dimanche 7 juin 2009

PETIT MÉMO, MÉGÈRES ET ACOLYTES : LEURS DERNIÈRES VOLONTÉS, PROLOGUE

Line LLAO


JUDAS, LUCARNES ET ŒILLETONS,

MÉGÈRES Ou Le baiser de Judas

Tome 1, Mémoires vives, journal d’une crise

Version 45 du 07-11-2008

Table des matières :

Tome 1 : Mémoires vives, journal d’une crise

Préface :

1: Petit mémo, mégères et acolytes : leurs dernières volontés, prologue

2: Psychanalyse de la situation

3: Fantasmes, ou le Mythe, petit historique

4: Mémoires vives, journal d’une crise

5: Judas

6: Aujourd’hui

7: Sombre nature

Tome 2 : Bonbons à la fraise

8: Bonbons à la fraise,

9: Suite

10: Soupes de cachets, dans le café, et soupes-au-lait, notice explicative

11: Autre aujourd’hui

12: Un libéralisme économique, l’hôpital de pointe

13: Fruits du pêcher

14: Entre autres

15: Les origines d’une Médecine Hidalgo

16: Générations sacrifiées

17: Fesses à Marie, culs bénis et culs punis

Tome 3 : Rêver de vous à vous cogner, cochon 19 ou le cri de la Folle

18: Rêver de vous à vous cogner, vermines, morpions de culs et poux de têtes

19: La voix des sirènes

20 : Le chant des hippopotames, les aiguilles,

21 : contre-chant, même seringue

22 : Frappe chirurgicale, chirurgie expérimentale

24: Cochon 9, cochon 19 ou le cri de la Folle, petite apologie du pire, la camora

25 : Guerre des nerfs

26 : Histoire de plaire

27: Vices cachés, texte Ghor

PETIT MÉMO, MÉGÈRES ET ACOLYTES : LEURS DERNIÈRES VOLONTÉS, PROLOGUE

Il fallait être d'accord avec le médecin et Dieu le père comme par Raison d'Etat (création du Médecin et de la Médecine Psychiatrique d’Etat-Raison d'État).

Pour savoir si elle possède la Raison, soupesée continuelle de la qualité de la conscience, de l'intelligence de la femme libérée pour ses pensées libertaires, rejugée ainsi que prévenue, conçue prostituée dite femme libre par des fanatiques d'un Ku Klux Klan à la Française, des fanatiques d'une exhumation du S.A.C. faisant partie de l'entourage. Ceci pratiqué, soutenu par les mégères de quartier, leurs sympathisants, des passionnés houligans de la torture américaine, de la torture médicalisée. Antiquement contre-révolutionnaires et résolument hyper-conformistes.

Soutenus par des pères fouettards, mères maquerelles, mères sacrifice Immaculées Conception, Dames de Fer grandes Folcoches, Génitrix, pères endeuillés du Grand Mal de leur malade enfant prodigue plutôt qu’à leurs yeux prodige, parents assez matons pour dénigrer les faits de la torture, ceux de la torture médicalisée, dans un révisionnisme de bon aloi, emploient la menace d’internement, les électrodes et le Soin psychiatrique. La politique du Haut Mal Moyenâgeux. Du feu, du fer, le pouvoir des armes, le pouvoir de durcir la guerre par les armes d'une politique expérimentale fascisante propre à la médecine et aux hôpitaux. Qui sensibilisent des familles propices à cette morale de camps d’internement. (Psychiatrie lourde, gros traitements, longs internements, hospitalisations d'office en hôpitaux, à domicile à vie (le plus souvent non déclarées), dispensant des soins officieux, méthodes de répression étatique déclarées publiquement soins).

Dénigrement de l'intelligence de la fille, de la femme ainsi que du gauchiste-né à la racine, de jeunes gens émancipés déclarés publiquement et en petit comité en état critique de démence précoce, prémisse de la schizophrénie, si portés sur la critique, la contestation iconoclaste, dès le plus jeune âge de leurs facultés, à la moindre prise de conscience. Diagnostic de cet état critique sur tout contestataire de ces familles à propension vissante, envers tout parent proche contraire aux actes de revanche de fanatiques du bordel fasciste, menés par l'intervention psychiatrique et le Soin.

Royalistes plus que le roi, aucune Médecine ni aucun auteur de ces agissements n’accepte la critique, plus tortionnaires envers leur « déviant » qu’envers leurs anciens « poètes crottés », dans Angéliques Marquises des Anges, le Roy et le Sultan dignes des bonnes politiques-fictions monarchistes. Dans une politique de harem et de gynécée des plus déplorables.

« Ce n'est pas de toi, dis-moi » : la femme libérée considérée esprit nul, ne possédant qu'une intelligence au moindre QI que celui d'autrui. Le QI le plus respecté restant celui de la torture pas raffinée à faire douter de votre parole, promise aux surdouées, intellectuelles, enfants précoces, jeunes gens mûrs avant l'âge pour avoir trop eu à souffrir de ces sévices. Classifiés dans la folie pour ce que l’on en imagine. Lits à crins, de juifs tondus pour en faire bourrages de matelas, dans asiles psychiatriques, matelas restés depuis la deuxième guerre mondiale. L’on dormait dessus. Dit en silence. Dans celui de la bête humaine que l’on écrase.

Lutte contre le rêve d'amour, le fantasme amoureux : Le fantasme sexuel si non névrotique ni violent, concédé si uniquement impur, proxénète, homosexuel, violent, entre femmes saphiques ou gros matons. Rêve commué en cauchemar mu par l'inceste pro germanique, la loi de l'orgie répressive et publique.

Electrodes-parties de viols à tabassages, dans établissements pénitentiaires et disciplinaires peu scrupuleux, ou même de simples pavillons dont certains dits de crise, occupation, pré-occupation par ce fantasme de terrains neutres, vides mentaux pollués d’obstructions systématiques aux idées de la Gauche. Vieux fantasmes de viols issus du lumpenprolétariat qui rêve des amours petit-bourgeois, typiquement sadomasochistes tant inspirées de l’Extrême-droite et du fascisme.

Violences terrassantes recherchées dans l'acte médical sur la demande d’une clientèle créatrice de ce besoin et de besoins, afin d'obtenir une banalisation de la torture, psychiatrique, médicalisée : Recensement de tout acte médical pouvant être l'infliction, recensée dans tout domaine médical, infirmier, quotidien, autre, de sévices, actes de cruauté, barbarie, de torture banalisée suprême.

Torture sexuelle, mentale, morale, physique, intellectuelle linguistique, sémantique, causée par le Soin, le Viol thérapeutique répressif fasciste, proxénète, juste un peu Ollé, l’acte de vengeance sadique, antisémite, en guise de représailles à des attitudes de la contestation, de journaux, des libertés d'opinion contre ces faits.

La France prête à la torture dans la légalité du fait, autant qu’à l’étranger. La France torture, n’a jamais cessé de pratiquer ces méthodes. La France a un besoin viscéral de torture. La France n’est exempte de torture.

Attitude mal vécue par les masses, qui mettent des parasites dans les antennes, la Gauche mal à éradiquer dans une chasse aux sorcières incessante contre la liberté de pensée, le féminisme, l’usage du sexe féminin et de la Veuve Joyeuse, un déferlement de violences, de jugements derniers, menés contre les principes de la démocratie, de la république, de l’égalité. Lutte, guerre ou pogrom fondé sur la répression et la torture médicalisées, la torture psychiatrique, dirigé contre les défenseurs des Droits de l'Homme et du Citoyen, de la dignité humaine et de l'humanisme.

Contre les défenseurs de l’antipsychiatrie tout court, et les femmes libérées.

Lutte qui se solde à chaque régression économique, à chaque période de récession, de redressement moral, à chaque crise gouvernementale de l’Etat, de la Constitution même, par l’enrôlement forcé sous peine de graves tortures et de mort, le STO, des handicapés mentaux ou sociaux, accusés selon leurs saprophytes d’être des sous-êtres sous-humains, pour leur dit handicap, parasites de la société, quand ils ne se font parasiter par ménagères et voisinages voyeurs. Accusés, ces malades mentaux, handicapés sociaux, de ruiner la patrie de Jean-Marie « Le P.O. » en consommant gratuitement leurs revenus Cotorep, pensions CAAF, AAH, APL et d’invalidité. Gratuité de ces revenus contestée au point de faire regretter que les déments ne les gagnent par la force de coups de pieds au cul, pour leur apprendre à ne point travailler, à tant fainéanter. Leur est promis le statut de péons dans des favelas psychiatrisées.

Quand leur allocation qui devrait être de base n’est cumulée aux revenus de leur emploi, mais déduite de leurs revenus salariés, au point de disparaitre si travail à plein temps, malgré le handicap toujours décrété bien réel. Travail qu’ils sont censés fournir gratuitement à leurs frais, travail, celui qui leur est tant souhaité, recommandé, (selon la Nouvelle Constitution Européenne, chaque malade mental devra y être amené afin de trouver, mériter une place qui lui sera ainsi pratiquée dans la société, sans quoi, il ne pourra être accepté, ni défendu), donc, ils se trouvent dans la situation de travailler bénévolement, dans la plus stricte gratuité de leurs efforts, pour s’acquérir le droit à une immunité vitale. Absence de cumul des ressources qui condamne la plupart des handicapés à vivre de leurs minimas sociaux seulement car travailler pour rien dans la gratuité des soins... Si on ne leur prend le droit au travail pour de l’ergothérapie. Oppressions, pressions décrétées maladie mentale. Humanoïd’s schizoïdes en celluloïd au Zanoïd bizaroïd’.


Stakhanovisme particulier à refilage de briques chaudes qui ne leur est pardonné mais qui leur est condamné pour mains brulées, dans le cerveau, abandon de poste et grave erreur de raisonnement.

La divergence d'opinion, le simple désaccord avec le père de famille, la mère, un parent, un ascendant un tiers ou la morale en cours, jugés grave actes de démence parce qu’en délit d’opinion. Le célibat voué au diagnostic de maladie mentale gravissime car ayant recours au plaisir solitaire, péché mortel tabou selon la religion quand elle règne en morale occulte, péché puni de la mort violente, de l’exécution sommaire sinon de l’internement à vie sous la torture. Jusqu’au décès, le plus souvent de mort improbable et prématurée. Asiles psychiatriques. Quand on n’en sort que du bon coté des barricades.

La masturbation chez les enfants, le petit plaisir amoureux seul ou à deux, le plaisir solitaire chez l'adulte ou l'adolescent, décrétés actes terroristes, folie dangereuse, arriération mentale, tout comme le rêve d'amour pacifiste car grevés pour leurs prémisses d’humanité. A grever de terrorisme plus qu’intellectuel et du mythe de la Terreur.

La rêverie chez les poètes…

La liberté de pensée jugée elle autant mal à éradiquer à la racine, par la loi de la torture chimique, des électrodes du trépan, de la trépanation, la déclaration de rhizome psychotique, schizophrène, suivie d’excision de morceaux de cerveau et de nerfs au beef attenants.

La liberté de pensée décrétée gêne publique nuisible pour autrui si simple cause de déplaisir. Loi dans ce cas, cautionnant l’intolérance, celle du geste médical neurologique, neurochirurgical, grave ou bénin, l'internement sinon le soin à vie tant répété, dans la piété mensongère du Placement d'Office sur délation mensongère, antisémite, obtenu par le harcèlement délateur auprès des services médicaux, parfois, des relations et univers familiaux. Aux déliriums de substrats sociaux, entre autres choses, décrétés les miens, quand je n’osais les répéter.

Délation à outrance outrancière grotesque, tant grossière, obscène, obsessionnelle, ponctuée de torture mentale et physique, précédée, suivie d’internements abusifs officieux non déclarés, pratiqués au domicile de la personne.

Trips Mussoliniens de type « 1900 » (le film), véhiculés par corbeaux de contact (voisinages, proches, employeurs, personnels médicaux).

Terrorisme, intellectuel y compris : « Je lui veux du chou blanc pour qu'elle pète dans son beau cul blond », « la blesser dans son beau corps », violences de la torture systématique sémantique morale physique et sexuelle qu’utilisent les oppresseurs de quartiers quand ils font appel au soin infirmier pour mieux régner. Le ragot, l'orgie publique de soins humiliants, dégradants pour la dignité humaine la vie, la santé. Des parties de représailles contre le délit d’opinion, basées sur l'opération du cerveau, pratiquées au domicile ou pas, selon les soins, s'ils sont préventifs, déclarés ou pas. Cerveaux atrophiés de courants, microcéphales d’un hémisphère cérébral parfois seulement ou bien entièrement, chairs dévitalisées par l’électricité. Squelettes ambulants, déglingués. Parfois très enflés, patients obèses bouffis de médicaments, au crâne conique et tronqué aztèque, en forme de poire. Système systématisé de la torture.

Surveillance psychiatrique d’obédience communiste, d’origine trotskiste, NPD apparemment et non pas SPD essentiellement, contrôle médicalisé au fascisme pis que national-socialisme allemand, contrôle fliquant de type maoïste infligé sur tout élément contrariant, contraire ou réfractaire à la campagne de dévotion d'extrême droite envers la religion et le fascisme. Suspicion raciste systématique envers tout être fiché dans les secteurs psychiatriques, automatiquement suspect autant qu’immigré, c’est toujours à lui à Rachid (tout individu fiché dans les secteurs psychiatriques étant à priori français, de race blanche, de sexe féminin donc suspect, tout autre individu de race de couleur et/ou étranger finissant automatiquement en prison pour les mêmes délits et faits, à croire que l’internement est un régime de faveur).

La schizophrénie ne touchant surtout que la population de type mâle, les femmes concernées par la psychiatrie étaient, sont surtout masculines, garçons manqués, homosexuelles, émancipées. Cf. la Psychologie des foules, de Gustave Le Bon (1895), concernant les femmes et les enfants, déclarés, traités en races inférieures, propres et propices à la manipulation, certainement parce que peu cultivées, peu scolarisées ou bien trop intellectuelles et cultivées pour le commun des mortels et celui de leur « race ».

Schizophrène, autre terme, inauguré par Bleuler, désignant les prisonniers d’opinion, depuis l’apparition en 1911 de ce mot dans la terminologie psychiatrique, en vigueur sous la III°, IV°, et V° République, préexistant depuis peut-être en fait la I° Internationale communiste, la détermination et naissance de l’anarchie (fin XIX° siècle), celle de la SFIO (1905).

Ces cas de prisonniers politiques étaient ceux-là dit je crois des incurables, avec ceux des premiers syndicalistes, après la Révolution (loi Chapelier de juin 1791). L’absinthe, très prisée, et l’opium, diffusé par comptoirs coloniaux nationaux de l’époque dont celui de Marseille, firent des ravages décimants dans ces milieux du temps de Degas, Renoir. De nos jours les mouvements politiques, cercles éclairés du syndicalisme et de l’art tombent avec les artistes, l’intelligentsia, dans l’alcool, les drogues le plus souvent dures, d’où la prolifération de cas signalés de démence et surtout de schizophrénie dans ces classes. La tradition du mot, du diagnostic de démence, surtout celui de schizophrénie en ce qui concerne la dissidence dans les milieux émancipés, érudits éclairés clairvoyants ou lettrés est restée. La bourgeoisie en a fait son arme favorite de lutte de classe, chaque parti se renvoyant la balle en ce qui peut concerner les éléments discordants aux arguments les plus gênants.

L’histoire de la psychiatrie, d’origine allemande avec Freud, débute véritablement dans ces périodes là, 1900, avec la montée du fascisme, médecine détournée de son vrai but pour résoudre les problèmes et conflits sociaux des populations sans intéresser ni dénoncer les pouvoirs qui les contraignent, ramenant la source même des conflits étatiques, sociaux, à la cellule familiale fasciste ou pétainiste. La psychiatrie n’a concerné l’Etat que pour en réclamer argent et subventions, autorité et pouvoir.

Jung, d’origine allemande ne l’oublions pas, fonda en 1905 son école, dont l’idéologie pronazie antisémite collaboratrice des nazis se greffa en Grande-Bretagne, Italie, aux Etats-Unis, au Brésil, en Argentine, pays de dictatures auxquelles il a contribué, son autorité en matière de médecine faisant foi. Contribuant à l’exercice de la torture, surtout dans ces pays là, dans toute politique surtout familiale adepte de ces principes.

Le culte de l'être suprême, en l'occurrence ici les canons de la mégère et du blaireau prolétaire bien ribauds, devant être de soi-même intimisé, faire partie du Moi-je pour tous, culte pour le gros, le maton et le porno, devenu une forme de paranoïa mégalomane revendiquée par des histrions de la plèbe issue de ces pouvoirs absolus. Paranoïa décrétée propre au cerveau de leurs résistants.

Usage dans tout pays surtout occidental et en France même, de la torture psychiatrique, médicalisée, médiévaliste, actes graves de propagande auprès des services médicaux destinée à lancer une opération de banalisation de la torture, campagne d’assouvissement des mauvaises mœurs, de lutte pour l’abrutissement intellectuel, l’obscurantisme religieux et la propagande nazie, campagne pour l’internement de tout contestataire réfractaire même pacifique à cette loi. Contrôle populiste psychiatrisé dirigé à boulets rouges sur des intellectuels de gauche.

Poètes, surtout visionnaires, vous hallucinez.

Panurgistes qui préfèrent le bon Aryen qui pense Aryen après le suppôt-sitoire de Satan pour l’énergumène.

Infliction du pouvoir absolu de la torture psychiatrique dans une tentative de fédération des pouvoirs de multiples dictatures. Tabassages, le plus souvent au poste à soudure médicalisé, quasi constants, le plus souvent jusqu’au décès prématuré, seule issue qu’oppose ce régime répressif, passage à la gégène des cerveaux et des corps dissidents.

Correction des fautes de français dans les familles à gros coups de poing, internements à électrodes. Obstruction mentale par exactions, violences verbales et physiques, incitations à la violence antisémite.

Cachets, potions, baves glaires, mixtures, introduits dans cafés, boissons, par rats d’hôtel, avec la complicité de l’ami ou du conjoint, de l’amie ou de la conjointe. De parents, à vous en laisser un goût pour la paranoïa à vie. Solians en gouttes trouvés dans bouteilles d’eau, minérale jusqu’au météorisme, jusqu’au gros coup de chaleur à douleurs cuisantes à devenir éreutophobe, coups de chaud chez des éméchés de cela échauffés d’insurrection, éméchés à s’en faire tirer du nez des mèches et nouilles longues comme le bras, à damner la terre entière pour ce fait-là. Bien banane de cela. Des clous pour qu’on le soit.

Lutte contre l'odeur intime du plaisir sensuel, des pollutions féminines, du plaisir en général si odeur saine, non véreuse ni entachée des souillures du proxénétisme, de la prostitution (odeur de saleté, de maladies vénériennes).

Le lysisme librement imposé par les masses poussant à l’abstinence, les pollutions de l’homme et de la femme apparaissent, taboues, dont il faudrait être fiers, dont l’origine est le plus souvent la frustration sexuelle, le manque de rapport en temps voulu ainsi que l’impose le malthusianisme des harpies de HLM.

La masturbation, le plaisir onanique ou plaisir solitaire dans les masses, sinon déterminant d'une appartenance gauchiste, strictement soumis à des interdits sociaux diffamants et discriminatoires issus de la religion, répressé des organes sociaux et administratifs de la psychiatrie, cause en France encore actuellement d'internements et suivis à vie. En butte aux sarcasmes et quolibets de la foule, vécu d pour ses défenseurs, de repris de justice-Christs surveillés en bêtes curieuses féroces lynchées des violences à domicile entre particuliers, au paradis des animaux, de quelque bord qu'ils fussent, usant des principes de l'extrême droite et du placement d'office s'il faut en arriver à cela. La France courant à l'immobilisme social sous cet adage là, de ne pas se toucher.

La masturbation préférée avec insistance sinon obligatoire, à plusieurs, avec pénétration ou pas, en bute aux charivaris cause de violences extrême aboutissant à l'hospitalisation, le suivi médical à vie et la psychiatrisation lourde à outrance, la masturbation laissant stérile car sans fécondation possible, violences psychiatrisées liées à l'hystérie collective et sociale autour de ce phénomène, del a reproduction de la femme émancipée en butte à cet interdit, promise à la stérilisation forcée psychiatrique, mastrubation-phénomène, en fait acte sexuel réduit par tous procédés réducteurs au fait de la masturbation anale chez les prostituées, pouvant aboutir au décès sous les tortures infligées, des victimes, signifié suicide, en fait, suicide de ce heurter à cet interdit-là, qui date de la création de l'humanité et a sévi sous l'Inquisition.

Cause de déviances objets des faits divers si aboutissant à crimes, crimes commis dus à ces déviances, objets de et prétextes à la politique de répression de Sarkozy, usant de la peur du gendarme et du psy jusques dans les lits des familles et des couples,dans le slip de chaque français, sur le modèle de politique de terreur de Malthus, récupéré des extrémismes populistes. Militer à cette encontre étant un militantisme suicidaire

Pratique rituelle de la torture (sous le prétexte du devoir prétendu de l'amour et de la sexualité hétérogène chez tout individu) sur les individus émancipés de la société française pour cette cause du plaisir solitaire, pratique de son interdit (cause de l'obésité en France et dans le monde) aux méthodes très pérennes, excessives et répressives aussi connue et maintenue taboue et tue mais sue que l'excision des femmes en Égypte. La femme pour cet usage libre et non soumis à l'obligation, de son sexe, vécue petite fille. donc dépourvue autant qu'enfant de conscience, de la Raison, de la Raison d'État donc, et donc folle, à traiter des mesures très répressives et tortionnaires de la Raison d'Etat. Équivalent dans la population masculine. Obligée elle à rester population maculine, ou maculée de ses maculations.

Le cryptage du langage subliminal subconscient et conscient du corps sexué en fonction de cet interdit chez lHomme social de nos jours en occident et dans le monde, nerf de la guerre du fonctionnement capitaliste,lié aux fortes pressions mentales et physiques régnant, propagées par la religione les rites sociaux, aboutissant à la maladie et rites de la barbarie humaine, inhumaine en fait, je décrypte, ne laissant de l'Homme que l'inhumain.

Malthus étant, je le rappelle, une politique de régulation des naissances, antithétique avec une politique nataliste, donc qui n »’aurait dû être en contradiction avec le plaisir solitaire individuel et la masturbation dans le couple. J’accorde une dimension hétérogène du terme de masturbation, à deux partenaires au minimum. Les termes de plaisir onanique ou solitaire, plaisir fondamental et liberté fondamentale instinct de survie de l’animal que l’homme se refuse, plaçant sa culture au dessus de celle de l’animal, réservés au plaisir individuel, onirique, envers une personne ou non objet de convoitise amoureuse, sexuelle ou de plaisir sexuel, ce type de plaisir usité aussi dans le phénomène social des prémisses de la rencontre et la rencontre entre deux partenaires ou futurs partenaires. Ou flirt un peu poussé, pour les mal léchés.qui trouvent que c’est un mal.

Plaisir refusé d’une façon ou d’une autre par parents, familles entières à leur rejetons, pour une projection de l’Oedipe que font ces parents, familles, à l’encontre de cette progéniture, castrée sans complexe apparent, de la castration œdipienne pure, des plaisirs de son âge. Ces enfants prédisposés depuis leur plus jeune âge à la psychiatrie qui, se trompant la plupart du temps de victime à choisir, devrait plus soigner la famille que cette enfance maltraitée. Il aurait fallu commencer par là.

L'interdit inavoué envers cette forme de plaisir, pris, délibérément, pour paranoïa des victimes de cet interdit. L'information, la litérature en ce cas médecine plus que soin.

L’Art en soi une médication supplémentaire, si l’art sûr en lui-même d’apporter une information saine, malsain, il peut s’avérer utile, informatif sur les déviances et les barbaries de l’être humain

La partie fine, orgie ou partouze une déviance sociale de la sexualité, le plaisir onanique lui, un acte naturel. Certains voyant en l’orgie une moindre déviance que dans la masturbation, en raison de l’hétérogénéité, privilégiée en cette société, dans l’orgie. L’esprit chevaleresque et la Beauté de l’Amour, attribuée plutôt par préférence à la partouze, se perdant en ce siècle.

La philosophie s'intéressant à la Science, quand elle commence par pour le philosophe par se prendre toute une vie des coups de matraque bien appliqués sur la tête, finit par considérer que le problème de la matraque est digne d’intérêt, matraque électrique ou pas.

L’être humain, privé de cet instinct de survie animal propre à la bête humaine, perd toute lucidité, toute force intérieure, périclite et meurt, la force de sa pensée privée de la méditation transcendantale qui l’assure, retrouvée dans quelques religions sur terre. Laissez la part à l’animal qu’est l’homme.

La pensée n’étant le propre de l’homme mais aussi de l’espèce animale, dont il est, toute espèce même végétale, la nature en soi, possédant sa forme propre de pensée, conscience universelle et variant avec les espèces, formes de la nature. Qui doit autant que l’être humain inspirer le respect, que l’homme ne possède envers lui.


Je dois en quelque sorte fournir la définition philosophique qui à mon avis convient le mieux à ces mots, cause de complexes très aversifs et de blocages dans la société. Terme masturbation et son concept de plaisir, soulagement et acte naturel ressurgi dans les années précédant et post mai 68. Les femmes de cette époques et militantes de ce mouvement s’étant heurté au machisme avéré de leurs compagnons révolutionnaires, qui ne l’oublions, sont issus de la branche phalangiste stakhanoviste surtout stalinienne et prosoviétique, branche fasciste du communisme révolutionnaire, grande bataille de cette époque concernant le plaisir et le plaisir à deux, bataille perdue. Faction dure très répressive de la gauche qui a jeté le discrédit sur les évènements.

J’ai l’ouïe fine et je cours vite.



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Actes de lynchage de commères, d’affreux jojos dans le devoir séculier de réduire l’activité sexuelle des couples au besoin de se reproduire, dans la plus stricte pornographie, sous leurs bruits de bottes, selon les préceptes de la religion. Le carcan imposé de la mégère. Cas pris pour exemples même exemplaires de rédemption par la torture. Cas destinés à intimider la population, prioritaires pour la ré-hospitalisation.

Lutte contre la pudeur, la dignité, la pureté dans l’amour ainsi que contre le naturel et la normalité, la normalité de l’amour propre (surestimation du moi, esprit supérieur de chacun, orgueil démesuré, vice et obsessionnalisation de l’idée de persécution, tendance à la névrose obsessionnelle, obstruction par l’acte de persécution).

Modèle canon de beauté : le beauf, la commère, l’évaporée, les pète sec sadiques, le modèle pan germanique.

Lutte de type secte pour l’acculement au suicide, à l’acte de violence, de démence ou de forcené, incitations répétées par l’insulte nargatoire, l’infliction de soins préventifs à domicile insurmontables, non déclarés au médecin traitant habituel, qui les dit délires hallucinatoires si les faits lui sont rapportés , gavages, électrodes, viols avec violences, avec implants électriques fonctionnant sur pile ou non implantés à cet effet, sévices avec insistance, nocifs pour la santé et la vie humaine, pour la dignité et contraires à l’hygiène la plus élémentaire dont se parent tant les soignants. Apparence de soins, dégradants pour l’amour propre, devenus par leur prolongation et leur violence torture morale et physique. Digne de l’activité de sectes. Infliction de la torture reprise à titre d’attitude exemplaire de la normalité par les foules.

Offenses, provocations faisant allusion à la santé mentale de l’individu libre de gauche, envies de salir sa réputation ainsi que profanation de ses idées comme de sa personne. Quitte à le pousser au délit. Au crime par self-défense et légitime défense.

Assimilation de la liberté de pensée à la maladie mentale gravissime, pour tout défenseur de cette liberté enfermé si non entravé par quelque maladie, physique ou non dont il sera tenu, dont il mourra, qui lui sera un handicap aliénant pour ses droits et libertés, lui privé de son droit de réponse sous l’acte inquisiteur de la surveillance médicale. Sinon doré ou dorée au soleil de l’innocence (sexuelle) de ne point se toucher, très conseillée, tenu pour condamné tout athée non adonné au vice, quelque vice caché que ce soit, l’ignorance. L’alcool, la drogue, la corruption, l’esprit dictatorial, sinon franchement communiste ou d’extrême droite, l’on peut bien être un illuminé dans ces cas, mais modéré seulement si libertaire et non dictatorial, tout être gauchiste assimilé au communisme, au pourrissement d’un certain socialisme, individu traité si pur, incorruptible et impénétrable, en extrémiste étranger (de Camus, que je dois relire). Dans l’esprit de punir et salir encore.

Par acte de profanation, forcent par l’infliction de soins anticipés à l’enfermement officiel à subir, dans des actes détériorants pour la santé et la vie, cuisants d’humiliation dans le but d’inciter à la confusion mentale tant inhumains, insupportables, de les déclarer hallucinations, à délire sous-ja- cent.

A titre d’exemple, pour avoir eu cité les carnets d’Amnesty International, et être revenue du bureau de presse dossiers du Monde Diplomatique sous le bras en sus de l’hebdomadaire Le Canard Enchainé, j’eu le droit de subir les représentations mentales que pouvaient se faire in vivo à mon domicile, les équipes tenues de me punir pour mes vues de l’esprit, alertées par un voisinage tout aussi compréhensif. Dans ce cas là, j’eu droit aux interprétations en tous genres et fantaisies sérieuses qu’ils pouvaient s’imaginer sur les prisonniers d’opinion. Décrit dans le livre. Début des évènements.

A vous mettre l’arrière du crâne comme la tête d’une cabote, ou d’un rouget, de l’Isle, pour les non initiés.

Me faisant porter depuis l’enfance la croix de parents, amis, connaissances, relations, étudiants. Eux-mêmes voulant m’interner ensuite. Sous la dénomination par mon Père de « ver porte-bois », mon profil ne correspondant certainement au profil front en pente de l’oncle dit par la caricature anthropomorphiste illustrée concernant les juifs «de schizophrène», oncle aux cheveux noirs pourtant actif.

Moi-même déclarée « faciès » selon le Père dès la moindre de mes fatigues intellectuelles.

Tentatives répétées de rétablir le régime de Vichy et du KGB réunis en usant de l’hôpital psychiatrique ainsi que d’une force de frappe répressive dans le combat contre l’égalité des droits et le respect de la démocratie, viols de la vie privée dits privautés, violations incessantes de domicile, droits de visites incognitos à fantomatiques dans appartements-maisons hantées d’intervenants jouant les revenants et les hommes invisibles, commettant les violences précitées sans que le ou les habitants du dit-logements ne puissent les apercevoir, assimilation de la situation des victimes ciblées à la psychose, si les faits rapportés. Appartements électrifiés jusqu’au lit où il ne fait pas bon moisir mourir ni dormir. Dodo. Jusqu’à aller se réfugier en courant chez voisin ami ou asile psy’, à n’y vivre qu’entre nouille et purée.

Prises électriques sans la masse ni prise de terre, actionnées selon voisinages par locataire mitoyen, qui dès qu’il allume ou règle son lampadaire tue ou torture celui du dessus, quelqu’un du dessous, fait pester et entend quelque enragé dire Aïe. Et dans les familles sur trois éméchés en soigne deux. De la bricole à deux sous, toujours une histoire de plombiers. Cette fois-ci électriciens Mission Impossible, impossible de vivre en paix. Allez savoir s’il n’y avait leur camionnette en bas, avec antenne intégrée. Surveillance et écoutes. Micros de partout. Soi-disant les Renseignements Généraux. Bizarre, vous avez dit bizarre…

Ne fait pas bon vivre chez vous.

Re-décharges électriques si en criez un peu et via l’UDAF pour les frais d’électricité si trop importants, frais de soins à domicile incognito pour vous y habituer sans le dire, dénoncé par lettre de délation de corbac (elle ne paie pas son électricité), par coup de fil anonyme, ceci dument payé par le Père à ces tauliers, chèque ou virement. Vu d’avion. Attention au virage. Accrochez-vous au bastingage. Seulement décoiffant. D’où la chiasse, verbale.

J’en ai porté le chapeau, puis le casque. Ils seraient capables de vous ouvrir le crâne avec un ouvre-boîte s’il le fallait, alors une porte blindée… Vous êtes sans Raison, vous n’avez la Raison ni ne la possédez tant que vous n’êtes de la leur. Il y a des fois où la poésie, comme la politique, ce n’est pas que le vin.

Dossier médical et familial-valise diplomatique, à refiler.

Rééducation cautionnée par les autorités et services de la police qui ferment les yeux jusque dans leurs domaines d’action, ne condamnent jamais rien des exactions constatées, aggravent les cas, pour les femmes émancipées, les défenseurs de la lutte pour les droits de l’homme et du citoyen...

Pure condamnation du rêve érotique au profit d’une propagande véreuse pornographique, institution d’une quasi prostitution gratuite à domicile sous la loi du sévice parfois mortel, des sujets ciblés restitués à la médecine par la police en cas de non obéissance à la loi du viol médical incontestable, inattaquable et despotique. Qui estropie puis rapetasse.

Reniflage systématique des parties génitales pour certitude qu'il n'y a eu aucun rapport, savoir s’il faut laver l’individu en question à la moindre odeur de rapport interdit, de plaisir, sous le prétexte du viol, le plus souvent thérapeutique, sans quoi est signifiée la menace d'internement, la contrainte à l'abstinence selon les lois de certains états des USA ou la répression pure et simple par acte de punissement du péché de chair.

Par contre, selon la loi de l'infibulation, dans un but répressif, pour assouvir la soif de résolution des vices cachés dans la population, le plus souvent, existe la contrainte au rapport sexuel par ingestion forcée d'aliments aphrodisiaques :

Les oeufs, tout aliment pouvant provoquer le plaisir selon chacun, une pratique qui relève des rites autour de l’excision des femmes en Égypte et de l’attitude proxénète du public qui précède l’opération. Infibulation par implants électriques. Deus ex natura, mais ja mais Deus ex machina.

Interdiction du rapport, de la rêverie non forcément érotique surtout quand elle concerne un monde meilleur, sans l'écoute forcée des litanies divagatrices de vieilles femmes, de leurs suivants, durant leurs actes de lynchages, guides nurses chaperons des cités dans les cas de rapports forcés qu’elles infligent. Actes de satyres saphiques. A projections psychologiques de fantasmes multiples à déviants sur sujets analogons, projections parfois meurtrières.

Multiples ballets russes sorciers à but thérapeutique où l’on vous électrocute grièvement cerveau ovaires et utérus fœtus y compris surtout dans ce cas jusqu’à la stérilité voulue, sous le prétexte que cela vous fera du bien, si l’on ne vous électrocute grièvement le reste du corps sous là le prétexte de vous voir, vous apporter des croissants, des boites de thon pour votre mémoire qui flanche, victuailles que vous destinaient de vieilles décoincées qui débloquent, elles, constamment. Les schizophrènes, selon la légende, ne consomment que des boites de conserve, surtout celles, je crois, du Secours Populaire, dont vous gavent ces vieilles opiniâtres et qu’elles voudraient biens se faire rembourser, pour la peine de les avoir faites avaler, le plus souvent, contre le gré de l’opposant. Ce qui le fait dire par les personnels médicaux en question du secteur psychiatrique concerné par les démarchages de, toujours, ces vieilles qui se donnaient le devoir de le prendre en charge, encore plus anorexique que ce qu’ils pensaient

Surveillance et contrôle de tout élément contraire réfractaire à leurs criailleries antisémites revendicatrices de soins, des relations, positions sexuelles, actes de fidélité, ingérence profonde dans la vie profondément intime, bien plus que dans le malthusianisme, autant qu’avant Mai 68. Jusque dans la relation de soi à soi, position sexuelle-viol psychologique et psychosomatique (passer du bien-être à la gêne, à la haine causée par les précitées criailleries) de la population par hégémonie.

Rite d'une forme de vie en communauté primitive revendiquée par les vieilles ménagères, étudiantes en herbe et mégères se disant voyantes des pensées secrètes d'une de leurs victimes, en principe la plus rebelle.

Devoir de respect de tout citoyen envers les religions, envers la religion catholique et les lois de l’Inquisition, afin d’assurer l'obéissance aux mises en demeure de ces vieilles personnes, bigots, grenouilles de bénitiers, vieilles punaises des petits lits blancs, petits fascistes des quartiers, pas exactement des grillons doux du foyer, sympathisants du Front National en appui loyal envers les mégères qui se forment en milices chrétiennes.

Vivre comme sous les bombes.

A se demander si dans la belle pomme il n’y avait l’habitant, ou quelque vermine.

Campagne menée au son de la Psychiatrie-Religion, de la croyance en la télépathie, en un phénomène de la voyance jusqu'à la transparence du sujet, voyance source de problèmes quotidiens de par le contrôle qu’elle occasionne sur les éléments réfractaires de la population à ce mouvement adepte de la répression dans chaque acte de la vie courante.

Voyance prétendue, cause de délation mensongère accrue dans les troupes de corbeaux auprès des services médicaux. Voyance et télépathie tolérées uniquement si rapportent gains et argent. Sans quoi dites et déclarées symptôme schizophrénique.

J’émettrais. Mes idées rêves sensations sentiments et pensées. L’on sent quand mon corps vibre, bouge. On le ressent. A très longue distance parfois pour le moment, à travers tuiles planchers plafonds et murs. Quand je me nourris moins ou pas, on le ressent moins, ou pas. La télépathie, avoue. Sinon on te coupe tout du SAC. L’on m’entend penser et voit rêver.

Mes rêves se transmettent. On peut les voir, à distance. Cinq sur cinq. Appelé ce phénomène « Transparence du sujet ». Symptôme schizophrène. A leur concurrencer la Voix de Dieu s’ils l’entendent. Je leur parle en pensée. L’on me suit mentalement et verbalement, à voix haute ou vociférée quand je pense. L’on me perçoit. On lit mes pensées. Télépathie à dons qui attirent des parterres de saprophytes, en arrêt devant l’enfant-spectacle à torturer de main de maître pis que dans zoo humain. De l’Exposition Universelle de Paris, 1900, à 1930.

Tête qui émet dans les crânes, cause inconnue, imputée à scintigraphie, radiographies du cerveau. Radioactif. Saligots.

Campagne menée dans les règles du « mes sensations ne peuvent être que celles que je ressens de tel individu réfractaire à ma cause, à mon mode de vie », un sophisme de chapeaux ronds qui peut coûter cher. Etre militant de parti étant voter à vote ouvert avec les conséquences que cela peut entrainer. Mise à l’abri si trop attaqué. Démence à délire paranoïaque. Pas dit de Marine le Pen.

Délire de schizophrénie.

Contrôle, pro-germanique, dans les masses sociales, d’intellectuels, petits intellectuels, de personnes visées concernées ciblées pour leurs idées d'avant-garde, ne seraient-ce que parisiennes dans leurs mœurs et d'Extrême Gauche, personnes ciblées pour leur non-respect des règlements, sommations, menaces scènes de torture, ordres obstructifs des auteurs de la propagande en vigueur. Dans la ferveur la Gauche marxiste à l’hôpital, à l’asile politique des psychiatres.

Opération en harcèlements intrusifs péremptoires d'une infliction sur femmes, hommes, enfants réticents à des normes abusives, de rétorsions (tu n'es pas encore passé par-là, ma fille), sévices, actes pervers, sadiques, interdits par la morale, actes de cruauté, abus d’autorité, tortures arbitraires, exactions injustifiées, coups, blessures jusqu’au caillot ou broyât cuit de cerveau, actes contre lesquels les victimes de ces rétorsions prohibitives, rédhibitoires envers tout plaisir ou bien être dans la neutralité et la réserve, avaient mené leur combat. Parfois celui aussi de bébés, enfants, nourrissons. Jusqu’à la séquelle.

L’imaginaire de ces masses en matière de tortures, exactions dont elles pourraient exterminer peut s’avérer infini… A vous faire passer pour légèrement accidenté.

