jeudi 25 février 2010

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N'étant ni sous aucune mesure réelle de placement, ni ne mesure de suivi à domicile, ni de maintien en appartment thérapeutique, mesure disciplinaire, et pourtant traitée à domicile tout autant que dans éjour discipliaire dans départments de santé mentale, selon les modalités d'nterventions qui se pratiquent de nos jours,calquée ssurels torture spraiquées dans les interntements à l'étranger (Turquie, Asie, Amérique et "vol au dessus d'un nid de coucou,leur film favori, roumanie) je vous ai confié des écrits concernant une affaire d'usage illicite de la médecine psychiatrique dans des pratiques du proxénétisme communes à des secteurs hospitaliers, sur simple demande de pères et mères de familles à structure familiale basée sur la mère maquerelle et le père sinon führer, du moins père patriarche de type taliban, iranien, ou pakistanais, se calquant sur ce pouvoir hyperrépressif, parents protecteurs et leurs complices, obsédés par ce pouvoir du CHR d'intervenir dans le domaine privé à des fins de parties de stupre vénal et donc à des fins de constitution par leurs services, de prostituées sur exigences de leur famille, pédophile de ce système de corruption, en aficionados adeptes de cette dépravation hospitalière, contraintes par ce genre de macquage à des médecins véreux, crapuleux assez pour instituer ce droit de fait d'interventions constantes au domicile, dont ici, le mien,issue de milieux pédophiles de l'enseignement, adeptes de ce type de pédophilie psychiatrisée sur enfant martyr, pour infliger de séances d'électrochocs, électrodes en tous genres, jusqu'à la cuisson de système nerveux et cérébral,destinées à en continuum le tabasser, digéré de plus par imbibitions forcées de salives d'autrui destinées à le digérer, dans un but d'obliger et de m'obliger, à ne point leur résister, quitte pour eux à soumettre à des exécutions sommaires si refus de céder aux rites obligatoires de la prostitution dite ensuite libre,et pratiquées depuis les dernières lois de Sarkozy, en appartement, sans préservatifs, prostitution à déviances sexuelles contre-nature dangereuses pour la vie et la santé, parties de torture à thèmes et trips des plus fascistes dites de snurf, médicalisées, avec actes maints de défiguration, vitriolage de produits nocifs du corps et de la beauté de ces femmes, condamnées pour ces agissements au célibat, sous prétextes de placements d'office, le plus souvent, mesure de protection administrative de la personne en milieu dit protégé, à l'usage illicite de la torture psychiatrique des plus fascistes poussée à des degrés de violence et de crémation du système nerveux (ensuite dépecés le sujet encore en vie, systèmes cérébraux dont certains déclarés ainsi


que le mien au départ de l'affaire, de très fort potentiel, donc anormal, décrété anomalie), tels qu'ils peuvent devenir meurtriers, placement le plus souvent affabulé et prétexté pour plus de liberté dans ces agissements dont soumission à la consommation forcée de porc, très enlaidissant, de la chevelure, brulure du sexe à titre répressif, affamement, privations de nourritures essentielles à la vie, auto-alimentation notamment en viande et surtout viande rouge, très prohibée, alimentation des victimes tolérée si seulement expressément, exclusivement sous régime sans protéines d'une l'alimentation forcée à base de viennoiseries grasses sucrées et salées, (croques-monsieur, et autres ) de pâtes et de pâtées pour chat par intubation, parfois jusqu'à a sur-nutrition des années maintenue, méthode issue de celles de Mussolini, malbouffe destinée à bruler, cuire,dessécher,autre procédé de crémation, digérer les protéines des chairs par l'abus de graisses et de sucre, carençant, obligation en continu au régime sans résidus destiné d'ordinaire aux examens coloscopies, régime en ce cas employé dans un but de cancériser, seule nourriture par ces bourreaux tolérée, car sans fibres, ni légumes, ni fruits, privation de sommeil, de biens vitaux et nécessaires au confort,qui leur est reproché trop bourgeois pour elles, restrictions en complicité avec des organismes de tutelles tels l'UDAF, inflictions arbitraires (sous un prétexte de devoir de substitution envers des victimes de violences), de punitions médicalisées pédophiles telles injections d'anesthésiques à cul nu en public, destinés à des séances de torture électrique, employées par les services médicaux en opérations du cerveau, imposition de nourritures contraires à la santé, forme de brutalités supplémentaires, tortures, sévices institués à tire de punitions corporelles, châtiments corporels arbitraires des rituels orgiaques pédophile encore en vigueur, envers femmes, filles émancipées, donc décrétées "pas sages" si non filles faciles, sinon en devoir d'être et rester filles tenues, de ces pratiques de la torture et méthodes policières pouvant aboutir au suicide contraint sinon le meurtre dans d'atroces souffrances mentales et physiques de la victime, ou à la pousser à l'homicide par légitime défense de leur mac, ainsi qu'il en est pour ma personne, en état de bourreaux depuis la petite enfance de leur victime, affaiblie physiquement de surcroit, d'inflictions en continu de narcotiques puissants, cuisant les chairs disloquées en plus de la cuisson de l'organisme due aux décharges violentes de courants électriques donc, des massacres, officiellement et rituellement déclarés inexpliqués et subits, incompréhensibles, les instances juridiques, les forces de la police, protégeant sciemment les faits, contraignant au règlement de compte meurtrier. Tentatives d'homicide auxquelles je ne sais par quelle résistance physique commune à ma famille, j'ai survécu, certaines décédées à cette heure de ces violences, ou rendues à la vie très diminuées. Mon appartement devenu leur "ferme", certains pavillons psychiatriques usant de telles méthodes envers certaines de leurs protégées dites "rétives"au métier, autrement-dit, leur maison d'abattage, d'entrainement, ou dite de correction destinée à contraindre sous le viol continuel, l'usage en continu de la torture électrique et psychiatrique, à se soumettre aux lois du macquage flicquant ,proxénète, lois de droit de fait destinées à établir depuis 1900 sur la France ce type de dictature régnant dans l'immobilisme social et la peur du psychiatre générée par ces secteurs médicaux institués en organes répressifs des pouvoirs établis, assez cyniques, machiavéliques et mafiosi pour "s'amuser à faire du fric, dans ces formes de placements d'office non déclarés, ni au préfectures, ni à la sécurité sociale, argent au black dont ils sont rémunérés, faute de budget plus conséquent, en cause, les suppressions des financements et subventions en provenance de l'état, sic, pour leurs abus et crimes contre l'humanité rituellement traditionnels en tous milieux, déjà connus en prolifération,dans les domaines de la psychiatrie, milieux pro-soviétiques très éthyliques, d'une supériorité raciale insupportable.

Peine capitale de nos jours encore exécutée,au sein des hôpitaux psychiatriques et généraux euthanasie imposée, infligée destinée d'ordinaire aux vieilles personnes anciens résistants et femmes âgées au sein des maisons de retraite capables des pires meurtres prémédités et violences létales, dont, sur ma personne, non en âge de 65 ans requis pour ce droit à l'exécution capitale dans ce genre de conditions de camps d'extermination, soumise à cette heure à cette décapitation lente commise sous le bâillon chimique de la chape de plomb totalitaire du médicament neuroleptique, le fameux traitement de la torture chimique commune à tout prisonnier politique de ce régime d'années de plomb, afin d'éviter tout ébruitement pour en partie, des faits et agissements pierre d'achoppement de ce livre, Judas, un denier de mes inédits.

Peine capitale tentée entre autres sur mon chat, trouvé rebelle car doué d'une forte intelligente presque humaine, tabassé longtemps aux électrochocs autant qu'être humain, sachant que le crane d'un chat est de taille beaucoup plus réduite que celle d'un être humain, donc, laissé souvent à l'agonie de cette torture, réveillé par vétérinaires intervenues à temps pour lui à mon insu, tabassé quasi à mort à nouveau moi-même autant, par intervention de ces plombières électriciens des départements psychiatriques, en visites constantes sur les appels de mauvais éléments, lui, crucifié longtemps sur cette croix du chat du film 1900, jugé inutile si je devais être exécutée. Tentatives répétées d'exécution de mon chat pris en otage brulé plusieurs fois ces dernières années, jusqu'à l'odeur de viande frite des son crane et de jus de viande, son sang.









Dans mon cas, ces prétendus soins réglés par paiement avec sa carte vitale et au nom de ces dits soins qui lui auraient été pratiqués, en fait, sur ma personne, ou par ma propre carte vitale, ou bancaire, et de mutuelle, par mon propre père, tyran familial, despotique et possessif,( au point d'avoir tué froidement, ma mère en famille, de représailles et méthodes totalitaires similaires, ma mère depuis sa première grossesse sur le point de le dénoncer, fuir et de le quitter, ce qu'elle avait tenté maintes fois,sans résultat, dépressive depuis ses dépressions-post-natales, femme battue autant que moi-même de ces méthodes de torture dans ce foyer là, cancérisée mortellement de ces exactions,mon père ayant fait appel aux mêmes services dits médicaux, personnels psychiatriques et leurs sous-fifres, des voisins de la famille, destinés à assurer entre autres flicquages, le devoir conjugal, la fidélité des femmes dans les couples, et le renoncement au divorce, dit le licou, la corde au cou), ainsi que par ses anciens collègues et relations de travail, anciens enseignants présentant les mêmes types de troubles mentaux que lui, assez typiques de l'enseignement..



