle et ethnique, ségrégation et apartheid, Effets de procédures illicites diffamatoires, de tribunaux d’exception, détournements de lois en vue de faux placements d’office, illicites, à domicile suivis de placements véritables destinés à officialiser et prolonger ceux qui précédaient, exercice illicite de la médecine, expérimentation sauvage sans anesthésiques, association de malfaiteurs corruption de fonctionnaires et racket dans le but de prostituer, humilier, dégrader la vie et la santé par profit et amusement, atteinte à la vie privée, expéditions punitives, usurpation d’identité, destructions de preuves physiques, faux en justice et en écritures, effet de bureaucratie soviétique, nazie et de secte. pénalités illégales. Mon infirmité consécutive à ces faits, niée et reniée, traitée en refus d’obtempérer pour un travail rend obligatoire autant que sous STO. Ainsi qu’enfreinte aux articles de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, à la Charte des Malades et aux droits du Code Civil. Trop de fous dangereux du secteur 2 et du secteur de santé mentale de Lapeyronnie, certains leur ayant fugué, laissés en liberté, libres d’exercer contrôle et maintenance envers ma vie privée. Je réclame leur enfermement en pavillon psychiatrique pour un temps durable et une mise en liberté sous contrôle médical à vie avec obligation de soins. Je réclame également sanctions pénales égales envers les médecins et personnels médicaux qui les auront laissés m'attenter à mettre ma vie et ma santé en danger. A force de lobotomies d'électrocutions constantes, viols (2 par heure ces temps derniers) coups et blessures, pour ma non violence face à une voisine et ses acolytes en état de meurtre sur moi depuis des ans et de mois. Line Llao

31/07/09 par Chelsey

Objet : complément de plainte Monsieur le Procureur, Je soussignée Melle Line Llao, vous prie de trouver ci-jointe la plainte contre X que je dépose. Complément de plainte 3 : Agents au départ conditionnants ou conditionneurs des cités, lotissements et Hlm publics et privés, inattaquables, rendus invincibles au nom de l'action de leur parti qui les couvre. Dont à priori celui de Le Pen. Battant les campagnes selon les lois de la loi du tapage. des périodes de vote, ceci constamment; faisant vivre un calvaire à des infirmes et inactifs, jusqu'au conditionnement de femmes battues, filles violées, prostituées, prisonniers d'opinion sur lequel peuvent se dérouler quotidiennement et nuitamment, parties de snurf et de viols avec violences autrement dit tournantes. Avec l'aide et l'appui de chefs et personnels d'établissements pénitentiaires, psychiatriques et organismes affiliés, réseau créé sur le pays et la région depuis les années 50 qui a fait les gorges chaudes des populations depuis ce temps, dans tous le sous-entendus y compris argotique de la langue. Devenue idiome de secte sur se sujet. Meurtres sur ordonnance détruisant le fait, délais de justice saisie pour tentatives répétées de meurtre, assez long pour que le meurtre soit accompli. Trusts de matériel nouvelle gamme de neurochirurgie et de neurologie, ainsi qu'arme ne nouvelle convention, avec à la clef enrôlement forcé du cobaye désigné pour travailler tous STO et étiquette de la démence mentale, sa seule rémunération, l'argent gagné du profit des études ainsi pratiquée s sur la personne désignée, revenant aux mouchards et surveillants de principe de cette étude dite médicale. sous peine de placement d'office si la victime de ce trafic en réseau, résiste un peu trop ce qui lui vaudra maintes représailles les concernant sans devoir pour eux de se sentir concernés, et violences physiques, à actes de tortures pratiquées de main de ses bourreaux à l'aide précisément des instruments d'étude, ferme d'abattage et de travail obligatoire dites chantiers, mis sous couverture et surveillance médicale, psychiatrique, de médecins corrompus à très véreux, truands autant que proxénètes. Ils auront voulu m'euthanasiée ensuite par la force de la violence et la mort violente subite, pour avoir trop usé et abusé de moi. Ou la mort, ou l’injection, létale ou à force d'injections, pour certains et certaines, ou la tentative répétée sans fin d’exécution sommaire, ou l’hôpital, ou la clinique privée de leur choix, afin que quelque personnel et système de profit en tire profit juteux. Groupements de lobbies perpétrant ces attentats, pénétrant de démarcheurs dans voisinages, les dérangeant sous la menace, s’imposant au nom d’un département psychiatrique d’un droit de secte et de passage illicite en fait, s’imposant de représailles tant que la rançon exigée ne sera exécutée, ou le décès. Le racisme le doux nom du fascisme Et la peine de mort passe incognito aux yeux de chaque concitoyen de français. Electrodes dans le cervelet droit si je ne calme pas quand on m’exécute. la prévention dans ce cas se limitant et résumant à la peine de mort par exécution sommaire après mort lente, ne serait ce que par surajout de toute matière cancérigène et méthode médicalement mortelle, fortement irradiante et de ce fait cancérigène. Employés contrefaçon des Services Secrets, employés à ne se faire voir, si ça continue l'on va les peindre avec la peinture référant la lumière du dernier Phantom, afin que chacun de leurs visité se croit hanté, sa conscience mis en dont autant par autrui que par lui-même, effectuant des tours impensables, gaspillages de vies humaines et animales à décimer des familles de maladies mortelles déclarées héréditaires, dont le cancer poussé jusqu'au cancer généralisé. Absorptions quotidiennes de produits radioactifs, métaux lourds ayant causé la mort, ingérés dans nourritures et boissons, de plus d'un espion, dont un dernièrement en Grande-Bretagne, en plus du dirigeant assassiné à la Dioxine. Je crois qu'actuellement, c'en est bien le cas pour moi. employée contre mon gré par les services secrets depuis les années Mitterrand par la force et sous la contrainte de devoir mourir d'une façon ou d'une autre, je devais reprendre du service, promis, après période d'invalidité accordée. Missions impossibles en aveugle, employée au renseignement donné et devant tirer à vue sans réfléchir, causant décès probables immérités, car inexpérimentée et utilisée à l'arrachée, soulée de traitements causant une ivresse à tomber, torturée à devoir, prise d'erreur et d'affolement, supprimer père et mère et qui me serait désignée, homme de paille que j'ai et manipulée par la torture des plus douloureuses et cause de souffrances innommables pouvant conduire si prolongée durant des années à sombrer dans la démence pure, d'où chez moi l'appellation prématurée de démence, après un passage dépressif vers mes 19 ans, suivi de l'étiquette de toutes les démences, ayant servi à me faire travailler gratuitement au nom de la société, en tant qu'adulte handicapé, rémunéré par allocation d'état pour ce fait, prostituée parfois, d'Etat servant tous les emplois de bas étages contrefaçons de la DST. Sans, ainsi que dans certains films, pouvoir réussir à savoir par qui exactement, ni à en voir un seul de visu. Procédé Mirage, technique élaborées qui devient à la mode. Déments employés à la petite semaine pour opérer missions en taupe aveugle, sans savoir, tant irresponsables obsédés mais obéissants et capables d’obéir à la lettre, ignorants, ce qu’ils causaient, employés tels chiens de guerre doberman ou dauphins tueurs à l’explosif de guerre dans des buts de suppressions après fortes intimidations. Au dernier moment, ils n’avertissent pas. M’oaurnt lâché les chiens. Ils mordent à longueur de temps plus qu’ils n’aboient; Mise en vigueur depuis les années 40. Menacée de mort dès mes un an, ayant vécu la mort toute ma vie, sous cette évidence de l’éducation dans les services secrets. Sacrifiée à ma tâche de devoir survivre, ils auront décidé de m’abattre, réticente à reprendre du service, refusant l’amnésie, ou la mort, pour le simple fait que j’en sais long. Mise en demeure de mourir depuis que je suis née, pour d'après ce qui dit et rapporté, une bourrique d'employée de la DST qui m'a prise pour quelqu'un à la naissance, de 30 ans. tout pour se débarrasser du bébé, que survivant encore malgré les tentatives répétées de suppression sauvage, je me reproduise. Asile usant des services généraux pour m’exécuter, de mort lente et assidue. au cèpe et au morille mortel, autrement-dit l'amanite phalloïde en fonction des amours. œuvre parait-il du père, encore en vie de s'être tant fait , toujours en liberté, punir. Assassinée de mort lente et assidue. au cèpe et au morille mortel, autrement-dit l'amanite phalloïde et le bolet Satan, reçu en paquet cadeau un jour de guerre froide anté-guerre du Golfe, années 85, en fonction des amours. Œuvre parait-il du père, encore en vie de s'être tant fait, toujours en liberté, punir. Plusieurs fois je l'aurai sauvé de la mort, il ne le sait, de la peine d'euthanasie anticipée à son passage dans les années 87, torturée à mort pour l'exécuter. Il fallait ne le dire. Je risque de décéder sous peu. Affaires de meurtres déguisés en accidents et maladies mortelles, dans la famille. Le pays obstrué de ces crimes parfaits obtenus à coups de crimes contre l'humanité, crimes politiques, parfaits. Pilule faiblement radioactive posée délicatement sur coin de commissure, pendant le demi-sommeil. Les victimes principales de ces crimes inculpées de ce trafic de traite des blanches, de patients constitués, de drogue et de tests d’appareils de technologies nouvelles et nouveaux produits pharmaceutiques et nouveaux produits du capitalisme pour vérification de leur nocivité sur le corps et l’esprit, accompagnée de réquisition de personnes repérées par ces trafics dès les premiers jours de leur vie, rémunérées pour un travail qu’elles sont sensées fournir auprès de la société, d’opérations et soins à domicile palliatifs aux dégâts physiques et chez certains également mentaux, causées par des erreurs thérapeutiques d’étudiants se faisant la main sur eux, d’appartements mitoyens aux leurs (d’où les affaires de voisinages chez les prétendus schizophrènes en fait prisonniers du trafic et principales victimes de cette fraude), sous les symptomatiques et apparences de la symptomatique de la démence ensuite vite acquise et traitements de la dite de la démence, devant travailler sous le joug de la torture après du viol thérapeutique et du chantage à main armée, à tout usage que ferait la Médecine de leur corps, légué ante-mortem à tout type de médecine e de trafic qui en découle et voudra l’y employer, pour études de cas allant jusqu’à essais de lobotomies, servies ensuite à titre d’arme contre la tempe, dans braquages de sujets et en partie d’étudiants soumis au tutellat de particuliers et familles entières mêlées à ce réseau, repérés par la fraude, pour servir de cobayes et rédiger en tant que nègres d'écrivains, (pour ma part j'ai servie de nègre à mon insu durant ces dernières années à des quantités d'écrivains, dont la collection entière des Editions du Champ Social, Philipe Claudel et un certain Mr. Couvhennes) en surcroit des opérations constantes, à des thèses d’étudiants de l’Uni ou du trafic, de partis de tous bords, surtout communiste-stakhanoviste et stalinien et nazi. Étudiantes ou fausses étudiantes en raquet permanent auprès de ma personne, braquant ma tête ou tout autre organe de mon corps de ces armes de poing nouvelle convention ou instruments de soins médicaux encore en test sur ma personne, et mon organisme pour parties d’amusement sur personne déclarée handicapée et voulue vulnérable pour plus de facilité avec actes de chirurgie et de neurochirurgie à l’appui, dignes de parties de snurf américaines ou asiates. Suivie s de revanches et vendettas si le sujet se rebelle, puis après que la médecine et ses complices dans la population en ait eu bien usé, organisation sous la contrainte du silence assermenté sur l'affaire, de la suppression programmée des victimes du réseau au domicile même, sous es mêmes violences arbitraires et exacerbées ad mortem ou en placement définitif jusqu’à ce que mort s’en suive à l’hôpital. Séances d'électrodes ou de heurts avec armements. Pratiquées sur tout lieu de vie, de résidence ou de circulation. Tout fait dénoncé y compris par autre personne que le condamné, reproduit sur lui. Chaque agression subie par lui lui étant condamnée de séances supplémentaires sur sa propre personne. Plus lui-même puni, plus puni il sera pour les saines réactions à ces tortures, l’induisant à se révolter jusqu’au massacre physique de sa santé et de sa personne, dans une montée de la violence issue de la simple attitude perverse et d’autrui à son encontre, menée de violences policières à violences psychiatriques jusqu’au fascisme si ne serait-ce que cité, le prisonnier, dont moi-même, passé de simple réflexion à agression verbale, aux armes des faisceaux, et les pratiques des Faisceaux. Constituée moi-même de ces armes armements militaires de type nucléaire et méthodes totalitaires personne vulnérable antécédemment à tout placement, personne dite et reconnue faible, en fait de ces traitements imposés et pratiques illicites de la médecine à tire préventif et de dédommagement réparateur, par pur accès de vendetta ou volonté de nuire, ne serait-ce que sur affirmation abusive de l’aristocratie d’un Père (de qui le veut) vécu et accepté gourou dans l’assentiment de toute une population, même adverse. Phénomène de la chambre à domicile faisant mériter au prisonnier le diagnostic de démence schizophrène pour son isolement obligé, l’enfermement thérapeutique de son cas, ses luttes et combats exaltés des traitements mortifiants et dégradants précités, toute personne causant troubles de l’ordre public privilégiée, ses ou sa victime tabassée, opérée en soins intensifs à domicile sans autre forme de procès que cette forme nouvelle de l’Occupation, neutralisant les terrains neutres substitués aux pouvoirs dominateurs par les armes des plus fascistes, victimes dépossédées de leurs biens ensuite réquisitionnés par organismes de tutelle tels L’UDAF qui plus nazis que les nazis, tabassent et réopèrent jusques dans leurs locaux même, dans des traques à l’homme des bois sur leurs personna non grata fichées dans tous les établissements pénitentiaires, faisant accroire s’il le faut à PO encore en vigueur pour opérer et lobotomiser à souhait tout récalcitrant à ses « autoritarismes » totalitaires et de rigueur. Il fallait que rien n’en transpire sauf le prisonnier de rigueur lui aussi, bouc émissaire de ces fantoches et hommes de pailles du pouvoir de la dictature plébéienne populiste du et lumpenprolétariat. Dans la loi de mise en épingle sous mise en épingle du sujet, du fait futile qui tue et le tuera. Vous confectionnant en employée administrative de la DDASS, enquêtrice de leurs services à la bouche pâteuse et asséchée, légèrement abêtie telle que dans les administrations on les aime, et qui de sa bêtise profonde et de son incapacité intellectuelle avérée, n’inquiète là plus personne. Contamination volontaire par passages à tabac constants jusqu’à la baisse des défenses immunitaires augmentée par l’usage abusif et illicite de traitements médicamenteux, jusqu’à l’infection virale de l’organisme ou par introduction d’urines et crachats contaminants d’infections en vue de me faire réclamer des antibiotiques destinés eux à soigner l’hypothétique infection résultante des lobotomies er actes de neurochirurgie illicites de médecins et neurochirurgiens corrompus appelés par maniaques et obsédés de la résection cérébrale à titre de matraquage de l’idée de gauche, pratiquée, à domicile, à peine mon identité physique et son aspect (voulu uniquement par l’artifice de dits soins, pratique de soins illicites à domicile), ma constitution naturelle et la grosseur de mon cerveau revenus, ainsi que la qualité des récits de mon esprit, donc, de ce cerveau si la pensée pour certain reste immatérielle. Pressions physiques. Remises aux autorités pour manque de répondant aux provocations de partis fortement adverses et armés en conséquence, commettant violences morales et physiques mutilatoires graves par pur esprit de provocation. Puis leur fascisme augmenté des ardeurs et effets de l’alcool les enivrant, infliction de leur part d’effets de justice illicites et non déclarés en jurisprudence, tenus pour hallucinations sensorielles dîtes cénesthésiques, jusques dans procédures qui succèdent aux effets des précédentes, effet de Noria sans fin.. Ensuite, infliction au cours des parties fines précitées, de traitements non officiels donc officieux, précédant l’injection retard mensuelle vécu par la population forme d’exécution publique revendiquée ou sue, et confection à l’électrode d’électrochocs de multiples sortes et variétés, passant du courant déphasant mettant le corps et le système nerveux en loques, dit apaisant jusqu’à la prostration du prisonnier d’opinion, aux courants dits revissant et coups de fouet, dynamisant sur le plan de la tonicité musculaire, pris pour simples toniques musculaires, dits psychodynamisants à causer le meurtre du forcené ainsi obtenu, maintenu sous courant de séances continuelles, effet surajouté et augmenté jusqu’à son paroxysme, parfois encore s'il a résisté (dénommé se résister) le meurtre du condamné sur autrui ou son assassinat, des effets surmenant au comble du surmenage, de substances chimiques neurosurexitants de médicaments tels Prozac, Tranxène, Stablon, Electrolytes, infligés au cours de parties fines à scènes de violences de type violences conjugales de ces messieurs et dames en rut d’assassiner, violences constantes que sont les séances d’électrothérapie ou pratiquées à travers étages par appareils à rayonnement nucléaire, de faible à fort, représentant un danger de cancérisation du sujet en sus de son alimentation forcée à base de malbouffe cancérigène à base de féculents, sans légumes ni fruits, appareils usités en contrefaçon d’appareils à électrochocs, ou contrefaçons d’électrodes... Vieux barbons se réclament Pères de famille en messes noires de Frères du Roi et commandos d’accueil envers individus choisis de la société pour leur lucidité sur l‘affaire, les opérer de mutilations cérébrales au cours de fantaisies au pas de charge entre amis du fascisme des deux extrémismes et leurs renforts. Tentatives totalitaristes de déstabilisation mentale de l’individu de gauche en dissidence de factions fascistes des partis de la gauche, dissident de l’extrême droite, donc en électron libre, donc incontrôlable et devant décéder dans l’hystérie sociale organisée en émeutes sanglantes et chasses à l’homme préméditées. A confection du handicap au domicile de la personne choisie par la populace, jusqu'à sa résection ou lobotomie, sur le type de courbe de Gauss requis d'orgies mussoliennes à gavages au lait de chamelle en guise de charivari envers nationalité ou origine maghrébine de l'amant, d’une relation ou du concubin ou d'une connaissance du sujet, selon le film de type 1900, le film. Jusqu'à l’assistanat politique ou l’assassinat par représailles. Les handicapés physiques et mentaux, pour un problème intime qui doit être et rester le leur, de caste de race face à face à celle assermentée, de vieux pères fouettards bourreaux de petites filles, matons des cités aux aguets en expéditions punitives organisées, vieux porcs intervenants de résidences et psys tracassés de services en virées, devant se fréquenter, copuler et marier entre eux, sous une société policière et de surveillance pétainiste vichyssoise prête à tirer de ses tireurs d’élites et plantons fascii d’HLM résidences et lotissements ou de quartier selon le pourcentage de ces factions sur le terrain, sur le premier qui sera dénoncé par mouchard de fonction. S'amusant au départ lui même à tirer des armes mises par les services spéciaux français à tirer par pure provocation dans la nuque de l’électrode fatale ou du faisceau nazi en leur possession sous le simple prétexte qu'il a bu. Fait très toléré des asiles psychiatriques, qui rangés du coté des assassins de la pègre fascii et totalitariste, asiles eux mêmes peuplés de personnels médicaux issus de la pègre de la plèbe mafiosi, encouragent à la délation pétainiste du manquement au paiement de la redevance ou de la facture d'électricité, et jugent qu'il est normal et de bon ton de tuer par provocation, amusement, ou toute autre raison. Instituant le fait de répresser par les électrochocs ou la lobotomie toute personne qui subira ces types de violences et tentatives de meurtres à but de provocation policière. Introduction au domicile conjugal de présupposés en PO sur délation mensongère, perquisitions constants jour et nuits de ce domicile, effectuées dans le but à effet mirage, selon les techniques identique de camouflage des avions Mirage, à causer des troubles divers chez les locataires et occupants des logements en questions, sans que ces personnes ne puissent s’apercevoir de la présence d’intrus dans ces lieux de vie, courses poursuites diurnes et nocturnes dans les mêmes conditions, l’enjeu étant que les services spéciaux souvent, employés de CHR, jouant les pires tours en vache et farces nazies, dites dans ces cas Jung, farces et attrapes fascistes destinées à provoquer des maux et les hospitaliser chez les particuliers tenus pour contestataires. Fait dénommé se poser en victime. Tirs croisés à vue de leurs bandes armées de manifestants pour des besoins collectifs de torture, tirs entrecroisés des tireurs d'élite de style Services Spéciaux aux faisceaux contondants, armements d'infanterie légère nucléaire de l'armée de terre (cf.site internet d'Amnesty International sur la libre circulation des armes) distribués dans le pays à individus aptes à en user, mesurés pour blesser froidement plus que tuer, pouvant torturer à satiété par pure intimidation, à ne plus savoir où vivre ni survivre, je ne m'en suis pas sortie indemne. Séances d’électrodes conduisant à la folie de la femme du Dernier Empereur. Le film. durant la semaine de sensibilisation d’Amnesty International, auprès de qui je cotise et dont je suis membre depuis peu de temps, association dont chaque démarche m'a été reprochée des tortures de chacune des tortures qu'elle a eu dénoncées, séances d'électrothérapies à l’occasion aussi du passage de Rachid Abadie dans la ville, précisément, et cela est fort possible, dans le commissariat auprès duquel je loge, ce qui m’a valu de me heurter à tout un service de l’ordre et aux pratiques de ses services spéciaux ; prétexte, ante-interventions musclées et plutôt électriques, à intrusions à mon domicile privé destinées à m'immobiliser de l'électrode pouvant être fatale tirant à bout portant dans le cervelet droit le temps de sa visite et prétexte stipulant que j’étais encore en PO, sachant que tout PO devra servir de bouc émissaire et tête à claque à ce pouvoir, je ne suis plus dans ce type de placement depuis 2003, et la guerre du golfe des années 80, durant laquelle j’ai bien failli me faire écraser par un char de manœuvres dans la ville, empruntant la rue de mon logement, le rite persiste de me tirer dessus, braquer de tireurs d’élites surveillant jusqu’aux hôpitaux. Soins intensifs illicites à domicile et falsifications de témoignages dans constitutions de dossiers. La ville entière de Montpellier ne fonctionnant que de cette fraude, envahissant la région et combattant tout maire qui s’y opposerait, certains plus royalistes que le roi, la Médecine entière impliqué dans le trafic, sauf quelques rares opposants, vite réduits, se heurtant à un système de corruption du plus puissant et meurtrier. Mes électro-analyses d'années durant de ce sévice psychiatrique pratiqué à titre d’interrogatoire DST à Penthotal (sérum de vérité, torture psychiatrique depuis les années 80, jusqu’à causer la mort par attaque cardiaque si interrogatoire trop poussé) sous ce type d'armes servant dans toute attaque rituelle de ces partis à idées fixes, m'exigent un travail gratuit, et analyses synthétiques ou synoptiques de la situation du pays, que je maintiens malgré toute torture et toute répression, jugées propos dangereux, de dangereux. Infliction anticipée de la peine de mort et l’exécution sommaire, passant en force en France de nos jours, sous la dénomination de l’infliction du soin à titre préventif d'une peine d euthanasie pour les crimes et exécutions les plus inavoués. Peines de mort, suppressions ou exécutions sommaires de prisonniers politiques constitués par la population et la médecine, devenus objets de trafics sur le territoire français infligées par imposition de traitements médicamenteux jusqu’à l’empoisonnement du corps et bien avant de l’esprit, mort lente au cours de la quelle la personne, impuissante à cette exécution, se voit mourir et décède dans d’atroces souffrances psychologiques, mort douce après tentatives répétées et jeu de l’infliction de la mort violente, après une vie de tortures physiques à mort si le suspect ne bouge, ne répond ni ne bronche. Laissé en vie uniquement s’il admet de retravailler, ou souvent reprendre du service réputés pour simuler la DST. Téléphones sur écoute avec orientation des appels vers destinataires par le pouvoir choisis. Dans une ambiance de Folies du vieux Montpellier et à l’heure actuelle, de petites gens impliquées dans les affaires de mœurs du gratin, de la société bourgeoise et de l’aristocratie féodale médicale en vigueur de nos jours, issue de la vieille aristocratie des villes et villages alentour, régnant sur toute ville et région du pays au nom de la substitution précisément à ces fêtes et orgies à blocs opératoires (parties de violences gratuites et politiquement engagées) à base d’opérations et tortures médicales mutilatoires, substitution des victimes de cette fraude dans un Jeu de massacre d’Ionesco. Sur Femme émancipée même apolitique, ou homme libertaire. Sur les conditions d’attaques armées de Brigades Rouges des Camps Mao et des interventions, médicales à nos jours, de la gestapo. Gestapo en milices armées ou brigades rouges en intervention jugées non responsables de la violence urbaine donc jugée moi-même en irresponsable du fait pour l’avoir subi, les avocats du diable de ces petits marquis de Sade ayant profondément joué sur les mots ces dernières années, pour toute plainte que j’aurai déboutée, à contumace. Mon métier ne revenant qu’au travail de déboutement de profusions de plaintes commises en harcèlements délations sur délations mensongères concernant ma vie privée, que je travaille ou pas, de façon rémunérée ou non, plaintes délatrices de type Vichyssois auprès de services sociaux et médicaux affectés des populismes des deux extrémismes adverses politiquement, chargés de résoudre les affaires rejetées par des juges en mal de m’imposer jusqu'au meurtre sur ma personne les faits au centuple de toute dénonciation des faits que j’aurai commise sous les tabassages violences et exactions jusques dans les moindres lieux et instants de ma vie intime.. Groupes de pressions Qui au nom de leur travail de lobbies, des grands trusts capitalistes, interviennent jusques dans les moindres accès à la vie intimé et quotidienne, afin de régler d'hypothétiques problèmes d'impayés soit sur accusation mensongère, soit pour de réels impayés. Causés parleurs agissements et ils sont réels. Agressant des victimes les yeux rendus borgnes et le bon rivé sur le porte-monnaie, à ne devoir plus vivre qu'ainsi de ces pousse au crime, en état de ri atteint de lèse-majesté au moindre aveu extirpé de ses victimes, leurs cris étouffés des lobbies des établissements psychiatriques et pénitentiaire afin de les exterminer, ces victimes, en tout silence, qu'aucun cri elles ne poussent en cas d'exécution le plus souvent sommaire si ces lobbies décidant préventivement à toute dénonciation de leurs actes, de les assassiner. Pratique rituelle de la torture (sous le prétexte du devoir prétendu de l'amour et de la sexualité hétérogène chez tout individu) sur les individus émancipés de la société française pour cette cause du plaisir solitaire, pratique de son interdit (cause de l'obésité en France et dans le monde) aux méthodes très pérennes, excessives et répressives aussi connue et maintenue taboue et tue mais sue aussi connue que l'excision des femmes en Égypte. la femme pour cet usage libre et non soumis à l'obligation, de son sexe, vécue petite fille. Donc dépourvue autant qu'enfant de conscience, de la Raison, de la Raison d'État donc, et donc folle, à traiter des mesures très répressives et tortionnaires de la Raison d'Etat. Équivalent dans la population masculine. Obligée elle à rester population que je désignerai de maculine, ou maculée de ses maculations. Sinon clitoridectomie directe, existe une forme dérivée indirecte encore de nos jours en vigueur dans centres hospitaliers et cliniques privées, l’innervation du réseau nerveux de l’arbre des ramifications nerveuses de l’organe clitoridien dans le corps et même le visage par tabassage de ce réseau au poste à soudure jusqu’à le paralyser à vie ou le rendre non fonctionnel. Voire le tuer, net ou à la longue et ils en prennent le temps. Torture encore de nos jours en vigueur dans les hôpitaux psychiatriques français, infligée depuis le Moyen Age dans les asiles d’aliénés, au nom de l’hystérie de la femme et de son clitoris à cette époque là trouvé « en massue » tant auto-torturé de maltraitances et tortures induites, voire, cancérisé. D'où chez certains enclines (à force d'exaltation maintenue et d'états seconds prolongés par divers procédés), à se mutiler cet organe du plaisir que la médecine réserve à la fillette, ainsi que multiples zones érogènes dont celles du visage, d’où le port de la ceinture de chasteté hygiénique, encore récemment en vente dans pharmacies. Infligée sur personnes attachées pour ces faits. Pratique qui m’est périodiquement opposée à tout commentaire que je ferais de l’affaire. Accusée d’hystérie pour l’hystérie collective de certains en mal de se venger de mon inactivité due à l’infirmité voulue passagère chez moi, et donc sujette à des résolutions expéditives scientistes des plus éculées concernant le mal de pureté et donc l’hygiène des jeunes femmes encore capable de posséder leur nuptialité, leur fécondité et les sens de l’Amour. Nuptialité des femmes qui selon ces mêmes personnes causeraient mon inactivité et m’empêcherait de retravailler, et considérée virginité autant que perte de l’hymen par des rites populaires repris par la psychiatrie de façon des plus tutélaires despotiques, paternalistes à dictatoriales, amenant à la castration définitive après excision nerveuse de l’appareil sexuel sur ordre d’un père de famille qui le voudra, au nom de psychiatres invétérés pour la pratiquer, afin que je ne sois plus aimée de ni capable d’aimer plus aucun amant. Privée de mes droits, libertés individuelles et infirme de ces faits, exactions commises au nom de la loi et de psychiatres en état de barbouzes se disant représentants de l’ordre induisant des petites gens et leurs malades au meurtre, à la crise de folie dangereuse ou violente.... Plainte issue de mon dernier manuscrit encore inédit « judas, Lucarnes et œilletons, Mégères ou le baiser de Judas », présent sur le site du blog : htttp://linellao.numeriblog.fr/eclipse/, live dans lequel je retrace l’affaire depuis son début, dont la rédaction a débuté dans les années 90. Dans l’attente de votre réponse, et vous en remerciant par avance, Je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression de mes sincères salutations Line Llao Montpellier, le 03-05-2009

