lundi 8 juin 2009

GUERRE DES NERFS

Procès de Salengro qui font de mes livres une arme de survie, la seule issue de secours dans un monde clos où régnaient bien plus que les méthodes de pression des journaux d’extrême droite.

Réduite à fuir des voisinages en émeute et me farcissant de coups comme de cours à électrodes sur le malthusianisme, l’enrôlement des Rose-croix, la rencontre avec les contacts de l’espionnage à espionnite de guerre durant la totalité de la Guerre du Golfe, pendant les périodes de heurts qui la précédaient et lui succédaient, conduite moi-même à fuir sous toutes méthodes de répression à chaque appel auprès des services de la police pour troubles de l’ordre dans le voisinage qui m’empêchait de vivre, promise à l’euthanasie sans un abandon immédiat des lieux, juif errant de parquets judiciaires en pavillons psychiatriques auxquels je croyais mais qui me tortionnaient de décharges électriques, de bastonnades réglementaires au point d’en finir en placement administratif à la moindre plainte précisément contre ces procédés, réduite à me faire balader d’appartement en appartement après déménagement rapide, je n’eu droit qu’à la plaisanterie « elle déménage, du cerveau aussi », pour mes ripostes et réactions violentes à la mort. A la torture, à mort.

Des tenants de la Gestapo, militant âprement pour la résurrection d’Hitler de ses cendres, me prirent à partie pour le non respect de ces lois, déménager sous peine de mort, droit de fait qu’ils m’infligeraient par euthanasie si je ne décédais sur le champ pour mes livres et écrits, qu’ils avaient volés ou lus dans mon appartement et jugés à leur façon dans leurs tribunaux d’exception à grands renforts de plaintes auprès des pompiers, services médicaux, pour qu’ils m’exécutent, ce qu’ils firent à demi. Jusqu’à ce qu’un petit facho de l’étage au-dessus de mon appartement appelle à l’action une horde de racailles à leur solde, des miliciens en mal de me faire obéir à leurs fantasmes de persécution, vieilles femmes âgées de même goût, et n’invite un élément qui se disait d’un pavillon de force à m’exécuter à leur place.

Ce qu’il voulu faire, aidé du garçon en question, prétextant qu’il me voulait une lobotomie.

Ils ne possédaient aucun permis de port d’arme, je le suppose, mais il possédaient des armes, raflées certainement par des résistants aux fascistes, issues parfois d’anciens gestapistes ou miliciens, pétainistes en retraite ou décédés, et léguées, retrouvées par partisans du Parti Communiste ou du Front National, familles issues d’anciens résistants, dans vieilles malles et greniers, caves et combles de vieilles maisons, des anciens asiles psychiatriques, où furent internés les premiers dissidents des allemands durant les années 1900 à 1939.

Trente Glorieuses politiques d’alors et Belle Epoque où la montée du fascisme en France dont celle de l’Action Française ne passa inaperçue, mais où personne n’y croyait, période de Cassandres qui elles voyaient cela. Cassandres endormies, anesthésiées dans les asiles psychiatriques de l’époque, futurs Dachau.

Encore vrai de nos jours, dans les secteurs psychiatriques, sous l’égide de plus en plus présente de la médecine psychiatrique libérale. Montée du fascisme en France actuelle. Combien de Cassandres… Serais-je une de ces Cassandres…

Lobotomie, procédé des anciens nazis utilisé sur les dissidents anti-hitlériens durant la période d’infiltration de la France par l’espionnage allemand, précisément durant ces années 30, la torture psychologique et physique était usitée sur ces dissidents juifs, ou français. les schizophrènes parlant souvent espion et gestapo. Destruction par saccage, autodafé, des collection et livres, bibliothèques entières, de ces personnes « visitées », dont certaines furent lobotomisées, car les fascistes respectaient la culture grecque, latine, française et leurs arts même français, sauf certains cas de ces juifs ou lettrés, artistes, petits fonctionnaires passionnés d’art et de culture, qu’ils « visitaient » à leur domicile.

Visites qui finissaient par la torture mortelle, jusqu’à la mort lente, ou bien atroce, et violente, voire l’internement dans les asiles psychiatriques, la déportation ensuite dès la déclaration de guerre officielle. C’était déjà la guerre, bien avant la guerre. Tout comme aujourd’hui. Torture psychologique de cet impact sur les sous-couches de la population en connaissance de ces agissements. Aujourd’hui encore déclarés étayements de malades mentaux. D’où de nos jours encore la tradition de la déportation des gauchistes lettrés en particulier.

De nos jours encore, autours d’eux, un monde du renseignement, pour aider ces personnes recherchées ou tortionnées, à s’échapper ou à fuir de ces méthodes. ou destiné à les surveiller. L’Euthanasie de tout un peuple précepte d’Hitler, l’euthanasie tout court aussi du sujet d’expérience, ou de soins, des malades mentaux et des handicapés. En premier lieu.

Si l’on peut accepter cela de nos jours en tant que principe de liberté, autant pour l’avortement, qui sous principe de liberté, n’est qu’un esclavage supplémentaire de la femme, dû à sa condition d’esclave de l’Homme et de la Société, du travail et du monde financier, nombre d’avortements étant revendiqués par la famille contre le gré de la bonne élève enceinte encore mineure, de la jeune femme sans revenus, privée de la liberté d’enfanter parce que conditionnée par le monde des Mères et Pères la Patrie. Tabassée voire tuée pour qu’elle n’enfante ni ne se reproduise en ayant les idées qu’elle possédait. Question de Possession.

Au nom de l’eugénisme de son genre, vécu en tant que pure sous-race par autrui, pour l’eugénisme ne serait-ce que de la Mère, ou du Père.

Lutte inégales par armes des faisceaux, armes non conventionnelles, à cent contre un, selon la politique de l’Ordre de vieilles rombières, duègnes miliciennes fanatisées des idées de la Gestapo, de l’esprit de la rafle, et des milices chrétiennes, défendant la lobotomie à force de tomographies et d’électrodes pour les intellectuels jusqu’à la trachéotomie, l’art de tabasser à mort dans le muscle cardiaque jusqu’à la lésion définitive, le décès, pour faire étendre à temps, avant le malaise général grave ou le décès, son linge à la dissidente de leur quartier. Parfois, elles reviennent de loin pour la retrouver, si elle a fui, au péril de sa vie. Maquée à vie à elles, à leur violence, par l’asile psychiatrique et la médecine.

Forcée à étendre son linge, à faire le ménage sous peine de mort, de maladie cardiaque grave, par le fait de torture violente.

Désormais dans la rue, les HLM, les hôpitaux, anciennes armes d’une ancienne conception, jugée encore de nos jours futuriste et farfelue, irréelle et irréaliste, digne des films de James Bond ou de contre espionnage, de bandes dessinées.

Armes revolvers ou fusils de pointe, femmes disparues comme la femme au coin de la rue dans la nature, trouvées dans des sacs, au pied des murs, des portes d’appartements, dilapidées par des voisinages mal intentionnés qui les volent pour tabasser : Faisceaux d’ondes électromagnétiques, magnétiques tout court, radioactives hertziennes radio ou autres, pouvant commander implants fixés dans les tissus de juifs ou dissidents, ou futurs dissidents potentiels en cas de prochaine guerre. Dissidents fichés par hôpitaux et médecins, préfectures et ministères de la justice dans les cas de placement d’office, devenus armes d’expérimentation, pouvant agir à travers murs planchers et plafonds, d’une portée d’au moins 50 mètres.

Créés pour tabasser, violer, assassiner, exterminer peuples entiers et individus surveillés, électrocutent grièvement, peuvent causer le décès par trop longue exposition à leur rayonnement, peut-être radioactif, peut-être même de type rayons Gamma. Dirigés contre un crâne, le paralysent, ou l’assomment autant qu’à coups de gourdin, broient ou cognent profondément jusqu’à la douleur profonde, font exploser les tissus, lobes cérébraux, les veines et artères, les vaisseaux lymphatiques. Si dirigés sur le cœur, le paralysent, le cognent, le tétanisent, le brûlent, l’électrocutent grièvement. Peuvent créer des lésions graves si endurés trop longtemps, voire cancérisent. Créés pour torturer ou tuer. Appelés par voisinages incompréhensifs et malveillants armes de confiance. « Réflecteurs », « Tomatrons », lasers, bijoux de leur perfection. Armes militaires testées sur populations, répandues dans la société par services ou médicaux ou soit disant spéciaux. Déclarés en services recommandés. D’où les prédispositions de schizophrènes pour les histoires d’espionnage, qu’ils adoptent j’en ai bien l’impression bien volontiers. Interdiction durant une semaine après admission dans les hôpitaux psychiatriques de pouvoir émettre un coup de fil pour que personne ne puisse vous retrouver durant les premiers soins et thérapies.

Ces individus qui voulaient prétendument me causer des lésions graves pour me faire opérer du cerveau tant ils me l’auront en partie broyé, torturé, ont failli me coûter la vie et m’assassiner, par pur esprit de jeu, pour s’amuser d’une femme libérée, me poussant au silence, à la fuite muette à travers l’appartement dans la nuit, une longue marche silencieuse sans fin, afin qu’ils ne me repèrent. Me recherchant de leurs « petit, petit, où elle est passée…? », avec leurs faisceaux tout autant que SS traversant autant qu’avec piques les chariots où se cachaient des juifs en fuite, pour les tuer.

Représenté par des piques en fer dans les films sur la dernière Guerre Mondiale. Censuré dans le monde médical, de façon gravissime. Jusqu’à internement dans pavillons disciplinaires des rebelles pour faute grave, certifiée causée par la démence, s’être débattu. Encore en cours aujourd’hui.

Impacts de décharges électromagnétiques dans les os du crâne, piquetés de trous et micro-fendillés autour des oreilles.

Grosses bosses parfois arasées telles moitiés de kiwis. Parfois, tabassages jusqu’à l’œdème cérébral, l’épanchement lymphatique, l’hémorragie, la mort. Dans la douleur muette létale et l’orgasme à la fois.

Micros du Canard Enchaîné dans logements des rebelles, électrification complète de leur appartement, à leur insu, par plombiers, matériel de l'armée de terre et armes de dissuasion dans domiciles mitoyens ou attenants,parfois à plusieurs étages de distance, paramilitaire à paramédical, caméras à infrarouge dotées de matériel vidéo d'enregistrement de scènes de la vie intimes des individus ciblés, vidéos destinées à moyens de pression physiques, dont ceux décrits dans ce livre, tortures physiques jusqu'au dommage corporel grave destiné à tenir le dit prisonnier de guerre, par les couilles. Lui attribuer contrôle médical le plus souvent ad vitam et services hospitaliers où son activité sera contrôlée et soumises aux même tortures. De par armes de poing identiques, qui l'ancreront dans une maladie fictive ou déclarée, qui lui sera un fil à la patte supplémentaire et inaliénable... pouvant gravement blesser, léser tissus humains ou abattre et tuer net, toute personne contestataire visée à travers murs et planchers.

Téléphones sur écoute, sur l’ordre de la police, en cas d’enquête.

Résistance passive à semi passive obligée, sous la contrainte des faisceaux. Et la torture grave, parfois horrible qu’ils causent.

Si je remplace le «qu’ils causent » par « qu’ils peuvent causer », le « peuvent » fait croire à un imaginaire hallucinatoire qui serait issu d’un délire etc. C’est un fait de la langue française d’être une torture pour l’enfant autant que pour l’adulte illettré. Problème que cause l’enseignement. La phrase latine, tant vénérée par l’Allemagne et Mussolini sous la dernière Guerre Mondiale.

C’était pour ces gens qui m’agressent une torture de lire et apprendre, ils m’auront torturée pour ce qui les a fait tant souffrir, la torture pour ne point apprendre, de ne point lire pour certains, la guerre et la mort, tout comme un malade souffre, ce qui est dit aussi pour la douleur physique. Un malade mental souffre, d’abord de lui-même, de sa folie selon le médecin, des effets de la torture psychologique en fait, physique surtout que provoquent les soi-disant soins, dans les hôpitaux, la torture remplace les soins psychiatriques.

Lobotomies, pierres chaudes jusqu’à la tumeur ou l’abcès incisé ensuite, soins de Cro-Magnons, repris par les nazis. Les anciens nazis de nos jours, et leurs sympathisants. Electrodes. Livre qui va jusqu’à l’abcès de fixation, certainement à exciser, j’en suis sûre.

A faire crever.

Psychiatriser le pauvre, la femme battue, violée, mutilée, l’enfant martyr, le vagabond, la dissidence, les libertés la culture le savoir et le délit d’opinion, un soin médical.

Des lobotomies, pire qu’en pavillon de force.

Parce qu’ils ont cru que j’étais une évadée.

Malades mentaux.

Horde de gueux de serfs errants en guenilles et de servants apatrides écœurés de la patrie, taillables et corvéables à merci, issus de toutes les strates de la république et de la société, horde d'êtres sociaux disparate condamnée aux puanteurs de bouges infects à domicile ou en pavillon, dans le remugle et la bourbe de la misère des basses classes quand leurs médecins se soulent avec raffinement au bourbon, condamnée cette populace de serfs hirsute des nerfs, à l'esprit supérieur omniprésent et revanchard du mégérisme radical et obscène, du barbonnisme médical, de l'aristocratie médicale et infirmière, au lynchage de chacun et aux pogroms de tous, autour de leur vie restante. Manipulés, éradiqués, réséqués, obstrués, obturés, sous le langage matriarcal et le paternalisme colonialiste outrancier des secteurs médicaux, soumis aux parâtres et marâtres infirmiers affiliés à la loi de les corriger, dépuceler, sodomiser, dénoncer, surveiller, contrôler entre autres dites corvées de bas étage, auxquelles la basse tâche de gardiens de cochons à saigner les assigne.

Horde. Les nerfs rongés par les sels, à avaler pour que le corps soit conductible au courant, puis incrusté de sel parce que le dessèchement causé par les neuroleptiques, antidépresseurs, sels lithiques de lithium, élément radioactif faisant partie des métaux lourds. Autant poudre de verre qui rongeait les plaies des déportés. en fait, produits radio actifs certainement introduits dans médicaments dits neuroleptiques, jusqu'au dessèchement des chairs, l'assoiffement grave et la potomanie aiguë à causer l'absorption de dix litres d'eau quotidiens... A contrebalancer de la prise contrainte ou sur demande selon l'infirmier ou le bon psy, de médicaments correcteurs de cet effet, dont le Surfarlène. Pas plus de six comprimés à prendre un à un (si trois seulement de prescrits par jour) ou deux par deux matin midi et soir. à chaque repas.

Médicaments radioactifs. Ou du moins possédant les même effets qu'éléments radioactifs. A voir blanc, dans éblouissement dû à fortes commotions, prolongées jusqu'à là l'évanouissement, et le goût de fer blanc dans la bouche, commun à toute irradiation à haute dose. L'assèchement jusqu'à la potomanie, les bourdonnements de tête, les vertiges, faiblesses, voire malaises, étourdissements à cloches sonnantes, et évanouissements, jambes fauchées, chutes de tension jusqu'au trouble cardiaque, effets premiers de l'irradiation. Neuroleptiques retard à base de belladone ou pas causant fortes commotions après leur prise, des troubles divers, du comportement, de la gestuelle (contractures graves pouvant aller jusqu'à la rupture de ligaments et gros tendons, hyperactivité, affres et impatiences dans les jambes et les bras, envies irrépressibles de marcher sans fin, de courir longtemps), constipation opiniâtre si à hautes doses, révulsion et effets plafonnement des yeux fixés au plafond, langues tirées, ne pouvant être ravalées, effets notoires (contractures de la langue à Piportil, sans l'effet correcteur de l'Akineton ou Lepticur L'Artane recommandé dans ces cas là un autre neuroleptique, s'ajoutant aux effets du neuroleptique déjà prescrit), zézaiement et parfois inaudibilité du langage ou délire inarticulé tant l'élocution rendu inarticulée par l'assoiffement et les relâchements ou contractures des muscles de la prononciation, de l'élocution, de la manducation, corps figé, maladresse, ébriété, constante, voire déliriums trémens, propos incirconstantiels, comportements non circonstanciés, voire délire logorrhéique (sous Piportil) inadéquation du comportement et comportement irrationnel quand l'esprit se brouille des fortes doses, blocages divers. Logorrhées. Grande fatigabilité, surpoids, obésité, fatigue donc pondérale, ou hypernervosité, insomnie, hyperactivité des membres ou impatiences (Tercian, produit médicamenteux certainement à base de morphine).

Insuffisance respiratoire surajoutée à celle causée par les méthodes de torture à l'électricité. Impuissance, frigidité surajoutée à celle causée par les tortures constantes, cause de douleurs et de souffrances insupportables, surhumaines. Jusqu'à l'arrêt cardiaque.

Vous verrez, j'ai exagéré.

A l'encontre de ces effets secondaires ou pervers, prescription parfois de traitements correcteurs de ces effets indésirables, Surfarlène donc pour les assèchements de la bouche et la potomanie, médicament pouvant causer l'écoulement de bave si pris en trop grande quantité, pour la dose requise de neuroleptiques, Akinéton et Lepticur pour ce qui est des contractures et impatiences, Heptamil pour les chutes de tension trop fréquentes. Dans certains pavillons ou secteurs psychiatriques, ces effets laissés sur le compte de la maladie, et traités en tant que symptomatique grave de la démence.

Comprimés de césium pur avalés, entourés de gélules plastifiées de gélatine, (pulvérisés en paillettes poivrées dans les aliments destinés aux cantines scolaires et prisonniers psychiatriques dits déments, c'était le poivre, toujours années 80, au sein des hôpitaux psy, destiné à étudier la cancérisation et les effets de l'irradiation sur les populations contraintes à leur insu à participer dans la plus grande passivité à ces recherches, d'où le rite du poivre, un cancérigène déjà en lui-même) dans le cadre de tomographies à faire, ou scintigraphies, examen de radiographie de zones du corps que l'on observe en cas de maladie, grave, en autres celle du cerveau, précisément, des dissidents, ou personnes amenées.

Opération licite couverte par les préfectures depuis Mitterrand et les années 80 (où se signent les placements d'office et internements le plus souvent pour délit d'opinion déguisé en grave dangerosité envers la société et soi-même), d'essais nucléaires et/ou médicamenteux sur la population, d'origine étatique ou de la libre initiative de chefs de cliniques, destinée à enrayer toute forme de contestation. Tomographie. forme de scanner primitif. Examen clinique en libre cours depuis les années 80 après essai durant des ans sur détenus psychiatriques ou patients cobayes humains contraints, qui en auront parlé comme d'autant de fours à micro-ondes qu'ils se seront pris par la poire eux aussi, jusqu'à ce que soit affirmée la schizophrénie.

Pastilles donc de césium, corrodant système cérébral, digestif, sexuel urinaire musculaire et nerveux jusqu'à l'os, provoquant en masse dans la population des cancers de tous ordres, du côlon, digestifs, génitaux, mammaires, cérébraux, buccaux, etc. ou généralisés, qui font vivre la région de leurs frais médicaux, région médicalement de pointe au nom d'un père râleur et d'une mère abusive en mal de vous faire examiner pour vous nuire et exterminer, après le tabassage, comme l'on tabasserait encore une fois. Histoire de vous rendre à l'hôpital après vous avoir bien foutu dessus, en se disant et excusez si on l'a encore un peu esquintée, histoire de pastille toujours à prendre dans ce cas là, toujours à votre insu, dès que l'ami a le dos tourné, vous aussi, une fois rentrée chez vous, pendant le quart d'heure de détente, ou après chloroforme. Toujours par plombiers, y compris dans la rue, prenez votre comprimé, après passage à tabac par électrodes ou faisceaux, sur le parvis du supermarché.

Comprimé fourré dans la bouche, dilué, à l'aide d'une gourde, eau quasi lourde bue en plus du verre de cointreau des infirmeries ou verre de gouttes une main du maton sur les yeux, et l'autre en train de vous stranguler, pendant que vous agonisez sous le faisceau, laser ou tir à vue électrocutant, tiré depuis la fenêtre de la vieille qui entonne autour de vous en vous flinguant, téléphonant à tue -tête tout de votre cerveau, dictant par la dite empathie télépathique, en principe de la mère à l’enfant et entre amoureux, votre éternelle seringue sur le sujet qui se rallonge de détails chaque jour supplémentaires, et qu'elles voudraient bien, ces vieilles, vous faire réciter, à quelqu'un de leur connaissance. Si. Ou médicament dilué versé dans la bouche à l'aide d'une seringue, sans son aiguille. Tout comme chez autant de prématurés, dont je suis.

Humeurs humaines, ponctionnées ou déchets d'opérations neurologiques psychiatriques gynécologiques et de neurochirurgie récupérés ou prélevés à cet effet pour votre plus grand bien, sucs et sangs, lymphes et cervelles de patients réduites en bouillies, transformées en médications autant que dans le Soleil Vert, le film.

Ou gifle à Sartre, de main de nazi. Pour mes activités philosophiques tant rendues publiques.

Mon regard n'étant que témoin de l'histoire.

CHU en état d'état de Vatican dans la ville et l'état, gratin de pontifes à morues et vieux mérous, doté de ses supercheries, de sa politique d'ingérence et d'agression à main armée, d'attaque verbale et de terrorisme interventionniste révisionniste de Vichy et de sa propre répression sur les populations qu'il a en charge de surveiller soigner et sauver de toute perdition, sans jamais s'y contraindre et en omettant de s'y soumettre. Etat de Vatican de ce CHR et ses Lucrèces Borgias enragées engagées en tant qu'infirmières, médics et autres opposants à la politique de la ville de Montpellier, de Maire socialiste ou Madame Mandroux, sa ville et elle anesthésiées autant qu'il le fallait de médecins commanditaires d'une prise du pouvoir par la force et l'infliction du soin, de la thérapie lourde et du groupe électrogène, compromission lourde à la psychiatrie lourde, et la suppression de l'individu en question s'il le faut, selon la loi des disparitions. Dictat de type Birmanie. Chaque chef de famille, chaque mère, sensé(e) assurer cet acte sur sa propre progéniture ou ascendance ou fraternité, pour sa propre sauvegarde. Dans le droit d'appartenance et de droit de vie et de mort de la famille sur un de ses individus, rendu esclave, dans tous les sens de l'esclavage... Que l'on peut tabasser sans crainte, opérer sans fin et accuser de cela.

Politique contre-socialiste du CHR qui recherche points d'achoppement et creuse les failles entre les clivages familiaux (tactique pétainiste, didactique nazie) et sociaux, recherche en le sein de chaque famille, focale fasciste, de quelque futur opposant ou simple conscience tranquille à embrigader pour ses engagements, qui si elle oppose quelque résistance même passive faible et simplissime sera soignée, rouée de coup et placée, au sein même de l'hôpital revendiqué pour trop d'activisme à tout opposant dissident, ou dans quelque secteur médical dit de répression, public ou privé, ramifications de ce système de surveillance des contre-opinions psychiatriques qui tient du réseau mafia, toile d'araignée autour du complexe médical public et privé possédant ses ramifications et donc moyens de pressions jusques dans chaque cabinet de médecin conseil ou traitant... Sous le couvert du respect des bonnes normes. De style Poutine dont le spectre s'agite jusqu'en France, à mon avis avec celui maintenu en vie d'Hitler.

Consciences libertaires placées sous le sceau et l'étiquette ou brassard jaune de la maladie en placement officiel ou non à vie à domicile ou en pavillon, sous le symbole et la systématique à systématisation de l'arriération physique et mentale gauchiste, la pauvreté d'esprit dont elles ne doivent s'impartir, à les désister de toute entreprise de refaire surface par autant de corbeaux dignes des pressions et surveillances de la DST. Ces consciences lucides grondent, partagent mon amour des libertés, je les ressens tout bas. Si c'est embrouillé je m'y retrouve. Contraints ces opposants à rester dans la plus stricte bonhomie de leur aspect, de leur abord, dans la plus grande passivité soumise et dans le poncif obligé, le mutisme sous la contrainte ou la ruse, seule dignité contre la torture et la mort qui leur reste de leur existence d'esclaves et de reîtres... Devant rester positifs militer pour et non contre, ainsi que le souhaitent Sarko, Le Pen, voire Ségolène et le parti communiste. Bref de quelque côté ou bord que cela soit, l'on ne s'en sort pas. Ni ne sait où vivre ni se réfugier sinon chez quelque ami, parent, apte à vous cacher, symptôme schizoïde.

Positivez pendant la matraque, en plein mitan du sourcil gauche ou droit, restez actif et mou, rêvez sous le knout. Et, servez-nous, dans la nullité de vos efforts. servez-vous pour vos défoulements diaboliques et crises de nerfs démoniaques, du corps du faible, du nourrisson, de la femme et de l'aliéné, du dit aliéné que sera votre prisonnier de guerre civile, prisonnier d'opinion que vous crèverez de tortures et maltraitances, enfin, pour vos envies de respirer un air qui vous paraîtra, ce meurtre accompli, plus pur. Autant que le bleu de vos yeux.

Enfermement fœtal de la base du parti socialiste dans cette situation de cas exemplaire de répression psychiatrique envers certains éléments de la contestation, devant végéter dans le manque d'entraide de leur parti politique divisé et apte à l'enfermement des dissidents, et de leurs sympathisants, démunis de solidarité véritable, sans concertation sincère, noyautés de tous bord d'activistes dangereux pour leur vie, récupérés et agités violemment mais secouez les, jusqu'au placement administratif en pavillon voire disciplinaire après l'escarmouche, noyés de contraintes, obligations tortures et devoirs de s'y soumettre sans un cri, autant que chez Khmers rouges. Loi de cet enferment physique et mental dans la rétroactivité et la géopolitique mutilée du manque d'engagement causé par l'enrôlement forcé, la critique possible, mais du bon coté des barricades de tous bords quand elles encerclent.

Certains des prisonniers de cette guerre transformés en rochers de Magritte. Rongés de rayons.

Tranquilles à se faire commenter que ce soit en pavillon chez eux ou en prison, jusqu'au roté pété cagué largué pissé raqué du prisonnier d'opinion de bourriques et Dieu sait s'ils en chient, ces prisonniers de guerre là, des nouilles jaunes longues comme le bras, tant les interrogatoires durent. Parfois des ans, parfois une vie durant.

