jeudi 18 février 2010

J'ai fait le tour des associations contre les violences faites aux femmes, en congé de fin d'année encore, les violences que je subis depuis la Toussaint mettant ma vie quotidienne en danger, sur la région de Hérault, aucune permanence s'avérant possible, les associations contactées, se disant incompétentes, dès que quiconque porte attente à l'image de la médecine, ici en cause, ou de l'autorité parentale, l'image pure et l'impunité, l'immunité de blouse blanche, forme aujourd'hui de robe de noblesse de robe, si inattaquable que ainsi que nombre de relations amicales que j'aurai eu, je risque moi aussi, de ne pas en survivre. L'affaire ayant débuté par une lutte de classes sur laquelle se crispe un secteur médical psychiatrique de la région, pro-soviétique, le secteur de santé mentale 2,(puis le 1 et enfin d'autres) pour m'avoir trouvée trop "rupine," de trop bonnes notions culturelles, d'un logos universitaire redouté d'eux, et pour ma qualification de "Madame de Maintenon", (mes amants reprochés) "Récamier," "pute de salon", (je suis artiste, au départ artiste peintre, trépanée pour mon art pictural jugé subversif dans les années 80, puis reconvertie dans l'écriture, auteur de deux livres publiés) et Madame de la Trémouille, insultes gratuites des médecins inquisitionneurs de ce département médical, qui plutôt que me venir en aide, et enfermer les ex-concubins en intrus dans mon domicile, et en état de viols quotidiens, de violences aggravées, m'auront violée eux aussi, tabassée quotidiennement jusqu'à la mort apparente, au cours d'une partie d'amusement, s'amusant de moi pour le profit dans une "sauterie récréative" qui dure, se disant saouls, ayant bu et fumé, partie de torture de "nantis" ainsi qu'ils se sont déterminés, sur femme pauvre et démunie autant que dans partie de "chauffe" du Moyen Age sur femme serve, partie aussi de meurtre et de snurf, dans mon logement devenu chambre de torture sado-masochiste, depuis mon anniversaire, le 26-11-2009, où ma vie a basculé dans l'horreur. la justice, les forces de l'ordre, les pompiers, leur prêtant aide et appui, intimidations et violences supplémentaires,complices. Mon père incité à soutenir ces pratiques illicites, les encourageant, les ayant causées depuis ma naissance, et même les rémunérant, les violences à domicile empirant, la phase paroxysmique atteinte ces derniers jours, les fêtes et leur degré d'alcoolémie augmentant la dangerosité des rites médicalisés des tortures médicales endurées.

L'éthylisme dans ces milieux médicaux et de l'éducation, dont une part de ma famille est fonctionnaire, à parties fines de même type, ballets bleus et roses faisant rage,allant de pair avec celui d'infirmiers en équipes, soudoyés en bakchichs.

En voie de décéder peut-être sous peu, si ces violences perpétrées persistent, je fais appel à votre aide, si vous pouvez me l'accorder, en réfléchissant au fait que ce genre de proxénétisme, pratique l'immersion totale dans le monde de "la chambre fermée" à domicile, autant que cela se pratique, en département, dont les pavillons disciplinaires, souvent appelés à me "raisonner".

Dans l'optique d'une politique véritable de la Santé qui ne mettent en péril des vies innocentes, ni la vie de femmes éclairées sur les problèmes des violences faites aux femmes, ou les ayant subies des existences de souffrance entières, afin que la médecine ne cède aux pornocrates qui règnent, cerveaux de trafics de proxénétisme hospitalier, afin que nul ne cède aux pressions politico-juridico-financières en jeu, pressions physiques que je subis, destinées à faire fléchir ou décéder, si je dois tant mourir pour "des idées", le rush médical que j'endure depuis ces dernières semaines, en voie d'exécution sinon publique sur la place publique ou en privé, si je ne me tais, le silence sous peine de mort, alternés avec interrogatoires musclés, provocations incessantes obstructionnelles,en provenance du Secteur 2 de santé mentale du CHR, et du secteur 1, en répression absolutiste pour des faits rapportés et très inventifs, des accusations mensongères et délations de tout ordre,envers ma vie privée,intime, et autres attaques personnelles d'individus louches, dont mon propre père, qui pris de folie meurtrière ces derniers temps, et voire d'éthylisme dont il est en déni, a fait appels à ses tueurs à gage et d'élite, d'ordre médical, après m'avoir faite longtemps surveiller, depuis environ 2003. Son trip digne du führer va en crescendo, dans une crise paroxysmique où il attente à ma vie, quotidiennement, des ordres qu'il institue à mon égard, pris, manipulé dans le trafic d'un réseau hospitalier, dont un réseau de prostitution pédophile et homophile, à mon avis, usant pour régner de conflits familiaux, et des cas de maltraitance, de violence familiale, d'inceste, de violences à domicile en tous genres, pour non les régler, mais constituer des filles tenues, filles faciles dont il faudrait que je sois, en sus de pratiques de la torture hospitalière,médicale et de maison de correction en partie fine, dites orgies, à inceste destinées à les "former"; ma vie entière sacrifiée à ces trafics, dont celui de proxénétisme pédophile envers les Femmes émancipées, usant des organes et matériels répressifs de la psychiatre, en vue de "dérouiller", "racler" ces femmes intellectuelles pour leur degré de conscience, les promettre au "bordel rouge" et nazi et les réduire au stade de "petites files faciles" pour leur usage initial du plaisir onanique, le plaisir solitaire, l'usage libre du plaisir (masculin également) condamnés le plus souvent souvent de la torture pratiquée mort (sinon de violences à domicile,des tortures psychiatriques poussées à leur comble, létal) et à la condition et rang de mineures délinquantes punies des formes multiples de la prostitution occasionnelle infantile.

Ma vie en danger, vertèbres cervicales quotidiennement ces jours ci déviées, épaule démise, reins cognés trop arMqués de l'épilepsie, coups portés à la face et tabassages quotidiens, destinés à me "raisonner" parfois en continu, souvent pour avoir été trouvée à mon réveil "trop bien", (trop belle trop fine, trop mineure ou trop jolie), à main armée d'appareils dits d'électrothérapie, à détenteur, d'une détente d'arme à feu, autant de balles dans le crane le réduisant en bouillie, parfois jusqu'à l'explosion de cerveau cuit, coups portés à la face à emboutir les os des tempes, jusqu'au port d'attelles sous les os du visage, destinées à me restituer mon apparence initiale; d'où dans ces cas l'invocation du handicap,parfois résiduel, séquelle de ces pratiques illicites au sein des couples, foyers et familles, en faux placements licites, sous couvert de l'étiquette des démences prétextées par loi de la rétroactivité,, si ces méthodes sont permises, en placement réel. Destinés à "faire disparaitre", ou "se débarrasser" définitivement, d'une personne d'abord vivant en paix, puis victime ici dans mon cas, des violences conjugales d'un parent pour l'inceste qu'il commet, également de ces pratiques, basées sur le viol correctif; dont certaines filles du ghetto de Montpellier, ont été victimes sur des matelas pisseux dans les caves des HLM de l'OPAC, certaines fermées, reproduites à  domicile.

Associations de protection envers les femmes, injoignables ou qui s'avèrent incompétentes en matière de violences sexistes envers les femmes, notamment une certaine criminalité sinon raciale envers les intellectuelles et femmes émancipées, signifiant dans ce cas leur devoir d'abêtissement et d'infantilisation de leur logos, je remarque une nette tendance à la psychiatrisation des femmes violées, battues, prostituées, au sein même de la famille, ainsi qu'il en est pour mon cas, dans le particularités atroces de la torture psychiatrique,tout aussi grave et meurtrière que les violences conjugales qu'elles semblent reproduire, simuler, imposer, ainsi que le devoir conjugal envers le médecin spécialiste, mariage dans la perte de la fidélité, aussi condamnée, l'obligation ainsi contrainte, au "droit de prostitution" érigé en devoir civique du STO, sous prétexte parfois de service sexuel "initiatique à a sexualité chez les incultes et demeurés, trafics d'un proxénétisme hospitalier féodal, gériatrique, psychiatrisé, méthodique, dépuceleur de jeunes filles, depuis la défloration au vilebrequin, écarteurs de cuisses de femmes rebelles à ce système de corruption de service hospitalier et psychiatrique, qui ne consiste plus qu'à imposer la torture médicale, y compris pédiatrique, anti-féministe, sous convention de torture électrique cérébrale constante, mutilatoire des zones cérébrales incriminées pour trop d'idées (de gauche, la gauche vécue mal, démence grave) mutilations nerveuses et cérébrales simulant et à titre de mutilation sexuelle déjà imposée, jusqu'au devoir de neurochirurgie, "geste médical" systématique, systématisé destiné à récupérer les victimes dites protégées, en devoir d'acception de ces pratiques, des dégâts causés par la torture électrique, zones cérébrales réduites en purées cuite de cerveau parfois ayant giclé d'incisions déjà pratiquées, pour résumer, de la torture physique et sexuelle, du viol correctif collectif dit thérapeutique, incessant dans certains cas dont le mien, à table, au lit, au travail, dans l'étude universitaire, scolaire, surveillance totale et absolue de la femme émancipée dans son devoir de manque d'autonomie, d'infantilisation de son statut réduit à celui de petite fille facile, si elle ne renonce à ses revendications, nées de ce ces méthodes de dictature fasciste, régnant dans les complexes hospitaliers, dans le cerveau de tout employé médical, en vogue dans le monde médical, sortes de parties de torture, dites de snurf, à plusieurs, d'équipes venues inquisitionner au sein des foyers, couples, s'attaquant aux femmes seules, célibataires hommes et femmes, mères célibataires, dans une attitude de cette médecine, pédophile aryenne, dans une régression des droits de la femme, sous une loi de substitution du devoir du Christ et de Marie-madeleine crucifiée à sa place, de payer les fautes d'autrui,ses fautes de frappe, les expier notamment en mon cas sous les viols d'un de mes ex-concubins, d'autres violeurs psychopates en intrusions constantes, dans le monde du macquage hospitalier en commun accord avec le totalitarisme déviant de la police, de la torture médicale qui s'instaure, qui fait peur, plus que honte, un terrorisme psychiatrique, psychiatrisé pour ses crimes et crimes contre l'humanité sous l'étiquette de démence, bien pire que Terreur Blanche qui tient des principes mêmes de l'Inquisition, sur de modes d'intrusion dans la vie intime et privée, de la Gestapo, selon le modèle du film 1900.

A peu tout type de maladie mentale ayant été depuis ma naissance, envers moi nvoqiées, sauf peut-être quelques unes méconnues du grand public.Chaque diagnostic, pouvant conduire à de poursuites pénales, diférant avec le médecin employé.


Peine capitale de nos jours encore exécutée,au sein des hôpitaux psychiatriques et généraux euthanasie imposée, infligée destinée d'ordinaire aux vieilles personnes anciens résistants et femmes âgées au sein des maisons de retraite capables des pires meurtres prémédités et violences létales, dont, sur ma personne, non en âge de 65 ans requis pour ce droit à l'exécution capitale dans ce genre de conditions de camps d'extermination, soumise à cette heure à cette décapitation lente commise sous le bâillon chimique de la chape de plomb totalitaire du médicament neuroleptique, le fameux traitement de la torture chimique commune à tout prisonnier politique de ce régime d'années de plomb, afin d'éviter tout ébruitement pour en partie, des faits et agissements pierre d'achoppement de ce livre, Judas, un denier de mes inédits.

