jeudi 4 février 2010

J'ai fait le tour des associations contre les violences faites aux femmes, en congé de fin d'année encore, les violenes que je subis depuis la Toussaint mettant ma vie quotidienne en danger, je vous prie de me contacter, si je ne l'ai fait dans la journée, sur la région de l'hérault, aucune permanence s'avérant possible, les associations contactées, se disant incompétentes, dès qu'il porte attente à l'image de la médecine, ici en cause, ou de l'autorité parentale, l'image pure et l'impunité, l'immunité de blouse blanche, forme aujourd'hui de robe de noblesse de robe, si inattaquable que ainsi que nombre de relations amicales que j'aurai eu, je risque moi aussi, de ne pas en survivre. L'affaire ayant débuté par une lutte de classes sur laquelle se crispe un secteur médical psychiatrique de la région, pro-soviétique, le secteur de santé mentale 2,(puis le 1 et enfin d'autres) pour m'avoir trouvée trop rupine, de trop bonnes notions culturelles, d'un logos universitaire redouté d'eux, et pour ma qualification de Madame de Maintenon, (mes amants reprochés) Récamier, pute de salon, (je suis artiste, au départ artiste peintre, trépanée pour mon art pictural jugé subversif dans les années 80, puis reconvertie dans l'écriture, auteur de deux livres publiés) et Madame de la Trémouille, insultes gratuites des médecins inquisitionneurs de ce département médical, qui plutôt que me venir en aide, et enfermer d sex-concubins en intrus dans mon domicile, et en état de viols quotidiens, de violences aggravées, m'auront violée eux aussi, tabassée quotidiennement jusqu'à la mort apparente, au cours d'une partie d'amusement, s'amusant de moi pour le profit dans une "sauterie récréative" qui dure, se disant saouls, ayant bu et fumé, partie de torture de "nantis" ainsi qu'ils se sont déterminés, sur femme pauvre et démunie autant que dans partie de "chauffe" du Moyen Age sur femme serve, partie aussi de meurtre et de snurf, dans mon logement devenu chambre de torture sado-masochiste, depuis mon anniversaire, le 26-11-2009, où ma vie a basculé dans l'horreur. la justice, les forces de l'ordre, les pompiers, leur prêtant aide et appui, intimidations et violences supplémentaires,complices. Mon père incité à soutenir ces pratiques ilicites, les encourageant, les ayant causées depuis ma naissance, et même les rémunérant, les violences à domicile empirant, la phase paroxysmique atteinte ces derniers jours, les fêtes et leur degré d'alcoolémie augmentant la dangerosité des rites médicalisés des tortures médicales endurées, je fais appel à votre aide.

Dans l'optique d'une politique véritable de la Santé qui ne mettent en péril des vies innocentes, ni la vie de femmes éclairées sur les problèmes des violences faites aux femmes, ou les ayant subies des existences de souffrance entières, afin que la médecine ne cède aux pornocrates qui règnent, cerveaux de trafics de proxénétisme hospitalier, afin que nul ne cède aux pressions politico-juridico-financières en jeu, pressions physiques que je subis, destinées à faire fléchir ou décéder, si je dois tant mourir pour "des idées", le rush médical que j'endure depuis ces dernières semaines, en voie d'exécution sinon publique sur la place publique ou en privé, si je ne me tais, le silence sous peine de mort, alternés avec interrogatoires musclés, provocations incessantes obstructionnelles,en provenance du Secteur 2 de santé mentale du CHR, et du secteur 1, en répression abolutiste pour des faits rapportés et rrès inventifs, des accusations mensongères et délations de tout ordre,envers ma vie privée,intime, et autres attaques personnelles d'individus louches, dont mon popre père, qui pris de folie meurtrière ces derniers temps, et voire d'éthylisme dont il est en déni, a fait appels à ses tueurs à gage et d'élite, d'ordre médical, après m'avoir faite longtemps surveiller, depuis environ 2003. son trip du führer va en crescendo, dans une crise paroxysmique où il attente à ma vie, quotidiennement, des ordres qu'il institue à mon égard, pris, manipulé dans le trafic d'un réseau hospitalier, dont un réseau de prostitution pédophile et homophile, à mon avis, usant pour régner de conflits familiaux, et des cas de maltraitance, de violence familiale, d'inceste, de violences à domicile en tous genres,pour non les régler, mais constituer des filles tenues, filles faciles dont il faudrait que je sois, en sus de pratiques de la torture hospitalière,médicale et de maison de correction en partie fine, dites orgies, à inceste destinées à les "former"; ma vie entière sacrifiée à ces trafics, astreignant les milieux bureaucratiques, l'enseignement laïque et privé,l'enseignement bouillon de culture de ces réseaux initialement pédophiles, j'aurais trahi le silence imposé, d'où l'omerta actuelle dont je vous avais fait part.

La répression psychiatrique d'État envahissant les poches de résistances de l'enseignement laïque et privé, via les permanences des infirmières scolaires, faisant appel à des interventions en relai constant au sein des établissements scolaires, crèches, maternelles, établissements primaires, collèges et lycées, dans des cas de mises en difficulté d'élève martyr d'une classe, de camarades, de sa famille et de professeurs exacerbés de leurs crise de psychose non traitée, établissant des scènes de torture sur une tête de leurs élèves des plus érudits, surdoués voire génies connus pour leur tendance de gauche socialiste et géopolitique, génies aux ailes brulées, de séances d'électrodes violeuses tabassages des "petites idées préconçues" dixit les chefs d'établissements scolaires, médicaux, en accord et contrats sinon SAMU, d'équipes psychiatriques établissant une censure répressive des écrits, rédactions des tenants et instruits à la ligne de la Fidel, y compris en âge précoce, sur demande expresse de professeur cuissard, de professeur vicieuse violeuse cuisseuse inassouvie elle aussi, Pères et Mères Fouettards s'amusant à ce jeux sexuel pervers de ces électrodes en cures, en parties fine et de torture violeuses éradiquant en matraquages fortement maintenus la contestation dans les collèges et lycées, en "punition" des fautes d'inattention orthographiques déjà causées par instruments de contentions dissipateurs en place, très douloureux, jusqu'au brouillage des idées certaines, la perte de lucidité du monde étudiant, la nullité généralisée du niveau étudiant réduit à l'étudiant dian-dian timide, inconsistant évaporé, dissipé vide et nul. Sur cette intrusion constante des équipes psychiatriques, CRS médicalisés en blouse blanche chargés de  partir en chasse aux surdoués et enfants doux, humains, équipes médicales assurant un tri sélectif depuis depuis la crèche privilégiant les plus barbares, incultes, inhumains, vicieux et pervers, aux libidos calqués sur la dépravation, le sordide, la maltraitance physique, psychologique, les brutalités des basses classes,discrimination positive psychiatrique étudiante réduisant les étudiants en masse et en séries, à la crème de cerveau, la baisse générale du niveau culturel, pratique également universitaire depuis Mai 68. Violences de la répression médicalisée, entrainant des jalousies morbides, féroces,discriminatoires, tenant de l'apartheid, envers les jeunes intellectuels, aux résultants probants, à la moindre réussite universitaire et sociale, entretiennent le culte de lutte des classes, les répressions dissipatoires de même types, sociales,entreneues par les pouvoirs politiques, les intellectuels, connus pour "se branler à rien faire", écrire pour ne rien faire, le travail manuel privilégié, des impuissances causées, à cett classe douée du raisonnement abstrait;