L'acte de cannibalisme qui reste traditionnel dans cette famille, m'aura poursuivie jusqu'à aujourd'hui, mon père le pratiquant, après y avoir perverti ma mère, souvent hurlante d'horreur, dans un état de lamentations, de cris véhéments, déchirante d'horreur face aux crimes qu'il aura en famille commis, elle trépignant d'impuissante puis vite matée, me forçant à consommer les nerfs, lobotomies, centres nerveux de l'amour affectif et de l'amour physique qu'il m'aura faite amputer de médecins, neurochirurgiens qu'il aura rendus complice de ce drame. jusqu'à un jour de banquet en famille, le plus souvent selon la superstition chrétienne, à 13, consommer des pâtés de tête de mort, selon des préceptes païens de profanation des rites de la religion, accompagnée de crises de ces types de meurtre envers ma personne, devait figurer en tant que Christ à crucifier sur la croix de Marie-Madeleine pécheresse, qui selon leurs préceptes, devait rester mon double, qu'ils condamneront des séances d'électrochocs décrites, suivies de lobotomies des zones brûlées le plus souvent chez moi, le dessus entier du crâne, celles des dolichocéphales sur lesquelles il semble faire une obsession, l'obsession nazie à l'encontre de cette bosse du crâne, l'opérant à la rendre plane, dite brachycéphale, cuite aux électrochocs à l'odeur de steak génital frit. Je le soupçonne, à l'heure actuelle, ce type de démon qui chez lui avec l'âge s'amplifie, de m'avoir faite intuber d'une partie de mon foie, après l'avoir voulue disloqué ne réséquée en tranche de cette viande de génisse d'ordinaire, de veau, ou d'animaux, pour être de la taille du morceau de chair de foie qu'il m'a ostentatoirement présentée, dans mon coma épileptique, suite aux décharges de courants, avant de la cuire et de me l'enfoncer dans l'œsophage, autant que coin de l'affiche d'Amnesty International, afin de me punir de n'avoir encore eu le cancer du foie de ma mère, qu'il me reproche ainsi aussi, ou bien d'une tranche du foie de ma mère qu'il aura opérée, je pense qu'il s'agirait plutôt du mien, tranche arrachée au scalpel en tranchement à la va-vite tant je devais être à l'agonie de cette opération, en zigzags dentelant son rebord, à son odeur génitale, extirpée sous endoscopie, s'il ne s'agit en plus de mon utérus, encore à la dernier radio-échographie, sain, qu'il aura tabassé jusqu'à sa demi-cuisson durant des ans, qu'il m'aura amputé d'une hystérectomie (en vengeance de son cancer de la prostate ablavée depuis longtemps), pour l'avoir eu soupçonné encore une fois enceint et voulu faire gouter pour me punir à titre de position sexuelle d'avoir osé être aimée d'un autre homme que lui, d'aimer d'amour et d'amour physique aussi, un homme, punie des électrodes et lobotomies pour cet amour également cérébral, qu'ils m'aura refaites, lors d'une pièce de théâtre sur le texte de Bertold Bretch, que j'ai jouée, et encore ces derniers temps, me punissant pour tout acte littéraire,création artistique que j'aurai eu depuis mon enfance... Il m'aura menée de ces opération cérébrales et excisions de mes longs nerfs, plus d'une fois à l'agonie, du moins très souvent. II persiste à me dépecer encore vive de mes organes vitaux, cœur, foie, par moments la rate, utérus, et le cerveau,organe favori, selon les rites ancestraux connus des premiers cannibales, je crains le pire. Son but essentiel étant de faire passer ma vie entière sous ce genre de vengeance pour toute possession de l'amour par électrodes, amputations, usure de ma nuptialité et des tissus de ma jouvence maintenus sous électrodes jusqu'au vieillissement prématuré de mes tissus. Sa famille le protégeant contre tout placement en maison de retraite ou en pavillon fermé, en me les infligeant, que quiconque, appellerait qui serait témoin des ses actes, qu'il dit ne pas comprendre ensuite, tenterait afin de me me sauver la vie, de ses représailles continuelles, qui ont débuté avec le début de ma vie, depuis un certain temps, afin de m'interdire toute relation, y compris amoureuses . A mon avis il ne s'est arrêté à cela, il me semble, dans un autre coma épileptique, sur le moment du réveil, à mon domicile, d'où les infirmiers partent sans m'avoir réveillée , laissée encore sous effet de l'anesthésie, non règlementaire car pratiquée à domicile, à la surveillance du père, l'avoir strictement vu, consommer un de mes nouveaux nés, qu'il aura cuit autant que poulet, après me l'avoir fait extirper à mon insu, mes dernières grossesses cachées peut-être sur sa demande et ensuite celle d'un psychiatre, ou sur une de ses lettres un laboratoire d'analyses chargé de réaliser un de mes tests de grossesse l'aura niée ou il m'aura faite avortée de quasi nouveaux-nés, tant les fœtus proches de la naissance, ou il aura tué et congelés ces bébés une fois nés à mon insu, ni sans que je puisse sur le coup m'en douter;. Dans ce carnage, il m'aura également contrainte, dans mes comas, à absorber des morceaux de lobotomies, dont j'ignore si certaines, étaient des miennes. peut-être des siennes, car il aura eu été lobectomisé plusieurs fois et traité pour ces faits, à tel point que parfois il ne se rappelle de rien.

Il aura également conservé longtemps à ce que j'ai pu en constater dans mes demi-coma, certains de mes anciens nouveaux-nés au congélateur, pour les introduire à l'heure prévue par des assistantes sociales de me restituer une de mes dernière s filles, les corps congelés des bébés, pour ensuite me les présenter, toujours congelés, en les plaçant sur mon pubis, une fois relobotomisée pour la circonstance, d'avoir eu osé enfanter, sans son avis. enfants qu'il n'aura jamais eu voulus de moi, car il n'en était le père. Il passe depuis son temps à constamment forcer la baie vitrée de mon rez-de chaussée, afin de venir soit me narguer, soit me défier de persister en ce qu'il refuse, soit pour m'opérer, à ainsi que chaque jour, passant son temps à s'introduire à mon domicile accompagné de ses amis, collègues équipes de personnels infirmiers, et médecins, sont il se fait des relations amicales durables. Sans compter les maintes retailles du bout du clitoris, tellement électrocuté jusqu'au fibrome, que son amputation aura été nécessaire, fait qu'il reproduit à chaque tentative pour moi d'entrer en relations avec un ami dont je pourrais prendre plaisir.

Pour avoir osé avoir une activité sexuelle et amoureuse avec un amant et avoir été soupçonnée de rapports, en tant qu'handicapée mentale donc devant restée castrée de toute sexualité et de l'infantilisme obligatoire du statut de l'enfance handicapée en fonction de mon opinion et mes activités artistiques, interdit,(sous peine d'obligation sous peine de mort psychiatrisée,et de soumission sous le proxénétisme hospitalier, à la prétendue prostitution libre), d'avoir eu pour amant un de mes médecins, après enquête sur ces relations présupposées de plus de deux ans d'interrogatoires massifs sous décharges électriques, à mon domicile, par intrus s'y introduisant autant que plombiers, pour avoir rédigé les textes de mon dernier blog Eclipse2, pour avoir été soumise ma vie durant à des pratiques pareilles de la médecine, la torture mentale et physique légalisée, banalisée, j'ai été après rapt sur la voie publique et maintes fois été soumise aux viols de psychiatres déchainés sur mon corps, aux lobotomies de quarts de cerveau (mis dans ma poubelle) l'un sur le dessus de l'encéphale droit, après arasement du dessus de cerveau, que j'avais beaucoup plus volumineux, ablation de l'arrière du cerveau, rendu brachycéphale, en forme de ivre demi-fermé our mes livres déjà édités et celui à paraitre, "Judas", ceci, procédé de parties de viols à snurf systématiques quand elles précèdent toute lobotomie à titre de vengeance envers mon opinion sur ces pratiques, ainsi qu'envers mes engagements humanitaires, politiques, et convictions non religieuses, parties de torture à électrochoc jusqu'à les rendre en corne séchée, ablation de ce fzit de plusieurs de mes nerfs sciatiques, dont certains relatifs au plaisir, torture électrique des intestins jusqu'à ce qu'il parait, l'ablation de dix centimètres d'intestins grêles pour leur cancérisation, suite à un régime alimentaire intubé intempestives contre mon gré depuis le début de l'été, à base de malbouffe capitaliste, destiné à les cancériser,piquée aux neuroleptiques des années et en overdoses ces temps derniers à titre de sédatifs,et de bâillon envers toute lucidité que j'aurais des faits, ne voulant que je m'en aperçoive, courses poursuite dans la ville entière afin de m'infliger ces représailles, contre façon du casque électrique de de la peine capitale, tentatives multiples et répétées ces dernières journées de meurtre par électrochocs sur ma personne par personnel affecté à cet emploi, intervenant sans placement officiel, à mon domicile, en constante intrusion et forçage des portes de mon domicile, pire que l'affaire cleastream, m'éblouissant de lampes de poche et feignant chez moi la folie dangereuse,pour mon opinion, que vous connaissez, gavages et avec salives de ma mère, décédée, ainsi que viols organisés avec participation de mon père, dans les pratiques défloratoires de l'excision en Egypte, amputations répétées de l'extrémité du clitoris, sectionnée, cette dernière nuit, au cours précisément, de ces orgies de psychiatres et neurochirurgie proxénètes. tous plus ou moins, adeptes du führer, dont certains,officiers des secteurs disciplinaires appelés pour la cause, en salut hitlérien face à une statue de la vierge posée sur le buffet de mon appartement, pour la circonstance. Ce que l"on dénomme, un discours confus. Avec l'accord des pompiers qui y sont allés en visite annuelle des étrennes, de leur appareil à électrodes à détenteur, dont la détente et celle d'une arme à feu, pour le fait que je leur ai eu signé un chèque de dix euros, quand ils s'attendaient à plus. sous les provocations incessantes, de provocateurs du FN, certains psychiatriques appelés à la chaine le long de ces dernières journées, n'ayant hésité à tenter de me crever un œil, par culture lepéniste de la pose d'une électrode sur l'orbite, brulant mes paupières, pose consentante, heure après heure, durant ma vie entière, des électrodes de ces électrochocs, sur toutes zones du crane, qui recèlerai selon eux, une hypertrophie, en fait un cerveau développé. sur la visage, afin de le défigurer, séances de ce genre de groupe électrogène dans l'usage de la torture électrique, pose donc de ces électrodes sur mon corps, sur mon crane, jusqu'à la cuisson des chairs, du sang, rendu tel jus de viande frite, fusion de lobe cérébraux ayant giclé en crème de cerveau à travers un orifice pratiqué d'un coup de laser, c'est dire la puissance du groupe électrogène. Électrodes-parties dans la vulve, grillée à vie, grillage de cervelle assurée entre-temps, jusqu'à n e tumeur des petites lèvres, du sexe, et l('amputation répétée, de la chair et des muscles,d 'une grande lèvre, régulièrement réduit en fibrome. Cette nuit encore, introduction d'un doit dans mon conduit annal, après l'opération du quart de cerveau supérieur, afin de me prouver, combien ma vie durant, je l'ai eu dans le zob, violée d'un doigt d'honneur jusqu'à ce que vienne le plaisir, le viol ayant été déterminé viol, si sans plaisir, violée par mon propre plaisir causé de ces stomisations, amputations de nerfs secs et amputés du sommet du crane, aux pieds, extirpés, en les tirant par un orifice pratiqué sur le dessus du crane, dépecée de ces nerfs dès qu'ils auront eu repoussé.. soumise ensuite à des viols par masturbation forcée aux plaisirs saphiques de lesbiennes venues spécialement s'introduire à son domicile, pour également me narguer de ce viol, Le secteur de santé mentale 2 se débrouillant pour m'interposer, après maintes enquêtes et tortures destinées à connaitre mes talons d'Achille, toute pratique médicale, sociale de la torture qui serait un viol, et me serait un viol, pourrait me pousser soit au suicide soit au meurtre, afin de m'imposer des supplices vénaux, jusqu'à obtenir aucune résistance à ces viols, ni aucune réaction, eux tendant l'oreille entre mes fessiers maintenus écartés pour feindre le fait de n'entendre plus rien c de moi, contre ce proxénétisme. Un ex-concubin appelé, un psychopathe que j'avais hébergé, afin qu'il me fasse la loi, me soumette à ces viols qui m'auront été reproché pour leur indécence, en fait prétexte, par ces parties de meurtre par électrochocs et condamnés par ces lobotomies. condamnant le viol chez la femme, par ces méthodes totalitaires.

