dimanche 7 février 2010

Mobilisation contre les dérives totalitaires de la pratique médicale-autre version

Je vous adresse ce courriel concernant les rites de la torture totalitaire administrative bureaucrate et judicaire psychiatrique en France, tentative de redressement d'une médecine déontologique de la santé mentale non initialement destinée à assurer les répressions d'un pouvoir de dictature sur le pays, le « flicquage » constant et quotidien d'une société policière et d'un état marxiste dont le goulag, récupéré par les pratiques médicales d'une psychiatrie de l'extrême droite, de la gauche marxiste pro-soviétique, est une résurgence du passé sans scrupule et sans façon, l'extrême droite assurant le pouvoir CRS ou KGB à camps mao à domicile de la psychiatrie, autrement dit, l'existence de secteurs de santé mentale goulags véritables ou prisons psychiatriques étatiques de même type que les prisons privées de l'Amérique Bhushienne, où s'y pratiquent des chaises de contention à tortures mortelles, dérapages de violences policières meurtrières, à but de déstabilisation de la gauche, de certains de ses penseurs dans un but politique et privé d'instituer la torture sexuelle, physique et mentale non officielles encore mais présentes en tout lieu de détention, sinon au sein de tout couple et de toute famille, dans un but de régner sans contrepartie, ni contre offensive, ni contreculture que ce soit .
Ce courrier autrement dit mes compléments de plaintes suite à une plainte que j'avais en prime abord déposée auprès de votre tribunal, et suivie de représailles depuis, courrier concernant l'usage de la torture psychiatrique à titre de soin dans les hôpitaux, secteurs psychiatriques, milieux protégés publics, privés, à domicile inclus, je poursuis ma tâche d' informer que ces pratiques médicales et dérives totalitaires qui s'apesantissent, autant qu'années de plomb, sur la ville et la région de Montpellier, autant que sur ma personne. Il serait urgent à mon avis de considérer le problème qui passe vite inaperçu, de la discrimination raciale qui persiste depuis les années 30 et la montée au pouvoir de Hitler, envers l'étiquette de la démence, qui ainsi que je vous l'ai déjà mentionné, perd de sa validité, et peut servir des pouvoirs totalitaires déjà en place, usant de cette étiquette dans la constitution de prisonniers d'opinion, en tous pays, en France surtout et également, dans le monde intellectuel et artistique, méthodes de persécutions destinant ces faux malades mentaux, à l'analphabétisme populiste requis, sinon le décès sous des tortures des plus arbitraires, physiques, mentales, extrêmement douloureuses, ainsi qu'envers ma personne, des bâtiments de force pratiquant la torture létale et des violences policières très graves, dont la peine de décapitation sous de violentes décharges électriques le plus souvent d'appareils électriques à détenteurs, dont les détonations vont jusqu'à celle d'une arme à feu, assez prolongées pour atteinte le degré mortel d'électrocution, autre forme de peine de mort du casque électrique américain, trépanations et séances de viols correctifs et décharges électriques en surnombre pouvant conduire au décès, imbibition forcée des glaires, salives, lubrifiants séminaux retirés de ces prisonniers ou issus de déchets hospitaliers prélevés sur morts de leur famille, causes en partie surinfections non traitées, obstruction systématique par intrusions constantes au domicile de ces personnes traitées sur place par abus de ces départements et secteurs, en malades mentaux eux même victimes de ces dérives totalitaires des formes nouvelles de la torture médicale, sur les lieux de leur résidence et sur tout lieu, public, privé, de leur passage, déculottages intempestifs, électrodes en petits comités et en public suivis de partis fines publiques ou non et orgies à défécations et vomissements causés par des décharges électrocutant grièvement le cerveau, pouvant faire prescrire l'innervation des nerfs grièvement électrocutés, leur extraction, voire nerfs sciatiques, usage illicite de décharges d'électrodes à titre de sévices et punitions corporelles, pratiquées sur la quasi totalité de la surface du corps, sur la surface des jambes, les genoux, les pointes des coudes, zones sensibles du corps et très électromagnétiques en soi, fixation sur le devoir de lobotomie des zones arrières du crâne, pour une lutte insensée contre la dolichocéphalie, devant rester depuis les nazis, brachycéphales, mutilations des zones intellectuelles du cerveau, électrocutions des parties génitales, parfois dans un but certain de proxénétisme, à titre d'exemple, mon dernier appartement servant de maison de redressement et de ferme d'abattage pour intellectuelles devant sous ces tortures, s'adonner à la libre prostitution, en réponse à l'un de mes derniers courriels, et en critique "active" envers mon site, les visites incessantes suivies d'élèves médecins le plus souvent ivres, se déclarant en études de neurochirurgies de mon cas en vue de résection lobotomique, de médecins parfois psychiatres ou simples généralistes dévoyés de leur déontologie, entrepreant à but soit répressi, soit dans un esprit mercantile, soit par amusement sur femme entreprise en femme de joie, sous l'abus de cures d'électrodes, dont celles dites cathodes, posées le long de la moelle épinière, sous les fessiers, dans le haut du dos, l'arrière et le côté du cou, dans les deux cervelets dans une matraquade des zones mortelles du corps, l'extirpation de nerfs des organes génitaux relatifs au plaisirou à son refus, dans les pratiques del'excision en Egypte, après actes divers de viols pédérastes dansles souillures du viol thérapeutique, (pédérastes ou pédophiles, le plaisir féminin ramené à celu de la petite fille pas sage, meneuse de mouvment qui se néglige), proxénétisme, défloration, violences physiques et morales, pouvant servir de cible dans des exécutions sommaires à l'occasion de virées de pavillons de force, violences assimilables à celles qui s'infligent à l'étranger, tout travail intellectuel m'étant de ces provocations et scènes de viols, tortures sous loi du silence, condamné. je dénonce l'usage de boucliers électriques plaqués contre les côtés de la face, ou électromagnétiques, plus douloureux encore, et générant un supplice infernal tant violent, pouvant causer des lésions graves, nécessitant la neurochirurgie dite à ce moment là récupératrice des dégâts causés, en fait prémédités bien avant l'usage de ces boucliers, sinon implantés, en vigueur dans certains pavillons, tenus par personnels policiers en uniforme bleu marine, les médecins de ces secteurs acquis à la cause aryenne, et appelés afin de limiter les QI de la ville non cadrés par l'université, ou animés d'un esprit libertaire nécessitant dans ce cas, l'appel de ces services, dont chacun peut se servir en tant que SAC.
Je signale également, des partisans apparemment de factions extrémistes se revendiquant des faisceaux, ou de la Ligue rouge, comunistes pro-soviétiques staliniens obsessionnels d'un secteur de santé mentale, militant pour l'institution sous légide de la psychiatrie, de bordels rouges privés à chambres de sadomasochisme médicalsiées en appartement privé pour l'instant en sous-marin, doté de visites répressivs des armes de la psychiatrie, dans un but de faire taire les victimes, si sous les tortures sévices interrogatoires à électrodes à vif, elles ébruitaient, en expéditions punitives suite à mes dépot de plaintes et sur l'initiative de mon propre père initiateur de cette dépravation dans ces secteurs médicaux, en relais incessant d'équipes acharnées sur mes lieux de vie, envers mes libertés de pensée, équipes qui visitent sur appel délateur sectaire mon domicile, font vivre un procédure illicite de type placement d'office, sans réel placement officiel, dans un but d'euthanasie que ces secteurs appelés en renfort préconisent, envers tout ennemis de leur opinion, luttant en faveur de la dépravation, l'institution du bordel chez les femmes émancipées et culturelles, le devoir pour elles (substituées sous l'étiquette de la prétendue démence, à ces fraudes et trafics dont de drogue), de prostitution, le devoir d'ébriété, de quelque cause qu'elle soit, drogue, alcool, coups, blessures, pratique illicite de déchaînements hospitaliers, cures ad mortem d'électrodes, sévices concernant la chair, obligation à l'imbibition forcée d'alcool, vin versé au goulot et alcool à 90° ou merphène imbuqué de force, dilué dans eau minérale ou de ville, en vue de prétendre aux soins décrits et interventions multiples au cours du jour et de la nuit, innervations du système nerveux, condamnations à mort arbitraires, en sus de celles exécutées par les secteurs aryens décrit plus haut, dénommés, "l'inspection". Cassages de bras cassés en deux autant de baguette de pain sec sur genou, coups violents assenés sur dessus de cranes et nuques, pour ma part sur intervention d'un père incestueux ivre en délirium trémens le plus souvent quand il entre, sans effraction dans mon domicile, de façon fréquente et quotidienne, après acte de serrurerie d'un de ses complices, père crapuleux et fabulateur, démagogue acquis à cette cause de l'orgie répressive à mortelle en famille, entre collègues, ramené ces temps derniers ivre mort et séparé par la force d'intervenants sérieux l'ayant surpris me violent et me violentant en état second de toutes ses forces, à son véhicule faisant le planton la journée ou la nuit durant devant mon dernier domicile, croyant devoir me surprendre au nid avec mon denier amant, qu'il souhaiterait lobotomiser et détruire autant qu'il me l'a fait depuis mes premières amours et depuis que je suis née, jalousie de père en état de faux entièrement parti dans sa forclusion d'œdipe roi, me croyant encore à ce jour croyante donc à lobectomie, ou en la compagnie d'anciens amis ou concubins que j'avais chassés de ma vie pour leurs viols et violences, outrages et envies de prolonger ces pratiques envers la personne, ou lui dans le devoir de corriger le moindre de mes écrits (étant en sus d'être artiste, écrivain) et œuvres d'art qu'il perquisitionne à tout moment, des lobotomies hebdomadaires à séances d'électrodes (faisant le tour pour me les infliger, des cliniques et polycliniques privées, ousecteurs hospitaliers où on le remet afin de devoir s'expliquer sur ses comportements, toute tentative de ma part, de plainte à l'encontre des ces fraudes et abus suivie de ces représailles), et orgies rituelles les précédant, qu'il organise et m'inflige sous peine d'arsenic dans mes boissons, ce père donc et selon faits rapportés, décidant de vivre avec moi à temps complet autant qu'avec ma mère décédée qu'il voudrait et essaie de recréer en moi de ses salives et baves extirpées, qu'il me fait ingérer, me lavant lui même dans mes comas qu'il me cause de ses maltraitances, me faisant surveiller pour son ignorance « de ce qu'il se passe chez moi » par des couples logeant au dessus de mes appartements, ou vieilles femmes maquerelles d'extrême droite violentes et faisant partie de sa vie, logeant autour de mes domiciles et lieux de résidence, passage ou déplacements, véritable Stasi de corbeaux démarcheurs et indicateurs renseignant autant auprès de lui qu'auprès de services médicaux, de l'inspection et des forces de police, qu'ils appellent, sur les scandales causés par ces pratiques douteuses de la psychiatrie, défrayant la chronique de ma vie dans ses moindres détails dans un style universitaire étudié, et choisis pour cela, lui faisant protéger en déni de son mal, le démon de midi et l'alcoolisme doublé d'une tendance à la démence (démence qu'il m'impute par transfert de personnalité et déni de la sienne, lui par peur d'être interné ou incarcéré, ainsi qu'en entrave à la justice que je réclame envers ces crimes, faisant marcher le marché de la prostitution à cette encontre) due à une hépatite C pratiquement en phase terminale, son foie à plus de 60% de fibrose, en sus de revanches à ses douleurs naturelles très violentes inhérentes à des lumbagos, nerfs sciatiques, cruraux, et pénitences dit-on pénales augmentant ces névralgies, destinées à le punir de l'emprisonnement constant requis de ces douleurs hyperalgiques pour ses fautes, doublées d'acoquinements à des médecins protégeant ce type d'inceste à rites pervers violents et dangereux, lui me faisant passer pour sa feme et me contraignant sous les électrodes à un vieillissement prématuré prétexte à des soins supplémentaire et cures de jouvence t rajeunissement au lait et au œufs, omnibulé par les violences des pères iraniens de régimes totalitaires dont ceux des SS, talibans et du FIS. Mon appartement devenu leur boui-boui pour fêtes rituelles de ce type nostalgiques de Staline et d'Hitler, sous rémunération en guise récompense, d'une allocation adulte handicapée doublée d'une pension d'invalidité pour m promotion à ce statut, en cause, l'infirmité qui m'a été causée de ces fraudes, viols, avortements illicites sous la torture, (violentée, tabassée aux électrodes et électrochocs ,électrocutée et cognée parfois jusqu'à la perte artificielle de l'enfant, avec surveillance constante des dates des menstruations, coups s'il s'avère que je ne les ai pas, et dite en aménorrhée due aux excès de neuroleptiques ou à une grossesse, règles parfois causées artificiellement), mutilations bien trop fréquentes pouvant attenter à ma survie, le cerveau l'organe vital du corps par excellence, et tortures, m'obligeant à un statut non-dit de prostituée d'État autant qu'en Allemagne encore de nos jours...
Toute tentative par témoins outrés des transes meurtrières et actes de proxénétisme de mon père, de l'interner en pavillon ou maison de retraite, suivie de représailles à électrodes et mutilations cérébrales, violences dans ce courrier décrites, de ces pavillons et gériatres appelés auxquels il aura été confié, renvoyés à mon domicile me corriger sous astreinte d'internement officiel, sous le prétexte que le père n'avait qu'un peu trop bu. Lui ne reconnaissant que parfois ses torts et sa honte de s'être tant cédé, dans ses parties de monte entre amis et de monte à cru à actes de pédophilie dont violences sur mineur notamment sur ma personne, de ma naissance à ma vie adulte et répétant ses mots d'adieu sur ma future tombe voire urne funéraire à laquelle il me promet, face à mes morts apparentes, systématiquement et sans vergogne relaxé de tout policier et médecin, parce que constaté ivre saoul.
Autant que dans tout exercice de ce type de proxénétisme, affamement de la victime en vue des maintes opérations du cerveau, toute nourriture consommée aussitôt régurgitée sous électrodes, dans l'interdiction de se nourrir par soi-même, et la soumission depuis environ avril dernier, à la suralimentation forcée à base de viande de porc destinée à me rendre d'aspect physique porcin et leur truie faite de porc dont on me veut la hure, sinon trogne à air aviné confectionné de coups et électrocutions, produits rubéfiants très carminatifs contrefaisant la cuisance d'ordinaire due à l'alcool et le nez couperosé, tuméfié, de l'ivrogne, condamnée à la défiguration (confection de cernes par électrodes sur les yeux et orbites) et au physique lubrique à obscène qu'ils me revendiquent, par également intubation de nourritures inappropriées à ma santé, violences caractérisées assermentées nécessitant l'intervention d'équipes payées pour me récupérer autant que possible, mon portrait refait systématiquement à chacune de ces parties à thème de vieux cochons et vieux salauds, (ces temps-ci l'occasion de la fête anniversaire de mes 50 ans), fêtes immondes jusqu'à leur assouvissement, quoique, nymphomanes de ces plaisirs juteux du lucre, ils persistent encore aujourd'hui en ce genre de parties de snurf, monstrueuses dépensières en argent et dessous de table, sur fille ordinaire ou de bonne condition « qui sans ces faits aurait pu rester aussi belle qu'Arielle Dombasle », ou l'ctrice inerprétant le rol de Manon des Sources, mon physique d'ordinaire, sans ces sévices, de même type que celui de cette actrice, mon niveau intellectuel repéré depuis l'enfance pour ses excellentes capacités et donc victime depuis des outrages ci-décrits au génie des enfants précoces et surdoués, présentée pour ce fait à ma mère dès ma naissance en tant qu'anormale, livrée à leurs actes de violence, tortures psychiatriques, maltraitances physiques et mentales et actes de bestialité de bourreaux, me promettant en tout temps et tout lieu au décès qui je vendais la mèche, ébruitais l'affaire d'où l'intérêt de me confier à la psychiatrie très tôt, afin de me soumettre à ces pratiques tortionnaires devant faire taire en sus des parties de genre, pierre à deux coups, toute lucidité et prise de conscience de leurs actes et tours de vaches infâmes, consacrant ma vie entière à ce rôle de prostituée et fille forcée de cette pratique illicite de la médecine à publicité mensongère.
Assoiffement, consommation forcée des déchets par alimentation forcée,domicile devenu leur site de sauteries récréatives de ce style, à coups de beignes et mornifles, débourrages de prostituées enchambrées chez soi, soumises à la loi du silence sous l'électrode temporale pouvant être fatale, commise jusqu'à l'odeur horrible de nerfs brulés jusqu'à leur réduction en corne grillée, et a cuisson des zones cérébrales touchées, la demi-cuisson du cerveau et de l'organisme donc, jusqu'à l'odeur de viande frite, et du sang demi-frit, formes de décapitations partielles ensuite puis par tranchet, autrement-dit lobotomies si résilience encore même faible, et si résistance de témoins scandalisés de telles pratiques, condamnation à des overdoses d'injections retard non officielles et autres traitements médicamenteux servant dans ces cas, à assermenter la fille, et affaiblie ses défenses mentales, puis en viennent encore et systématiquement à la mutilation cérébrale de grandes zones du cerveau, le dessus du crâne après décapitaiton du dessus dea boite cranièn, tranchement réputé sur singes en Asie, dans des fins de consommation de leur cerveau cru, l'arrière de la tête, puis un lobe entier temporal dès leur repousse ainsi que déjà indiqué,cerveau confectionné en cerveau lait, à l'œuf pâtes en gratins et au cochon, rebords brûlés de pain grillé récupérés durant mon enfance et ma majorité, avec pouvoir absolu de me forcer à terminer tout relief de repas que j'aurai laissé, soigneusement conservé depuis afin de me les faire ingurgiter dans les cas d' attente au tournant, (sous prétexte de me rétablir avec en sus de nombre et multiples injections de produits allergènes cuisants), avec tout insecte que j'aurai tué, ainsi que blattes trouvées chez autrui ou dans mes anciens logements, très cancérigènes une fois écrasées, dans un but de me cancériser, toute autre nourriture proscrite jusqu'à la cancérisation, qu'ils souhaitent cérébrale afin de mieux officier et m'éliminer définitivement, se faisant toute une fête d'organiser et préparer cette trépanation hebdomadaire jusqu'à masturber assez efficacement pour me causer orgasmes et coït, piétinant ma viande rouge lors de sa cuisson, pour la mettre sous l'eau et laver des impuretés de leurs semelles, chargés de me la laisser ingurgiter ensuite, n'ayant plus de moyen autre de survie, quitte parfois à me faire des électrodes pour me sauver des empoisonnements causés et ainsi purger mon organisme, il fallait en accepter l'efficacité, des ingestions forcées ou de ma libre initiative car ignorante des additifs obscènes et vomissures que contenaient ces aliments, soumise aux anesthésiques à longueur de temps, nourritures d'aspect sain qui m'auraient pu être fatales, dont avec arsenic, ou ingérées simplement en état d'affamement mortel.
