dimanche 7 juin 2009

RÊVER DE VOUS A VOUS COGNER, VERMINES, MORPIONS DE CUL ET POUX DE TÈTE

RÊVER DE VOUS A VOUS COGNER, VERMINES, MORPIONS DE CUL ET POUX DE TÈTE

Si ce n'est l'accent du préjugé que l'on vous assène.

La police et la BAC ou police de nuit assènent le préjugé, opèrent avec la DST un nettoyage en profondeur et désincrustage au carecher comme promis, dans les milieux intellectuels de gauche et du renseignement, de l'intelligentsia, privilégiant les adeptes de la drogue pour assurer leur défense et les protéger contre tous ennemis qu'ils auraient, dans l'intelligentsia et les milieux cités, inspectant jusqu'à la violence gratuite appartements de voisinages malappris, parfois peut être le votre après votre départ inopiné ou subit, jusqu'à la violence sexuelle si nécessaire.

Personnes ou membres du personnel infirmier, que les secteurs précités de la police laissent agir, en toute quiétude, dans leurs persécutions sadiques, car possédant les clefs des logements à visiter. Tirant ces faux inspecteurs et soi-disant sergents à boulets rouges et tirs nourris dirigés, sur couples et individus repérés parfois en famille, ne pouvant les braves gens ciblés se débattre contre tentatives de meurtre et trucidations à leur encontre en tous sens et tous genres, sans crier de douleur ni de révolte de cette souffrance physique et mentale causée, et dans le devoir d'en justifier. Ne serait-ce qu'auprès de proches qui devront les en interner quand cela se trouve, sinon, cela tu.

Exploitant le règlement de compte entre voisins, délinquants et victimes, conflits familiaux et de tous ordres, creusant la faille dans le crêpage de chignon, scènes de violences conjugales à l'appui dont on doit justifier aussi, crises de vengeance envers célébrité dont moi-même, ceci dit sans videurs.

L'infirme infirmette nymphette un rien débilette quand on aime lui faire de la cuisse oh pardon cuissette (de nymphette ou petite couille un rien nouille à nouilles et tout de même os à moelle), cuisse de la petite infirmière ou vieille barbouze de l'établissement psy appelé pour prêter main forte en cas de résistance ou même rébellion cela se peut, envers les exactions. La débile ceci dit puant légèrement le fauve ayant joui ainsi que cela se doit et la grosse électrocution comme convenu ou le bouc genre Belzébuth.

Creusé parce qu’il fallait creuser profond dans tout le deo profondimus, tel patate devant rester patate rongé par courtilière venue spécialement le creuser parce que a trouvé sa patate là, patate et bonne à bouffer jusque ce que rien n’en reste sinon miettes, ou cadavre de patate, encore dans sa peau. Ou dément

Négligences diplomatiques qui font monter le degré de violence dans la démocratie si elle en survit encore, la formation de bandes armées d'appareils à effet contondant et milices armées de ces armes de poing autant qu'américains, je reprends, démocratie laissée dans le laisser aller, le laisser faire de la police même, sauf peut être de la BAC, service de nuit, négligences donc qui font monter le ton de la grogne dans les milieux populaires damnés, la police profitant de l'esprit de révolte des banlieues et du degré de sévices infligés pour revendiquer sa place son rôle, la multiplication d'effectifs, petit jeu dont elle se plaint, plaidant l'innocence des persécuteurs qu'elle laisse impunément cogner, tabasser, violenter, voire tortionner des victimes soit hospitalisées en conséquence des heurts et types de blessures en tous secteurs médicaux, soit psychiatrisées autant que moi-même je l'aurai été.

La philosophie ne l'oublions, une science.

Police donc militant pour le droit de répresser cette grogne et non la violence urbaine qui la révolte, dans la répression organisée, psychiatrisée à mort, forte de vous faire mettre un poing sur la gueule par le biais de l'arme du voisin histoire de vous calmer ou camer si cela vous anime, quitte à vous casser le portrait tout au long de la nuit, de la journée, un mois, un an de plus durant, cela est ma peine à ce jour. Prospections d'individus dans les voisinages. Histoire de voir si je suis massacrable. A vous faire oublier si vous ne pouvez vous en empêcher et à vous l'interdire, de refaire l'évier au tampon Jex et produit récurant, donc récurent, et sa vaisselle dedans.

Profitant cette police pour faire remarquer sa nécessité d'exister en intimidant, réprimant les mécontents de l'affaire, via également l'hôpital et la torture psychiatrique, les services sociaux dont tient encore debout l'État, tout aussi armés qu'elle de ces appareils de contention. Voir chapitre etc. Guerre des nerfs...

Services psychiatriques ou policiers se servant de délinquants et trafiquants pour intimider durement, salement frapper jusqu'à l'affection neurologique sévère voire la méningite après sinusite méningée surinfectée et autres graves complications sévères passant pour des causes naturelles, nettoyer ainsi tout milieu de ses contestataires d'interrogatoires au long cours durant leur vie entière s'il le faut, histoire de faire marcher le Renseignement, avec la participation pas toujours agréable ni sereine du voisinage, qui participe à la manipulation des dits appareils de contention, destinés à interroger... Ce qui rapporte à la communauté entière des médecins et psychiatres, ne me dites à leur insu, gains, profit, et notoriété, immunité étatique et échelon social de noblesse de robe due au port d’arme, légal ou non.

Junte de psys. Ou nouvelle aristocratie médicale créée de toutes pièces, de la souffrance et de la douleur sous les actes de torture, leur mort, des personna non grata ainsi obsédées à qui elle reproche les faits de la noblesse. Parfois peut être, destinées à payer à la droite même en crise le prix de la vie et de la rébellion. Aristocratie d'agresseurs et délinquants travaillant à l'apparition de délires, le plus souvent discours antiétatiques censurés par le soin et la thérapie ou repris en cœur par le reste du système social, revus et corrigés, resucés et retravaillés parfois à la main, par la société de la récup, ce dont profite la droite et donc le système étatique. Qui attend que les dégâts corporels et psychologiques soient d'un degré assez sérieux de gravité pour opérer, se répandre en opérations des zones corporelles lésées des tabassages, opérations qui coûtent cher à la société et à la Sécurité sociale. Et font marcher la Cotorep, les assistantes sociales, l'Anpe et les Assedic.

Les individus récupérés ne pouvant provisoirement ou définitivement plus travailler, handicapés et infirmes si reconnus handicapés, et infirmes. Rendus pour ceux condamnés aux neuroleptiques, frigides, impuissants, une symptomatique schizophrène, patients maintenus dans le devoir de rester stériles car traitement conduisant au handicap, le vieillissement prématuré, l'acquisition forcée des symptômes et faits de la sénilité, la malformation de l’embryon et du fœtus, d’où la stérilisation forcée encore de rigueur. Dans des appartements rendus impraticables de ces armes, causes de symptômes apparents premiers de la vieillesse.

Mais arrêtez la boucherie. Si j'ai des comptes à rendre à Sarko, profiteur des sévices de vieux cochons sur femme malade, de cancer soit, artiste et non névrosée comme cela se doit, sacrifiée à la gégène comme au poste à soudure plus bas ici décrit, de la police infirmière aussi à titre privé, de trafiquants au langage infantile de bas âge comme de bas étage tolérés seulement pour leur simplicité d'esprit à la compliqué, pratiquant des accumulations de sommes astronomiques à chaque forfait hospitalier à régler dûment, à vous faire traiter de mythomane, des sommes aussi d'interrogatoires sur être malfamé à déclarer suspect aux autorités pour leur sport de délinquants à qui les autorités font des ponts d'or, de le ratonner de ratons médicaux ou de civils particuliers, avec interférences d'interrogatoires infirmiers, médicalisés autant que lors du siècle dernier des toubibs SS et OAS. Dossiers dont on ne sait où ils vont ni ce qui en est fait.

Revanchards dans ce cas dans la méthode policière du "chapardage" de l'information à coup de rixes bien électriques appliquées sur la face, en profondeur, après six mois passés sur un coté de la face, l'autre quatre ou cinq mois durant, sauf cas de rabe. Si j'ai toujours et encore des comptes à rendre aux Services des métiers du renseignement, dont la plaque tournante ne fonctionne que de ces agissements. A me traiter pour mes idées et mœurs de gauche, prises pour mauvaises mœurs, en charogne carogne, à m'en vouloir à tout prix l’aspect et l'odeur. A ne devoir rester que la caricature même de leurs préjugés. Le poste à soudure quasi nazi pas assez Ghor pour eux tout comme ses contrefaçons. Induisant le pays à lutter contre leurs dits méfaits et au combat général en général. Mon général.

A ne faire aussi la bête humaine à deux dos que quand on le peut et non quand on le souhaite, ainsi que chez tout travailleur, qui doit remonter la braguette et se rebraguetter allumé, en plein rut, ne serait-ce que pour un patron. Qui lui on se le demande a peut-être le droit de baiser sans se faire baiser.

Ceci permis que pour Monsters et bêtes de scène si elles le peuvent, à videurs, ces pouvoirs des hautes sphères dans l'alcool la drogue et la persécution soit, les médicaments psychotropes le droit de se calmer et le pourrissement de la situation, tous les jours j'y ai droit. Depuis mes 20 ans. Permis du fait précisément de la situation en pourrissement de l'intelligentsia, des milieux de la drogue libres d'agir à cette seule condition de consommer au moins drogues douces et alcools sans quoi omerta. Célébrités ne devant la survie qu'à quelque reportage dans Voici Gala.

Jet Society tapant dans l’humanitaire pour se sortir du mauvais pas. se donner une liberté de conscience. Et ne finir en parc de truies.Charité rouage d'une société féodale. Videz-la, videz ce gars là. Société Videla.

Je frôle encore le pire. A ne devoir vivre que selon les horaires véritables du travail ou celles de l'hôpital à domicile, bref, chez soi. Parce que chez soi normalement on est bien, quand on y vit bien. Mais quand on s'y trouve mal, il n'y a aucun intérêt, je crois, à y tourner de l'œil sans quoi l'on vous y opère pour strabisme aussi sec sans un ouf ne serait-ce que de satisfaction, au grand dam de vos zones crâniennes du soulagement tactile et du plaisir. Et des cinq sens à vous ablaver ipso facto aussi sûrement qu'en aile fermée. Dérivé de médecine chinoise ou digitapuncture sur zones cérébrales et faciales tuées écrasées jusqu'à leur dernier écrasement, de leurs nerfs. A en appeler quelque Gravos pour votre bien.

Sous les chants, hitlériens, de patates. Inactives. A vivre dans mon appartement je logeais dans leur champ, d'aire et d'action d'expulsion sauvage de tout gauchiste de leur entourage, voisinage et territoire. Patates soignées pour leur armes qu'on leur laisse, de voix d'autorité. Mal vous en prendrait de la contester. Chacun en devant n'y reconnaître que la voix de son maître, je n'en avais qu'un, ou Pathé Marconi et pâtée macaroni et l'on change d'instrument. Parce que l'on vous aura dite anorexique. Qu'il y a le vrai et le faux dans l'affaire.

Afin d'instaurer de par le contrôle des ces autorités, psychiatriques et étatiques, les coûts du fichier des personnes concernées, contrôler le tout, prenant les intellectuels de gauche pour des papes du bled où ils vivent à évacuer telles merdes en état d'ordures dans la papamobile de service. Ou bétaillère. Raquet destiné à immobiliser la France sous le coton pour qu'elle ne bouge, dans le mercantilisme sauvage et organisé, d"une mafia presque russe.

Ecrits rédigés dans le langage si peu argotique du père de famille.

Ou du flic appelé.

Sangsues pour me faire réfléchir à mes engagements philosophiques sur la répression, depuis Chevènement.

Sangsues modèles à leur genre promettant au panier à salade pour des salades voulues de corbeaux et médics enragés de vaincre, des tierces personnes impliquées dans l'affaire Dreyfus du cas ou ciblées, à réciter de salamalecs sur le mur psychiatrique de la Honte ou Mur des lamentations, à transformer en moulin à prières ou muezzin le premier individu qui déplaira, devra être handicapé, rendu infirme et devra le rester. La France du J'accuse opérée du cerveau de ce fait jusqu'à ce que vienne la pryscine ou humeur saline à sucrée de la jouissance féminine, opium du peuple des masses salariales, occupation de terrain du tiers monde et du monde implanté dans le coin, France immobilisée sans fin, le bâton merdeux de la gégène néogène des psychiatres dans les roues, entre les pattes et dans les mâchoires, éternel cheval de bataille de la populace. Le coin dans la gueule ou qui vous le mettra.