Peine capitale tentée entre autres sur mon chat, trouvé rebelle car doué d'une forte intelligente presque humaine, tabassé longtemps aux électrochocs autant qu'être humain, sachant que le crane d'un chat est de taille beaucoup plus réduite que celle d'un être humain, donc, laissé souvent à l'agonie de cette torture, réveillé par vétérinaires intervenues à temps pour lui à mon insu, tabassé quasi à mort à nouveau moi-même autant, par intervention de ces plombières électriciens des départements psychiatriques, en visites constantes sur les appels de mauvais éléments, lui, crucifié longtemps sur cette croix du chat du film 1900, jugé inutile si je devais être exécutée. Tentatives répétées d'exécution de mon chat pris en otage brulé plusieurs fois ces dernières années, jusqu'à l'odeur de viande frite des son crane et de jus de viande, son sang.mon organisme tnt intoxiqué d'overdoss de médicaments, anesthésiques, neuroleptiques quotidiens et retard, en achet se tinjections, sans placment légal, enflé de ces overdoses, causes d'oedme généralisé, jusquà la dificulté respiratore frquemment imputée au tabac, overdoses galement jusqu'à la rétention hydrique, poussée au surpoid, la dévitalisation ds chairs et tissus, par privation continue sciemment prolongée, inanition destinée à m'afaiblir, m'interdire toute riposte verbale, écrite, digérer es tissus cérébraux et réseux nerveux en vue de leur résection partielle et en grand part, digestion des tissus de l'organsime augmentée de glaires et excès salivaires de codamnés à cs mêmes pratiques, dégurgitées au cours de malaises et junes pour les mêmes opérationsneurologiques poussées jusqu'au devoir de neurochirurgie, dit "geste médical", mon corps si ce jeune se prolonge, constitué entièrement, de cytoplasme,d'eau, de quelques tissus interstitiels constitaunt l'enveloppe de cellules, fragilisées du manque de protines et de nourriture saine;

Ou du moins appropriée, souffrn d'u cancer du sein acquisde ssouffrancs et doloeurs insurmontables, de méthodes similaires, destinées à rendre folle ou fou des blessures occasionnées, plaies multiples et répétées, tabassées jusqu'à la réanimation fréquente, brulures pouvant dans certains cas être mortelles, jusqu'à certain degré de cuisson du cerveau, en particulier ds zones à amputer, très cuites, sinon frits dans lebeurre et le "jus" de cerveau voulu.Torture antropophage de type nazi.les zones résques, souvent présentées ensuite sur plateau de légumes régurgités pour l'occasion, fadaises que ces médecins et équipes médicales se sont permises, réputées farces Jung.

Je fais appel à votre aide, en tant que victime de lois patriarcales encore en vigueur dans les familles y compris athées françaises, fondées sur le modèle néo-nazi subconscient des années 50, la psychiatrisation des idées de gauche, faisant partie de mon éducation, a sein d 'une famille basée sur le principe du père patriarche et dictateur, pourtant issu de la laïcité, ce modèle se propage, halte; constamment trépanée pour la pratique en continu de décharges d'appareils à détenteur, de la puissance d'une décharge d'arme à feu, quasi séquestrée à mon domicile sur ordre parental, à peine atteinte ma cinquantaine, afin de me punir des dernières plaintes que j'aurai émises auprès d'un tribunal, concernant ces pratiques illicites de la médecine, dévoyée dans la dépravation de la torture psychiatrique en famille, sans placement réel, les placement aboutissant surtout au décès organisé, prémédité, des victimes, entre "bons voisins" initiés à cette forme de "pédagogie" anti-universitaire, formule nouvelle du SAC, du FIS iranien, revenu en force dans les mœurs, faisant appel au tchador du traitement pédiatrique, neuroleptique, forme en sus de ceinture de chasteté castratrice des libertés sexuelles, bâillon chimique de la liberté de pensée envers toute femme consciente de de cette enfreinte à ses droits..


N'étant ni sous aucune mesure réelle de placement, ni ne mesure de suivi à domicile, ni de maintien en appartment thérapeutique, mesure disciplinaire, et pourtant traitée à domicile tout autant que dans séjour disciplinaire dans départements de santé mentale, selon les modalités d'interventions qui se pratiquent de nos jours,calquées sur les torture pratiquées dans les interntements à l'étranger (Turquie, Asie, Amérique, roumanie) je vous ai confié des écrits concernant une affaire d'usage illicite de la médecine psychiatrique dans des pratiques du proxénétisme communes à des secteurs hospitaliers, sur simple demande de pères et mères de familles à structure familiale basée sur la mère maquerelle et le père sinon führer, du moins père patriarche de type taliban, iranien, ou pakistanais, se calquant sur ce pouvoir hyperrépressif, parents protecteurs et leurs complices, obsédés par ce pouvoir du CHR d'intervenir dans le domaine privé à des fins de parties de stupre vénal et donc à des fins de constitution par leurs services, de prostituées sur exigences de leur famille, pédophile de ce système de corruption, en aficionados adeptes de cette dépravation hospitalière, contraintes par ce genre de macquage à des médecins véreux, crapuleux assez pour instituer ce droit de fait d'interventions constantes au domicile, dont ici, le mien,issue de milieux pédophiles de l'enseignement, adeptes de ce type de pédophilie psychiatrisée sur enfant martyr, pour infliger de séances d'électrochocs, électrodes en tous genres, jusqu'à la cuisson de système nerveux et cérébral,destinées à en continuum le tabasser, digéré de plus par imbibitions forcées de salives d'autrui destinées à le digérer, dans un but d'obliger et de m'obliger, à ne point leur résister, quitte pour eux à soumettre à des exécutions sommaires si refus de céder aux rites obligatoires de la prostitution dite ensuite libre,et pratiquées depuis les dernières lois de Sarkozy, en appartement, sans préservatifs, prostitution à déviances sexuelles contre-nature dangereuses pour la vie et la santé, parties de torture à thèmes et trips des plus fascistes dites de snurf, médicalisées, avec actes maints de défiguration, vitriolage de produits nocifs du corps et de la beauté de ces femmes, condamnées pour ces agissements au célibat, sous prétextes de placements d'office, le plus souvent, mesure de protection administrative de la personne en milieu dit protégé, à l'usage illicite de la torture psychiatrique des plus fascistes poussée à des degrés de violence et de crémation du système nerveux (ensuite dépecés le sujet encore en vie, systèmes cérébraux dont certains déclarés ainsi que le mien au départ de l'affaire, de très fort potentiel, donc anormal, décrété anomalie), tels qu'ils peuvent devenir meurtriers, placement le plus souvent affabulé et prétexté pour plus de liberté dans ces agissements dont soumission à la consommation forcée de porc, très enlaidissant, de la chevelure, brulure du sexe à titre répressif, affamement, privations de nourritures essentielles à la vie, auto-alimentation notamment en viande et surtout viande rouge, très prohibée, alimentation des victimes tolérée si seulement expressément, exclusivement sous régime sans protéines d'une l'alimentation forcée à base de viennoiseries grasses sucrées et salées, (croques-monsieur, et autres ) de pâtes et de pâtées pour chat par intubation, parfois jusqu'à a sur-nutrition des années maintenue, méthode issue de celles de Mussolini, malbouffe destinée à bruler, cuire,dessécher,autre procédé de crémation, digérer les protéines des chairs par l'abus de graisses et de sucre, carençant, obligation en continu au régime sans résidus destiné d'ordinaire aux examens coloscopies, régime en ce cas employé dans un but de cancériser, seule nourriture par ces bourreaux tolérée, car sans fibres, ni légumes, ni fruits, privation de sommeil, de biens vitaux et nécessaires au confort,qui leur est reproché trop bourgeois pour elles, restrictions en complicité avec des organismes de tutelles tels l'UDAF, inflictions arbitraires (sous un prétexte de devoir de substitution envers des victimes de violences), de punitions médicalisées pédophiles telles injections d'anesthésiques à cul nu en public, destinés à des séances de torture électrique, employées par les services médicaux en opérations du cerveau, imposition de nourritures contraires à la santé, forme de brutalités supplémentaires, tortures, sévices institués à tire de punitions corporelles, châtiments corporels arbitraires des rituels orgiaques pédophile encore en vigueur, envers femmes, filles émancipées, donc décrétées "pas sages" si non filles faciles, sinon en devoir d'être et rester filles tenues, de ces pratiques de la torture et méthodes policières pouvant aboutir au suicide contraint sinon le meurtre dans d'atroces souffrances mentales et physiques de la victime, ou à la pousser à l'homicide par légitime défense de leur mac, ainsi qu'il en est pour ma personne, en état de bourreaux depuis la petite enfance de leur victime, affaiblie physiquement de surcroit, d'inflictions en continu de narcotiques puissants, cuisant les chairs disloquées en plus de la cuisson de l'organisme due aux décharges violentes de courants électriques donc, des massacres, officiellement et rituellement déclarés inexpliqués et subits, incompréhensibles, les instances juridiques, les forces de la police, protégeant sciemment les faits, contraignant au règlement de compte meurtrier. Tentatives d'homicide auxquelles je ne sais par quelle résistance physique commune à ma famille, j'ai survécu, certaines décédées à cette heure de ces violences, ou rendues à la vie très diminuées. Mon appartement devenu leur "ferme", certains pavillons psychiatriques usant de telles méthodes envers certaines de leurs protégées dites "rétives"au métier, autrement-dit, leur maison d'abattage, d'entrainement, ou dite de correction destinée à contraindre sous le viol continuel, l'usage en continu de la torture électrique et psychiatrique, à se soumettre aux lois du macquage flicquant ,proxénète, lois de droit de fait destinées à établir depuis 1900 sur la France ce type de dictature régnant dans l'immobilisme social et la peur du psychiatre générée par ces secteurs médicaux institués en organes répressifs des pouvoirs établis, assez cyniques, machiavéliques et mafiosi pour "s'amuser à faire du fric, dans ces formes de placements d'office non déclarés, ni au préfectures, ni à la sécurité sociale, argent au black dont ils sont rémunérés, faute de budget plus conséquent, en cause, les suppressions des financements et subventions en provenance de l'état, sic, pour leurs abus et crimes contre l'humanité rituellement traditionnels en tous milieux, déjà connus en prolifération,dans les domaines de la psychiatrie, milieux pro-soviétiques très éthyliques, d'une supériorité raciale insupportable.

A peu tout type de maladie mentale ayant été depuis ma naissance, envers moi invoquées, sauf peut-être quelques unes méconnues du grand public. Chaque diagnostic arbitraire , pouvant conduire jusqu'à des poursuites pénales, et différant avec le médecin employé;

Un psychopathe intervenant à mon domicile, protégé dans cet emploi de censurer, saboter  mes textes et écrits, couriels et manuscrits, de me reprocher éternellement, la faute professionnelle qui m'a été infligée, puis mise sur mon compte, de doublons dans un travail de saisie informatique lors d'un CES que j'effectuais au sein de la Pharmacie de melle Rousseau, pharmacie de Saint-Eloi, dans les années 90, doublons prémédités par un de ces saboteurs, mon travail mis sous électrode quasi constantes d'équipes intervenantes fanatisées sur mes lieux de travail, y compris la DDASS où j'avais entamé ce CES, puis mutée pour les raisons suivantes, de titularisation de mon poste, qui exigeait un diplôme que je n'avais, j'avais été mutée ensuite à Saint-Eloi, où l'équipe, je suppose de Robert Bres, dont je n'étais plus officiellement suivie, avait décidé de mon licenciement, ainsi que de tout emploi que j'oserai tenter, qui pourrait m'assurer une indépendance vitale envers ce département, où ce secteur m'a voulue, sous prétexte ,et afin de prétendre à la maladie, au devoir d'"éteindre" "les plus atteints", ma lutte contre ces crimes contre l'humanité sanctionnée de tentatives multiples d'infliction de l'euthanasie telle qu'ils revendiquent pour certains pavillons,qu'elle s'inflige dans ces secteurs, par mort violente et lente, sinon douce et contre le gré des victime, qui pourraient s'avérer un danger potentiel de dénonciation envers ce crimes, abus, tortures déjà subies, si ces patients n'ont "appris la leçon" imposée de la loi du silence sur ces faits, maladies mentales, préfabriquées sur les modes identiques, à un travail à la chaine, que ces personnels médicaux, revendiquent, au nom de stakhanovisme inavoué du travail, dont ils me veulent atteinte, toute résistance à leur politique, décrétée nazisme, atteinte grave de la maladie; paroxysme actuel de l'affaire, suite à mes plaintes, en concussion véreuse, avec le secteur 1, qui se charge de couvrir l'affaire, en séquestrant, sinon d'interventions identiques, sinon en légalisant le fait des virées, expéditions punitives à domicile, dans trams, cars, taxis, restaurants, commerces, par le placement officiel;
Les médecins de ces départements,ayant fait le temps des fêtes de fin d'année, une incursion à petite fête alcoolisée dans on appartement, fête où ils se sont amusés de moi avec les instruments dits de soin de leur pratique  médicale, eux affirmant qu'ayant bu, ils ne se souviennent de rien, ils auront voulu me faire définitivement disparaitre, afin de s'éviter tout procès, qui pourrait s'avérer envers eux accablant, d'où la censure de mes textes, rédigés sous interventions médicales, à anesthésies et électrodes, dont le plus souvent parfois électrodes sans anesthésie, d'où la présence de fautes de frappe multiples, mes rédactions entravées de ces décharges électriques, engins de contentions les simulant douloureusement, et violences  psychiatriques supplémentaires; me vouant à sur internet, intervenants n'hésitant à la l'alimentation forcée sous peine de gaspillage de la totalité de ma nourriture par la souillure de déchets hospitaliers humains, résection lobotomique du pourtour du cerveau, sinon de matière grise cérébrale , environ un Kg dès l'entière repousse des zones amputées, ainsi que nerfs intracrâniens, dédoublés de violentes décharges électrodes,les tuant net, excisés et s'accrochant à la main d'électricité statique. D'où quelques difficultés à retrouver, mon niveau intellectuel réel et encore récemment acquis, évalué au niveau agrégations, agrégations multiples car étoile de la personnalité et de facultés mentales, éclectique,l'étude philosophique dans laquelle j'ai été repoussée de ces pratiques  illicites, sanctionnée des mêmes pratiques,ma vie sacrifiée à cela, dans l'abstinence sexuelle exigée, l'étude, les électrodes,les trépanations, m'ayant formée à cet éclectisme, étude réséquée dès que sues sur délation de type vichissoise et police stasie politique régnant autour de ma personne, exercices de surveillance suivis de contrôlés à domicile, interprétée selon les critères phallocrates du diagnostic de démence, forme de délire paranoïde chez individus ayant subi  des controles dê type identique;toute vie relationnelle, sexuelle immédiatement si sue, sanctionnée de décharges supplémentaires;existence condamnée au célibat, qui m'est reproché sous l'injure de "vieille fille".