Le bien fondé de la répression psychiatrisée très pervers en soi-même, sous peine de Librium, très érotisant jusqu'à la crise lubrique de démon de midi chez petites filles pas assez perverses, ou bruits de fond obscènes.

A ne relater qu'après la dernière beigne, électrique, à vous assommer, qui dure depuis des jours.

La prévention se situant en le fait de recherche tout élément contrariant de la population en son lit même, à le trépaner de faisceaux lasers etc., jusqu'à lui faire revendiquer, mis à vif et à bout, au dernier bout du rouleau et de sa dernière extrémité, et même chanter la marseillaise, voire causer le salut nazi ou militaire, pris ceci aussi pour crise d'exaltation, en guise de réponse à la provocation violente par actes de lynchages et de torture constants. Jusqu'au cancer du larynx si vraiment le dit individu refoule tant, à devoir se faire égorger dans son lit tout de même. de tant revendiquer tout de même la marseillaise de tant de manque de pouvoir pour soi, simplement celui des libertés acquises de la gauche émancipée, digne et éclairée de conscience tacite plus que non-violente... On en a enfermé pour moins.

Il en reste tout de même un petit bout...

Quant à l'optique que j'adopte elle est celle-ci, je revendique d'ores et désormais la présence d'observateurs d'Amnesty International dans la politique de l'hôpital, des CHU,et CHR, des secteurs médicaux même privés des complexes hospitaliers et cliniciens, pour qu'en soient observées les déviances, irrégularités, contradictions, sévères ingérences et pratiques de la torture médicalisée systématisée commuée en dits soins médicaux et thérapies des plus nocives à je le dis, perverses, sadiques à tordues sans pitié, il en existe des plus simples chez eux à efficaces, qui tiennent de la farce nazie adventionniste des plus retorses.

Dans ce qu'il existe aussi de plus puristes dans l'art de la profanation de l'individu unique Indivisis, de l'être humain civique et de sa nature. Qui doit être celle de celui qui assume sa dégradation physique et mentale. Ou autre aperçu de l'introspection et du voyage en soi-même. Sous le complexe du secret médical. Je crois que ce sera la Cours Européenne, quant à l'hospitalisme immobiliste de chacun, ayant bien intégré, intimisé, cette politique de prise par contrainte par corps de cas pour l'exemple, et de cas d'exemple relevant typiquement, de la tactique lepéniste et non plus hellène ou mise au pilori sur le caballet de l'ami ou du père et de la dite mère. Ou d'un faux frère...

Et tout ce que l'on peut faire avec des pâtes, de la purée en conserve et le papier cul. Voir dix mètres plus loin Etc. Des bruits de préservatif aussi.

Pourquoi il y a des fois où je craque...

En état de bouquet de crocus, qui l'eut cru. Bref. Tout cru.

Tout Brès en état de pourparlers et son Oosphère, si au niveau des urines vous vous en faites des acidités de l'implant, acides dans le café. Ils ont les clefs.
De quoi vous exciter les papilles, toute excitée, en guise de drap d'acide. A vous faire recracher de ce dont vous ne voudriez.

La chambre fermée n'étant que celle de l'hôte de marque et du régime de faveur. le plus souvent à domicile;

La pression politique de ce CHR, non plus CHU tel qu'il était jusqu'à ces dernières années, et contraintes de type étatiques qu'il inflige sur la population entière de cette ville, de sa région, symbole de résistance socialiste envers un état dirigiste et radical, archaïque et dévergondé, fait que s'embrigade l'intelligentsia sur la région sous une politique du SAC, de la mise à sac et à pied systématique de tout élément contrariant à cette politique. L'hôpital psychiatrique de la ville, dirigé par un ancien du SAC, Mr Manville ou Monsieur Z, au nez et à la barbe d'une ville culturelle universitaire qui s'envahit des problèmes de trafics d'armes, armes de la drogue, de la prostitution, et du proxénétisme, de l'alcoolisme sévère et leurs déviances, nécessitant face à l'incurie de la situation, une ingérence totale fatale à toute contestation, des services sociaux et psychiatriques, dont la responsabilité incombe encore je crois à qui devinez, Dr Brès et son secteur 2,

Ou Monsieur X, son point de repère et sa pègre ou bureau d'hygiène propre à ce secteur, antenne psychiatrique située dans les quartiers chauds de la ville, lieux-dits de la plaque tournante de la prostitution homophile et des trafics. Sic. SAC et contrefaçons du SAC genre triller SAS que se permet ce service et les siens. Quartiers des artistes, avec tant d'autres lieux de plaques tournantes de ces trafics, quartiers tout aussi chauds, ghettos en soi. Le pavillon référence du secteur 2 fermé, déplacé plusieurs fois pour se rouvrir deux ou trois cents mètres plus loin, sans que le personnel médical cause de ces fraudes ne soit radié, pavillon fermé donc sur exigence administrative pour maltraitances vétusté et manque d'hygiène, sur demande officielle de familles concernées par un parent enfermé ou suivi, dont là entre autres plaintes des familles concernées, ma plainte écrite sur les saccages, exactions, crimes contre l'humanité commis en ce pavillon sur des "patients", en fait contestataires internés pour délit d’opinion et rébellion, jusqu'à les assassiner.

A vous faire tabasser comme sourd à vous rendre sourd au Renseignement sans y prendre garde, sous l'égide du secret médical, Du CHR qui s'active en vendettas sévères sur ses isolés et isolas. Et sinon pute comme eux tu seras. Et un peu trop bien réussiras.

Ou mes vieux démons. Auxquels j'ai bien fini par m'habituer.

Mais restons circonspects plus que circoncis.

La répression ces temps derniers croissant en l'honneur des prochaines municipales, et des fêtes attenantes, se créent des troubles populaires divers, créant eux même des troubles physiques et mentaux divers également, fonctionnels aussi, fournisseurs en plus des croûtes dues à la misère, de lits en hôpitaux quand les lits hospitaliers se ferment, et services médicaux divers, qui ne vivent et croissent que de ce système de la répression psychiatrique, envahissent la ville d'une prolifération gênante, ne croissant que d'une existence de parasite saprophyte de cette violence crée, endurée sous l'hégémonie du complexe hospitalier, qui ne vit plus que pour lui même et réclame face à l'incompétence de ses services qui lui est reprochée un renfort de subventions, armée invisible du silence, marlous sous l'uniforme blanc ou bleu et effectifs notoires. ou secrets, possédant leur police secrète, ses mercenaires. Police elle même avec ce CHR envahie par la mafia de tous les trafics.

La propre Maire de actuelle de la ville, Madame Mandroux, s'est chargée par son étroite collaboration avec Mr. Manville, d'infiltrer ces milieux inaccessibles des secteurs médicaux universitaires jusqu'à présent, le conflit règne encore pour interdire l'université à l'hôpital, de représentants actifs du socialisme nouveau de cette région, étouffé, éradiqué sous encore le pouvoir puissant de jacques Blanc, directeur du Conseil Général ou régional, je l'avoue, je ne sais plus, et momentanément donc maître de la gestion de l'hôpital de Montpellier dans les années 80, son influence dite radicale, en fait, nazie, règne, sur l'ensemble de la région depuis. Personnage non énigmatique, pro hitlérien, promussolinnien,

Voir et cf. l'article de Michael Gluck sur le site Internet du Matricule des Anges sur ce sujet, parution culturelle de la nouvelle littérature et de la nouvelle poésie y compris théâtrale où je suis citée pour mes oeuvres. Michael Gluck poète de la région, ayant parrainé la parution de mes deux premiers livres de poésie libre aux Editions Théétète aujourd'hui édition du Champ Social.

Barbarie premier fascisme de l’humanité. France, pays de dictature au visage humain.

Chaque médic, personnel infirmier soumis à ces querelles de pouvoir, devant se déterminer, s'il doit fuir ou fonctionner et/ou marcher avec, face à ces pressions, physiques jusqu'à la crise d'hémorroïdes obligatoire, ses procédés d'acquisition, et la mise en congés de deux jours pour bien y penser, peut-être même la mort et le décès gratuit, bref, le crime politique parfait, car décès dit d'origine accidentelle ou naturelle, cancers, attaques cérébrales inexpliquées, longues maladies dégénératives etc. Et ils ne vous loupent pas.

Pressions psychologiques et physiques, très dures le plus souvent, à inhumaines, sans lettre écrite, ni courrier officiel rédigé, aboutissant à la mise en demeure sous cette force politique de la pression par la pression, de fuir pour ce qui est des associations humanitaires en consensus jusqu' alors avec l'hôpital, de fuir pour leur action artistique jugée bien trop subversive, ce secteur psychiatrique où elles militaient tant dans la subversion de la philosophie déontologique véritable que la ténacité de l'action libertaire de gauche. Et de l'ouverture culture dans le plan gouvernemental "Culture à L'hôpital" qui n'a plus lieu, ancienne bouffée d'oxygène des pavillonnaires et anciens patients de la psychiatrie, maintenus dans l'asphyxie de tortures chimiques et palliatives, air pur offert de ces associations pris pour "bouffée délirante" de malades incriminés, pour trop d'idées contestataires sous forme de tant de plaidoyers arrachés, ou idées de persécution, dites encore bouffées délirantes chez ces persécutés, maintenus dans la crucifixion du Christ. Chargé de payer de son sacrifice, de son exécution et de sa mort, les persécutions de la terre.

Malades. Aliénés de leurs droits.

Devant rester bêtes ou idiots dans l'arriération profonde et incarcérée de bestiaux. De la bête de somme des CAT et du bétail à l'étal. Et que de leur situation ou "cas" ils n'en bougent. Seules les associations de droite ayant droit de séjour au sein de l'asile. Toute culture d'un peu trop haut niveau dans la ville et la région finissant à l'hôpital,quelque secteur que ce soit, et devant voler bien bas, la terre là bas et même ici devant rester bien basse. L'Handicapé devant rester ce qu'il est et ce qu'il doit être, Rien, pour les Aryens. Ou quelque être nul, à tabasser à mort et exécuter sans sommation. Pays en ratonnades à bastonnades mortelles envers ses handicapés. A ajouter à la citronnade, pour les électrochocs de vigueur. Pressions coupant net toute espérance à toute un peuple de gueux maudits dont la liberté de conscience et non plus de simple confiance, sous tant de tortures, souffrances physiques, mentales, a été bannie. Exilée dans l'endormissement ad vitam et la mort. Meurtres mystérieux. Ou le Cid. Placé en pavillon disciplinaire dernièrement, d'ailleurs. Avec Jésus, l'idiot du secteur. Et Phèdre, la serve la vilaine, l'ilote grecque, la manante, la reître, selon la politique de Sévère.

Phèdre, ou moi-même.

Elle court comme le ruisseau, elle court, l'eau vive , les garçons s'ils osent la poursuivre, ne la rattraperont pas.

Politique du CHR à l'encontre de celle de la Maire, Mme Mandroux, qui hésite à freiner des quatre fers pour s'y arrêter et s'y opposer, se laisse noyer dans la vague, Georges Frêche débouté de sa ville de graves infirmités dont il a bien failli décéder, à mon avis le crime parfait, qu'il nie ou n'ose aborder, après sa lutte conte ses ennemis dont Jacques Blanc. Infirmités graves non dues à sa gloutonnerie sinon en politique, mais à ces méthodes citées, dont il n'ose s'ouvrir j'en suis sûre, étant pour son silence sur ce sujet très respecté, condamné à une action sur la région et non plus sur Montpellier, Mme Mandroux le remplaçant sans sa poigne de fer.

Baptisée moi-même aux électrodes des appareils de contention de l'éducation spécialisée depuis mes un an, je renonce, mais tout de même pas, à lutter contre la crise de répression polymorphe de ces secteurs hospitaliers. Par moment, de par la force des choses je me laisse couler, noyée de souffrance mentale et physique. Attendant pour m'aider en cette tâche de tant nettoyer de la pourriture cette ville servile, une épaule amie. un organisme, lequel, j'appelle à l'entraide, sans y compter des trop, de trop de trempes manquant mourir, et mon humble tâche n'y suffisant pas. Ecuries d'Augias. Seul Sarkozy s'investissant en la tâche d'un hypothétique plus grand Savonarole que bon Louis XI.

Société civile et civique qui se ferme et ne vit plus qu'au pas militaire de la répression armée, médicalisée. Sous, l'appellation contrôlée du soin.

Sac à soins.

Appartements sérieusement irradiés, à passer la serpillière tous les jours en plus du produit à l'oxygène actif, réputé pour décontaminer, irradiés donc par dépôt d'appareils à rayonnements radioactifs, chez voisinages mitoyens ou proches de l'appartement prévu, pour cet effet, assassiner quelque artiste, poète engagé, écrivain, membre enragé de l'intelligentsia, réputé travailler s'il le faut dans les milieux du contre-espionnage pour son niveau intellectuel, ou ses activités, son engagement politique, etc.... Plombiers appelés par voisinages intempestifs, qui se chargent de lui shampouiner à ce morveux, cette pisseuse, le cheveu en cas de cheveu trop graisseux, pour que leur activité secrète ne se voit pas et persiste à faire accroire à l'hallucination sinon cénesthésique du sujet, du moins à l'hallucination collective de l'entourage, hyper séborrhée également du crâne entier, due à l'irradiation, jusqu'à la croûte de gruyère fondue sur le visage. Autant qu'après séance d'électrodes, tout autant graissante, causant une odeur de fer blanc chauffé à blanc autrement dit d'électrocution. Ou court-circuit. Crème de munster frit dans les oreilles. Jusqu'à la dysplasie cellulaire de l'os de la mâchoire autant que chez Sigmund Freud. Mortel. Depuis Marie Curie.

Et le pourtour sablé de corrosion du pavillon des oreilles, suintantes, bourdonnements d'oreilles et fatigue, dite fatigue pondérale, vertiges dits orthostatiques, causés par commotions de tabassages violents, ennuis de santé divers, pires que causés par boule de mercure friturante déposée dans radiateur, un soir d'hiver, durant votre absence. Appartements alentours d'où l'on peut vous radiographier en entier, vous y voir le foetus approprié ou pas qu'il faut descendre, de tabassages insensés tant hyperalgiques, de la vessie jusqu'au prolapsus, par jeu électronique d'électrodes implantées, ou de jeux de faisceaux, lasers ou irradiants à électrocutant, grièvement, frisant le cheveu, même attitude et même topo envers les bronches et les poumons, l'appareil cardiaque y compris, la zone pariétale en son milieu si cette zone hypersensible y résiste, résiste à l'implant à pile atomique greffé, quelque part dans le corps, invisible et indétectable encore à la simple radiographie. Sinon, une simple masse noire. Ou blanche, de tissus lésés.

Quant au cerveau, il n'est pas douloureux, selon certains médics, curetons en totale incurie, au sein de leurs pavillons hospitaliers et cliniques privées qu'ils se montent d'une clientèle qu'ils se fidélisent sous des étiquettes de démence à vie des protégés qui leur sont confiés, curètent des morceaux de moelle cérébrale tout comme l'on se curerait, avec autant de facilité, les crottes de nez, ce dont on leur sait gré, puisque c'est bien grâce à cette médecine croyante que l'humanité doit sa survie. Histoire de touche-pipi qu'il ne fallait commettre depuis la Grande Inquisition des papistes, que sur autrui, cause le dur apprentissage depuis la naissance, de l 'hétérogénéité, ce n'était donc pas bien grave de se faire curer, les circonvolutions, et donc, de se les faire ablaver, autant que bonne dent. Contre tout chant religieux que l'on voudrait vous faire réciter avec la bénédiction du neurochirurgien.

Le cerveau autant que le corps et peut être même plus, doté de nerfs par paquets, qui autant que nerfs sciatiques fracturés ou nerfs cruraux éclatés ou pincés sous les pratiques électriques, sont cause de douleurs féroces à mortelles, dues à leurs blessures. sans compter les douleurs causées elles par les zones superficielles de la peau, très innervées, les muscles, tendons, ligaments, os fracturés écrasés mutilés longuement.

Lésions du cœur jusqu’à l’infarctus du myocarde par farce et implants, ou électrode cardiaque posée, car usage illicite de sa racine latine, les SS aimaient bien les grecs et les latins, les romains surtout, racine latine, « farcir », ou collapsus arrêt cardiaque, syncope et mort apparente, à tel point que les morts ressuscitent : Problème cerné confusément par le Moyen Age et les premiers dires religieux chrétiens sur la résurrection, la réincarnation.

A laisser telle Hellen Keller, le film. Sourde, muette, aveugle, autant que singe de la France des Mensonges, devenue de cela presque débile, sans réelle rééducation humaine.

Erreurs humaines, inhumaines.

Etat de morts-vivants que cause la psychiatrie et son pouvoir de mauvais éléments sur leurs victimes, traquées par les faisceaux de ces armes s’il s’avère qu’il puisse être dit que ces gens dits devant être surveillés, ne prennent leur médicament.

Si la médecine juge qu’à ce moment là il faut les laisser se débrouiller, c’est leur mort promise. Donc ces victimes appellent police secours qui les tabasse affreusement ou les livre au médecin qui leur plaira. Tout dépend de la police et du médecin.

Désormais essai sur la population de ces armes récupérées par les pouvoirs politiques, médicaux et gouvernementaux, appareils peut-être d’une nouvelle convention, ou datant de la dernière guerre mondiale et contrefaits par les voies de la médecine, de l’expérimentation sauvage sur des personnes déclarées démentes pour cela. Devant se soumettre aux moyens de répressions causées par de tels objets en cas de refus des contrats qu’ils ont signés à leur insu, tout autant que dans stérilisation dans les années 80 à 90, contrats concernant des opérations qu'ils devraient subir, ou simples contrats de sortie d'hôpitaux rédigés en caractères oranges ou verts microscopiques donc illisibles, obtenus par la ruse ou l’ignorance des sujets d’études expérimentales envers ces faits. Sujets ignorant qu’ils risquaient la mort de tant de refus légitimes pluriples et nombreux de respecter des contrats illicites d'expérimentation sauvage et organisée d'un trafic hyperépressif, contraints à céder face à ce régime dictatorial qu’ils masquaient. patients dont la cause adverse à ces agissements tabous est punie par la loi et la répression grave, par ces mêmes procédés et agissements, crimes politiques de type aryen, sources de profits illicites innombrables, illégitimes, dans le monde politique, scientifique, médical, atroces.

Arsenal pathologique et pathogène que détient la population occidentale et française surtout. S'entraînant sur tout prisonnier de guerre de ces luttes intestines qu'elle se fera.

Politique de guerre de l'état maintenue par la populace. Faisant de chacun un soldat de sa soldatesque, à sa solde, se défoulant sur son prisonnier tel soudard.

Armes donc devenues armes de co-répression, de surveillance et de « soins » commis par la psychiatrie : Coopération ou plutôt nouvelle Collaboration obligée dans ce monde de récupération des anciennes armes des Faisceaux, dans un système de l’Occupation, sans France Libre aucune sinon dans l’acception profonde ou simulée de ces actes de médecine illicite juteux de profit sous peine d’HO. Dans toutes les compromissions.

Armes militaires issues de la recherche technologique expérimentale des nazis su les juifs et dissidents, résistants et prisonniers de camps d’il y a des décennies, "améliorées" et tenues au secret d’Etat couvert par le secret médical, depuis ce temps là et cela ne va pas s’arrêter à ça (traité de la nouvelle convention européenne, même article déjà cité), actuellement encore testées, à l’essai, qui peuvent opérer, tomographier, repérer (caméras à infrarouges ou infra-ondes, pouvant déceler présence animale ou humaine à travers murs et plafonds et permettant de « visiter »), caméras cachées, micros, lobotomiser de façon aussi sûre que pour de bon, à tel point que cela passe pour irréel, tant inconcevable, à travers les os sans les fracturer, ou simplement en les fracturant. Matraquent le tissu cérébral, percutent et commotionnent fortement jusqu’à la douleur profonde, insupportable, le décès par arrêt cardiaque tant zones lésées, hémorragie cérébrale.

Peuvent faire exploser les tissus, une tête, un organe, trancher, réduire en bouillie cuite les zones visées, à travers murs plafonds et planchers, rayonnements de toute sortes, certains relevant des "aimants" (électrodes électromagnétiques, perversion des simples électrodes d'électrochocs car ajoutant le broyage hyperdouloureux des chairs et os à leur simple brûlure, écrasant pis que dans tabassage à la matraque, et causant hallucinations de par leur magnétisme) et sortes de bistouris lasers et formes de lasers d’une portée de plus de 50 mètres qui peuvent tuer. Armement autant de guerre que dans Guerre des Etoiles, inspirée de ces anciennes recherches expérimentales sur les déportés et les juifs et découlant des recherches d'après-guerre.

S'il faut lever un jour le voile sur ce pot aux roses, voilà qui est fait, pot au roses devenant le pot au miel de toute une ruche de guêpes en guêpiers dans autant de HLM et tournant autour de demeures à hypothétique futur demeuré, et d'une armée de mouches tueuses, hyperactives, ou mouchards activistes en mal de vous prendre en charge au pas de charge. Cela fait bander les mouches et pisser droit les chauves-souris.

Concerts, émissions télévisées, culturelles, expositions, musées, commerces et logements, maisons individuelles, sont les lieux de prédilection de l’usage de ces lasers ou faisceaux qui peuvent paralyser, commotionner, en cas d’agitation, de mauvaise tenue, dans la rue, pour fous rires dans émissions causés ou bloqués par ces appareils. Y compris à travers murs des villas. Jusqu’au cas de malaise général par arrêt ou blocage cardiaque, forte douleur terrassante et venue des pompiers, SAMU, médecins pour évacuer ces personnes visées par ces instruments. Peuvent autant causer le plaisir, l’orgasme du à la venue de la crise d'épilepsie. Qui d'ordinaire ne se soigne que par l'Hépakine.

Ou quelques électrochocs de plus qui causeront quelque crise d'épilepsie, de plus.

Armes désormais aux mains des Lepénistes, Mégrétistes, de la police, de maoïstes, délogeurs de fond, mauvaises gens et gens malveillants, offices des HLM, voisins voyeurs jaloux d’un monde meilleur moins ignorant des capacités et des dons véritables obtenus par autres moyens que le trafic de drogue et d'armes, de gens jaloux de l’argent qu’il gagne de untel ou de Mme X, dont personne ne sait rien, ce qui gêne par son silence et devient une gêne insupportable tant la tentation est forte de le sévicier pour en savoir d’avantage et tout sur elle ou lui-même.

HO (Hospitalisation d’Office) Dachau des nouveaux temps modernes. Depuis les temps de Charlot.

Préparation dans la population française de la future guerre mondiale, distribution préventive de ces anciennes armes, de nouvelle conception parfois qui ont été conçues à partir de celles-là précisément.

Armes du futur construites à partir du passé, des camps de concentration allemands. Et français.

Il a été nié qu’ils existaient, camps allemands ou surtout camps français, et ce encore de nos jours, révisionnisme également hospitalier et médical pour ne point offenser les idées de terre promise du Front National, de l’extrême droite, de Mégret et de ses sympathisants du monde chrétien, révisionnistes et enragés de révisionnisme. Pour les reconstruire dans toute leur résurgence. Ils les reconstruisent dans chaque maison, dans chaque logis, dans tout immeuble, propriété ou location, micros émetteurs dans antennes télé sur les toitures, dans service même associatif, servent d’arme de précision pour léser gravement si faute de frappe sur clavier ou blâmer, sanctionner les employés administratifs jusqu’à les empoter ou bien les forcer à travailler pour la DST l’espionnage employeur ou un patronat dans les secteurs privés, dirigés sur travailleurs et handicapés. Enfants surtout, dès la naissance, la maternelle, dans tout le circuit scolaire et médical qui les accompagne depuis la naissance jusqu’au décès.

La propriété du corps et de l'esprit relevant d'un problème de jurisprudence de l'Etat envers la délinquance et l'aliénation, le corps de l'individu et de chaque individu indivisis qui fait la masse, l'assurance du respect de l'intégrité corporelle et mentale relevant de la répression, seules les fesses de Carla Bruni pouvant être protégées par quelque assurance véritable. Au cas où elle en aurait le besoin, si un de ces jours elle veut assurer ses arrières.

Et hein, ce thème, cela ne passe pas.

Pour modifier toute personne et personnalité de la dissidence à ces actes de saprophytes parasites et auteurs de la résurgence nazie voire stalinienne, celle désormais du poutinisme français, gouttes de médicaments et tord-boyaux retors, rhums blancs vodkas sucrées, cognacs plus nauséeux que alcools forts, brûle-gueules pour indiens dans le nouveau Nevada français, distribués dans hôpitaux psychiatriques français depuis les camps d’internement, tortures et emmaillotements chimiques de type « bouillon de 11 heures » dans les boissons administratives. Depuis les temps anciens et reculés des camps.

Enlevez le « m », cela fait « caps ». Créent chez des enfants des cas pour orthophonistes, tant rayons dirigés depuis l’extérieur voire sur têtes trachées et larynx. Créent l’erreur chez l'employé administratif, la secrétaire et la dactylo. Certains sont instruments d’abrutissement de manque de compréhension, de manque de rapidité motrice des jambes ou des bras, d’organes, de fonctions naturelles, sinon les dérouillent, les brûlent sauvagement parfois. Créent des lésions parfois irréversibles chez des travailleurs ayant « fauté » au moins une fois. Dirigés sur militants anti-Front National, militants syndicalistes jugés effrontés, ralentissent sous leurs faisceaux la motricité, font forcer épouvantablement dans la marche. Portent de profonds coups et assomment ainsi que par crochets du droit.

Sans qu’il n’y ait rien autour, aucun circulation de camions ni véhicules. Caches souterraines d’armes et munitions, égouts habités ou visités d’égoutiers hors du commun. Qui happent au passage et font tomber sur le sol en quelques secondes dans des visions de malaise. Appareils à ondes appelés « flashs ». Ce ainsi que ça qui était désignés par Freud sous le nom de « flash-back », Freud qui savait. Qui servi la guerre contre les intellectuels de la Gauche antisoviétique française, les prisonniers d’opinion du monde entier, allemands, français.

