vendredi 19 février 2010

La censure du débat sur l'identité nationale promulguée par le PS et Martine Aubry, débat né de la présence tolérée au nom des idées humanistes de gauche, d'intégrismes religieux de fascismes totalitaires du Moyen Orient mulsulman, infiltrant les populations immigrées de pays dictatoriaux soumises aux tortures sur le sol français des fanatiques de leurs pays d'origine toléré sur le sol français au nom d'une politique de regroupement famillial des travailleurs immigrés, surexploités, colonisés encore de nos jours sur le sol français (le fascisme capitaliste synonyme autant que tout fascisme, le colonialisme racial, le fascisme synonyme également d'exterminations raciales pouvant aller aux génocides, exterminations de masse de peuples), imposés sans acquisition de la nationalité française pour les besoins du système capitaliste, répressés dans leur exclusion absolue, privés du droit de vote pour le danger potentiel de pécisément ces fanatismes religieux importés avec eux, cette censure nie l'évidence de la présence d'une récupération d'un amalgame de fascismes issus des multiples dictatures régnant dans le monde, privilégiée et encouragée des administrations pénitentiaires, et institutions psychiatriques sur ses ressortissants (traités en vaches à lait et à traire, prisonniers politiques constitués sous l'étiquette de la démence, répressés, trépanés, torturés des mutilations de la torture psychiatrique et électrique à vie, tabassés à longueur de temps parfois à mort de ces tortures électriques mutilatoires létales, internés pour leur délit d'opinion, excécutés, constitution de prisonniers d'opinon jugée"saine", normale", "pas grave") perçue "racisme", "xénophobie", "exactions policières", exactions graves au nom de propos qui partis d'une évidence saine, de la peur face au danger que représentent ces dictatures en place régnant sur le pays, en Occident, et régnant, régençant la vie quotidienne, sous le couvert d'une tolérance laïque républicaine pro-bushienne envers les religions, les politiques de partis, les cultures étrangères, instaurent une politique de Terreur, aux minimisations révisionnistes sous des couverts innocents, d'une réalité de plus pernicieuses, privilégiant cet aveuglement idéologique calculée d'une propagande néo-fasciste sournoise, réalité en France de la prise de pouvoir anticipée à son élection par les voies démocratiques, d'une dictature néo-nazie multidictatauriale régnant par l'usage de la force de la privation de liberté, de la prise de corps, de la torture armée des armes des pouvoirs établis, l'identité nationale reprise de la propagande néo-nazie de l'extrême droite et du front national, les leçons de l'histoire n'ayant servi, niées du révisionisme vichissois encore de rigueur, l'histoire du fait du révisionnisme en éternel recommencement, révisionisme de bon aloi imposé dès la prise du pouvoir d'Hithler de 1900 en Allemagne, élection par les voies démocratiques du vote d'une dictature devenue un lieu commun, faille des lois républicaines du vote ayant conduit à la deuxième guerre mondiale, à l'internement et l'extermination de la premiere résistance française, de ses Cassandres (le Mythe, révisionnisme du fascisme datant depuis les débuts de l'humanité, déterminé depuis les Grecs, reproduit par l'hithérisme), dans les camps d'internement psychiatriques français, politique de génocide entretenue par la psychiatrie née en 1905 organe de génocide nazi et de propagande du nazisme, reprise par Staline, dans la grande censure névrotique du parti communiste français, usant de cet organe d'extermination psychiatrique autant que d'un goulag français, l'on ne critique pas le communisme aussi facilement que cela, politique actuelle de cette prétendue science médicale minimisée sous la censure étatique en "politique sécuritaire d'une société de surveillance", minimisation révisionniste exigeant sous des couverts sécuritaires et d'une tolérance naïve de gauche, la présence sur le territoire français, de cette coalliance de multiples fascismes sous la couverture sémantique du respect démocratique envers des "idées" politiques. La démocratie ne saurait tolérer le fascisme en tant qu'"idées politiques", "partis politiques", Staline, Hithler, les dictatures du Chili, de l'Argentine, de l'Islam,ne sauraient être réduites au simple terme d'idéologies, d'engagements politiques, ni devoir être admises, ni tolérées sur ce territoire français, européen ni occidental, et mondial, sous des prétextes de "non immiscion" dans les "politiques étrangères". Les "arabes", "musulmans" érudits, lettés et cultivés parfois et souvent athées sans papiers violement expulsés de façon systématique et privilégiée aux sans papiers incultes et intégristes avec ou sans nationalité française, présence intégriste sciemment négligée dans ces purges étatiques à expulsions et exactions policières, hors du "territoire français", personnes y compris connues et célébrités d'origine étrangère, les femmes libérées, émancipées cultivées, les génies et surdoués, traqués, répressés de violences policières, exactions psychiatiques prenant le relai, pogroms ponctués de traques à l'homme au nom d'une "politique identitaire nationale sécuritaire", d'un "hopital sécuritaire". Nouveaux juifs devant être ramenés à la "norme" de l'aveuglement analphabète idéologique d'une dictature  policière de surveillance de type birman francisée "à la française" déjà en place préparant la venue d'une dictature plurifascismes planétaire plus puissante encore, que celle déjà mondialement implantée. Retentissant déjà dans la vie quotidienne, "violences urbaines", "violences conjugales, familiales", violences faites envers femmes, et droits de l'enfance", "violations du code civil, des Droits de l'Homme," termes de formule littérale des violences du fascisme masquant de cette censure étatique,sur les prémisses d'un monde souterrain underground des fascismes en place. A interdire le droit de vote des immigrés, pourquoi n'interdire celui du fascisme, présenté sous couleur de partis politiques. Ce que peuvent occulter les débats.