Opération spontanée dans les foules tue, exercée au nom d’une légitimité de la torture d’Etat. Après le recensement de tout acte par ces masses et sur leur exigence, actes qui pourraient s'avérer viol thérapeutique, sadique anal, proche de la torture allemande, du SAC ou OAS, voire du FIS, de la Junte argentine ou brésilienne, torture strictement pro-nazie, stalinienne ou simplement d’origine française, s’instaurent des violences que chacun doit minimiser sinon taire dans les mœurs de la vie quotidienne, reliquats de ces formations.

Dans une France Libre toujours sous l’Occupation depuis les années1900. France qui se voile la face pour ne point voir, ni constater, l’état de besoin de torture des foules. Je constate.

La lutte pour le respect de la dignité humaine considérée dans la médecine psychiatrique amour propre démesuré, délire de persécution paranoïaque à schizophrénique, avec idée de déshonneur, d’indignité, et d’injustice.

Lavages de cerveau, lavages tout court, toilettages intimes après les viols-tabassages que représentent pour la foule et les masses peu scolarisées, les électrodes, leur usage en milieu médical : Forme d'Inquisition, de supplice chrétien, simulacre d'exécution sommaire, de peine capitale sollicitée envers les personnes en délit d'opinion envers quiconque de la société. Peine de mort simulée, d’exécution sommaire âprement décidée, pose des brodequins de la Question. Hôpital russe à poupées russes, à coffrer couper y compris à l’arc électrique, de courants électriques, et découper.

Tabassages policiers commués en besoins de viols par rixe et torture médicalisée, tabassages engendrant de multiples lésions, blessures, violences causées par la matraque électrique, violence gratuite et torture sexuelle à la fois pratiquée sur une personne traitée en prisonnier d'opinion par une partie du lumpenprolétariat, en mal d'exécution publique de l'élite, de violences sexuelles, blessures de guerre sur prisonnier d’opinion ou de guerre, autant que sur prisonniers iraquiens, une idée certainement due à la pro américanisation de la société…

Torture américaine à implants-presse-bouton, gadgétisée et infligée sur hommes-femmes, femmes-prisonniers d’opinion, sous-êtres gadgets objets à couper, jouets à sévicier de leur société. Torture sur dossier pour plaisirs sadomasochistes de belligérants intégristes de ça, le marteau et le burin auraient suffi à créer tant de fractures du crâne, de lésions cérébrales. Du moment que le sujet à torturer ne reste que non vu des personnes qui le sévicient, à distance, de manettes de télécommandes à implants électriques (type torture américaine). Mais ce n’est qu’une affaire d’électronique en laquelle presque personne ne s’y connaît.

Autant se prendre un coin de tabouret par la tronche et les os du crâne jusqu’à l’écrasement total et absolu de l’individu, de ses chairs, ou tout autre objet contondant. Cela peut faire un choc. Eclatements cellulaires en masse des cellules cérébrales de ce fait, jusqu’à la réduction de lobes, d’encéphales de moitié, leur quasi disparition.

Choc profond de la matière grise, électrocutée elle aussi. Dans ce cas, mais à quoi peuvent donc servir la glie, la matière cérébrale, la matière grise ? Chaque zone opérée ainsi fait que les courants qui l’électrocutent emplissent le cerveau entier dans son intégralité, le corps entier en fait, jusqu’à pouvoir casser os du bassin de la hanche et du pied. Cervicales rompues, donc port de la minerve, broche dans les os. Raréfaction des ligaments. Pour les plaisirs défendus de quelques habitants. « Elle ne faisait que manger » pour « elle n’était qu’en train de manger », simuler une délation envers un être devenu boulimique, afin de l’opérer. L’idée de refaire la Mère. Ils ne font ni dans la nuance ni dans la dentelle.

On ne peut parler de réduction véritable du problème, non plus du problème initial, sinon la réduction du volume des cerveaux pis que par réducteurs de tête. Opérations du cerveau sous anesthésiques le plus souvent pratiquées à domicile. Dans le but de violer, corriger, matraquer des idées d’avant-garde. Démences résultats de séries de ces pratiques dans les normes, à vie. Normes abusives. Plaies à fractures des os pratiquement ouvertes ou même ouvertes sous les décharges électriques autant que sous multiples coups de matraques, je ne sais si le poste à soudure peut commettre autant de ravages ni parvenir à ce résultat, seul le cuir chevelu, les méninges, parfois elles aussi rompues, fracturées, couvrent le cerveau. Fractures ouvertes du cerveau, rompu tel pain avec sa croûte jusqu’à la faille ouverte apparente à la radiographie. Y compris dans le cervelet. Ou si peau incisée, méninges fracturées ou bien ouvertes déchirées, quand le corps se débat contre cela jusqu’à se céder et se lâcher, dans l’orgasme et les atrocités, même endormies, de l’agonie. Puis le coma dit épileptique.

Là, l’on peut pratiquer ablations de nerfs, de régions du cerveau à souhait. L’on n’a plus qu’à refermer. Recoudre, en laissant bien la faille de la fracture interne ouverte. L’on peut y implanter alors quelques électrodes qui tabasseront par télécommande à loisir la plaie ainsi pratiquée, de trempes remarquable au moindre défaut, qui aboutiront à des hospitalisations répétées. Tempes orbitales ravagées pour trop d’idées d’émancipation le plus souvent féminine, pour leur trop grande largeur et épaisseur, creusées de ce fait si elles dépassent de trop des yeux.

Centres nerveux des idées féministes selon les toubibs, de type Algérie. Taules. Zones écrasées à perte de vue autant que par tournevis, talon aiguille planté là jusqu’au dernier écrasement, ajouté à toutes sortes de courants. Electriques. Vous n’étiez au courant ? Social démocrate.

Electrodes de séismos (électrochocs à décharges de courants électromagnétiques) dénommées marteaux. Implants-marteaux qui nécessitent pour les supporter des électrodes, électrochocs de toutes natures pis parfois que simples brûlures causées par cigarette, si crise de révolte à la longue dite agitation. Forte colère dite schizoïde, si l’individu testé ne parvient à subir dans le calme les électrodes implantées quand elles lui sont allumées durant jours et nuits pendant plus d’une semaine. Des mois, des années. Individu tiré du lit dès les 6 heures du matin jusqu’aux 5 heures du mat’ pour ce type de rançonnage démoniaque à longueur de temps, matage constant sous la blouse blanche comme sous le gilet. Quand ça fait mal ça fait mal.

C’est peut-être cochon de le dire, mais pas de le faire, ni de le refaire, ad eternitam…

Pratique banalisée des électrodes qui rappellent le groupe électrogène des années 50 à 60 en vogue dans les mœurs des commissariats, dans toute dictature, durant les temps de la Gestapo. Introduction dans les narines ou tout autre trou pratiqué à travers les os du crâne, de longs bâtonnets de Gégène médicale, en autodafé de mes écrits, bâtonnets qui électro-coagulent des zones précises du cerveau, parfois profondes et inaccessibles par autre méthode, billes cuites retirées ensuite à l’aide de trépans qui les ont curetées, décrétées « boulettes ». « Dents arrachées » en assez grande quantité pour devoir les remplacer par prothèses gonflables à distance, greffées dans le cerveau, à embouchure d’air dans les fosses nasales, ou la trachée, prothèses intracrâniennes. Simulant parfois la gonflette.

Opération dénommée en patois approximativement médical électrophorèse, cela n’a rien de surnaturel, le vocabulaire technique. Seul le terme et surnom était barbare, n’est-ce pas. Tabassée à ce point-là au poste à soudure médicalisé ou Gégène, intracranem, greffée ou non. Si greffée et implantée, curetages de cerveau idem. Là au moins pour eux c’est Bien. Le Bien. Etre Bien.

Gégène, nom de leur araignée au plafond, animal familier des feux et chaumières quand on compte autour de soi les moutons tout autant qu’en prison. Chez les personnes entre Four et Moulin. Prière de ne pas emporter le morceau ni remporter les élections à l’emporte-pièce. Dans un Massacre Des Innocents biblique à libidineux de féodalité à faire frémir la Terre entière de ces fléaux Chrétiens, entre autres ravages, pire que le SPD. Electrodes à laisser des neurones en plombs et bouts de charbon dans le cerveau. Trépans destinés à les en extra ire.

Ce qui ne vous fait pas forcément du bien. Quand on se prend le terme technique barbare par la gueu’ avec le reste du Soin.

Autant loger une balle dans le crâne par tir de précision de silencieux, dans le cadre d’une opération de purge de caste appelée opérations neurologiques, voire de neurochirurgie. Exécutées à domicile sous anesthésie sans surveillance. Suivies d’internement. Décrétée moi-même anorexique pour le fait que l’on ne peut s’alimenter dans l’immédiat de telles opérations sous anesthésiques. Zones amputées lésées à la douleur extrême de tabassages aux courants électromagnétiques puis électriques, certainement pour cautériser les plaies, Qu’ils ne viennent dire que c’est moi qui les cherche, aoûtats frelons taons ou tabans, mouches à bœufs qu’ils deviennent et qu’ils sont. S’ils se font choper…

A vouloir métamorphoser la Gauche libertaire en grosse Piggy La Cochonne, la Con-conne Cocon cochon pour un travail de Nul par la cabosse, sénestre dument appliquée du père, dextre de l’extrême droite et de partis totalitaires à vous laisser tel légume végétant dans le délire ambiant. Mouches du coche à aiguillons fatals, fatidiques. Tontes de poils et cheveux longs du dedans dans des corvées où l’on tue le cochon, corvée terme de paysans, chez qui l’on aime le populisme...

Passent leur temps à casser du gauchiste intellectuel pour le faire vivre en communauté dans leur asile quasi politique déclaré le sien pour son opinion marxiste, militariser, en phase de Romanisation, la Femme émancipée et libertaire. Après leurs guerres Napoléoniennes contre ma guerre de ne plus les recevoir autant par la pomme chez moi, à me faire traiter de Sergent Napo par ces Sergents Napoléon de tant faire la police par moi-même quand elle n’y fait rien. On les appelle, ces services policiers et médicaux, services au départ en fait, qui ne devraient rester que des services, pour me régler quelque problème de modus-vivendi avec mon entourage. A prendre des lobotomies pour des idées fixes. Ne pas oublier qu’il ne s’agissait que de Services nationaux de l’Etat, dont celui de la Police. Psychiatrie d’Etat. Thérapie par les Armes. A se demander si c’est du Soin.

Il faudrait en effet souffler les bougies une à une quand elles vous éclairent comme à coups de batte de base-ball les idées de leur idée phare, le nazisme Intégriste Chrétien, fanatiques de tous les intégrismes et du SAC, fixation dont elles feraient mieux d’étudier les préceptes de Bouddha, et seraient bien plus zens que moi à me faire vivre telle Hindoue sous les coups. Il fallait rester dans la position du lotus les bras croisés en attendant que les nions non stop cessent. J’ai vu rouge. Puis bleu et blanc. A me faire traiter de Loyaliste si je m’expatriais, tant ces Miss Fouet du département Dames Thatcher de mes appartements m’expatriaient en vrai dans leur aveuglement idéologique.

Des douleurs à emporter le crâne. Dans une décapitation sauvage. Ils ne savaient pas, eux. Il leur faudrait cette Loi du Talion tant revendiquée, œil pour œil, dent pour dent dont il vaudrait bien mieux les affliger. M ais je ne suis pas de cette idéologie. Le mouvement que je soutenais a été écrasé quasiment entièrement par ces totalitarismes, dont je suis peut-être une des rares porte-parole rescapée. Il leur en faudrait autant, avant qu’ils ne soient majorité trop évidente, là il sera trop tard pour réagir.

France médicalisée, chaque individu fiché, par un besoin de fascisme à redressement idéologique pro-américain thatchériste croupi dans un eugénisme suisse et suédois, digne affaire Dreyfus de toute chaumière. Bataille rangée sans fin. Contre également le rétablissement de la peine de mort qu’ils voudraient commise dans les Asiles Psychiatriques et les Hôpitaux. Lendemains qui chantent. Punis du cerveau les miens.

Des « il ne lui restait plus que du yaourt à la fraise » gargantuesques de voisins à personnels médicaux, Gargantuas et Gargamelles au cours de fêtes saturnales presque surnaturelles à vous en laisser les cuisses marbrées, de courants électriques, la peau du ventre fendillée. Pelée. Me prenaient pour l’autre en état de grief sur moi. Fêtes dans tous les exploits de Picrochole où le devoir du jour était de se demander si l’on devait manger l’œuf par le gros bout ou le petit bout, pour ne pas se faire opérer et posséder la Raison. Dans l’art de la Cène, la scène pour prendre un repas, ensuite, avec ces possédés de l’idée du Führer en état de char de guerre.

Il fallait aimer la chair et la saucisse. A rendre obèse autrui. Travail d’OAS, dans la manie d’en découdre. Il fallait en découdre avec eux, j’ai déjà pris 3 ans pour ça. Peut-être 30 ans ou plus de vengeances pour le même fait. Psychiatrisées. Vivre à l’ombre rien dans le cerveau. Rien qu’un pois chiche dans le cerveau, ce n’est rien. Cela ne leur aurait pas suffit. Torturer n’est jamais assez.

Ils ont peut-être essayé de vivre sans le cerveau, de tant affirmer que la vie provient du Saint Esprit.

Tout livre ou manuscrit que j’ai rédigé, paru ou non, publié ou pas, confisqué par ces principes d’opérer du cerveau, punis de placements psychiatriques répétés. Le SAC psychiatrique.

Sur dossier falsifiés par méconnaissance du français du personnel médical relatant les faits à leur façon et idée, dossiers ne contenant que leurs idées et nullités qu’ils examinent en tant que miennes, s’ils ne fabulent dedans à coups de directs pour leur camp de Travail. Famille Patrie. A s’en prendre pour cela à moi avec leurs intégristes. Mais à votre commandement.

Ce ne sont pas mes idées mais les leurs qu’ils opèrent quand ils interviennent, à retracer fidèlement. Quand ils ne se trompent de dossier, le mien confondu avec ceux de pavillons voire disciplinaires, dont celui d’une fille violée, squelettique. Dossiers à vous faire prendre pour une de leurs colles qui me rançonne.

Désolé de vous l’apprendre l’on ne savait pas que c’était faux. Guerres aux implants contre tout travail de sévérité à l’encontre de ce crime politique commis avec l’investiture psychiatrique de partis. Psychiatrie force de frappe de ces partis politiques, devenue leur bief.

Séances de torture électrique, prétextes à brutalités, attouchements intimes, lors du torchage et du toilettage qui leur est dû, lors de l'opération et du déculottage avec personnel médical. Scènes de mauvaises mœurs accompagnées de sévices psychologiques, tenant du discours du forçage collectif au cours d'une orgie.

Doigt fourré à l'intérieur de l'ampoule anale, objet de plaisanteries salaces sales, dépravées, pornographiques et proxénètes, lors de la fouille, du palpage, viols de l'intimité par un nettoyage intempestif de l'anus, du sexe, de toute autre partie du corps, punition suprême contre le plaisir onanique, la rêverie surtout amoureuse, le plaisir sexuel même solitaire interdit dans les hôpitaux.

Son interdiction se pratique et se prolonge dans les domiciles des personnes « soignées » pis que par saignées jusqu’à l’hémorragie à en rester exsangue. Au nom, toujours, du charlatanisme des cités aidé du charlatanisme de certains établissements médicaux, des interdits religieux, commués en interdits sociaux. Parfois même à l’insu du soigné, qui croit en quelque phénomène extraterrestre, ou immersion brutale dans quelque milieu du contre-espionnage. Symptôme schizophrénique.

Traite du sang, versé à grandes éprouvettes dans seaux de collectes, sous la paillasse de la salle de soin. Sans aucune analyse biologique du sang prélevé.

Clitoris brutalisés par doigt glacé inquisiteur, moqueur, agité tel doigt dans une oreille sale, au cours du même toilettage après les séances d'électrodes, le bain forcé qui les accompagne bien souvent tant l’odeur de brûlure des chairs est forte : Le plaisir extirpé par réaction aux électrodes, celui de la crise d’épilepsie qui suit l’infliction des décharges, assimilé à la masturbation, sujet de prédilection des leçons de modestie et référence au sale, au crade et à l'aliénation, sinon à l'arriération trisomique (oligophrénie, trisomie déclarées maux de primates). En tout cas et c’est un fait connu, plaisir décrété maladie mentale grave digne de punition le plus souvent corporelle autant qu’elle sera jugée nécessaire.

Jouissance involontaire causée, je le rappelle, mais on l’oublie, par l’épilepsie due aux électrodes, jusqu’à la puanteur de chair brûlée, des vomissures des urines et des selles.

Palpation papale des femmes avant les séances de torture électrique, au cas où elles seraient enceintes. Parfois, imposition des électrodes et chaise percée en cas de craintes de la femme, dite seulement trop constipée par les traitements, dans un souci de la corriger pour sa grossesse jugée improbable, inacceptable et méritant l’avortement illicite que causeront les décharges. Avortements sous coups et blessures, purges à l’huile de paraffine, si huile de ricin périmée. Depuis le temps…

Ménopause décrétée, grossesse dite illogique, car ménopause déclarée acquise depuis longtemps, y compris chez sujets même pas ménopausés, depuis leur dernière injection hormonale destinée à les stériliser à vie. Anticonceptionnel retard testé sur femmes encore parfois actives, nullement invalides, certifiées démentes, encore capables d’enfanter, parfois en couple. Si leur stérilité n’est imputée à leur traitement neuroleptique.

Doigts fureteurs sales torchés discrètement sur le linge blanc des patients dans ces cas de torture électrique, faisant accroire que le malade est immonde au point de se tacher lui-même. (Chaussettes, pantalons et chemises, pulls de couleur blanche et propres, encore en train de sécher après lessive, souillés inévitablement d’excréments et de sang génital, si électrodes durant la période des règles).

On n’est loin du drap d’acide qui ronge les nerfs, cause le délire logorrhéique si le sérum de vérité n’a suffi réussi en rien. Prétexte le blocage. Lobotomies faites de décharges électriques, gros trous de mémoire.

Médire constamment envers quelqu’un n’est-il dénéguer sur son compte, ou je m’y perds.

Noblesse oblige devant cette noblesse de robe qu'est le port de la blouse blanche, capable de l'infliction de viols collectifs en guise de privautés, de droit de cuissage comme de la privation pure et simple de liberté. Du droit de vie comme de mort.

Démonstrations cuisantes dans la presque-totalité des quartiers de chaque ville ou village, de la propagande pro-stalinienne à pro-germanique, travaillée dans l’eugénisme le plus concret, le devoir civique d’interner quelque gauchiste, homme femme ou encore enfant. De les commuer en espèces de soldats, d’une légion surréaliste. Les nazis.

Actes de torture médicalisée, qui vont jusqu'au viol de l'intime, ne fonctionnent qu'ainsi, dans une ingérence de la vie privée insupportable, mais tue. Le trouble de l’ordre public causé entrave aux libertés individuelles. La torture, n’est et ne commence que par la torture de l’intime. L’anus, le sexe du prisonnier devenus chose publique. Livrée aux quolibets de tous et de chacun.

Idées lubriques, scatologiques et dépravées, délirantes à cauchemardesques chez les organisateurs de chasses aux sorcières, fervents délateurs défenseurs de l’appropriation du corps des opposants à ce régime policier de violences policières psychiatrisées, revendiqué au cours de crises d’ires, de transes propagandistes populistes, devenir les gorilles sinon les mamelles de la nation étant la seule alternative à ce mouvement.

Appropriation par les foules et la médecine psychiatrique, du corps, de la pensée des contestataires devenu objet public, chose publique propriété d’Etat, à déraciner de ses attaches terrestres et dépersonnaliser. Torture psychiatrique causée jusqu’à l’oligophrénie. Le décès, le handicap.

Crottes desséchées trouvées dans les sacs de voyage, dans les bassines servant à la vaisselle, au domicile.

Usage de la force psychiatrique dans la constitution de prisonniers politiques ou d’opinion en sous-marin, de prisonniers de guerre de ce front de guerre civile, à torturer et assassiner, droite et front national qui en usent par actes de traite du malade, par la manipulation, comme de putes privées, objets de tous les profits et défoulements.

Lutte de ce front pour l’acculement au suicide, on ne meurt que de soi, et même l’on vous y aiderait, incitations répétées, l’insulte, les façons de narguer sur l’intime du sujet. La mort subite par la scène de violence, l’exécution sommaire, le meurtre prémédité, camouflé en orgie publique, accident mortel. Suicide, mort naturelle si l’on vous y a aidé. L‘infliction des libertés individuelles au nom de la Raison et de la Santé : Le meurtre, le proxénétisme médicalisé, la loi du silence et les avortements illicites illimités jusqu’à la mort cardiaque ; lâcheté ou bien être velléitaire, auto-complaisance, laisser-faire des autorités.

Suicides dans la prostration sous les attaques et voies de fait, les coups et blessures de violences ne pouvant provenir d’après les médecins intervenants que d’hallucinations sensorielles. Simulations constantes par mois, années, d’attaques cardiaques par l’électrode, l’implant cardiaque ou autre électromagnétique à télécommande manuelle. Pour réanimer, tortionner, tuer. En vogue de nos jours. Cliniquement testé, sous contrôle dermatologique en plus des tests annexes. Sinon le fond de teint.

Une vue de l’esprit. La Gauche aussi, des idées que je me ferais. Deus ex machina…

Gavages et gavages à l’huile de paraffine si constipé, par traitements de cheval à en emporter plus d’un, contrefaçons du gavage à l’huile de ricin sous Mussolini, actes de soins infligés dans le souhait de rendre tout être pacifiste passif, brutal, violent, violeur, suffisant dangereux et agité. Préféré ainsi.

Prétexte aux offenses, provocations faisant référence à la santé mentale sur tout gauchiste concerné, contestataire de cette rééducation mentale du malade. Rééducation à la dure qui se pratiquerait dans des pavillons d’éducation surveillée, maisons de santé, en fait pavillons proches de la maison de redressement, hôpitaux-prisons pour adultes et enfants. Après le dernier des Jugements Derniers, les grincements de dents de la Géhenne.

Rééducation qui, reprise en cœur, recréée par les fanatiques des exactions et bons voisinages, ferait office de maintien de ces organes de parti, pavillons organes de pression et de frappe de pouvoirs occultes autant qu’incultes, jusques au sein des domiciles privés. Vieux médecins barbeaux, vieux-beaux salops, vieux veaux hystériques à Chrétiens Intégristes qui leur vouent leur foi, à qui pour mériter le droit de vivre il faut être utile, à qui il faudrait ressembler sous peine de mort, qui vous défigureraient bien d’un bon coup de neuroleptique retard, d’une bonne opération, la pin-up du coin parce que gauchiste. Selon la loi du sérail. Font la loi chez moi, ne croient que ce qui les arrangent, ne pensent que ce qu’ils veulent, ne veulent rien entendre que ce qu’ils pensent et s’écoutent penser.

L’éducation spécialisée pénitentiaire dont ils rêvent pour chacun concurrençant l’Education Laïque, sérieusement mise à mal par ces principes de dureté et de cherté. La République et la Démocratie ne pouvant se passer de la culture ni de l’Enseignement, qui la fondent, en sont le fondement même, la Démocratie est elle-même en péril. L’enseignement laïque, vie d’astreintes monacales (roustaniennes, vieilles filles) dont beaucoup dans les rangs de l’éducation et du professorat, perdent la tête, mis en grand danger d’annihilation.

Certaines mutualités enseignantes en savent quelque chose, pour leurs maisons de santé, où se retrouvent enseignants enfants et jeunes d’eux, dits handicapés, la famille entière parfois concernée. Maisons de santé redresseuses de torts des pouvoirs géopolitiques adjacents corrompus, Nouvelle Convention Européenne déjà entrée silencieusement en vigueur, créant des prisonniers d’opinion contre la loi, par les méthodes de la répression médicalisée et de la Gestapo, prisonniers dénommés aliénés. Aliénés de leurs droits en fait. L’Education Nationale est mal dans sa peau.

Vieilles gibbons en bande dont il fallait se prendre la tête et se prendre à la tête tout l’arbre généalogique avec celui de leurs amitiés, sans une écorchure. Sauces avinées à qui avec son Bac philosophie il fallait rester philosophe toute l’année, qui elles ne perdaient leur métaphorisme, un rien particulier, j’ai aussi le mien.

Après la dernière lampée de vinaigre de Corbière, en complément du repas, c’est encore soi qui n’a les idées bien claires, quand elles auraient à vous parler de leur son de cloche qui résonnent et déraisonnent, vous parlent tout comme de votre degré d’imbibition à l’aldol ou d’alcool, dès qu’on examine de près le leur, à vouloir vous rouler de pelles à coups de poings à implants dans tous les coins, à vous souler de ça, dans une envie de rixe à longueur de temps. A vous tuer de beignes. Autorités velléitaires à fonction de sanction. Vieilles Sade qui torturent haut et fort. Prise moi même pour tante et folle car synonyme de lesbienne tout comme elles le sont, avec la voisine du dessous. Quand je suis selon certains une tante de la famille, car petits-cousins dernièrement nés.

Dans leur valeur de vieux claque, pour leur degré d’alcool, la France sous le coton, d’abord l’alcool à boire, puis celui à 90°. Leurs bras piqués qu’elles se piquent, si vous croyez que le raisonnement d’Etat y fait quand il faut les raisonner et les raisonner seulement.... Après ce qu’elles se sont envoyé, et qu’il ne faudrait prendre que pour un particularisme… Celui là aussi il n’est que dans l’idée que l’on s’en fait.

Besoin et envie de salir la réputation, de profaner des idées de la Gauche, besoin viscéral, haine furibonde fustigatrice et vicelarde des Pères et Mères La Patrie, Mères Créatrices ou Conception, depuis longtemps en cours de grossesses nerveuses contre vous. Fausses grossesses quand elles ne sont plus capables que de produire des mongoliens à leur âge, à refaire et refaire la personne de penseurs, intellectuels, individus défenseurs des libertés, haine viscérale autant que dans profanation de cimetières juifs, morale concentrationnaire des camps d’internement.

Appel à une médecine inquisitrice qui au nom de la Raison d’Etat, est proche du Ku Klux Klan, et royaliste plus que le roi jusque dans le torchement de cul du prisonnier après le « tourment ». Après l’imposition des fers et les supplices originaux de la Question. Les brodequins des électrodes implantées. Dans les derniers rôtissements de l’enfer. Au moindre remuement de tripe. Ou de moignon.

Voisinages initiés en pleins trips sur le Führer qui divulguent au gré des rêveries de chacun si permises des cours de redressement mental, à des cités de familles soumises par la loi de l'internement et de l'établissement de quartier, au silence du pouvoir absolu médical. Ainsi qu’à la langue de bois : Silence, hôpital, l’on vous soigne, les idées avant tout chose.

Désir de rétablissement du bordel, du proxénétisme envers la femme libérée. De la prostitution de l'intelligentsia, du corps de la femme émancipée comme de ses idées. De sa conscience comme de sa mort, de sa morale comme de son amour profond pour la vie, par tout effet de torture des brigades rouges maoïstes comme par ceux, recréés par l’Hôpital et la Médecine Psychiatrique, du SAC, des autorités. Cf. la « Politique du Mâle », de Kate Millett, 1971. Silence hôpital. L’on pense pour vous. Pour celles qui ont osé dire qu’elles ont les règles, traitées en prostituées notoires pour ce seul fait, jusqu’à la confection de règles douloureuses, hyperalgiques (dysménorrhées). Causes de premiers internements désirés à vie, des années 70 à aujourd’hui.

Le cerveau de la femme et des féministes ne devant excéder 1 Kg de poids (microcéphalie obligatoire et contrôlée).

Besoin viscéral d’interner pour torturer à loisir par loisir, dans l’esprit de profanation antisémite, envers les intellectuels de gauche, même encore en herbe, dès le berceau, sinon dès les premiers langes et les premières réactions à la mère.

Fantasmes hitlériens de la plèbe, qui passe à l’acte et à l’action dans ses fantasmes de domination, sexuelle ou autre.

Les idées de la Gauche à sérieusement soigner, la liberté d'opinion, le Droit des Femmes comme celui des malades jugés maladie mentale plus grave et dangereuse que celle des forcenés.

A calmer…

Considérée femme publique depuis les premières femmes rasées, prostituée notoire pour n'avoir pas eu voulu coucher avec les défenseurs du despotisme et du dictat, la femme libérée représente l'ennemie publique numéro un. Si elle n’est décidément la bonne du curé.

Pour son usage aussi de la Veuve Joyeuse, pour son art d'échapper ainsi à l'obligation de coucher avec le premier venu, de préférer soi-même à l'Homme ou plutôt à l’Hyper mâle teutonique nazi à pro-nazi, sans pour autant négliger l'amour libre : Loi en France même de l’excision de bouts de cerveau ou de ses organes sexuels, à défaut de clitoris, contre la femme émancipée, sa force, son choix, son pouvoir de vouloir, sa volonté d'être intransigeante et de défendre ses libertés. Contre celles de la défloration au vilebrequin, parachevée aux courants électriques.

Le plaisir solitaire conçu acte de prostitution, à punir sévèrement, toléré uniquement si conçu dans sous et par la torture. Quand elle est infligée elle prend une allure plus décente….

La Mastu, aussi.

Pour l'offense qu'elle représente envers la racaille la religion et ses chaînes. Une religion qui établit des lois qui défient les lois de la République et de la Démocratie, lois rituelles qui condamnent les libertés individuelles, vont de pair avec les lois américaines, pro-germaniques, celles de Hitler, celles du Ku Klux Klan, cautionnées par une Médecine d'Etat théocratique et par là despotique.

Actes sexuels tenus pour provocation saphique voire auto-incestueuse, la rêverie sentimentale, le plaisir onanique chez la femme, tiennent de la position interdite par l'Eglise, selon les règles en vigueur dans certains états américains qui louchent sur les œufs du pauvre et la position interdite, Mai 68, celle qui peut être condamnée de la prison, de l’hôpital psychiatrique à vie, de la peine de mort. Vécue péché mortel par l’ensemble de la population, un Valium, Monsieur Cohn-Bendit ? Par la médecine psychiatrique. Agité. C'est selon. Selon exigences de l’entourage. Cela fonctionne également pour la frigidité ou l’abstinence quand elle n’est obligatoire.

Depuis Mai 68, la population des ménagères a mal digéré les libertés sexuelles acquises, le gain en libertés chez la femme défie les règlements, les lois archaïques de la mégère souhaitent mettre un terme, cela se conçoit, au déferlement de droits qui les offense, plante là son gourdin dans le but d'intimidations exemplaires. Il faudrait bien leur présenter à ces Saintes de la Patrie, assez prognathes pour faire de leur patrie un parc zoologique de requins rapaces moutons et corbeaux, leurs Sacro-saintes médications sur un Saint Ciboire pour s’en débarrasser, enfin.

Vieilles macaques, torturées de leurs rapports animaux, tortionnaires des défenseurs de la Libre Pensée de l’athéisme et de la laïcité de l’Etat, sous des couverts de lutte contre le stupre, l'amoralité, elles propagent sous la massue la prostitution, la répression contre le délit d’opinion envers leurs divagations, dans une ambiance de puritanisme malthusien. Adoptent à l’infini la thérapie de groupe par l’inversion des faits, technique qui vit sa victoire dans le Vel-d’Hiv’, méthode SS caricature de la position 69 jugée contre-nature, tant réprimée avant Mai 68.

Inversion des faits pétainiste, taboue, objet de toutes démagogies très répressives quant à l’identité psychologique du coupable. Le coupable ne devant être leur protagoniste que coûte que coûte.

Tout n’est arrivé que par lui, Il est à l’origine de tout, pire pour tous que nouveau Jésus Christ, abhorré dans le voyeurisme, l’idolâtrie envers toutes les haines, le plus souvent des plus violentes viscérales et raciales, à freudiennes.

Ceux qui furent, des défenseurs de l’athéisme, baptisés, eurent la vie sauve et furent épargnés, surtout si mariés et imprégnés de Catéchisme. Il fallait qu’ils soient passés par cela.

Scatologie fréquente pleine d'ivresse dans les délires et mélopées de toute une sous-couche de la population. Violences destinées à rétablir incognito et pourtant de façon publique, mais inavouée, la rééducation mentale pénale et psychiatrisée, des tenants de la Gauche non croyants, humanistes ou plutôt encore humains, et féministes.

Tri des données, passage au crible des pensées par curés, fascistes, somatismes amoureux ou relatifs à la satisfaction, à tout soulagement assimilé au plaisir solitaire, la souffrance, la douleur physique prêchées rédemptrices, seules considérées les sensations impures, sales, névrotiques, autopunitives, la consommation obligatoirement excessive, de porc, épices et poivres cancérigènes à cardiopathies, alcools et médicaments dénaturants, de drogues, aliments réputés défigurer ou nocifs pour la santé, voire fortement incommodants. L’on peut mourir déjà de ne manger que des frites.

Chou, saucisses, haricots secs, sel, repas trop abondants, étouffe-chrétien, causes de digestions difficiles occasionnant une forte gêne digestive-ceinture de chasteté cause de lysisme. Aliments réputés dans les magasines féminins garantir la bonne remise sur pied surtout des femmes enceintes. Punir en douce les plaisirs de la chair. Pour les plaisirs de la chair, à table.

Obligation de manger dans la rixe et le passage à tabac, cf. les implants, très cancérigènes aussi. Quand il faut avoir un estomac de pandore morfale et ne souffrir que du vin millésimé.

Dans l'espoir de salir encore un peu par l'infliction de soins, l'honneur, dans le soin officieux anticipé, décrété cénesthésie sensorielle psychotique d’origine hallucinatoire ; diagnostic cause d’incitation à la dépravation dans l'acte médical, dans l’intension intense d'obtenir l’idée de déshonneur, synonyme d’abord de viol dans les textes juridiques, allant jusqu’au ré-internement, officiel cette fois là.

Incitation dans ce désir d'y parvenir, à la confusion, au brouillage de piste, camouflages, maquillages d’affaires jusqu’au crime parfait, fabulations délétères envers la norme, types de délations mensongères conduisant aux maquillages d’affaires déclarés par la médecine courante sensations hallucinatoires chez le sujet réduit à subir ces méthodes. Qui je le répète peuvent passer inaperçues chez beaucoup de sujets qui seulement peuvent se douter des soins.

Combat de ce lumpenprolétariat de femmes âgées et de leurs sbires, à gros coups causés par les implants, les visites d’infirmiers, contre toute percolation sociale de leurs prisonniers, la femme devant rester esclave ménagère active jusqu’à ce que mort s’en suive, la rédemption du plaisir par le travail, mythe de la femme soldat. Dans le genre fourmi rouge. Espionne ou pas. Combien de cancers fibromes, polypes pour un ménage mal fait. Surmenées déclarées par autorités, déprimées en état de dépression dès que faiblesse ou travail bâclé. Electrodes. Ah, excusez on savait pas.

Jusqu'à l'hystérie collective autour d'un cas de paria condamné à l’effet de paranoïa s’il s’en confie, s’il lui vient l’envie de s’en plaindre. Pour un médecin cuistre, un Père de Dieu qui ne se résiste pas.

Utilisation de soins psychiatriques et services médicaux dans l'espoir de rétablir le régime de Vichy, les exactions commises par la Gestapo : Samu-Milice Chrétienne, son usage dans la répression despotique, hégémonique.

Rétablissement sous la torture médicalisée jusqu’à parfois la répression par l’infliction de tentatives d’exécutions sommaires répétée dans certains cas jusqu’au décès causé, d'une police des rêves et des amours, dotée d'un pouvoir médical qui va jusqu'à perquisitionner sur les lieux de vie des personnes visées cernées par le Soin. Ne serait-ce que dans un but de vérification des dires invoqués par les pavillons, tribunaux, en provenance de corbeaux parfois en état de concurrence. Inspiré des vieux pères fouettards de la république, d’une ancienne Gauche révisionniste des séquelles de Vichy dans la société actuelle.

Étayée depuis plus d’un siècle par les pouvoirs psychiatriques pour perpétrer crimes contre l’humanité, exactions et purges dans la population des générations qui suivaient, parmi toute résistance. Assassinats et meurtres considérés suicides, morts naturelles, accidentelles.

Criailleries impunies, poussées en toute impunité, au nez et à la barbe de la police qui ferme les yeux, veut bien concerner la victime et se concentrer sur elle, mais pour la dire malade irresponsable mais responsable de sa maladie, en crise et à interner. Police qui passe l'éponge sur les débordements de haine raciale, les outrages à la loi causés par les commères, les jeunes gens à leur solde militant pour le retour des rafles par une milice de médecins, munie d'une Gestapo médicale dotée de pouvoirs policiers. Décrétée délire irrationnel à « mégalomania ».

Tentatives répétées d’un rétablissement d'une cohabitation fasciste d’une Extrême-droite et d'une Gauche que des partisans activistes désorganisent en la privant de ses défenseurs. Essais inspirés d'une société primitive prolétarienne, autant punitive que policière.

Et si elle dit ça je te la pique.

Tentatives maintenues par un usage frauduleux de la psychiatrie commuée en une force de frappe usitée par des partis extrémistes, l’asile psychiatrique lui-même pour étouffer toute affaire de corruption, d’internements abusifs, par des particuliers défenseurs de la religion, des partis incriminés, de parties civiles crapuleuses, dans un combat d’où les règles de la démocratie sont absentes. Sous la couverture et l’étiquette de la maladie mentale. Existence d’une Gauche de la résistance à résorber par la psychiatrie et de la dure, de type Hel Kaiser.

Ceci jusqu’à l’enfermement de tout contestataire réfractaire aux exactions et opérations de purge, une résurgence dans les mœurs du bas-peuple d'une nouvelle sorte de pogrom de type stalinien.

Staline et Hitler devenus les fantoches d'un lumpenprolétariat qui désire une fronde forte des préceptes de la Junte, proche des camps.

Cela tourne en rond, mais oui.

Puanteurs de bouges, et d’œufs crevés.

Gauchiste = Mal, attardé en manque de neuroleptiques si seulement en manque de rapport sexuel, et de rééducation psychiatrique à la dure si adonné à la liberté de pensée, onanisme dans ce cas strictement réprimé. Psychotique.

Gauche = Maladie mentale, maladie de la branlette mentale, le Mal à éradiquer en soi. A trépaner du rhizome psychotique ;

Athée = Animal être inférieur d’une sous caste peut-être humaine, copulatoire, qui tient du chimpanzé depuis Darwin, n’a pas fini de descendre de son arbre et se reçoit sur la tête. Ne secouez pas trop le prunier, et une bugne, le cocotier ni le pommier, pour les singes qui viennent d’atterrir et ont rencontré pour la première fois la terre avec les fesses, clong. Ils se reçoivent en guise de récompense la pomme de Newton sur le crâne, pour les singes c’est la loi de l’attraction universelle, sinon je ne dirais que les choses à moitié, de pomme newtonienne. Chimpanzés, à frustrer castrer ou stériliser, interner à vie, dans maison de discipline ou de redressement psychiatrique, à vie.

La Psychiatrie, le Mal français.

La Torture, une nécessité, à vous faire mériter le psychiatre. Le plus souvent dans les Hôpitaux d’Etat.

Idéologie rampante de la connerie triomphante dans les services médicaux, qui rêve sans trêve d'un rétablissement de la torture psychiatrique dans la médecine, les hôpitaux tout comme dans les moindres menus faits de la vie courante et de la vie privée. Ce qui nécessite une surveillance au millimètre près des actes de la vie privée, des idées des dissidents de la population ou phénomènes de voisinages, sollicités eux pour effectuer contrôle incessant, maintient des positionnements auxquels ils acculent, en plus des derniers retranchements occasionnés jusqu’à la limite du forcené.

Fantasmes policiers publics hurlés dans la société, d'un exercice de la torture par une médecine engagée et enragée de çà, qui s'y adonnerait en tant que sport ou plaisir violent à titre privé, dans la légitimité d’une légitime défense qui n’existe qu’en leur faveur. En la faveur d’une Médecine détentrice de la Raison d'Etat par la force, de la Raison Universelle tout court, à quelque mot près.