Complément de plainte 4 : Monsieur le Procureur, Je soussignée Melle Line Llao, vous prie de trouver ci-jointe le complément de plainte suivant contre X dont la locataire logeant dans l’appartement au dessus du mien à la nouvelle adresse indiquée, pour récidive à ce sujet: Ayant changé d’adresse et de domicile depuis le 5 avril 2009, je me trouve à nouveau assaillie par une bande de trafiquants et de délinquants dépendant apparemment de mes anciens logements dont le dernier situé à la Paillade, individus dont certains malades mentaux dont l‘affection due aux toxiques, l’alcoolisme et l’ignorance à la limite de l’arriération mentale qu’induisent leurs addictions en particulier pour l’extrême droite jusqu’à l’illumination, représente un danger pour la vie et la santé, trafiquants qui se disent officiellement mes partenaires sexuels, concubins, amis, compagnes (me faisant passer pour une de leurs vieilles bisexuelles ancienne fonctionnaire orgiaque et barbouze à souhait aimant les parties fines, qu’ils seraient sensés punir pour sa perte d’autonomie qu’ils me veulent, en la matière également) et compagnons afin de mieux avoir accès à mes logements et dossiers médicaux destinés à me tenir, raqueter et faire chanter, armés de leurs médicaments qu’ils fourrent dans mes cafés, et des armements de leur trafic, qui pour à mon avis les raisons suivantes et la vengeance envers tout soin, et refus strict pour eux qu’ils puissent devoir se soigner, m’encerclent depuis janvier 2007 d’une constante surveillance et de violences physiques et mentales quotidiennes, répétées nuit et jour sans relâche, sauf rares répits, je les accuse de : Recel et possession illicite d’armes non conventionnelles illicites, sortes de pistolets et armes révolvers à faisceaux laser et d’autre nature, micro-ondes ou irradiations, certains engins dénommés convecteurs à agitation moléculaire etc., armes non classiques issues de la technologie de pointe militaire, parfois vraiment médicale ou industrielle, récupérées au titre d’appareils de soins par la médecine psychiatrique afin d’en créer maladies physiques et affections de toutes sortes dont les signes apparents la démence apparus sous la torture systématique causées par ces armes, parfois armes blanches destinées à la neurochirurgie et les multitudes de lésions corporelles induites et provoquées, cancers, arthrites, affections neurologiques, tares chez fœtus, dont pieds bots, victimes pouvant servir de chair à canon pour marchés de soins médicaux à en revendre et tirant profit de l’ existence, de l’utilisation constante sur la moitié de la population de ces appareils et engins de petit et moyen calibre, de main d’une mafia en bandes qui s’en arment, usent de victimes pour se faire la mains et s’entrainer à torturer, affecter de maladies et affections chroniques sur elles au cours de prétendues études, mafia hiérarchisée qui règne sur la région, voire le pays, en maître. Atteint jusqu’aux personnels administratifs, voire, personnels hospitaliers et médicaux de cliniques. Usant des familles des victimes ou de ses relations, ignorantes du fait ou incompréhensives et restées bornées sur le sujet, en tant qu’arme de confiance et moyen de pression supplémentaire sur ces victimes. Armements de récupération testés sur patients et personnes rémunérées sous l’étiquette de la démence pour ces tests qui vont jusqu’à leur coûter parfois la vie, leur assignation à une torture systématique préventive à un enfermement psychiatrique en cas de non soumission totale ad mortem à ce principe ou légère rébellion, incarcération officieuse et illégale destinée à s’acquérir preuves indéfectibles de la maladie et la parution des signes apparents de la folie incriminée. Par apartheid, proxénétisme, brutalités barbares de basses classes indigentes en lutte de classes mal assimilées, tentées par la dernière vague fasciste, et crêpages quotidiens de chignon d’ignorants et ignorantes en mal de saccager, massacrer et étêter l’élite des classes moyennes, violences de classe accompagnées de trépanations, opérations neurologiques, neurochirurgicales sauvages du cerveau, de type scientiste et organisées par bandes armées non habilitées pour pratiquer ces opérations et surveillance d’imitation pseudo-médicale (donc en pratique illicite de la médecine, se donnant un rôle qu’ils jugent de première importance compensant leur déchéance de basse classe ou bas niveau, de personnel infirmier auprès de ma personne), et de viols avec violences par blessures dans des zones génitales et cérébrales du crâne, ainsi que par le plaisir causé de l’épilepsie, avec tout instrument qui pourrait s’assimiler aux effets du poste à soudure infligé jusqu’à l’épilepsie, envers une femme émancipée de gauche qui présenterait les signes du délit d’opinion qu’elle fait envers toute personne s’affirmant de l’extrême droite et du front national, ou même d’obédience laïque de gauche, partisan qui assimilerait par effet de la paranoïa de son cas, la différence d’envers soi avec la maladie mentale, et faisant l’amalgame avec le délit d’opinion. Que serait celui de publier ouvrages et œuvres d’art ou culturelles sans se prostituer avec voisinages attirés par le profit envers une personne isolée et choisie pour ce fait par eux sur critères sélectifs bien déterminés en fonction de son opinion, de son degré, type et niveau d’activité intellectuelle, de ses origines, et encerclée de leur omniprésence, qu’ils destinent à leur trafic de médicaments, de drogues dures et douces, de femmes et d’hommes, des armes précitées et autres armes de poing souvent nucléaires, de courte portée, environ au maximum pour certaines de 5 à 500 m de portée. Pouvant à bout portant si non réglées, cogner, tuer, parfois réglées pour simplement blesser et donc torturer, des douleurs dues aux lésions internes invalidantes causées. Protégé par les hommes politiques et les autorités voulant que cela se passe sans heurts ni ne se sache et soit tu, les services médicaux, juridiques et sociaux. Jouant avec l’exécution sommaire, l’infliction de la mort violente, brutale, subite ou lente, qui passe le plus inaperçue et attribuée à des causes génétiques ou de maladie endogène dégénérative grave. Trafic de proxénétisme lié à la prostitution gratuite que ces bandes liées elles à une haute hiérarchie dans le gratin médical de cette ville, voudrait me faire vivre, et à laquelle elles voudraient m’habituer d’abord en douceur mêlée de violences physiques et mentales, puis dressée par ce stratagème, par la routine et le laisser faire de ma part contre ces contraintes, je devrait céder à la demande, subconsciemment entraînée de tortures, sévices qui devraient m’instituer les lois de ce métier, bande qui voudrait m’y condamner sous peine de soins illicites à domicile, sous peine si je ne résiste à en faire trop de bruit de mes capacités intellectuelles à fréquenter et à être des artistes, sous peine donc de placement, d’abord eux cherchant auprès de mes anciens entourages et univers relationnels à me placer par tiers, puis en cherchant le placement volontaire, auprès de ma famille qu’elle s’accoquine, réellement sollicitée et harcelée par cette bande qu’elle préfère à toute preuve de sincérité sensée de ma part. Bande qui se dit relever de l’autorité d’un certain sergent, d’un Serge, d’un Pierre qu’il avouent être Mr Vidalva, gérant d’établissement psychiatrique du secteur deux de santé mentale de l’hôpital psychotique de Montpellier, et qui me voue depuis que je l’ai connu, une haine maladive et très discriminatoire, falsifiant et médisante, mensongère et fallacieuse, presque perverse et due à une profonde jalousie envers ma jeunesse et tout acte de conscience lucide ou de preuve d’une quelconque intelligence que j’aurais et décelable en moi ou dont je ferais montre, et d’un Mohamed que je suppose de la Paillade, lieux de mes derniers logements. S’introduisant à mon insu dans mes appartements successifs, ils déposent dans mes cafés de quoi m’assommer, neuroleptiques puissants, barbituriques et somnifères, attendant que leur effet ait agi sur moi, puis entrent à nouveau, une fois que je suis les yeux fermés, incapable de constater leur présence, et abusent de moi ou pratiquent à mon encontre les soins qu’ils veulent s’assurer de m’infliger, soit par pure vengeance envers mes attitudes d’indignation face à leurs pratiques, soit par vengeance envers toute action en justice que j’aurai tentée envers eux, et là faisant entrave à la justice de soins illicites, parfois pratiqués à titre d’orgie répressive, accompagnées de viols correctifs à appareils à électrodes ou les simulant, ou viols dans mon sommeil de médecins profiteurs, ils triomphent de toute entreprise de me défaire de leur pouvoir, totalitaire à mon encontre. Dans un duel que chacun des médecins qui m’aura traitée pour précisément l’existence de ce duel, aura négligé, loupé, délibérément ignoré s’ils n’en ont pas usé également à mon encontre. Madame Louise P, un certain Guy, Michelle, jean P, Jean-Louis, leur équipe du Saint–Guilhem ou dit pavillon 9 de l’hôpital de la C; font équipe avec des inspecteurs protégeant les crimes contre l’humanité commis et propagés dans la ville par cette équipe ancienne du Dr R., décédé à ce jour, remplacé parle Dr M, pour fustiger mes envies et besoins nécessaires à ma survie, de faire appel à la justice ou à quelque aide qui soit, m’ayant torturée depuis janvier 2007 de toutes les façons inimaginables, pour connaître le nom de mes compagnons, afin je le suppose de les travailler pour obtenir d’eux placements par tiers, intimidations envers ma personne sinon complicité avec eux, sous peine d e ravages pis que ce que j’ai subis et subis encore. Au départ dans les années 80 sur l’exigence d’Anne A, homosexuelle apparemment bisexuelle parfois, malade du secteur du Dr Brès, de son équipe, celle du Dr R.en fait, et du Point de repère, antenne du secteur 2 de maladie mentale du CHR de Montpellier, et son ancien compagnon Jeddi, elle s’appropriant mes anciens concubins et leur haine devenue monstrueuse envers moi après ses interventions auprès d’eux, Melle qui me poursuit dans chaque logement que j’habiterai et se trouve logeant dans toute résidence où je trouverai appartement à louer, depuis quelle m’a délogée de mon studio où je l’ai connue, elle voisine avec sa faille, mitoyenne de mon logement, encastré dans le sien, ce qui a servi ses persécutions, tortures, exactions violentes et maltraitances continuelles dont elle me poursuit, elle et sa band, depuis ; m’attirant haine et scandales depuis les années 1986, en compagnie de sa bande et d’une partie de sa famille, revanches à la moindre de ses hospitalisations ou soins de ses amies, droguées, éthyliques autant qu’elle, maniaco-dépressive à tendances schizophréniques, tendances à cette symptomatique dues à son usage des toxiques hallucinogènes, alcool et dont la poly toxicomanie entraîne chez moi des coups et blessures constants, m’ayant conduite à un cancer du sein, par trop de souffrances et douleurs violentes ou constantes subies, jugées et vécues vécu sans fondement réel par ses médecins et certains des miens, qui réfèrent m’en accabler plutôt vérifier chez les partenaires de cette bande d’homosexuels et bisexuels toxicomanes et alcooliques, le plus souvent adonnés à la prostitution et la dépravation des mœurs. Je l’aurai connue chez précisément mes voisins mitoyens (que je connaissais bien et sont rests amis avec moi durant quelques années, et dont un certain Ch. car parents divorcés, dont le grand-père d’après ce Charlie, fut dans les services spéciaux diplomatiques durant les années 80, et qui fut la pierre d’achoppement du conflit qui oppose A. A. à moi, car elle me jalouse tout ami, Charlie faisant partie du cercle de ceux-ci ou connaissances un temps) qui occupaient ce logement mitoyen au mien, dans lequel elle a habité jusqu’à me déloger du mien, qui m’appartient, ainsi que de tout lieu de vie où je me situerai. Me bannissant de la région si elle le souhaite. Et logeant actuellement, elle ou une personne de sa famille, dans la résidence de mon nouvel appartement, rés. Saint- Amans. Sa référente, Jo ou Marie-Joséphine Suariz, faisant elle aussi partie de l’équipe du Dr B., réputé pour les cas de toxicomanie et d’alcoolisme, m’est une ennemie sérieuse, qui prend la défense de sa protégée, et me voue une haine morbide teintée de lutte des classes communiste horrible pouvant s’avérer mortelle. Loge au dessus de mon appartement une jeune femme tout aussi dans les mauvaises mœurs et la bisexualité, en mal de me vouloir sa vahiné ou objet sexuel à sévicier et torturer à loisir, que les complices d’A.. Mauvaises meurs et homosexualité propagée par l’équipe de Robert B et Mr. M, dont les médecins et complices entendent pratiquer chez moi des soins à domicile illicites et passant inaperçu sinon hallucinations que je ferais, soins bien réels hors normes injustes, injustifiés et non légitimement fondés capables de me laisser gravement mentalement infirme et diminuée jusqu’à l’arriération, l’impotence grabataire et la vieillesse prématurée suivie de mort violente lente par coups, sévices, blessures répétées, ou douce, en tous cas infligée. C’est dans leur projet et programme d‘action et d’élimination de ma personne que de tenter ce plan là de suppression ; pouvant passer pour suicide si poussée à ce fait et y cédant je meurs de ma volonté, afin de fuir ces représailles trop douloureuses, ou assassinée, crime passant pour un suicide que j’aurais fait, d’ou la tendance à me dire jusques dans ma famille, en train de craquer ou dépressive, autre alternative, l’accident mortel, chute, (après fort dosage médicamenteux, coups et blessures pouvant provoquer la chute mortelle) parfois, ont essayé l’arsenic, le cyanure, jusqu’à parait-il ma mithridatisation, et le valium alcoolisé d’alcool à 90° ou d’éther (dans les cafés ou les gouttes déjà concentrées en produits alcoolisés et aptes à assommer, commotionner sans éther ni d’avantage d’alcool, gouttes ou mixtures versées dans les boissons ou cafés). Eux, cette équipe ou les médecins voulant rester anonymes autant qu’invisibles appelés à l’aide par ces gens et cette voisine qui loge au dessus de chez moi, en cas d’accident cardiaque mortel ou handicapant, plaidant à l’avance l’erreur thérapeutique, en guise de circonstance atténuante. Prenant un malin plaisir à d’avouer me confondre avec des cas graves de leur département, qui méritaient d’’après eux de tels mauvais traitements, sévices et tortures inhumaines, crimes odieux et actes antisémites en complicité avec des familles de patients, de neurologues et neurochirurgiens patentés dont il parait messieurs F,  l’organisme de l’UDAF et le pavillon privé de Mairet, crimes contre l’humanité sur lesquels j’en savais déjà trop long pour reste en vie, et qui ont déjà conduit les administrations à fermer leurs pavillons respectifs du pavillon 20, 19 sis en plusieurs lieux respectifs et successifs pour ces raisons qui doivent demeurer obscures, sans pour autant en radier le personnel, handicapant, bande de bourreaux totalitaires, irresponsables et dangereux. Vous bourrant malgré votre début d’obésité, sous prétexte d’anorexie, (ce n’est qu’un maigre exemple) toutes les deux heures avec des boites de sardines et de thon en boite (cela est bon pour l’intelligence et la mémoire) afin de vous remplacer la lobotomie qu’en douce à votre domicile ils ont pratiquée soi-disant par erreur, ne le reconnaissant qu’ainsi, afin de rattraper les dégâts, qu’ils oublieront bien vite avant de vous retrépaner, ne laissant qu’une trace de griffure dans les cheveux même pas rasés et laissés longs, vous retrouvée dans la même position avant et après l’intervention, afin de tromper tout témoin ou tout témoignage. Jusqu’au jour où de lobotomie en trépanation et de faisceaux en tortures au laser (pratiquées à travers murs et plafonds, c’est dire de la puissance de ces engins) en passant par d’autres séances d’électrodes classiques, le cœur de victimes lâche. Décès classifiés dans les morts naturelles, parfois, par épuisement (cas d’un certain M, et de Mr V, bien d ‘autre encore à ce jour encore morts-vivants de ces supplices ou décédés à cette heure en quelque temps, le cerveau tabassé, raboté, arraché, réduit à la microcéphalie, brulé autant que gâteau au four, encore vivant mi-cuit). A la moindre sanction, personnels médicaux, intrigants tels vieilles femmes acariâtres me réclamant la passe et le devoir d’être en toute légalité mes protecteurs, ingérentes ma vie privée et intime, voisins ou voisins de mes anciens logements assurant une véritable maintenance de ma vie (et qui tous font appel à ces services où à un médecin qui me visite incognito, parfois introduisant index dans rectum, sans se faire voir de moi, autant qu’homme invisible ou rat d’hôtel, agissant avec la même célérité que pickpockets, jouant les maisons hantées), qui vous torturent et vous tuent froidement si vous ne leur répondez ne serait-ce qu’un « hé » pour reprendre inexorablement leur torture et jeu de l’exécution sommaire sur une partie de leur choix à léser de votre