Goulag français promulgué par cette science médicale de la psychiatrie, destinée à son origine à maintenir le degré d'humanité de la population. Sans atteindre le degré nécessaire d''humanité de l'Homme véritable pour maintenir sa survie, psychiatrie dont l'existence ne tient qu'à celle de ses psychiatres et de leur école qui les trie sur le volet et les choisie, servant plus à diviser pour régner qu'à soigner et limiter le degré de barbarie des masses, sachant bien à l'origine que dans ces écuries d'Augias le travail accompli serait très limité et constant.

Armes, appareils d’appareil de guerre, bases souterraines dans la société française et la population qui préparent le conflit, instruments qui peuvent être d’industrie plus lourde distribués dans la population pour servir d’armes de revanche entre individus pour affirmer et résoudre leurs conflits personnels envers autrui et servant de moyen de propagation d’un armement illégal en vue de la préparation d’une troisième guerre mondiale, sous le prétexte américain ou d’autre source, d’armer des individus qui sont contactés pour cela pour qui contactent via Internet et téléphone, les services spéciaux, médicaux ou de l’enfance, pour régler les problèmes du quotidien, armes soi-disant de self-défense pour un autoritarisme de type extrême-droite moyenâgeuse militariste et engagée dans le contre-espionnage quotidien.

Hyper-autoritarisme de grande influence sur les mœurs et moindres gestes de la vie quotidienne, appareils de surveillance tutélaire raciste, antisémite, divulgatrices de soins psychiatriques, par pur engagement politique d’une guerre future hitlérienne qui se poursuit de nos jours et tue par ces méthodes. Restes de deuxième guerre mondiale qui en devient une cinquième après celle du Golfe et la Guerre froide.

Guerre totale.

Arsenal militaire à paramilitaire de guerre totale, bien plus qu’armement de dissuasion, testé de main de civils employés par le SAC, bourreaux choisis dans la population civile pour leurs aptitudes à pratiquer la torture, sur certains éléments recherchés de la population pour leur intellect, dissidents de l’affaire placés sous en cette occasion l’étiquette de la démence, employés par la force et contre leur gré autant que Jarod de série B du Caméléon, en tant que cobayes humains, sujets d'études de cas et bouclier humain de ces armements, qui vont des simples contrefaçons de poste à soudure à l’arme de poing mortelle, en passant par le taser sans fil, greffé lui ou implants, affaire des tasers à laquelle s’est heurté je crois Besançonneau.

Se taper la tête sans fin contre les murs quand ils ont des oreilles, postes à soudure implantés à intensité variable vive le progrès, à finir paralysé de France autant que noir Sud africain tabassé à l’électricité d’Afrikaners..

Se heurter à l'autorité de ces tests sauvages pratiqués jusqu'en cliniques, menés de façon scientifique, suivi médical gratuit ou quasiment assuré, relevant du suicide ou du crime de lèse-majesté méritant la haine populaire invitée à rechercher tout évadé au système, et la répression par l'usage de ces mêmes méthodes, sinon mortelle, du moins assez invalidante, sous prétexte de salubrité. Chacun participant sciemment ou à son insu, subliminé, depuis des décennies, à ce plan.

L'idée partie d'une idée que j'avais dans les années 80, concernant l'arrestation des délinquants, je n'en ai déposé le brevet pour autant, qu'il fallait remplacer des armes pouvant tuer par des appareils à électrochocs. N'ayant que contrefait sans le vouloir Guillotin.

Car désormais l’on se sert de ces appareils pour l’usage sur prisonniers d’opinion, de la torture. Ou acharnement thérapeutique, la science se mêlant aux problèmes de la torture, ou torture médicale.

A se prendre sur le coin de la poire, devant rester en poire.

Chacun pour ses souffrances démences et/ou raisons personnelles, dont la jalousie et l'aversion envers le délit d'opinion, pratiquant l'usage de la torture via la possession de cet arsenal distribué en douce peut être même par autorités, sur un ou plusieurs de ses congénères, proche, ou membre de même famille, dans l'apprentissage du rôle de détenteur et bourreau de prisonnier politique. Et son élimination, ou éradication, purement biologique. Sans compter les phénomènes de torture administrative française de style Poutiniste. Hôpital français de type russe, ou turc.

Electrodes pratiquées des armes de cet arsenal dans les côtes, le cervelet, à la racine de la nuque, aux tempes, autour des yeux, orbites, oreilles, zones sensibles similaires aux aires du sexe et faisant en soi partie de l'appareil génital in fine, points G de chakras de ces zones déterminées par livre de digitapuncture trouvé à mon domicile, à leur racine même, au pourtour de la chevelure, des arcades sourcilières, dans le cœur, zones mortelles où est placé le canon du revolver ou le canon scié, où pleuvent les coups de matraque qui ont exécuté tous les prisonniers d’opinion torturés depuis Dachau jusqu’à l’étranger pour ne pas avoir été du même avis qu’autrui. Pour simple esprit contestataire ou journalistique de la situation. L'on vous éclaterait la tête comme sur le rebord de trottoir de ces armes là autant que tête à éclater de la prostituée que l'on veut au turbin et qui doit y rester selon les règles du proxénétisme qui sont celles de la gestapo.

Hitlériens, agresseurs invisibles, inconnus espérant cloner les embryons, mais aussi les corps et les esprits d’enfants déjà nés, adultes.

Créent dans les torses et les corps courbatures dites dues à la fièvre sinusites et rhumes, états grippaux, douleurs dite crurales y compris intercostales, qui sont également causées par ces engins servant à frapper les dissidents, nouvelles matraques de foire marchande Lepéniste Trotskyste et Mégrétiste. Le secteur médical travaille à réparer ces lésions depuis longtemps, depuis les années 40. Médecine de guerre. Qui vit, rapace, de ces dégâts physiques et mentaux. Pour votre plus grand bienfait.

Années 1930. A nouveau.

La médecine dans les deux secteurs B1 Et B2 de l'asile de Montpellier, pratiquant la dyslexie du raisonnement. Croyant, prosélytes de leurs méthodes de persuasion, détenir le juste raisonnement qui devrait faire vrai. Tapant dans le tas pour assurer l'obscénité du jugement, des formes des femmes, et du raisonnement. Du langage et de l'expression. Du type d'alimentation, du style et du look. Assurant ainsi leur immunité. Le seul argument de cette secte, le libre usage scient et le libre emploi du poste à soudure autrement dit, gégène. Assurant que c'était à bon escient. Faisait le Bien, était Bien et vous faisait du Bien. Et cela dure encore. Raclées constantes à la gégène. Dont on peut simplement de temps à autre si l'on y pense, à temps, demander que l'on baisse le volume, et non plus celui de la chaîne Hi-Fi, changement de nuisances de voisinages depuis les années 50.

L'on n'en est plus avec le temps aux nuisances sonores. Elles existent en plus du reste.

Batailles de rues et crimes d’HLM autant qu’entre mineures, mais entre adultes. Toutes de niveau CP sur la fille à la molester dans le devoir de l’esquinter, ou tuer. Entraînant concubins, voisins, amants, et familles. Problèmes de violence sur adulte ou mineurs, identiques à ceux de crèches, collèges ou cours primaires.sur professeurs et entre élèves Violences au collège et racket. Même type de raisonnement chez ces agresseurs, aptes au sadisme dans l'acte de représailles et uniquement ça.

Dans l'indifférence générale et la non-assistance à personne en danger, ce qui sera reproché à la victime, internée par la suite.

Le temps de la visite de Georges Bush en France, ordre et leitmotiv auprès de vieilles gens de l'extrême droite et de la gauche stalinienne, avec devoir civique de faire des adeptes, de cogner, lever à force les molester violemment, une horde de gueux d'anciens PO totalement tranquilles de l'asile psychiatrique autrement dit, prisonniers d'opinion, pour les mater à force de violences et les répresser par les mêmes violences à les réinterner, ce qui fut fait, exécuté avec la prise à témoin de leur proches, et familles, qui contre ces exactions laissèrent en toute quiétude agir et faire.

Dissidents, contestataires qui s’envoient par le godet des médicaments tels armes chimiques de guerre comme ils se colleraient le pistolet dans la tempe en se tirant dessus avec avant que la gestapo armée en Waffen SS et matériel lourd ne les assassine. S’ils n’abusent du cyanure, ils abusent en traitements ou calmants, dont certains équivalent au knout chimique, à prendre de façon expressément recommandée sous peine de devoir mourir sous les violences. Cafés cyanurés. A domicile ou pas, policières et hyper répressives. De la main de voisinages armés en état de démons ou d’anges des ténèbres, quand ils s’en mêlent. Jusqu’à ce que les dissidents contestataires donc, passent à l’acception de se suicider sous les coups et blessures, sous peine de torture plus violente jusqu’au décès autant qu’il le faut, résistants nouveaux à cette gestapo paramilitaire médicale. Qui n’en note dans le dossier des dits clients que ce qu’ils veulent noter de l’affaire.

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Mithridatisée moi-même à la longue de tant de tentatives de meurtre par empoisonnement, consignée à devoir prendre et consommer de la drogue sous peine de mort, de torture et de lente agonie, ce contre quoi j’ai résisté, tout de même, au grand détriment de mes libertés, de ma vie et de ma santé.

Pour que cela ne se voit.

Tant d’Art, de peinture. Pour y faire face. Maquiller l’affaire.

D’où des grèves du médicament durement réprimées, objets de toutes les moqueries psychiatriques, souvent grèves individuelles je l’ai dit non concertées entre patients, jusqu’au ficelage total et absolu de leur cas, ou camisoles chimiques, torture électrique et mort. Autrement dit, ne pas prendre son traitement étant « se mettre en danger ». Ou premiers avertissements en double langage du pouvoir, à ne prendre à la légère, de l’exécution qui suit. Si les patients les plus affables doux pacifistes ou simplement passifs mais dissidents persistent à ne rien prendre. Les plus opiniâtres laissés pour compte, à leur folie. Parfois de tuer.

Fixation schizophrénique chez des psychoses de maniaco-dépressivité, fixation de type TOC avec crises identiques de violences irrépressibles augmentées de la dépendance à l’alcool et aux toxiques, éléments schizophréniants chez ces sujets. Qui lorsqu ils attaquent en harcèlements de coups, blessures et voies de fait, peu importe l’arme, en pleine crise d’école académique, et exemplaire en son cas, quelque individu resté jusques là passif, lui font attribuer l’étiquette de démence pour le bien qu’il aura tenté de leur faire, si on ne la lui attribue par Placement d’Office, pour l’apparence jugée certaine des symptômes de la maladie, schizophrènes pour la plupart des cas, sauf chez les dépressifs qui eux vont parfois jusqu’au suicide de telles répressions. Selon l’individu agressé de ces psychotiques, la mélancolie peut être vite jugée, état paroxysmique commun aux deux psychoses de dépression et schizophrénie. Les plus résistantes de ces victimes d’agressions, et rebelles à ces méthodes, sont délibérément classés dans la schizophrénie, les plus suicidaires donc dans la mélancolie, maniacodépressive, dépressive ou schizoïde selon le psy.

Types de maniaco-dépressivité à TOCS dont ceux hypersensibles et irrépressibles, à très répressifs, qui peuvent nuire à la vie, voire tuer quelque personne, et rendre le patient dangereux.

Après la vague de psychose à hystérie encore en vogue et de rigueur, tant prévue programmée et annoncée depuis les années 80 par les psychiatres avertis, dont un certain Docteur Brès.

Qui a interné et persécuté toute leur vie durant les principales phases de cette vague, les premières victimes sur la région de ces cas typiques de maniaco-dépressivité à tocs rebelles, vague de démence ne se soignant que par le carnage et dans le sang de ses victimes. Secteurs psychiatriques n’hésitant à tuer les zones de l’intersection des deux mioencéphales du front par la même occasion des victimes choisies parmi les plus artistes, (découverte de l’interaction des deux cerveaux dans l’activité artistique vue dans émission scientifique télévisée sur la 5 ou Arte, certainement due à la vivisection) contenant les principaux dons artistiques qui pouvaient leur être reprochés, car orientés par ces pratiques et procédés de la torture, vers la critique, artistique d’ailleurs, parfois souveraine, mais avec cela au moins, hein, non.

Il fallait dire seulement, vive l’art thérapie. Et mourir de joie sous l’électrode de la vivisection.

Il fallait posséder aussi la bonne critique et la contestation requise. Et surtout n’être artiste critique envers le système mondialiste. Politique de Mr Manville et Bernard Loiseau, directeur de l’Hôpital psychiatrique de la région et son chargé de mission du projet Culture à L’Hôpital. Faisant régner une politique de terreur. Créant prisonniers politiques et d’opinion sous l’étiquette de la démence dans tous secteurs de la ville et des ses alentours. Et à un mal il ne faudrait que préférer le moindre. Ce qui n’est la politique du moindre mal. Tristes individus mettant à la porte hors de son sein et de tout consensus avec l’hôpital, toute association qui en son sein qui lutterait pour une pratique même si subversive, de l’art. Dont les Murs d’Aurelle, association dans laquelle j’ai engagé mon parcours du combattant, en premier lieu.

Reste l’art des hippopotames.

On leur a tant répété, rabâché à ces psy que dans ces cas de psychose à tocs, le couplage antidépresseurs /neuroleptiques le plus souvent retard était nécessaire, car ces sujets oublient très facilement de prendre leur traitement.

Si personne n’y veille, et peu y veillent, car suivis seulement par téléphone et remisés à leur domicile où ils réclament à grands cris l’intervention médicale requise, tant la nouvelle vague de psychose atteint de population, dont ces sujets.

L’on pouvait enterrer vite l’affaire mais l’on ne peut actuellement internent tant de monde, les lits fermés dans les hôpitaux y compris psychiatriques pour le compte d’une politique de Trieste, de soins et hospitalisations à domicile version française et nouvelle génération d’une version à l’italienne. Pour faire plus moderne. Quand la structure hospitalière ne s’y prête et qu’aucune surveillance digne de ce nom n’y est admise. Et que chaque secteur médical se renvoie le bébé de l’un à l’autre, ne sachant y veiller, dans l’inaptitude à cette politique l'incompétence classique et l’illégalité absolue des moyens sinon des plus certaines.

Tout un matériel de guerre confié au libre usage de voisinages et habitants malsains, malveillants, détraqués, et serviles des carnages hitlériens. Comptant pour se dépatouiller de cela sur le bons sens populaire qu’il leur faudrait. Se substituant au travail d’un personnel infirmier réel. Instituant par là dans le vice sous le prétexte de la maladie des maisons-ghettos individuelles de la maltraitance, du sévice et de la torture pour enfants et ados en voie de rébellion, des HLM Cercaades, cercles ou centres de répression civiques activistes armés, d’état, termes de mon calibre, pour gauchiste un peu attardé. Devoir de se faire piquer de façon constante au cul et électrocuter au crâne de leurs piques à bœufs. Et parquer tel bétail. Violer, triturer, mordre, morsurer, torturer, sévicier à loisir et longueur de temps. La population prenant malin plaisir à cela, exterminant toute réticence.

Tocs dans la population qui le souhaite, à gros tics et réaction parfois hyper violente si l’on vient à les enfreindre, contredire, contrecarrer ou manifester, hyper susceptibilité effroyable de voies de fait cet violences caractérisées, qui si elle trouve une résistance, est capable de torturer jusqu’à exécuter, abattre, assassiner ses victimes. Dans sa manie de s’imposer, s’infliger en dictact total et absolu à autrui Pouvoir que personne ne cherche dans l’administration, impliquée qui se sent concernée et coupable de l’être, à contester à ces sujets atteints qui règnent en maîtres incontestés sur le pays et l’occident, sur des fronts de crânes de rêve. Front, zones de la conscience tranquille et des facultés mentales, de la logique, de la cognition, de la lucidité et de la conscience tout court. Charcutées.

Car certains dans toute leur logique, ne savent même pas où dans le corps il se situe.

M’ayant attribué leur manque de connaissance, schizophrène à mon avis, en anatomie humaine. Ou langage sur le corps, aussi. Certains n’usant pour le dénommer que le langage de leur mastu, ou celui de leur enfance débile.

Si c’est encore moi qui fais ma régression.

Psychoses à tocs donc faisant rêves collectifs, des songes éveillés morbides à libidineux, macabres à aryens ou contrefaisant Stalingrad dans leur passages à l’acte, s’instituent en secte menée par le songe collectif dû à l‘usage de l’alcool et des drogues, faisant régner le paranormal et l’ébriété, s’organisent en bandes armées, milices armées le plus souvent de vieilles mégères nazies elles même le bras armé de leurs appareils de contention. L’Etat fermant les yeux sur ces méthodes et moyens et de persuasion. Jusqu’à mener leur révolution et prise du pouvoir à la baguette de leurs gégènes et postes à soudure, en seigneurs et caïdats insurmontables.

L’administration n’ose faire barrage, confiant l’affaire toujours à la populace, en mal d’exécution, toujours, de l’élite, du dissident, du bouc émissaire. Attendant que cela rapporte. Population de ces maniaco-dépressifs à tocs schizos, nourris de films et téléfilms américains les informant précisément sur le fait de la présence de cette vague psychotique à la symptomatique aussi schizoïde. Si ce n’étaient là tous ces Aliens de type aryen et stalinien envahissant l’occident autant que vague de bof génération des années 70 version plus Ghor et plus sauvage. Mouvement qui me poursuit depuis mes 1 ans d’age, depuis la maternelle en bref. Population d’acariâtres et caractériels n’ayant plus pour subconscient individuel et collectif que le ça collectif des téléfilms d’information américains, allemands et franco-suisses, qu’ils cherchent à reproduire dans leur intégralité. Jusqu’à Scream. Le film.

Les autorités en question mettent le couvercle sur la marmite, la plèbe et les pouvoirs des partis politiques concurrents met le feu dans les banlieux à gros bouls, jusqu’à ce que la marmite explose en phénomène sociaux des plus récurrents, répressés par l’armée, les lois martiales dont celle du couvre-feu de la guerre d’Algérie de Sarkozy, voire les CRS et une police loin d’être de proximité, bref, casse-gueule. Ceci, jusqu’à la révolution future. Le pouvoirs de partis politiques se contrebalançant et atténuant les retombées dans l’acception, de l‘usage digestif, pour lutter contre l’incommodation, souffrance terme définition de la torture dans le Larousse, d’un certain taux d’éthylisme et de drogue, permettant d’endormir les foules sur précisément, leurs envies de révolte et de révolution.

Vague sur le territoire français de troubles majeurs de psychoses maniaco-dépressives à tendances psychotiques schizoïdes, sur un terrain déjà habité d’une vague de psychose à hystérie, doubles psychoses à troubles connexes maniaco-dépresso-schizo donc aux accès mélancoliques communs et autres symptômes communs aux deux démences, et leurs symptomatique annexe, dont celle des tocs communs aux maniaco-dépressifs. Le tout donnant accès de fureur délirante mégalomanes, hyperactivité paranoïaque, doublées de phobies à activité délirante, envies irrépressibles de mutiler voire tuer de scènes de violence et de coups, blessures, à l’hyper agressivité insurmontable de tocs, rituels conduisant à une hyperactivité obsessionnelle d’obsession sexuelle à pulsions hystériques de viols sous de multiples formes avec torture et mutilations multiples dans toutes parties du corps de leur objet de convoitise, forme de névrose obsessionnelle jusqu’à la lie et la plus stricte dépravation, dans le sens de l’infliction de la sodomie et de la fécalité dans laquelle chacun se conforte.

Projection satyre sur l’objet des persécutions rituelles à brutalités continuelles et actes de cruauté, ou barbarie, rigidité mentale intoxicante des troubles, couplée à une régression anale schizophrène, à projection et délire autistique avec passages à l’acte quotidiens, jusqu’à la dangerosité, l’hypocondrie réactive à la pulsion fréquente de meurtre envers leur victime, folie des grandeurs (jouent aux médecins, moniteurs référents et neurochirurgiens lobotomiseurs, neurologues meurtriers…). Confusion mentale concernant l’anatomie, symptôme schizophrène, et projection de ce fait sur la victime de leur choix, le plus souvent elle hospitalisée pou troubles chroniques à récurrents et parfois plus proche du décès occasionné si ne consent à mourir de soi, sinon à tentatives de suicide, que de la vie courante.

Toute version des faits de la victime de ces psychotiques, déclarée délire.

Pour résumer simplement, ainsi qu’il le faut.

Les implants elle les a dans le crâne, donc, certainement une idée que je me ferais.

Certains voulant pour s’amuser à réussir à violer, pratiquer des électrodes de leur arme de poing, c’est dire, dans des régions du corps et du crâne réputées être des zones érogènes à points G, dont le point hindou. Jusqu’à la violente électrocution, et le charcutage in fine du cerveau, dans certaines zones, lésées, à séquelles, voire irréversibles. Je le réitère. Implants issus de la recherche en Nano-bionie ou bionique.

Spirale à sens giratoire obligatoire et idées fixes depuis Ubu Roi, et le langage Picabia en vue d’une société malthusienne du touche-pipi royal interdit qui doit être celui de chacun, lysis intimisé en son soi profond et nerf de la guerre, moteur du capitalisme. Le boulot avant tout, il n’est temps d’aimer. Le tout étant d’aimer son travail avant tout.

Sarkozy zizi touche pas pipi remonte la braguette et retourne au lit.

Société de pioupious dès le plus jeune âge mort la fesse en y laissant le dentier et tranche moi le lard jusqu’à la mort, qui se pique de se rebraguer le matin comme l’on part à la guerre, de 14-18, avant le petit plaisir à assouvir au travail c’est plus d’énergie, retour à la case départ et métro-boulot-dodo sous calmants-somnifères qui aboutit à des émissions-dortoirs sur l’amour au boulot, récupération par la société de consommation du problème, y compris de votre constipation, qui s‘évacue en surconsommation qui elles ne sont gratuites et remplissent les poches de l’Etat. Contre cet état de fait, seul le schizophrène, à paranoïa, fait rempart, de son corps. Bouclier humain dont chacun se sert, nouvelle race de juifs correspondant bien à la caricature du schizo que chacun se fait.

Nature culture et traditions.

La psychiatrie ne tombant que sur les victimes du long combat contre le système, suppliciant blessés, violés, électrocutés, mutilés de guerre et petits enfants. La veuve de guerre et la jeune fille évanouie en pleurs. Admirant le cul puni de tous ces poulbots lors de la dernière ferrade aux orties.

Etre autant amochée que cela n’étant assez pour l’invalidité.

Psychiatrie assermentée par le troisième âge cernant les pouvoirs artistiques par les deux extrémismes qui tentent de prendre à tout prix le pouvoir dans le pays, prêchent aveuglement idéologique et bêtise de la barbarie inhumaine. Dénoncer le superfuge serait se heurter à un mur de médicaments et de soins incoordonnés, knouts chimiques à électriques, remontant aux années 50 depuis l’affaire de l‘Amarante, cancérigène alimentaire,gégènes et postes à soudures en tous genres, pires qu’à Djibouti. Aveuglement idéologique n’étant mots de Freud mais de Karl Marx. Freud à freux. Le mot torture tabou dans la collaboration. Les méthodes de torture autant. Chaque contestataire pris diffamé, vivant l’infamie la plus pure, malmené dans la maltraitance des plus grave et la violence physique couplée à la torture mentale. Contraint à la stérilité à vie pour leur descendance ne souffrent des tares acquises de la pratique de la torture sur lui.

Posséder le niveau intellectuel serait celui de l’impertinence prétentieuse.

Si cette maladie était si grave que ça, il fallait lui accorder d’office l’invalidité.

Buvez, éliminez avec vos prisonniers politiques et d’opinion.

Torture de guerre, torture médicalisée en tout lieu de la société française, autant à l’étranger, dans tout pays, y compris en Suède (eugénisme et stérilisation de masse des malades mentaux), en Allemagne, pays qui se disent pays de liberté dans les reportages d’information télévisés de la 5. Torture française initiatrice de la torture dans pays étrangers, américains, algériens, autres. Depuis ses anciennes colonies, elle a régné partout depuis, jusqu’à nos jours encore. Voisinages peu érudits ou cultivés servant de police politique dans tout canton, armés de mains miliciennes. Utilisée par chaque parti surtout entre eux, armés de ce type d’armes non conventionnelles.

Magouille, décrétée de type démence schizophrénique voire précoce ou autistique chez les petits et grands enfants, par les services médicaux, la Médecine. Erreur médicale devenue Guerre obsessionnelle, obnubilatoire, incessante jour et nuit, guerre civile déjà faisant place nette, guerre souterraine et sue par tous.

Jusqu’à la calvitie.

Démagogie prise entre eux feux.

Putain qu’elle n’est bien.

Signes préventifs en dessous et cachés passés par résistance farouche et discrète qui s’organise, j’y tiens.

Amen.

Et advienne que pourra.

A chacune de ses commémorations.

Depuis la shoah.

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HISTOIRE DE PLAIRE

Il y a de la casse…

C’est de la colchique.

A un âge où les conflits pubertaires sont largement dépassés, ma famille ne songeait qu’à me maintenir dans des relations infantilisantes sous prétexte d’attentions, allait jusqu’à m’offrir des sacs de nourriture en conserves comme l’on fait aux enfants, après nos disputes, lorsque je manquais d’argent. Cela ne pouvait être que l’anorexie.

Ils m’insultaient parfois dans leurs gestes, qu’ils faisaient dans l’intention de me reprocher mon onanisme, gestes puérils de frottages de sexe, qui servaient de geste d’éloquence, simulacres de caresses personnelles qu’ils m’avaient peut-être épiés lorsque je dormais chez eux.

Pour toute réponse à mes plaintes plus ou moins formulées.

Je dois avouer qu’après une mésaventure sentimentale, je restais souvent tard dans la journée au lit, cela excitait leur imaginaire, leur curiosité devenue maladive à cet égard. Des parents qui se disaient pourtant émancipés.

Affectation scabreuse.

Après de tels conflits, j’ai été souvent amenée à négliger ma santé physique surtout, pour mes infections à MST, dont un tréponème pian gratiné (virus cousin de celui de la syphilis) qui me valut la peur du gendarme car dans les années 80 l’on pouvait emmener et interner pour syphilis, pouvant atteindre le système nerveux, et surtout pandémique. Ce qui faisait dire que je ne me soignais pas, amenait bien des gens à croire, faire croire que j’étais une malade mentale qui ne prenait pas son traitement.

