dimanche 7 février 2010

Textes de ce site extraits de la dernière version de mon manuscrit,Judas : Suite logique d’argumentaires qui desservent une dialectique bien précise, antipsychiatrique, antitotalitaire et basée sur une philosophie réclamant une déontologie éthique en matière de psychiatrie réelle, récupérée à l’heure actuelle, par les pouvoirs, au service de la répression anti-contestataire, et en lutte armée de la torture psychiatrique et médicale contre le délit d’opinion, créatrice de ses prisonniers d’opinion, au service mercenaire des désidératas en matière de constitution de prisonniers d’opinion, de la plèbe, en mal de populisme, en quête brutale de tortures de plus en plus perverses, absurdes, douloureuses dictatoriales et violentes envers cette condition niée en occident, de prisonniers politiques et liée à l’internement arbitraire, autre formulation et formule magique du fait, prétendant à soigner autant la démence que le délit d’opinion, traité en tant que maladie mentale gravissime, à dangereuse pour la nation, l’ayant fait, sous la formulation innocente de placement, depuis les années 30 à 50. Sous les principes de la torture médicale, et de l’abus de pouvoir caractéristique, le détournement de science et de déontologie médicale. « Judas, Lucarnes et œilletons, Mégères ou le baiser de Judas », nouveau roman entre l’essai scientifique et la thèse philosophique, inéditable en édition commune, car je crois jugé trop inclassable pour sa subversion. Parti, en résumé, d’un simple constat d’un malthusianisme omniprésent d’intervenants en retour de années 50 dans la vie sociale, j’entre dans la lutte résolue contre la présence militaire d’un armement de pointe et de nouvelle convention, destiné à des tests pratiques au nom d’un programme de recherche militaire d’Etat, similaire à celui actuel qui règne dans les états américains, incluant l’apprentissage par les masses sociales, classe par classe, regroupement par communauté, de la torture et de la torture médicale, dont psychiatrique, sur un bouclier humain de la population, choisis parmi les personnes ciblées en premier de la contestation, tests maintenus et pratiqués par de bandes qui en sont armées, payées en soubassements politiques pour cet activisme de mafias locales et de petits partis au pouvoir exorbitant, causant démences, pathologies diverses, morts et blessés dans la population entière en occident au nom d’une lutte des classes fanatique de la dictature d’un lumpenprolétariat totalitaire déjà triomphant, ne sachant où incinérer ses morts, ni calmer ses invalides de guerre. La pratique de la torture médicale et psychiatrique en France sujet tabou soumis au secret médical sous le sceau du secret défense d‘Etat, mais bien présente, prépondérante dans tout lieu de vie, de détention, même privé, présente de façon cryptée, au nom d’un acharnement thérapeutique envers prisonniers d’opinion détenus par la psychiatrie scientiste devenue nouveau goulag, que se confectionne la vie sociale et ses collaborateurs à ce système de prévarication, jusqu’au pourrissement de la situation, et l’apprentissage général, du vice, de l’ignorance analphabète conduisant à l’usage intime et collectif de la torture, sur soi, sur autrui, de l’analphabétisme acculturé, du pouvoir absolu de la bêtise conduisant à celui confiné, de la barbarie des plus inhumaine, le fascisme planétaire régnant depuis l’apparition de l’humanité. Liberté d’expression, d’action de la contestation psychiatrisées, psychiatrie-Raison d’État sous étiquette de démence, secret médical loi du silence. Psychiatrie organe répressif de partis, libre droit de torture médicale,fléau d’ Inquisition, insidieuse, inavouée, tabou.