Affaire d'usage illicite de la médecine psychiatrique dans des pratiques du proxénétisme communes à des secteurs hospitaliers, sur simple demande de pères et mères de familles à structure familiale basée sur la mère maquerelle et le père sinon führer, du moins père patriarche de type taliban, iranien, ou pakistanais,se calquant sur ce pouvoir hyperrépressif, parents protecteurs et leurs complices, obsédés par ce pouvoir du CHR d'intervenir dans le domaine privé à des fins de parties de stupre vénal et donc à des fins de constitution par leurs services, de prostituées sur exigences de leur famille, pédophile de ce système de corruption, en aficionados adeptes de cette dépravation hospitalière, contraintes par ce genre de macquage à des médecins véreux, crapuleux assez pour instituer ce droit de fait d'interventions constantes au domicile, dont ici, le mien,issue de milieux pédophiles de l'enseignement,adeptes de ce type de pédophilie psychiatrisée sur enfant martyr, pour infliger de séances d'électrochocs, électrodes en tous genres, jusqu'à la cuisson de système nerveux et cérébral, destinées à en continuum le tabasser, digéré de plus par imbibitions forcées de salives d'autrui destinées à le digérer, dans un but d'obliger et de m'obliger, à ne point leur résister, quitte pour eux à soumettre à des exécutions sommaires si refus de céder aux rites obligatoires de la prostitution dite ensuite libre,et pratiquées depuis les dernières lois de Sarkozy, en appartement, sans préservatifs, prostitution à déviances sexuelles contre-nature dangereuses pour la vie et la santé, parties de torture à thèmes et trips des plus fascistes dites de snurf, médicalisées, avec actes maints de défiguration, vitriolage de produits nocifs du corps et de la beauté de ces femmes, leur soumission à la consommation forcée de porc, très enlaidissant, à la brulure éclectique et chimique de la chevelure, symbole sexuel pour eux fort, qui doit sentir fort, autant que l'odeur de bouc (émissaire) du corps après le viols contraints des lynchages et raclées aux électrochocs de tous genres, condamnée pour ces agissements envers le célibat, l'infidélité et la discorde dans les couples, dans l'obligation du devoir conjugal, et le respect dû à l'infliction identique de l'inceste, et la protection systématique des violences conjugales, familiales, à domicile, faites à femme et l'enfance martyr, sous la soumission obligatoire sous intervention psychiatrique d'urgence, à la domination du mâle, le discours de la femme tronqué des lobotomies commises sous appareil de torture électrique parfois infligée jusqu'à des blessures entraînant le décès, sous prétextes irréels de placements d'office, ces "mesures de protection anticipée de la personne, hors normes, connues pour leur pratique de torture de guerre, physique et génitale, mentale et morale, sont licites, et légales en placement réel, le plus souvent, mesure de protection administrative de la personne en milieu dit protégé, à l'usage illicite de la torture psychiatrique des plus fascistes poussée à des degrés de violence et de crémation du système nerveux,(ensuite dépecés le sujet encore en vie, systèmes cérébraux dont certains déclarés ainsi que le mien au départ de l'affaire, de très fort potentiel, donc anormal, décrété anomalie),tels qu'ils peuvent devenir meurtriers, placement le plus souvent affabulé et prétexté pour plus de liberté dans ces agissements dont , brulure du sexe à titre répressif, affamement, privations de nourritures essentielles à la vie,auto-alimentation très prohibée, prétexte à un alimentation des victimes tolérée si seulement expressément, exclusivement sous régime sans protéines d'une l'alimentation forcée par intubation à base de pâtes et de pâtées pour chat , parfois jusqu'à la sur-nutrition des années maintenue, méthode issue de celles de Mussolini, malbouffe destinée à bruler, cuire,dessécher,autre procédé de crémation, digérer les protéines des chairs par l'abus de graisses et de sucre, carençant,obligation en continu au régime sans résidus destiné d'ordinaire aux examens coloscopies, régime en ce cas employé dans un but de cancériser, seule nourriture par ces bourreaux tolérée, car sans fibres, ni légumes, ni fruits, privation de sommeil, de biens vitaux et nécessaires au confort, qui leur est reproché trop bourgeois pour elles,nourriture réputée dégeler les pucelles, par son infliction, technique séculaire du viol par trop de procédés humiliateurs dans les traites des femmes, causant un plaisir masochiste jusqu'à l'orgasme involontaire, déclenché à domicile sous intubations forcées d'aphrodisiaques chocs électriques sous anesthésiques locaux souvent des journées durant, et dont ne serait-ce que l'épilepsie peut à chaque séance, avec l'injection trop fréquente d'anesthésiques, et les chocs causant souvent des traumatismes crâniens, fortes commotions, (résolument interprétées par le personnel "soignant " appelé ébriété alcoolique ou causé par usage de la drogue, faux prétexte à des tabassages en règles e cures d électrochocs, pour tout besoin de ce secteurs, parfois employés pour réanimer après les séances de lynchage précédant) , en sus d'orgasmes obtenus par la force de l'artifice, ajoutés aux viols subhumiliants des défécations, mictions forcées, vomissements contraints du tabassage électrique imposé si douloureux des contusions et blessures internes(ruptures de nerfs sciatiques, jusqu'à gros tendons et ligaments autant que câbles des fortes tensions infligées, broyage des chevelus nerveux, veineux et artériels nécessitant anesthésies, puis émusclations de muscles encore en vie présentant trop de ces blessures, pouvant en mourir, gangréner car sans nerfs en vie ni système de circulation sanguine, trop raréfiés, soit tués net ou à la longue , dans des souffrances atroces, de ces chocs), s'avérer mortelle, en surcroit du summum de l'horreur vécue, ; restrictions en complicité avec des organismes de tutelles tels l'UDAF, inflictions arbitraires (sous un prétexte de devoir de substitution envers des victimes de violences), de punitions médicalisées pédophiles telles injections d'anesthésiques "à cul nu en public", humiliations sexuelles publiques et en privé destinés à des séances de torture électrique, employées par les services médicaux en opérations du cerveau,imposition de nourritures contraires à la santé,forme de brutalités supplémentaires, tortures, sévices institués à titre de punitions corporelles, châtiments corporels arbitraires des rituels orgiaques pédophile encore en vigueur, envers femmes, filles émancipées, donc décrétées "pas sages" si non filles faciles, sinon en devoir d'être et rester filles tenues, de ces pratiques et méthodes policières pouvant aboutir au suicide contraint sinon le meurtre dans d'atroces souffrances mentales et physiques de la victime, ou à la pousser à l'homicide par légitime défense de leur mac, ainsi qu'il aurait du en être pour ma personne, maqueraux du monde hospitalier en état de bourreaux depuis la petite enfance de leur victime, affaiblie physiquement de surcroit, d'inflictions en continu de narcotiques puissants, cuisant les chairs disloquées en plus de la cuisson de l'organisme due aux décharges violentes de courants électriques donc, des massacres, officiellement et rituellement déclarés inexpliqués et subits,incompréhensibles, les instances juridiques, les forces de la police, protégeant sciemment les faits, contraignant au règlement de compte meurtrier. Tentatives d'homicide auxquelles je ne sais par quelle résistance physique commune à ma famille, j'ai survécu, certaines décédées à cette heure de ces violences, ou rendues à la vie très diminuées. Mon appartement devenu leur "ferme" d'abattage privée, certains pavillons psychiatriques usant de telles méthodes envers certaines de leurs protégées dites "rétives"au métier, autrement-dit, leur maison d'abattage, d'entrainement, ou dite de correction destinée à contraindre sous le viol continuel, l'usage en continu de la torture électrique et psychiatrique, à se soumettre aux lois du macquage flicquant proxénète,lois de "droit de fait" destinées à établir depuis 1900 sur la France ce type de dictature régnant dans l'immobilisme social et la peur du psychiatre générée par ces secteurs médicaux institués en organes répressifs des pouvoirs établis,assez cyniques, machiavéliques et mafiosi pour "s'amuser à faire du fric", dans ces formes de placements d'office non déclarés, ni au préfectures, ni à la sécurité sociale, mais très fructueuses,argent au black dont ils sont rémunérés, faute de budget plus conséquent, en cause, les suppressions des financements et subventions en provenance de l'état, sic, pour leurs abus et crimes contre l'humanité rituellement traditionnels en tous milieux,déjà connus en prolifération,dans les domaines de la psychiatrie, milieux pro-soviétiques très éthyliques ou SS,d'une supériorité raciale insupportable

Pratique illicite de la torture médicale à titre de soins, dans les basses autant que dans les hautes sphères de la société, en particulier sur victimes intelligentes en fait les plus sensées de ces milieux, de parties de snurf autrement dit de torture orgiaques sous l'incrimination de la démence de leur proie repérée dans l'enfance martyr niée par les forces de l'ordre et les pouvoirs médicaux appelés à témoigner ou venir en aide par témoins de ces orgies scandaleuses en tous milieux, victime souvent soumise à ce genre de parties de genre à thèmes spéciaux et spécifiques de la psychiatrie, parties dites de sauteries récréatives ou de jambes, à très gros gaspillage de vies et de nourriture, des budgets entiers de la victime soumise pour ces faits aux mesures de tutelle et de curatelle de l'UDAF destinées à gérer les surcouts occasionnés , substitution supplémentaire illiciteà ces orgies de tortures parfois mortelles pour la victime choisie le plus souvent dans la bonne société, pour sa pureté et virginité sensorielle à déflorer, des exactions de médecins généralistes, spécialistes et psychiatres non hospitaliers, privés ou hospitaliers, en relai sur la même personne, de la torture électrique létale en parties de snurf d’abord puis d’exécution sommaire, en séances de une heure chacune, infligée tout au long du jour dans des interventions à domicile constantes jusqu’à la cuisson et l’éclatement en purée cuite de zones cérébrales concernées et choisies pour être ensuite lobotomisées, que ce soit au domicile même, ou bien en bloc opératoire, le plus souvent, après rapt à l’insu des victimes, parfois suivi d’un ramener du corps inanimé de l‘opéré du cerveau, pour ma part, lobotomie régulière dès la repousse des zones amputées après leur décès sous décharges électriques, repousse causée par alimentation forcée en ce but, des zones arrières du cerveau, d’un pan du cerveau gauche de l’arrière du crane au front réduit à en poire du coté gauche, opéré, moi y compris, à son domicile, mon corps inanimé et presque sans vie, réanimé par brulure intense des zones du cervelet, organe vital du cerveau reptilien, qui mort et décédé, cause le décès, replacé dans de la position identique dans laquelle il avait été surpris, le plus souvent, endormi, parfois, après lâcher de gaz neutralisant dans son appartement. Dans l’espionite générale de ce que chacun fait, et la loi de la surveillance constante dune société policière en voie de devenir une dictature de type Birman à la française, s’en prenant aisément aujourd’hui plus encore, aux liberté de conscience et au délit d’opinion. Dont le mien, de leur tenir tête, réduite à cette seule action. En sus des thèses de Lempérière fréquemment pratiquées sur mon cas, autrement-dit, vivisection charlatane, section en deux du cerveau par la selle turcique, sa base, amputation du pourtour du cerveau, après tabassages avec appareils de torture électrique ou très irradiants, destinés à causer les dits troubles du comportements résultant prétendument de la section du cerveau en deux, objets des amputations suivantes du pourtour du cerveau...