Ce qui a conduit à nécessiter l’appui des parents, pour tacher de me défendre auprès d’eux. Je nécessitais moi aussi de leur appui pour me défendre contre cette emprise qu’avait sur moi un voisinage assez grossier.

Appui temporel, mais qui faisait figure de bonne entente, que je doublais d’une véritable consécration envers l’esprit de famille, qui donnait le change aux oppresseurs. J’en recevais, sans autant de calcul, un soutien psychologique ad eternitam que l’on pensait me devoir. Le temps d’un semblant d’équilibre. Après ce genre de système, les heures de latin sont loin.

A profiter du pétainisme à ce point, face à cette incapacité de comprendre quel était le véritable problème, à réaliser l’importance du choc des cultures que j’éprouvais, ou peut être une tendance à trop le surestimer, je dus taire et enfouir les restes de puberté, mûrie trop vite et pour certains à temps, que je gardais encore au fond de moi-même.

Je fermais les yeux sur les indélicatesses, cela passait pour un dédoublement de ma personnalité, celle qui sait, celle qui oublie, qui n’en sait plus rien, faute de mémoire tant ravagée d’électrodes implicitement avouées. Parents et amis réunis et ligués en un seul bloc insurmontable, un mur irrépressible de glace quand il vous tombe dessus, contre lequel je me heurtais et rampais en silence, accroupie dans les tentatives de communication.

J’ai dû faire tout le chemin pour en parler, mais les dialogues de sourd ou concernant le beau temps fixe et la pluie telle qu’ils la faisaient chez eux, me fatiguaient, jusqu’à l’ultime renoncement. Je restais dans un état semi comateux, qui demandait des attitudes exemplaires et un guide, que je ne possédais pas, il manquait cruellement. Eux, trouvaient en la présence du psychiatre quelque arbitre et médiateur au conflit qui couvait sous la braise. Très tôt, il en fut question, il ne fallait pas attendre que le mal s’installe.

J’eu chaud.

Mais ce ne fut pas qu’un rêve de prémonition aux punitions exemplaires qui m’attendaient, en regard de mon attitude honnête, prude, muette.

Or, mes parents, exemplaires pour tous ainsi que le sont entre eux les parents, s’ils avaient saisi l’importance de leur présence auprès d’une fille presque alitée de désespoir, tyrannique selon eux envers leurs attitudes de vieux couple, ont toujours, pour dédramatiser, joué au rôle de censeurs, en alternance avec des farces de véritables bouffons, à la limite de l’inconscience.


Remède de la transposition scientifique et banale, dénuée de tout jugement honorable, de toute la grandeur littéraire que l’on pouvait attendre d’enseignants ou de médecins. Ils me confiaient ensuite au domaine médical, dans une nuée de réflexions, d’échanges triomphateurs. Ils plaidaient en misérabilistes, enivrés de haine jusqu’à la violence physique, pour faire manager leurs derniers fantasmes à mon encontre dans une ambiance de viol thérapeutique possessif qui soignait plus leurs relations intimes que la mienne avec le monde.

Je les soupçonnais de garder le reste du commentaire pour eux. Ils défonçaient mon identité à fond, dans le sens du peigne fin, d’une défonce entre eux ludique, féroce envers ma personne, d’indécence et de violence sexuelle.

Jouaient tout aussi bien la carte de l’indifférence, celle des messes basses, ce qui pouvait être louable, je le leur rendais, en méfiance silencieuse.

Je vivais dans un aquarium où tout devient évident et donc inutile, ne m’entendait personne de ce vase clos, sinon une famille qui croyait m’entendre penser, quand je ne parlais pas. L’on me nourrissait de boites de thon, pour le phosphore, et la mémoire, atteinte de trop de courants électriques, de sédatifs aussi, mais cela, l’on ne me le disait pas, je zappais les repas, plutôt que me confronter à l’ambiance « chaleureuse » du soin en couverture de relations parentales en défection. L’on m’abreuvait de bons conseils et de bonnes paroles, juste pour me stimuler après les gouttes dans le café, au cas où la sieste me guetterait, ce qui ne valait pas la peine d’en dire plus, parce que les cachets aussi, je les inventais…

Ce n’était pas à Eux qu’il fallait s’adresser.

Une somme incalculable de couples, de particuliers ainsi que de familles, se mirent à me vouloir à leur façon les joies de ma famille, prenant en charge avec leur monceau de problèmes et de manque de discernement, les particularités de mon caractère et mon bout de gras avec. Il leur en fallait un pour moi qui leur convienne, autant que possible à la carte, à l’âge que j’avais, le reste de ma personnalité, mon identité ou ce qu’il en restait après leurs séries de représailles, étant selon eux à refaire.

N’oublions toutefois que ceci partit d’un lustrage de cabochon un peu trop puissant pour ces ouailles. Et que l’anorexie ne commence que par là.

Chez eux l’on sait quand cela commence, l’on ne sait quand cela finit.

Le temps d’une petite psychothérapie.

A partir de ce moment là, mes rapports et relations avec le monde ne furent qu’infra médicaux et ultra financiers, sans ignorer les rapports sociaux avec l’avis de la population sur mes rapports parentaux et sexuels. Le schizophrène, selon le Merleau-Ponty de ma connaissance, identifié à l’œuf, un aphrodisiaque alimentaire qui résume l’attitude psychologique de ce genre de malade, est donc, à fortiori à trépaner dans l’occiput, ainsi que le livre déjà cité le recommande. Paragraphe « sexualité du schizophrène ».

Ce fut le début de la fin, et la décadence romaine dura mille ans. Selon mon Père.

Qui lui préfère le Merlot au St Saturnin.

Question de picrate.

Mes sentiments avaient été bousculés pour mieux les servir, les guérir de ma chasteté confidentielle de coincée encore vierge, sentiments jugés infectés d’un air confiné de sainte nitouche que j’étais, l’air, celui des cliniques aux portes et fenêtres rivées d’une serrure, l’air, celui de la complicité dans le crime de séquestrer, charcuter dans la chair vive pour mieux triompher.

Complicité d’une revanche sur la jeunesse que j’opposais, synonyme pour ces gens de trop de liberté, à surveiller. La prochaine foi, si je gratte ce ne sera qu’un jeu de morpions.

Je savais qu’ils useraient de ce droit et de tout leur pouvoir pour m’enfermer, mieux me posséder, depuis fort longtemps.

Critiques incessantes des valeurs personnelles, ou non, le mouvement que je défendais éradiqué en chaque être qui le défendrait, je m’acharne encore à le penser. Valeurs contestées, tolérées mais dans l’intolérance absolue la plus furieuse et répressive, pensées innocentes de vice contrecarrées d’avis d’internements intempestifs, idées qui ne peuvent passer inaperçues d’aucun dans ce monde de brutes épaisses que je vivais.

Univers de jeunes où les excès de pudeur frisent ceux de l’incapacité à tolérer une liberté mentale à identité sexuelle autre que celle du proxénétisme, de la dépravation, de la prostitution libre ou obligatoire pour les plus érudites. Erudites ou cultivées, donc usant du langage tant incompréhensible des intellectuelles, donc intolérable pour le commun des mortels.

Seuls les journaux à scandales faisant fureur, avec l’Equipe, dans les cités traditionnelles, ghettos ou résidences de prix, mon langage fut quasiment épuré par la voix défrayant ma vie privée, des canards déchaînés de l’extrême droite, des Voici de commères, leurs bedeaux ne tardèrent à parachever le travail bien fait, m’interner pour fuir toute procédure que je leur opposerais, et devais. Se sachant dans le tort et flanqués d’avocats imparables, ils me défiaient, à chacun de mes retours, de respecter le calme auquel j’étais assignée. Société de procédés anti-Salengro à Salinger complètement démentiels.

Je n’avais demandé qu’une aide provisoire, mais elle s’éternisait au-delà du diagnostic de démence précoce, j’avais formulé le souhait de m’éloigner de ceux qui étaient censés me protéger, qui en fait m’enfliquaient à m’étouffer, dans l’apanage de quelques erreurs médicales pas très thérapeutiques en fait.

Dans le calme Olympien des jeux olympiques qu’était sortir du cercle vicieux des placements volontaires et internements médicaux ou d’office, j’entamais un parcours du combattant qui occupe les terrains neutres, je musclais dans l’emmurement quelque défense de mon acabit à servir en guise de représailles, quand déposer une plainte telle gerbe fleurie sur les vertes années, est strictement déconseillé aux schizophrènes, car un fait connu de leur symptomatique.

Je me passe du décorticage constant de voisinages complètement désaxés, témoins de ces démarches administratives. Les procédures s’enchaînèrent, et privée de l’appui d’une police qui se ne respectait que le plus strict refus de servir, je sombrais dans l’écriture, seule bouée de sauvetage au massacre de mes derniers jeunes ans de lucidité.

Et les parents, pris dans le ravage de la déforestation comme de la razzia, suivaient, tentés de sadisme infantile.

Rêve à vif qui revenait dans l’ambiance cotonneuse des pavillons qui eux se succédaient. Faculté protectrice de la matière, elle seule me retenait à la vie, nature jalouse qui me voulait en vie, empêtrés dans leur sac de nœuds gordiens ils voulurent trancher dans mes racines. J’aurais presque préféré la cautérisation, si j’avais eu le choix, je ne le fis pas, suicidaire contre mon gré dans le laisser-faire d’une seconde naissance d’après la mort ancrée dans l’âme. La cicatrice invisible, tant redoutée. L’opération. Du cerveau. Je ne pouvais plus lutter.

Ne lésinons quant aux parents sur le vin de Corbières.

Je vivais réfugiée dans mon inconscient, cette existence du déjà vécu et appris, cet espèce de toile d’araignée déteignait sur moi en nappes orageuses de graisse figée, dans l’instinct machinal, insensible, de survivre. Je constatais l’échec de mon argument primal pourtant le seul à pouvoir les battre, les habitudes et coutumes des autres, les rites de personnes qui n’avaient vu, de loin comme de près cette réalité d’enfant après, et eux, mes parents que je préférais à tout autre discours, à toute autre rencontre qui pourrait m’être bien plus gravement insupportable.

Aussi, quand j’eu réalisé, leur affectivité dépassée, infantilisante et rendue irresponsable de médicalisme colonial, réductrice au rang de vieux moignon à eux, ils ne m’étaient plus qu’une culture désavouée dont je ne pouvais plus me passer. Premières auto-contradictions acquises, qui m’auront plantées là dans l’inverse de ce que j’espérais tant de ma personne, gagnée à la force de l’emploi que l’on faisait de ma pensée et de mon corps, luttes sans merci qui me vidèrent de mes droits, libertés et vie véritable, jeunesse pourrie de combats inutiles qui me laissèrent démunie et sur le pavé. A appeler au secours des enfants d’Hitler en personne, qui pourraient adoucir cette vie d’insecte écrasé de leur volonté que j’étais. Le poids des mots. Celui des plaies.

Sans qu’il y aie eu des termes quelque peu lisses, plats ou détendus, venaient la difformité des propos, les phrases injurieuses tant fausses et noires, je vivais tout, malgré tout, et me contentais de ça, parmi eux, seule issue et fatale alternative.

En tant qu’enfant qu’ils reconstruisaient de briques chaudes et de broques, à leur manière, avec leurs façons et leurs outrances, adulte qu’ils maudissaient, je sentais qu’ils interprétaient pour me faire disparaître et renaître métamorphosée en leur ombre.

J’eu peur.

Quand mon Père crachait quelque brin de plastique qu’il rongeait, comme l’on crache sur la femme facile, je me taisais… J’enfantais des rêves d’amour perdu, des liens sacrés avec l’inconnu, des serments que je ne tenus avec aucun homme. C’était absolu, pendant tout ce temps, ils narguaient.

Cela voulait tout dire.

Je sens actuellement que je suis parvenue à la lie de la coupe qu’ils me réservaient pour mon âge. Ils ne figuraient plus dans aucun de mes souvenirs, il fallu qu’ils me soient rappelés, avec tant d’insistance et de volonté pour me faire dépérir, que ce fut le drame, tu, soupesé, subi et caché et enfoui sous des tonnes d’amour lâche, ou vache.

Aujourd’hui n’existe pas.

La complexité de la situation, ils la réduisaient à à peu prêt cette idée, que je les gênais, je les empêchais de vivre eux deux, s’instauraient des parties de réparties blessantes, nos aires de rencontre se limitaient aux repas de famille, les retours en voiture, à leur villa, lors de mes mises au vert par le commissariat. Assignation au domicile parental, le temps de calmer le jeu, celui de mes rébellions, envers tout cet entourage de voisins maladifs, plus emportés que moi-même.

L’on ne me tolérait plus que dans ma famille. Pour les agressions que je subissais. Hyper-agressivité que l’on croyait mienne.

Nos réalités avaient glissé, écartelés, nous ne pouvions plus nous rejoindre.

D’autre part, en croyant me rendre service, sur des critères anciens, mécaniques, de vieux dossiers médicaux à eux, ils me rivaient à eux, leurs réflexes nuisaient à ma santé, je ressentais à l’avance les effets sénilisants de leur inadéquation.

Ils se voyaient méprisés, alors que je ne faisais que rejeter leurs délires rituels, seule la confrontation de nos attitudes aurait pu atténuer notre colère, la haine conflictuelle du non dit s’installait, qui les persuadait de se séparer de moi, une fois de plus.

Je n’étais pas tout à fait apte à affronter la liturgie médicale ou même patronale, ni à prendre part au rythme et cadences de la vie, trop trépidante, bien trop méprisante du bien être et de la santé, propre aux jeunes gens de mon âge et dont ils se paraient.

Leur atout m’était un handicap.

Je projetais contre eux l’encre vénéneuse de mes nuits blanches et les craintes suivaient, que je nourrissais depuis mes premiers jours. Ce cadre physique et moral de la famille m’indisposait, me rendait molle, sans attention, parasitait, devançait chacune de mes initiatives, le ciel s’écroulait, un éboulement de vérités dans lequel je ne me reconnaissais plus.

Je ne parvenais à assimiler les gestes professionnels qu’ils me laissaient entrevoir, ceux des cliniques. Je vivais dans l’atmosphère recluse de leur vie privée, celle qu’ils me destinaient, sans parvenir à connaître ce qui aurait pu être l’aéré des devoirs que j’aurais voulu consacrer à d’autres tâches.

Ceux que je voyais rarement, parce que j’avais l’impression qu’ils savaient, que leurs lacunaires interventions étaient un défi à toute tentative de leur chercher amitié, amour réciproque.

Surimpression de contraintes dans la relation à autrui. Je le sentais au fond d’eux, j’en pétrissais mon subconscient à tel point que mes rencontres s’échappaient du cercle familial, les autres le ressentaient eux aussi.

Lorsque cet après-midi, alors que mes parents venaient d’installer dans ma chambre un nouveau meuble que j’avais osé leur demander, je sentais leurs impressions dictées par quelque mépris, celui de la charité qu’ils me faisaient.

L’ensemble de mes sensations était diffus, je masquais l’envie de leur en faire part, mais n’entrevoyais que la prudence, de leur part ne rien blesser de moi-même, l’idée qu’il fallait ménager la chèvre et le chou entre chien et loup prenait forme, ménager ma susceptibilité, mon irritation.

Ils présentaient avec force démonstration leur innocence face à la maladie, montrant par là que si j’éprouvais de la colère, elle ne pouvait provenir que de moi.

Innocence faible et coupable que j’opposais à ce besoin de me faire comprendre leur gêne, affreuse, impuissante. Pulsions qui allaient vers un effondrement de la tension, lorsque j’eu montré toute ma reconnaissance.

Un effondrement pénétré de pitié, d’amour parental et de reproches, d’un grand écoeurement face à mon manque de dignité, ils se sentaient obligés de me porter secours, quand j’aurais pu me débrouiller seule.

Incapable de les mettre à la porte, faible devant leur participation à mes dépenses, je me confondais en remerciements, ponctués de compliments qui bien que très sincères, sonnaient faux.

Chien dressé à leur rendre la politesse, j’assurais mes parents de mon contentement, et ne parlais de rien d’autre.

En phase de désapprentissage quant à leurs idées réformatrices des institutions publiques, issues d’un esprit rééducateur et pédagogue, je laissais venir à mon idée quelque pensée rassurante, ils m’aiment.

Je me leurrais.

Réfréner les acquis nouvellement inculqués, je ne possédais pas assez encore de science pour répondre à cette situation. Des étrangers n’auraient pas agi autrement, auraient eux aussi opté pour le sacrifice de leur vie à une inconnue, par politesse exacerbée, pour cacher le fond véritable du problème par peur que cela ne se voit, auraient trouvé quelque plaisanterie courtoise et plaisanté sur le bricolage du meuble. J’aurais su leur répondre, je n’aurais pas eu à subir tous ces maux.

Il est des inhibitions affectives qui empêchent de se retourner contre l’être cher, devenu aujourd’hui étranger, peut-être même ennemi. Je respectais mes éducateurs premiers, mes parents, me menaceraient-ils des pires outrages, des pires dangers. Ainsi que la chanson le dit, ils étaient, mes meilleurs ennemis.

Plus ils ressentaient l’horreur que j’éprouvais, plus ils se conformaient à l’image des craintes que font des médecins insidieux. Plus je craignais cette situation, plus elle perdurait, situation d’être vécue en tant que folle, se déclenchent des étalages de secrets intimes, des rouages de vie qui fonctionnent inconsciemment, souvent contre mon intérêt.

Ils me forcent, ces rouages, à dévoiler, révéler au fil des disputes, jusqu’au moindre détour de ma pensée, que l’on dit telle une destinée qu’il faut vaincre et détourner de son chemin. Situations grotesques, où sont publics les gestes intimes, caricaturés, les regrets aux compagnons, dont la présence n’intéresse plus personne.

Sinon pris à témoins pour enquête, rappelés à tout vent pour m’interner.

Présence indifférente ou hostile, ils me quittaient tous, avertis de confidences délatrices qui leur ont été faites. Leur solitude causée par ce problème, me rongeait, leur souvenir me hantait autant que revenants qui pouvaient contenir mon amour pour eux.

Amour retenu, longtemps, jusqu’à sa disparition de ma vie.

Rongée jusqu’au plus profond de mes idéaux, j’enfantais un monde à part, où tous m’aimaient et partageaient mes meilleurs instants.

J’étais, jeune.

Forcée par les parents à livrer au néant une vie dont ils n’avaient que faire autant que des hommes que je pouvais rencontrer. Je vivais sous les à-coups de guerres intérieures, qui piétinées par le flot d’équipes au pas de charge, des années de suspicions à mon égard, d’accusations des plus immondes, j’inondais ma mémoire de fatigue, lasse, écoeurée, confiante encore.

Auprès des parents, gonflée d’un sang neuf et lénifiant, celui de l’espoir d’être enfin respectée pour des épreuves endurées que je persistais à vouloir oublier tant elles me paraissaient simple cauchemar, les preuves de leur amour masquaient la dure réalité.

Enflée d’air libre, j’attendais du nouveau, rien ne venait, sinon la vraie urgence de reconnaître que ce passé était réel, anéantissait tout effort de conciliation. Mes parents, eux, sentaient la faille, l’agrandissaient, rongeants, j’étais prête au mensonge.

Ils comprenaient sur le coup les explications, mais n’entretenaient qu’une poussière, le grain de sable à leur rouage, un résumé complètement infect, qu’ils rapportaient au médecin, dans un style infantile, abêti et grossier. Montrant par là leur total désintérêt pour ce regard que mon avis pouvait recéler de vérité, et niant mon droit à l’expression.

Ils se croyaient dans le coup, et bien, cela me faisait mal, car pour eux j’étais mal, tout le temps, sauf lorsque je prenais un traitement, auquel ils me contraignaient, ce qui les réjouissait d’avance, là, ils retrouvaient quelque attitude humaine, dans une seconde personnalité.

Jubilation intérieure que je surprends dans leurs propos haineux, revanchards. Le prix à payer pour leurs services, les soins officieux dispensés à domicile, qu’ils disaient être une de mes hallucinations. Les électrochocs commis sur l’alèze que ma mère apportait, avec ses gants d’hygiène, les grosses baffes durant le coma. Après les pourparlers. Et les langes pour grand-mère. Langes qu’elle cachait dans l’armoire.

Et plus tard, « où est ce que vous avez vu que c’était elle qui était en crise », pour bien brimer. Je payais le prix de leur chambard, des querelles bruyantes, des colères incoercibles des voisins. Pris pour une ire de plus avec agitation que je ferais. Brûlure des électrodes le long de la colonne vertébrale, électrode entre les épaules. Les infirmiers s’en allaient avant mon réveil, après un rajout de gros neuroleptiques. Odeur forte d’électrochocs dans la baignoire, bains ou douches forcés chaque jour.

Pas vus, pas pris.

Quand je l’ai signalé il y a quelques années, la police m’a faite ré-interner…

Je leur répondrai : hallucinations à prouver. De voir leur médecin l’on en attrape des idées noires.

Besoin chez eux de bien s’assurer que malgré ce qu’ils voulaient m’infliger qui pourrait me rendre dangereuse, je reste inoffensive. Avec le label attitré. Objectif Sécurité. Jusqu’aux implants pour folie dangereuse en plus du reste il le fallait.

Politique sécuritaire.

Pour parvenir à me rendre folle dangereuse, ils me reprochaient ma violente aversion contre la pratique de la torture dans ces établissements et les périmètres des soins, ils auront je crois tenté tous les crimes, surtout ceux contre l’humanité.

Gros matage et gros cassage de baraque, de dossier et de gueule. Ils n’ont cru que me faire du bien, là où selon eux ça branle.

Cerveau réduit au résumé de cerveau.

Sus à la brebis galeuse.

Le prix à payer pour tous les services que soit disant ils m’auront rendus.

Je ne sais plus s’il s’agit de réalité ou de fiction, mais il s’agit de leur réalité à eux. Contrefaçon de la mienne. Soins à effet de mélancolie.

Ainsi, ils n’entendaient plus parler de moi, les voisinages repus et fiers de leurs débordements en représailles et festivités à mon encontre, savourant la paix de leur conscience avec une délectation intense, assez pour me narguer encore. Règlements de comptes entre personnels médicaux et moi-même, selon les dossiers de leurs pavillons qui traînaient dans les rues à réveiller une population. Parce qu’ensuite ils nient être intervenus à mon domicile, se faisant passer pour cénesthésies dont je souffrirais. Coup monté schizoïde.

Leur offre d’aide et d’amitié après chaque séance d’électrodes ou d’augmentation de traitement que je leur devais, en plus du devoir conjugal auquel ils m’astreignaient, les œufs, il m’en fallait, m’exaspérait, leur causait joie et triomphe, les parents pensant que le traitement me ferait pardonner, ils me préféraient ainsi, ensuquée, enlaidie et obèse. Pour se foutre de ma bobine toutes les fois où ils me faisaient causer un tel traitement. De tels débordements de haine, discriminatrice, voyeuse et rebelle à la justice telle que le bon droit l’entend.

Mais ils se foutent royalement d’elle, disait le médecin. Ils se foutaient surtout de ma pomme.

Tu comprends si c’est pour se foutre d’elle, dit fallacieusement, dans le sens d’une paranoïa que je ferais… Ce n’était pas envoyé pour me faire plaindre. Parents bourreaux, témoins, voisins bourreaux, personnels médicaux bourreaux.

Complexe d’utilitarisme envers les pompiers, qui dès qu’on les voit, sont priés d’aller chez moi. Sans toutefois me considérer adulte, je devais subir les ravages voulus aux délinquantes qui auraient gravement fauté, la légitime défense que je pourrais avancer et leur promettais devancée même après des années d’oublis envers ce dossier, vieux d’il a vingt ans. J’aurais pu tuer, seul cela importait. Pour la politique sécuritaire de ces pavillons, j’étais à traiter aussi durement que si ce meurtre je l’avais déjà commis. Quand je disais que les conflits dégénèrent.

L’on ne me veut internée que pour ce dossier de procès là.

Quand je ne suis soignée par mes médecins personnels que pour le fait qu’ils ne croient pas à ces soins à domicile… C’était d’après eux moi qui continuais à crier et raffûter.

Je ne disais pas un mot ou parlais bas, sous les rancoeurs des voisinages. Dans les délations inversant les faits. A moins de ne parler que de la pluie et du beau temps jusqu’à être appelée Miss Météo. Je n’avais que ri à l’heure du repas, que l’on me voulait tant, aux pitreries de mon ami.

L’ami dont ils ont pourri terriblement la vie, lui affreusement puni par eux et qui m’aimait moi et que j’aimais, dont il valait mieux que je me sépare, pour mieux tomber aux mains de l’empire des psychiatres et lutter contre eux sans merci, sans lui.

Pute mère ou fille.

Qui eux prennent en compagnie, ils ne se sentent pas seuls, au moins, moi non plus, un plaisir malin à me faire suivre et soigner, pour le désir malhonnête de tabasser et violer, casser et détruire un être humain, humain plus qu’eux même peuvent l’être. Leur prétention, et cet esprit supérieur font eux aussi partie du soin, histoire de me rabaisser le caquet, quand je rêvais de leur clouer le bec. Quand mes défenseurs les attaquent, les personnels médicaux plaident seulement l’erreur médicale, qu’en fait ils rêvaient de m’infliger depuis des lustres, ou bien, ils m’auront confondue avec une de mes voisines de l’étage au dessus du mien, en ébriété et folle agitée, qui réveille et endort chaque jour depuis une année.

Ils espéraient de moi quelque amélioration.

Ma mère me disait « tu es ma drogue » à en avoir des hallus, je les crois, ces pelotons d’exécution, plutôt vraiment colle, si je dois leur accorder l’importance que l’on doit vouer aux tiers.

Rétroactivité des souvenirs qui s’attardent sur un ange qui passe, se laisse dévorer dans un carnage de plaidoyers, par les démons d’hystéries collectives de la taille d’apocalypses dont l’on vous traitera jusqu’à la fin, avec les chahuts entendus et les thérapies appropriées pour que je n’en pense rien.

Les Marxistes au Goulag, suite.

Mais, la minceur, elle l’a bien…

Sortie.