Scènes de tortures ignobles, ou la victime, en l'occurrence ici moi-même, promise à l'asile psychiatrique et donc au cercueil qui m'y attend, devant faire taire définitivement toute tentative de dénonciation de ce proxénétisme, à peu près tout secteur médical de Montpellier, affilié à cette pratique illicite de la médecine, les médecins des pavillons psychiatriques dont le psychiatre qui m'a été infligé depuis de nombreuses ans, couvrant de mes privations de liberté et obligation à un traitement neuroleptique bâillon de ma lucidité envers les faits, ou le placement en clinique devant faire taire ad mortem l'affaire de proxénétisme à scènes de meurtre et certains requins de la médecine privée spécialiste ou généraliste, rituels dans le rôle véreux de praticien souteneurs. dont certains n'hésitant à faire demande de l'inspection, qui use du bouclier électromagnétique, jusqu'à la torsion des intestins, ainsi que cela a été pour mon cas, ce qui nécessite des examens humiliants à sodomie médicale dans des services annexes, qui vivent sans prétention aucune, des lésions, infirmités causées dans ces services, ou sous placement illicite. Je ne puis que vous suggérer de faire en sorte si vous le pouvez que ce problème de la violence à domicile, parentale, soit abordé vraiment, afin que les personnes victimes ne vivent un cauchemar supplémentaire sous les tortures des plus violentes en internement, fait logique de toute plainte contre ce système de protection de l'inceste et des violences sinon conjugales, du moins à domicile. Parents bourreaux d'enfants devenus ensuite adultes, condamnés ensuite à la gériatrie, sur la demande d'un proche ou du parent bourreau en vie, si lui-même menacé d'être soigné en gériatrie pour sa démence avérée systématiquement respectée en tant que lucidité, substitution systématique également à ces multiples tentatives de témoins et intervenants, (parfois des médecins eux même témoins des actes de folie du père, appelés sur place), de soigner ce père, substitution faite par les pouvoirs public d'un ou plusieurs médecins hospitaliers ou chefs de secteur impliqués voués à le relâcher dans un but de faire taire toute plainte encore possible de la victime, moi-même, bouc émissaire et tête à claques de ces bourreaux traitée en juive selon les lois aryennes de antisémitisme dont celle de la substitution, limitée dans ses capacités et aptitudes, à la personne vulnérable incapable majeure, voire, confiée entre temps, à des pavillons et secteurs médicaux très discriminatoire, peu scrupuleux envers l'étiquette souvent injustifiée d'adulte handicapé, pavillons dans la phase ultime du plan d'élimination, d'extermination physique et mentale de la personne tant que sa lucidité restera présente...
A cette occasion, je me permets de vous réclamer une action en faveur des filles garçons, hommes et femmes adultes victimes des violences conjugales de pères de famille incestueux, jaloux, violences pouvant se révéler aussi meurtrières que celles causées par les violences conjugales. L'enseignement laïque pouvant receler autant de tortures discrètes ou non commises dans le silence de la femme battue et de l'enfant martyr, dont je peux dire que je suis, enfants dès la naissances condamnés à des doses de séances de torture électrique qui les ont amenés, autant que moi même, à des réanimations quotidiennes, sur les lieux des tortures, le plus souvent, le domicile conjugal des parents, qui parfois, persécutent en famille l'un de leurs membres, incitent la médecine à les corroborer, à appesantir le poids de la torture médicale, psychiatrique, parfois, dès la maternité. Répressions, jusqu'à l'emboutissement des os de la boite crânienne, voire du visage et du pourtour du front, des yeux, n'hésitant à avoir recours aux lobotomies sur célébrités de l'intelligentsia (cf. la forme crânienne de Mr Duhamel, et autres célébrités du monde culturel, de celui du sport, et de la jet société); Milieux sordides de l'éducation laïque, aussi pédophile que le monde chrétien, adonné autant à l'orgie répressive et publique qu'en petit comité sur nouveaux-nés, durant également leur enfance totale soumise à ces tortures totalitaires, jusqu'au décès, le plus souvent, aux alentours des quarante à cinquante ans, date anniversaire du décès programmé des trisomiques dont le niveau est requis pour plus d'efficacité des soins et pratiques illicites de la dégradation totale du système nerveux et du bon fonctionnement cérébral,,date que je viens de passer dans un cap de mise à mort de mon corps et de ma vie. L'éthylisme dans ces milieux médicaux et de l'éducation, à parties fines de même type précédant la lobotomie rituelle dès la repousse des lobes amputés des du cerveau de leur proie, parties à trois, autres ou plus faisant rage et allant de pair avec celui d'infirmiers en équipes, soudoyés en bakchichs, affiliés également à ce type de parties de torture, autrement dit, parties de snurf, psychiatrisées, le plus souvent avec scènes de mise à mort pouvant tant infligées à longueur de journée, aller jusqu'à l'effet de casque électrique Américain, en sus de tentatives vaines dans mon cas d'amener au suicide, sinon api ingestion forcée de narcotiques puissants en overdoses, produits rubéfiants et soumission aux effets de torture tropicale par inflicton de Subutex, très sudorifique et hypercalcinant, hyperchauffants, très sudorifiques, cause de fièvre brutale et inexpliquée, autres procédés de la torture chimique ou crémant ou conduisant l'organisme à un très violent dessèchement (neuroleptiques en forts dosages, issus d'une recherche technologique visant plus à la répression qu'au soin pur et simple, autant puissants que la digitaline, la colchique, dont certains neuroleptiques sont issus, poison phytothérapeutique puissant autant que cigüe, rien que des plantes, selon la publicité mensongère des posologies et de la pharmacopée médicale), en sus d'injections dites retard d'ordinaire officiellement non prescrites, autant que dans messes noires à parties de jupes, dans mon cas, avec viols à violences létales jusqu'à la mort apparente mainte fois causée dans la journée. Rendue exsangue des maintes hémorragies cérébrales obtenues après résections multiples durant la semaine, lobotomies pratiquées après intubations forcées destinées à obtenir la repousse systématisées des zones amputées en question, jusqu'à leur ré-amputation, sur demande de membre de famille exacerbé par de tels possibles, je suppose services hospitaliers et de secteurs privés, prétendant au commerce de ces prélèvement en grande quantités, la moitié d'un cerveau par semaine à peu près, sur une ou un de leur prisonnier, le plus souvent d'opinion, traité en vache à lait, à traite publique de ses matières cérébrales. procédé anthropophage aux rituels cannibales, pouvant aller autant qu'en Guantanamo, à ingestion forcée des cendres de morts de leur famille chez les prisonniers en question, notamment à l'occasion des fêtes de la Toussaint. Et a présentation de dessus de crânes lobotomisés à la victime, sur plateau de ses légumes dégurgités pour l'occasion de sa mise à jeun par séances d'électrodes, anté-opération..
Le but étant de créer de toutes pièces les types de symptomatiques typiques des démences rituelles en séquelles à des pratiques illicites de la torture psychiatrique, mutilatoires et commises sous tentatives répétées de meurtre, maltraitances complexes, panoplie protocolaire des symptomatiques systématiques recensées de maladies fictives totalement arbitraires dépendantes de l'imaginaire populaire et issu de folies réelles réputées de médecins sur le sujet très imaginatifs, ayant répertorié certains comportements suite et résultante d'opérations cérébrales, ajoutées à des procédés inquisiteurs de la médecine, prétextes à l'usage ad mortem sinon cause des diminutions réelles physiques, que sont en fait, les dites symptomatiques des maladies mentales reprochée par loi de la rétroactivité à des patients qui auront été confiés au départ à ces pratiques, pour des problèmes autres que ces démences au départ imputées,parfois et le plus souvent, le simple délit d 'opinion et acquises à forte de persévérance sciemment voulue à les leur causer, de tortures électriques en cures, infligées à titre dit préventif sur tout lieu de vie,surtout ante-placement licite et destinées à causer les caractéristique des démences répertoriées, cures à domicile puis en pavillon fermé, grillant le système nerveux ou le réduisant en broyât cuit jusqu'à des projections de cerveau réduit en purée frite de plaies réouverte sous la puissance des chocs électriques, ou la fracture de os, parfois à remplacer, tués net sous la cuisson des décharges d'appareils à détenteur, ou cuits à la longue de décharges d'électrodes aboutissant à la cuisson des chairs,des os et du cerveau, en sus des cuissons aux électrochocs, ou autres formes de la torture électrique, des parties génitales, tabassées également de courants imitant des coups portés violents, causant de fortes douleurs, et dits aimants, contrefaisant le bouclier électrique de l'étranger.
Le métier de personnel médical psychiatrique et de médecins psychiatres, ne consistant plus depuis les années 50 à 80 à ces inflictions des diverses formes de tortures dans ce livre répertoriées, il en existe des plus abominables cela est certain, dans les asiles psychiatriques de la métropole et provinciaux; ainsi que des particularités dans certains types de tortures psychiatriques à 'étranger, aucun des décès de ces établissements et institutions, publiques et privées, recensé publiquement, aucun chiffre ne paraissant actuellement sur le taux de mortalité de ces pavillons, cliniques , centres, plus en simple maltraitance de ces pratiques protocolaires de la torture à titre de soin, à titre pénal d'autant plus de dans pavillons disciplinaires (qu'ont à voir les violences policières et les rites de tortures et persécutions meurtrières de ces pavillons avec la pratique déontologique de la médecine, si la médecine déontologique psychiatrique a eu seulement un jour depuis sa création existé, créée dans un simple but totalitaire, je le rappelle, extrêmement « répressif » d'extermination raciale) que les maisons de retraites déjà contrôlées. Je rappelle que les métiers dits médicaux, sont strictement liés pour la plupart, à la récupération sociale d'une de leurs déviances psychotique exacerbées dans le sens récupéré d'un emploi le plus souvent très rémunérateur, en principe phénomène très fréquent dans deux secteurs sociaux, le secteur primaire, (les égoutiers, plombiers, déboucheurs de WC, et autres obsédés des WC, agriculteurs) et le secteur tertiaire, dont les métiers de la chirurgie, certaines médecines liées à des types obsessionnels de folie : obsession des pieds chez les podologues, à titre d'exemple, cannibalisme récupérateur des folies de la société, de type film Hannibal chez les neurochirurgiens, analystes biologiques des selles en mal d'obsession coprophage, obsessions à rigidité mentale psychotique qui les motive à un point de foi qui les sert.
Usage à titre privé et collectif de pavillons fermés et dits de force, tenus par sortes de contrefaçons de policiers en uniforme bleu marine et casquette de représentants de l'ordre, en aucune adéquation avec la déontologie propre à la médecine, et n'usant de son étiquette qu'afin de pratiquer en toute liberté à mots couverts, les méthodes de la torture médicale à mots couverts, de violences policières à titre de soins, aptes à dérégler les organismes, le bon fonctionnement cérébral, l'amputation cérébrale et méthodes dites de soins devant être considérées délivrance du mal par les tortures endurées créé, les médecins de ce pavillons déclarés inspecteurs, couvrant dans l'hypocrisie démagogue absolue, l'usage de méthodes policières totalitaires dans l'imposition de la répression contre les libertés individuelles, droits de l'Homme et droits protégés parle code civil, le plaisir ad normem et naturel du corps, le plaisir solitaire, la masturbation onirique (punie de l'arasement des zones arrières du rêve, du rêve amoureux, l'arrondi dolichocéphale de l'arrière du crâne), le maintien du licou ou la peine de mort psychiatrisée chez les femmes mariées ou en devoir de l'être, promises, concubines et femmes en rencontre, le lysisme, le coît interrompus jusqu'au clap-end requis, et l'abstinence forcée chez les femmes adultes et jeunes filles émancipées en général, la soumission au père violeur surtout, pour les fils, au père et à la mère, au devoir conjugal, la protection de l'inceste et du devoir conjugal qui lui est dû, l'obligation au vice, à la dépravation, à la prostitution publique, au devoir de fidélité, à la préparation du corps de la femme (bains forcés sous prétexte d'hygiène, dans baignoires malpropres servant d'infliction de la stérilisation forcée des femmes émancipée par infection à salpingite causée par éradication d'une flore vaginale persécutée de trop de lavages intimes, jusqu'à cette infection stérilisante, due à ces baignoires maintenues sciemment en état de mauvaise hygiène) aux devoirs conjugaux qu'elle doit à l'homme, au mari, obligation sous peine de mort, de graves opérations du cerveau (lobotomisé dès la repousse en imbibition de ces procédés, après gavages intempestifs, des zones incriminées), à la malpropreté évidente des couples, femmes et familles, saleté devant rester commune aux populations, destinée à fournir les cabinets médicaux et secteurs médicaux publics, privés, en patients sur-infectés, jusqu'à la réapparition de la pneumonie et épidémies communes au Moyen Age, ère privilégiée des aryens, obligation aux actes contre-nature décrétés norme, contrainte des mêmes méthodes totalitaires, aux opiums connus du peuple, à son abêtissement intellectuel, à la propagande aryenne en matraquage de la restriction « ne que » signifiant que cela n'était assez, il fallait plus pousser plus loin en violences, jusqu'à celles violemment revendiquée par les groupements dirigeants de ces pavillons, cliniques, des camps nazis, soumission massive obligatoire également aux lois du fascisme dont au phallocratie. L'exécution capitale de nos jours conférée aux hôpitaux, psychiatrique en général. Mort violente ou lente, torture supplémentaire de se voir mourir sans pouvoir s'y opposer, mort infligée d'une croix sur dossier à contrats.
Conditionnements pouvant conduire à la gangrène du corps, des hommes, femmes insoumises à ces lois, à celles du viol par excellence auxquelles elles sont systématiquement substituées sous a la loi de substitution psychiatrique, défendue par psychiatres et forces de police, ou autant que je le suis encore, punies entre autres individus pour les violences subies, par inmbibition forcée de leurs organisme, de déchets hospitaliers, (eaux en grandes quantités dégurgitées, en baves, salives et glaires de tous orifices, eaux de lavage vaginaux et d'appareils sexuels, ainsi qu'après sodomie, fréquente dans ces pavillons et jusques lieux de vie privée sous leur égide), conditionnement basé sur les neuro-transmetteurs d'autrui propres à soi de ces salives et glaires extirpées du corps humain, ou même d'animaux de compagnie familiers, destinées à restituer des physiques ou pensées induites chimiquement par ces « jus » humains, autre forme de lavage de cerveau lobotomisateur, ces salives imbuquées de force, devant digérer, le sujet maintenu à jeun, condition de la correction sous électrodes, les protéines et l'organisme de ce sujet, jusqu'à son cerveau, remplacé ensuite par une nourriture contraire à sa santé, basée sur les contre-indication à la vie de son corps. Opérations barbares très scientistes décrites dans le film « Le perfinateur », de métamorphoses, parfois plusieurs opérations (régulières dans ces établissements) de ce type par vie, dangereuses, en clonages voulus issus de ces pouvoirs de ces salives, avec individus punis pour des fautes dues au vice (bruits salivaires lubriques) ou pour causes libertaires, sujets au cours des électrodes en punissement, ayant fourni ces rejets (transvasement des liquides, sucs d'un sujet décédé ou en vie dans un autre, thérapie de type Frankenstein ou politique fiction en cours) . La liberté de pensée niée, persécutée au profond du corps, de son identité mentale et physique, tué de main froide, forme dérivée de l'exécution capitale, corps devant rester esclave sinon transformé en mélanges de sujets aux idéaux similaires, constitués eux même de tels viols de leur organisme en sa totalité restante des opérations qui précédaient, son intégralité pour lutte pour son intégrité des individus confinés dans l'emprise le plus souvent fatale de ces établissements, bafouée jusqu'à l'extirpation de morceaux de cerveau, dents, bras, etc. laissés sur la table d'opération. En sus des neuroleptiques en guise d'anti-rejet de cette greffe de sucs salivaires et d'humeurs humaines, neuroleptiques en fait produits chimiques, pharmaceutiques, produits dans le but de torturer les fonctions naturelles et l'organisme, et dont la plupart, employés en psychiatrie, jusqu'à la gériatrie, causent la cuisson chimique des chairs jusqu'à leur état de saucisson sec, de corne, matière cérébrale sèche, séchée autant que grumeaux et amas de purée de blédine lyophilisée cuite au lait délayé, ( les régimes secs ajoutés, carencés en fibres, vitamines et oligoéléments nécessaires à la survie, à base de légumineuses, pâtes sèches ,farines de tubercules et régimes sans résidus pour granivores, cancérigènes et prévus anté-coloscopie, pour leurs vertus cancérigènes et de carençage, la surconsommation de produits à base de grains et de blé ayant servi d'électrochocs dès les premiers temps de l'humanité, transformant en nouilles cuites le système neveux et cérébral, l'homme devant rester omnivore) et de porc salé, steak tartare cuit des procédés décrits, en sus de la cuisson létale par fortes décharges électriques, forme de four crématoire ou portatif (chimique ou en implants électriques) , ou mécanique imposé en réponse de ce totalitarisme à la liberté de conscience déclarée démence grave à ce point de devoir la corriger. Jusqu'au pourrissement du corps, parfois encore en vie, et son décès. Autre procédé égyptien d'euthanasie Étatique, d'embaumage du corps innocent du vice exécute pour ses libertés physiques sans entraves et de pensée, jusqu'à ce que mort s'en suive.
Mobilisez vous contre cette gangrène qui atteint les services publics, déferle dans les institutions y compris scolaires, étudiantes, maternités, crèches, administrations, le médecin appelé su rplace autant que le toubib des boshs, pour une pratique identique de la médecine à celle des nazis, sous des couverts trompeurs d'offre de services et d'humanité, de soins en placements en milieux dits protégés, la formule élégante, gériatrie et maisons de retraites, véritables camps de déportés, barbarie à visage humain, autre...
Hôpital sécuritaire, camp de déportation de la nouvelle et ancienne constestation, hôpitaux, cliniques devenu à nouveau après une brêve amélioration, ceux des années 30 à 50, camps d'extermination pour ce qui est des pavilllons disciplinaires qui n'ont plus rien à voir je le répète avec la pratique médicale, sinon l'extermination raciale anti-sémite de toute rebelle à cette société, de tout réfractaire à ces agissements.
20 déc. 2009 19:17
Pour plus de réalité face à l'usage dela torture en France,laissée aux hôpitaux et notamment lles asiles psychiatriques, la tâche de la peine capitale médicalisée qui leur est confiée depuis la création de la science médicale psychiatrique, n'a plus rien à voir avec la pratique déontologique éthique universitaire de la médecine, en vigueur au 17° siècle, siècle des Lumières, où les jeunes carabins flirtaient avec la mort et déterraient afin d'affirmer les premiers pas de la médecine, les cadavres des cimetières pour les étudier, les disséquer à l'heure de l'Inquisition des guerres de religions. au nom du courage de ces premiers étudiants décidant d'un commun accord de défier les charlatanisme de Diafoirus diaboliques et assurant depuis la survie de peuples entiers de l'humanité de leur courage invétéré envers toute cause para bellum qui leur serait opposée, ne cragnant ni la mort ni la douleur ni la souffrance sous la torture, ils auront bati la Médecine qui fit jusqu'à présent la fierté du pays des libertés, la France, une dérive dépravante et condamnatrice de toute pensée lucide qui s'en réfèrerait à l'étude déontologique de la médecine et de la science, dans sa pratique et son application éthique, fait rage et fureur depuis la fin de la guerre, dans une dépravation du service hospitalier et privé, au point qu'il faut crier halte à la substitution du soin réel à l'usage systématique et systématisé de la torture médicale au titre de soin et thérapeutique notamment et surtout dans les domaines psychiatriques et en cancérologie...
