lundi 1 février 2010

Je pose la question : Quand est-ce que la police ne pourra plus tuer ni blesser des déments sans défense dans des arrestations musclées, quand est-ce que les forces de l’ordre ne pourront plus frapper jusqu’au décès, tuer dans des chaises de torture dites de contention, isoler jusqu'à la folie pure, asphyxier de violences des malades mentaux revenus, les bruler, les électrocuter au taser, pour une phase de leur crise ou par pur racisme envers leur appartenance ethnique noire, ou leur démence, sans que le crime de ces déments n’aie été prouvée, violence gratuite ?


Je pense que le programme de santé doit s’intéresser aux droits des victimes de maladie mentale, déjà « victimes de la société » et de leur maladie, sans qu’en plus n’interviennent des crimes contre l’humanité meurtriers, des abus légaux révoltants, tels les emprisonnements en prisons privées faites pour le profit envers le nombre de détenus, la place des déments n’est en prison, n’est sur la table d’euthanasie, mais dans les hôpitaux, où ils doivent recevoir des soins appropriés à leur mal, et dignes de ce nom, car si les abus règnent dans les prises en charges légales de la démence dans les prisons, quelle doit être la situation au sein des cliniques privées, et hôpitaux … ?

La maladie, autant que la démence, n’est un crime, et si elle doit conduire au crime, c’est qu’elle n’a été bien gérée, antécédemment au crime commis par la personne démente, ou antécédemment aux crimes qu’elle doit en subir, en conséquence… Seule la prévention, par suivi régulier et prise anticipée de médicaments aux phases criminelles de démence des éléments potentiellement susceptibles de tuer, (loi de Kendra), la suppression de la loi des parties qui refuse l’attribution et la reconnaissance du terme de démence aux accusés dans les procédures, l'abolition de la peine de mort, en particulier celle des malades mentaux, parvenir à une amélioration des conditions de vie du malade mental. Et d’abord, le sont-ils tous, n’y a-t'il quelques cas d’internements abusifs, quelle que soient leur cause (politique, intérêts de particuliers, de firmes, ou d’administrations, autres raisons) qui pourraient si ces mesures sont adoptées, faire vaciller la démocratie dans l’enfer des crimes contre l’humanité, d’avantage.



Il n’y a à exister aucune forme de crime contre l’humanité contre tout militant de parti quel qu’il soit pour son engagement personnel, ni ingérence dans sa vie privée, ni exaction commise afin de lui interdire d’exercer son engagement, au nom de la du droit à la torture, à la reproduction de l’usage de la torture des pays étrangers et de celle des camps de concentration qui ont été tolérés après la dernière mondiale afin de rendre aux allemands nazis prisonniers de guerre les horreurs qu’ils auront eu commises sur les juifs, résistants, homosexuels et romes exterminés. L’usage de la torture médicale mutilatoire ou pas, (en harcèlement ou non) ni en son nom ni au nom de l’usage du crime politique pour vaincre un ennemi, n’a à être tolérées en aucun cas, ni même envers un ennemi commun, car toute torture à ce compte là peut trouver justification. La torture et son usage n’a à être nié ni toléré, ni tu ni à reste inavoué, ni à être sujet d’actes dits de bravoure des dissimulation faisant accroire à la démence de tout dénonciateur ou défenseur de sa partie civile, aucun militant d’une cause quelle qu’elle soit n’a à subir la torture au nom d’une lutte des classes mobilisées dans une occupation fasciste de partis politiques, clandestine permettant le droit de torturer dans le non-dit, encore moins par le fait d’un armement licite ou illicite non conventionnel distribué par les administrations auxquelles il est en partie restitué après incarcération du contestataire, armement recelé par les factions fanatiques de ces regroupements, armement revendiqué hallucination des victimes atteintes et blessées de ces armes tolérées, connues et sciemment distribuées dans la population, par les gouvernements depuis les années 30.