Qui juge, s’attaque à tout élément contrariant de la société dans les tribunaux d’exception que sont les bureaux médicaux. Centres nerveux de toute réfutation d’arguments irréfutables et incontestables tant implacablement justes, compromettants pour la survie de l’entreprise psychiatrique ses activistes ses activismes et ses agissements. Jusqu’à la rétractation de plainte, le non-lieu, si incriminés ou traînés en justice. Jusqu’à la croûte de neurones frits dans leur jus. Parties de jus, de courts-jus et de droits de fait.

On y est presque : Médecine qui s'approprie le corps et la vie de ses prisonniers, qu'elle peut rappeler dans ses établissements si certains individus laissés trop souvent en semi-liberté, sont capables de lutter encore et déclarés pour cela une gêne pour autrui, une personne de soi-même en danger dangereuse pour soi et pour la société. A placer par le Ministère de la Justice même.

Femmes fragiles, jeunes infantilisés constitués ilotes serfs, vilains à herser dans leur champ devenu parc d’attraction, restés, devenus grands enfants, femmes gîtons pour être restées minces sans adopter les faits de l’extrême droite, sous-êtres défouloirs des extrémismes, destinés au libre arbitre, aux agitations de ces mouvements féodaux.

Actes médicaux infligés en guise de représailles sur quelques leaders de la Gauche et de sa base, déshonorés par le soin, tentatives certaines de dénoyautage, de destruction de mouvements de la Gauche, de ses sympathisants, intimidations violentes opposées aux mouvements libertaires et humanitaires. Des mises au pilori qui désolidarisent les moindres meneurs, intimident et prostrent les penseurs de la Gauche, exhibent les thérapies de l'acte de crime politique, une politique médicale tortionnaire, inquisitrice. Qui se veut rentable dans une rentabilisation du malade à faire frémir.

Il fallait que cela plaise au Dieu Le Père, à la Mère Folcoche et Mater Dolorosa de chaque famille.

La Gauche reste muette sur l'usage de la torture psychiatrique en France, sur ses méthodes comme sur son bien fondé, aucune remise en cause n'a été faite, depuis la chute de Staline et des anciens Goulags : Les partisans de ces dictatures étaient, précisément, de la Gauche la plus dure, la plus répressionnaire... Camps de Tchang Kai-Chek, politique de sécurisation militarisée KGB à la Sarkozy des hôpitaux psychiatriques, sur un budget non plus destiné à leur humanisation, mais à la rapide dégradation de leur rôle. Hôpitaux-prisons de type camps de torture de la CIA. Pour dissidents de cela. Cela tourne en rond mais rapporte beaucoup, à la Médecine entière, qui récupère les dents cassées et soigne les petits et gros bobos en conséquence, de la cave au grenier.

Le KGB, tout ce qu’il reste du l’humanisme Socialiste, dans les hôpitaux, dans le regard du peuple. Cherchez le socialiste du Non, athée, qui ne sera véritablement mou ni stalinien. S’il ne fait partie des 20 ou 40% de la population, non encore dénommés Entités biologiques ou personnes très vulnérables mais aliénés. Même pourcentage que celui du lepénisme qui entre en concurrence. Il suffit que ces 20 à 40% de la population vous assaillent (le Front National), et vous être un dément. Cela fait beaucoup de monde pour un seul agressé.

Si le bien fondé de l’existence d’une psychiatrie existe réellement, celle qui nous soigne a trahi ses origines, reste le contraire même de la Médecine Humanitaire.

Institution d'une fronde pour la prostitution occasionnelle gratuite légale, étatisée et rémunérée par Allocation Adulte Handicapé (AAH) liée au fait de subir des soins dégradants pour la dignité et la santé et la vie humaine, qui sont exposés au public à la façon de culs déculottés de Poulbots, (ne serait- ce que pour l’injection publique le panneau sur le dos), de culottes ou draps sales.

Quand l’on ne parle du Front national, de la torture en France que comme du slip sale des français. Cela ferait partie intégrante de leur intime.

Exigence dans les masses d’une disparition du secret médical, dans le souci d’une plus grande surveillance des dissidents qu’elles font suivre et poursuivre pour leurs idées. Leurs idées à elles, et les idées des dissidents.

Subir : Une Inquisition à domicile, où la loi de l'obéissance soumise est acquise pratiquement de plein droit, loi de l'enculement dans un hôpital foutoir, poubelle de l'humanité dirigée par des ordures, bâton merdeux des poètes d'avant-garde, des artistes et de la jeunesse, inattaquable et despotique, vissant l'adolescent comme le petit vieux, d’ailleurs ancien résistant. A les faire s’entretuer, de trop de trempes, par les mêmes procédés médicalisés en guise de règlements de comptes, qui rapportent toujours autant d’argent. A peu près toujours aux mêmes.

En étouffant sous le coton dans ce genre de néo-colonialisme la France, tout militant de Gauche donnant les premiers signes du Mal dès ses premiers langes. A son âge...

Bébés trucidés au berceau qui tirent la sonnette d’alarme, autistes, anorexiques, malades.

Loi du silence : L'action menée, surtout les soins, électrodes, une hallucination, les actes de médecine illicite qui se sont déroulés lors des visites surprises des cénesthésies sensorielles, olfactives, visuelles si vous réussissez à les entrevoir, auditives et génitales, impressions ressenties par le « malade en crise », en phase de rechute certifiera le médecin à l'entourage, subitement en état de compassion. Cuisine pour faire parler puis faire taire. Electrodes dans le coffre, la poitrine, le cœur, durant des ans. Jusqu’au vide mental des cases vides que plus que jamais chez ces torturés la nature comble, car elle a horreur des vides, du fromage Livarot des Sapeurs Camembert, de façon industrielle s’il le faut. Et parfois, il est dit qu’il le faut bien.

Est créée une sous-population, une sous-caste d’intouchables, d’ilotes grecs, de sujets quasiment prisonniers d’opinion de cette guerre civile, tribus trophées de guerre surveillés comme dans toute assignation à domicile et en liberté surveillée, dans le périmètre de leur réserve, dans le double sens du terme. Réserve qu’ils devront réintégrer aux moindres heurts avec le reste de la population, avec un médecin, ou bien un système médical.

S'il s'avère maintenu sous le contrôle de cette liberté conditionnelle médicalisée, les pseudos voyants extralucides examinent, contrôlent les moindres faits et gestes de l'individu en question, pseudo paranoïa qu'il rapportera et sera qualifiée de véritable.

Plaident don de télépathie de leur individu, premier symptôme de la schizophrénie s’il avoue.

Image du primate maintenu en cage dans son jardin d’acclimatation : Le malade jugé par la foule ne posséder que le degré d'humanité d'un animal proche pour les braves gens du chimpanzé de laboratoire, recherché pour sa facilité à se faire exploiter dans toutes les expérimentations sur sujet proposées à son entourage de mouchards. Dans toute la symbolique d’un nouveau King Kong populaire, à confiner dans un zoo humain.

Disent Le Pen un enfant de cœur de la gauche, prétendant de la Ligue des Droits de l’Homme en comparaison du Führer (tant qu’il n’a pas eu le crâne ouvert par sa lobotomie pour gauchiste autant qu’il l’aura voulue dans l’idée…)

Volonté dans la plèbe de reconstituer les camps nazis de déportés dans les unités et asiles psychiatriques, autant par la force de résurgences des anciennes formations et résidus du SAC, OAS, à faire prendre des SS pour des extra-terrestres, des espions de la DST, chez les schizophrènes. La maladie parfois peut être issue d’une vraie connerie, la bêtise. La connerie, une vraie maladie. Peut-être, des espions, il y en avait des bien réels dans le tas, allez savoir…

Sauf que le schizophrène, s’il a déjà vu la série X Files, se prend déjà en plus des implants dans les gencives et les dents, une soucoupe volante genre lampe de table d’opération dans les molaires. Cela ne peut pas lui faire de mal, les risques sont calculés, mais il faut être idiot pour se faire mal avec ça comme cela et mettre tant sa gueule en péril. Mais il a le droit. Il faut être bête tout de même de persister à prendre cette lampe qui n’est pas de poche tout de même pour un OVNI. Il existe des cons à OVNI et des cons qui les talonnent jusqu’à la schizophrénie. Cela arrive…

La neurochirurgie expérimentale n’est pas non plus un moulin à vent, même après le (passage du cerveau au) presse purée. Ou bien au presse-citron, même si on a du mal à le digérer.

Une foule de dévots à l'Hôpital Psychiatrique-Mère l'Eglise, le fera se heurter aux arguments de poids qu'est le silence sur les faits qu'ils aient été vécus dans le scandale public ou la psychose collective la plus pure. Parade incontestable et despotique, le silence contre tout argument des personnes surveillées brise leurs faibles protestations, les condamne au statut restant dans le non-dit de prisonniers d'opinion d'une ville, sortes de prisonniers de droit commun toujours tenus pour coupables de déraisaison, des faits d'une population de voyeurs de ce phénomène, les épiages, les actes inquisiteurs des équipes en visite décrétés délire hallucinatoire.

Internement si réaction à cette surveillance, sous appellation de rechute délirante, délire de persécution. Psychose.

L’individu jugé anormal, gêne pour autrui, dans l'incapacité de vivre en société, dangereux pour soi même autant que pour autrui, si en réaction à ces méthodes, se voit dans le devoir de se soigner, dans l’usage de la lobotomie et du soin psychiatrique anticipés à son internement en guise de dénigrement des faits.

Depuis la psychiatrie de Trieste la France vit des heures et des années de tir à vue dans des soins à domicile illégitimes à dormir debout dans le déshonneur, la promiscuité et les affres de la torture d’Etat, déshonneur récupéré dans la plus stricte injustice, des plus violentes et meurtrières, dans la plus grande barbarie du monde, le Capitalisme pro-américain de Berlusconi de type médicalisé, à politique religieuse et médicale dirigée vers ses hérétiques et opposants, à les faire se rétracter, minoriser en nombre, disparaître de la surface de la Terre. Politique de Terreur pis qu’envers terroristes. Sous l’étiquette de la démence.

Régime fondé sur le crime politique mené par une Science en état de Fronde despotique de type Hitlérien regroupant tous les fascismes de Droite et de Gauche, Etat dans l’Etat, de populisme freudien, au gaspillage de vies immonde, capable de tous les crimes contre l’humanité sous le prétexte du Progrès dans des camps d’extermination à expérimentation forcée. Dans lequel chacun devrait y trouver son compte. Le trou dans la Sécu pour rembourser tout ça. Mais le ça restera le ça. Du peuple.

C’est dans un régime totalitaire aux répressions totalitaires que nous vivons.

A vous rendre fondu de votre parti. Tendance Gauche Plurielle, écolo. LCR Besançoneau, à Laguiller, que l’on ne compare elle à la Pucelle.

Pays de honte où Staline est Roi. Magouille de partis coalisés. Goulags Guomindangs du pauvre mettant en danger la Femme émancipée décrétée prostituée, la femme battue, la Veuve et l’Orphelin, la France déjà en péril. Implants de même type que godemichets à télécommande et pacemaker, cela n’est dit mais se fait, greffés, sur sujets d’expériences biologiques, couturés, soignés de soins commués en exactions, tabassés à mort pour ces secrets. Ceux-là ne pourront rien en dire ni témoigner, j’ai enfreint cette loi. Du silence. Goulag. Aux travaux forcés pas pire que dans mines de Silésie. Silence à vous arracher les dents de dedans également, à vous recycler dans le roman de contre-espionnage façon kiosque de gare, et se soigner pour l’idée que l’on s’en fait, travailler et mourir à chaque crise identitaire de parti.

Quand il fallait être de leur grogne. Mais alors, neutre ou pas. Il fallait être trabaka la Moukère, trempe ton cul dans la poussière, cela lénifie en plus du fervent léninisme, mets Pépé KO dans la baignoire de l’asile psy, au cas il lui resterait une dent, et de l’argent. Mon silence gêne, parfois. J’ai fini par parler. Puis écrire, n’étant écoutée. Gavages forcés aux œufs, cachets opiacés à vous faire faire du lit pendant des années, aboulie ou cathexis à catatonie je crois, barbituriques à accoutumance puis dépendance pour rendre hystérique schizophrène, dépressif, maniaque, obsédé, dément.

Façonnée au cordeau depuis l’enfance pour le moule de la schizophrénie autiste ou paranoïaque par toutes les persécutions, le moindre poil dépassant d’un millimètre, au millimètre près rasé peigné, dans une coupe à la schizoïde à damner. Le tif un peu trop long devant correspondre aux idées courtes revendiquées. Dans une Démocratie Gaulliste du SAC et des CRS médicaux. Si la démocratie républicaine dite république démocratique a eu lieu ou existé un jour.

Magouille de schizophrène, hein ?

Partis où la vie est risquée d’y adhérer, signalés seulement partis-pris. Magouille. Où l’Histoire de France et du Monde vous est apprise par les armes, chimiques aussi, du Soin et de la Thérapie, sous les Supplices Infernaux du Monde Chrétien et du Monde entier. Mon dentier.

L’on imaginait pas qu’il puisse exister un jour sur terre un Goulag pareil, n’oublier les crimes antisémites commis par les soviétiques. Politique de ruche à miel. Mafia russe médicale. Mon Sergent. Il s’en n’en fallait pas de beaucoup il fallait de peu que je ne l’écrive mais je l’ai écrit quand même. Asile psychiatrique-maison de répression et de redressement de l’Etat. La France a laissé faire et continue à ne point s’en soucier, encore colonialiste de ces faits.

L’Argentine, c’est loin, quand la France n’a cessé de l’avoir à sa porte. Infiltration pro-américaine, explosion mercantile de la torture thérapeutique et expérimentale à l’essai. Depuis les débuts de la psychiatrie.

C’est bien en France que nous sommes, pays défenseur des Droits de l’Homme et du Citoyen, des libertés, égalité, fraternité. Tout ce bordel fasciste que j’ai vécu parce que J’ai osé oser. Au tout départ, dès que je suis née. J’ai osé naître. Désormais, j’ose écrire. Cherchent tout de même à faire un autodafé public et privé de mes écrits enregistrés ou dument consignés. Y compris dans mon cerveau. Aveux publics complets à mutilations cérébrales de ce qu’ils contiennent, si ce n’est grave, d’être cuisinée à ce point.

Ils ne vont pas tout de même soigner non plus Laguiller pour son manque de sérénité, de réalité et son idée, ou plutôt ses idées, dirait Arlette Chabot, férue de patience d’objectivité et de courtoisie. Elle aurait bien raison.

Chasses aux sorcières contre les idéaux de Gauche libertaires ou pacifistes, jusqu’à la traque, la chasse à l’homme, reprise en chœur par les psychiatres et la Médecine sous la forme des expressions : « Idées de chasse à l’homme » chez le sujet traité, si victime de traque, au cas où « il n’aurait pas pris son traitement ». Je l’avais pris. Mais ne voulais le dire. Certains ne reconnaissent pas y être allés un peu trop fort. Petit morceau d’anthologie française, le poids du dictionnaire quand on vous le grille au front et à l’arrière de la tête des dolicos, tête ne devant pas dépasser les 1 Kg de poids, le poids du dictionnaire en résumé précisément.

Affirmer son parti étant une mise en danger de soi, au point d’en décéder sous les violences et les coups. De fusil à fusibles, si vous êtes de la France du Non, du Socialisme du non, pris pour celui de Marine le Pen.

Nous partageons des évidences mais pas les mêmes buts. C’est la seule forme de concession que je lui concède, si l’on veut connaître par tous les pouvoirs absolus mon positionnement à ce sujet-là. Toute vérité n’étant bonne à dire. Son Père est bien pire encore. Miroir aux alouettes des idées de la Gauche qu’il récupère. Marianne-Marine Le Pain et le fromage des vaches et des Français avec leurs piques à bigoudis, peignes à cheveux du dedans et piques en tête, fondus de l’Epine en couronne à vous faire dormir à l’asile. Le Socialisme du non et le National Socialisme, deux terrains très opposés, d’une différence, aux différents à couteaux tirés en plus du trépan dans le nez, extrême.

Asiles Psychiatriques. Casseurs de grogne quand il faudrait être de la leur, piquant leurs piquets de grève à chaque grève depuis celle des Lycéens. Violement prise à partie par casseurs Intégristes ou de tout autre Ordre venus remettre de l’ordre dans mes écrits et jeux de jambes à la spartiate contre des parties de baston à savate française terribles de jeux romains dans un Matrix immémorial, à en prendre des médications pour la vie toute sa vie pour des implants et virées invisibles à insoupçonnables d’équipes d’infirmiers-soldats du gouvernement. Le ring c’était l’appartement. La rue, les commerces. Ne pouvoir le confier à personne, rester seule de cela, syndrome schizoïde, sans famille ni un ami pour qu’ils ne vivent telle galère, ni ne soient retournés à mon encontre. Le Secret Médical à ce point là, c’était à moi de le tenir. Le Silence. Le Secret, ou Placard.

Au nom d’une Nouvelle Convention Internationale Psychiatrique contre laquelle nul ne peut aller ni se retourner ni se détourner pour l’éviter, p49, section 9 article III-248 sous-chapitre 2 du Traité de la nouvelle Constitution Européenne. Inattaquables, de droit inaliénable concernant les aliénés de leurs droits, donc aliénés. Je n’ai été de ce Concile de Trente, mais je le devine. Armes électriques militaires testées sur individus de la population, recherchés et contrôlés ad vitam pour ce rôle, de cobayes humains contre leur gré, le plus souvent à leur insu, sous l’étiquette de la démence. En préparation d’une guerre future, dans l’apprentissage du reste de la population de l’infliction de la torture. Et du devoir de torturer.

Obstruction mentale de partis à idées fixes et pré-occupation de terrain sous forme d’exactions violentes commises selon les soins dégradants d’une médecine illicite, contrôle de la population incessant sur les détenus psychiatriques en semi-liberté, une sorte de liberté conditionnelle, violences verbales continuelles, incitations racistes, antisémites, à la violence ou rétorsion mentale et physique. Drogue du peuple. Font rempart, intoxiquent, incommodent, voire dérangent sérieusement. Drogue idéologique savamment, librement diffusée.

Gifles subites et le plus souvent injustes qui passent inaperçues tant le souffleté avait l’esprit ailleurs. Ensuqué.

Jurassics Parcs peuplés de vieux Aliens, mais qu’est-ce que tu baves, vieux varans à la bérette un peu basque, genre gros calmars géants en amour qui ne vous lâchent plus d’une ventouse dès qu’ils ont commencé à vous en coller une, un peu pieuvres, vieux poulpes qui devraient vous suffire, tout comme mon ancien médecin qui les connait, grands brontosaures très carnivores très brutes, qui vous feraient fuir à la vitesse grand V et grands coups de dents, si l’envie vous en prenait de les évincer. Pays de vaches dans le pré. De tromblons et vieux curés. Tant que l’on n’est fait de leur bouffe et de leur merde jusque là, c’est que l’on est mal. Malade mental.

Soyez forte après ça.

A vous faire oublier le Cid Phèdre et le programme de toute votre scolarité, y compris le Lycée jusqu’à la faculté, à ne plus commettre que des dissertations de collège, vous réduire en pute de salon, passant de violences de type violences policières psychiatrisées en meurtrissures jusqu’à la lésion dans chaque zone mortelle de votre corps et chaque organe vital qu’il leur plaira de fracturer, électrocuter, tabasser à l’électricité cela va de soit, ainsi que cela se pratique sur tout prisonnier, tout autant en cellule qu’en chambre et surtout d’opinion. Implants en rangées, imitant et simulant même l’Enlèvement des Sabines, Sardanapale, la mort papale, le mors, la pale, ici électrifiés, accompagnant les électrodes, pour mes idées libertaires. Dans le cerveau reptilien. Confondent les dossiers de patients entre eux, pour leur problème de la catégorisation du malade. Chaque problème de tout schizophrène ne devant et ne pouvant être que celui de tous les malades de même type. Début de clonage des maladies mentales.

Compatible avec l’esprit de ramener l’ordre chez le Pap’. Couronnes d’épines à électrodes et points de crucifixion multiples dans le corps, l’épine létale à implants électromagnétiques, sur le dos des mains ou bien aux poignets. Le cœur, le cerveau, les organes génitaux et vitaux.

Implants ou folie, c’est à s’y méprendre.

Délations antisémites faites auprès de la psychiatrie, prises en compte et privilégiées vis-à-vis de l’opinion de la personne concernée, sur les faits qui lui sont incriminés. Sèment le doute cher au christianisme où qu’ils se trouvent, où qu’ils aillent, par le fait de la présomption, suspicieuse.

Front prolétarien dont on ne sait plus s’il est populiste ou stalinien, à tel point que l’on se fait des théories sur les vases communicants, depuis la Commune que ce Front voudrait bien anéantir. Quand ils n’ont jamais vu une femme en colère.

N’existent plus aucun conflit de génération ni de voisinage, mais des démences, des démences précoces, des schizophrènes, les conflits de voisinage déclarés hallucinations de schizophrénie à délire de persécution. Qui dit voisin dit schizo. Et moi dans tout ça. Croisades sans croix de condamnés à la cécité mentale, à l’aveuglement cité dans l’éthique marxiste du matérialisme historique. La philosophie, une science déontologique aussi.

Réquisitionnée pour cela. Parties de guêtres à horions, de guipes à gros cognes quand sont appelés les gros bras. Sapeurs en croisade, vieux Pon-pons à flonflons et fleurettes, commissariats clubs autant de réducteurs de têtes, grands trancheurs de nœuds gordiens, menteurs comme arracheurs de dents. Cause le dé à coudre coudé. Jeux de mots à l’emporte-pièce, gueules arrachées. Cassées, façon gueule de l’emploi. Cela le fait chez-eux. Autant que gouges ou canules à trépans sans canulars, par les trous de nez.

Vous n’emporterez la Révolution ni la guerre de cette façon-là, par la Terreur pis que Peste Noire.

Parce que ce qui les gêne c’est que chez-eux ce genre pieux souvenir précisément cela s’arrose à tel point que cela les rend sourds, pas muets, le nez bien bouché autant que leur vin de service, à s’en oublier de souffler les chandelles, de moucher le plafonnier quand ils ont le mât, et mettre les bougies de leur système à l’éteignoir. Si je n’ai d’yeux pour les hommes, j’ai des oreilles pour les entendre qui n’entendent pas que Soi à taper dans le tiroir, du polichinelle, même par complexe d’utilitarisme. Les armoires à glace, si l’on croit que quand on en rencontre une c’est pour s’y mirer dedans, à moins de faire miroir déformant, attention les coupures. Après cela si vous êtes sage comme une image ils vous mettent un bon point. Et après s’être bien pris des châtaignes par la poire et avoir eu bien mangé des marrons l’on se dit « mais j’ai bien mal aux dents ». Que la vie est dure quand elle dure…

Utilitarisme. Jusqu’au tabès, au moindre mot lu ou entendu d’électrodes, des trous dans les mémoires gros comme des gruyères, des cases vides de faites pour le terme lobotomie. Tu le veux, tu l’as. Jusqu’à la perte de vitesse, l’interdiction de percolation sociale. Il en existe même qui se font vite dépasser par les évènements. Ramenés par la force de la farce (Jung) à la dignité du silence du prisonnier. Politique.

Jusqu’au délire rentré. Rêveries de tête, à cervelas. Interventionnisme, qui rapporte à la Médecine et aux clientèles qu’elle se fait. A faire douter du Dictionnaire, faire perdre son latin à n’importe qui, de leur latin de cuisine. Autoritarisme rancunier de chacun, à pécuniaire, nions coups et blessures, de tant d’intransigeance fallacieux et déréglé. Autour de la traite du malade. Sarabandes infernales, chaque nuit. Traité par le médicament jusqu’à la rature la faute professionnelle la faute de style et de français, l’accident grave à implants de circulation (sanguine) causé par la liberté d’expression à en ameuter le patelin, de l’Extrême-droite.

Annihilant le travail profond de toute une résistance depuis de siècles d’esprit libertaire républicain et démocratique sous des siècles de dictatures, d’hégémonie passés jusqu’à nos jours inaperçus. Nous sommes loin d’être sortis d’affaire. La république existe depuis les débuts de la romanité, nous en sommes encore là. Dans des siècles plus tard, si tant soit il se trouve qu’il en existe un jour après la bombe prochaine, notre civilisation occidentale sera traitée en seconde civilisation romaine, façon Envahisseurs, je le déduits. Déclarés déments tout être qui y répond ou fait un geste contre cela. Puni par ravages à épingles des zones frontales de la compréhension, intelligence et cognition.

Mon chat y compris devait y être castré, lobotomisé des zones de sa pleine conscience, du fait et du pourquoi de sa castration, qu’il ne supportait. De ça. Subconscient.

Toute allocution dépassant le temps de patience d’un médecin et de son entretien décrétée crise de délire. Soupe de pois dans les choux après l’injection retard ou le café, à des doses létales. Assassinats sur prescriptions légales. Tout détracteur à leurs jeux de pouvoir décrété fou, dans une cause commune partie civile à vous en claquer tout cerveau et péter toutes les dents. Voisinages poteaux indicateurs suivez mon regard il est là, meneurs de police politique qui vous sauve de tout, de même parfois la vie, à orientation et penchant pour le SAC envers les littéraires. Appellation contrôlée.

Depuis longtemps des pressions syndicalistes ou politiques devraient se faire en plus de celles des ligues organismes, associations humanitaires pour sauver des vies entières de ces fléaux, si la police et la justice en défaut de plainte, toute plainte en ce cas déplacée, dite plainte de schizophrène, ne peuvent rien y faire. A vous déprendre de l’idée même d’enter. Prendre avec leurs pastilles Vichy sur le repas l’épilepsie pour un malaise vagal, d’une vaut-rien un rien pouliche du gouvernement.

L’Extrême droite, pas que de la guimauve, ni simplement l’alcool à boire. Bonne clientèle mercenariat de la Psychiatrie et seulement ça. Un trust.

Prenaient Le Pen pour un homme de paille de leurs groupuscules à casquettes un peu penchées, pantin qu’ils agitaient, désiraient à la présidence avec anticipation crédible durable et sérieuse. Pétain à nouveau au pouvoir. Ce n’est pas que nous, dits déments et nos défenseurs, contre-mouvement à ces fantasmes et douces rêveries, ayons été crédules envers leur nouveau gouvernement anticipé, mais cela fut un long combat, douloureux, lourd en pertes.

Dites rechutes, internements. Décès. Cela fait mal, du mal aussi d’être du radicalisme de Gauche. Et du mal à la Gauche.

Tentatives vaines de redressement de la Gauche et de la Gauche radicale, à plusieurs reprises, dûment reprisées, autour des élections de la nouvelle Constitution Européenne, qui prêche autant que psys qui ne sont pas forcément d’origine divine, l’expérimentation scientifique sur damnés, incontournable et inattaquable, inaliénable même devant la Justice : Que nul ne saurait ni ne pourrait attaquer, ni empêcher. Cf. l’article III déjà cité de ce traité là. Constitution déjà en vigueur. Là aussi, rien que d’y penser, cela fait mal. Jusqu’à la minorité du mouvement. De la Gauche du non, minorisez les faits après cela.

Tabassages aux gégènes implantées ou d’autre nature. Cassages de gueule en règle sous méthodes identiques. Ils poursuivraient bien leur longue rêverie. Pour tabasser encore et encore des appartenances même pas revendiquées à Chevènement. Œufs pourris envoyés à sa tête, balancés ou intubés chez d’autres.

L’œuf étant schizoïde… Coma postopératoire, de Chevènement. L’opération à coma, épileptique, voulue pour ses suivistes. Qui de le suivre s’en font un mal de chien, car Sus aux schizophrènes défenseurs de son parti.

Schizophrénie. Dure étiquette pour les tenants de l’éthique du mouvement de Chevènement, au radicalisme décrété radicalité de Charles Pasqua. Il y avait de quoi être un peu mou, genre vieux socialiste bien sauce naïf et pas du Non, seule alternative qu’il reste. Dans un jeu de balle de flipper immémorial. Aïe. Tu as vu quand et comment on considère Chevènement… ?

Il fallait décider vite. Pour être vite fiché, de telle appartenance, dans le temps imparti d’une visite, de psy à vous en laisser la science infuse, chez les voisins du haut, ou celles du bas dont leur médecin qui était un temps certain le mien, militant pour l’euthanasie depuis longtemps, veut dans tout le mal qu’il me veut, absolument connaitre enfin le nom de mon parti. Dans le but certain là de m’enfermer un jour dans un de ses pavillons, pour grogne, quand bien même mon médecin actuel s’y opposerait, mais il serait bien vite ramené à la raison de ce pouvoir là. De ce Psy là. Parce que je ne suis de la sienne, grogne, ni de son parti référence, d’ailleurs. Métro-boulot-dodo. Et Ceausescu dans la peau. Razzia psychiatrisée dans les idées d’une certaine Gauche, libertaire, athée.

Ratissée, quadrillée passée au crible et dûment cadrée, encadrée, il me veut, pour la grogne que j’émets que sa grogne lui fait entendre. Et qu’il ne faudrait point à m’oublier un peu sur le grill. Antennes psychiatriques où il faudrait se réfugier pour le grabuge causé par l’une d’entre elles, au point de faire risquer le décès. Ou la mort inopinée. Elle est partie, un peu partie.

D’où le but de ce livre. Enfin une liberté d’expression, pour mes satires, à satyres nazis, dont ce psy.

Tout schizophrène ne parlant que nazis.

Satrapes sybarites en folie.

Qui réclament des services psychiatriques la loi des disparitions, des suppressions, leur constitution en junte de pouvoirs médicaux, où la thérapie tient de l’initiation au rôle du lézard, ou bien du crapaud vert.

Jusqu’à la lésion, cérébrale, entre autres.

Pour mes pamphlets sulfureux dissidents sur la monarchie constitutionnelle de la Psychiatrie, de douce poète. Mâchoire chez l’un, décrochée, aux ligaments brisés d’électrodes, mort de faim étouffé dans ses aliments, hébéphrénie, car attitude d’hébétude. Electrodes à rendre anorexique pratiquées dans cloaques infects, jusques dans domiciles, parfois conjugaux, à semer la zizanie.

Trépanations pommes de discorde de la population, en guise de dédommagement pour y être allés un peu trop fort, et avoir eu réduit des moitiés de crânes en bouillie. A cureter de curetons, en un bouge infect ou claque à claquer. Je n’avais pas le choix. Il y a des fois où ils ne se sentent les chevilles enfler. Histoire dans la population de cheville prolétarienne que l’on me veut.

Là où il y a magouille, schizophrénie il y a. Crise d’adolescence de la voisine du dessous, dont la connerie raye le plancher dès qu’elle relève la tête, ils y seront allés un peu fort avec la sauce de vinaigre à la moutarde, quand elle veut m’en intuber jusqu‘à ce que cette moutarde me monte au nez. Arrêtez de me tirer dessus pour que cela me branle dans les dessous.

Si l’on ne la confond avec moi quand elle râle de délirât, envers moi.

Moi-même, Reine Carcas au quasi protestantisme chevènementiste, assiégée dans sa ville jusqu’à ce que de trompettes de Jéricho en batailles rangées résonne le glas de quelque psychiatre pour ses choux-gras et ses grosses soupes quand il en attrapé la colique de sa paranoïa à décréter à qui veut l’entendre que je mange, coprophage, mes excréments avec ses sardines quand on m’en badigeonne, qui m’aura voulu la peau pour mes livres tant hérétiques de pétroleuse.

Que l’on voudrait bien au pilori du Polit-bureau du bureau d’hygiène de la ville pour leurs idées libertaires et parfois réductrices de troubles barbares policiers à populaciers. Contrainte à contre mauvaise fortune faire peau neuve. Cela ou la mort. La bourse ou la vie, poncif. Et dis-moi ce que tu fais, ou… La matraque à sangsues et bien pis. Vie entre la férule, la faux la faucille et le ma rteau, quand les psychiatres pour leur veaux gras tuent le juif, sur les tables de Moïse du Mont Sinaï.

Voisine du dessous, gouine juive au passé trouble, au baiser de Judas, traitre à son sang comme à son rang, délatrice de mes travaux de dénonciation. Infante de ses régentes.

Personnalisme.

Moi, née d’une famille d’enseignants, moi c’en est presque certain de sang juif de Catalogne espagnole Brunehaulte Wisigothe catholique par mon père, Wisigothe protestante par ma mère Parfaite cathare païenne, Mère draconienne disciple de Dracon, dragon de guerre dite Thatcher ou El Duché, voire Celte de sang Polonais ou bien Autrichien. Moi, de sang libre artiste et athée, d’obédience révolutionnaire et roturière, Communarde de la Communale par mon père, libertin, paillard machiste repenti Rabelaisien par goût, petite-fille de réquisitionné au STO à Fouga dans les locomotives, d’ascendance de contrebandiers d’alcool (cf. les « Mortes Toisons » de mon Père, livret de nouvelles).

Famille paternelle décimée par la guerre de 14-18 et la grippe espagnole. Petite-fille du coté de ma mère d’un pieux gendarme garde-champêtre poète à parent ascendant enfant trouvé de la DASS, qui prend en charge surtout les handicapés et les pupilles de la Nation, grands-pères de souche paysanne, d’ouvriers agricoles, à alambic. Arrière petite-fille d’une veuve de la guerre des tranchées de 14-18, restée veuve.

Issue de toutes les hérésies dont les guerres perdurent, hérésies les plus durement réprimées par l’Inquisition depuis les albigeois, il faut que j’endure cette guerre civile due à mon nom comme à ma généalogie. Qui m’a été reprochée jusqu’au placement.

Moi, condamnée aux travaux forcés y compris de ce livre par toute une société, au bagne à perpétuité pis que pour gangster à casser du caillou toute la sainte journée pour un Grand-père réquisitionné au STO. Biribi, Cayenne, et le Carmel à l’essence de mélisse pour la Gauche de source humanitaire, interdite de séjour en France si trop dans la résistance à ces pouvoirs totalitaires, reconduite aux frontières de l’asile psychiatrique qui n’est pas un asile politique, pour délit d’opinion envers cette puissance concentrationnaire et ses pouvoirs nationaux. En état de Guerre Sainte.

A creuser tels flegmons d’Extrême-droite les failles de tout consensus des libertaires, consensus familiaux, conjugaux, relationnels, autres. Jusqu’au conflit meurtrier et séquestrateur.

Sang-mêlée frappée du sceau de l’interdit, librement censurée autant que mes travaux, conscience tranquille dans sa liberté d’expression. Guerre des plus, immondes, infectes, fratricides, dangereuse pour la santé et pour la vie, Sainte Clotilde.

Mon sang aura assez coulé. L’on m’aura bien tant voulu la mort avec suicide. Ils ne l’auront. Même aidés de leur scientologie, de leurs brigades rouges qui vous embrigadent, mon brigadier, à vous fusibler vif. Quand il est question de volonté intransigeante chez eux, à rester mou mol et bien mièvre… A rester pété de pète ou poète bucolique jusqu’à la fin de son existence, neurovégétative, dès que pris sur le fait de rabrouer. Faible femme, poète tu resteras. Dans la beauté te confineras, sois belle et tais-toi. Il fallait que je n’émette de tels discours. Vieilles crottes à la tisane de rue écrasées à mon insu dans le cul, la rue, famille des rutacées, plante abortive en tisane, en cas de grossesse non désirée par autrui. Cigüe des embryons.

Jachère de mes organes à tabasser, jachère des individus à contrôler et haïr de haine raciale, quasiment héréditaire.

Poète bucolique, je ne vais pas vous en faire une peinture rupestre : Un âne, un veau, des vaches dans le pré, des vieux cochons à cochons de lait, un mouton, de prison, des rats de laboratoire, une souris d’hôtel, une lamproie, des murènes, un lapin, les lapins on leur court après pour les bouffer, un renard, des singes, de laboratoire pour certains, une chèvre, un poulailler, de théâtre, des cocottes, une chouette, un chapon, un vieux coq, un dindon de la farce. Des dindes. Certaines aux marrons.

Des oies grasses, un pigeon, une palombe, peut-être même une colombe de la paix pendue à son olivier, passée au noir cirage pour qu’elle fasse mieux corneille ou corbac, voire un chien de garde, une baleine et son baleineau, un éléphant qui se trompe et trompe énormément, un taureau de combat, acharné, un cheval allemand emballé, un vieux faune. Des chauves-souris. Un coucou des bois. Des corbeaux perchés sur des lignes haute-tension, un perdreau en bande. Des sangsues.

Le cri de la pintade dans le blé des prés après. Des roses, des châtaignes, beaucoup de fleurs dans la campagne. Des corbeaux en France il y en a partout, protégés par une certaine association de défense de la nature, et traditions. On est plutôt populiste nationaliste dans le monde rural. J’en viens.

Mes Dames les bergères, si vous vous trouvez un pastoureau en ville capable de vous courser dans les blés sans une fracture une écorchure ni même une égratignure ni une griffure…

En attendant la soupe aux choux ou aux oignons servie dans le pot de chambre des nuits de noces, durant une lune de miel à chaperon, qui vous souffle les chandelles à ravir. Malthus…

Voisine, communiste en alliance avec l’Extrême-droite qui me revendique, me poursuit de son appartenance quasi souhaitée par la notoriété, à ma famille crédule envers ce genre de personnes, famille qu’elle entache, harcelle de ses complices, démarchages actifs incessants, insensés, et retourne contre moi. Elle, hantée du démon de midi bien jeune, me poursuit de son omniprésence frauduleuse d’appartement en appartement, depuis vingt ans me désirant ardemment dans ses triturations maladives son énième revanche en cause ses hospitalisations répétées pour manque de chance, envers moi surtout

Psychose maniaco-dépressive, dite psychose de manie, elle fouille ma vie intime de son étude de cas sur ma personne dans un instinct de viol avec sévices et de profanation rituelle à rites en la compagnie de ses sbires, mes détracteurs à titre privé, qui ne manquent que de tous les devoirs envers elle. Cyclothymique à fixations.

Elle qui fallacieuse, perfide, comédienne, parfois en état de rut, se pique, se drogue elle et ses ouailles, fait tâche d’huile et pas de table, réclame vengeance, m’agresse violement de ce fait, falsifie et s’arroge le droit de me faire disparaître à son gré, selon ses parties de manies à extravagances irréalistes invétérées. Aux délires fantasques ubuesques. Déluges de nions à faisceaux hertziens, dérangés de frustration érotomaniaque malsaine, ivres de jouissance soudaine. A me souhaiter la castration chimique et électrique, la stérilisation forcée par vieillissement prématuré des organes, passant son temps dans l’épépinage par l’implant des ovules de mes ovaires. Orages électriques sous les crânes. A vous trouver dans des arcs électromagnétiques à faire éclater ampoules électriques, disjoncter compteurs EDF, et vous sortir du lit vite, ravagé de foudre verte, feux follets lézardant entre les draps, de tergal.

Elle. A l’hystérie galopante, l’hyperactivité mentale à extravagances démoniaques, galopine, persévérée d’autres individus tout aussi déments aux implants qu’ils vous ont fait implanter par neurochirurgiens attitrés, et dont ils vous mettent à mal quotidiennement s’ils ne vous taraudent avec le front ou le cervelet jusqu’à la nausée.

Vous électrocutent grièvement les poumons le cœur les intestins. Les ovules des ovaires. Très perverse à souhait quand elle s’y met. Bouffeuse de pu à ses heures. Du pu du pu du pu. Pendant des ans des bruits de copu. Elle qui se dit agressée violemment par moi, dans la haine du gendarme à me voler dans les plumes. Dans une sorte de prostitution orale à en empâter plus d’un, qui n’exige que l’agitation suivie de prostration.

Putain de psys.