Les mutilations sexuelles des femmes, cette pratique bien ancrée hélas dans les coutumes françaises et occidentales, rite autant religieux que athée, car la science et la médecine invoquées dans ces cas, la libre pensée fonctionnant selon la raison scientifique devenue religion et raison d ‘Etat, la médecine (Etat dans l’Etat, Vatican dans le Vatican) et surtout la médecine psychiatrique et ses médecins appelées à tenir le rôle de gourou exciseur, exorciste exorciseur du mal d’Aimer de la femme, et de l’Amour de l’Homme, plus d’amoureux de la planète, encore moins de passionaria, la Passion ne passera, selon l’église évangélique des intégrismes de ces religions, qu’elles soient athées ou pas : L’excision des femmes et de leur pénis « modèle-réduit de celui de l’homme », celle du prépuce des hommes, ce qui équivaut si les organes peuvent ainsi se comparer, à l’excision d ‘une petite lèvre chez la femme, cette excision pouvant se pratiquer par éradication du plaisir sexuel et innervation lente des nerfs des zones érogènes, des organes du plaisir, la femme ayant le seul droit de voir mourir lentement son innervation sexuelle du plaisir, par électrodes, implantées, forme nouvelle de l’infibulation pratiquée encore de nos jours en psychiatrie, de main de personnels médicaux très embarrassés pour l’expliquer car eux même condamnés à la semi ou totale clitoridectomie ne serait-ce que par amputation des nerfs du clitoris ou leur déchirement, son inhibition ou son viol ou à l’ablation du prépuce, ce qui peut créer des problèmes réels, le gland de l’homme excisé du prépuce frottant avec les vêtements serrés, et se mutilant d’avantage, non protégé par le prépuce, le pénis selon certains, toujours excité ou à demi, (car cette mutilation empêche les gestes sains de la masturbation, le manchon du sexe trop réduit de cette ablation, et ne pouvant coulisser) de cette forme de nudité supplémentaire et forcée, homme forcés de cette exaction. D’où des personnels médicaux, « passés par » ces ablations, dits tordus et tracassés de première, autant si ce n’est plus que leurs prétendus malades. La folie indiquée dans les cas de femme ou d’homme possédant ses facultés mentales mais aussi doué de posséder l’intégrale possession de son appareil génital, et son libre usage. La condamnation sociale du plaisir et de la libre possession de son corps, de son appareil génital, une des clefs du christianisme et du capitalisme. Ce qui crée une population de vices et d’inhibés ou mutilés sexuellement, homophiles, forme de droit d’asile social contre ces persécutions. L’inhibition sexuelle autre forme de mutilation génitale, privant de l’usage du clitoris, des organes du plaisir chez l’homme et la femme, et donc, nerf de la guerre de nos sociétés ; le plaisir intégral du corps et de l’orgasme complet, ou réduit à être partiel, condamné par le viol jusqu’à l’auto-lysisme, causé par l’alcool, récupéré par les drogues causant l’orgasme, autrement-dit, l’interdit personnel du plaisir jugé acte de prostitution et condamné au proxénétisme sinon familial, du moins social, médical et répressionnaire. Les viols correctifs, la suralimentation forcée, consentie ou non, sont un exemple de méthodes usitées pour condamner à son annihilation le plaisir sexuel et la pleine possession de ses organes. La torture, génitale et mentale, la mutilation cérébrale ou du système nerveux dans ces cas d’émancipation féminine ou masculine, dès ses prémisses, est qualifié de droit incontestable à incontournable à la mutilation sexuelle et de là nerveuse et cérébrale. D’où l’usage de la répression psychiatrique dans ces cas, en France, et en Occident. Se crée un système de suspicion et de chasses aux sorcières qui dure en France, en Europe, depuis le 19° siècle et la princesse Eugénie, ou le Directoire… Suivi d’une codification vestimentaire des pratiques de ces mutilations, très importante dans al détermination de la folie incriminée dans les cas d’émancipation intellectuelle. Et la pratique court de cette mutilation des femmes au cours d’accouchements répétés pour lesquels elles auront été conditionnées et poussées à les admettre, car rendus dangereux pour leur vie, et roulette russe de la société, le premier certifié assez mutilatoire, violeur et volontairement douloureux pour causer des plaies et dégradations voulues de l’organe féminine, définitives, assez du moins pour empêcher freiner réprimer ou gêner l’orgasme. Accouchements exciseurs causes de revanches des mères sur leurs filles et fils pour leur pleine possession de leur facultés et fonctions naturelles, et des persécutions envers la nubilité des enfants, adolescents, qui vont à l’attribution du diagnostic de folie, justifié ou pas, chez les adolescents. Car certains présentent à la suite de ces exactions, des troubles psychologiques et mentaux, d’autres, simplement