Pour expliquer, compléter le texte précédent : L'identité individuelle ramenée à l'identtié culturelle, politique, religieuse et sexuelle, le surmoi de l'individu circonscrit dans les politiques de partis "surmoi" populistes populaires, de structure sectaire de sectes régissant, dirigeant les ça subconcients collectifs de collectivités communautaires, ne réagissant sur un seul mot d'ordre qu'autant bans de poissons marins, sur le senti, le ressenti viscéral promulgué par Le Pen privilégiant les viscères, point sensible stratégique de l'être humain, sa vulnérabilité première, viscéralité dressée d'éducations conditionnantes fondée sur la violence de tous ordres, viscéralité, ses tortures mentales et physiques, excluant toute réflexion, cognition, dicernement de la conscience, ni recul, délits d'opinion jugés et traités en folie. Le moi de l'individu ne se reconnnaissant, ne s'identifiant qu'au surmoi et au ça , guerre d'usure. L'individu indivisis morcelé entre l'identité collective, l'identité individuelle et mentale (tronquées des mutilations règlementaires, morcellement supplémentaire d'une identité individuelle factice artificialisée surimposée à l'identité d'origine tronquée résiduelle à ces mutilations), identité de soumission aux violences répressives de l'Etat, si non reconnaissance en elles, le ça et le surmoi collectif, de sa communauté identitaire, ce ceux des autres collectivités communautaires. la gestion de ces multiples consciences dans l'individu, perturbée des corvées et emplois quotidiens, est cause de pertes collectives d'équilibre, amenant aux difficultés des institutions scolaires, universitaires, médicales, pénitentiaires et judiciaires à gérer les débordements de psychoses sociales hystériques de ces populations, dont les dépravations, (alcoolisme des jeunes, drogues, addictions dangereuses pour la santé individuelle,collective, car conduisant à l'irresponsabilité meurtrière individuelle et de groupe, et autres opium sado-masochistes du peuple se masquant d'auto-tortures supplémentaires irrationnelles rituelles d'obsédés, compensatoires aux violences déjà subies, les tortures, vices et sévices pandémiques entre-subis telles suplémentaires aux violences tortionnaires des pouvoirs et de cette société  capitaliste s'entre-torturant à s'entre-tuer par suivisme et jalousies morbide envers ses rescapés, psychoses hystériques collectives tournant en rond dans le sur-place, l'immobilisme français, occidental, vécues norme sociale dans ce cas d'impossibilité à les gérer correctement, entièrement sinon au cas par cas si cela est admis(rarement) par la loi, gestion des hystéries collectives confiée aux victimes de ces débordements, elles mêmes traités en cas de démence, selon les modalités de tortures mutilatrices médicales déjà décrites; d'où les réactions violentes des factions extrémistes, et le regain européen, occidental, des résurgences fascistes du passé, en cumul aujourd'hui et se cumulant depuis l'apparition de l'Homme sur terre.
D'où l'interêt d'une politique médicale, une surmédicalisation dont le devoir (apparent) revient à récupérer, soigner les adeptes de ces auto-inflictions conditionnées esclavagisantes jusqu'à leur auto-acception et leur revendication en tant que liberté individuelle, handicapantes voire mortelles d'auto-sévices sociaux dont l'objectif est de propager l'idéologie de l'absurdité abêtissante, oeillères mentales des foules s'auto-entre-initiant et s'entre-auto-conditionnant des tortures initiatiques devenenues mécaniques citées communes aux idéologies fascistes en regain et renouveau.

La restriction du budget dans l'bndon des projets de la Nasa, polluante inutile, parait bon signe, les états préférant investir dans l'exploration sidérale(en vue d'une pollution nucléaire, dérèglement terrestre destructeurs, d'explosion cultivée non maîtrisée d'une politique d'armement nucléaire,de la planète,dans la recherche des dirigeants étatiques et leurs privilégiés d'une planète de secours),plutôt qu'investir dans la préservation de cet organisme d'accueil de la vie et de l'humanité.

Restriction du budget,abandon des projets de la Nasa polluante inutile,bon signe, états préférant investir dans l'exploration sidérale(prévus une pollution nucléaire, biologique, chimique, bactériologique, et dérèglement terrestre destructeurs, d'explosion cultivée immaîtrisée de politiques d'énergie et armement nucléaire malgré les avertissements des spécialistes et de l'opinion, politiques maintenues en persistance,de la Terre, recherche spaciale en vue d'une fuite de dirigeants étatiques machiavéliques, mégalomanes, et leurs privilégiés sur planète de secours) plutôt qu'investir dans la préservation de cet organisme d'accueil de la vie, et de l'humanité. Sachant la sale manie des pueples, d'élire leurs dictateurs parmis des aliénés hommes de paille de cercles fermés de dirigeants de partis politiques les manipulant( tel l'a été Hithler) et hissant au pouvoir dans ce but, ombres grises des décisions prises de ces dicateurs,chefs d'Etat potiches sinon de ces cercles de militaires, conseillers, chercheurs assermentés, et personnels afiliés en comités de promotion et de défense, se souvnir des prises de médicament du Furher, drogué voire même d'amphétamine, prétendant à l'époque,soigner la dépression mélancolique, et conférant de façon systématique, les rites de la psychose qu'il présentait, fureur, acariatrie, idées morbides, déclancheurs d'actes de barbarie pouvant pousser au meurtre,tyrannie, insomnie, hyperactivité, exaltation, hyperactivité, surexcitation psychique et sexuelle, à hystérie et libido morbide, augmentation de l'endurance et de la puissance physique, mégalmanie ou folie des grandeurs, dont l' esprit supérieur, idées de meurtre, domination maladive, fragilité mentale, amphétamines, découvertes et testées en sus de drogues aujourd'hui connues, dans les asiles d'aliénés des années 1900 à 1950, pour étude expériementale médicale de type nazie (anticipée à celles pratiquées dans les camps de déportation par médecins SS, expérimentations médicales biologiques scientifiques et scientistes pratiquées de nos jour aux sens des hopitaux généraux,et psychiatriques, où les conditions de cobayage humain relèvent de celle des juifs cobayes humains sujets autant que rats de la boratoire des recherches scientifiques des camps nazis, d'où l'insulte de "rats" envers les juifs, sur un programme d'expérimentation encore actuel sinon d'Etat, fonction de directives de cercles médicaux internationaux, congrès psychiatriques et scientifiques mondiaux dont ceux de l'ONUpouvant aller jusqu'au tests d'armements militaires nuclaires, lasers, autres, nécessitant la chirurgie et neurochirurgie à temps complet à but de vérification des lésions pratiquées et effets sur l'organisme des matériels testés, ainsi qu'à titre de chrirurgie rémunéatrice et réparatrice des sujets, afin qu'ils restent en vie pour la continuation de ces expérimentations sur leur corps, qui une fois top lésé, est exécuté sous la dénomination d'"euthanasie") de la folie que créent ces drogues sur boucliers humains de résistants et déments cobayes forcés (drogue hallucinatoire dure aujourd'hui de substitution aux drogues dures telles l'héroïne, le LSD, totalement à tort encore employée à titre de psychotrope antidépresseur dans le soin des mélancolies et dépressions) qui surajoutées au Tranxène, en test également c'en est certain à cette époque, ayant un effet destructeur similaire sur le cerveau, drogues testée sur les soldats allemands, en sus du degré d'alcoolisme requis, d'abord durant la dernière guerre mondiale, les jeunesses nazis,leurs pépinières, pour un meilleur conditionement à l'arianisme, puis certainement dans les populations et pays fascistes en alliance avec Hitlher, ont amenémé les exterminations massives,tortures et camps nazis de la guerre d e 39-45, et drogue dure généralisée dans son emploi pour une résistance physique à la surexploitation aux dernières limites de l'organisme et son évasion mentale. Rêve hithlérien de dépassement de soi de l'Homme, jusquà sa reprise des Jeux Olympiques.D'où la présence de drogues de l'endurance dans ces jeux, et les jeux du Tiercé symbolisant les mécanismes de la société française .