En attendant le droit la torture de guerre officielle et légale, la torture de droit de fait officieuse et imposée autant que si légale elle était dans le pays fait rage, l’on torture le voisin, chaque individu de la société torture son prochain au nom de son délit d’opinion, lui dans le seul droit de se laisser torturer dans le mutisme qui lui sera voulu ou corrigé, son silence transgressé, afin qu’il avoue sa foi qui lui sera amputée par la lobotomie nazie qui lui reviendra s’il persiste à ne pas s’engager dans le combat fasciste, de quelque bord politique qu’il fut, dans une société de surveillance qui n’est qu’une dictature. Dénommée paranoïa schizophrène à dissociation du moi délirante hallucinatoire, envers tout libertaire contestataire lucide de ces réalités ici décrites, qui se heurtera à ce rempart de déluge et de feu dénommé l’intolérance. De plus, dans le lavage de cerveau qui sert d’éducation de la jeunesse actuelle, au nom de la guerre et d’une torture de guerre, à l’infini dans les systèmes de corruption de la population, contre les libertés de conscience, contrées de la torture pratiquée sous l’égide de la Raison unique, Raison d’Etat, et de la Raison Universelle. Dans le sabotage du travail intellectuel, le viol thérapeutique au nom du soin de la frustration des pétroleuses féministes décrétées jusques par la science psychiatrique qui leur est opposée, mal baisées, phallocraties aryennes toujours si ce n’est plus, à l’honneur. Toutes libertés devenues obligatoires. La religion un fait du fascisme.

L’attribution de l’étiquette de démence prononcée contre le délit d’opinion, traité en maladie mentale gravissime, nécessitant les méthodes les plus indignes bafouant le code civil et les crimes contre l’humanité les plus dégradants pour la vie, la santé et la dignité du prisonnier de guerre dans son incarcération en semi-liberté préventive ou carcérale et sa privation de liberté ainsi instituées.

Je suis inquiète que des hommes et des femmes, rebelles aux pouvoirs absolus de leur pays, meurent sous l es tortures et les sévices des autorités, dans des geôles infâmes ou chacun s’exerce à les y laisser agoniser et ignorer, au nom d’une ligue anti-arabe, ces hommes, ces femmes, défendent les droits humains et les libertés, les devoirs d’émancipation et l’éthique du pouvoir dans de nombreuses dictatures du Moyen Orient, décèdent sous les coups, souffrent le martyre des illuminés, n’étant illuminés que de conscience éclairée, d’esprit de liberté et de démocratie, et assez conscients, lettrés, férus pour mériter ce martyre. Ils ne sont ni prédicateurs, ni terroristes, luttent contre les régimes des intégrismes, et celui de leur pays, s’en font rapter, rafler, tuer, exécuter lâchement par des pouvoirs qui nient leur liberté de conscience er d’expression, parfois, ce ne sont des intellectuels, seulement, des personnes aptes à reconnaitre les vraies valeurs éthiques et morales, d’un pays démocratique, laïque, féministe, capable de défendre les droits au logement, à la santé, à la vie à une alimentation, un niveau de vie, d’hygiène et d’éducation décent de milliers d’individus placés, rejetés sans pouvoir en appeler à l’aide ni à la compréhension de leur sort, sous le joug de ces dictats féodaux, ces personnes, sans vouloir seulement en appeler sinon à des instances internationales comme les grandes organisations humanitaires, je pense à Amnesty International, dont je suis membre, ces hommes, ces femmes, épris du devoir de faire respecter les libertés promises à ce monde, méritent une aide de l’Amérique, au sein de ces dictatures qui les massacrent, je réclame auprès du président Obama, qu’il considère que tous les libertaires du monde arabe ne sont des terroristes du 11 septembre, que tous mourront un jour lapidés ou assassinés, si aucune présidence digne de ce nom, ne leur accorde une aide, active et efficace, afin d’éradiquer, sans une guerre de plus, les pouvoirs indignes qui bafouent et violent dans l’impunité la plus indécente, la Convention Internationale des Droits de l’Homme. Je fais appel à vous, sans qu’il ne soit question de pitié, mais de simple devoir de citoyen du monde. Mon rêve est que ces hommes, ce femmes, dignes dans leur calvaire sans fin et leur douleur, vivent, que leurs familles soient épargnées, que leurs amis ne soient trahis, que le fascisme ne s’empare de cette planète, en établissant des amalgames meurtriers, qui coutent cher au lendemain de cette terre, car ce hommes, ces femmes, autant que vous, construisent, construisaient, l’humain de ce monde qui nous appartient, de décence et de pensée, et celui qui devrait être celui du futur..

Merci pour votre aide, votre soutien, votre compréhension
Vous, les Américains, avez du mal à comprendre que les fraudes de votre société, sont l’héritage des sociétés et présidences précédentes, toutes ou presque, et que le président Obama cherche à rétablir l’ordre dans les factures des banques, des paradis fiscaux, à redresser la dette du pays et l’état de la sécurité sociale, qui me parait bien atteint et d’une dérive assez complexe pour figer les américains dans une politique de refus du redressement économique entrepris, parce qu’il inclus des taxes dans l’entreprise de redressement fiscal. Soit, c’est aux grandes entreprises à régler le prix de la crise, et l’imposition des grandes fortunes manque à l’appel au réformisme du président, si le peuple américain l’accepte, faudrait qu’il l’accepte, peut-être Obama n’ose établir les règles premières du socialisme et de l’alter mondialisme à ce point (Obama faisant plus à mon avis partie intégrante de la politique d’Europe Ecologie des Verts en France que de la véritable politique socialiste), ce qui nuit à sa nouvelle politique, mais c’est la seule remarque que je me permettrai, sachant combien est difficile de rétablir un pays après seulement quelques mois de pouvoir…
 
