jeudi 25 février 2010

Suite à mon dernier courrier, datant de la semaine passée, je signale une récidive des services que je vous avais désignés, du médecin Dr Tribout, médecin généraliste traitant de mon propre père, et qui entrant dans les délires éthyliques et psychotiques de celui-ci, profite des perquisitions constante qu'il m'impose dans mon logement, pour le suivre dans ses "fantaisies", autrement-dit, "parties (à narcoses et viols ) sur femme de joie", en l'occurrence sur moi-moi-même, qu'il constitue ainsi dans mon logement, sur tout lieu de déplacement, commerces, abris bus, cabinets médicaux, laboratoires d'analyses médicales, salles d'examens médicaux, salles d'attente de tous lieux, et tous lieux publics ou privés, mon père profitant du racquet qu'il institue sur ma personne, de lui servir de prostituée à titre privé, contre rançonnage, par mesures d'internement non déclaré et illicite hors normes, hors mesures thérapeutiques ad normem, (à se demander si en placements officiels,elles existent véritablement) accompagnées de restriction financière d'abord qu'il a occasionnée de ses propos fabulatoires, après faux témoignages et faux en écritures soutenus par l'un d e ses avocats, les médecins qu'il a favorisés dans cette fraude, au cours de procédures dans lesquelles il m'a trainée dans la boue, jurisprudence qui a tranché en sa faveur, après entrave à la justice et à la loi qui m'aura té faite,, moi-même déjà hospitalisée pour les raisons des faux qu'il invoque, les médecins cités ayant profité de ses accusations et faux en justice pour tirer profit de ses paiements remboursés intégralement par l'intermédiaire de sa mutuelle la MGEN, procès en vue de me placer sous protection juridique d'un organisme de tutelle gestionnaire de mes biens financiers et des allocations que j'en percevrai contre mon gré, à l'instar d'un seul certificat médical ayant servi de mes 26 ans jusqu'à aujourd'hui afin d'obtenir cette réquisition de mes revenus financiers, ,l'UDAF désigné sur la foi de ce certificat médical au départ honnêtement rédigé sur mes aveux à contumax, entre cures d'électrodes destinées à forcer mon témoignage et me sortir du silence requis chez les coupables que je leur représentais, sans aucune présomption d'innocence respectée, certificat établi au nom du fait que voulant travailler, trouver emploi stable, je pouvais un jour avoir besoin de ces allocations (AAH et Allocation logement) qui entre-temps, seraient reversées à une tutrice aux prestations sociales nommée par la jurisprudence), ce certificat, toujours le mime, ayant corrompu toute négociation causée à contumax par toute procédure qui m'aura été intentée, dans les cas de renouvellement de ces allocations, mes témoignages, malgré les procédés enquis pour me les extorquer, implacables, mais transcrits en langage idiomatique typique de la symptomatique invoquée, obtenus pa la contrainte de tortures électriques très douloureuses, mais j'ai du maintes fois témoigner, raptée, tenue sous psychotropes puissants, ajoutés à des séances de narcose sur place, au sortir de résections lobotomiques destinées à entraver tout témoignage qui les inculperait; Tout récit de leurs abus crimes et fraudes.
Réquisition de mes revenus destinée à limiter mes dépenses quand j'ai été également inculpée de dilapidation de mes revenus mensuels, fait impossible (si les comptes en banque de mes parents n'ont été à ce moment là confondus pour leurs fortes dépenses avec le mien) car je me contentais des sommes qui m'étaient allouées, jusqu'à ce que pour un découvert de environ 500 f dans es année 80, occasionné et reconduit de mois en mois pour le simple du fait que j'ai un besoin urgent de dépannage en serrurerie, serrurerie toujours autant onéreuse, pour une porte malencontreusement bloquée par un animal de compagnie ayant poussé une porte à soufflets de penderie, qui dernière la porte d'entrée, avait poussé l'entrebâilleur de cette porte, que j'ai trouvée ce jour là fermée, bloquée. Pour y revenir, le découvert, au grand jamais comblé pour le fait que d'une part, mon père a refusé systématiquement, dans des troubles irrationnels qui le mettent dans des ires irrépressibles et sans discussion (que l'on me veut toujours par divers procédés, injections de tranxène, tortures mortelles si je n'entre en ire, pour l'en excuser) autres que son besoin de raccrocher à toute tentative de négociation téléphonique, d'autre part, le découvert du fait de la mesure de tutelle aux prestations sociales, impossible car strictement prohibé par cette mesure sur mot d'ordre indicateur auprès de mes banques, qui chargées de gérer un compte bancaire limité en fonds, susceptibles de multiples petites opérations de retraits et de peu d 'entrées de fonds, sachant les risques encourus et la surveillance dont l'UDAF les charges, ont fait appel à des mesures disciplinaires de répressions par appareils de narcose et de contention simulant les narcoses, afin de m'expulser des files d'attentes de leurs locaux, et finalement, me débouter de rester leur cliente.