Torture au service d'une totalitarisation prohibitrice de la science de personnels médicaux et de médecins dits diplomés armés des armes de la médecine et d'une dictature véritable du Soin, de l'Opération mutilatoire castratrice des libertés, de conscience, de pensée, d'action, formée d'une junte militaire réelle de médecins des plus crapuleux et corrompus aux devoirs civiques de la dépravation du Service obligatoire sexuel,(réseau pédophile à titre initiatique chez l'enfance handicapée ou prétendue handicapée) répression et de la torture médicale, de l'établissement du bordel (rémunérateur des établissements hopitaliers) chez la femme émancipée, cultivée et cuturelle, lettrée, et douée d'un savoir altruiste non corrompu, ou artiste,torture médicale mercenaire de pouvoirs politiques établis, étatiques et privés, depuis l'invasion rétroactive de la corruption en France, en Europe, des réseaux marchands du mercantilisme totalitariste de Bush, contre lequel s'et élevé déjà paru dans la presse, un collectif de médecin, luttant contre une prospection dans les milieux médicaux, en vue d'une société policière psychiatrisée en France, usant du marché de la psychiatrie, de la gériatrie, de la pédiatrie et des luttes intestines anti-féministes réputées de partis politiques extrémistes en la matière, pour déjà sévir et régner, abusant de la neurologie, de la neurochirirguie, à titre de soin et violence, viols dits thérapeutiques dits soins en psychiatrie, sinon en cure préventive, internements sécuritaires préventifs d'une société de surveillance stasique instaurant une politique de terreur du moins usant du détournement de l'attribution du diagnostic de démence, pour obtenir droit au travail fortement rémunératueur, en opérations du cerveau très onéreuses et sources de grand profit, en usage dans les femrs d'abattages pour femems ciblées destinées à laprostitution, parfois inelecutelles si elles présentent dons et culture, prfois les trafics, soit à tire de rérpession dans justice expéditive, soit à titre purement répressif envers les idées libertaires, écologistes, avant-gardistes et humanitaires, dans un but populiste de décérébration de ce mouvement de gauche intellectuel et éclairé, le populisme demandeur de ces services psychiatriques, de leurs exactions, crimes, crimes politiques, crimeparaits et crimes contre l'humanité, dans un but d'étêtement de l'intelligentsia, classifiée classe de nantis.

Merci donc, je ne peux que citer mon cas à titre d'exemple, si votre action, celle d'associations réputées contre le proxénétisme ayant répondu à mes multiples demande d'aide, par l'usage abusif de ces services psychiatriques dans un but de démantèlement du discours de cette gauche, voulu, par nombre d'associations charitatives, le plus souvent chrétiennes, doté du label manufacturé, préfabriqué de ce trust médical, typique de la démence, avec confection par l'artifice de tortures innommables prétendues soins, de la "gueule de l'emploi" connue aux handicaps, et d'un degré d'analphabétisme infantile discriminatroire; autre forme de traite d'êtres humains, réservés certains dès la naissance si leur famille s'y prête, à des soins couteux, créateurs de maladies de tous ordres, et travaillant à l'entretenir dans un certain degré calculé d'infirmité, dans une ségrégation très répressive violente et discriminatoire, envers toute tentative d'évasion du système marcantile de ce marché;sous une loi du silence pouvant s'avérer meurtrière.

Merci d'avance pour votre réaction, en comptant sur votre engagement éthique,
 Extraits des textes types de mon site ayant déterminé ces affrontements, exactions, attentats à la vie et tentatives répétée proxénétisme à viols correctifs et phases de meurtre rituelles de la loi du silence imposée, aboutissnt le plus ouvent au décès des victimes:
En regard de la répression d'État envers le féminisme, ayant vite oublié si je vous ai déjà adressé cet article, la Femme dans ce siècle de dictature policière, ayant tendance à devoir oublier très rapidement, la mémoire des peuples martyres, analyse synopsys :
A noter que les populismes conditionnés pour la quête innée, instinctive du plaisir, vieil opium des peuples qui se cherchent des opium pour oublier les horreurs des dictatures qu'ainsi ils s'imposent, oppressant dans un cercle vicieux infernal auto-enferrant dans la spirale dépressive collective aboutissant à l'apocalypse inévitable, dont il faudrait se sortir par l'acte de diversion et le discours elliptique,et la positivisation, l'occultation pérennisant l'imposition de l'immobilisme, (faits des peuples reprochés dans la psychiatrisation des individus éclairés) ils s'adaptent donc aux plaisirs des sens appâtant à des propagandes nazies, protégées de tous fascismes, entreprenant au nom de la libération des moeurs, l'entre- pelotage collectif constant de sens et somatismes conféré par l'apprentissage dès la naissance de la bêtise analphabète, amalgame de dressage envers animal et du réflexe conditionné de Pavlov, s'infligeant ce rituel du plaisir sexuel malsain contre-nature sous toutes ses formes y compris anthropophages, limité le plus souvent au jouir, significatif de la féodalité dépravée royaliste encanaillée des plaisirs innocents et pervers de base des basses classes, non de l'athéisme intellectuel, mais relatifs à l'irréligion païenne plébéienne et bourgeoise, autre tendance jouisseuse populaire de la libre pensée initiée aux jouissances séniles et lubriques liées à l'âge, des barbons dominant cette société( jouissance seul anesthésique depuis la nuit des temps, détournement de l 'aphrodisiaque alimentaire qui le génère, en principe, l'œuf, dans le but répressif d'imposer le rapport en tant qu'unique anesthésique dans la torture d'État) acte sexuels propagés en communautés des magnétismes sensoriels cultivés en groupements, pelotages sensoriels transmis par approche sans contact, sans accouplement apparent, dans la perception simple parfois obligée des orgasmes, désirs, plaisirs d'autrui, certains individus médiums véritables de cette pratique, d'une sur-puissance imparable de la transmission de leur caressages et de leur amour que les insoumises ne peuvent que fuir pour y échapper en cas de refus d'y céder, ressenti interprété en psychiatrie ressenti mal vécu, ou vécu sans fondement, hallucinations sensorielles cénesthésiques,en fait phénomène propre à l'espèce humaine et aux bans de poissons, non encore étudié répertorié dans le paranormal, ou même sous les formes mêmes de l'amour délivratoire, formes orgiaques de la jouissance Éternelle de l'éducation et de la transmission de l'acculturation, protégée par un conditionnement des sens, qui pour certaines femmes émancipées, revient à une torture subie qu'elle fuit au nom de sa ligne de conduite qu'elle s'est fixée, le femmes intellectuelles portant en elles la paix du monde réputées frigides précisément pour leur discours logique universitaire érudit, privilégiant la compression des sens, une forme de plaisir brûlant cancérigène dit "rôtissant"du à la mauvaise hygiène alimentaire à laquelle elles sont assignées, confinées le plus souvent dans l'anorexie brulant ses dernières réserves de protéines de tissus musculaires, cérébraux, nerveux,organes, ses sens altérés de cet auto-digestion astreinte, l'analphabétisme conférant par opposition, la libération lénifiante et délivrante de la paix corporelle dont ils ne peuvent jouir que dans cette loi de l'ignorance, libération et délivrance des sens et du corps, accordée uniquement dans ce cas, la censure envers les intellectuelles rarement laissées libres de leurs actes, cultivant le lysisme auto-conditionné contraint à l'auto-contradiction physiologique, dans l'esprit de fuir tout proxénétisme, lié à tout attouchement étranger non librement consenti, imposé au nom d'une loi irrévocable de l'abrutissement des peuples, les plus sensées de ces femmes, rendues insensibles à l'amour, livrées à l'éternelle douleur de leur corps, à la brûlure de l'enfer et celui de la géhenne de leur identité de Parfaites, Martyrs de l'Etat, fréquemment livrées si elles rentrent dans le rang, adoubées aux plaisirs de l'amour simplement appétées au besoin de s'accoupler et d'aimer avant que mort vienne, prises par le temps, soit contraintes à ce pacte sous peine de mort, tant rares de nos jours qu'elles se comptent, invisibles forcées de se faire forcer, au silence, condamnées à des plaisirs physiques qu'elles convoitent mais sous condition de bêtise, ou contraires à leur liberté de pensée et leurs choix, l'érudition concédée à seule l'aristocratie, à l'État, qui les répresse pour leur transgression de caste, aux attaques personnelles et psychiatrisées, tortures d'État qui joue au jeu de l'exécution sommaire en cas de récidive, dans les rites sadiques anals de l'apartheid le plus sûr, censurant dans le déni du révionnisme pro-nazi phallocrate cette liberté de pensée de revendiquer le droit de disposer de son corps qui au grand jamais ne leur est accordée, mais répressé dans l'infliction sous le saint prétexte de frigidité sensorielle et linguistique, aux cures d'électrodes, sencées vider toute libido de l'organisme de ces femmes payant le prix des fautes y compris de frappe et professionnelles des répressions imposées, fautes du monde et de la société, commises le plus souvent envers elles, des viols thérapeutiques imposés brulant les organismes des feux simulés de l'Enfer de l'Inquisition et des buchers promis aux hérétiques, d'une guerre de religion contre la Femme, dont la femme si elle survit et se survit ds mutilations insupportables, torture morale supplémentaire, ne devoir que dans la castration délivrante de la délivrance post-opératoire, seule délivrance accordée dans ces cas, simulatoire de celle obligatoire de l'accouchement exciseur, ( raclée punisseuse du plaisir, à ce titre la raclée permanente aux femmes prostituées à ce système de persécutions, pratiquée dès la naissance, sinon médicalement, en cercles familiaux, et de proches) de ses organes, réseaux nerveux, chairs lésées, la raréfaction du système nerveux, des tissus de ses sens obligée en référence à l'apparente atrophie du pénis féminin, irradiant en fait le corps et donc jalousé des plus lésés et envieux, de ces brulures viol lysique poussé à son maximum, perpétré dans le but prévu de l'exécution publique capitale, de les pousser à se soumettre sous cette peine elles-même à cette quête conditionnée du plaisir, sans condition, dans un devoir de manipulation des foules. par réaction naturelle de la logique de leur ligne de conduite, ces femmes intuitivement, choisissent l'auto-lysisme du discours, donc de somatismes du corps, s'auto-inhibant leur plaisir physique dans un but désespéré d'échapper aux frictions génitales imposées, ( le corps de la femme constitué d'une coordination d'organes sexués, chaque organe en soi sexué de ramifications nerveuses à terminaisons en zones érogènes très sensibles, de l'arbre nerveux pelvien, coordination des organes en général, tous zones sensibles y compris les muscles, les os, emplissant l'organisme féminin du plaisir irradiant de l'amour physique d'où le surnom des femmes immatures "couilles", fait réel, la femme en soi un organe sexuel, tant appétées par les plaisirs de l'ignorance, oppressées des représailles préméditées en cas divergence) dans des viols causés des somatismes liés au plaisir féminin, entretenu par le langage courant, que certains individus exploitent dans le seul but de chercher obnubilatoirement dans un acharnement de molosses, à violer ces femmes de langages conditionnés en harcellements; les libertés de la Femme, devenues devoirs, sinon réduites au stade de revendications, jamais assouvies car innérentes à la restriction répressive des besoins vitaux, ni, légitimes, accordées, ni suivies de restitutions et rétablissement de leurs droits fondamentaux garantissent leur survie, leur bien être, et libertés de pensée, d'action et leur égalité, droits vitaux strictement confiné dans le rétablissement de leur santé, si réparation en dédommagement des abus et privations de ces droits leur est accordée, sinon sous la répression psychiatrique pour la démence de leur état mental et physique, si abusé que parfois, il nécessite "réparation", si la démence n'est invoquée pour ces revendications quand le milieu s'y prête, non protégées d'un cercle de relations aimantes assurant sa défense, ce qui nécessite un feeling commercial obligatoire, femmes isolées et laissées à l'abandon, leur condition sociale dans ses moindres observations traduite en termes et logiques du déterminisme médical des critères répertoriés de la démence réelle, résultante le plus souvent des conditionnements pré-cités dont les tortures peuvent pousser jusqu'à la folie, la destruction du patrimoine génétique, et donc, la cancérisation parfois les deux. l'homme s'instituant le role et le devoir de rester mâitre, (de sa bouffe riche en graisses frites et sucres immédiats, à base de viandes de porc, nourriture malsaine cancérigène érigée par l'almentation industrielle du capitalsime mondialiste), propre à la virilité de son sexe, du corps et de la constitution du corps de la Femme, conduite intégrée de son autonomie de main de maitre de l'homme, sa carosserie de jagar ou de vieille peugeot àconduite asistée (de la psychiatrie), s'il ne lui manque que des jantes en alliage, que l'on envoie à la casse, après avoir foncé dans le décors de la maitriser, pour lui rechanger une pièce de rechange, si ce n'est un organe, une partie de sa tête, qu'elle a tendance à perdre, sur quelque table d'opération, où elle en aura laissé quelques lobes,en sus de quelques organes que parfois, donc on lui greffe, à défut de ne pouvoir, lui changer le moteur après révision. Suite à quoi elle retourne travailler aux champs.
Moratoire contre la répression psychiatrisée des libertés de la femme, du féminisme en France et en Occident Opération d’opérations en masse du cerveau destinées à mutiler froidement toute zone cérébrale cause de toute lucidité, ne serait-ce que philosophique sur le monde, l’univers et le propre positionnement de l’individu face à la répression qui s’en suit, normalité raison, raisonnement juste, conscience et conscience politique, cognitive. Phénomène reconnu des Femmes Savantes, son savoir sa culture sur le monde, sa philosophie cognitive, ignorance requise tant grave que l’on doit y laisser sa tête sur le sur le bloc opératoire ambulatoire à domicile, autre contrefaçon d’échafaud et qu’elle n’en reste que boniche, borniche fasciste ou bien curée, dans la borne du non savoir, de l’incompréhension totale, l’absence totale de logique, l’hystérie poussant à l’hystérie sociale et politique, Le cerveau réséqué des nerfs de son polypier, le réseau nerveux des organes de son plaisir et de ses zones érogènes réduit à polypier, jusques dans les nerfs sciatiques descendant le long des faces internes des cuises, suivi de leur résection, ou excision des femmes en grand, dévissage ultime des femmes prostituées par la nation et leur père, jaloux de sa fille pour ses futurs beau-fils ou amants de la belle en âge d'aimer, les en séparant selon l’affaire des amants de Vérone. Femme au travail sinon d’accouchement exciseur, au travail salarié tu seras, ou celui de prostituée, l’organe clitoridien jugé hérésie même de la Femme jugé polype du cochon 9, du pavillon 20 et 19. Digne du nerf polypier du bras gauche, en principe celui du cœur. Discrimination positive populiste envers l’illettrisme, l’ignorance requise de la Femme, illettrisme contrefait par les méthodes totalitaires d’un hôpital Goulag russe et les expériences Poutinistes d’un pouvoir partagé entre Biélorussie et Allemagne néo-nazie, vieux barbons des services spéciaux ne réclamant le peuple que de leurs infirmités, la totalitarisation des mœurs, la ritualisation des maladies dues au Sexe, la liberté d’opinion devenue délit d’opinion, opérée des maux de la Médecine et contrefaits d’un libéralisme économique du domaine médical absurde et abscons, ne vivant plus que pour lui-même dans les dérives d’un capitalisme vers le nazisme pur selon les déterminismes du Goulag marxiste de chaque pays. L’amour jugé Folie, démence dangereuse de la Femme, à castrer de son arbre nerveux sexuel, de ses attributs du plaisir trait en hystérie chez elle pour qu’elle ne reste que Folle, condamnée à la tristesse de la mélancolie à vie traitée, dite chez elle schizophrène. Ses zones cérébrales sensées représenter son cerveau reptilien ou contenir sa pensée, réséquées, castrées ou en partie, considérées testicules de son père, pour ce qui est du cervelet, dans l'acquisition de l'aveuglement idéologique et mental de par la folie d’Œdipe roi de Pères Ubu du milieu médical en vigueur en ce cas, la psychiatrie, modèle actuel de pureté, chrétienne et nazie.. L’amour pour sa gueule d'Ange assassiné ou assassin.son organe du plaisir laissé verrue molle sans vie, innervée, bout de bois pelé râpé profondément, ou absent. Tranché ou amputé. Mutilé. Excisé. Problème initial de la Femme dont la rébellion et l’intelligente émancipée revendicatrice éclairée de clairvoyance est traitée en démence précoce ou démence pure, voire accident dépressif à mégalomanie chez les surdouées, depuis les Femmes Savantes, cherchez l’artiste condamnée au rôle de figurante de sa vie, la gloire vécue par procuration chez celles qui restées de ces mesures répressives encore un rien douées, refuseront l’emploi de Marie Curie, condamnée à la mendicité et au délit d’opinion auprès de la société et de son Père donc envers l’Etat, dans l’indigence absolue de la cécité œdipienne de son rang devant rester si elle rêve artiste, celui de la Bohème, apolitique et désœuvrée sous une France de cette Occupation... La gegène ou poste à soudure dans ces cas considérations et corconstances, non seulement une sensation bizzare larsen et placebo anormale des sens du corps, donc cénesthésique des sens, chez la victime des sensations causée de ce groupe électrogène, mais aussi, une dérivation somatique d’un blocage évident et libidineux de la libido manifeste au niveau du logos par des cris sauvages suivis ou accompagnés de délérium trémens après prise de calmants tels le Tranxène ou ou décompensé de la maladie, suivi d’épuisement léthargique parfois jusqu’à catatotinique dans certains cas avérés de sckizophrénie déterminable à cet effet, ou de l’hyperactivité mentale coprolalique, et vieillessement prématuré dû à l’inquiétude et état d’anxiété permanent, à calmer. Sic. La douleur cénesthésie causée par la sensation de décharges électrique d’un hypothétique engin de guerre usité en tant que moyen de répression ou de soin systématique de la folie. Obligation aux peuples opprimés des français, d'oublier les griefs et contestations envers un Etat de dicature totalitaire français, dans l'opium alcoolisé des peuples soumis, sous peine d'amnésie plus grave, sous peine de mort du verbe, de ‘érudition dela langue, du corps et de la liberté de pensée, causée par la torture électrique du cerveau et des nerfs sexuels faciaux. Les tabassages pataphysiques et pataphylosophiques aux épissures des postes à soudure ainsi qu’au Soudan, sous Sadham Hussein, ils se pratiquaient eux, sous les plantes des pieds, les pieds, le nez, l'effet sensoriel de la gégène identique... Exigence pornographique de par la médecine sur demande populaire de jeux romains et de pédophilie grecque, de prostitution infantile sur adultes et mineurs au sein des familles, rendues expressement pour ce genre de jeux pervers, de type pétaniste usant des armes pro-sovietiques afin de régner sur la planète et leur progniture, étendant ce pouvoir fasciste réclamant le droit à la torture libre et à la libre exécution sommaire, sur les animaux et les autres espèces de la terre par le viol sadique y compris homosexuel, pédophile, ainsi que l'intégralité des vices du proxénétisme, et de la prostitution par les lois du poste à soudure, de l'arme de contention utilisés en tant qu'instrument de torture selon les thechniques du waterbording aux contrefaçons de poste à soudure usités pour nombre d'opérations neurlogiques à neurochirurgicales employées dans les étabissements psychiatriques et voire pénitentiaires, . : A Amnesty International : Je vous remercie pour votre news letter, et répond à votre article sur les mutilations sexuelles des femmes, cette pratique bien ancrée hélas dans les coutumes françaises et occidentales, rite autant religieux que athée, car la science et la médecine invoquées dans ces cas, la libre pensée fonctionnant selon la raison scientifique devenue religion et raison d ‘Etat, la médecine (Etat dans l’Etat, Vatican dans le Vatican) et surtout la médecine psychiatrique et ses médecins appelées à tenir le rôle de gourou exciseur, exorciste exorciseur du mal d’Aimer de la femme, et de l’Amour de l’Homme, plus d’amoureux de la planète, encore moins de passionaria, la Passion ne passera, selon l’église évangélique des intégrismes de ces religions, qu’elles soient athées ou pas : L’excision des femmes et de leur pénis « modèle-réduit de celui de l’homme », celle du prépuce des hommes, ce qui équivaut si les organes peuvent ainsi se comparer, à l’excision d ‘une petite lèvre chez la femme, cette excision pouvant se pratiquer par éradication du plaisir sexuel et innervation lente des nerfs des zones érogènes, des organes du plaisir, la femme ayant le seul droit de voir mourir lentement son innervation sexuelle du plaisir, par électrodes, implantées, forme nouvelle