dimanche 7 février 2010

Suite à mon implication,en tant que victime, dans un trafic de traite d'êtres humains, dont le proxénétisme, (cteurs en états second employés, surtotu moi-meme, dans films, raptés à tout moment de leur vie intime pour scènes de violences réelles dans films historiques, rémunérée aux services hospitaliers et à ma famille, sans aute rartie pou r moi que trépanations après cures d'électrochocs "afin d'effacer ce qui ne s'est vu" aux quatre coins du monde, envoyée en coma et vêtements de enttoyage de mon apprtement, ou nue sous une robe de chambre caramel chamarée de satin à longue traine, déguisée en vêtments de rincesse ds temps anciens dans les hauts milieux chics et artistiques à Paris, jusques dans ceux de l'Elysée, rendue inconsciente d'un état second sous anesthésie après lobotomie, rapatriée par on ne sait combien d'assossiations humanitaires, ou sur ma demande expresse, ayant eu ce seul réflexe de survie, engrossée, en état d'agonie)de secteurs hospitaliers, en interventions constantes à mon domicile, devenu leur boui-boui, lieu de prostitution et d'amusement, forcée en appartement, mi-même entre-temps traitée en prostituée déclassée, après avoir été employée en "pute de salon" pour mon travail d'écrivain, et dès maanissance dans les jeux du cirque, lancée nue nouveau né sur planche tremplin, en état d'agonie toujours, mourante plusieurs fois, relevée d'onne sait combien d'accidents graves, trépanée on ne sait combien de fois pour couteaux de cuisine, poignards, plantés dans mon crâne, on ne sait combien de balles et décharges dans el crâne et dans le corps, ainsi que piques de trente centimètres en fer plantées dans abdomen, dans le fond du vagin, coulissées dans le crâne, y compris de mon chat, "parties à coulisses" repoussant de la pique enfoncée par le dessus du crâne de mon chat mourant, la peau du dessous de son menton, le cerveau transpercé, ce pauvre animal et moi-même trépanée d'on ne sait combien de faisceaux de nerfs pelviens, à mon domicile, après avortement illicite causé cette semaine par tabassages jusqu'à la mort apparente par aimants élctromagnétiques, au niveau du bassin et des reins(où j'a perdu 4 bassines à vaisselle de mon sang) par implants très douloureux génitaux lombaires et cérébraux, brulures graves cusées par engins de guerre nucléaire à rayonement puissant d'ondes Gamma, (tests d'armes d'infanterie de poing et gros engins de guerre), chambre de sado-masochisme pour leurs étudiants, maison d'entrainement répressive,où mon père fait office de mari protecteur, parfosi en état de meurtre, ou "ferme d'abattage", où je devrai rentrer dans le droit chemin,à lamoindre rébellon, de cette prostituion, dont trzfics multiples, de cobayage humain forcé, devoir de Service du travail obligatoire, exploitation de type Camp mao, plusieurs pavillons appelés à me faire respecter cet ordre,avec interrogatoires par électro-analyses, narco-nanalyses, électrodes dans les zones génitales, maints supplices et tortures dans le pièces jointes, décrites. Secteur médicaux, dont les pavillons de force, usant de l'impunité" de la blouse blanche, autre robe de noblesse de robe,pour agir en complicité étroite avec le Force de la police, le corps des pompiers, la médecine généraliste, par esprit corporatiste des corps médicaux appelés à vérifier mon état de santé, et à me venir en aide, eux reproduisant les faits dénoncés, par tiers, témoins scandalisés, en volonté de me porter secours, voyant que je vivais "la chambre fermée" à mon domicile depuis des mois, sans aucune autre raison. tout appel de tiers qui sera fait à ces services ne serait-ce que par vérification des faits, ou en vue de négocier, suivi de représailles pouvant être mortelles.


Protégeant les sévices, tortures de l'inceste, que je subis depuis que je suis ée, des viols à violences thérapeutiques en collège et réunion, au sein de ma famille, protégeant ces pratiques, et de ses collègues, sur ordre d'un parent, mon propre père, mon protecteur initial, soutenu de pavillons, chefs de services etleurs équipes, père initiateur de ce genre de "Folies" sur Montpellier.

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