1.Le port de la burqa est essentiellement lié à un conditionnement islamiste intégriste coranique du lavage de cerveau, accompagné le plus souvent de violences caractérisées, tortures y compris sexuelles meurtrières des plus sues et tues, dont l’excision (tortures faisant parfois appel à des institutions médicales françaises) taboues chez les femmes adoubées au joug du mutisme sous ce totalitarisme intégriste admis sur le sol français, si contraintes à porter ce cercueil portatif sur le corps proscrit de la Femme, elles devaient se voir grevées d’une amende menaçant de mettre en faillite leur famille, retenir la somme sur leur niveau de vie retentissant la scolarité de leurs enfants, elles seraient victimes des représailles des fanatiques de ces familles, hommes et mères répercutant cette loi sur les femmes ( victimes autant que prostituées de leurs maquereaux) quitte à les tuer froidement des lois de l’honneur régnant dans ces sectes de mentalité primitive aux rites irrationnels et dangereux, les séquestrer à vie dans leur logement, tradition ancestrale régnant dans certains ghettos, l’émancipation culturelle associative ayant réussi à faire sortir les femmes voilées, à les dévoiler pour certaines et “occidentaliser”, séquestration qui risqu d’être remise à l’honneur chez les femmes soumises à l’intégrisme par crainte qu’elles ne circulent sous la menace d’une telle dime, serves taillables et corvéables à merci sinon du dictat religieux imposé à leur sort, du moins par l’incompréhension absurde des pouvoirs français, aggravant les violences déjà endurées depuis des siècles de dictat par ces femmes, raquettées pour simuler le consentement à cet enfermement de leur corps, quant à leur plaisir, qu’en est-il, sinon conditionnées à fanatisées pour revendiquer cet esclavage ou devoir fuir, enlevées par associations humanitaires, (seules à s’en préoccuper, à assurer la sécurité et la protection des femmes victimes) leur logement devenu camp de concentration. La loi votée sur la burqa, dictée sur un soucis sécuritaire, identitaire, de principes aveugles au nom d’idéologies bien pensantes, de lois républicaines en rien démocratiques, ignorantes des droits de la Femme sinon en leur nom, loi promulgant un retour en arrière de la France de un siècle, ne tenant aucun compte des risques mortels de la vie au quotidien des femmes, et de ces femmes.
2.Le problème réel n’est celui du droit, ni des lois républicaines ou mêmes laïques, car les lois dépendantes du nombre et la majorité des voix faisant loi, Hitler parvenu au pouvoir selon cette faille de la démocratie, le problème réside dans la “possession du corps” de la Femme à titre public confessionnel ou privé, si l’État, l’Homme et le Mâle en décident d’en rester propriétaires, l’esclavage tant imposé de tortures inhumaines que consenti chez la femme, devenu espoir de liberté chez elle, qui la fera survivre sous ce consensus dans une apparence de liberté promise, qu’elle ne trouvera qu’après sa mort ainsi que l’homme le lui a promis dans toute religion. La loi française calquée sur les lois musulmanes et de tous fascismes, punissant la femme victime de violences, viols et trafics d’êtres humains, de violences accrues à celles subies, précisément pour le simple fait de les avoir subies et parfois dénoncées, si elle l’a pu ou osé; le mutisme imposé sur les violences faites aux femmes, familiales, conjugales, maritales, patronales, religieuses, si puissant en sévices, tortures physiques, morales, molestages supplémentaires aux violences régulières, jugées normales par la loi qui protège, nie ces actes de barbarie quotidiens, les forces de l’ordre complices encourageant à ces méthodes, relaxant les violeurs, résignant au pire, voire le décès sous les coups parfois continus; la maltraitance physique le plus souvent déterminée démence, dans une inversion des responsabilités commune aux violences faites aux femmes, triple, quadruple peine suivie des abus, violences raciales envers le sexe, l’âge, physiques mutilatoires et mentales, surajoutées aux passés lourds de douleurs innommables, devant rester dans l’indescriptible des lois du silence pesant, en sus de celles du monde hospitalier, sur les violences faites aux femmes. Les rescapées privilégiées tant privilège rarissime d’être exempte de ce dictat de la violence, du droit au viol, à la surexploitation aliénant leurs droits, ayant droit de vie et de mort sur leur corps et leur identité physique, mentale, promises aux postes de battantes, ou devenues célèbres de cette exemption passant à la télévision, images symboliques de façade d’un pays souriant d’un bonheur,imaginé. Le problème, réside en l’existence de l’infliction de la torture, physique, mentale, sexuelle, sur une population du pays, celle des femmes, droit de fait à la torture établi sur ce sol à tel point que nul ne saurait, ni devrait y contrevenir, droit de fait si nié,occulté en consensus commun, par tous partis politiques, que la survie des femmes, parfois, ne peut compter que sur quelques associations, parfois dépourvues de discernement, de capacité d’action, se limitant à l’information, l’infirmation des droits, aucune action directement sur le terrain, pouvant restreindre le nombre de victimes, de décès par jours, tant que cela n’est par heure. le voile islamique, la burqa, si elle est le fanal évident de ce type de totalitarisme envers les droits fondamentaux et vitaux de la Femme, plus franc et évident que celui, insidieux, pervers, dépravé, et hypocrite des pays occidentaux, dont la France; d’autant qu’interdire la scolarisation des femmes voilées de la burqa ou du voile, serait promettre les plus émancipées à une inculture, une ignorance creuset des fanatismes intégristes religieux par ces fanatismes revendiquée, ces femmes racquetées jusqu’au mutisme absolu sur ce marché, ne pouvant que revendiquer le voile intégral, si elles veulent ‘accéder à la cognition et le savoir universitaire. Ne pas céder à ce chantage, serait plonger ce peuple des femmes islamiques, dans une horreur pire, celle de la cécité mentale sur leur sort, aveuglement idéologique qui leur interdirait toute lutte pour les droit de la Femme, y compris au sein de leurs pays d’origine si elles y retournent après leurs études, encourager leurs consœurs à l’émancipation des consciences envers la protection, la défense des Droits de l’Homme;