Électrodes pratiquées dans les parties génitales, ou à titre de punition envers la propreté, terme courant invoqué dans l'excision quand elle a été infligée, (la possession du clitoris considérée sale, un sexe mutilé de cet organe, désigné "propre") violences et souillage de mon corps durant les douches dans ma salle de bain, autant que dans partie d’excision égyptienne, engraissage jusqu’au foie gras chez moi de repas dès les huit heures du matin, en sus des repas que prends après opérations neurologies à mon domicile, gavages aux aliments contraires à ma santé jusqu’à des tri-glycérides en dosages mortels, et début de diabète, destiné à m’enlaidir, défigurer physiquement, de l’obésité des barbouzes qui me traitent, forme de tchador médical et médicamenteux, torture chimique qui m'est infligée depuis longtemps, constituée en leur prostituée ensuite, ces équipes et personnels médicaux appelés sur appels de corbeaux et indicateurs de vie privée, commettant viols par sodomie avec vaseline, fellations durant comas, dans un but de proxénétisme d’un mafia infiltrant les secteurs psychiatriques de la ville, commettant la torture psychiatrique et le viol thérapeutique (gavage par alimentation forcée et supplice sinon de l’eau par assoiffement du à des doses massives de neuroleptiques déclencheurs de potomanie, supplice de l’entonnoir et de l’aliment représentant les excréments et ce qui les constitue, des maquereaux, ingérés par la force dans un but de mise à mal, dressage à la coprophagie et cassage de l’organisme, à des fins de matage dit « débourrage » de futures prostituées sinon placées en placements non déclarés à domicile, du moins en pavillon fermé, sous l’étiquette de la démence, pratique de la torture électrique en vue de lavages de cerveau, de l’acte de neurochirurgie à fin de pression physique et assermentation, faits des actes de barbarie, actes de cruauté, (injection de demi-litres de vin entre les os de la boîte crânienne et les plages de cerveau réséqué à l'arrière de la tête, l'arrondi dolichocéphale amputé en forme de livre tenu droit, à demi-ouvert, ou même fermé à angle aigu, tête rendue (après introduction d'un cathéter à robinet, dans une plaie de deux centimètres de largeur, en dessous de l'un des cervelets, amputé pour sa moitié tant brulé par les servies hospitaliers chargés de me réanimer à ce point de cuisson de ces chairs), fontaine à vin, puis à eau destinée à laver les plaies subies sous les os, fait identique pratiqué à l'entrée de mon vagin et de mon rectum, devenus fontaine pareillement à vin et à lubrifiants artificiels en grande dissolution avec eau paraffinée, ou eau de lavement, autant que dans supplice de Marlilyn Monreau, au cours de parties fines à thèmes, électrodes infligées à la naissance des faces internes des cuisses, afin de me forcer à les ouvrir face à leurs exigences et viols, jusqu'au grand-écart, crimes contre l’humanité qui se pratiquent en pavillon et placements illicites à domicile, (dont avortements très fréquents après grossesses dues aux viols parfois avec fellations et actes de carressages jusqu'au coït, moi-même plongée dans un coma épileptique profond du aux violentes décharges de courants déphasants, et considérée durant des années catatonique tant trouvée à mon domicile allongée sans connaissance et dans un coma prolongé nécessitant secours d'urgence qui pris de panique violente, m'infligeaient décharges électriques sur séances d'électrodes, ma lutte continue et ma révolte fréquente contre ces abus en continu, déclarée par d'autres médecins hospitaliers spasmophylie (devant être réglée par l'interdiction chez moi pure et simple de l'usage du café, systématiquement imbibé des glaires de ma mère décédée à ce jour, et des salives, glaires séminales de mon père en plein rut), ou voire schizophrénie paranoïde, quand à peu près la totalité des maladies mentale m'a été invoquée et traitée y compris par les forces de l'ordre chargées de me secourir, immiscions du liquide amniotique retiré dans les aliments, actes de cannibalisme forcé des déchets humains hospitalier, prélevés sur la victime même ou en provenance d’autrui, faits criminels protégés par la police, la justice et la jurisprudence, moi-même encore et fréquemment soumise à leurs actes de carressages durant les interventions, qui me restent invisibles, tour de secte ou de type militaire. Profitant en m'éclairant d'une lampe de poche allumée les rendant invisible car mes yeux éblouis de la photo sensibilité de ces yeux déjà fragiles car rendus de ces tortures fortement myopes, déjà fragiles pour leur couleur bleu donc sensibles a la lumière, sensibilité augmentée des effets secondaires des neuroleptiques infligés à longueur de temps depuis bien avant ma majorité , forme de ceinture de chasteté à port graisseux de vertugadin destiné à augmenter la défiguration de mon corps, sorte de tchador médicamenteux et silice chrétien, à vitriolage médical de la beauté physique et intellectuelle qui m'a été incriminée depuis mon adolescence, et qui pouvait me permettre de réussir ensociété, de trouver vie maritale digne de ce nom qui pourrait s'avérer une aide à ma cause et me soustraire à ces abus. Boutage donc total et absolu de toute relation, amitié, relation sexuelle ou amoureuse, parties de cuisinage musclées au groupe électrogène destinées à me sortir de mon silence sur les faits, avertis que je survivais en en sachant trop long, ou électrodes parfois contrefaites de faisceaux radioactifs, longtemps pratiquées sur mes sinus maxillaires, frontaux et mastoïdiens, oreilles et lèvre supérieure de la bouche, afin de déterminer le nom de mes dernières prétendues coucheries, ou amours qui me rendaient tant selon ces intrus à mon domicile, « divine »,, ce qui ne saurait se concevoir, sinon sérieusement défigurée, bouffie, rendue obèse ou limitée au sur-poids, rougie et à trogne d'ivrogne avéré vouée au viol éternel dans des délices de Capoue que je refuserai par pudeur; et horreur de ces viols. Usage de la pratique médicale à des fins de proxénétisme, fraude électorale, élimination physique de toute personne qui serait témoin gênant de fraude à des fins d’occulter les affaires crapuleuses, de la région et du pays...

Pour avoir osé avoir une activité sexuelle et amoureuse avec un amant et avoir été soupçonnée de rapports, en tant qu'handicapée mentale donc devant restée castrée de toute sexualité et de l'infantilisme obligatoire du statut de l'enfance handicapée en fonction de mon opinion et mes activités artistiques, interdit,(sous peine d'obligation sous peine de mort psychiatrisée,et de soumission sous le proxénétisme hospitalier, à la prétendue prostitution libre), d'avoir eu pour amant un de mes médecins, après enquête sur ces relations présupposées de plus de deux ans d'interrogatoires massifs sous décharges électriques, à mon domicile, par intrus s'y introduisant autant que plombiers, pour avoir rédigé les textes de mon dernier blog Eclipse2, pour avoir été soumise ma vie durant à des pratiques pareilles de la médecine, la torture mentale et physique légalisée, banalisée, j'ai été après rapt sur la voie publique et maintes fois été soumise aux viols de psychiatres déchainés sur mon corps, aux lobotomies de quarts de cerveau (mis dans ma poubelle) l'un sur le dessus de l'encéphale droit, après arasement du dessus de cerveau, que j'avais beaucoup plus volumineux, ablation de l'arrière du cerveau, rendu brachycéphale, en forme de ivre demi-fermé pour mes livres déjà édités et celui à paraitre, "Judas", ceci, procédé de parties de viols à snurf systématiques quand elles précèdent toute lobotomie à titre de vengeance envers mon opinion sur ces pratiques, ainsi qu'envers mes engagements humanitaires, politiques, et convictions non religieuses, parties de torture à électrochoc jusqu'à les rendre en corne séchée, ablation de ce fait de plusieurs de mes nerfs sciatiques, dont certains relatifs au plaisir, ainsi que certains liés à a résistance aux abus sexuel, ainsi qu'au plaisir infligé, torture électrique  des intestins jusqu'à ce qu'il parait, l'ablation en premier lieu de dix centimètres d'intestins grêles pour leur cancérisation, puis de un mètre de ces intestins pour leur degré de cuisson, suite à ces tortures, ainsi qu'un régime alimentaire intubé d'interventions intempestives contre mon gré depuis le début de l'été, à base de malbouffe capitaliste, destiné à les cancériser,piquée aux neuroleptiques des années et en overdoses ces temps derniers à titre de sédatifs,et de bâillon envers toute lucidité que j'aurais des faits, ne voulant que je m'en aperçoive,  courses poursuite dans la ville entière afin de m'infliger ces représailles, contre façon du casque électrique de de la peine capitale, tentatives multiples et répétées ces dernières journées de meurtre par électrochocs sur ma personne par personnel affecté à cet emploi,  intervenant sans placement officiel, à mon domicile, en constante intrusion et forçage des portes de mon domicile, perquisitions constantes,sur ordre et prescription médicale, m'éblouissant de lampes de poche et feignant chez moi la folie dangereuse,pour mon opinion, que vous connaissez, gavages et avec salives de ma mère, décédée, ainsi que viols organisés avec participation de mon père, dans les pratiques défloratoires de l'excision en Egypte, amputations répétées de l'extrémité du clitoris, sectionnée, cette dernière nuit, au cours précisément, de ces orgies de psychiatres et neurochirurgie proxénète. Tous plus ou moins, adeptes du führer, dont certains,officiers des secteurs disciplinaires appelés pour la cause, en salut hitlérien face à une statue de la vierge posée sur le buffet de mon appartement, pour la circonstance. Ce que l"on dénomme, un discours confus. Avec l'accord des pompiers qui y sont allés en visite annuelle des étrennes, de leur appareil à électrodes à détenteur, dont la détente et celle d'une arme à feu, pour le fait que je leur ai eu signé un chèque de dix euros, quand ils s'attendaient à plus. sous les provocations incessantes, de provocateurs du FN, certains psychiatriques appelés à la chaine le long de ces dernières journées, n'ayant hésité à tenter de me crever un œil, par culture lepéniste de la pose d'une électrode sur l'orbite, brulant mes paupières, pose constante, heure après heure, durant ma vie entière, des électrodes de ces électrochocs, sur toutes zones du crane, qui recellerai selon eux, une hypertrophie, en fait un cerveau développé. sur la visage, afin de le défigurer, séances de ce genre de groupe électrogène dont l'usage devrait être proscrit en médecine  et n'a rien à faire en médecine, usité à titre simplement répressif,et de torture électrique, pose donc de ces électrodes sur mon corps, sur mon crane, jusqu'à la cuisson des chairs, du sang, rendu tel jus de viande frite, fusion de lobe cérébraux ayant giclé en crème de cerveau à travers un orifice pratiqué d'un coup de séismo, ou césure des os réouverte sous la force des chocs électriques, c'est dire  la puissance du groupe électrogène. Électrodes-parties dans la vulve, grillée à vie, grillage de cervelle assurée entre-temps, jusqu'à une tumeur des petites lèvres et un fibrome des grandes lèvres, du sexe, et l'amputation répétée, de la chair et des muscles,des grande lèvres, n'en restant que la peau et les graisses, quelques nerfs, régulièrement leur chair repousse réduite à nouveau de ces tortures, en fibrome. Cette nuit encore, introduction d'un doit dans mon conduit annal, après l'opération du quart de cerveau supérieur, afin de me prouver, combien ma vie durant, je l'ai eu dans le zob, violée d'un doigt d'honneur jusqu'à ce que vienne le plaisir, le viol ayant été déterminé viol, si sans plaisir, violée par mon propre plaisir causé de ces stomisations, amputations de nerfs secs et amputés du sommet du crane, aux pieds, extirpés, en les tirant par un orifice pratiqué sur le dessus du crane, dépecée de ces nerfs dès qu'ils auront eu repoussé.. soumise ensuite à des viols par masturbation forcée aux plaisirs saphiques d'infirmières lesbiennes venues spécialement s'introduire à son domicile, pour également me narguer de ce viol, Le secteur de santé mentale 2 se débrouillant pour m'interposer, après maintes enquêtes et tortures destinées à connaitre mes talons d'Achille, toute pratique médicale, sociale de la torture qui serait un viol, et me serait un viol, pourrait me pousser soit au suicide soit au meurtre, afin de m'imposer des supplices vénaux, jusqu'à obtenir aucune résistance à ces viols, ni aucune réaction, eux tendant l'oreille entre mes fessiers maintenus écartés pour feindre le fait de n'entendre plus rien de moi, contre ce proxénétisme. Un ex-concubin appelé, un psychopathe que j'avais hébergé, afin qu'il me fasse la loi, me soumette à ces viols qui m'auront été reproché pour leur indécence, en fait prétexte, par ces parties de meurtre par électrochocs et condamnés par ces lobotomies. condamnant le viol chez la femme, par ces méthodes totalitaires. Destinées à me faire réfléchir, me soumettre à aux orgies de ces messieurs, sous l'étiquette de la démence dans ce logement devenu maison d'entrainement,sans quoi... Crises de führers venus spécialement, certains l'ont avoué,en sauterie récréative, "si l'on ne peut plus s'amuser à bouffer, s'étant faits payer grassement pour ces rites de Montpellier, les "Folies" du gratin. s'amusant dans les heures creuses, à torturer mon nez d'électrodes et radiations  des plus cuisantes, avec une instance maladive durant de heures, interdiction de toute nourriture, avec intervention avec mandales violentes, interdiction de vomissures dans mes sandwichs, masturbation de l 'officier chargé de me contrôler, avec la tranche de viande que m'avoir servi un restaurant, en plein restaurant, viande laissée au gout de viol, d'une odeur puissante de sardine, dans mon assiette, après maintes gifles, pratiques destinées à me maintenir à jeun, avec filage de train, anté opération du cerveau préméditée.