rebelles importunés et victimes de ces rites obnubilatoires, et donc internés ou suivis médicalement pour leur rébellion. La stérilisation forcé des femmes dites atteintes de folie pour les persécutions subies de ces rites mutilatoires, les ayant sauvées en quelque sorte, de ces accouchements mutilateurs, leur est reprochée ensuite, par l’innervation aux implants ou aux électrodes, de leur système nerveux sexuel ; électrodes hors convention et non officielles, mais réputées efficaces, je le rappelle, allant jusqu’au plaisir forcé de l’épilepsie, autre forme de viol, dit thérapeutique, et mutilateur également. Remplaçant celles de l’accouchement évité. La réduction obligatoire dans les familles françaises, chrétiennes ou même athées, des petites lèvres des petites filles ou des jeunes femmes, se pratique encore, petites lèvres rendues « enveloppantes » c’est-à-dire très volumineuses et développées, et donc pouvant être cause de gêne épouvantable chez les jeunes filles, conditionnées dès la puberté pour se les faire opérer (jeans serrés mutilateurs, prohibition) et réduire autant que par réduction de poitrine, par toute une sous culture destinée à frustrer de l’acte sexuel afin d’ancrer le plaisir anté-opératoire causé par les rites familiaux et sociaux, par la frustration causant une érection ou semi érection continuelle sans aucune possibilité de satisfaction, sinon causée en cachette dans l’interdit et la surveillance totale de la vie intime, ou au cours d’orgies à farces Jung nazies, facéties et scènes de boui-bouis, de théâtre de cabaret familiales et sociales. Ceci vaut autant pour les hommes, contraints autant que les femmes et les enfants à ne point se toucher, autrement dit à ne point avoir recours au plaisir solitaire condamné à mort par les religions, chrétien en également,, ceci maintenu jusqu’à l’apparition des pollutions, nocturnes et parfois diurnes, ce qui est une gêne sociale, un handicap dans le travail, crée un phénomène relationnel apitoyé et compatissant de relations amicales pour « sauver le jeune homme » de la confusion, ce phénomène ne se passe de clinique privée ou de l’hôpital surtout psychiatrique chez les familles et classes fortunées, les basses classes réglant le problème par la violence familiale et voies de fait mortelles, le proxénétisme, et les violences parfois meurtrières conjugales. Les jeunes gens mariés à leur famille, ni plus ni moins, le temps de se faire « sauver » par la vie maritale ou conjugale, de ce fléau.. D’où le rôle du beau-père castrateur des belles-mères, contrôleuses génitales et malthusiennes du plaisir des couples, une certaine partie de la médecine, psychiatrique surtout, très corrompue dans l’exercice de ses fonctions, préconise depuis le discours de de G. Bush, la chasteté préconisée chez les jeunes jusqu’à leur mariage, rendu obligatoire donc, l’inhibition sinon leur mutilation de leurs fonctions sexuelles et le contrôle mental, génital, de leur vie sexuelle et leur droit à la reproduction, la stérilisation forcée des dissidents et résistants, contestataires et récalcitrants, conseillée et pratiquée par la médecine même. Jusqu’à l’hystérie sociale, la barbarie populaire, la transe sociale et la folie généralisée. L’être sain accusé de folie pour son émancipation et la possession de ses facultés et fonctions naturelles, la folie librement admise, considérée et décrétée norme, la schizophrénie revenant à être une des rares situations de dénonciation de ces faits, ou forme de l’accusation de démence envers la contestation lucide à ces exactions et pratiques, considérée délit d’opinion, ce qui est tu et tabou, le délit d’opinion en France, et en Occident, s’il est condamné par la psychiatrie, est non-dit, ni reconnu aussi ouvertement qu’à l’étranger. Si les femmes connaissent l’excision, la mutilation génitale et ses rites sociaux, les hommes autant. La Beauté des jeunes gens niée, sinon crachée au visage et surexploitée dans certains cas, car causée par tant de souffrance, et de pureté morale des victimes. La suite consiste en la surmutilation du sexe des femmes, dans des rapports de couple, violeurs assez pour rendre frigide. L’essentiel étant qu’aucun ni aucune ne puisse s’en sortir entière, ou entier, autant que cheval et bête de somme, mais coupé pour plus de docilité La psychiatrisation de la femme émancipée afin que son langage érudit soit ramené à la stricte et pure simplicité du langage destiné à l’éducation de sa progéniture soit des plus adéquat à ce qu’en espère la norme sociale que fait respecter la psychiatrie, en tuant en elle toute forme de sa faconde, sa culture et son niveau ramené par la constitution de son corps en celui de prisonnière d’opinion, à celui des basses classes du lumpenprolétariat, norme requise jusques dans la haute société qui préfère ses bécasses qu’elle met sur le