Pénaliser de l'expulsion, du refus de nationalité les hommes fanatiques fondamentalistes serait déjà bon signe, mais leur permettrait de reproduire leur violations des droits de l'Homme su d'autres femmes soit de retour dans leur pays d'origine, soit envers leurs femmes sur le sol français, sachant que le femmes voilées de l'Islam sont soumises au mariage forcé, au port du voile intégral, à la séquestration, aux rites fondamentalistes sous peine des violences familiales tortionnaires jusqu'au décès de l'omerta de l'Intifada, recluses dans le mutisme infligé de cette loi, sur ces tortures et violences, sur leur acception intime et personnelle de ces enfreintes à leurs droits, elles ne pourront qu'en signaler pour la plupart une fausse acceptation, qui leur sera retenue, pour les pénaliser, expulser, dans le refus imposé de leur nationalité, d'avantage.

Ainsi que cela a déjà été signalé dans un forum, le problème épineux de l'intégrisme religieux, quand il résiste à l'intégration des lois assurant la démocratie dans un pays, est le degré de conditionnement mental auquel il assigne, asservissement tenant du dressage, du lavage (ravage) de cerveau d'abord de la population la plus faible psychiquement, les enfants, mode identique de lavages du cerveau méthodiques à celui du nazisme lors ds pépinères de l'enfance hitlérienne, futurs SS, créant des formaions nerveuses, cérébrales, irréversibles, dans les populations féminines et des hommes issus de ces écoles religieuses coraniques, les femmes reproduisant mécaniquement, sur les phénomènes de reproduction de l'excison des femmes, les maltraitances déjà subies sur leurs filles, garçons promis aux embrigadements ultérieurs de ce culte, dans une reproduction de génération en génération, de ce système de fanatisation de secte. Exclues pour les vioaltions du code civil, des règles de la démocratie, qui ne sont des règles pour de règles, mais issues de lois étudiées pour être appliquées dans le juste droit sensé de leur application, pour que se respectent les droits fondamentaux, vitaux, dont le droit à la vie, le droit des Femmes, les droits de l'Enfance, des libertés individuelles. Quand la fanatisation peut s'emparer de tout et n'importe quoi, si cela se peut, l'on parviendra un de ces jours, à la totalitarisation de la secte des collectionneurs de capsules de cannettes de bières... L'intégration pour l'intégration, non,mais fonction du respect des libertés des concitoyens, donc des femmes issues de ces populations immigrées, quoique celles issues de populations autres qu'islamiques, posent moins "problème", du fait pour nombre d'entre-elles de leur degré démancipation leur permettant le statut de réfugiées en France, pays d'accueil des ressortissants, réfugiés économiques et politiques des dictatures étrangères.

Ramener la privation des droits de la condition féminine sous les lois de l’Islam, au degré de pilosité des barbus intégristes de toutes religions, dont celle de gauchistes convaincus, tout aussi primitifs que premiers hommes dans leurs conceptions des droits de la Femme en occident, serait effectuer un sérieux amalgame, quoique, il faille reconnaitre, que contraindre à se raser la barbe, les barbus de ces écoles religieuses fanatiques, coraniques, juives, laïques, (la laîcité peut s’emballer dans un certain intégrisme religieux dont l’intolérance peut aboutir aux phénomènes identiques d’exclusion discriminatoire, voire, de violences et mutilations sexuelles ou d’autre nature les prolongeant, faisant appel à des fonctions administratives publiques, privées et médicales rémunérées pour l’infliction de ces tortures aliénantes et mutilatoires, dont l’excision, phénomène social repris du moyen orient où il se pratique souvent en clinique, autant que certaines mutilations punitives, dont celles de la main pour les voleurs), serait déjà un pas en avant, sinon une humilation non légale ni démocratique. Donc, il vaudrait mieux considére le problème réel, de la présence d’un islamisme intégriste sur le sol français, admis par les autorités jusqu’à une montée des idéologies d’extrême droite fondées sur le racisme, l’apparence, le préjugé et l’intolérance fanatique religieuse, présence d’intégrisme religieux donc islamique pouvant en effet recéler des foyers extrémistes fonctionant au sein des getthos, causés par le repli des immigrés en commutarisme défensif à racisme inversé, enrageant, exacerbant l’extrême droite, les violences policières à leur égard, et ne résolvant en rien, la réduction de la religion musulman à l’intégrisme extrémiste. Toutefois, si aucune action en la faveur des immigrés ayant adopté les modes de vie occidentaux, français, travaillant,impsés et souvent nourrissant des idées en afinité avec la gauche, l’humanisme,l’émancipation cuturelle, et la libération de la condition de la femme, ces familles émancipées, pour lesquelles serait légitimle droit de vote, seront soumises aux lois traditionnelles et omerta de ces fanatiques religieux, inerdisant de leur danger, l’attribution du droit de vote aux immigrés. Le problème n’étant celui de la burqa, mais celui de l’action, des agissements souterrains et secrets de ces réseaux extrémistes sous-estimés, alimentant en terroristes les pays du Moyen orient. Ne déclancher en rien une chasse aux sorcières, il faudrait simplement que les pouvoirs français s’attaquent aux causes négligées du mal et non aux effets ; la tenue vestimentaire des adeptes du Klu-klux-Klan et des fanatiques religieux de l’Inquisition, un petit bout de tissus anodin ? l’Etat français accepte la présence de l’Inquisition musulmane sur son territoire et la condition terrible de ses femmes, voila l’innacceptable; admis sous le principe de la tolérance laïque, ainsi que cela a été heureusement dit plus haut dans un commentaire, la tolérance laïque tolère l’Inquisition, la fanatisation des religions, y compris catholique, elle n’a à tolérer l'’aveuglement idéologique, la violation des droits du Code civil, des droits de l’Homme, ni les agissements d’un totalitarisme primitif religieux et politique, (la religion à a tête du pouvoir dans ces pays d’origine) de plus créant le trouble au sein de sa nation des tortures et sévices qu’il sous-entend pour s’exercer, notamment envers une population féminine et d’enfants qu’il persécute de barbaries insoupçonnées, conditionne et cloitre; déclarer la guerre à Saddam Hussein en contre-partie de sa dictature, si cela a été un bien pour ses vicitmes, prisonniers politiques et d’opinion, n’a répondu qu’à un besoin politique stratégique d’envahissement économique américain, donc, dans le cas d’une extension d’un dictat de ce type micro-Etat dans l’Etat, aux ramifications nationales, dans le pays français, quelle solution apporter, ni ne porte atteinte aux victimes, et choisisse la sanction humaine qui y mettra une fin ? Sachant que certaines de ces filières musulmanes fournissent en extrémistes les réseaux d’Alkaidha, d’où la résistance à la construction de minarets, mosquées et lieux de culte, ce qui rend plus innaccessible encore la prise de température de ces réseaux.