Je pense que les nations et leur populations ne cessent de se torturer afin de diviser pour mieux régner, limiter les naissances de façon implicite et détournée de sa vraie solution, dans le bain de sang, les sévices abortifs et la contrainte lysique autrement dit qui empêche tout rapport sexuel autre que social ou socialisé, ce qui se base sur le fait de l’orgie collective et fait que, journal de bobos et à mon avis en grand nombre de républicains, les populations du monde occidental s’entre-tuent de tortures des plus iniques à inimaginables, afin de permettre au pouvoir qu’elles ont établi de régner, ne vous plaignez de rien, vous ne l’avez en occident voulu que par vous-même.

Le monde divisé en deux mondes, celui des prédateurs, brutaux incultes et violents, mortels et meurtriers, et celui des consciences éclairées, lucides et pacifistes, pacifiques, qui à l ‘inverse des prédateurs, vivent dans l’amour pur et ne se reproduisent pas par humanité envers la Femme, (ses douleurs le plus souvent sans la science mortelles ayant suffi à convaincre), à l’inverse des peuples prédateurs qui eux plus ils sont stupides, ignares et défoncés de haine maladive, se reproduisent comme des lapins, et courent vite, sur les modalité de l’auto torture et de l’entre-sévices.

La population des plus prédateurs et brutaux supérieure en nombre à celle des populations pacifiques, il s’en suit que par sélection naturelle, que les plus braves et âpres des deux camps au combat triomphent, ou survivent, les plus puissants ou déterminés à tuer tuant les plus inoffensifs, pourtant progressistes.

Conclusion, que serait sans ces décès répétés au cours des siècles d’humanité, d’un peuple de consciences lucides, humanistes et antifascistes, peuple personne morale du monde en voie de disparition, la politique de la terre de nos jours, la limitation des naissances dans le monde, qui a conduit des religions à adopter des massacres holocaustes et génocides au nom parfois du génotype, afin de purger la planète de son trop plein de population, planète qui organisme autorégulateur de ses débordements, si l’homme ne s’en mêle humainement, trouvera toujours le moyen et la méthode pour éliminer cette tumeur proliférente qu’est ce débordement de l’espèce humaine, la limitation des naissances, donc, ne peut-elle s’aborder différemment, sans en devoir passer par le devoir de subir le phénomène avec mise au pilori des condamnés, de la torture, des tortures sociales, sinon politiques, bref ?
En cela , cela est vrai cette troisième partie au monde est en soi une intersection, si vous vous connaissez en mathématiques, entre les deux premières parties, mais intersection faisant elle-même partie intégrante des deux premières parties, ou ensembles, et intersection partagée entre les deux ensembles.

Mais votre remarque est juste.

Effectivement, torturer part d’un plaisir pervers à infliger dans les chairs et la pensée d’un individu considéré ennemi, un viol sadique mutilatoire pouvant être mortel, et destiné à obtenir des aveux. Ce que vous ne comprenez pas, c’est que plus vous torturerez des islamistes intégristes et terroristes, plus ils emploieront la force, la destruction, la haine maladive et la ruse à l’encontre des bourreaux de certains des leurs, et par vengeance, vils tueront bien plus de personnes, des leurs, des vôtres. Entrer dans le cercle vicieux de la violence, par la trituration maladive des chairs par les sévices et le plus souvent il sont une origine sexuelle refoulée, est une question d‘honneur, les droits de l’homme violés par un pays qui se montre exemple aux yeux du monde ne supporteront plus ce genre de démonstration de force et de plaisir dans la défonce sadique et nazie, les nazis ont torturé les juifs, les résistants, selon les mêmes prétextes. Je trouve que bafouer de tels droits, ceux de la Convention Universelle des Droits de l’Homme, revient en usant de tels discours, à suivre ceux des milices aryennes. Américains républicains, vous prenez le chemin des nazillons, des jeunesses hitlériennes, des jeunes chefs de la gestapo, qui pour les mêmes raisons d’honneur et de triomphe de leur pays, ont porté et justifié l’emploi de la torture. « Nazis » ne doit rester non plus la seule réponse à vos actes. Les aveux obtenus par la torture n’ont de valu véritable, car induits par l’instinct de survie, et donc proche de l ‘aliénation, voulue, recherchée et le plus souvent causée par la torture portée à son maximum de supportabilité humaine, donc, révisez vos copie et vos notions je pense que la gauche de Obama a le devoir de faire résistance face à cette vague de néonazisme nationaliste américaine.
 