D'autre part, réquisition budgétaire imposée ceci-dit sans aveu officiel, afin d'établir un contrôle sur mes courriers, fréquentations, relations amoureuses, déplacements, règlements des factures des charges,de tout paiement, prise de contact avec quiconque, ainsi qu'un contrôle effectué afin de m'interdire tout autonomie financière, quitte à me plonger de procédés draconiens de restrictions, interdiction totale et absolue (misère causée de l'UDAF et des mesures de gaspillage de vivres, aliments prétendument volés mais dument payés, souvent cuits dans lobotomies et glaires rejetées issues des narcoses constantes aboutissant à des trépanations réparatrices obtenues par la ruse des narcoses, pratiquées sur mon père, famille, intrus trouvés dans mes logements, méthodes des narcoses constantes diurnes et nocturnes imposées au cours des perquisitions sur les modalités des plombiers, prétextes à l'accusation, infondée, d'hallucinations sensorielles paranoïdes, misère mettant e danger ma vie, celle de patients soumis à ces mesures illicites de l'UDAF et de la médecine,non prévues par la loi et l'imposition juridique des mesures de tutelles, curatelles, mesures illicites, pratiquées souterrainement, au vu et au su de chacun, se gaussant des dindons de la farce, les patients, dont moi-même, rendus longtemps de lavages (intempestifs et fréquents sinon durant des décennies) de cerveau, maintes trépanations en vue d'obtenir la débilité ou la symptomatique rêvée de la démence prévue, toute démence suggérée à causer et pré-fabriquer sinon simuler, dont la Thèse de Lampérière ( thèse charlatane usitée en neurochirurgie contre la névrose de propreté, consistant à séparer le cerveau en deux, obturer, amputer son pourtour pour "réguler" les trouble du comportement que cette vivisection cause, obtenant ainsi un dysfonctionnement gestuel, et de la manutention manuelle, et parfois vue différenciée, après section des nerfs optiques se rejoignant à l'arrière du cerveau,les avocats jouant sur les mots, thèse de vivisection pratiquée on se sait combien de fois sur an personne dans un but d'"économie" de lessives pour le peu de budget qui m'était alloué, donc opération m'ayant conduite à un abandon systématique de mes corvées, car encadrée aussitôt des narcoses continuelles, me privant en sus de cette opération, de la forme physique pouvant me permettre une hygiène nécessaire à une absence de surinfections e conséquence de viols subis m'ayant laissé des MST graves dont un herpes génital, buccal, condylomes à papillomavirus, une infection cousine de la syphilis, un tréponème, et menacée d'internet pour le fait que cette maladie si on ne la soigne réclame de soins antibiotiques intensifs pour les ravages qu' elle peut causer cérébralement, la blennorragie également, que j'ai eue également, sinon traque par gendarmes et police afin de l'éradiquer, mesures à MST et des virus de taudis surinfectés qu'étaient devenus mes logements (exigeant remplacement des literies, linges et vêtements souillés d'urines pathogènes, mes parents ne pouvant y subvenir, ce qui crée scandales et phobies raciales quasi meurtrières autour de mon appartement), qui m'ont valu la première hospitalisation du fait que je ne prenais pas mon traitement, en fait antibiotique, privée dans les années 82, de vivres et revenus,de statut légal, tel que RMI s'il existait à cette époque là, et d'autre part en âge trop jeune pour mériter quelque aide financière, ni handicapée, mais terrassée de fatigue post-opératoire, sur-infectieuse et suite aux narcoses) envers les personnes, hommes et femmes, propres, jugées trop propres (donc dites de névrose de propreté) en fait pour être déterminés dans l'absence d'hygiène requise pour être suivis médicalement, traités à leur domicile autant qu'en internement, et donc trop propres pour mériter les opérations neurologiques, neurochirurgicales préméditées dans un simple but de profit et traite d'êtres humains, éblouissements avec lampes de poches aveugles des agissements des équipes médicales chargées d'interventions illicites à domicile et en ville dans le maintien de cette fraude,, mesures frauduleuses compensée par intubations forcées jusqu'à mon obésité voulue, jusqu'à cet été dernier, intubation forcée aujourd'hui dont je suis victime, compensatrice à la prohibition de toute alimentation légitime, autonome, et fonction de mes affections, physiques graves consécutives à ce pratiques illicites de la médecine,dont l'ingestion forcée de glaires, mucosités nasales et séminales dont de décédés, dans l prohibition de cette autonomie alimentaire, dans la constitution de preuves (faux obtenus sur ce gent de mises en scène, réputées symptomatiques de la démence recherchée) , pour le fait d'un maintien à jeun constant en vue des opérations neurochirurgicales et neurologiques en continu, et afin de me punir d'avoir été tant intubée à l 'obésité) faisant accroire à la symptomatique prévue) de gérer mes documents, dossiers, démarchages, paiement des charges locatives, des factures dépendantes d'un logement, prohibition totale et absolue de tout activité intellectuelle, (vol de textes dossiers relevant d'ébauches de plaintes, contrôle de mes écritures dans un but de reproduction de l'accusation de folie pour leur orientation éthique, philosophique, cognitives, religieuses et politiques, dans fichage médical de ces "orientations", consolées à partir de mes dossiers textes culturels, peintures et croquis que je collectionnais depuis mes études aux Beaux-Arts, de rapports que j'établissais sur les abus commis de cette fraude , surveillés, volés et lus) culturelle, artistique qui pourrait m'élever au rang de femme cultivée, lettrée, donc indépendante intellectuellement, aveu sur évaluation de mes compétences qui pourraient me procurer un emploi dans les "castes"pour ces personnels médicaux, médecins et proches de mon père, emploi digne de l'élite donc qui pourrait, permettre que je fasse carrière, me permettre d'échapper à ce pouvoir médical dictatorial lié à une inculpation malhonnête, infondée, de démence (sur plainte de vieilles personnes d'extrême-droites de basse classe, jalouse de mes "possibilités" de réussite" sociale, et quelques voisinages jaloux par lutte des classes meurtrière, des talents de peintre que je possédais à l'époque, en 1982, m'étant établie à mon compte suite à une "rupture" de vivres sur la demande ces personnes auprès de mon père, afin que je poursuive mes études aux Beaux-Arts, pis ayant tenté de monter un atelier de peinture, en ébauche dans logement que j'occupais, ma famille, mon père, a refusé "d'investir" dans cette entreprise, qui ne nécessitait que quelques vivres et achats de peintures,matériels de base et subsides en vue d'un habillement propre et décent) , sur les propos jaloux de voisinages abusifs, longuement injurieux (me traitant pour ma virginité de "morue" à dépuceler, de débile mentale méritant l'asile d'aliénés si elle restait bête, vierge, de ne point connaitre le viol qui la musellera et l'adoubera aux plaisir de couple, m'ayant trouvée assez pure jeune belle et vierge à un point de caractéristiques de l'élite qui ne saurait se faire voir d'avantage) noceurs, bruyants la nuit, au point de m'empêcher de dormir, et de rater l'appel de l'école des Beaux-Art le matin à 8 heures, menteurs et névrosés, voire alcooliques et drogués, maroufles, dépravés, ivres, jaloux de ma pudeur honnête, peu fréquentables, qui m'auront causé l'existence d'esclave que j'ai vécu jusqu'à présent, pour y revenir carrière possible qui pourrait contraindre pousser à faire reconnaitre les faux témoignages indiquant la démence prétexte à cette fraude, jusqu'à des perquisitions constantes à domicile des équipes médicales appelées, les cures e continu d'électrodes sans anesthésies le plus souvent, et la résection lobotomique des zones arrières du cerveau,contenant mes projets et visions picturales, sources de ma pratique artistique, (que je n'ai jamais pu retrouver, sinon, recyclée lors des repousses de ces zones cérébrales, maintes fois amputées parce que considérées zones subconscientes du raisonnement "délirant" des réquisitoires et plaidoyers véridiques et implacables, si trop entendus sous la torture électrique, maintenue en continu des décennies afin de faire accroire au délire hallucinatoire logorrhéique), en maintes autres facultés )sur l'accusation cette démence illégalement prétextée, contrecarrer la fraude établie, à , perquisitions punitives avec narcoses,en vue d'établir ce pouvoir absolu, le maintien de ma vie entière dans une misère noire sur laquelle mon père comptait afin de s'attacher mes dépenses et donc une dépendance financière ,soumise réellement à lui, ses exigences et manques de raison, ce qui le favorisait à titre de "soutien de famille" et bienfaiteur, pour les "sauvetages" financiers qu'il m'accordait, d'une liberté permissive si accord avec la tutrice désignée, en cas de tentative de paiement d'un avocat en vue de porter plainte à l'encontre de ces abus infligés depuis en ce qui concerne ma majorité, 1979.