je voue une profonde admiration à l'égard du collectif de psychiatres "iconoclastes" qui ont "osé" enfin opposer un discours approprié en contre-attaque à la poliique sécuritaire actuelle prenant e otage la poplationds mamaldesmentaux, ataque de front qui n'est nouvele, ainsique les meurtr homophobes à noueau présent ur le sol rrançais, et qui daten dela phase préaratoire aux exterminations raciales en hôpiau psychitriques nais antécdant les camps de déportation SS, la question dans c cs de la réelle détermination du diagnostic est à soulever, fausses déclarations de démence à envisager, dtermiantes elles d'une demande véridique propagée parle climat social et ds pouvoirs établis, d'un fichageméthodiqu médical et sécuritaire de membres jugés "gênants" de partis politique, journalsites (si l'on peut dans ce cas "médicaliser" de ces mesures, les journalistes du Canrd enchainé, les employés d'Emaus) défenseurs et sympathisants (adhérents ou non) de causes humanitaires non entrant dans le cadre de lignes "cadrantes" (sinon laminantes des mêmes urgences médicales) d'organismes et partis politiques agréés, donc, incontrolables, dans une politique totalitariste, de controle épervier anti-terroriste systmatique des activités intellectuelles de chaque individu en électron libre de la société, au non d'une potentialité infime selon les chiffres annoncés, de dangerosité( chifres nfinitésimaux en comparaison de ceux de la criminalité urbaine et nationale) de "déments", dagerosité créée, préfabriquée, causée dans un but de publicité mensongère et coup de pub médiatique envers ce militantisme pour une sécurisation des asiles d'aliénés auxquels la démocratie revient, dans uen double exigence de mainmise lourde sur tout patient,et de l'imposition en soumarin de la peine de mort sur certains "cas difficiles" (l'histoire ne dira s'il s'agit de prisoniers politiques et d'opinion constitués de ces mesures, par ailleurs appliquées depuis au moins les années 50),masquée sous le nom libertaire "d'euthanasie", les psychiatres le dénoncent, par abus imposés de procédés dicatoriaux du "soin" créateurs dela démence, pousés à son paroxysmede criminalié et de légitime défence, donc prétendus soins basés sur quelles définition des critères de la démence dans ce cas, si tant de fraudes électorales politiques mensongères sinon à but de profit règnent, démarchage pro-Bushien, ou invasion de vague néo-nazie négationniste, en résurgence en Amérique avec celle du Klu-Klux-Klan ?  A quand l'assignation oficielle en résidence surveillée de type Birman de dissidents politiques, mais c'est peut-être déjà le "cas",sous dénomitation choisie de la langue de bois courante, de "placement anticipé sécuritaire", non encore officiel, mais déjà en pratique non légalisée.,

je voue une profonde admiration à l'égard du collectif de psychiatres "iconoclastes" qui ont "osé" enfin opposer un discours approprié en contre-attaque à la poliique sécuritaire actuelle prenant e otage la poplationds mamaldesmentaux, ataque de front qui n'est nouvele, ainsique les meurtr homophobes à noueau présent ur le sol rrançais, et qui daten dela phase préaratoire aux exterminations raciales en hôpiau psychitriques nais antécdant les camps de déportation SS, la question dans ces cas de la réelle détermination de la légitimité du diagnostic de folie est à soulever,fausses déclarations de démence à envisager, déterminantes elles d'une demande véridique propagée par le climat social et des pouvoirs établis en libre concurence illicite faisant apael à ces mesures, d'un fichage méthodique médical et sécuritaire de membres jugés "gênants" de partis politique, journalistes (si l'on peut dans ce cas "médicaliser" de ces mesures, les journalistes du Canard enchainé, les employés d'Emaus) défenseurs et sympathisants (adhérents ou non) de causes humanitaires non entrant dans le cadre de lignes "cadrantes" (sinon laminantes des mêmes urgences médicales) d'organismes et partis politiques agréés, donc, incontrolables, dans une politique totalitariste, de controle épervier anti-terroriste systmatique des activités intellectuelles de chaque individu en électron libre de la société, au non d'une potentialité infime selon les chiffres annoncés, de dangerosité( chifres infinitésimaux en comparaison de ceux de la criminalité urbaine et nationale) de "déments", dangerosité créée, préfabriquée, causée dans un but de publicité mensongère coup de pub médiatique envers ce militantisme pour une sécurisation des asiles d'aliénés auxquels la démocratie revient, dans une double exigence de mainmise lourde sur tout patient,et de l'imposition en soumarin de la peine de mort sur certains "cas difficiles" (l'histoire ne dira s'il s'agit de prisonniers politiques et d'opinion constitués de ces mesures, par ailleurs appliquées depuis au moins les années 50),masquée sous le nom libertaire "d'euthanasie",les psychiatres le dénoncent, par abus imposés de procédés dicatoriaux du "soin" créateurs de la démence, pousés à son paroxysme de criminalié et de légitime défense, donc prétendus soins basés sur quelles définitions de leur nature (à l'heure actuelle,la torture psychiatrique à son apogée et porté depuis 1930 à son comble), des critères de la démence dans ce cas, si tant de fraudes électorales politiques mensongères sinon à but de profit règnent, démarchage pro-Bushien, ou invasion de vague néo-nazie négationniste, en résurgence en Amérique avec celle du Klu-Klux-Klan ? A quand l'assignation officielle en résidence surveillée de type Birman de dissidents politiques, mais c'est peut-être déjà le "cas",sous dénomitation choisie de la langue de bois courante, de "placement anticipé sécuritaire", non encore officiel, mais déjà en pratique non légalisée.