Voyeuse malsaine de ma vie à titre personnel, de haine maladive parce que juive et moi d’origine germanique. Assignée au bureau d’hygiène mentale plusieurs fois, elle se venge. Bureau dont l’éthique déontologique est douteuse. A compter les hosties dans les orties quand ils donnent du fouet et du bâton dans des bastons qu’il faudrait prendre pour des Zi-goui-gouis de chatouillothérapie à vous faire soupçonner une prise défectueuse qui vous ferait prendre le jus ou bien le courant EDF constamment.

Si elle en veut elle en aura. Parce qu’elle était prise d’intransigeances, vécue mon amie intime dans ses dires pour mon silence quand je lui fiche une paix royale, elle se défonce sur mon cas, voulait seulement une portion de grosse pomme de surcroit, bien en tarte. Les femmes comme moi, elle les aime comme cela, bien cuites. L’on nous confond. Cela suffira.

Condamnation dans la population occidentale du plaisir, de l’usage du sexe féminin dans son intégralité, selon les lois musulmanes, pronazies et américaines, condamnation de l’usage du bon français dans l’usage d’un pataquès incessant que je ne peux me résoudre à régurgiter ni restituer, proche par son insistance du lavage de cerveau dans les foules, dans une campagne d’acculturation des masses.

Interdits tenaces maintenus par une substitution aux scandales et propagandes de ces anciennes, plus anciennes collaboratrices que véritables amies de leur malade ainsi qu’elles se prétendent, et leurs sympathisants, jugés voix intérieures du cerveau de leurs victimes et donc délire de persécution. A paranoïa pour toute affaire litigieuse.

L’accusation de schizophrénie un détail de l’histoire, les schizophrènes parlent toujours d’Aryens, l’histoire juive, donc, une schizophrénie, autant que celle de dizaines de milliers de gauchistes et de dissidents de gauche déportés pendant la deuxième guerre mondiale, une partie de leur symptomatique peut-être, superbe dans les camps de concentration, à expérimentation sauvage antisémite, pratiquée également sur résistants et prisonniers d’opinion. Encore en cours d’exploitation. A stériliser des malades autant que peuples de noirs sous, précisément, la dernière guerre mondiale.

Recherche expérimentale que la psychiatrie cherche à banaliser autant que la torture médicale, en résurgence de nos jours avec j’en suis certaine celle de prisonniers politiques et d’opinion. Expérimentation dont l’application sauvage, organisée et toujours en cours, est tue. Sans possibilité d’intégration ou de contestation aucune et en usant précisément de ces prétextes-là.

Les implants, électriques à électromagnétiques, une thérapie expérimentale d’exploration fonctionnelle, une technique dite thérapeutique en vogue dans les années 70, très peu connue et très peu reconnue, difficilement distinguée des symptômes de la maladie mentale chronique à incurable, de la maladie physique, réelle ou imaginaire, classée dans les extravagances de la maladie. A cassages de gueule de la sorte, constants, par matériel expérimental.

Le Führer, peut être une idée délirante donc de juifs, quand est un peu trop imposée la torture.

Implants menant à l’internement, dans une vie menée à la baston, sous les préceptes d’Hitler, certains patients ont disparu qui ne sont plus capables d’en témoigner, promis à l’opinion du « non, il n’existe aucune expérimentation pratiquée contre leur gré sur les malades mentaux ». Selon la loi de la lobotomie et du trépan. A électrodes. Appelées casque (de peine de mort électrique, de type américain simulée par électrodes implantées). Se faire casquer, un pléonasme. Lobotomies-décapitations partielles. Censure psychiatrique de mes livres et écrits. Psychiatrie répressive. Chez eux, quand on en sort, l’on signe la décharge, électrique ou pas.

S’armer de courage contre les armes et ne se battre qu’avec les mots contre les mots des autres.

La Raison, une défloration spirituelle, la perte de la virginité mentale primitive par l’entremise du savoir et de la vie, armée du pouvoir, du savoir scientifique le plus souvent irrationnel de la Médecine, quand la Raison ne vient pas. Médecine qui vous aide à être bien déflorée dans ce cas, si l’Homme ne vient pas.

Usage en fait d’une exigence dans l’urgence du soin, de la torture médicalisée, de la propagande pro-nazie auprès des services médicaux dans le but certain de lancer une opération de banalisation de la torture psychiatrique soumise à la loi du silence, celle de l‘internement, de la torture commune à chaque instant de la vie courante.

Campagne d’assouvissement de tous les vices par cette entremise, mauvaises mœurs, rites aryens, lutte pour l’assouvissement dans l’acte de torture, l’abrutissement des masses, l’obscurantisme religieux, l’internement de tout opposant à ce régime, réfractaire ou pacifiste, purge sociale permise par le Soin. Sion. Dans les puanteurs de bouges, médicalisés.

Appel à un hôpital répressionaire dans ces cas de la femme contestataire, de l’homme humaniste, de l’enfant martyr, autant qu’appel à la maison de redressement médicalisée pour militants anti-psychiatriques, style d’hôpital devenu prison, détenteur des libertés de penser et d’agir, chargé d’une surveillance systématique et officieuse de défenseurs des droits de l’homme et du citoyen, à tous niveaux de la société. Enferment leurs détracteurs, les internent ou font soigner, pour les fermer, à ce sujet.

Les accusations des militants de gauche retournées contre eux, si formulées à l’encontre de cette opération. Effet de planète des singes : matons-gorilles, mères de la patrie gorillesses de tout affrontement à ce régime totalitaire. Salopes et salops de Salo, Sodome et Gomorrhe, Bérurières férues pour certaines.

Oppression quotidienne dans les cités, les villages, le monde rural comme citadin, due à la présence, l’omniprésence de tenants de la Gestapo, de la mise au pilori, pour la torture de leurs opposants, suivie d’euthanasie. Après une vie de résistance si encore en vie. Grands apaisements, assouvissement de bêtes qui se repaissent que leur voudraient entre-temps les égéries d’extrême droite.

Qui bercent des villes entières de leurs ramages salés à lubriques, réveillent aux heures de l’amour du condamné et des pollutions, en fanfare, au son de leur musique de troupe et bruits de sonnailles, infligent une société tribale auto-punitive, policière, tortionnaire violente et religieuse, condamnant à l’hystérie de lynchages collectifs. Condamnant les libertés acquises et les acquis sociaux à l’obscène dans l’obscurantisme, une république des psychiatres devenus les nouveaux pères gourous d’une médecine-religion. Abbés Cauchon en foire et foires aux cochons. Que l’on engraisse de nos ronds.

Leur atout : une Médecine qui lutte plus avec leur Clopiscol contre les éclopés que contre ceux qui les éclopent. Les palpitations ou pulsations du cœur, de la circulation sanguine, considérées somatismes du cerveau émotif. A condamner de l’épingle-Epine du Christ. Dans la poitrine.

Créent la thérapie par le forçage, le viol thérapeutique et le desserrage de dents, la haine et la loi de l’enculement par le fer, comme sur autant de rois maudits, thérapie en vogue au Moyen Age, et en Afrique chez les Afrikaners, le rabaissement au minimum vital, le patient cul-offert de la société, seule thérapie à leur avis de la sociabilisation et de l’ouverture d’esprit. Fermez les écoutilles. Condamné à vie pour schizophrénie, un mal à vie. Implants anaux. Dans le rectum.

Le Manichéisme freudien, le Bien, le Mal, le mec bien, celui qui est mal.

L’esprit révolutionnaire français, ils nous en font un pâté de campagne d’urgence, mais dites, qui tient de la bouse de vache. Le pâté révolutionnaire en terrine que voilà. Fumiers. Trace de plié-paquet ablavé. Cervelets en rillettes, excavations cérébrales grosses autant que morceaux de foie. Quand l’on vous dit qu’il faut avoir la foi, au moins en soi, pour vivre.

Ceci pour amener des citoyens considérés malades mentaux à « être comme tout le monde » selon la prescription du clonage, quand rien ne les oblige à passer par-là, il fallait être tout de même y être passé. Les opérations neurologiques neurochirurgicales et expérimentales considérées soins incontestables, incontournables, bien fondés, en cas de démence, de transes d’agitateurs. Argument du bien fondé identique à celui du bien fondé de la torture.

Problème, la transe, était elle et de quel agitateur, celui de gauche, celui de droite, celui d’extrême droite, voire, celui d’extrême gauche… ? Le stalinien ou celui qui ne l’est pas. Le plus agité. Mais ils sont tous agité, sauf celui qu’il faudrait enfermer… Ah, celui-là, il faudrait qu’il s’agite.

Pratiques déclarées hallucinations sensorielles dues au délirât sous-jacent. Gardez le lien social.

Parole saine : mais, on croyait qu’on leur enlevait leurs complexes…

Ou leurs TOC, quant à leur opinion… Ils en ont une … ?

Inversion des faits, toujours pareillement, typique de la propagande néo-nazie, sophismes, vieilles femmes fieffées devant être calmées, qui répandent leurs litanies qu’il faudrait entendre avec autant de dévotion et de naturel qu’une radio officielle de muezzins sur leurs minarets, en guise de gymnastique rééducatrice jusqu’à l’étouffement, usant du droit religieux envers dissidents maintenus tels chevaux au bout de la longe dans un cirque, comme d’une obligation sociale et médicale de la loi de la prière, du répons jusqu’à l’étouffement la bouche pleine lors de la prise des repas et du médicament parce qu’il en faut un, autant que chez elles. Elles se soignent donc il faut se soigner, à priori avec leurs médicaments. Sinon c’est que l’on n’en prendrait que des pas. Rééducation mentale à effet de torture répressionnaire qu’elles disent nécessaire et capable de faire du bien, quand elles ne font référence qu’à leur plaisir solitaire, celui de divulguer leurs bruits de bottes.

Cherchent à enrôler, privent de liberté d’agir et de penser. Femmes sergents ou matons de famille, font marcher au pas militaire de leur hyper activité mentale des contrées entières. Punisseuses, obsessionnelles, incultes, emmerdant le monde entier pour leur Médecine-Religion-d’Etat.

Leur banalisation de la torture pénale et hospitalière, répand sur le territoire français une armada de leurs ouailles au service de cette fraude, accoutrée du devoir de brailler jour et nuit à leur fenêtre, avec en berne le devoir de soigner la Gauche humanitaire.

Magouille. De type schizophrénique.

Happy meal.

Gauche pourchassée du fantasme d’un proxénétisme psychiatrisé pénal, la prostitution et la dure, médicale répressive et rédemptrice des féministes, des femmes libérées, purgatoire de leurs libertés si en voie de renoncement à leurs idéaux. Excommunicatrice de ces femmes jusques dans leur vie privée pour les faits d’armes de la droite fasciste, autant par la Médecine que par la religion. Il fallait vivre cela à l’heure de l’hôpital chez soi pour apprécier combien la terre est basse, dans la maladie mentale prétextée prétexte à tous les abus, fraudes, expérimentations et exterminations raciales, maladie mentale couverture de leurs crimes contre l’humanité. Faisant accroire à une lutte contre des moulins à vent.

La Psychiatrie, un véritable moulin à vent, contre lequel il faudrait pour lutter, contre la mort et la torture, se transformer en vrais sergents des villes, gros comme des Sancho Pança, sous peine de se voir classé dans les Don Quichotte de la Mancha, quand l’on ne se heurte qu’à elle.

Dans ces établissements de bon aloi, l’on sait quand on y rentre, comme dans un moulin, à faire du vent, mais l’on ne sait quand on en sort.

Il fallait digérer les intestins brisés tant corrigés de tant d’appareils de contention greffés y compris dans le ventre et jusque dans les cervelets. Appelés communément transistors, épingles, épingles à chapeau si intracrâniennes, manipulés par appareil de télécommande jusqu’au passif policier. Parfois jusqu’au hurlement, et l’internement qui suit.

Toujours sur l’ordre de la même police, policiers tailleurs de taille et d’estoc quand ils vous refont une veste, grands pourfendeurs de têtes, trancheurs et coupeurs de ciboulot, presseurs de jus de raisin et de citron au litre, trouvant là un individu ou une femme se débattant pris ou prise de douleurs violentes, face à un conjoint complice ou ignorant de cela, contre un appartement où il faut parler aux quatre murs quand ils ont des oreilles, le voisinage exploitant le fait tel exploit de guerre, manipulant les électrodes implantées à souhait, constamment. Se délectant de cette aubaine comme d’un jeu vidéo.

Les implants, quand on vous les a implantés, c’est tellement invraisemblable, surtout quand en vous payez les soins.

Inconcevable, donc irréel.

Pour minimiser les frais disons quasi constamment sinon ils ne s’arrêteraient jamais, jusqu’au supplice de la baignoire, interprété bain forcé à faire prendre. Jusqu’à la maison de passe, tant l’on entre dans le logement autant que dans moulin pour y infliger d’autres électrodes et d’autres « soins », dits palliatifs. Cachets, gouttes. Glaires dans les aliments, les boissons.

Attouchements de parties intimes, humiliation du dénudage lors des opérations, toilettage et torchage publics, viols répétés punissements mérités, les tenants de ce pouvoir médical saturent la contestation dans ce cas jugée surexcitation du moi par rapport au surmoi. La réponse aux violences considérées considérée agitation grave à crise d’exaltation caractéristique (opération dans ce cas des amygdales cérébrales, électrodes dans le cervelet si non déjà implantées, trépans en guise de réinsertion sociale, cureteurs des lobes réduits en bouillie, en purée frite de cervelle).

Lois proaméricaines de l’encadrement, de l’enfermement physique et mental de l’individu.

Triturages de neurones, pourfendages de crânes causés par les commères, mémés muezzins qui font la chasse à ceux qui mènent la lutte contre le bruit, décrétés souffrant d’hallucinations auditives, ils sont soignés par placement administratif s’il leur arrivait le malheur de déplaire.

Belles commères qui font signer par leur maire des placements administratifs contre ceux qui auraient le courage de les dénoncer, maire dont certains contestataires étaient les alliés.

Chœurs de l’Enfer de ces vieilles et jeunes gens, considérés par la psychiatrie voix intérieures du cerveau dues à une dissociation du moi (forme de dédoublement de la personnalité qui fait confusion entre monde extérieur et bruits du cerveau, bruits intérieurs ou acouphènes) ; pour affirmer que personne ne les a entendus, ou qu’elles ne crient que bas, mentent, fabulent, font punir des innocents à leur place, selon la loi de l’arroseur arrosé, chère aux Le Pennistes.

Drapeau chauvin en berne et sus à la Ligue Rouge.

Qu’une personne les accuse de commettre trop de bruit ou d’agitation, que quiconque de lucide critique leur licence, leur façon d’obséder et leurs brailleries incessantes, elles l’assignent au bureau d’hygiène de la ville. Antenne qui les soutient, les défend, les récompense, seulement les avertie, parfois les félicite, les pourfend, ce qu’elles vous resservent, leur sert d’avocat, et leur permet de poursuivre leurs vociférations névrotiques tardives jusqu’à des heures indues de la nuit, quand les couples se retrouvent, à l’heure de la copulation, ou de la pollution, durant tous les jours de congés, jours fériés chômés et semaines de fêtes.

Où il est rigoureusement interdit de s’allonger sinon pour mourir ou dormir, interdit de s’aliter y compris si malade. Ni sans une bonne raison, à fournir au voisinage illico.

Avec la liste des médicaments, des taches journalières et le menu de chaque repas, à prendre dûment, sous peine de représailles et de fortes punitions, l’on veille à ce que les panses soient bien pleines, cela est mieux que penser.

Les pouvoirs ignorent ces mouvements concentrationnaires de vieilles femmes, pour elles dans leur plein droit, aidées de leurs acolytes, qui dispensent des heures d’étude de fixation et d’hébétude sur leurs crises de vengeance, de haine raciale contre untel qui n’aura pas eu la chance d’être choisi à titre d’exemple pour ses arguments.

Bouc émissaire de leur étude de cas contre lequel elles fourbissent leurs accusations mensongères, leurs crises de dénégation, de délire ambiant, tête à claques de ces défoncées à idées fixes qui assurent assouvissements et intimidations particulières pour population affamée de sévices. Ne permettent le monde et les gens que dans l’ébriété. Etudiant-diant-di ant à Dachau.

Je suis nian-nian tant que je me les prends par la gueule. Grève du traitement chez les malades mentaux pour défendre leur sort, parce que traitements trop handicapants, parfois grève de la faim, tout autant durement réprimée. Grèves non concertées qui finissent dans le pugilat répressif, tant individuelles que violement réprimées par les Psychiatres. Vivre chez eux ou sur leur territoire sur les barricades tant qu’on n’a peur de la matraque.

S’ils veulent des explications, ils les ont.

Autant pour leurs vieilles femmes, des Mères-grands qui hurlent au Loup. Pierre et le Loup. Vieux comme le monde.

Toujours frénétiquement secouées par quelque heure de la vengeance, vieilles soudards, commettent avec leurs sbires des procès d’intention interminables sur chaque geste de la vie courante, divaguent dans un idiome qu’elles se font inventer, qu’elles disent être celui de leur opposant. Si elles ne cultivent l’ignorance et en tout premier lieu celle de leur corps. Quand leur identité leur est demandée, déclarent celle d’une victime pas assez Vieille France chez qui elles envoient les forces de l’ordre qu’elles sollicitent, font perquisitionner son appartement à son insu, parfois par des personnels médicaux de type bonjour les plombiers. Feraient tout un trajet en bus et en train pour venir de Paris vous souhaiter votre fête à leur façon.

S’arrogent le droit de la faire déterminer, réduire à néant de ce fait toute personne qui oserait contester leur pouvoir sur la région, l’intimident par ce biais, si cette personne s’avère assez douée pour les faire taire.

Certaines litanies de vieilles femmes dénoncent les faits incriminés, crimes contre l’humanité commis dans les services psychiatriques, torture psychiatrique dont elles relatent les faits que j’ai endurés et qu’elles connaissent personnellement, dans des aveux ou révélations faites à Maries de leur quartier, jusque à la nuit bien avancée. Il ne faut leur en vouloir d’avoir tant dérangé, ne possédant contre les services médicaux que cette arme, seules sources d’information sur les agissements déjà dénoncés. Prière de ne les confondre avec leurs véritables ennemies, de même âge. D’âge canonique.

Vieilles ennemies collabos que ces femmes possèdent, que l’on pourrait employer à souhait dans le contre-espionnage, pour dénoyauter des réseaux d’indicateurs, et d’observateurs…

Les réseaux du renseignement, j’ai mes comptes à rendre à la police.

Puis, souhaitent à leur délateur l’abnégation, la contraignent par des actes de délation mensongère auprès des services médicaux, à une prostration de prisonnier d’opinion, silence qu’elles jurent parfois, avec tout le mépris de leur mauvais aloi, un signe que leur prisonnier prépare quelque sanction en retour.

Le narguent, l’insultent de façon grave, le déclarent malpropre ou fâché à coups de poings avec l’armoire de toilette, devenu anorexique à cause d’elles ou lui font porter la croix de sa culture, de son savoir, de sa connaissance, de cas de sa connaissance, déclarent les cris de leur combat les siens.

Si elles s’avèrent très agitées, dans le genre vieux singes hurleurs en proie à de violentes crises de transes, presque meurtrières dans certains cas, si elles se déchaînent contre la bête noire de leur araignée au plafond, elles parviennent à retourner la situation contre cet individu, le rongent, font intervenir qui le SAMU, qui les pompiers, qui eux le trouvant endormi, le plus souvent à ce moment là, le chloroforment, l’opèrent, le toilettent et le gavent sans le réveiller pour autant. Parent, ami, concubine ou pas dans le logement. D’ailleurs acquis à la cause commune d’interner ou soigner. Quand on veut les soigner, elles se vengent.

Leurs divagations atteignent grands comme petits, contraires à l’enseignement de l’école laïque, contraignent des enfants de leur quartier à parler leur patois tant elles subliminent. Jusqu’à l’orthophoniste.

La faute revient vient toujours au cas cité, quoiqu’il ait fait, quoiqu’il ait dit, du fait qu’il a gardé le silence un peu trop longtemps, le font accroire capable encore de leur préparer un mauvais sort, de style procès à leur encontre, à l’encontre de ces rançonnages inquiétants pour la population qui ne cesse de s’en préoccuper, ce qui était le but recherché, créer une charia insurmontable autour de leur rival.

Charia qui s’annonce en fait d’agressions contre le dissident, de défenses en sa faveur incessantes en cas de heurts avec les équipes, interventions et gestes de la population déclarés fruits de la paranoïa chez leur victime, dite ou décrétée en état délire de persécution.

Mégères qui retournent contre la personne surveillée les vengeances d’autrui qu’elles auront blessé en l’attaquant à son sujet, à force de scandaliser dans leurs gros arguments, leur intention de nuire et leurs insultes dévoyées. Satyres de mes satires. Régentes lures enflammées, voisin pavoisant diffamatoire, tous emballés, trainant sous leurs coups de sabots dans leurs razzias pandémiques à les vouloir hors de leur bief Reine Hildeberg, Reine Hildegarde, et dauphin attitré, pas très emballés, eux. Tous broyés. Dans le haut fait de Moyen Age.

Toujours prises entre l’encens et la myrrhe, férues de la poutre de la solive et du madrier, elles lui apportent à son insu, après avoir eu visité son appartement, dont elles ont réclamé à son antenne ou pavillon les clefs, se faisant passer pour amitiés, maints cachets et potions à incorporer dans les aliments de son réfrigérateur, sous le prétexte qu’il ne prend ses médicaments.

Quand on les sait capables de cela, si un individu est jugé malade mental parce qu’il aura eu l’audace, la foi de les contester, s’il déclare être impuissant contre cela, rendu frigide par ces excès de traitements, il faut lui faire manger du céleri en branche et s’il le faut, on l’en gave, sans qu’il s’en aperçoive, avant le repas de midi, digne collation qu’il prendra en sus de cette nourriture. Parce qu’en plus, il ne se nourrit pas, de ce qui lui est fait. Tant qu’on n’est fait de leur bouffe ni de leur merde dans le bide c’est qu’on est mal.

Chœurs de l’Enfer, de ceux qui passent chez certains pour Chœur des Anges et diables. A diablesses, et vieilles sorcières.

Qui se passent eux leur fiction fondue d’œuf du soir sur l’alité de service, en proie à un mal de bide et de crâne à implants à faire fuir un Ministre. Long love on the bit qu’ils lui voulaient dans l’éternité de l’Enfer. Il leur faudrait un cerveau tel un résumé pour entrer dans une feuille de cahier Hermès de la Police sans pouvoir en émettre un commentaire sous peine de gros nions grosses bosses et grosses baffes, à implants tout autant, quand les commentaires on les leur entend à longueur de temps. S’ils croient qu’une manette de télécommande d’implants comme de magnétoscope c’est extraterrestre… Des batailles de rue contre cela, l’usage de ces manettes, des cénesthésia…

Vieilles harpies à commandos en état de Romanisation à créer autour d’elles des batailles de poissonniers par Toutatis tout comme dans autant de petit village celte, à Obélix qui assassinent à bras raccourcis le barde Assurancetourix, à coups de gros nions, pour des questions de petit marcassin sur un petit toast qu’il lui manquait, après les électrodes, et qu’il n’osait avaler de soi. A son grand détriment. Décidément, de tant ne vouloir dénéguer de soi, de se voir tant pouvoir être dépéguées de Soi, les Sartriennes n’ont pas de pot, ni de peau d’ailleurs. Ni de bide mais prennent des ventres.

Sartre, tout autant que la torture quand elle est infligée, un mal de la personnalité, ou de l’identité, d’après la loi. Quand la torture ne s’attaque qu’à l’identité même. C’est le problème de la loi et le mien quand elle n’est respectée. Ni Moi. De là à décréter la paranoïa dès que manque de respect de loi vous concerne… Le libre arbitre sartrien dans tout cela.

A prendre l’opération de coup de poing de l‘Extrême-droite pour une maladie de cerveau, une simple sénestre, quand on se le prend par la face, ou le bide. Pour bien vous tenir la tête sur le crachoir et vous faire cracher la dernière dent de mâchoire et de cerveau, avec le bout de nerf attenant. Cela n’en finit plus de faire mal. Quand l’extrême droite ba ille son droit de sol et braille aux corneilles.

On vous a vu la luette.

Quand ça s’arrête, cela fait du bien. Cela peut faire réfléchir. Réfléchir, vous avez dit réfléchir ?

Pédales pas douces un rien pédophiles en mal de chair fraiche en friche, à supplicier, dans le nez de leur gouine qu’elles aimeraient bien défendre, qui me le rend, quand cela lui fait du bien de me boxer, par implants. Vieilles orang-outang en mal d’enfant à martyriser à tâtons, vieilles folles, un rien tantes dont il faudrait être pour leur plaire et surtout pas tantouzes, le béret un peu basque, parce que la pelote, elles aiment, ménagères en mal de castagne et de sensations sur chair fraîche pour avortement illicite à castration/stérilisation forcée à l’électricité, d’implants, à suivre.

Pour leur donner un peu de potion magique au cas où elles voudraient un peu trop de rixe, corrigeraient mes fautes de style ou plutôt d’inattention un peu trop fortement, me lobotomiseraient par inadvertance ensuite en guise de dédommagement, dans un curetage de cerveau en règle, pour y être allé un peu trop fort, les zones lésées. Réduites en écrabouillis de bouillie frite, de cervelle en charpie. Façon cuistot mais pas lui, l’autre, pour parler de cuisine. Changez de frite. Quand c’est bien cuit c’est trop tard après. Quand on n’a pas le choix.

Pas beau. Avec leur voisin du haut et qui se prend pour un maton à bastons du service de force, qui se veut mon mec quand il faut se le prendre par la bouille. Pas beau non plus. Quand prennent des lobotomies pour des cassages de bras, de type cérébral. A claquages de crâne. Se l’est un peu trop fêlé. J’ai chanté un peu trop faux. Je me bats avec les mots. J’écrivais un livre, pour lequel mon ancien médecin me promettait le bannissement en bâtiment de force et la maison fermée si je l’éditais. Je le rédige.

L’éditerai je l’espère. En surcroit du livre sur la sexualité de madame Irma.

Le parc Astérix et leurs ancêtres les Gaulois, à ces Romains, leur seule référence.

Quand ils vous prennent l’ami pour Robocop. Et vroom il vous arrive avec son petit hélicoptère, et son dictionnaire, pour vous faire du bien.

Jaloux de ça. A vous faire gaver avec de l’artichaut pour votre cœur d’artichaut.

A vous faite mettre dans les ongles de pieds des branches de sassafras, sous les micocouliers.

Par la voisine, du dessous.

Parties de revenants à pénis dans le genre racine nerveuse style gâchette chatouilleuse qu’ils vous fourreraient bien dedans, à vous chercher des Maries de Médicis pour vous empoisonner, entre autres au cyanure. Gouttes à gagas à gogo et gros cognacs de l’infirmerie à rhums blancs. A vous péter les nerfs en moins de deux, vous fondre l’œuf les fusibles et les plombs avec. A vous dresser des foules, prises là aussi pour cénesthésies.

Vous ménopauser à tant ménopauser de vous tuer dans l’œuf avant l’heure venue en se vengeant sur vous de la voisine lesbienne, un peu trop, du bas, qui n’a pas fini de me stériliser et garde en apparence un enfant de black, quand elles se sentent un peu trop elles aussi nerveuses, hommes de loi et de bureaux médicaux qui se vengent en les laissant vous stériliser à vie.

A vouloir avec ses vieilles à défaut de Cène véritable le Banquet en communauté avec la cigüe aux Platoniciennes quand elles sont trop philosophes, cela aussi à vie. Si ces harpies ne vous prennent l’implant pénien pour un vibromasseur. Ma sœur.

Parce qu’elle, la voisine, vous agresse et qu’elle se drogue, qu’elle a décidé que cela ne serait que ça. Dans le style four, bien crépatoire, pour écrivains au livre pas si bon. Leur faire ablaver le rhizome psychotique, du livre, vous faire piquer une crise en plus de la grave électrocution... Vitrioler de cette façon une femme enceinte à lui faire réciter des messes un dimanche, concernant son dernier bouquin. Lui punir par l’implant anal un mois durant son envie de plaisir de la zone anale. La sodomie à ce point là, par l’électrode, au moins elle aimera.

En plus de l’anorexie d’Amélie Nothomb, dont Ils ont trouvé un livre chez vous, à vous rendre tel un Poulizer. Et vous ronger le cervelet. Le front et le Front après quand elles s’en font, les harpies de HLM, un mal rongeant. Là, juste dans la tempe de l’orbite gauche. Sur lequel votre ami soufflera dessus. Vaches d’étable qui de mes travaux leur champ de luzerne où s’ébattre se font. Des mauvais quarts-d’heures qui des ans durent, camisoles chimiques-gilets pare-balles.

Quand elles ne vous tombent dessus avec leurs vieilles voisines, des duègnes douairières prononcez doigt au derrière, là, l’on ne rigole et ne s’en venge plus. Et avec qui il faut l’encéphalo qu’il faut, si l’on écrit un livre qui n’est pas celui de Mao et que la Mastu on aimait.

Qui s’en font une épizootie à s’en faire un mal d’animal, à vous le reprocher, tous les moyens sont bons, chez les moutons autant que chez les indicateurs de nourrisson. Ainsi que dit le voisin du haut, le mouton, c’est bon, autant que le bouton. De touche de manette. Un mot de trop, ils vous réduisent le crâne en toit de Peugeot et tôle froissée. De l’accident de parcours à l’accident cérébral. De temps en temps vous vous faites démolir la bobine pour vos idées géopolitiques. J’ai bien fait de l’écrire ainsi sinon ils ne me bardaient, de rentrent-dans-le-lard.

Vous, vous avez rit.

Il y en a une qui rigole.

Joue.

S’amuse.

Éteins l’épingle. Cela passe pour une maladie de cerveau.

Humour noir jusqu’au bleu noir. Cérébral.

Cerveau dans le coton, avec toute leur mercerie. Machine à recoudre, sinon à repriser. Planche à repasser, avec les fers.

La vengeance est un plat qui se mange froid.

Il y en a un qui grelotte.

S’il lui vient à l’esprit de déclarer à son médecin qu’elles lui cherchent des histoires, son discours est interprété délirât sousjaçant remontant à la surface, additionné de paranoïa s’il se sent trop concerné. Et sent trop le concerné. On le voit à l’odeur. L’odeur de la prise, défectueuse. Le piège étant d’éviter de parler de la voyance dont elles se flattent pour « deviner » les actions de leur ennemi. Un symptôme certain de la schizophrénie. Saupoudrez de céleri et faites frire, servez le scalp de l’aliéné dans son jus en même temps que la pizza du chef avec des petits fils de gruyère en guise de nerfs arrachés. Servez mi-chèvre mi-juif au four et chaud. En plus des petits pains-greffes de peau après abrasion du tatouage nazi.

Baguettes de pain-moignons de bras ou pains tibias après monstruosité congénitale due à l’irradiation de la seconde guerre mondiale, ou bien jambe de mutilé de guerre, depuis « La Vie » de Jean Rostand.

Ragouts-chiasses verbales à dysenterie. Toute la symbolique de l’éclair au chocolat, après les étincelles, de la dernière séance à électrodes. Cela va de la Blédine-sperme géniteur à la crème vanillée-pu de nourrisson. Méfiez-vous, devant l’omelette norvégienne, qu’il n’ait un peu trop bavé le petit mousse, il risque l’épilepsie si ce n’est déjà ça. Méfiez-vous de la méningite. Dommage qu’il n’existe rien en vert-crachat, sauf peut-être chez les anglo-saxons. Bouffe excrémentielle, à vous la faire reprocher à un autiste devenu pour la bonne cause anorexique, bouffe anthropophage à la symbolique issue du résultat de tortures, y compris psychiatriques. Les cases vides ils vous les refont à loisir, en les remplissant avec cette nourriture-là. Nourritures terrestres…

De quoi se faire une anorexie en béton si la cuisine française se met à imiter les résultats culinaires des cuisines OAS. Ou de la Junte argentine. Cuisine chilienne, ou brésilienne ? Asiatique peut-être. L’on se demande si le précieux nem au poulet n’est en provenance de quelque prisonnier politique, mutilé de guerre un peu torturé dans son rouleau de printemps pour des raisons économiques, depuis il est à l’agonie, si l’on ne vous a implanté leur dernier paquet de cure-dents, en plus de vous faire manger à la baguette. Je ne sais pas vous, mais je trouve le repas un peu lourd. Au fait, les fils de soja, en réalité, c’était quoi ?

Mégères fanatiques des extrémismes qui ne voudraient autour de soi que femelles de fascistes à leur image quand elles se prennent trop en exemple dans leurs diarrhées de diatribes, l’on n’est jamais assez comme elles, et triturent pour devenir les modèles de la société.

Dont elles passent la totalité au crible pour repérer les éléments discordants à leurs chants nazis, les intrus à ces machinations, ne rêvent que d’éliminer, supprimer, s’attaquent aux jeunes comme aux plus âgés, aux femmes enceintes comme à leur embryon dont elles voudraient causer l’avortement de leurs coups et blessures, voies de faits et violences aggravées qu’elles désirent ardemment télécommander à distance, livrées à leurs implants livrés eux en kit autant que TV avec télécommande à touches. Opération banalisée en association avec l’insertion dans la quasi-totalité du corps et des organes des victimes, d’implants électriques désormais électromagnétiques. Parfois, les deux.

Signez là.

Ne manquent plus que le tatouage et la gélule de reconnaissance reconnaissable par vue d’avion ou satellite avec radar. Si elles ne veulent, leur proie, l’immoler des violences caractérisées qu’elles lui promettent, toujours selon les mêmes méthodes, voies de fait qui passent selon tout médecin, pour hallucinations sensorielles du patient. Tout étranger à leur idéologie et les étrangers elles haïssent, finit dans un combat qui tient de l’essentiel, contre lequel des enfants en bas âge sont dressés le plus tôt possible, à une guerre qui tient de l’inattaquable et inaliénable, car elle retourne toute accusation contre celui ou celle qui l’aura formulée.

Tout cela, cela ne pouvait être que par lui, ou elle.

La Sainte Trinité : Le Père, la Mère, la Fille.

Jésus Marie La Salope.

Marie la Folle.

Putes à Marie. Et trinque Marie quand on boit sa santé.


PSYCHANALYSE DE LA SITUATION, ÉTUDE DE CAS

Vendettas et/ou virées expéditions punitives d’équipes de soignants, puis pour oublier cela, le lavage de cerveau par électrodes après le bourrage de crâne intempestif, l'acte médical assez cuisant pour intimider, créer l’acte répressif exemplaire rarement officialisé.

Presque toujours officieux, mais public, à priori axé sur le gavage des femmes minces, antithèses des canons de la ménagère, rejugées sans fin pour ce préjugé d’être anorexiques. Depuis Auschwitz.

De temps en temps, au dehors, dans les HLM, autour des habitations des prétendus «Malades », voisinages-microémetteurs qui gueulent pour de bon, dans un contrôle de routine qui tient de la voyance extra-lucide, madame Irma, des observations des plus lubriques, voyeuses, sales et salissantes, pour la mémoire des peuples juifs. Mémoire que l’Etat français persiste à ablaver des mémoires du peuple français.

Des malades, d’après la populace et l’Etat, ces français là qui osaient en posséder le souvenir, épiés en fait de bonnes gens genre à tête de micros Watergate ou Big Brother, micros pourquoi pas du Canard Enchaîné que l’on m’avait vu, en 1983, sous le bras, surveillances parties intégrantes d’un Système d’écoute à épingles à chapeau à pluriples vecteurs. Pavé dans la mare aux canards.

La torture d’Etat, en France, quand elle persiste depuis les premiers temps de la barbarie, une vue de l’esprit. Guerre des tranchées dans ce pays à sujet, précisément à ce sujet, la torture sur sujet de toutes exploitations, une arme dans chaque tranchée, ou logement, autrement dit guerre des implants, chacune de ces petites gens qui se sentent chargés de la surveillance d’un de leurs prisonniers d’Etat et s‘en donnent de l’importance, chacun donc armé d’un appareil à les télécommander, ces implants là, greffés dans un individu prisonnier d’opinion de la psychiatrie autant que bracelet magnétique, de nos jours interdit. Type de bracelet, ces implants, cautionné par la psychiatrie et tabou, existant depuis les années 70, électrodes implantées autant que dans crâne de chat ou de singe de laboratoire, fonctionnant jusques dans traques, battues et chasses à l‘homme menées contre tout ces prisonniers d’Etat ou d’opinion y compris de nos jours, précisément pour leur délit d’opinion envers les agissements de la dite Psychiatrie. Ou objecteurs de conscience du système psychiatrique. Toujours dans les phénomènes d’écoute Big Brother Watergate et présidentielle. A faire damner plus d’un poète, écrivain de son véritable état, ou artiste.

La séismo du matin ou du soir entre les deux yeux, pendant des heures d’affilée, à travers murs et planchers, il fallait préciser, il fallait appeler cela le point indien, hindou, en plein front ou rififi chez les ploucs. Guerre menée par des inactifs et retraitées du Moyen Age, restés à ne rien faire dans leur logement, sinon adonnés aux loisirs de la dope ou haschisch, et de faire la police par soi-même, le bras armé d’appareils de contention de tout ordre, ou électrodes de poing, ainsi qu’aux plaisirs de la bibine. Entres autres Whiskys Balèzes à vous causer leurs maux de tête. Tant de vos implants ils vous en boxent, le plus souvent le crâne, ou le zob, ou le cœur ou au choix, les parties, à oublier d’en prendre leurs smarties, spécialement concoctées et recommandées pour les dissuader de s’en servir, de leurs manettes de télécommande. Sur leur prisonnier d’opinion.

Et il fallait attendre que l’esprit et la raison leur vienne de cesser de s’en servir, de ces armes, et qu’ils en soient bien guéris, de leurs médicaments aussi. On avait le temps de mourir.

Des médecins qui prennent des armes pour des cénesthésies, ou délires hallucinatoires.

S’ils ne les fournissent.

Dans le pays entier.

Voisins. A ne souhaiter se guérir de leur rage perpétuelle que dans le tabassage de ces proies toutes faites, que leur offrent depuis des lustres et décennies, la Psychiatrie et leurs psychiatres. Et ne se soigner que de tabasser dans tous défoulements. A tant opérer d’implants qu’il faille noter tout de son cerveau pour le sauvegarder avant qu’il ne disparaisse, obturé, éviscéré, innervé, opéré et réopéré sans fin ni sans faim, jusqu’à ce que toute révolte contre les établissements (quand ils la lui ont bien cherché à leur prisonnier d’opinion), ou contre l’Etat, toute contestation soit décrétée agitation mentale murée vive sous l’opération du cerveau jusques dans les cervelets, en cas d’agitation réelle, obtenue à force de tortures et des dites opérations de neurologie. Dans ces cas là, ils sont tous vos copains. Vous vous en étiez évadée que de votre pavillon.

Jusqu’au cerveau de mongolienne et l’aspect mongoloïde... Après vous avoir eu cassé tout du corps, crevé tous les yeux de la tête et du crâne, qui pouvaient vous assurer vos vues dites la vista. Ou lucidité, il fallait ne posséder que la leur.

Chercheurs et casseurs de têtes de mouvements sociaux et intellectuels. De leurs militants également, à coup de graves excisions, exactions en obstructions à toute procédure à leur encontre.

Certains battus par l’implant, opérés à tort jusqu’à ce que mort s’en suive, hors établissement également, afin de leur faire mériter une pension d’invalidité par destruction totale et absolue ou simplement partielle selon l’établissement, des facultés physiques et mentales, parfois, l’infirmité pluriple.

D’où la Mite errante.

Qui lorsqu’elle s’adonne à quelque poésie dit « j’erre », digère les coups. Et dit « je ment ». Des habillées. Nue.

Qui se fait des bosses, des maths (quand on les lui les rabote), de se taper la tête contre les murs (quand ils ont des oreilles (sic moi-même)) à travailler sans travailler pour de vrai. La vraie formule.

Ils auront évité de peu le décrochement chez moi de cervelle, à force de tant m’enfreindre, cela peut arriver. J’aurais pu en éternuer le cerveau.