En voie de décéder peut-être sous peu, si ces violences perpétrées perssitent, je fais appel à votre aide, si vous pouvez me l'accorder, en réfléchissant au fait que ce genre de proxénétisme, pratique l'immerssion totale dans le monde de "la chambre fermée" à domicile, autant que cela se pratique, en département, dont les pavillons disciplinaires, souvent appelés à me "raisonner".

Merci d'avance pour votre réponse, mes anciens médecins, dont Montalti, Robert Brès,Mr Bottaï, Emile Aguilar, complices et auteurs des faits, avertis de m'attendre, ou en intervention répressive dans mon logement, dans le devoir de tenir en compte aucunement de ma partie civile, en fait, en vue de m'en débouter, à jamais, si j'en survis, les ayant accusés dans mes plaintes, eux ne me laissant, aucun espoir d'en rester libre entre temps, et ne me laissant aucune chance de m'en expliquer, si c'est à moi que devait revenir cette charge, si l'on m'en laisse le choix, et la possibilité, victime déclarée coupable de démence grave dans un but éliminatoire, qui ferait penser au "déni de psychose" que je ferais, démence invoquée dans le simple but de faire taire y compris tiers et témoins pour lesquel, je paierai, sur les faits et pour ce fait impliquée dans une affaire de faux, de faux en justice, de tous abus qu'à pu commettre la science médicale jusqu'à nos jours, je persiste.



La plupart des associations réputées lutter contre le proxénétisme, injoignables, tels le site sysiphe, Acsès, ou autres surtout les jours de fête nationale, dans l'urgence de mon cas, en danger de mort consécutivement aux violences subies, le trafic de proxénétisme et de traite des êtres humains hospitalier sur ma région, la police en complicité avec les agissements de médecins, neurologues, psychiatres, neurochirurgiens se disant ivres saouls, appelés à mon domicile par particuliers qui se destinent au proxénétisme de mon cas, non seulement faisant pression sur juristes et procureur de la république de la région, car pignon sur rue et ayant pratiqué ce proxénétisme, au nom du profit qu'ils en récupèrent, de façon illicite et non déclaré, médecins, spécialistes y compris cancérologues radiologues cliniciens et chefs de services psychiatriques, enrolés dans cette méthode de front hospitalier, dans un plan de traite des contestataires à ce trafic, jusqu'à leur décès prématuré, dont celui de plusieurs personnes que j'ai eu connues, hommes, femmes, réduits, pour plus de facilité,(par abus jusqu'à overdoses de neuroleptiques imposés jusqu'à l'abrutissement, jusqu'à l'arriération même et l'apparence immédiate de la démence, objet de discrimination sexuelle et discréditoire en justice), à la démence, ou victimes sous étiquette arbitrairement employée et injustifiée, de la démence. employée à titre de prétexte à l'inflixion de violences sévices et tortures plus graves encore et mortelles, afin de faire taire toute perspiration pouvant concerner la violence à domicile déjà infligée, faire entrave à la justice, interdire toute comparution des victimes aux procès qui en sus leur sont faits, dans l'inversion des responsabilités chère à ces praticiens,(instituant une inversion des faits nazie, depuis l'incendie du 3° reich, dite de nos jours "loi de substitution", ici injustement imposée, ayant été punie d'injection de produit neuroleptique retard, pour les violences de cette locataire, infligées dans le but d'instituer le passage à mon domicile, deneurologues, neurochirurgiens et apprentis psychiatres en amusement privé et parties de torture à viols sénextres violentes pour "se faire respecter", sur "femme"de foi" traitée en handicapée mentale, au cours de ces parties de snurf sans préservatif, à viol perbuccaux et génitaux) et aux juristes, faisant appel eux même à ces parapraticiens, corrompus, comptant sur l'ignorence populaire ainsi maintenue. Corruption de la justice pénale, agissant en faveur de la violence caractérisée, trouvée par eux à ce point faible, qu'il fallait les pousser au crime parfois nazi. Ce genre d'affaire rapidement classée sous l'étiquette "violences pas assez caractérisées",juristes eux mêmes proxénètes et protecteurs de ces trafics du CHR, du monde médical privé et de sa sphère médicale, pharmaceutique politico-financière...

Pratique appuyée en général sur demande de tiers, (une locataire de ma résidence, dont je suis femme battue, psychopathe employée à être une de mes souteneurs dans parties de snurf, de torture psychiatrisée, dont plusieurs déments envoyées me prostituer de leurs viols et obsessions à mon domicile) de parents, ascendants ou familles entières, par profit, car dument rémunérés,

Ici, mon père, employé par eux à cet emploi de maquereau régnant par l'inceste depuis a naissance, inceste et violences létales de parent boureau subies ma vie entière, qu'il souhaite faire taire et cacher de ces pratiques médicales, mon domicile devenu leur maison close, bouge, gourbi laissé à son pourrissement, et maison d'entrainement disciplinaire, le viol correctif à violences caractérisées et voies de fait employé dès le lever.

Merci d'avance pour votre réponse, certains médecins, jeunes et vieux "pontes" de ces établissements, dont un hôpital prison de a région, appelé à corriger la voisine proxénète, régulièrement s'institue mon soutenir à mon domicile, promulguant insolemment et ostentatoirement le viol à titre de thérapie pédagogique, sa punissions en la femme coupable du plaisir connu de son amant de cœur, du plaisir de la Femme facile, eux en complicité étroite avec maisons de retraite corrompues à ce système d 'esclavage, et pratiquant l'euthanasie par mort violente lente ou brutale, au domicile des prostituées, victimes de tout age qui leur sont confiées ante l'age règlementaire des 65 ans, âge à partir duquel la mort violente leur est réglementairement infligée, sous la dénomination d'euthanasie, ainsi que dans établissements psychiatriques, en opération civile de combat au sein des foyers et domiciles privés, pratiquent cette peine de mort sous électrochocs, autres méthodes ainsi que l'inanition causée par privation de nourriture, sous électrodes, jusqu'à l'apoplexie, ou la torture par implants électriques cardiaques, génitaux, jusqu'à la mort cardiaque, infligée chez moi, maintes morts apparentes, dont j'ai été réanimée, tirée du lit ou réveillée à toute heure pour cette méthode d'intimidation par jeu de l'exécution sommaire, décrite dans les brochures d'Amnesty International, dont je suis adhérente... Seul argument contre cces récits, ces écrits, la torture psychiatrique, en guise de beigne.