je voue une profonde admiration à l'égard du collectif de psychiatres "iconoclastes" qui ont "osé" enfin opposer un discours approprié en contre-attaque à la politique sécuritaire actuelle prenant en otage la poplationds mamaldesmentaux, ataque de front qui n'est nouvelle, ainsique les meurtr homophobes à nouveau présent sur "le sol français", et qui datent de la phase préparatoire aux exterminations raciales en hôpitaux psychiatriques nazis antécédant les camps de déportation SS, la question dans ces cas de la réelle détermination de la légitimité du diagnostic de folie est à soulever,fausses déclarations de démence à envisager, déterminantes elles d'une demande véridique propagée par le climat social et des pouvoirs établis en libre concurence illicite faisant appel à ces mesures, d'un fichage méthodique médical et sécuritaire amenant à une surveillance et prise en charge dite thérapeutique (hors normes, parfois destinée à trafics interieurs aux hopitaux, de traites muliples de l'être humain,sinon pour certains prostitués sosus cette appellation de mesures de protection de la personne, "déments" nouveaux déportés soumis à cobayages contraints sous expérimentations scientifiques de camps de déportation ariens) de membres jugés "gênants" de partis politique,journalistes (si l'on peut dans ce cas "médicaliser" de ces mesures, les journalistes du Canard enchainé, les employés d'Emaus) défenseurs et sympathisants (adhérents ou non) de causes humanitaires non entrant dans le cadre de lignes "cadrantes" (sinon laminantes des mêmes urgences médicales) d'organismes et partis politiques agréés, donc, incontrolables, dans une politique totalitariste, de controle épervier anti-terroriste systmatique des activités intellectuelles de chaque individu en électron libre de la société, au non d'une potentialité infime selon les chiffres annoncés, de dangerosité( chifres infinitésimaux en comparaison de ceux de la criminalité urbaine et nationale) de "déments", dangerosité créée, préfabriquée, causée dans un but de publicité mensongère coup de pub médiatique envers ce militantisme pour une sécurisation des asiles d'aliénés auxquels la démocratie revient, dans une double exigence de mainmise lourde sur tout patient,et de l'imposition en soumarin de la peine de mort sur certains "cas difficiles" (l'histoire ne dira s'il s'agit de prisonniers politiques et d'opinion constitués de ces mesures, par ailleurs appliquées depuis au moins les années 50),masquée sous le nom libertaire "d'euthanasie",les psychiatres le dénoncent, par abus imposés de procédés dicatoriaux du "soin" créateurs de la démence, pousés à son paroxysme de criminalié et de légitime défense, donc prétendus soins basés sur quelles définitions de leur nature (à l'heure actuelle,la torture psychiatrique à son apogée et portée depuis 1930 à son comble), des critères de la démence dans ce cas, si tant de fraudes électorales politiques mensongères sinon à but de profit règnent, démarchage pro-Bushien, ou invasion de vague néo-nazie négationniste, en résurgence en Amérique avec celle du Klu-Klux-Klan ? A quand l'assignation officielle en résidence surveillée de type Birman de dissidents politiques, mais c'est peut-être déjà le "cas",sous dénomitation choisie de la langue de bois courante, de "placement anticipé sécuritaire", non encore officiel, mais déjà en pratique non légalisée.

je voue une profonde admiration à l'égard du collectif de psychiatres "iconoclastes" qui ont "osé" enfin opposer un discours approprié en contre-attaque à la politique sécuritaire actuelle prenant en otage la poplationds malades mentaux, attaque de front qui n'est nouvelle, ainsi que les meurtres homophobes à nouveau présent sur "le sol français" datant de la phase préparatoire aux exterminations raciales en hôpitaux psychiatriques nazis antécédant les camps de déportation SS dont les “camps roses” d’extermination raciale des homosexuels, la question dans ces cas de la réelle détermination de la légitimité du diagnostic de folie est à soulever, fausses déclarations de démence à envisager, déterminantes elles d'une demande véridique propagée par le climat social et des pouvoirs établis en libre concurence illicite faisant appel à ces mesures, d'un fichage méthodique médical et sécuritaire amenant à une surveillance et prise en charge dite thérapeutique (hors normes, parfois destinée à trafics interieurs aux hopitaux, de traites muliples de l'être humain,sinon pour certains prostitués sosus cette appellation de mesures de protection de la personne, "déments" nouveaux déportés soumis à cobayages contraints sous expérimentations scientifiques de camps de déportation ariens) de membres jugés "gênants" de partis politique,journalistes (si l'on peut dans ce cas "médicaliser" de ces mesures, les journalistes du Canard enchainé, les employés d'Emaus) défenseurs et sympathisants (adhérents ou non) de causes humanitaires non entrant dans le cadre de lignes "cadrantes" (sinon laminantes des mêmes urgences médicales) d'organismes et partis politiques agréés, donc, incontrolables, dans une politique totalitariste, de controle épervier anti-terroriste systmatique des activités intellectuelles de chaque individu en électron libre de la société, au non d'une potentialité infime selon les chiffres annoncés, de dangerosité ( chiffres infinitésimaux en comparaison de ceux de la criminalité urbaine et nationale) de "déments", dangerosité créée, préfabriquée, causée dans un but de publicité mensongère coup de pub médiatique envers ce militantisme pour une sécurisation des asiles d'aliénés auxquels la démocratie revient, dans une double exigence de mainmise lourde sur tout patient,et de l'imposition en soumarin de la peine de mort sur certains "cas difficiles" (l'histoire ne dira s'il s'agit de prisonniers politiques et d'opinion constitués de ces mesures, par ailleurs appliquées depuis au moins les années 50),masquée sous le nom libertaire "d'euthanasie",les psychiatres le dénoncent, par abus imposés de procédés dicatoriaux du "soin" créateurs de la démence, pousés à son paroxysme de criminalié et de légitime défense, donc prétendus soins basés sur quelles définitions de leur nature (à l'heure actuelle,la torture psychiatrique à son apogée et portée depuis 1930 à son comble), des critères de la démence dans ce cas, si tant de fraudes électorales politiques mensongères sinon à but de profit règnent, démarchage pro-Bushien, ou invasion de vague néo-nazie négationniste, en résurgence en Amérique avec celle du Klu-Klux-Klan ? A quand l'assignation officielle en résidence surveillée de type Birman de dissidents politiques, mais c'est peut-être déjà le "cas",sous dénomitation choisie de la langue de bois courante, de "placement anticipé sécuritaire", non encore officiel, mais déjà en pratique non légalisée.
S’il s’agissait donc tant de cela, la destruction du service public administratif fonctionnaire et hospitalier placé sous l’hégémonie de ce dogme depuis 1930 résiduel de l’administration de Vichy,et du pacte de non aggression d’Hithler avec Staline, générant un partage administratif dans une coalition sépararéeencore en viguer et en résurgence, des pouvoirs bureaucratiques soviétiques et pétainistes , guerre commune de deux fronts adverses, l’un imposant déjà au nom d’un militantisme fanatique les mesures totalitaires dans ce site décrites, l’autre militant vainnement mais farouchement tout de même face à au raz-de-marée tsunami sécuritaire d’une dictature policière dans les pressions physiques mentales et attaques personnelles que ces méthodes non toutes avouées ni officielles ni sues, sous-entendent.