Oh, quand il ne manquait plus qu’une séance…

VICES CACHES, TEXTE GHOR

Vices, viols collectifs, luxure forcée, contraintes sexuelles, sévices mortels, mauvais traitements, actes de torture, de barbarie, cruauté.

Pompages à la main de nombrils à évicter de leur logement des concitoyens, se torturer le nombril à se faire du mal pour mal prononcer dans le sévice profond des somas. Parfois, jusqu’au bleu noir chez la femme de l’ouzbek.

Violer la femme libertaire jusqu’à ce qu’elle adore ça, dans des Histoires d’O dotées de gros neuroleptiques, la prostitution limite de la véritable torture, librement forcer à mort dans le ventre le parler sans outrance de l’intellectuelle, dans un rétablissement de l’exécution sommaire sous la peine de mort violente qui pèse sur l’humaniste anarchiste libertaire.

Affaire de parties de snuf, chez ces gens du sniff, et de la drogue. Guerres d’Espagne. Parler de vieilles limaces qui rêvent, bien baveuses qui vous bavent dessus pendant qu’elles vous violent, d’une épingle mal placée. Des grand-mères qui s’en truffent méritent le cachet de l’artiste. Viols que ce genre de vilebrequin, électroencéphalogrammes du pied présupposé que soi-disant vous en prenez.

Des Bilytis avec morsures de poste à soudure-coups de fouet qui remplacent les vitamines, tant cela branle dans la branlée, poste à transistors incrusté dans le tréfonds y compris du pantalon au cas où vous préfèreriez le poste du commissariat, ils en possèdent, les flics, eux aussi. Accompagné cela de léchages de grouines dans la zone concernée, truffée de jeu d’aiguilles, à rayonnement électromagnétique, y compris dans les billes, billes de type espion, ou aiguilles implantées électrogènes qui gênent, à manipulation par télécommande générant la télépomade, vendues si cela continue dans les sex-shops. Les ultrasons à ondes hertziennes autrement dit radio, cela fait bander les mouches et branle les chauves-souris, passe à travers les murs, les planchers aussi, c’est dire.

Castors médicaux qui mettent les orteils en éventail, après s’être fait poivrer le sphincter, le repas gavé. On entre dans le vif du sujet. Puis, on l’électrocute, avec soin, qui d’ailleurs est bien dispensé dans la médecine, à grand coups de champignon, hallucinogène, arrachages tels canaux déférents de condamné, de nerfs sexuels coaxiaux abdominaux dans des castrations, très sauvages, de la grande coupable, jusqu’à des intoxication générales sérieuses, en plus des intoxications médicamenteuses, suivies de saupoudrages de cocaïne et d’injections, parfois mortelles, de LSD, dans les ombilics de grands nouveau-nés. La prostitution infantile, des cénesthésies, jusqu’au décès du nouveau-né. Non mais avec quoi ils se les piquent … ?

Procès de bases de partis à prise de conscience unique, procès de type camps mao de ces Saintes Mères la Douleur du Christ qu’elles vous fileraient bien à tout prix, Saintes Dolorès qui comblent les vides des cases vides et bouchent les trous à refaire de leurs balançages de purée, de pois cassés, qu’elles ont tant envoyée et qu’elles continuent à dégueuler avec tant de soin, jusqu’aux dents cassées chez l’énergumène qui n’est pas de leur catéchèse. Purée de poix qu’elles vous vomissent des heures et des semaines durant de cours d’éducation religieuse à biblique à la fois, autant qu’un pâté d’hippopotame en furie en train de se reluquer le fion avec une glace un midi de grand soleil, ce qu’elles vous voudraient bien, le groin sur le cul de qui elles fessent et fêtent après leur Anal Plus.

Punir les Plaisirs de la Chair en la Femme Fatale, par la voie de la sodomie en chœur ou plus rien ne devra en rester, d’elle, cette femme là. Elle aura la peau de la ride ridée et l’entre fesses défoncée des implants que ces gueuses, autant diables et sorcières, démons d’antan, qui manipulent, jusqu’à la venue de l’entre fesses de ménopausée, mais de façon prématurée, là aussi. Ceci dit, pour bien leur ressembler, dans un viol par tous les trous que la nature aura bien voulu nous donner, afin que rien autour d’elles n’échappe à leur parfait clonage chez les femmes érudites et émancipées, tant ces Mères la Patrie et Dolorès de principe ne sont plus en âge de se reproduire, promises à la reproduction de leurs malformations qu’elles projettent sur d’hypothétiques rejetons qui leur veulent du bien, eux, et les reconnaissent, tout aussi d’ailleurs malformés du bulbe, ce qu’elles vous souhaitent,

Dans une adaptation des dessins de Reiser à en faire pâlir et damner plus d’un intellectuel de gauche, sauf, que c’est avec le manche de pioche dans le zob, façon afrikaners, qu’elles vous l’infligent. Une fois de plus. Jusqu’aux dents cassées de l’intellectuel, mais du dedans là, du trou de balle en priori. Et là, des prenez vos médicaments en guise de gilet pare balle, à vous en faire tirer du lit, il est minuit Chrétiens, prenez votre poutingue, il est temps ou l’on vient…

Du nombrilisme, la médecine est Ghor, mais l’on s’y fait, à grands coups de bastons par tous les trous de la nature. Vous mettre la main dans le nombril et l’y enfoncer bien existe, la preuve, les césariennes de vos grand-mères, avec incision de l’ombilic. Elles vous jalousaient à vouloir vous en violer. Sous peine de vous faire vous même psychanalyser par le voisin, sous autant d’électroencéphalos causés par implants, toujours dans le même nombril. Cela peut à la longue en effet peser légèrement sur l‘estomac, et causer l‘étouffement. Surveillé par un voisinage en mal de confidences. Prêt à triturer. Cela leur pesait sur le nombril ce que du nombril ils ont fait.

Triturations spéciales ou non et guerres d’Algérie. Bitures. C’était de leur spécialité. Proxénétisme de la bite et des centres nerveux qui en dépendent, bides dans le cacafouilla, embrouillis de nerfs importants avec les intestins et leur ablation-excision de type clitoridienne s’ils étaient bien trop sexués, c’est peu être du clito que ça venait, en cas de hernies de ce type, intestinales, chez les mémés, au cas où à votre âge vous en seriez. Le viol selon ces principes, une grave incomodation, sans suscitation destinée à me mettre une boite qui n’était que de la conserve, dans mes nerfs.

Bigre. Si c’était seulement pour vous rendre ambidextre.

Baises forcées dans le truffât à vous y faire voir jaune, épiée jusqu’à la caméra cachée. D’après ce qui se dit.

Si c’est cela à avoir des visions, quand on se dit mais je rêve.

Quand on dit « mais comment elle fait pour rester en vie », l’on pense en fait, mais ne serait-ce son délire de se déclare en danger… Langage crypté à double sens, attention au contresens quand les avocats dans ces procès jouent sur les mots, envers leur victime des plus accablants. Cela peut faire des accidents d’embouteillage. Avocats du Diable.

Ecrasement de ventres sous courants électriques-coups de poing en vue d’avortements illicites, ceintures de chasteté primitives à implants électromagnétiques, torture de nouveau-nés pas encore sortis, de l’embryon jusqu’au fœtus, piqures sur le popotin, dans l’intention de vous éviter Bilytis et la prostitution, dans la prostration.

Bigre.

Là, je peux me la relâcher. Courants déphasants, toujours le même problème, ils n’y croyaient pas qu’ils en faisaient. La télépathie, du délire rentré qui s’entendait, pas ce qu’ils ont fait. Tiens, ils vous ont trouvé du travail pendant votre assassinat, des gouttes et du Tercian. Sous le prétexte que vous ne preniez pas votre Sémap, et que vous ne leur avez pas dit que vous vous faisiez injecter votre traitement retard, non mais dites-donc. Et qu’ils ne reviennent pas lui casser la tête. Séismos aux coins des yeux. Si vous croyez que dans les hôpitaux, même psychiatriques, l’on n’opère…

Vous, vous avez un Trojan, ver électronique, c’était le percing que vous n’avez pas, dans le nombril. Genre de bijou informatique, à vous emporter à force d’innerver.

Ce n’est pas le même genre que le Trojan de votre outil informatique.

Vous, vous êtes épiée, dira la gastro entérologue. Et ils vous en ont aplati combien, des beignes, avec les mêmes vers ?

Vous, ils vous ont rendue aussi hyperactive que votre conjoint, au fait, toujours aussi protégé par les Renseignements Généraux, parce que son père de famille… C’est la prostitution qui vous attend si vous continuez comme ça. Cela pouvait salement blesser ce sale truc.

Pour les boucans que vous écrivez, dans vos bouquins. Un travail à se faire avoir un travail, d’accouchement puis psychanalytique. Puis, le reste du travail, hein, vous le ferez sur le trottoir à être trop soi, si vous continuez, à vous faire harceler comme cela.

Du délice malgré la pique, toujours dans le même nombril. Soulagements forcés, parce qu’après, on lui veut la maison de rétablissement. Leurs roses et leurs piquants, genre poinçons ou dards, et mes piques, c’est différent, j’en fais, mais juste le temps de les dire. Elles non, tout le temps. Elles me frappent pour mes erreurs de frappe ou d’inadvertance, tant de traitements aussi, et corrigent ainsi mes grandes fautes, de français moyen, avec de leurs vrais coups et blessures. Electrocutions.

Mais elles ont fait ça avec quoi, le dit jour de l’échographie. Endoscopies faites par nombrils, après célioscopie, toujours par le même orifice, à violer un mort.

Pour la réfaire travailler, il ne faudrait pas tout de même trop la presser sur le foie, même avec ces électrodes, et enlevez vous de là, reprenez votre matériel, retournez chez vous-même, vous êtes ivre soul.

Femmes battues à l’implant jusques dans leurs procès battus à plates coutures, de neurochirurgiens.

Et que cela leur pèse sur l’estom.

Femmes libérées excisées avec leurs nerfs de leur pureté et innocence, librement livrées à l’amputation de leur délivrance, pas toujours précédée d’accouchement, sans même le soulagement restant. Cela aussi, l’on te le leur cogne. Mort aux couilles à le dire et suce aux tripes, qui résistent aux coups de triques... Mort-assassinat de l'identité mère du prisonnier politique,ainsi constitué, qui résiste dans une résurrection parthénogénétique de lui-même qui le rend père ou mère de lui-même. Selon le sexe de l'individu.abattu parfois de main froide et de sang-froid par ennemis armés jusqu'aux dents, sinon re-tabassé jusqu'au décès de sa nouvelle identité.

Toujours par implants. Pour l’adapter à leurs manquements, et fautes de somas, linguistiques.

Le livre qui n’était pas terminé, Je l’aurai réécrit combien de fois, lui réamputé combien de fois.

Toujours le même, parce que les mêmes faits, ou à peu près. Perte de la respiration, réanimation d’une électrode, dans le cervelet. Tabassages électriques sadomasochistes qui donnent du travail pour l’esprit de travailler, électrocutions des zones sacrées des chakras du corps de la femme, pour une amulette qui les guérissait qu’elle n’osait porter, parce qu’amulette de valeur. A lui interdire pour toujours le canapé à Madame Récamier et la précipiter sur le sol d’un grand coup d‘épingle électrifiée, vous la rendre épileptique de ce fait, lui instituer un droit de sol, de péage sur ses habitations, et logements.

Et eux, ces médecins qu’ils appellent, ils entendent des voix, au téléphone peut-être, et peut-être qu’ils ont des visions, de regarder leur télé, si l’on peut appeler cela faire un peu trop du petit vélo, ou autre forme de la branlette mentale, qu’ils m’ont tant reprochée, De quoi en faire légèrement une crise due à l’hygiénisme forcené, avec hospitalisme.

Changement de posture et de point de concentration des idées, autrement dit de gravité, dans l’organisme. Baffe.

Suivaient l’erreur de logique de leurs fautes de français jusqu’au trouble mental et l’incohérence parfois, fautes qui se répercutaient sur leurs somas, leurs sens, les sensations y compris érotiques et les fonctions sexuelles. Des tracassés de ça.

Pour empêcher et seulement empêcher les gens d’éprouver le soulagement, les soumettre à des sensations insupportables décrétées étranges de dérangés, en provenance du corps quand il assaille ou l’on l’écoute, fustigation du yoga, pour des sens de gros, patauds, courtauds, patraques et maladroits, gauches et malhonnêtes autant que dans bagne, sales avec soi et du subconscient. Sales du bulbe quand leur abstinence de ne point se toucher les attaque au bulbe et les ravage du cerveau, quand ça les attaque là. Autrement dit, des ravagés du bulbe. Ce qui leur est une torture qu’ils vous l’imposent, ensuite pour que vous la connaissiez, vous aussi, torture qui les occupe, les préoccupe, s’ils l’acceptent vraiment, ils la déifient, la combattent, la défendent ou non à grands coups de massue. A vous torturer Massoud.

Cliniques, appartements où l’on peut mourir d’un simple verre d’eau de son combat, verre d’eau tel épine sacrée mortelle et imparable dans les zones sacrées du chakra, sinon du sacrum, tiré du baiser du Dragon, film sur la police des polices chinoises en France, paru récemment sur les ondes télé, qui a commis de grands ravages dans la populations apparemment, entrainant une folie répressive de tortures, Folies des plus chinoises envers toute femme encore jeune, pour ses beaux rêves sacrés qu’ils vous ont connus en rêve à force de vous rêver eux aussi, et qu’elle pourrait commettre envers le beau et jeune premier héro Chan, chinois lui aussi, a vous faire coffrer chez les Mongols.

D’ailleurs nom à consonance asiate, donc, profil mongoloïde.

A vous faire placer, pour troubles cénesthésiques, de tant de rêves et d’espérances brisés, à coups d’épingles, une cénesthésie cela aussi, d’après la médecine. Et certaines personnes qui ont tendance à vous talonner pour la schizophrénie que vous faites de cela, à ne posséder que des somatismes non encore déréglés pour leur activité et parce qu’ils sont actifs. Mêmes grand-mères édentées, surtout hyperactives à leur grand âge, sens ou sensations qu’elles osent ou pas se permettre et voudraient bien vous fustiger, d’une épingle fichée dans le nombril armées de leur pataquès petit chinois dont les erreurs de français étaient accablantes à vous faire enfermer, pour de bon. Vous en faire mourir d’abord de tant d’électrocutions durant des jours et des nuits, de délices qui s’en suivent. Aux voluptés inénarrables. Parce que j’avais le bidon qui dépassait du jean, qu’il fallait le contenir, affaire de famille, pour l‘indécence qu’il causait d’être vu. Vous le rentrez sinon l’on vous le déflore non stop, vous casse les dents du dedans, après tabassage, à la gégène médicale, de la zone à léser.

Ah.

En effet.

Répétez.

Position de viol chinoise.

Le mal de cacahouète bien chouette qui suit et qui précède.

J’espère que sur les geishas ils ne le faisaient pas. Le comble du viol du sacré sur une femme écrivain. Tous les viols du sacré. Ya pas photo. L’on n’est pas là dans le flou artiste, d’Hamilton. Viol dans le pantalon, au niveau de la ceinture, et la boucle du ceinturon dans l’endroit qu’il faut, dira le maton. Comme sur autant de juives, on les tuait comme ça, dites, à une époque.

Dans un Huxley qui doit vous valoir le meilleur des mondes. Après Orange Mécanique pendant des mois, des ans. Et les massacres de 1900, qui vous feraient bien éclater le crâne de gros nions de ces godemichets propres à tabasser, implantés, sinon le ventre, prêts à la fistule, interfessière.

Bigre.

Punir le corps d’une future hippopotame dans ce serment d’Hypocrites parce que supposée en état de

grossesse avancée, grosse en fait de trop de traitements, bons ou mauvais, selon les techniques chrétiennes du pater ave, transformer ce corps en prison portative, pour chacun, jusqu’à ce que mort s’en suive, le plus souvent, prématurée, je le répète. Folies croyantes qui vous préparent, indignement, une mort dite chrétienne. Et vous font supporter sous la menace d’un hôpital psychiatrique une vie absurde pour leur quart-heure de philosophie, de bazar, à ces gens. Infirmiers, infirmières à rendre la terre entière obèse de leurs gros ventres et rondeurs outrancières de forçats du boulot qui se donnent beaucoup de travail pour rien, anciens bagnards de fond, à force de leur Bien Manger.

Complètement écœurant.

Schrizophrénisation des foules qui s’entre-infligent ces violences, le mal français selon l’étranger, foules que l’on travaille d’idéologies et appelle masses parce que cela les masse mais mal jusqu’à l’engrossement de travailler le bouton du tailleur ou du pantalon dans le nombril pour bien brosser les panses jusqu’à la sensation de viol, schizophrène celle là, ou bosser, boulonner soit, l’on se demandait bien ces français, ce qui les empêche, hein, de réfléchir autant.

Faire et c’est ce qu’ils considèrent être la Loi, porter le chapeau à de pauvres gens le prix du Mal français, est légal. Dont les sans Travail, sans Famille, sans Patrie au trou, ou à l’étranger.

Après cela, vivent les taillages de pantalons taille basse. Qu’est-ce qui va leur arriver encore. Qu’ils me voudront. De la vie pénale. Sans quoi l’asile, psychiatrique. Parce qu’ils avaient été incommodés par leur grosse bouffe. Avec des troubles de l’abdomen comme cela se rencontre rarement, ceux du bordel, de Munich, de ces parasites de la France libertaire. Maux de ventres à ne plus supporter certains mots tels « Liberté Egalité Fraternité », sinon le mot béquille ou plâtre, séquelle ou autres, mal prononcés sur des engoncements intestinaux dans des dictions d’écrasements de patates et de formules répétitives jusqu’à la sensation de torture parfois ineffable. Et provoquer l’anorexie. Quand on leur mâche le travail et qu’il faut le recommencer, parce que manège incessant, c’est que le travail de psychologie, on le leur remâche.

Tant et si bien que plus aucune de délivrance, même psychologique. Tant opérés de tortures qu’ils s’infligeaient ils étaient, ces gens, ne serait ce que par leur moment de repas. De répits, de repos

Il aurai fallu pour rétablir des masses entières, leur faire des cours de yoga collectif ainsi qu’en Chine afin de réduire leurs sensations corporelles tant triturées d’auto triturations maladives dans leur caca-boudin légionnaire de niveau CE2 et rétablir les sensation corporelles saines et normales, s’ils ne veulent torturer la moitié de la population entière pour expurger leur mal de fafat en ultime ressource contre ce mal, vengeance contre ce qu’ils s’infligeaient depuis des lustres, jusqu’a se casser les sens, les émousser puis user au point de s’en sentir estropiés et le rendre, à tout un chacun.

Vous infliger leur besoin de purge à s’en faire des purges sociales, leur vouloir le gavage forcé et le lavage de cerveau à vous faire rentrer le coin de l’affiche d’Amnesty International dans le ventre et le cerveau, suivi du sparadrap sur le coton et de la purge glycérinée à l’huile de paraffine après neuroleptiques retard, parmi les rangs des intellectuels qui se souvenaient de cela depuis leur dernier flip. Et vous faire travailler à coups de matraque électrique dans le bide et le zob qui vous incommode si vous ne désirez bosser. Vous prendre pour quelqu’un qui devait pointer. Vous pointer ainsi du doigt dans la panouille que vous avez de tant glander, de ne rien faire, vous apprendre à tant faire des livres, comme cela, toute seule. Contre cela surtout.

Désolée, s’ils vous prenaient pour la voisine du dessous, dira le SAMU. Autant dire que vous aviez des frictions, oh, pardon, des fictions, de bidon, avec eux. La dernière fois, c’était une fluxion de poitrine, alors vous voyez… Méfiez vous, vous voyez, vous vouillez.

Si lutter contre ces difformités identiques entre elles tant l’esprit du clonage pro-américain leur venait est une schizophrénie… Et je plaide non coupable de cela. Posséder des somas encore sains, frais, s’en défendre de façon aussi acharnée que les représailles de ces assaillants, dans les violences de l’apartheid tant ils délogent jusqu’à la crise cardiaque cette fois, pour des impayés qu’ils savent à force d épier, peut semer la panique, et vous faire traiter, Rhaaaaa, à coups de trique électrique et coups de poing ou de points dans le nombril que cela causait, pour vous faire remettre de cela, toujours électriques, les triques, ou électromagnétiques, chez ce genre de tricards que nous sommes, nous, les intellos.

Parce que hein, le coup de l’épine ombilicale après vous avoir sortie du frigo ou vous mijotiez à coups de massues dans les côtes et sur le crâne, si c’est de l’aide médicale la chirurgie préventive…

Ils me forçaient si jamais ce qu’ils avaient à dire je ne le disais ou ne l’écrivais, dans leurs somatisations.

L’on se demande si Frêche, qui cosignait les P.O., avait un cœur frais. Parce que ses ennuis de pain frais avec Le Pen, hein… Et que l’on arrête de me rendre telle Christine Angot.

Pourquoi aussi tant de sections de police et de trompettes, de coups trompes de brume, de clairons dignes de Roncevaux, ralliez vous à mon panache Blanc, ancien chef du domaine hospitalier dans la région, de secteur hospitalier, hospitalier, cela m’étonnerait, pour réparer tous ces « méfaits » et intrusions dans le trouble de jouissance du jus français, dans la vie privée, à le confondre avec le café. Crimes contre l’humanité causés sur l’initiative de ces moucherons obnubilés par ces « préoccupations » préoccupationnistes de type négationniste qui les occupent, eux au moins, des schizophrènes ils n’en sont, et récupérations maoïstes, Frêche est de leur ressort on le sait, obstructions de pègres qui vous rendent nègre au Largactil avant des périodes électorales pour un oui ou un non contre la Nouvelle Constitution Européenne, périodes sanglantes qui vous mènent au pavillon de force portatif à la moindre infraction de ces concitoyens, contre soi, puis vous après, parce que vous n’en n’êtes des leurs.

Si ce n’est pour ne les punir pour crises de viols à main armée chez eux que de quelques cachets, en guise de seul avertissement et après sommations, répétées et obstinément refusées jusqu’à la sédition envers leur gouvernement, dans des drames familiaux à vous remettre au bureau d’hygiène de la ville pour ces affaires Dreyfus, Dreyfus tant dégradé par l’affaire. Qu’ils n’arrêtent que de prendre de la drogue, cela ira mieux. Ces vieilles prognathes, Nabuchodonosors pithécanthropes velus à revisiter par le SAMU, qu’elles se soignent avec d’autres médications que les amphétamines et vitamines pour leur « indépresssion ». Jusqu’au choc prophylactique, s’il le faut.

Il leur faudrait un point de concentration de leurs énergies et de leur idée, d’encrage bref de leurs sens un peu plus bas, l’on s’en sentirait mieux mais là, c’est la feuille de vigne interdite, murée, et cela ils ne se le triturent pas, chose tabou. Bref, I do donc, parce qu’athée, donc je ne branle que cela. Et surtout elles et ils qui le ressentent, donc je les ai déflorés et donc violés. D’où cette envie de me mettre au pas et celui de la prostitution, car seules les prostituées pratiquent l’onanisme, d’après la religion et ses préceptes qui le condamnent à l’éternité de l’Enfer sur terre. Dans la drogue la religion et le racket, le cul et le raqué, la violence à domicile et la suffisance de chacun. A coté de chaque église bâtie et son curé, bâti un bordel par des foules en processions jusques les dimanches et jours fériés, bordel munichois Opium du peuple, drogue léthale. Drogue que vos voisines vous injecteraient bien dans l’ombilic pour vous le prostituer et bien déflorer.

Des incomodations à vous faire périr et mériter l’éventration, l’innervation des nerfs coaxiaux intestinaux autrement dit de votre appareil sexuel autrement dit l’excision générale pour un bain qu’elles avaient pris sur leur repas avec soupe, jusqu’à l‘hydrocution, leur seule façon de se réhydrater, tant elles pipent au fût surtout jusqu’à la pépie. Ce qui leur a causé plus d’un malaise vagal et de graves indigestions. Elles m’auront voulu leur ventre plein de soupe comme une citerne de leur liqueur, avec leurs intoxications de vitamines. Ces mémères. Elles ont failli en crever et me crever après, « parès » en occitan ainsi que le dirait le Père, ce qui veut dire pas rien.

Des mémés. Qui fliquent. Et leur enfliqueur perturbateur de fond du bas du HLM, être de bas étage qui me collait à la chemise avec mes livres passés jusqu’à m’intoxiquer. De façon sérieuse pendant des ans. Me couper, me faucher l’herbe sous le pied quand je n’en fume jamais, en plus de la même attitude de ma voisine du dessous, grouine au groin qui tue, qui me prend pour sa gouine, grande intolérante envers les athées, qu’elle prend pour des petites filles sales à sévicier et pour sa fouille, sa fille des rues, un peu truie depuis La Truie qui Doute et Truismes. Qu’elle regarde dans son propre nombril avant de regarder le mien. De le toucher de trop près. Ils ne sont allés qu’un peu les calmer, tous ces gens. A moi d’en prendre moins des médicaments. S’ils me violaient, ils n‘en n’ont eu que des cachets, qu’ils ne se plaignent.

Si être comique c’est risible ou se faire des films cul cultes pour eux seulement quand on se fait tant du bien sur mon corps…

Ils m’auront bien aidée à écrire mes livres à leur façon. Me rendre la monnaie de la pièce de mes livres, me donner la pièce en dédommagement des passes violentes de violents qu’ils m’auront infligées, en guise d’obstruction à tous mes procès contre leurs procédures. Leur département m’aura bien soignée en ne les soignant, qu’un peu. Ce qui fut fait selon un laxisme administratif des plus déplorables.

Ils m’auront laissée me faire violer jusqu’au trognon qu’elles ont, ces mégères, telles cloaques dès qu’elles se sentent, ces percherons femelles en folie du Führer, en cloque un rien, d'un prisonnier ou d'une prisonnière qu'elles auront constituée, ou de moi, en attendant le temps des interventions.