La curatrice désignée pour gérer le patrimoine dont j'ai hérité, sarcastique, sinon dominatrice, fabulatrice et impliquée elle-même dans ce trafic., jusqu'à m'interdire, ce n'est qu'un exemple, toute formulation au cours d'une vente d'un F1 dont j'avais hérité, préférant, avant toute comparution au cours de la vente récente devant notaire, à son cabinet notarié, ne cesser de m'infliger séance d'électrodes sur séance d'électrodes, exigeant pour la bonne cause qui suit, l'humiliation du déculottement public pour la défécation publique causée par l'épilepsie dues aux électrodes, face au notaire narquois vaguement gêné de participer sans l'interdire pour autant, à une orgie répressive médicalisée pareille (signe d'indignité et d'injustice symptomatique courante schizophrène)qui devait censurer toute évidence de lucidité, culture conscience, et degré d'intelligence qui pourrait se manifester si j'intervenais, et qui serait contraire à cette accusation non fondée de démence affectant une certaine régression des facultés mentales, qui sera typique de la maladie, facultés intellectuelles voulues chez moi de ces cures d'électrodes et psychotropes sonnants, (défigurants pour l'occasion, soufflant le visage et le corps, pour une meilleure adéquation avec le physique d'arriérée et son faible niveau) , que cette curatrice préventivement à toute entrevue avec elle, (voulant "que cela ne se voit pas et que je ne m'en aperçoive", ce que je constate, n'osant m'indigner face à cette femme très imbue et suffisante, froidement calculatrice sinon exaltée, colérique, et oublieuse de ses devoirs , en passe de devenir dictateur), faisant semblant de rien, me fait injecter, croyant son geste inaperçu, opérations du cerveau neurologiques extrêmement violentes jusqu'aux signes apparents de débilité, mes facultés mentales sinon momentanément réduites au mutisme contraint des forts commotions de ces opérations neurologiques du cerveau et du système nerveux dans son intégralité, certaines avec anesthésiques puissants, les autres sans anesthésies, ou avec myorelaxants, très douloureuses à devenir sur le coup fou, et rester longtemps le corps en loques, disloqué, désarticulé, donc parfois alité, ou "catatonnie schizophrénique en phase d crise dépressive" dont j'ai longtemps également été accusée des témoins irresponsables et inconscients de cet état relatif aux opérations du cerveau multiples, décrits d l'autre formule magique "elle ne va pas bien, l'on ne sait pas ce qu'elle a", ce qui m'a valu des traitements identiques de médecins et leurs équipes de matons jouant les hommes invisibles et les "plombiers-électriciens" (ils s 'occupent généralement du courant EDF, des canalisations naturelles, intubent, parfois violent et fécondent, certains encore à a recherche, se disant mes anciens petits amis)à mes domiciles successifs, sur les appels parfois affolés,de ces témoins aux services de leur choix, commotions déclarées "inconscience" ceci afin que chacun dans son rôle d'assistanat saprophyte de prothesis auprès de cette invocation de démence profitable, puisse en tirer gain,profit, contre-façon de travail digne, aussi longtemps qu'il sera possible de le pratiquer..

Depuis,la machinerie de guerre médicale lancée sur l'accusation frauduleuse de démences multiples au gré des multiples médecins appelés ou qui 'mon t été imposés, si l'un exigeant un suivi de 10 ans, il aura eu la raison sur 10 ans de prétendre la folie qu'il aura choisie de prétendre, sinon, poursuivant le dit "travail" du précédent médecin, parfois communiste, parfois servant son idéologie de droite, se basera sur le diagnostic précédant, ou celui choisi, pour avoir été traitée le plus longtemps par le même psychiatre. avec parfois reprise du même traitement, y compris dans le cas où une démence qui semblerait plus appropriée serait choisie à nouveau, ces fraudes dans le jargon du déterminisme médical, signalées erreurs thérapeutiques, ou "psychose évolutive", autre formule magique masquant la fraude . Puis reprise des "maintiens à domicile", puis "suivis" en vue d'un maintien pérenne des symptomatiques de chaque démence invoquée, symptômes calculés plus ou moins dans leur totalité requise, maintien (y compris avec implants électriques ou électromagnétiques, électrodes intracrâniennes implantées souvent dans zones sensibles et érogènes, du visage et du corps, , manipulables à distance par engin et télécommande, actionné et confié à voisinages douteux choisis à cette fin, souvent drogués alcooliques d'extrême droite fanatisés pour une société sécuritaire, chargés sur leur libre arbitre d'un apartheid racial néo-négationniste de type français à l'égard de toute personne fichée démente, ou ayant eu recours à des soins psychiatriques, (mise en placement illicite non officiel prétendu officiel et prétexte à des exactions médicales graves en vue de causer par mutilations constates, mainmise sous torture physique et sexuelle et mentale, (la jouissance contrainte, sinon le plaisir physique et amoureux condamné de la frigidité les trois quart de mon existence, pr infliction de brome, produit chimique castrateur de la libido, causant la frigidité reprochée en tant que symptôme schizophrène, prétexte ensuite autant que ces temps-ci, à orgies sexuelles répressives défloratoires ( prétexte leit-motiv des traques et interventions : "il fallait de sa sexualité ne l'en priver)puis proxénètes à domicile, le mien devenu leur clandé et maison d'abattage, et sur tout lieu public et privé dans traques, fréquentes, les privations d'eau, de nourriture, de sommeil, les maltraitances quotidiennes, l'indignité dégradante et inhumaine des exactions, des violations des droits de l'Homme à longueur de vie , de nuit, de jour, la maladie ou son apparence, conduites en vue d'un placement légal officiel dans un département qui est celui des intervenants médicaux) apartheid froid donc des complices et intervenants, se fondant sur les exterminations nazies des malades mentaux et résistants en camps d'internement psychiatriques anté la seconde guerre mondiale, et à titre de loisir de tabasser sans fin les dits patients, les torturer parfois sur prétendue confusion entre cas de patients, prétendus évadés ou instables nécessitant contrôle et répressions, qui inévitablement, tombent sur le,la plus tranquille et capable, apte la vie sociale, dénoncé sur simple appel délateur parce qu'on ne l'entend plus (s'il lit, dort la nuit, travaille, vaque à ses occupations ordinaires, corvées ménagères, sieste parfois obligatoire ou suit eaux forts traitements, ou s'est absenté, s 'il est dit sur simple prétention encore aujourd'hui du Dr Brès, en placement d'office quand il n'y a lieu de le prétendre, ) et que l'on ne sait ce qu'elle, il fait, ramené(e) au plancher des vaches où il devrait être et rester de la folie dont il doit être, torturé(e) jusqu'à des nuits blanches, traite sen "difficultés à l'endormissement", "du mal à dormir", de douleurs et brulures insurmontables, rongeantes, dans l'inversion parfaite cherchée des horaires diurnes et nocturnes du sommeil typiques de la symptomatique schizophrène par exemple, des crises paroxysmiques de douleur physiques, de terreur, d'horreur et de colère légitime parfois crée par injections de Tranxène, face au chantage à la mort de parties de tortures livrées au libre arbitre de chacun et de ces mercenaires à la solde des secteurs médicaux incriminés, crises de douleurs algies et névralgies hyperalgiques que causent ces implants , suivies et prétextes à interventions dite d'urgence sur place ou au domicile des personnes ainsi placées de façon illicite, ainsi que cela se pratique encore de nos jours sur ma personne également, interventions où s'infligent des narcoses à appareils à détenteurs et électrodes en tous genres des multiples secteurs psychiatriques appelés à intervenir à tour de rôle en relai constant, narcoses supplémentaires aux implants prescrites tant que l'auteur des violences ne sera déterminé à cesser ces violences, (systématiquement imputées à la victime sous la loi de substitution, loi de fait de psychiatres donnant droit à l'inversion des faits responsabilités et culpabilités au nom parfois légitime d'une personne démente cause par se troubles psychotiques réels, de troubles de l'ordre public, ici, les psychopathes choisis chargés de la détention des armements militaires illégaux employés dans les mesures non officielles de "maintenance psychiatrique" d'individus ciblés pour devoir être "déstabilisés" et rémunérer un futur placement en pavillon fermé, légitimant le placement préventif sécuritaire illégitime en assignation à résidence surveillée, placement arbitraire non fondé et non officiel accompagné de procédures fantaisistes illicites de tribunaux d'exception d'intervenants médicaux , de factions politiques pour certaines d'extrême droite, d 'autres pro-soviétiques, et d'une droite d'exploitation capitaliste, siégeant dans étages souvent supérieurs de résidences privée et HLM, publics, dont ces victimes étaient contrôlées sous torture psychiatrique, paramilitaire", , )calmées non par antalgique,mais par narcoses avec anesthésiques suivis d'actes de neurochirurgie souvent lourde, réparatrice des dégâts causés de ces pratiques, des implants et électrodes surpuissantes dans cas cas dits d'agitation, selon la prescription de la "courbe de gauss", créer le mal sinon le simuler, le porter à son paroxysme (sinon d'apparence créée) voulu pour le mater, l'ébriété invoquée dan ces cas créée des narcoses, coups violents portés au crane par appareils violemment percuteurs, jusqu'aux fractures, micro fractures et enfoncement des os de la boîte crânienne, et du visage, la réduction des zones cérébrales en état de bouillie cuite projetées en giclées de fractures du crâne causées sous les chocs électriques, ou de césures déjà pratiquées des os du crane,, ou loques déchiquetées, net ou à a longue, et produits injectés , sus des traitement officiels et cachets supplémentaires de psychotropes narcotiques et barbituriques occasionnels, décrit dans les dossiers sous la formule "ils auront eu de tout", mais précisément pas ce qu'il leur fallait et la paix sans tortures encore moins, génitales,électriques, mentales et lobotomiques rémunératrices des milieux médicaux, médecines palliatives aux chirurgie réparatrices, et lésions invalidantes parfois ayant nécessité la chirurgie, ,sphères para-médicales , et pharmaceutiques fonctionnant d'autant plus sur contrats avec les établissements publics et privés psychiatrique, qu'ils exigent des prises automatiques et systématises des médicaments achetés sur ces contrats assurant un marché profitable du médicament sensé souvent à tort car dans ses variétés officielles sinon en tests sur sujets, pharmacopées basées sur des composant chimiques plus inventés par chercheurs patentés pour rester pathogènes tortionnaires et répressifs, que véritablement curatifs des maladies créées, prétextées préfabriquée,et simulées, pseudo maladies dites "syndromatiques", médication de psychotropes et narcotiques parfois puissants, dangereux, créateurs de psychoses et psychopathies diverses, tics, tocs, complexes névrotiques, etc, certains de ces traitements chimiques aux composés complexes dits "ciblants" commotionnant jusqu'aux états seconds et somnambulismes, et barbituriques, tous traitements pour la démence de quelque nature quelle qu'elle doit être et ensuite soit, tous causes d'ébriété, de gêne et insuffisance respiratoire, asthme, tels le Meilleril, le Théralène, hydropisie,obésité, colopathies aiguës, constipations chroniques opiniâtres sévères voire obstructions fécales, et leur pharmacie palliative, certains à base de métaux lourds très cancérigènes tels certains antidépresseurs et le Lithium, médications abrutissantes tant soporifiques, causes d'analphabétisme, d'incompréhension, d'inaptitudes autistiques au travail, la lecture et à la perception de la vie sociale, d'inculture, inaptitudes à la vie scolaire, universitaire, et courante, déstabilisant et névrosants voire poussant au crime et au suicide, tels le Prozac, encore en vente, en surconsommation courante et en auto-médication libre le plus souvent sur simple prescription à la demande, sinon rendue obligatoire su demande de simple tiers personne, dans la plupart des couches de la population, les chiffres actuels de cette auto-médication libre incertains, flous, sinon tus) maintien donc dans sa constance de ces apparences de démences et pathologies diverses de médecines spécialisées de la médecine générale, multiplexes et variées, créées des méthodes répressives citée, dans certains cas plus profitable en fonction des possibilités, capacités de paiement ou accord des familles, dans ce cas selon le niveau de règlement des patients, sinon ponctionné par l'organisme de tutelle (prévu le plus souvent à ce strict besoin médical budgétaire des secteurs médicaux et psychiatriques, d'opérer pour opérer, pour le profit qui en est tiré) des patients réquisitionnés pour ces méthodes appliquées alors jusqu'à l'automatisation la démence et les pathologies annexes voulue, leur ancrage jusqu'à l'aliénation et les infirmités plurielle par patient, véritables., sinon ainsi qu'il en est pour mon cas, ensuite de ces fraudes citées et que je subis encore, imposition du diagnostic de démence, dans les fin de masquer un réel trafic de proxénétisme médical,hospitalier, dont j'ai rédigé les agissements et soubassements dans le courrier précédant, trafic soutenu, encouragé, maintenu par officiers de police, membres du corps de pompiers, fonctionnaires d'établissements publics, personnels médicaux, médecins du corps médical hospitalier et médecins du domaine privé précédemment cités et en récidive. Ainsi que le Dr Dialo,et médecins intervenants sur appels, courriers, de tiers, relations et proches, médecins restés anonymes par peur de sanctions.