Politique de reptation de l’envahissement SS, de propagation obcsurantiste d’un aveuglement idéologique sur cette avancée, privilégiant l’ébriété générale soit par surexploitation, privation de vivres nécessaires à la vie, de sommeil liée à cet esclavagisme, dont celui des trois-huits, l’acculturation des masses sociales, le devoir d’ébriété des consommations rituelles obligatoires des opiums du peuples privilégiés enaddictionssouvent fatales, dont les drogues et l’éthylisme, assurant cette cécité mentale déjà créée des méthodes dictatotriales de tortures sociales et étatiques, ayant amené la dernière guerre mondiale dans l’inadvertance totale des sociétés face à cette reptation évidente d’une prochaine guerre mondiale de type identique, sinon destructrice définitivement de la planète, malgré les avertissements multiples des consciences lucides dont plusieurs exterminées en camps d’internement nazis dont les asiles d’aliénés, méthodes d’aveuglement totalitaire menées jusqu’à la non “compréhension” générale, méthodes de tortures d’occupation de terrain dont la politique imposée d’une monoculture viticole du midi et de régions assignées depuis des époques royalistes reculées, jusqu’à autonomisation revendicatrice de cette production viticole, monoculture ravinant le sols, les appauvrissant en substrats nutriciels essentiels à la vie d’une végétation réductrice des pollutions industrielles et atomiques, déforestation causes des incendies catastrophes multiples fréquentes en périodes de réchauffement climatique du à cette pollution capitaliste planétaire, dans le reniement d’une écologie humaine et sociale.

L’éducation laïque s’inspirant de reprises de tortures punitives physiques sexuelles et mentales de l’éducation religieuse répressant la santé mentale et physique, affectant d’une morbidité des jeunes couche sociales la santé publique, la prenant en otage au nom d’un dressage militaire douloureux conditionnant l’enfance à des comportements réflexes se substituant à la pensée, qu’elles entrainent dans un travail à la longe à respecter, enfance construite préfabriquée de cassage des dents si pâte dentrifice non passée à temps, dans ce cas l’on ne les a plus, le problème réglé définitivement, modèle éducatif propagé au sein des couples et familles y compris se revendiquant par complexe compensatoire athées, marquées par les fanatismes des tortures physiques sexuelles et mentales répressives de la nature même de l’être humain qu’impose l’éducation religieuse, imprégnant les basses couches lumpenprolétarienes, bourgeoises et lettrées des brutalités morbides et mortelles, d’une ignorance issue d’un analphabétisme reclus établissant une borne pédagogique affectant égalemnt les milieux éclairés, borne se fondant sur les principes obtus la violence à domicile, ignorance aveugle particulière excluant sous peine voire de mort sadique le respect d’un savoir spécifique de l’humanité, celui des droits de l’enfance, du code civil, tous droits de l’Homme, borne existant au sein des sphères cultivées reproduisant pour certaines les obsessions, frustrations, maltraitances et tortures obssesionnelles de ces méthodes dites éducatives, parties répressives à thèmes de procédés pédagogiques pervertis affectés à la formation de l’enfance, en venant aux violences sur mineurs, brutalités de pures maltraitances de parents bourreaux faisant appel courant à la médecine, dans un jeu sexuel pervers de déviants psychologiques de réparer d’actes de chirurgie irréversibles les dommages corporels et mentaux causés, créés des tortures pédagogiques pratiquées sans mesure ni ménagement, innocemment, de mains d’irresponsables à qui une progéniture construite et gérée à l’opposée de leurs bourreaux, a été contre toute attente et logique confiée, enfance maltraitée bien encore après son adolescence et ses caps initiatiques à la sexualité exogène, enfance victime de procédés pédagogues viols avec violences soutenus, prolongés des moyens de chantage à main armée des armes lourdes de la psychiatrie appelée à “pallier aux traumatismes” de viols avec violences thérapeutiques, thérapies totionnaires, opérations neurologiques, neurochirurgicales, et tortures non officielles ni répertoriées en tant que soins, plus mutilatoires, répressives et meurtrières, en résultant traumatismes psychologiques faciaux et organiques à vie, irrécupérables, enfoncements faciaux et de boîtes craniennes avortements illicites dans conditions de souffrances de l’enfance dorée et de douleurs insurmontales indicibles, intrahissables, peu sues, à causer la folie, bras une fois cassés à réparer, os estropiés, brochés, blocages physiologiques qui leurs sont liés et déséquilibres métaboliques, troubles somatiques et organiques, suite aux sévices, tortures alimentaires, corps cassés de poupées trop jolies pour vivre, rompus, causés de ces viols avec violences auxquels reviennent ces procédés et dont s’amusent à sévicier l’enfance maltraitée prostituée dans ses zones sexuelles et fonctions naturelles, ainsi que génitales, de tortures mentales et physiques (le plus souvent mutilatoires) de cette sous-forme d’une prostitution infantile rituelle pratiquée sur les modalités cultes de dogmes religieux imposés, des familles pourtant d’apparence éclairée, assez émancipée pour figurer au sein de l’enseignement même, pratiquent en cercles fermés ces tortures éducatives fornicatoires créatrices de plasirs sexuels onaniques communs, imposés au même titre que religion obligatoire dictatoriale au point de peupler les hôpitaux généraux, asiles d’aliénés, des sous-êtres humains morts-vivants dont on se demande, moquerie sadique, comment ils ont pu rester en vie de tant de coups brulures et blessures, résiduels à ces pratiques familiales, existant sans vie réelle ni sas de sortie jusqu’à leur décès sinon une existence aveugle de souffrances atroces prolongées des tortures psychiatriques de principe spéciales complices de cette forme de proxénétisme les maintenant sous cette coupe admise du consentement d’infliction du confinement barbare auto-confiné des barbaries typiques d’une certaine forme de la prostitution pour le plaisir social induit sinon voyeur de la maltraitance infantile puis adulte vécue peep-show du quotidien, s’y ajoutant les crimes prémédités de la chambre fermée, allez, on va voir les petites, prévues nymphettes de ces ballets bleus puis roses dans leur chambre, dans une protection collective de l’orgie culte publique et en privé de milieux corrompus du fonctionnariat. Une chasse aux sorcières des mileux fonctionnaires administratifs et de l’enseignement laîque n’y changerait rien, sinon pénaliser à vie des innocents jurés autant que dans procédure Outrou, coupables de pédophylie, sur sacrosaintes délations mensongères raciales discriminatoires formulées envers fonctionnaires, enseignants spécifiquement choisis (victimes de choix des protecteurs de sévices sur mineurs), pour respect de leur rectitude d’une rigoureuse honnêteté. Les fonctionnaires corrompus protégés des calomnies. Le sang des couches, oreillers et draps sales de la corruption fonctionnaire est-il lavable ? Il ne se lave dans le sang. Enfances prostituées. Leur saint suaire si elles devaient respecter une religion, marqué à vie des fers rouges de leur esclavage.