Ceci afin que je n'exerce plus aucune campagne sociale en la faveur de cet organisme, campagnes contre la torture à l'étranger (organisme muet, inactif et inopérant contre les tortures psychiatriques de cet ordre pratiquées en France et voulant le rester, dans l'urgence des cas n'examinant strictement que les plaintes rédigées qui leur sont envoyées, toute affaire où les secteurs médicaux seraient impliquées, annulée) et les trafics d'êtres humains, dont je serai inévitablement victime, ou de la LDH dont je suis également adhérente et que je cesse tout écrit de mon site, déjà auteur de deux livres parus aux Editions du Champ Social, http://cheleyletterstoworld.blogspot.com,

 Message du 24/12/09 11:57

Ma vie en danger, vertèbres cervicales quotidiennement ces jours ci déviées, épaule démise, reins cognés trop arqués de l'épilepsie, coups portés à la face et tabassages quotidiens, destinés à me "raisonner" parfois en continu, souvent pour avoir été trouvée à mon réveil "trop bien", (trop belle trop fine, trop mineure ou trop jolie), à main armée d'appareils dits d'électrothérapie, à détenteur, d'une détente d'arme à feu, autant de balles dans le crane le réduisant en bouillie, parfois jusqu'à l'explosion de cerveau cuit, coups portés à la face à emboutir les os des tempes, jusqu'au port d'attelles sous les os du visage, destinées à me restituer mon apparence initiale; d'où dans ces cas l'invocation du handicap,parfois résiduel, séquelle de ces pratiques illicites au sein des couples, foyers et familles, en faux placements licites, sous couvert de l'étiquette dea démences prétextées par loi de la rétroactivité,, si ces méthodes sont permises, en placement réel. Destinés à "faire disparaitre", ou "se débarrasser" définitivement, d'une personne d'abord vivant en paix, puis victime ici dans mon cas, des violences conjugales d'un parent pour l'inceste qu'il commet, également de ces pratiques, basées sur le viol correctif; dont certaines filles du ghetto de Montpellier, ont été victimes sur des matelas pisseux dans les caves des HLM de l'OPAC, certaines fermées, reproduites à  domicile.

Je vous contacte en désespoir total de cause, ayant fait le tour des associations de protextion envers les femmes, injoignables ou qui s'avèrent incompétentes en matière de violences sexistes envers les femmes, notamment une certaine criminalité sinon raciale envers les intellectuelles et femmes émancipées, signifiant dans ce cas leur devoir d'abêtissement et d'infantilisation de leur logos, je remarque une nette tendance à la psychiatrisation des femmes violées, battues, prostituées, au sein même de la famille, ainsi qu'il en est pour mon cas, dans le particularités atroces de la torture psychiatrique,tout aussi grave et meurtrière que les violences conjugales qu'elles semblent reproduire, simuler, imposer, ainsi que le devoir conjugal envers le médecin spécialiste, mariage dans la perte de la fidélité, aussi condamnée, l'obligation ainsi contrainte, au "droit de prostitution" érigé en devoir civique du STO, sous prétexte parfois de service sexuel "initiatique à a sexualité chez les incultes et demeurés, trafics d'un proxénétisme hospitalier féodal, gériatrique, psychiatrisé, méthodique, dépuceleur de jeunes filles, depuis la défloration au vilebrequin, écarteurs de cuisses de femmes rebelles à ce système de corruption de service hospitalier et psychiatrique, qui ne consiste plus qu'à imposer la torture médicale, y compris pédiatrique, anti-féministe, sous convention de torture électrique cérébrale constante , mutilatoire des zones cérébrales incriminées pour trop d'idées (de gauche, la gauche vécue mal, démence grave) mutilations nerveuses et cérébrales simulant et à titre de mutilation sexuelle déjà imposée, juqu'au devoir de neurochirugie, "geste médical" systématique, systématisé destiné à récupérer les victimes dites protégées, en devoir d'acception de ces pratiques, des dégats causés par la torture électrique, zones cérébrales réduites en purées cuite de cerveau parfois ayant giclé d'incisions déjà pratiquées, pour résumer, de la torture physique et sexuelle, du viol correctif collectif dit thérapeutique, incessant dans certains cas dont le mien, à table, au lit, au travail, dans l'étude universitaire, scolaire, surveillance totale et absolue de la femme émancipée dans son devoir de manque d'autonomie, d'infantilisation de son statut réduit à celui de petite fille facile, si elle ne renonce à ses revendications, nées de ce ces méthodes de dictature fasciste, régnant dans les complexes hospitaliers, dans le cerveau de tout employé médical, en vogue dans le monde médical, sortes departies de torture, dites de snurf, à plusieurs, d'équipes venues inquisitionner au sein des foyers, couples, s'attaquant aux femmes seules, célibataires hommes et femmes, mères célibataires, dans une attitude de cette médecine, pédophile aryenne, dans une régréssion des droits de la femme, sous une loi de substitution du devoir du Christ et de Marie-madeleine crucifiée à sa place, de payer les fautes d'autrui,ses fautes de frappe, les expier notamment en mon cas sous les viols d'un de mes ex-concubins, d'autres violeurs psychoates en intrusions constantes, dans le monde du macquage hospitalier en commun accord avec le totalitarisme déviant de la police, de la torture médicale qui s'instaure, qui fait peur, plus que honte, un terrorisme psychiatrique, psychiatrisé pour ses crimes et crimes contre l'humanité sous l'étiquette de démence, bien pire que Terreur Blanche qui tient des principes mêmes de l'Inquisition, sur de modes d'intrusion dans la vie intimee tprivée, de la Gestapo, selon le modèle du film 1900.