Dictature déguisée au fascisme insidieux, le capitalisme sauvage mondialiste, qui individualise les problèmes sociaux qu'il crée pour les traiter au cas par cas, par la torture psychiatrique s'il le faut, à titre répressif. De la simple meurtrissure répétée au cancer généralisé.

A vous interdire le café en y introduisant médicaments pour ne vous ne criiez quand le voisin du haut qui se pique vous passe à tabac constamment parce qu'en plus de cela ivre, il boit.

Cerveaux manufacturés à la main, à la chaîne, aux lasers et contrefaçons d'appareils à électrochocs, machines de schizos, jusqu’à la collecte pour la gerbe, commune, dont chacun se fend dans ces cas.

Récupérés de tous bords et de toute industrie.

Psys de la ligue communiste organisant brigades rouges maos et répressions fascistes, escadrons en cohortes d'infirmiers et pelotons d'exécution armés des armes de la psychiatrie et de la participation de particuliers, sur les rites du Plan Epervier, rêve allemand envers les individus déclarés dangereux, participation collective sur devoir civique à les coincer pour les attraper, ou idées de chasse à l'homme et de traque chez le schizophrène qui l'a subi. Jusqu’à l’extrême onction sa crème nivéa au vieux gruyère de sébum de fou, récupérée je ne sais quel HO. Pour que ses traits ne pèlent ni ne gercent de l’électrode fatale. Simulation d’impact par balle sur la tempe ou entre les deux yeux. Dans les dents.

A vous tabasser les oreilles à l'électricité pour le fait que décollées, elles aient été recollées, à votre naissance, sur l'aveu de la mère du sujet. Et que vous en ayez encore le sens de l'écoute pour vos concerts. A tant les gens les laisser dire, vous en payez les frais. Et vous faites écraser le crâne et tuer ses points G, leur méridien sexuel à vif à vous en assassiner de mort lente, que cela soit mortel ou pas, bref si l 'on en reste en vie, torture chinoise, ou vietnamienne, de genre épine électrique fatale du film Le Baiser du Tigre, ou du Dragon, plantée profondément dans emplacement de dent arrachée de sa mâchoire tout récemment pour mon nom apparemment chinois, heureusement que j'avais vu le film pour en parler, je ne sais plus depuis. Ou torture jap. L'on m'en parle encore petit chinois, fruit soi-disant de ma paranoïa. A en faire marcher la machine à décapitation du capitalisme, capitalisme sauvage qui ne travaille que pour lui-même. Poncif. Ou je me fais trouer la peau, parce que l'on m'aura trouvé trop de libertés.

La mort du bon petit soldat. Quand on essaye de l'assassiner, dans ce système, que l'on ne lui souhaite que le travail la douleur du Christ sa souffrance sa couronne d'épines et sa mort.

Il faudrait toujours se mobiliser et se battre et mener le même combat, de tant travailler inutilement à se débarrasser de ces gens. Je dois être un rien Laguiller. Ou femme à abattre. Depuis au moins la Nuit de l'Iguane, le film, iguane qu'il vous faudrait sous peine de lui ressembler en plus du long métrage Tess, dont vous avez vécu jusqu'au moindre détail, médicalisé.

Intellos, professeurs lettres sciences humaines, petits contribuables et fonctionnaires de l'enseignement, destinés à rester suspects d'idées perverses pour leur type d'enseignement ou d'idéaux de gauche dits "idées" donc idées délirantes, imposition quasi médiévale et naturelle, féodale à inquisitrice propre à l'armée, en fonction de leur travail personnel sur leur engagement et orientations politiques, philosophiques, qu'il n'en reste aucun niveau digne de ce nom, du haut niveau de leur formation, et elle aura été dure, quitte à rabaisser la portée de leurs faculté mentales au caquet fornicatoire de leurs gros cognots. Au strict commercial superficiel doué d'analphabétisme qu'il faut sinon dodose de Valium en cas d'esprit un peu trop animé. De s'en faire négros de ce style, histoire de leur en faire prendre le thé à l'heure du petit déjeuner avec les plombiers voire de la DST très liés au poteau indicateur, lui même venu avec l’électricien et le serrurier, en cas de représailles d'un tiers, d'ailleurs toujours hurlant. Torturant à souhait tout autant que l'on mutilerait à le faire crever, de coups et blessures, une souris, un lapin, un singe, un cheval, par maltraitance et envie de tortures. Entre autre moi-même.

Grillée, pour mes écrits et rédactions de styles, auprès des autorités, s'amusant avec sbires de leur bâton tout neuf de maréchal, un coup de fil et elles se charge, de m'éteindre, pile Duracel, ils ont bien essayé. Militant pour l'abrutissement des masses et de l'intelligentsia, à coups de marteaux s'il le faut, et de la marche des marteaux polonais ou roumains, confortée en leur saint siège, vous en font largement descendre du votre. Ecrire étant en trop être, tout comme s'intéresser aux domaines de l'Art, surtout pour une handicapée mentale.

La police ne rétablissant que par le crime impuni en espérant que cela ne se voit. Ou équilibre des forces, et soyez zen. Sinon cela pourrait empirer et être pire. Jusqu'au décès. La philosophie devant se ramener à rester philosophe.

Me faire mourir dans le devoir de m'assassiner ce qui est identique, d'un faux semblant de maladie morbide dégénérative dont je souffrirais, selon l'avis de chacun, était la solution de facilité, m'éliminer, purement, simplement et physiquement de dégradations corporelles multiples, mutilations de trop de meurtrissures dont la cause paraîtrait d'origine naturelle. Soit par sinusite méningée aggravée de coups et blessure et causée de cet artéfact de me blesser de façon continue jusqu'à la surinfection, soit d’un cancer généralisé par les mêmes faits et agissements. M'araser les zones de la pensée humaine pour m'apprendre à respecter la psychiatrie et le père, la société et la sienne, l'État, ou la Métamorphose des Cloportes, le film, les gens qui le forment et le soutiennent, quand elles ont tendance à penser que ceux que cela révolte et qui ne pleurent de cela, sont des schizos. Certains filent vite de là où ils se font tant exterminer à se faire déterminer par psychiatres et leur compagnie, fuyant donc avant leur total génocide. Et s'en allant disant tout bas ça craint et ça seulement.

La gégène médicale faisant rage actuellement, en vogue dans les chaumières, coutumière des déplacements, résolvant de loin comme de près chez l'écrivain et l'intello de gauche, entre autres problèmes, les problèmes de page blanche.

Au travail, familles, patrie, et au trot, pour votre grand-père au STO, et si je ne travaille pour les autres, cela sera au moins pour moi. En me surexploitant pire que Medef jusqu'à crever de ça, intimisée cette loi du Service du Travail Obligatoire de la dernière guerre mondiale, obligatoire et devant le rester, à faire s'auto infliger ce dictat allemand jusqu'au moi profond de tous et de chacun, dans l'auto-fornication sado-masochiste et la loi de l'enculement sadique après celle de l'autodafé de l'employé, devant se contenter de cela ou la maison de redressement, l'artéfact du poste à soudure et les lois de la torture psychiatrique. Torture électrique, médicale et systématique à vous traquer, vous faire sauter la cervelle si au travail vous vous laissez aller. Et surtout, surtout, que ce travail ne vous vienne naturellement, sinon de façon surnaturelle, il viendra essentiellement par la force, la contrainte l'obligation, ou ne sera, sinon dans le handicap et ses lois. Et les lois de la torture française. Pour vos aptitudes à peu travailler au cas, où il vous en resterait, sinon dans la fainéantise l'infirmité et le droit à la flemme.

Remise en état de Mandrin du dit handicapé mental. Sabotage fasciste communiste et nazi de mes travaux. Etres maintenus par la maltraitance et la torture psychiatre, électrique, dans l'éternel état de besoin, le manque d'hygiène requis et avéré, le travail obligatoire, travail destitué de ses droits, la douleur perpétuelle, la violence physique et la mutilation jusqu’à provoquer de façon préméditée l’incontinence urinaire et fécale, signes premiers du vieillissement, incontinence provoquée de surcroît par infliction des signes de l’épilepsie, à n'assumer que de façon sereine, dans l'art de la force tranquille, de Mitterrand, ou spectre du socialisme français selon ses ennemis. L’érudition pertinente vécue impertinence prétentieuse.

Torture française exigeant que pendant que l'on vous tabasse vous vous teniez bien et restiez poli, plus que vos bourreaux, sinon la maison de correction, à chaque passage de Le Pen à la télévision, déjà pour ses tenants, à la présidence. Flambée activiste pétainiste en France à l'heure des élections prochainement municipales. Depuis les européennes des années 80.

Gestapo de miliciens armés des armes de la psychiatrie, faisant un travail de nettoyage au carecher les jours de grande lessive, dans les milieux intellectuels de gauche, prostitués ainsi petits et grands, au poste à soudure paramédical et médical assené à la moindre résistance, selon les lois de l'exaction policière et d'exécution sommaire après tribunaux d'exception afrikaners pratiqués sur places publiques aussi et en plein air, depuis ma stricte petite enfance, pour corriger appeler cela barder, un de leurs hors la loi maintenu en délit d'opinion grave, corrigé des tortures gestapistes jusqu'au handicap voire la mort lente ou subite, à titre public et privé, jusqu'au moment où on lui signale, si l'intello en survit, que c'est le moment de se passer le savon sur la gueule, à l'heure des infos et de la toilette intime, pour qu'il en reste beurré inconscient, et que du beurrier plutôt que du pot de crème, Bridélis, Perrette et le pot au lait, les petits cochons, la chèvre de monsieur Seguin, Blanche neige version hard ou hot, les sept nains et le petit chaperon rouge.

Et le café aux sels d'arsenic. Pour votre asthme, cela prévient la bronchiolite due à l'usage excessif de tabac. Miliciens faisant passer en force par les voies de la Psychiatrie, l’usage de la torture en France et le Pen, toujours en crise, en bon père de famille qu'il est. Quand les prisonniers d'opinion qu'il fait, l'on rêverait de les biberonner. L'intellectuel de gauche devant être handicapé et le rester, toujours devant être occupé sinon préoccupé, ne devant jamais s'ennuyer. En effet quand on le vivisectionne il ne s'ennuie pas. Il ne s'ennuie surtout pas. Il ne peut même plus s'ennuyer, ce qui est le plus risqué. Depuis la France d'Adler.

Récupéré. Depuis la France de la récup ou récupération, capitaliste.

Tiens, mais essayez d'écouter les Pixies en paix, dans cette putain de guerre. There is my mind, where is my mind.

Psychiatrie.

Maladie du siècle.
Mal français.
Au massacre.

Amnésie, terre internationale, nouvelle définition de la France, d'ailleurs très littérale.

Quand déjà la contrariété peut tuer.
Je vous jure qu'avec eux depuis le temps il faut être solide. Et avoir la vie rude.

Nazisme de particulier à particulier. Individuel, et individualisé. Niché au sein même des familles, dignes encore de Pétain, du conflit au simple crêpage de chignon, exploité par les autorités pour que passe encore et encore la torture en France. Amenant les inactifs et travailleurs intellectuels au travail forcé ou à s'entretuer des armes de la psychiatrie et du bâtiment de force, ne serait-ce que pour des impayés, via corbacs, l'esprit et le bien intellectuel perdant de plus en plus de valeur morale et marchande, le droit de propriété privée devenant bien collectif à saccager de tous profiteurs dont les richissimes, dans le cerveau même des victimes, depuis le début du 20°siècle malgré une société plus de services que de biens. La vapeur, je constate, s'inverse. Mariez vous intentionnellement avec le bon travailleur manuel qui vous entretiendra. Et encore celui là il ne plaira pas. Ou morale de la famille.

L'Etre cher, ou qui coûte cher ?

L'existence de prisonniers politiques et d'opinion en France dénommée par les instances d'une gauche, sous censure CSA et SAC, internements abusifs, arrestations arbitraires.