Et excusez.

Mis à part eux mais quel véritable problème.

Si tout ça c’était pour me rendre que plus pédagogue…

La mobilisation lepéniste fait rage et même Führer, jusqu’à la skizophrénisation de l’individu, dans cette traite des malades, thème ou mon thème préféré, cause d’un de mes placements supplémentaires, pour avoir eu osé aborder le problème, toujours le même, induré de façon répétitive par quelques fouilles-merdes de tout partis, noyautés de tous bords ces partis jusqu’à la guerre civile. Leurs provocateurs casseurs de cerveaux dissidents iconoclastes dès que ceux-ci ont le dos tourné, avec ces gens l’on ne meurt que par inadvertance de leurs établissements psy à maisons de répression, comme autant de Tontons Cristobal, qui ont oublié de respirer, hein, un peu.

Partis politiques dont le groupement Résurgence, en faisait partie mon ancien médecin psychiatre, relation de mon père ( il en faut toujours un quand on possède ce genre d’idée fixe que j’ai d’appartenir à un socialisme humaniste, il faut bien chez les gens de la gauche ne faire la police que par soi même, en internant) parti résurgence et cause de tous mes dits problèmes dont celui de la résurgence du SAC, de la Gestapo, du moins, et pour être plus contemporain et à l’heure, des milices chrétiennes. En état de bourgeoisie qui se prend pour l’élite de la haute aristocratie. Parti Résurgence, ramassis de nazis de tous bords, du simple hitlérien au caucescu le plus sauvage ou sauce, la bourde charismatique et le lien social généreux, le poniatoskyste avili ou lourd, gros-culs panurgistes poujadistes finalement gauchos qui persévèrent dans l'attraxie de la grosse bourde, staliniens sans âge et matons hospitaliers. qui gèrent, envoient le coup de poing à temps.

Et s’en croient de la croix.

Et quand on en est mort décédé, c’est que l’on a fumé tout son tabac.

A coup de fouet dans le cheval par ce qu’il n’était ni emballé ni allemand, de tant de pierre au cul (à grands coups de neuroleptiques) pour qu’il n’avance que plus vite, le cheval d’indien que l’on prend pour Joly Jumper, cheval de bataille du coin (dans la bouche) entre autres cocos et cocottes, pierre mise au cul de la main de cow-boys texans aussi allumés de whisky, pas uniquement du tord-boyaux d’infirmerie, sous le regard amusé de tant de quakers. A vous faire traiter de sachet de thé ou sac de pralines du Père censeur.

Qui renvoie toujours l’ascenseur.

Merci pour l’ascenseur, qui m’a aussi gentiment été envoyé.

Par l’entremise de mes collègues, de quartier, et leur camp de redressement.

Si après tout les indiens d’Amériques qu’ils se font en Amérique ne sont que de véritables schizophrènes…

Apparemment les noirs aussi, tant j’ai dû travailler comme une noire.

Pour leur délire de persécution. Envers le monde.

Moi c’est envers les préfètes, les gendarmettes, et le monde des préfets.

Mais ce n’est pas la même partie du monde, donc hors histoire.

C’est pour ça que l’on a tendance à l’oublier.

Ils seraient capables de m’emporter le cerveau et la guerre avec pour deux points (de suture) et non pas trois de marqués.

A la ligne. Par cela aussi c’était de mon thème. De ne point m’aligner pour mon pur et ma ligne sur le point crucial de la courbe affine. Ni du vecteur. Chez eux c’est la ligne, mais de dope.

Jusqu’à la coprolalie.

Bouffé à l’os par la vermine. Qui vient se mettre dans la bouffe du chat.

A l’astiquer quand il s’astique. Double sens d’astiquer et de s’astiquer (nettoyer, se nettoyer ou branler et se branler). Tout est parti de là, il fallait pas. Ni astiquer ni s’astiquer.

Bref, une vie de chien et son bouffer.

Cou-couche-panier le molosse, qui ronge son nonosse. Os à moelle. Depuis Fachoda.

Depuis le temps, de sa Vieille France, qu’il a dû en trouver un autre, os à ronger, sinon celui de répéter à qui veut l’entendre que j’ai fugué, de chez mon père, ou de quelque pavillon, pour bien m’y faire incarcérer…

Il n’y a que chez les « Gens » de l’extrême-droite qu’il n’y a de fous, bref ils peuvent aller.

Et les grosses Bertha du bled qui pilonnent, jusqu’à la dissociation du moi, et l’émiettement du discours.

Pendant qu’un parterre d’artisons et leurs batailles d’acariens du pouvoir destinées à faire leur fromage, s’ébat dans le complexe de la rixe et de l’apartheid.

Bled où il faut être un gras et une grosse plutôt qu’un gars et une gosse, toujours aussi sale, comme un peigne d’ailleurs, celle du dessus. A tant me traiter de sale gosse, comme elle.

Le gars plutôt violeur videur. Ou gros colon. Depuis sa chiasse verbale.

Ils n’ont cru que tirer en l’air, comme autant de paroles en l’air.

De temps en temps, des cieux, en descend une alouette, z’alouette etc.…

Fallait du vertigo pour l’artigue. Ou Artigo.

Pendant que chez Ducros ils se décarcassent, tremble carcasse, en attendant.

Quant aux secteurs à piles, ils se barrent dès qu’on leur dit que ça fait longtemps qu’on les attend, s’ils se croient attendus, de coller des électrodes sur la tempe comme l’on met une bouffe, ou l’on te braque, comme en exigence de rançon. Genre affaire baron Empein.

Ou la mocque du père.

Braquée pour mes livres.

Pour me faire rétracter une plainte, pour viol et actes de barbarie, quand j’avais dit de torture.

Des gens qui se mettraient avec moi par la force, pour y vivre à la colle des électrodes. Ou rustines, de la chambre à air crevée.

Le père aura voulu faire le médecin.

Avec leur Point, de repère, et de sutures à faire et refaire. Repaire de rapaces, repérés.

Dans le pur but d’éliminer avec l’affaire.

Car tant que d’eux l’on n’a à se plaindre, ne se plaindre.

Quand on se prend une baston bien électrique à coup de triques, l’on peut en mériter une autre, mais celle là on ne leur en reparlera pas. Le travail n’est bien fait que par eux.

Et il n’y a qu’eux qui savent le faire. Nuit et jour.

Font la loi quand ne respectent ni ne connaissent ni ne reconnaissent la loi. Des ratons.

En bande, plaidant l’erreur médicale. Ils auront tiré à tort et à travers, sans savoir. Dans le genre bidasse.

C’est dans le genre du dédoublement de personnalité du père de cette duperie, qui après la baston, voudrait être le bienfaiteur saint sauveur de la fille.

De fusiller à mort un individu ou une femme, pour 10 minutes de repos, il faut dire l’heure juste.

Font du travail sur commande, ont été payés pour.

De prendre tant de plaisir dans le boulot.

Ce n’est même pas tant grave de trépaner en France.

A tout faire pour que dans l’affaire j’aie les mains biens sales. Et me niquer jusqu’au cul.

A vouloir retirer ce livre de la vente de façon anticipée à sa parution et le brûler, l’éliminer avec ma race de ma cervelle et de mon corps dans une élimination pure simple et radicale. De tant de torture médiévale. Sans repos.

Il n’y a qu’en clinique que l’on se repose.

Lavage de cerveau à chaque livre.

Et si tu dis que c’est Hitler on te le fera.

Et quand le Père fait pour oublier un voyage en Allemagne, il l’importe en France, avec sa connerie.

A creuser profond des trous dans les tempes dès que je creuse profond (creuser, terme de philosophie d’Hervé Piekarski, écrivain).

Mais désormais, le Père participe à ma vie privée bien mieux, calmé après quelque repenti, dont je le remercie, car l’on peut vraiment parler d’amendement de ma situation, malgré l’action de démarchage de mon voisinage auprès de lui, pour me faire charger, et que je le charge. Que l’on s’entretue, une foi de plus. Lui très malade. Voisins ripoux.

Le père d’après ce qui se dit de vouloir euthanasier en guise de privauté la fille pour ce qu’il en sait et qu’on lui a appris avant l’heure de l’heure de l’euthanasie à moins de la laisser niaise, de trop de torture électrique en coups de triques, ou mise aux fers, de s’être fait confirmer que le livre de la fille pouvait le concerner, ainsi que ce vieux con cerné qui le lui permet.

Et qu’on ne vienne pas le lui redire deux fois. Autrement dit, punie pour la délinquance de corbacs.

Ah celle là on ne me la lui refera. Il va m’en mettre une qui ne me le refera pas refaire deux fois.

Le père, ses ex-voto aux établissements psy. Pour sa crosse. Parce que ça, je ne l’avais pas dit.

Hel Saddam, Hussein de nom. Toujours d’après les voisins. Qui le font miroiter ainsi. A s’en pendre à lui pour moi, ce qu’il ne me dit jamais.

Je n’ai pas tout suivi de l’affaire.

A enculer un mort profond parce qu’ils se seront trompé de trou, profond tant ils auront creusé.

Il fallait dire à la place de elle les connait, je les connais, et dire le Je à la place du Elle, cela peut créer des troubles convexes, pas comme mes tempes, devenues concaves. Et excavées.

Parce qu’au départ, convexes. A me les faire briser.

Prisonniers d’opinion pourchassés dans la France entière, par une armada de nationalistes en battues et furie, le bras armé de ces appareils de télécommande, dans des traques à l’homme à faire fuir du pays contre avis médical. Le plus souvent autant que tout cerveau, ou artiste français sous la francisque romane. D’où la fuite des cerveaux du pays, dans des procès Salengro à faire périr d’inaction et de manque de réaction à temps sous ces tortures d’Etat, autrement dit fuir autant que de Gaulle de la France, quand ils, ces objecteurs ciblés, font partie d’une famille qui se prête à ces agissements et les ne protège que par les mêmes types de répressions psychiatriques.

Psychiatrie à neurologie neurochirurgicale parfois lourde, forme de torture psychiatrique, forme et formule (magique) de la répression d’Etat. Occidental, et français.

A faire prendre le cerveau et sa matière cérébrale, ou glie, pour le simple contenant des neurones, de leurs axones et système nerveux. Ou paquet de nerfs.

Médecine torture d’Etat.

Organe de pression et de répression de partis politiques.

La police ne se faisant plus dans les milieux de gauche que par le placement médical tant la police refuse d’intervenir jusqu’à ce que la plèbe ne fasse plus la police que par soi, et ses milices armées.

Il fallait pour pouvoir l’écrire être d’accord avec Dieu le père, travailler à cela et bien se faire épier auprès de ses services médicaux et du Dieu le Père de Famille par un peuple de corbeaux et mouchards. Cha que fille devant être ramenée à son père et bien lui devoir le devoir de le respecter et uniquement cela. Chacun de ses écrits devant être constaté, accrédité et bien perçu de la famille, les services médicaux et pis, placé sous contrôle judicaire sous peine de mise en placement et de mise en place du traitement dans les maisons de cassage ou maisons de santé. En cas de discrédit.

Qui commence par celui de la Famille et persiste le plus souvent, quand le Père, qui n’est plus dans ce cas qu’un géniteur, n’apprécie que le bas niveau du système intellectuel de son rejeton par jalousie discriminatoire et esprit de destruction de tout ce qui bouge et peut le dépasser d’une tête, dans son style surtout, tête qu’il possède et qu’il voudrait bien cloner en sa fille ou son fils, trop d’avant-garde et pas assez Vieille France, ou même en quelconque membre de sa famille, qu’il possède, dans un esprit de posséder, rouler et bien bananer. Bref, pour sa croyance plus en lui, Dieu le Père, qu’en la religion. A laquelle par fois il croit sans le savoir parce que l’on doit croire, ces principes et phénomènes atteignent parfois et surtout actuellement les femmes ou marâtres. Régime de matriarcat, autant que dans pays où règne la Sainte Mère l’Eglise de tous, dont chacun devrait ressentir la chape sous peine de mort. Il fallait n’en parler qu’ainsi sous peine de reddition.

A votre pavillon.

Parfois l’athéisme, s’il ne s’agit que de celui du Père, peut devenir une religion qui ne vénère que ses intolérances. Elle fustige les phénomènes paranormaux, quand ils sont imposés, et que l’on doit bien se sentir contraints à les faire examiner, car l’athéisme a trait au rationalisme scientifique, via la psychiatrie, un moyen de persuasion très efficace par ailleurs à retourner contre les agresseurs quand à la racine l’on est de l’antipsychiatrie et que l’on a quelques agresseurs qui vous empêchent de posséder le Droit y compris à la vie s’ils ne respectent le Code Civil... Pour ne faire de mes livres que des merdes de colons dans le B. A. BA. Au moins je ne m’en sentirai plus attaquée.

Il n’y en a plus que pour la Religion sinon l’athéisme, une autre religion, toute croyance autre vouée à sa disparition car leur faisant concurrence. Dont la voyance et la télépathie, ou autres croyances en phénomènes encore inexpliqués dits paranormaux, pour ce qui doutent encore, parmi les scientifiques.

Jalousies qui se trament contre le don. Dit schizophrène pour la bonne cause de la jalousie, précisément, s’il gêne, et d’autres intérêts publics ici décrits.

A expliquer avec les trois doigts qui restent du cerveau, du prisonnier d’opinion, quand on lui a un peu trop tapé sur les doigts, et en a tranché un pour ce qu’il fait de ses dons, précisément.

Et qu’est-ce que vous faites…

La gauche du non certifiée troubles trophiques indurés persistants si ce ne sont les implants qui persistent ne serait ce que par erreur médicale, ou l’erreur judicaire qu’ils plaident après des procédures à la chaîne à vices de forme et placements illicites anticipés, non déclarés ni au juge ni au médecin traitant psychiatre de rigueur, dont on doit rester bête. Sinon demeuré. Leur faire appel ensuite en temps de paix est être un peu con, de tant vouloir en faire vivre la contrée à nouveau, de l’argent qui s’en gagne. Dans un cannibalisme révisionniste des phénomènes de Vichy, antisémite envers les récalcitrants à cette fraude invalidante pour tous, invalidés pour avoir été conditionnés au travail, famille, patrie.

La France au travail, de Ségolène Royal. A ne plus savoir pour quel parti voter, tant tous décrépitent et rendent infirme, ruinés jusqu’au pourrissement, de tant bastonner de bastons leur base, afin de la rassembler, jusqu’au vote nul ou blanc, l’abstention de tout handicapé.

Les socialistes du non, une sous-espèce en voie de disparition à soi-disant protéger. Protéger, en termes de psychiatrie, placer en établissement de soins.

La France du Handicap. Du petit handicapé qui bosse, et fait bien son bouleau. S’il y arrive.

Si vraiment refaire appel après de tels procès pour internement n’est que se faire torturer à force de se heurter à la torture, l’on peut aussi y mourir de suicide dans prison à domicile, sous les coups et blessures à foison de voisinages attitrés dont on ne peut se venger car médecins qui se veulent bien trop avocats, et juges (à pénalités des plus graves) de leurs malades envers toutes personnes dont ces malades se diraient par la foi de l’inversion nazie des faits qu’ils revendiquent et défendent, agressés, en fait de par le fait d'agresser.

Question de vista, s’ils prennent la torture électrique pour des verres correcteurs, dans les cas de double-vue, parfois à double foyer, l’on ne sait où vivre ni ensuite où l’on crèche, quand ils entreprennent, votre cerveau, de le corriger un peu trop et quand il vous faudrait le leur.

S’ils vous ont eue et roulée, après le devoir du doute chrétien, le doute scientifique. Jusqu’à la rationalisation morbide, de trop de grand rationalisme. Autre symptôme de la schizophrénie.

National rationalisme , rationalisme national, ou rationalisme nationaliste, l’on n’a le choix.

Après le trou que creuse le Deo Profondimus dans le trou.

Quand l’on dit que l’on l’a eu dans le zob, dixit l’arabe.

Médecins. Certains d’entre eux répétant inlassablement que je souffrais de dédoublement de personnalité ou dissociation du moi pour les voix de leurs voisins qu’ils entendent et croient être mes des voix intérieures que j’aurais. Qu’ils ne vous opéreraient qu’à coup de manche de pioche s’ils le pouvaient. Dans l’idée de taper encore quelqu’un, ou racket quand ils manquent d’idée.

Afin d’en arriver à un style d’écriture et verbal, une lagagne de porc quand ce n’est que le langage du pavillon, devoir passer par un mal de cochon que l’on cogne pour le bouffer, bien rose. Pour cela. Histoire de vous préparer à l‘Homme avant vos succès, histoire de faire rempart contre mon livre. Ce n’est plus du soin mais des représailles de combattants. Vous faire un passé avant l’heure d’ancien combattant pour toujours le même procès pour une transmission de la pensée que je ferais, qui créerait un phénomène paranormal autour de ma présence sur terre.

Jusqu’à me prendre réellement en otage dans une mission de me contraindre sous la force armée et le contrôle de l’hôpital, de la psychiatrie, le ménage des ordures de ce pays, dans un grave nettoyage à effectuer, car là s’il y a du travail à faire, cela devait être le mien. Pressions et dépressions de voisins.

Dans les affaires de litiges pour troubles de voisinage illuminé de fascisme d’extrême gauche et d’extrême droite, épris de son infantilisme lepéniste, et en état de grief, l’usage de la torture ne peut que déranger. Mon humour aussi. Désespérant jusqu’au suicide, s’ils étaient de véritables dépressionnaires, il y aurait eu des suicides depuis longtemps, tant les médecins les ménagent à n’y rien faire. Sinon exaucer leurs saints caprices pour les guérir de leur manque de refoulement et ne les guérir qu’ainsi, en leur faisant et octroyant ce plaisir, de se guérir par l’usage de la torture précisément. Sur autrui.

Ils se seront passés sur ma pomme tout ce qu’ils auront voulu, désiré, souhaité, dans le plus profond de leurs fantasmes. Au bout du plus instinctif défoulement, et cela pouvait durer longtemps. Au pays des quatre souhaits.

Surtout Messires quand à la longue l’on n’est pas visible ni présentable, de tant de bons traitements. La phase dépressive chez l’individu en voie de skizophrénisation. Ma tante (ou grande cousine) autant, qui me suit depuis sa nuit des temps. Et rêve avec ma famille de me coller sa dépression. Quand elle ne se met quelque chose dans l’idée quand elle débarque encore, s’il fallait dire « si » après l’avoir oublié dans les pièges de l’enseignement, quelqu’un fait appel à elle et elle ramène toute à soi, à ses règles de ménopausée, quand elle veut intervenir, retracé façon le pater familias ou le parent. D’ailleurs, il s’agissait peut être bien d’une autre vieille femme, venue m’épier, un soir de pleine lune.

Quand aux jeunes socialos, il leur faudrait une Lobo (tomie) écolo pour rester bien mièvres, molles et tendres face l’Homme. Quand chez eux il attaque surtout dans le dos, et la bosse des dolicos, pour qu’il ne leur en reste mémoire sinon devoir n’être que des jeunesses Hitlériennes, ou communistes s’il le faut.

Dans le haut fait de Moyen Age.

Toujours tous à vous passer le corps, y compris les médecins de la Médecine, et le chef de gare, qui peut effectivement vous mener à Auschwitz, ou Dachau, si vous avez le choix, en H.O.

Et l’on doit en rester là s’en oser s’en sortir. D’ailleurs de rien paraît-il. Pourris à faire de la baderne et uniquement cela. Et de vous autopsier avant le décès dans maints décorticages et dépouillements d’ailleurs mutuels, de votre pensée. Parfois, écouillements, au cours de leurs nuits de noce, de tant vouloir lire, avec insistance, votre livre avant qu’il ne soit paru. Dans ce cas, il faut toujours citer la référence, car il ne peut pas être que de soi, non, ce n’est pas vrai, dites le moi. Bref, ce n’était que le livre du voisin, qui le revendique, depuis fort longtemps.

Permettez le bout de crouton.

A moi le travail d’immigré pour mon nom étranger, en travail d’utilité publique de solidarité et parfois d’office, de faire l’éboueur de service de ce tas dans la région, d’ordures ménagères qui nous gouvernent. Car il faut en faire le travail de les épurer (si je dois leur en rendre le terme) jusques pendant la vaisselle, les corvées quotidiennes. Et le viol dans le violon.

Ne pas attendre que ces ordures, même qui semblent de petite taille, n’arrivent à un degré de prolifération et de nocivité pour l’habitant du coin parce que vermine qui peut s’y mettre, au point de causer des intoxications nerveuses lentes ou graves, mortelles jusqu’à la mort subite, avant de les retraiter. Même si par ensuite on les recycle, car elles peuvent en faire pourrir qui seront plus vert cadavre que ces pourritures. Dont certains qui se font prendre pour des étudiants, de l’UNI pure race certainement, armés dans le but certain de me détrôner, de mes capacités.

Ou phrase entièrement à double sens, méfiez-vous du contresens. Il peut blesser, des ses pointes fines. A l’humour aigu. Gare au guêpier, ça peut trancher net, l’esprit de décision.

Merci pour la monnaie de la pièce après la cacahouète bien chouette, dans ce zoo humain, ou parc zoologique qu’est la zone d’action de l’hôpital. Ce n’est plus une région, sinon cette aire et pas de repos, où l’on raisonne la tête en deux rails, dont celui de la ligne, du parti, l’autre de dope, parfois de shit. Obligatoire là aussi. Ce qui n’est pas le pschitt de la mémé. Dixit l’amuseur public. Une histoire de train, SNCF, depuis Dachau, moins compliqué à écrire qu’Auschwitz. Entre les deux rails du chemin de gloire, celui du parti communiste et celui de le Pen.

Réduction du cerveau de l’élite au stade anal du mongolien, autiste. La critique antiétatique, un stade anal. Il ne fallait posséder que l’art de se taire, ou n’avoir que l’intelligence du silence du prisonnier politique, dit d’opinion. Et cela quand on le peut, si vous ne possédez pour cela qu’un cerveau transparent et que cela ne s’accepte....

Stade anal de l’ère primate, où se commente dans la région le pet à la rataclan de la voisine qui largue, en la traitant de plus mal élevée que soi. Où on il faut lui dire des tu pues du cul, d’orgiaques. La région et le stade anal de l’enfance, celui de ses grands enfants.

Psychanalyse de la situation, de la région. Camp Mao.

Des partis politiques fanatisés aux miroirs aux alouettes, et alouette, je te plumerai.

Dont certains réduits et contraints à l’immobilisme infantile ou leur disparition pure simple et définitive de la surface de la terre, espèce protégée autant que le socialisme du non.

A devoir repousser ces gens venus autour de mes appartements me posséder et le plus souvent tabasser à tire de dérangement, repoussés dans certains quartiers par la population, comme tout autant d’anglais, en les ramenant par la main sous les huées que parait-il je leur dictais. Moi, dite de moi-même la Pucelle Jehanne d’Orléans pour leur voix, de voter aussi, et façons de penser.qui me dressaient, eux tels dresseurs de cheval de cirque, à n’avoir aucune de leurs notions, à n’être que sans l’idée. Que tous entendaient de loin. Et parait-il qui était la mienne, celle que selon eux j’avais dans ma tête.

Je ne possédais que la voix de ma conscience, tranquille. Concurrence illégale.

Strictement de cause à effet. S’il leur faut aussi ma profession de foi. Quand on me tire dans le crâne. Pour une écriture rébarbative de style monde Diplomatique qui ne leur revient et que je possèderais encore, qu’ils devinent et qui les inspire, mais mal, faits dont certains psychiatres voulaient me sortir car écriture bien trop crédible par son haut niveau de logique, et d’analyse. Analyse qui part du matérialisme historique et ne doit plus être qu’une vie de psychanalyse, analyses psychiatriques (ou électrothérapies) et psychothérapies de groupe, toujours sous électrodes, avec mes voisinages. Opérations du cerveau, non de cerveau, pour que de mon statu j’en porte la marque apparente. Et la gueule de l’emploi qui doit être celle du corps, de l’emploi autant. A faire dire elle est de nous celle là. Marquages et maquages de maquereaux.

Parce que certains, quand ils parlent de moi, s’entendent parler et croient m’entendre. Si ce n’était que me comprendre ou me deviner… Ils me devinent mais ne me comprennent et ne l’acceptent, et Bam, autant pour moi.

D’autres plus simples auraient dit ou pensé, « j’ai la révélation ». Chez eux, bien que chrétiens, cela ne fonctionne. Par contre je cours vite.

Quand ils ont bien fumé le pétard, ils prennent le flingue, et tirent. Dans le dico qui n’était que de la parano à mégalomania tant on ne le possède plus.

Ces médecins de leurs activistes forcenés à l’activisme forcené autant, d’en faire d’autres qu’ils agressent à traiter à vie pour leur partie civile qu’il fallait obturer tant que cela chez les agressés de ce camp, médical, et ses activistes, dans le but détourné de clôturer le dossier qui n’en finissait pas de ces cerveaux, tant l’affaire perdure. Parce qu’un cerveau en connaissance de l’affaire, s’il veut penser doit se taire, surtout sur l’affaire. Qui parait en partie dans ce livre. Procès subi depuis à l’encontre de ce livre qui pouvait concerner, décrété illicite et déraisonnement.

Tous les moyens sont bons. Pour détourner la justice de son vrai droit.

Jusqu’à la coprolalie.

Et le mec du dessus si en guise de pénalité on lui coupe la main du cerveau qui un peu trop me trépanait, lui aussi, il aura eu un simple accident du travail, et l’on devra s’en contenter...

Devoir d’accepter à genoux les excuses du régime, sous peine de grave décapitation, partielle ou d’avantage, toujours selon les mêmes méthodes, de régime de faveur, en maison spécialisée, le plus souvent à domicile à cause de Trieste, selon la gravité du rejet en retour des excuses.

Alors là j’ai morflé, pour des préjugés, parce qu’ils en étaient tous pleins, de connerie aussi.

Ne pas oublier de voter camp ou secte Travail Famille Patrie pour leur travail de vache dans le pré de ces curés. A moins de se trouver dans un département psychiatrique assez lâche pour vous transférer dans celui qui sera le plus nazi pour bien vous apprendre à respecter leur lâcheté envers ces malades préférés qui les vénèrent pour cet effet quand ces malades ils les arment pour vous agresser au cas où vous leur disconviendriez. Et ces malades, c’étaient toujours là aussi toujours les mêmes. A qui l’on ne destine que la plus pure pédagogie. Ce qui n’est pas le cas dans ces départements pour tout le monde. Et le monde, c’était les schizophrènes

Alors eux, s’ils ont chargé pour les autres, moi-même d’avantage mais pour rien. L’on se demandait aussi pourquoi dans ces établissements l’on en trouve toujours autant des fous dangereux, à force de ces exactions dites seulement et uniquement provocations, c’est encore pour eux trop beau de le laisser dire, prisonniers (des départements psychiatriques) parvenus d’ailleurs à leur dernière extrémité.

Autrement dit et appelé chez les pompiers cette activité d’agissements politiques, pomper, dans le genre vous sucer le cerveau, vous le pomper, ce qui n’est un vain mot ni une expression ou le coup des électrodes, presse-citron ou tire-jus si l’on apprécie le presse-purée après jusqu’à la marmelade, ou la purée de poix. De pois, en cas d’angiomes, de cerveau fibromé à force de lésions qui n’ont le temps de se réparer. Mais l’électricité prévient et tue le cancer, alors, pourquoi s’en faire dans l’enfer, quand on ne connait de leur Dieu que l’enfer, et n’attend que depuis très longtemps le paradis sur terre, au régime de la peau de chagrin et de la table qui recule, régime de la France, régime banane de république bananière. Quand à la démocratie, on l’attend depuis les grecs. Autrement dit, pour prévenir le cancer, nourrissez vous bien et faites confiance à votre nutritionniste.

L’on ne sait si l’on questionne les cancéreux, pour savoir s’ils sortent d’une cure dans ces établissements ou ont pris des médicaments, pour leurs nerfs, sinon que le cancer, ce n’est qu’une question de stress, chez les occidentaux, et les français. Question de prévention. Médicale.

Quant à la baisse de niveau des milieux sociaux en général, cela provient je crois du fait que la critique littéraire et journalistique est très mal acceptée, dans les établissements psychiatriques encore moins, décrétée par milieux professionnels, sociaux et médicaux démence gravissime dénégatoire car non négationniste, nécessitant sinon le placement, du moins le suivi ad vitam si bonnes résolutions.

Quand je ne souhaitais à mes 15 ans que me destiner ainsi qu’il le fallait, se destiner à un métier, à devenir psychanalyste, quand cela aurait dû être mon métier de rêve, ce que je voulais bien et aurais bien voulu, si je n’avais été soignée à temps pour ma famille, un recyclage à se trouver un nouveau travail, travail, famille pour la patrie, sous peine de cervelle éclatée de courants électro-etc., si je ne trouvais ce travail là dans l’immédiat, du moins dans leur camp de travail de Mao. Par ailleurs, si je parlais camp Mao, j’en aurai un dans lequel je vivrai, et des lobotomies si j’osais aborder le sujet. Les électrodes et les mauvais traitements autant, et la mise en confiance qui précède. En accord avec la famille et la bénédiction du peuple français, au nom de ma patrie qui voulait m’apprendre à faire tranquillement chez soi une thèse à ma façon. Et à la leur.

Ou névrose de vérité quand ces Brès m’interrogent trop longtemps, due parfois au fait que certains de leurs patients font du crochet avec leur axones mis en dentelle. Après le coup de peigne fin à l’électricité, ce n’est pas qu’un râteau, de la dentelle il en reste quoi…

Et bien…

Mais c’est une secte, ce Jean-Marie.

Si c’est pour cela que l’on me voulait tant une pension d’invalide de guerre en guise de croix de guerre, pour mes plaies, et blessures de guerre. Ce dont je ne bénéficie, car étaient réclamées pour cela, d’autres infirmités, dont la plus part gravement physiques. Ce qui a failli ne pas tarder, juste, selon la médecine, quelques contusions. Et un érythème de tempe, pourquoi pas fessier, ou de cuisse rose, à tant me prendre pour un nourrisson. Pour mes idées géopolitiques.

Prisonniers d’opinion condamnés, hommes, femmes et enfants, de par l’intervention rare et préméditée parfois jusqu’à la tare, de la police à être des fous dangereux et à le rester, ou à ne le rester sinon demeurés, selon leur établissement, dans toujours les conditions de Meurtre à Alcatraz, le film américain, pour n’avoir eu été que de gauche et en devoir pour les raisons précitées de déposer plainte.

Ceci refusé ou par la police ou par la justice, non-lieux répétés jusqu’au placement par le ministère de la justice lui-même car trop de plaintes de schizophrène, récidiviste par ailleurs, toujours selon les mêmes services de la police, qui l’enferment en tant que mauvais élément cause de troubles de l’ordre public et de troubles de voisinage dans son lieu de vie.

C’est tout, de leur niveau, ce qui m’est resté, après les multiples interventions destinées à me rabaisser le caquet envers ces pratiques et exercices rituels de la torture, si l’on peut appeler leurs débordements des pratiques, autant hospitalières. Quand cette pratique de la torture est dans ces centres et établissements, secteurs géographiques, selon les lois de Trieste, infligée, assénée de façon quotidienne et prolongée le plus souvent durant des semaines, des mois voire des ans, parfois, presque 24 h sur 24, sauf quelques heures de sommeil, pour éviter les cas décès et de suicide.

La baisse de niveau en France, les difficultés scolaires qui vont de pair quand on vous met ce genre de bâton dans les roues, leurs méthodes précitées dès que vous obtenez un style littéraire reconnu de valeur, bâton dans les roues si votre famille votre milieu social et votre entourage s’y prêtent. Surtout ne rentrer dans le jeu des réponses aux provocations lepénistes, incessantes, sans quoi…

Ou le coup de la vis sans fin. Qui me broie la main.De ma liberté de conscience . Elle n'est fasciste.

Baisse de niveau et perte des facultés, symptôme schizophrénique.

Et d’oser s’en confier, paranoïa due à cette maladie là. Ou masochisme. Autrement dit, la France se fait casser la boule sur ses problèmes sociaux. En plus de celui des prostituées, parce que l’on a bien voulu me faire réfléchir sur le problème, depuis bien avant Sarkozy, et l’article d’Hebdo Femme (années 80)su r la prostitution, sans dévisser me la bille totalement pour autant, ce dont autant je les remercie, je ne nargue. Désolée, c’est l’anus qui a tout pris. Se sont trompés de côté.

Il valait mieux pour les handicapés s’abstenir. Le jour du vote. Et aller bien vite se faire piquer.

Niés leurs droits et jusqu’à leurs libertés individuelles, leur intellect réduit, maintenu au niveau de l’enfant en bas âge, il fallait qu’ils ne s’en plaignent sous peine des exécutions sommaires que sont les actes neurologiques et autres interventions médicales. Jusqu’a obtenir la majorité lepéniste aux élections, et bien opérer dans le silence hôpital la France sous le coton, afin de faire passer en douce et dans le forcing, la France de l’extrême-droite, transformer ce pays en camp de concentration, ce n’est pas qu’une promesse, ce pays en est un déjà, le Pen et l’extrême-droite se servant du Goulag français déjà préexistant depuis la nuit des temps pour passer en force et ce goulag le répandre sur le territoire national parasité par ces sangsues, récupérant le goulag déjà installé par le communisme dans ce pays.

Déjà que les flics sont vénéneux. Pas généreux. Je vous jure qu’il n’en existe pas un sur Terre de France pour défendre un partisan de la ligue Rouge, encore moins de Krivine. Celui là au moins il morfle pour les autres, et même ceux de l’ETA.

Du Moyen Age, SVP, n’en conserver que l’esprit le raffinement sauf celui de la torture, et les acquis sociaux.

Autre façon de récupération des idéaux de la gauche. L’électricité selon la médecine et non le corps des pompiers, ne tue pas. Ni ne peut tuer… Sauf peut-être à des doses léthales, on peut être rassurés.

A prendre des lobotomies électriques, pour des beignes.

C’est eux qui rêvent ou moi qui cauchemarde, à moins que la France d’aujourd’hui ne soit un cauchemar vivant.

Chaque fois que l’on appelle la police ou que l’on a affaire à elle, même pour vous sauver d’un mauvais pas, l’on meurt cardiaque ou on le reste. Toutes les méthodes sont bonnes, voir chapitre Guerre des nerfs sur les débordements policiers de voisinages, ou nerf de la guerre. Jusqu’à la psychose de guerre. Que surtout l’on n’attaque la médecine ou l’on vous use jusqu’à la corde, de ces policières et Miss préfètes qui tant vous hantent quand vous travaillez pour une démocratie non pas à visage humain, mais humaine, démocratie à visage humain d’aujourd’hui mais exactement que pour la gueule. Démocratie de demain que j’espère humaine pour laquelle je lutte désespérément, pour ce qu’elle sera et non ce qu’elle laissera paraitre. C’est le seul démon qui me hante si l’on m’en soupçonne des tant, le plus souvent par préjugé, parce qu’être discret et devant le rester.

France humaine, une utopie.

Destruction totale par courants électriques jusqu’à la paralysie, forte commotion, nécrose totale ou quasi-totale, et autres dégâts, dont certains oedèmes, de son cerveau chez le prisonnier d’opinion, ou partielle, parfois jusqu’au décès, dégâts qui si le sujet reste en vie même s’il n’a encore fui, lui sont dédommagés par un épiage constant de se pensées et activités physiques et mentales, comportementales. Le cerveau, et ce que l’on en savait, qui lui a été détruit et dont ont été extirpés les principes ou raisonnements au cours de parties d’interrogatoires sadiques, lui est rappelé ( certains s’y opposent qui persistent à détruire le cerveau du prisonnier) dans des aides de prothésis dont il se passerait bien, qui lui instituent le fait de bien apprécier dans ce cas, hein, le bienfait d’un voyeurisme constant. Qui devrait lui porter aide et secours, à devenir dépendant de ça. Et des neuroleptiques, retard.

Sauf les Indépendants, ou partisans de l’UNI (Syndicat des étudiants Front National).

D’où un phénomène de rejet, bien vite social.

Ne s’étonner si cela dérouille.

Et de dérouillée en dérouillées, pour ce qui est de mon cas, interventions des autorités médicales et de la police jusqu’à substitution de ma personne pour procès réitérés depuis mon enfance contre une télépathie que je ferais accompagnée de transmission des sens sauf celui de la douleur, dont il me faudrait être opérée pour qu’elle ne gêne un groupement de médiums gêneurs, qui auraient mieux fait de se mettre des boules Quiès dans le cerveau, plutôt que m‘adapter à leur envie. De m’assassiner.

Après que ces voyeurs lui aient bien tapé sur la gueule, à leur prisonnier, en délit d’opinion. Dans des explications constantes, à accrochages en direct et à directs du droite sans compter le crochet du gauche, celui de celui du dessous, celui que l’on vous a aussi implanté dans la gueule, jusqu’à n’en faire de vous que de la chair avariée, le plus souvent. Ou de l’aspect de diminué, et bien. Mais celui là on ne le connait pas bien. Ce n’est pas grave à côté de ce que savent faire les infirmiers, surtout quand ce sont les petites gens qui le remplacent quand ils manquent. Il ne fallait se plaindre de rien tant que ce travail d’assassinat n’était commis par la médecine et ses infirmiers, sans quoi ce n’était assez grave pour qu’ils interviennent. . Ou statuquo.

Cou-couche panier le molosse, si juste pu-pu culotte.

Et les deux dobermans, à la niche.

Nettoyage des idées de Gauche. Jusqu’au pourrissement du socialisme dans le pourrissement de la situation, décérébré, rendu mou et mol autant que socialisme du oui, de tant de prosélytisme. Mot d’ordre qu’il se transmet, restez mou et mol, rendu vital de prosélytisme d’extrême-droite si l’on peut appeler la torture répressive et psychiatrisée un prosélytisme. Le Père de famille qui n’a rien pu, malgré toute sa grande vitalité, ne rien foutre sinon foutre sur la gueule de sa fille par ces tortures au moindre de ces démarchages auprès de lui de l’extrême-droite, dans ses exercices de corbeaux en état de délation, le plus souvent mensongère, de type vichyssois.

Qui le plus souvent se traduit par des euthanasies de l’identité de la dite enfant de père et de son cerveau, de son fonctionnement du moment, jusqu’au défilement chez elle des identités que l’on se plait à dire pluriples ce qui conduit à les interpréter facettes de sa personnalité ou identités doubles, car elles défilent, dont certaines qui ne leurs revenaient pas, appelées « l’autre », ou celle là, à ma vue. Pas celle là, l’autre.

Qui rabâche son cerveau sous toutes ses formes tant il est au fur et à mesure du discrédit, réopéré. Jusqu’à être dit en état de dépression, pour rumination. Parce qu’elle rumine son cerveau tant il repousse. Et chaque médecin de lui passer sur le corps, sauf peut-être le chef de gare, pour un seul cas tous donnent des diagnostics différent, l’un d’entre eux alors a le génie de dénommer ce cas psychose évolutive, et pourquoi pas, folie polymorphe. Jusqu'au carcinome.

Pour le cas le finir dans une maison de la couture jusqu’à la systématie, c’est le moindre, autrement finir de le fumer derrière le cyprès, après tout ce travail de lente pédagogie.

Après tout, ce n’est qu’une étude que ce livre et non une de leurs études, de marché. Avec l’accord du Padre Padrone, autrement dit Le Parrain. Ou Mon pater.

Voir La Luna, le film.