Je fais appel à votre aide, en tant que victime de lois patriarchales encore en vigueur dans les familles y compris athées françaises, fondées sur le modèle néo-nazi subconscient des années 50, la psychiatrisation des idées de gauche, et de mai 68, faisant partie de mon éducation, a sein d 'une famille basée sur le principe du père patriarche et dictateur, pourtant issu de la laïcité, ce modèle se progage, halte; constamment retrépanée pour lapratique en continu de décharges d'appareils à détenteur, de la puissance d'une décharge d'arme à feu, quasi séquestrée à mon domicile sur ordre parental, à peine atteinte ma cinquantaine, afin de me punir des dernières plaintes que j'aurai émises auprès d'un tribunal, concernant ces pratiques illicites de la médecine, dévoyée dans la dépravation de la torture psychiatrique en famille, sans placement réel, les placement aboutissant surotut au décès organisé, prémédité, des victimes, entre "bons voisins" initiés à cette forme de "pédagogie" anti-universitaire, formule nouvelle du SAC, du FIS iranien, revenu en force dans les moeurs, faisant appel au tchador du traitement pédiatiruque, neuroleptique, forme en sus de ceinture de chasteté castratrice des libertés sexuelles, baillon chimique de la liberté de pensée envers toute femme consciente de de cette enfreinte à ses droits...

Je fais appel à votre aide, ma vie réellement en danger, dans la non-assistance à personne en danger commise de toute personne contactée, et surtout de toute médecine appelée à mon secours, reproduisant les violences déjà endurées, dans le silence sur les violences envers femme battue, enfant martyr depuis qu'elle est née, sous ces principes de chasteté, devoir de célibat, du devoir de se soigner d'elle même pour son degré de cognition, de culture, de savoir, d'intelligence, de QI reproché etc...

En exemple des attaques personnelles subies, des vipères, aspics de la région, trouvées (commandées au vivier de la jardinerie d'où le "cadeau" avait été livré), dans le terreau du dernier "cadeau" d'anniversaire de mon père, (en fait lié aux cadeaux rituels dans les excsisions d'organes clitoridens des femmes surtout à l'étranger, ici,mutilations génitales, et cérébrales asociées) des bacs de terre et de plantes destinées à préserver ma vie privée d'yeux voyeurs sur la terrasse de mon rez-de-chausée, vipères venues envahir mon logement, divan, lit, pour lesquelles de véritables chasses nocturnes d'intervenants se sont déroulées, des médecins de centres antipoison, vétérinaires et généralistes appelés à monchevet, pour injecter sérum anti-venin à mes chats, ainsi qu'à moi même, plusieurs nuits durant, pratiquement et toujours à mon inus, tant systématiquemnt, trouvée mourante, quelque association humanitaire veillant à ma survie, ONG française que je remercie bien, à laquelle sinon auxquelles je dois la vie, en sus des témoins bienveilants, les ayant renseignées .

Vipères, symbole conte-nazi de la résistance, inroduites dans ce terrau, ansi que dans sacs de cette terre laissée à mon libre usge, en sortede condamner toute auto-greffe qui me serait faite des zones de cerveau amputées,en assez grande quantité pour effrayer,et donc rendre cette "restitution" de mon cerveau, nécessaire, et sous triatmeentanti-rejet de grffes, je me suis vue condamnée à mort sous électrochocs, dans la nuque, le cervelet, zone mortelle, ainsi que dans les zones ablavées, regreffées, du dessus du crane, électrodes crémantes pratiquées jusqu'à ce que les jonctions cèdent et que les lobobotmies collées cuisent, et leru odeur de décompoosition avancées, lors de leur retrait, rendu ainsi obligatoire sous peu, sans quoi mon décès assuré. totue pratique de la lobotomie, suivie de tentatives répérpétrées d"heure en heure, d'euthanasie, quiconque en serait témoin trouvant cette décapation si peu supportable que si elle lui était commise, qu'il préfère en décider pour la vicitme, ici, en ourtre, moi-même, et la décapiter plus sauvagemetn encore, ou la violenter jusqu'à la mort papparente, la mutiler sauvegment bien d'avatage, lui écraser le restant du cerveau, m'assassiner d'inanition sous appareils d'électrochocs à décharges, voire, l'empoissonner d'humeurs, glaires et salives, liquides séminaux,morceaux de morts en décomposition, parfois, avancée, peine de mort accompagnée de fornications macabres sur la fille trouvée quasi décédée.