crâne. Induisant à l’erreur qui peu s’avérer fatale, nombre médecins patriciens et internes qualifiés en médecine générale (mais pas en douleurs causées par la neuropsychiatrie quand elle se mêle de neurologie et de neurochirurgie, à base d’armes de contention ou d’infanterie légère de l’armée de terre, armement non classique de poing de nouvelle convention et de pointe dont l’existence secrète est protégée par le secret médical et c’est à croire, sous le secret d’Etat des autorités), erreur fatale dont le diagnostic de forte migraine ou de névralgie faciale chronique. Voire pincement dans les cervicales, ou inflammation de nerf sciatique trijumeau ou méridien. Autant vous avouer qu’avec ces agresseurs, le monde est petit. Qui dit Robert B, secteur de santé mentale 2, dit présence de cet armement en profusion dans la pratique des dits soins. Ou surveillance quasiment étatique de tous faits et gestes de ma vie sur le territoire national depuis ma première parution sur Montpellier en 19970-77, dit par le secteur 2 ma paranoïa. J’ai souffert le martyre de cet armement depuis mes un ans, en réclame la saisie, ainsi que la mise en incarcération préventive de ces jeunes gens et ces vieilles femmes s’il se trouve qu’ils récidivent à nouveau. Ainsi qu’n éclaircissement sur le degré de complicité de mes parents, de mon père et de ma famille avec ces jeunes gens, leurs ascendants ou complices et supérieurs hiérarchiques, médecins, inspecteurs, personnels médicaux ou hommes de loi ou administrateurs publics dont organismes tel la DDASS qui ont protégés de tels faits et agissements. Eclaircissement envers mon père, qui apparemment d’après ce qui m’en est rapporté par mes agresseurs et voisins du dessus, a cautionné amplement et même ordonné pour ses confusions mentales ainsi que pour ses crises de haine maladive et liée sà la jalousie de me voir échapper à sa coupe dans les bras d’un amant qui me soit favorable, a ordonné électrodes en séances continuelles et lobotomies de tous ordres, parties chaque mois de chausse- trappe pendant des ans et des mois puis ces mois derniers chaque semaine, dès et tout autant que le cerveau amputé aura repoussé et dès que m’apercevant silencieuse et réconforté de cette repousse ils attesteront qu’il faut réopérer. Mutilant ainsi autant que dans viol avec mutilation sexuelle, des zones de ma cognition et de ma conscience, afin de m’assermenter sur les mutilations, crimes et exactions précédant ces derniers agissements, ainsi que pour me réduire à l’état d’arriérée inadaptée, m’interdisant toute pratique normale de la vie, des devoirs et des corvées qui lui incombent, me faisant vivre comme dans centre pour inadaptées, centres dans lesquels j’ai certainement été placée à domicile avec séances d’électrodes et lobotomies indécelables pour qui ne s’y connait, (décelables aux arêtes aigues des os du crânes, des zones aplanies avec griffure quasi invisible blanchie à l’eau oxygénée, lobotomies à les prendre pour un suppositoire antalgique pour nourrisson, douleur de dents arrachée sous anesthésie locale à cet endroit là) in situ avec zones de dépilation sous les cheveux longs, indécelable à l’œil nu sans les décoiffer, moi-même replacée jambes croisées dans el fauteuil jamais apparemment quitté, même position du corps, sans que cela m’aie été avoué pour je ne puisse le prouver ni enter en justice, centres de rééducation véreux mutilant par pré-opérations préopératoires afin de causer incapacités et arriération, cognant sur un droit de fait de cogner sans relâche avec l’armement précité de façon acharnée ou attaquer au laser sans cesse à longueur de temps de vie et d’année, jusqu’à l’apparition de symptomatiques véridiques, aux personnels non qualifiés qui ne prétendent en fait qu’à indurer et causer l’arriération, voire la maintenir dans un état qui justifie leur présence sur terre, mutilant par pré-opérations préopératoires les zones cérébrales de la cognition, de l'intelligence, de la mémoire et de la lucidité, (mongoliennes aux yeux bleus, les trisomiques en faits aux yeux et cheveux noirs et de type asiatique, cf. La Vie de Jean Rostand, ou il y aura eu de mutations génétiques sérieuses chez les mongoliens et de première, ces dernières décennies, jeunes filles et jeunes gars confectionnés de toutes pièces en parfaits trisomiques ou autres types d’arriérés, oligophrènes, ou autistes, ne serait-ce que par l’aspect commun qui leur est voulu et conféré, cela a bien failli être et rester mon cas, manquée d'être euthanasiée dès les trente ou quarante ans après signes évidents de maladie dégénérative, loupé, (ce qui a été pris pour une paranoïa que je ferais) en fait, causé des mauvais traitements et tortures à l’armement non conventionnel, opérations diverses et répétées assermentées des mêmes méthodes) père prétendant ensuite devoir me placer incapable majeure à l’UDAF, revendication depuis toujours et préméditée de mon père. Qui fait une fixation sur la curatelle et l’imposition dictatoriale antisémite et de type identique à celui du FIS de république ottomane (pour mon père et beaucoup de ses affiliés, toute personne dite arabe devant correspondre aux critères caricaturaux et dus aux amalgames, d’intégriste et musulman de type intégrisme ottomane, père et ses complices qui voulant, finassiers et gougnafiers selon leurs propres termes, que je le devine, me font vivre autant que musulmane sous le voile), abus de pouvoir et pouvoir absolu envers le délit d’opinion, imposition pouvant aboutir à la confiscation des biens et sont tutellat tout comme dans le cas d’un tutellat du Moyen orient, au Maroc, certainement pour la nationalité qu’il suppose à mon dernier ou nouvel ami... Une enquête aura été faite depuis janvier 2008 afin de savoir le nom de qui pouvait être mon concubin et compagnon, j’ai été torturée de façon identique à ce qui précède dans ce but là, malgré ma réticence à donner un nom ou un signalement (ils auraient décrété alors que je n’avais pas le droit de me trouver avec lui, encore moins de le voir et fréquenter), et en fonction de mon refus, ordre a été donné par mon père de relobotomiser sur les médisances et fabulations grotesques (elles affirmaient que j'entrais chez elles et chez des gens, les battais, quand elles inversaient les faits, soupçonnées de s'introduire dans mon logement, de m'y violenter et violer) envers ma personne de vieilles femmes homosexuelles qui me voulaient par la force pour moi, leur maitresse, ramenant de ces harcèlements par armements illicites, interventions médicales quotidiennes et répétées, accompagnées de perquisitions, et soins illicites non déclarés à mon domicile ,mes capacités intellectuelles (qui d’après le souffle du génie qui a soufflé le patrimoine génétique de ma famille, aurait du être celui d’un quotient intellectuel assez élevé tout autant que chez mes cousins et petites-cousines), au niveau de capacités et celui d’une infirmière qualifiée. Mon père, à ce qui m’a été rapporté et d’après les voix que j’en entendais à travers les murs car s’étant probablement sans m’en avertir déplacé, les médecins appelés, confondant ces intervenantes et obsédées avec mon cas de victimes de leurs violences, et sur leurs dires inversant les faits, me faisant opérer et traiter leur place. Ma parole contre la leur à elles et à eux tous et la leur faisant foi. Toutes les fois où les médecins intervenants auront voulu fustiger et punir es agresseurs ou les faire traiter de lobotomies, électrodes et traitements, cela m’aura été commis et j’aurai été traitée et punie de ces opérations du cerveau à leur place. Mon corps ainsi que promis, entièrement fait de tissus cicatriciels autant que tranche de jambon d'York tranché dans le lard, n'ayant échappé d'un pouce de chair à cette torture jusqu'au fibrome, au carcinome malin. Avec trafic de prélèvement d’organes tels que morceaux de cerveau, en fait organe vital du corps que je le suppose, que l’on retrouve je le parierais chez certains laboratoire et peut-être même IGN et des centres de recherche qui utilisent ces prélèvements pour leurs études sur le fonctionnement cérébral, en particulier dans les cas de démence et de schizophrénie. Pénalités jures, jugées ad normem en cas de fichage en curatelle renforcée ou sous tutelles aux prestations sociales, sans qu’aucunement, ne soient informés les médecins traitants, sinon avec leur complicité, jamais avouée de face ni en face, mais toujours à mots couverts ou dans le dos. Surveillance et contrôle continuel sous le feu des armements ci-décrits, des moindre faits et gestes de la vie courante, intime et privée, ingérence d’indicateurs (il s’en situe toujours un au dessus de chez-vous, en dessous ou pas loin) et intervenants très en maintenance armée de ma vie privée, reconnue correcte et juge elle aussi normale, toujours dans les même cas de tutellat UDAF Ceci dans le but de me faire vivre la vie à laquelle je n’ai échappé, de personnes décrétées malades que j’ai connues et secrètement défendues, (n'ayant tout autant que moi tué) tout au plus, intimement soutenues. D’où tant de similitudes dans de cas fichés, ce qui fait accroire à une uniformité de la démence incriminée, imputée en fait pour les raisons précitées, supposée, plaidée, mais rarement véridique ni vraie sinon dument confectionnée. Conformité voulue aux faits et critères de la maladie, issue du fait d'un trafic de drogues et d'amphétamines, conduisant à la supériorité d'esprit et raciale aryenne, conduisant à des opérations du cerveau expérimentales et scientistes, amphétamines certaines fois servant à des cures de désintoxication du LSD et des drogues dures, conduisant à la supériorité d'esprit et raciale aryenne, et à des opérations du cerveau expérimentales et scientistes, ces malades prises au sérieux et leurs complices, m’en voulant d’autres, ainsi que les membres du personnel médical qui les protège, m’en voulant d’autres en guise de dédommagement et de réparation pour leurs crimes, fraudes et préjudices répétées. Ces personnes n’ont à circuler ainsi armées, ni à rester autant en liberté, assez dangereuses pour assassiner pour non réponse à leurs agressions, parfois assez violentes pour tuer. Me voulant la Douleur du Christ, le sort de Jésus et celui de Marie-Madeleine à la fois, me crucifiant de décharges et de lasers utilisés en tasers, afin de se permettre les Mystères de la Crucifixion envers une personne athée, ce qui les empêche de vivre, de manger et de dormir, mais apparemment le boire de ces Chrétiens certainement intégristes armés de la torture médicale de Mégret. et d'un certain Patrice la Fuentes, médecin d'extrême droite de renom dans la région, ses indicateurs, et hommes, femmes de main analphabètes se réclamant du groupe Combat et d'un certain Mohamed un inconnu chef de ces bandes me voulant ma perte, opérant en usant des instruments de pointe de cliniques privées, dont ceux de la clinique Mairet, et sa polyclinique, ceux de la clinique St X,  B, et celle du M, lobotomies sauvages destinées à effectuer des prélèvements de masses cérébrales vendus au poids très cher à ces laboratoire d’étude sur le fonctionnement humain, afin de rémunérer leur trafic sordide de drogue, et leur apporter gain drogue, alcool, femmes et profits, en profitant pour en obtenir des tests d’engins, matériels médicaux de pointe et armements divers sur fond de rites d’orgies à vices tortures et sévices punitives. Certaines exactions du même type que celles du film avec Léonardo Di Caprio, enfant de la boxe, maltraité par son père autant que par ce nouveau Clan des Barbares en parties sadiques anales de neurochirurgie au laser à sévices et actes de torture hospitaliers sadomasochisme sur individu choisi pour ses capacités loyales, de gauche. A psychiatriser ensuite et de façon répéter dès que les tortures en bande se reproduisent, si encore en vie malgré de telles pratiques très tolérée des milieux médicaux et professionnels de l’administration ainsi que de la justice et de la santé, dans la religion scolastique de la plus profonde psychiatrie inquisitrice, prosélyte de sa Raison d’Etat digne actuellement de l’Inquisition, sinon de la Grande Espagne, du moins bien française. Confondant les cas et les cartes d'identité pour trépaner au domicile des personnes, leur victime choisie, si c'est tant là mes troubles de l'identité, actes de neurochirurgie de lasers opérant à plus de deux mètres de distance à travers murs, suivis de séances d'actes de neurologie dites électrodes, pratiquées jusques pendant les toilettages de sexe et d'anus, douches, défécations et besoins dans les WC, prises de nourriture et tout acte de la vie intime et privée, par l'artefact d'instruments similaires, opérant à distance, d'une portée pouvant atteindre les 500 m de distance et dont ils se servent pour pratiquer opérations du cerveau quotidiennes et à longueur de journée.. Ceci à titre de torture par instruments équivalent de nos jours au poste à soudure, récupéré pour opérer du cerveau au cours de scènes de ménage avec moi de voisines voyeuses et voisins dévoyés,, au même titre qu'instrument de soins sur gauchiste jugé un peu trop doué, pour un nivellement par la base du savoir.. A vous bousiller de soins illicites pratiquées également à domicile et qui tiennent de l’ensorcellement avec encerclement vaudou, de type magie noire jusqu’au stade de zombie véritable puis décès, toute intellectuelle de gauche parce qu’elle est intellectuelle et de gauche, son délit d’opinion et pour nulle autre raison (selon les mêmes raisons dites d’Etat que la fameuse gifle de nazis à Sartre sous la guerre d’Algérie, à me faire payer en tant que bouc émissaire pour la vie de Simone de Beauvoir pour ses excès, ne serait-ce que via UDAF, auteur que je n’ai même pas eu l’heur, vu ces méthodes, de lire), qu’ils auront pour ses activités humanitaires, remarquée et remaquée par eux à ce fait qui doit être son problème et doit le rester si elle en a tant, ,jusqu’à chez elle le physique et l’illettrisme des commères dites grand-mères, pour lui coller l’étiquette ensuite de grand-mère, bien commère et mémère, et continuer à la bousiller de gériatres bien avant sa cinquantaine et apprentis neurochirurgiens à leur solde l'utilisant pour se faire sur elle la main, pour l’étiquette du jour au lendemain ainsi attribuée dès les 50 ans (dénoncés sur le système de la délation antisémite et évaluation approximative de l’âge au vu, au su et au rapporté, bref, au qu’en dira-t-on). Idem pour tout autre cas de maladie mentale, physique, de médecine générale, de la pédiatrie à la gériatrie en passant par les maladies sexuelles dont la frigidité la nymphomanie et l’anorexie. Violences psychiatriques au même titre que violences policières, parachevées à a séance de beignes, pratiquées selon les mêmes méthodes, avec armement non conventionnel. C’est à se demander non mais c’est quand la rémission chez moi, du moment que pour l’un des médecins et se acolytes, elle consiste à l’abrutissement le plus épais et le cirage illettré tant requis des basses, et pour l’un autre plus érudit, et ses défenseurs, le niveau ré-atteint de mes capacités intellectuelles, physiques et le retour de mes dons, après repousse des zones ablavées de mon cerveau. Je réclame une entente à ce sujet, prise entre deux tirs de feux croisés. Chacun intervenant qui pour m’aider consciencieusement à le faire repousser ce cerveau tant amputé et rattraper les dégâts causés par la partie adverse, qui l’autre intervenant constamment pour me l’ablaver. Faudrait fixer des normes à ces interventions qui tiennent de l’interventionnisme contant. Car ces personnes de l’extrême-droite, l’on ne les soigne pas comme ça, sans s’en prendre plein la poire, qui doit rester chez moi selon eux, en poire jusqu'à ce que mort s'ensuive de tant de commotions causée de coups, blessures et opérations cérébrales répétées plusieurs fois par mois.... Tous droits de l’Homme et du Code Civil bafoués, ou à peu près. Je signale à tout hasard, qu’aucune protection civile ou même policière ne m’est respectée dans le cadre de campagnes d’organismes humanitaires, tout comme envers leurs membres et participants, à tel point que il fallait, que, membre depuis plusieurs mois d’une organisation humanitaire, Amnesty International, je doive faire appel à des association de même but afin de me protéger contre toute attaque qui me serait faite au nom du combat et de la lutte engage d ces organismes et associations humanitaires dont je relève et dans lesquelles je définis mon action, ma philosophie et enfin mon opinion, associations et organismes auxquels je suis contrainte pour les avoir eu cités, d’adhérer, ce qui est contraire aux droits d l’Homme cités dans la convention des Droits de l’Homme. J’aurais milité pour Green Peace, c’était à coup sûr le boulon de métal radioactif dans les fontes du pantalon, et j’y ai réchappé de peu, sauf, que j’ai pris un comprimé de Césium pur (métal lourd) dans le tube digestif, à l’occasion d’une scintigraphie, pour un délit d’opinion certain et avoir eu cité en famille et en public ce fameux nom tabou de Green Peace. Et l’on se plaint que j’aie un cancer…