Je vous prie de trouver ci dessous plainte réclamant afin que soient préservés mes revenus librement gaspillés du fait des régurgitations forcées de tout aliment que j'aurai acheté et consommé, et assurée ma sécurité à laquelle ils portent en continu atteinte, le placement en maison de santé les intervenants et ingérents à ma vie privée selon leur degré de pathologie en fonction des crimes et crimes contre l'humanité, dégradations corporelles qu'ils auront commis sur ma personne, et des pénalités judiciaires sinon leur emprisonnement pour une longue durée des intrus à mon domicile, ingérents et personnels médicaux également criminels des crimes et actes de barbarie infligés sur ma personne, actes criminels dont ils sont auteurs et responsables ; un problème en provenance d'une possibilité de s'introduire dans ce rez-de-chaussée où je loge, en soulevant une partie de baie vitrée, certainement rabotée à son niveau supérieur, afin de pouvoir la soulever; ayant de des dépenses couteuses destinées par pose de bloqueurs d'abord à vis puis à serrures de portes et fenêtres, les premiers bloqueurs tout aussi inefficaces que les seconds, à sécuriser cette baie vitrée, une des fenêtres, coulissante, ainsi que ma porte d'entrée, je vous prierai de faire le nécessaire pour remplacer la porte coulissante ou assurer sa réelle fermeture, afin de me permettre d'habiter ce logement sainement sans difficultés et son nettoiement, strictement prohibé jusqu'à présent;