Essayez de me rassurer.

Les autorités niant l'existence de ces engins de supplice utilisés pour faire accroire à la démence de certains. Ou grosse démagogie, s'il chacun nie en bloc pour régner, en bloc, le bloc, opératoire, à garder pour soi. Et le Soin.

Le problème étant que l'appréhension de la réalité dans le parti communiste commence par celui de l’usage de la drogue dans ses milieux, et ceux de la gauche, faisant l'hégémonie de l'idée que la réalité dissidente n'est qu'un rêve de drogué, que la présence sur terre et en France de la torture n'est qu'une vue de l'esprit défaillant de schizophrènes, ou de drogués, la pratique de la torture elle même décrétée par les autorités fantasme, intention, envie de, sans jamais aucun passage à l'acte, voire altération de l'idée de pour ce qui est des diagnostics des plus audacieux, rêve mais jamais réalité. Pour certains psys, et il existe apparemment un parti de psys, torturer étant impossible dans cette démocratie donc rêver seulement. Ou complètement.

Mais de faits de la torture réellement reconnus, rarement, sinon en faits divers sur enfants, faisant les gorges chaudes des grand-mères bien mégères et concierges du Front national et leurs nourritures intellectuelles. Sur le passage à l'acte de torture, grosse démagogie et c'est là un fait, si la description de fait demeure une vue de l'esprit liée à une démagogie de partis à idées fixes, et c'est bien là le malheur.

Afin d'instaurer la torture étatique sur des individus isolés devenus récalcitrants à force d'ingérence dans leur vie privée sous la contrainte de la torture psychiatrique et/ou policière, à isoler pour les rendre répréhensibles et sensibles au commandement de par la torture qui tue, dans les zones sensibles, le nerf sensible, de qui ne serait obédient aux directives de partis impliqués dans l'affaire de corruption médicale, méthodes entrées en France par la petite et la grande porte de la Psychiatrie. Système de répressions multiples très répressif. Destiné à faire passer dans le forcing les dictatures populistes du lumpenprolétariat.

Sans compter les complexes relatifs à la psychanalyse des mystères de la page blanche. Qui ne rapportent donc UDAF vu mes faibles dispositions à retravailler. Si c'est tant cela la paranoïa de privilégiée pour mon AAH que je fais. Méthodes répressives d'ergothérapie CAT à domicile, pour m'apprendre à travailler dans la rature la souillure le cagué chié et le raqué, le compissât et la pourrissure, due à la profusion de crises d’épilepsie et de dépérissement sous le feu des armes, l'ignorance crasse et l'indigence de la valeur de la norme. Ce n'est jamais assez grave, du moins, avec les sergents, cela aurait pu être pire, surtout avec eux. Tout n'étant que les entreprendre. Après le jardinier d'un soir, tout un monde se faisant une maladie de cerveau qui leur monte au bulbe de mes aptitudes à écrire.

L’infirmité en France non reconnue officieusement, si officiellement reconnue et déclarée..

Que la terre est basse mais combien la descente aux enfers fut rude.

Les revenus financiers considérés émolutions du cerveau pour ses dons de créateur et ses capacités à les gérer, après réévaluation de ses aptitudes durant le viol thérapeutique quand le métier d'écrivain ne paye pas.

Bref les émolutions de cerveau et le métier ne paient pas. Devant se cantonner à une polyvalence chez la femme, des tâches, autant que le devoir pour la patrie et la famille de chacun, devoir de batteur de batterie ou femme orchestre. Déesse Shiva aux dix bras. Le premier, cela est exigé parfois des hommes, qui ne tient le rythme est sévicié. Réadapté selon le problème de la carotte et du bâton, aux rites du complexe de Pygmalion des CRS médicaux, médicaux ou pas. Chacun je le redis se battant dans ce pays et cette région sur le chapitre de l'arme en question dont l'existence est toujours autant niée par les psychiatres qui en usent volontiers pour vous opérer, en toute facilité et sur les termes intimes du père, de famille, pour leur sauvegarde et leur besoin et envies de régner.

Qu'ils enlèvent ces flingues de ma bouche, braquée pour devoir parler, avant d'enlever leur pétard de la leur. Moi leur singe de la Nasa, crashée plus bas que terre, aux électrodes implantées histoire de me faire marcher au pas, militaire, de leur mafia. Leurs exécutants pris en flagrant délit de cogner tabasser ou tenter de tuer, immédiatement relaxés, indicateurs de nourrisson à pouponner, bébé des nouvelles clases à durement encadrer et légèrement demeurer.

Face au pouvoir de psychiatriser à outrance les masses et le fascisme, de créer des prisonniers d'opinion et politiques de ce fait dans les pour et les contre, que faire, le fascisme, une maladie mentale ? Cause l'engorgement de la jurisprudence et le manque de prisons, de lits d'hôpitaux, de structures de réadaptation à la vie sociale, peut être, tant la violence et la barbarie auront fait rage.

Je pose la question. Et non les brodequins. De la Question. Ou L'Inquisition, de retour.

Fascisme, sinon pour certains le seul langage de la Raison.

Réduite au leitmotiv des temps modernes, tu n'as pas le temps de le noter t'es mort, des méthodes d'acquisition de la conscience chinoise, due à la prononciation, asiate, de votre nom. A vous faire vivre sous les Talibans pour votre activité mentale anti-terroriste, si je suis de celles qui relèvent du silence. Dans tout le kamasoutra japonais du mot et ils n'y vont pas que par la méthode freudienne. Ou travail psychanalytique pathologique aigu. Selon le psychiatre, lui-même obsessionnel.

Quand ils vous cognent ils vous khâgnent. Torture chinoise autour des oreilles ou auriculothérapie forcée et amateur, entre voisines tout comme violences entre mineures, à vous rendre sourde, en prévision du concert, que vous deviez faire. De chant contemporain, très mal vu chez ce genre d'activistes. Remplissage des cases vides aux raviolis de Men Kampf, en paquets. En plus je l’ai dit du fromage livarot des pompiers. Avec arasement chez moi ni vu ni connu du gros naevus fessier qui menaçait de dégénérer de trop de leurs grattages au laser. En plus du devoir de s’en justifier et du tabassage à l’électrode de l’emplacement entier de la monture de mes lunettes, centimètre après centimètre, électrode de l’électromètre bref, propre à l’église de scientologie.

Prise entre chien et loup, Hitler et Poutine, Pierre et le Loup en plein mitan.

France du Handicap et du handicapé, fait et recousu à la machine. Et que l'on juge, de ses assesseurs, jusqu'à la dernière goutte, de suc, que ne lui aura le percepteur. L'infirmité philosophe. Si la Cotorep le recommande.

Ceci jusqu'à l'apparition de l'esprit de révolte bien vite maté. Et pas énervé qu'avec du thé.

Gauchiste, ou énervé, machine à payer les coups qu'on lui donne, le plus aliéné de ses droits, sinon perçu aliéné pour cela, l'énervé de service pour qui les services de la police ne font rien.

Ou retour à la case départ, de son parcours de combattant. Pour des prunes qui lui auront été collées au corps et au front, et sa bugne qu'il a prise. L'énervé en question ne devant s'en prendre qu'aux services sociaux s'il y a, ou services médicaux qui s'en feront paraît-il de parfaits avocats. Arraisonnant plus pour arraisonner au groupe électrogène, (implantés s'il le faut jusques dans les plaies fraîches de dents excisées de leur mâchoire, plaies sanguinolentes considérées celles d'un clitoris ablavé à torturer aux aimants à distance et électricité pour que le problème de l'excision dans le Maghreb fasse plus mal ou fait des tortures de l'Algérie.) sinon par le raisonnement envers les arraisoneurs.

Ou clitoridectomie directe, existe une forme dérivée indirecte,encore de nos jours en vigueur dans centres hospitaliers et cliniques privées, l’innervation du réseau nerveux de l’arbre de l’organe clitoridien par tabassage de ce réseau au poste à soudure jusqu’à le paralyser à vie ou le rendre non fonctionnel. Voire le tuer, net ou à la longue et ils en prennent le temps.

Torture encore de nos jours en vigueur dans les hôpitaux psychiatriques français, infligée depuis le Moyen Age dans les asiles d’aliénés, au nom de l’hystérie de la femme et de son clitoris à cette époque là trouvé « en massue » tant auto-torturé de maltraitances et tortures induites, voire, cancérisé. D'où chez certains enclines (à force d'exaltation maintenue et d'états seconds prolongés par divers procédés), à se mutiler cet organe du plaisir que la médecine réserve à la fillette, le port de la ceinture de chasteté hygiénique, encore récemment en vente dans pharmacies.



France mère de l'individu, pavée des pavés de mai 68 teintés du sang versés de nos jours par ces brigades rouges, par aussi les milices aryennes, et parsemées de rêves noirs. Ami, l'ami cherche encore les amis.

Alors celui-là il ne morfle que pour les Autres, et la police s'en charge.

Se bagarrer avec quelqu'un, ou le rixer, en d'autres termes, être de son combat contre un fait, une injustice qui lui est faite ou qui le concerne, bref, lutter, combattre ensemble.

Le nerf de la guerre l'arme qui leur est sciemment laissée pour que perdure et rapporte l'affaire. C'est moi que l'on laissait se faire tabasser et donc qu'il ne fallait pas laisser faire. Internée abusivement pour non assistance en danger à mon égard.

Lutte en fait combat de voies de fait et empoignade sur le corps du dit schizophrène pour qu’il plaide sans cesse, nouvelle race de torture, lutte de particuliers, groupuscules et groupements sous l’égide de médics contre la vie et la santé de personna non grata et médecins trouvés on ne sait par quelle gratitude de l’histoire, fautifs, corrompus que la populace et les administrations auront préféré punir en douce non officiellement donc officieusement, sanctionner durement de leur envie de répresser des répressions de l'hôpital prison. Plutôt que sanctionner légalement par les voies de la de la justice plénière, de les traîner en justice et procédures avec assignation à comparutions effectives en procédure licite, non véreuse ni sans vices de forme. Annulant jusqu'au non lieu toute tentative de jurisprudence.

La France opérée du cerveau de la lobotomie sublime de bienveillance et obligatoire, bien incapacitante de rigueur en cas de rébellion surtout agitée. Selon les lois, et les théories parachevées de l'Os à Moelle.

Intellos. En costard cravate façon FBI/CIA jean crevé ou dentelle rose. Sinon détritus sociaux tant usés par la société, parachevés à l'électrode pratiquée au maximum supportable et plus, réexploités, réinjectés dans la machine capitaliste jusqu'à s'en exprimer la moindre substantifique moelle de leur cerveau et de leur vieux os. Sur théories de découpeurs de crânes et de tronches ils vont adorer, parce qu'avec eux cela ne reste que dans l'intention, du moins de nuire selon les lois du FIS, de l'esclavage promulgué en famille encore en cours au Maroc et dans les pays arabes, en vogue en France de nos jours en plus du mariage forcé avec grosse brute, alors, dans ce cas, l'on ne fait rien sinon par la simple pédagogie et la plus stricte explication sereine. A mon égard les règlements de compte au trépan laser, aux groupes électrogènes leurs artefacts et contrefaçons, infiltrées en contrebande, le plus souvent arriviste et activiste. Le tir par balle simulé par laser ou autre engin de torture de leur cru, en plein front et dans les coins du nez, en période de rififi (chez les Ploucs, le film). Dans les points G au dessus de la lèvre supérieure, points essentiels du flirt et du baiser, castration des zones du plaisir de main de plouc. C'est tout le style qui m'en est resté, ou logos empreint de paternel à baderne, dans ses bons jours à vous mettre par terre.

Face à l'incompréhension face à ces cas là de rites de persécutions sur esclave dans les familles du Maghreb, en France actuellement et immigrées, l'on ne peut parler, chez les psychiatres, ah, ils avaient mal compris, pour parler de bonne compréhension, seuls capables apparemment d'analyse, de manque de compréhension psychiatrique et social propre à la schizophrénie, en fait qui s'oppose systématiquement à tout individu capable de dénoncer les faits du drame national qu'il vit, et donc déclaré schizophrène, c'est encore le schizophrène qui ne comprend pas quand il manque de compréhension, envers lui, quand il a été démontré il y a longtemps qu’il se heurte à un mur d'incompréhension violente, rituelle et obsédée des critères raciaux, dans la menace de la rafle, ou de détermination du mal, toute aussi douloureuse que l'étoile juive du brassard quand on vous la coud à vif au fer rouge, en plein crâne.