Médecine psychiatrique police politique, junte de psychiatres sur la région de Montpellier, en constitution de prisonniers politiques, (dont je suis), usant de la démence œdipienne d es pères et mère se famille,s dont le mien, instaurant de le devoir chez les filles, d'inceste, et de pratiques pareille de l'inceste. le père revenu le lendemain matin, ce matin même, me revioler, tripoter, narguer de ce fait et laisser dans l'orgasme causé, le système nerveux résistant à ces actes de caresses, tué net ou à la longue, amputé, nerfs de la résistance physique et de la douleur causé par la résistance au plaisir physique imposé, avec soumission au masochisme, aux parties de sadomasochisme, dans mon appartement réduit à chambre de ce type de sado-masochisme. Père devenu mon proxénète, me soumettant en complicité avec ma famille, à ce genre de parties de stupre et de torture et de stomisations sur sa propre fille qu'il confine la situation de la fille forcée, autrement dit, sa fille de charme, qu'il dénomme, sa"danseuse nue", amputations des plus diverses d'organes et zones de mon corps, sous peine de mort destinées à me faire réfléchir, me soumettre à aux orgies de ces messieurs, sous l'étiquette de la démence dans ce logement devenu maison d'entrainement,sans quoi... Crises de führers venus spécialement, certains l'ont avoué,en sauterie récréative, "si l'on ne peut plus s'amuser à bouffer, s'étant faits payer grassement pour ces rites de Montpellier, les "Folies" du gratin. s'amusant dans les heures creuses, à torturer mon nez d'électrodes et radiations des lus cuisantes, avec une instance maladive durant de heures, interdiction de toute nourriture, avec intervention à mandales violentes, introduction de vomissures dans mes sandwichs, masturbation de l 'officier chargé de me contrôler, avec la tranche de viande que m'avoir servi un restaurant, en plein restaurant, viande laissée au gout de viol, d'une odeur puissante de sardine, dans mon assiette, après maintes gifles, pratiques destinées à me maintenir à jeun, avec filage de train, anté opération du cerveau préméditée.

Initialement viols avec violences moyens de chantage à a main armé, destiné à me faire taire et accentuer la violence des tortures imposées, , jusqu'à ces dernières parties de beuveries à scènes publiques et privées de proxénétisme, orgies de violences voulues étales, au cours d'interrogatoires à Penthotal et Tranxène destinés à m'exacerber dans des récits continuels sous provocations incessantes de violences physiques graves destinées à me tenir, pouvant de ce fait faire accroire à la démence et invitant des médecins d'extrême droite et d'extrême gauche en opposition violente et très répressive à mes opinions, sciences humaines et écologie humanitaire, mouvement éradiqué dès mai 68, sous prétextes d'idées de gauche décrétés démence typique, éradication quasi totale de ce mouvement antitotalitaire , de méthodes totalitaires identiques, dont je suis actuellement, un des rares militants sympathisant, à être autant combattu, médecins crapuleux fanatiques usant de leur fonction et de ses appareils médicaux dits de thérapie, sur vol de certains mes écrits jugés compromettants si publiés, usités en circulation dans de multiples pavillons psychiatriques, en tracts anti-gauchiste, pour instituer ce droit à la torture sur ma personne,destinées à me faire réfléchir, sur les inversions des responsabilités, commune aux répressions faites aux femmes battues : je lui institue la répression, si l'on persiste à la torturer, inversion typique des faisceaux hitlériens, me faisant payer leur fautes selon les critères religieux, m'instituant le service du travail obligatoire en fonction de mes opinions et dites origines décelées sur mes aveux durant actes de cuisine, juives, et me faisant travailler sans rémunération aucune, sinon les tortures, dégradations corporelles (voulues pour dégradation envers le Dreyfus que je leur étais, puni pour se rétracter de ce "j'accuse" auquel il aura été acculé), et de la dignité humaine précitées, liées au statut d'esclave que le statut d'handicapé que très tôt l'on m'a opposé, (objet des racismes , discriminations raciales, ségrégations sexistes et violences raciales rituelles communes à ce statut), leur représentait et pour lequel l'on m'a revendiquée débile, pour plusieurs partis politiques firmes et organisations, me raquettant de ces méthodes obsessionnelles pour obtention de textes reproduits, maintien de ma vie privée dans l'abstinence et le rapport forcé, l'absence d'hygiène, la sur-nutrition, la soumission aux formes obscènes, l'apparence typique des critères de la démence invoquée, ma famille menée de ces pratiques intestines d'adeptes fanatisés, à s'entretuer, par l'entremise de la torture médicale réputée farce, pouvant s'avérer meurtrière, ainsi que cela s'est produit, envers certains de mes parents. dont ma propre mère, mort qui 'est tant reprochée que reproduite par pur abus sur ma personne (invasion diurne et nocturne d'individus casqués de casquettes d'officiers aux saluts hitlériens des faisceaux face aux murs meubles et miroirs, salut auquel mon père avait été durant ma jeunesse, conditionné, puis traité en fonction de cet engouement, à prescrire des cures d'électrodes en continu, du relai des établissements médicaux contactés sur racolage de cette locataire irresponsable dont les extravagances de sa maladie, sont cause du diagnostic de démence invoqué au moindres de mes plaintes et récits, voisine de l'étage au dessus de mon appartement, démente, persécutions aboutissant à de multiples tentatives par jour de meurtres sadiques (par cancérisation à force de :injections préméditées létales de produits pharmaceutiques, irradiations d'appareils puissants, empoisonnements aux métaux lourds dont césium en pastilles destinées d'ordinaire aux scintigraphies, puis, chimiothérapies imposées depuis une nuit, empoisonnements aux eaux d'égout, déchets humains, ordures imbriquée, venins d'animaux, nourritures cancérigènes, récupération de mes déchets alimentaires et vieux produits d'hygiène corporelles que j'avais jugés dangereux jetés, délaissés, donnés,périmés, dans le but de me contraindre à les consommer "juqu'au bout", en punition de mes sympathies écologistes, intoxications pouvant s'avérer mortelles sans purge de l'organisme par électrochocs, pratique répandue du DAR, centre anti-poison, privation de sommeil et de nourriture, d'eau potable, depuis les fêtes de la Toussaint, date du dernier congrès de l'extrême-droite, liée à une réaction à la venue en France de Poutine et date anniversaire de ma naissance, pour mon malheur. en ce qui concerne mon père, les familles qui le soutiennent dont la sienne dont je suis strictement exclue, qui reproduisent sur ma personne ces faits, après les avoir imposé à l'on ne sait combien de leurs victimes, dont ma mère, la propre mère de mon père, père dictateur dominateur démagogue en déni d'éthylisme, d'intolérance anti-féministe et censeur de mes textes, écritures et publications, induit dès ma jeunesse au salut hitlérien des Faisceaux, soigné en conséquence des violences qu'il imposait, racolé à ces fins sur appels délateurs, manipulé par médecins, répressé de violences tortionnaires par la justice et la médecine, forme d'emprisonnement par soumission à des névralgies pouvant lui être fatale, se retourne contre moi, s'en venge sur moi, pour les douleurs extrêmes qu'il a endurées, longtemps maintenu sous ces répressions d'activistes, (quand je n'avais réclamé pour lui que son obligation à des soins) par représailles entre autres celles de plusieurs très gravement lésés, torturés pour le fait d'avoir été médicalement placés ou punis par la loi, et tentatives maintes d'homicide, famille en autres sur la région régissant en organisation associative clandestine (sous prétexte officiel, d'associations de la libre pensée, de parti radical qui issus du parti communiste, se fascisent) la vie civile d'une population féminine,, où face à ces exactions pratiquées en cercles de tortures, qui ne doivent rester que sans réplique, l'on se passe de commentaire. commentaires que je leur toujours eu opposés, ce qui me vaut ce surcroit de violences, tortures et abus infligées sinon dans le but politique d'un type arien de l'apartheid, sinon celui du profit, de me contraindre à céder à un trafic de drogue en réseau tenu par des fascistes de tous bords, m'en voulant la consommation, jusqu'à me prostituer pour m'instituer cette addiction, me pourchassant dans traques dans la ville et la région, m'imposant le devoir de fuir de tout logement et lieu de passage ou la mort rapide. faits dénoncés dans mes plaintes reproduits dès leur réception, sciemment confondue avec des cas de démences jugés similaires, d'où la pluralité des diagnostics traités chez moi, donc, cette autre dépôt de plainte que je vous adresse.