Plainte qui suit, auprès de du syndic de ma résidence, concernant l’activité mentale à mon encontre,de locataires et leurs hôtes, hommes et femmes jeunes pour certaines, de l'appartement au dessus de mon logement actuel, visiteurs d'une jeune locataire et de jeunes femmes aussi acharnées et malades mentales, éthyliques et droguées, que les personnels médicaux invités à leur logement.. Leur état mental m’a révélé certaines fraudes que les jeunes femmes de ce logement dont je ne discerne l'étage, m’ont occasionnées, provenant de secteurs médicaux que dans leur délire qu'elles disent du à leurs soirées d'ivresses où elles s'avouent saoules, la self défense des proches et de leur famille, prêts à la protéger contre toute demande de les placer, et ne sachant comment se débarrasser de toute personne qu’elles attaqueraient de ces crises de torture et de meurtre dues à des accès de mégalomanie paranoïaque, lâchées sciemment en tant que frelon brulot de mes idées, notions et conceptions, à mon encontre, dans mon appartement, les atteintes pathologiques très convaincantes qu'elles présentent et pourtant pouvant s’avérer très dangereuses, ce à quoi les prises en charge des centres pour adultes handicapés et secteurs psychiatriques l’ont délibérément poussée. Je constate simplement, que les centres appelés afin de l’évaluer, se sont penchés sur mon cas dès qu’elle a commencé, ainsi que chaque début de journée, à m’attaquer de ses armes de poing favorites, entre autres, lasers de courte et moyenne portée encore en test clinique, couteaux-lasers de chirurgiens, et autres instruments de laboratoire en test ou de nouvelle technologie de centres et de services médicaux que parait-il elle chipe et/ou que l’on lui confie, afin soi-disant qu’elle prépare ses études de neurochirurgienne et de médecine sur mon cobayage physique et forcé, se servant de ma personne autant que chair à canon de ses études, et esclave sexuel de ses parties « orgies »au cours desquelles elle a le droit de me tabasser, opérer au cours de ces fêtes alcoolisées diurnes et nocturnes, autant que l’on se servirait d’un objet de plaisir, ou d’une met à partager entre amis, la leçon de dialecte incohérent de délire de maladie mentale, pratique de secte, apprise par cœur, destinée à faire accroire à la démence, sous peine de grave représailles si non acquise. Elles commettant accusations mensongères à faire vérifier sur moi, si tant la réalité correspond aux accusations diffamatoires avancées., vérifications destinées à désorganiser ma pensée, précédées d’ injections de neuroleptiques pratiquées en douce et à mon insu sur le coup, ainsi que d’interrogatoires et surveillance sous matériel de guerre similaire au groupe électrogène. Sachant que les milieux qu’elle a appelés à l’aide sont très corrompus et frauduleux, promettant leurs victimes à des maltraitances, opérations cérébrales amputant des quantités assez effrayantes de cerveau, pour plus de un kilo de cerveau en plusieurs opérations sur quelques semaines ou mois, militent dans les milieux sinon Nazis considérant cette idéologie naturelle, du moins soviétiques, parfois faisant l’apologie des deux politiques à la fois, certains plus convaincus que d’autres, sinon d’établir des répressions très violentes d’armes de combat récupérées a tire d’appareils de contention, qui parfois servent à opérer à travers murs et planchers, étant de cette technologie encore à l’étude sur les fous ou dits fous. En fait, je constate, que ces personnes qui leur sont confiées, surtout sur internement abusif précédent la remise en leur centre, sont parfois légèrement inadaptées, mais parfois saines, et ravagées de violences très dures, pouvant créer des lésions irréversibles de leur système nerveux et cérébral, voire, causer l’arriération légère à profonde par ablation systématique des zones cérébrales de la raison, de la conscience, et de la connaissance, bref, du savoir et du niveau intellectuel d ‘ordinaire requis, celui des doués et surdoués ou du génie. Ou simplement, du réquisitoires des plaintes occasionnées par des tortures des plus ineffables à des plus insupportables des zones sensibles accompagnées de tortures mentales très aliénantes .Le summum de souffrance atteint, la personne était plongée dans un supplice du watter-bording de tortures électriques, mentales et sous armement non conventionnel, supplémentaires, gavages intempestifs et systématiques de repas intubés pour gros mangeurs, constitués de nourritures contraires à la santé et d’eaux gazeuses salées, ou d’eaux plates polluées de traitements en grandes quantités, dont certains radioactifs, tels sels de lithium et électrolytes, destinés à les cogner à leur ôter toute intimité jusqu’à la perte de l’identité et de la chronologie, ainsi que toute notion de raison, afin de conférer l’aspect revendiqué de la trisomie et de l’arriération, (dont le crâne "raboté" d'actes quasi quotidiens de neurochirurgie en brachycéphalie, la laideur et l’obésité requises) lobotomiser les zones cérébrales sensées contenir plaintes et réquisitoires en question, susceptibles de les inculper. Je me suis heurtée à de telles pratiques, depuis quelques années, sur également les accusations de démentes du troisième âge, qui me confiaient depuis des années à ces secteurs identiques, à mon insu d’abord, eux possédantes clefs de mon appartement, dont des trousseaux m’ont été volées et reproduits, enfin, ils pratiquent surveillance, contrôle, depuis les appartements voisins à leur victime, établissent une mise en observation constante ou quotidienne, si ce n’est en embauchant, entrainant des locataires voisins à ce métier de gardiennage, du moins, en inventant des faits qu’aurait commis la victime, afin de la visiter, toujours à son insu, sur des tours de magie de secte, jusqu’à réduire leur victime en l’état de légume ou zombie de leurs fraudes. Le summum des souffrances continuelles, contraintes au rapport et sévices sexuels également (dont certains par implants électriques ou électromagnétiques sexuels)se situant dans l’euthanasie par mort violente ou brutale de ces personnes tant sacrifiées au pouvoir de l’argent, autant que dans prisons privées américaines, la mort lente ou douce rarement permise, sinon le suicide causé de ces tortures insurmontables, sinon par la mort, en parlant de décès prématuré des débiles et anormaux..Autonomie reniée, empêchée, strictement interdite d’accès. Cette affaire me concernant personnellement puisque j’en suis moi-même victimes et en quelque sorte unique témoin encore lucide de ces agissements, Moi-même victime de lobotomies mensuelles, ablation du pourtour du crane,, c’est à supposer, assez évidentes, sensées ne se remarquer sous la chevelure, et destinées à causer la baisse requise de niveau et le cerveau brachycéphale. Je suis initialement dolichocéphale et présente des aplatissements latéraux à l’arrière de mon crâne, qui ne sont trompeurs, à croire que la valeur de deux magrets de canard m’auront été prélevés, sur l’arrière de ma tête et son dessus, un coin en triangle prélevé sur le coté de mon front gauche, plus étriqué ensuite que le droit, tête en poire du coté gauche de ma face. Les deux os en dessous du cervelet, retaillés à la façon du dessous du clitoris, en forme résolument, d'attache des deux petites lèvres, dénommée "mitre" de la vulve. Mes cervelets systématiquement brulés, séparés en deux, objet de violences et de séismos en leur milieux, contrefaisant le tir par balles dans la nuque, tirs en rafales reproduisant le mitraillage de la nuque d'un de leurs prisonnier d'opinion, que je leur représente, tirs à bout portant dangereux mais tant présentés inoffensifs qu'utilisés sur demandes d'irresponsables au cours de multiples parties à titre de viols à "légère" matraquage dont ils ont dual reconnaitre la force, à sénestres, arrachages de pantalon et déculottages de slips, maintien sous sangles de mon corps inanimé harnachement pour eux régulier des prostituées qu'ils font, ligotage commun au proxénétisme, suivi de tirs à bout portant d'armements réputés de instruments soin, d'infirmiers, étudiants en infirmerie, infirmières, en ratonnades de commandos quotidiennes, suite à mes plaintes, certaines affirmant qu'elles commettraient ces pratiques de l 'exécution sommaire à répétition, dans le but de parvenir à tuer, à m'"abattre", pour le plaisir, pour d'autres, d'une partie de trip, depuis la date anniversaire du dernier congrès de l'extrême droite, du 26 novembre, date à laquelle ont débuté les évènements derniers; dont le commencement a débuté environ vers le 5 avril 2009 dans un logement antécédent d'où il a provoqué ma fuite pour harcellements hospitaliers, dès que mon père ivre de jalousie a été averti de délateurs, de mes amours, de mes relations avec un amant, après des enquêtes spéciales et interrogatoires infligés avec implants électroniques, parfois sous penthotal, pratique du pavillon 9 du secteur de santé mentale 2, destinés à ficher toute vie sexuelle, amoureuse, antécédente, du moment, extirpation du nom des relations, rencontres, amis, amoureux, prétendants, politique, degré de cognition, appartenances religieuses, opinion, qu'ils pourraient obtenir; d'autant que tout soin, tout traitement, tout placement dans hôpital de force, ou placement d'office qui sera promis à ces "voisins", m'aura été infligé, à tort, pour une certaine manie de se tromper systématiquement d'étage et de logement.