Voire, dédoublements de personnalité, troubles comportementaux tant qu’elle, la socialo, n’aura une identité qui leur convient, à ces varans, et celle qu’ils lui ont laissée et confectionnée de toutes pièces ne leur convient jamais, ce n’est jamais assez bien. Et tant qu’elle travaille c’est qu’elle travaille du chapeau. On la replace dans le département psy (ou secteur psychiatrique) de région, maison de casse des dissidents de partis politiques, femmes battues et prostituées qui se refusent, une Nef des Fous, le livre, et voilà. A faire placer des gauchistes dans des départements psychiatriques réputés être d’extrême-droite et organes de pression de ces partis, pour leur bousiller le cerveau et le corps avec, s’ils n’étaient réduits à se réfugier dans quelque département de leur choix, dans ceux qui restaient à leur disposition pour y réchapper encore à quelque décès après d’autres et multiples épreuves. Etat de guerre, dans un Etat en guerre.

Certains en sont restés épileptiques, cardiaques, idiots, ou hydrocéphales dont un vagabond interné depuis des décennies pour vagabondage, interdit par la loi jusqu’au tatouage du mort au vache sur le bras, ce qui n’a arrangé son affaire, et voila.

Quand à moi j’étais tant lucide qu’il aurait fallu je ne sois plus extra-lucide.

Quand Le Pen traite tout son monde autour de lui de nazi plus que lui.

Tout le monde est nazi, sauf lui, moi idem, quand le socialisme du non est assimilé au national socialisme, toujours la même inversion. SS.

Si c’est bien la guerre l’on ne sait quand elle s’achève.

Re-lobotomies par courants électriques, que ce soit par électrodes traditionnelles ou de type expérimental, des zones de la mémoire et de la conscience, entre autres les pattes de chat (ou zones de la mémoire) et les zones frontales y compris les zones temporales dans leur intégralité, afin d’obtenir l’amnésie totale des affaires précitées et fraudes médicales, dans des dissimulations et falsifications de preuves à faire de plus d’un étudiant de l’UNEF Renouveau un demeuré, s‘il arrive à voter ensuite pour la gauche, si le front national après cela en veut. Allez faire voter un demeuré plus qu’un peu demeuré qui n’a pas fait qu’être resté à son niveau de tant penser pour autre chose que le Front national et l’extrême droite en général, toutes tendances affiliées... Et leur comique croupier, allez savoir s’il a la raison celui-là.

A bien river le clou…

Entre autres, tant d’artistes ont bien dansé de ces Maisons de la Raison, pour avoir refusé de plier genoux, boutique et de s’en aller. De ces clubs de la répression, que sont les HLM et lotissements..

Fuir le pays, dans un exode des intelligentsias qui précède la montée du Führer.

Et aller redormir au pavillon.

Après le coup du gravillon.

Ou les tirs de chevrotine. Electrique

Criblée.

Autant que le dossier après l’inspection, chez les voisines.

A me visser à faire de moi un moulin à poivre qui fait éternuer la France, et quand la France éternue, tous les pays se mouchent.

Le coup du Scratch. Tout l’Age de Glace. Si je me fais poursuivre par des glaçons et leurs piques. Boxer et courser telle bergère jusques dans les coursives par tous les psys du pays pour me faire réopérer, du cerveau.

J’ai dû placer le doigt là où il ne fallait pas.

Et là, certainement, cela doit obligatoirement faire mal.

Faudrait pas non plus empêcher de briquer, dans les deux sens du terme.

Des psys à Action Directe, certainement. Pas pire. A commandos.

Ratatinée mais Bien.

Mais avec les flics, on ne peut faire que les zèbres.

Quand on en sort de ces bâtiments psychiatriques et HLM, où règnent en rempart contre la culture et le savoir, les instruments et idéaux de l’Eglise de Sciento, avec sa lutte contre le tabac et non contre la dope, il faudrait vivre avec un gilet pare balles et ne savoir encore lequel inventer contre ses instruments, de persuasion et d’action, car lorsqu’ils visent le crâne, l’on ne sait où vivre sinon encore à leur domicile, car le sien à soi est devenu le leur. De tant d’électro-analyses, de plus de une semaine, à un mois. A devoir prendre comme bonbons des calmants contre la douleur. Sous peine de plus de neuroleptiques retard. La douleur décrétée cénesthésie, hallucination sensorielle.

Ce livre ne serait que l’ombre du Général De Gaulle, j’en serais honorée, de tant mériter pour ma résistance la croix de guerre de cette guerre. Contre cette secte franc-maçonnique. Tant j’aurai espéré bouter hors de France ces Fanatiques du clergé, leur troupe de communistes et leurs centres de rétablissement. Où au moindre mot qu’ils jugent de trop l’on vous colle une électrode et le pétard sur la tempe, sur le crâne, ou ailleurs. Où devait rester quelque poche réticulée de bon cerveau à bien casser et sucer un bon bout de temps. D’un appartement à l’autre. Comme arapètes, en conchyliculture. Entre autres cucurbitacées, en conchiages démentiels. A me refaire jurée réquisitionnée pour tant de La tendresse bordel, et Le droit à la paresse ou chez eux la flemme.

A devoir être de leur bord sous peine d’assassinat ; ou graves lésions irréversibles pour leurs roustes.

Oui, ils parviennent à cela. Par la voix et la loi des armes, la lutte armée, il faudrait simplement appeler cela du conditionnement. A commencer à s’en pendre aux partis de gauche pour les dénoyauter de leurs tenants, leaders, partisans et défenseurs, après ceux de droite et de l’extrême-droite dans un devoir de faire passer leur Führer, ils auront en fait ratissé le pays. Voire essaimé à l’étranger. De tant vouloir d’Einsteins par l’accaparation, Einsteins qu’ils dissèquent avant de les tuer, de main froide.

Il ne fallait rien dire sinon rester paumée et pâmée de leurs tabassages à grands coups de bâtons du maréchal, pour qui il fallait simplement répondre Nous voilà, tabassages je l’ai dit, constants. Quand ils n’y vont, ces médecins envers leurs délinquants, qu’avec le raisonnement.

Certains individus lésés, devant à tout casser y croire, les prennent pour extraterrestres et s’en font interner, parfois pour leur échapper, s’ils ne sont placés à temps, avant qu’ils ne soient exécutés et vivant uniquement sous cette peine là. Après tout ce qu’ils auront eu vécu.

Il ne leur aurait fallu qu’une protection rapprochée de la police.

Ce n’était à son tout début qu’une étude.

Qui de l’attitude d’Honoré de Balzac envers le café et sa grande propension à crier ses livres, va à la propension d’Emile Zola à écrire des J’accuse.

Avec cette secte, soyez un surhomme, quand vous n’êtes qu’une femme, ce qui n’est pas prévu dans leur manuel du dépassement de soi, autant que l’a ingurgité sans le savoir mon compagnon, subliminé autant en état d’auto-sublimation jusqu’a l’automutilation, autant d’ailleurs que son voisinage et le mien.

S’ils se font dire par autrui qu’ils cognent un peu trop, ils cognent quand même un peu, il le fallait quand bien même. Envoyer le jus à pleine gomme, pour le cerveau l’effacer de vous autant pourrir le cerveau de leur parti, le mien le pire ennemi qu’ils aient sur terre. Ils mettaient ma tête à prix depuis 26 ans pour mes livres, écrits, et productions autres de celle de leur branlette de cul... Dans le devoir de vous corriger jusqu’au colon, en le prenant pour le collant, dans le collant aussi, même type d’extermination.

Si ce n’est que cela l’hystérie de conversion et ses convertissements, de cerveau chaque fois qu’ils ne se contentent que de changer de zone à tabasser.

Chez eux le phénomène de la branlette mentale, qu’il faudrait tant chez les autres condamner.

Une fois qu’ils ont lu Honoré de Balzac pour son aptitude à réciter ses livres, ils croient avoir lu la bibliothèque entière, et n’ont plus que lui en référence, envers tout écrivain, leur plumitif.

Je vais avec tout mon assentiment s’ils ne le veulent leur mettre ma plume au cul, avec toute la coprolalie qu’ils m’espèrent, dans le devoir de me la gérer.

Il faudrait simplement s’en faire un ulcère de voir sous peine de cloches les prendre, ces bandes de sauvages, pour ses niards à soi.

A faire de toute artiste un monstre vert, de chez les monstres des Marais. Ou Ulk. Artiste qu’il faut briquer comme un sou à l’électricité à longueur d’année pour pas un rond.

Tant qu’il ne m’en restera qu’un lobe de vaillant c’est que je vais bien s’il en parle, lorsque je n’en aurai plus un, je serai morte et décédée. Là leur problème envers moi sera réglé, si ce n’était que le mien.

La gauche plurielle démissionne, n’en resteront que des communistes ou des Lepénistes de type secte, Moon de préférence chez eux, qui aura bien fait le ménage autour de soi.

Leur arrêt-Buffet de campagne de leur campagne, en stagnation protectrice obstructionnelle, on s’en mange des marrons pour pas un rond de leurs ronds de cercles, qui leur manque quand je dois m’en charger de mission (schizophrène et non catholique), de faire le ménage dans ce tas d’ordures qui sur moi règnent.

Il faudrait même crier au secours dès le moindre SOS que l’on se charge de pousser.

Et allez, l’on change de longueur d’onde et de tempe. Une petite lobotomie dans les zones de la mémoire, à force de courants électriques pour que je ne souvienne de plus rien. Pour pouvoir faire de grands bébés à la carte, dans tout l’eugénisme correct de la maison de correction, à domicile.

Parce que leur mollesse si on se la prend par la geu’, l’on ne sait plus que ça. Dans le ça. Et le lobe de la raison qui reste. Qui doit être le bon. En béton, après la thèse de Lempérière, nouvelle version. Electricité jusqu’à la courbe de Gauss, comportementale, alliée à celle du traitement. L’on crée le trouble et maintient l’acte agresseur qui le crée jusqu'au complet anéantissement du dit trouble.

Dans le culte de l’aphorisme.

Langue de bois.

Ils n’en feraient pas autant dans un ordinateur.

Sans quoi il ne marcherait que des pas bien,

Si un ordinateur cela a des jambes.

Parce qu’avec le Père et mes voisins, Ah, tu veux faire de la poésie, et bien voilà.

Dans toute la systématie de leur art. De leur radio Datcha que sont leurs bandes de fachos et de mémères faire des ressortissants.

Certains sont ressortis indemnes de Dachau, du moins avec des plaies et blessures moindres et moins mortelles. Ou auront fait la guerre en s’en tirant mieux que certains de nos jours, internés. Ou soignés jusqu’à présent. Simone Weil en a même été ministre, longtemps d’ailleurs, malgré sa déportation. En France l’on peut aller plus loin avec le Soin, vous ne serez jamais ministre…

Dégradations cérébrales de type Dégradation Dreyfus, où l’on opprime et supprime toute idée et notion, y compris de français, en guise de dégradation, et le BEPC ou brevet des collèges, pour l’obtention, enfin pour eux, de l’ignorance chère aux lepénistes, et réputée être celle de la schizophrénie, jusqu’à l’absence de la connaissance des termes, notions d’anatomie et celle aussi du corps, pour dire désormais, schizophrène elle l’est.

Revenons à nos moutons, et Dieu sait si l’on en a.

Torture de ces Brès et blancs bérets, afin d’en prendre moins de leurs médicaments.

Et bon traitements autant qu’ils vous les aiment. Jusqu’à l’effet caractériel carcinogène et la crise.

Du Tranxène jusqu’à la rixe en crises et le crime, grave, contre l’humanité.

Prescrits de la main de professeurs et médecins Labourde et Labourdille à faire vivre la Terreur à la France entière.

L’effet du Scratch, de l’Age des glaces, toujours. Ou moi. Toujours après son gland.

Une population entière détruite nerveusement après intromission obligée contrainte et forcée du Tranxène, jusqu’à l’apparition de troubles, graves, parfois meurtriers, la partie de snurf , sur autrui, durant une vie sinon 50 années au grand maximum, il faut mourir à l’heure du schizophrène, sinon à celle du mongoloïde. Chez eux, il en existe de différente sortes, façons et manières.

Autrui, c’est hein, le schizophrène, parce qu’il avait osé timidement en connaissance de tout cela s’interposer et exiger à la longue après l’avoir simplement signalé, qu’il fallait, ce Tranxène, l’interdire, car trop nocif et dangereux, voire pour la vie humaine.

Cela fait du bien mais quand ça s’arrête.

Leur morale de trouffion. D’inspecteur Lagaffe. Mesdames Lafesse et leur Jean-Marie de Pet acharné à tout vous péter.

Ils ne risquent eux au moins d’être des énervés agités tant ils se soulagent de tabasser à l’électricité. Dans l’espoir du viol, épileptique. Fonctionnant au tir à vue.

La loi sous par et de la faute de français, car j’aurais dû ajouter un ou deux « s » à « trouffion ».

Plutôt que l’analyse de texte, l’analyse psychiatrique bien électrique, là au moins on est au courant, qu’ils ne savent ni lire ni écrire, si par exemple votre livre ils tiennent trop à vous le dicter. S’ils persistent à m’apprendre à écrire de mes textes sans en avertir.

D’où la télépathie. A titre de contrôle, perpétuel, autant que l’état de grief, mutuel.

Selon eux les livres ne peuvent être que des mensonges, de La Haute.

.

Leurs expérimentations sociales. Exemple, donner à des isolas des Tranxène pour étudier sur cette population ce que cela fait.

Il faudrait crier Oh miracle.

Continuer avec tous leurs « courage » et s’en faire assermenter ses livres.

S’ils ne veulent pour cela piquer mes livres jusques dans mes zones de la mémoire.

Ils disaient aussi qu’ils me piquaient à l’arrière de la tête à me mettre la tête comme un blog, pour m’apprendre à décréter blog ce livre.…

Cela fait du bien cela aussi quand ça s’arrête, leur branlée.

Après celle qui m’aura été voulue de mes parents, la famille, puis celle du travail et de la patrie.

Restait celle du voisinage.

Après, l’on ne pense, hein, à plus rien.

Abus de pouvoirs.

Ils piquent vraiment des crises avec leur livre qu’il ne faudrait écrire que de l’asile, et l’asile pour les écrivains, en devenir de prisonniers politiques

Pour me mettre une tête au carré de par la torture électrique et dire bien fait.

Enfermée dans la quadrature du cercle, à le ronger par tous les bords, jusqu’a ce qu’il m’en manque un cercle, à moi aussi. Ce que je n’ai pas mérité.

Bienvenue au club. De ceux qui se font tirer dessus car il faut tirer sur tout ce qui bouge, jusqu’à la contorsion de petit doigt, dans le cerveau après celui de pantalon.

Quand chez les autres c’était le club des Alcooliques Anonymes. Alcooliques jusqu’à la schizophrénie.

M’attaquant avec leurs multiples médecins en différente parties du corps, mises sous la torture électrique de ces gégènes greffées ou implants, et changeant de zone de temps en temps, au bout de mois et de semaines de ratonnades, de décréter une hystérie de conversion, que je ferais, en fait, qu’ils m’espéraient. Une conversion totale et absolue de mes sens à ce point là. Dans le but qu’ils jurent méritoire encore, de me mettre une baffe, de me tuer de mes beignes, ce que je n’avais jamais commis. Mais que je risque un jour de leur retourner. Si tant la loi du talion avec anticipation du fait existe. Et je l’exécuterai avant qu’ils ne m’aient exécutée. Histoire de retourner l’arme contre eux. Ni pute ni soumise. S’il fallait en plus en crever d’un cancer.

Cela devient le cas.

Me prennent un peu trop pour le Négus. Dans le but infaillible de me retirer tous les nerfs endommagés qu’ils auront infibrillés de mes implants.

L’on n’est trop dans ce pays pour le paquebot France d’Audrey Totou. Croisière de luxe si l'on y parvient... Avec le savon Lux savon des mémés et leurs verres varilux en prime. Photo gray.

Tous les films et lectures de la gauche y seront passés.

Certains cinémas d’avant-garde d’Orange auront été fermés par le bastion d’extrême droite, parce que top gauchos.

Jusqu’à ce que l’on vous passe en guise de toute autre procédure et en guise de traitement, par le sirop d’orange, afin de vous le rappeler, car avec les méthodes qui parlent à l’inconscient…

La grosse décharge entres les jambes. Jambons pour les gros.

La révolte et l’agitation sociale, ré-agitation mentale. De l’individu.

Pour mes tendances communistes de jeunesse, ou mal de la jeunesse, à soigner immédi atement, sortie de ma conscience tranquille par tant de combattants, à psychanalyser d’office au domicile de la personne à demeurer, moi, mon moi, afin de lui rappeler ce qu’était le bon vieux temps précisément de sa jeunesse, si encore celle en rêve.

Coup monté, dit délire schizophrène.

Sic le mémédecin.

Etre réduit à s’en amuser étant considéré paranoïa, au moindre jeu de mot, via le médecin Le Pen qui en fait, lui aussi, quand il prend peur de sa mort subite. Là dessus, je le reconnais, il avait des raisons, qu’elle lui soit rendue,ne fut-ce que de par sa loi du talion œil pour œil….

Ne me dites que c’était un médecin communiste, je ne le croirai pas, avec leur courbe de Gauss et celle qui ne se calme que des par soi.

J’ai décrit la courbe de Gauss. Cloche à cloques ou Cou-courbe affine de Gauss, tant il fallait rester infantile de ces évènements. Jusqu’à ce que je ne râle plus. Partie de bras de fer jusqu’au décès s’il le faut. Le râle de l’agonie, exécution sommaire dont il voudrait la mort douce bien lente, histoire de me voir mourir de ma belle mort, si j’essaye de les contrer encore une fois.

Pour éviter de faire de cet HLM un centre de détention tant les locataires qui m’ont tant corrigée et tortionnée le méritent, substitution et les miracles de la substitution, de tant de devoir de me punir à leur place, moi, première victime de ces gens, de leurs médecins en premier lieu.

Titrant leur fait sur le fait d’instituer la recherche stylistique par l’entremise de cette entreprise de l’opération du cerveau, neurologique, constante, je le répète et me répète. Dans le but certain de me planter dans mon style, le rendre piteux à pitoyable tant mauvais et répétitif de leurs systématies.

Procédés bateaux, poncifs usagés qu’il fallait me faire mériter quand sur leurs sujets d’examens ils rament.

Mon écriture leur venait avec une trop grande facilité. Devrait rester inapte.

Ce qui devait être le résultat, obligatoire et assuré, autrement dit, en rester avec des séquelles, à refaire soigner pour une éternité, dans une éternité de soins, le plus souvent à domicile. Toujours pratiqués par ce genre de voisins. Et voisines qui ne manquent. Si en plus elles dépriment, de tant avoir voulu me mettre execo et d’accord avec elles, après avoir été tant selon elles 3° execo au concours d’admission des Beaux-arts en 1982. Depuis, j’ai été vécu partisane de la Ligue Rouge, et tout ce qui s’en suit. Il fallait réussir à le dire. J’avais oublié.

A peine on a la Raison parce que l’on entre dans l’âge de Raison, c’est qu’on ne l’a que des trop ou pas assez.

Jusqu’à vous faire oublier toute règle de bon français, autant civique que linguistique. Pour mes règles de modus vivendi avec mon Pater, que l’on voudrait me faire enfreindre jusqu’à causer inévitablement quelque nouvelle catastrophe chez moi, c’est toujours ainsi dans ce cas que cela se passe quand le père a envie de casser du matos chez moi, des troubles divers dont ceux de la schizophrénie (de tant de goût supposé pour l’alcool, ma famille au complet s’y complait, pas moi). Schizophrénie Que l’on croyait au départ chez moi, tout au plus induite sinon une grave faute de ma part.

A placer pour cela en maison de redressement au moindre résultat, que je n’avais le droit (qu’ils ne me concèdent) d’ailleurs, toujours ces gens, de m’accorder. Résultats scolaires ou réussite sociale.

Petites et grandes gens dont le point d’honneur, c’est un point crucial, est de m’empêcher d’être férue.

A une certaine époque, il fallait, j’ai tout juste le droit de l’affirmer, m’opérer sur bon de commande, droit de visite dans les HLM où je logeais, dans une transaction avec voisinages lointains et immédiats, pour m’interdire toute perfection de la femme Parfaite huguenote, jusqu’à l’obtention de l’erreur tant désirée. La moindre faute de frappe ainsi obtenue considérée ensuite erreur de jugement, durement sanctionnée par électrocutions semi-constantes à constantes, des zones cérébrales incriminées choisies pour ces persécutions infligées dans un acharnement de molosses, jusques aussi dans mes travaux de nuit, qui peuvent durer jusqu’à l’aube. Torture systématique, systématisée. Invertissement du cerveau dans la conversion sadique. En voie bien entamée de psychanalysations à cerveaux réversibles. Ou analyses.

Histoire de vous retailler une veste, que l’on enfile ensuite et qui vous va assez bien.

Des raids nationalistes à intégristes Chrétiens, aux propos assez fascistes pour mettre des gens de la populace en devoir civique de m’assassiner, tout comme dans autant de leurs rêves. Alcoolisés. Car selon eux, il fallait ne sortir que d’un département ou revenir à l’ancien pour écrire un bouquin. Et n’y rester que toute la vie.

Pays où pour tout être défendant librement le marxisme et Krivine il ne règne de police que parmi les relations, les amis, l’entourage, la famille et les proches. La police n’opposant qu’un strict refus de servir à toute plainte dans ces cas de persécutions décrites ici, sinon tout un arsenal de moyens de répression très persuasifs, pavillons de forces, autres placements dont administratifs. En corroboration avec leurs Jean-Marie le Paic. Qui lave-lave l’affaire dans la belle eau bleue, cf., Vices Cachés, Texte Ghor, dernier chapitre de ce livre.

Si les implants et de telles armes de poing ce n’était qu’à titre expérimental, il fallait en respecter l’ordre, de ces tortionnaires achalandés par l’administration pour régner en maître sur ma personne, et respecter les tortures endurées sans mot dire ou parler quand on vous le demande et exige, de tant d’électroanalyses à coup de matraques, électriques, tortures endurées, je l’ai dû, les endurer des années avant de les voir systématisées et stigmatisées sur mon être tout entier, corps et idée. Tant d’études pratiques et expérimentales sur ma tête, sous peine de devoir les respecter en pavillon, pourquoi pas disciplinaire. De deux départements jusqu’à présent en concurrence, réunis dans la même expérience d’éliminer de la circulation un ennemi commun, en l’occurrence moi. Depuis le temps ils n’auront changé de politique.

De leur politique ils auront eu des accès des plus divers.

Réunis, ils auront juré de me planter et faire de moi leur cave de leurs corniauds, le département psy de Brès, son pavillon disciplinaire en jonction avec le département (psy) que je fréquente, en suivi seulement, entre bons voisins et ennemis. En état formidable de haine raciale, de vouloir tant faire respecter dans des crises de rage formidables l’usage de la torture et de la torture psychiatrique en France et dans le monde. Torture psychiatrique électrique à priori et chimique depuis les premiers pas du capitalisme...

Voisinages en furie armés, en état de mouflets, de leur parfaire panoplie du parfait petit neurochirurgien neurologue, séviciant à souhait et à longueur de temps des filles que l’on ne voudrait qu’à leurs parents, qu’ils trouvaient belles à l’envie, pour leurs diplômes, et d’en faire leur parfait petit travailleur infatigable sinon les vouer à la prostitution, s’il en reste.

S’en amuser de ce fait longtemps.

En guise de crosse. Du larbinisme de ces Lepénistes à me vouloir leur larbin. Ou tout autre esclave des Familles je le répète d’Harry Potters, d’interventions et d’ingérence profonde dans ma vie intime et privée. A me vouloir autant grande esclaffe qu’eux, espanthe en famille, muette face à leur Brès.

Quand on aura voulu que remplacer mes tempes autour des orbites (tempes rendues étriquées autant que mon front dans ses deux cotés, ne devant dépasser les dimensions de la grande Galoche de Mussolini), par exactement des prothèses gonflables à souhait et à loisir au cours de partie de vengeance sur moi à loisir par des « Brès » qui m’accusent encore 20 ans après d’avoir été, toujours selon eux, la maitresse d’un de leurs médecins. Brès en personne, autrement dit lui-même, qui possède l’art lui de garder une certaine dent contre moi, pour mes derniers refus et ses derniers accostages, de par sa bande de vieille marmaille, totalement fieffée, qu’il se charge dans les parements de sa grande capacité, tenace, de soi-disant soigner, ce qu’il en reste du soin dans ce pays…

En guise de bâton dans les roues, trouvez-pas mieux, car ses malades et élèves, quelles pègues.

Tout un procès que j’ai durement payé, maintes fois, pour ses capacités personnelle à me foutre en PO comme l’on me colle une trempe et belle tremblée, chaque fois qu’une de ses malades, toujours la même, sa sainte chérie, je dirais même mieux les mêmes, car il (le même) en trouve toujours d’autres et qui reviennent, il s’en flatte, de ses malades aussi tissous et parasitaires que tiques à tocs et à tics dans l’esprit de la teigne ou vermine. A ne se nourrir que de ma vie et me vouloir des châtaignes. Avec grande insistance je les pourchasse, ce psy et ses sbires, lui s’en fait des idées de suicide si on le lui rend, et revient à la charge, inlassablement, croyant que mon corps et ma pensée lui appartiennent, à vie, au point de me revouloir dans son département, où il s’occupera de moi particulièrement.

Car il a été mis au courant de l’affaire, qui lui a été rapportée de tous bords.

Bref, je n’étais la persona grata. A en faire de cette malade, qui me jalouse tout, une querelle personnelle.

Avec leurs bonnes gens, la moindre confidence devient une auto-délation, dont ils usent, vous usent et vous rackettent.

Secteur où l’on élève de grands criminels tels enfants, dans les phénomènes de Trieste, dans un simple suivi à domicile, armés de la main de leurs médecins des armes de la Scientologie, je le suppose, dans le but de leur permettre de se défendre, quand ils en attaquent et agressent violement, constamment.

Leur donnant absolution pour tous leurs « péchés » et graves fautes, crimes et préjudices à coups d’électrodes implantée, faisceaux à rayonnements de toutes sortes, agissements pris pour même pas une beigne, qu’ils me mettent savoureusement durant des jours, de leurs appartements, par l’entremise de leurs armes de poing. Absolution de leurs fautes, pour le simple fait qu’ils ont à prendre leurs médicaments, saintes hosties de leurs vieux curés.

Cf, Guerre des Nerfs,chapitre de ce livre.

Si j’ai un problème c’est bien celui-là.

Avec leurs joujoux ils créent des troubles publics à faire des morts, des blessés, qu’en dire, l’on me substitue à ce problème parce que le problème de psychose de guerre collective n’a plus que moi pour sujet, n’a plus pour moi de secret et que ces gens l’on ne sait plus comment les calmer, s’en rien en faire, sinon en ramenant le problème à l’individu. Moi, le fauteur de trouble pour m’y être précisément opposée, à ce trouble, de l’ordre public. Parce que me concernant.

Jusqu’à présent Frêche, le maire de la ville, gros Obélix qui envoie le Menhir, a ratissé tout ce qu’il a pu dans la région pour se la mettre à dos, tirant sur tout ce qui bouge et dépasse, faisant des crânes chauves de l’intérieur aussi et d’autres rasés, parmi ceux qui le dépassent d’une aune, à vouloir savoir tout de ce qui se passe dans les têtes et dites futures têtes de liste, dont moi-même, car propulsée par la ville durant mes quarts d’heures de voluptés et désignée d’office par l’hystérie de la plèbe ( durant toute guerre du Golfe) pour remplacer en éminence grise au gré de tabassages à main armée et l'électrode sur la tempe au moindre écart de ligne, officieusement et de façon obligatoire sous peine de mort, le Maire,parce que débordé. Dépassé d’une tête de ses ennemis, à tuer ses poules aux œufs d’or qui auraient pu l’aider dans son parti (pris), il aurait fallu y perdre sa vie à le défendre et soutenir. Réquisitionnée juré à contumace pour ma bonne moralité jusqu’au placement pour étouffer l’affaire, non officielle.

Frêche a dû se heurter à son service de l’Ordre, pour être parti de la ville si amoché.

Il fallait sonner les grosses cloches de ce quartier et même bien de cette ville, ils m’ont sonnée de leurs cloches et fliquée dans les méthodes d’Action Directe. Instituant le pavillon à domicile pour se rendre intéressants. Si ces personnes n’étaient tant à leur établissement à eux, les secteurs psy du coin, il fallait de ces départements les faire dépendre, et soigner mieux que ça. En Placement, Administratif. Ou P.O.

Après les délices de Madame Bovary, L’Inspecteur mène l’enquête, Cloche-Merle il y aura désormais, je l’espère un peu moins, le un peu moins, (sic) des avocats, douteux. Autant que leur slip sale. Car ils m’auront contrainte et obliger à parler sous la torture, électrique. Dans tous mes aveux. Les contrefaçons de Voici, les paparazzis, genre ceux de PP d’Arvor. Redite.

.Je l’ai dit, il n’y a que le tabac, dans cette région, qui tue.

Quand c’est le tabac qui tue, c’est Tonton qui tousse.

Ou mon espace vital.

Et le coup du sirop de groseille à l’alcool, même si ce n’est pas bon ça soigne quand même qui soigne mon croup tant dû au tabac. Mais j’ai dû lire ça quelque part…

Le père paternel dans son grand amour paternel, d’après ce qui m’en est rapporté, ne rêve que de la grande tremblée qui m’attend si ce Brès m’incarcère. Et que je morfle en plus du reste, une fois de plus.

C’est toujours à moi de me soigner pour leurs saintes ires et ils en ont de satanées, des rages froides ou patates chaudes à vous faire périr de leurs fers. Quand ils me mettent leurs problèmes sur le dos.

Au départ, se sont plaints que je n’étais que vierge. M’auront faite pour cela ré-hospitaliser.

Ils ne me lâcheront que cadavre, sinon cadavre de moi-même. Si après tout un corps ça pue.

Sinon que tous les crimes contre l’humanité auront été commis dans ce secteur.

Et de se raconter de leurs légendes sur ma pomme, légendes qui les valent.

Ils vont y aller avec autre chose que le raisonnement, oui, ou merde, ces infirmiers, et internes ?

Toujours le père en visite en dessous de chez moi, dans ses virées à expéditions punitives.

En guise de divertissement. Là dessus l’on m’en apprend, et j’en sais quelque chose et ne devrais leur être l’ombre que de soi-même.

Père. Histoire de me mettre d’accord avec ce monde, autour de moi, avec sa grande dépression. En proie à sa Vérité Eternelle, en état de grenadier, au pas de charge, à mon encontre. Dans son désir avec ce Brès d’en finir avec cette «Grande Criminelle » que j’étais pour eux, ceux de ce monde, que je ne suis ni n’ai jamais été.

Monde, tout un monde pour de vrai, qui met la tremblée ou branlée de mon père et après me l’envoie m’en mettre une, à sa façon.

Me mettre le bec dans l’eau pour me le clouer, cause ses problèmes de vieux beau-père d’un voyou, qu’il jure devoir me punir, en moi-même. Pour le sale fait que j’ai choisi contre le gré de ce pater, de vivre avec un beau-fils qui ne lui revient pas. Qu’il me jalouse s’il apprend je fomente avec, précisément contre ma famille. A la longue.

Cercle vicieux, mon intendant. A cause du nom de branlée d’une de mes vieilles copines, de collège et de lycée.

Il faudra inventer le terme de « Parâtre », envers un tel père fouettard.

A qui l’on dit dans les hôpitaux, « Monsieur le Père que n’avez-vous refait ? » pour lui envoyer des « Monsieur, qu’avez-vous refait ». L’on m’en dit, là-dessus….

A tant les gros moyens me les infliger sans raison, mais il n’y a pas de honte. De vouloir m’obturer le cerveau pour que la mémoire de l’affaire je ne l’aie plus.

Partent à la pêche au lamparo en espérant ne pas revenir bredouilles, cherchant à s’attribuer un malade de plus, à vie, mauvais traitements et tortures en fonctions du sexe.

Années Mitterrand. Beaux-jours des beaux-arts dont on me repose la Question. Tout bousillé des zones de la mémoire visuelle celle-là, également.

Juste quand mes voisins, petites gens qui fument, boivent et se piquent, s’improvisent, s’ils sont tant responsables que ça, médecins, infirmiers et matons de prison au cas où je possèderais mes facultés et la raison. Acharnés de rages sans raison, achalandés d’une armée de mes faux-maris. Toujours aussi enragés et féroces. Dont certains protégés par la haute diplomatie pour parentée hautement placée dans ces milieux.

Mais dans ces milieux-là, il n’y a pas de gêne.

Jusqu’à se sentir le devoir de vous prendre à la gorge pour votre connaissance dudit milieu, en fait de l'espionnage, et de la drogue j’ai mes références, moi aussi.

Dès que la famille s’en sent mêlée, c’est donc que je ne peux que mentir.

Tout livre que je rédigerais, mensonge. Ou avatars.

Je dirais d’avatars. Particulièrement ravagés, sauvages et débloqués.

N’oublier que l’Homme est doué de raison et que pour mes dons j’ai été taxée de déraison, mes dons bafoués, opérés et annihilés. Electrifiés, mesurés à la loi par ce trafic jusqu’à l’accréditation de la Médecine à laquelle je dois me mesurer, selon qui je ne ferais que me vanter de ce que je ne possédais, ni plus.

Mis à part qu’il ne fallait avoir un beau cerveau et ne conserver qu’un cerveau au beau-fixe.

Secteur hospitaliers qui attendent délibérément qu’à force de laisser faire envers ces malades complètement piqués et dangereux, ils n’aient besoin tous des grands moyens de la mistigri (ou moi) à formidables opérations neurologiques, et trépanations, qui rapportent argent et profit, et que l’on les sorte pour des problèmes de responsabilités que les Grands de ce monde n’ont su prendre, entre autres les secteurs hospitaliers précités, et leur suite de médecins généralistes, même l’orthophoniste et le pédiatre.

Plutôt que de confisquer des armes en tout premier lieu, qui rendaient ces gens à tête dangereux, à s’en rendre malade d’utilitarisme jusqu’à la forte démence. Il fallait se contenter de patienter, attendre sainement malgré tout, que ces gens en aient eu assez de s’en servir, dissuadés par leur petit traitement d’user de ces appareils et machines et armes de guerre. Ainsi qu’elles sont dénommées dans les milieux dits schizophréniques. Malmenés jusqu’à ne devoir être que des machines à travailler, ou bourreaux de travail, sous les agissements de leurs bourreaux.

En retour de la culotte bleue poète que je portais, dans la rue. Sous un pantalon revisité de doigts inconnus.

Pour bien me faire apprécier le boulot d’infirmier. J’avais remarqué.

Et bien observer le démarrage matinal devant rester de type Fort-Boyard.

Sale engeance que ces français, dont on attend le devoir de trépaner qui ils souhaitent voir éliminer, supprimer de leur vie qui bon leur semble, afin d‘assouvir le droit de régner comme bon leur semble, sans qu’aucun contrôle sinon littéraire ne soit institué sur ce fait, quand les pouvoirs s’en chargent d’eux même, bénévoles le plus souvent d’enivrer pour moins de détails, éviter de reconnaitre leurs crimes politiques pour la plupart, dits torts quand face au pouvoir de la médecine ils ne se voilent même pas la face et restent pour triompher, mensongers. Dans une lutte finale sans merci, à longueur de siècle et de décennies.

Dictature du lumpenprolétariat. Secteurs psychiatriques self-services de cette violence, très répressive.

Pustules d’extrême-droite, populistes et démagogues, tous partis s’emparent d’elle, la remanient à leur escient. Créent chez les grands et petits militants, des délits d’opinion jusqu’au massacre, de prisonniers politiques. Pas seulement d’opinion, vécus prisonniers de droit commun se devant au devoir se soumission à la double peine judiciaire et psychiatrisée…

Petits et grands en état de marmots de l’Etat, infantiles et infantilisés, en griefs sur leur fief, concernent et développent, mais tabassent en fait, démagogues à faire se méprendre.

Ce qui en fait ne trompe personne, qui suit l’affaire de rêtre en emboitant la marche des canards, à la queue et en file indienne, à pousser du coude l’écrivain quand il rédige, pour lui interdire de développer, lui.

Et faire se déprendre cette haute auto-aristocratie, autodidacte autant que moi-même, la faire descendre de son haut perchoir d’où l’on peut voler trop haut, se détacher d’un réel qui se dit non fondé, ceci, jusqu’à l’isolement de l’individu profond, de type ensuite Robinson Crusöé à la quête de son Ile perdue.

Jusqu’à influencer à force d’influer, la balance des majorités politiques.

Non mais s’il y a de quoi se prendre la tête de la prise de tète.

Si cela fait aussi trop agité, de vivre parmi ces vétéranes et jeunots de la dope.…

Qui psychanalysent même les écrits.

Avec eux mais tout y passe de ce panurgisme et de poujadisme.

La gauche mange à tous les râteliers, moi aussi mais à l’inverse d’elle, ne préférant que le côté positif de la critique et des valeurs.

Ce n’est qu’être éclectique, s’il faut affirmer un « ne que » de protestation qui ne soit antisémite ou fasciste. Car avec eux, il n’était question « que » de torture, c’est donc que cela ne pouvait pas être bien grave, ce qu’ils avaient en voix, d’infliger.

Ramenée à la caste de mon statut pour la juste cause de me clouer le bec, face à ces dangers.

Ou bien il faudra me payer pour mes activités bénévoles d’infirmier, maton de prison pionne de cette marmaille. Pour le viol réitéré ad vitam de mes veillées magnanimes. A me faire cumuler les emplois en bénévolat, non rémunérés autant qu’en Espagne, système du pluriple emploi. Racines familiales…

Ne devant que rester le secret des inventions que l’on me voudrait, moi-même devant rester dans les cons biens citernes, pas bien belle, cause le tchador médical et la torture chimique qui accompagne le tout.

Antenne médicale placée dans les quartiers chauds homophiles de la ville, jusqu’au viol des dits patients venus consulter, certains y étant domiciliés, comme par hasard. Violées jusqu’à l’os du crâne de ces quartiers y compris par leur copain, pour l’une d’entre elles on m’en inflige le calvaire, depuis des ans. Entre autre celui de ceux et celles qui, invités à la villa de ce médecin, en furent piqués et tourmentés, voire au cours de tourmentes et acte de cruauté, barbarie subie ceux qui autant que moi-même aujourd’hui, pour des raisons identiques, qui font plaider leur perte de raison sont trainés pour ce jusqu’en procédures, interdits de rapport sauf sous électrodes. Violés comme des bêtes, de somme. Réduits à l‘état de bétail à l’étal.

Les plus politisés re-lobotomisés à la suite de séances d’électrochocs qui précèdent afin de parvenir à la permission d‘amputer, sangsues véritables, les zones lésées, déchiquetées infibrillées et cuites sous les décharges, de courants électriques. Le plus souvent, à vif, sanglés, le mors, la pale en bouche pour les étouffer, parfois, le mors électrique. Pour que la mâchoire ne pende et visser la bouche le temps des décharges. Je dirais en rafales. Tirs à bout portant.

Maisons de redressement en virées à mon domicile, en compagnie de voisinages obédiants à qui ils laissent appareils de contention, armes de manipulation physique et psychologique assez dangereuses pour en faire parvenir à la torture mortelle, jeux d’appareils destinés à m’interdire de loger où ils se trouvent, et à faire chez moi régner leur pluie, leur beau temps et ce qui leur plait, ces Commandors, dans le devoir d’occire la Commandanté, dû à mon appartenance au courant idéologique d’El Che, via mon alter mondialisme, et le mouvement de Chevènement, dont je défends la position sur précisément, la maison de redressement. Maisons du Führer où l’homme est à la guerre et la femme au travail. Mariés tous deux à la patrie par la médecine. Avec les médecins, leur personnel, leurs lieux de vie.

Dans une partouze à matraques d’intellectuels et petits fachos sur gauchistes, à faire frémir la Terre entière.

Fallait pas non plus être féministe. Sinon gaffe, à l’euthanasie.

Des médecins de cliniques plus susceptibles que des fillettes avec leur 45 fillette, susceptibilité de schizophrènes. Qui font eux aussi leurs caprices de stars. Aux infirmières auto-rengorgeantes de s’entre-conforter, à décolletés pigeonnants sous la blouse, énervées tant elles portent le string. Sur le ring.