Eux me faisant soigner par leurs traitements thérapies, lobotomies et soins qui devaient leur être infligés et qui leur étaient prévus, dans une pratique de la substitution qui n'existe qu'envers les individus dangereux causant des troubles de l'ordre public divers, et peut conduire en Placement d’office, si ces méthodes sont juges normales en ce type de placement, également. quand l'affaire a débuté en ce qui me concerne, par ce genre de tabassage-opérations du cerveau à l'arme blanche ou non conventionnelle, pour le simple fait qu'indisposée, je devais servir de défouloir de haine (entre autres gavages d’aliments en guise de supplice de l’eau alimentaire jusqu’à l’obésité) à une bande de mégères en mal de me punir pour l'état de princesse que je ferais en comparaison de leur sort et des soins qui leur auront été infligés ou pratiqués, ceci, dans les années 80 à 90. Et cela dure encore; me condamnant à la lobotomie débutée aux tirs de lasers et sans façon parachevée aux électrodes sur les plaies causées, les médecins, policiers appelés à l'occasion afin de tenter d'arrêter ces violences, se sont chargés eux de ne sélectionner pour les croire sur parole et apporter crédit à leurs interventions fabulatrices, quelques témoins qui seront de leur bord et opinion politique notamment sur l'affaire, l'orientant vers un tri sélectif des témoins et des témoignages, qui pourraient en fin de compte vu ces décisions, me coûter cher, en fonction de mes écritures poétiques et parutions de blog, ou d'ouvrages artistiques et autres écritures philosophique dont la police faisant office de police politique, pourrait se sentir concernée. C’est à croire que le pays français est le pays des cloches quand elles vous les sonnent, un pays de vieilles cloches pareilles, qui sonnent le tocsin des matines jusqu'aux vêpres, le glas de la gauche laïque humaniste et humanitaire française et des droits de l'homme, si ce n’est tant cela le mal français. Instituant la folie dangereuses chez leurs victimes choisies, par le biais de la torture mentale et physique à souhait, continuelle jusqu’à l’accès de légitime défense, qui maintenu et prolongé par ces procédés et ceux de la maltraitance, finissent par créer l’effet de ras-le-bol ou goutte d’eau qui fait déborder le vase connu chez les schizophrènes dans tout cas d’école maintenus le bec dans l’eau ou en état de constante révolte dans imbroglios à la Dallas. Soumis autant que moi-même, à l’évaluation de leur niveau et degré de perte des facultés durant et après les tabassages, à bout portant dans le crâne le sur les critères de la lapidation, sur tout chez les femmes, de la lapidation pour adultère, et soupesage des couilles de leur conscience ainsi que l’aurait dit mon père dans son langage raffiné autant que céleste, pour voir si elles les ont encore, d’avoir affirmer de telles considérations (tenues pour leur délit d’opinion), ou avoir eu de tels actes d’hardiesse, sinon de témérité envers un pouvoir qui ne se passe d’ailleurs, tout psychiatrique qu’il s’affirme, absolu, naturel et de droit divin autant que FIS algérien. Selon le problème et procédé bien classique du Ludium, où l’objet de fantasmes qui surnage dans un bocal qui lui a été alloué, coule sous la pression du liquide fœtal simulé, du bain social, puis noyé de coups et blessures, remonte dès qu’elle cède, le cerveau sinon arasé, de moins avec permission de se reconstituer, et avec promesse de se le voir à nouveau lobotomisé, avec gros lavage de cerveau aux faisceaux et séances de plusieurs jours d’affilée d’électrodes, dès sa repousse. Dénommée par certains, je le rappelle, rémission, et ce pour le complexe de Diane, en état de princesse en chasses envers une proie quelconque, d’une voisine et ses complices en mal de chair fraiche pouvant servir de chair à canon pour ses parties d’orgies très sadomasochistes. Ce qui devient à la mode depuis les Folies du vieux Montpellier. Ou le coup du diodon, le pauvre, poursuivi dépioté à moitié par un ban de rascasses, avalé par un requin, à se demander s’il fallait abattre le requin, ou faire se dégonfler le diodon pour l’en retirer, ou loi de la substitution qui n’est à mon avis une loi universelle. Pour les associations de protection des espèces telles que la mienne et celles du requin, en voie de disparition, s’il s’agit tant de la mélancolie. De la à prendre les associations de bienfaisance pour uniquement Spiderman, car là, temps de latence avant une intervention valable, d’où l’état piteux du diodon, lui aussi, entre autres termes, moi-même, et ne pas confondre Spiderman avec une association de bienfaisance. Où les gros lavages de cerveau aux engins de l’armée de terre et de lobotomies illicites bien assermentées, font fureur et même selon rites pandémiques, tache d’huile avec ou sans niveau d’huile après les séances de snif (et leur drogue qu’ils me veulent) du voisin et de la voisine du haut, qui si eux régressent de leurs psys, vous le veulent jusqu’à l’apparition chez soi du niveau mental de régression due aux électrodes, de deux ans sinon Cours préparatoire ; Ils passeront en suite leur vie à vous rééduquer à a dure pour leur fantasme d rééduquer à la dure tout gauchiste qui ne se laisserait pas faire, du moment qu’il vit en dessous de chez eux, et qui doit rester nian-nian, depuis ma 68, retour aux sources chez eux. Ils me finiraient au coin du rebord de trottoir, autant que prostituée, les services médicaux et policiers ne s'en emparaient que pour certifier, mais elle n'a pas fini de gueuler celle là, on va se la calmer, et dose supplémentaire de barbituriques, comprimés retard neuroleptiques ainsi que Solian sinon en comprimé, en gouttes et injections, en plus d'Heptamil destinés à me sortir du cirage du aux coups, et ce, dès que ces jeunes gens me tabassent, en simulant des décharges d'électrochocs, de leurs engins de l'armée de terre, voire, liée aux milieux prosoviétiques, en vogue et en invasion en France dans les milieux médicaux, administratifs et les bandes de délinquants, instruments de revanche, ou de raquet, entrave à la justice et à la loi, milieux prosoviétiques à vous braquer et vous faire passer à votre insu de cela, la gauche humanitaire française dans les pays en manque de démocratie, et travailler sans s'en douter pour quelque agence Tass qui ferait passer la paix sur terre, après vous avoir faite travailler pour la présidence d'Obama, quoique je ne le regrette pas? mais employée contre mon gré, braquée en continu de cet armement D’où l’inspiration du diodon, pendant, après. Et son expiration, ensuite, probable, et parfois certaine. Je rajouterais : Et ils lui ont ait quoi au poisson rouge, pour qu’il soit tant transformé en diodon, avec arrachement des écailles ? Je ne me dégonfle pas, malgré tout mon poids et mon volume, et dépose cette plainte contre l’organisme et organisation qui s’est formée à mon encontre, véritable machine de guerre ainsi que l’avoue piteusement tout dit dément qu’elle attaque, qui m’a tant absorbée autant que secte le ferait, au point de représenter un danger pour ma vie et ma santé si j’en survis, et reste en vie durant les délais de saisie de plainte, non portant sur des faits divers, mais sur une situation vécue due à un amalgame d’une somme de tortures nazies de l’Europe, du Moyen Orient, de l’Asie et de l’Afrique, du continent américain également, ce qui peut aller jusqu’à causer des douleurs qui sont dénommées névralgies, mis restent liées à l’usage mutilatoire de la torture électrique, médicale et chimique le plus souvent, de psychiatres qui ne sont encore descendus de leur aéronef, pratiquant l’application de politiques fictions au sein de leur établissement et dans les suivis de malades imaginaires, qu’ils détiennent pour faire accroire que cette politique fiction mussoliniennes et de tous types nazies dans laquelle ils les font vivre, n’est que fiction, due aux démences incriminés, de ces faux malades qu’ils mutilent pour les assermenter, et à la longue ou de façon brutale, tuer leur conscience, leur identité, les laisser claqués de tortures, arriérés, pour les exécuter, cela dénommé les abréger... Prise à nouveau à la gorge par ces pratiques, je vous adresse ce dernier, je l'espère, complément de plainte.