La régression des facultés intellectuelles connue d’un certain type de démence schizophrène apparemment propre sinon commune aux populations intellectuelles, les populations lumpenprolétaiennes,masses populaires s’auto-entretenant dans une rivalité mortelle (entretenant un certain degré de morbidité pathologique pathogène et mortifère sur le sol français), avec la possession du savoir des sphères aptes à la cognition du savoir universitaire et artistique, dans une ignorance inculte analphabète irresponsable de dangerosité du fait de cette ignorance, imputée aux classes de l’intelligentsia, et culturelles, dans le cadre d’une paupérisation du savoir culturel national, propre aux propagandes populistes de pouvoirs dictatoriaux, d’extrême droite, pro-soviétiques, totalitaires de tous dictats présents sur le sol français issus de l’immigration choisie et toléré pour ce fait, récupéré par la société et les pouvoirs établis, l’acculturation de principe des masses nullement promise aux diagnostic de régression intellectuelle, ces classes n’ayant jamais atteint un niveau de QI et de cognition suffisant pour se voir régresser à un degré d’arriération (n’excédant le diplôme du BEPC, sinon dans la commune mesure, le niveau CP, voire bac à sable de maternelle autistique repris dans une rationalisation minimisante révisionniste des temps “classes sociales fermées, bouchées” ) auquel elle s’est toujours bornée,norme encore à l’heure actuelle normative du degré de savoir culturel et universitaire de la société,saboté d’un travail de sape des luttes des classes sociales, reprises au nom de leurs propagande populistes, par un règne des méthodes totalitaires de répression pénale usées à titre masqué de soin propre à la psychiatrie, reproduisant ce travail (dans un mercenariat commercial politique réactif aux soudoiements d’intérêts privés, de particuliers et collectifs) de sabotage des quotients intellectuels, facultés mentales et propriété privée de leurs biens intellectuels écrits, en mémoire, si subversifs , y compris en prémisses dans l’enfance des basses classes prolétariennes, niveau laminé de violences familiales prolongées des répressions psychiatrisées pour l’exclusion à apartheid social dont sont victimes ces génies, facultés mentales ramenées via les méthodes de “soin” propre à la psychiatrie, au niveau formaté sinon surdoué, de l’ignorance analphabète requise, sinon , sous l’attribution pour ces prise en charge médicales normatives des forts QI de la société, si dépourvus de solidarité familiale et de leur milieu proche, du fait d’un intolérance systématique envers ces dons et facultés mentales, sinon désolidarisés y compris au sein des couples, en vue de placements normatifs, de toute aide sociale, relationnelle, dans une démagogie générale, transcrivant les faits des violences raciales auxquelles les intellectuels de gauche sont en butte, en jargon médial spécifique des critères établis de certaines démences types, traduction retranscrites des conditions de vie véridiques, de répressions anti intelligentsia, anti- journaliste, fustigatoire de tout écrivain politique non commercial, répressions déclarées fictives, hallucinatoires, vécus irréels dits « non fondés », délires de persécution paranoïaques à mélancolie», de l’intellectualisme de gauche, modes de vie courants, leurs discours politiques, opinions éthique, philosophiques, religieuses ou culturelles relatifs aux répressions étatiques et sociales endurées traduits en termes scientistes de symptomatiques typiques de démences pour lesquels un lexique véritable devrait être établi, autant qu’envers le double langage codé Le Penneiste. Il serait intéressant de relativiser le discours du Carnard Enchainé, Hara Kiri, en cryptage psychiatrique.
Étant donné le but que je me suis donné de faire acte de journalisme sur les faits d’un détournement d’une science médicale psychiatrique à des fins commerciales, pénales et répressives, ce rôle né avec la fonction psychiatrique, dans son application empirique et les méthodes totalitaires employées en guise de soins sur droit de fait établi non licite que s’attribue cette science détournée de son but premier, étant donnée la politique sécuritaire envisagée jusqu’au sein des hôpitaux, étant donné le fait que des réaction punitives envers ces écrits de ce livre que je rédige qui me place dans les facultés journalistes d’une classe de penseurs qui m’est reprochée des accusations mensongères de démences multiples, déboutant toute liberté d’action et de pensée compris au sein de mon domicile, au cours de traques de médecins personnels médicaux, accompagnés aujourd’hui pour l’exemple public, de policiers, inspecteurs, pompiers, attestant « une évasion » que je ferais, non fondée en fait, ponctuée de lynchages en continu jusqu’à mon retour à mon domicile, de chocs électriques, au nom de préjugés raciaux envers une infirmité qui m’aura été accordée, résultante d’une part aux opérations de déstabilisation à l’encontre des penseurs de la base de gauche, d’autre part au nom d’un racisme anti-intelectuel contre tout acte de journalisme démocratique dénoncant ces stratagèmes dénoncés, traité en démence dangereuse..

Politiques, affectant jusqu’aux domaines de la Santé, dans des simulations de plans épervier non avoués, sur évasion non simulée de prisonniers politiques tel que je suis constituée sans officialité du fait, sur fichage de Plan Edvige via son accès aux fichiers médicaux (sur délations de particuliers pègres de quartiers, drogués rendus irresponsables, d’une supériorités d’esprit maladive insupportable enrageante encourageant aux règlement de compte, rixes que je subie couramment et auxquelles je ne cède, et dangereux d’éthylime,de traitements à base d’amphétamine, procédés substitutifs aux drogues dures, têtes brulées assez pour y consentir, certains pour leurs intérêts et personnels et ceux de leurs supérieurs en devenant tenanciers de boui-boui institué dans mon logement, corbeaux observateurs protégés,employés en tant qu’agents gouvernementaux des autorités, placés dans voisinages proches et immédiats, dans leur volontariat de m’infliger séances de tortures crâniennes, cérébrales, sexuelles, viscérales, musculaires et nerveuses, par engins électriques, électromagnétiques, et engins nucléaires pouvant à leur gré s’avérer meurtriers, causer des dégradations corporelles, jusqu’à une infirmité acquise, visant à m’extirper sous chantage à l’exécution sommaire, à main armée de ces appareils dits de thérapie, de contention pénale, armements militaires non prévus à cet effet, employés en contrefaçons d’électrodes et électrochocs, renseignements d’ordre privé, politique, liste de noms de mes relations, relations sexuelles d’ordre public et privé, accès à mes numéros de portable, mouchards informatiques, suppressions de fichiers informatiques, accès à la propriété de biens intellectuels servant de moyens de pressions physiques multiples, entrave à la loi et destruction de preuves pouvant conduire à l'inculpation, l'incarcération des criminels auteurs de ces actes de barbarie obscènes, crimes discriminatoires, suppressions multiples, traques au prisonnier évadé dans déplacements en trams, bus, déplacements piétons, sur voies publiques et jusques dans commerces, accompagnés de violences policières psychatrisées de cures d’électrodes pratiquées en public, exigeant déculottages intempestifs, viols avec violences, vomissements, parfois orgasme, miction urinaire et défécations publiques (dues à l’épilepsie causée par la puissance des chocs et chocs électriques selon les méthodes employées), d'où idées d'indignité, symptome de démence, défécations publiques autant que cela se pratique sur prisonniers d’opinion chinois, dénudages forcés publics encourageant au proxénétime, au viol, crimes raciaux et crimes contre l’humanité, sentiments d'injustice, décrétés schizophrènes, dans des violations exemplaires de la Convention universelle des droits de l’Homme, les profanations de cimetierres juifs que représentent sous lazzis politiques de basses classes populaires surtout immigrées haineuses de jalousie envers le style, l’apparence physique, vestimentaire, intellectuelle des hautes castes, dont je serais, de viols sur cabalets de Camardes, lazzis raciaux de parvenus pernicieux concurrenciels de matraquades psychaitriques à traques et battues de ce style, entraves à la loi et à la justice, ne serait-ce que par suppressions de preuves écrites, mentales, liées à la mémoire des faits, aux zones cérébrales pouvant en contenir les réquisitoires et leur création, inquisition totale de ma vie intime, privée, d’intervenants psychiatriques en mal de me défoncer le portrait », défigurer, avilir, contusionner, bruler intégralement autant que sur bûcher dans un procès de la Pucelle d’Orléans, (procès reproduit depui ma majorité, dont longtemps j’ai été accusée des démences et voix de Jeanne d’Arc, pour l’accusation trainant depuis le années 80, régnant sur mes opinions libertaires que je ne cache ni avoue mais revendique, opinions libertaires fanatisées (dans l’enragement systématique de fronts prolétaires et anarchistes enrôlant boucliers humains dans les embrigadements des polarités de combat), quand les miennes restent syndicalistes, qui devraient résister dans la clandestinité du maquis d’une nouvelle résistence, opinions considérées, réputées prolepénistes dans un but d’attirer répressions des fronts sociaux et factions alliées), puis stomiser des viscères intestinales roties, systèmes artériels et veineux brulés, zones cérébrales, réseaux et sytèmes nerveux, lymphatiques, cuits, sinon grillés et réduits en bouillie crémeuse, sinon calculée d’une certaine alimentation forcée préparée pour une similitude de zones cérébrales trépanées et amputées, avec mottes de smegma graisseux, dont mes couverts, verres ont été des décennies enduits, le sang des hémoragies cérébrales après réouverture des veines et artères des plages de résections après tabassages aux chocs électriques plus brulants et violents, aurait été plus évident, grillages de cerveaux pour l’occasion souvent préméditée de résections lobotomiques profitables car onéreuses, sinon à but pénal, si le sujet choisi a eu survécu. en surcroit d’exorbitation de l’oeil gauche, son extraction tirant sur le nerf optique sectionné à hauteur du fond du globe occulaire droit après son exorbitation, puis l’oeil gauche tiré en arrière extrayant dans un coulissement voulu masturbatoire ( après intubation forcée d’aphrodisiaques alimentaires tels oeufs durs ou frits en omelettes, et crèmes vanillées), les nerfs optiques quadrijumaux, “replacés” discrètement après rapt sur la voie publique, après trépanation aux césures invibles sous la chevelure). Longtemps les mouvements et crises identitaires (qui devaient rester confidentielles) de partis politiques dont surtout le Parti Socialiste m’étant imputés, traduits en termes déontologiques de symptomatiques liées à l’aliénation. Chaque crise identitaire de partis politiques (leurs particularités) de droite, de gauche, dit d’extrême gauche, ou d’extrême-droite, m’étant froidement punis (pour non aveux réitéré sous la torture,de mon appartenance réelle politique, éthique et religieuse, rançonnage de type identique à celui de la DST) jusqu’à l’incarcération non officielle, non licite, non déclarée et, psychiatrique prolongée de 30 ans à mon domicile (placée sous loi du silence prohibitive, sous mise en demeure de rétracter toute plainte à l'encontre des faits, et répressions identiques, de toute filtration, ébruitement,  transpiration, fuite de renseignements pouvant mobiliser des opinions sur l'affaire, constituer parties civiles ou comités de défense, enfreintes aux secrets d'initiés), sinon en accompagnement répressif dans mes déplacements, forme d’assignation à résidence surveillée de type Birman, prohibant de répressions sordides, toute prise de traitement relatif à infections causée par degré d’insalubrité causé de ces violations constantes de domicile, inséminations volontaire et germes, virus dont de MST suite à viols courants, et traitements contre un cancer, considéré sinon névrose, du moins mythomanie, traitement jugé non nécessaire, quand à mes fonctions naturelles, cérébrales y comprises, certaines endommagées, d’autres victimes de marchés hospitaliers, d’autre dépecées partiellement, ou intégralement pour leur prétendu dysfonctionnement..
Certaines infirmières que je remercie pour avoir osé enfreindrai ces expéditions punitives, ratonnades et tentatives vaines d’exécutions sommaires aux électrodes d’un voltage quasiment EDF de policiers, corps de pompiers et urgences, au moindre appel de témoin outré, affolé, réclamant de me porter secours, présentes lors de ces représailles, infirmières lucides de ces agissements et soubassements, ayant vainement tenté de longues négociations, d’empercher, d’interdire ces actes de barbarie multiples et quotidiens, tenus pour actes de courage et de bravoure par leurs hooligans, actes de cruautés et violations du code civil, de la déontologie.
Dans le piétinement de piétaille de soldatesques sociales travailleuses immobilisées de mouroirs sanitaires enfermant dans les sens d’un immobilisme outrancier occultateur obstructionniste évident de d’Occupation chape de plomb connue des peuples soumis aux dictatures du Moyen Orient.