La voisine du dessous se sera encore trompée de touche de télécommande des implants, et donc trompée de rondelle comme de trou, grande voyante de mon appartement, armée de tout un arsenal d’engins de surveillance paramédicaux, croyant simplement m’électrocuter le fessier, croyant que je ruse. Parmi tous ces époux de familles Groseille au sirop Groseille des Familles pour sales gosses et enfants turbulents qu’ils faisaient à la chaîne depuis des lustres, et ces vieilles Thénardier bref, j’étais trop belle. Sur fond de sévices de la chair. L’Epine du Christ qui n’est pas celle de Ronsard dans la chair, de l’ombilic, nouvelle positions sexuelle, sociale, de la Religion. Pour vous flatter le ventre, à la moindre récompense, ainsi qu’à leur animal favori. Des molosses de principe.

Des Chrétiens Intégristes, des Flagellants, Fous de Dieu. A vous crucifier les bras en croix sur votre lit de souffrance, des clous dans le crâne et tous les Mystères du Moyen Age, de toutes les plaies de la Terre, mais ce qui se passe, dira la préfète, vous allez me le dire, oui, mais un implant par le nombril pour m’être faite mettre à genoux et balancer la Croix sur le dos, jusqu'à la démission de vertèbre et le lumbago gratiné, à tassement de nerf crural. Et répercussion systématique sur le trijumeau et non le zygomatique du parfait prisonnier politique. Autant que Clovis, avant le tranchement de crâne par la Francisque dans la loi de l’empalement par le tube en fer électrique de la Gestapo, de l’alimentation forcée également. Mis à part ça, selon les assistantes sociales qui me voulaient du bien, je n’étais que privée de nourriture. Racisme anti-gros.

Bigre, dira le professeur qui me suit.

A vous prendre pour le Penseur de Rodin sur les chiottes, en train de faire l’œuf autant que poule de voisinage, ou schizophrène, parlant à La Terre entière.

Si être critique et humoristique est être dans un état critique et faire de la parano, alors… Pourquoi ne pas en dire autant d’un humoriste un rien critique tel Dieudoné et les Juifs Intégristes, à parler d’Intégrisme.

De la couronne d'épines un peu penchée, façon béret basque, en langage de branlette, mentale.

La complainte du Petit Cheval Blanc qui meurt dans son printemps. Toujours la même chanson qui passe pour une psychose d’individus d’un peu de la gauche. C’est dire si je me surpasse, uniquement du déjà vu. Au nom d’une enquête sociale de police sur ma situation, depuis qu’ils ont sécurisé leur hôpital autant que dans Guantanamo, social, parce qu’ils se faisaient agresser par des fous. Moi autant, je ne possède pas les même moyens de persuasion pour autant me faire respecter de ces fous en liberté encore pour certains, j’aurai payé le prix de l’insécurité.

A vous faire perdre le fil et le bon, coupé pendant l’opération, en plus du feeling. Et du peeling d’écorchée vive, au savon de Marseille. Commun dans les H.O.

Bigre, hein ?

Dans la religion, tout est bon, comme dans le cochon. Si l’on dit croyance, c’est bien qu’il est acquis que croire en quelque chose c’est savoir que cette chose n’existe, puisque croire est tenir pour vrai, admettre pour réel, donc savoir que c’est faux, certain peut-être, mais après lente persuasion je crois. Si c’est certain, c’est que ce n’est peut être pas vrai, et donc que probable, d’où le doute chrétien. La religion n’est qu’une approximation empirique paroxysmique du vrai. Bref, un décryptage fabulesque, affabulatoire, proche du délire, de la réalité. La religion n’est peut être qu’un délire schizophrénique, ce que l’on me rend, parce que moi-même athée, une approche légendaire de la vérité. D’une époque avec les connaissances empiriques de l’époque, une légende. L’on y croit encore, crédule, sous le prétexte d’être Soi dans une intimité du Soi, croire en l’esprit religieux ou sa propre croyance plutôt qu’au moi-je, ce qui peut causer autant de dégâts. Autant croire au Père Noël, pourquoi pas. Les religions font de grands enfants. Que croire. Quand ces gens Croient.

Non mais chez ces vieilles là cela ne gaze pas, ou elles ont un peu trop à gazer dans leur chambre à gaz, tant elles constipent, jusqu’à l’incomodation, de juif. Des traumatisées de ce qu’elles se sont fait. Des Jean-Marie le Pot qui vous constatent votre fécalome dans les WC, que vous venez de faire, de chez elles, d’un air de ne rien en dire…Si vous croyez que ce qu’elles on fait elles n’ont fait que le dire, quand elles pensent à coups de knout, et de batte de base-ball. Non mais elles me faisaient une analyse des selles ou non… ? A tant faire les Pompiers incendiaires qui vous éteignent pour vous avoir mis le feu, assez incendiaires du moins pour mettre le feu à leur Belle, position assise ou allongée du Kamasoutra accréditée de l’Eglise.

Qu’ils arrêtent de briquer et brimer la sensibilité de l’artiste que l’on doit payer en cachets pour ses sueurs froides, qu’ils prennent pour une danseuse nue, juste de quoi lui faire l’hôpital prison un rien, dans la passe de l’impasse gouvernementale. Implants. Pour un rien, se faire placer ce genre de bracelet électronique, interdit par la loi. Procédé encore illégal. Je dois en penser quoi, de la loi Sarkozy ?

Bigre. Je vois jaune, traitée telle jap par autant de pro-américanisme, pour un nom qui est le mien, à consonance asiate, bref, laotienne. En France, depuis la guerre d’Indochine, certainement ce qui est surtout dû à l’âge canonique de ma grand-mère très raciste par ailleurs, décédée récemment, qui portait le même nom de famille qu’elle et que moi. Une malédiction.

Et que l’on arrête de me prendre pour Christina Onassis.

Même si cela n’était qu’un compliment.

Arrêtez aussi de me tabasser avec le manche de la pancarte des manifestants contre le CPE.

e n’aime pas la chute, de la farce. Suite des évènements.

Epoque de Mérovingiens, peuplée de germains qui feraient mieux de retourner en Germanie, s’ils en sont tant des germains, il n’y de place pour eux chez les Francs. Les Francs par ailleurs, un pays d’Avatars. A vous faire Conard le Barbare par jeu de vous enfermer dans leur enfermement. En attendant, il fallait triquer comme en famille avec ces fous dangereux de Dieu, penser à son Travail, se marier avec sa Famille, et vivre bien son Œdipe, puis vivre pour sa Patrie, sans un sentiment d’irréligion, à ce Pétainisme. Et ceinture, pour vos esprits dilapidatoires, qui se logent dans votre nombril retirez moi ça de là. Mon Père, un grand exorciste de mon Mal d’Amour. Non mais je vous l’ai dit, ce n’était pas que des fantasmes. Et lâchez moi cet ombilic. Puis ce bout de crâne et cette vulgaire pétoire, gens du vulgaire.

Société œdipienne farcie de nions, forgée au fer rouge sous l’égide du marteau par le crâne et de la faucille dans la rainure. Que l‘on ne m’a pas prise pour une fracture sociale. En plus de la fracture des os. Pays de Boulingrins, les rois de la farce tranquille et de la folie douce, de la pédale oua-oua au poste à soudure médical (engin à pédale), pépés matons malfrats rois de la Boulange, des culs-terreux cul-punis de la nation, pieds bandés et nickelés, aux nerfs d’acier, trempé. Ecrire et rêver, encore possible de nos jours ? Des tontons farceurs.

Une petite bronchite et je reviens.

La démocratie française actuelle et utopique, la démocratie en fait une utopie, des idées que je me ferais. L’on est en France tout de même, ou je le rêve ? Paumée à ce point, moi ? Perdue dans mes pensées au point d’être réduite à la femme perdue dans son ruisseau pour la Libre Pensée. Soi-disant j’avais fugué, d’omettre de reprendre mon traitement, autant que ma voisine d’en dessous. Ce que je devrais avouer. Moi, à qui l’on donne du bâton et du fouet autant qu’à valetaille, taillable et corvéable à merci. Pour mon nom issu des Valette.

Vieille France qui rêve et fantasme sur les plaisirs de vous faire palper par la torture à main armée de civils, et de la main armée de la psychiatrie, faire passer ainsi la torture de et par la justice pénale dans ce pays dit libre, aussi sanitaire qu’un bidet de claque, à vous faire claquer à force de les racler jusqu’à vos fonds de culottes sur leurs bancs penchés autant que leurs bérets, au point d’exiger d’en intéresser à ce sujet le monde entier, parce qu’il ne fallait pas que cela se sache. Tripotages de bides à main armée et mains à la fesse pour vous apprendre à vous faire brosser le pelage dans le sens du poil. Pour une omelette ingérée un jour de règles non douloureuses cette fois là c’est le moins que je puisse avouer, et de léger embarras gastrique. La sale manie de torturer jusqu’à la fornication contre-nature pendant les règles des femmes. Dans l’esprit de me coller la Manie de l’Ordre de mon ami et compagnon de vie, qui engendrait trop de disputes fréquentes et de séparations.

Paramilitariser sous les plaisirs interdits. Seule masturbation non interdite et permise sinon infligée, le triturage de nombril. Le plaisir clitoridien fustigé, à deux ou non, devant être à plusieurs, d’implants incrustés dedans figeant pouvant être meurtriers jusqu’à l’excision. Forme d‘infibulation fustigatrice médicalisée. Accompagnée d’une surveillance paroxysmique de cette activité sexuelle que j’avais depuis l’enfance, pour que je n’aie de la vulve plus aucune vie. Punir, mater, fustiger par la loi du bistouri du rasoir de la couture et de la torture électrique dans la Femme les Plaisirs de la Chair, les rendre interdits, masochistes de fascisme, tels ceux d’une truie. Ne plus permettre que cela. Le bas ventre truffé d’implants électriques. A ne laisser plus que déviances et Plaisirs Interdits en guise de sensations. Et une beigne, depuis Suez tuer la Femme dans ses parties sensibles, de prisonnier d’opinion, prostré. S’ils vous croyez qu’il se bidonne et donne à ses geôliers de ses bisous. Electricidad puede matar.

Et vous savez, les athées ne peuvent avoir que des paresthésies, prises pour hallucinations des sens qu’il fallait mater sous les violences pour qu’ils ne répondent plus à aucune sollicitation, ni même imposition de leur existence par pur esprit de corriger. En rendant de forme ménopausée le Corps de la Femme Infidèle à la Religion sous les sévices de l’âge, par l’artifice. Sinon, ils usent ce corps de la femme jusqu’à le ménopauser de façon quasiment naturelle, prématurée.

Dans ces cas de stérilisation forcée forcenée, toutes violences permises. Le viol, des paresthésies, cénesthésiques, et hallucinatoires, autant du côté du violeur, que du violé.

Minimisons.

Arrondir les angles et arrondir les fin de mois dans le stupre, la quadrature du cercle, pour qu’ils restent bien obtus, la psychiatrie toute crachée, par moi surtout, avec le reste du morceau. Et mon avant-dernière dent, parce qu’il m’en reste encore, à pouvoir supplicier. Et il y en a pour cela qui estent, autant se faire violer de ces lècheries par des lesbiennes armées d’un cure-dent. Tout dépend où elles vous le fichaient.

Autrement dit simplement jeter quelqu’un avec ses livres, le sortir, de chez lui ou elle, d’abord, puis le jeter au sol face contre terre, question de le rejeter un rien, et toujours avec ses livres, le faire passer par la fenêtre, avec le reste de sa vie, son fœtus aussi, pour que de lui ou d’elle et de sa race rien il ne reste.

Rédemption de la Belle par le Massacre de l’Epine, pour le miracle de la Passion la Douleur du Christ s’il faut appeler cela juste, se faire appeler Jésus ou le Jésus, bref l’idiot du village. Crucifiée par l’ombilic de l’abdomen, telle chat de 1900, le film, exécutée d’un coup de tête. Si après ce traitement je souffre d’en avoir, des coups de tête, après les coups portés au cœur pendant des ans…

Quand ils creusent profond de leur Deo Profondimus, ils viennent vous repêcher avec leurs Opus accompagnés de séismos-convulso-thérapies et grosses électrodes au domicile marital dans le fond du trou qu’ils ont creusé de tant bien travailler jusqu’aux 36° dessous, où ils vous ont fourrée et fourrée bien bien bien, et prendre après cela au mot tous vos mots, les dire vos maux en plus du mal de dos qui en était l’origine, maux d’enfance, en faire à vie vos maux. Si vous êtes sans l’adoption de la crise de maniaco-dépressivité de vos voisins, qu’ils vous colleraient bien, jusqu’à la somatisation autopunitive à la moindre erreur de frappe sur clavier ou d’inadvertance.

Jusqu’au moment du Grand Frisson, d’écœurement, et la nourriture terrestre en guise de Panacée, la Grande Bouffe dans le Jeune et me faire vivre sous le Vietnam. La couronne d’Epines autour du sexe, du crâne et de l’ombilic, du zob de la française et de l’arabe, sous les OAS, et peut-être en Azerbaïdjan, voire, en Arabie saoudite et même au Soud an, autant que chez Afrikaners qui s’en sont passé sur les noirs autant que nazis sur juifs et résistants.

Qu’elles repassent leur linge mais pas celui du Christ à la lessive liquide pour liquider dans l’affaire. Sans compter les jeux de mots de la Méthode Globale, et leurs systématies, dans leur espoir d’enseigner par cœur les erreurs de français des schizophrènes et leurs erreurs de langage. Dans le but de réopérer et de faire enfermer, ensuite. Evincer ou tuer ce don de télépathie en moi qui les évinçait, les inquiétait depuis des décennies. Ils auront tout essayé, tous les sévices, tous les moyens sont bons.

Je corrigeais leurs erreurs de français par télépathie, qu’ils m’auront fichées et corrigées pour leur système, de plus d’un implant, le plus souvent mal placé.

Epinglée pour ce don dont ils parlent.

Interrogatoires musclés pour vous faire avouer l’âge du capitaine, la couleur du cheval blanc d’Henri IV et celle du maton, pas celle du matin. Ni du mâtin.

Au fait, qu’est-ce qu’un radical libre ? Réponse : un radical de gauche qui se prend un nion de droite dans les ions.

Blague Carambar du soir.

Et leur Armada.

A s’en faire mériter sur le slip la croix de guerre. Lavage du slip de la belle dans la belle eau bleue, à la javel La Croix. C’est plus sûr. Avec du Dash liquide pour défaire les nœuds, belle eau bleue qui lave plus blanc le gris du dedans et celui du devant du slip sale des français, toujours celui de la torture.

Pour mon Epicure, me vérifier les coutures aux petites piqures et les petites piqures, me mettre une petite figure, condamnée au billot que je suis en suis du ballet qui tue, de ballais espagnols titanesques quasi gitanesques cons comme des balais brosses à vous réduire en balai serpillère à franges qui pègue parce que les cheveux du dedans l’on vous les découpe et dégrade en coupes et mèches dégradées au chalumeau, uniquement dans l’espoir de vous mettre dans les franges une vis et un manche. Pas plus con qu’un balai, même à franges quand on vous fait la tête de ces gitanes et vieilles tordues qui les soutiennent. Mouchard d’ordinateur et mouchard dans les crânes. De type paramédical.

Toute entière soi qui ne leur convient, tant je leur disconviens, c’est que donc, je psychose.

Dans le passage à tabac, ce qui tue le plus inévitablement c’est inévitablement le tabac que l’on prise.

Population de genre humain ilote de ces spartiates prêts à l’expérience de cobayage humain armés de leurs guerres de voisinages sur territoire français, eux considérant le non manque et même le manque répondant comme une maladie mentale gravissime.

Se faire damner et ronger le poil du gazon par ces vaches de pré bien gardé, qui vous fliquent jusqu’au cocktail Molotov ces territoires et contrées entre balustrades de truands qui fument pendant de temps là le barreau de chaise, délirent de mégalomanie, interdire les idées fixes (que je présenterais sur les français) et les fixer jusqu’à la fixité de l’idée étant une idée de principe. De vengeance envers leur Vache à lait, bonne pour la traite (des malades), dans des pêches à l‘épuisette, la taille de l‘épuisette.

Sinon du matériel médical dont ils se servent pour vous user à la tâche de rébellion contre eux parce que cela ils aiment, matériel, matériel de guerre de l’armée de terre, récupéré par voisinages batailleurs belliqueux d’assaillants du Front National en putsch, dans des traques de prisonniers d’opinion, qu’ils prennent en otage pour les actes de cette secte qu’est l’extrême droite aidée de staliniens, de l’Eglise de Scientologie, à vider du territoire comme bêtes fauves leurs opposants, sinon les faire ficher dans les hôpitaux, et toutes préfectures du Parc National que nous sommes, pour une virgule mal placée qui peut tuer.

Irgule, sainte Ursule, et Ligures en folies.

Justice à deux poids deux mesures, à demi-mesures et médecins ayant chacun sa mesure dans le droit d’agir en surcroit de la mesure des idées fixes de tout un chacun.

Voisinages sangsues tellement ils pompent le nombril jusqu’aux sangs, qui font des logements de vraies maisons hantées de leur matos, des simulations de guerres mortelles triturantes de soins illicites pour n’avoir osé de guerre licite, guerre civiles ouvertes aux yeux de tous dont personne n’ose rien dire ni rien constater, avec récupération d’armes de guerre issues de laboratoires d’expérimentation sur animaux grands singes et bestiaux, ou "bestieues" en patois assez pour cela par la médecine depuis son affiliation dans la région avec ces dits laboratoires dont certains pharmaceutiques. Matériel dont la dite médecine pratique des soins illégaux non règlementaires librement banalisés légaux dans les dispensaires à la médecine paramilitaire, paperassière, bureaucrate, parce que le temps qu’ils ont à intervenir quand cela urge en plus de l’urgence de tube….

Empalement par l‘implant, au niveau du nombril. Et du zob après.

Tout un poème à vous rendre maso de ces plaisirs de vieux cochons là. Prêts à me mettre en cabane pour terrorisme et espionnite, sus à mon appartenance au Socialisme du Non. A se prendre l’électricité en petites coupures au lieu de leur argent en dédommagement. Parce que l’électricité, cela coupe. Si ce n’est de la casse de casseurs de leur manif, de vouloir réussir à me refaire hurler tel condamné à mort que l’on passe à tabac et torture dans les tortures de la Junte pour jouir de cela, moi-même prise en otage envers ces pratiques de belligérants dotés des besoins de la police du pays qui me prend en grippe de leur part depuis longtemps de me trépaner après m’avoir faite passer en garde à vue prolongée de six semaines gratinées en plus de bardées durant toutes ma vie, à mon domicile.

A me ratatiner après m’avoir fait cracher le dernier noyau. Question de Renseignements, lesquels, pour lesquels je devais travailler, dans l’obligation de devoir décéder de leurs coups et blessures. Sans compter les blessures que j‘ai reçues du communisme russe et les grasses gaffes du socialisme. Devoir les payer pour leurs soi-disant services rendus, sinon la surveillance de mon voisinage alors qu’ils ne m’ont jamais avancé d’argent d’aucune sorte. Si, des services. Lesquels. A force de me prendre pour cette gouine qui m’épie et tout le travail de ravaudage de mes voisins qui rêvent de s’en débarrasser, tombent sur moi ensuite, la prenant pour moi même. Autrement dit, substituer. Et de quelle psychose je mourrais, sinon de celle de mes voisinages, en état de meurtre et de psychose collective de guerre. La torture électrique ne laisse par principe aucune trace. Connu des Carnets d’Amnesty International.

Guerre civile entre partis. Cela va parfois jusqu’à la nécrose névrosante, voire l’amputation d‘organes, cœurs, utérus, intestins, poumon, foie, œil, de parties du corps humain, mutilations de guerre précédant le décès pour certains, les plus tenaces. Les miens familles d’athées qui se sont entretués décimés de guerres froides dans un pays de dictat, la France. M’imaginaient quelque fraude que mon Père devait leur dédommager d’argent payé de la main à la main. En plus de ce qu’ils m’ont mis. Et de cet argent tant réclamé à corps et à cris, me laisser la paix.

Racket auprès du Père qui me reste, en me prenant en otage et me violant d’implants, d’électrodes, me fichant dans les services psychiatriques, me tabassant de leur matériel sous ses yeux, menaçant de me tuer s’il ne les payait ou de graves opérations, dont trépanations. Ils auront racketté ma famille ainsi toute ma vie et elle cédait parfois à ces faits.

Obnubilés par le trou des Femmes qu’il leur faudrait dans la tête.

Faut voir où ils l’ont planté, eux aussi, le Doigt de Dieu.

HLM Centres de Gaité de ces mémères et voisins farceurs rois de La Castagne, Miss La Torgnole et Maisons et clubs de la Torture, Maisons d’Entrainement, de la Passe, de la Santé. Sans compter les Centres d’hébergement où se réfugier en cas de symptôme de schizophrénie, plutôt que de se réfugier l’on en sait jamais chez ce peuple de braillards autrement dit, voisins. Encore ravages de la Loi Sarkozy, sur l’immigration forcée et les prostituées. Lorsque vous faites une faute de frappe, un pur plaisir de la brosse et de la chatouille, dans le nombril. Question de toucher. Toucher le nombril et la chatte à la voisine, dans la guerre et le stupre, au nom de la Grande Invasion de la barbarie sur Terre, le Mondialisme.

Sous un phénomène de punition-récompense institué digne de Pygmalion et ses appareils de contention, la carotte et le bâton que s’infligent entre eux grandes gens et voisinages, familles et employeurs-employés. Et si l’on vous pique à ce jeu de résister malgré tout, bien venue au club des piqués. Après tout du Diable Vert, le livre (Muriel Cerf), Ravages et l’Astragale, livres tout autant d’une évadée.

Chirurgie pénale.

Le matérialisme historique, des idées fixes que la Gauche se ferait.

Des mises en couveuses depuis l’enfance, de la France, jusqu’à l’emmaillotage serré.

La jeunesse, un mal français, pis selon les psychiatres, que psychose et folie dangereuse, à ne vous laisser libre de tout traitement et mauvais traitements, d’abus d’autorité et de pouvoirs que ménopausée. Et encore cela n’est pas si certain, parce qu’après, hein, la maison de repos à vie, la maison de retraite, jusqu’à la mort.

Et recta, par le Sévice Charnel et la simulation rectale à titre de gadget. Sans rajout.

Parlaient dans le langage mastiff de leur Mastu. Cela n’était plus que leur logos destiné là les laisser se soulager de leurs frustrations. Dans toutes les auto-suscitations qui leur permettent de rattraper les blessures de ces guerres infligées par l’éducation familiale et l’auto-détermination. Se forçaient dans leur auto-déterminisme, à s’enfreindre jusqu’à quasi l’épilepsie, et atteints presque de ce Haut Mal jusqu’à la rixe, entonnaient, pour en donner nuit et soir le jour aussi des cours de rattrapage de leurs abominations délirantes.

Le coup sacré de la chaine incrustée dans la taille des femmes juives, sous la deuxième guerre mondiale, le nœud de la chaine fiché dans le nombril, pour les tuer.

Infliger leur propre auto-détermination aux tenants de la gauche libertaire laïque antipsychiatrique, la leur fustiger, jusqu’à les nerfs les casser, les rompre en tous sens, tordus tels ceux de Crocs-Blancs, ou de vieux clous. Plantés là, à exciser. Jusqu’a ne faire d’eux,ces tenants, plus que des prisonniers d’opinion. Ou métro-boulot-dodo, acharné. Malgré la Révolte des Enfants, contre ces systèmes de pouvoirs.

S’ils me captent ils ne me comprennent, nous ne sommes pas sur la même longueur d’onde.

Histoires de Complexe de la Mère Juive Mater Dolorosa qui met en couveuse autant qu’en veilleuse, dérange en grand dérangement jusqu’à faire des dérangés autour de soi, selon les termes de la psychiatrie. Et de ballets espagnols.

De quoi attraper des baisses de niveau à s’en faire traiter de schizo maso en perte de ses moyens et régression due à la maladie. Et attention la fessée. Que l’on ne prenne pas le nombril des schizos pour le lieu de leur idée ni de leur réalité a tant vouloir le leur regarder. Attaquer. Et toucher.

Cloner le monde pour des problèmes d’égalité et dénommer ça des problèmes de réalité ou le bouillon, de 11h. Et clouer le monde sur la croix de la religion.

La psychiatrie par le bordel, le bouiboui pour et par la psychiatrie, et tout le tremblement, de terre, et de pomme de terre.

Si je le dis.

Paranoïlli.

Mis à part ça, le tabac tue lentement.

Moi, toute petite, encore enfant, l’on m’a pris mon clitoris pour un emphysème et fait décerner, ou mieux, exciser de son prépuce, et oui chez les femmes aussi, cela existe, j’étais mineure et bien jeune, ceci, à titre de leçon pour ma « pagaille », quand je ne rangeais ma chambre de gamine après les devoirs scolaires, et les devoirs séculiers de la famille, pour fièvre que je faisais, dont personne ne se préoccupait, ce qui me faisait dire bordélique., ou « goulamas ». Dans les lois de l’excision des femmes. J’ai bien reçu les palmes d’or de la truie, ensuite, pour, heu, ce fait là, si je dois me faire psychanalyser tout comme l’on se ferait violer, le cerveau aussi.

Les droits de l’enfant n’existaient à cette époque là nullement, n’étaient nullement donc respectés. Quant au devoir parental, il se limitait aux paies des mômes en paires de beignes, et grosses enguelades, sévices parois mortels, interdits et limitations en tous genres, à l’encontre de ces Esclaves des Familles qu’étaient les enfants, dans d’autres Harry Potters à faire frémir la France entière de leurs Poils de Carotte.

Viols de cerveaux. Par électrocution grave des points G du crâne. Jusqu’à ce que cela me retombe sur la poire, elle était bien bonne, celle là, je crois, à bouffer par tous les bouts jusqu’au trognon et qu’il n’en reste plus rien, ni même un pépin, pour le Père qui restera seul si j’en meurs. Car il fallait que je sois de leur combat, sous peine d’internement. Quand ils brutalisent, bricolent leurs pauvres gosses dans le devoir de les rendre ignares, ignorants de l’école laïque et de la Démocratie. Les punissent ensuite de ne pas suivre. La France des mauvais résultats, scolaires idem.

La France vissée serré dans le régime policier sous le coton, l’appareil de contention, le voile pour la femme française de quelque façon que cela fusse, Médicament ou Religion, le Viol dans le Violon et le Contentieux.