Au syndic de la résidence : Je vis à l’heure actuelle une période de difficultés de plus, me contraignant à un nouveau changement de domicile, en résumé, je signale à nouveau le contenu de mon livre Judas, prise à l’heure actuelle dans un réseau de proxénétisme et de prostitution infantile, homosexuelle et sur personnes âgées, sur femmes seules et jeunes filles trop corrigées vissées serré, maintenu à main armée par des particuliers, leurs médecins ( de vieux fascistes et de vieux communistes prosoviétiques pour le bordel rouge chez les intellectuelles, antiféministes et très revendicateurs du soin pour délit d’opinion, surtout féminin) et deux secteurs hospitaliers, 1 et 2,  hopital X complice des faits, avec parfois pour les victimes, s’il s’avère qu’elles créent trop de résistance ou de scandale autour de l’affaire, rapts répétés en clinique ou pavillons servant de maison d’entrainement. ¨Pour l’instant, c’est mon appartement qui sert de maison d’‘abattage pour la prostituée que je devrais leur être, par pure haine viscérale de leur clan envers mes activités intellectuelles, et les intellectuelles, après quelque placement illicite et non déclaré à mon domicile sous parait-il (rien d’officiel) de clinique Y , hopitlal L et un secteur de santé mentale (pavillon X et son pavillon de force, voire, l’hôpital prison de MFen cas de plus ample résistance). En termes de métier, ce genre de pré-séquestration se nomme « débourrage », non pas d’alcool, ce qui m’a faite soupçonner d’alcoolisme avéré pour consommation occasionnelle à l’occasion de fête, quand je ne bois pas, sinon de l’eau , mais de prostituée, terme aussi usité en terme d’équitation, pour le débourrage des cheveux, autrement dire, leur apprendre la monte, à cru, en selle, au pas, au trop etc. Débourrage (cf. Hebdo Femmes des années 80 sur la prostitution) consistant en viols répétés avec ou sans violences, certains à son insu pendant un coma artificiel afin que le corps cède au plaisir provoqué par une nourriture intubée (jusqu’à l’obésité voulue) que la fille ne peut pas voir, intrus au domicile pratiquant des soins intensifs dont électrochocs illicites afin de la mater, certains pavillons, selon l’étude parue dans le livre « la politique du mâle », affilés à ces réseaux pour pratiquer sur leur demande, ces sévices hospitaliers et tortures génitales au poste à soudure ou tout appareil de leur corps de métier faisant affaire de gégène, ou de tout ordre, destinées à mater la fille résistante à l’ordre de se prostituer d’elle même, ce qui fait que la plupart des filles de joie, se disant en prostitution libre, sont en fait prostituées sous les mêmes peines de mort revendiquées par leurs proxénètes et perpétrées. Certaines vieilles femmes, folles atteintes de schizophrénie pour plusieurs, d’autres de psychoses de manie maniaco-dépressive, et suivies de ces médecins, sont instituées Mamas Da, autant qu’en Asie, proxénètes hypnogènes tant vociférantes en délirium tremens constant, polluant les moindres citées de leurs logorrhées diurnes et nocturnes, mères maquerelle de la fille à mater, qu’elles ont repérée et veulent faire travailler. Le point de Repère n’est pas étranger à ce négoce, antenne psy du secteur de santé mentale 2 sise dans les lieux de proxénétisme des quartiers chauds de la ville, entre autres les arceaux, je me suis faite repérer dès mes 23 ans, et depuis, la situation s ‘intensifie. A causé la mort de K, une amie de même galère, même situation, infirme et prostituée plus qu’à moitié à son domicile obésité, bleus fréquents, traces de coups, viols, d’attouchement, confidences, constats personnels, à mon avis exécutée par trop de traitements neuroleptiques et autres contraires et contre-indiqués à son état de santé, qu’elle disait cardiaque de ces prétendus soins, sans autre réponse à ses avertissements et refus de poursuivre et continuer ses soins que des infirmières à domicile lui infligeaient malgré ses protestations jusqu’aux tentatives répétées de suicide pour y faire face, raptée puis libérée après lobotomies dans le pavillon de Mairet, encore en vie sa sortie, décédée quelque temps après avant qu’elle ne porte l’affaire en justice) dont ce secteur se disait le bienfaiteur (C L, entre autres, ex concubine de mon premier concubin, JM, de mon bord, décédé à ce jour dans les années 80 après m’avoir quittée, mort des tortures de ce secteur revendiquant l’euthanasie pour ses cas choisis, en réponse à l’alcoolisme dont il souffrait, l’ont poussé au suicide avec la complicité de sa famille, affaire très complexe). Privilégiées pour ce genre de traitement, les femmes seules, isolées, en rupture de couple, guettées de loin pour cela ou qu’ils ont isolées de leur concubin, mari ou famille, à force de manipulations de leurs malades affiliés, drogués, alcooliques parfois les deux à la fois, servant de vigiles et planton de ce maquereaux, dans le moindre HLM, établissement hospitalier ou clinique privée de la ville de Montpellier, essaimés sur le territoire de la région, sur le trajet de l’uranium, de Marcoule à la Hague, en passant par la route de S et les petites routes. Visitent quotidiennement les appartement de ce filles et femmes seules et isolées, le prostituent à tout âge, sinon par maisons de santé et de retraite véreuses, en usant des relations de leur famille et de leur famille, dans certains cas, pour contraindre ces victimes à la prostitution passive, le plus souvent gratuite, consistant à subir maltraitances, injections calmantes ou anesthésiques pour électrochocs à domicile, sur médicaments abrutissants destinés à les contraindre et persuader, tortures et sévices coutumiers d’une ou deux vieilles, d’un vieux monsieur, soit disant médecin, d’une fille de joie adaptée à prostituer, etc. Celles qui ne cèdent meurent sous les coups et blessures, portées le plus souvent au visage et zones mortelles du corps et du crâne, par appareils non conventionnels de soin ou armement illicite non conventionnel de torture de l’armée de terre dit de dissuasion, récupéré tous azimut par ces pavillons, secteurs médicaux et personnels hospitaliers, utilisés encore de nos jours jusqu’en maison de santé et de correction, dans le centres pour handicapés et autre administrations telles l’ANPE, la DDASS etc. Personnels crapuleux usant de la folie meurtrière ou tortionnaires de malades mentaux en tant que chasseurs de têtes et rabatteurs payés de drogue, de menus services tels que leur liberté, pour rabattre des femmes à leur secteur et les y prostituer de sévices à souhait et faux soins en fait tortures dégradantes pour la vie et la santé sous le syndrome de la vis serrée sans fin, gagner profit gains et argent librement en revendiquant leur droit au travail, à un surcroit de personnel, malhonnête, car choisi par leurs complices dont certains membre de la police, couvrant l’affaire, pénalisant les victimes dites par les personnels médicaux en manque de neuroleptique au moindre manque sexuel, en les internant si elles tentent de déposer plainte, par placement d’office ou résidence surveillée par la famille, faisant le plus souvent appel à la neurologie et la neurochirurgie parfois à domicile, argument de poids servant de moyen de persuasion supplémentaire ; Karine Lefèvre, si non encore décédée à cette heure, courant le même danger ; Ainsi que Melle A, soumise à un mariage arabe forcé, M C, martyrisée par Beau-père et l’un de ses concubins Pierre, anormal brutal ou rendu tel. Réduites sinon à l’arriération du moins à la folie brutale. Décédés à cette heure pour avoir subi de bouclier humain à ces violences, C, décédé d’expérimentations sauvages sur les hormones, Madelin, trouvé mort de fatigue, Mr Vallier, mort des violences de sa sœur et de son voisinage, homme squelettique réduit à la microcéphalie, le cœur ayant lâché de trop de violences tortures et lobotomies de toutes sortes. JM, mort de cancer du foie près torture génitale ineffable durant des ans par laser d’une oreille, même torture que pour M, encore peut-être en vie, réduite à la folie après arriération de son fils, initialement sain d’esprit, après erreur thérapeutique au cours d’un examen du cerveau. Françoise Lebert, morte d’un cancer des poumons des armements nucléaires de faible et courte portée et lasers, faisceaux micro-ondes en test y compris sur elle et dont la moitié des personnes suivies ou condamnées à cet hôpital ont été braquées leur vie durant. Tous et toutes ne buvant pas, sinon ne se droguant, ni éthyliques ni drogués, pas même de cannabis. Seul en survie ceux qui pratiquent ces vices en accord avec eux même ; Apparemment les médecins légistes ayant constaté les décès payés ou soudoyés pour ne rien laisser filtrer des violences et tortures subies par ces victimes, qui en savaient trop long sur ces faits l’hôpital psychiatrique et ses trafics, y ayant vécu la moitié de leur vie. Bien d’autres morts et décédés depuis, que je n’ai connus ; Ceci dit sans véritable délire, sinon le mien. Ou dit mien. Tous et toutes de ce bord et leur cause que j’entretiens, ne serait-ce qu’en leur mémoire, et afin de sauver ce qui me reste d’existence ; Je vous informe du fait que ma voisine du dessus, appartement 112, n’a à résider dans son logement si elle entreprend d’effectuer ses études de neurochirurgie sur ma personne et d’établir son cabinet de neurologie ainsi qu’elle le prétend, en m’infligeant des attitudes de race supérieure envers cobaye humain qu’elle s’attribue au nom du parti politique dont elle est, statut de singe de laboratoire pour ses expériences de jeune étudiante, auquel elle me réduit, envoyant à mon domicile ses complices me contraindre à avaler ses traitements pour la psychose que chez elle selon certains de ses médecins il faut traiter, m’interdisant tout sommeil sain sinon par barbiturique imposé, m’infligeant l’alimentation forcée ainsi que des soins à domicile particuliers, au nom d’une bisexualité mal assumée qu’elle fait, voulant me contraindre à être son objet sexuel au départ, au nom du viol correctif qu’elle m’a voulu un mois durant, causé à l’aide d’instruments qu’elle utilise au cours de parties de torture et de snurf ainsi que cela se pratique en milieu universitaire. Transformant mon appartement avec pour prétexte le droit à me déloger à peine prises les clefs de mon appartement le 5 avril 2009, par l’apartheid qu’ils revendiquent envers toute femme de mon type, en lieu de tortures ineffables de type Guantanamo, et se droguant d’amphétamines et autres toxiques, dont je suppose l’alcool, excitants nerveux qui lui confèrent cet supériorité d’esprit et opiniâtreté contre tout raisonnement, qui font qu’elle passe à l’acte de ses fantasmes dans l’intention de les assouvir intégralement et jusqu’à leur aboutissement et sa satisfaction sur ma personne, dont des séances d’auriculothérapie au laser durant deux journées, ce n’est que le moindre effet de ces drogues, et des gavages aux pattes et aliments me déclenchant le diabète, repas gavés sur les affirmations de cette femme, en sus des miens, jusqu’à la pléthore chez moi, l’encombrement digestif quotidien et le reflux gastrique. Elle établissant une véritable inquisition sur ma vie intime et privée, inquisition qu’elle affirme devoir être celle de l’hôpital-prison de Mont-Favet, une de ses principales focales, tant il lui a été promis pour ses actes. Ne recrutant leurs voisinages et voisins que parmi des membres de leur groupement politique, les membres de cette bande me rendent la vie impossible sinon infernale ; transformant cette résidence qu’il faudrait fuir à la vitesse grand V autan que juif sous nazis, en bastion de l’extrême droite, dans les limites de l’apartheid qui leur sont permises. Je réclame que cette personne ne fasse plus forcer mon domicile (j’ai du me prémunir en loquet et entrebâilleur afin d ‘éviter plus d’intrusions), mais ses « infirmiers » ou copains usant du droit d’enjamber mon balcon, sis en rez-de chaussée, mes efforts pour rester tranquille s’avèrent impuissant face à telle ténacité, je ne puis plus aérer mon appartement sans qu’il soit visité, de nuit comme de jour, par ces intrus m’assommant de leurs traitements barbituriques en lavages de cerveau s’il le leur faut et neuroleptiques (qu'il ne me faut pour intolérance et grave allergie que je leur fais) pour leurs troubles psychologiques avérés, médicaments qu’ils ne prennent, me les voulant pour se venger de devoir se soigner, on ne les soigne pas aussi facilement que cela, eux se réclamant de l’UNI ou d’un groupe Combat, je pense un groupuscule d’illuminés de l’extrême droite, qui n’est pas le mien, au nom duquel il faudrait me soigner pour un délit d’opinion que je ferais, notamment au niveau de la philosophie de mes modes de vie) afin de traiter une démence qu’elle fait et institue devoir me traiter, par transfert de personnalité je suppose, au nom du fait que je ne prendrais son traitement, elle refusant tout soin que lui prescrivent maints médecins qu’elle fait défiler y compris nuitamment chez elle, eux ensuite voulant me prendre en charge si elle refuse tout soin, m’interdisant toute vie intime, sinon en sa présence, mes WC, salon, et en particulier évier et douche devenant le théâtre d’exactions rituelles courantes, ou lieux d’opérations cérébrales à sa manière. Plusieurs voisins et vieilles femmes très commères entreprenant de me guérir de mes infirmités pour me remettre au travail pour elles, ainsi qu’elles l’avaient entrepris ces derniers temps, rodant dans ces lieux qu’elle connait sont complices et auteur de ces parties de jeu de rôle à mon égard, ces jeux de violents sont à proscrire dans l’enceinte de la cité. Je réclame que les particuliers qui servent d’appui et de serviteurs à cette jeune femme, soient médicalement et sérieusement traités, que leur famille et la sienne, soient expulsées ou réduites à ne plus pratiquer de telles activités diurnes et nocturnes du moins nocives, pour la vie, la santé, la paix et la tranquillité de leurs concitoyens, activités et agissements qui tiennent du fascisme, tentant des témoins qui pourraient les suivre sur cette pente dangereuse, et s’attirant par toute une mythomanie à mon sujet, l’affection de la police de nuit, qui les oriente vers des domaines médicaux incapables de traiter cette affaire, totalement totalitaires, barbares et incompétents en la matière, ce que je ne saurai tolérer d’avantage. Je vous signale également que j’ai déposé dernièrement un complément de plainte contre cette personne et ses complices, a fin d’éluder le problème de sa présence dans cette résidence, et souhaite votre intervention auprès de ces personnes.
Voici ci-joint le contenu des plaintes que j’ai envoyé depuis décembre 2008 au Procureur de la République de la ville de Montpellier, concernant l’activité mentale de Melle P à mon encontre, locataire de l'appartement au dessus de mon logement actuel, et celle de Mr Rivière qui a eu pour concubines et visiteuses des jeunes femmes aussi acharnées et malades mentales, éthyliques et droguées, que cette demoiselle. Son état mental m’a révélé certaines fraudes qu’elle m’a occasionnées, provenant de centres pour anormaux et mongoliens, que dans son délire, et la self défense de ses proches et de sa famille, prêts à la protéger contre toute demande de l’interner, et ne sachant comment se débarrasser de toute personne qu’elle attaquerait de ses crises de torture et de meurtre dues à des accès de mégalomanie paranoïaque, lâchée sciemment en tant que frelon brulot de mes idées, notions et conceptions, à mon encontre, dans mon appartement, ses atteintes schizophréniques très convaincantes et pourtant pouvant s’avérer très dangereuses, ce à quoi les prises en charge des centres pour adultes handicapés et secteurs psychiatriques l’ont délibérément poussée. Je constate simplement, que les centres appelés afin de l’évaluer, se sont penchés sur mon cas dès qu’elle a commencé, ainsi que chaque début de journée, à m’attaquer de ses armes de poing favorites, entre autres, lasers de courte et moyenen portée encore en test clinique, couteaux-lasers de chirurgiens, et autres instruments de laboratoire en test ou de nouvelle technologie de centres et de services médicaux que parait-il elle chipe et/ou que l’on lui confie, afin soi-disant qu’elle prépare ses études de neurochirurgienne et de médecine sur mon cobayage physique et forcé, se servant de ma personne autant que chair à canon de ses études, et esclave sexuel de ses parties « orgies »au cours desquelles elle a le droit de me tabasser, opérer au cours de ces fêtes alcoolisées diurnes et nocturnes, autant que l’on se servirait d’un objet de plaisir, ou d’une met à partager entre amis, la leçon de dialecte incohérent de délire de maladie mentale, pratique secte, apprise par cœur, destinée à faire accroire à la démence, sous peine de grave représailles si non acquise. Elle commettant accusations mensongères à faire vérifier sur moi, si tant la réalité correspond aux accusations diffamatoires avancées., vérifications destinées à désorganiser ma pensée, précédées d’ injections de Valium, neuroleptiques pratiquées en douce et à mon insu sur le coup, ainsi que d’interrogatoires et surveillance sous matériel de guerre similaire au groupe électrogène, Vietnam français, faisant peser la suspicion pou prétendre à travailler et garder un emploi. Sachant que les milieux qu’elle a appelés à l’aide étaient très corrompus et frauduleux, promettant leurs victimes à des maltraitances, opérations cérébrales amputant des quantités assez effrayantes de cerveau, pour plus de un kilo de cerveau en plusieurs opérations sur quelques semaines ou mois, militent dans les milieux sinon Nazis considérant cette idéologie naturelle, du moins soviétiques, parfois faisant l’apologie des deux politiques à la fois, certains plus convaincus que d’autres, sinon d’établir des répressions très violentes d’armes de combat récupérées a tire d’appareils de contention, qui parfois servent à opérer à travers murs et planchers, étant de cette technologie encore à l’étude sur les fous ou dits fous. En fait, je constate, que ces personnes qui leur sont confiées, surtout sur internement abusif précédent la remise en leur centre, sont parfois légèrement inadaptées, mais parfois saines, et ravagées de violences très dures, pouvant créer des lésions irréversibles de leur système nerveux et cérébral, voire, causer l’arriération légère à profonde par ablation systématique des zones cérébrales de la raison, de la conscience, et de la connaissance, bref, du savoir et du niveau intellectuel d ‘ordinaire requis, celui des doués et surdoués ou du génie. Ou simplement, du réquisitoires des plaintes occasionnées par des tortures des plus ineffables à des plus insupportables des zones sensibles accompagnées de tortures mentales très aliénantes .Le summum de souffrance atteint, la personne était plongée dans un supplice du watter-bording de tortures électriques, mentales et sous armement non conventionnel, supplémentaires, gavages intempestifs et systématiques de repas intubés pour gros mangeurs, constitués de nourritures contraires à la santé et d’eaux gazeuses salées, ou d’eaux plates polluées de traitements en grandes quantités, dont certains radioactifs, tels sels de lithium et électrolytes, destinés à les cogner à leur ôter toute intimité jusqu’à la perte de l’identité et de la chronologie, ainsi que toute notion de raison, afin de conférer l’aspect revendiqué de la trisomie et de l’arriération, (dont le crâne "raboté" en brachycéphalie, la laideur et l’obésité requises) lobotomiser les plaintes et réquisitoires en question, susceptibles de les inculper. Je me suis heurtée à de telles pratiques, depuis quelques années, sur également les accusations de démentes du troisième âge, qui me confiaient depuis des années à ces centres pour handicapés mentaux, à mon insu d’abord, eux possédantes clefs de mon appartement, dont des trousseaux m’ont été volées et reproduits, enfin, ils pratiquent surveillance, contrôle, depuis les appartements voisins à leur victime, établissent une mise en observation constante ou quotidienne, si ce n’est en embauchant, entrainant des locataires voisins à ce métier de gardiennage, du moins, en inventant des faits qu’airait commis la victime, afin de la visiter, toujours à son insu, sur des tours de magie de secte, jusqu’à réduire leur victime en l’état de légume ou zombie de leurs fraudes. Parfois, causent sciemment et volontairement sans que cela soit avoué ou dit, des tumeurs cérébrales mortelles, des kystes frontaux ou cérébraux, nécessitant l’opération dont ils tirent gains et profits, pratiquées jusqu’à ce que mort s’en suive, entre temps, causent l’apparence même de l’arriération parfois poussent jusqu’à des cas complexes de maladies surajoutées à l’arriération, suivie de lésions corporelles graves destinées à les maintenir dans cet état, d’ailleurs causé par des violences physiques destinées à les battre et corriger sans fin, dans ce but d’en profiter financièrement et d’infliger des tortures aryennes ou staliniennes. Le summum des souffrances continuelles, contraintes au rapport et sévices sexuels également (dont certains par implants électriques ou électromagnétiques sexuels)se situant dans l’euthanasie par mort violente ou brutale de ces personnes tant sacrifiées au pouvoir de l’argent, autant que dans prisons privées américaines, la mort lente ou douce rarement permise, sinon le suicide causé de ces tortures insurmontables, sinon par la mort, en parlant de décès prématuré des débiles et anormaux.. Dans certains de ces centres ou maisons de retraites pour femmes âgées, l’on vous transforme une jeune femme de la quarantaine en une vieille femme d’apparence 60 ans en un rien de temps, après expérimentations organisées aryennes et sauvages étudiées sur ces personnes qui leur sont confiées. Leur autonomie reniée, empêchée, strictement interdite d’accès. Cette affaire me concernant personnellement puisque j’en suis moi-même victimes et en quelque sorte unique témoin encore lucide de ces agissements, je vous prie d’agir en conséquence, ou du moins de tenter une action en la faveur des personnes sacrifiées à ce trafic de directeurs de pavillons, devenus centres et maisons de correction, véritables truands en bandes organisées, et associations de malfaiteurs.. Moi-même victime de lobotomies mensuelles, ablation du pourtour du crane,, c’est à supposer, assez évidentes, sensées ne se remarquer sous la chevelure, et destinées à causer la baisse requise de niveau et le cerveau brachycéphale. Je suis initialement dolichocéphale et présente des aplatissements latéraux à l’arrière de mon crâne, qui ne sont trompeurs, à croire que la valeur de deux magrets de canard m’auront été prélevés, sur l’arrière de ma tête et son dessus, un coin en triangle prélevé sur le coté de mon front gauche, plus étriqué ensuite que le droit, tête en poire du coté gauche de ma face. Les deux os en dessous du cervelet, retaillés à la façon du dessous du clitoris, en forme résolument, d'attache des deux petites lèvres, dénommée "mitre" de la vulve. Mes cervelets systématiquement brulés, séparés en deux, objet de violences et de séismos en leur milieux, contrefaisant le tir par balles dns la nuque, tirs en rafales reproduisant le mitraillage de la nuque d'un de leurs prisonnier d'opinion, que je leur représente, au cours de multiples parties de viols, à sénestres, arrachages de pantalon et déculottages de slips, maintien sous sangles de mon corps inanimé harnachement pour eux régulier des prostituées qu'ils font, ligotage commun au proxénétisme, suivi de tirs à bout portant d'armements réputés de instruments soin, d'infirmiers, étudiants en infirmerie, infirmières, en ratonnades de commandos quotidiennes, suite à mes plaintes, certaines affirmant qu'elles commettraient ces pratiques de l 'exécution sommaire à répétition, dans le but de parvenir à tuer, à m'"abattre", pour le plaisir, pour d'autres, d'une partie de trip, depuis la date anniversaire du dernier congrès de l'extrême droite, du 26 novembre, date à laquelle ont débuté les évènements derniers; dont le commencement a débuté environ vers le 5 avril 2009, dès que mon père a été averti de délateurs, de mes amours, de mes relaions avec u amant, après des enquêtes spéciales et interrogatoires infligés avec implants électroniques, parfis sous penthotal, pratique du pavillon 9 du secteur de santé mentale 2, destinés à ficher toute vie sexuelle, amoureuse, antécédente, du moment, extirpation du nom des relations, rencontres, amis, amoureux, prétendants, politique, degré de cognition, appartenances religieuses, opinion, qu'ils pourraient obtenir;