D'autant plus que, dans ce logement, sentant fortement le décès, auront été découvert, quotidiennement depuis la Toussaint, des cadavres de nourrissons congelés, certains issus de mon corps, enlevés dès leur naissance, restitués morts, parfois la tête écrasée, séviciés, d'autres, de personnes inconnues, peut-être en tout six, ou décongelés, en état de décomposition pour certains, elle aussi avancée, en sus de lobotomies du dessus du cerveau, de fort volume, autant que couvre-chef, que l'on m'aura faites sentir,(car inanimée et comateuse suite aux opérations neurologiques, neurochirurgicales pratiquées en vue deme punir pour ces décès, de façon arbitraire, sans qu'aucun procès légitime ne soit entrepris) en plus des cadavres découverts, systématiquement remis dans mon coffre à linge sale, enveloppés pour qu'ils ne soient visibles, de chiffons placés entre mes vêtements, ou trouvés par inconnus dans mes poubelles, dans le cadre d'une restitution judique dont j'avais fait la demande lors de ma dernière plainte,les bébés dont j'avais accouché sans m'en être apperçue, accouchement dernier pratiqué à mon domicile par inspecteur sous surveillance d'un jeune homme brun coiffé en arrière, cheveux fournis, de 1 m 80 environ, moi-même restée assise sur mon canapé, sous hypnose ou état comateux hallucinatoire, après péridurale, bébés accouchés sans douleur parfois dans baignoire,(pour le dernier ,une fille apparemment, en vie, Djaelle, ou Djael, née après épiziotomie incisée aux ciseaux de ocuture rouillés, aperçue entre les bras d'une jeune femme, peut-être la voisine au dessus de mon appartement, entre les portes ouvertes d'un tram à un arrêt à auteur de Lapeyronnie et donc de la maternité, ma fille, ou un fils, je ne sais, né(e) à l'automne, fin novembre je crois, ma grossesse passée sous alimentation forcée et prise féquente également forcée jusqu'à auourd'hui de buvards, ou acide, drogue hallucinogène, depuis la conception, en avril ou mai, affectée de menstruations régulières,) bébés raptés dès nésdans institutions non appropriées, restitués d'une façon des plus irrégulières, décédés, ou sinon encore en vie, très maltraités, vrombissant encore tièdes, eux même dans une agonie liée à cette hallucination, nouveaux-nés que j'ai du laisser périr, n'ayant pu les toucher, prise de faiblesse mortelle tant commotionnée des électrochocs, laissée à l'agonie moi-même plongée dans un sommeil profond durant quelques jours,après d'importantes trépanations et cures d'électrochocs, les autres, plus agés, laissés à la libre initiative de chacun les ayant trouvés sans surveillance à mon domicile, et moi-même plongée dans coma, j'ai réclamé leur restitution aux institutions les ayant priise sen charge, afin de leur éviter un malheur, une de mes filles, d'environ 6 ans, trouvée pendue d'une sangle noire, d'origine inconnue, dans ma penderie, une autre , ma dernière encore en vie alors, d'environ 3 ans,portant des lunettes de vue dites "culs de bouteille" tant pour fortement myope, raptée sur la voie publique où il avait garé son véhicule, face à la fenêtre de mon logement, par mon père ou son double, coiffé d'une casquette de tissu ou feutre lisse mi bombe de cavalier, mi casquette de paysan bleu marine, sur vareuse de même couleur, apparement, un inspecteur le simulant et de surcroit, des associations humanitaires contactées voire par la voisne logeant audessus de mon logement, démente pour me faire adpoter plusieurs enfants d'origine étangère, venues me les délivrer, sans documents légaux, les ont laissés dans mon appartement, une fillette indienne, indhoue en sari rose fluorescent d'environ 8 ans, aura été trouvée noyée dans ma baignoire, immergée jusqu'à son décès, puis j'aurai été condamnée à la mort violente lente, pour ces découvertes macabres, par inconnus survenus dans mon domicile,appelés d'urgence et sur mes recommendations, restés invisibles ou quasiment, à mes yeux. le dernier venus m'ayant présenté le cadavre nu autant que celui de bébé juif, d'un de mes fils, à peine âgé de 1 an, dans l'apprentissage de la marche, que j'avais vainement tenté de sauver de son placement en la clinique de Mairet, où il a été trépané des cervelets, réanimée poura circonsance,en fait,logement du premier étage où il a été preque euthanasié sauvagement de trop d'électrodes, dont certaines, pratiquées à la nuque, dans précisément les cervelets,auront été fatals, car tant brulés qu'ensuit amputés, j'ai crié autant que j'ai pu ma haine car les décisions de son homicide prises par l'intermdiaire de cette voisine du premier étage, parlementant avec moi, elle pour l'avoir recueilli devant ma porte, et servant d'intermédiaire avec mes interlocuteurs, des médecins âgés, d'une terrible discrimination raciale,puis autant que dans le dernier Empereur, ayant décidé sur demande de mon père, persiflant, la fin de mon enfant, eux m'en donnant les moindres réalités, pris lorsque je l'ai aperçu, sous anesthésie après opération du cerveau, incapable de me lever, de bouger un bras, amenée en fauteuil roulant face à lui, muette tant asphyxiée après trépanation, systématique à chaque restitution d'enfant, lui, que j'avais vu nu dans le froid, blême, une hanche ensuite désaxée de violences, enfant de cheveux bruns dont elle a causé la mort, de son inconscience. enfant nés des viols subis depuis les années 80, voire, bien avant, étant née précoce et prématurée, nubile, pubère, et menstruée, avec galactorée,ceci, du à l'emploi du Distilbène, chez ma mère.

Sans compter les soles frites placées à l'arrière de mon crâne au niveau de mon cervelet grièvement électrocuté d'électrochocs, à travers les chairs frites de ce poisson ensuite très violement et maintes fois brulée afin de me maudire d'avantage.

Depuis l'Inquisition, rien de tel ne m'avait été autant prouvé, sur les pouvoirs fascistes. Décidement, je le rappelle, tout amour si non officiel, promis àla malédiction des amants maudits, à l'épopée américaine ainsi qu'au trihller systéùmatique couronnant la vie de chaque couple, ante vie maritale forme de charivari bushien pire que chez Idi Amin Dada envahissant les moeurs françaises. Et si l'on veut, l'on peut aussi appeler la CIA, mais ils seraient très bien vue leur optique, capable d'y penser.

Artiste depuis ma vingtaine d'année, peintre arasée des lobes de son imaginaire afin qu'il ne repeigne plus la contestation picturale, puis écrivaine auteur de deux livres de poésie libre aux Editions du Champ Social, fondatrice d'un groupe de musique et de chant contemporains composé d'handicapés mentaux, ou réduit à quelque démence, je milite également en faveur des droits de l'homme, adhérente à la Ligue des droits de l'Homme, et à Amnesty International, associations humanitaires qui se sont avérées incompétente en la matière.