Certains en ont survécu, dont moi-même. A qui l’on interdit toujours le canapé du salon, et mon bureau, le mien. Et l’appartement pendant le petit ménage. Jusqu’au coucher, le plus souvent à l’aube, pour m’apprendre à faire ma journée. Afin de parvenir à me dire sale, malpropre, car autant dans la salle de bain, interdite, je me douche toujours malgré cet interdit et leur délire de persécution, assez carabiné, envers ma personne, tout mon être.

A une époque où j’étais mineure, mon père, par les mêmes méthodes, les électrodes, la torture chimique, a voulu me sortir de mon style de dessin trop académique et bien trop léché selon lui, faire de moi un peintre fauve (Klimt), il y a réussi, tout mon art annihilé pour un dessin de moi qu’il a apprécié.

Le fauve ensuite il l’a bien eu, jusqu’au trou, à son domicile, et là il aura creusé profond.

Il trouvera toujours pour se faire apprécier plus barbare que lui, les nazis.

J’étais sa drogue, qu’il avait de me sévicier, il me l’avait dit au téléphone, moi, les tempes broyées de chaque coté des orbites, pour que je ne le redise plus.

Ces personnes là quand elles broient, vous broient d’abord le cerveau.

Pour les mêmes cas de personnes, qui leur sont amenés, sans délire apparent, pratiquement les mêmes ainsi que cela se dit, à la vie identique, deux médecins différents, deux diagnostics différents, pour la même vie, une dépression, et une schizophrénie.

D’autres diraient psychose de manie, maniaco-dépressivité, ou simple tocs.

Dernièrement, traitée moi-même de cas de dépression pour schizophrénie à paranoïa galopante parce que dite enceinte. C’est compliqué.

Détenue en détention provisoire illicite et non officielle, ni même confirmée par courrier de la justice ni de maison de justice, ou pavillon, en placement psychiatrique illégal et officieux, non déclaré par courrier, à mon domicile sous étroite surveillance rapprochée, de par gardes du corps du parti de Le Pen, en incarcération préventive psychiatrisée, parce que dans ces cas, on électrise, là, l’on fait appel au pavillon disciplinaire ou de force. Où la moindre faute de frappe m’est surveillée commentée et reprochée d’autant d’électrodes, mes écrits volés et surveillés.

Mainmise autant que sous Placement d’office Congés d’Essai, sans qu’il y ait eu confirmation par écrit.

Ils peuvent me l’envoyer s’ils le veulent, pour la situation l’officialiser. Ceci au moindre scandale à rebellions sociales à mon sujet que je ne causerais de mon attitude.

Minimisez, minimisons. Ils me voulaient telle Boutin. De vouloir faire de moi ce qu’ils veulent et ce qui bon leur semble.

Placée dans ce style de détention pour m’apprendre à travailler, car il fallait que je fasse ce travail, de nettoyer et lessiver et tant travailler à ce bouquin, quand j’ai déjà été opérée de la thèse partielle de Lempérière (Selle turique un peu petite, dixit le diagnostic à la radiographie).

Autre façon de récupération des idéaux de la gauche. L’électricité selon la médecine et non le corps des pompiers, ne tue pas. Ni ne peut tuer… Sauf peut-être à des doses léthales, on peut être rassurés.

A prendre des lobotomies pour des beignes.

C’est eux qui rêvent ou moi qui cauchemarde, à moins que la France d’aujourd’hui ne soit un cauchemar vivant.

Et cessez de jouer avec ces vieux bébés qui datent de l’âge paléolithique de la maternelle après l‘âge des mégalithes, qui vous planteraient bien encore un coup de fourchette, dans le dos. Précisément dans l’aire de la mémoire.

Je me répète :

Jusqu’au pourrissement du socialisme dans le pourrissement de la situation, décérébré, rendu mou et mol autant que socialiste du oui, de tant de prosélytisme. Mot d’ordre qu’il se transmet, restez mou et mol, ceci rendu vital de par le prosélytisme d’extrême-droite si l’on peut appeler la torture répressive et psychiatrisée un prosélytisme. Le Père de famille qui n’a rien pu, malgré toute sa grande vitalité, ne rien foutre sinon foutre sur la gueule de sa fille par ces tortures au moindre de ces démarchages auprès de lui de l’extrême-droite, dans ses exercices de corbeau en état de délation, le plus souvent mensongère, de type vichyssois.

Qui le plus souvent se traduit par des euthanasies de l’identité de la dite enfant de père et de son cerveau, de son fonctionnement du moment, jusqu’au défilement chez elle des identités que l’on se plait à dire pluriples ce qui conduit à les interpréter facettes de sa personnalité ou identités doubles, car elles défilent, dont certaines qui ne leurs revenaient pas, appelées « l’autre », ou celle là, à ma vue. Pas celle là, l’autre.

Tout se recoupe, pour plaider la schizophrénie. De tant vouloir vous mettre le frein parce que vous volez trop haut, il est libre Max.

Je ne m’en vante, du niveau, mais l’avoue à genoux, après avoir eu craché mon dernier morceau, de viande et de cerveau.

Caprices de star des voisins.

Il faudra en rester à la partie visible de l’iceberg, terme de psychiatrie, parce qu’à force de trop creuser, on peut s’en creuser des trous dans le fromage.

Ou tout de l’infirmier. Quand désormais son cerveau, on l’a dans, dans le crâne.

Que l’on cesse de dire que je corrige les gens quand je ne corrige que leurs erreurs de français selon la méthode assimilée, ainsi que mes fautes de frappe, du moins, celles qu’ils m’auront causées.
J’ai mis un moment à le murir, tant les électrodes faisaient rage.

Evitez de faire de ce livre une psychanalyse.

L’on ne m’a pas tant laissée témoigner.

Je témoigne, de tous de mes moignons de pensée.

Fuir le pays, dans un exode des intelligentsias qui précède la montée du Führer et ses Maisons Lacouture ou du Führer.

Disons que ce n’est que la tendance actuelle.

Actuellement, je me demande si ce n’est une Thèse de Lempérière qu’il leur prendrait de me faire, en douce et dans le dos, dans le but précis de dégrader le peu de cervelle qui me reste, si ce n’est m’exécuter d’une exécution sommaire au point de devoir m’interner si j’en survis, en guise de réparation, au cours du procès. Qu’ils me font depuis ces décennies à m’appliquer de façon officieuse les méthodes de torture que j’aurai endurées déjà on ne sait combien de fois contre mon gré cela se conçoit et que j’aurai dénoncées dans ce bouquin. Sur lequel est établie une surveillance constante ainsi que sur tous mes écrits, et productions, quitte à me les chiper. Pour m’en racketter. Ou les Sous-doués, le film.

Après me l’avoir voulu avec vol et viol au dessus d’un nid de coucous, (et non de couscous comme l’on aurait bien voulu le faire croire), citez les références. Dans le but certain de faire obstruction à toute plainte envers ces faits, jusqu’au placement d’office s’il fallait me dissuader d’éditer ou de leur coller un procès. Parce que la plainte à force de la chercher, je vous jure qu’ils la méritent, et bien même.

Décidément, il fallait ne naître que poète pété, éclaté autant que sa trogne et doué de poésie.

Vive la gauche plurielle et ses délices, quand on ne vote que pour elle et se heurte pour cela à un buffet en campagne de neurologues, et neurochirurgiens.

Je voudrais bien voter gauche plurielle, mais pas communiste.

Et restez handicapé.

Quand on m’a sortie de mes doux rêves pour me faire voter, puis m’apprendre à voter à gauche.

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Piratages, cassages, carottages de cerveaux s’ils refusent de se plier pour leur bonheur à ce contrôle étatique s’ils échappent à ce contrôle. Jusqu’à ne les dire plus que sans l’idée, tué tout raisonnement logique. De type gauche libertaire, et bien d’avantage du fonctionnement cérébral sous ce prétexte là de devoir des idées de gauche devoir tant en matraquer. Pas que de la perte de facultés ou du raisonnement, que ces lésions cérébrales là. Electrodes restées allumées constamment, éteintes une seconde de temps en temps le temps de ne point tuer le sujet, dans des interrogatoires dépassant les trois jours et trois nuits de garde à vue organisée par voisinages belliqueux, en état de violences policières et de détention dans leur HLM d’un de leurs prisonniers d’opinion dans des parties de snurf à reproduire les massacres et procès d’Ilan.

Parce que ce prisonnier d’opinion, après lui avoir mis un cerveau pour et par la France entière, le pays voulait lui mettre une grosse tête pour l’avoir trouvé des trop gros, ce cerveau, en guise de parano pour l’avoir trouvé en train de s’en servir à son gré selon une raison autre que la Raison d’Etat. Etudes de transparence de l’idée exécutées sur sujet, entre autres cette personne, afin d’établir une surveillance continuelle de par corbeaux, institués par la psychiatrie ses observateurs, ou moutons d’état, dans une espionnite généralisée de ses comportement et écrits, autrement dit, sous télépathie. Un peuple de médiums prêt à l’exécuter au moindre geste, avec assignation à domicile permise dans sous des méthodes policières très répressives, psychiatrisées, méthodes à respecter sous peine de ré-internement. Télépathie que je ferais, ou voyance d’autrui ? Mettez-vous des boules Quiès dans l’idée, si vous entendez autre chose que la voix de Dieu dans le cerveau, il va bien falloir en advenir à ça. Dans les deux cas, et surtout si ça fait mal.

Ceci sur tout cerveau coupé susceptible de repousser pour avoir eu le don de présenter des signes de génie, bien nourri par l’Etat, ou surdoué autant que celui du Père qui se trouve lui-même un génie de tant faire de par ses acolytes tabasser et torturer sa fille, par la torture électrique et la neurochirurgie réparatrice préventive. Qui s’en suit, car les services d’urgence attendent bien que les nécroses dues aux décharges électriques aient nécrosé et tué à la longue les zones cérébrales incriminées... Pour trépaner

Il y en a même qui en plus de ces faits, ont été amputés d’une jambe, et d’autres, des deux bras.

Alors.

Guerre totale.


Programme de la pilule amère, radio Nova, 04-11-2006, 11 h 23, reprise de mes travaux forcés de réflexion de la veille, en promiscuité je crois avec l’avant-gardisme de la bande FM le plus souvent de même courant que le mien et celui de mon voisinage. Toujours apte à la même concurrence d’entreprise et son espionnite, libre espionnage d’entreprise. Mes corbeaux à sa solde. Me croyant tous de leur base. Je jure que je ne les ai pas repris, ces travaux qui ont atterri et qu’ils se sont attribués et ont exploités, dans leur émission, qui diverge, effectivement, de ma tendance. Et se foutent salement de ma gueule. Décidément, l’on ne sait plus à quelle bande FM se fier.

Symptôme de schizophrénies, accompagné du chapardage constant de mes travaux, corbacs.

Techniques d’acquisition du moule de la schizophrénie. Et le moule tu, ôté, reste la maladie, préformée, dans un industrialisme calculé. Forcée à travailler pour ces bandes FM, nègre de leurs radios, des années durant, payée en coups et blessures, infligés de main armée.

Revenons à autre chose qu’à nos moutons, d’entreprise.

Déments, en fait agitateurs que l’on s’est efforcé dans un lent travail de sape, d’agiter. Agités à la suite de ces faits, puis recherchés jusqu’à l’étranger, en cas de fuite des iconoclastes, dans ces régions du monde qui pourraient les accueillir, dans le phénomène d’accueil des terres étrangères promis aux pionniers européens de leur terre. Refusée en France ce genre de migrations des têtes de la contestation, vers l’étranger.

Autrement-dit, le bordel, pour récupérer le tout.

Aux Socialistes de récurer le tout, laissé dans l’incurie des cures et curies.

Socialistes éboueurs du système, capitaliste, de gestion du pays.

Contre lequel il fallait se contenter, con comme un zébu, d’un z’ai bu.

Ne pas se contenter d’un je sais, au fait, vous savez quoi, dirait Charles Pasqua. Le Sac de votre appartement ensuite, de votre corps et esprit, à le perdre. Une folie pas douce.

Sale esprit pervers de tout vous casser, ravager dans razzias sur votre vie privée, et grand ravages de votre identité. Manipulations, d’électrodes aussi, certains que cela déflore n’en buvaient plus que de l’eau chaude, en grandes intoxications de café, d’autres contrebalançaient, par le verre d’eau glacée. Et surtout que cela n’affecte que leurs somas. Ichnographie du sport chère à Chirac.

Somas connus pour être ceux de sumos en lutteurs de foire dans la boue. Il valait mieux rester à jeun le matin pour aller travailler, pour atteindre la délivrance, tant refusée. On les tuait ainsi. Chacun détourné de sa vraie vie, dépossédé de soi sans oser l’affirmer, existence devenue chemin de croix, autre détournement d’avions, mais de type terrorisme de capitalisme sauvage. D’Etat.

Seuls internés ceux qui osent, hors du moule du système. Soignés à vie, autre forme détournée de l’internement à vie. Cela ne concerne pas que ceux qui picolent comme l’on grignoterait. Mais surtout à leurs débuts ceux qui osent simplement grignoter.

D’où la colère du schizophrène, symptôme de la maladie, lui aussi touché, qui ne résiste à la provocation et cède, individualisé et laissé sans concertation avec les individus touchés de même ordre qui pourraient l’aider à militer, il cède à l’esprit de manifester, seul, sa désapprobation envers le système établi du pouvoir et sombre dans les manifestations morbides induites de la maladie. A laquelle l’on le condamne, par pur esprit de le punir de ses péchés, son délit d’opinion envers le milieu, social, dans lequel il est immergé. Et pour parvenir cela, le pouvoir social n’y est allé de main morte.

Dénoncé de la lettre de délation, des culs-bénis du système. Et de la psychiatrie.

Chochotte. Chuchote.

Ou pour s’en sortir ensuite, de cette affaire de tripotage, où aussi l’on me tripote, la partie de quartringe, du Grand Standinge, San Antonio.

Tous étaient frappés et tous ne mourraient pas.

Sous le principe éternel et généralisé de la raclée des prostituées, évadées de ces systèmes d’Athènes de Spartes, condamnées le plus souvent à s’infliger Lesbos, Salo, Gomorrhe et les autres iles sites de vices de la Grèce Antique ; autrement dit, les devoirs de Babylone. Toujours dans l’esprit de dévisser les filles seules. Qui devaient absolument aimer ça de devenir gouines, en plus du sadisme de la maintenance médicale, qui soutient le problème, avec laisser aller ou bien même avidité d’intérêt. Et vous passent l’extrême onction de la main de leurs tontons, matons, plutôt qu’infirmiers. L’on ne s’attaque pas comme ça à de la Psychiatrie d’Etat. S’ils ne vous emportent un petit bout de vous, dans l’affaire.

Français de toutes origines, sphères sociales et milieux, spartiates assermentés à cette folie d’obéissance, adonnés aux plaisirs et délires du MEDEF, depuis son exigence de travail sans limites, sans heure de respectée de la vie intime et privée.

Combat éternel de l’identité de la liberté d’expression, des droits de l’Homme et ceux de la Femme, Emancipée, Libérée, en chaque individu de la société, Femme féministe à force de censure de sa vie intime et privée, répressée des tortures de la société et du pouvoir. Censure encore très invalidante encore tenue occulte, occultée d’elle-même.envers tout redresseur de tort, des infortunés, victimes de cette société.

Contraindre la nature, et celle humaine, de l’Homme, de gestes surtout pas salvateurs contre-nature, se forcer-forcez-vous par la force, sous la contrainte de la machine de plus d’un siècle de machinisme, un anti-écologisme primaire, dument imposé dans les rigueurs pachydermiques de l’apostolat œcuménique à la passion.

Actes de contrainte contre-nature envers tout passionné de littérature, d’art et de poésie, de philosophie revendicatrice de liberté et de l’athéisme, qu’intimise la nature quand de la machine elle est contrainte. Jusqu’à la nature de grosse daube contre-nature innée du socialiste. Qui ne recherche, comme la plupart des français, le soulagement interdit que dans la surconsommation, l’un des délices du système.

Et dit je ne savais pas, arguant l’inconscience tant reprochée aux dissidents du système capitaliste, hypocrite d’avoir fait peser de telles calamités sur Terre, le crime politique sur l’Humanité entière. Première victime, complice forcée de l’affaire.

Ou le phénomène de la coopération, innocemment reprise depuis Hitler. Pas grave.

L’on peut toujours vous y aider, si vous aussi, vous aimez, narcissique. Ou le repli sur soi reproché aux protestants.

Là non plus il ne fallait être hyper-sensible, ni même de l’entrecuisse, encore moins du nombril vu le nombre de morts. Mortel.

C’est encore Attac qui nous fait sa crise d’ado. Et hein, à l’aldol retard tout ça.

Intubée durant des années à cause du nombre de morts et de blessés.

Il n’y avait pas de quoi en faire une anorexie, non mais c’est du petit délire.

Tenez, bing, dzim, et vous bouffez.

Récupération des anciens modèles de la censure par le communisme en état d’hystérie d’hystériques, ses meneurs, et ses possessions dont le devoir de protecteur des masses qu’il se donne à laisser des vieilles femmes et jeunes à leur solde, sous l’ignorance ou la bienveillante clémence de la police et ce sans surveillance aucune sinon inénarrable, prête à l’irréparable, tapiner, racoler en récitant vos œuvres, histoire de vouloir vous acheter, auprès de ces fachos, petits indicateurs, de bas-étage dans chaque quartier pour ce parti qu’ils noyautent et noient dans la confusion des disparités, dénoyauter serait causer une ineffable chasse aux sorcières de plus, le thème est déjà lancé. Ce qui peut là aussi faire des morts, des blesses, qui rapportent à un secteur de pointe médical de la ville, le secteur hospitalier, habitué à la culotte fécale et aux plaisirs orduriers, plaque tournante de ce trafic d’influence, également de drogue et d’armes, trafic causant un certain pourrissement des mœurs dans la région entière.

Pas compliqué mais tout de même.

Point de vue sur les Vieux de la Vieille. Qui n’ont point changé, depuis le temps des Internationales juives, je n’étais pas née. Autres Internationales, Communistes, tant antisémites et dotés de pouvoirs inféodés de policiers, ces pouvoirs là, qu’ils ont conquis les foules, avec le nazisme, durant les années 30.

Leur lente invasion actuelle ne laisse rien prévoir de bon, relativement à l’ancienne URSS. Il manquait là aussi de Françoise Dolto. Les pépinières rouges et celles des nazis. Luttes intestines de ce parti, récupérateur des fous, des têtes brûlées propres à faire la légion quand ils enrôlent, des branleurs chômeurs et affamés, que le plus souvent ils ont confectionnés, ou simplement fait semblant de sauver d’autres problèmes de la société que les leurs, réduits à l’état de déchets des villes et des campagnes du monde urbain, rural, assaillant les arrières pays d’une côte infestée d’espionnage, créant de nouveaux déchets sociaux, communistes véritables éboueurs écumants les villes et campagnes, bien utiles il faut le reconnaître, les encadrent, les blessent les pansent et les pensent, ce fonctionnement interne du Parti que je dirais psychiatrique ne m’intrigue, mais me distancie de lui. Etat dans l’Etat. Leur parti un ramassis d’intolérants et délinquants, forcenés et Borgias prêts à le devenir. Nullement neutralisés.

Embrigadeurs en état de miliciens. Et de milices armées de leurs appareils à faisceaux, sillonnant la ville à la recherche de quelque intrus, car ils dénoyautent, ensuite. Enfermant leurs fous et ceux qui ne l’étaient ni n’en étaient. Organisant leur Grand nettoyage dans la Ville, véritables Ecuries D’Augias, dans l’incurie envers la délinquance et le trafic. A tomber sous les balles. Etablissant avec le Front National une surveillance médicale psychiatrique et Catholique sur les villes et arrières pays, de première, incontournable, conduisant à l’hérésie des masses, au silence meurtrier. Menaçant d’éclater la tête de qui bouge et ose bouger. Concours d’autorité avec l’Etat pour réduire au silence les masses. Et qu’il n’y en ait un qui bouge, le pistolet contre la tempe. Sinon sous les adoubements du parti communiste, prêt à enrôler dans les meurtres et assassinats de familles entières commis sur l’ordre de Pancho Villa, dans le but persuasif d’affilier à guerre, ou Révolution du Mexique. Conditionnant. Nombril ou l’Idée, fixe, dite propre à la paranoïa schizophrène. Chère au Roi Père Ubu. Analyse théorique. Basée sur la pratique, in-vivo. Le schizophrène et la spirale ombilicale nombriliste. Parce que l’on en a eu que d’eux, hein, des angines de poitrine, et des éventrés.

Pôles médicaux et secteurs hospitaliers d’Etat prometteurs, miroirs aux alouettes des désespérés de ce marché, dans la traite des blanches. Ne lésinant lui sur les affrontements ni les méthodes de persuasion, très persuasive, s’il ne faut employer le mot de torture lutte contre le monde de la critique. Méthodes qui peuvent aller jusqu’aux points de suture, tuent le plus souvent, de peur de représailles, ou face aux répressions, organisées en bande de groupes de pression conduisant à la dépression usagère, payés, j’en suis certaine, par l’Etat, sous la façade de pluriples organismes des plus divers, dont ceux de la justice, dessous de table, et pots-de-vin, dessous de l’affaire et de l‘iceberg, chez les malades. Nombril du prisonnier politique qui ne devrait se préoccuper que de lui, avant de critiquer. Trafic, Miroir mouroir aux alouettes aux instruments de torture. Où l’on meurt gratis entouré de ses proches avec leur consentement, sans l’avoir demandé. Ni décéder jamais. Face au psy psyché.

J’ai un souffle permanent, coupé d’électricité, l’on me l’a voulu au cœur. De tant persister à l’écrire. Cela tourne en rond, donc pas rond. Embrigadement des sans le sou, par la force d’un emprisonnement idéologique et physique constant, en provenance de partis politiques en état de parties civiles férocement engagées dans la lutte armée, conduisant certains de leurs dissidents à s’évader de France, repris sous la coupe de la psychiatrie d’Etat, autre type de protecteur, tant lui aussi armé d’armes identiques sinon aux mêmes effets, antidémocratiques et fiables de par leur efficacité, pouvant posséder effet de drogue, calmer ou causer l’agitation, l’agitation sociale et faire adhérer, bienvenue au club, aux tripotages et morales de tripot de trafiquants d’armes et de drogues, ou simplement, à l’éthylisme. En plus de la consommation courante de toxiques, des plus violents. Mécanisme amenant à un déracinement profond de l’identité des masses, qui votent depuis longtemps Eglise et Front national. Et la venue du verlan, manifestation publique du trafic étatisé de torture des somas, sous acquisition de la dyslexie acquise permanente.

Provocateurs fachos. Détracteurs à toute épreuve de la vie des gens, de la santé des bonnes normes acquises de la Science, valeurs que la République et la Démocratie maintenaient un tant soit peu jusqu’à présent en vie malgré de nombreuses épreuves (qui ont abouti aussi à l’internement de quelques schizophrènes) de par l’action d’application d’un Code civil en vigueur depuis la Révolution, le Code Napoléon, ce n’est pas pour rien au moins qu’elle aura été faite.

Dont on punit de nos jours l’un pour l’autre.

D’où le surnom de napoléon à tout individu assez fou pour être contestataire anti-FN et s’avérer capable de déposer une plainte auprès de la police. Qui n’attend qu’une chose, que la révolution des banlieux éclate, afin de répandre un besoin légitime de la nécessité de sa présence sur terre. Fini l’anarchie, hein, et la vraie ?

Devoir de voter les jours de vote le fusil sur la tempe ou l’électrode électorale implantée, matraque électrique, dans les côtes, des agitateurs. Droit même du vote chez les handicapés mentaux, remis en question, parfois proscrit sur prescription si individu concerné, trop endommagé, trop abîmé pour voter. Pour les aigreurs au nombril, repassez.

Ceci sous surveillance policière, psychiatrique et intellectuelle, médicalisée et répertoriée dans les archives des asiles, d’inconnus au bataillon. Ou zombies français. La courroie en dedans de la ceinture de chasteté pour qu’ils ne se reproduisent, implantée, greffée à leur insu. Etude, fraude, qui tend à se généraliser sur ces individus là précisément. Et va jusqu’à la fraude électorale. Le trafic d’influence des votes.

Politique du reste-là que je te satisfasse, cursus de ces armes artéfacts de la dernière guerre, récupérées du grand banditisme, issues du contre-espionnage, d’utilisation médicale et policière, fondant son usage sur l’analyse antisémite anti-gaucho au premier degré. Même usage populaire de ces ersatz des armes des faisceaux, en usant également des faiblesses et failles du parti communiste, pour faire régner, mettre au pouvoir ante-présidentielles, l’extrême-droite. Pré-tendance au pouvoir ainsi sauvant du mensonge par l’hypocrisie.

La population prise entre deux feux croisés à tir nourri sur l’individu indivisis être social, tir nourri du parti communiste revendiquant son bordel rouge à celui des fasciste, le récupérant s’il ne préexistait à ces sales pattes de l’extrême droite, et l’impliquant d’avantage dans les affaires de la médecine, via la Psychiatrie, dont ils font des fervents défenseurs, la population, abasourdie de charges et finances, de travail forcé, tombe sous les mitraillages, incessants, de ces derniers temps-ci, des deux partis, faisant plus de morts, de fous et de blessés qu’en guerre civile avouée.

Chacun chargé de la taire, aux yeux de tous, tous n’étant avertis ou faisant semblant de.

Seuls internés ceux qui osent la dire, l’écrire, la parler, et non la taire. Sous l’étiquette de démence, schizophrène surtout.

C’est la société humanitaire ou socialiste qui récupère les blessés, relève les morts, paie les frais de cette guerre civile.

Le LCR moteur de l’histoire du pays depuis la révolution française je veux bien le penser, le socialisme ne passant au pouvoir que porté sur les ailes de cette faction révolutionnaire, mais arguant que s’ils avaient été élus avant que la révolution se produise, le pays ne l’aurait tant nécessitée, j’adhère entièrement à cet argument.

Mais ne nie l’absolue nécessité du mouvement LCR et des mouvements libertaires, altermondialistes, d’autres mouvements de gauche tels Attac, je ne les cite tous, si divers, car ceux de la Jeunesse, antihitlérienne, phalange dynamisante des partis de la gauche tutélaire, dont la tendance au nombrilisme conduit à l’encroutement narcissique, idéologiquement autocrate et monothéiste; elle te tue, dirait-on pensant mon adhésion philosophique à ces partis, une folie, dangereuse autant pour moi ou soi, que pour la société, d’où la nécessité de PO afin de neutraliser ma petite action sur mes sphères vitales. Si ce n’était que cela, m’aider à me définir. La gauche confiée à Ségolène Royal, issue de cette diversité des divergences à la gauche établie.

La neutralité nullement respectée, bannie de toute ville, recherchée pour son annihilation totale et absolue dans l’engagement prompt, efficace, et l’enrôlement forcé. Comme à coups de talons dans le ventre, jusqu’au bon fonctionnement de l’idée, et que cela rentre et bien, pour tout enseignement, une Vie, de Maupassant. Les amis de la famille.

Alors eux le renseignement…

Je n’étais que des plus neutres, face à cette mesure expéditive de recours à de tels expédients pour obtenir chez moi un autre positionnement idéologiquement politique. Action menée depuis des décennies dans la ville et la région, par et dans les bureaux dits d’hygiène de ces partis déjà cités. Qui se passent du bureau d’éthique pour régner en seigneurs maîtres en pays conquis. Dans la plus stricte obscénité de leur autorité, en abus et fraudes répétées. Incessantes pour de vrai.

Chaque individu de la société, listé dans listings, fiché en tout et pour tout, dans toutes récupérations et agissements idéologiques accusatoires et acculatoires, à la dite folie. A déboires, causes d’internements répétés eux aussi.

Les schizos, des acculés, de cela à ce ça public.

Monde inhospitalier du règne psychiatrique, règne de l’erreur thérapeutique qui soigne et guéri longtemps, aussi efficace que la découverte par erreur de l’aspirine, pour les migraines chroniques, récurrentes, très abrasives à l’électricité ou courants électromagnétiques, durant la javel Bref, consécutives à ces faits d’empoisonnement létal, de la vie privée.

Je me réserve mon droit de neutralité, celui de la conscience tranquille, si je possède une conscience. La paix et la santé. N’agitez le commutateur.

Là au moins c’est net clair et précis.

Politiques de sectes Mormons, en invasions indélébiles.

Politiques commanditaires de la Saleté, du manque d’hygiène et de propreté réitéré, qui s’impose à chacun suite au manque de rémunérations dignes de ce nom, admis pour plus de commodités face au pouvoir du pouvoir du chloroforme bolchevick, chloroforme, le premier à exiger ou créer ce besoin de malpropreté propre au français d’après l’étranger, de toutes pièces. Esclavagisme populacier et étatique qui réduit les performances, condamne aux manques de moyens financiers, intellectuels et philosophiques, condamne à une écologie fasciste, dans le devoir de respecter tout un catalogue répertorié par l’asile psychiatrique des coutumes raciales, au nom des élus. Retour à la fuite du savon propre au Moyen Age, sauf chez les Protestants, abonnés au savon de Marseille, et au temps des barbaries.

Réputation de se négliger dans la négligence des petites filles modèles, qui vaut au peuple français l’inquisition de leur vie créatrice de la mauvaise réaction jusqu’à l’auto-infliction de la tare par masochisme actif acquis tant dans ces cas les secours tardent, l’application du diagnostic, celui de la maladie mentale, paroxysmique et propre à la répression conduisant à la dépression contrainte et forcée, à la schizophrénie paranoïaque pour écologie, catatonique, hébéphrénique si torpeur trouvée exagérée, cause l’abus médicamenteux, effets directs pris pour symptômes purs de la maladie, maniaco-dépressivité, j’en passe et bien d‘autres de ce genre et de mauvais goût, le français résolument très malade, de lui. Cela fait du bien quand cela s’arrête, et les coups de marteau aussi.

Les français industrialisés dans cette attitude de masse de processionnaires à propension vissante pour l’esprit du sale, précédé de névrose de propreté, et de manie de l’ordre, esprit requis et il vient vite, celui également du manque de revenus, respectent la longe de cette écologie nazie, récupération contre-idéologique d’extrême droite de l’écologie humanitaire contre l’abus de l’usage de l’eau sur la planète, idée issue de mai 68, tant reprochée aux personnes déclarées malades mentales, autant de l’avis de la population que sur celui de la médecine. D’Etat. Malpropreté dite alors exagérée, signe que l’individu en question se néglige de lui-même, de façon endogène et non induite, propre à une régression au stade adolescent et pré-pubère, symptomatique du mal.

Tout individu traité n’étant ni forcément en manque prononcé d’hygiène, ni hystérique, ni malhonnête au point de voler, sinon sous la coupe des restrictions financières de l’UDAF, organisme réquisitionneur et payeur des revenus mensuels consensuels des malades mentaux (leurs biens confisqués, réquisitionnés autant que ceux de juifs sous la guerre mondiale, en butte à tous les préjugés), et des familles surendettées, en accord légal avec la Justice, nommé sur son ordre afin d’assurer tutellât et protection autant que sur mineurs en fugue. Et le paiement des dettes, certains réduits de cette action à la pure mendicité, l’anorexie forcée et donc à se négliger par manque d’argent, d’où ce fait très important de parvenir chez eux à nettoyer, dans le grand manque de lessive, pris pour une atteinte de la maladie.

Appelés ces agissements étatisés identiques à ceux imposés aux juifs durant la dernière guerre mondiale puni et infligé sur peuple d’individus répertoriés sous l’étiquette de la maladie, simple ostracisme.

Si ce n’était que de l’ostracisme ce qui a été fait aux juifs.

Pour résumer plus simplement.

Révisionnisme des secteurs médicaux de plus en plus inquiétant. Atteignant les couches intellectuelles et sphères de l’intelligentsia.

Politique du Sagouin, le Sagouin des Familles, de la Souillon et de leur torchage, de fesses, idéologie rampante grimpante issue d’une politique de sagouins.

D’où Freud, en grande explication non pas des faits, s’il en fallait, mais du mal causé.

Politique de mémères, des calamités fachos. Politique de l’enfant martyr futur baba-cool potentiel, devenu grand ou grand-Enfant devant être éléphantesque pour son appartenance probable à l’engagement philosophique des babas-cools, l’Inde, morale de groupe du Sagouin qui gagne l’étranger, le monde arabe, musulman et hindou depuis longtemps. Distillée en chaque établissement psychiatrique, sous les directives d’une médecine fataliste envers son infliction.hindouh

Il ne faudrait en rester que pété ou péteux, chez les pisseuses.

N’en rester que bourrique et bourré ; politiquement et philosophiquement dans le non-dit et le mutisme discret, même si réputé dangereux et salement contrôlé. Soumis à surveillance quotidienne. Contradictions et auto-contradictions.

Ne consacrer sa vie privée intime et sociale qu’à des Pancho Villa.

Niée à ce point la propriété privée et celle du corps à l’individu, être civique et social, celle de ses biens, et biens intellectuels.

Dans l’esprit de la Gifle, le film sur le Mai 68 de la Famille, de la rafle et de la politique des disparitions au nom et au gré des disparités. Avec l’accord appuyé de la Droite Chiraquienne, doté d’un Charles Pasqua auteur du SAC, à toutes épreuves.

A vous faire avouer le jour venu des règles publiquement et en petit comité, affirmant son devoir d’extermination raciale de l’espèce des gauchistes, pour lui race de demeurés.

Dans l’Oppression du Travail dont il fallait être les bourreaux.

Dans cette Divine Comédie.

Où Mai 68 ne doit être et rester que celui de Freud, face à son époque, celle avec icelles micelles et virus du typhus, de l’installation du Reich en Allemagne.

Grande Incommodassion que cette grande guerre là.

Dont il faut rester sportif pour bien se forcer, dans la Grande consécration des juteux Jeux Olympiques du Vel D’Hiv’, instauré par Hitler. Récupération française évitant bien des guerres civiles supplémentaires, pré néo-occupation des terrains neutres. A se défoncer, sur tout se bouge aussi.

Se cantonner dans le divertissement régulier de la ratonnade à bastons règlementaires, dans la population des gauchistes, en faire des morts et des blessés, décrétés déments, ou simplement malades, en maladie ou congés de maladie, hyper courrant dans l’administration, et cause de l’absentéisme des terrains neutres en France, théisme nouveau, forme nouvelle de la contestation gréviste syndicaliste contre la course à l’échalote de rigueur. Abortive ainsi tout un chacun le sait, propre à laisser le ventre des Femmes apte au Travail autre que celui de la grossesse. Récupération nazie par mégalomanes du Pouvoir en résurgence de milices armées, récupération donc des libertés de la Femme, pour la contraindre au Travail, famille, patrie, de tous, sous le couvert et la couverture de l’action de la Droite. Armée de la Loi de la Carotte qui recule et du Bâton à faire les ânes, les employer et faire avancer.

Mythe du Progrès, pommade calmante entre autres calamités qui calme le tout, la France toujours dans la pommade. De l’asile psy.

France de la mite, de la Grande Mite, je vais t’en mettre une.

Propre à refaire naitre la France de l’Idiot qui mérite bien sa correction, Fernandel, la vache et le Prisonnier, Bourvil, le Corniaud.

France de la Prostitution en chambre, et du règlement de compte.

Celle de la maladie née sous la francisque, la faucille et le marteau, sur le crâne et par le corps, celle du Travail bâclé.

La France revendicatrice, du Fou dangereux ou pas qui voit et de la Folle qui bande, des MST et de la villosité, issue bordel né de la position sexuelle religieuse de l’Eglise et de l’Eglise communiste, dans tout leur rituel de kamasoutra idéologique, propagatrice de la position donc de devoir forniquer sans protection ni préservatif, sauf l’attouchement du nombril, le frustré dans le devoir de ne point se toucher le zizi mais d’aller voir les femmes, autre nom des prostituées.

Ou femmes de joie. Dont celles du Lido, fierté de la France gauloise de Pigalle auprès de l’Etranger, sous la coupe du leurre chimique, vin, alcool, aldol, et autres leurres dont les alcaloïdes, morale du café, et de la caféine. Stimulant psychique qui rend nerveux. Le français leurré. De ces leurres. Poussant eux aussi à la politique d’exil du français, dans un blindage constant.

Le contestataire ou schizophrène, hypersensible, selon les psys. France. Qui lambine, Mythe de l’urgence, des interdits tabous sous les Urgences. France levée de bon matin au son des Hel, puis Shnell. France de Chagall, Sempé. De la drogue, des sorties de nuit, et des sorties de jour hors secteur hospitalier, France partagée entre le devoir d’obligation et le besoin, éternellement inassouvi, de dictature ou de démocratie.

Loi de l‘électrode, implantée parfois, ce qui est peu cru. Et obsède, beaucoup de gens.

Appeler un chat un chat, Freud. Quand on l’étrangle, le chat. Et l’éviscère en chantant la Marseillaise, sorti des sociétés druidiques celtiques et gauloises, dont toujours encore je me revendique. Trafic de la violence et du viol. Politique du chantage à main armée.

Mythique mystique de l’ignorance fondée de pouvoir du tantrisme de Violor dans le Violon, fantasme populaire de possession quand elle passe à l’acte sur l’individu libre, pouvoir aliénant, jusqu’à la grande aliénation, influant les castes d’intellectuels, et ceux qui n’étaient de caste, dans une Grande Fatigue prolétaire, issue de la classe paysanne, et de bourgeois, où l’on tue le cochon chez les paysans dans la campagne, en ferme de travail. Politique de briseurs de grèves pour le Mythe du Travail, famille, patrie, infatuée de la chose, bien fondée pour eux, ou politique à la Spartiate d’Athènes régnant en Maître du MEDEF. Et bien aimer, pour chacun, son travail alimentaire.

Etre-bien-dans-sa-peau de cela. Ou bien l’asile. Sauf peut-être pour l’artiste (devenu nombriliste de la question), épargné (les nazis aiment toujours la culture, Exquise cette schizo), du moment qu’il travaille bien et aime son Travail. Sans quoi il sera pendu haut et court, par le nombril. Morale actuellement signifiée. Sinon par le signe de l’implant. Morale de mémés, si elles ne fonctionnent que sur piles, il faudra les faire fonctionner sur secteur. Vendez-moi encore un peu de gaze. Toujours à me penser, pour panser. Depuis la jeunesse des mémés, c’est un temps qui dure.

Politique du Maître et de l’Esclave.

Maître d’Esclaves Ilotes grecs capable d’en constituer ce fait d’Eglise, la répression fasciste, militarisée à razzias multiples et ratonnades salées de briques, chaudes autant que l’on se les refile, pouvoir autocrate fondé sur et à la solde du traitement de la maladie, invalidant les facultés, mentales, physiques et les ressources de tout un pays, ou perte des facultés et de ses moyens chez le schizophrène, un peu trop contestataire, déviant la ligne du parti, acculé à se transformer pour la cause qu’il défend, en Marcel Cerdan de foire. Lavé de ses fautes et des pêchers de son opinion dans le sang de la Rédemption par le Travail. Acculé au travail de réversion fœtale du point requis et réquisitionné de l’ombilic le provoquant durant les grossesses, point de soulagement devenant point G dans ces cas, cause de l’inversion de la perception et compréhension des faits de la réalité si trituré profondément.

Point G d’Hitler des Hitlériens imposé dans un souci d’égalitarisme acharné, féroce. Ombilic, nombril, organe devenu celui de l’assujettissement des sujets, qui se l’auto et entre-infligent dans un consensus commun de se triturer, au pouvoir des oligarques et de l’oligarchie. Triturations de l’ombilic conduisant à la diète des masses qui se rendent des comptes de ce phénomène dans leur désir de dictature d’un lumpenprolétariat populiste. Sans un ouf de soulagement permis, très mal perçu. Dans l’obéissance au Signal. Question de signes. Ou de non-dit. Signe de lepénisme dans les milieux qui font que Mémé-fait-de-la-résistance. Depuis que pour l’incendie du Reich, elles tombent dans les autodafés, et la loi du bûcher, de l’Enfer sur terre. Electrodes.