Faire de mes livres des pelures d’écorchée vive de par la police politique, seule, actuellement, Police. Sur l’entremise de certains psychiatres et tenants de ce pouvoir. De tant transformer les HLM publics et privés en hôpitaux psychiatriques et cliniques privées, dont certains, hôpitaux de force. Restait à trouver le bon département pour se sortir de ce mauvais pas de loger en HLM ou maison privée, ils me les ont tous essayés afin de savoir s’il en reste quelques uns d’honnêtes. Ils me seront tous ou à peu près passés sur le corps, moi-même leur servant d’appât. Depuis la Mort de Didon, vu également à la télé. Et le livre de Pélagie la Charrette.

Qu’ils auront cru me refaire voir et relire. Entre mes meubles Ikea.

Et m’enfermer dans ce genre de cercles vicieux là, le vide cérébral doté d’un corps violeur auto-violeur.

Problème de l‘Œdipe du père qui intimise encore le complexe de Jocaste de ma mère, son complexe de castration envers mon cerveau, mes organes, y compris génitaux. Surtout de mon système cérébral et nerveux, cela ne pouvait provenir que de cela si je ne leur obéissais pas. Pour quels faits, je l’ignore. Pour l’inflixion de l’Œdipe à l’enfance, la jeunesse, et de cela aux générations futures, et le complexe de castration de la Femme, celui aussi de l’excision des petites filles. Jusqu’à en faire de la pétomanie. Restriction mentale et physique imposée aux filles et garçons depuis l’âge de Malthus, oh pardon, du capitaine de ballet russe pangermanique. Plus pour se faire craindre qu’aimer et respecter. Et c’est, sans retour. Point de retour et de non retour. Point au coin des lèvres nues, bouche cousue.

L’image du Père chez le schizophrène.

L’on ne peut toujours faire dans le commercial.

Dénomment schizophrène tout individu homme, femme ou encore adolescent qui refuse de vivre autrement que seul, ermite un rien, misanthrope et femmes seules, vieux garçon le plus souvent, déclaré faune, qui ne perturbe que par sa seule présence, quasi muette par principe tant il est attaqué par la société et la sienne qui l’attaque pour de bon, celle qui se situe autour de lui. Surveillé parce seul, il échappe à tout contrôle social dont policier, et donc étatique donc peut être fou dangereux, donc terroriste, non fiché dans quelque dossier que ce soit donc un danger pour l’état. Sans quoi, interné pour manque de statut social, femme seule, ainsi que tout vagabond, même avec domicile fixe. Sans cela, je ne l’aurais pas pigé. Vous avez une miette là, au coin de la bouche. La normalité n’étant acquise que surveillée par quelqu’un au moins, un individu quelconque, ami, conjoint, parent, familles entières, surtout au moment du repas, devant absolument être chrétien.

Si ce n’était que cela halluciner.

Là au moins, je l’ai bien eu dans le zob, et dans le sens du manche.

Le mystère de l’Eglise donc de l’onglée, chez le prisonnier d’opinion autant que je l’ai eu dans le nombrilum. La poitrine et le cranum. L’anus aussi.

Se suffire à soi même étant autosuffisant.

Si cette société tire sur ses ermites, icelle qui tient tant à souiller les grosses et les rouquins.

Après que les gros on les ait pris pour des anorexiques. Par effet de psychanalyse.

Il y avait tout de même de quoi faire une fatigue pondérale et des abdominaux en fuyant, à toute vitesse, du pays. Pourquoi tant d’artistes ont fugué à l’étranger, non mais… ?

Et la cacahouète de PP d’Arvor quand il s’en est pris une d’un paparazzi qui le serrait d’un peu trop près. Merci pour son livre, mal digéré, ma fille, donc la voisine chez le vulgaire, est anorexique. Livre d’Amélie Nothomb, anorexique, que je me suis également boulotté.

Le cas des trois K, Kinder, Kurt Ketchun celui de mes céréales aussi spécial K, si ce n’est cela être un cas.

Le plus souvent sous attouchements et coups de bâtons en guise de pédagogie, des lésions en légion, si j’y parviens, sous les principes de la diffamation charnelle neurochirurgicale, neurologique, dans certaines formes de pré-séquestrations. Avec systèmes d’appâtement des empâtées pour la divinisation du pétainisme. Les Mythes et Mystères de l’Observation des cliniques dans ces contrées de voisines, et jeunes godelureaux.

Récapituler la peur des Femmes dans des ménages mal payés de ces curés tout ce qu’ils leur auront cassé de fautes graves et impardonnables, leurs bruits de bottes ensuite, dans la tête le corps et le bide, le cul sur le bidet, la tête dans le SAC, Service d’Action Civique, cause d’une guerre civile et d’Etat de plus envers les intellectuels français, quand il est pris pour un soin, et le sexe dans le plâtre sous forme de récompense, dans des Tarzoun le Roi de la Jungle mémorables (Echos des Savanes). La fin des Femmes et des femmes trop plates, systèmes de prévarication, préjudices de trafiquants aux violences policières, préjudices frappants dont tous se voilent la face, et les yeux de tant de bureaucratie démagogue.

Il fallait rester le clone de la Famille et de l’Etat, sous les meurtres de la Science sous peine de procès pour laïcité.

De belles années de Belles barbouzes aux narcotiques que je devais prendre. Entre autre belladones, par la poire. Et le reste du corps.

S’attaquent à toute rébellion dans le corps des rebelles sous la tutelle de la torture de ces faunes barbares en apartheid à qui il manque de la colchique, tortures répétitives réitérées sous l’égide d’une forme de la jalousie raciste à nazie interprétée jalousie de schizophrénie que je ferais. Détruire l’écriture, ce style direct que je possédais et leur rend, dont je me fais un devoir, jusqu’à l’apparition de style torturé. Style de torturés, pour des problèmes de démocratie.

Somatisation par l’implant ombilical. Ou fiché dans les poumons. Histoire de s’attraper une bronchite matérialiste quand Tonton tousse de voir ça, de sa tombe.

Centres nerveux du soulagement cognés pour les tuer, assassinat identique à celui des oiseaux en Chine, que l’on éveillait et faisait fuir sans relâche de grands bruits et sonnailles, jusqu’à leur épuisement dû à l’état de veille et leur décès. Maintenir un individu dans l’éveil l’état de veille et le trouble des sens, lente torture chinoise, ineffable. C’était, tirer à vue dans années durant sans somations.

Toute révolte non Lepéniste déclarée par les autorités du pays qui ne veulent rien en savoir, schizophrène.

Phénomène de Haies d’Honneur. Barouf et Barouds d’Honneur. Faire des désespérés de combats désespérés, les enfermer au nom de la Démocratie. Faire Razi Bhutto à une femme, pour l’avoir vue dans un reportage un dimanche. Condamner ainsi mes affinités avec l’Orient l’Asie et l’Inde.

Phénomène de l’étreinte ad eternitam du ceinturage, muselage des sens, de l’esprit.

Tortures Catholiques du vulgaire. L‘Epine Chrétienne fatale et l’écharde de mes anciens écrits, La Genèse de l’Ombre. A faire trouver au Père, grand barbon barbonnant à ses heures, sa grande fille bien meilleure, à bouffer, dans son dos.

Me faire tant protester de la contrariété sans cesser pour mon protestantisme, mes ascèses.

M’infliger tout ce Protestantisme Huguenot pour m’en écœurer. Enfreindre les gens et les lois jusqu’à les assassiner de leurs propres limites. Film déjà vu. Anarchie totale libre et absolue, destinée à soi-disant me rendre à mes libertés, pouvoir absolu de l’anarchie de bazar vite prise pour la Révolution car cultivant l’anti-révolution dans un américanisme profond.

Honte faite aux premiers anarchistes. Qui n’étaient ces vieux gros pleins de soupe et leurs soupes venus me débusquer, corriger, pour mes opinions. Jusqu’à leur état de gros légumes. De ventres.

La torture électrique, une souffrance due à la maladie… Mort dans d’atroces souffrances. Passé par les Armes du Bataillon, d’infirmiers. De grosses dindes, et dindons.

Visée par leurs appareils de démolition et démontage, appareils dits à agitation moléculaire et manette à télécommande digitale et la digitaline, dont certains issus d’engins de tomographies probablement récupérés. Dirigés vers le ventre et la tête, le cœur. Les tortures du Maghreb dans les camps de Saddam Hussein, vous mettre la tête comme un melon et le ventre d’une pastèque, bien séparer la tête du corps, par la décapitation sauvage, et le corps de l’esprit, toujours selon les préceptes de l’Eglise et de la Religion. A grands coups de rayonnements d’appareils de tomos, souvent aussi simulé par implants.

Parce que les schizophrènes après tout ont des problèmes avec leur corps, leur esprit, leur langage et que cela se sait. Les problèmes étaient lesquels, avant que ces CHR n’interviennent. C’est là le problème et la raison pour laquelle il fallait observer. Préjugés, foires aux soupçons. Réputation d’être encore en pavillon. Foires aux allégations, aux abcès de fixation. Mèches de coton dans le cerveau, pour la phtisie ou pleurésie de ma grand-mère, qui avait eu des mèches de coton dans les poumons, durant la guerre de 14-18. Jusqu’à la sensation d’éméché. Cela m’avait peut être attaquée le cerveau de ne pas me soigner. C’est juste moi qui m’en faisait l’idée. Me faire mettre une tête de turc. Forte comme un turc.

Le procédé de la lapidation.

Pas que des godemichés, les électrodes.

Faire de moi une de leurs Putes de Salon, de sales garces, dans le genre top model un peu filles de l’Est qui ne comprennent le français que par les coups, n’apprennent que les mauvaises habitudes, très mauvais genre, à la psychologie des femmes de gardes monstrueuses de ces pavillons, toujours pionnes du bâtiment, pas balnéaire du tout.

Rien que du béchique. Pour que j’en sois et reste sale aux mains sales, dans l’esprit de me punir, assassiner ma pureté féminine. Dont la seule récompense est les coups, blessures, branlaisons des par les intestins. Punitions et récompenses par attouchements de ces intestins, tabassage des orifices du tube digestif, leur écrasement, électrocutions du nombril dues à implants. Infliction par ce biais de la Mastu qui les obsède. La femme se touchant, sans déviance illicite ni sadique destinée à la prostitution par essence, et devant par obligation s’y soumettre, sinon par Placement d’Office.

Ou la mort.

Corriger la Femme pour ses plaisirs normaux décrétés par la Science l’Eglise et la populace Péchés de la Chair mortels, donc de la prostitution (troubles cénesthésiques ou sensations bizarres dues à l'attouchement ou au fonctionnement du clitoris, ou de la torture de l'ombilic, du bizarre chez la femme ou le mystère de la Douleur, celle du Christ en général). De par les Mères et Pères castrateurs de la médecine et de la psychiatrie, au point de faire des émules dans les foules, tenaces sur ce point de délit, la mastu. Au cours de parthouzes orgiaques auto-masturbatoire pour chacun, croyant tous tellement ils s’en persuadent, que j’aimerais être violée tout comme la Femme en moi-même dans ces parties à thèmes, de viols collectifs. De ces bandes et de bandes d’infirmiers barbouzes autant que les médecins et pères de familles qui les couvraient. Egalement au sujet de macchabées ou lobotomies nécrosées dont ils aimeraient bien me faire bouffer quelque morceau par intubation aussi dans tout leur cannibalisme fornicatoire érotomane, autant de Silence des Agneaux, et d’Hannibal, la suite des évènements. Ils ont revu le film.

Si après cela vous restez anorexique, sinon doucement nécrophage.

Blesser atrocement, Castrer ce Corps de la Femme Infidèle parce qu’elle pratique l’onanisme dans ou non le lit conjugal au su et au vu de son compagnon qui en fait de même, aucune loi française ne l’interdit en fait, niées et annulées sous autant de lois pro-américaines. Dans les Sévices infernaux du Moyen Age. Autrement dit Soins. Au point de la rendre anorexique. Femmes de Gauche. Cette propagation de faire travailler les Femmes au Foyer… sous les mystères du STO et ceux de la prostitution.

Corriger une faute de français dans un texte étant ensuite de ces faits rétablir ses somatismes intestinaux et ombilicaux, ainsi créés dans l’aberration et l’absurdité.

Les problèmes de la Pureté Féminine selon l’Eglise.

Et violence me fut faite.

Il fallait attendre que l’effet passager de l’omelette cesse que j’avais consommée dans Ether Bleu mon premier livre, et que le canon refroidisse.

La Licence et la Maitrise Littéraire devant être licence de vieilles femmes et maitrise de Soi.

Introduire du sperme des mèches de lobotomisés et des humeurs de macchabées dans les yaourts pendant des années pour bien stipuler que le plaisir est Interdit sous peine d’être décrété nécrophagie pour un yaourt vanillé, qui s’avèrerait trop être un aphrodisiaque alimentaire, ramonant ventres et intestins dans la délivrance tant interdite tant qu’elle n’est celle de l’accouchement... Ni cele de l'ondinisme du tantrisme, épanouissant.

Le plaisir sous la constipation, uniquement, de ces empâtés du bide, obnubilés par ces problèmes de grossesse. Le viol par le problème des gros et grosses. Jusqu’au viol des promises, et le Massacre des Innocents, dans le genre Ionesco, Jeux de Massacre.

Biblique.

Appelés ces faits me faire fuir dans un hôpital pour que cela ne m’arrive, la prostitution de femme des rues, parce que les schizophrène doivent toujours sortir de chez eux, tapiner sans un radis cause l'UDAF sous peine de violences médicales, réputés par la psychiatrie et donc les masses sociales être en claustration profonde, s’ils ne courent se réfugier chez un de leurs voisins, ou l’un de leurs proches. Tant ils me coursaient dans les coursives jusques devant le Tribunal d’Instance. D’appeler cela me protéger de m’interner, contre tous ces évènements, jusqu’au proxénétisme. De protecteurs qu’ils sont. A eux tous.

Dénommée schizophrène toute personne rapportant, dénonçant les faits. Ou Mal.

Cause leur Complexe d’Hannibal. Coup fourré, bien symptomatique de la schizophrénie. Et que je l’aie dit, pour que la Médecine m’en punisse, d’internements et traitements.

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Pères de familles, quand de leurs actes ils auront crevé dans mon ventre tous mes fœtus, œufs, embryons, et morulas. Me garder stérile de ces pourceaux afin qu’ils ne m’engrossent point de leurs orgies et je l’ai dit, basses œuvres.

Plusieurs de ces femmes complètement lures avaient le diabète, me le voulaient jusqu’à chez elles la crise de paranoïa. Paroxysmique depuis la nuit des temps. Sans compter les crises d’acide urique du père que l’on me voudrait bien.

Espoir de me liquider avec l’affaire. De me descendre, surtout de cet HLM les pieds devant. Parce que je ne descendais le chien m’accoutumer à la passe sous sévices.

Cause l’affaire Baudis.

Dans tout l’art de plaire.

Les Mouches, la Nausée de Sartres, les Mots. Jusqu’aux mots et frictions de voisinages.

Et toute la bibliothèque des grands classiques.

Me faire vivre la Littérature à leur façon parce que, c’est ne rien faire et ne rien branler que de lire, écrire et bien parler le français. Il fallait donc, branler. C’était tout ce qui me manquait.

Me trafiquer l’intérieur par les mots. Le bide aussi, autant que celui de mes livres.

Imprécateurs prédicateurs obscènes. Terrorisme français, dépravé de première dans leurs films James Bond s’emparant de toute culture pour la faire payer.

Le Couteau dans le Ventre des Poules, de Bernard Guittet. Mon professeur de théâtre et de philosophie. Le pauvre. Prévarication de la psychiatrie, des foules. Concussion médicale, étatique, civile, exigée. Forme de prison à domicile que j’ai dû pendant des années en vivre à la moindre tentative de procès que j’aie menée contre ces faits. Où j’étais obligée de plaider, rapporté ante-placement par anarchistes ou rapporteurs civils de la population. Jusqu’à mon absolue privation de liberté.

Punir la Femme Infidèle, surtout à l’Eglise.

Quand l’Amérique entière subit la même inquisition, procès de Ku Klux Klan, à la française. Où l’on protège, punit et discrimine par le Doigt (de Dieu) au Cul, constant dans la loi de la passe en maison d’abattage. A tout vous péter de là, jusqu’à l’anus artificiel, à implants télécommandés à distance qui ouvrent et referment, poussent et rétractent. Actuellement en cours de test, et discrètement démontré. Vous refaire le procès d’Ilan. travail de titan que contrer ces mises en observation, officieuses. frauduleuses.

Punissement de l’Eglise, par l’artéfact de la Médecine. Appareillage médical. Jusqu’à l’expulsion illicite de la femme fatale, de ses logements, lieux de vie et de travail. Mis à par ça, ils ne faisaient que s’en faire, selon eux pour moi, pour leur peau en fait, acculés à se soigner, ce qui fut laissé à leur guise, dans tout le laxisme général, période de déliquescence, et de dégénérescence décadente romaine, qui dura d’ailleurs mille ans, j’ai le temps de m’y faire. Problème de Démocratie, qui devient le mien, si j’en ai véritablement un. Velléités d'aristocrates médics de la science, d'autorités admises , envers auteurs du problème et de l'affaire, impitoyables envers les coupables incriminés.

Procès Salengro. A des points inénarrables d’enquêtes spéciales auprès de mes modes de vie intimes, dans une vérification folle de mes moyens de paiements, si je ne payais des commerçants voulant se repayer sur ma bourse. Freux. De Dreux. Si c’est une affaire d’Etat, je comprends bien que cela passe par le Ministère de La Justice même dans les Placements d’Office, ou mise sous protection, pis que sous protecteurs, bien bien maquereaux. bien plus que par ministère de la Santé.

Pour une virgule mal placée qui peut sauve qui peut empêcher de bander.

Me faire tout péter de l’arbre de vie de mes Intérieurs (pièce de théâtre), de celui de Mélenchon.

Ou le titre de mon premier journal j’avais 11 ou 13 ans, de Fugues en La Mineur. Et bien me faire danser la java de Gorgone ou L’or Fou, Contes Cruels, Idées Captives, mon dernier livre.

Phénomènes dans cette ville de Caïdat, entre vieux, vieilles et voisins, sur un bouc émissaire qui paie les frais de leurs parties de jus pas frais.

Ne faire de ce nombril qu’un vieux clou rouillé, celui de leur Jésus, ou l’idiot du village. Parce que cela n’était assez que torturer, il fallait aussi la lente agonie. Acte lynchage, dévisser tout de mon appareil sexuel et ses attenances, et appeler cela me ré-prostituer, dans les Miracles de la Jouissance Eternelle, les sévices de l’Enfer. Encore de trucs de Minuit-Chrétiens. Depuis l’Amour Violé, Train d’Enfer, et le lâcher dans la population civile des Mères Nourricières ou Nutricières en état de rut flamboyant, dans leur intention de nuire, transformer la société en club de pourceaux, dans autant d’Enéides. Le coup de l’Enéide et de l‘Eternel Retour. A se faire appeler Ulysse et les Sept Travaux d’Hercule. Travail… etc. Punitions corporelles herculéennes par le viol réitéré durant des années, avec violences.

Secteurs psychiatriques, Goulag français. A goualantes hypocrites.

Fustiger ainsi mes idéaux de gauche, mes opinions, me faire ainsi passer sous leurs écarteurs et écarteuses de filles au cours de leurs parties de monte (Livre de science fiction de ma bibliothèque). M’appeler jusqu’aux pompiers si je refusais d’être passée par ce droit là de péage institué sur mon corps depuis l’enfance. Mise en hôpital, jetée aux poubelles de la société, pour non accord et résistance passive à ce phénomène social. La rédemption par la faute de français lysique (de lysisme déviance sexuelle consistant à interdire ou s’auto-interdire le plaisir) qui sauve qui peut du mauvais somatisme qui tue, trop branleur, car contre-nature.

Faute de français qui accuse aussi le bouc émissaire de l’affaire, ce n’est pas moi qui jouit, c’est lui, jeu de c’est lui qui a pété. Tout de mes nerfs et de mon système surtout. Le Travail sous et par la Torture ou le travail de la Prostitution sinon celui de l’accouchement et la Douleur des Femmes et celle du Christ qui devait tant être et bien aller. Mettre les Femmes au Travail, surexploitées par autant de maquereaux. Depuis la parution d’un fascicule d’Hebdo Femmes des années 80 sur le problème des prostituées, le proxénétisme.

A force de creuser, en termes de littérature, je vais finir par me retrouver au fond du trou où l’on m’envoie travailler. Forcer au travail par le viol avec violences en plein crâne, côtes sexe et cœur, foie autant, et les persécutions de groupe. Forçages suivis de trépanations avant mises en placement d’office ou volontaire. Racket destiné à prostituer par ces caps d’inflixion des lois de la prostitution et de la prostitution infantile. Sans compter celles des camps roses, et la prostitution anale pour les féministes. Punir l’homosexualité, la sodomie et le plaisir anal chez la Femme en guise de positionnement social quand chez eux l’on aime que la position politique de la levrette, dans une surveillance paramédicale constante plus qu’incertaine. Interdire chez autrui ce que chacun se permet. Je l’inscrit ainsi sans quoi j’étais masturbée ou tabassée, je résume, cela ne finirait jamais.

Les bébés selon eux ne naissant que très pervers, quand cette perversité leur est infligée dès la grossesse, et pourtant grand nombre ne leur en nait qu’innocents du drame. Ce qui ne justifie donc aucun avortement, d’enfant de violée. La prostitution sous proxénétisme, un état dépressif de la schizophrénie.

A moi d’effectuer le nettoyage de printemps de la démocratie, qui en a pris, avec moi-même, un sacré coup dans l’aile, de la colombe de la paix. L’ont plombée, ces Lepénistes et Intégristes Chrétiens, qui ne reconnaissent le Code Civil ni donc le respectent jusqu’au pourrissement de la situation, Code Civil dont la Constitution de la République les a amenés à être tant au pouvoir. République qu’ils admettent plus qu’ils ne l’acceptent, à l’asile politique de la psychiatrie et qu’ils placent sous leur tutellât dans un colonialisme à l’encontre de la Gauche qui met la patrie en danger. Montant de toutes pièces un dictat basé sur la torture, la Religion, dans l’autodafé les supplices vénaux, le cas exemplaire de Punissement et la Question. Question d‘Inquisition. La Femme émancipée devenue Truie Femme à Soldats. Si elle ne veut faire cantinière, ni être bonne du curé.

Qui dit la vérité met le pied à l’étrier.

Traité par l‘accaparement provenant d’un autre département hospitalier que le mien dont je devais faire confesse et confession publique sous psychanalyse avec implant. Devoir de leur livrer la liste des médications pour mon état, soi-disant de meurtre. Pour leurs façon d’érotiser qu’ils m’infligeaient par attouchements prolongés jusqu’à la véritable baise, le rapport forcé sous la contrainte de ces lesbiennes et détraqués. Dans un mariage forcé avec le voisinage attenant ou non, doté de michetons, tout aussi mal. A vous déclencher un cancer Mitterrandien en moins de deux.

Ils auront cru ne me tabasser que dans leurs rêves.

Maquage, par le Matraquage. Prétendu faire du Bien.

Aussi, à force de me vouloir trop de Bien. Me faire la Veuve d’Aron.

Violeurs détraqués, détraqueurs, traqueurs, tabasseurs à mort, obsédés par les questions de la Gestapo et de l’Inquisition. Tabasseurs. Depuis la bibliothèque rose, dont Fantomette et la Police Montée. Se servant du père comme d’un sous-tenancier, pour ses envies morbides, ainsi que dans tout phénomène de proxénétisme. Père repéré pour ces faits, son pouvoir de devenir un tenancier potentiel qui lui était octroyé pour son Œdipe, conforté et monté pour ses actes peu recommandables dans des appels d’offre insensés, entre autres qu’il me tienne, par l’intermédiaire d’un toubib, sinon le leur, autant que femme de joie. Tout un peuple, une foule d’oppressés, mes défenseurs, exigeant de ce père qu’il me paye en me soutenant autrement qu’en m’étant un souteneur, une rente à vie, pour les sévices que j‘ai endurés, depuis que je suis née. Ils lui auront fait tout un procès, ainsi qu’à ma famille, jusqu’à le faire abjurer de ses fautes et obtenir ainsi réparation, pardon pour mes « fautes » passées.

Merci.

Il ne saura jamais, et moi non plus, si les douleurs qu’il aura endurées auront été dues aux mêmes procédés, douleurs que l’on m’aura tant faites payer.

Machine de Guerre infernale, exigeant par mes propres défenseurs auprès de ce père le dédommagement des frais, du prix des passes infligées par mes maquereaux. Sous peine pour moi de soins hospitaliers à vie et de grands internements que mes ennemis me promettaient, menaçants, envers mon père également, appelé cette injustice « substitution » bref, j’étais un mauvais élément de la Police et fauteur de troubles publics. Père menacé de se soigner s’il n’intervenait.

Avant de faire cette thèse d’Etat, il fallait se regarder le nombril. Sous peine de viols, incessants, si me reste vie sexuelle véritable. Sinon se faire prostituer telle none par ces paparazzis en état de fiction politique, et de manque médicamenteux, tant malades des nerfs, depuis le Plateau du Larzac, la Couvertuarade. Le Mas d’Azil et le Biterrois. Sur tout lieu de vie. Recherchée par toute leur police qui ne rêve que de me briquer les « estomacs », zob ou intestins. Soi-disant par Amour. Cogner le cerveau après une vie monacale de contraintes conduisant à la frigidité, appelé cela mon orgueil démesuré, mes livres mégalomanie, indiqué le viol contre-nature sodomique avec lente défloration souhaitée, et douleur incessante. Digère après ça. Ils ne vont pas non plus me plaindre la bouffe, après tout leur travail pour que j’en sois moins, de leurs anorexiques ? Revenir au chapitre de la bouffe étatique.

S’ils prennent un doigt au cul pour de la maïeutique…

Provocations de ce type, sévices en harcèlements constants afin d’hospitaliser, ils se défonçaient à ça de leur ça, jusqu’à ce que je me défonce de protestations dites délires logorrhéiques tant cela dure, protestations sous leurs sévices, dites délires, au travail, pour les problèmes de Travail, Famille, Patrie, et les etc. du nazisme de Ségolène Royal qui rallie ainsi les suffragers des indécis de Le Pen, et ses miroirs aux alouettes, mouroirs d’Etat.