Ces personnes partisanes de fanatismes extrémistes d'extrême droite impliquées dans le fait d'une libre expression de leur "liberté d'expression", d'un droit à la partie d'amusement à torture de guerre de ce type,faisant appel à des chefs de services et médecins inconnus, d'autres connus pour leur envie de m'éliminer pour leurs fraudes,abus criminels au nom de la science et de la médecine, surtout de leurs revenus, crimes de tous ordres et opinons dont ils règnent pour lesquelles on se "refile" le nom envers une "pauvre fille", déjà durement éprouvée par cette farce politique ayant servi d'amusement à sa famille, complice, auteur et demandeuse de ce sacrifice humain, en faisant scandale public de façon éhontée, des agissements, procédés de bordeaux, viols pratiqués en public, sur ma personne, dans des traques à l'homme sur tout lieu où je circulerai, et me situerai.



J'ai fait le tour des associations contre les violences faites aux femmes, en congé de fin d'année encore, les violences que je subis depuis la Toussaint mettant ma vie quotidienne en danger, sur la région de Hérault, aucune permanence s'avérant possible, les associations contactées, se disant incompétentes, dès que l'on porte atteinte à l'image de la médecine, ici en cause, ou de l'autorité parentale, l'image pure et l'impunité, l'immunité de blouse blanche, forme aujourd'hui de robe de noblesse de robe, si inattaquable que ainsi que nombre de relations amicales que j'aurai eu, je risque de n'en survivre des blessures infligées causes d'ordinaire de décès rapides . L'affaire ayant débuté par une lutte de classes sur laquelle se crispe un secteur médical psychiatrique de la région, pro-soviétique, le secteur de santé mentale 2,(puis le 1 et enfin d'autres) pour m'avoir trouvée trop rupine, pure, fine etc, toutes formes de jalousies récurrentes distillées d'infirmières crapuleuses à mon égard, dont les points d'achoppement de trop bonnes notions culturelles, d'un logos universitaire redouté d'eux, et pour ma qualification de Madame de Maintenon, (mes amants reprochés) Récamier, pute de salon, (je suis artiste, au départ artiste peintre, trépanée pour mon art pictural jugé subversif dans les années 80, puis reconvertie dans l'écriture, auteur de deux livres publiés) et Madame de la Trémouille, insultes gratuites des médecins inquisitionneurs de ce département médical, qui plutôt que me venir en aide, et enfermer de sex-concubins en intrus dans mon domicile, et en état de viols quotidiens, de violences aggravées, m'auront violée eux aussi, tabassée quotidiennement jusqu'à la mort apparente, au cours de parties d'amusement, s'amusant de moi pour le profit dans une "sauterie récréative" qui dure, se disant saouls, ayant bu et fumé, partie de torture de "nantis" ainsi qu'ils se sont déterminés, sur femme pauvre et démunie autant que dans partie de "chauffe" du Moyen Age sur femme serve, partie aussi de meurtre et de snurf, dans mon logement devenu chambre de torture sado-masochiste, depuis mon anniversaire, le 26-11-2009, où ma vie a basculé dans l'horreur. la justice, les forces de l'ordre, les pompiers, leur prêtant aide et appui, intimidations et violences supplémentaires,complices. Mon père incité à soutenir ces pratiques illicites, les encourageant, les ayant causées depuis ma naissance, et même les rémunérant, les violences à domicile empirant, la phase paroxysmique atteinte ces derniers jours, les fêtes et leur degré d'alcoolémie augmentant la dangerosité des rites médicalisés des tortures médicales endurées



N'étant ni sous aucune mesure réelle sinon affabulée de placement, ni ne mesure de suivi à domicile, ni de maintien en appartement thérapeutique, mesure disciplinaire, et pourtant traitée à domicile tout autant que dans séjour disciplinaire dans départements de santé mentale, selon les modalités d'interventions qui se pratiquent de nos jours,calquées sur les tortures pratiquées dans les internements à l'étranger ( asiles de Turquie, Asie, Amérique et "vol au dessus d'un nid de coucou,leur film favori, Roumanie) je vous ai confié des écrits concernant une affaire d'usage illicite de la médecine psychiatrique dans des pratiques du proxénétisme communes à des secteurs hospitaliers, sur simple demande de pères et mères de familles à structure familiale basée sur la mère maquerelle et le père sinon führer, du moins père patriarche de type taliban, iranien, ou pakistanais, se calquant sur ce pouvoir hyperrépressif, parents protecteurs et leurs complices, obsédés par ce pouvoir du CHR d'intervenir dans le domaine privé à des fins de parties de stupre vénal et donc à des fins de constitution par leurs services, de prostituées sur exigences de leur famille, pédophile de ce système de corruption, en aficionados adeptes de cette dépravation hospitalière, contraintes par ce genre de macquage à des médecins véreux, crapuleux assez pour instituer ce droit de fait d'interventions constantes au domicile, dont ici, le mien,issue de milieux pédophiles de l'enseignement, adeptes de ce type de pédophilie psychiatrisée sur enfant martyr, pour infliger de séances d'électrochocs, électrodes en tous genres, jusqu'à la cuisson de système nerveux et cérébral, destinées à en continuum le tabasser, afin de prétendre à l'opération neurochirurgicale réductrice des zones cérébrales cuites réduites en charpies, nerfs concassés rompus sur leur longueur, tués à la longue des décharges, parfois réparatrice, digéré de plus par imbibitions forcées de salives d'autrui destinées à le digérer, dans un but d'obliger et de m'obliger, à ne point leur résister, quitte pour eux à soumettre à des exécutions sommaires si refus de céder aux rites obligatoires de la prostitution dite ensuite libre,et pratiquées depuis les dernières lois de Sarkozy, en appartement, sans préservatifs, prostitution à déviances sexuelles contre-nature dangereuses pour la vie et la santé, parties de torture à thèmes et trips des plus fascistes dites de snurf, médicalisées, avec actes maints de défiguration, vitriolage de produits nocifs du corps et de la beauté de ces femmes, condamnées pour ces agissements au célibat, sous prétextes de placements d'office, le plus souvent, mesure de protection administrative de la personne en milieu dit protégé, à l'usage illicite de la torture psychiatrique des plus fascistes poussée à des degrés de violence et de crémation du système nerveux (ensuite dépecés le sujet encore en vie, systèmes cérébraux dont certains déclarés ainsi que le mien au départ de l'affaire, de très fort potentiel, donc anormal, décrété anomalie), tels qu'ils peuvent devenir meurtriers, placement le plus souvent affabulé et prétexté pour plus de liberté dans ces agissements dont soumission à la consommation forcée de porc, très enlaidissant, de la chevelure, brulure du sexe à titre répressif, affamement, privations de nourritures essentielles à la vie, auto-alimentation notamment en viande et surtout viande rouge, très prohibée, alimentation des victimes tolérée si seulement expressément, exclusivement sous régime sans protéines d'une l'alimentation forcée à base de viennoiseries grasses sucrées et salées, (croques-monsieur, et autres ) de pâtes et de pâtées pour chat par intubation, parfois jusqu'à a sur-nutrition des années maintenue, méthode issue de celles de Mussolini, malbouffe destinée à bruler, cuire,dessécher,autre procédé de crémation, digérer les protéines des chairs par l'abus de graisses et de sucre, carençant, obligation en continu au régime sans résidus destiné d'ordinaire aux examens coloscopies, régime en ce cas employé dans un but de cancériser, seule nourriture par ces bourreaux tolérée, car sans fibres, ni légumes, ni fruits, privation de sommeil, de biens vitaux et nécessaires au confort,qui leur est reproché trop bourgeois pour elles, restrictions en complicité avec des psychopathes s'introduisant contre mon gré dans mon domicile, quotidiennement, réclamant après mains viol sur m personne, déjà trouvée inanimée des parties à l'électrochoc par les précédents revendiquées, d'autres inflictions arbitraires supplémentaires de ces électrochocs, appliqués sur ma personne à tire de viol supplémentaire sous un prétexte de devoir de substitution envers des victimes de violences, de punitions médicalisées pédophiles telles injections d'anesthésiques à cul nu en public, destinés à des séances de torture électrique, employées par les services médicaux en opérations du cerveau, imposition de nourritures contraires à la santé, forme de brutalités supplémentaires, tortures, sévices institués à tire de punitions corporelles, châtiments corporels arbitraires des rituels orgiaques pédophile encore en vigueur, envers femmes, filles émancipées, donc décrétées "pas sages" si non filles faciles, sinon en devoir d'être et rester filles tenues, de ces pratiques de la torture et méthodes policières pouvant aboutir au suicide contraint sinon le meurtre dans d'atroces souffrances mentales et physiques de la victime, ou à la pousser à l'homicide par légitime défense de leur mac, ainsi qu'il en est pour ma personne, en état de bourreaux depuis la petite enfance de leur victime, affaiblie physiquement de surcroit, d'inflictions en continu de narcotiques puissants, cuisant les chairs disloquées en plus de la cuisson de l'organisme due aux décharges violentes de courants électriques donc, des massacres, officiellement et rituellement déclarés inexpliqués et subits, incompréhensibles, les instances juridiques, les forces de la police, protégeant sciemment les faits, contraignant au règlement de compte meurtrier. Tentatives d'homicide auxquelles je ne sais par quelle résistance physique commune à ma famille, j'ai survécu, certaines décédées à cette heure de ces violences, ou rendues à la vie très diminuées. Mon appartement devenu leur "ferme", certains pavillons psychiatriques usant de telles méthodes envers certaines de leurs protégées dites "rétives"au métier, autrement-dit, leur maison d'abattage, d'entrainement, ou dite de correction destinée à contraindre sous le viol continuel, l'usage en continu de la torture électrique et psychiatrique, à se soumettre aux lois du macquage flicquant ,proxénète, lois de droit de fait destinées à établir depuis 1900 sur la France ce type de dictature régnant dans l'immobilisme social et la peur du psychiatre générée par ces secteurs médicaux institués en organes répressifs des pouvoirs établis, assez cyniques, machiavéliques et mafiosi pour "s'amuser à faire du fric, dans ces formes de placements d'office non déclarés, ni au préfectures, ni à la sécurité sociale, argent au black dont ils sont rémunérés, faute de budget plus conséquent, en cause, les suppressions des financements et subventions en provenance de l'état, sic, pour leurs abus et crimes contre l'humanité rituellement traditionnels en tous milieux, déjà connus en prolifération,dans les domaines de la psychiatrie, milieux pro-soviétiques très éthyliques, d'une supériorité raciale insupportable.