En sus du complément de plainte envoyé à cette heure par courriel, veuillez recevoir l'accusation initiale qdont j'ai été débouté par amputation de cette accusation écrite figurant dans mes dossiers de plaintes, entre autres réductions en idiomes pouvant faire accroire à la débilité de ces documents, paraissant sur internet, amputations cérébrales et grillages systématiques de systèmes cérébraux, nerveux pouvant la retracer, de cures d'électrodes visant à préméditer ces amputations  rémunératrices, répressives de mes libertés de pensée et d'action, dans un but punitif d fichage méthodique de mes opinions littéraires, poétiques, artistiques et politiques encore une fois, de désolidariser toute relation en affinité avec ces opinions pouvant former mouvement public jugé aujourd'hui illicite et criminel, devant entrer en résistance jusqu'à présent vouée au terrorisme, ce jour même, j'aurai été tant que je n'aurai rompu le mutisme dans lequel j'aurai ét confinée les trois quarts de ma vie durant, mutisme respecté attribué non seulement à une démence autistique  que je ferais,  mais aussi à un silence de prisonnier de droit commun devant être tabassé s'il faut mortellement ainsi que cela s'est reproduit ce jour même, jusqu'à"à 23:39 h, d'implants électroniques vertébraux manipulés à distance d'un engin de télécommande, après injections de Penthotal,  Tranxène dot les effets secondaires paroxysmiques peuvent amener à des crises dites d'agitation par cet artifice, d'une par de l'action de ces produits, d'autre part par torture électrique sous implants électroniques certains fichés le long de la colonne vertébrale, cuisant jusqu'à l'organe médullaire de la moelle épinière, le canal médullaire, le liquide céphalo-rachidien qu'il contient entourant la moelle &pinière et la préservant de traumatismes mortels, sachant que ces tortures infliges d'irresponsables contrefaisant l'idiotie, pouvaient être portée à leur comble mortel pour ma vie, l'extraction de moelle épinière causant le décès immédiats, torture létale promise si ces implants me brulaient plus profondément, ajoutés aux colères hurlantes qui résultent des injections de Tranxène et penthotal utilisés dans ces interrogatoires sous torture électrique, hurlements de mes réquisitoires et plaidoyers extirpés par ces tentatives d'homicide en continu, maintenues assez d'heures ce soir même pour prétendre à interventions en continu de tentatives supplémentaires d'homicide pr engins non-exécution sommaire si maintenus assez longtemps, de torture électrique employées pour opérations neurologiques, du volume d'un réfrigérateur de caravane, pratiquées avec désinfection au merphène, grillant zones cérébrales, systèmes nerveux, veineux et médullaire, ou engins de torture de guerre à détenteur d'une explosion d'arme à feu de fort calibre, équivalent à tirs en rafales de balles de gros calibre, puissance des déchargés électriques brulant jusqu'à retrait de zones de matière blanche cérébrale, réduites en moelle osseuse cuite ou racornies desséchées en papier mâché, résections lobotomiques préméditées de ces cures infligée par pur plaisir de torturer jusqu'à lui aurai le cerveau reptilien à interchanger encore récemment les amygdales cérébrales, ingérées de façon forcée accommodées en civet, certaines greffées danse le corps et le cuisses, en prévision d'un rechange prochaine avec remplacement d 'os frit autant que biscuits, une personne jugée saine et valide, un travail d'emploi médical en puériculture m'étant dernièrement encore proposé, relatif à des notions en médecines, une digité de savoir déontologique recherchée qui m'avait été décelée, trépanations multiples ayant suivi afin de me débouter de tout emploi que j'aurai ou qui me serait proposé, y compris intellectuel qui pourrait ne point rapporter biens et fiances avouées, travail garanti à vie sur ma personne de cures de narcoses poussées chaque demi-heure jusqu'à l 'épilepsie si cette règle est bien la norme, pour le simple fait que je représenter la norme, tortures par aimants implantés dans les zones génitales des sourcils, arcades sourcilières, zones nasales, abdomen, préparatoires par tabassages, à une apparente agitation prévue, causée du fait des névralgies constantes, douleurs insurmontables pouvant atteindre des degrés de folie chez certains prisonniers de ce type prévus pur un internement officiel, cris, répondants, présences d'esprit, plaidoyers de procédures illicites de Nuremberdécoualnt de ces tortures douloureuses, aux hurments, justifiant d'autres inteventions neurologiqus, j'au point de brulur du liquide cépahaloradien imprégné d'uen odeur de neurones et systèmes nerveux noirs, extrêmement grillés, cuits, frits, brulurs égalemtn du liuide aminiotique de mon utérus, le sac amniotique dela denrière gorssess faisant suite aux vilsds oturemtns endurées y compris des viols demo propre père, accompagné desv iolences pré-citées, pour lepalsirpersonel qu'il en aficheet qu'i avoue, optan tpou run double langage acusatuer envers mes refus dele subir d'avatage, menaces de desuction de ma « gnose » qu'il ne saurait revoir, sufisance imbue de dicateur de famille, ser éputant souine de famille t bienfaiteur, auant qu epublicté mensongère de ottu mquerau, m'ayat accablé deprocdures ilictes à domicle d cetye, obsédé du dél d'opnion qu'ilme reproche den'être son clone, ni cleui demamèr décédée, me violant dasn un e confusion emnle qu'il affiche depuis longtemsp, confusion l'ameant à me confondr avecmmère dont u exigei tle même devoir conjugal, méthodes qui l'ont amenée à une déresivité chroniqu lubrique,incestueuse,

lubrique, incestueuse, dite libertine, orgiaque et dépravée identique à la démence de mo père, barbeau taulier séquestrateur de ma personne, à mon domicile, dont il ne veut que je sorte que sur son avis, maintenue dans une inanition préméditée, de viols couronnant chaque prise de verre d'eau, viols perbuccaux de glaires séminales issus de ces viols,correctifs, du psychopathe guettent la moindre prise d'eau potable, sinon intubée croupie, ou régurgitée sous forme de litres de glaires, tout nourriture souillée sinon d'introduction de doigt sales dans ma bouche plaine de sa dernière bouchée, maintenue n fermée en anus dans lequel mon père insémine une glaire issue de préservatifs, ou de spermes, mucosités infectes, prélevées sur ma mère, ou moi-même, me contraignant à rejet cette bouchée de nourriture, et justifiant la narcose décrétée là vomitive et purgatoire des liquides séminaux et glaires dangereuses, intubées, ingérées par la force, afin que m'en démontrer le bien fondé, torture électrique et qui se passe de fondement e de bien fondé, toue évasion que je ferais de ce logement, suivie de traques à l'homme avec plan épervier, tracts auprès de la population attirant des causes totalitaires de politique sécuritaire policière, individus et vielles femmes se donnant dans le devoir de délation de mes passages et lieux de déplacements,o où je me situerais pour en faire délation auprès des services de l'ordre, intervenant avec urgences, parfois sécurité des pompiers, sur ms déplacements bus, tram, déplacements piétons, abris bus où dès l'avis de « sortie » décrétée provisoire de pavillons fermés, ls sorties concerna des permissions de quelques journées ou heures, ou le congé d'essai, simulé ici, ainsi que l'évasion de placement d'office, sur délation mensongère y compris en provenance de mon père et de se défenseurs qu'il aura acquis de ses mensonges, inspecteurs autant que dans ratonnades SS et sur interventions fréquentes à mon domicile, selon les modes de la Gestapo, entrant dans bus, trams, accompagnés de mon père, se livrant sous leurs yeux et leur protection à des actes de débauche, viols où mon père pris de rut sexuel, vautre sur mon corps inanimé dans le coma la bouche ouverte, dans arrêts respiratoires et cardiaques, me laissant désarticulée des chocs éclectiques autant que poupée qu'il brule viole e t découpe, dont ils 'amuse, autant que de poupée gonflable, s'amusant follement de violence des appareils de chocs électriques et d'embouts de métal d'une taille de stylos percuteurs sur le recul d'une arme à feu, brisant os du visage, zones génitales des coins des yeux, des pourtours des orbites,des zones génitales des chairs du cuir chevelu, qu'il tabassage jusqu'au cœur du cerveau, jusqu'à un certain degré de cuisson interne et de broiement des chairs, voulu, appareils d e torture poussé parfois jusqu'à ' la torture létale, ris par défenseurs de la pratique de la torture et de la pratique médicale, pour un gode michet mastubateur, car parfois ces tortures ajoutées à la torture sexuelle des intubations forcées aphrodisiaques alimentaires causes de jouissance et orgasmes contraints de ces tortures, dénommées viols thérapeutiques pour les viols sexuels, sodomites,et matraquages qu'ils représentent, et sont, viols dans abris bus trams et bus de ma personne dénudée sauvagement du bas du corps, les pantalons, collants, baisés sur les pied chaussés, placée dans la position du viol sodomite « à cul nu » de la fessée expiatoire des péchés d'autrui que j'aurai subis, maintenue la tête appuyée sur siège des véhicules de transport en commun , et abris bus, une pique de 15 cm de longueur, de l'épaisseur d'u gros dard, carbonisée, en fer ou métal recourbé à son extrémité large, en sommet de colonne dorienne ou dorique, dard fiché dans un fessier voulu soit « de gros boudin », soi décharné de privations de nourriture et de sucres immédiats, poussées à l'inanition mortelle si je ne trouvais nourriture ou boisson sucrée dans l'immédiat, inanition d'autant mortelle que accompagné des coups violents de marteaux percuteurs à détenteurs, et chocs éclectiques surpuissants dans un maintien à jeun qui dure depuis la Toussaint, alimentée rament d'intubations force permises, afin que ne ne succombe, alimentation à base de déchets de mes aliments que j'avais cuisinés après avoir risqué le décès promis sur ces déplacements, aliments rendus aussitôt préparés, impropre à la consommation d'introductions de glaires, mucosités nasales de mon père s'y mouche à l'archidiacre, crachats qu'il émet après violents coups de poing qui lui sont assenés sur le dessus du crane, quand il se mouche dans mes plats, que si j'ose affamée m'en nourris tout de même , sont prévus sur appel délateur de voisinages, à régurgiter d'électrodes d'intervenants restés invisibles à mes yeux du fait d'un éblouissement de ms yeux avec lampe de poche, selon les méthodes des servics spéciaux des renseignement généraux, dénommés « plombiers-électriciens », ou de main de potentat Kaiser véritable pouvant être très brutal et violent de grandes violences, triomphal expérimentant par expérimentation sexuelle personnelle, de tenter d'oc cire sa propre file dans orgies à tourmentes et scènes de violences aggravées, scènes de bourgs qu'il croit simulées, de théâtre, où les meurtres arrêtés à la mort apparente de ma personne, agonies multiples, et décès qui m'ont faite retrouvée on ne sait par qui à la morgue maintes fois, de centres hospitaliers de laperonnie en particulier, une étiquette attachée à un orteil, ou ramenée aux urgences parfois de pavillons de force, dans un « sac à viande » mortuaire, cercueil portatif en toile cirée à fermeture éclaire, trouve ans connaissance, mourante, après scènes de fermeture de mes yeux une foi le père sur place, si violences mortelles causées hors sa présence, agonies,morts apparentes dont je reviens parfois de moi-même, encore dans la morgue, orgies à scènes de meurtres prémédités, entre amis, relations collègues et personnels médicaux achetés à sa cause sinon en sa revendication,