Bonjour,


N'étant ni sous aucune mesure réelle de placement, ni ne mesure de suivi à domicile, ni de maintien en appartement thérapeutique, mesure disciplinaire, et pourtant traitée à domicile tout autant que dansséjour discipliaire dans départments de santé mentale, selon les modalités d'nterventions qui se pratiquent de nos jours,calquées sur les tortures pratiquées dans les nyerntements à l'étranger (Turquie, Asie, Amérique et "vol au dessus d'un nid de coucou,leur film favori, roumanie) je vous ai confié des écrits concernant une affaire d'usage illicite de la médecine psychiatrique dans des pratiques du proxénétisme communes à des secteurs hospitaliers, sur simple demande de pères et mères de familles à structure familiale basée sur la mère maquerelle et le père sinon führer, du moins père patriarche de type taliban, iranien, ou pakistanais, se calquant sur ce pouvoir hyperrépressif, parents protecteurs et leurs complices, obsédés par ce pouvoir du CHR d'intervenir dans le domaine privé à des fins de parties de stupre vénal et donc à des fins de constitution par leurs services, de prostituées sur exigences de leur famille, pédophile de ce système de corruption, en aficionados adeptes de cette dépravation hospitalière, contraintes par ce genre de macquage à des médecins véreux, crapuleux assez pour instituer ce droit de fait d'interventions constantes au domicile, dont ici, le mien,issue de milieux pédophiles de l'enseignement, adeptes de ce type de pédophilie psychiatrisée sur enfant martyr, pour infliger de séances d'électrochocs, électrodes en tous genres, jusqu'à la cuisson de système nerveux et cérébral,destinées à en continuum le tabasser, digéré de plus par imbibitions forcées de salives d'autrui destinées à le digérer, dans un but d'obliger et de m'obliger, à ne point leur résister, quitte pour eux à soumettre à des exécutions sommaires si refus de céder aux rites obligatoires de la prostitution dite ensuite libre,et pratiquées depuis les dernières lois de Sarkozy, en appartement, sans préservatifs, prostitution à déviances sexuelles contre-nature dangereuses pour la vie et la santé, parties de torture à thèmes et trips des plus fascistes dites de snurf, médicalisées, avec actes maints de défiguration, vitriolage de produits nocifs du corps et de la beauté de ces femmes, condamnées pour ces agissements au célibat, sous prétextes de placements d'office, le plus souvent, mesure de protection administrative de la personne en milieu dit protégé, à l'usage illicite de la torture psychiatrique des plus fascistes poussée à des degrés de violence et de crémation du système nerveux (ensuite dépecés le sujet encore en vie, systèmes cérébraux dont certains déclarés ainsi que le mien au départ de l'affaire, de très fort potentiel, donc anormal, décrété anomalie), tels qu'ils peuvent devenir meurtriers, placement le plus souvent affabulé et prétexté pour plus de liberté dans ces agissements dont soumission à la consommation forcée de porc, très enlaidissant, de la chevelure, brulure du sexe à titre répressif, affamement, privations de nourritures essentielles à la vie, auto-alimentation notamment en viande et surtout viande rouge, très prohibée, alimentation des victimes tolérée si seulement expressément, exclusivement sous régime sans protéines d'une l'alimentation forcée à base de viennoiseries grasses sucrées et salées, (croques-monsieur, et autres ) de pâtes et de pâtées pour chat par intubation, parfois jusqu'à a sur-nutrition des années maintenue, méthode issue de celles de Mussolini, malbouffe destinée à bruler, cuire,dessécher,autre procédé de crémation, digérer les protéines des chairs par l'abus de graisses et de sucre, carençant, obligation en continu au régime sans résidus destiné d'ordinaire aux examens coloscopies, régime en ce cas employé dans un but de cancériser, seule nourriture par ces bourreaux tolérée, car sans fibres, ni légumes, ni fruits, privation de sommeil, de biens vitaux et nécessaires au confort,qui leur est reproché trop bourgeois pour elles, restrictions en complicité avec des organismes de tutelles tels l'UDAF, inflictions arbitraires (sous un prétexte de devoir de substitution envers des victimes de violences), de punitions médicalisées pédophiles telles injections d'anesthésiques à cul nu en public, destinés à des séances de torture électrique, employées par les services médicaux en opérations du cerveau, imposition de nourritures contraires à la santé, forme de brutalités supplémentaires, tortures, sévices institués à tire de punitions corporelles, châtiments corporels arbitraires des rituels orgiaques pédophile encore en vigueur, envers femmes, filles émancipées, donc décrétées "pas sages" si non filles faciles, sinon en devoir d'être et rester filles tenues, de ces pratiques de la torture et méthodes policières pouvant aboutir au suicide contraint sinon le meurtre dans d'atroces souffrances mentales et physiques de la victime, ou à la pousser à l'homicide par légitime défense de leur mac, ainsi qu'il en est pour ma personne, en état de bourreaux depuis la petite enfance de leur victime, affaiblie physiquement de surcroit, d'inflictions en continu de narcotiques puissants, cuisant les chairs disloquées en plus de la cuisson de l'organisme due aux décharges violentes de courants électriques donc, des massacres, officiellement et rituellement déclarés inexpliqués et subits, incompréhensibles, les instances juridiques, les forces de la police, protégeant sciemment les faits, contraignant au règlement de compte meurtrier. Tentatives d'homicide auxquelles je ne sais par quelle résistance physique commune à ma famille, j'ai survécu, certaines décédées à cette heure de ces violences, ou rendues à la vie très diminuées. Mon appartement devenu leur "ferme", certains pavillons psychiatriques usant de telles méthodes envers certaines de leurs protégées dites "rétives"au métier, autrement-dit, leur maison d'abattage, d'entrainement, ou dite de correction destinée à contraindre sous le viol continuel, l'usage en continu de la torture électrique et psychiatrique, à se soumettre aux lois du macquage flicquant ,proxénète, lois de droit de fait destinées à établir depuis 1900 sur la France ce type de dictature régnant dans l'immobilisme social et la peur du psychiatre générée par ces secteurs médicaux institués en organes répressifs des pouvoirs établis, assez cyniques, machiavéliques et mafiosi pour "s'amuser à faire du fric, dans ces formes de placements d'office non déclarés, ni au préfectures, ni à la sécurité sociale, argent au black dont ils sont rémunérés, faute de budget plus conséquent, en cause, les suppressions des financements et subventions en provenance de l'état, sic, pour leurs abus et crimes contre l'humanité rituellement traditionnels en tous milieux, déjà connus en prolifération,dans les domaines de la psychiatrie, milieux pro-soviétiques très éthyliques, d'une supériorité raciale insupportable.

A peu tout type de maladie mentale ayant été depuis ma naissance, envers moi invoquées, sauf peut-être quelques unes méconnues du grand public.Chaque diagnostic, pouvant conduire à de poursuites pénales, diférant avec le médecin employé.

Peine capitale de nos jours encore exécutée,au sein des hôpitaux psychiatriques et généraux euthanasie imposée, infligée destinée d'ordinaire aux vieilles personnes anciens résistants et femmes âgées au sein des maisons de retraite capables des pires meurtres prémédités et violences létales, dont, sur ma personne, non en âge de 65 ans requis pour ce droit à l'exécution capitale dans ce genre de conditions de camps d'extermination, soumise à cette heure à cette décapitation lente commise sous le bâillon chimique de la chape de plomb totalitaire du médicament neuroleptique, le fameux traitement de la torture chimique commune à tout prisonnier politique de ce régime d'années de plomb, afin d'éviter tout ébruitement pour en partie, des faits et agissements pierre d'achoppement de ce livre, Judas, un denier de mes inédits.

Peine capitale tentée entre autres sur mon chat, trouvé rebelle car doué d'une forte intelligente presque humaine, tabassé longtemps aux électrochocs autant qu'être humain, sachant que le crane d'un chat est de taille beaucoup plus réduite que celle d'un être humain, donc, laissé souvent à l'agonie de cette torture, réveillé par vétérinaires intervenues à temps pour lui à mon insu, tabassé quasi à mort à nouveau moi-même autant, par intervention de ces plombières électriciens des départements psychiatriques, en visites constantes sur les appels de mauvais éléments, lui, crucifié longtemps sur cette croix du chat du film 1900, jugé inutile si je devais être exécutée. Tentatives répétées d'exécution de mon chat pris en otage brulé plusieurs fois ces dernières années, jusqu'à l'odeur de viande frite des son crane et de jus de viande, son sang. 