Ces personnes impliquées dans le fait d'une libre expression de la liberté, d'un droit à la partie d'amusement à torture de guerre de ce type, envers une "pauvre fille", déjà durement éprouvée par cette farce politique ayant servi d'amusement à sa famille, complice, auteur et demandeuse de ce sacrifice humain, en faisant scandale public de façon éhontée, des agissements, procédés de bordeau, viols pratiqués en public, sur ma personne, dans des traques à l'homme sur tout lieu où je circulerai, et me situerai.

Résumé de l'affaire :J'ai fait le tour des associations contre les violences faites aux femmes, en congé de fin d'année encore, les violences que je subis depuis la Toussaint mettant ma vie quotidienne en danger, je vous prie de me contacter, si je ne l'ai fait dans la journée, sur la région de l'hérault, aucune permanence s'avérant possible, les associations contactées, se disant incompétentes, dès qu'il porte attente à l'image de la médecine, ici en cause, ou de l'autorité parentale, l'image pure et l'impunité, l'immunité de blouse blanche, forme aujourd'hui de robe de noblesse de robe, si inattaquable que ainsi que nombre de relations amicales que j'aurai eu, je risque moi aussi, de ne pas en survivre. L'affaire ayant débuté par une lutte de classes sur laquelle se crispe un secteur médical psychiatrique de la région, pro-soviétique, le secteur de santé mentale 2,(puis le 1 et enfin d'autres) pour m'avoir trouvée trop rupine, de trop bonnes notions culturelles, d'un logos universitaire redouté d'eux, et pour ma qualification de Madame de Maintenon, (mes amants reprochés) Récamier, pute de salon, (je suis artiste, au départ artiste peintre, trépanée pour mon art pictural jugé subversif dans les années 80, puis reconvertie dans l'écriture, auteur de deux livres publiés) et Madame de la Trémouille, insultes gratuites des médecins inquisitionneurs de ce département médical, qui plutôt que me venir en aide, et enfermer de sex-concubins en intrus dans mon domicile, et en état de viols quotidiens, de violences aggravées, m'auront violée eux aussi, tabassée quotidiennement jusqu'à la mort apparente, au cours d'une partie d'amusement, s'amusant de moi pour le profit dans une "sauterie récréative" qui dure, se disant saouls, ayant bu et fumé, partie de torture de "nantis" ainsi qu'ils se sont déterminés, sur femme pauvre et démunie autant que dans partie de "chauffe" du Moyen Age sur femme serve, partie aussi de meurtre et de snurf, dans mon logement devenu chambre de torture sado-masochiste, depuis mon anniversaire, le 26-11-2009, où ma vie a basculé dans l'horreur. la justice, les forces de l'ordre, les pompiers, leur prêtant aide et appui, intimidations et violences supplémentaires,complices. Mon père incité à soutenir ces pratiques illicites, les encourageant, les ayant causées depuis ma naissance, et même les rémunérant, les violences à domicile empirant, la phase paroxysmique atteinte ces derniers jours, les fêtes et leur degré d'alcoolémie augmentant la dangerosité des rites médicalisés des tortures médicales endurées, je fais appel à votre aide.

Dans l'optique d'une politique véritable de la Santé qui ne mettent en péril des vies innocentes, ni la vie de femmes éclairées sur les problèmes des violences faites aux femmes, ou les ayant subies des existences de souffrance entières, afin que la médecine ne cède aux pornocrates qui règnent, cerveaux de trafics de proxénétisme hospitalier, afin que nul ne cède aux pressions politico-juridico-financières en jeu, pressions physiques que je subis, destinées à faire fléchir ou décéder, si je dois tant mourir pour "des idées", le rush médical que j'endure depuis ces dernières semaines, en voie d'exécution sinon publique sur la place publique ou en privé, si je ne me tais, le silence sous peine de mort, alternés avec interrogatoires musclés, provocations incessantes obstructionnelles,en provenance du Secteur 2 de santé mentale du CHR, et du secteur 1, en répression absolutiste pour des faits rapportés et très inventifs, des accusations mensongères et délations de tout ordre,envers ma vie privée,intime, et autres attaques personnelles d'individus louches, dont mon popre père, qui pris de folie meurtrière ces derniers temps, et voire d'éthylisme dont il est en déni, a fait appels à ses tueurs à gage et d'élite, d'ordre médical, après m'avoir faite longtemps surveiller, depuis environ 2003. son trip du führer va en crescendo, dans une crise paroxysmique où il attente à ma vie, quotidiennement, des ordres qu'il institue à mon égard, pris, manipulé dans le trafic d'un réseau hospitalier, dont un réseau de prostitution pédophile et homophile, à mon avis, usant pour régner de conflits familiaux, et des cas de maltraitance, de violence familiale, d'inceste, de violences à domicile en tous genres,pour non les régler, mais constituer des filles tenues, filles faciles dont il faudrait que je sois, en sus de pratiques de la torture hospitalière,médicale et de maison de correction en partie fine, dites orgies, à inceste destinées à les "former"; ma vie entière sacrifiée à ces trafics, astreignant les milieux bureaucratiques, l'enseignement laïque et privé,l'enseignement bouillon de culture de ces réseaux initialement pédophiles, j'aurais trahi le silence imposé, d'où l'omerta actuelle dont je vous avais fait part.
En voie de décéder peut-être sous peu, si ces violences perpétrées persistent, je fais appel à votre aide, si vous pouvez me l'accorder, en réfléchissant au fait que ce genre de proxénétisme, pratique l'immersion totale dans le monde de "la chambre fermée" à domicile, autant que cela se pratique, en département, dont les pavillons disciplinaires, souvent appelés à me "raisonner".

Merci d'avance pour votre réponse, mes anciens médecins, complices et auteurs des faits, avertis de m'attendre, ou en intervention répressive dans mon logement, dans le devoir de tenir en compte aucunement de ma partie civile, en fait, en vue de m'en débouter, à jamais, si j'en survis, les ayant accusés dans mes plaintes, eux ne me laissant, aucun espoir d'en rester libre entre temps, et ne me laissant aucune chance de m'en expliquer, si c'est à moi que devait revenir cette charge, si l'on m'en laisse le choix, et la possibilité, victime déclarée coupable de démence grave dans un but éliminatoire, qui ferait penser au "déni de psychose" que je ferais, démence invoquée dans le simple but de faire taire y compris tiers et témoins pour lesquels, je paierai, sur les faits et pour ce fait impliquée dans une affaire de faux, de faux en justice, de tous abus qu'à pu commettre la science médicale jusqu'à nos jours, je persiste.

La plupart des associations réputées lutter contre le proxénétisme, injoignables, tels le site Sisyphe, Acsès, ou autres surtout les jours de fête nationale, dans l'urgence de mon cas, en danger de mort consécutivement aux violences subies, le trafic de proxénétisme et de traite des êtres humains hospitalier sur ma région, la police en complicité avec les agissements de médecins, neurologues, psychiatres, neurochirurgiens se disant ivres saouls, appelés à mon domicile par particuliers qui se destinent au proxénétisme de mon cas, non seulement faisant pression sur juristes et procureur de la république de la région, car pignon sur rue et ayant pratiqué ce proxénétisme, au nom du profit qu'ils en récupèrent, de façon illicite et non déclaré, médecins, spécialistes y compris cancérologues radiologues cliniciens et chefs de services psychiatriques, enrôlés dans cette méthode de front hospitalier, dans un plan de traite des contestataires à ce trafic, jusqu'à leur décès prématuré, dont celui de plusieurs personnes que j'ai eu connues, hommes, femmes, réduits, pour plus de facilité,(par abus jusqu'à overdoses de neuroleptiques imposés jusqu'à l'abrutissement, jusqu'à l'arriération même et l'apparence immédiate de la démence, objet de discrimination sexuelle et discréditoire en justice), à la démence, ou victimes sous étiquette arbitrairement employée et injustifiée, de la démence. employée à titre de prétexte à l'inflixion de violences sévices et tortures plus graves encore et mortelles, afin de faire taire toute perspiration pouvant concerner la violence à domicile déjà infligée, faire entrave à la justice, interdire totue comparution des vicitmes aux procès qui en sus leur sont faits, dans l'inversion des responsabilités chère à ces praticiens,(instituant une inversion des faits nazie, depuis l'incendie du 3° reich, dite de nos jours "loi de substitution", ici détournée , injustement imposée, ayant été punie d'injection de produit neuroleptique retard, pour les violences de cette locataire, infligées dans le but d'instituer le passage à mon domicile, de neurologues, neurochirurgiens et apprentis psychiatres en amusement privé et parties de torture à viols sénestres violentes pour "se faire respecter", sur "femme"de foi" traitée en handicapée mentale, au cours de ces parties de snurf sans préservatif, à viol perbuccaux et génitaux) et aux juristes, faisant appel eux même à ces parapraticiens, corrompus, comptant sur l'ignorence populaire ainsi maintenue. Corruption de la justice pénale, agissant en faveur de la violence caractérisée, trouvée par eux à ce point faible, qu'il fallait les pousser au crime parfois nazi. Ce genre d'affaire rapidement classée sous l'étiquette "violences pas assez caractérisées",juristes eux mêmes proxénètes et protecteurs de ces trafics du CHR, du monde médical privé et de sa sphère médicale, pharceutique politico-financière...

Pratique appuyée en général sur demande de tiers, (une locataire de ma résidence, dont je suis femme battue, psychopathe employée à être une de mes souteneurs dans parties de snurf, de torture psychiatrisée, dont plusieurs déments envoyées me prostituer de leurs viols et obsessions à mon domicile) de parents, ascendants ou familles entières, par profit, car durement rémunérés,

Ici, mon père, employé par eux à cet emploi de maquereau régnant par l'inceste depuis a naissance, inceste et violences létales de parent bourreau subies ma vie entière, qu'il souhaite faire taire et cacher de ces pratiques médicales, mon domicile devenu leur maison close, bouge, gourbi laissé à son pourrissement, et maison d'entrainement disciplinaire, le viol correctif à violences caractérisées et voies de fait employé dès le leve

Merci d'avance pour votre réponse, certains médecins, jeunes et vieux "pontes" de ces établissements, dont uu hopital-prison de la région, appelé à corriger la voisine proxénète, régulièrement s'institue mon soutenir à mon domicile, promulguant insolemment et ostentatoirement le viol à titre de thérapie pédagogique, sa punition en la femme coupable du plaisir connu de son amant de cœur, du plaisir de la Femme facile, eux en complicité étroite avec maisons de retraite corrompues à ce système d 'esclavage, et pratiquant l'euthanasie par mort violente lente ou brutale, au domicile des prostituées, victimes de tout age qui leur sont confiées ante l'age règlementaire des 65 ans, âge à partir duquel la mort violente leur est réglementairement infligée, sous la dénomination d'euthanasie, ainsi que dans établissements psychiatriques, en opération civile de combat au sein des foyers et domiciles privés, pratiquent cette peine de mort sous électrochocs, autres méthodes ainsi que l'inanition causée par privation de nourriture, sous électrodes, jusqu'à l'apoplexie, ou la torture par implants électriques cardiaques, génitaux, jusqu'à la mort cardiaque, infligée chez moi, maintes morts apparentes, dont j'ai été réanimée, tirée du lit ou réveillée à toute heure pour cette méthode d'intimidation par jeu de l'exécution sommaire, décrite dans les brochures d'Amnesty International, dont je suis adhérente... Seul argument contre ces récits, ces écrits, la torture psychiatrique, en guise de beigne.

Ceci afin que je n'exerce plus aucune campagne sociale en la faveur de cet organisme, campagnes contre la torture à l'étranger (organisme muet, inactif et inopérant contre les tortures psychiatriques de cet ordre pratiquées en France et voulant le rester, dans l'urgence des cas n'examinant strictement que les plaintes rédigées qui leur sont envoyées, toute affaire où les secteurs médicaux seraient impliquées, annulée) et les trafics d'êtres humains, dont je serai inévitablement victime, ou de la LDH dont je suis également adhérente et que je cesse tout écrit de mon site, déjà auteur de deux livres parus aux Editions du Champ Social,

Message du 24/12/09 11:5Vertèbres cervicales quotidiennement ces jours ci déviées, épaule démise, reins cognés trop arqués de l'épilepsie, coups portés à la face et tabassages quotidiens, destinés à me "raisonner" parfois en continu, souvent pour avoir été trouvée à mon réveil "trop bien", (trop belle trop fine, trop mineure ou trop jolie), à main armée d'appareils dits d'électrothérapie, à détenteur, d'une détente d'arme à feu, autant de balles dans le crane le réduisant en bouillie, parfois jusqu'à l'explosion de cerveau cuit, coups portés à la face à emboutir les os des tempes, jusqu'au port d'attelles sous les os du visage, destinées à me restituer mon apparence initiale; d'où dans ces cas l'invocation du handicap,parfois résiduel, séquelle de ces pratiques illicites au sein des couples, foyers et familles, en faux placements licites, sous couvert de l'étiquette de la démences prétextées par loi de la rétroactivité,, si ces méthodes sont permises, en placement réel. Destinés à "faire disparaitre", ou "se débarrasser" définitivement, d'une personne d'abord vivant en paix, puis victime ici dans mon cas, des violences conjugales d'un parent pour l'inceste qu'il commet, également de ces pratiques, basées sur le viol correctif; dont certaines filles du ghetto de Montpellier, ont été victimes sur des matelas pisseux dans les caves des HLM de l'OPAC, certaines fermées, reproduites à domicile.

Je vous contacte en désespoir total de cause, ayant fait le tour des associations de protextion envers les femmes, injoignables ou qui s'avèrent incompétentes en matière de violences sexistes envers les femmes, notamment une certaine criminalité sinon raciale envers les intellectuelles et femmes émancipées, signifiant dans ce cas leur devoir d'abêtissement et d'infantilisation de leur logos, je remarque une nette tendance à la psychiatrisation des femmes violées, battues, prostituées, au sein même de la famille, ainsi qu'il en est pour mon cas, dans le particularités atroces de la torture psychiatrique,tout aussi grave et meurtrière que les violences conjugales qu'elles semblent reproduire, simuler, imposer, ainsi que le devoir conjugal envers le médecin spécialiste, mariage dans la perte de la fidélité, aussi condamnée, l'obligation ainsi contrainte, au "droit de prostitution" érigé en devoir civique du STO, sous prétexte parfois de service sexuel "initiatique à a sexualité chez les incultes et demeurés, trafics d'un proxénétisme hospitalier féodal, gériatrique, psychiatrisé, méthodique, dépuceleur de jeunes filles, depuis la défloration au vilebrequin, écarteurs de cuisses de femmes rebelles à ce système de corruption de service hospitalier et psychiatrique, qui ne consiste plus qu'à imposer la torture médicale, y compris pédiatrique, anti-féministe, sous convention de torture électrique cérébrale constante , mutilatoire des zones cérébrales incriminées pour trop d'idées (de gauche, la gauche vécue mal, démence grave) mutilations nerveuses et cérébrales simulant et à titre de mutilation sexuelle déjà imposée, jusqu'au devoir de neurochirurgie, "geste médical" systématique, systématisé destiné à récupérer les victimes dites protégées, en devoir d'acception de ces pratiques, des dégâts causés par la torture électrique, zones cérébrales réduites en purées cuite de cerveau parfois ayant giclé d'incisions déjà pratiquées, pour résumer, de la torture physique et sexuelle, du viol correctif collectif dit thérapeutique, incessant dans certains cas dont le mien, à table, au lit, au travail, dans l'étude universitaire, scolaire, surveillance totale et absolue de la femme émancipée dans son devoir de manque d'autonomie, d'infantilisation de son statut réduit à celui de petite fille facile, si elle ne renonce à ses revendications, nées de ce ces méthodes de dictature fasciste, régnant dans les complexes hospitaliers, dans le cerveau de tout employé médical, en vogue dans le monde médical, sortes de parties de torture, dites de snurf, à plusieurs, d'équipes venues inquisitionner au sein des foyers, couples, s'attaquant aux femmes seules, célibataires hommes et femmes, mères célibataires, dans une attitude de cette médecine, pédophile aryenne, dans une régression des droits de la femme, sous une loi de substitution du devoir du Christ et de Marie-madeleine crucifiée à sa place, de payer les fautes d'autrui,ses fautes de frappe, les expier notamment en mon cas sous les viols d'un de mes ex-concubins, d'autres violeurs psychopathes en intrusions constantes, dans le monde du macquage hospitalier en commun accord avec le totalitarisme déviant de la police, de la torture médicale qui s'instaure, qui fait peur, plus que honte, un terrorisme psychiatrique, psychiatrisé pour ses crimes et crimes contre l'humanité sous l'étiquette de démence, bien pire que Terreur Blanche qui tient des principes mêmes de l'Inquisition, sur de modes d'intrusion dans la vie intime e p rivée, de la Gestapo, selon le modèle du film 1900.

Je fais appel à votre aide, en tant que victime de lois patriarcales encore en vigueur dans les familles y compris athées françaises, fondées sur le modèle néo-nazi subconscient des années 50, la psychiatrisation des idées de gauche, et de mai 68, faisant partie de mon éducation, a sein d 'une famille basée sur le principe du père patriarche et dictateur, pourtant issu de la laïcité, ce modèle se propage, halte; constamment retrépanée pour la pratique en continu de décharges d'appareils à détenteur, de la puissance d'une décharge d'arme à feu, quasi séquestrée à mon domicile sur ordre parental, à peine atteinte ma cinquantaine, afin de me punir des dernières plaintes que j'aurai émises auprès d'un tribunal, concernant ces pratiques illicites de la médecine, dévoyée dans la dépravation de la torture psychiatrique en famille, sans placement réel, les placement aboutissant surtout au décès organisé, prémédité, des victimes, entre "bons voisins" initiés à cette forme de "pédagogie" anti-universitaire, formule nouvelle du SAC, du FIS iranien, revenu en force dans les mœurs, faisant appel au tchador du traitement pédiatrique, neuroleptique, forme en sus de ceinture de chasteté castratrice des libertés sexuelles, bâillon chimique de la liberté de pensée envers toute femme consciente de de cette enfreinte à ses droits...

Ma vie réellement en danger, dans la non-assistance à personne en danger commise de toute personne contactée, et surtout de toute médecine appelée à mon secours, reproduisant les violences déjà endurées, dans le silence sur les violences envers femme battue, enfant martyr depuis qu'elle est née, sous ces principes de chasteté, devoir de célibat, du devoir de se soigner d'elle même pour son degré de cognition, de culture, de savoir, d'intelligence, de QI reproché etc..

En exemple des attaques personnelles subies, des vipères, aspics de la région, trouvées (commandées au vivier de la jardinerie d'où le "cadeau" avait été livré), dans le terreau du dernier "cadeau" d'anniversaire de mon père, (en fait lié aux cadeaux rituels dans les excursions d'organes clitoridiens des femmes surtout à l'étranger, ici,mutilations génitales, et cérébrales associées) des bacs de terre et de plantes destinées à préserver ma vie privée d'yeux voyeurs sur la terrasse de mon rez-de-chaussée, vipères venues envahir mon logement, divan, lit, pour lesquelles de véritables chasses nocturnes d'intervenants se sont déroulées, des médecins de centres antipoison, vétérinaires et généralistes appelés à mon chevet, pour injecter sérum anti-venin à mes chats, ainsi qu'à moi même, plusieurs nuits durant, pratiquement et toujours à mon insu, tant systématiquement, trouvée mourante, quelque association humanitaire veillant à ma survie, ONG française que je remercie bien, à laquelle sinon auxquelles je dois la vie, en sus des témoins bienveilants, les ayant renseignées .