Et c'est dans la tête que vous l'avez. Créant à force d'opération mutilatoires maintes et multiples des zones du savoir de la cognition et de la conscience lucide du cerveau, le handicap jusqu'à l'infirmité multiple et réelle, le traitant sous, par la répression psychiatrique jusqu'à causer le décès, prématuré.

La psychiatrie une forme pernicieuse et déguisée de la répression, qui ne leurre ou rarement personne sur ce fait. Mais escroque et dupe. Et non une Médecine purement éthique. Pour ceux qui y croient encore. La répression psychiatrique une forme de libre consensus de l'État avec la population et la Médecine.

Vérité, démocratie et effet placebo. Appréhension de la réalité, vérité réalité, absence de réalité et vécu non fondé, ça moi surmoi inconscient et subconscient collectif. Délit d'opinion. Expérimentation scientifique. Le ça dépravé adonné à la dépravation et l'addiction secrète ou avouée, le moi esclave d'un surmoi patronal détenteur du pouvoir.

Etre et paraître. Dixit l'aide-ménagère.
La vie quotidienne d'aujourd'hui forme déguisée de la torture.

La science, la médecine, doit-elle mêlée à la vérité et doit elle seulement servir la police scientifique, affaire de corporatisme et de castes. Senteurs de fauve, de salsa et de WC à la menthe.

Je serais plutôt tentée de voter pour un rassemblement de la gauche sans les effets de torture du parti communiste, français ou pas, les extrêmes politiques se rejoignant dans le fascisme dénommé extrémisme. Rassemblement que prêche sans l'avouer vraiment Ségolène royal s’il le fascisme doit devenir européen, ne sachant que dire sur le fascisme européen déjà régnant, ni sur ce que cache le programme de Marie Georges Buffet. Miroir aux alouettes véritable son du mouroir de Goulag et ses jérémiades de morale de camp. D'internement. Au cas où vous ne sauriez pas vous débrouiller seul.

Psy communistes en sus de ceux du groupement Résurgence, un repère de nazis de tous les fascismes, y compris pour les origines de certains des leurs, aux fascismes issus des fascismes de l'étranger. Aucun pays n'ayant échappé au fascisme de la pratique encore actuelle de la torture sous quelle forme qu'elle fut, tout pays possédant ses méthodes, avouées ou tues, des plus barbares autant que les dites "mœurs" françaises, ou coutumes traditionnelles de la torture. Torture française. L'essentiel étant de ne pas crier. Ou.

La propension à l'autocensure instaurée par le peuple qui se l'inflige depuis les grecs jusqu'à l'affliction somatique due à une intimisation dans le moi-je de la torture et de la répression, qu'elle soit d'origine cognitive ou issue de la practis, génère un comportement auto suicidaire de groupe qui ne se calme que dans l'accomplissement du sévice mutilatoire et de l'acte de torture ou de cruauté handicapant sur autrui ne l'ayant connu autant que ses bourreaux. Forme dérivée de loi du Talion. Le tout récupéré, manipulé par les pouvoirs. Choisissez votre dictat. Les grecs sensés choisir leur dictateur dans la haute antiquité. Allez vous faire voir chez les.

Je vous jure que pour échapper à un PO il faut avoir fait sa fac de socio ethno psycho pédagogie en géologie souterraine de l'âme humaine quand le père ne m'a pas voulu ce genre de bagages. Et être expert en massages.

La révolte, mue par l'instinct de survie mu lui par la souffrance et la douleur, quand le coté animal de l'homme devient surhumain, révolte décrétée schizoïde, un fait en soi de la volonté de rétablissement de l'humain et de l'humanité chez l'Homme quand il dérive, et devient inhumain. Ou définition même de la schizophrénie. qui peut avoir son contraire dans la maladie. L'esprit de révolte ne provenant que de l'étude et de l'éthique. Selon le degré d'émancipation.

Critique constructive.

Psys. Opérant du cerveau par esprit de représailles sur tout individu, toute personne qui leur serait dénoncée capable d'actes de journalisme sur le monde contemporain et même peut être de l'Histoire, ou temps passés, dans les sens du socialisme actuel. Ou l'état des sources des médias quand ils vous soufflent dessus, actuellement. Crimes politiques sur toute personne capable de ce journalisme. Depuis la perte d'audience du Monde Diplomatique. Crise des médias, émancipateurs des masses salariales et intellectuelles. Je n'étais salariée, donc je n'y avais droit d'accès, mais je pourrais très bien en vivre, si cela m'était permis. L'art du syndicalisme étant en psychiatrie un vilain défaut.

Le fascisme mondial, pas forcément hitlérien, tout pouvoir absolu en soi fasciste, dans des faux-semblants de bonne foi.

Je ne suis pas la seule à le penser, communauté du silence. Sous la férule Ceausescu du knout français et le bâton du Maréchal, ou gégène, ses molossoïdes. Celui de Poutine et des nouveaux poutines du pouvoir.

Selon les méthodes de traite du mal de la Métamorphose de Kafka. Ou vous en pou.

Internée pour délit d'opinion. Officieusement.

Prisonnière politique. Réduite à la norme du lumpenprolétariat.

Autant de fois qu'il le faudra.

Sur la demande première de soins, d'un père. Retour forcé au personnalisme. Et vies maritales forcées.

Sous le prétexte que je lui vaut la ruine pour son devoir paternel que j’exige, au départ sous peine de procès pour abandon familial retourné à mon encontre jusqu'au placement par tiers, de m'aider financièrement à survivre.

Vieilles. Que l'on s'attrape, satrapes, comme l'on attrape des poux ou morpions vermine d'un triste individu. Vieilles, corrompant de prévarications proxénètes incantatoires obscènes et obsédées, obnubilatoires, de type famille d‘accueil Groseille ou Thénardier, tous voisinages encerclants dont je ne souffrirais ou souffrirais pour leur violence leur jalousie maladive, inconscience, leur irresponsabilité morbide et libidineuse, leur délinquance, de ses affabulations maladives s'il, mon père, est contacté et un œdipe à les faire me damner et sacquer, me vider de tout lieu, me violer par la procuration du bistouri, électrique, de l'électrode trépanante tant infligée qu'il me voudra.

Jusqu'à l'apparition de la tare.

Les lobotomies, au cas où je ferais une fixation dessus...

Père. Cerveau de l'affaire, dans le dédoublement de personnalité complexe du loup garou, ou lycaon, roi bourreau fanatisé à ses heures, du viol thérapeutique par la procuration de la maltraitance dès la moindre idée de levée pour moi de curatelle, même partielle, m'handicapant gravement jusqu'à vouloir faire reconnaître la grande invalidité, qui lui sera gratuite du moins, tant de l'argent je lui en réclame, handicap à lui seul qu'il m'est et sous des aspects de bon aloi et bonne foi, armé des armes et bistouris des cliniques, père arme de ces individus et point de départ de l'affaire. Géniteur de moi-même. Instrumentalisation de sa haine due à un œdipe très autoritaire de Minotaure que je dois souffrir encore. Réfugiée depuis mes jeunes ans dans un jeune et un mutisme studieux sans avenir.

A les en croire, j'ai vidé son compte en banque.

Me voulant de ses activismes rapiats et malveillants, le découvert bancaire pour un retour en arrière de protection aggravée UDAF. Mainmise sous armes de guerre voire si cela se trouve de l’armée de terre distribuées en douce parmi certains leaders de la population et petits caïds de l'affaire. L'on vous en lobotomiserait nerfs et cerveau comme l'on vous arracherait le delco du robot en cas de guerre civile malsaine. Mais c'est où qu'on leur arrache le delco, à ce vieux truc, genre vieille chienne de guerre mais nazie, un rien bouffeur d'homme ?

Cliniques à cliniciens pourris de corruption qui nient l'existence même de ces moyens et méthodes de persuasion, l'existence dans leurs dossiers de faux et usages de faux en justice montés avec leur complicité de toutes pièces, me feront croire leur évadée pour chercher à me récupérer, s'assouvir sur mon crâne et mon corps en règlement de comptes, me coupant via le père les vivres à leur façon pour que j'en vide mes comptes, en banque, et que j'en paraisse mal, m'opèrent de lobotomies à décharges électriques à la chaîne sans fin de leurs magouilles. Espèrent de détourner la loi refaire infliger la curatelle, renforcée, voire l'internement si trop je résiste. Trafics. Détournements de lois.

Ou tout de Matrix.

Tripotages. Destinés à masquer l'affaire de corruption et de trafic d'influence politique concernant l'usage de la médecine depuis les années Charles de Gaulle et Mitterrand, depuis en fait les écoutes de l'Elysée et celles de Carole entre autres Bouquet ; m'interdire la publication et reproduction entres autres de ce livre. D'autres que j'aurai rédigés et qui dorment en secret. Dénonçant partiellement l'existence des camps fantômes et flottants de la CIA, depuis les années 93, avant les évènement des banlieues de 95. Pendant la cohabitation Mitterrand-Chirac. Surveillance cause de mon avant dernier placement d'office. Le dernier que j'ai eu subi ponctuant la publication de mon premier ouvrage Ether Bleu, et celle de mon second livre "Gorgone ou L'or fou, idées captives, contes cruels", ouvrages de mon cru et de ma dernière veine que j'ai eu payés très cher.

Inédits de la Chambre Carrée, à me refaire subir, dans le texte intégral.

Me heurtant à l'emploi de corps de métier qui me sont tous ou à peu près passés sur le corps de leur train sauf le chef de gare, et à leur corporatisme invitant quelques délinquants en bandes à me mettre le bâton dans les roues me griller partiellement sinon en tout et pour tout la cervelle et me neutraliser de leurs violences ne serait-ce que par l'acquisition organique de quelque grave infirmité je l'ai déjà dit, voire même multiples et assez sérieusement incapacitantes pour neutraliser un écrivain à vie, jusqu'à vouloir lui causer la défenestration s'il résiste, pour la véracité et la portée de ses écrits. Qu'il fallait rédiger avec l"accord inconditionnel de ses parents. Et de sa famille entière, damnée le plus souvent sans vouloir le reconnaître ni le savoir, pour ses activités politiques, par les mêmes effets répressifs. De méthodes similaires. Du moins pour ce qui est des chefs de famille. C'est pour ça que cela fait mal. Ou effet de torture morale, cénesthésique lui aussi.

Et vous pouvez toujours essayer ces méthodes de les leur faire reconnaître, ils m'en damneraient à m'en refaire interner, s'ils sont contactés pour ce fait, pouvoir des familles arme blanche du système de la répression d'État. Livré à la décision d'un seul membre de ces familles concernées par ces agissements, pour neutraliser l'activité contestataire d'individus repérés leur appartenant... Jusqu'à leur causer de façon voulue la sénilité prématurée ou atteintes de l’âge.

Et si par malheur l'un d'entre ces fanatiques du pouvoir absolu qui les relatent relit Ether Bleu, j'ai droit immédiatement au Microlax dans le cul, cf. précisément le passage en question de ce livre-là.

Pour reprendre, la lobotomisation constante que ce soit par n'importe quel type de méthodes et à fortiori par des instruments de ce type décrit permise, la lobotomie officielle par bistouri leur étant interdite au sein de leurs pavillons et département, ces mufles et rufians de psys anonymes faisant dans ce cas appel à des cliniques privées pour opérer en pavillon ou bien sans gêne à domicile sans vous laisser un ouf de répits. Bref, constamment persécutent de pressions mentales et physiques la même personne sous la cagoule et le bandeau des murs de ses lieux de vie, jusqu'à l'assassiner. La laisser débile. Dans un acharnement thérapeutique à passer inaperçu malgré les cris des voisinages et les scandales orduriers, cauchemardesques et Kafkaïens tus, niés déclarés fruit du délire hallucinatoire et cénesthésique du patient. Et ne faites pas trop de cauchemars.

J'ai bien l'impression que cela marche bien leur petite entreprise. Si ce n’est pas mimi.