L’essentiel pour le peuple juif n’étant en fait à trouver un pays où ils puissent vivre en toute sérénité après en avoir chassé les occupants, car pas une parcelle de terre sur ce monde n’est habité, mais relève de l’acceptation du monde envers ce peuple, et de le laisser en toute liberté sur les terroirs où il s’est implanté, intégré, sans pour autant, autant du moins que le noyau dur intégriste de leur religion, vouloir en partir forcément, la plupart bien intégré dans les pays d’accueil où des descendances sont nées, où des générations parfois vivent depuis des décennies, où ils ont trouvé emploi, racines et fondé des générations, pourquoi vouloir ce peuple un peuple errant, sinon pour l’insupportabilité envers lui qu’il génère, par son pacifisme à l’origine, devenu fascisme véritable à nos jours au gré de son intégrisme qui va croissant, ce qui est justifiable, étant donné les horreurs que ce peuple a subi, ce qui le fascise en réponse, mais il tombe alors sur un peuple aussi inoffensif que lui-même l’a été jusqu’à la dernière guerre mondiale, les palestiniens, occupants de la Palestine, terre promise de Jehova, et Eden promis des juifs. Alors, faut-il donner cette terre au peuple juif, en chasser un autre de nos pays, pour que ce peuple juif trouve enfin sa paix ? Seule la lutte contre l’antisémitisme pourra rendre la paix à cette population errante du monde, dont les racines sont internationales, et seul le respects des droits de l’Homme pourront rétablir la paix, pour ce qui de son intégrisme fasciste agressif et belliqueux, il est jaloux des puissances de ce monde, et il faut dominer cet emballement fasciste planétaire qui a atteint jusqu’ au peuple le plus grevé de la dernière guerre mondiale;
monde, dont les racines sont internationales, et seul le respects des jaloux des puissances de ce monde, et il faut dominer cet emballement fasciste planétaire qui a atteint jusqu’ au peuple le plus grevé de la dernière guerre mondiale. les fous, les déments, démis de la vie sociale, aliénés de leurs droits vitaux, élementaires et droits de l'Homme des plus fondamentaux, stigmatisés, traités en race inférieure nouveaux juifs, bien encore de nos jours, si cet ariannisme n'est de rigueur,au sein de tous secteurs médicaux, les fous, rapppelons le, ayant été les premiers à être exterminés, ainsi que nombre de résistants et rebelles à la montée du Fuhrer au pouvoir qui s'y trouvaient, dans un programme d 'extermination nazie, dans les hôpitaux psychiatriques, premiers camps d'internement nazis, y compris en France.

Programmes de tests et de recherche pro-américains et nazis, alliés aux programmes de recherche communistes soviétiques et prosoviétiques, allant de la recherche sur la télépathie au clonage, en passant par l’acquisition par l’artifice de la démence et de la maladie, afin d‘en étudier les paramètres de fonctionnement de l’organisme et du cerveau, enrôlant des cobayes humains sous un Service du Travail Obligatoire aryen) personnes qui au départ ne savaient rien de cette entreprise fasciste de cobayage forcé, maintenus dans l’obligation du rapport quotidien çà effectuer, soumis à la torture sur dossier, actes de soutirage, ou cuisinage avec actes de cuissage (dans les moments de quartiers libres des bourreaux en tout lieu de résidence se défoulant autant que dans fermes de loisir afrikaners sur leurs victimes), par la torture d’engins de test et de nouvelle technologie assimilables par une utilisation à cet effet et dans ce but, aux effets du groupe électrogène, (lasers, faisceaux micro-ondes etc.…). Ces personnes, bouclier humain choisi dans la population pour ces tests de recherche en biométrique et biologie, ou tests militaires d’engins militaires, sont éliminés par les hôpitaux, par les asiles d’aliénés dès que les cobayes pour certains, osent s’ouvrir de ce carnage, élimination physique et mentale, par destruction préalable de leur personnalité par les pires tortures causées de ces engins, et sévices de maltraitances de toutes sortes. Puis, leur élimination physique est programmée à partir d’un âge déterminé, dès la quarantaine, leur personne si encore en vie à la cinquantaine, pris en charge parfois par les maisons de retraite assermentées sur le sujet. Programmes de recherche de tests accompagnés de contrôles continuels des victimes, ratissées au peigne fin et sous surveillance 24h/24 de voisinages payés en fonction, entrepris sous Georges Bush et encore en vigueur en occident.Chère Mary, voici ci-joint les e-mails que j’ai envoyé dernièrement à Amnesty international concernant votre lutte et la vidéo sur la torture des déments en prison. En espérant que je n’ai fait trop d’erreurs, confondant Loi de Kent et loi de Kendra’s. Si Ai vous contacte, je souhaite réellement que vous leur indiquiez tout de votre combat. Je me suis permis d’indiquer vos cordonnées pour qu’ils vous joignent.