de l’infibulation pratiquée encore de nos jours en psychiatrie, de main de personnels médicaux très embarrassés pour l’expliquer car eux même condamnés à la semi ou totale clitoridectomie ne serait-ce que par amputation des nerfs du clitoris ou leur déchirement, son inhibition ou son viol ou à l’ablation du prépuce, ce qui peut créer des problèmes réels, le gland de l’homme excisé du prépuce frottant avec les vêtements serrés, et se mutilant d’avantage, non protégé par le prépuce, le pénis selon certains, toujours excité ou à demi, (car cette mutilation empêche les gestes sains de la masturbation, le manchon du sexe trop réduit de cette ablation, et ne pouvant coulisser) de cette forme de nudité supplémentaire et forcée, homme forcés de cette exaction. D’où des personnels médicaux, « passés par » ces ablations, dits tordus et tracassés de première, autant si ce n’est plus que leurs prétendus malades. La folie indiquée dans les cas de femme ou d’homme possédant ses facultés mentales mais aussi doué de posséder l’intégrale possession de son appareil génital, et son libre usage. La condamnation sociale du plaisir et de la libre possession de son corps, de son appareil génital, une des clefs du christianisme et du capitalisme. Ce qui crée une population de vices et d’inhibés ou mutilés sexuellement, homophiles, forme de droit d’asile social contre ces persécutions. L’inhibition sexuelle autre forme de mutilation génitale, privant de l’usage du clitoris, des organes du plaisir chez l’homme et la femme, et donc, nerf de la guerre de nos sociétés ; le plaisir intégral du corps et de l’orgasme complet, ou réduit à être partiel, condamné par le viol jusqu’à l’auto-lysisme, causé par l’alcool, récupéré par les drogues causant l’orgasme, autrement-dit, l’interdit personnel du plaisir jugé acte de prostitution et condamné au proxénétisme sinon familial, du moins social, médical et répressionnaire. Les viols correctifs, la suralimentation forcée, consentie ou non, sont un exemple de méthodes usitées pour condamner à son annihilation le plaisir sexuel et la pleine possession de ses organes. La torture, génitale et mentale, la mutilation cérébrale ou du système nerveux dans ces cas d’émancipation féminine ou masculine, dès ses prémisses, est qualifié de droit incontestable à incontournable à la mutilation sexuelle et de là nerveuse et cérébrale. D’où l’usage de la répression psychiatrique dans ces cas, en France, et en Occident. Se crée un système de suspicion et de chasses aux sorcières qui dure en France, en Europe, depuis le 19° siècle et la princesse Eugénie, ou le Directoire... Suivi d’une codification vestimentaire des pratiques de ces mutilations, très importante dans al détermination de la folie incriminée dans les cas d’émancipation intellectuelle. Et la pratique court de cette mutilation des femmes au cours d’accouchements répétés pour lesquels elles auront été conditionnées et poussées à les admettre, car rendus dangereux pour leur vie, et roulette russe de la société, le premier certifié assez mutilatoire, violeur et volontairement douloureux pour causer des plaies et dégradations voulues de l’organe féminine, définitives, assez du moins pour empêcher freiner réprimer ou gêner l’orgasme. Accouchements exciseurs causes de revanches des mères sur leurs filles et fils pour leur pleine possession de leur facultés et fonctions naturelles, et des persécutions envers la nubilité des enfants, adolescents, qui vont à l’attribution du diagnostic de folie, justifié ou pas, chez les adolescents. Car certains présentent à la suite de ces exactions, des troubles psychologiques et mentaux, d’autres, simplement rebelles importunés et victimes de ces rites obnubilatoires, et donc internés ou suivis médicalement pour leur rébellion. La stérilisation forcé des femmes dites atteintes de folie pour les persécutions subies de ces rites mutilatoires, les ayant sauvées en quelque sorte, de ces accouchements mutilateurs, leur est reprochée ensuite, par l’innervation aux implants ou aux électrodes, de leur système nerveux sexuel ; électrodes hors convention et non officielles, mais réputées efficaces, je le rappelle, allant jusqu’au plaisir forcé de l’épilepsie, autre forme de viol, dit thérapeutique, et mutilateur également. Remplaçant celles de l’accouchement évité. La réduction obligatoire dans les familles françaises, chrétiennes ou même athées, des petites lèvres des petites filles ou des jeunes femmes, se pratique encore, petites lèvres rendues « enveloppantes » c'est-à-dire très volumineuses et développées, et donc pouvant être cause de gêne épouvantable chez les jeunes filles, conditionnées dès la puberté pour se les faire opérer (jeans serrés mutilateurs, prohibition) et réduire autant que par réduction de poitrine, par toute une sous culture destinée à frustrer de l’acte sexuel afin d’ancrer le plaisir anté-opératoire causé par les rites familiaux et sociaux, par la frustration causant une érection ou semi érection continuelle sans aucune possibilité de satisfaction, sinon causée en cachette dans l’interdit et la surveillance totale de la vie intime, ou au cours d’orgies à farces Jung nazies, facéties et scènes de boui-bouis, de théâtre de cabaret familiales et sociales. Ceci vaut autant pour les hommes, contraints autant que les femmes et les enfants à ne point se toucher, autrement dit à ne point avoir recours au plaisir solitaire condamné à mort par les religions, chrétien en également,, ceci maintenu jusqu’à l’apparition des pollutions, nocturnes et parfois diurnes, ce qui est une gêne sociale, un handicap dans le travail, crée un phénomène relationnel apitoyé et compatissant de relations amicales pour « sauver le jeune homme » de la confusion, ce phénomène ne se passe de clinique privée ou de l’hôpital surtout psychiatrique chez les familles et classes fortunées, les basses classes réglant le problème par la violence familiale et voies de fait mortelles, le proxénétisme, et les violences parfois meurtrières conjugales. Les jeunes gens mariés à leur famille, ni plus ni moins, le temps de se faire « sauver » par la vie maritale ou conjugale, de ce fléau.. D’où le rôle du beau-père castrateur des belles-mères, contrôleuses génitales et malthusiennes du plaisir des couples, une certaine partie de la médecine, psychiatrique surtout, très corrompue dans l’exercice de ses fonctions, préconise depuis le discours de de G. Bush, la chasteté préconisée chez les jeunes jusqu’à leur mariage, rendu obligatoire donc, l’inhibition sinon leur mutilation de leurs fonctions sexuelles et le contrôle mental, génital, de leur vie sexuelle et leur droit à la reproduction, la stérilisation forcée des dissidents et résistants, contestataires et récalcitrants, conseillée et pratiquée par la médecine même. Jusqu’à l’hystérie sociale, la barbarie populaire, la transe sociale et la folie généralisée. L’être sain accusé de folie pour son émancipation et la possession de ses facultés et fonctions naturelles, la folie librement admise, considérée et décrétée norme, la schizophrénie revenant à être une des rares situations de dénonciation de ces faits, ou forme de l’accusation de démence envers la contestation lucide à ces exactions et pratiques, considérée délit d’opinion, ce qui est tu et tabou, le délit d’opinion en France, et en Occident, s’il est condamné par la psychiatrie, est non-dit, ni reconnu aussi ouvertement qu’à l’étranger. Si les femmes connaissent l’excision, la mutilation génitale et ses rites sociaux, les hommes autant. La Beauté des jeunes gens niée, sinon crachée au visage et surexploitée dans certains cas, car causée par tant de souffrance, et de pureté morale des victimes. La suite consiste en la surmutilation du sexe des femmes, dans des rapports de couple, violeurs assez pour rendre frigide. L’essentiel étant qu’aucun ni aucune ne puisse s’en sortir entière, ou entier, autant que cheval et bête de somme, mais coupé pour plus de docilité La psychiatrisation de la femme émancipée afin que son langage érudit soit ramené à la stricte et pure simplicité du langage destiné à l’éducation de sa progéniture soit des plus adéquat à ce qu’en espère la norme sociale que fait respecter la psychiatrie, en tuant en elle toute forme de sa faconde, sa culture et son niveau ramené par la constitution de son corps en celui de prisonnière d’opinion, à celui des basses classes du lumpenprolétariat, norme requise jusques dans la haute société qui préfère ses bécasses qu’elle met sur le pinacle et prostitue en toute liberté, aux femmes cultivées douées de savoir, d’intelligence, de finesse et dénuées des rituels sadomasochiste du culte ; Si la véritable maladie en France, mentale telle qu’elle est prise en charge médicalement par la psychiatrie moderne, n’est l’établissement du diagnostic de démence, envers des prisonniers de la torture électrique dont les sensations causées sont délibérément, si cela n’est clair ni pas compris objet de diagnostic de folie ; Chasse au célibataires et pogroms organisés par la population sur travail commandité de psychiatres, envers l’usage coutumier dit répétitif de la masturbation, ou l’onanisme ou plaisir solitaire, (certifié par la populace et la psychiatrie ne rien foutre ou branler à ne rien faire, langage ordurier médical, donc être résolument Fouriériste), la Veuve joyeuse des amoureux en attente de couple, des couples brisés, de la masturbation à deux, sur des problèmes d’interdit dus à la religion et à un regain de nazisme dans les secteurs médicaux intervenants sur appels délateurs de type vichyssois. Chasses aux sorcières répétées dans les rangs des célibataires dénommés dans ces secteurs psychiatriques réputés pour mettre une fin à ce mal, dans la population des célibataires dénommées vieux garçons et vieilles dès l’âge de la nuptialité, ou de la puberté, jusqu’à des crises de révoltes chez ces personnes pourchassées de soins intensifs à domicile déclarés préventif s’en fait de véritables placements d’office à internement non déclaré sinon suivi médical, soins pouvant atteindre un degré de violence certain, jusqu’aux voies de fait prolongées jusqu’à l’apparition de troubles réels, physiques et/ou mentaux, violences de type violences conjugales parfois jusqu’au décès suivis de violences supplémentaires de type opératoires, sans anesthésiques, viols correctifs et thérapeutiques en genre et de toutes natures, accompagnés et ou suivis d’opérations du cerveau le plus souvent au départ neurologiques et neurochirurgicales, précédent un état de crise post opératoire nécessitant l’hospitalisation réelle et office. Moi-même victime de réductions sexuelles, (réduction des petites lèvres autour du clitoris, ablation de son prépuce, partage en deux répété du frein du clitoris, dès l’âge des 9 ans jusqu’à aujourd’hui, implantation d’électrodes génitales afin de réfréner et punir le plaisir, solitaire ou à deux) et de mutilations nerveuses pour le simple fait de posséder encore l’usage de mes organes génitaux, non mutilés ainsi qu’il est de rigueur par l’accouchement protocolaire, ces pratiques en France monnaie courante. Argumentaire :Le devoir d’arriération de la Femme constituée et devant rester arme de guerre ou faible faible-femme et faible d’esprit face à l’Homme et envers le Père et la Mère de famille, familles soumises encore de nos jours aux violences patriarcales de type iraniennes, obnubilés par l'Oedipe Roi, le complexe de Jocaste et la Révolution française, la poutre borne mentale franquiste ou de tous types fasciste prise chez eux pour génie stratège scipionnesque induisant à l’amalgame berluscolinien de la procession Klu-Klux-Clannesque franquiste et mussolinienne, et le goulag soviétique prôné prêché des communistes italiens ou le bloc opératoire ambulatoire assuré, Femme tais-toi et reste ignare ou je te lobotomise, autre forme de violence à domicile ou conjugale du père, de la mère ou de l'époux, totalitaire et médicalisée.
Usant du droit de la lobotomie par neuro-chirurgie et électrodes au même titre que raclée sur prostituée ou délinquante, autant que possible contre toute défense ou accusation de la victime (sa défense, sa contestation même (induite par ces répressions continuelles) criminalisées, au banc des accusés), consécutives aux violences, sinon initiales, du moins perpétuelles, se fondant sur tout prétexte venu. Regain actuel du problème de ce despotisme familial, trouvant mercenariat dans les membres du personnel des CHR et passant vite pour effet de mélancolie chez l'accusée, ses allures de garçonne déjà condamnées de longue date par l'abus constant de traitements neuroleptiques.
Actes de neurochirurgie alliés au pouvoir sur l'organisme des électrodes sous les lazzis et moqueries populaires de la famille et témoins autant que dans excision, opérations du cerveau cause de l'acception profonde somatique du plaisir jusqu'à l'orgasme et le coît, envers l'oedipe incestueux du père ou de la mère, précédée de la défloration dénommée "par le vilebrequin", tire-bouchon genre ou dénommé "Charles De Gaulle" ou perceuse destinée à forer des trous dans les os du crâne pour y introduire le trépan déflorateur, en vogue en Italie et France depuis les temps de Casanova. De nos jours, les forages de trous se pratiquent au laser, ou par la fracture du crâne aux électrodes, et faisceaux dont certains dénommés marteaux. Cf. pétition sur la libre circulation des armes de nouvelle convention. Règne une légère hystérie sociale et un certain révisionnisme vichyssois à l'encontre de ces pratiques et faits infligés jusqu'à femmes enceintes ou ne le sachant encore, autant que dans asile psychiatrique turc. . Causant sciemment le transfert anal et rectal du plaisir chez l'homme et la femme contestataire pour une infliction plu complète et parfaite des vices et déviances de la prostitution, avec soumission à homosexualité. Dénommé par les victimes et la plèbe "se faire baiser, ou niquer". Le père tout au plus dans ce cas soigné pour mythomanie voire hallucinatoire et inventive quand il avoue ses péchés et activités de despotime sur sa victime déclare sa protégée. Et que la Femme n'exprime sous ces procédés, que la joie de se prostituer une fois déflorée par l'œdipe l'inceste institué selon les préceptes de Sade (jusqu'à l'absence de ressentiment) Sodome et Gomorrhe par ses macs dont elle se fait punir par la mère le père et leur famille, dans le silence du viol de la femme battue, du viol thérapeutique et de la violence gratuite, à domicile, de la prostitution gratuite de la femme facile instituée jusques dans le couple, et se confine dans l'auto-confinement totalitaire intimisé en moi-je, à l'adoubement à tous les proxénétismes dans le manque sexuel induit et causé, du devoir de ne point se toucher ni se satisfaire. Fait rituel de la religion et de l’Eglise chrétienne propagé, protégé et imposé par la médecine psychiatrique au nom des valeurs rituelles de la torture dans les mœurs. Constituant par l'imposition des faits de l'ignorance, des femmes incultes à représenter un danger physique pour autrui, forme d'armes d'offensive secrètes, lancées dans la population, meurtrières et pathogènes, constituant prisonniers d’opinion de ces femmes-armes de lutte de classes.
Le viol mutilatoire de la Femme banalisé en occident arme de guerre autant qu’au Congo mais décrété d'origine naturelle et attribué à la nature. .
Odeurs fétides de viol, toujours mutilatoire je le rappelle, institué jusqu'à la cancérisation des plaies tant fréquentes, odeurs animales d’animal blessé de la torture et ses blessures que libèrent les corps mutilés de ces blessures morts ou encore en vie usant les eaux de la planètes destinées à laver ces dernier outrages aux droits humains
Gauchiste, ou énervé, machine à payer les coups qu'on lui donne, le plus aliéné de ses droits, sinon la Femme plus que lui perçue aliénée pour cela, l'énervé de service pour qui les services de la police ne font rien. Ou retour à la case départ, de son parcours de combattant. Pour des prunes qui lui auront été collées au corps et au front, et sa bugne qu'il a prise. L'énervé en question ne devant s'en prendre qu'aux services sociaux s'il y a, ou services médicaux qui s'en feront paraît-il de parfaits avocats. Arraisonnant plus pour arraisonner au groupe électrogène, (implantés s'il le faut jusques dans les plaies fraîches de dents excisées de leur mâchoire, plaies sanguinolentes considérées celles d'un clitoris ablavé à torturer aux aimants à distance et électricité pour que le problème de l'excision dans le Maghreb fasse plus mal ou fait des tortures de l'Algérie.) sinon par le raisonnement envers les arraisoneurs. Ou clitoridectomie directe pour sa fréquence sexuelle, existe une forme dérivée indirecte encore de nos jours en vigueur dans centres hospitaliers et cliniques privées, l’innervation du réseau nerveux de l’arbre des ramifications nerveuses de l’organe clitoridien par tabassage de ce réseau au poste à soudure jusqu’à le paralyser à vie ou le rendre non fonctionnel. Voire le tuer, net ou à la longue et ils en prennent le temps. Torture encore de nos jours en vigueur dans les hôpitaux psychiatriques français, infligée depuis le Moyen Age dans les asiles d’aliénés, au nom de l’hystérie de la femme et de son clitoris à cette époque là trouvé « en massue » tant auto-torturé de maltraitances et tortures induites, voire, cancérisé. D'où chez certains enclines (à force d'exaltation maintenue et d'états seconds prolongés par divers procédés), à se mutiler cet organe du plaisir que la médecine réserve à la fillette, ainsi que multiples zones érogènes dont celles du visage, d’où le port de la ceinture de chasteté hygiénique, encore récemment en vente dans pharmacies. Femme, libérée. Accusée d’hystérie pour l’hystérie collective de certains en mal de se venger de mon inactivité due à l’infirmité voulue passagère chez moi, et donc sujette à des résolutions expéditives scientistes des plus éculées concernant le mal de pureté et donc l’hygiène des jeunes femmes encore capable de posséder leur nuptialité, leur fécondité et les sens de l’Amour. Nuptialité qui selon ces mêmes personnes causeraient mon inactivité et m’empêcherait de retravailler. Femme marquée au fer rouge de la psychiatrie jusques dans son cerveau de bête humaine réduite à l'inhumain de son sexe, aux enfers du bouge devenu son taudis personnel, condamnée au plaisir partiel limité à celui de son clitoris ou de son vagin, à la frigidité de ses autres zones érogènes, sinon en manque et appel constant jamais assouvi et resté inassouvi jusqu'à ce que mort s'en suive, et aux seins de glace. Femmes. Ne jouissant plus que par le tube digestif, devenue ventre à pattes, tubes digestifs déambulatoires en fonction des fonctions seules de la grossesse, uniques survivantes dans l’affaire, et à prpos des grossesses , du taux de fécondité reproché depuis sa conception à la Femme, encouragé le plus souvent par les politiques natalistes des intégrismes politiques et religieux, ce taux de fécondité depuis la haute Antiquité jusqu'au au Moyen Age et de nos jours repoussé subconsciemment par l'homophylie, bref l'homosexualité, (résolvant des problèmes d'intolérance au manque d'empathie entre les partenaires qui en usent, due en partie aux pouvoirs et effets de la semence humaine sur le corps et l'esprit de la femme ou du partenaire, très riche en emphéhormones et neurotransmetteurs, toxines mentales, résidus d'effets corporels, etc) ne devrait se résoudre que par la réintégration du préservatif dans le couple, uni ou non par les liens du mariage, permettent une lutte plus certaine contre les MST dont les plus mortelles, en fonction de relations extra conjugales et aléas de la vie des couples, cherchant meilleure ententen dans un rapport extérieur à leurs frustrations, couples infidèles maudits condamnés depuis que l'humanité est née, au lynchage et voire au décès par les religions, (ce qui fut cause en partie de l'athéisme) pour l'introduction des maladies sexuellement transmissibles au sein de la population, leur propagation due à l'infidélité, et l'embastardissement des patrimoines génétiques qu'ils créent, créant par enfants naturels les bâtards tant coupables de l'Histoire. Condom au début del l'Histoire jusqu'au 20° siècle en peau de boyaux de porc ou de mouton, bref, retracé parl es peaux de boudins et saucisses dont l'extrême droite et l'ancienne Allemagne ont tant défrayé l'Histoire. La Gauche mal à éradiquer dans une chasse aux sorcières incessante contre la liberté de pensée, le féminisme, l’usage du sexe féminin et de la Veuve Joyeuse, un déferlement de violences, de jugements derniers, menés contre les principes de la démocratie, de la république, de l’égalité. Lutte, guerre ou pogrom fondé sur la répression et la torture médicalisées, la torture psychiatrique, dirigé contre les défenseurs des Droits de l'Homme et du Citoyen, de la dignité humaine et de l'humanisme. en cela je suis d'acord sans les soutenir outre,avec un certain révisionisme des camps de concentration, ce qui en réchappé ont été moins aliénés ou corporellement lésés que certains blessés de nos jours morts pour plusieurs par jour prématurément, combien par an, quand d'anciens déportés sont décédés centenaires, ou quasiment dont mon grand-père, réquisitionné au STO sous les Allemands. C'est dire si la France a augmenté le taux de dangerosité de la vie quotidienne en comparaison de celui de la guerre mondiale de 39-45, France allant aujourd'hui, à mon avis, beaucoup plus loin en la matière, que les nazis.