pinacle et prostitue en toute liberté, aux femmes cultivées douées de savoir, d’intelligence, de finesse et dénuées des rituels sadomasochiste du culte ; Si la véritable maladie en France, mentale telle qu’elle est prise en charge médicalement par la psychiatrie moderne, n’est l’établissement du diagnostic de démence, envers des prisonniers de la torture électrique dont les sensations causées sont délibérément, si cela n’est clair ni pas compris objet de diagnostic de folie ; Chasse au célibataires et pogroms organisés par la population sur travail commandité de psychiatres, envers l’usage coutumier dit répétitif de la masturbation, ou l’onanisme ou plaisir solitaire, (certifié par la populace et la psychiatrie ne rien foutre ou branler à ne rien faire, langage ordurier médical, donc être résolument Fouriériste), la Veuve joyeuse des amoureux en attente de couple, des couples brisés, de la masturbation à deux, sur des problèmes d’interdit dus à la religion et à un regain de nazisme dans les secteurs médicaux intervenants sur appels délateurs de type vichyssois. Chasses aux sorcières répétées dans les rangs des célibataires dénommés dans ces secteurs psychiatriques réputés pour mettre une fin à ce mal, dans la population des célibataires dénommées vieux garçons et vieilles dès l’âge de la nuptialité, ou de la puberté, jusqu’à des crises de révoltes chez ces personnes pourchassées de soins intensifs à domicile déclarés préventif s’en fait de véritables placements d’office à internement non déclaré sinon suivi médical, soins pouvant atteindre un degré de violence certain, jusqu’aux voies de fait prolongées jusqu’à l’apparition de troubles réels, physiques et/ou mentaux, violences de type violences conjugales parfois jusqu’au décès suivis de violences supplémentaires de type opératoires, sans anesthésiques, viols correctifs et thérapeutiques en genre et de toutes natures, accompagnés et ou suivis d’opérations du cerveau le plus souvent au départ neurologiques et neurochirurgicales, précédent un état de crise post opératoire nécessitant l’hospitalisation réelle et office. Moi-même victime de réductions sexuelles, (réduction des petites lèvres autour du clitoris, ablation de son prépuce, partage en deux répété du frein du clitoris, dès l’âge des 9 ans jusqu’à aujourd’hui, implantation d’électrodes génitales afin de réfréner et punir le plaisir, solitaire ou à deux) et de mutilations nerveuses pour le simple fait de posséder encore l’usage de mes organes génitaux, non mutilés ainsi qu’il est de rigueur par l’accouchement protocolaire, ces pratiques en France monnaie courante.

Dans l’optique d’une politique véritable de la Santé qui ne mettent en péril des vies innocentes, ni la vie de femmes éclairées sur les problèmes des violences faites aux femmes, ou les ayant subies des existences de souffrance entières, afin que la médecine ne cède aux pornocrates qui règnent, cerveaux de trafics de proxénétisme hospitalier, afin que nul ne cède aux pressions politico-juridico-financières en jeu, pressions physiques que je subis, destinées à faire fléchir ou décéder, si je dois tant mourir pour “des idées”, le rush médical que j’endure depuis ces dernières semaines, en voie d’exécution sinon publique sur la place publique ou en privé, si je ne me tais, le silence sous peine de mort, alternés avec interrogatoires musclés, provocations incessantes obstructionnelles,en provenance du Secteur 2 de santé mentale du CHR, et du secteur 1, en répression abolutiste pour des faits rapportés et rrès inventifs, des accusations mensongères et délations de tout ordre,envers ma vie privée,intime, et autres attaques personnelles d’individus louches, dont mon popre père, qui pris de folie meurtrière ces derniers temps, et voire d’éthylisme dont il est en déni, a fait appels à ses tueurs à gage et d’élite, d’ordre médical, après m’avoir faite longtemps surveiller, depuis environ 2003. son trip du führer va en crescendo, dans une crise paroxysmique où il attente à ma vie, quotidiennement, des ordres qu’il institue à mon égard, pris, manipulé dans le trafic d’un réseau hospitalier, dont un réseau de prostitution pédophile et homophile, à mon avis, usant pour régner de conflits familiaux, et des cas de maltraitance, de violence familiale, d’inceste, de violences à domicile en tous genres,pour non les régler, mais constituer des filles tenues, filles faciles dont il faudrait que je sois, en sus de pratiques de la torture hospitalière,médicale et de maison de correction en partie fine, dites orgies, à inceste destinées à les “former”; ma vie entière sacrifiée à ces trafics, astreignant les milieux bureaucratiques, l’enseignement laïque et privé,l’enseignement bouillon de culture de ces réseaux initialement pédophiles, j’aurais trahi le silence imposé, d’où l’omerta actuelle dont je vous avais fait part.