Et quand on m'explose à la torture médicale électrique systématique, j'expose les tripes en artiste, c'est tout le sort de l'artiste dans cette ville. Sachant que les artistes vivent les phénomènes de la répression avec les tripes, donc les viscères, et que cela ne les éviscère. Mais il en manque de temps en temps un petit bout. Quand il a intérêt l'artiste, à rester contestataire, qu'il le veuille ou non, sa conscience tranquille rayée de la carte. Traité en handicapé, mental de préférence, s'il ne veut faire le trottoir. Ni se recycler.

L'Handicapé devant resté attardé soigné confiné, confié, étouffé de thérapeutiques et battu à mort, miraculé de la science s'il a survécu, soumis à la maltraitance à la salissure, la malpropreté, l'obsolescence et la vieillesse prématurée à vous faire traiter dès la quarantaine par gériatres, la multiplicité des infirmités et handicaps, l'erreur thérapeutique systématique, la stérilité et l'interdiction de se reproduire autant. La malnutrition et la fréquence sexuelle obligatoires, le rapport forcé avec orgasme assuré. La violence sexuelle des soins sur la sanction pénale jusqu'à la dite chronicité du prétendu mal, induit, causé, induré et trépané ne serait-ce qu'à force d'électrodes, à la chaîne. Dans la nudité et la mise à nu sous l’effeuillage de son cas.

Le père qui avait bu une bière certainement avant sa future mise en bière. Pourquoi, il en a encore fait ses hémorroïdes ? On les lui a trépanées. S'il le voit comme ça... Histoire de se faire crever... De ne voir en la douleur que douleur naturelle. Et non causée.

Moi autant. Problème d'hérédité ou simple art du climat répressif ? De faire s'entretuer dans l'entre-trépanage des familles entières sous le viol du violon de Mobutu. Pour des douleurs physiques mortelles passant vite pour morbides quand elles ne sont celles de la famille entière sauf moi et les miennes.

Massacres planétaires, jusques dans la France entière...

Préoccupations de terrain l'aveuglement idéologique et corporel, la cécité corporelle. Ne comptant que sur souffrance mentale et douleur du corps pour lui rappeler ses sens. Oubliés dans le travail, familles patrie, et la pénalité.

Déterminés schizoïdes ceux devant prendre la gégène médicale pour un pur un sex-toy de sex-shop, un simple rapport avec coït causé par vibromasseur, sans tenir compte des effets de la matraque, bien assenée jusqu'à faire dire le dit prévenu agité dans le devoir de s'agiter du stress épileptique de la guerre actuelle annoncée future quand on l'en tabasse à longueur de temps entre quatre trépans au bistouri laser entre deux étages et les cages d'ascenseur également, et le devoir à accomplir, quand il ne lui reste plus que le devoir pour seule liberté. Cela suffit.

Certains en dégénérescence certaine qui ne se prennent pour nazis, ni pour simples citoyens qui se prennent au sérieux, faisant payer le prix de leurs erreurs de SS, au nom de l'erreur humaine, inhumaine, pour leur dit sadisme et uniquement cela. Les nazis seulement sadiques anaux, psychanalysons le nazisme, ne vivant, obsédés, que de l'erreur thérapeutique dont celle des expériences scientifiques nazies encore sport de nantis, à une population entière qui regrette jusqu'à celle, l'erreur, qui a causé la découverte de l'aspirine et de la pénicilline, dont, je vous avoue, je survis encore.

Attention aux doubles sens de la phrase. Qui pourraient suggérer l'ironie. Selon le ton usité pour l'affirmer.

Les nazis n'étant que des bons pères de famille ne se prenant qu'au sérieux. Etre victime, un délire de persécution.

Tout cela ne devant obligatoirement que violer, ou faire mal et pas cela seulement, cela est permis aussi.

Et s’ils tentent d'assassiner, ils ne devraient prendre que moins de médicaments que moi-même devrais en prendre pour l'avoir subi, ce genre de tentative de meurtre. L'on ne meurt ici que du tabac du passage à tabac mais il ne faudrait pas que cela se sache que pas, l'insécurité. Bienvenue au club, du Front National et du Medef.

Bref quand ça vous vrille la cervelle il vous faut prendre un Valium, les neuroleptiques pouvant également faire effet d'analgésique. a moins de pioupioutage intempestif de la part de votre voisinage malade quand vous copulez, et là il faut s'adresser à votre psy, qui possède lui un certain charisme...

Quand la maladie mentale et la délinquance ne se distinguent de par les effets de la drogue, de l'alcoolisme et de la délinquance conjoints. Incarcérer ces contrevenants ou les interner en Placement psy devenant la pierre d'achoppement de la violence, entre partis politiques aussi au nom de leur philosophie, pas toujours éthique, qui peut laisser longtemps l'indécision et l'inaction à s'en faire sinon assassiner du moins exterminer racialement, radicalement et de la façon des plus morbides, dans des fins de vies atroces, ce n'est à moi de trancher le nœud gordien des problèmes de philosophie que l'on laisse se resserrer autour des gorges, mais aux experts des tribunaux s'il y a, du moins encore ; une psychiatrisation plus vaste des foules serait à envisager cause sa propension à la violence, faisant jusqu'autour de moi un foin infernal.

Avec le carré de zan à la violette dans le café de la voisine du dessus qui tourne telle mouche dans un carré, sous une lampe nue. Dans son manque d'hygiène l'arme au poing, Violette.

Besoin et manque dans ces HLM de l'OPAC et milieux petits-bourgeois, de tourmentes parties de snurf ou tournantes, autant qu'anciennement et tout récemment encore, sur des matelas pisseux, au fond des caves, tous à tourmenter une fille violée à tour de rôle, séviciée autant que possible avec tout objet qui pourra lui faire mal. Et lui mutiler, fracturer sans répit ce que chacun voudra lui mutiler, fracturer. Puis qui sera remise pour s'en débarrasser, à la psychiatrie qui la réduira en charpie d'électrodes et pire pour choc nerveux et traumatisme. De tradition dans cet HLM, manque qui se traduit par la recherche d'un bouiboui à fonder dans les étages, entres autres dans mon appartement.

Faut-il psychiatriser la violence, pathogène de ses actes et cause des pathologies diverses du monde actuel, je pose le problème, essentiellement communiste à mon avis et concernant de près les idéaux, la pragmatique de la gauche entière, c'est à la nouvelle psychiatrie s'il y a et je l'espère, de trancher.

Ce n'est à la police de choisir mais d'évacuer quand il le faut et non quand on le souhaite.

Je réponds à la question : La violence, mal premier du siècle à psychiatriser en premier et en premier lieu, ce qui serait résoudre l'existence des pathologies mentales et physiques qui lui sont consécutives. La psychiatrie n'ayant traité jusqu'à présent, que précisément, les victimes de cette violence. La violence, une maladie grave parfois mortelle qui ne se distingue du fait quotidien.

Le manque de mixité sociale dans ces ghettos de violence, cause de heurts quotidiens injustes, injustifiés, dus à la violence raciale, entre communautés de personnes et ethnies groupes et groupements délinquants, augmente l'injustice du traitement des minorités récupérés au cas par cas par les instances juridiques, administratives, médicales et psychiatriques. Dans la plus grande injustice, ignorance du fait et démagogie adverse imbibée de pouvoir des plus lamentable qui soit.

C'est où, les neurotoxiques ?

Couple aimant à deux ou à plusieurs me violer le cerveau reptilien, le mutiler de tabassages dans les zones cérébrales et nerveuses de la vie sexuelle à travers les zones les recouvrant, je devrais avoir épouse et époux pour leurs violences conjugales effrénées à invétérées destinées à m'opérer dans ces zones cérébrales, ce couple me violentant comme l'on baise, cherchant dans le système nerveux et le cerveau les aires sexuelles à violer mutiler et sévicier, me taquinant le cervelet au niveau des zones motrices de la vessie, la rendant incontinente de ce fait, version identique pour la zone anale, cervelet organe pris pour paire de testicules, parfois et bien souvent longuement cureté à l'électricité, d'appareils dits de contention causant plaies et lésions internes, destinées elles à simuler les mutilations de l'opération du cerveau. Jusqu'à ce que vous en vienne le flip du samouraï. Et là vous êtes schizo. A bleus sous-duraux, si vérifié.

Infantilisation du peuple des malades mentaux pour lui en faire tout un procès.

Cambriolages de mon appartement, répétés, avec perquisition de mes écrits, introduction de médicaments dans mes boissons, café, lait, vérification au crible antécédente et pour justifier de ces perquisitions quotidiennes, tabassages à main armée constants, persistance du fait pour assommer mes facultés intellectuelles de discernement sur l'affaire dont on me concerne. Tentent d'assassiner pour signaler et c'est leur seule mesure pédagogique, qu'on n'a à les appeler que pour tentative de meurtre; Et s'ils trouvent que cela n'est pas véritable s’ils assassinent pour de bon. Croyant les autorités, que les heurts ne pouvaient être causés que par mon attitude et comportements. Toujours donc le mauvais rôle. Lobotomies à distance au laser à vif sur quatre mois. Chaque an.

La zone occipitale en dessous de la zone pariétale, et n'étant que la fameuse zone dolichocéphale chez les juifs un peu trop dolichos, à l'inverse des brachycéphales ou brachys. Qui ont la nuque plate et le cerveau développé en hauteur et non au niveau de l'occiput, zone parait-il visuelle. Je vois, le peuple juif et celui des malades mentaux voit trop et trop bien, venir de loin.

Les schizophrènes pour une amélioration de leur sexualité, car déterminé que les schizophrènes en partie sont schizophrènes pour leur peu d'activité sexuelle, se feront trépaner selon les préceptes du Merleau-Ponty, bible ancienne des psychiatres sur la schizophrénie, dans les zones occipitales supérieures de la bosse dolichocéphale, bref légèrement au dessus, où à mon avis se situe l'emplacement interne au thalamus, de la glande pinéale, organe cérébral moteur de la sexualité découvert dans les années 80, opération dont ils connaîtront la rédemption dans le coït obligatoire avec le reste de la copulation. Un Merlot, ou picrate, celui du voisin, un Merleau-Ponty et votre vie est foutue. Ce qui m'a valu quand mon voisinage a voulu me l'appliquer, la ré hospitalisation. Et la mise en quarantaine avec internes.

Chez moi ils n'auront qu'essayé la pâte d'amande, les fruits de mer et le poisson, et ça marche, me va bien. Et remet la machine en marche.

Faites gaffe ensuite à la crise d'érotomanie, ça ne loupe pas. C’est pour cela, qu'aux schizophrènes, de la pâte d'amande, en principe, ça ne leur pardonne pas, on ne leur en donne pas. Chez eux, c'est les œufs.
Mais, au fait, vous ne pouvez pas faire ça qu'avec votre mari ? Il n'y verra que du feu.

Dira l'interne, très vétérinaire.

Mari, au fait quel mari ?

Brachys. Ne se contentant pas de l'analyse primaire mais la voulant très primitive, et/ou psychiatrique. A faussement psychanalytique, histoire d'en savoir d'avantage sur votre vie intime et privée, bref, sur vous. Jusqu'à la senteur de sauvage. Ceux qui ne se suicident de l'opération de nettoyage en profondeur, déclarés sombrement schizophrènes, car plus révoltés que suicidaires ni forcément en état d'autoculpablisation dépressive. Sauf peut-être bien en phase dépressive ou cas de mélancolie, atteinte paroxysmique des deux maladies. Parfois avec atteinte tuberculinique à rester tubercule vieillot de Flandre un temps, des coups et blessures du test de personnalité matinal. Vérifiez le test.

La schizophrénie, au fait, maladie identitaire et relationnelle pas forcément à l'essence de tiaré à tarer, mais cela peut être tout comme, dans les parfums de faune, et non de rose-thé, le tabassage à main armée de simulateurs de gégène néogène faisant office de mise en relation préventive et de mise en relation. Ce qu'il en résulte la crise identitaire, pas celle du parti mais la votre.