Lutte contre le rêve d'amour, le fantasme amoureux : Le fantasme sexuel si non névrotique ni violent, concédé si uniquement impur, proxénète, homosexuel, violent, entre femmes saphiques ou gros matons. Rêve commué en cauchemar mu par l'inceste pro germanique, la loi de l'orgie répressive et publique. Electrodes-parties fines de viols à tabassages, dans établissements pénitentiaires et disciplinaires peu scrupuleux, ou même de simples pavillons dont certains dits de crise, occupation, pré-occupation par ce fantasme de terrains neutres, vides mentaux pollués d’obstructions systématiques aux idées de la Gauche. Vieux fantasmes de viols issus du lumpenprolétariat qui rêve des amours petit-bourgeois, typiquement sadomasochistes tant inspirées de l’Extrême-droite et du fascisme. Prostituée par malheur surprise amoureuse et fréquente. A traiter par lla traite des blanches et le tabassage comme à coups de poings par le moure de sa jolie frimousse, l'amour la rendant trop fine et belle, des appareils d'Etat et armements des faisceaux. Au nom de l'ignorance devant rester obligatoire envers cet organe féminin, dont l'existence tourmente la médecine et les psychiatres, instituant la tourmente ou tournante médicale à titre de soin de cette folie, posséder encore à un âge procédé, son organe. Prévu virginité qui ne doit résister à l'accouchement prévu viol avec violences pouvant être mortelles selon le degré d'émancipation de la patiente, crispée d'artéfacts sociaux ad-mortem quasiment, la femme de nos jours considérée malade par la médecine sinon en placement d'office, du moment qu'il est aussi prévu qu'il doive un jour mettre au monde en milieu hospitalier ou de clinique privée, et en cas de stérilisation forcée, femme libérée ou qui ne s'ignore promise inexorablement au viol thérapeutique psychiatrique castrateur de la pensée de la femme et mutilatoire de ses sens. Dénommés troubles sensoriels ou des sens, hallucinatoires chez elle. Dénommés troubles sensoriels ou des sens, hallucinatoires chez elle. Que la femme retourne à son sexe de bête qui devra rester sa seule ouverture au monde et son nombril, sous peine de devoir sentir la bête fauve sous les électrodes et le viol, le sévice ordurier de l'Inquisition qui l 'attend, attendu que cette seule et unique focale des pensées auxquelles le machisme devra l'assigner, la sauvera si elle ne l'indique, de sa pensée pacifiste sur le monde, prédicateur de sa perte sui elle se refuse à ce viol supplémentaire. si elle ne tient sa science infuse qu'à l'ingestion forcée du sperme et de la semence d'intelligence de l'Homme qui la rend ainsi à l'Homo Sapiens, en sus de celui de De Gaulle. Et qu'elle se prenne ça dans les gencives en plus du baba voulu trop cool, et digère ça en sus de la merde à l'épinard de son nourrisson, ou qu'elle devra à la constipation sodomite due au traitement jusqu'à des doses létales et fort empoisonnement, merde à l'épinard seul niveau de QI, de connaissance infantile, qui lui est dû et qu'elle devra respecter, en surcroit et surajout de la divine pastille pure imitation pure de son organe du plaisir, qu'elle devra sucer pour éviter de trop pensée, réséquée relobotomisée si trop d'intelligence, de raison et de sens du raisonnement logique non arbitraire et objectif jugée trop d'idée irrationnelle féminine. à traiter de la belladone, plante hallucinogène cause d'empoisonnements graves, poison végétal, seul argument de cette cigüe du peuple qu'elle devra avouer publiquement, sous la torture au groupe électrogène s'il le faut, électrique cela va de soi, infligée à titre d'exécution publique supplémentaire, au pilori du soin de son émancipation physique, intellectuelle, morale, éthique, religieuse, et économique. qu’elle ne se résolve à aucun, même si torture, appel du 8 juin envers son sort sous peine de graves représailles et résections digne du pavillon disciplinaire ou leurs bataillons qu'elle devra endurer qu'elle le veuille ou pas. FIS musulman, fascisme phallocrate repris par les autorités françaises au même titre que soins des capacités de la Femme. Placée sou tchador médicamenteux et barbelés médicaux, défigurée du sévice refusant la communication ou l'exigeant, et mauvais traitement digne du vitriolage des femmes indoues et musulmanes, visée des faisceaux au point indien du milieu qui recevra la décharge fatale si elle persiste en son combat. Nouvelle forme et formule de la torture étatique psychiatrique au même titre que violence conjugale ou à domicile des nouvelles hautes et moyennes classes de l’intelligentsia envers la femme (procédé d’élimination repris par les basses classes), ainsi qu’envers le réseau entier d’hommes d’enfants et de femmes qui la soutiendront dans son émancipation culturelle, sa libération physique corporelle sociale et identitaire. Et qu’elle fasse fondre sa graisse, de nouvelle Juive de la société qu’elle est seul rang auquel elle devra s’assigner et qu’elle souffre la passion d’aimer, représentante de l’Amour, dans la douleur du Christ. Qu’elle aime la chair le vieux cochon et la saucisse. Là au moins, de son intelligence surdouée qui la rend pour le monde dangereuse et suicidaire de tant persister, elle ne fera de mal à personne. Sa belle chevelure d'Ève (apanage sexuel de la femme vitriolé depuis le moyen orient jusqu’en occident) chassée du paradis pour son amour autre que celui envers de Père de famille ou d'autrui, réséquée, mutilée, dépilée aux décharges électriques mutilatoires de son système cérébral, tirs à bout portant dans le crâne, rendue aux cheveux fins du bébés qu'elle n'aurait jamais dû cesser d'être et de rester, et qu'elle n'aura jamais, selon les trois K, l'autorisation étatique de reproduire de sa sale race d'intellectuelle surdouée interdite, répressée, dite abolie. Dépossédée en toute impunité inflexible et psychorigide de son niveau, de son rang de femme et mère de foyer, et de ses biens selon les pressions subies actuellement par la famille Uderzo. Quand le ciel d'un État policier totalitaire aux répressions et censures insidieuses lui tombe sur la tête. Et dont elle devrait perdre la lucidité, l'affaire devant lui rester méconnue et elle ignorante du fait.Procédés lapidatoires de la Femme émancipée, dilapidatoires des caisses d’assurance maladieSon opinion, le long réquisitoire de son éternel combat ablavés, amputés, réséqués, relobotomisés dans la sale la frustration la douleur, la souffrance poussée à son point ultime de cancérisation, et le manque d’hygiène de sa prison portative, son véritable domicile de nouvelle sous-race de juive errante. Son amour jugé érotomanie, ses coups de foudre électrocutés pour crise d’érotomanie aboutissant à la névrose obsessionnelle schizophrène, la Femme devant composer depuis la dernière guerre mondiale avec le grand cheval de guerre allemand lancé au galop ou le dogue allemand qu’est l’Homme idéal pour elle dans les rues de sa vie pour tuer, meurtre d’elle qu’aura connu son ancêtre dont elle est issue et chercher de sa petite main fragile à l’apprivoiser, sous peine de se voir coursée et meurtrie à mort de cet animal fauve. L’homme, un fauve ennemi pour elle pour qui elle est dressée depuis qu'elle est née. Qu’elle devra acheter d'amour, recevoir une son endroit le plus secret, intime de son corps.
Car Homme- fauve capable de l'immoler avec qui elle devra composer, collaboratrice de ce pouvoir absolu, elle devant protéger sa future progéniture avant toute idée de survie pour soi, ne se devant qu’au devoir de mère resté en elle. Changeant simplement de potence à qui se pendre et tenter de se prendre. Lui demandant timidement aide et protection, son protectionnarisme, autant que prostituée à maquereau en mère maquerelle et sa seule mère au monde.rendue indisponible à Lui devenu son dieu, indisponibilité consécutive au combat de lutte passive et présente qu’elle mène contre la violence à domicile déjà établie à titre d’ordre établi. Prise secrètement par la prise électrique femelle avec prise de terre qui fait masse du plaisir refusé ou qui se refuse, à la hussarde de soudards dégénérés de dépravation sordide ou gênée, seul respect qui lui est du. Ce qui fait d'elle Eve éternellement prostituée. Prise malgré tout, sinon par le pilori de la torture électrique du viol thérapeutique. Ses dernières lobotomies ses dernières pertes sanglantes, assimilées à celles de l'idée qui lui sont dues ou ennuis après les petits ennuis règlementaires dus aux tchadors médicamenteux pour sa trop grande raison logique face à sa condition. A laquelle elle n'échappera ni à la systémique de sa systématique. Femme tant devenue inconsciente de sa condition autrement-dit caste sociale, qu’un chat ferait plus pitié sur la table d’opération, que cette truie parfois encore humaine, que la femme rendue si femelle ignorante et ignoble, orgiaque et dépravée que jusqu’aux hommes elle fait honte qui la couvrent d’opprobre, parfois lui pris de pitié Tout à la femme, de ce siècle, n’est du. Tenue pour animal inhumain et naturellement si par l’homme civilisée esclave de ce penchant, sa nature devant tant être contenancée du tchador médicamenteux et du carcan des faisceaux, de l’opération de son cerveau et de son organisme, femme donc si animale et rendue caricaturale de ce trait d’Hommes-Loups et Furies fauves maladives qui les ont conçus, qu’elle doit pour sa conscience rendue comme l’on se rend contestataire à cela, être réséquée de tous bords et cotés, opérations de son corps enlevant à la rose les épines que la nature rebelle à la nature même de l’inquisition lui a bien voulues. Rendue à la vie qu’elle est sensée concevoir inadaptée, et mortelle de ce fait. Son plaisir-né mort-vivant, ramené au viol sodomite de l'organisme féminin jusques dans son cerveau vécu cervelle, en son enveloppe charnelle, devenue corporelle, réséquée de la barbarie frigide des termes scientifiques désignant son anatomie. La femme pour son devoir d’accoucher en clinique ou milieu hospitalier ou médicalisé, condamnée à l‘appellation froide, méthodique de malade, sinon mentale, du moins patiente, à vie. Son intelligence si elle persiste ramenée à celle assommée du plaisir, dit vacuité féminine, en fait requise de ce plaisir connu, intelligence ramenée aussi à celle de ses grossesses craintes et supposées d’enfant autiste, grossesses sans pensées de lui, laissées au vide mental qu’il peut causer et peut amener la mère au d »ni de grossesse si elle ne lui est avouée, d’où l’annonciation à la Vierge, Mythe chrétien envers les grossesses passées inaperçues, la mère perçue obèse seulement, ou goinfre affamée, vide mental soupçonné arriération et réputée affecter la pensée de la femme qui l‘a porté, et laisser idiote, sans plaisir ou autistique. Confondant gifles, brutalités et malaises, ce qui ajoute à l’idée de confusion mentale que se font les médecins, donc, la femme enceinte réputée folle ou inconscience, de sa grossesse, donc irresponsable de concevoir ce bébé, sans aucun discours pour l’en avertir, sa conception tue sinon simplement vécue hallucinatoire ou suggérée, si la mère du bébé s’en doute... Sa schizophrénie depuis qu'elle n'a vu le Loup dans les bois ni l'homme au Loup, de ne vouloir ouvrir ni offrir l’ouverture ni le plaisir de son sexe à tout un chacun dit dans ce cas autrui, ramené à celle du besoin préconçu envers la Femme, de la partie fine sociale, réputée et dénommée devoir être et rester sa seule socialisation, en fait, conforme à l’orgie planétaire actuelle. Effeuillez mon livre avant de m’effeuiller, moi, au claquement de doigts. La Femme condamnée aux travaux forcés intimisés, de séduire ou plutôt apprivoiser son futur époux en premier jusques dans son dernier rapport sexuel (sensé l’éclairer sur son métier et ses tâches, le rapport connu résolutif en cette matière ou science infuse sensée l’éclairerd’où le viol thérapeutique destiné à éclairer son inconscience d’être femme), travaux forcés intégrés par pur alcoolisme du fait et vengeance envers soi plutôt qu’envers autrui par pur pacifisme sinon condamnée à son enfant mal né qui l’a violée de naître, morveux conditionné dans le ventre bourrique qu’elle devra réparer, qui lui arrache le pain de la bouche dès qu’il devient suicidaire ou dangereux, ou dans les cas de célibat forcé pour cause de trop d’émancipation féminine, aux moutard des voisins, déjà grands, condamnée damnée à les éduquer pour sa stérilisation forcée, dans un lent travail autoconceptionnel de soi-même, après destitution par le passage à tabac constant, seul contact de son corps et de sa pensée sous les violences conjugales psychiatrisées du maitre de sa conscience qu’il lui faut entre autre son psychiatre et ses substituts, qui lui ont été imposé, après la dernière amputation de son cerveau et le lavage de cerveau de la raison féminine. Formulée déraison aux yeux de l‘humanité. Sa conscience humaine champ de luzerne ou s’ébattent les Hommes condamnés au coup mortel précédant le tranchet sinon la balafre..
Les zones de ses rêves de femme réséquées. Les zones de ses rêves de femme réséquées. Le suicide ou la raison. Rééduquée pour réapprendre à la formulée après ablation tout comme page serait arrachée sur cahier de brouillon, pleurs, cris, pourquoi la femme pleure et crie, parce son psychiatre l'opère parce que son mari sinon son père la bat. Femme, battue. Réduite au style infantile pour celui de son enfant, qu’elle n’aura si son père le juge bon. si elle n'accepte pas le viol de son corps, la lésion de sa tête, la castration de son sexe. au nom de la société qui la combat, combat qu'elle lui rend d'un travail d’éternelle épaule éminence grise de celui de l'Homme. Son intelligence issue uniquement de lui ou de Lui, dans ce cas parole de Dieu. Quand elle ne peut que vainement agiter la langue en guise de baiser buccal dont elle ne se donnera même pas, réputée pour ce fait jacassière, condamnée pour ses guerres de tranchées et combats inutiles, à l'oncologie de son sexe et aux langues de pies..aux langues de pies.. Condamnée, éternelle coupable depuis Dieu et sa venue sur terre, à corriger ses fautes, de frappe et de français, de chacun des français, à réciter des messes dument apprises pour son devoir devenu liberté, son plaisir limité à celui d’abbesse et de curé. Quémandant son plaisir autant par folie pure qu'esprit suicidaire, amoureuse uniquement du manque sexuel, et ne bandant, ne se prenant que l'appréhension de l'homme, du manque de plaisir connu avec lui, sa connaissance du sexe se limitant à ce quelle peut en deviner, l'initiation à l’Amour réservée à la télépathie amoureuse de l'attente dela rencontre véritable, feeling que son intuition lui dit et qui la sauve du monde de brutes épaisses qui l'attend, dictature supplémentaire à celle de l'Etat..Et ne devant l'amour que quand elle le doit. Réduite en bouillie au style infantile pour celui de son enfant, qu’elle n’aura si son père le juge bon. Eternelle prisonnière d'opinion de l'Homme son nourrisson qui la roule sous la férule et la possède et du psychiatre qu'il lui faudra pour l'y résoudre. Femme préservatif féminin, que l’on met dedans emboutit et que l’on jette, sans que rien ne paraiss et qui aime, du moins cela, sans que cela ne la satisfasse, aimant le sexe par son manque, jusqu’au coït de la jouissance éternelle de l’absence de mari, mort à la guerre, de ce pays mécréant mercantile de dépravations sauvages, mêlant haine et amitié, amour total et guerre totale imbécile, pouvoir absolu, et antiféminisme fraternel. L’Amour flottant d’un air de liberté, dans l’utopie merveilleuse d’une société humaine. Définition de la Femme. Assassinée abattue de main même de la femme de ménage de Karl Marx, encore au dessus de chez elle. Psychiatrie voile français d’une femme hindoue, indigène de ce pays, la Femme en elle. Restée nubile jusqu’à sa pré cancérisation dénommée polype. Justifiant le statut de femme-bonzaï, retaillée telle belle plante depuis l’enfance. Au laser et bistouri laser. Pratiques de l’asile psychiatrique de Turquie envers la Femme, pratique des électrodes en cas de sa grossesse, jugée nerveuse, déniée, ou vécue folie pure, électrodes infligée parce « pendant ce temps elle ne doit pas prendre son traitement », et donc sensées remplacer toute thérapie médicamenteuse envers la Femme jugée trop émancipée. En fait, d’avant-garde, Résections au domicile de la personne, de cerveau, selon les mêmes méthodes d’investigation du domicile de la personne ne question, que celles de la DST, des Services Spéciaux et de l’Eglise de Scientologie, en vue de STO ou le PO. Femme d’honneur de lettres et d’esprit des représailles fascistes à la petite semaine. Pour que la France ne bouge d’un poil sous le bistouri. Au cas où la femme émancipée possède encore les possibilités de son amant, et profite de ses libertés, de la police psychiatrique conjugale de ce mari. Sous le joug de l’Amant idéal qu’il représente en elle. L’Amour y compris selon l’amant une folie érotomane devant resté caché dans le non-dit du maquis de la résistance faite aux générations antécédentes et à celles du pouvoir, la jeunesse, une maladie mentale grave, le plaisir, une hérésie mettant la vie en danger, de soi et d’autrui, suicidaire de se heurter à la société de consommation et la société en perdition en devenir nazi, dans la lutte désespérée contre les libertés féminines sa liberté de conscience, et d’expression, devant rester soumise au fascisme sexuel. Au nom du Père Frère du Roi, (de famille, et sa patrie), du Fils (du voisin), ou du FIS envers toute fille libérée du Maghreb français, tenue dans ce cas pour femme libre et lesbienne, et du Sain Esprit, dans parties de basse fosse, messes noires organisées aux crimes parfaits, et crimes. Camps Mao et Front National, extrême droit entière, décidant de lobotomiser toute infirmité qui refuserait le travail, estimant que la pension d’invalidité n’avait lieu d’exister. Au nom de l’incohérence requise , de l’émiettement du raisonnement, du vide mental obligatoire, de l’obessionnalité sous la contrainte de l’opération, de l’estropiement et de la lobotomie. Selon les rites de la dernière guerre mondiale et du Dernier Empereur, le livre et le film, tenus pour être dans cas de guerre froide, vécus intimement. Les juifs aussi ont vécu la dernière guerre mondiale très intimement, de 39 à 45 ; Folies du vieux Montpellier et à l’heure actuelle, de petites gens impliquées dans les affaires de mœurs du gratin, de la société bourgeoise et de l’aristocratie féodale médicale en vigueur de nos jours, issue de la vieille aristocratie des villes et villages alentour, régnant sur toute ville et région du pays au nom de la substitution précisément à ces fêtes et orgies à blocs opératoires (parties de violences gratuites et politiquement engagées) à base d’opérations et tortures médicales mutilatoires, substitution des victimes de cette fraude dans un Jeu de massacre d’Ionesco. Sur Femme émancipée même apolitique, ou homme libertaire. Sur les condition d’attaques armées de Brigades Rouges des Camps Mao et des interventions, médicales à nos jours, de la gestapo. Il fallait être d'accord avec le médecin et Dieu le père comme par Raison d'Etat (création du Médecin et de la Médecine Psychiatrique d’Etat-Raison d'Etat). Pour savoir si elle possède la Raison, soupesée continuelle de la qualité de la conscience, de l'intelligence de la femme libérée pour ses pensées libertaires, rejugée ainsi que prévenue, conçue prostituée dite femme libre par des fanatiques d'un Ku Klux Klan à la Française, des fanatiques d'une exhumation du S.A.C. faisant partie de l'entourage. Ceci pratiqué, soutenu par les mégères de quartier, leurs sympathisants, des passionnés houligans de la torture américaine, de la torture médicalisée. Antiquement contre-révolutionnaires et résolument hyper-conformistes. Soutenus par des pères fouettards, mères maquerelles, mères sacrifice Immaculées Conception, Dames de Fer grandes Folcoches, Génitrix, pères endeuillés du Grand Mal de leur malade enfant prodigue plutôt qu’à leurs yeux prodige, parents assez matons pour dénigrer les faits de la torture, ceux de la torture médicalisée, dans un révisionnisme de bon aloi, emploient la menace d’internement, les électrodes et le Soin psychiatrique. La politique du Haut Mal Moyenâgeux. Du feu, du fer, le pouvoir des armes, le pouvoir de durcir la guerre par les armes d'une politique expérimentale fascisante propre à la médecine et aux hôpitaux. Qui sensibilisent des familles propices à cette morale de camps d’internement. (Psychiatrie lourde, gros traitements, longs internements, hospitalisations d'office en hôpitaux, à domicile à vie (le plus souvent non déclarées), dispensant des soins officieux, méthodes de répression étatique déclarées publiquement soins). Dénigrement de l'intelligence de la fille, de la femme ainsi que du gauchiste-né à la racine, de jeunes gens émancipés déclarés publiquement et en petit comité en état critique de démence précoce, prémisse de la schizophrénie, si portés sur la critique, la contestation iconoclaste, dès le plus jeune âge de leurs facultés, à la moindre prise de conscience. Diagnostic de cet état critique sur tout contestataire de ces familles à propension vissante, envers tout parent proche contraire aux actes de revanche de fanatiques du bordel fasciste, menés par l'intervention psychiatrique et le Soin. « Ce n'est pas de toi, dis-moi » : la femme libérée considérée esprit nul, ne possédant qu'une intelligence au moindre QI que celui d'autrui. Le QI le plus respecté restant celui de la torture pas raffinée à faire douter de votre parole, promise aux surdouées, intellectuelles, enfants précoces, jeunes gens mûrs avant l'âge pour avoir trop eu à souffrir de ces sévices. Classifiés dans la folie pour ce que l’on en imagine.