Mon organisme tant intoxiqué d'overdoses de médicaments, anesthésiques, neuroleptiques quotidiens et retard, en achet se tinjections, sans placment légal, enflé de ces overdoses, causes d'oedeme généralisé, jusquà la dificulté respiratore frquemment imputée au tabac, overdoses galement jusqu'à la rétention hydrique, poussée au surpoid, la dévitalisation ds chairs et tissus, par privation continue sciemment prolongée, inanition destinée à m'afaiblir, m'interdire toute riposte verbale, écrite, digérer es tissus cérébraux et réseux nerveux en vue de leur résection partielle et en grand part, digestion des tissus de l'organsime augmentée de glaires et excès salivaires de codamnés à cs mêmes pratiques, dégurgitées au cours de malaises et junes pour les mêmes opérationsneurologiques poussées jusqu'au devoir de neurochirurgie, dit "geste médical", mon corps si ce jeune se prolonge, constitué entièrement, de cytoplasme,d'eau, de quelques tissus interstitiels constitaunt l'enveloppe de cellules, fragilisées du manque de protéines et de nourriture saine;

Ou du moins appropriée, souffrn d'u cancer du sein acquisde ssouffrancs et doloeurs insurmontables, de méthodes similaires, destinées à rendre folle ou fou des blessures occasionnées, plaies multiples et répétées, tabassées jusqu'à la réanimation fréquente, brulures pouvant dans certains cas être mortelles, jusqu'à certain degré de cuisson du cerveau, en particulier ds zones à amputer, très cuites, sinon frits dans lebeurre et le "jus" de cerveau voulu.Torture antropophage de type nazi.les zones résques, souvent présentées ensuite sur plateau de légumes régurgités pour l'occasion, fadaises que ces médecins et équipes médicales se sont permises, réputées farces Jung.

Je vous prie d'excuser la présence de doublons dans les textes que je viens d'envoyer par e-mail à votre organisme, effet echo des doublons causés par un intervenant à mon domicile, dont le role est de censurer, saboter mes textes et écrits, couriels et manuscrits, de me reprocher éternellement, la faute professionelle qui m'a été infligée, puis mise sur mon compte, de doublons dans un travail de saisie informatiuque lors d'un CES que j'effectuais au sein dela Pharmacie de melle Rousseau, pharmacie de Saint-Eloi, dans les années 90, doublons prémédités par un de ces saboteurs, mon travail mis sous électrode quasi constantes d'équipes intervenantes fantisées sur mes lieux de travail, y compris la DDASS où j'avais entammé ce CES, puis mutée pour les raisons suivantes, de titularisation de mon poste, qui exigeait un diplome que je n'avais, j'avais été mutée ensuite à Saint-Eloi, où l'équipe, je suppose de Robert Bres, dont je n'étais plus officiellement suivie, avait décidé de mon licenciement, ainsi que de tout emploi que j'oserai tenter, qui porait m'assurer une indpendance vitale envers ce département, où ce secteur m'a voulue, sous prétexte ,et afin de prétendre à la maladie, au devoir d'"éteindre" "les plus atteints", ma lutte contre ces crimes contre l'humanité sanctionnée de tentatives multiples d'infliction de l'euthanasie telle qu'ils revendiquent pour certains pavillons,qu'elle s'inflige dans ces secteurs, par mort violente et lente, sinon douce et contre le gré des victime, qui pourraient s'avérer un danger potentiel de dénonciation envers ce crimes, abus, tortures déjà subies, si ces patients n'ont "appris la leçon" imposée dela loi du silence sur ces faits, maladies mentales, préfabriquées sur les modes identiques, à un travail à la chaine, que ces personels médicaux, revendiquent, au nom de stakanovisme inavoué du travail, dont ils me veulent atteinte, toute résistence à leur politique, décrétée nazisme, atteinte grave de la maladie; paroxysme actuel de l'affaire, suite à mes plaintes, en concussion véreuse, avec le secteur 1, qui se charge de couvrir l'affaire, en séquestrant, sinon d'interventions identiques, sinon en légalisant le fait des virées, expéditions punitives à domicile, dans trams, cars, taxis, restaurants, commerces, par le placement officiel;

Les médecins de ces départements,ayant fait le temps des fêtes de fin d'année, une incursion, une partie de "rave de rêve" à petite fête alcoolisée dans mon appartement, fête où ils se sont amusés de moi, ayant cru avoir afair à un prostituée, sur délation mensongère d'une de mes voisines, alccolisée et dontje suis femem batue, elel fmme racolant aurpsè des étalbissments, en vue d'organsier ces visites impromptues à mon domicile, d'abord en vue de me "macquer" au métier deprostituée qu'elel exige d emoi, ensuite, en vue d'intimidations en ce sens, partis de sauterie infligées avec les instruments dits de soin de leur pratique médicale,médecins et élèves psychiatres, dénommés internes, affirmant qu'ayant bu, ils ne se souviennent de rien, ils auront voulu me faire définitivement disparaitre, afin de s'éviter tout procès, qui pourait s'avérer envers eux accablant, d'où la censure de mes txtes, rédigés sous interventions médicales, à anesthésies et électrodes, dont le plus souvent parfois électrodes sans anesthésie, d'où la présence de fautes de frappe multiples, mes rédactions entravées de ces décharges électriques, engins de contentions les simulant douloureusment, et violences psychiatriques supplémentaires; me vouant à sur internet, intervenants n'hésitant à la l'alimentation forcée sous peine de gaspilalge de la totalité de ma nourriture par la souillure de déchets hospitalier shumains, résection lobotomique du pourtour du cerveau, sinon de matière grise cérébrale , environ un Kg dès l'entière repousse des zones amputées, ainsi que nerfs intcrâniens, dédoublés de violentes décharges électrodes,les tuant net, excisés et s'accrochant à la main d'électricité statique. D'où quelques difficultés à retrouver, mon niveau intelelctuelesl réel et encore récemment acquis, évalué au niveau agrégations, agrégations multiples car étoile de la personnalité et de facultés mentales, éclectique,l'étude philosophique dans laquelle j'ai été repoussée de ces pratiques illicites, sanctionée des mêmespratiques,ma vie sacrifiée à cela, dans l'abstinnce sexuelle exigée, l'étude, les électrodes,les trépanations, m'ayant formée à cet éclectisme, étude sréséquées dès que sues sur délation de type vichissoise et police stasie politique régnant autour de ma personne, exercices de surveilance suivis de controles à dmicle, interprétée selon les critères phallocrates du diagnostic de démence, forme de délire paranoïde chez individus ayant subi des controles dê type identique;toute vie relationnelle, sexuelle immédiatement si sue, sanctionnée de décharges suplémentaires;xistece condamnée au célibat, qui m'est reproché sous l'injure de "vieille fille".