Vipères, symbole conte-nazi de la résistance, introduites dans ce terreau, ainsi que dans sacs de cette terre laissée à mon libre usage, en sorte de condamner toute auto-greffe qui me serait faite des zones de cerveau amputées,en assez grande quantité pour effrayer,et donc rendre cette "restitution" de mon cerveau, nécessaire, et sous traitement anti-rejet de greffe, je me suis vue condamnée à mort sous électrochocs, dans la nuque, le cervelet, zone mortelle, ainsi que dans les zones ablavées, regreffées, du dessus du crane, électrodes crémantes pratiquées jusqu'à ce que les jonctions cèdent et que les lobotomies collées cuisent, et leur odeur de décomposition avancées, lors de leur retrait, rendu ainsi obligatoire sous peu, sans quoi mon décès assuré. toute pratique de la lobotomie, suivie de tentatives répérpétrées d"heure en heure, d'euthanasie, quiconque en serait témoin trouvant cette décapitation si peu supportable que si elle lui était commise, qu'il préfère en décider pour la victime, ici, en outre, moi-même, et la décapiter plus sauvagement encore, ou la violenter jusqu'à la mort apparente, la mutiler sauvagement bien d'avantage, lui écraser le restant du cerveau, m'assassiner d'inanition sous appareils d'électrochocs à décharges, voire, l'empoissonner d'humeurs, glaires et salives, liquides séminaux,morceaux de morts en décomposition, parfois, avancée, peine de mort accompagnée de fornications macabres sur la fille trouvée quasi décédée.

D'autant plus que, dans ce logement, sentant fortement le décès, auront été découvert, quotidiennement depuis la Toussaint, des cadavres de nourrissons congelés, certains issus de mon corps, enlevés dès leur naissance, restitués morts, parfois la tête écrasée, séviciés, d'autres, de personnes inconnues, peut-être en tout six, ou décongelés, en état de décomposition pour certains, elle aussi avancée, en sus de lobotomies du dessus du cerveau, de fort volume, autant que couvre-chef, que l'on m'aura faites sentir,(car inanimée et comateuse suite aux opérations neurologiques, neurochirurgicales pratiquées en vue deme punir pour ces décès, de façon arbitraire, sans qu'aucun procès légitime ne soit entrepris) en plus des cadavres découverts, systématiquement remis dans mon coffre à linge sale, enveloppés pour qu'ils ne soient visibles, de chiffons placés entre mes vêtements, ou trouvés par inconnus dans mes poubelles, dans le cadre d'une restitution claudique dont j'avais fait la demande lors de ma dernière plainte,les bébés dont j'avais accouché sans m'en être aperçue, accouchement dernier pratiqué à mon domicile par inspecteur sous surveillance d'un jeune homme brun coiffé en arrière, cheveux fournis, de 1 m 80 environ, moi-même restée assise sur mon canapé, sous hypnose ou état comateux hallucinatoire, après péridurale, bébés accouchés sans douleur parfois dans baignoire,(pour le dernier ,une fille apparemment, en vie, Djaelle, ou Djael, née après épiziotomie incisée aux ciseaux de couture rouillés, aperçue entre les bras d'une jeune femme, peut-être la voisine au dessus de mon appartement, entre les portes ouvertes d'un tram à un arrêt à auteur de Lapeyronnie et donc de la maternité, ma fille, ou un fils, je ne sais, né(e) à l'automne, fin novembre je crois, ma grossesse passée sous alimentation forcée et prise fréquente également forcée jusqu'à auourd'hui de buvards, ou acide, drogue hallucinogène, depuis la conception, en avril ou mai, affectée de menstruations régulières,) bébés raptés dès nés dans institutions non appropriées, restitués d'une façon des plus irrégulières, décédés, ou sinon encore en vie, très maltraités, vrombissant encore tièdes, eux même dans une agonie liée à cette hallucination, nouveaux-nés que j'ai du laisser périr, n'ayant pu les toucher, prise de faiblesse mortelle tant commotionnée des électrochocs, laissée à l'agonie moi-même plongée dans un sommeil profond durant quelques jours,après d'importantes trépanations et cures d'électrochocs, les autres, plus agés, laissés à la libre initiative de chacun les ayant trouvés sans surveillance à mon domicile, et moi-même plongée dans coma, j'ai réclamé leur restitution aux institutions les ayant prise sen charge, afin de leur éviter un malheur, une de mes filles, d'environ 6 ans, trouvée pendue d'une sangle noire, d'origine inconnue, dans ma penderie, une autre , ma dernière encore en vie alors, d'environ 3 ans,portant des lunettes de vue dites "culs de bouteille" tant pour fortement myope, raptée sur la voie publique où il avait garé son véhicule, face à la fenêtre de mon logement, par mon père ou son double, coiffé d'une casquette de tissu ou feutre lisse mi bombe de cavalier, mi casquette de paysan bleu marine, sur vareuse de même couleur, apparemment, un inspecteur le simulant et de surcroit, des associations humanitaires contactées voire par la voisne logeant au-dessus de mon logement, démente pour me faire adopter plusieurs enfants d'origine étrangère, venues me les délivrer, sans documents légaux, les ont laissés dans mon appartement, une fillette indienne, hindoue en sari rose fluorescent d'environ 8 ans, aura été trouvée noyée dans ma baignoire, immergée jusqu'à son décès, puis j'aurai été condamnée à la mort violente lente, pour ces découvertes macabres, par inconnus survenus dans mon domicile,appelés d'urgence et sur mes recommandations, restés invisibles ou quasiment, à mes yeux. le dernier venus m'ayant présenté le cadavre nu autant que celui de bébé juif, d'un de mes fils, à peine âgé de 1 an, dans l'apprentissage de la marche, que j'avais vainement tenté de sauver de son placement en la clinique de Mairet, où il a été trépané des cervelets, réanimée pour la circonstance,en fait,logement du premier étage où il a été presque euthanasié sauvagement de trop d'électrodes, dont certaines, pratiquées à la nuque, dans précisément les cervelets,auront été fatals, car tant brulés qu'en suit amputés, j'ai crié autant que j'ai pu ma haine car les décisions de son homicide prises par l'intermédiaire de cette voisine du premier étage, parlementant avec moi, elle pour l'avoir recueilli devant ma porte, et servant d'intermédiaire avec mes interlocuteurs, des médecins âgés, d'une terrible discrimination raciale,puis autant que dans le dernier Empereur, ayant décidé sur demande de mon père, persiflant, la fin de mon enfant, eux m'en donnant les moindres réalités, pris lorsque je l'ai aperçu, sous anesthésie après opération du cerveau, incapable de me lever, de bouger un bras, amenée en fauteuil roulant face à lui, muette tant asphyxiée après trépanation, systématique à chaque restitution d'enfant, lui, que j'avais vu nu dans le froid, blême, une hanche ensuite désaxée de violences, enfant de cheveux bruns dont elle a causé la mort, de son inconscience. enfant nés des viols subis depuis les années 80, voire, bien avant, étant née précoce et prématurée, nubile, pubère, et menstruée, avec galactorée,ceci, du à l'emploi du Distilbène, chez ma mère.

Sans compter les soles frites placées à l'arrière de mon crâne au niveau de mon cervelet grièvement électrocuté d'électrochocs, à travers les chairs frites de ce poisson ensuite très violemment et maintes fois brulée afin de me maudire d'avantage.

Depuis l'Inquisition, rien de tel ne m'avait été autant prouvé, sur les pouvoirs fascistes. Décidément, je le rappelle, tout amour si non officiel, promis à la malédiction des amants maudits, à l'épopée américaine ainsi qu'au thriller systématique couronnant la vie de chaque couple, ante vie maritale forme de charivari bushien pire que chez Idi Amin Dada envahissant les mœurs françaises. Et si l'on veut, l'on peut aussi appeler la CIA, mais ils seraient très bien vue leur optique, capable d'y penser.

Artiste depuis ma vingtaine d'année, peintre arasée des lobes de son imaginaire afin qu'il ne repeigne plus la contestation picturale, puis écrivaine auteur de deux livres de poésie libre aux Editions du Champ Social, fondatrice d'un groupe de musique et de chant contemporains composé d'handicapés mentaux, ou réduit à quelque démence, je milite également en faveur des droits de l'homme, adhérente à la Ligue des droits de l'Homme, et à Amnesty International, associations humanitaires qui se sont avérées incompétente en la matière.

Mon père, pris dans une défonce de revanche envers toute défense que j'aurai, récit qui m'est extirpé de tortures au implants électriques, électromagnétiques, électrodes, envers les violences familiales qu'il aura p commettre, viols de tout ordre qu'il aura eu commis, sans compter ceux que représentent pour lui , les viols thérapeutiques des électrodes, injections retard et cachets imposés depuis pour lui déflorantes, bâillon chimique destiné à masquer son inceste, sinon arsenic, et causes de coït,auquel il me contraint depuis des années, bien qu'aujourd'hui je ne sois plus sous la coupe de quelque chef de service assez vicieux pour écouter ses discours mensongers, accableries diffamatoires envers tout silence que j'opposerai, il me provoque de coups de téléphone, suivis immédiatement de représailles, invasions en séries de cures d'électrodes, accompagnées de viols des intervenants, représailles pour le fait que des témoins, ma famille, moi-même et médecins capables, l'aient voulu en gériatrie ou psychiatrie, volonté qu'il me rend en m'envoyant maisons de retraite à mon domicile, me séquestrer, tuer de décharges électriques, lui dans ces cs en état de meurtre, me faisant passer pour fille indigne enfant bourreau auprès de qui veut l'entendre,(déjà traité pour sa maniaco-dépressivité éthylique et hystérique en déni, par la famille, ainsi que par neuroleptiques Solian et Stablon, ce qu'il me rend, car lobotomisé plusieurs fois,il ne le supporte, se venge sur moi en réclamant des ablations très importantes de mon cerveau, allant jusqu'à "me faire bouffer ses lobotomies, et celles qu'il aura demandées pour moi, sur mes agresseurs) raffolant de ce jeu de substitution, depuis ma prime jeunesse, chacun le renseignant sur les rituels traditionnels de chacun de m'en infliger autant, sévices et viols préparatoires au bloc opératoire, qu'il me punit, inéluctablement, d'actes de neurologie, neurochirurgie plus graves encore, ayant recours à l'alimentation forcée, m'interdisant toute alimentation autonome, en sus de ses moqueries pornos, insupportables,de celles des fauteurs de trouble, fomentant depuis ma naissance, dans un but libidineux de m'éliminer définitivement de sa vie, me traitant de poids inutile, et maquereau allié assez sûr pou rems ennemis, souteneurs instituant le bordel à mon domicile, se servant de lui et d'un de mes anciens concubins, de jeunes marlous se déclarant mes amants, joints par cette locataire du premier étage, qui m'entreprennent dès le lever, pour des séismos, électrodes en tous genres, électrode parties, à viols en séries rituels suivies, une fois la moitié du cerveau brulé, de trépanations, suivies elles de tentatives d'homicide, parce que de telles imputations ne sauraient se supporter, sans m'achever; ce rituel cyclique dure depuis environ la Toussaint, et empire avec l'alcoolémie des fêtes, cet ex compagnon des années 90, Luc Lopez, dément violent de Robert Brès, auquel l'on me remet systématiquement, et qui se fait une joie intime de dépravé, de tenter l'euthanasie sur moi, sinon ses représailles envers tout réquisitoire que j'aurai envers ses pratiques dévoyées de la médecine, il envahit mon logement, m'impose ses lubies, obsessions sexuelles, a entrepris de me forcer à une vie de couple avec l'un de ses déments, et bien d 'autres, basée sur la revanche, me faire vivre le pavillon de force à domicile, où il aurait les droits de parent bourreau, dans les rites conventionnels de la violence conjugale,voyou de surcroit, se faisant passer auprès de ses psys, pour mon amant, que je recevrais avec mon consentement, quand il force ma porte continuellement. pour s'y livrer en compagnie de ses médecins, infirmiers, infirmières, à de véritables parties de stupre; orgies insultantes, à tortures et vices dangereux pour la vie, où l'on me viole de tout geste médical, violences et viols recensés depuis ma majorité, que je n'aurais supportés de ma vie ou de celle d'autrui, Luc me frappant avec chaussure au visage, m'ayant démoli une épaule, et plus insultant dans les termes du vice que jamais, équipes passant leur temps à me griller la cervelle, en guise d'amusement qui leur rapporterait, chacun s'amusant de moi parce que trouvée pauvre fille, encore belle", vieillie prématurément en cinq minutes de sévices et décharges électrique, afin de m'y faire mériter la maison de retraite..

Enfermement, séquestration à mon domicile destinée à me supprimer, si j'ose maintenir ma partie cicvile, sous peine d'hospitalisation bien plus réelle en pavillon fermé, où mon décès sera prévu et organisé rapidement. Les pavillons de force appelés après inversion des faits, typique de l'arianisme, suite à des agressions d'un ou deux de leurs patient laché dans mon domicile, d'une locataire logeant à l'étage au dessus du rez-de-chaussée où j'habite,viols et violences qui m'auront été punis, forme de violence subie et rituelle envers les femmes battues, de pavillons destinés à me faire payer les violences déjà subies de ce couple d'inactifs et de ces arriérés, en accord avec un de mes parents, mon père, qui sitot accusé ne serait-ce que par tiers, me le reproche de violences et opérations cérébrales, forme de tabassage d'une femme battue que je dois lui rester, il tente également ce type de suppression, sous électrochocs constants et lobotomies importantes trop souvent répétées, par intolérance envers ces texte et peur d'inculpation, autant que chez tout parent bourreau , cause de violence envers femme battue, dont a été longtemps ma mère. Lui, ayant institué ce genre de partie de sauteries à électrochocs d'une junte de médecins hospitaliers et privés (depuis ma naissance, à titre de déviance psychotique sexuelle pédophile à mon égard, sont transfert de personnalité un temps soigné pour maniaco-dépression hystérique à mélancolie, sans résultat) aboutissant à des résections neurochirurgicales, le dessus, l'arrière du crâne, cette locataire en dépendance psychiatrique, ayant décidé de me prostituer à son compte ces parties de snurf, de torture psychiatrique, accompagnées de violences et voies de fait depuis ce matin, constamment maintenues, d'un matériel électronique et de nouvelle convention, testé encore à l'heure actuelle, trafic également de proxénétisme de ces secteurs médicaux, qui en ont usé des décennies, sous d'autres formes, afin de prétexter l'agitation, l'amputation, la stomisation, les actes formels de neurologie, de neurochirurgie tant ces matériels, d'usage y compris pédiatriques en éducation spécialisée, dont j'ai été victime ma vie durant d'enfance martyr, faisceaux électro-magnétiques et irradiants d'armes militaires de pointe, peuvent causer des coups violents de fortes brulures, créer sinon des handicaps traitables ensuite en tous secteurs médicaux et spécialistes des handicaps causés, peuvent aboutir à des placements officiels en maisons de santé, dans un seul but de profit, sinon piur faire taire, parfois définitivement, les victimes trop argumentées et aptes à les inculper. Les passages à tabac constant sous matériel de torture électrique, également pouvant être cause de torture génitale, également par implants électriques, jusqu'à des brulures graves du sexe, voire, amputation pour sa cancérisation, les viols qui accompagnent, précèdent ces pratiques illicites, font partie d'un proxénétisme hospitalier qui non seulement prostitue des hommes, des femmes, des enfants, mais use d'un droit de propriété sur leur corps instituée, pour prétendre à l'opération neurologique constante, suivie de neurochirurgie dès que les zones cérébrales déjà réséquées tout au long de la vie des victimes, auront repoussé, de gavages illicites de l'alimentation forcée, contraire à la santé, et donc créatrice de dégâts corporels, que la médecine générale réparera, en concevant un profit illimité, forme de traite de l'être humain supplémentaire... en ce qui me concerne, les secteurs de force s'ont intervenus aussi, (cf résumé précédent, me faisant vivre et alimenter des glaires et humeurs de leurs victimes décédées de pareils crimes en sus de leur degré d'alcoolémie pour certains au pastis,décès qu'ils auront causés et qu'ils me reprochent, (voilà ce que tu nous as fait faire, forme de violence faite à femme battue) me faisant sentir des odeurs de cadavres en décomposition,ou de leurs aliments une fois décédés, en ajoutant de leurs baves dans mes aliments, jusqu'à chez moi l'inanition prolongée, s'il s'agit tant chez moi de mélancolie, en fait pratique régulière de ces établissements, taboue, d'où les accusations de mélancolie))afin de me séparer d'amours supposées avec un de mes médecins, généraliste, ou autrui qui m'aura été supposé, cette personne que j'ai un temps connue trépanée assez pour m'infliger cures d'électrodes si je la joints,(je vous le redis, vous fait de caste médicale enfreinte de cette "fréquentation" jugées assez librement consentie par ce généraliste au départ, vous, qui leur était inacceptable, considéré crime que j'aurais commis, qui m'aura été ainsi reproché, personne que j'avais osé rencontrer dont il fallait me séparer jusqu'au meurtre s'il le fallait, ainsi que de toute autre personne, qui m'aurait rendu service , réséquée elle aussi grièvement, retournée à mon encontre ainsi qu'envers vous je suppose afin de détruire toute confiance qui pourrait me sauver de ce drame, afin de m'isoler d'avantage, prétendre ensuite à la maladie, que j'estime toujours fictive et prétextée pour les raisons suivantes, qu'il faille m'interdire toute relation qui pourrait m'être une aide, toute écriture, tout appel téléphonique, qui puisse dénoncer ces fraudes, exactions et crimes contre l'humanité commis au nom de ces établissements et en dehors de tout placement légal ainsi que sur simple demande parentale ou de tiers, s'il est permis que ces crimes soient légaux en établissement, mon ordinaire étant de devoir être séquestrée à domicile pour une plus grande adéquation avec le type de maladie invoquée, qui me sera ensuite traitée, inévitablement, jusqu'à ce que mort s'en suive, des mêmes méthodes, en placement, sinon dans mon logement... Ces actes et agissements en complicité avec certains membres de la police, ou dits inspecteurs qui s'occupent personnellement de mon cas, m'interdisant toute nourriture pour prétexter soit l'anorexie, soit l'incapacité connue à la schizophrénie de s'alimenter, ainsi que la perte des activités quotidiennes, douche, sorties, alimentation, courses, nettoyage, corvées et tâches, autonomie strictement prohibées chez moi, de ces violences continuelles..

Dans l'optique d'une politique véritable de la Santé qui ne mettent en péril des vies innocentes, ni la vie de femmes éclairées sur les problèmes des violences faites aux femmes, oules auyant subies des existences de souffrance entières, afin que la médecine ne cède aux pornocrates qui règnent, cerveaux de trafics de proxénétisme hospitalier, afin que nul ne cède aux pressions politico-juridico-finacières en jeu, pressions physiques que je subis, destinée sà me faire fléchir ou décéder, si je dois tant mourrir pour "des idées", le rush médical que j'endure depuis ces dernières semaines, en voie d'éxécution sinon publique sur la place publique ou en privé, si je ne me tais, le silence sous peine de mort, alternés avec interrogatoires musclés, provocations incessantes obstructionnelles,en preovenance du Secteur 2 de santé mentale du CHR, et du secteur 1, en répression abolutiste pour des faits rapportés et rrès inventifs, des accusations mensongères et délations de tout ordre,envers ma vie privée,intime, et autres attaques personnelles d'invididus louches, dont mon popre père, qui pris de folie meurtrière ces derniers temps, et voire déthylisme dont il est en déni, a fait appels à ses tueurs à gage et d'élite, d'ordre médical, après m'avoir faite longtemps surveiller, depuis environ 2003. son trip du fuhrer va en crescendo, dns une crise paroxismique où il attente à ma vie, quotidiennement, des ordres qu'il institue à mon égard, pris, manipulé dans le trafic d'un réseau hospitalier, dont un réseau de prostitution pédophile et homophile, à mon avis, usant pour régner de conflits familiaux, et des cas de maltraitance, de violence familiale, d'inceste, de violences à domicile en tous genres,pou rnon les régler, mais constituer des filles tenues, filles faciles dont il faudrait que je sois, en sus de pratiques de la torture hospitalière,médicale et de maison de correction en partie fine, dites orgies, à inceste destinées à les "former"; ma vie entière sacrifiée à ces trafics, atzeignan les mlieux bureaucratiques, l'enseignement laïque et privé,l'enseignement bouillon de culture de ces réseaux initialement pédophiles, j'aurais trahi le silence imposé, d'où l'omerta actuelle dont je vous avais fait part. En voie de décéder peut-être sous peu, si ces violcences perssitent, je fais apel à votre aide, si vous me l'accorder, en réfléchissant au fait que ce genre de proxééntisme, pratique l'immerssion totale dans le monde de "la chambre fermée" à domicile, autant que cela se pratique, en département, dont les pavillons disciplinaires, souvent appelés à me "raisonner".