La répression psychiatrique d’État envahissant les poches de résistances de l’enseignement laïque et privé, via les permanences des infirmières scolaires, faisant appel à des interventions en relai constant au sein des établissements scolaires, crèches, maternelles, établissements primaires, collèges et lycées, dans des cas de mises en difficulté d’élève martyr d’une classe, de camarades, de sa famille et de professeurs exacerbés de leurs crise de psychose non traitée, établissant des scènes de torture sur une tête de leurs élèves des plus érudits, surdoués voire génies connus pour leur tendance de gauche socialiste et géopolitique, génies aux ailes brulées, de séances d’électrodes violeuses tabassages des “petites idées préconçues” dixit les chefs d’établissements scolaires, médicaux, en accord et contrats sinon SAMU, d’équipes psychiatriques établissant une censure répressive des écrits, rédactions des tenants et instruits à la ligne de la Fidel, y compris en âge précoce, sur demande expresse de professeur cuissard, de professeur vicieuse violeuse cuisseuse inassouvie elle aussi, Pères et Mères Fouettards s’amusant à ce jeux sexuel pervers de ces électrodes en cures, en parties fine et de torture violeuses éradiquant en matraquages fortement maintenus la contestation dans les collèges et lycées, en “punition” des fautes d’inattention orthographiques déjà causées par instruments de contentions dissipateurs en place, très douloureux, jusqu’au brouillage des idées certaines, la perte de lucidité du monde étudiant, la nullité généralisée du niveau étudiant réduit à l’étudiant dian-dian timide, inconsistant évaporé, dissipé vide et nul. Sur cette intrusion constante des équipes psychiatriques, CRS médicalisés en blouse blanche chargés de  partir en chasse aux surdoués et enfants doux, humains, équipes médicales assurant un tri sélectif depuis depuis la crèche privilégiant les plus barbares, incultes, inhumains, vicieux et pervers, aux libidos calqués sur la dépravation, le sordide, la maltraitance physique, psychologique, les brutalités des basses classes,discrimination positive psychiatrique étudiante réduisant les étudiants en masse et en séries, à la crème de cerveau, la baisse générale du niveau culturel, pratique également universitaire depuis Mai 68. Violences de la répression médicalisée, entrainant des jalousies morbides, féroces,discriminatoires, tenant de l’apartheid, envers les jeunes intellectuels, aux résultants probants, à la moindre réussite universitaire et sociale, entretiennent le culte de lutte des classes, les répressions dissipatoires de même types, sociales,entreneues par les pouvoirs politiques, les intellectuels, connus pour “se branler à rien faire”, écrire pour ne rien faire, le travail manuel privilégié, des impuissances causées, à cette classe douée du raisonnement abstrait.