.Discours au président Obama, Maison Blanche :


Bonjour,

Je soutiens un mouvement de décriminalisation de la maladie mentale, cette tentative d'humanisation des conditions de détention et de prise en charge de la maladie et du malade, qu'il soit soigné ou incarcéré pour raisons politiques liées à son refus des structures sociales dues au système capitaliste mondial occidental, et américain, me semble un problème qui doit se fonder sur un remaniement des projets structurels de l'Etat, en effet, et des mentalités, mais en Amérique, la tendance va dans le bons sens, en Europe, le problème est différent, s'est marginalisé longtemps, confiné dans les drogues douces qui entretiennent les échanges sur ce sujet de la torture psychiatrique et de la répression constante qu'elle peut représenter.

Établir les règles d'une charte des applications envers la maladie mentale me parait nécessaire. J'espère que le président Obama tiendra compte de votre action qui doit sinon se déterminer dans les lois, aboutir par un travail sur le terrain.

Le plus gros problème de l'Etat français actuellement résidant en l'existence d'un secret d'État sur l'existence des déchets nucléaires, la libre circulation des armements illicites de nouvelle convention, le délit d'opinion, et les méthodes de contention psychiatrique, conduisant à une résistance active ou passive, le problème différant en Amérique, où l'emprisonnement des malades mentaux entraine une mobilisation pour la pratique du soin et de la prise en charge médicale de la maladie mentale, les conditions de traitement de la démence en Amérique faisant encore froid dans le dos, le problème de la détention en milieu carcéral ou médical revient au même, problème de la torture autant dans les cas de maladie mentale que de délit d'opinion, ou de délinquance, le taux de suicides dû à des pratiques de la torture et de la maltraitance pouvant porter atteinte à la sécurité et la vie de la personne, revenant au même dans les deux cas, de l'emprisonnement et de la psychiatrisation, décès imputés soit à la nature soit à la maladie, le problème à résoudre restant celui de la torture, notamment durant l’incarcération en prison.

Prise en charge médicale étatique et sociale de la démence :

La question de la prise en charge médicale devrait être abord examinée et revendiquée dans le cas des incarcérations de déments : le fait d'une sécurité sociale obligatoire pour tous et une prise en charge de soins et thérapies médicales même en cas de petite démence ne conduisant pas forcément à la délinquance ou même aggravée jusqu’à la criminalité est à envisager. Je pense que le système social américain a engendre un problème gravissime de société irrévocable : celui de l'absence de sécurité sociale pour les sans-emploi et les plus démunis, ce qui les encourage aux trafics de multiple sortes et notamment ceux liés  à la drogue et aux drogues dures, ne serait-ce qu'afin de survivre et payer parfois les frais médicaux de membres de leur famille gravement affectés de maladie incurable, cela s'est vu, dans le meilleur des cas. il faudrait demander au président Obama de revoir ce système de couverture médicale de la population non travailleuse et des plus démunis, instaurer un RMI (Revenu Minimum d’Insertion) et une Allocation adulte handicapé ou AAH (revenus minimum en France diminuant le taux de délinquance chez les déments et inactifs, même si la délinquance juvénile a augmenté). Car les personnes malades mentales seront sans quoi orientées vers les prisons plutôt que vers les établissements psychiatriques, car fait aggravant  la prise en charge nécessite argent et remboursements médicaux donc sécurité sociale pour tous.

Je suis désolée de revenir à la charge, mais plusieurs pays européens et je suppose dans le monde, ont signé une charte attestant que la présence de membres d'ONG HUMANITAIRES (je pense à Amnesty International) pourrait être demandée sur tout lieu de détention par les intéressés qui feraient appel à leurs services, gratuitement, du moins je crois, afin de déterminée les enfreintes aux droits de l'Homme et du citoyen, l'Amérique du Nord a-t-elle ratifié cet accord, et sinon, il faudrait le proposer au président Barako Obama, tant que son mandat ne s'est écoulé et qu'il entreprend sa présidence. Beaucoup en effet d’enfreintes à ces droits de l’Homme dans mes prisons et de réorganisation des structures de l'Etat américain sont à revoir, de regard de français, l'œil étranger voyant plus rapidement les fautes de l'extérieur que de l'intérieur, d'où l'intérêt d'un regard extérieur au problème. je crois que la refonte de la société occidentale est à refaire, nous européens, comptons beaucoup sur votre présidence, notamment en ce qui est des structures sociales.