Toute alimentation que je tenterais refusée, d'introductions systématique de baves et salives de ma mère anté son décès à Val d'Aurelle, dans des conditions douteuses d'euthanasie après violences  euthanasie qui m'a été instaurée d'infirmières y compris de Val d'Aurelle, venues m'irradier longtemps depuis afin de me faire taire D'autant que mon généraliste, pour avoir été décrété trop intime avec moi, fut assez puni pour se retourner contre moi, préférant prendre le parti de mes violeurs établissant un bouge fasciste à mon domicile, puis choisissant de m'éliminer d'abord passivement pour l'entreprise de torture de me séparer de lui, sous peine de mort, moi pour avoir osé prendre un amant par peur, suite aux inconséquences du généraliste, incapable d'interdite toute torture qui m'aura été faite pour lui, qui aura été lui aussi sacrifié, moi-même éliminée physiquement définitivement pour les tortures endurées destinées à me séparer d'eux, pour leurs abus précédents,infirmiers  intervenant à mon domicile et instituant mon décès sous les décharges électriques continuelles ces trois mois -ci, , sous peine si j'en survis encore, de me placer pour un décès légal en pavillon fermé par décision de mon généraliste, entrainé à cela pour eux.
je risque le décès sous  peu de ces attaques, maintenue à jeun pour la pratique continuelles des électrodes, et trépanations graves rituelles et cycliques, quasi séquestrée à mon domicile depuis trois mois, toute nourriture prise immédiatement rejetée sous électrodes, ou souillée de baves notamment de ma mère avant son décès, destinées à me gangréner, sauvée in extrémis encore récemment de cette gangrène des os, qui m'a été voulue telle que dans un de mes inédits, "la chambre carrée", conte sur les méthodes nazies des pavillons de forces, les hôpitaux prisons en faisant usage jusqu'au décès des victimes, ici, par représailles.

Fichant la femme rebelle, l'énergumène, l'ami fidèle, les destituant de leurs droits, les manipulant à leur insu, dans des marchandages, elle ou toi, innommables, datant des SS. si au départ de ces méthodes j'en ai eu quelques troubles, du moins physiques dont des "dysménorrhées" quasi mortelles depuis mes 17 ans jusqu'à ma quarantaine d 'années, suite aux tabassages en cas d'absence de menstruations, aménorrhées en partie dues aux overdoses de neuroleptiques interprétées grossesses consécutives au x viols subis dans interventions médicales, dont j'étais tenue pour coupable et seule responsable car imputées à mon père, considéré père des fœtus. Aménorrhées parfois dues aux grossesses durement cachées de pratiques frauduleuses de la médecine psychiatrique, qu'elles auront causés, ils auront été guéris depuis longtemps, 'est à se demander, sic certains personnels médicaux,et médecins, de niveau certificat d'étude, ne possédant aune notion élémentaire d'anatomie, à se demander même s'ils n'ont acheté leurs diplômes pour tant de crimes, crimes contre l'humanité et crimes de guerre dus à leur charlatanisme. Quand sans même posséder un doctorat en médecine, je puis affirmer quelles sont les différentes fonctions des organes du cerveau reptilien, leur dénomination scientifique, des zones cérébrales, les fonctions du corps qu'elles régissent, ainsi que la sémantique médicale scientifique de base des différents organes du corps, leur fonction, celle des organes génitaux et leur dénomination non fait courant mas considéré accès pornographique tant l'interdit religieux, en occultant la connaissance scientifique, règne sur le corps;

Je rappelle que les métiers dits médicaux, sont strictement liés pour la plupart, à la récupération sociale d'une de leurs déviances psychotique exacerbées dans le sens récupéré d'un emploi le plus souvent très rémunérateur, en principe phénomène très fréquent dans deux secteurs sociaux, le secteur primaire, (les égoutiers, plombiers, déboucheurs de WC, et autres obsédés des WC, agriculteurs) et le secteur tertiaire, dont les métiers de la chirurgie, certaines médecines liées à des types obsessionnels de folie : obsession des pieds chez les podologues, à titre d'exemple, cannibalisme récupérateur des folies de la société, de type film Hannibal chez les neurochirurgiens, analystes biologiques des selles en mal d'obsession coprophage, obsessions à rigidité mentale psychotique qui les motive à un point de foi qui les sert.

Usage à titre privé et collectif de pavillons fermés et dits de force, tenus par sortes de contrefaçons de policiers en uniforme bleu marine et casquette de représentants de l'ordre, en aucune adéquation avec la déontologie propre à la médecine, et n'usant de son étiquette qu'afin de pratiquer en toute liberté à mots couverts, les méthodes de la torture médicale à mots couverts, de violences policières à titre de soins, aptes à dérégler les organismes, le bon fonctionnement cérébral, l'amputation cérébrale et méthodes dites de soins devant être considérées délivrance du mal par les tortures endurées créé, les médecins de ce pavillons déclarés inspecteurs, couvrant dans l'hypocrisie démagogue absolue, l'usage de méthodes policières totalitaires dans l'imposition de la répression contre les libertés individuelles, droits de l'Homme et droits protégés parle code civil, le plaisir ad normem et naturel du corps, le plaisir solitaire, la masturbation onirique (punie de l'arasement des zones arrières du rêve, du rêve amoureux, l'arrondi dolichocéphale de l'arrière du crâne), le maintien du licou ou la peine de mort psychiatrisée chez les femmes mariées ou en devoir de l'être, promises, concubines et femmes en rencontre, le lysisme, le coît interrompus jusqu'au clap-end requis, et l'abstinence forcée chez les femmes adultes et jeunes filles émancipées en général, la soumission au père violeur surtout, pour les fils, au père et à la mère, au devoir conjugal, la protection de l'inceste et du devoir conjugal qui lui est dû, l'obligation au vice, à la dépravation, à la prostitution publique, au devoir de fidélité, à la préparation du corps de la femme (bains forcés sous prétexte d'hygiène, dans baignoires malpropres servant d'infliction de la stérilisation forcée des femmes émancipée par infection à salpingite causée par éradication d'une flore vaginale persécutée de trop de lavages intimes, jusqu'à cette infection stérilisante, due à ces baignoires maintenues sciemment en état de mauvaise hygiène) aux devoirs conjugaux qu'elle doit à l'homme, au mari, obligation sous peine de mort, de graves opérations du cerveau (lobotomisé dès la repousse en imbibition de ces procédés, après gavages intempestifs, des zones incriminées), à la malpropreté évidente des couples, femmes et familles, saleté devant rester commune aux populations, destinée à fournir les cabinets médicaux et secteurs médicaux publics, privés, en patients sur-infectés, jusqu'à la réapparition de la pneumonie et épidémies communes au Moyen Age, ère privilégiée des aryens, obligation aux actes contre-nature décrétés norme, contrainte des mêmes méthodes totalitaires, aux opiums connus du peuple, à son abêtissement intellectuel, à la propagande aryenne en matraquage de la restriction « ne que » signifiant que cela n'était assez, il fallait plus pousser plus loin en violences, jusqu'à celles violemment revendiquée par les groupements dirigeants de ces pavillons, cliniques, des camps nazis, soumission massive obligatoire également aux lois du fascisme dont au phallocratie. L'exécution capitale de nos jours conférée aux hôpitaux, psychiatrique en général. Mort violente ou lente, torture supplémentaire de se voir mourir sans pouvoir s'y opposer, mort infligée d'une croix sur dossier à contrats pour des parties de rêves de domination de secteurs médicaux.

Conditionnements pouvant conduire à la gangrène du corps, des hommes, femmes insoumises à ces lois, à celles du viol par excellence auxquelles elles sont systématiquement substituées sous a la loi de substitution psychiatrique, défendue par psychiatres et forces de police, ou autant que je le suis encore, punies entre autres individus pour les violences subies, par imbibition forcée de leurs organisme, de déchets hospitaliers, (eaux en grandes quantités dégurgitées, en baves, salives et glaires de tous orifices, eaux de lavage vaginaux et d'appareils sexuels, ainsi qu'après sodomie, fréquente dans ces pavillons et jusques lieux de vie privée sous leur égide,eaux, spermes et mucosités infestées de corps en décomposition), conditionnement basé sur les neuro-transmetteurs d'autrui propres à soi de ces salives et glaires extirpées du corps humain, ou même d'animaux de compagnie familiers, destinées à restituer des physiques ou pensées induites chimiquement par ces « jus » humains, autre forme de lavage de cerveau lobotomisateur, ces salives imbuquées de force, devant digérer, le sujet maintenu à jeun, condition de la correction sous électrodes, les protéines et l'organisme de ce sujet, jusqu'à son cerveau, remplacé ensuite par une nourriture contraire à sa santé, basée sur les contre-indication à la vie de son corps. Opérations barbares très scientistes décrites dans le film « Le perfinateur », de métamorphoses, parfois plusieurs opérations (régulières dans ces établissements) de ce type par vie, dangereuses, en clonages voulus issus de ces pouvoirs de ces salives, avec individus punis pour des fautes dues au vice (bruits salivaires lubriques) ou pour causes libertaires, sujets au cours des électrodes en punissement, ayant fourni ces rejets (transvasement des liquides, sucs d'un sujet décédé ou en vie dans un autre, thérapie de type Frankenstein ou politique fiction en cours) . La liberté de pensée niée, persécutée au profond du corps, de son identité mentale et physique, tué de main froide, forme dérivée de l'exécution capitale, corps devant rester esclave sinon transformé en mélanges de sujets aux idéaux similaires, constitués eux même de tels viols de leur organisme en sa totalité restante des opérations qui précédaient, son intégralité pour lutte pour son intégrité des individus confinés dans l'emprise le plus souvent fatale de ces établissements, bafouée jusqu'à l'extirpation de morceaux de cerveau, dents, bras, etc. laissés sur la table d'opération. En sus des neuroleptiques en guise d'anti-rejet de cette greffe de sucs salivaires et d'humeurs humaines, neuroleptiques en fait produits chimiques, pharmaceutiques, produits dans le but de torturer les fonctions naturelles et l'organisme, et dont la plupart, employés en psychiatrie, jusqu'à la gériatrie, causent la cuisson chimique des chairs jusqu'à leur état de saucisson sec, de corne, matière cérébrale sèche, séchée autant que grumeaux et amas de purée de blédine lyophilisée cuite au lait délayé, ( les régimes secs ajoutés, carencés en fibres, vitamines et oligoéléments nécessaires à la survie, à base de légumineuses, pâtes sèches ,farines de tubercules et régimes sans résidus pour granivores, cancérigènes et prévus anté-coloscopie, pour leurs vertus cancérigènes et de carençage, la surconsommation de produits à base de grains et de blé ayant servi d'électrochocs dès les premiers temps de l'humanité, transformant en nouilles cuites le système neveux et cérébral, l'homme devant rester omnivore) et de porc salé, steak tartare cuit des procédés décrits, en sus de la cuisson létale par fortes décharges électriques, forme de four crématoire ou portatif (chimique ou en implants électriques) , ou mécanique imposé en réponse de ce totalitarisme à la liberté de conscience déclarée démence grave à ce point de devoir la corriger. Jusqu'au pourrissement du corps, parfois encore en vie, et son décès. Autre procédé égyptien d'euthanasie Étatique, d'embaumage du corps innocent du vice exécute pour ses libertés physiques sans entraves et de pensée, jusqu'à ce que mort s'en suive;