Mon père, pris dans une défonse de revanche envers toute défense que j'aurai, récit qui m'est extirpé de tortures aux implants électriques, électromagnétiques, électrodes, envers les violences familiales qu'il aura pu commettre, viols de tout ordre qu'il aura eu commis, sans compter ceux que représentent pour lui , les viols thérapeutiques des électrodes, injections retard et cachets imposés depuis pour lui déflorantes, bâillon chimique destiné à masquer son inceste, sinon arsenic, et causes de coït,auquel il me contraint depuis des années, bien qu'aujourd'hui je ne sois plus sous la coupe de quelque chef de service assez vicieux pour écouter ses discours mensongers, accableries diffamatoires envers tout silence que j'opposerai, il me provoque de coups de téléphone, suivis immédiatemnt de représailles, invasions en séries de cures d'électrodes, accompagnées de viols des intervenants, représailles pour le fait que des témoins, ma famille, moi-même et médecins capables, l'aient voulu en gériatrie ou psychiatrie, volonté qu'il me rend en m'envoyant maisons de retraite à mon domicile, me séquestrer, tuer de décharges électriques, lui dans ces ces en état demeurtre, me faisant passer pour fille indigne enfant bourreau auprès de qui veut l'entendre,(déjà traité pour sa maniaco-dépressivité éthylique et hystérique en déni, par la famille, ainsi que par neuroleptiques Solian et Stablon, ce qu'il me rend, car lobotomisé plusieurs fois,il ne le supporte, se venge sur moi en réclamant des ablations très importantes de mon cerveau, allant jusqu'à "me faire bouffer ses lobotomies, et celles qu'il aura demandées pour moi, sur mes agresseurs) raffolant de ce jeu de substitution, depuis ma prime jeunesse, chacun le renseignant sur les rituels traditionnels de chacun de m'en infliger autant, sévices et viols préparatoires au bloc opératoire, qu'il me punit, inévitablement, d'actes de neurologie, neurochirurgie plus graves encore, ayant recours à l'alimentation forcée, m'interdisant toute alimentation autonome, en sus de ses moqueries pornos, insupportables,de celles des fauteurs de trouble, fomentant depuis ma naissance, dans un but libidineux de m'éliminer définitivement de sa vie, me traitant de poids inutile, et maquereau allié assez sûr pour ems ennemis, souteneurs instituant le bordel à mon domicile, se servant de lui et d'un de mes anciens concubins, de jeunes marlous se déclarant mes amants, joints par cette locataire du premier étage, qui m'entreprenent dès le lever, pour des séismos, électrodes en tous genres, électrode parties, à viols en séries rituels suivies, une fois la miotié du cerveau brulé, de trépanations, suivies elles de tentatives d'homicide, parce que de telles mputations ne sauraient se supporter, sans m'achever; ce rituel cyclique dure depuis environ la Toussaint, et empire avec l'alcoolméie des fêtes, cet ex compagnon des années 90, Luc Lopez, dément violent de Robert Brès, auquel l'on me remet systématiquement, et qui se fait une joie intime de dépravé, de tenter l'euthanasie sur moi, sinon ses représailles envers tout réquisitoire que j'aurai envers ses pratiques dévoyées dela médecine, il envahit mon logement, m'impose ses lubies, obsessions sexuelles, a entrepris de me forcer à une vie de couple avec l'un de ses déments, et bien d 'autres, basée sur la revanche, me faire vivre le pavillon de force à domicile, où il aurait les droits de parent bourreau, dans les rites conventionnels de la violence conjugale,voyou de surcroit, se faisant passer auprès de ses psys, pour mon amant, que je recevrais avec mon consentement, quand il force ma porte continuellement. pour s'y livrer en compagnie de ses médecins, infirmiers, infirmières, à de véritables parties de stupre; orgies insultantes, à tortures et vices dangereux pour la vie, oùl'on me viole de tout geste médical, violences et viols recensés depuis ma majorité, que je n'aurais supportés de ma vie ou de cele d'autrui, Luc me frappant avec chaussure au visage, m'ayant démoli une épaule, et plus insultant dans les temres du vice que jamais, équipes passant leur temps à me griler la cerevelle, en guise d'amusement qui leur rapporterait, chacun s'amusant de moi parce que trouvée pauvre fille, encore belle", vieillie prématurément en cinq minutes de sévices et décharges électrique, afin de m'y faire mériter la maison de retraite..


Pratique appuyée en général sur demande de tiers, (une locataire de ma résidence, dont je suis femme battue, psychopathe employée à être une de mes souteneurs dans parties de snurf, de torture psychiatrisée, dont plusieurs déments envoyées me prostituer de leurs viols et obsessions à mon domicile) de parents, ascendants ou familles entières, par profit, car durement rémunérés,

Ici, mon père, employé par eux à cet emploi de maquereau régnant par l'inceste depuis a naissance, inceste et violences létales de parent bourreau subies ma vie entière, qu'il souhaite faire taire et cacher de ces pratiques médicales, mon domicile devenu leur maison close, bouge, gourbi laissé à son pourrissemnent, et maison d'entrainement disciplinaire, le viol correctif à violences caractérisées et voies de fait employé dès le lever.

Merci d'avance pour votre réponse, certains médecins, jeunes et vieux "pontes" de ces établissements, dont u hopital-prison de la région, appelé à corriger la voisine proxénète, régulièrement s'institue mon soutenir à mon domicile, promulguant insolemment et ostentatoirement le viol à titre de thérapie pédagogique, sa punition en la femme coupable du plaisir connu de son amant de cœur, du plaisir de la Femme facile, eux en complicité étroite avec maisons de retraite corrompues à ce système d 'esclavage, et pratiquant l'euthanasie par mort violente lente ou brutale, au domicile des prostituées, victimes de tout age qui leur sont confiées ante l'age règlementaire des 65 ans, âge à partir duquel la mort violente leur est réglementairement infligée, sous la dénomination d'euthanasie, ainsi que dans établissements psychiatriques, en opération civile de combat au sein des foyers et domiciles privés, pratiquent cette peine de mort sous électrochocs, autres méthodes ainsi que l'inanition causée par privation de nourriture, sous électrodes, jusqu'à l'apoplexie, ou la torture par implants électriques cardiaques, génitaux, jusqu'à la mort cardiaque, infligée chez moi, maintes morts apparentes, dont j'ai été réanimée, tirée du lit ou réveillée à toute heure pour cette méthode d'intimidation par jeu de l'exécution sommaire, décrite dans les brochures d'Amnesty International, dont je suis adhérente... Seul argument contre ces récits, ces écrits, la torture psychiatrique, en guise de beigne.

Ceci afin que je n'exerce plus aucune campagne sociale en la faveur de cet organisme, campagnes contre la torture à l'étranger (organisme muet, inactif et inopérant contre les tortures psychiatriques de cet ordre pratiquées en France et voulant le rester, dans l'urgence des cas n'examinant strictement que les plaintes rédigées qui leur sont envoyées, toute affaire où les secteurs médicaux seraient impliquées, annulée) et les trafics d'êtres humains, dont je serai inévitablement victime, ou de la LDH dont je suis également adhérente et que je cesse tout écrit de mon site, déjà auteur de deux livres parus aux Editions du Champ Social, http://cheleyletterstoworld.blogspot.com,

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