Si en prison les déments meurent sous les tortures, violences physiques et mauvais traitements, il existe des sévices hospitaliers qui ces tortures les valent, même si elles diffèrent, elles ne sont moindres. L’issue le plus souvent est la mort prématurée, proche de l’euthanasie programmée des déments, vers la quarantaine ou les 50 ans.

Il existe bien une solution intermédiaire, celle dénommée hôpital de Trieste, mise en œuvre par les communistes en Italie après les années de la reconstruction d’après guerre , vers les années 50 à 70, je ne voudrais pas me tromper, où les malades mentaux étaient soignés à domicile, ou dans des maisons d’handicapés, mais le problème se pose en France pays qui va vers cette tendance, de la fermeture des lits d’hôpitaux, et de la fin du service public véritable, pour un appât d’une plus grande humanisation. Chaque solution prison, hôpital ou soins à domicile, la perversion des prises en charge du malade mental s’est instaurée, et parfois, la prison fait office d’hôpital, en effet les médicaments pour troubles mentaux s’y généralisent, les troubles affectant jusqu’à la population carcérale saine, tant les conditions de vie y sont déplorables et inhumaines.

Dans les trois cas, les droits de l’homme y sont bafoués, seule la solution, de facilité,  de Trieste pourrait apporter un mieux, les familles non complices des tortures communes au sort des déments, pourraient contrôler ces débordements, qui d’ordinaire, se produisent en milieu clos, fermé, hors d’atteinte de regard humain… Mais cela engage à un investissement en temps et en argent des familles, qui sont débordées et ne peuvent réellement se consacrer à cette prise en charge familiale de la maladie, ne pouvant remplacer un personnel médical apte et efficace. C’est terrible, trop horrible, quand le calvaire des malades mentaux va-t-il se terminer…

La maladie se fonderait-elle sur la différence d’opinion, et donc le délit d’opinion, là est la question, mais il faut revenir à un fait évident, le nombre croissant et important de personnes de couleur emprisonnées dans les pays occidentaux, qui ont sombré pour des raisons le plus souvent de précarité induisant la délinquance ou de discrimination raciale des forces de l’ordre dans l’enfer carcéral, témoigne d’une situation grave de « préférence » que s’attribue la loi pour choisir du sort de chacun, l’interner ou l’emprisonner, en fonction de l’appartenance ethnique, idéologique, religieuse ou liée au sexe. Ce qui est les critères de base de la détermination même des exactions et crimes contre l’humanité. Le plus atroce, c’est que le sachant, les représentants de la loi imputent la faute à la victime, et impriment plus violemment encore leur despotisme.

Toute controverse serait parler pour rien dire, face à cet état d’esprit qui relève de celui des dictatures, beaucoup de ces manifestations de cruauté sont à réduire dans nos pays, l’inaction autant que l’action se révèlent aussi inutiles, c’est le fondement de toute dictature, seule la liberté au prix de la mort et le moindre dommage  pouvant résoudre le conflit. Beaucoup de bourreaux, liés à la mentalité du Ku-Klux-Klan s’érigent en autorité en Amérique autant qu’en un occident américanisé depuis Bush, et il est à craindre que le combat ne perdure, il n’y a que l’autorité des lois et leur juste application pour résorber ce trop plein de fascisme, le racisme, l’apartheid, ne sont une fatalité, même s’ils peuvent conduire à mourir de faiblesse face à eux, ils intimident et comptent sur ce sentiment pour régner.

Peine de mort et démence :

La maladie mentale, qu’elle soit due à la consommation de toxiques ou aux rigueurs de la société, ce qui est signe déjà de rébellion selon certains,  ou même la maladie tout court entreprise par les droits de la dictature et des tenants du dictat (tout dictat ne se résumant qu’à des personnes, individus de la société qui constituent cet état de droit de  fait de la dictature) maladie entreprise donc faiblesse de la race, faiblesse d’esprit ou physique ce qui induit ces tenant du despotisme et du fascisme (il n’est pas seulement allemand), à condamner la maladie selon les lois de la sélection de la nature, les plus faibles sacrifiés, dans un esprit de purification ethnique de la race qui accable jusqu’aux malades mentaux, des reliquats de cette mentalité entretenue par des factions fascistes dont certaines relevant du Ku-Klux-Klan, j’insiste, encore en vigueur et qui tiennent des procédés de l’Inquisition d’Espagne, Italienne, et française, procédés des forces de l’ordre dans les prisons et parfois de personnels d’établissements psychiatriques, ce qui est à craindre et ne résout le problème. Je crois qu’il réside en cela.