Merci d'avance pour votre réponse, mes anciens médecins, dont Montalti, Robert Brès,Mr Bottaï, Emile Aguilar, médecins du pavillon du Docteur Pézet, clinique mairet, Polyclinique de Mairet, clinique Reich, clinique Clémentville, clinique Beau Soleil, gériatres, internes et médecins des secteurs de neurochirurgie et de scintigraphie de Guy de Chauliac, (sur demande de tiers, de mon père, et ma famille) M. B m'ayant pour ces tabassages constants en relai aux électrodes, déclarée démente pour m'avoir également eue, selon ses aveux, violée, après m'avoir pratiqué pour ce fait électrochocs destinées à me placer dans un coma épileptique, où je ne douterai de ses viols, y compris infligés à mon domicile après appel de tiers pour qu'il déloge les agresseurs et meurtriers intrus à mon logement, ou me sortir du coma épileptique mortel si non suivi de réanimation, comas dont il a également profité, lui arguant avoir trop bu avant ses viols, actes de lysis mutilatoires du fonctionnement de sa vessie, rendue chez moi incontinent des électrodes à but punitif envers tout plaisir sexuel qui me sera surpris, imputé à cet homme, cures d'électrochocs dont il a voulu ensuite m'exécuter lui aussi de mort lente, afin de faire taire toute dénonciation des abus, fraudes à but de profit et de proxénétisme, sa participation personnelle aux orgies qui m'ont été infligées, lui maintes fois tenu les mains liées amené après forçages continuels de ma porte, à mon canapé, réduit au devoir de s'exécuter dans rapport sur mon corps inanimé quasi sans vie, qu'il a couverts de ses accusation infondées envers ma personne,de démence, pour ses crises de jalousie envers tout viol que j'aurai subi hormis les siens, tentatives vaines d'homicides pratiquées sous l'attribution infondée de démence, au nom du soin, des armes lourdes qu'il induit, non seulement par crime passionnel, mais aussi esprit supérieur de revanche après m'avoir eu rendue depuis 2007 systématiquement indisponible physiquement et sexuellement, aux amours qu'ils me souhaitait ardemment et auxquels il m'encourageait, souvent au début pressant, devant rester confidentielles et discrètes, en fonction d'un mariage raté dont il souffre encore, ayant conduit son épouse quasiment à la mort, dont il se sent coupable et responsable, étant donné le degré de violences conjugales qu'elle a du souffrir de lui, dus certainement à son alcoolisme, dont il se venge au centuple sur moi, ne serait qu'au nom de l'alcoolisme avoué de tout intervenant médical à mon domicile et sur la voie publique, dans commerce, alcoolisme dont j'ai été accablée et prétexte à placements, suivis médicaux induisant des placements à domicile hors norme non déclarés ni officiels, prétextes à devoir traiter cet éthylisme, y compris parental, dont j'ai été accusée, du retour de cette accusation dont ils avaient été blâmés, M. B, m'ayant lui même après tentative de renverser les abus de et systèmes de caste, ramené à la cause de ces criminels, parfois atteint de délires à inventions de termes de systématie à préfixes et bizarreries de délire éthylique à tendance schizophrène , démence due à l'éthylisme et présentant une telle symptomatologie, dont, la fureur, l'emportement, l'irascibilité, l'envie de cogner, voire , l'agression à main armée, début peut-être d'alcoolisme qui lui a du d'être parfois soigné, ce qu'il me rend, de sa fierté de médecin d'origine maghrébine, d'exercer contre toute attaque politique raciste, et de ce fait, par racisme inversé envers une des rares européenne à oser fréquenter son cabinet, ce dont j'ai du longtemps et depuis tenir compte au cours d'interrogatoires aux électrodes douloureuses parfois implantées, jusques dans les parties génitales, à des médecins et leurs psychopathes, dans un but certain de fichage politique des mœurs et des personnes d'origine étrangère, via les fichages médicaux etpsychiatriuqes (il aura réussi à me faire démettre de la promesse que je m'étais tenue, de ne jamais céder à un homme qui aura pratiqué sur ma personne, des électrochocs,sinon dans un but répressif, dans celui de me déflorer, et user des plaisirs sexuels sans aucun refus physique que je pourrais lui opposer, de nerfs résistant un plaisir sexuel imposé, détruits à devoir en être amputés par chirurgie, ainsi que zones sexuelles des seins de la vulve, zones musculaires y compris des trapèzes des épaules et leurs points G qui m'auront causé l'orgasme, bisées cuites et réséquées de ces cures de tabassages à main armée avec violences, ce que mon père a commis de son exigence, pour le simple fait de m'être refusée à lui dans ses viols) dont j'aurai été torturée jusqu'à des agonies continuelles, dont celle des femmes talibans ou d'intégristes musulmans, séquestrée à domicile pour avoir osé publiquement prendre leur défense, sur médias d'internet, m'étant reproché de ce placement hors norme illicite, tout engagement féministe, politique, éthique que j'aurai, traité de délit d'opinion du prisonnier d'opinion que de ce fit je leur représentais, devant être soumis aux tortures létales que mérite ce sort, et le sort des femmes rasées ayant couché avec l'Allemand qui devait rester castré des nerfs de son appareil sexuel,après son ultime défloration au cours d'orgies avec violences policières et médicales, par torture sexuelle, viol correctif, reproduction des excisions du Maghreb et de l'Afrique, envers toute appartenance à une campagne de libération féminine et de ce fait, pour les coucheries supposées avec ce M. Benddedouche, et "flirts" que j'aurai eu avec lui, ce que nombre médecins, dont Robert Bres, très mensonger, ce qui assure son invulnérabilité, surtout en procédure, lui même en 1995 s'étant voulu intime à mon domicile après une politique amoureuse du héron et de la grue, intimité voulue que j'avais refusé, pour ses bus,contournements de loi, et meurtre organisé d'une de mes collègues de fortune et bien d'autres de patients,domicile ou je l' avais était appelé pour résoudre un conflit entre locataires et moi-même, qu'il avait induit depuis le début de son suivi, afin de prétexter envers mon cas social, la démence, et en vivre, en butte, mes flirts sans contact physique avec certains de ses infirmiers, flirts punis de tortures quasi mortelles qui 'm'ont laissée infirme, ce qui n'a nullement été reconnu par lui ni donc par la Cotorep, infirmité qui m'a valu l'obligation et à contrario l'interdiction mortelle si j'y persistais, de travailler,, sanctions à contrario de cures d'électrodes sur mes lieux d'habitation et de stages,stages rémunérés, médecins et leurs équipes, voués à leurs troubles des mœurs diaboliques d'alcooliques dont l"éthylisme est réellement un passe-droit légal des devoirs de la loi et de leur profession, leur confère tous droits de vie et de mort sur autrui dont ils se serviront, dans une esclavagisme de colonialisme arien ou pro-soviétique qu'il fallait se contenter de souffrir sous la dénomination de souffrances de la maladie, et dont il fallait rester coite ou parler sur ordre,claquement de doigt et peine de mort, dont qui veulent, à tout pris,que je confirme si flirts, coucheries et avec qui ..Crimes commis parfois au nom de la foi.. complices et auteurs des faits, avertis de m'attendre, ou en intervention répressive dans mon logement, dans le devoir de tenir en compte aucunement de ma partie civile, en fait, en vue de m'en débouter, à jamais, si j'en survis, les ayant accusés dans mes plaintes, eux ne me laissant, aucun espoir d'en rester libre entre temps, et ne me laissant aucune chance de m'en expliquer, si c'est à moi que devait revenir cette charge, si l'on m'en laisse le choix, et la possibilité, victime déclarée coupable de démence grave dans un but éliminatoire, qui ferait penser au "déni de psychose" que je ferais, démence invoquée dans le simple but de faire taire y compris tiers et témoins pour lesquels, je paierai, sur les faits et pour ce fait impliquée dans une affaire de faux, de faux en justice, de tous abus qu'à pu commettre la science médicale jusqu'à nos jours, je persiste à les signaler, ayant maintes fois entrainé la mort, parfois pour le simple éthylisme avoué des corps médicaux, l'ignorance grave fatale, l'aveuglement violemment intégriste des médecins en question, fustigeant à mort des armes de leur pratique personnelle de la médecine,quitte à leur exploser le crâne, tout contrevenant à leur fondamentalisme, le manque de pratique de leurs étudiants internes apparemment sciemment choisis pour l'expérimentation irréversible sur sujets, de leurs lacunes irresponsables. Contre tout blâme ou toute sanction qui leur serait faite, ma mort est assure sinon promise, dans l'expectative d'une de leurs omertas, je m'attends au pire, puisque pour leurs représailles certaines l'on ne peut par peur de telles représailles envers une de leurs victimes, les sanctionner, sinon les gourmander;.

Pratique appuyée en général sur demande de tiers, ( entre autres, locataires de ma résidence, dont je suis femme battue, psychopathes employés de ces corps médicaux, à servir de souteneurs dans ces parties de snurf, torture psychiatrisée, sciemment employés à me prostituer de leurs viols et obsessions à mon domicile) de parents, (les miens, mon père en outre, usant de ces parties de torture, par simple jeu, farce, amusement, dont le jeu du harcellement de s'amuser même mortellement de moi, ainsi qu'en tant que méthodes d'imposition de loi du silence) ascendants ou familles entières, par profit, car surement dument rémunérés.

Je réclame donc le licenciement et leur radiation (définitifs ou temporaires selon leur degré d'implication, ou sanctions) de leur fonction les médecins, personnels hospitaliers et médicaux impliqués, pour enfreintes graves de la pratique médicale, dont ils n'ont respecté les règles, ni les lois déontologiques.

Merci donc si vous pouviez intervenir, mes courriels, démarches, ne soient suives de représailles des plus violentes, telles que celles que j'ai subies ce dernier weekend- suite à mon dernier courrier, à votre organisme.
Suite :

Suite à mon dernier courrier, datant de la semaine passée, je signale une récidive des services que je vous avais désignés, ainsi que du médecin Dr T., médecin généraliste traitant de mon propre père, et qui entrant dans les délires éthyliques et psychotiques de celui-ci, profite des perquisitions constante qu'il m'impose dans mon logement, pour le suivre dans ses "fantaisies", autrement-dit, "parties (à narcoses et viols ) sur femme de joie", en l'occurrence sur moi-moi-même, qu'il constitue ainsi dans mon logement, sur tout lieu de déplacement, commerces, abris bus, cabinets médicaux, laboratoires d'analyses médicales, salles d'examens médicaux, salles d'attente de tous lieux, et tous lieux publics ou privés, mon père profitant du racquet qu'il institue sur ma personne, de lui servir de prostituée à titre privé, contre rançonnage, par mesures d'internement non déclaré et illicite hors normes, hors mesures thérapeutiques ad normem, (à se demander si en placements officiels,elles existent véritablement) accompagnées de restriction financière d'abord qu'il a occasionnée de ses propos fabulatoires, après faux témoignages et faux en écritures soutenus par l'un d e ses avocats, les médecins qu'il a favorisés dans cette fraude, au cours de procédures dans lesquelles il m'a trainée dans la boue, jurisprudence qui a tranché en sa faveur, après entrave à la justice et à la loi qui m'aura té faite,, moi-même déjà hospitalisée pour les raisons des faux qu'il invoque, les médecins cités ayant profité de ses accusations et faux en justice pour tirer profit de ses paiements remboursés intégralement par l'intermédiaire de sa mutuelle la MGEN, procès en vue de me placer sous protection juridique d'un organisme de tutelle gestionnaire de mes biens financiers et des allocations que j'en percevrai contre mon gré, à l'instar d'un seul certificat médical ayant servi de mes 26 ans jusqu'à aujourd'hui afin d'obtenir cette réquisition de mes revenus financiers, ,l'UDAF désigné sur la foi de ce certificat médical au départ honnêtement rédigé sur mes aveux à contumax, entre cures d'électrodes destinées à forcer mon témoignage et me sortir du silence requis chez les coupables que je leur représentais, sans aucune présomption d'innocence respectée, certificat établi au nom du fait que voulant travailler, trouver emploi stable, je pouvais un jour avoir besoin de ces allocations (AAH et Allocation logement) qui entre-temps, seraient reversées à une tutrice aux prestations sociales nommée par la jurisprudence), ce certificat, toujours le mime, ayant corrompu toute négociation causée à contumax par toute procédure qui m'aura été intentée, dans les cas de renouvellement de ces allocations, mes témoignages, malgré les procédés enquis pour me les extorquer, implacables, mais transcrits en langage idiomatique typique de la symptomatique invoquée, obtenus pa la contrainte de tortures électriques très douloureuses, mais j'ai du maintes fois témoigner, raptée, tenue sous psychotropes puissants, ajoutés à des séances de narcose sur place, au sortir de résections lobotomiques destinées à entraver tout témoignage qui les inculperait; Tout récit de leurs abus crimes et fraudes.