La Gauche mal à éradiquer dans une chasse aux sorcières incessante contre la liberté de pensée, le féminisme, l’usage du sexe féminin et de la Veuve Joyeuse, un déferlement de violences, de jugements derniers, menés contre les principes de la démocratie, de la république, de l’égalité. Lutte, guerre ou pogrom fondé sur la répression et la torture médicalisées, la torture psychiatrique, dirigé contre les défenseurs des Droits de l'Homme et du Citoyen, de la dignité humaine et de l'humanisme. Contre les défenseurs de l’antipsychiatrie tout court, et les femmes libérées. Le féminisme faisant partie intégrante de l’humanisme. La schizophrénie ne touchant surtout que la population de type mâle, les femmes concernées par la psychiatrie étaient, sont surtout masculines, garçons manqués, homosexuelles, émancipées. Cf. la Psychologie des foules, de Gustave Le Bon (1895), concernant les femmes et les enfants, déclarés, traités en races inférieures, propres et propices à la manipulation, certainement parce que peu cultivées, peu scolarisées ou bien trop intellectuelles et cultivées pour le commun des mortels et celui de leur « race ». Pratique rituelle de la torture (sous le prétexte du devoir prétendu de l'amour et de la sexualité hétérogène chez tout individu) sur les individus émancipés de la société française pour cette cause du plaisir solitaire, pratique de son interdit (cause de l'obésité en France et dans le monde) aux méthodes très pérennes, excessives et répressives aussi connue et maintenue taboue et tue mais sue aussi connue que l'excision des femmes en Égypte. la femme pour cet usage libre et non soumis à l'obligation, de son sexe, vécue petite fille. Donc dépourvue autant qu'enfant de conscience, de la Raison, de la Raison d'État donc, et donc folle, à traiter des mesures très répressives et tortionnaires de la Raison d'Etat. Équivalent dans la population masculine. Obligée elle à rester population maculine, ou maculée de ses maculations Je dois en quelque sorte fournir la définition philosophique qui à mon avis convient le mieux à ces mots, cause de complexes très aversifs et de blocages dans la société. Terme masturbation et son concept de plaisir, soulagement et acte naturel ressurgi dans les années précédant et post mai 68. Les femmes de cette époques et militantes de ce mouvement s’étant heurté au machisme avéré de leurs compagnons révolutionnaires, qui ne l’oublions, sont issus de la branche phalangiste stakhanoviste surtout stalinienne et prosoviétique, branche fasciste du communisme révolutionnaire, grande bataille de cette époque concernant le plaisir et le plaisir à deux, bataille perdue. Faction dure très répressive de la gauche qui a jeté le discrédit sur les évènements. L’Homme pour son féminisme détecté ou avoué en milieu hospitalier, roué de coups et de violences aggravées pouvant s’avérer mortelles, bien pis en sus de la torture électrique et des tortures mutilatoires destinées à la Femme. Actes de lynchage de commères matriarcales envers tout féminisme, dviolences ’affreux jojos dans le devoir séculier de réduire l’activité sexuelle des couples au besoin de se reproduire, dans la plus stricte pornographie, sous leurs bruits de bottes, selon les préceptes de la religion. Le carcan imposé de la mégère. Cas pris pour exemples même exemplaires de rédemption par la torture. Cas destinés à intimider la population, prioritaires pour la ré-hospitalisation. Par contre, selon la loi de l'infibulation, dans un but répressif, pour assouvir la soif de résolution des vices cachés dans la population, le plus souvent, existe la contrainte au rapport sexuel par ingestion forcée d'aliments aphrodisiaques : Les œufs, tout aliment pouvant provoquer le plaisir selon chacun, une pratique qui relève des rites autour de l’excision des femmes en Égypte et de l’attitude proxénète du public qui précède l’opération. Infibulation par implants électriques. Deus ex natura, mais jamais Deus ex machina. Interdiction du rapport, de la rêverie non forcément érotique surtout quand elle concerne un monde meilleur, sans l'écoute forcée des litanies divagatrices de vieilles femmes, de leurs suivants, durant leurs actes de lynchages, guides nurses chaperons des cités dans les cas de rapports forcés qu’elles infligent. Actes de satyres saphiques. A projections psychologiques de fantasmes multiples à déviants sur sujets analogons, projections parfois meurtrières. Tempes orbitales ravagées pour trop d’idées d’émancipation le plus souvent féminine, pour leur trop grande largeur et épaisseur, creusées de ce fait si elles dépassent de trop des yeux. Centres nerveux des idées féministes selon les toubibs, de type Algérie;
Clitoris brutalisés par doigt glacé inquisiteur, moqueur, agité tel doigt dans une oreille sale, au cours du même toilettage après les séances d'électrodes, le bain forcé qui les accompagne bien souvent tant l’odeur de brûlure des chairs est forte : Le plaisir extirpé par réaction aux électrodes, celui de la crise d’épilepsie qui suit l’infliction des décharges, assimilé à la masturbation, sujet de prédilection des leçons de modestie et référence au sale, au crade et à l'aliénation, sinon à l'arriération trisomique (oligophrénie, trisomie déclarées maux de primates). En tout cas et c’est un fait connu, plaisir décrété maladie mentale grave digne de punition le plus souvent corporelle autant qu’elle sera jugée nécessaire. Palpation papale des femmes avant les séances de torture électrique, au cas où elles seraient enceintes। Parfois, imposition des électrodes et chaise percée en cas de craintes de la femme, dite seulement trop constipée par les traitements, dans un souci de la corriger pour sa grossesse jugée improbable, inacceptable et méritant l’avortement illicite que causeront les décharges. Avortements sous coups et blessures, purges à l’huile de paraffine, si huile de ricin périmée. Depuis le temps…
Le débat de l’avortement devrait à mon avis se situer au niveau de la prévention plus qu'à celui de la réparation des négligences de contraception, donc contraception. Le problème étant inhérent à la propagande religieuse mondiale contre la contraception de la femme, qui n'en paie que les frais et se réclame de droit d'interruption de la vie, un pur assassinat j'en convient, l'embryon humain même encore né déjà un être humain, la solution consisterait à éviter qu'il ne soit paru sur terre, et donc, agir au niveau de la fécondation, mais, le hic se situant dans le fait que la religion l'interdit et règne sur la planète, d'où son explosion démographique, l'athéisme n'ayant fait que suivre la morale de la droite, qui préfère s'attaquer aux résultats de la "faute" de conception on désirée, plutôt que la prévenir, et instituent le droit au meurtre d'embryons humains au nom des obligations et devoirs du travail de la femme, que souvent, esclave du travail et de la société, après avoir été esclave des hommes, au nom de ses libertés, elle entreprend de respecter cette dictature de servage, soumise au travail obligatoire au nom de son émancipation. Resituer le problème reviendrait à créer plus de plannings familiaux, de campagnes d'information et d'éducation sexuelle, qu'interdisent les religions, afin de dispenser l'information nécessaire à cette prévention, qui ne se base encore que sur des produits anticonceptionnels cancérigènes à base de produits hormonaux, et non sur l'usage qui devrait rester maitre, du préservatif, si simple, si efficace, l'avortement devant rester thérapeutique et réservé à des cas de santé précaire, les viols et cas de grossesses indésirées pourraient être mieux pris en charge et aboutir à des accouchement avec adoption de l'enfant, si les accouchements à l'heure actuelle ne représentaient encore un danger de mort pour les femmes, la science s'étant bien gardée de quelque progrès en la matière plus efficace, si l'on va de nos jours sur mars en fusée. société de consommation qui détourne le femmes de leur vraie fonction, d'être mères, leur rôle premier, les oblige à concevoir tout comme à avorter pour les besoins d'un capitalisme sauvage, société du gaspi, où l'on jette jusqu'aux bébés à la poubelle pour le simple fait d'avoir omis un préservatif durant l'acte, où les mères pour leurs quelques instants de déprave à laquelle elles sont adoubées, priées pour les lois du travail de n'aimer leurs bébés, les assassinent froidement, conditionnement. L’athéisme, dont je suis, devenu prosélyte en cette matière, intégriste dans son rôle et acheté aux besoins du capitalisme, niera peut-être cette solution, mais elle parait la plus saine. Un peu de morale, d'éthique déontologique dans ce champ de bataille de médecins Diafoirus poujadistes et arrivistes au nom du féminisme qui ont laissé pratiquer de tels débordements de gaspillages de chair humaine, serait nécessaire. Ménopause décrétée, grossesse dite illogique, car ménopause déclarée acquise depuis longtemps, y compris chez sujets même pas ménopausés, depuis leur dernière injection hormonale destinée à les stériliser à vie. Anticonceptionnel retard testé sur femmes encore parfois actives, nullement invalides, certifiées démentes, encore capables d’enfanter, parfois en couple. Si leur stérilité n’est imputée à leur traitement neuroleptique. Désir de rétablissement du bordel, du proxénétisme envers la femme libérée. De la prostitution de l'intelligentsia, du corps de la femme émancipée comme de ses idées. De sa conscience comme de sa mort, de sa morale comme de son amour profond pour la vie, par tout effet de torture des brigades rouges maoïstes comme par ceux, recréés par l’Hôpital et la Médecine Psychiatrique, du SAC, des autorités. Cf. la « Politique du Mâle », de Kate Millett, 1971. Silence hôpital. L’on pense pour vous. Pour celles qui ont osé dire qu’elles ont les règles, traitées en prostituées notoires pour ce seul fait, jusqu’à la confection de règles douloureuses, hyperalgiques (dysménorrhées). Causes de premiers internements désirés à vie, des années 70 à aujourd’hui. Le cerveau de la femme et des féministes ne devant excéder 1 Kg de poids (microcéphalie obligatoire et contrôlée).
Pour son usage aussi de la Veuve Joyeuse, pour son art d'échapper ainsi à l'obligation de coucher avec le premier venu, de préférer soi-même à l'Homme ou plutôt à l’Hyper mâle teutonique nazi à pro-nazi, sans pour autant négliger l'amour libre : Loi en France même de l’excision de bouts de cerveau ou de ses organes sexuels, à défaut de clitoris, contre la femme émancipée, sa force, son choix, son pouvoir de vouloir, sa volonté d'être intransigeante et de défendre ses libertés. Contre celles de la défloration au vilebrequin, parachevée aux courants électriques. Actes sexuels tenus pour provocation saphique voire auto-incestueuse, la rêverie sentimentale, le plaisir onanique chez la femme, tiennent de la position interdite par l'Eglise, selon les règles en vigueur dans certains états américains qui louchent sur les œufs du pauvre et la position interdite, Mai 68, celle qui peut être condamnée de la prison, de l’hôpital psychiatrique à vie, de la peine de mort. Vécue péché mortel par l’ensemble de la population, un Valium, Monsieur Cohn-Bendit ? Par la médecine psychiatrique. Agité. C'est selon. Selon exigences de l’entourage. Cela fonctionne également pour la frigidité ou l’abstinence quand elle n’est obligatoire. Depuis Mai 68, la population des ménagères a mal digéré les libertés sexuelles acquises, le gain en libertés chez la femme défie les règlements, les lois archaïques de la mégère souhaitent mettre un terme, cela se conçoit, au déferlement de droits qui les offense, plante là son gourdin dans le but d'intimidations exemplaires Combat de ce lumpenprolétariat de femmes âgées et de leurs sbires, à gros coups causés par les implants, les visites d’infirmiers, contre toute percolation sociale de leurs prisonniers, la femme devant rester esclave ménagère active jusqu’à ce que mort s’en suive, la rédemption du plaisir par le travail, mythe de la femme soldat. Dans le genre fourmi rouge. Espionne ou pas. Combien de cancers fibromes, polypes pour un ménage mal fait. Surmenées déclarées par autorités, déprimées en état de dépression dès que faiblesse ou travail bâclé. Electrodes. Ah, excusez on savait pas. Condamnation dans la population occidentale du plaisir, de l’usage du sexe féminin dans son intégralité, selon les lois musulmanes, pronazies et américaines, selon de procédés de répression et de mutilation de l’innervation du sexe de la femme, asiates A ce fait, la surnutrition en produits alimentaires hyper protéinés et à base de féculents revenant à la mal bouffe capitaliste et destinée à préparer le corps de la femme à la venue d’un embryon mâle, devient dangereux pour la santé des femmes, emportées par l’envie de procréer, selon les rites de la religion, et de la reproduction des forces de travail, un enfant de sexe masculin, nourriture contraire et inadapté au génotype de la femme (surtout si cette alimentation nocive en soi constante) qui ne devrait que se contenter, destiné à ces aliments, qu’à la nourriture destinée elle à concevoir un enfant de sexe féminin, autrement-dit, les légumes, produits laitiers frais, et fruits en quantités assez conséquentes pour que la femme ne souffre de cancérisation de son organisme et donc de son corps, devenant là ultime enfer mortel.
La surconsommation de cette nourriture hypercalorique, très riche en graisses saturées frites, et en absence quasi totale de fibres, hypocalcémique sinon forte en produits fromagers à bases de pâtes cuites et très fermentées, dégénérative et concentrée en radicaux libres, contrefaisant l'action sur le corps des répressions psychiatriques de la torture électrique, et cause de la virilisation du corps de la femme, entre à son métabolisme, ce que l’usage des traitements neuroleptiques lui ressert, certaines mères en gestation d’une fille nourrie exclusivement de cette nourriture mâle, fournissent à la société des femmes laissées de leurs grossesses hypermâles viriles, soldiers ou soudards, violeuses, saphiques animales. Mamas Da écrasantes de leur poids de connaissance en la matière de prostituer, prostitution de type asiate, maghrébin, vieux genre européen de mères prostitueuses incestueuses querelleuses molesteuses privilégiant l'obscène et la pornographie, ne se donnant qu'à époux effacé ou plus grands fascistes et bourreaux qu'elles selon le mode Dubout le dessinateur du Midi, ivres d’orgueil démesuré en surestimation du moi-je et d’auto persuasion scientiste arbitraire, faisant une allergie systématique au lait frais, en fait, laissé sur la table jusqu'à sa péremption et cause d'intolérence digestives très allergiques,car lait tourné allergène jusqu'au vilitigo connu des nourrissons décrétés, en intolérence au lait, qu’il est vrai l’organisme adulte a du mal à assimiler, néo-führers fléaux aux tortures rituelles devenues rites sociaux, sergents major-chefs-nés de leur famille, menée tambour battant au pas du service militaire, militaristes violentes parfois hyper violentes, incultes et très grossières, donnant une population matriarcale de mégères hommasses, prêtes à reproduire sur autrui ce qu’elles se sont infligées de tortures dont leurs sévices alimentaires, jalouses de tout individu qui leur aurait échappé, émasculeuses mères castratrices mères privilégiants leur progéniture-tiques et sangsues, mégères plus puissantes que pouvoirs de mairies entières, dont la société et l'humanité souffrent, forgeant d'elles la nouvelle Inquisition psychiatrique, pour certaines réutilisées servant d'infirmiers de choc en psychiatrie, fonctionnant sur le mode parasitaire de la vermine, s'arrogeant, s ecroyant tous les droits, prenant le pouvoir par la force du crime contre l'humanité er de devoir assassiner, forgeant en putsch assermenté la société sécuritaire policière, véritable pègre toujours du bon côté du manche de la gégène sinon policière, du moins médicale, pègre milicienne armée des armes du pouvoir s'introduisant en tout lieu où leur proie résiserait ou se situerait, société reliquat du 20° siècle. Mères qui s'invaginent nourriture sous toutes ses formes omnivores autant qu’excréments qui serviront à confectionner ceux de leur progéniture, forme de déviance qui pourrait paraître aussi naturelle, si cultivée, que celles de l’homophilie. Ou homosexualité. Ou celles de la partie fine, pourquoi pas de la zoophilie, de la pédophilie, mis à part que dans ces trois cas l’individu partenaire n’est pas forcément conscient ni consentant. Dans la partouze à viols collectifs, non plus. Le problème du consentement restant le même. Certains, certaines, revendiquant l’homosexualité en toute bonne foi, autant qu’ils revendiqueraient, ou revendiquent, la prostitution, voire, le proxénétisme. Le problème initial de l'homosexualité et des déviances sexuelles revenant à mon avis, au refus de l’inceste de l’enfant envers le père, la mère ou les deux parents, aux diverses canalisations problématiques du refus, sinon saines, du moins, parfois mal assumées et par l’entourage, et par l’enfant une fois adulte ou adolescent. . S'attaquent aux viscères de la conscience tranquille. Eux prenant de gavages de la femme fidèle en gavages assermentés les bourrelets constitués pour les circonvolutions du cerveau qui finit par lui manqué, avec la perte de l’idée et du bout de beef attenant. Femme libérée condamnée au paquet de frites belges chaque jour de sa vie s'il le faut, après le supplice chrétien de l’inquisition du supplice de l’eau, celui du gavage forcé à l’aliment, mariée au corps de médecine et à son entourage pour plus de facilité à la violer en femme facile, ses défenses y compris naturelles, après avoir été exacerbées des violences conjugales ainsi instituées à son encontre pour toute démarche de se défendre et de défendre ses droits qu’elle entreprendrait ou aurait, lobotomisée pour le principe simple de réussir à toucher la chatte à la voisine que chacun s’attribue en tant que chienne et handicapée impotente sinon à rendre impotente et infirme de pédophilie paroxysmique à son égard en guise de lutte contre sa philosophie.