Je pense que la difficulté est en la présence de la peine de mort en soi dans votre pays, qu’elle touche autant d’innocents que de criminels véritables et n’est la solution à la vindicte populaire, aux mentalités qui réclament représailles à ce point d’hystérie collective, telle qu’elle existait en Europe au Moyen Age. En France Mr. Robert Badinter s’est battu comme un lion pour obtenir l’abolition de la peine de mort, dans les années Mitterrand, je ne possède tous ses arguments, il s’est battu longtemps, longuement, ce travail de reptation va vous demander, peuple américain, beaucoup d’efforts, pour ceux qui osent contester la peine d’euthanasie,  il vous faudrait des hommes de loi de votre bord pour vous aider, à faire bouger cette société occidentale qui si cela se trouve, retournera au supplice de la roue et l’exécution sur les places publiques.

Tuer est un crime autant pour un Etat qui assassine de peines liées à la torture médicale, par représailles, donc, lui-même criminel, que pour un criminel qui n’a pu prouver son innocence. Œil pour œil dent pour dent, la loi de la vengeance qu’établie la loi du Talion, rendre à autrui ce qu’il a commis, relève des tortures de la barbarie, quand l’Eglise chrétienne qui a fait les premiers pas de l’humanisme, a prêché pendant des siècles et des années (à faire jurer sur la Bible et non le Code Civil) qu’il ne fallait tuer son frère, et accorder le pardon à la faute du faible. Punir me semble un acte de vengeance qui est le vice et l’apologie du drame des incarcérés, d’abord leur expliquer le mal qu’ils ont commis, entreprendre toute prévention pédagogique avant l’irrémédiable, l’insertion sociale et le suivi individuel de chacun lui permettant de ne pas outre-dépasser les normes sociale de la loi, me parait une nécessité à défendre avant tout autre discourt. Un code civil bâti sur la loi de représailles nationales envers des individus jugés, jusques pour leur folie, me parait un fait aberrant. Et un crime contre l’humanité, de plus

Pour ce qui est d‘un innocent exécuté à tort, se voir mourir est aussi atroce que la mort pour quelqu’un d’attardé qui ne comprend même plus ce qu’il lui arrive, réduit au stade animal de l’homme par tous procédés de la société, c’est aussi atroce que tuer un animal pour sa folie, hélas cela se pratique aussi.

Exécuter un être humain pour la mort qu’il a peut-être donnée, en état de légitime défense en soi, poussé aux ultimes limites des frontières de l’humain et de son animalité, est désespérant, peut-on souhaiter cela pour tout fils, enfant de tout couple, tombé dans la maladie, l’incarcérer, voire l’exécuter au nom de quelque faute qu’il aurait commise, à ce compte là cela pourrait se trouver pour des fautes minimes, et certains l’acceptent, c’est le plus révoltant. En France, l’on se contente de construire des unités psychiatriques capables de traiter ce genre malades, unités de prise en charge médicale je l’espère sans débordements d’inhumanité, car cela serait ne résoudre leur problème. Et cela serait suffisant pour parer aux actes, si peu nombreux d’ailleurs en pourcentages, de la criminalité des déments, J’espère que le président Obama pourra rétablir quelque peu l’ordre dans ces aberrations du système.

Prévention psychiatrique et dérives du système

En France, pour proposer un modèle d’encadrement préventif de la démence, sans en venir au problème de torturer des psychotiques, existent des antennes médicales psychologiques, ou Centres Médico-Psychologiques qui dépendent directement de l’asile psychiatrique, et qui dispensent des soins curatifs à base de traitements à prendre dans ces locaux au sein des quartiers, en période de crise pour les personnes déstabilisées, ou en traitement de longue haleine à base d’injections retard de neuroleptique tous les mois, ou 15 jours, selon un calendrier bien établi des soins, accompagnés voire d’intervention sur le terrain à domicile, permettant de juger du comportement de la personne affectée de maladie mentale, à l’extérieur de l’hôpital si vient d’être libérée sur examen médical, auquel cas est nommé un référent ou référente à qui le malade peut se référer en cas de besoin, personnel infirmier avec qui il faut savoir tout de même composer, chargé d’encadrer la personne au sortir des mesures d’hospitalisation d’Office. Ce personnel soignant est cadré par la présence de médecins hospitaliers dispensant des consultations au sein de ces CMP, en cas de rechute ou de crise, ou de besoins de consultation des malades. Ces mesures de précaution (le personnel en principe très discret et aux petits soins, mesuré beaucoup plus qu’en hospitalisation) permettent d’encadrer les crises et d’éviter, au moindre appel téléphonique de la personne malade ou du voisinage, des proches et de l’entourage, de cerner rapidement les faits et d’intervenir à temps. Malheureusement, les listes d’attente se font longues pour ce qui est des hospitalisations, avec la mesure de fermeture des lits qui se comptent désormais, en milieu hospitalier, et donc se fait sentir une délinquance et une criminalité accrue qui justifie une recrudescence de la répression, la prison ayant tendance à remplacer l’hôpital, en France du moins