Réquisition de mes revenus destinée à limiter mes dépenses quand j'ai été également inculpée de dilapidation de mes revenus mensuels, fait impossible (si les comptes en banque de mes parents n'ont été à ce moment là confondus pour leurs fortes dépenses avec le mien) car je me contentais des sommes qui m'étaient allouées, jusqu'à ce que pour un découvert de environ 500 f dans es année 80, occasionné et reconduit de mois en mois pour le simple du fait que j'ai un besoin urgent de dépannage en serrurerie, serrurerie toujours autant onéreuse, pour une porte malencontreusement bloquée par un animal de compagnie ayant poussé une porte à soufflets de penderie, qui dernière la porte d'entrée, avait poussé l'entrebâilleur de cette porte, que j'ai trouvée ce jour là fermée, bloquée. Pour y revenir, le découvert, au grand jamais comblé pour le fait que d'une part, mon père a refusé systématiquement, dans des troubles irrationnels qui le mettent dans des ires irrépressibles et sans discussion (que l'on me veut toujours par divers procédés, injections de tranxène, tortures mortelles si je n'entre en ire, pour l'en excuser) autres que son besoin de raccrocher à toute tentative de négociation téléphonique, d'autre part, le découvert du fait de la mesure de tutelle aux prestations sociales, impossible car strictement prohibé par cette mesure sur mot d'ordre indicateur auprès de mes banques, qui chargées de gérer un compte bancaire limité en fonds, susceptibles de multiples petites opérations de retraits et de peu d 'entrées de fonds, sachant les risques encourus et la surveillance dont l'UDAF les charges, ont fait appel à des mesures disciplinaires de répressions par appareils de narcose et de contention simulant les narcoses, afin de m'expulser des files d'attentes de leurs locaux, et finalement, me débouter de rester leur cliente.

D'autre part, réquisition budgétaire imposée ceci-dit sans aveu officiel, afin d'établir un contrôle sur mes courriers, fréquentations, relations amoureuses, déplacements, règlements des factures des charges,de tout paiement, prise de contact avec quiconque, ainsi qu'un contrôle effectué afin de m'interdire tout autonomie financière, quitte à me plonger de procédés draconiens de restrictions, interdiction totale et absolue (misère causée de l'UDAF et des mesures de gaspillage de vivres, aliments prétendument volés mais dument payés, souvent cuits dans lobotomies et glaires rejetées issues des narcoses constantes aboutissant à des trépanations réparatrices obtenues par la ruse des narcoses, pratiquées sur mon père, famille, intrus trouvés dans mes logements, méthodes des narcoses constantes diurnes et nocturnes imposées au cours des perquisitions sur les modalités des plombiers, prétextes à l'accusation, infondée, d'hallucinations sensorielles paranoïdes, misère mettant e danger ma vie, celle de patients soumis à ces mesures illicites de l'UDAF et de la médecine,non prévues par la loi et l'imposition juridique des mesures de tutelles, curatelles, mesures illicites, pratiquées souterrainement, au vu et au su de chacun, se gaussant des dindons de la farce, les patients, dont moi-même, rendus longtemps de lavages (intempestifs et fréquents sinon durant des décennies) de cerveau, maintes trépanations en vue d'obtenir la débilité ou la symptomatique rêvée de la démence prévue, toute démence suggérée à causer et pré-fabriquer sinon simuler, dont la Thèse de Lampérière ( thèse charlatane usitée en neurochirurgie contre la névrose de propreté, consistant à séparer le cerveau en deux, obturer, amputer son pourtour pour "réguler" les trouble du comportement que cette vivisection cause, obtenant ainsi un dysfonctionnement gestuel, et de la manutention manuelle, et parfois vue différenciée, après section des nerfs optiques se rejoignant à l'arrière du cerveau,les avocats jouant sur les mots, thèse de vivisection pratiquée on se sait combien de fois sur an personne dans un but d'"économie" de lessives pour le peu de budget qui m'était alloué, donc opération m'ayant conduite à un abandon systématique de mes corvées, car encadrée aussitôt des narcoses continuelles, me privant en sus de cette opération, de la forme physique pouvant me permettre une hygiène nécessaire à une absence de surinfections e conséquence de viols subis m'ayant laissé des MST graves dont un herpes génital, buccal, condylomes à papillomavirus, une infection cousine de la syphilis, un tréponème, et menacée d'internet pour le fait que cette maladie si on ne la soigne réclame de soins antibiotiques intensifs pour les ravages qu' elle peut causer cérébralement, la blennorragie également, que j'ai eue également, sinon traque par gendarmes et police afin de l'éradiquer, mesures à MST et des virus de taudis surinfectés qu'étaient devenus mes logements (exigeant remplacement des literies, linges et vêtements souillés d'urines pathogènes, mes parents ne pouvant y subvenir, ce qui crée scandales et phobies raciales quasi meurtrières autour de mon appartement), qui m'ont valu la première hospitalisation du fait que je ne prenais pas mon traitement, en fait antibiotique, privée dans les années 82, de vivres et revenus,de statut légal, tel que RMI s'il existait à cette époque là, et d'autre part en âge trop jeune pour mériter quelque aide financière, ni handicapée, mais terrassée de fatigue post-opératoire, sur-infectieuse et suite aux narcoses) envers les personnes, hommes et femmes, propres, jugées trop propres (donc dites de névrose de propreté) en fait pour être déterminés dans l'absence d'hygiène requise pour être suivis médicalement, traités à leur domicile autant qu'en internement, et donc trop propres pour mériter les opérations neurologiques, neurochirurgicales préméditées dans un simple but de profit et traite d'êtres humains, éblouissements avec lampes de poches aveugles des agissements des équipes médicales chargées d'interventions illicites à domicile et en ville dans le maintien de cette fraude,, mesures frauduleuses compensée par intubations forcées jusqu'à mon obésité voulue, jusqu'à cet été dernier, intubation forcée aujourd'hui dont je suis victime, compensatrice à la prohibition de toute alimentation légitime, autonome, et fonction de mes affections, physiques graves consécutives à ce pratiques illicites de la médecine,dont l'ingestion forcée de glaires, mucosités nasales et séminales dont de décédés, dans l prohibition de cette autonomie alimentaire, dans la constitution de preuves (faux obtenus sur ce gent de mises en scène, réputées symptomatiques de la démence recherchée) , pour le fait d'un maintien à jeun constant en vue des opérations neurochirurgicales et neurologiques en continu, et afin de me punir d'avoir été tant intubée à l 'obésité) faisant accroire à la symptomatique prévue) de gérer mes documents, dossiers, démarchages, paiement des charges locatives, des factures dépendantes d'un logement, prohibition totale et absolue de tout activité intellectuelle, (vol de textes dossiers relevant d'ébauches de plaintes, contrôle de mes écritures dans un but de reproduction de l'accusation de folie pour leur orientation éthique, philosophique, cognitives, religieuses et politiques, dans fichage médical de ces "orientations", consolées à partir de mes dossiers textes culturels, peintures et croquis que je collectionnais depuis mes études aux Beaux-Arts, de rapports que j'établissais sur les abus commis de cette fraude , surveillés, volés et lus) culturelle, artistique qui pourrait m'élever au rang de femme cultivée, lettrée, donc indépendante intellectuellement, aveu sur évaluation de mes compétences qui pourraient me procurer un emploi dans les "castes"pour ces personnels médicaux, médecins et proches de mon père, emploi digne de l'élite donc qui pourrait, permettre que je fasse carrière, me permettre d'échapper à ce pouvoir médical dictatorial lié à une inculpation malhonnête, infondée, de démence (sur plainte de vieilles personnes d'extrême-droites de basse classe, jalouse de mes "possibilités" de réussite" sociale, et quelques voisinages jaloux par lutte des classes meurtrière, des talents de peintre que je possédais à l'époque, en 1982, m'étant établie à mon compte suite à une "rupture" de vivres sur la demande ces personnes auprès de mon père, afin que je poursuive mes études aux Beaux-Arts, pis ayant tenté de monter un atelier de peinture, en ébauche dans logement que j'occupais, ma famille, mon père, a refusé "d'investir" dans cette entreprise, qui ne nécessitait que quelques vivres et achats de peintures,matériels de base et subsides en vue d'un habillement propre et décent) , sur les propos jaloux de voisinages abusifs, longuement injurieux (me traitant pour ma virginité de "morue" à dépuceler, de débile mentale méritant l'asile d'aliénés si elle restait bête, vierge, de ne point connaitre le viol qui la musellera et l'adoubera aux plaisir de couple, m'ayant trouvée assez pure jeune belle et vierge à un point de caractéristiques de l'élite qui ne saurait se faire voir d'avantage) noceurs, bruyants la nuit, au point de m'empêcher de dormir, et de rater l'appel de l'école des Beaux-Art le matin à 8 heures, menteurs et névrosés, voire alcooliques et drogués, maroufles, dépravés, ivres, jaloux de ma pudeur honnête, peu fréquentables, qui m'auront causé l'existence d'esclave que j'ai vécu jusqu'à présent, pour y revenir carrière possible qui pourrait contraindre pousser à faire reconnaitre les faux témoignages indiquant la démence prétexte à cette fraude, jusqu'à des perquisitions constantes à domicile des équipes médicales appelées, les cures e continu d'électrodes sans anesthésies le plus souvent, et la résection lobotomique des zones arrières du cerveau,contenant mes projets et visions picturales, sources de ma pratique artistique, (que je n'ai jamais pu retrouver, sinon, recyclée lors des repousses de ces zones cérébrales, maintes fois amputées parce que considérées zones subconscientes du raisonnement "délirant" des réquisitoires et plaidoyers véridiques et implacables, si trop entendus sous la torture électrique, maintenue en continu des décennies afin de faire accroire au délire hallucinatoire logorrhéique), en maintes autres facultés )sur l'accusation cette démence illégalement prétextée, contrecarrer la fraude établie, à , perquisitions punitives avec narcoses,en vue d'établir ce pouvoir absolu, le maintien de ma vie entière dans une misère noire sur laquelle mon père comptait afin de s'attacher mes dépenses et donc une dépendance financière ,soumise réellement à lui, ses exigences et manques de raison, ce qui le favorisait à titre de "soutien de famille" et bienfaiteur, pour les "sauvetages" financiers qu'il m'accordait, d'une liberté permissive si accord avec la tutrice désignée, en cas de tentative de paiement d'un avocat en vue de porter plainte à l'encontre de ces abus infligés depuis en ce qui concerne ma majorité, 1979.