Mon organisme si en grossesse privé de nourriture, eau potable et sommeil quotidien, tant intoxiqué d'overdoses de médicaments, anesthésiques, neuroleptiques quotidiens et retard, en cachets et injections, sans placement légal, enflé de ces overdoses, causes d'oedeme généralisé, jusqu'à la difficulté respiratoire fréquemment imputée au tabac, overdoses également jusqu'à la rétention hydrique, poussée au surpoid, la dévitalisation des chairs et tissus, par privation continue sciemment prolongée, inanition destinée à m'affaiblir, m'interdire toute riposte verbale, écrite, digérer es tissus cérébraux et réseaux nerveux en vue de leur résection partielle et en grand part, digestion des tissus de l'organisme augmentée de glaires et excès salivaires de condamnés à ces mêmes pratiques, dégurgitées au cours de malaises et jeunes pour les mêmes opérations neurologiques poussées jusqu'au devoir de neurochirurgie, dit "geste médical", mon corps si ce jeune se prolonge, constitué entièrement, de cytoplasme,d'eau, de quelques tissus interstitiels constituant l'enveloppe de cellules, fragilisées du manque de protéines et de nourriture saine;

Ou du moins appropriée, souffrant d'un cancer du sein acquis de souffrances et douleurs insurmontables, de méthodes similaires, destinées à rendre folle ou fou des blessures occasionnées, plaies multiples et répétées, tabassées jusqu'à la réanimation fréquente, brulures pouvant dans certains cas être mortelles, jusqu'à certain degré de cuisson du cerveau, en particulier ds zones à amputer, très cuites, sinon frits dans le beurre et le "jus" de cerveau voulu. Torture anthropophage de type nazi. les zones réséquées, souvent présentées ensuite sur plateau de légumes régurgités pour l'occasion, fadaises que ces médecins et équipes médicales se sont permises, réputées farces Jung.