La plupart des associations réputées lutter contre le proxénétisme, injoignables, tels le site sysiphe, Acsès, ou autres surtout les jours de fête nationale, dans l'urgence de mon cas, en danger de mort consécutivement aux violences subies, le trafic de proxénétisme et de traite des êtres humains hoqpitalier sur ma région, la police en complicité avec les agissements de médecins, neurologues, psychiatres, neurochirurgiens se disant ivres saouls, appelés à mon domicile par particuliers qui se destinent au proxénétisme de mon cas, non seulement faisant pression sur juristes et procureur de la république de la région, car pignon sur rue et ayant pratiqué ce proxénétisme, au nom du profit qu'ils en récupèrent, de façon illicite et non déclaré, médecins, spécialistes y compris cancérologues radiologues cliniciens et chefs de services psychiatriques, enrolés dans cette méthode de front hospitalier, dans un plan de traite des contestataires à ce trafic, jusqu'à leur décès prématuré, dont celui de plusieurs personnes que j'ai eu connues, hommes, femmes, réduits, pour plus de facilité,(par abus de neuroleptiques imposés jusqu'à l'abrutissement, jusqu'à l'arriération même et l'apparence immédiate de la démence, objet de discrimination sexuelle et discréditoire en justice), à la démence, ou vicitmes sous étiquette arbitrairement employée et injustifiée, de la démence. employée à titre de prétexte à l'inflixion de violences sévices et tortures plus graves encore et mortelles, afin de faire taire toute perspiration pouvant concerner la violence à domicile déjà infligée, faire entrave à la justice, interdire totue comparution de svicitmes aux procès qui en sus leur sont faits, dans l'inversion des responsabilités chère à ces praticiens,(instituant une inversion des faits nazie, depuis l'incendie du 3° reich, dite de nos jours "loi de subsitution", ici injustement imposée, ayant été punie d'injection de produit neuroleptique retard, pour les violences de cette locataire, infligées dans le but d'instituer le passage à mon domicile, deneurologues, neurochirurgiens et apprentis psychiatres en amusement privé et parties de torture à viols sénextres violentes pour "se faire respecter", sur "femme"de foi" traitée en handicapée metnale, au cours de ces parties de snurf sans préservatif)) et aux juristes, faisant appel eux même à ces paraticiens, corrompus, comptant sur l'ignorence populaire ainsi maintenue. Corruption de la justice pénale, agissant en faveur de la violence caractérisée, trouvée par eux à ce point faible, qu'il fallait les pousser au crime parfois nazi. Ce genre d'affaire rapidement classée sous l'étiquette "violences pas assez caractérisées",juristes eux mêmes proxénètes et protecteurs de ces trafics du CHR, du monde médical privé et de sa sphère médicale, pharceutique politico-financière...

Pratique appuyée en général sur demande de tiers, (une locataire de ma résidence, dont je suis femme battue, psychopathe empolyée à être une de mes souteneurs dans parties de snurf, de torture psychiatrisée, dont plusieurs déments envoyées me prostituer de leurs viols et obssesions à mon domicile) de parents, ascendants ou familles entières, par profit, car duement rémunérés,

icic, mon père, employé par eux à cet emploi de macquereau régnant par l'inceste depuis a naissance, inceste et violences létales de parent boureau subies ma vie entière, qu'il souhaite faire taire et cacher de ces pratiques médicales, mon domicile devenu leur maison close, bouge, gourbi laissé à son pourrissemnent, et maison d'entrainement disciplinaire, le viol correctif emploiyé dès le lever.

merci d'avance pour votre réponse, certains médecins, jeunes et vieux "pontes" de ces établissements, promulguant insolemment et ostentatoirement le viol à titre de thérapie, en complicité étroite avec maisons de retraite conrrompues à ce système d 'esclavage, et pratiquant l'euthanasie par mort violente et lente ou brutale, au domicile des prostitées , vicitmes de tout age qui leur sont confiées ante l'age règlementaire des 65, âge à partir duquel la mort violente leur est réglementairement infligée, sosula démnommination d'euthnasie, ainsiq ue dans établissments psychiatriques, en opération civile de combat au sein des foyers et domiciles privés, pratiquent cette peine de mort sous électrochocs, autres méthodes ainsi que l'inanition causée par privation de nourriture, sous électrodes, jusqu'à l'apoplexie, ou la torture par implants électriques cardiaques, génitaux, jusqu'à la mort cardiaque, infligée chez moi, maintes morts apparentes, dont j'ai été réanimée, tirée du lit ou réveillée à toute heure pour cette méthode d'intimidation par jeu de l'exécution sommaire, décrite dans les brochures d'Amnesty International, dont je suis adhérente..

Ceci afin que je n'exerce plus aucune campagne sociale en la faveur de cet organisme, campagnes contre la torture à l'étranger (organsime muet, inactif et inopérant contre les tortures psychiatriques de cet ordre pratiquées en France et voulant le rester, dans l'urgence des cas n'examinant strictement que les plaintes rédigées qui leur sont envoyées, toute afaire où les secteurs médicaux seraient impliquées, annulée) et les trafics d'êtres humains, dont je serai inévitablement victime, ou de la LDH dont je suis également adhérente et que je cesse tout écrit de mon site, déjà auteur de deux livres parus aux Editions du Champ Social,
Ma vie en danger, vertèbres cervicales quotidiennement ces jours ci déviées, coups portés à la face et tabassages qoutidiens, destinés à me "raisonner" parfois en continu, souvent pour avoir été trouvée à mon réveil "trop bien", (trop belle trop fine, trop mineure ou trop jolie), à main armée d'appareils dits d'électrothérapie, à détenteur, d'une détente d'arme à feu, autant de balles dans le crane le réduisant en bouillie, parfois jusqu'à l'explosion de cerveau cuit, coups portés à la face à emboutir les os des temps, jusqu'au port d'atteles sous les os du visage, dstinées à me restituer mon apparence initiale; d'où dans ces cas l'invocation du handicap,parfois résiduel, séquelle de ces pratiques illcites au sein des couples, foyers et familles, en faux placements licites, sous couvert de l'étiquette dea démences prétextées par loi de la rétroactivité,, si ces méthodes sont permises, en placement réel. Destinés à "faire disparaitre", ou "se débarrasser" définitivement, d'une personne d'abord vivant en paix, puis victime ici dans mon cas, des violences conjugales d'un parent pour l'inceste qu'il commet, également de ces pratiques, basées sur le viol correctif; dont certaines filles du getttho de Montpeliir, ont été victimes sur de samtelas pisseux dans les caves des HLM del'OPAC, certaines fermées, reproduites à mon domicile.

Je vous conctacte en désespoir total de cause, ayant fait le tour des associations de protextion envers les femmes, injoignables ou qui s'avèrent incompétentes en matière de violence sexistes envers les femmes, notemment une certaine criminalité sinon raciale envers les intellectuelles et femmes émancipées, signifiant dans ce cas leur devoir d'abetissement et d'ifnantilisaiton de leur logos, je remarque une nette tendance à la psychiatrisation des femmes violées, battues, prostituées, au sein même de la famille, ainsi qu'il en est pour mon cas, dans le particularités atroces de la torture psychiatrique,totu aussi grave et meurtrière que les violences conjugales qu'elles semblent reproduire, simler, imposer, ainsuii que le devoir conjugal envers le médecin spécialiste, mariage dans la perte dela fidélité, aussi condamnée, l'obligation ainsi contrainte, au "droit de prostitution" i=érigé en devoir civique du STO, sous prétexte parfois de service sexuel "initiatique à a sexualité chez les incultes et demeurés, trafics d'un proxénétisme hospitalier féodal, gériatrique, psychiatrisé, méthodiqse, dépuceleur de jeunes filles, depuis la défloration au vilebrequin, écarteurs de cuisses de femmes rebelles à ce système de corruption de service hospitalier et psychiatrique, qui ne consiste plus qu'à imposer la torture médicale, y compris pédiatrique, anti-féministe, sous convention de torture électrique cérébrale cosntante , mutilatoire des zones cérébrales incriminées pour trop d'idées (de gauche, la gauche vécue mal, démence grave) mutilations nerveuses et cérébrales simulant et à titre de mutilation sexuelle déjà imposée, juqu'au devoir de neurochirugie, "geste médical" systématique, systématisé destiné à récupérer les victimes dites protégées, en devoir d'acception de ces pratiques, des dégats causés par la torture électrique, zones cérébrales réduites en purées cuite de cerveau parfois ayant giclé d'incisions déjà pratiquées, pour résumer, de la torture physique et sexuelle, du viol correctif collectif dit thérapeutique, incessant dans certains cas dont le mien, à table, au lit, au travail, dans l'étude universitaire, scolaire, surveillance totale et absolue de la femme émancipée dans son devoir de manque d'autonomie, d'infantilisation de son statut réduit à celui de petite fille facile, si elle ne renonce à ses revendications, nées de ce ces méthodes de dictature fasciste, régnant dans les complexes hospitaliers, dans le cerveau de tout employé médical, en vogue dans le monde médical, sortes departies de torture, dites de snurf, à plusieurs, d'équipes venues inquisitionner au sein des foyers, couples, s'attaquant aux femmes seules, célibataires hommes et femmes, mères célibataires, dans une attitude de cette médecine, pédophile aryenne, dans une régréssion des droits de la femme, sous une loi de substitution du devoir du Christ et de Marie-madeleine crucifiée à sa place, de payer les fautes d'autrui, notamment en mon cas les viols d'un de mes ex-concubins, d'autres violeurs psychoates en intrusions constantes, dans le monde du macquage hospitalier en commun accord avec le totalitarisme déviant de la police, de la torture médicale qui s'instaure, qui fait peur, plus que honte, un terrorisme psychiatrique, psychiatrisé pour ses crimes et crimes contre l'humanité sous l'étiquette de démence, bien pire que Terreur Blanche qui tient des principes mêmes de l'Inquisition, sur de modes d'intrusion dns la vie intimee tprivée, de la Gestapo, selon le modèle du film 1900.

Je fais appel à votre aide, en tant que victime de lois patriarchales encore en vigueur dans les familles y compris athées françaises, fondées sur le modèle néo-nazi subconscient des années 50, la psychiatrisation des idées de gauche, et de mai 68, faisant partie de mon éducation, a sein d 'une famille basée sur le principe du père patriarche et dictateur, pourtant issu de la laïcité, ce modèle se progage, halte; constamment retrépanée pour lapratique en continu de décharges d'appareils à détenteur, de la puissance d'une décharge d'arme à feu, quasi séquestrée à mon domicile sur ordre parental, à peine atteinte ma cinquantaine, afin de me punir des dernières plaintes que j'aurai émises auprès d'un tribunal, concernant ces pratiques illicites de la médecine, dévoyée dans la dépravation de la torture psychiatrique en famille, sans placement réel, les placement aboutissant surotut au décès organisé, prémédité, des victimes, entre "bons voisins" initiés à cette forme de "pédagogie" anti-universitaire, formule nouvelle du SAC, du FIS iranien, revenu en force dans les moeurs, faisant appel au tchador du traitement pédiatiruque, neuroleptique, forme en sus de ceinture de chasteté castratrice des libertés sexuelles, baillon chimique de la liberté de pensée envers toute femme consciente de de cette enfreinte à ses droits...

Artiste depuis ma vingtaine d'année, peintre arasée des lobes dits de son imaginaire afin qu'il ne repeigne plus la constestation picturale, puis écrivaine auteur de deux livres de poésie libre aux Editions du Champ Social, fondatrice d'un groupe de musique et de champ contemporains composé d'handicapés mentaux, ou réduit à quelque démence, je milite également en faveur des droits de l'homme, adhérente à la Ligue des droits de l'Homme, et à Amnesty International, qui se sont avérées incompétente en la matière.

Je fais appel à votre aide, ma vie réellement en danger, dans la non-assistance à personne en danger commise de toute personne contactée, et surtout de toute médecine appelée à mon secours, reproduisant les violences déjà endurées, dans le silence sur les violences envers femme battue, enfant martyr depuis qu'elle est née, sous ces principes de chasteté, devoir de célibat, du devoir de se soigner d'elle même pour son degré de cognition, de culture, de savoir, d'intelligence, de QI reproché etc...

Enfermement, séquestration à mon domicile destinée à me supprimer, si j'ose maintenir ma partie cicvile, sous peine d'hospitalisation bien plus réelle en pavillon fermé, où mon décès sera prévu et organisé rapidement. Les pavillons de force appelés après inversion des faits, typique de l'aryannisme, suite à des agressions d'un ou deux de leurs patient laché dans mon domicile, d'une locataire logeant à l'étage au dessus du rez-de-chaussée où j'habite,viols et violecnes qui m'auront été punis, forme de violence subie et rituelle envers les femmes battues, de pavillons destinés à me faire payer les violences déjà subies de ce couple d'inactifs et de ces arriérés, en accord avec un de mes parents, mon père, qui sitot accusé ne serait-ce que par tiers, me le reproche de violences et opérations cérébrales, forme de tabassage d'une femme battue que je dois lui rester, il tente également ce type de supression, sous électrochocs constants et lobotomies importantes trop souvent répétées, par intolérence envers ces texte et peur d'inculpation, autan tuqe chez tout parent bourreau , cause de violence envers femme battue, dont a été longtemps ma mère. Lui, ayant institué ce genre de partie de sauteries à électrochocs d'une junte de médecins hospitaliers et privés (depuis ma naissance, à titre de déviance psychotique sexuelle pédophile à mon égard, sont transfert de personnalité un temps soigné pour maniaco-depression hystérique à mélancolie, sans résultat) aboutissant à des résections neurochirurgivcales, le dessus, l'arrière du crâne, cette locataire en dépendance psychiatrique, ayant décidé de me prostituer à son compte ces parties de snurf, de torture psychiatrique, accompagnées de violences et voies de fait depuis ce maitin, constemment maintenues, d'un matériel électronique et de nouvelle convention, testé encore à l'heure actuelle, trafic également de proxénétisme de ces secteurs médicaux, qui en ont usé des décennies, sous d'autres formes, afin de prétexter l'agitation, l'amputation, la stomisation, les actes formels de neurologie, deneurochirurgie tant ces matériels, d'usage y compris pédiatriques en éducation spécialisée, dont j'ai été vicitime ma vie durant d'enfance martyr, faisceaux électro-magnétiques et irradiants d'armes militaires de pointe, peuvent causer des coups violents de fortes brulures, créer sinon des handicaps traitables ensuites en tous secteurs médicaux et spécialistes des handicaps causés, peuvent aboutir à des placements officels en maisons de santé, dans un seul biut de profit, sinon piur faire taire, parfois définitivement, les vicitmes trop argumentées et aptes à les inculper. Les passages à tabac constant sous matériel de torture électrique, également pouvant etre cause de torture génitale, également par implants électriques, jusqu'à des brulures graves du sexe, voire, amputation pour sa cancérisation, les viols qui accompagnent, précèdent ces pratiques illicites, font partie d'un proxénétisme hospitalier qui non seulement prostitue des hommes, des femmes, des enfants, mais use d'un droit de propriété sur leur corps instituée, pour prétendre à l'opération neurologique constante, suivie de neurochirurgie dès que les zones cérébrales déjà réséquées tout au long de la vie des victimes, auront repoussé, de gavages illicites de l'alimentation forcée, contraire à la santé, et donc créatrice de dégats corporels, que la médecine générale réparera, en concevant un profit illimité, forme de traite de l'être humain supplémentaire... en ce qui me concerne, les secteurs de force s'ont intervenus aussi, (cf résumé précédent, me faisant vivre et alimenter des glaires et humeurs de leurs victimes décédées de pareils crimes en sus de leur degré d'alcoolémie pour certains au pastis,décès qu'ils auront causés et qu'ils me reprochent, (voilà ce que tu nous as fai tfaire, forme de violence faite à femme battue) me faisant sentir des odeurs de cadavres en décomposition,ou de leurs aliments une fois décédés, en ajoutant de leurs baves dans mes aliments, jusqu'à chez moi l'inanition prolongée, s'il s'agit tant chez moi de mélancolie, en fait pratique régulière de ces établissements, taboue, d'où les accusations de mélancolie))afin de me séparer d'amours supposées avec un de mes médecins, généraliste, ou autrui qui m'aura été supposé, cette personne que j'ai un temps connue trépanée assez pour m'infliger cures d'électrodes si je la joints,(je vous le redis, vous fait de caste médicale enfreinte de cette "fréquentation" jugées assez librement consentie par ce généraliste au départ, vous, qui leur était inncacceptable, considéré crime que j'aurais commis, qui m'aura été ainsi reproché, personne que j'avais osé rencontrer dont il fallait me séparer jusqu'au meurtre s'il le fallait, ainsi que de toute autre personne, qui m'aurait rendu service , réséquée elle aussi grièvement, retournée à mon encontre ainsi qu'envers vous je suppose afin de détruire toute confiance qui pourrait me sauver de ce drame, afin de m'isoler d'avantage, prétendre ensuite à la maladie, que j'estime toujours fictive et prétextée pour les raisons suivantes, qu'il faille m'interdire toute relation qui ppurrait m'être une aide, toute écriture, tout appel téléphonique, qui puisse dénoncer ces fraudes, exactions et crimes contre l'humanité commis au nom de ces établissemnts et en dehors de tout placement légal ainsi que sur simple demande parentale ou de tiers, s'il est permis que ces crimes soient légaux en établissement, mon ordinaire étant de devoir êtreséquestrée à domicile pour une plus grande adéquation avec le type de maladie invoquée, qui me sera ensuite traitée, inévitablement, jusqu'à ce que mort s'en suive, des mêmes méthodes, en placement, sinon dans mon logement... Ces actes et agissment en complicité avec certains membres de la police, ou dits inspecteurs qui s'occupent personnellement de mon cas, m'interdisant totue nourriture pour prétexter soit l'anorexie, soit l'incapacité connue à la sckizophrénie de s'alimenter, ainsi que la perte des activités quotidienes, douche, sorties, alimentation, courses, nettoyage, corvées et tâches, autonomie strictement prohibées chez moi, de ces violences continuelles..

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