La curatrice désignée pour gérer le patrimoine dont j'ai hérité, sarcastique, sinon dominatrice, fabulatrice et impliquée elle-même dans ce trafic., jusqu'à m'interdire, ce n'est qu'un exemple, toute formulation au cours d'une vente d'un F1 dont j'avais hérité, préférant, avant toute comparution au cours de la vente récente devant notaire, à son cabinet notarié, ne cesser de m'infliger séance d'électrodes sur séance d'électrodes, exigeant pour la bonne cause qui suit, l'humiliation du déculottement public pour la défécation publique causée par l'épilepsie dues aux électrodes, face au notaire narquois vaguement gêné de participer sans l'interdire pour autant, à une orgie répressive médicalisée pareille (signe d'indignité et d'injustice symptomatique courante schizophrène)qui devait censurer toute évidence de lucidité, culture conscience, et degré d'intelligence qui pourrait se manifester si j'intervenais, et qui serait contraire à cette accusation non fondée de démence affectant une certaine régression des facultés mentales, qui sera typique de la maladie, facultés intellectuelles voulues chez moi de ces cures d'électrodes et psychotropes sonnants, (défigurants pour l'occasion, soufflant le visage et le corps, pour une meilleure adéquation avec le physique d'arriérée et son faible niveau) , que cette curatrice préventivement à toute entrevue avec elle, (voulant "que cela ne se voit pas et que je ne m'en aperçoive", ce que je constate, n'osant m'indigner face à cette femme très imbue et suffisante, froidement calculatrice sinon exaltée, colérique, et oublieuse de ses devoirs , en passe de devenir dictateur), faisant semblant de rien, me fait injecter, croyant son geste inaperçu, opérations du cerveau neurologiques extrêmement violentes jusqu'aux signes apparents de débilité, mes facultés mentales sinon momentanément réduites au mutisme contraint des forts commotions de ces opérations neurologiques du cerveau et du système nerveux dans son intégralité, certaines avec anesthésiques puissants, les autres sans anesthésies, ou avec myorelaxants, très douloureuses à devenir sur le coup fou, et rester longtemps le corps en loques, disloqué, désarticulé, donc parfois alité, ou "catatonnie schizophrénique en phase d crise dépressive" dont j'ai longtemps également été accusée des témoins irresponsables et inconscients de cet état relatif aux opérations du cerveau multiples, décrits d l'autre formule magique "elle ne va pas bien, l'on ne sait pas ce qu'elle a", ce qui m'a valu des traitements identiques de médecins et leurs équipes de matons jouant les hommes invisibles et les "plombiers-électriciens" (ils s 'occupent généralement du courant EDF, des canalisations naturelles, intubent, parfois violent et fécondent, certains encore à a recherche, se disant mes anciens petits amis)à mes domiciles successifs, sur les appels parfois affolés,de ces témoins aux services de leur choix, commotions déclarées "inconscience" ceci afin que chacun dans son rôle d'assistanat saprophyte de prothesis auprès de cette invocation de démence profitable, puisse en tirer gain,profit, contre-façon de travail digne, aussi longtemps qu'il sera possible de le pratiquer..

Depuis,la machinerie de guerre médicale lancée sur l'accusation frauduleuse de démences multiples au gré des multiples médecins appelés ou qui 'mon t été imposés, si l'un exigeant un suivi de 10 ans, il aura eu la raison sur 10 ans de prétendre la folie qu'il aura choisie de prétendre, sinon, poursuivant le dit "travail" du précédent médecin, parfois communiste, parfois servant son idéologie de droite, se basera sur le diagnostic précédant, ou celui choisi, pour avoir été traitée le plus longtemps par le même psychiatre. avec parfois reprise du même traitement, y compris dans le cas où une démence qui semblerait plus appropriée serait choisie à nouveau, ces fraudes dans le jargon du déterminisme médical, signalées erreurs thérapeutiques, ou "psychose évolutive", autre formule magique masquant la fraude . Puis reprise des "maintiens à domicile", puis "suivis" en vue d'un maintien pérenne des symptomatiques de chaque démence invoquée, symptômes calculés plus ou moins dans leur totalité requise, maintien (y compris avec implants électriques ou électromagnétiques, électrodes intracrâniennes implantées souvent dans zones sensibles et érogènes, du visage et du corps, , manipulables à distance par engin et télécommande, actionné et confié à voisinages douteux choisis à cette fin, souvent drogués alcooliques d'extrême droite fanatisés pour une société sécuritaire, chargés sur leur libre arbitre d'un apartheid racial néo-négationniste de type français à l'égard de toute personne fichée démente, ou ayant eu recours à des soins psychiatriques, (mise en placement illicite non officiel prétendu officiel et prétexte à des exactions médicales graves en vue de causer par mutilations constates, mainmise sous torture physique et sexuelle et mentale, (la jouissance contrainte, sinon le plaisir physique et amoureux condamné de la frigidité les trois quart de mon existence, pr infliction de brome, produit chimique castrateur de la libido, causant la frigidité reprochée en tant que symptôme schizophrène, prétexte ensuite autant que ces temps-ci, à orgies sexuelles répressives défloratoires ( prétexte leit-motiv des traques et interventions : "il fallait de sa sexualité ne l'en priver)puis proxénètes à domicile, le mien devenu leur clandé et maison d'abattage, et sur tout lieu public et privé dans traques, fréquentes, les privations d'eau, de nourriture, de sommeil, les maltraitances quotidiennes, l'indignité dégradante et inhumaine des exactions, des violations des droits de l'Homme à longueur de vie , de nuit, de jour, la maladie ou son apparence, conduites en vue d'un placement légal officiel dans un département qui est celui des intervenants médicaux) apartheid froid donc des complices et intervenants, se fondant sur les exterminations nazies des malades mentaux et résistants en camps d'internement psychiatriques anté la seconde guerre mondiale, et à titre de loisir de tabasser sans fin les dits patients, les torturer parfois sur prétendue confusion entre cas de patients, prétendus évadés ou instables nécessitant contrôle et répressions, qui inévitablement, tombent sur le,la plus tranquille et capable, apte la vie sociale, dénoncé sur simple appel délateur parce qu'on ne l'entend plus (s'il lit, dort la nuit, travaille, vaque à ses occupations ordinaires, corvées ménagères, sieste parfois obligatoire ou suit eaux forts traitements, ou s'est absenté, s 'il est dit sur simple prétention encore aujourd'hui du Dr Brès, en placement d'office quand il n'y a lieu de le prétendre, ) et que l'on ne sait ce qu'elle, il fait, ramené(e) au plancher des vaches où il devrait être et rester de la folie dont il doit être, torturé(e) jusqu'à des nuits blanches, traite sen "difficultés à l'endormissement", "du mal à dormir", de douleurs et brulures insurmontables, rongeantes, dans l'inversion parfaite cherchée des horaires diurnes et nocturnes du sommeil typiques de la symptomatique schizophrène par exemple, des crises paroxysmiques de douleur physiques, de terreur, d'horreur et de colère légitime parfois crée par injections de Tranxène, face au chantage à la mort de parties de tortures livrées au libre arbitre de chacun et de ces mercenaires à la solde des secteurs médicaux incriminés, crises de douleurs algies et névralgies hyperalgiques que causent ces implants , suivies et prétextes à interventions dite d'urgence sur place ou au domicile des personnes ainsi placées de façon illicite, ainsi que cela se pratique encore de nos jours sur ma personne également, interventions où s'infligent des narcoses à appareils à détenteurs et électrodes en tous genres des multiples secteurs psychiatriques appelés à intervenir à tour de rôle en relai constant, narcoses supplémentaires aux implants prescrites tant que l'auteur des violences ne sera déterminé à cesser ces violences, (systématiquement imputées à la victime sous la loi de substitution, loi de fait de psychiatres donnant droit à l'inversion des faits responsabilités et culpabilités au nom parfois légitime d'une personne démente cause par se troubles psychotiques réels, de troubles de l'ordre public, ici, les psychopathes choisis chargés de la détention des armements militaires illégaux employés dans les mesures non officielles de "maintenance psychiatrique" d'individus ciblés pour devoir être "déstabilisés" et rémunérer un futur placement en pavillon fermé, légitimant le placement préventif sécuritaire illégitime en assignation à résidence surveillée, placement arbitraire non fondé et non officiel accompagné de procédures fantaisistes illicites de tribunaux d'exception d'intervenants médicaux , de factions politiques pour certaines d'extrême droite, d 'autres pro-soviétiques, et d'une droite d'exploitation capitaliste, siégeant dans étages souvent supérieurs de résidences privée et HLM, publics, dont ces victimes étaient contrôlées sous torture psychiatrique, paramilitaire", , )calmées non par antalgique,mais par narcoses avec anesthésiques suivis d'actes de neurochirurgie souvent lourde, réparatrice des dégâts causés de ces pratiques, des implants et électrodes surpuissantes dans cas cas dits d'agitation, selon la prescription de la "courbe de gauss", créer le mal sinon le simuler, le porter à son paroxysme (sinon d'apparence créée) voulu pour le mater, l'ébriété invoquée dan ces cas créée des narcoses, coups violents portés au crane par appareils violemment percuteurs, jusqu'aux fractures, micro fractures et enfoncement des os de la boîte crânienne, et du visage, la réduction des zones cérébrales en état de bouillie cuite projetées en giclées de fractures du crâne causées sous les chocs électriques, ou de césures déjà pratiquées des os du crane,, ou loques déchiquetées, net ou à a longue, et produits injectés , sus des traitement officiels et cachets supplémentaires de psychotropes narcotiques et barbituriques occasionnels, décrit dans les dossiers sous la formule "ils auront eu de tout", mais précisément pas ce qu'il leur fallait et la paix sans tortures encore moins, génitales,électriques, mentales et lobotomiques rémunératrices des milieux médicaux, médecines palliatives aux chirurgie réparatrices, et lésions invalidantes parfois ayant nécessité la chirurgie, ,sphères para-médicales , et pharmaceutiques fonctionnant d'autant plus sur contrats avec les établissements publics et privés psychiatrique, qu'ils exigent des prises automatiques et systématises des médicaments achetés sur ces contrats assurant un marché profitable du médicament sensé souvent à tort car dans ses variétés officielles sinon en tests sur sujets, pharmacopées basées sur des composant chimiques plus inventés par chercheurs patentés pour rester pathogènes tortionnaires et répressifs, que véritablement curatifs des maladies créées, prétextées préfabriquée,et simulées, pseudo maladies dites "syndromatiques", médication de psychotropes et narcotiques parfois puissants, dangereux, créateurs de psychoses et psychopathies diverses, tics, tocs, complexes névrotiques, etc, certains de ces traitements chimiques aux composés complexes dits "ciblants" commotionnant jusqu'aux états seconds et somnambulismes, et barbituriques, tous traitements pour la démence de quelque nature quelle qu'elle doit être et ensuite soit, tous causes d'ébriété, de gêne et insuffisance respiratoire, asthme, tels le Meilleril, le Théralène, hydropisie,obésité, colopathies aiguës, constipations chroniques opiniâtres sévères voire obstructions fécales, et leur pharmacie palliative, certains à base de métaux lourds très cancérigènes tels certains antidépresseurs et le Lithium, médications abrutissantes tant soporifiques, causes d'analphabétisme, d'incompréhension, d'inaptitudes autistiques au travail, la lecture et à la perception de la vie sociale, d'inculture, inaptitudes à la vie scolaire, universitaire, et courante, déstabilisant et névrosants voire poussant au crime et au suicide, tels le Prozac, encore en vente, en surconsommation courante et en auto-médication libre le plus souvent sur simple prescription à la demande, sinon rendue obligatoire su demande de simple tiers personne, dans la plupart des couches de la population, les chiffres actuels de cette auto-médication libre incertains, flous, sinon tus) maintien donc dans sa constance de ces apparences de démences et pathologies diverses de médecines spécialisées de la médecine générale, multiplexes et variées, créées des méthodes répressives citée, dans certains cas plus profitable en fonction des possibilités, capacités de paiement ou accord des familles, dans ce cas selon le niveau de règlement des patients, sinon ponctionné par l'organisme de tutelle (prévu le plus souvent à ce strict besoin médical budgétaire des secteurs médicaux et psychiatriques, d'opérer pour opérer, pour le profit qui en est tiré) des patients réquisitionnés pour ces méthodes appliquées alors jusqu'à l'automatisation la démence et les pathologies annexes voulue, leur ancrage jusqu'à l'aliénation et les infirmités plurielle par patient, véritables., sinon ainsi qu'il en est pour mon cas, ensuite de ces fraudes citées et que je subis encore, imposition du diagnostic de démence, dans les fin de masquer un réel trafic de proxénétisme médical,hospitalier, dont j'ai rédigé les agissements et soubassements dans le courrier précédant, trafic soutenu, encouragé, maintenu par officiers de police, membres du corps de pompiers, fonctionnaires d'établissements publics, personnels médicaux, médecins du corps médical hospitalier et médecins du domaine privé précédemment cités en récidive dans un mercenariat commercial public de soldiers rattachés à leur cause publique égalemnt de police politique médicalisée,ou bien mercenaire de quiconque et besoins à titre privé de particuliers, sur simple bachish. Ainsi que le Dr D.,et médecins intervenants sur appels, courriers, de tiers, relations et proches, médecins restés anonymes par peur de sanctions.

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