Jugés ces médics qui laissent tant agir dans ces agissements, uniquement sur la loi du talion à leur infliger à ces damnés en fonction des tortures et crimes contre l'humanité qu'ils auront commis et protégés de leur connaissance en matière de médecine licite, et de leur degré de corruption, méthodes de sanction pénale seule et unique possible et envisageable dans la mesure des circonstances. Pénalités non légales bref illicites et détournées du vrai droit juridique licite sous l'instance d'une jurisprudence de l'administration qui de sa propre volonté et sur le témoignage ou l'aveu de témoins dûment interrogés, de faire payer ses coupables autant que ses victimes, de la façon la moins officielle qui lui soit permise. Ceci dit, les victimes psychiatrisées auront été plus grugées encore sous les mêmes armes et pénalités.

Ces médecins auront trituré jusqu'à l'esprit de meurtre, et que cet esprit vienne à leurs malades s'ils n'en souffrent au bout d'un moment cela leur vient vite, tous remis en liberté et armés d'appareils de contention dits de soins dont ils vandalisent autrui créant toute une pathologie médicalisée dans les populations et mêmes les ethnies. Tout individu, même enfant ou nourrisson qui leur serait confié, traité indifféremment de quoiqu'il souffre ou pas, selon les critères caricaturaux de la maladie mentale grave, conjointement à ceux tout aussi caricaturaux, concernant la caricature antisémite. Considérant la lobotomie de type anti-sémite, problème nazi, sans anesthésiques et quotidienne, sinon le poste à soudure dans les parties génitales jusqu’à paralysie totale ou partielle du corps et des nerfs, aussi peu grave que l'introduction chez les nourrissons de suppositoire. Chez eux très pénétrant. Lobotomies sous forme de plaies et lésions cérébrales causées de trop de séismos, trop prolongées jusqu'à un temps de vie réduit dans l'alpague l'éternelle querelle quotidienne la torture obsessionnelle et le sévice ordurier...

Et que cela se sache sans jamais être véritablement dit. En attendant leur énième vengeance médicalisée à revanches étatisées, sur ma personne si c'est tant sur ma requête dûment réclamée par la foule de braves gens prévenus ou mes témoins dans l'affaire, qu'ils, ces médecins Diafoirus autant foireux que leurs obédients et ils font masse, auront frisé le suicide. Ou tout de Brès, Robert, lui-même après contrôle étatique sur son administration du problème que je lui représentais, auprès de sa populace de vandales, de gardiens de troupeaux et de malades tous ou à peu près très alcoolisés, sous drogue armé et très peu suivi pour ces faits, leurs crimes avoués. Ils étaient nombreux, autant que possible cul et chemise avec le complexe hospitalier dont celui de Lapeyronnie, Arnaud de Villeneuve... et ses trafics, sinon de produits illicites toxiques du moins d'influence; très nocifs.

Contrôlant d’une ingérence totale dotée de pouvoir absolu, ma vie privée autant que secte Moon et de Scientologie à vous faire périr sous les coups et blessures de leurs vandales, malades mentaux pour la plupart à qui ces deux départements souhaitent épargner la procédure d'enfermement, tournent l'affaire à mon encontre, ne me protégeant contre leurs tentatives répétées d'assassinat à mon encontre que par la procédure de PO, détournée de son vrai droit et opposée à ma partie civile, bien et dûment arasée dans mes lobes frontaux cérébraux autant, entre-temps, de ces maints procédés de procédure illicite, interventions officieuses. Jusques dans les organes du cerveau reptilien, au cas où il serait le moteur de mes recherches intellectuelles et constatations.

Et le père qui contre cela n'a rien pu faire.

Moi-même nègre négro et négresse de Brès, son département et Her collègues de boulot, condamnée pour ma partie civile antécédente à manquer de se suicider sous les lois de la gestapo, si je restais dans les lieux, et n'acceptais d'être exécutée quand cela prenait trop de temps, il le tait, lois qu'il m'aura de toute sa secte infligées, si cela n'est que simplement incommoder. Jusqu'à l'accommodation forcée à ces tortures le plus souvent poutiniques à munichoises, passant d'un extrémisme à l'autre avec la facilité du coup de fil. Il ne fallait simplement pas que cela se sache.

L’esprit de persécution des masses s’investit dans les dénégations outrancières des petites vies discrètes, cache sexe sous le coton du sparadrap d’un vide culturel évident autant que prognathe, autrement dit l’ignorance, béante de crédulité ou rebelle envers les autorités, peu exigeantes en matière de résorption des scandales qu’elles auront causés.

Les masses elles, exigeantes auprès de ces autorités pour ce qui est d’un nouveau sacrifice humain, Les chiens aboient, la caravane passe, mais sur le corps de l’individu. Unique, Indivisis. On peut aussi vous le servir en kit.

La simple norme devenue génie. Dans le truandage optimum.

La folie n'étant que ce que l'on en imagine. Et veut bien en croire.

L'artothèque chez les Sarkopythèques...

Un flic armé jusqu'aux dents, un CRS, un infirmier, un médecin, un psychiatre assermenté, un étudiant tous sur les bancs de l"université cela fait beaucoup pour un étudiant, et il faudrait qu'il travaille bien, et gagne son argent ? Pas nian nian. Et un électricien caché dans un coin. Après le plombier, il fallait noter de peur de l'oublier. Artoung, shnell et au charbon pour Sarko. Guomingtang gominé. Autant que ses préfets. Inflamant pour le manque de tourtes de quiches et de flamiche. Sans compter la crise d'implant au niveau de l'urètre, compissant.

Mais permettez que je souffre en silence. Et il fallait que je souffre de quoi exactement ?

Dans le silence du Négociateur, le film. Peuples souffre-douleur. Hommes, femmes, enfants.

Piquée sans carte de visite par des plombiers très attachés à l'électricien, ligoté lui au poteau indicateur, pour que cela puisse les faire taire. Au cas où cela leur plairait sans cela, de m'estropier.

A n'inspirer que de coups de marteaux, faire passer par tous les synonymes du terme torture, sauf par le mot torture. Mot torture tabou, acte de torture défouloir et langue de bois journalistique, la censure passée par là, psychiatrique, policière, judiciaire et d'Etat.

Sévices, violences aggravées, voies de fait, intimidations, passages à tabac policiers, coups et blessures, exactions, répression à l'étranger, violences conjugales et à domicile si reconnues, enfance martyr, violences sexuelles attouchements et lésions corporelles, brutalités, opérations psychiatriques du cerveau et électrodes, dégâts matériels maltraitance et plaies, surinfectées, surinfections à suppuration, ulcérations à points de suture et autres déterminismes concernant les séquelles. Précisément des actes de torture. Tout mais sauf le terme de torture. Torture. Terme non reconnu par les services de jurisprudence et de police. Sous peine de graves maux de têtes opiniâtres ou céphalées parfois violentes, et d'ablation de l'utérus, des ovaires dont un non fonctionnel et voire même de la prostate. L'usage en France de la torture électrique dans les commissariats et les hôpitaux taboue.

Folle mais de rage, d'amour et de rage.

Tous armés autant qu'américains, du sandwich, à l'heure de routine et de l'arme de poing. Afin d'exiger le passage de la France à la liberté individuelle d'infliger pour son propre compte la libéralisation en forcing avec prises en otage de têtes de pipe tout autant que moi, du meurtre de par la torture portée à son comble, à titre personnel privé et collectif de par l'euthanasie américaine à commettre par tout un chacun, en collèges et clubs privés, sur les dissidents à ce fait et donc de l'État. Crimes politiques d'État. Servant actuellement de censure d'État. Et d'exemples en particulier, afin d'empêcher de bouger ; parties de meurtres sur individus isolés ou non, contestataires à cette idéologie, en guise de thérapie par l'exécution sommaire, librement pratiquée et dénommée euthanasie. Dans ce cas hein des meurtres ce n'en est pas ce n'en est pas.

L'euthanasie de son plein gré soit, mais contre le gré du patient, à main forcée par l'exécution sommaire et préméditée, ou à son insu, un assassinat, pur et simple, le meurtre américain qu'est l'euthanasie pratiquée aux USA. Pour des dites précautions d'État, bref, l'assassinat politique. Récupéré par Trotskystes et le Front National. Lésions mortelles au cœur, au front. Récupération qui fait du pays un état policier depuis Charles De Gaulle, de Mitterrand jusqu'à nos jours. Quoi que toute Mitterrandienne que je sois, j'en pense.

A chaque changement de présidence et chaque élection j'y ai droit, dès qu'est remise en cause l'abolition de la peine de mort remis sur le tapis le problème de l'euthanasie. Prise pour trotskystes moi-même, devant rester zen en dissidence contre le trotskisme depuis mon adolescence et donc en grande difficulté, de tant être déterminée contestataire à cette secte mao, donc malade mentale, prise entre groupuscule mao et regroupement fortement raciste, autrement dit, fasciste, envers femmes libérées et juives d'origine juive. De là tout mon état. Avec ce que cela peut faire supposer sur mon compte et ma personne entre autres supputations et préjugés à préjudices prévarications corruptions graves de témoins du drame, le collège de soins qui en découle quand aux suppositions de la médecine psychiatrique si elle aime y croire...

Pour ce que cela lui rapporte. Les médecins, médics selon moi, y trouvent plus à gagner de soigner à vie un même individu que devoir payer l'essence dans le moteur de ses voitures de fonction, les maints déplacements pour un roulement de plusieurs individus à traiter, politique de Trieste, payer les soins à prodiguer à beaucoup plus en fait de personnes que quelques unes de rares, revenant un surcoût. Traiter une "poignée" d'individus, victimes dissidentes, déclarées déments, politique faisant baisser par là le nombre officiel des aliénés déclarés sur le territoire du pays, grimper le niveau de la violence sociale, les individus agresseurs laissés en liberté, leurs victimes enfermées, à l'asile de fous. Pour folie et actes de légitime défense si c’est le cas, non reconnu mais traité en tant que folie dangereuse et suicidaire, à accusations mensongères envers ces agressos.

Eux même drogués alcooliques psychopathes dans un état de violence gravissime, mémés en rut et état de satyres du démon de midi de leur âge. Et là on est vite baisés. Pour que le pays claque du nombre de ses véritables aliénés en état d'agressivité dangereuse et laissés délibérément en liberté sous des prétextes des plus divers. Folie publique. Déclarée de fait la norme. Selon mon expert psychiatre, j'en ai un, ainsi que toute femme libérée de ce pays pro américanisé, libérée pour la bourgeoisie de son aspect, le viol et la barbarie étant dans la nature humaine donc naturels et donc normaux, les non-violents je suppose aliénés à déments face à cette "normalité" du fascisme et de l'intégrisme, soudard à militaire.

Comment l'avis d'un seul expert archaïque en la matière parce que crédule envers le toupet et facilement influençable à l'égard un nazisme négationniste dénégatoire envers les libertés et liberticide, c'est encore le moindre de l'aspect du fascisme, ou là c'est moi qui dénègue, fascisme triomphant ne serait-ce que d'un Père, d'un tiers quelconque, peut faire basculer une région entière pour l'action du dit expert auprès des tribunaux de toute cette région, dans le néant du fascisme. Professeur donc protégeant le tout. Cherchant la peccadille à mettre en épingle des épingles depuis les haut temps premiers de l’électricité pour discréditer d'avantage tout discrédité, le, la condamner, séquestrer, torturer, bâillonner contrôler et sanctionner à volonté, clouer le bec le bec mis dans l'eau, toute une vie durant, jusques pendant ses copulations, trop activistes certainement, à homme femme ou enfant martyr remis entre ses mains.

Expert moyenâgeux médiéviste féru laissant d'autres départements que l'officiel en commettre plus sinon pire sur ses damnés pour le fait qu'il est trouvé envers eux pas assez sévère pour ce que l'on ne lui avoue rien. En fait condamnant sans même vouloir là-dessus s'en laisser compter. Sinon. Sion. Reconnu le plus libertaire des psys que j'ai rencontrés et persistant à me suivre et traiter dûment et durement selon les lois de la répression psychiatrique malgré mon seul suivi, ce dont je crains de justifier auprès du dit expert, pour ses aptitudes à la sanction lourde. S'il fallait avouer publiquement. Prise entre chien et loup, évitant de peu le massacre des Sabines. Jérémiades de Déjanires, en mal de miam.

Baisée.

Censure étatique là dessus.

Voisins. Pressions sentimentales et physiques sur ma famille, suppressions.