Actuellement, il ne faut se leurrer, certaines de ces institutions luttent contre un politique sécuritaire qui aurait tendance à vouloir les utiliser pour de mesures de précaution envers le délit d’opinion et la politique de terreur d’un gouvernement qui utilise les faiblesses de ce système pour régner au nom de la société Sécuritaire et de Surveillance à l’encontre de la contestation et de la divergence d’opinion, les termes de terminologie psychiatrique et la torture médicale n’est loin, de « malade mental » devenus l’injure menaçante suprême même à l’encontre du militant, donc se méfier des dérives de ce système de prévention… La maladie mentale serait-elle synonyme pour la plus part des citoyens de contestation  méritant la mort programmée si non traitée avant toute légitime défense ou crise de folie véritable de l’inculpé ? La maladie mentale existe en soi, involontaire ni préméditée par le malade, sinon qu’il est victime de la société qui le lui reproche, l’en tient pour responsable et condamne. La démence n’a à payer le prix d’une société policière envers le délit d’opinion et la divergence d’opinion quand ces deux situations sont assimilées la démence grave. S’il vous plait de torturer, des êtres innocents qu’ils soient conscients ou pas de la chose, prisonniers d’opinion du système autant que déments et inversement, cela concerne tout de même le monde. S’il vous plait d’avilir et assassiner de tortures médicales autant que des déments potentiellement dangereux, ils ne le sont tous, l’auraient fait envers autrui s’ils n’étaient soignés, vous, coupables de vous même, qui propagez la morale de la peine de mort, les mots tuent autant qu’ils peuvent sauver des vies humaines…

Prévention sociale :



Les procédures d’accompagnement social et pédagogique en vue d’insertion des inactifs prévues à l’attribution des minima sociaux en France prévues par la gauche, ont été stoppées net par la venue au pouvoir de Nicolas Sarkozy, ces structures d’insertions sont loin d’être restées valides et travaillent inutilement dans une société, où la totalité du plan de relance par adaptation de l’enseignement à la demande des jeunes est remplacée par une totalitarisation de l’enseignement due au manque de subventions et de postes d’enseignants, de surveillants et éducateurs qui seraient nécessaires pour pallier à la délinquance à l’école. Mais c’est un problème typiquement français, j’espère que le président Obama ne tombera dans le piège des subventions sans suivi d’accompagnement d’insertion pédagogique, l’emploi tenant à la formation librement consentie et volontaire de chacun, le tout étant de fournir à tous emploi et sécurité sociale, la sécurité sociale ne devant être liée à l’emploi, suivant le respect des droits de la Convention des droits de l’Homme, stipulant le droit d’accessibilité à la santé pour tous, droit inaliénable en Amérique bafoué… Tout travailleur ou personne apte au travail devant s’insérer dans un emploi sane in mens, sane in corpus, bref, sain de corps et d’esprit



J’ajouterai, que les structures d’insertion et de suivi des plus démunis, déments et des inactifs seraient libératrices d’emploi du secteur tertiaire et donc rémunérés au même tire que le secteur tertiaire des services, collatéral avec le fonctionnariat, mais pouvant introduire des emplois formateurs de postes dans le secteur privé et donc liés à ce secteur économique, ce qui induit une source inouïe de travail potentiel, sans compter le secteur de l’artisanat qui pourrait être privilégié dans des formations d’apprentissage qui pourraient débloquer de l’emploi chez les jeunes hors circuit scolaire très tôt, en France cette stratégie prend le relai de l’ANPE, permettant à des jeunes au Chômage ou en rupture de revenus sociaux, de s’insérer dans la société sans difficultés, rémunérés au départ au SMIC, donc dans moins de chances de tomber malades. Le tout étant de cibler les entreprises formatrices de jeunes, et de leur accorder des subventions en conséquence…

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