Pogrom sur esclave domestique prostituée sans aucun réflexe de légitime ou self défense permis en poupée gonflable qu'il leur faudrait en fer si on ne l'en gave pour la résolution de ses maux, et qui ne doit se gonfler à l'air libre et prendre l'air qu'elle doit avoir dans le bide que de soi ni gonfler autrui de se refuser à lui... Procédés sur elle de Viêt-Cong en Asie. Pour ce qui est des femmes issues du Maghreb, la plupart isolées dans le monde homosexuel de mamas, gavées au lait de chamelle dès leur nubilité, ou leur âge venu d'être mariées, le plus souvent en mariages arrangés, elles vivent encore en France sous le principe du viol sur les toits de la médina, entre femmes, femmes isolées du monde des hommes, univers féminin reclus et fermé sur lui, tournant autour de la prostitution forcée entre femmes, mode de vie quotidien lié à l'orgie collective barbare ou médiévale conduisant à la prostitution libre ou gratuite de la femme ainsi devenue facile, prostitution typique de cette culture introduite en France par la voie du regroupement familial et de l'immigration. Monde imbibant de vice qui lentement travaille puis de guerre lasse finit par séduire, seule issue et porte de sortie vers une survie qui n'est qu'une demi-mort lente de l'esprit de lutter contre cette tentation du corps , le corps absorbant d'abord les tortures et les coups, puis les plaisirs d'abord respectés chastes, puis lentement orientés vers l'orgie de la prostitution acceptée récompense, d'abord de femme sur femme puis mêlée peu à peu à la prostituions véritable, de tous sexes confondus, les filles devant se donner à tout client, homme ou femme. Dans une prostitution en appartement fermé, ou en semi-liberté, libre ou intimisée en liberté de coucher, découcher, déviance sexuelle en sus de celle de l’homosexualité due à un conditionnement lentement consenti, conçue liberté de pensée féminine ou féministe, en France la fille tenue chargée d'accueillir le client à domicile ou en call-girl. Le féminisme de la femme vécu son handicap, tenu pour du à son sexe également. Substituée par la psychiatrie à son combat et au combat armé mené contre elle, pour le fait considéré d’opinion d’origine de son sang hispanique si d’origines espagnoles, reproduisant la substitution par les pouvoirs de la révolution espagnole, des pauvres et petites gens au service militaire qui revenait aux nobles et que ces gueux auront du enduré, guerre ou pas, rémunérés ou non en fonction sinon enrôlés de force. Problème de la substitution qui règne de nos jours envers la femme même en France, et dans les cas de prostitution. La plupart des femmes qui en sont issues assez charcutées, laissées à moitié assassinées cuites et finies pour finir cureteuse d’abcès en chirurgie ou fouilleuses tritureuses de consciences, capables toutes ou à eu près de tuer pour survivre sinon faire leur médecine en internes le plus souvent barbouzes médicales estropieuses bousilleuses de patients dissidents, laissés finis. Claqués. Certain(e)s patient(es), sur simple appel aux urgences médicales même d’un tiers, c’est le cercueil qui les attend, déjà fiché(e)s, urgences où l'on n'en est plus à l'onguent antitétanique contre les épines de rosier de belles et de leurs jardiniers du moyen age. les secrets de la révolution culturelle humaniste de la Renaissance en urgences médicales et soins due au franc-maçonnisme, révolue. Perdue la pharmacopée médiévale. Europe se faisant, ne serait-ce que par la coalition de cultures médicales, récupérée par le profit capitaliste, apparition de métacultures et de métapopulations, qui emploient les différentes mafias, ce qui peut être triplement mortel pour les victimes choisies.
Les populations féminines maghrébines, black blanche et beur réséquées, lobotomisées des tempes en particulier, des intégrismes du FIS, et des intégrismes extrémistes français. La femme libérée jugée femme libre, autre dénomination de la prostituée ou femme de joie, femme qui n’est jamais celle que l’on croit, termes de formule protocolaire réplique d’approche dans la rencontre proposition de rue.. La séduction chez la femme ramenée à celle de la prostituée chienne. la Femme lapidée, exécutée, morte vivante, au plus profond d'elle même, des persécutions lapidatoires de la torture électrique de la Psychiatrie, selon les rites de Zorba le Grec, le film. Femme élaguée pour que rien ne dépasse des rails du chemin de traverses, qui mènent à Dachau, ou en Russie soviétique. Chargée de nettoyer à la sueur de son front et à l’huile de coude qui sert d’huile de ménage dans le couple français, les vieilles casseroles de cet Etat qui les a faites flamber, au dernier du condamné durant ces dernières décennies, casseroles qui une fois brûlées, sont faites pour attraper, attrape nigaud de taille pour qui se nourrit de cette vendetta, sa pitance brulée inévitablement des vapeurs de la cuisine française depuis les hauts temps de l’interrogatoire. Complexe cannibale d'Hannibal, suite de la trilogie Le Silence des Agneaux, du monde hospitalier, datant de la découverte du Nouveau Monde par Christophe Colomb, fait marquant des violences que cette coutume tribale peut entrainer dans les mondes civilisés, cannibalisme scientifique soviétique et pro-allemand nazi propagé par la psychiatrie, exacerbant cette tendance rituelle des masses populaires. Allant droit au sacrifice humain, à la cuisson de cerveau ou son amputation partielle, morceau parés après morceau, destiné à s'approprier l'intelligence de l’Ennemi et de la Femme tenue pour ennemie éternelle, cannibalisme consommant la beauté physique et intellectuelle de la Femme pour la tuer en elle, ne devant et rester mère nourricière que d'alimenter ces services et réseaux des plus proxénète (le proxénétisme une forme dérivée du cannibalisme populacier), que du fruit de cette chair qu'elle recelait qu'elle est, représente et institue parfois, ce que la plus innocence du fait paiera au prix de sa suppression sinon totale, du moins partielle en ce qu'elle possédait de plus cher en elle. Anthropophagies sociale récupérée de façon détournée et ses dérives fascistes pernicieuses par les pouvoirs capitalistes. Et dépeçage ante-mortem de la Femme. Contrainte à composer avec ce genre de gorilles hurleurs videurs de sa vie autant qu'une Jane Goddal de pacotille devant régir sa vie selon cette loi de la jungle. Sa vie, dans la misère sexuelle et affective, la quête éternelle du plaisir féminin, Eden raté.
Temps contemporains de barbaries phobiques menées à la folie, dont sont accusés la femme libertaire et l'homme émancipé, son unique soutien en ce monde. Son supplice de Tantale de vivre Eve au paradis doté d’un Adam humain et réservé, paradis promis de nos temps modernes, compromis, devenu immolateur de sa survie, du surcroit des folies planétaires de la Terre, sursaturée des grands mythes Chrétiens, condamnée à la guerre ou périr. La survie de l’espèce, destin de la Femme, vouée au prix du sang versé de la mort, seul instinct de l’Homme.
Les dictatures intégristes des pays du Moyen orient et de l’orient depuis les désastres de l’immigration choisie récupérées par les pouvoirs qui passent de ce sur-ajout de pouvoirs absolu, en force en France, opération de forcing pouvoir machiavélique médical infirmier et de camora qui assujettit et se développe sur l’Occident et, la Femme lettrée qui le dénoncera et l’osera, forcée, et devra faire piètre figure, fille soumise à la première pimbêche de ces intégrismes fascistes qui l’aura voulu. Menée tambour battant par la voie de la libre circulation des armes légères reprise et récupérée elle par la médecine psychiatrique qui en use pour régner. Transformant chaque père de famille en véritable Saddam Hussein, barbu de l’Inquisition nouvelle qui alliée à la présence de l'intégrisme du FIS, Inquisition musulmane, sur le territoire national, passe en maître des milieux lettrés de l’intelligentsia aux basses classes populaires. Dans les ghettos français, chaque femme libérée d’origine maghrébine ou même française, passée par les armes ici décrites, armement non conventionnel de l’armée de terre, armes de poing d’infanterie légère, destinées à lobotomiser à travers murs et planchers, sur une portée de faisceau de 50 à 500 m, le crâne des personnes jugées posséder un cerveau assez développé pour relever de l’émancipation politique, intellectuelle, et féminine, ces trois critères allant de pair, l’humanisme faisant leur point de rencontre, cette lutte démesurée envers et contre tout esprit libérateur des dictatures, fait morts et blessés à tel point que la moitié de l’intelligentsia française est soit lobotomisée soit exécutée de cette entreprise de razzia totalitaire envers les cerveau du pays et susceptible de commuer les pouvoirs absolus du monde en liberté. La moitié de la population exécutée de ces armements illicite, les survivants arasés au moindre signe de contestation, divergence d’opinion, soit à son insu, soit de façon si souterraine qu’il est impossible de le faire reconnaître sans se faire taxer de démence. le port national politique et social de la bourka neurochimique sinon sous conditionnement delaotrure électrique et chirurgicale, burka des aliénations des droits de la Femme, sinon intégrée contraint sous la peine de mort taliban récupérée par les pouvoirs français dans la psychiatrisation de cette torture, sous peine de mort violente et lente autant que dans supplices infernaux de la royauté, exécution capitale publique psychiatrisée, incontournable, inaliénable, après enrolement forcé militarisé des amres deleur police souterraine, dans les batailles rangées et guerres civiles tues de tous les siècles, seul sont cerveau devant lui servir de gillet pare-balle, sion la simple médication assurant l'abrutissement l'en épargnera, contrefaisant la fatigue des femmes mobilisées au devoir civique du travail, Femme, une fois propulsée (tiré dès l'aube de sous la courtepoint après l'osso bucco de la veille, durant les parties de cuisine familliale), sur les barricades qu'elle vivra jusques dans son lit, elle mourra sous les tirs en raffales des armes du pouvoir et des matraques constantes de la psychiatrie sinon appelées en tant que toubib algérien et plus grave, SS, par les forces de la police qui n'est plus que politique, et agit en ratonnades sur apel délateur, ou d'entraide, politique de dictat reprise par l'exercice du corps de métier des pompiers venus réanimer le cadavre laissé, sinon décédé, brigades de la Gestapo chargés des viols correctif collectifs récratifs de milice en virée sur femme résistante du moins à sa mort promise, exécutions sommaires et intimidation de leurs simulacres sous prétexte d'aide aux vicitmes et préservation de la Santé, dont elle restera affable à vie si elle en survit, la poutre de la religion passée raz du coté de la tête, en ayant emporté le morcif du beau morceau de beef qu'elle était, cuisiné prêt à consommé, encore heureux qu'elle n'ait pris la poutre en plein front, sans quoi elle ne lançait le pavé de mai 68 dans la tombe, où elle aurait du rester, le baton du maréchal de la gégène médicale, vu ses améliorations technologiques et les pouvoirs de la recherche étatique en matrière de sciences médicales, aurait du y suffire; dans l'opération de rétablissement sanitaire et médical d'un Ordre Public Moral amoral des comités d'ordre Civique que représentent en tant que milices ariennes et brigades rouges du fascisme soviétique les équipes, venues d'abord porspecter, à la recherche de quelque proie à réduire et tabasser, qui n'intervienent plus que pour militer, parla voix de samres de leur pouvoir que leur a conféré l'état, armes de guerre civile et de la dictature su rlepays qu'elles imosent, maquillées auant que le dictat instauré, en "instruments de soins, et de thérapie" nationale, Ordre de thérapie nationale où la blouse blanche de l'oinfirmier venu perquisitionné, (le mandat dans ces cas de répression organisés, non requis, médecine psychiatrique devenue police politique civile dans le pays, les délais de délivrance de mandat de perquisition dans la police par la justice, permettant morts et bléssés grave, dont le trust hospitalier et la vie citadine rpofite à souhait), cette blouse blanche inquiétant moins les popualtions en mal de sensations que le costume vert cadavre des SS Allemands, plus franc, l'habit réelement, faisant le moine, dicton de la politique de dicton del'asile poltique, où tout contestataire à ce pouvoir établi, sera remis en reconduite aux frontières de son pays imaginaire, la démocratie française, pour arasement des zones de sa pensée préconçue, et cures de séismos, électrochocs à vie devant raisonner jusqu'à l'innocence de fillette, niveau intellectuel et mental pété buléen tout point génital ducorps à ce point là que chacun devra respecter, intégrer, revendiquer, propager, dans la faiblesse corporelle aimante d'un bébé, aux chairs dévitalisées de lait délayé carencé, rendu mouffle pour plus de réaction positive sans rebellion qui pourraitlui être mortelle aux carresses contraintes imposées de chacun et du degré de postitutionprostrée prévu.sinon sa cancérisation politique autre tir de silencieux, qui devr imposer à toitu femme atteitne de ce tir par balle, la tête de bille chauve des vieux barbons qui en prévoient la mort, de ce crime de guerre, la chevelure féminine organe sexuel objet des pires destuctions depuis l'invasion des intégrismes fnatiques du magreb, repris sous la peine de cancériation, intaurant la demande volontaire de ces femmes, d'etre rases de l'entre-jambes et rasées autant quze Bosh du cuir et du cerveau sous la chimiothérapie radioactive si depuis la bombe atomique elle n'apprécie le plutoninum, elle mourra dans ce cas du cobalt, métal lourd hautement cancérigène en soi, chargé innocemment de la soigner, en sus de la crémation vive sous four géant radioactif déommé "rayons" à morphine euthanasique autant que dans Soleil Vert, jusqu'à la phase terminale du cancer, cancéreuses "éteintes" contre leur gré dans scènes de violences sur avis médical et consentement de la famille, voire du conjoint, leur propre conjoint, qui les assassine pour "les avoir trop faites souffrir" et faites trop souffrir, jusqu'à ce que certaines leur réclament le droit de s'en faire exécuter, trahies jusqu'au y compris parleur compagnon fidèle, derniers mots d'adieux qu'ils auront sur l'urne des l'incinérées par crémation anti-sémite, génocide anti-sémite jusqu'au dernier souffle de vie de ces femmes et leurs défenseurs, gigantesque farce politique fructeuse, Femmes autant que femmes rasées à la Libération, pour avoir osé touché à la revendication de liberté féminine et sexuelle, avoir fauté d'aimer un homme;.Politique au delà de celle de la guerre d'Algérie, le fascisme rempant coromant le monde médical et hositaleir, vidant les poches de résistance même tacite, déjà en la capitale doublement meurtrier, si quand on y "monte" de province l'on en revient émembré ou étripé que quelque viscère, de deux doigts, dans l'aveuglement idologique général de cette dictature sournoise, la dictature fasciste déjà au pouvoir où elle toujours régné, sans allégence ni de répis pour les résistants mobilisés réquisitionné pour le combat et résistants pris, dits personnes torturées de l'esprit, leur cerveau torturé, les fous aliénés "en services médicaux" qui en survivent déclarés "torturés", déportés de fait en camps d'internements restés aux phases préparatoires des génocides de la dernière guerre mondiale des années 30, suite à l'Internationale Juive, la résitance en france contre cette montée du fascisme au pouvoir, nouveau peuple de nouveau types de juifs, soumis de nos jours aux exterminations raciales prévues depuis 1900, réduit spour les survivants, en loques humaines, morts vivants, racailles immondes bestiales, fuhreurs des familles, faisants régner leur police anti-sémite dans leur environnement; les fmmes aiamnt leur esclavage à le revendiquer, s'en faisant une liberté torture mortelle pour autrui qui ne la ecceptée et ne l'accepte, le viol viol que si non consenti, n'étant pas normal que la femme ait la Raison, elle en sera privée au nom de la normalité de la demence et de ce la bêtise barbare, si elle est jugée avoir la raison, c'est déjà trop l'avoir, la Femme quelque part, toujours eue ou chopée, sinon pour se faire violer, certainenemnt pas de soi même, quoique certaines ensuite l'acceptent, le revendiquent et le propagent;.une fois violée battue tabassée, forcée et reforcée, n'étant suffisant mutilée froidement, sodomisée en conséquence pour lui apprendre à respecter ce fait et lui faire réaliser au cas où elle l'aurait oublié à qu'elle point on l'a eue, de la façon en sus des plus déontologiques qui soient du Deo Profondimus de fond chargée de lui éclairer les esprits sur ce qui lui a été commis, si l'on s'amuse à le lui faire réciter, elle verra qu'une fois relobotomisée et sodomisée en tous points, elle sera, autant que toutes les autres si douce et brebis bêlante qu'elle en rentrera dans l'ordre établi et d'abord, en prenant son traitement, pour la calmer de ses ardeurs et douleurs ( de militante), s'il lui en reste; et à ce qu'on lui a fait elle réfléchira, si elle résiste encore, à n'être que poupée gonflable de l'Homme, prise de faiblesse amoureuse timide et empreinte de respect pour le non respect de l'homme, aimante sinon aimants électromagnétiques sur la face, face à lui, à sa prothèse sinon mammaire, intracranienne, gonflable et manipulable à distance, postiche de plastique dans les chevelures des beles des années 50, significative de ce postiche intracranien, de leurs martyrs, trépanées pour plus de sens à leur phylosophie, arraséés de la tonsure papale des moines. Poupée de plastique jusqu'au fond de son cerveau, poupée de cire si elle meurt, portée dans ls coeurs s'il en reste, poupée de son dont on la fourre que l'on sodomise si elle constipe, de ce son issu de la balle, du blé, bon pour le trou de balle des chopés, dans le vieux style des milices et de leurs vieux miliciens qui inititnet ce pays à cette guerre, position érotique généralisée, du cheval indien dans la mise au cul de la pierre au cul en guise de coup de fouet et postures dites libres chez la femme et l'insoumis traité en femme autant qu'elle tapette une fois escouillé, la Femme tapette (que l'on tape, du sens racquetter, et frapper fort) escouillée de l'Homme, son qui les libère du viol sodomite des neuroleptiques constipant le cul coincé qui lui est voulu jusqu'au coincement dans l'ébriété, des idées, à ce point de confusion mentale requise si Femme elle refuse, toute manipulation et refuse pour sa bonne santé persistante, la vie de femme soldat (devant rester enfant sioldat amusement du soudart) sur la table d'opération pour la plaie de son sexe qui devra lui servir d'idée, la rude leçon du père et de sa faible mère envers elle qu'elle a eue, n'ayant servie . Le fouet des électochocs, usités en tant que peines de fouets sur Capitaine du Bounty, depuis les hauts temps de la Barbarie romaine voire Grecque, encore de vigueur de nos jours, soit peine destinée éxécuter, terrasser, tabasser et "calmer" le , la rebelle, à l'estropier à vie, à "tabasser jusqu'à ce qu'elle ne tienne plus que debout", violer des peines du bordel si prise pour quelque fatigue, évanouissement, "faiblesse physique" suite à la surexploitation de son cerveau et de son corp, signifiant déjà broncher du droit chemin des ouailles de cette junte médicale de hithlers, jugés grand progrès. Prêts si la Femme battue niveau d'étude maximum requis certificat d'étude, de ce régime nazi ne bouge pas, à lui fouttre dessus des armes de guerre absolue de cette nouvelel Guere Froide, armement militire détourné par la Médecine que la science employée (mercenaire à l'occasion tueur à gages, de tous le pouvoirs), dénomme instruments de Soin, de cette dictature du Soin Médical.