Et quand ils ont quelque chose dans l'idée il faudrait me l'enlever du closc. Ou coquille de l'idée. Ou mon crâne, selon le Père. Ma coquille de Caliméro. Ou tout Caliméro. Traité par psys inconnus à distance de quelques appartements sangsues, bref sous la cagoule le bâillon et le bandeau, sur les yeux si l'on ne m'en trépane les orbites les protubérances du cerveau,et les zones frontales, à coups de séismos à rayons pis que ceux d'oncologie, cliniquement testés sous contrôle de firmes traitant le problème, jouant de mon esprit et de mon corps de ses douleurs et souffrances, s'amusant de mes blessures, me tabassant de ces appareils, récupérés de l'oncologie allez savoir à des fins psychiatriques, neurologiques et neurochirurgicales, sans fin ni avenir pour autrui dans le même cas ni pour moi. La mort subite à l'hôpital ou la mort lente chez soi. Si cela me tue déjà il me fallait mourir d'avantage. Sous les couverts de douceur humanitaire des pavillons disciplinaires.

Prenant en coeur mon cerveau pour une tumeur, pour leur cancer de l'idée. Et leurs idées malignes, proliférantes.

Complexe familial de tabasser à l'opérer et mutiler Cendrillon. Cendrillons des familles jusqu'au sein des familles maghrébines, pratiquantes. Leurs poupées, esclaves, à cogner et dépecer, pas toutes, en communauté. Parce qu’intelligentes et trouvées belles encore. Créant ainsi autour d'elle la jalousie, à les décimer. Poussées par légitime défense par les scènes de torture sur leur corps devant rester inhumain et animal, sous les coups et blessures incessants, au crime comme au suicide, devant retourner l'arme contre soi par peur de tuer, autant que sous nazis, sinon par pure expérience, devant choisir, se tuer sinon à la tâche du moins de suicide ou être assassinées. Sinon le cyanure à prendre dûment autant résistant que sous nazis si vous refusez la torture et l'exécution de leur main, dans le repas à l'asile des fous.

Le concept même de torture française et celui de délit d'opinion, inacceptable inconcevable en France mais dont la présence est rendue bien présente et objet de tabous sur le territoire national par l'action des autorités au sein même des populations, cette idée tant inconcevable d'oser sinon l'avouer du moins revendiquer la notion même de son existence, remontant à la surface avec l'épisode Dastier, à la surface du lac tel cadavre immergé sous la partie cachée de l'iceberg, formule psy.

Ou le complexe de Fatima. Tous les fous n'étant enfermés, dira l'infirmier.

Ce livre n'est pas destiné de prime abord à faire rire.

Je ne sais pas si l’idée même de concept va passer.

Psychiatrisation de l'éducation religieuse, de l'école religieuse et laïque, sa fanatisation dans la torture médicale psychiatrisée le plus souvent électrique, psychiatrisation de l'enseignement de son personnel, de ses élèves et étudiants. Simulation par électrodes de l'effet de pénétration de baisers profonds par la douleur dans les zones superficielles érogènes du cuir chevelu et du crâne, jusqu'à la destruction de zones cérébrales profondes. Par viol avec violences. Boulot d'immigrés que nous sont les handicapés mentaux, de nettoyer la terre de ces ordures qui nous gouvernent, nous, nous pas crus. Creusant dans l'art du décorticage, terme psy. Que de malades troussés et détroussés de leur vie sans façons de ces contacts électriques, leur problème, dans ces départements psychiatriques. La France cuve du Midi et du cépage français, moi-même traitée en schizophrène à paranoïa pour non ébriété lutte contre l'ivresse autre que celle de l'amour et absence d'usage d'alcool, de drogue et de neurotoxiques. L’ivrognerie lutant contre l'ébriété et la griserie de l'amour. L'ébriété de rigueur obligatoire. Le pape en ce genre de discours concurrençant Che Guevara. Battre ou abattre, moi, je guide de la guilde des guides, décrite par Kate Millet dans la Politique du Mâle. .

La France à l’ail au cerveau à l’aïoli de Marseille et ses trafics de drogues depuis ses comptoirs d’opium, cause de marées humaines d’handicapés physiques et mentaux, si le bébé que l’on voulait tant à l’ail faire passe, qu’il est né, malgré cela pour les embryons non désirés, la plante ciguë des embryon, je l’ai déjà dit. Avant toute vague d’herpès qui a suivi dans les années 80 mêmes effets sur la population, naissance d’handicapés mentaux et anomalies, malformations de toutes sortes. Bizarreries que ceux qui l’ont dit.

La consommation d’ail chez les femmes enceintes continue, celle de plantes abortives pas légères telles la framboise et la figue continue. D’où des grossesses cerclées dont je suis issue, fille du Distilbène, produit médicamenteux destiné dans les années 50 à éviter les fausses couches des grossesses cerclées, cause de malformations génitales uniquement, dans la deuxième génération de filles de la mère qui en a pris pendant sa grossesse, et cause de fausses couches, stérilité chez ces jeunes femmes, douleurs génitales hyperalgiques féroces et même cancérisation.

Donc, prendre des médicaments pour soigner ce que l'on voudra mais attention à ne point user de traitements dangereux pour les générations avenirs, sachant les déboires des générations nées de femmes enceintes ayant usé de l'Aldol, neuroleptique archaïque datant des années 50 à prendre de nos jour de façon obligatoire à vie chez beaucoup de personnes dites démentes, sous peine d'internement, les statistiques sont tues, dangereux pour l'embryon et le fœtus pendant leur grossesse d'où l'exigence de stérilité des femmes qui en prennent, de façon obligatoire pour la plus part et donc la remise en cause de la loi d'emprisonnement d’environ 5 ans concernant la pratique de la stérilisation forcée. Leur fœtus, embryon pouvant présenter des anomalies ou être non viable. Pour comble d'abomination, ce qui justifierait encore de nos jours et cela dure depuis des décennies et les années 80 aussi, campagne de stérilisation forcée auprès des masses et des psys par psys pour l'usage de torture électrique ou leur infestion dans les trompes et ovaires pour les stériliser jusqu'à des ménopauses prématurées, et dans l'utérus, pour les cancériser ou gravement endommager, afin de justifier le droit d’ablaver ces organes dans des mesures d'hystérectomies ou totales totalitaires. Ovaires dits non fonctionnels.

Stérilisations forcées la plupart du temps à l'insu des patients, sous couvert et sur ordonnance de la DDASS, impliquées dans des affaires durant ces dernières décennies, de prostitution contrainte et forcée. Donc, de proxénétisme et de viols sur pupilles de la nation exactement, statut dont font partie tous les handicapés mentaux.

Etude effectuée par l’INSEE du département de la Gironde dans les années 90 sous la cohabitation Chirac-Mitterrand, et divulguée par Charlie Hebdo à l’époque.

La recommandation de stérilisation des masses passant par la prise suicidaire de contraceptif hormonal chez les femmes, dès sa nubilité autrement dit dès son adolescence, la plus part des femmes ayant eu recours jeunes filles à cette stérilisation autre que celle préventive bien plus saine du préservatif, souffrent de cancérisation et de cancers le plus souvent du sein, épidémie tue, sous-entendue, aucune prévention consistant à retirer les contraceptifs hormonaux du marché, ce qui représenterait une grande perte financière pour les laboratoires, sphères pharmaceutiques et médecines oncologiques, nucléaires allopathes et chimiques, le taux de cancer dans ce cas baissant, le projet de prévention donc est tu, étouffé, soufflé par la répression citée.

Le recours légal soit mais systématisé à l’avortement ou IVG en question, pratiqué sans façon ou prévu autant qu’envoi de lettre de dépôt au commissariat ou auprès du tribunal dans chaque famille comportant une jeune femme ou fille en âge de se reproduire, parfois anté-majorité, sur la pression de la famille voire du concubin ou simple partenaire, met en péril l’idée même d’être humain, bébés, fœtus, embryons d’être humain délibérément envoyés aux poubelles autant que poisson rouge aux WC pour cause économique ou simple dictature de famille considérant sa progéniture tel ennemi, par esprit d’appropriation cannibale de son corps, de possession religieuse ou intégriste même athée de son esprit et de ce qui le constitue. La plupart des individus de notre espèce ainsi.

Interrompre les processus de la vie une entreprise assez grave pour que l’avortement ne soit pratiqué autant librement, sinon à tout va et à la moindre occasion de déplaisir envers une grossesses, et ne devrait en fait se limiter qu’aux cas exceptionnels de cause thérapeutique, mise en danger de la santé ou même de la vie de la mère, vital donc pour la mère ou malformation génitale propre à compromettre la vie du fœtus ou de l’enfant à venir.

Certains misant sur la malformation avérée ou présumée du fœtus, de l’embryon, pour pratiquer et préméditer les techniques de constitution de la malformation permettant l' IVG envisagée dans le but d’une purge ou épuration ethnique d’une partie de la population.

Douleurs névralgiques causées par la présence de cet armement, à laisser fou, un rien demeuré, voire commotionné et largement dans les apparences de l’agitation, tant insupportables. Se méfier des psychiatres, tout le monde n'étant beau ni gentil, film de Jean Yanne, à réviser, n’y aller avec autant de bonne foi. Ruser autant que sous nazis, s'il faut passer quelque mot d'ordre. Ne déposer des plaintes qu'en justice, et aux autorités administratives, aidés d'associations, soutenus de témoins. si en cas d'agression, vous le pouvez encore, ne pas attendre, ni s'endormir dans l'affaire.. Si votre existence se heurte au rempart de la présence sur le sol français de cet arsenal paramédical à paramilitaire d’armée de terre, cela reste très difficile de témoigner sans se faire enfermer, ni traiter à vie, le sceau du secret médical couvrant de la loi du silence jusqu'au crime politique s'il le faut, la présence de cet arsenal en Europe du moins. N’hésitez à enter que sous couverture associative si vous pouvez encore témoigner, entouré du soutien d’amis, de relations et de famille patentée pour cet effet, ou l’on vous préfèrera petit garçon ou petite fille pour le restant de votre vie et là vous creuserez à la pelleteuse profond et encore jusqu’à votre décès, à décortiquer. A vous infliger des lobotomies avec autant de tact que l'on vous pèterait un genou des mêmes appareils.

Le territoire français sous l'Occupation de cet arsenal de guerre, sauf quelques régions non occupées, de France Libre. Appel à la résistance face à l'invasion de ces armes, sur le territoire européen, face à une fascisation réelle et non crue, autant que face aux camps d'internement, de l'Europe. Les masses du pays dans le manque de confiance envers les premiers résistants de 1940, que le peuple juif, désarmé, incrédule et buté. Réduit au stade de l'étudiant attardé, de ces méthodes d'infantilisation des masses. Ou l'idiot. Les deux tempes arasées aussi sec. Lobotomisations à créer des complexes, des tics, TAG et TOC des médications préparatoires usitées.

Le style des dossiers du Monde Diplomatique un peu trop mélancolique au goût des psy, quand ils vous lâchent vous jouissez de foi. N'importe laquelle y compris pour soi, pourvu qu'il vous en reste une que l'on sape et torture encore. Psychiatrisation des écrits et rédactions de livres, complexe de sécurité parfait, si l'on ne vous en crée.

Ne survivront que les collaborateurs, ou nouveaux collabos et la France actuellement s’entraîne à cela avec euthanasie en projet de la population des malades mentaux.

Type de situation identique à celle des années 1920 à 1930, sous la montée du fascisme qui avance, profitant de l'ignorance, en Europe, et des gargarismes chauvins sous les Jeux Olympiques hitlériens. Certains en témoignent, tel ce dessinateur d'un court métrage en dessin animé réfugié politique en pays d'accueil, concernant la Marche des marteaux en Europe, issu de Roumanie ou de Pologne. Dans ces pays, l'enfer, pur.

Résister, autant que le fait la nouvelle gauche américaine, depuis longtemps. Avec tri préparatoire à l’extermination, de qui en est qui n’en est.

Destruction à peu près totale préalable, à la troisième guerre mondiale qui se prépare, de la gauche française par manque de concertation, de son intelligentsia, complètement bourrée, sachant qu'elle pouvait construire une résistance et la fournir en effectifs. Chacun devant prochainement lutter jusqu'aux dernières de ses ressources intérieures. Cassandre antique de l'Antiquité que je suis.