me faisant porte le chapeau de ses infirmités, ne m'ayant laissé une minute de paix ni de vie sans tortures pouvant à tout moment s'avérer mortelles, douloureuses, de fortes douleurs asphyxiantes, d brulures à l'agonie, pour le simple fait de d'hyperalgies lombaires de mon père, le rendant malade de jalousie de la paix corporelle que j'affichais sans ces tortures, face à lui, santé le narguant d'une pleine vitalité qu'il me jalouse encore, d'un venimeux menaçant, persiflant, outrecuidant, cuisant d'humiliades publiques, brimades longues privations de besoins essentiels et fondamentaux, et sévices dangereux me réduisant de ces fantaisies fascistes, au rang d'infime le plus souvent informe, parfois réduit au grabatérisme voulu, sur des décennies, mon corps jalousé pour le fait que j'ai été jalousée en tant que pin up faisant craindre des ravages, une fois fois laissée libre de toute contrainte psychiatrique, rendu gros, bouffi, joufflu, porcin du physique typique préfabriqué chez les mongoliens, la ressemblance frappante et décriée de risée populaires, sinon tenue pour délire de-persécution, au vu de la couleur bleue de mes yeux, frappé violemment au visage de mandales à décrocher le cerveau, de personnes intervenant es aux domiciles que j'ai occupé, ou d'appareil de contention grièvement électrocutant si fonction de ce rite d'exécution sommaire encore présent, lié à des pratiques sécuritaires de l'antisémitisme et de l'apartheid, de m'exécuter si je ne réponds chaque cinq minutes ne serait-ce qu'un hé, tortures pouvant amener à de graves brulures par électrochocs, contrefaites jusqu'à des bouffissures très rouges des joues, par irradiations violentes d'armes du contingent militaire et matériel de base militaire dont fours crématoires d'une portée de trois étages, d'immeuble, caméras infrarouges et filmant à travers parois de béton armé, ou caméras cachées, satsi de corbeaux plateforme d 'écoute autan que micros du Canard Enchaîné, ou implants, tentant de me castrer de zones génitales du visage,ou l'ayant déjà infligé dont les zones proches de attaque de la mâchoire et de l'oreille, sur violences protégées d'une jeune femme hébergée de ma résidence, de me causer fibrome de la face exigeant une ablation de la joue, vitriolage de ma jeunesse trouvée trop jolie insupportable vis à vis de jalousie féminines, vitriolant de mots d'ordre infirmiers de gaveuses sot destinés à dissimuler grossesses dont je suis maintenue inconsciente, sinon rarement lucide, sinon, par haine raciale envers la beauté, l'inanition maintenue depuis novembre justifiée sur un aveu de me contraindre à maigrir du sur-poids occasionné par gavage avec alimentation à base de féculents sursaturés de graisses saturées et animales, jusqu'à dosages mortels de trigliycérides, charcuteries à base de viandes de bas morceaux, devant orienter le génotype déterminant du sexe de l'enfant à naitre, dans une permanence du devoir de m'en obtenir de enfants de sexe mâle, on ne sait combien d'enfants sont nés de ces partouzes à tourmentes sur mon corps, en mort cérébrale, enfant que j'ai placé sur un réflexe de survie et de la leur, à la DDASS, afin que mes agresseurs , mon père, ne les exécute après longs sévices et tortures, ainsi qu'il l'a déjà fait pour certains d'entre eux, moi-même tenue pour responsable d'avoir accepté ces tourmentes,,en laissant entrer mes agresseurs, malgré la sécurisation onéreuse des portes et fenêtres qui devraient rester fermées sinon entrebâillées d'entrebâilleurs à clefs autant dans pavillons fermés;.Ajouté à la prise forcée de psychotrope retard mensuel perbuccalement, dans un but d'homicide par overdose de psychotropes et psychotropes retard, considérés simple calmants;

Dernière version :

En sus du complément de plainte envoyé à cette heure par courriel, veuillez recevoir l'accusation initiale qdont j'ai été débouté par amputation de cette accusation écrite figurant dans mes dossiers de plaintes, entre autres réductions en idiomes pouvant faire accroire à la débilité de ces documents, paraissant sur internet, amputations cérébrales et grillages systématiques de systèmes cérébraux, nerveux pouvant la retracer, de cures d'électrodes visant à préméditer ces amputations  rémunératrices, répressives de mes libertés de pensée et d'action, dans un but punitif d fichage méthodique de mes opinions littéraires, poétiques, artistiques et politiques encore une fois, de désolidariser toute relation en affinité avec ces opinions pouvant former mouvement public jugé aujourd'hui illicite et criminel, devant entrer en résistance jusqu'à présent vouée au terrorisme, ce jour même, j'aurai été tant que je n'aurai rompu le mutisme dans lequel j'aurai ét confinée les trois quarts de ma vie durant, mutisme respecté attribué non seulement à une démence autistique  que je ferais,  mais aussi à un silence de prisonnier de droit commun devant être tabassé s'il faut mortellement ainsi que cela s'est reproduit ce jour même, jusqu'à"à 23:39 h, d'implants électroniques vertébraux manipulés à distance d'un engin de télécommande, après injections de Penthotal,  Tranxène dot les effets secondaires paroxysmiques peuvent amener à des crises dites d'agitation par cet artifice, d'une par de l'action de ces produits, d'autre part par torture électrique sous implants électroniques certains fichés le long de la colonne vertébrale, cuisant jusqu'à l'organe médullaire de la moelle épinière, le canal médullaire, le liquide céphalo-rachidien qu'il contient entourant la moelle épinière et la préservant de traumatismes mortels, sachant que ces tortures infliges d'irresponsables contrefaisant l'idiotie, pouvaient être portée à leur comble mortel pour ma vie, l'extraction de moelle épinière causant le décès immédiats, torture létale promise si ces implants me brulaient plus profondément, ajoutés aux colères hurlantes qui résultent des injections de Tranxène et Penthotal utilisés dans ces interrogatoires sous torture électrique, hurlements de mes réquisitoires et plaidoyers extirpés par ces tentatives d'homicide en continu, maintenues assez d'heures ce soir même pour prétendre à interventions en continu de tentatives supplémentaires d'homicide par engins non répertoriés de soin sinon engins militaire de torture électrique utilisés en tant qu'instruments dits de soins, poussés jusqu'à 'épilepsie et l'exécution sommaire si maintenus assez longtemps, de torture électrique employées pour opérations neurologiques, du volume d'un réfrigérateur de caravane, pratiquées avec désinfection au merphène, grillant zones cérébrales, systèmes nerveux, veineux et médullaire, ou engins de torture de guerre à détenteur d'une explosion d'arme à feu de fort calibre, équivalent à tirs en rafales de balles de gros calibre, puissance des déchargés électriques brulant jusqu'à fusion des graisses extraites et badigeonner en maquillage sur mon visage, selon les fait de Hautefaye, fusion des chairs et leur cuisson jusqu'au retrait de zones de matière blanche cérébrale, réduites en moelle osseuse cuite ou racornies desséchées en papier mâché, résections lobotomiques préméditées de ces cures infligée par pur plaisir de torturer jusqu'à lui aurai le cerveau reptilien à interchanger encore récemment les amygdales cérébrales, ingérées de façon forcée accommodées en civet, certaines greffées dans le corps et le cuisses, en prévision d'un rechange prochain avec remplacement d 'os frit autant que biscuits, une personne jugée saine et valide, un travail d'emploi médical en puériculture m'étant dernièrement encore proposé, relatif à des notions en médecines, une dignité de savoir déontologique recherchée qui m'avait été décelée, trépanations multiples ayant suivi afin de me débouter de tout emploi que j'aurai ou qui me serait proposé, y compris intellectuel qui pourrait ne point rapporter biens et finances avouées, travail garanti à vie sur ma personne de cures de narcoses poussées chaque demi-heure jusqu'à l 'épilepsie si cette règle est bien la norme, pour le simple fait que je représenter la norme, tortures par aimants implantés dans les zones génitales des sourcils, arcades sourcilières, zones nasales, abdomen, préparatoires par tabassages, à une apparente agitation prévue, causée du fait des névralgies constantes, douleurs insurmontables pouvant atteindre des degrés de folie chez certains prisonniers de ce type prévus pur un internement officiel, cris, répondants, présences d'esprit, plaidoyers de procédures illicites de Nurember découlant de ces tortures douloureuses, aux hurlements, justifiant d'autres interventions neurologiques, jusqu'au point de brulure du liquide céphalorachidien imprégné d'une odeur de neurones et systèmes nerveux noirs, extrêmement grillés, cuits, frits, brulures également du liquide amniotique de mon utérus, le sac amniotique de la dernière grossesse faisant suite aux viols des tortures longtemps endurées y compris des viols demo propre père, accompagné des violences pré-citées, pour le plaisir personnel qu'il en affiche et qu'il avoue, optant pour un double langage accusatoire envers mes refus de le subir d'avantage, menaces de destruction de ma « gnose » qu'il ne saurait revoir, suffisance imbue de dictateur de famille, se réputant soutien de famille t bienfaiteur, autant que publicité mensongère de ottu maquereau, m'ayant accablé de procédures illicites à domicile de ce type, obsédé du délit d'opinion qu'il me reproche de n'être son clone, ni celui de ma mère décédée, me violant dans une confusion mentale qu'il affiche depuis longtemps, confusion l'amenant à me confondre avec ma mère dont une exigence dont il a exigé tle même devoir conjugal, méthodes qui l'ont amenée à une dépressivité chronique lubrique,incestueuse,dite libertine, orgiaque et dépravée identique à la démence de mon père, barbeau taulier séquestrateur de ma personne, à mon domicile, dont il ne veut que je sorte que sur son avis, maintenue dans une inanition préméditée, de viols couronnant chaque prise de verre d'eau, viols perbuccaux de glaires séminales issus de ces viols,correctifs, du psychopathe guettent la moindre prise d'eau potable, sinon intubée croupie, ou régurgitée sous forme de litres de glaires, tout nourriture souillée sinon d'introduction de doigt sales dans ma bouche plaine de sa dernière bouchée, maintenue fermée en anus dans lequel mon père insémine une glaire issue de préservatifs, ou de spermes, mucosités infectes, prélevées sur ma mère, ou moi-même, me contraignant à rejet cette bouchée de nourriture, et justifiant la narcose décrétée là vomitive et purgatoire des liquides séminaux et glaires dangereuses, intubées, ingérées par la force, afin que m'en démontrer le bien fondé, torture électrique et qui se passe de fondement et de bien fondé, toue évasion que je ferais de ce logement, suivie de traques à l'homme avec plan épervier, tracts auprès de la population attirant des causes totalitaires de politique sécuritaire policière, individus et vielles femmes se donnant dans le devoir de délation de mes passages et lieux de déplacements, où je me situerais pour en faire délation auprès des services de l'ordre, intervenant avec urgences, parfois sécurité des pompiers, sur mes déplacements bus, tram, déplacements piétons, abris bus où dès l'avis de « sortie » décrétée provisoire de pavillons fermés, les sorties concerna des permissions de quelques journées ou heures, ou le congé d'essai, simulé ici, ainsi que l'évasion de placement d'office, sur délation mensongère y compris en provenance de mon père et de se défenseurs qu'il aura acquis de ses mensonges, inspecteurs autant que dans ratonnades SS et sur interventions fréquentes à mon domicile, selon les modes de la Gestapo, entrant dans bus, trams, accompagnés de mon père, se livrant sous leurs yeux et leur protection à des actes de débauche, viols où mon père pris de rut sexuel, vautre sur mon corps inanimé dans le coma la bouche ouverte, dans arrêts respiratoires et cardiaques, me laissant désarticulée des chocs éclectiques autant que poupée qu'il brule viole et découpe, dont ils 'amuse, autant que de poupée gonflable, s'amusant follement de violence des appareils de chocs électriques et d'embouts de métal d'une taille de stylos percuteurs sur le recul d'une arme à feu, brisant, micro-fracturant os du visage, zones génitales des coins des yeux, des pourtours des orbites,des zones génitales des chairs du cuir chevelu, qu'il tabassage jusqu'au cœur du cerveau, (zones cérébrales sur cuites racornies trépanées ainsi que nerfs cérébraux trouvés « embrouillés » sous les chocs électriques, zone pariétale amputée, remplacée par prothèse de plastique, contrefaisant la forme initiale de mon cerveau, apparence me violant d'électrochocs assez puissants pou causer la fusion partielle de cette prothèse, prise pour la zone pariétale, qui avait té crue encore présente, tout concert dont j'ai été et je serais participante, car voix, prohibé de tabassages aux séismos des zones réputées de l'écoute, mon travail de chant contemporain fond sur la pratique de l'écoute) godes michet mastubateurs, car parfois ces tortures ajoutées à la torture sexuelle des intubations forcées aphrodisiaques alimentaires causes de jouissance et orgasmes contraints de ces tortures, dénommées viols thérapeutiques pour les viols sexuels, sodomites,et matraquages qu'ils représentent, et sont,infligés en présence de témoins insultants et dévoyés de ces crimes, viols dans abris bus trams et bus de ma personne dénudée sauvagement du bas du corps, les pantalons, collants, baisés sur les pied chaussés, placée dans la position du viol sodomite « à cul nu » de la fessée expiatoire des péchés d'autrui que j'aurai subis, maintenue la tête appuyée sur siège des véhicules de transport en commun , et abris bus, une pique de 15 cm de longueur, de l'épaisseur d'un gros dard, carbonisée, en fer ou métal recourbé à son extrémité large, en sommet de colonne dorienne ou dorique, dard fiché dans un fessier voulu soit « de gros boudin », soit décharné de privations de nourriture et de sucres immédiats, poussées à l'inanition mortelle si je ne trouvais nourriture ou boisson sucrée dans l'immédiat, inanition d'autant mortelle que accompagné des coups violents de marteaux percuteurs à détenteurs, et chocs éclectiques surpuissants dans un maintien à jeun qui dure depuis la Toussaint, alimentée rament d'intubations force permises, afin que ne ne succombe, alimentation à base de déchets de mes aliments que j'avais cuisinés après avoir risqué le décès promis sur ces déplacements, aliments rendus aussitôt préparés, impropre à la consommation d'introductions de glaires, mucosités nasales de mon père s'y mouche à l'archidiacre, crachats qu'il émet après violents coups de poing qui lui sont assenés sur le dessus du crane, quand il se mouche dans mes plats, que si j'ose affamée m'en nourris tout de même , sont prévus sur appel délateur de voisinages, à régurgiter d'électrodes d'intervenants restés invisibles à mes yeux du fait d'un éblouissement de mes yeux (yeux brulés, défigurés, déformé d'électrodes) avec lampe de poche, selon les méthodes des services spéciaux des renseignements généraux, dénommés « plombiers-électriciens », ou de main de potentat Kaiser véritable pouvant être très brutal et violent de grandes violences, triomphal expérimentant par expérimentation sexuelle personnelle, de tenter d'occire sa propre fille dans orgies à tourmentes et scènes de violences aggravées, scènes de bouges à tortures électriques nécessitant résections lobotomiques pour le plaisir sexuel jusqu'à l'orgasme qu'il en retire, trépanations de neurochirurgie lourde mutilatoires représentant à ses yeux mutilations sexuelles de ma vie amoureuse et de notions qu'l me confisque par déviance sexuelle de père fouettard pédophile satire pervers obsédé sexuel de la mutilation, dela brulure génitale plus violente que par cigarettes, fer à repasser, ou autre méthodes, enleveur, séquestrateur, visseur de petite fille modèle, qu'il croit simulées sinon peccadilles, hypocondries de barbeau qu'il croit de théâtre, où les meurtres arrêtés à la mort apparente de ma personne, agonies multiples, et décès qui m'ont faite retrouvée on ne sait par qui à la morgue maintes fois, de centres hospitaliers de Laperonnie en particulier, une étiquette attachée à un orteil, ou ramenée aux urgences parfois de pavillons de force, dans un « sac à viande » mortuaire, cercueil portatif en toile cirée à fermeture éclaire, trouvée ans connaissance, mourante, après scènes de fermeture de mes yeux une foi le père sur place, si violences mortelles causées hors sa présence, agonies,morts apparentes dont je reviens parfois de moi-même, encore dans la morgue, orgies à scènes de meurtres prémédités, entre amis, relations collègues et personnels médicaux achetés à sa cause sinon en sa revendication, me faisant porte le chapeau de ses infirmités, ne m'ayant laissé une minute de paix ni de vie sans tortures pouvant à tout moment s'avérer mortelles, douloureuses, de fortes douleurs asphyxiantes, d brulures à l'agonie, pour le simple fait de d'hyperalgies lombaires de mon père, le rendant malade de jalousie de la paix corporelle que j'affichais sans ces tortures, face à lui, santé le narguant d'une pleine vitalité qu'il me jalouse encore, d'un venimeux menaçant, persiflant, outrecuidant, cuisant d'humiliades publiques, brimades longues privations de besoins essentiels et fondamentaux, et sévices dangereux me réduisant de ces fantaisies fascistes, au rang d'infime le plus souvent informe, parfois réduit au grabatérisme voulu, sur des décennies, mon corps jalousé pour le fait que j'ai été jalousée en tant que pin up faisant craindre des ravages, une fois fois laissée libre de toute contrainte psychiatrique, rendu gros, bouffi, joufflu, porcin du physique typique préfabriqué chez les mongoliens, la ressemblance frappante et décriée de risée populaires, sinon tenue pour délire de-persécution, au vu de la couleur bleue de mes yeux, frappé violemment au visage de mandales à décrocher le cerveau, de personnes intervenant es aux domiciles que j'ai occupé, ou d'appareil de contention grièvement électrocutant si fonction de ce rite d'exécution sommaire encore présent, lié à des pratiques sécuritaires de l'antisémitisme et de l'apartheid, de m'exécuter si je ne réponds chaque cinq minutes ne serait-ce qu'un hé, tortures pouvant amener à de graves brulures par électrochocs, contrefaites jusqu'à des bouffissures très rouges des joues, par irradiations violentes d'armes du contingent militaire et matériel de base militaire dont fours crématoires d'une portée de trois étages, d'immeuble, caméras infrarouges et filmant à travers parois de béton armé, ou caméras cachées, satsi de corbeaux plateforme d 'écoute autant que micros du Canard Enchaîné, ou implants, tentant de me castrer de zones génitales du visage,ou l'ayant déjà infligé dont les zones proches de attaque de la mâchoire et de l'oreille, sur violences protégées d'une jeune femme hébergée de ma résidence, de me causer fibrome de la face exigeant une ablation de la joue, vitriolage de ma jeunesse trouvée trop jolie insupportable vis à vis de jalousie féminines, vitriolant de mots d'ordre infirmiers de gaveuses sont destinés à dissimuler grossesses dont je suis maintenue inconsciente, sinon rarement lucide, sinon, par haine raciale envers la beauté, l'inanition maintenue depuis novembre justifiée sur un aveu de me contraindre à maigrir du sur-poids occasionné par gavage avec alimentation à base de féculents sursaturés de sel, dont je risque caillots cérébraux de cet abus en sl, m'ayant conduite à des phlébites chroniques exigeant un régime sans sel, de graisses saturées et animales, jusqu'à dosages mortels de trigliycérides, charcuteries à base de viandes de bas morceaux, toute contre-indication alimentaire à mon état des anté, devant orienter le génotype déterminant du sexe de l'enfant à naitre, dans une permanence du devoir de m'en obtenir de enfants de sexe mâle, on ne sait combien d'enfants sont nés de ces partouzes à tourmentes sur mon corps, en mort cérébrale, enfants que j'ai placés sur un réflexe de survie et de la leur, à la DDASS, afin que mes agresseurs , mon père, ne les exécute après longs sévices et tortures, ainsi qu'il l'a déjà fait pour certains d'entre eux, nourrissons squelettiques dont un dévoré en partie rôti, l'autre exécuté violemment assené sur le tranchant du dossier d'une chaise en fer, un autre nouveau-né la tête écrasée d'une de mes bottes qu'il avait enfilée, de Djaelle, balancé dans les eaux des Rives du Lez, moi-même tenue pour responsable d'avoir accepté ces tourmentes, en laissant entrer mes agresseurs, malgré la sécurisation onéreuse des portes et fenêtres qui devraient rester fermées sinon entrebâillées d'entrebâilleurs à clefs autant dans pavillons fermés. Ajouté à la prise forcée de psychotrope retard mensuel perbuccalement, dans un but d'homicide par overdose de psychotropes et psychotropes retard, considérés simple calmants; prohibition de tout traitement dans cette assignation à domicile en résidence surveillée, de tout soin antibiotique contre les infections dues à l'insalubrité maintenue de mon logement, et infections liée aux inséminations de germes, virus et MST des mucosités ingérés par la force, et traitement hormonal (jugé inutile) pour le cancer du sein dont j' ai déjà une fois été victime suite à ces violences, décrété mythomanie et irréalité délirante que je ferais; sinon traité d' appartement à l'autre par puisant rayonnements radioactifs d'appareils de chauffe du volume d'un buffet bas, braqué sur mon abdomen, ma poitrine et mes seins, entrainant des brulures irréversibles, m'ayant causé des stomisations de mètres (6 m) d'intestins grêles cuits, veines de un mètre de long, durant nuit blanches à me révolter contre ces méthodes qui ne se justifient dans aucun placement; cris me valant interventions d'équipes et narcoses diurnes,nocturnes, incessantes.
Père dominateur matant sa prostituée évadée de son clandé personnel, que d'une main d'autorité parentale qu'il estime légitime, légitimée de fait d'autorité publique protégeant ses délires de père protecteur, qui ne m'a protégée qu'en tant que proxénète, m'interdisant toute fréquentation relation amoureuse et partenaire amoureux, père se réservant ma fonction sexuelle à ses viols et actes de proxénétisme en bandes, fustigeant jusqu'à ce que mort s'en suive qi j'y résiste, la masturbation à laquelle de ces privations et gavages aux œufs périmés jusqu'à l'albuminurie, pourris avec vers tant en putréfaction, il m'oblige, lui s'amusant à me cancériser de ces tortures jusqu'à des souffrances en guise de dot s'il apprend que je fréquente dans une possibilité de nuptialité et de vie maritale, souffrances à leur summum de supportabilité physique et mentale, dont il jouit poussées à la cancérisation multiple de mes organes sexuels qu'il s'amuse encore à ravauder d'opérations lubriques jambes écartées captée sous coma épileptique des narcoses nocturnes, la nuit après minuit, l 'heure du crime chez lui, où à l'aube, l'heure des exécutions capitales, dont il se fait rite, ainsi que le devoir celui de m'alimenter et de me me permettre l'alimentation que s'il le permet, et sous gavage de nourritures inappropriées à mon état de santé,d'ordures de mes aliments rendus impropres à la consommation de mucosités et glaires infectées, récupérés aux ordures des bennes sur la voir publique, périmés depuis longtemps, d'œufs périmés avec vers de chairs putréfiées ou de cadavre, et causes d'albuminurie, intubés, les intrus s'amusant à me faire déféquer dans ma baignoire, après électrodes, les vers ingérés, ayant proliféré dans ses mes intestins, rôle de mère nourricière violeuse qu'il confie à une de ses collègues obèse dont il se sert de mère maquerelle supplémentaire chargée de me mater, sous coma épileptique après électrochocs, positions de viols dans tourmentes à tour de rôle, lui massant mon entre-jambe dénudée pour la circonstance après défécations publiques ou dans mon mon logement, suites aux chocs électriques entrant la crise épileptique, selon eux, l'électricité de telle puissance de voltage et de persécution, de durée ne tue pas, décès occasionnés régulièrement de telles fraudes criminelles, d'autant que les viols post-opératoires de ces décharges, au cours des traques qui me sont publiquement, institues,dans les rues de la vile, viols dans abris bus trams et bus de ma personne dénudée sauvagement du bas du corps, les pantalons, collants, baisés sur les pied chaussés, placée dans la position du viol sodomite « à cul nu » de la fessée expiatoire des péchés d'autrui que j'aurai subis, maintenue la tête appuyée sur siège des véhicules de transport en commun , et abris bus, une pique de 15 cm de longueur, de l'épaisseur d'un gros dard, carbonisée, en fer ou métal recourbé à son extrémité large, en sommet de colonne dorienne ou dorique, dard fiché dans un fessier voulu soit « de gros boudin », soi tdécharné de privations de nourriture et de sucres immédiats, poussées à l'inanition mortelle si je ne trouvais nourriture ou boisson sucrée dans l'immédiat, inanition d'autant mortelle que accompagné des coups violents de marteaux percuteurs à détenteurs, et chocs éclectiques surpuissants dans un maintien à jeun qui dure depuis la Toussaint, alimentée rarement d'intubations force permises, afin que ne ne succombe, alimentation à base de déchets de mes aliments que j'avais cuisinés après avoir risqué le décès promis sur ces déplacements, aliments rendus aussitôt préparés, impropre à la consommation d'introductions de glaires, mucosités nasales de mon père s'y mouche à l'archidiacre, crachats qu'il émet après violents coups de poing qui lui sont assenés sur le dessus du crane, quand il se mouche dans mes plats, que si j'ose affamée m'en nourris tout de même , sont prévus sur appel délateur de voisinages, à régurgiter d'électrodes d'intervenants restés invisibles à mes yeux du fait d'un éblouissement de mes yeux (yeux brulés, défigurés, déformé d'électrodes) avec lampe de poche, selon les méthodes des services spéciaux des renseignements généraux, dénommés « plombiers-électriciens », ou de main de potentat Kaiser véritable pouvant être très brutal et violent de grandes violences, triomphal expérimentant par expérimentation sexuelle personnelle, de tenter d'occire sa propre file dans orgies à tourmentes et scènes de violences aggravées, scènes de bouges à tortures électronique nécessitant résections lobotomiques qu'il croit simulées, de théâtre, où les meurtres arrêtés à la mort apparente de ma personne, agonies multiples, et décès qui m'ont faite retrouvée on ne sait par qui à la morgue maintes fois, de centres hospitaliers de Laperonnie en particulier, une étiquette attachée à un orteil, ou ramenée aux urgences parfois de pavillons de force, dans un « sac à viande » mortuaire, cercueil portatif en toile cirée à fermeture éclaire, trouvée ans connaissance, mourante, après scènes de fermeture de mes yeux une foi le père sur place, si violences mortelles causées hors sa présence, agonies,morts apparentes dont je reviens parfois de moi-même, encore dans la morgue, orgies à scènes de meurtres prémédités, entre amis, relations collègues et personnels médicaux achetés à sa cause sinon en sa revendication, me faisant porte le chapeau de ses infirmités, ne m'ayant laissé une minute de paix ni de vie sans tortures pouvant à tout moment s'avérer mortelles, douloureuses, de fortes douleurs asphyxiantes, d brulures à l'agonie, pour le simple fait de d'hyperalgies lombaires de mon père, le rendant malade de jalousie de la paix corporelle que j'affichais sans ces tortures, face à lui, santé le narguant d'une pleine vitalité qu'il me jalouse encore, d'un venimeux menaçant, persiflant, outrecuidant, cuisant d'humiliades publiques, brimades longues privations de besoins essentiels et fondamentaux, et sévices dangereux me réduisant de ces fantaisies fascistes, au rang d'infime le plus souvent informe, parfois réduit au grabatérisme voulu, sur des décennies, mon corps jalousé pour le fait que j'ai été jalousée en tant que pin up faisant craindre des ravages, une fois fois laissée libre de toute contrainte psychiatrique, rendu gros, bouffi, joufflu, porcin du physique typique préfabriqué chez les mongoliens, la ressemblance frappante et décriée de risée populaires, sinon tenue pour délire de-persécution, au vu de la couleur bleue de mes yeux, frappé violemment au visage de mandales à décrocher le cerveau, de personnes intervenant es aux domiciles que j'ai occupé, ou d'appareil de contention grièvement électrocutant si fonction de ce rite d'exécution sommaire encore présent, lié à des pratiques sécuritaires de l'antisémitisme et de l'apartheid, de m'exécuter si je ne réponds chaque cinq minutes ne serait-ce qu'un hé, tortures pouvant amener à de graves brulures par électrochocs, contrefaites jusqu'à des bouffissures très rouges des joues, par irradiations violentes d'armes du contingent militaire et matériel de base militaire dont fours crématoires d'une portée de trois étages, d'immeuble, caméras infrarouges et filmant à travers parois de béton armé, ou caméras cachées, satsi de corbeaux plateforme d 'écoute autant que micros du Canard Enchaîné, ou implants, tentant de me castrer de zones génitales du visage,ou l'ayant déjà infligé dont les zones proches de attaque de la mâchoire et de l'oreille, sur violences protégées d'une jeune femme hébergée de ma résidence, de me causer fibrome de la face exigeant une ablation de la joue, vitriolage de ma jeunesse trouvée trop jolie insupportable vis à vis de jalousie féminines, vitriolant de mots d'ordre infirmiers de gaveuses sont destinés à dissimuler grossesses dont je suis maintenue inconsciente, sinon rarement lucide, sinon, par haine raciale envers la beauté, l'inanition maintenue depuis novembre justifiée sur un aveu de me contraindre à maigrir du sur-poids occasionné par gavage avec alimentation à base de féculents sursaturés de sel, de graisses saturées et animales, jusqu'à dosages mortels de trigliycérides, charcuteries à base de viandes de bas morceaux, devant orienter le génotype déterminant du sexe de l'enfant à naitre, dans une permanence du devoir de m'en obtenir de enfants de sexe mâle, on ne sait combien d'enfants sont nés de ces partouzes à tourmentes sur mon corps, en mort cérébrale, enfants que j'ai placés sur un réflexe de survie et de la leur, à la DDASS, afin que mes agresseurs , mon père, ne les exécute après longs sévices et tortures, ainsi qu'il l'a déjà fait pour certains d'entre eux, nourrissons squelettiques un dévoré en partie rôti, l'autre exécuté violemment assené sur le tranchant du dossier d'une chaise en fer, un autre nouveau-né la tête écrasée d'une de mes bottes qu'il avait enfilée, d Djaelle, balancé dans les eaux des Rives du Lez, moi-même tenue pour responsable d'avoir accepté ces tourmentes, en laissant entrer mes agresseurs, malgré la sécurisation onéreuse des portes et fenêtres qui devraient rester fermées sinon entrebâillées d'entrebâilleurs à clefs autant dans pavillons fermés. Ajouté à la prise forcée de psychotrope retard mensuel perbuccalement, dans un but d'homicide par overdose de psychotropes et psychotropes retard, considérés simple calmants;main d'autorité publique massant mon entre-jambe dénudée pour la circonstance après défécations publiques ou dans mon mon logement, suites aux chocs électriques entrant la crise épileptique, selon eux, l'électricité de telle puissance de voltage et de persécution, de durée ne tue pas, décès occasionnés régulièrement de telles fraudes criminelles, d'autant que les viols post-opératoires de ces décharges, au cours des traques qui me sont publiquement, institues,dans les rues de la vile,



masantmo entre-jambe dénudée pour la cisconstance après défécations publues ou dans mon mogemetn, suites aux chocs élctiwus entrant la crise épileptique, selonux, l'lectricité de tele puissanc d evoltagee t depercution, de durée ne tue pas,

décès ccasionnés régulièrement de telles fudes criminelels, d'autan q ueles viols post-opératoires d ces décharges, au cours des traques qui me sont publiquement, institues,dns les rues de la vile,



masantmo entre-jambe dénudée pour la cisconstance après défécations publues ou dans mon mogemetn, suites aux chocs élctiwus entrant la crise épileptique, selonux, l'lectricité de tele puissanc d evoltagee t depercution, de durée ne tue pas,

décès ccasionnés régulièrement de telles fudes criminelels, d'autan q ueles viols post-opératoires d ces décharges, au cours des traques qui me sont publiquement, institues,dns les rues de la vile,

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