Mon père, pris dans une défonce de revanche envers toute défense que j'aurai, récit qui m'est extirpé de tortures aux implants électriques, électromagnétiques, électrodes, envers les violences familiales qu'il aura pu commettre, viols de tout ordre qu'il aura eu commis, sans compter ceux que représentent pour lui , les viols thérapeutiques des électrodes, injections retard et cachets imposés depuis pour lui déflorantes, bâillon chimique destiné à masquer son inceste, sinon arsenic, et causes de coït,auquel il me contraint depuis des années, bien qu'aujourd'hui je ne sois plus sous la coupe de quelque chef de service assez vicieux pour écouter ses discours mensongers, accableries diffamatoires envers tout silence que j'opposerai, il me provoque de coups de téléphone, suivis immédiatement de représailles, invasions en séries de cures d'électrodes, accompagnées de viols des intervenants, représailles pour le fait que des témoins, ma famille, moi-même et médecins capables, l'aient voulu en gériatrie ou psychiatrie, volonté qu'il me rend en m'envoyant maisons de retraite à mon domicile, me séquestrer, tuer de décharges électriques, lui dans ces ces en état de meurtre, me faisant passer pour fille indigne enfant bourreau auprès de qui veut l'entendre,(déjà traité pour sa maniaco-dépressivité éthylique et hystérique en déni, par la famille, ainsi que par neuroleptiques Solian et Stablon, ce qu'il me rend, car lobotomisé plusieurs fois,il ne le supporte, se venge sur moi en réclamant des ablations très importantes de mon cerveau, allant jusqu'à "me faire bouffer ses lobotomies, et celles qu'il aura demandées pour moi, sur mes agresseurs) raffolant de ce jeu de substitution, depuis ma prime jeunesse, chacun le renseignant sur les rituels traditionnels de chacun de m'en infliger autant, sévices et viols préparatoires au bloc opératoire, qu'il me punit, inévitablement, d'actes de neurologie, neurochirurgie plus graves encore, ayant recours à l'alimentation forcée, m'interdisant toute alimentation autonome, en sus de ses moqueries pornos, insupportables,de celles des fauteurs de trouble, fomentant depuis ma naissance, dans un but libidineux de m'éliminer définitivement de sa vie, me traitant de poids inutile, et maquereau allié assez sûr pour mes ennemis, souteneurs instituant le bordel à mon domicile, se servant de lui et d'un de mes anciens concubins, de jeunes marlous se déclarant mes amants, joints par cette locataire du premier étage, qui m'entreprennent dès le lever, pour des séismos, électrodes en tous genres, électrode parties, à viols en séries rituels suivies, une fois la moitié du cerveau brulé, de trépanations, suivies elles de tentatives d'homicide, parce que de telles amputations ne sauraient se supporter, sans m'achever; ce rituel cyclique dure depuis environ la Toussaint, et empire avec l'alcoolémie des fêtes, cet ex compagnon des années 90, Luc Lopez, ou son homologue, dément violent de Robert Brès, auquel l'on me remet systématiquement, et qui se fait une joie intime de dépravé, halluciné de l'extrême droite, de tenter l'euthanasie sur moi, sinon ses représailles envers tout réquisitoire que j'aurai envers ses pratiques dévoyées de la médecine, il envahit mon logement, m'impose ses lubies, obsessions sexuelles, a entrepris de me forcer à une vie de couple avec l'un de ses déments, et bien d 'autres, basée sur la revanche, me faire vivre le pavillon de force à domicile, où il aurait les droits de parent bourreau, dans les rites conventionnels de la violence conjugale,voyou de surcroit, se faisant passer auprès de ses psys, qu'il séduit d'affabulation rituelles envers ses abus sexuels et virulences, affabulation me causant maints torts de le part des départements où des médecins appelé afin de l'évacuer de mon domicile, ayant constaté on état de démence, auront tenté de le faire soigner, pour un amant que je recevrai de mon plein gré, sur ma libre initiative, alors qu'il force ma porte fenêtre systématiquement en continu, son truc, me faire avaler les glaires vomies de ma mère surinfectées, les miennes, celles d'autrui, crachats et "bouts" de personnes décédées, ou vieilles lobotomies, dans son esprit me punissant pour certains des manuscrits inédits qu'il a fouillés (ainsi que mon père qui en a fait aveux et qui m'impose ce psychopathe), dans les dossiers de mes bibliothèques, et dont 'il me reproche la portée littéraire, certains fichiers de mon ordinateur supprimés, tronqués, cet individu connu pour être ce Luc, se faisant passer aussi pour mon hôte, quand je vis seule, que je recevrais avec mon consentement, quand il force ma porte continuellement. pour s'installer dans ce logement, (profitant de la démence de mon père et des visites incessantes des équipes médicales que je luis dois, qui plutôt que de les évacuer, prétendent à de soins, illicites), et s'y livrer en compagnie de ces médecins, infirmiers, infirmières, restés pour ces orgies anonymes envers moi, se cachant de toute dénomination qui pourrait les faire inculper, trouvant le moyen de m'éblouir d'une lampe de poche afin de m'anesthésier et profitant du coma épileptique des décharges électriques pour commettre leur crimes,) mais connus des voisins et voisines des étages supérieurs qui les appellent, à de véritables parties de stupre; orgies insultantes, à tortures et vices dangereux pour la vie, où l'on me viole de tout geste médical, violences et viols recensés depuis ma majorité, que je n'aurais supportés de ma vie ou de celle d'autrui, Luc me frappant avec chaussure au visage, m'ayant démoli une épaule, et plus insultant dans les termes du vice que jamais, équipes passant leur temps à me griller la cervelle, en guise d'amusement qui leur rapporterait, cet de représailles à mes dépôts de plaintes, chacun s'amusant de ces parties fines à violences caractérisées de ces appareils à électrochocs et à électroaimants,qui auraient pu me couter la vie ces derniers mois, parce que maintenus des heures durant, pour les aimants, les séances d'électrode plusieurs par heures, nuit et jour, non règlementaires, hors norme, à me crever maints mois, encore aujourd'hui enceinte une fois de plus, le sac amniotique de mes grossesses forcées après ces viols, et me contraindre à avaler le liquide amniotique recueilli à cet effet, autres actes de barbarie trouvée pauvre fille, encore belle", vieillie prématurément en cinq minutes de sévices et décharges électrique, afin de m'y faire mériter les soins qu'il mérite pour le physique vieilli qui sera victime des préjugés dus à l'âge. mon père pris de crises de viols si me trouvant violé déjà par ce dément, m'impose ses accouplements et tortures rituelles déjà citées, me punissant pour ma situation, que je n'ai voulu ni désirée, mais imposée sur les rites obsédés envers les femmes battues inversant les faits et les responsabilités, n'hésitant à tuer la fille violée plutôt que le violeur,dans ces cas précis, mon père s'étant institué mon protecteur du fait qu'il s'est institué le droit à vie de s'amuser de moi et d'en faire ce qu'il voudra encore, sur des affabulations incitant de médecins de services médicaux à enfreindre la loi, afin de lui "rendre service , plus violemment encore suite à mes dernières plaintes contre leurs fraudes.

J'ai tenté de faire placer mon père, retraité et regrettant sa jeunesse, parfois en état second du à un éthylisme non modéré de longue date et un état de psychose à dédoublements brutaux de personnalité le plongeant dans des états morbides et inconscients qui peuvent le rendre dangereux, dans ses envies d'homicide quand il ne supporte la réalité des crimes, orgies et parties de dépravations à thèmes , inceste, meurtre, euthanasie, masturbation ect , viols et sévices qu'il m'a faits endurer encore aujourd'hui, quand il croit les avoir eu rêvés dans ses masturbations, et actes de mutilations sous prétexte d'éducation sévère, qu'il n'a eue pour le reste, , dans un maison de santé, mais aura eu le moyen, le porte monnaie dans ces servant de raison, de l'envoyer à mon domicile me rendre la pareille, lui ayant juré que je le placerai en maison de retraie ni médicalisée..

Pratique appuyée en général sur demande de tiers, (locataires de ma résidence, dont je suis femme battue, femmes jeunes dont femmes âgées du quatrième étage a dessus de mon appartement, inactives en général déclarées par leurs médecins psychopathes ,laissées en liberté sans surveillance sinon sur leur appel auprès de leurs secteurs, employées à être de mes souteneurs dans ces parties de snurf, de torture psychiatrisée, dont plusieurs déments envoyées me prostituer de leurs viols et obsessions à mon domicile) de parents, ascendants ou familles entières, par profit, car durement rémunérés, prenant pou soin le fait de griller méthodiquement zones de mon cerveau pour le simple fait que "cela ne se fait pas de faire ce que vous avez fait"", reproché à tout violeur, agresseur que l'on m'aura surpris, par ces cures d' électrodes en tous genres des plus violents qui me seront automatiquement, systématiquement infligées pour totu alibi mensonger des intrus à mon logement, qui s'en prétendra hôte, s'étant donné le mot ;

Je réclame également que soient expulsés définitivement de mon domicile et du leur pour ceux qui logent dans cette résidence, tout intervenant y compris de ma famille, les proches, dits "mais" et ma famille elle-même, mon propre père, les impétrants en ingérence violente, conflictuelle du fait d'une maintenance armée de ma vie intime et privée, en continue et rendue très douloureuse des armes et armements employés à cette cause, s'ils sont poussés à des degrés mortels de leur puissance, provoquant nuit et jour des blessures constantes qui pourraient s'avérer de ce fait très prochainement mortelles si maintenues à tel degré de violence et de constance, la violence physique ne tue, inconscience irresponsable et opiniâtre que ces impétrants se font.

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