Ainsi que disait la parabole biblique, lisez, tout est écrit, là. Que la situation perdure, un rêve de bourgeois de vieux fous qui ne voient que ce qu'ils croient, s’occultant le réel problème de problèmes inexistants à factices et superficiels, mis en épingle et destinés à occulter masquer la rmontée actuelle du fascisme et la fascisation de ce capitalisme rampant.

La population des étudiants, quelques artistes, intellectuels et diplômés entrent en guerre ouverte ou souterraine contre cette pernition fasciste de la république, de l'Europe et du monde occidental, en voie d'une lente fascisation depuis les années 50, résistants d'un nouveau siècle autant actifs et désarmés que casques bleus de Bosnie. Offrant là un parc de prisonniers politiques, cible victime première non reconnue des répressions, bouclier humain innocent de toute l'amoralité du pays. Qui ne compte pour sa moitié que sur leur vie et leur action dans le monde.

La voix des sirènes.

L'acquisition préventive contrainte et forcée sous l'opération continuelle et quotidienne du cerveau, des symptomatiques de la maladie, ajoutée à des méthodes violentes de tortures inhumaines, déterminée déstabilisation du sujet. Commise entre autres méthodes déjà citées, de l’obnubilation par attaques racistes et préjugés accusateurs.

Après cela, d’après ces médics et médecins, l'on ne meurt et l'on n'est malade que de soi. La maladie mortelle inhérente à ce genre, le contestataire et sa critique constructive revendicatrice. Ne serait-ce que la critique altermondialiste envers le pays et le système mondialiste capitaliste jugée accès de mégalomanie à mélancolie, bref, état grave de crise.

Pour mater il y prennent le temps, 20 ans s'il le faut, infligeant électrodes et méthodes répressives électriques et maltraitances voire mortelles d'autre nature, jusqu'à épuisement absolu du sujet qui ne se laisse que faire désormais, quitte à accepter que l'on l'exécute, pris d'accès suicidaire, face à la douleur insupportable cause de la menace de folie qu'il sent venir de façon imminente sous les coups et blessures constants. Jusqu'à parfois la survenue de l'accès épileptique dont chaque crise peut s'avérer mortelle si non suivie de près par personnel médical expérimenté. Le corps trop endolori et horrifié se débattant et se lâchant, pris d'épuisement tant la décharge d'horreur et de légitime défense contenue, d'instinct de survie contraint, aura été puissante sous les tortures, après des années de course à l'emploi et de concours de dératage constant, pour une raison ou pour une autre, pain actuel des français, endommageant jusqu'au patrimoine génétique de la population. C'est dire si le dommage corporel du corps humain de chaque individu du pays est puissant. Celui qui en survit dit guéri de lui. A peu près et pour un temps. En plus du médicament requis pour s'en remettre et s'y préparer

Etudiants endormis de ces combats armés, sur les bans de l'université, jusqu'à l'abandon tant recherché par la libre concurrence, des études.

L'école de psychiatrie actuelle un pouvoir absolu. la psychiatrie actuelle datant de la montée au pour d'Hitler et de l'extension du fascisme aryen. Chaque pays possédant son type de fascisme.

Tentatives réitérées répétées et incessantes de me placer en famille d’accueil, recherche de familles spécialement d'extrême droite et de vieillardes pédophiles en mal de chair fraîche et femelle nounours à battre abattre et sécivier en tant qu’enfant, revendiquant ces familles qui rodent encore autour de moi ce placement, tabassant jusqu'aux vomissures dans les selles et l'intoxication mortelle lente. la trépanation à l'électrode constante avec arasement en fin de course du lobe cérébral choisi. A titre d'essai. Sous couverture de demande exprès auprès de la DDASS qui assure ce genre transaction et le proxénétisme de la moitié de la population de ses pupilles depuis les années 19990. Ineffable le type de revendications de ces familles qui revendiquent le placement en ce sens.

Pour instituer la prostitution au domicile des couples et en faire leur pain de ménage, que ce soit leur dada, chez certains cocos et cocottes leur cheval de bataille, le bordel rouge, repris par Dada et son pain bleu. Institution de la censure et de l'interdit par la neuropsychiatrie, au sein des populations

N'hésitant à l'ingérence et à l'introduction dans les domiciles et foyers, selon les méthodes de la gestapo, sous prétexte de leur réduire querelles et conflits graves. Moi-même leur servant de jésus et Saint-Louis à la fois leur prêchant dans le désert d'une voix étranglée sous le figuier de ses messes latines à y perdre son latin pour éviter la croix pour que ces impositions ne se reproduisent. Bavant là-dessus autant que femme vietnamienne recevant son mari en paquet cellophane. Du livre Photo années 70. Dans le trip de la pucelle entendant des voix surtout celle des contre-manifestants dans un caillassage à l'implant quasi général. Les efforts de l'hôpital pour soi-disant améliorer le confort du malade destinés à n'améliorer que le principe de la torture électrique et monter un arsenal de guerre, matériel militaire payé par les deniers de l'état,à titre de confort meileur du malade ou sécurisatio de l'hôpital et de ssecteurs psychiatriques.

Les recherches en matière de gériatrie et de neuropsychiatrie ou de progrès médicamenteux perverti de façon identique, destinés plus à torturer et tuer que rendre la vie agréable. Certaines personnes très mal intentionnées usant de ce matériel médical à l'origine destiné à opérer, pour des pratiques paramilitaires de la torture, instituant ainsi dans les foyers la torture de guerre jusques dans les rapports intimes. Pour résumer. Avec fichages par les autorités de chaque individu, si a participé ou a refusé l'expérimentation de la torture française. Tests gouvernementaux sur population ou partis à idées fixes, avec accords préfectoraux à l’appui en cas de signature de PO pour les plus récalcitrants. fichés dans chaque préfecture de France et de Navarre.

Et reproduction à titre de reconstitution des faits du drame viol pour viol, lynchage pour lynchage ce qui a soulevé des protestations dans les années 70, reproductions en cas de procédure illicite à contumace. Pour les revendications communistes du devoir de créer et instituer le bordel rouge par l’électrochoc et l’électrode.

De cette tentative de décapitation réitérée et reproduire de tous artéfacts et phénomènes artificiels ou naturels, certains on survécu dont je suis.

Dans l’auto endoctrinement quitte à se créer un complexe de Stockholm envers le corps et ses bourreaux, quand il fait mal, se le prendre pour un mari à soi qui nous bat, dans l‘anti-féminisme parfait.

Et Dieu sait si un corps quand il a mal sait éviter la souffrance trouvant cette image de port de mari en soi chez les femmes pour éviter la douleur de plein fouet, le fait de différer atténuant les brutalités dues à un contexte extérieur, puis dues à la nature, dont le contexte pour punir sans scrupules, jusqu'au moment des copulations s'il le faut, use.

Seules les anorexiques ou dites anorexiques, maladie montée de toutes pièces autant, dénuées de ce dédoublement de personnalité, chacune entière toute en soi et une.

Formes de violences conjugales n'hésitant à faire appel la psychiatrie pour régler le problème et parfois selon le degré de victimisation de la femme, l'accabler des violences conjugales psychiatrisées de psychiatres en mal de reste leur père fouettard, dans un complexe de proxénétisme envers la femme récurrent à vie. Dans ce cas ils éviteront la neuropsychiatrie et passeront immédiatement à la neurologie, sans limites toutefois. Histoire ces femmes battues de les battre encore par le fouet des électrodes, au cas où certaines se vengeraient sur d'autres et autrui avec dangerosité, sur d'autres ou autrui, auquel cas elles justifient les violences qui les accablent, auquel cas c'est la dernière victime qui prend et qui charge. La voisine du dessous ou le petit, la petite. Ou piotte. Que le mari bourreau devenu enfant roi des psychiatres, et Père Ubu, laissé en liberté non traité, traite également, en la battant des mêmes méthodes de maltraitance. Pour laquelle la psychiatrie est appelée dans le but d’y habituer la victime, dans la reproduction psychiatrisée des faits.

La psychiatrie ne traitant, n'enfermant que les enfants martyrs, femmes battues, veuves, violées, victimes de crimes et préjudices de la société, boucs émissaires et souffre-douleur de la population. les violents qui en sont la cause laissés en liberté, paradant dans leur bêtise inculte et triomphante, ne voulant les laisser que sans réplique, les attendant à la sortie de l'asile, pour reproduire leur violence sur ces victimes. Certaines, prise dans le piège de la légitime défense, tuent leurs bourreaux et meurent des soins de l'asile. Exécutées.

La psychiatrie ne traitant que par l'usage de la torture sur prisonnier, le plus souvent politisé, si conviction politique, prisonnier d'opinion et celui là prend pour tous les autres. Fait de la schizophrénie que l'on lui apprend par acculement suicidaire du corps et de l’esprit à cette acquisition de la légitime défense traitée en tant que dangerosité, avec acquisition forcée des autres faits de la symptomatique de la maladie par l'exercice de ces méthodes jour après jour, heure après heure, nuit et jour. Méthodes au nazisme identiques.

La neuropsychiatrie, la neurologie, la neurochirurgie sous-ensembles du corps général de la Psychiatrie. Bien que personne n’en sache les frontière, ni celles entre ses différents corps.

Selon Les principes de Train d'Enfer et du Parfum, les films. sous leurs variations des plus inimaginables.

Deux sortes de schizophrènes, les faux, les vrais, les faux, prisonniers d'opinion ou de guerre, les vrais, empruntant le discours de ce livre pou réchapper à tout internement, car très agressos, bourreaux des faux et avinés la plupart du temps ou drogués de surcroît. Parfois assez attardés, pris pour incultes et illettrés. Ou réellement incultes, tous entraînés à infliger ces procédés et à en agresser autrui, y cèdent ou non, pris pour atteints de leur maladie et traité à leur place. Ou tour de passe passe dit procédés de la loi substitution de l'objet de scandales bref, à autrui qui lui nuit. Loi et seule loi du code civil concernant la protection individuelle et en masse des handicapés.et loi Vox Populi qui a férigé le fuhrer eau faite de sa dictature envers les résistants les malades malades mentaux de l'époque ou prisonniers d'opinion de cette période et les juifs. Et c'est celui là, le rebelle à cette loi injuste bafouant les droits de l’Homme, si c’est tant cela un sentiment d’indignité, et un délire de persécution (sentiment d'insécurité ou crise d'angoisse) chez le malade, qui sera lui. l'unique cas de l'affaire à traiter par les psychiatres, autrement dit, nos nouveaux curés de la Nouvelle Inquisition.

Le cas d'opposition du handicap social à un individu assimilé au cas de handicap d'une personne atteinte demaladie cause de troubles de l'ordre public pour l'irresponsabilité de son comportement voire de sa pensée et donc livré à l'hystérie collective en complexe de persécution faisant loi ce qui nécessite et n'est dit, des mesures de protection en sa faveur, qui sont en fait son internement.où se produisent des infractions au code civil et à la Constitution des droits de l'Homme ainsi qu'à la Charte du malade plus que gravissimes.

Relavage de fesses et changement de gant. S'cusez. Faut toujours être prête pour l’Homme, de la situation.

Le policier : elle a dit, ils vérifient toute accusation sur moi. La juge d'instruction : donc, sur elle, sachant que ce n'est pas sur le policier que cela a été essayé. Ou les détours du français.

Intermittents du spectacles tabassés, menacés de mort s'ils ne retravaillaient, pris pour piliers de grève, autant que moi-même je l'aurai été, prise pour l'un d'eux.

L'idée de torture une lubie, une vue de l'esprit, le socialisme une grave maladie mentale méritant l'infirmité. Devant s’ajouter au cancer généralisé dont vous mourrez acquis par déstabilisation constante au faisceau laser du gros nævus que vous avez au sourcil gauche, ou bien celui du front dans le point hindou, en sus du profond mal de tête dus aux blessures incessantes dans les zones sensibles du crâne, ou points G de ses zones érogènes. Idée de ZUP.

Ou idées de suppression. Que ces malades du meurtre se feraient. Tenter de me supprimer, idées suicidaires, ou idées de suppression. Heureusement que je n’étais suicidaire, je me serais tuée sur le fait depuis longtemps et non seulement à la tache de lutter,

Qui seraient les miennes.


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