Où l’on ne vit que dans les remugles de la torture de guerre. Leurs odeurs de cuisine, française.

Créer ainsi la connerie en France et la France des cons. Ou l’apanage des cons, à privilèges. Les plus privilégiés, n’étant que ceux qui n’ont besoin eux d’opérations du cerveau, tant ils n’en ont. Ou Bêtise, la barbarie en fait. Faire des cerveaux des bulbes d’attardés, sinécure de cette usine à faire du et des malades, usinage à en coudre et en découdre que ces cliniques et hôpitaux, appareils judiciaires d’état.

Préoccupations d'État opium du peuple, plutôt que permettre la révolution.

Médecine clinique et hospitalière pénale, autant que dans Maghreb, où les mains sont coupées aux voleurs de pommes d'orange du marchand. Résumons, voleurs de pommes du savoir parfois, que l’on voudrait trop l’esprit carré à angles obtus, de par la quadrature du cercle, à force de gros rabotages de bosses des maths dans les cerveaux. Bien à angles droits qui se recoupent.

Pour des questions de normes et valeurs de l’idéologie bien Pensante et d’hygiène de vie. Mais quand cette dernière la respectent-ils… Procéduriers pro-américains qui voudraient que j’en sois de ce genre d’attitude procédurière.

Requise dans l’Etat la lente sédition par la torture étatique et l’opération de décérébration de la Gauche non tutélaire, sous le syndrome de la Jouissance Eternelle et de la Passion du Christ, symptomatique du nouveau-né qui fait sa température. Quand tous les fanatismes de droite et de gauche gagnent au point de faire disparaitre la Nation. Pour que sous la francisque Lepéniste et le passage à tabac (contre toute gauche libertaire par extirpation des principes du Haut-mal) La France se Lève et Marche dans autant de Lève-toi et Marche, mais ah ça ira, ça ira même si ça fait mal, ceci valant envers tout être handicapé ou dit tel. Marches silencieuses pour la paix que mes livres. Contre l'attardement promis des intellectuels et des Femmes.

Question homme aux loups, les loups, c'étaient des fauves, ils ne se seraient pas trompés, ces Diafoirius, de cougars ? A prendre les agneaux du silence des agneaux pour des bêtes fauves et des athées pour des gens vivant comme des bêtes, sauf évidement peut être les communistes.

Et la Femme parfaite trop huguenote, l'ascèse une anorexie à tuer en ce genre de pucelle par les méthodes prévues à cet effet et les gros moyens, priant le dieu de la grogne, dela drogue et dela vinasse dans leur cathédrale de sucre qu'est le secteur médical des villes, afin qu'elle, la femme parfaite, ne ressuscite de ses cendres.Et que vivent les truies, les cochons. Pour cela torchons, le cul des damnés.

Parce que pour eux, les handicapés avec un grand H ne peuvent venir le leur clamer devant leur tribunal d’Instance qu’aveugles, sourds, muets, ou en fauteuil roulant tant fracassés par leur Service d’Ordre Civique. Ne serait ce que par leur famille, patrie, etc. Après des Thérèse Raquin et Desquéroux à se faire damner pour la vie entière. Fume fume. Que du Belge d’ailleurs il vaut mieux.

L’onglée dans le crâne et les viscères. Penser sur un cerveau à onglée, blessé, cogné profond, tabassé, à l’électricité, couturé, en partie amputé. Dans une gymnastique rééducatrice qui tient du coup de marteau et de poing, de longues nuits et journées d’affilées. Jusqu’à parfois des atteintes ou absences de la mémoire immédiate Travail de forcené.

Et cela, ce sont des actes qui fâchent, donc l’ire du schizophrène.

Me faire la loi, surtout celle du proxénétisme. Et en avant toute, après celle des médicaments, ainsi que dans tout débourrage de prostituée afin qu’elle travaille, pour son mac. C’est plutôt un travail de l’ampoule anale qu’ils me voulaient, jusqu’à l’anus artificiel, il s’en faut, si je n’en ai déjà un, implanté. A faire valoir, si j’y parviens.

Livre sans fin. Prostituée que je suis pour qu’il se poursuivre, d’un autre, puis d’un autre, sans fin. J’espère qu’il y aura des suites.

M’accusant de posséder le don de télépathie dont je semble les affubler, qu’ils confondent avec la télépathie amoureuse, chère selon eux, aux femmes libérées donc libres. Procès pour télépathie qu’ils me font depuis longtemps depuis la rue, leurs fenêtres et appartements.

Requise aussi l’opération du cerveau en séries tout au long de la vie, asse fréquemment et urgemment pour créer les séquelles caractéristique de la symptomatique schizophrène.

Pour en arriver au fameux livre Le Petit Travailleur Infatigable, livre courant dans les facultés de Lettres, en Géopolitique.

Totale réquisition de mon corps, appartements, de mes revenus par organisme subventionné d’Etat sous tutelle de la Justice, comme autant de bien juifs sous la deuxième guerre mondiale, afin que je ne les dilapide, car jugée dilapidatrice des biens de l’Etat (mes allocations Cotorep et APL), ainsi que mes biens Familiaux, et ce genre de sous–race de juifs (les schizophrènes), n’avaient à dilapider ainsi le patrimoine.

Après ce que ce secteur hospitalier, communiste d’essence à trotskyste, qui défend ces gens plus qu’il ne les protège en H.O., département médical voire Mao, a fait d’études sur sujets, concernant les cas de voyance et de transmission de la pensée. Etude déjà pratiquée en URSS sur les dauphins. Une taule, de plus.

Coup monté de la Noria sans fin.

Eglise de scientologie.

Et arrête de me vouloir le mal de crâne de Sarkozy.

La défloration par l’Attouchement des Plaies.

Décrété dément tout individu qui déclarera aux autorités être victime du chantage de cobayage et d’essais sur sa personne , celle d’autres individus, d’appareils de nouvelle convention et technologies à l’essai, tels par exemple les fours à micro-ondes ou tout autre type d’engins y compris appareillage médical, paramilitaire, paramédical, encore inconnu des foules et départements psychiatriques, dont tels précisément les implants, qui paraitront sur le marché des dizaines d’années plus tard, années d’essais thérapeutiques au nom de ces cliniques, parfois privées, agitent avec la complicité parfois de l’Etat.

Substitution sans fin pour le fait que ces médecins des secteurs hospitaliers concernés n’aient leurs responsabilités à temps afin de faire évacuer ces malades qu’ils suivaient, à qui ont été confiés ces appareils, pour l’irresponsabilité qu’ils avaient de pouvoir les utiliser sur autrui, brulots contre la gauche tant têtes brûlées au nom de leur idéologie, et choisis pour cela. Certains de ces déments fous dangereux suivis depuis longtemps, que leurs autorités médicales ne veulent plus ou presque pas toucher et ne reconnaissent dangereux, ou très peu. Dans un dorlotage familier un rien imprécatoire, car il fallait bien les retenir de faire un mort de plus dans leur domaine.

Il n’aura eu de relaxe qu’envers les éléments les plus dangereux... Leurs faits, niés par ces Médecins de la Patrie, passant pour fantasmes délirants ou simplement délire hallucinatoire. Jusqu’à ne ramener à leurs médecins que de futurs clients, détraqués que ces mauvais éléments auront faits autour d’eux à force d’estropier de leurs actes de violence, et de leurs délires obsessionnels. Le plus souvent des clients à vie. Tenus à cela sous le sceau du secret. Ou toute leur vie au secret.

La moindre critique de mon Père envers les violences qui m’ont été imposées, déclarées fantasmes dues à sa démence. Fou peut-être mais pas au point de laisser ces obus dangereux des personnels médicaux assassiner sa propre fille en sa connaissance des faits et contre son gré. Ils la prouvent de quelle façon, la folie, s’ils ne la provoquent, et ne la causent en faisant preuve par défaut, dans le vice de procédure, la dissimulation de preuve, l’entrave à la justice pour ce qui est des témoignages, le contumas, le viol le baume Kamol, le Synthol, l’absolution de tous leurs péchers pour le peu qu’ils prennent leurs médicaments et s'infligent ou infligent la répression ?

Torture.

L’on ne sait combien sont morts dans ces établissement qui les retiennent parfois de tuer ou de sortir, pourquoi donc tant de préférence laxiste envers ses éléments sinon parce que les médecins, personnels hospitaliers en ont fait autant que ces fauteurs de troubles jusqu’à les rendre vraiment dangereux. Pour cette perversité très envahissante qui les mène à presque assassiner de tortures graves, et opérations du cerveau. Trépanations jusqu’à celles des nerfs dits inguyaux, ombilicaux, castration inévitable pour toute femme qu’ils tiennent, déflorée hors ce système. Invasion dans ces domaines médicaux et ils courent la ville, du jargon officiel de ces pavillons, le délire à déformations linguistiques et somatiques schizophrène.

Pataouet de ces matons que sont dans ces pavillons les infirmiers. Ils auront enflammé des contrées entières ainsi, ne serait ce que par ce jargon là. Que chacun parle ensuite par entrainement. A faire fuir et constituer un bataillon d’éclopés, qui ne causent que des estropiés, parfois de la même façon, ou victimes de tous ordres de ces jargons. Le contresens des phrases de ces jargons précisément, sans cesse employé à double sens d’ailleurs, contre vérité toujours dansle mythe de l'occupation et de la suspission étant immanquablement accablante pour ma partie civile. Et donc tourné à mon encontre. Phénomène de phrases à tiroirs, jusqu’à noyer le poisson dans l’eau et terminer mes procès en eaux de boudin. Ou non lieux. Procédés machiavéliques, dénoncés depuis longtemps dans les parutions françaises des livres de Machiavel. Machiavel, tant haï pour son Ordre Moral. Dont le Prince de Jean-Louis Guez de Balzac. Et tout

Sade (chez moi pas tout lu mais que j’ai pris par la pomme avant la fin de la lecture).

Dans le but intime de chacun et les phénomènes de razzias de mettre les bâtons dans les roues, surtout que je ne m’en tire comme une fleur, autrement dit, sabotage de mon activité critique, envers ces exactions. Causes de l’analphabétisme dans le monde entier. Mon dentier, je le répète. Pour tous les bizutages les premiers soirs de placement d’Office dans un de ces bâtiments de l’asile d’aliénés, bizutages aux soupes aux champignons hallucinogènes et vénéneux que j’aurai prises sans m’en douter dans ces pavillons psychiatriques destinées à m’y interner, et les soupes aux oronges qui me sont destinées encore si je m’y retrouve un jour.

Drogues qui circulaient dans chaque clinique de ce secteur, et que prenaient eux même médecins, infirmiers. Sans seulement planer vraiment. Si ce n’était que de la soupe de truffe. Touchée aux drogues sans s’en douter pendant dix huit années j’étais. Papiers, buvards, trips, acides dans les cafés, cocaïne, peut-être LSD.

Et là, je m’en fais, des idées noires ? Stade fœtal analphabète infantile des masses sociales, dont il faudrait rester sans heurts avec les autorités, dans leur autonomie ségrégative, autrement dit, au stade du Nouveau-né, Monde tu Pues. Toute surélévation au-dessus de ce stade devant être surnaturelle ou surhumaine.

Dénégations là-dessus en plein délire germanique de négationnistes, antisionistes.

Si les gens dans ces quartiers n'y vont pas bien, ils ne vont pas bien pour autant tous à l'hopital, ils n'y vont en effet, où, sinon droit dans le panneau du dictat. Mu mot aller ou bien aller, aller du corps, évacuer, épuration, bref.

Les Hallucinations de schizophrène après.

Quand au Père, c’était la Cantharide je crois. Cardiaque. C’était un jouisseur. Je l‘avais prévenu. Il ne m’a pas écoutée. La politique est quotidienne.

Et que je n’embrasse jamais, encore moins par baiser, ainsi que le veut la prostitution. Castration de la Pensée libertaire de la gauche non libérale et de ses sens.

A se demander si leurs excuses ne sont totalement irrecevables. Ils n’ont pas eu en effet la bonne formule de politesse après que je les aie eues refusées, tant inexcusables. En effet rebelote, ils auront confié les dites armes en questions à certains de mes voisinages qui étaient en partie soignés par ce secteur psychiatrique, dans l’espoir de les laisser faire de moi ce que bon leur semblerait et bien s’amuser d’une femme en détresse face à ces engins, se défouler sur elle jusqu’à presque l’agonie, engins qui ne sont de pacotille. Et d’attendre les urgences pour tâcher de me récupérer dans quelques uns de leur mouroir où ils me sutureraient à loisir après leurs bons vouloirs et ceux de la torture. Ils n’attendaient que ça.

Après le Mont Chauve le Mont Pelé, puis la tête, enfin, les organes, chante alouette.

Ne possédant assez d’argent pour financer avocat, seuls les Services Psychiatriques, pour ce que l’on en sait mais qui ne se dit, m’ont proposé cette protection contre ces faits, et quelques maquereaux dotés de leurs Beautés du Diable, dont celles de Le Pen. Tout autant dévoyés à tel point que cela était à les confondre. Ils faisaient police dans cette région. Et ils la font encore jusqu’à la fraude préélectorale, de tant voter le fusil dans les côtes, ou le dos. Si l’on ne meurt ici dans ces périodes de campagne, criblé de ce genre de balles, tant les gens en étaient réduits de ce système à faire police et justice par eux même. A moins que cela ne fusse de leur propre engagement, s’armant en milices et brigades. Ceux qui tombent décrits handicapés. Ce n’était pas que de la psychologie médicale, ce qui les attendait. N’emportez le cerveau, de cette guerre.

qui pèse surla maturité, la sénilité, la prime enfance, et impot dela jeunesse, rite initiatique de l'adolescence, sévit dans les lits et les familles Surtaxe inquisitrice aussi naturelle qu'une imposition religieuse.

Retour à la niche, hein, le Dogue. Ave les mastiffs, dorés d'un bon allez, d'un bon ne vous en faites pas aussi. l'esprit critique un état critique de l'esprit,une maladie grave de l'idée. entre parents, Tontons, l'oncle et la tante,un peu mous. L'obnubilé d'obnubilateurs par obstruction, quand l'on ne vous récite, au cours de ces procédures à contumax criées aux fenêtres, pas exactement que la bible. Votre nom patronymique d'origine étrangère bien étrange, bizarrerie propre aux schizophrènes.

Jeu du fourmilion, position qu’ils adoptent, m’en accusant depuis des ans. Ils vous bouffent vivant en demandant pardon à la nature, de tant vivre de leur objet de consommation et désirs de nuire. Le poids des chrétiens en France.

Certains auraient bien aimé pouvoir m’enlever un nerf de la jambe à l’aide d’un trépan, pour la sciatique du Père. Et le laisser traîner dans la cuisine, pour que l’on y mette le pied dessus.

Qu’ils ne me reviennent dessus à tant cogner jusqu’à la douleur profonde uniquement pour faire prendre des antalgiques. Histoire de vous faire prendre quelque traitement qu’ils pourraient apparenter au leur, pour calmer leur insatisfaction de devoir se calmer de médications. Des soins médicaux palliatifs que je dois m’infliger, pas toujours inscrits dans les dossiers sous la bonne formulation, en principe pris pour neuroleptiques que je devrais prendre sous forme de cachets. Question de formulation, je possède encore les miennes, dans les zones des méninges.

Torture. Autant que matons et infirmiers aidés de médecins de ces départements l’ont infligée à des patients de leur secteur, jusqu’au décès parfois de malades qui leurs sont encore confiés. A vouloir me mater, et m’acclimater à cette violence qui est faite à certains patients, afin que je n’en dénonce rien de ces pratiques d’assassinat, dites euthanasies, pratiquées en douce. La mort violente en fait. Ne filtrant que des éléments perturbateurs à très dangereux pour le laxisme envers eux des autorités médicales qui ne les arrêtent, les laissant en semi-liberté sous suivis dans des appartements non forcément thérapeutiques, dignes de Trieste.

Affaire qu’Ils auront voulu me faire taire, plus qu’un peu, de tant briguer le combat.

La psychanalyse fait partie intégrante en Occident et actuellement en France du système de répression étatique par la torture d’Etat qui consiste à individualiser des phénomènes et problèmes de la société, à les intimiser dans chaque individu pour les lui déclarer problème dûs à sa raison défaillante à une invasion de son subconscient quand il n’est soumis en fait qu’au subconscient collectif.

Certaines sociétés ne connaissent l’Œdipe et n’en souffrent. Quand la religion ne fait en fait que régner et ne mène à rien, sauf au dilemme de Salman Roujdi, auteur des Versets Sataniques, dilemme dont chaque écrivain aujourd’hui doit affronter la machine de guerre de la répression et par là même de la torture étatique qui le place dans le même sort que cet auteur, actuellement menacé de mort, tant chaque état d’occident possède une médecine tout autant d’état intégriste déjà à son propre pouvoir.

D’autant plus nazi que les Lepénistes, l’extrême droite fasciste, ne respectent en rien le Code Civil, ni ne le reconnaissent sinon pour tout ce qu’il peut défendre d’eux. Ce qui déteint sur la Justice et la politique, la répression entière, la Police en faisant partie... Jusqu’à la perte pour le dit schizophrène de ses moyens et facultés, autre symptôme de la maladie.

Forme de négationnisme révisionniste de la psychiatrie envers ses faits, gestes médicaux et actes, son usage libre, librement consenti et légal de la torture. Qui si elle n’est librement imposée par autrui lui est infligée jusqu’au décès, technique de l’armée française en Algérie, qui a fait école à l’étranger.

A tel point qu’ils, ces Services Spéciaux, autrement dit nationaux, prennent un peu trop le relai de la Défense nationale dans certains cas de litige. Révisionnistes des propres exactions et scènes de violences, procès procéduriers qu’ils infligent pour régner, encore et encore.

Affaire de violences étatiques et de torture sur journalistes prisonniers politiques, désormais, sur écrivains, dans le même cas de patience. Une France Magrébine peut-être oui, mais jusques dans les mœurs de ses autorités, aux tortures du bled, c’est à discuter sinon à débattre, surtout envers mon cas… Pas uniquement de la neurochirurgie réparatrice. Mon père, ma famille entière, auront cru être seulement faire un peu dans le spécial.

Au fait, peut-être un de ces jours les travailleurs turcs viendront remplacer les travailleurs magrébins, tant ces derniers de la France en seront repartis écœurés. Quand à ce le Pen qui regrette tant la Guerre d’Algérie, il faudra le rapatrier dans sa Grande Allemagne et son camp de Travail à mirador, ou asile politique, s’il la reconnait toujours son pays d’origine, à tant prendre et il s’y adonne toujours autant, les intellectuels au nom étranger pour des travailleurs immigrés. Sans papiers. Pigé dans les piges, l’on se demandait pourquoi autant de disparitions de médias, les autres menacés de disparaitre. Phénomène sélectif de la libre concurrence, psychiatrisé, entretenu par la répression psychiatrique, devenue arme de la dite libre concurrence. De tant torturer corps, épaules sternum et seins du feu et du fer rouge. Ceci dit, pour un décolleté. A damner jusqu’au trou de balle.

Mon image personnelle représentant tellement la gauche plurielle auprès de ces gens qui me fichent dans leurs départements psychiatriques, que j’ai eu droit à leurs parties de matraquages et de ravaudage, quand bien même il n’aurait fallu les remarquer. Je l’aurais seulement signalé verbalement, sans résumer ces pages, j’aurais simplement eu droit à ce que certains dénomment en patois médical une diarrhée verbale. Fichée pour folie dangereuse jusqu’à la légitime défense, s’ils ne souhaitent qu’une défense légitime, face à de telles exactions. Prolongées jusqu’à être la torture véritable. Ne croire que je ne sois qu’à la quête du plaisir. Je tiens à ma présence d’esprit.

Parce que femme seule sans fin, jusqu’à la solitude à deux, puis à trois, etc.

Epingle fichée dans la glande pinéale, toujours la glande pinéale, gros coups portés au thalamus dans l’intérieur du cerveau sous implants comme à coups de talons dans le crâne, dès qu’ils s’emportent et vous emportent le crâne. Avec en tête l’esprit de vous envoyer vous réfugier à l’asile, de fous, sous peine de mort très ségrégative si vous n’obéissez au doigt et à l’œil de ce qu’ils exigeaient. Tout à faire sous peine de mort, jusqu’à la colère sacrée. Simplifions, simplifions, de tant vous faire signe, de leurs engins, ils vous emporteraient la tête et les dents avec.

De schizophrène, schizophrène, pour l’antipsychiatrie que je soutiens.

Je vais creuser profond pour vous, pas uniquement dans le sens de la psychanalyse.

Massacrer, matraquer à ce point des civils, cause certaine leur engagement idéologique, personnes encore civiles, malgré les coups, fractures et provocations incessantes, quel progrès de la médecine, quelle méthode arrangeante aussi bien de bien se faire arranger le portrait, jusqu’à l’ouverture de crâne. Cela a toujours été. Et sera encore demain si personne n’ose ne serait-ce qu’adopter cette cause que je défends depuis des décennies, ce qui m’a valu les évènements cités dans ces écrits. Aussi étrangement que cela puisse paraitre, parce que les idées étranges ou bizarres, l’on connait, schizophrénie. Il fallait de plus en rire pour se faire dire paranoïaque à vie. Et ne point rire trop longtemps.

Autant pour un black ou un arabe faire un procès à l’Etat. Il n’a fallu pour eux que la charité de la religion. Parler sexualité étant signe d’oligophrénie. C’était déjà la France des Mensonges, de Declozet, si je me souviens bien, que fallait-il tant faire de plus.

Vous ne trouvez pas que lorsqu’on arrache les dents à un schizophrène à coups de marrons dans la poire, il a des gencives de nouveau-né, ensuite ? Manqueraient quelques visites d’Amnesty International dans ces hôpitaux, psychiatriques, de l’Occident et de la terre entière. Organisation qui n’intervient en France que très peu apparemment, tant ce pays les fait fuir et rend impossible tout contrôle de leur part. Apparemment.

Non mais dites, il ne fallait en vivre que comme des Camisards.

La Médecine française soigne surtout les opinions, selon les siennes. A coups de massue. Dans les centres nerveux de la cognition et ceux dits « de la réalité », chez ses opposants. Il y en a eu de toutes sortes. Amputent, suppléent au manque par la prothésis sociale. Prosélytisme de partis aux idées fixes. Et il en existe de toutes sortes. Tout autant que de médecins. Jusqu’aux déboires de leurs dissidents, dieu sait s’il en existe, ce qui se soigne, avec les déboires.

Quand vous travaillez depuis des semaines sur un texte rédigé à part dans votre ordi pour ne point fatiguer sa mémoire car texte du livre dans lequel il doit être inclus trop long donc trop saturant pour le dit ordi quand il enregistre, certains en concluent que vous écrivez une lettre d’inconscience à la Présidence et devez vous faire opérer en tant qu’objecteur de conscience du système de pensée déjà établi, vous terroriste, à ficher sous l’égide de la police, via vos mouchards. Bref, schizophrène.

Lettre à la Présidence, préjugés psychiatriques de fascistes, que ceux de considérer sous de telles ignominies n’importe quel intellectuel de gauche à le faire prendre pour attardé. Usant idem de même ma rébellion contre ces pouvoirs.

Je n’ai réussi à le rédiger que de peu. De ma plume, je fais peu à travers les pales de l‘hélice, en autres termes d’aviation civile, je tire aussi à vue. Contrainte au personnalisme, à force d’affaires détentrices de ma vie, de ma personne. Le socialisme du non considéré en France être le social nationalisme par le communisme psychiatrique.

Je me demandais aussi quel soutient psychologique, sous quelle contrainte médicale, je méritais.

Après leurs Soins, de type paramilitaire dans la région, c’est le miracle de la Résurrection. Ressuscitation chez les pauvres dames. Là du moins je ne manquerai de clarté d’esprit.

Je n’aurais fait que réciter ce livre en guise d’argument contre ces soins et suivis, internements et fraudes, le délire logorrhéique aurait été déclaré.

J'attends vraiment réponse à mes questionnements, ne parcourant qu'un chemin initiatique en questionnements philosophiques, mon ouvrage Judas, ne se contentant en fait que d'un raisonnement scientifique, la philosophie une science, et oui, questionnement sur l'éthique et la déontologie des sciences nouvelles, dont surtout la psychiatrie, vieille ressource totalitaire de l'état pour éliminer les problèmes de rébellion à son action.

Mon discours étant surtout celui du chercheur solitaire en sciences humaines qui s'intéresse de près à l'usage que l'État et sa population font de la médecine, sur ce qu'elle peut représenter à nos yeux, et l'usage que l'on devrait en faire et revendiquer plus que un regard sur le fait divers purement journalistique, bien que mon acte de réflexion rejoigne l'acte journalistique pur et simple, ouf, ce que je souhaite par ailleurs, en plus quelque part, de l'action pour ce qui est des victimes de la science, d'une action de justicier redresseur de torts. Assurer un contre-pouvoir à une médecine totalitaire d'État. Et ses rêves, ses espoirs, ses doutes. Contre-pouvoirs et pensée. Vietnamisation en cours de la France.

Tenter de sensibiliser au problème de la torture médicale occidentale, qui à mon avis, le monde à l'école de l'occident et de la France, risque de se reproduire à l'étranger, si déjà elle n'existe, et préexiste sous des formes peut-être limitées mais très douloureuses, en France également...

Convaincue que sous ces formes la torture médicale et psychiatrique se pratique dans la confection de prisonniers d'opinions ou de conscience, j'estime que l'alerte devait être donnée, excusez du peu.

C’étaient, les Miracles de la Science, et de la Médecine.

Jusqu’à la mutilation grave. Manipulations. Fraude étatique ou médicale que la Psychiatrie.

Quand prévenir vaut mieux que guérir.

Problème français du manque sanitaire de prévention envers les maladies sociales.

Z’avez pas vu comm’ils la font, leur prévention sociale ? Dixit l’idiot du village.

A chaque couple ses épreuves.

Texte à freux.

Bigre.

Souvenez-vous.

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