En sus des méthodes totalitaires d’une politique dite sécuritaire des établissements de santé mentale, imposée à titre de traitment de la folie et de soulagement de ses maux, souffrance morale supplémentaire aux tortures médicales substituant les soins prétendus, au nom d’un militantisme subaigu pour la peine capitale envers la dissidence au cas par cas d’abord “raisonnée” des tortures mutilatoire connues, passage en douceur de peines de mort envers ces dissidents, dénommée par le corps médical ”euthanasie”,l'euthanasie dont le débat a encore été abordé, ne devant relever que d’abord et en premier lieu, de cette lutte sociale pour une peine de mort généralisée et médicalisée confiée aux hôpitaux psychiatriques envers tout contestataire à ce régime, et la pratiquant depuis les années 80, sur de surcroit toutes victimes de ces méthodes un peu trop”gênantes” de la société pour l’implacabilité de ses arguments, réquisitoires et plaidoyers contre toute attaque au nom d'une intolérance religieuse des multiples fascismes régnant dans les masses, et ceux des pouvoirs établis les divisant, par cuisson progressive létale du cerveau, de son système nerveux, sinon accompagnée d’ablation progressive également du cerveau par amputation des zones cuites et brulées, exposées et desséchées selon le mode de traitement électrique, brulures augmentées de la cuisson chimique de produits pharmaceutiques employés dans ces cas de torture psychiatrique, dont la cuisson chimique constante causée de certains neuroleptiques sensés remplacer les électrodes, électrochocs anciennes et nouvelle formules dans la pratique médicale actuelle leur infliction constante. Dans chambres létales présentes en cliniques au sein des hôpitaux psychiatriques, cliniques privées, pavillons d’asiles psychiatriques, parfois improvisées dans simple chambre de patient, sur lit de fortune dans résidences privées, HLM, dans des cas d’assignations à résidence surveillée, méthodes birmanes introduites ne France dans les années 80, dissimulées de nos jours sous le prétexte d”internement préventif sécuritaire”, le plus souvent non officiel ni déclaré, dissimulant la présence de prisonniers politiques et d’opinion réels, constitués depuis les années 50 et la Guerre des Nerfs ou Guerre Froide sous l’infliction de faux en écritures, faux témoignages en jurisprudence si l’affaire portée en justice, auprès des autorités et de sforces de l’ordre, faux stipulant à tort le diagnostics de démence grave,  détournement de lois, dont celle de la substitution à des violences subies au cours troubles de l’ordre public causés de troubles majeurs d’impétrants, privilégiés pour avoir commis violences physiques et mentales, jusqu'à scènes de tortures quotidiennes continuelles sur des militants de gauche, relaxe systématique de ces extrémistes adverses laissés sur mesure d’intimidation dans le droit de poursuivre leurs actes de violences sur leurs victimes, relaxe due à la stricte inversion des faits dans les versions multiples de ces affaires, des responsabilités et culpabilités, les militants hommes ou femmes victimes de dégradations corporelles mutilatoires voire importantes suites aux agressions en continuum de ces casseurs, inculpées à contumax et devant témoigner à toute heure sous la torture électrique, sinon internées, détournements donc de lois concernant la privation de liberté de personnes, ciblées pour le caractère subversif, d’une divergence d’opinion, qui si rendue publique, pourrait causer scandale parmi factions adverses de ce délit d’opinion ainsi constitué, de défenseurs conventionnels des libertés individuelles, de la démocratie, des droits de l’Homme, de la Femme et de l’Enfance, sympathisants de partis politiques de gauche, dont l’Ecologie, non admis sur simple délation de particuliers de voisinages immédiats, dans certains milieux fanatisés d’extrême droite,ou d’extrême gauche pro-soviétique, en butte à militants si isolés du fait de n’être soutenus ni défendus par leurs proches, de milieux extrémistes ciblant ces personnes qu’en premier lieu ils torturent sinon exécutent de crimes politiques, passionnels ou dus à la maltraitance, et excluent si auront survécu, prisonniers politiques d’autant plus ciblés que représentants d’une liberté de pensée défenseur d’une gauche humaniste, libertaire et pacifiste, issue d’un mouvement post Mai 68 à déterminer, ficher médicalement, limiter, infantiliser, surveiller étroitement, rattacher à une quelconque ligne de parti admis cadrant des mêmes rouleaux compresseurs d’un asile psychiatrique utilisé en Goulag et moyen de pression physique, toute liberté de conscience laissée en électron libre, libre de ses actes et mouvements, donc, à éradiquer, sinon froidement éliminer,au cas par cas, sous la loi du silence imposée de ce détournement premier de loi qu’est l’infliction à tort du diagnostic de démence pour délit d’opinion, traité des méthodes psychiatriques à vie, destinée à limiter, asphyxier, éliminer des tortures de guerre mentales sexuelles et physiques communes au pouvoir psychiatrique, il en existe dans ces cas des non conventionnelles, tout action de ce mouvement,

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