Torture au service d’une totalitarisation de la science de personnels médicaux et de médecins dits diplomés armés des armes de la médecine et d’une dictature véritable du Soin, de l’Opération mutilatoire castratrice de nos libertés, de conscience, de pensée, d’action, formée d’une junte militaire réelle de médecins des plus crapuleux et corrompus aux devoirs civiques de la répression et de la torture médicale, mercenaire de pouvoirs politiques étatiques et privés.Fichant la femme rebelle, l’énergumène, l’ami fidèle, les destituant de leurs droits, les manipulant à leur insu, dans des marchandages, elle ou toi, innommables, datant des SS, reprise des dictats mulsulmans, les totalitarismes religieux interdisant de l’obscurantisme fondamentaliste religieux de secte et des tortures d’une néo-inquisition y compris catholique, les representations mentales intellectuelles sémantiques et visuelles, du rapport amoureux, de la connaissance scientifique du corps humain, de sa gnose universitaire, l’image picturale et technologique (photographie, oeuvres cinématographiques) de l’homme et de la femme, ainsi que la prohibiton stricte de toute source d’information, culturelle médiatique, ainsi que toute participation à leur activité publique, probition en vue d’une acculturation systématisée des masses. A se demander, si certains personnels médicaux,et médecins, de niveau certificat d’étude, ne possédant aune notion élémentaire d’anatomie, à se demander même s’ils n’ont acheté leurs diplômes pour tant de crimes, crimes contre l’humanité et crimes de guerre dus à leur charlatanisme. Quand sans même posséder un doctorat en médecine, je puis affirmer quelles sont les différentes fonctions des organes du cerveau reptilien, leur dénomination scientifique, des zones cérébrales, les fonctions du corps qu’elles régissent, ainsi que la sémantique médicale scientifique de base des différents organes du corps, leur fonction, celle des organes génitaux et leur dénomination non fait courant mais considéré accès pornographique tant l’interdit religieux, occultant la connaissance scientifique, règne sur le corps humain et celui de la Femme.

Il n’est pas ici question d’une analyse critique des dérives de la médecine psychiatrique essentiellement, mais de re-situer le contexte actuel d’un Occident se totalitarisant dans un regain d’une mondialisation néo-fasciste sous couvert d’une propagation du modèle capitaliste, totalitarisation donc à re-situer dans une analyse relativiste comparative (en fonction de l’Histoire), du fascisme et de ses sous-catéogries qui n’ont cessé de régir et constituer l’histoire de l’Homme, analyse approche d’une réalité occultée de l’idée obstructionelle de “vision des faits subjective”, “vision fictive de la réalité”, démagogie tortionnaire obnubilatoire occultrice des constats établis sur les crimes planétaires contre l’humanité commis en son nom, crimes courants et ordinaires effleurés des débats, démagogie represseur des idéaux réfractaires à toute participation au mécanisme socio-politique d’une société occidentale privilégiant les méthodes de répression totalitaire à une résolution des catastrophes humanitaires que ces politiques créent (il s’agit d’un constat), des violences des plus morbides, qu’acceptent de s’infliger des peuples, pour les reproduire sur d’autres couches de leur population, préparatrice du terrain de géopolitiques criminelles, meurtrières, profiteuses de cet obscurantisme propagé par l’imposition des religions dans le monde, dont celle culte, du capitalisme sauvage, au nom de l’éducation, éducation non laïque, religieuse, terrain de propagation des fascismes dont l’hitlérisme.

Contre-balancer l’obcurentisme scientiste instauré sur le continent par l’éducation religieuse aux notions scientifiques erronées, inculture analphabète inductrice des fanatismes religieux et d’extrême droite si l’on peut considérer le fascisme nazi une simple idéologie, une forme de parti politique ou une innoffensive opinion que la tolérance démocratique pourrait laisser exploser, et donc prendre le pouvoir, par une éducation laïque objective, serait un des premiers de l’échelle des responsabilités à considérer, établir et soutenir, dans une lutte sans merci contre les soubassements d’une contrepolitique qui entraine des débordements populistes fanatisés dits d’extrême droite propulsés par la campagne et les pouvoirs encore en place de G. Bush, pouvant mettre en péril la sécurité du continent Américain et du monde, préparateurs d’un conflit mondial basés sur l’envahissement racial hithlérien..

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire