dimanche 31 janvier 2010

Bonjour Y, et bonne année, je suis Line, fille de X je t'ai revu lors de l'incérinération de ma mère, où tu m'avais proposé ton aide en cas de besoin, je n'a jamais osé te contacter, mais aujourd'hui, j'aurais besoin que tu concrétises ta proposition : Mon père, en crise d'érotomanie éthylique, me cause de sérieux problèmes, inceste, viols, implication dans un trafic de proxénétisme hospitalier, abusant du diagnostic de démence pour ce type de profit, accomagné de celui des rémunérations voulues pour cures de narcose sà titre répressif envers mes livres, et textes, site internet http://chelseyletterstoworld.blogspot.com/, ainsi que trépanations dont certaines réparatrices, suite aux mêmes faits, représailles de secteurs médicaux après fouillede smes dosiers d'anciens manuscrits, archives, sacs à main, numéros de portables, supressions de textes dans fichiers informatiques, d'e-mails, certaines de mes plaintes auprès du procureur de la république, pour enfreinte médicale déontologique du code civil, fraudes en associations de malfaiteurs, récidives et tentatives d'homicide multiples, quotidennes, avec appareils de "soins", en fait de puissants électrochocs, jusqu'à giclées de cerveau cuit, pratiquées à mon domicile, où je suis quasi séquestrée, toute fuite de ce logement, suivi de rapts sur ordre ninconnu, de ma restitution in situ à l'emplacement du rapt, abris-bus , où y compris mon père m'attend, m'y viole, ce qui m'attire mépris envers la prostituée que je semble être, et actes de proxéténisme, car poursuivie dans traques àchaque déplament, déculotée en public pour électochocs de toutes cliniques, pratiqués également sur exigence de mon père, soutenu des mêmes pratiques, par ma famille, depuis ma naissance, à titre de violences sexuelles qu'elle adopte; contrainte d'électroanalyse à domicile infligées sur zones génitales du visage, tortures électriques très douloureuses à hurler, suivies de ces narcoses, en continu, jour et nuit, mon père exigeant de faire de moi "ce qu'il veut", me confondant avec ma mère, et sa nouvelle amie, me tabassant de ces narcoses, par violence maritale, pou rm'avoir interdit des amours supposées avec un ami, pour aussi, un psychopathe intu à mon logement, commettant les mêmes abus, s'instituant mon partenaire et hote de mon appartement avec mon consentement, individu ne vivant avec moi que sous la force de ses psychiatres, dans le seul but de sévices, tortures défigurantes, destinées à me violer, rendre aussi analphabète et bête que ses exigences d'extrême droite; profitant de son état; privation de nourriture adquate un cancer du sein que j'en ai déjà eu, des médicaments dont il relève, privation de sommeil, d'eau, infections cusées par ingestion forcée de glaires, mucosités nasales, liquides séminaux, jusqu'avoir eu causé une gangrène des os des tibias, et de la boite cranienne, changés de greffes d'os en punition d'un manuscrit intitulé "la chambre carrée", conte où je relate des faits similaires. Mon père entend également me condamner tout écrit, lecture, culture cinématographique, médiatique, oeuvre d'art éditée, peintures, croquis, dessins par ces narcoses, depuis ma prime jeunesse, jaloux d'un niveau de surdouée détecté peut-être tôt che moi, jusq 'à la condamnation neurochirurgicale de certains de mes dons, facultés et travaux qui m'avaient valus d'être onnue, reconnue, sollicitée par des artistes, radios, lui ayant décidé de me "punir" de ces actes médicaux pour toute faute de ce type commise au nom de son alcoolisme, l'induisant à des "orgies" entre médecins, leur équipes, collègues et lui, sur mon corps inanimé après électodes, dans ma jeunesse, par pédophilie, qu'il reproduit aujourd'hui, depuis la Toussaint, ressassant les anées 80 qu'il m'a faites vivre, ainsi queles enfants nés de ces viols, confiés à la DDASS, enceinte encore à ce jour, (50 ans depuis novembre, cancéruse), je risque le décès de ces violences, m'ayant couté on en sait combein d'agonies, réanimée par autres électodes, ces milieux médicaux, crapuleux, sordides, trempant dans les crimes de la mafia, le proxénétisme, les traites d'êtres humains, loi du silence ne craignant le raquet, le meurtre, m'espérant débile, afin de prétexte, qui soins, qui internement officiel où je périrai rapidement, ma mort promise, qui proxénétisme ainsi que sur nombre de déments, rendus de telles pratiques, débiles. Depuis ces derniers compléments de plainte, plusieurs tentives d'excution sommaire, à mon domicile, nuitament et en plein jour, en ville, si je contacte quelque vocat, quelque aide, me sont commises. j'en survis on ne sait comment, réanimée in extremis. La police parfois correct, parfois si me trouve violée, sur la demande mon père, fait appel aux électrodes, me rapte pour actes deneurchirgie, spécialement ds les azones arrières du crâne, le dessus du cervau, le front gauche, enceinte ou non. Mutilations sexuelles multiples, du réseau nerveux sexuel, de certains organes génitaux apparents, de zones du foie, de la rate, glandes surrénales, comme pour me reprocher,mamort de ma mère; implants électroniques au niveau du muscle cardiaque, du sternum, devant corriger mon "hyperémotivité" amoureuse, simuler l'opression d'un type de démence, entre autre symptomatiques qui mesont voulues opiniatrement, à la moindre chamade, me reprochant ainsi,depuis son infractus en 2000-2201, la cardiopathie de mon père, et simulant ses beta bloquants, causant un ralentissement du rythme cardiaque, et m'interdisant toutue relation sexuelle, fréquentation, sinon avec le père, qui s'est voué qu'il ne sétait jamais autant régalé de moi, nien avoir tant joui ni profité, ni avoir autant bu ou sous ses électodes, qu'avec intubation d'oeufs périmés, il aura voulu rendre aphrodiasiaques, autres formes de viols, avec lente décérébration due aux tabassages de ces appareils de torture électrique; totu emploi quej 'aurai persisté à garder, condmané de ces pratiques sur le terrain, le décès si j'y persistais,par foudroiement, cuisson létale du cerveau, du corps y compris par appareils radioactifs de délogement, les "fours". pour ces emplois, tuc à Fun radio en 88-89, CES à la DDASS, muté à la pharmacie de Saint-Eloi pou rtitularisatio du poste, licenciement abusif d'un CES du Cémagref, pour raisons similaires, je me suis heurtée à un mur de la mort, tant tabasée, foudroyée, cognée jusquà des douleurs inhumaines, le prétendu handicap déclaré sur faux en justice et en écritures, suite à ces tabasages pelviens avec aimants, destinés à me faire avorter de ce spratiques illégales chaque mois, où j'aurai été engrossée de viols qu'à mes 40 ans, et qui m'ont laissée à l'agonie auront des jours, éreintée,le corps, les nerfs long et sciatiques, concassés, rompus sous les déchages, amputés; jusqu'à des implants électroniques pelviens, anaux; tabassages des zones anales, de l'entrefessiers, des zones génitales, par pur plaisir de m'isoler d'amoureux potentiels qui auraint pu m'apporter une aide, certains,médecins confirmés; ne pouvant trouver appui en aucune association dès la mise en cause du trust hospitalier et médical de la région en batage de campagne, je fais appel à ton avis, et à ton aide, bien que mon père et autrui ait travaillé à me decendre auprès de toute relation amicale que j'aurai eue, les anciens médecins à qui j'ai été confiée, des pires truands pignon sur rue de la ville, ayant trouvé en moi le bon pigeon, sic; merci d'avance pour ta compréhension envers ces difficultés données depuis le début de l'affaire, le mot d'ordre donné d'incompréhension rituel envers le type de démence invoqué , destiné à disculpter toutes fraudes de ces mileux,

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