Cerveaux féminins microcéphaliques atteints de limites aryennes, sur corps déformés d'éléphantiasis, femmes anorexiques tombées dans la nourriture pour s'habituer aux effets disgracieux de la grossesse et ses pertes d'identité mentale, physique, boulimie instituée par les mères dans ce sens d'habituer à la maternité les jeunes femmes nubiles, privée avant toute majorité du besoin sinon de l'assouvissement d'être aimées d'un conjoint réel, castrées de leur désir et de leur plaisir féminin au nom d'une maternité qui doit leur rester un devoir assidu, promis libération féminine et si seulement consentie par la famille, qui les nourrit au lait de chamelle autant que dans république Iranienne ou irakienne ottomane, phénomènes identiques de société patriarcale, de type intégriste musulmane, d'une société parcellisée, micro fracturée en micro cellules intégristes de tous ordres, qui raquettent pour un ordre, quand tant d'autres attendent hommes et femmes survivants à cet ordre d'une cellule parcellaire, pour les tordre dans un sens adverse et les arracher à la paix, de leur vie intime, jugée égoïste et inutile tant qu'elle n'aura servi à quelque phénomène de secte de quelque cellule de plus, ou de toujours la même, qui envahit lentement corps et esprit, dilapide temps de vie et de repos, obnubile et sert d'occupation nazie des corps et des esprits, mobilisés dans cette guerre éternelle qui tant sert à réunir des pays volontairement divisés, combat éternel de réunification de ces pouvoirs divisés, réduits à des clans adverses, pièges tortionnaires exigent tous les sacrifices, pathogènes et mortels. Raquet immonde mais purge véridique. Sodas dans bouteilles à capsule, ingérés par une moitié de la population, mélangés à traitement assoiffant neuroleptiques, destinés à calmer les esprits de révolte de l’agitation publique, et à augmenter la consommation de ces produits, destinés au départ à étancher les soifs les plus rebelles. L’information de campagnes de sensibilisation des Organismes institutions humanitaires et associations françaises et leur mobilisation ne circule plus que par l’infliction des tortures qu’elles ont répertoriées le plus souvent dans ouvrages médiatiques et des sites internet. Femme entre autres tortures, promise à l'incontinence urinaire des viols de son appareil génital, sinon par les lois du coïtus interrompus lysique, broyant par clap-end les muscles génitaux au moment le plus puissant de l'orgasme, piou-pioutage continu de sa sexualité, la Femme violée de ses couches, également condamnées au jeu meurtrier du clap-end, et là, il ne suffira du doigt des pompiers dans le rectum pour les sauver du décès. La culture humanitaire de gauche récupérée par les intégrismes fascistes français et étrangers pour une plus grande imposition de la torture en France, dont ces tortures répertoriées. Ces pouvoirs s’amusant au jeu d’exercer la répression exacerbant jusqu’à l’esprit de révolte jusqu’à la mater de répressions supplémentaires toute révolte qui en serait issue, la débusquant et la traquant jusques dans les moindres consciences tranquilles. Vaincre au prix de la mort les libertés de conscience et d’opinion, tel est le rôle d e l’Etat d’aujourd’hui, jusqu’à la fuite même des grands de ce monde à l’étranger de peur de tombe dans le piège promis de la répression psychiatrique Nul ne pouvant réclamer son indépendance au même titre qu’Amnesty International, politique, religieuse , éthique, philosophique, littéraire, artistique physique et financière bafouée par ces pouvoirs intrusifs à la vie intime et privée. Nostradamus disait, le 21° siècle sera un siècle de religions ou ne sera pas, la religion, une culture fondée sur la croyance en des faits issus du et basés sur le légendaire.
Ayant fait le tour des associations injoignables ou qui s'avèrent incompétentes en matière de violence sexistes envers les femmes battues, prostituées, notamment une certaine criminalité sinon raciale envers les intellectuelles et femmes émancipées, signifiant dans ce cas leur devoir d'abêtissement et d'infantilisation de leur logos, je remarque une nette tendance à la psychiatrisation des femmes violées, battues, prostituées, au sein même de la famille, ainsi qu'il en est pour mon cas, dans le particularités atroces de la torture psychiatrique,tout aussi grave et meurtrière que les violences conjugales qu'elles semblent reproduire, simuler, imposer, ainsi que que le devoir conjugal envers le médecin spécialiste, mariage dans la perte de la fidélité, aussi condamnée, l'obligation ainsi contrainte, au "droit de prostitution" érigé en devoir civique du STO, trafics d'un proxénétisme hospitalier féodal, gériatrique, psychiatrisé, méthodique, dépuceleur de jeunes filles, depuis la défloration au vilebrequin, écarteurs de cuisses (sur le bassinet ) de femmes rebelles à ce système de corruption de service hospitalier et psychiatrique, qui ne consiste plus qu'à imposer la torture médicale, y compris pédiatrique, anti-féministe, sous convention de torture électrique cérébrale constante, mutilatoire des zones cérébrales incriminées pour trop d'idées (de gauche, la gauche vécue mal, démence grave) mutilations nerveuses et cérébrales simulant et à titre de mutilation sexuelle déjà imposée, jusqu'au devoir de neurochirurgie, "geste médical" systématique, systématisé destiné à récupérer les victimes dites protégées, en devoir d'acception de ces pratiques, des dégats causés par la torture électrique, zones cérébrales réduite sen purées cuite de cerveau parfois ayant giclé d'incisions déjà pratiquées, pour résumer, de la torture physique et sexuelle, du viol correctif collectif dit thérapeutique, incessant dans certains cas dont le mien, à table, au lit, au travail, dans l'étude universitaire, scolaire, surveillance totale et absolue de la femme émancipée dans son devoir de manque d'autonomie, d'infantilisation de son statut réduit à celui de petite fille facile, si elle ne renonce à ses revendications, nées de ce ces méthodes de dictature fasciste, régnant dans les complexes hospitaliers, dans le cerveau de tout employé médical, en vogue dans le monde médical, sortes departies de torture, dites de snurf, à plusieurs, d'équipes venues inquisitionner au sein des foyers, couples, s'attaquant aux femmes seules, célibataires hommes et femmes, mères célibataires, dans une attitude de cette médecine, pédophile aryenne, dans une régression des droits de la femme, sous une loi de substitution du devoir du Christ et de Marie-madeleine crucifiée à sa place, de payer les fautes d'autrui, dans le monde du macquage hospitalier en accord avec le totalitarisme déviant de la police, de la torture médicale qui s'instaure, qui fait peur, plus que honte, un terrorisme psychiatrique, psychiatrisé pour ses crimes et crimes contre l'humanité sous l'étiquette de démence, bien pire que Terreur Blanche qui tient des principes mêmes de l'Inquisition, sur de modes d'intrusion dans la vie intime et privée, de la Gestapo, selon le modèle du film 1900.
Je signale le fait, en tant que victime de lois patriarcales encore en vigueur dans les familles y compris athées françaises, fondées sur le modèle néo-nazi subconscient des années 50, la psychiatrisation des idées de gauche, et de mai 68, faisant partie de mon éducation, a sein d 'une famille basée sur le principe du père patriarche et dictateur, pourtant issu de la laïcité, ce modèle se propage, halte.
Constamment retrépanée pour la pratique en continu de décharges d'appareils à détenteur, de la puissance d'une décharge d'arme à feu, quasi séquestrée à mon domicile sur ordre parental, à peine atteinte ma cinquantaine, afin de me punir des dernières plaintes que j'aurai émises auprès d'un tribunal, concernant ces pratiques illicites de la médecine, dévoyée dans la dépravation de la torture psychiatrique en famille, sans placement réel, les placements aboutissant surtout au décès organisé, prémédité, des victimes, entre "bons voisins" initiés à cette forme de "pédagogie" anti-universitaire, formule nouvelle du SAC, du FIS iranien, revenu en force dans les mœurs, faisant appel au tchador du traitement pédiatrique, neuroleptique, forme en sus de ceinture de chasteté castratrice des libertés sexuelles, bâillon chimique de la liberté de pensée envers toute femme consciente de de cette enfreinte à ses droits...
Vie réellement en danger de la Femme, dans la non-assistance à personne en danger commise de toute personne contactée, et surtout de toute médecine appelée à mon secours, reproduisant les violences déjà endurées, dans le silence sur les violences envers femme battue, enfant martyr depuis qu'elle est née, sous ces principes de chasteté, devoir de célibat, du devoir de se soigner d'elle-même pour son degré de cognition, de culture, de savoir, d'intelligence, de QI reproché etc...
Je crois que dans la version Affreux sales et méchants, existe la version psychiatrisée encore actuelle des violences faites aux Femmes, orgies ghors truculentes assez, assez orgiaques pour faire vomir dans l'imédiat, la décadence romaine n'ayant duré que 1000 ans, suite à celle de la société de dictature volontaire grecque, en duplication de nos jours dans un conglomérat des orgies païennes, religieuses depuis Lucrèce Borga, fascistes et soviétiques, en alliance avec les fascismes dus à la Femme, à son Amant, à l'enfance non morbide réduite au statut mortel de pédalon ou nymphette de choix dans les violences d'une prostitution infantile en famille à l'infini, ce n'était effectivement suffisant, pour que meure la patience immortelle, la raison de vivre des femmes, l'amour, l'humanité et la persévérance en l'affirmation de ses droits, des droits de l'Homme, à l'infini enfreints cf; le site http://chelseyletterstoworld.blogspot;com/, y compris dans sa totalité, ainsi que dans les rédactions parues les plus anciennes, afin d'en juger, site non conventionnel sur l'usage de la torture médicale, psychiatrique et d'Etat, dans la répression médicalisée contre le féminisme, site que je réactualise fréquemment.
L'essentiel étant que la natalité mondiale et des grandes continents, celui de l'Amérique aussi, recule, l'imposition d'un intégrisme religieux, qui peut aboutir à de tels fanatismes tels que le totalitarisme de l'abstinence, la religion, y compris catholique privilégiant le natalisme par interdiction de toute contraception, fermant les yeux depuis un siècle sur les contraceptions pénalisant la femme et cause de cancers dus aux hormones employées, le préservatif strictement prohibé autant que dans dictature Taliban et du moyen orient, dans une poltique nataliste d'envahissement d'hommes, femmes, enfants soldats nés de cette pratique politico-religieuse, et réservés aux prostituées, l'auto-contradiction des femmes conditionnées à ce vice lysique (de lysis, interdiction du rapport, déviance sexuelle en psychologie), sans compter les autres méthodes d'inhibitions de la libido aboutissant à des sociétés de psychopathes obsédés pervers et dangereux, en nombre dans la société Américaine, de cette pratique de l'abstinence forcée, les basses classes se reproduisant du fait de l'ignorance culturelle et en matière de prévention médicale, le plus sur moyen d'assurer la non-transmission des MST et de la prolifération nataliste d'êtres humains non désirés puis sacrifiés à cette cause par génocides, guerres, éliminations par la mafia, etc, serai de revenir à la bonne vieille tradition populaire du préservatif, si simple, si pratique, évitant la prolifération du Sida, l'imprégnation des tissus des organes génitaux de semences non seulement infectées, mais causes, si cela n'est encore démontré, de l'attachement physique et psychologique au corps et à la psychologie d'individus, parfois inconnus douteux ou rencontré de rencontres de un soir, qui non seulement peuvent laisser femmes fécondées pour une nuit de plaisir, mais en plus, peuvent à la longue, créer des troubles au niveau du patrimoine génétique, causer désordres mentaux dus à la multiplicité des génotypes absorbés par le corps, chaque génotype d'individu reçu, déclenchant une dépendance à son organisme,ne serait que par une action sur le système nerveux, hormonal, des neurotransmetteurs, mêmes si la fécondation ne se fait, les désordres mentaux suivant parce que la femme imbibée de plusieurs spermes, ainsi que des réactions physiques, somatiques, intellectuelles, (le fameux fait de la science infuse), chacun déclenchant des réactions parfois violentes l'un à 'autre, allant parfois jusqu'à a cancérisation-punissement de ce "pécher" en fait, actes contre-nature répétés, chacun conférant un type de physique et d'identité mentale à la receveuse, d'où certaines perdant la raison, ne s'y retrouvant entre les effets successifs des semences, car le sperme possède une action sur le corps encore méconnue,mais surpuissante autant que son pouvoir de fécondation, indépendant de la volonté et du gré de la femme, qui la première à en être la victime et à payer le prix de sa faute de coucher; donc, s'il est vrai que l'on peut également préconiser la fidélité dans les couples sans pour autant la rendre obligatoire d'un dictat supplémentaire encore en vigueur, la fidélité au bout d'un temps de recherche et d'adaptation du couple qui s'est trouvé est la première recommandation le temps de son existence, si le couple s'est trompé, il peut choisir un temps de recherche extérieure au couple, de relations amoureuses, se séparer ensuite, donc, toujours, dans le cas où chez un partenaire, cela ne serait avoué, toujours respecter l'usage du préservatif, y compris dans les couples officiels et déclarés. La morale et la moralité, parfois, dépendant plus de la science biologique, que de l'éthique philosophique ou religieuse.
Si la masturbation, l'onanisme (la masturbation onirique) étaient mois réputés actes contre-nature dangereux pour le corps et l'âme par les Églises et la Religion, peut-être moins d tracassés frustrés de tortures familiales et sociales immondes, dont l'entreprise de répression médicale du suivi thérapeutique psychiatrique, jusqu'à constituer des prisonniers pratiquement d'État sinon de comités d'action civique conditionneurs pro-nazis constitués dans la population, afin d'interdire dès leur enfance pour ce simple acte naturel de "se toucher", le plaisir,la satisfaction du soulagement ainsi acquis du corps et de l'esprit, qui fait partie de l'apprentissage de la coordination des sens, des réflexes et de l'éveil de la pensée, du rêve onanique (non des fantasmes, qui sont les déviances érotique du rêve d'amour et du rêve ) éveil aussi sens chez l'enfant, puis , la constitution d e son système nerveux dans le fonction sexuelle d'abord de soi à soi (endogène)puis de façon relationnelle (exogène), passage de la sexualité onanique étape normale chez l'enfant qui si elle est perturbée fait des désaxés violents, hyperactifs, intenables et dissipés à l'école, en famille, rendant la vie infernale des proches, puis traités par drogues hypersurexitantes, relevant du trust médical de Bush qui prétend ensuite aux soins et établie son programme de ratissage systématique dès les crèches et les écoles, d'une société policière contre les libertés et le plaisir, le soulagement et la paix du corps, de l'esprit, pour une culture de l'ignorance analphabète et du conditionnement armé des armes de la médecine pro-bushienne, basée sur la médicalisation par le nouveau programme de psychiatrie sur les jeunes, de la normalité dans une ébauche de société policière de plus, fondée sur la prohibition instituée de la sexualité chez les jeunes et tous petits, et les pépinières de l'enfance hitlérienne, castration inhumaine de la libido et de la sexualité, sport favori des familles reproduisant cette mutilation mentale et physique sur leur progéniture, pour l'avoir subie, enfance maltraitée, séviciée, torturée de ce fait, de violences graves, (dans certaines institutions l'interdit pouvant aller jusqu'à la trépanation cérébrale, et de réseaux de nerfs pelviens, de l'appareil sexuel) du devoir commun à la famille américaine de coïtus interrompus (briseur des réseaux nerveux des sens et acte de tabassage, d'infliction de coups par lce fait du lysis) au moindre attouchement, baiser, rapport sexuel "surpris"de leurs enfants, surveillance, contrôle policier des familles sur leur descendance, pour le fait de l'interdit de la bible,

Vous faites bien de rappeler que la masturbation, le rapport sexuel, l'amour physique et mental sont un pécher, elle consiste à une relation naturelle d'apaisement, parfois exploitée à cette fin, dans des déviances d'adultes instituant cet acte par la force, dans un but d'exploitation libidineux où à des fins correctives, dans ce cas il s'agirait de "viols correctifs" parfois accompagnés de mutilations certaines mortelles, imposés à des adolescents, enfants et mêmes adultes, (jusqu'en France, qui souffre de ce stratagème depuis les années 50) d'où la notion de "pécher" envers l'acte de se soulager, qui ne doit ni être systématisé, ni être stigmatisé jusqu'au trouble pervers, sexuel et mental, ni être prohibé de tortures inhumaines, car s'il est relatif la nature humaine, il correspond à un besoin vital autant que la satisfaction des besoins naturels, qui si entravés, dérivent dans des actions maladies du corps et de l 'esprit, d'où le nombre de malades dans les continents de l'occident, car relevant de cette pratique de l'interdiction de la relation sexuelle chez les jeunes, les enfants et nouveaux-nés, qui eux soumis à l'inceste dès leurs premiers jours, sont ainsi plus faciles à manipuler politiquement et religieusement, augmentent le taux de mortalité par brutalités, maltraitances, malveillances, suicides, criminalité ect; Ceux qui "osent se toucher" éliminés directement soit par la famille, soit par les proches, soit par la société, puis par la médecine psychiatrique, soit tués froidement, sinon tombés dans les drogues, l'alcoolisme,les addictions mortelles et criminelles;.Donc ne point induire, en fait contraindre à la masturbation pour la punir de supplices de l'enfer; des nourrissons, jeunes et adultes sacrifiés à cette prohibition qui tient de la Prohibition des années 30 contre l'alcool, durant la montée au pouvoir du nazisme.

1 commentaire:

  1. Lοllipop ѕhаρed v2 сigs are
    quite ωell κnown amongѕt ladіes.



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