Cercles vicieux légendaires. Jusqu’au petit spartiate bègue, de trop de confusion générale et de contraintes nécessitant l’orthophonie parce que vrai gaucher donc gauchiste d’origine allant droit à l’oncophilie s’il persiste. Et signe surtout.

Briser le cercle. Sortir du Moyen Age. A vous faire prendre pour de leurs Ligures, a devoir l’être et le devenir à bride abattue. Et fouette cocher, l’âne malade et la brebis galeuse, parfois l’un dans l’autre. Petits ramoneurs publics fustigateurs aussi du nombril de ces dames, passant leur temps à punir l’âne en la brebis, en tous gestes y compris expédients médicaux, contre-nature, de la Bible. La religion du vin en guise de prime salvatrice des maux imposés de cette Inquisition que chacun s’inflige ou impose. Sans quoi l’on fait de la politique, mais bien cuit. Et les féculents qui bourrent, trop. Conscience gratinée du juste, frite, refrite, rissolée, rôtie de ces dites roustées, il fallait trouver avec, le mot juste, face à ces Gengis Kan, en grandes invasions barbares sur la France, razzias.

Beignes magistrales de l’extrême-dextre simulées d'implants et autres instruments à faisceaux, lasers et autres, à grands coups de pognes. Enfants-rois de la gauche psychédélique et mai-soixantuitarde. Gâtés pourris jusqu’à l’obtention chez eux de l’œdipe, Œdipes-rois de la France, seuls rescapés de l’affaire. Et la cécité causée des juifs, sous Hitler, idéologique, ou aveuglement historique, Karl Marx. Prenez des médicaments pour respirer ou c’est l’asthme sans l’autisme qui vous guette. Si j’avais su ça. La sale gueule du monde. Se foutre d’elle, de lui… Le libéralisme économique. Avec eux, avec lui, comment la conscience, gratinée à l'électrode faute de four crématoire encore en état d'usage, de l’Esprit fut, vint, fût et vin, pour oublier et comment l’on la respecte et garde. Dans les simulacres d’effets du vin, ceux de la Sainte Ligue de la Médication. Et de la méditation non transcendantale sur ce. Mais cela ne vous fera pas de mal. Ou la lumière fut. Sans contradiction.

Ils. Eux, vous et les Autres. Cohortes de sergents de guerres du Péloponnèse.

Sensations dites bizarres. Cercles vicieux.

MEMOIRES VIVES, JOURNAL D’UNE CRISE

J'étais juste en train, affairée à coller et encoller des découpages, d'ajuster les collages obtenus en une future série de petits tableaux, lorsqu'un individu, apparemment un voisin, prévint le service d'urgence du CHR, section psychiatrie, affirmant que j'étais en train de réaliser une véritable exposition, j'encollais, que de loin cela sentait fort la colle. Résultat, en traduction neuro-psychiatrique, j'avais fait mes besoins sur moi, il y en avait partout, je sentais fort le rapport sexuel, l’urine et les excréments, m'étant lâchée, je rêvais de vivre à la colle avec ces gens là, il fallait venir me soigner une crise d'épilepsie, me laver. M’empêcher de jouer ainsi avec mes excréments. Et peut être même de sniffer.

Quoi de plus innocent que de peindre, quand on vit tranquille chez soi, lorsque l'on voit venir la torpeur. Un verre de café bouilli bourré de tranquillisants pour le voisin du haut vous séduira un bon moment et vous aidera à retrouver vos rêves léthargiques, tant pis si vous deviez sortir vous acheter des petits vêtements tout dernier cri pour ce qui se fait en matière de mode. Vous y apprendrez quelque chose de plus, que cela peut se remettre à plus tard, si vous ne frôlez la limite du QI d'un attardé, car il suffisait de se plaindre au service, si vous avez juste de quoi. Quoi de plus innocent que de se plaindre au service.

Qui vous dira devant les vêtements du magasin, en proie à l’hésitation du schizophrène, en regard du trop grand choix d’articles.

Quand on ne peut être qu'attardé si l'on revient de l'asile psychiatrique dès que l'on remue un doigt de pied dans son appartement. Le voisin dicte sa lettre de délation mensongère quand vous rédigez vos mémoires, sert l'inspiration générale, la votre en dernier. Il vous fait agréablement part des formulations secrètes qu'il a prononcées en bonne et due forme pour la juste cause de vous dénoncer auprès du personnel médical. Information dont personne ici dans ces résidences ne se passe. Haines raciales, injustes et injustifiées, mise en page des textes dans le pétrin de merdier, visites sollicitées de pelotons d'infirmiers des plus maniaques mais restant invisibles tant habitués, véreux et ne pleurons pas tout de même, qui vous laisseraient après leur passage capable de tuer père et mère. D'ailleurs le père, cela viendrait de lui.

Point final à la ligne.

Lorsque je dépends les rideaux pour les laver, que je suis accusée d'avoir poussé les cris du petit Djamel qui joue en bas et rêve que je me pends, commente chacun de mes gestes, quand je fais les vitres en catimini, ce n'est pas réussi, l'on m'a vue, je gesticulais sans fin. Que faire, sinon subir, les électrodes, les séances de séismos. Repérée. Parce qu'un voisin a décidé que si je n'avais pas crié, il le fallait, que l'on vienne, c'était moi-même qui avais vociféré, tant dérangé. Quoi qu'il en soit. On vous le refait pour la onzième fois, c'est toujours la même, on vous la refait quand même, on n'est pas venu pour rien, même s’il faut vous le faire deviner, tant vous ne voyez rien, malgré les produits lunetiers. Et vlan, du beurre.

Possédant certainement autant que moi-même les clefs de l'appartement, ou crochetant ma porte, ils viennent, veni vidi vici, percutent des visages, violent des vies entières, ni vus ni connus frappent ou trépanent, au choix du voisin, du commensal d'en bas, d'un tiers peu émancipé, qui affirme qu'ils ne réagissent ainsi que sur le conseil du père, qui avait des envies de cogner. Qui ne reconnaissait pas lui, au téléphone, la voix de sa fille quand les ménagères médisantes de la cité se prenaient pour elle, rusant auprès du père atteint de la cécité de ses vieux beaux jours.

Hurlements de défaite du petit Djamel qui crie à Allah au hallali et son ralliement au charivari après maintes vociférations hésitant entre le repli et la stratégie du pouvoir. Désormais, il frappe lui aussi, haut et fort, c'est ce qu'il croit, entouré du parterre de ses résistants.

En conclusion, après dix et vingt ans d'efforts à ramer dans le silence d'une enfance rongée aux sangs et calamité de sévérité, de congés d'essai après placements administratifs ou autres, mes dix ans, mes vingt ans, maintenant mes quarante ans sont foutus, pourris, violés, volés, électrocutés, chair et âme à l'appui, curetés, lobotomisés. Ce qui n’est pas prouvé. Je serais presque pour reprendre un dernier café, aux hormones.

Et aller puer du cul, cul devant, à l'asile, chez le psychiatre, parce que la voisine le veut à coup de matraque à l’heure du lever, si la concierge de mon ancien HLM me veut encore du bien après m'avoir croisée. Encore. Une fois de plus. C'est déjà demain, il faut s'y faire.

Après leur virée, détruisant toute preuve du contraire, Ils s'en vont, fiers d'avoir pu servir encore une cause hégémonique, repus de leur charia comme de leur tâche, remerciés par les tiers, payés de pourboires vite bus et tus, Ils, les matons revenus faire rempiler en douce, dans leurs expéditions punitives du vendredi au dimanche. Cadeaux qui ne servent plus à faire taire, mais servent une poignée de main chaleureusement balancée aux délateurs.

Embrassée tout juste depuis l'enfance par le père, invétéré dans sa manière d'exprimer sa supériorité mentale dans toute sa pugnacité, je dois souffrir le manque de courtoisie des référentes, qui brutales plus qu'opiniâtres, sont toujours prêtes à m'enfermer pour me défendre. Promise à la mort d’Anne Piat, au silence du juge Fayard si trépan, si l’on réussit à me faire trop parler.

Voisinages toujours prêts à m’évacuer, m'accuser, quand bien même je n'aurais pas fauté, leurs simulacres in vino veritas et in vitro de mise en chambre, leur reflet et pendant, ma voisine, du dessous. Dans mon malheur, j'insiste. A croire que mon traitement, avec ça, je ne l’avais assez dans le nez.

Avec, mais ce n’était pas assez.

Si ce n'est que je n'ai pas crié, mais j'ai fait crier. Ce n'était que par moi. A cause de la Logique...

Déjà mes protestations sont prises pour preuve d'une culpabilité que l'on m'imposait, si je ne proteste pas, c'est identique, l'on me moleste, veut et revendique le droit de me frapper, me blâmer, propos confidentiels hurlés, jusqu’à ce que j’y trouve une réponse. Vivre dans le bruit continuel de ce scandale que cause l'attitude adversative de mon voisinage. Celle de mon père qui nie les faits et me renvoie à la paranoïa, celle du toubib lui-même qui renchérit et devient la cause du chahut, car reniant la vérité, il m'enchaîne à la paria lorsqu'elle se répète.

Si ne n'est par elle c'est d'elle.

Point final, là aussi.

A peine sortie de mon étude, le moindre discours qui me serait ressenti ou reconnu mien est repensé, réécrit, volé. Dès qu'il parvient aux oreilles du médecin, à celles de Dieu le père, le discours abhorré est le mien, les confidences niaises infantiles, dévoyées, qui sont faites m'attirent les foudres de Satan. Elle ne va pas bien. Confrontation langage verbal courant-langage écrit.

Façonnée depuis la naissance par le Père colérique, caractériel doté du fameux pli de la violence depuis que condamné depuis plus de deux décennies à l’hépatite C, façonnée donc pour l’oligophrénie, sinon la schizophrénie, l’hémiplégie apparente, en cas d’échec des tentatives maintes fois réitérées. Ils m’interdisaient l’étude, dans des scènes de répressions en série, au moindre résultat scolaire considéré par l’Education don. Bons points de l’Ecole Communale d’Education Primaire. Parents eux-mêmes enseignants ce qui m’était violement reproché. Félicitations dès le collège Encouragements et Tableaux d’Honneur à en faire pâlir de rage et m’en faire jalouser par les copains de classe. Résultats violement réprimés, punis de colères, disputes à effrayer, voire soins pour grave nervosité. Cela a perduré, à faire décréter la paranoïa.

Séparée très tôt, dès le plus jeune âge, de mes amants pour plus grande adéquation aux symptômes auxquels mon Père dépressif hyperactif à initiatives géniales me destinait avec ma Mère, une Mère truffeuse de gifles aussi et dépressive tout autant, violents vindicatifs, comédiens querelleurs maniaques calculateurs et agités, parfois sous les abords d’un calme tendre intéressé et froid.

Un Père. Dans l’art de se complaire de ses succès et grands faits d’armes. De ses combats contre sa fille. Un duel à mort. Kramer contre Kramer, Père contre fille.

Mornifles, électrodes, trépanations. Encéphalos qu’il faut. « Merde, je ne savais pas que cela l‘affectait » venimeux. Ma pertinence décrétée impertinence. Me punir pour cela. D’internements pour la vie. Le « elle me renie » ou « elle amplifie » quand on se les prend par la gueule après étant bien facile ensuite, « A bon, c’est ça… » perfides. « Je l’ai mal élevée ». « Je passe pour un facho ». « Je veux savoir ». Et il me lira. Pour savoir. Tout ce que je dis ou écris ne pouvant être qu’absurde.

Parents ne pouvant supporter la moindre manifestation d’une intelligence qui chez moi se dessinait, et détruisant le moindre don au plus profond de moi, mon Moi, qu’ils sanctifieront ad nihilem pour l’éradiquer. Par la Psychiatrie. Dans la peur de se voir concurrencer, lui Père génial Génie de la famille, de sa Mère et son Père, de ma Mère, qui l’ont surprotégé et adulé par beaucoup. C’était leur Mal. Ils ne savaient pas que c’était si grave d’interner, leur propre fille. Chair de leur chair je n’ai été, mais de cette façon, enfant de la DASS. Ils ne soignaient pas que par la chimie. Père « ignorant » de la chose. N’ayant connu moi-même l’hygiène à l’âge de onze ans que chez ma Grand-mère paternelle, et traitée de « Puante » selon ma Mère qui se foutait de ma pomme, pour mon odeur d’électrochocs. Histoire de psychiatrie, à psychanalyse. « Je n’ai pas tout fait pour lui plaire ».

Le Père, Ubu Roi, dans son fantasme œdipien ou besoin violent de viol détourné, dévié, à déviances par procuration sous astreinte bien plus que psychologique. Façon bien facile de violer sa fille dans une procuration médicalisée. Traitée de folle pour cela, car il fallait une psychanalyse, pour fille victime d’une forme d’inceste même non véritablement consommé, dans tout son voyeurisme, de quelconque façon qu’il se soit produit. Je pense que c’est Cela.

Electrochocs crampons sur ma pomme toutes les fois il fera un repas arrosé en famille, soutenu dans son malheur de vieux père par elle, il, le Père, fait le mec, le quèque, cafard merdeux qui rapporte à maman. Petit rapporteur qui me regarde me lorgne et me contemple la luette la tête et ses neurones au microscope, par le petit bout de la lorgnette, condamnant la fille perfide qui l’accuse injustement de viol avec tentative de meurtre, du moins, d’une façon quelconque de se débarrasser d’elle, moi. En me faisant soigner à vie. Je n’ai peur de rien. Selon lui. Sois forte, il me disait.

A chaque repas de famille j’y ai droit. Livre ou pas. Partis à pas de loup pour la chasse au Canard, attirés par un corbeau. Qui me voulait en hospitalisation d’office si mon livre paraiss ait car il y est cité. Mon Père faisant des craintes de grossesse non désirée quant à mes Idées. Mes journaux. Pour lesquels il me licencie indirectement de tout emploi, en apportant caution à des voisinages avinés et drogués, mal et mal intentionnés, pour lui symptômes paranoïaques de la maladie.

Et si mes livres paraissent, engrossés de vie non voulue.

Là je partirai en HO à Dachau.

Royalistes qui auraient bien aimé causer le décès de père, et d’autres faire s’entretuer l’intégralité de la famille.

La main sur le feu, le tisonnier, le couteau de cuisine dans mes côtes, les poursuites dans la cour de ma Mère. Les coups pour que je ne le dise. Presque jusqu’au meurtre. Les nez brisés, dents déplacées, yeux tordus bébé, les os fendus. Maux de l’enfance. Leurs banquets arrosés de satrapes partis en guerre en ratissages contre ma vie d’enfant. Diners entre amis de la famille, qui ne sont pas les miens, et eux, à électrodes parce que je n’avais as mis la sauce à réchauffer pour ce que ma Mère m’avait fait. M’était seulement permis parfois de se nourrir. Maison familiale-pavillon disciplinaire depuis la naissance. Besoin d’eux de finir par les supplices de Dachau. Dans un trip Love On The Bit Gaingsbourien. Leurs fantasmes associés pour éducation, quasi religieuse.

La faim de la misère noire sous les coups déclarée et traitée en anorexie, refus de vivre... Cette période de ma vie appelée Caprices du Père. Aujourd’hui inattaquable, car malade, Père que toutefois je chéris. Aidé d’une famille qui ne veut que cela se sache, entre autres qu’il faisait des crises presque satyre de despote éclairé sur ma personne. Vieux Ponte presque à particule au népotisme de prélat aux électrodes. « Qu’est-ce que je peux faire pour que cela ne se sache… ? », « Mais qu’est-ce qu’il faut faire… ? ». Père à qui je ne pardonnerai tout.

Il faut de temps à autre depuis ma naissance le retenir tel molosse enragé de me vouloir trépanations et électrodes, à m’achever.

Traitée en fille tyrannique, possessive, pour ma misère noire au sortir de la fac, sans logement ni diplôme valable ni revenus mais réclamant de l’argent. Ne pouvant plus cause l’hôpital assurer mes études aux Beaux-arts, que j’avais quittés faute de ressources, opérée à cause de cela ensuite des zones cérébrales de la mémoire visuelle, pour fantasmes inappropriés délirants. UDAF, le père ne voulant plus autant payer mes études même si enfant unique à charge mais lui assumant en plus des charges EDF, eau et quelque argent de poche pour vivre durant le mois, les forfaits hospitaliers, car remboursés, intégralement., c’éta it déjà assez. Ils m’achetèrent un studio, après maints heurts et examens médica ux.

Procès pour abandon parental de la famille, réitérés, cause, pas de travail, ni de revenus légaux, manque d’argent alarmant, autant pour continuer les études, obtenir un diplôme rentable. Retournés à mon encontre. Devancés de placements. Pourquoi dite folle. N’ayant pu réussir bien avant la faculté de lettres, aux examens de l’Education Nationale des enseignants, cause, traitements psychiatriques, électrodes. Extraite de la faculté de lettres pour les mêmes raisons. N’étant faite, en somme, pour les études. Ma cervelle condamnée à la résistance à ces méthodes par la suite. Condamnée encore pour ces griefs. Parents dresseurs de barricades entre la vie et moi ; à cent contre un. Mise à la porte de la maison familiale à l’âge de 19 ans, durant les études, après séquestration durant plus d’un an dans cette maison. Promise à Khâgne dès le Lycée. J’avais refusé, certains s’en suicidaient.

Il fallait enjoliver et le médicament, l’enjoliveur de la dernière roue du carrosse, je n’enjolivais jamais.

« Mais j’avais cru bien faire ». Jardin des Caprices. Dès le plus jeune âge. Livre qu’il voudrait bien me châtier à nouveau s’il parvenait à ses yeux, pour ce qu’il lui représente de nouveau dans mon raisonnement en comparaison des anciennes épreuves ou ébauches. Livre surveillé, contrôlé, dans ses moindres heurts. Même nuitamment. Suivi de représailles, fustigations à l’électricité en tous genres. Mal d’espionnite sur mes écrits, en tout. Trips de mauvais garçon du Père sur ma conscience.

« Merde j’en ai trop fait », d’un Père qui ressuscite tel un Obélix qui vous envoie son menhir quand ça fait mal, seulement trop gourmand d’interner vite sa fille, avant qu’elle ne se rebelle. C’était à espérer que je ne le fasse. Je l’ai fait. Ce n’est jamais trop tard avec eux, pour bousiller. Sauf lorsque l’on est décédé. Tout Salo. Faire Salo à sa fille. Pourquoi l’on me dit Folle. Je me laissais trop faire. Cela me rendrait malade.

Surveillée pour autisme, à déclarer la paranoïa. Toujours le mauvais rôle.

Piquée à la saignée du bras ou des zones non conformes telles l’aine pour électrochocs en cures pour et durant la rédaction de ces chapitres et m’y avoir prise sur le fait de les écrire. Ou n’avoir aperçu personne dans mon domicile tant absorbée par mon étude. Ce qui faisait décréter l’hallucination tant moi-même aveugle de ne les voir quand ils forçaient ma porte tard dans la nuit, d’après ce qui m’a été rapporté, ce que j’en ai vécu. Virées punitives, en compagnie des amis familiaux au moindre de leur banquet, selon les voisinages qui faisaient de ces visites invisibles à les gorges chaudes. Ils étaient ivres saouls, le Père ne se rappelle plus. Seul le voisinage de l’époque peut savoir. Peut-être encore tout récent.

Là aussi, je me tais. Confinée depuis l’enfance « mal vécue » dans le secret de l’étude. Electrodes des zones autour des amygdales du cerveau, niant ainsi les faits en m’en détruisant tout raisonnement, moelles cérébrales et neurones brûlés, raréfiés. Eradiqués. Avec le reste du corps, je me défendais trop bien, si silencieuse. Ils ne savaient pas que cela faisait tant mal.

A laisser prendre un Canard pour des perdreaux qui vociféraient tard après minuit. La Raison quand elle n’est celle du plus fort ni décrétée « trop se défendre ». Je passais là pour agitée. Les électrodes passant pour seulement masturber, pratiquées avec doigt glissé dans vagin dans le but d’assouvir ou palper. Du fait de l’épilepsie, pour présence d’esprit écrite trop fine car silencieuse à les faire comparaitre en justice. C’est bien cela qu’ils craignaient. A vouloir me mater et que je n’entre en transe après, les électrodes, j’en aurai sans tuer, ni l’oser. Ni scandale à leur encontre que j’organiserai, et que je n’en garde trace du raisonnement de ce livre, dans le crâne, ni de remuement de neurone. A enfermer.

Sans même le droit de choisir mon bâtiment, ni mon médecin, ni même le département où je serai traitée, contre mon gré par ailleurs auta nt-que-les-baisers-sur-la-bouche-du-Père, par des thérapies imposées. Dans l’espoir du Père de Famille de me « corroyer » de son charroi à sa sainte Eglise à ce dictionnaire argotique doublé d »une philosophie draconienne qu’il m’avait, dans son grand travail de romanité qu’il avait à poursuivre contre moi, et ma vie. Qui lui échappait depuis un certain temps. A vouloir m’enfermer, pour me fermer à son sujet. Un progrès de leur bâtiment de force de frappe et de persuasion selon la référante du quartier de pouvoir réussir à me piquer à l’épaule sans en entendre parler si l’on n’a l’encéphalogramme plat.

Elle se l’est fait ? Il faudrait savoir si le traitement tant cité dont ils se gargarisent cela fait désormais des lustres est une injection à la fesse ou une piqure dans le bras qui est décrétée par mes médecins hallucination sensorielle, due à la schizophrénie. A paranoïa.

Non mais je rêve. Quand j’ai un voisin très agité à exalté dans la nuit, qui m’épie, a monté à fond le son de sa chaine Hifi, ce dont j’ai été accusée, de surcroît pour mon poste radio au volume faible et bas. Accusée de faire du bruit dans la nuit, à tort certainement piquée pour cela, malgré preuves évidentes qu’il ne s’agissait pas de moi.

S’ils prennent des livres pour de la science infuse, l’intelligence et le savoir pour de la prescience, peut-être bien même du délirât. La bibliothèque de mes parents lue avant mes 18 ans.

Sans compter toute la déclinaison en latin de cuisine du mot « fine ».

Samedi six août 2005, 2h 03 du matin : Quatre séances d’électrochocs d’urgence durant la nuit pour ce livre à moins d’une prise défectueuse, et que rien de ma vie dans ma conscience quand elle déplait à ce Père il me reste. Opérations neurologiques, neurochirurgicales bien souvent du cerveau, quand je ne suis ni agitée, ni en pavillon, ni en hospitalisation ni en congés d’essai après placement administratif, ni en VAD, opérations crapuleuses du cerveau en VAD (Visites à Domicile). Sous le seul prétexte qu’il faut que je ne ressemble à Sainte-Beuve. Femme littéraire, douée en philosophie donc trop philosophe, de ne rien dire sous tant de viols thérapeutiques avec violences. Et préméditation. A piquer au bras. Cinq séances promises. Ils ont voulu lui faire payer, au Père, des soins à domicile officieux, pour la dépressivité que je ferais du fait que mon ami me quitte, et que pour ce fait là il me fallait en surcroit le placement.

Médecine frauduleuse. Illicite.

Et quand le Père désormais se regarde les couilles, dont je suis née, je pense, Il a sa cervelle dedans.

Quand il regarde mes livres et qu’il dit : Elle a de l’idée, je me rétorque du moment que c’est la sienne.

Et quand la Tante lui dit Ta Fille, elle est née de la couille gauche ou de la couille droite ? Il répond : De la Gauche. C’est bien pour cela répond la tante que tu tapes la couille molle avec la dure. Et la couille gauche avec la Droite. A ne lui en laisser plus aucun battement de sang parce qu’il tape, aux oreilles. Le Père est un peu sourd, et borgne, à cause de cela. Quand l’esprit de famille lui vient.

Je lui avais balancé un dictionnaire à la tête, séquestrée chez lui depuis un moment, à l’âge de 19 ans, violentée jusqu’au nez fracturé et lui prévenu de ne plus m’approcher. Il m’a approchée. Le dictionnaire a volé. Incident vite oublié.

Bien. Que je fasse cuire du riz dans une casserole, que j'écoute la radio, que je regarde la télévision, que j'écrive ou que je parle, que j'écoute le remue-ménage de la cité et celui qui se crée en mon nom, que j'entende le voisin du bas ou du haut qui ne font rien sinon entrer en transe au silence que je fais, c'est toujours la même logique, je ne vais pas bien. Bien.

Au moindre vertige orthostatique quand on m’interdit de m’asseoir ou de m’allonger, ce qu’il faut justifier. Je n’avais qu’à un peu mieux manger.

Le « Elle Ne Va Pas Bien » a assez duré, il faudra trouver une autre excuse à ce changement de temps, ou je me prends pour Marianne en plus de la Pucelle d’Orléans en personne. A trop être souvent traitée en Bernadette Soubirous.

Pour avoir eu déclaré il y a bien tantôt vingt-deux ans que j’entendais les voix de mon voisinage à en dormir et endormir dit-on, les voisins ne pouvant être que des voix intérieures à mon cerveau et produites uniquement par lui. Déclarées hallucinatoires. Appartements trop insonorisés pour que cela fusse autrement. Ces médecins là n’ont jamais vécu en HLM., et se sont contentés de leur quartier favorisé. Où ils sont Bien, eux au moins.

Sans vivisection.

Si les médicaments m'incommodent d'effets secondaires pénibles, si je suis royalement assommée, l'air battu, le poil terne et l'œil torve, secouée de sédatifs, Elle est fatiguée, donc neurasthénique, donc Elle-ne-va-pas-bien.

Les effets secondaires très recherchés pour le punissement qu’ils sont, jusqu'au point faible de l'évanouissement.

Les Colombes de la Paix pour ces matons prises pour pigeons, à pois, de chez eux. A qui l’on vole un peu dans les plumes. Ou vaches à lait.

Passe un vol de corbeaux, au dessus d’un nid de coucous. Il est des corbeaux qui disent croa, croa, croa, d’autres croix, croix, croix, et certains crois, crois, crois. Leur Bible, Men Kampf, n’est pas que du sirop.

Vieux Varans, Aliens à la bave d’acide rongeant, à la reproduction parasite.

Il fallait être tel Guillaume le Conquérant, pour s’en sortir, roi de Normandie avec un allumage du train arrière pour ne pas finir en fleur de ne partir assez vite guerroyer, dans un langage de charretiers où l’on assomme le barde bien volontiers. Quand on n’est content du concierge la concierge est dans l’escalier, un vigile à chaque étage il faudrait pour rester en paix, s’y faire tant enfliquer en piqué de bombardier et vols rase-motte au raz des pâquerettes que ce n’était plus que vivre en courant d’air pour faire en sorte que chez les autres cela sente un peu moins le renfermé du patrimoine. Du vicié, question de culture. Tel Guillaume Tell, faire mouche vite et tirer juste, commencent à la connaître, à la Cotorep, la série B.

Là aussi autre point final. Il n'y aura bientôt plus dans ma logique que des points finaux, pour aller à la ligne, en plus des points de suture. Promis. Mal digérés.

Là aussi, on ne dit rien. Satisfaits, du dernier travail de couture au point Valencienne.

La grosse suffisance de ces Dames Patronnesses, qui votent Le Pen, ne me fera pas céder mes lignes de pensum d'un pouce. Assistantes sociales Dames de la Charité qui ne me reçoivent mais les visitent, dont la présence sur terre cautionne un Etat, pas le mien, qui ne vit et ne survit que de la charité des associations, de celle des organismes de prise en charge sociale. A vous mettre de serpents dans les moyeux des essieux pour mieux faire avancer la charrette de pionniers d’un nouveau monde de l’alter mondialisme pour certains, traités en paumés pour leur faim. Il faudrait n’en être que désolé.

Les grasses commères du quartier seraient capables de vous répéter à qui veut l’entendre si vous prenez du Bactrim, si vous vous nettoyez l'intimité avec du Septivon. Une fois qu'il est bien reconnu que le produit ménager Destop est un déboucheur liquide pour bondes et siphons bien bouchés, vous pouvez passer en toute sécurité votre Domestos en bouteille sur vos sols, produit à peu près maudit. Antiseptique pour W-C, carrelages et sols, poubelles, éviers, et sanitaires, sauf vêtements et linge, il est à proscrire des soins corporels soit, mais des voisines ont tendance à me vouloir l'euthanasie parce qu'elles le confondent systématiquement avec le Destop, qui lui, passé sur le lino peut faire des ravages.

Surtout si mélangé à de l'eau de Javel, je me demandais pourquoi aussi l'on m'en voulait tant, et pourquoi elles citaient tant dans leurs criailleries les pompiers, qui ont dû certainement se contenter de rincer les pavés sur lesquels elles auront ciré avec le fameux déboucheur liquide. Evidemment, elles rejettent sur moi la faute, elles n'auraient pas dû m'épier. Le Destop n'est pas effervescent même si on le mélange à de l'eau de Javel, par contre à son contact il dégage de forts gaz de chlore et d'ammoniac.

Ca va, j'ai compris.

Inutile d'en faire la publicité, le Domestos ne passe pas. Produits X et Y sont à peu près proscrits de mon logement car dès qu'un émeutier en entend parler, il prévient voisinage qui pompe sur mes consommations et s'informe de ce qui pourrait lui réussir. Ravages au nom de la confusion, entre produit X et produit Y. Confusion ou raison…

Donc je n'achète plus de Domestos parce que le Destop a détruit plus d'un couple, plus d'une famille, a semé la mésentente et causé des tâches de décoloration sur les vêtements des hommes qui pour draguer prenaient conseil auprès des jeunes porte-parole des conflits de la cité.

L'on peut être confiant envers les jeunes femmes mais affolées par ma presse, elles voulurent prendre vengeance. J'ignore si l'illettrisme est ainsi mais lire une étiquette de produit n'est pas à la portée de tout le monde encore moins de n'importe qui. Je parlais de l'usage des produits X et Y.

Certains doivent avoir des difficultés à se servir d'un mouchoir, ou d'un drap de lit, car sans la posologie ni le mode d’emploi...

Au point de confondre le Domestos avec le jus de citron.

Le profil psycho-sexuel de ce genre de dames n'est pas à définir. Celui de l'homme qui pourrait me convenir n'est pas tout à fait ça. J'en retourne à mes couches.

Pendant huit années je n'ai pas eu le droit d'utiliser ni de Destop, ni du Domestos, parce que certains de mes voisins les confondaient. Mais aujourd'hui est une autre époque....

De là à faire breveter la psychanalyse pour les concierges…

Mais l’esprit concierge n’est pas psychanalysable. D’où des années de deuil.


JUDAS

Des médecins psychiatres truandiers et de style, tuent, abattent leur travail tels tireurs d'élite, dans des pavillons dont l'accès ne se peut que par l'intermédiaire de quelque médecin connaissant leur existence, sans quoi cette existence véritable ne serait pas divulguée, ces escrocs soignent comme l'on tire dans le lard de citoyens qui leur sont confiés, au nom de la santé comme de la protection sociale. Et de la Charité.

Certifiés soigner des atteints de graves maladies irrécupérables. La situation de personnes visées, qui progressivement se banalise, est mise ou placée entre les mains de cette pègre, ou plutôt mafia auprès de qui la chambre létale peut être demandée, pratiquement autant qu’en Amérique, aussi facilement que l’on peut cracher. Cette population carcérale de personnels médicaux sert une populace qui rêve de se débarrasser des bouches inutiles, tout comme l'on jetterait leur corps à la décharge, ou abandonnerait son clebs en été sur les routes, en plus de la vieille. Que l’on veut crever après l’avoir opérée comme un chat. Toute personne non productive est une bouche inutile, jugée inapte à la vie en société, et passible un jour de la peine de mort, la mort de nos jours dans les rangs des malades mentaux ne paraissant suspecte, déclarée suicide, accident, fin précoce, mort violente, sans jamais être véritablement légale. Mais toujours à peu près tue. Travailler surtout si handicapé, sous peine de mort.

Le goût du jour remet à l'honneur l'assassinat de personnes handicapées, (l'euthanasie punie dans certains cas de seulement trois mois de prison avec sursis) de personnes devenues handicapées, démentes après les premiers soins, parfois même traumatisées à vie par les hospitalisations réitérées en service psychiatrique, ou parce que vivant dans un milieu qui génère une attitude prise pour maladie mentale, une attitude qui n'est en fait qu'une réponse à l'attitude d'un milieu hostile à ces personnes.

A tel point que ces personnes là ne sont plus qu’une réponse à un milieu donné. Quitte à voir ce comportement s’automatiser. D’où la mise en isolement.

Le milieu médical lui-même se veut un milieu répressif, agressif et violent, où l'on viole, humilie, déflore et sodomise, tabasse, cogne et mutile. Les gens qui en sortent, s'ils en ont la chance, cela est encore permis de nos jours, restent lésés, traumatisés, rechutent dans la plupart des cas, dès leur remise en liberté, restent handicapés le plus souvent à vie, débiles ou grabataires, ou bien meurent, voire retournent à leur condition, sinon leur nature.

La nature de certains individus en effet est très contestée : A tel point que les scandales que cause leur présence, chômeurs, inactifs, et sans travail, gênent la paix du citoyen, jusqu'à ce que la municipalité ne trouve rien de mieux pour évacuer le problème de certains de ses électeurs, les témoins gênants du « problème » accusateurs ou défenseurs des libertés, que de faire des parias, des sans abris ni travail. Expulsés pour les besoins de la cause du maire, du préfet, par placement d'office, ou autre, de leurs logements. Jusqu’à la condition de juifs errants, à convertir par tous les convertissements de la psychiatrie, pour leur mode de vie, lié à leurs idées, qu’il faudrait traiter.

La mort est souhaitée pour ces exclus, citoyens ou qui n'ont pas le droit de l'être, le permis de voter leur étant supprimé ainsi que leurs droits le plus souvent en fonction d’un état qui leur est imputé, parfois même à l’insu même de leur médecin véritable, sanction spontanée envisagée par la populace tel retrait de permis de conduire pour état d'ébriété. Et Dieu sait si les neuroleptiques soûlent, anormaux, mongoliens, infirmes, grabataires, débiles mentaux, déments, vieillards, enfants à charge, dissidents et jamais aucune commère. Pour certain, c’est déjà trop tard, devenus irrécupérables.

Le permis d’interner pour certains étant mieux que celui de voter.

La charge financière devient une preuve de l'inutilité de ces individus, une preuve de plus non plus de la simple inactivité, mais de la démence : Pas de travail, donc, dément. Incapable de trouver un emploi, donc de produire, d’être rentable et encore moins de rendre des services de type tertiaire. D'autant que pas de travail pas de salut, car la Rédemption vient par le travail et pourquoi pas aussi le STO. Une indemnité supplémentaire à l’invalidité devrait être versée aux invalides incapables de travailler, en compensation des revenus non perçus en provenance des familles que certains d’entre eux perçoivent en surcroît de leur pension ou AAH. Manques de ressources punis d’électrodes jusqu’au grabuge puis d’internements, abusifs.

De nos jours, donc, l'appel à la peine de mort médicalisée, l'euthanasie, n’est condamné pour tentative d’assassinat. Le tout couronné d'une peine parfois se risquant je l’ai déjà écrit à quelques mois de prison avec sursis, ce n'est plus un crime donc de tuer, quand la loi Perruche a voulu récompenser des handicapés nés après erreur de diagnostic durant la grossesse de leur mère, d'une indemnisation destinée à faire reconnaître qu'ils auraient mieux fait de décéder.

Aujourd'hui, la peine de mort est quasiment légalisée, légitimée, proclamée presque par la force publique, on veut bien se débarrasser de l'ami. Peut-on tuer son voisin arabe parce qu'il gêne ? Ou qu’il pue et se néglige … ? Tout juste s’il ne pue pas le juif selon le voisin du pallier.

Dès 1930, les juifs puaient, l’on sait où cela les a amenés. Depuis Dachau, cela a gêné, surtout, ne pas se poser en victime, si dans ces contrées, l’on n’aime pas le porc, il faudrait en justifier, la raison. Raison, ou pas raison, l’on vous aura. Et vous l’aurez. Peur irraisonnée.

Le meurtre est passible d'une peine allant de cinq à dix ans sinon la perpétuité, selon l'horreur qu'il suscite.

La mort d'un malade mental ou d'un handicapé ne vaut même pas la corde pour le pendre.

L'on parle peu de ces hommes et de ces femmes réduits le plus souvent à l'état d'animaux, ou plutôt de bêtes de somme. Projetés dans une situation inhumaine qui les déshumanise. L'on abandonne son chien en été, comme l'on envoie quelque « ami » mourir à l'asile, parce que victime de viol, de violences, sévices et mauvais traitements, psychologiques ou non, infligés selon l'âge et l'espèce : Sévices pour chien, chat, enfant, adolescent, nourrissons, vieillard, pour toute personne dont la détermination regroupe le mot dépendant, handicapé, sans le sou, sans abri, bouche inutile ainsi que pour les prisonniers, infirme. Dépendant, donc, que l’on peut posséder, dans l’idée de l’adoubement des félons. Entre autres travaux de désolidarisation la Gauche.

Ils, les tenants comme les exécutants du pouvoir, décident de posséder le pouvoir d’infliger la mort sur des gens qui leurs sont soumis, esclaves et tributaires, avec la familiarité d'un propriétaire de chat, d'un animal qui ne voit n'entend ni ne comprend, au nom de l’inconscience, avec l'audace de parler devant eux, ce qui n’est pas mieux que dans leur dos. Ces médecins et leurs familles bien entourées, déclarent qu'ils sont pour ou contre l'euthanasie, non déclarée, qui se pratique autant avortements illicites d’avant la libéralisation de l’avortement, chez les faiseuses d’anges, en plus de la castration qui suivait, à l’insu des patientes, tout aussi non déclarée. Punie depuis 1995 de cinq ans d’emprisonnement, mais pratiquée tout de même par d’autres ruses. Ou l’expérience de vivisection bien répressive. Leur liberté de colons esclavagistes prêche l'incurabilité du handicap, cherche tête de turc et bouc émissaire pour faire exemple auprès de la population, dans l'urgence du cas. Les rafles dans les quartiers de quelque malade laissent des traces de cette violence, plus de soixante ans après Auschwitz.

La population des malades mentaux ne respire jamais, sempiternellement examinés, jaugés, leur intelligence soupesée, leur conscience antropomorphiquement jugée, ils sont commentés, surveillés, contrôlés, disséqués, voire dépecés. Parfois vifs. Dans un parc de malade qui tient de l’exposition universelle de Paris en 1900, zoo humain. Voire, réserve d’Indiens, en état de sauvagerie. Dont certains s’évaderaient…

S’ils n’exhibaient leur papillon rose de permission. Ne montraient patte blanche auprès de la population en alerte à la moindre sortie quand l’altercation leur est cherchée. Pendant qu'il leur est interdit de faire confrontation avec leurs délateurs anonymes, même quand il s'agit de leur vie intime et privée. Les médecins parlent sinon de psychose à paranoïa.

La médecine n'a pas peur de la nudité. Quand l'on est nue devant elle.

La nudité n'est pas une maladie en soi, sauf quand elle devient exhibitionniste. Ou quand la Médecine l'exhibe elle-même. Un streaking ?

Parce qu’il faut courir vite…

Là on est malade par A plus B sur C.

L’on vous l’explique par le carré de l’hypoténuse, à grands coups d’électrochocs, ce ne sont que des ions. A nions. Coups et horions. Simples bugnes.

Les malades mentaux ne vivent aucune vie privée, sinon brimée, humiliée, soumise aux intrusions, ingérences et interférences des rencontres avec le personnel médical, qui torche des fesses à la moindre résistance, séance d'électrochocs, ou pardon, de séismos. Les W-C et salles de bain devenus salle de conférence et d'exposé sur la crasse, le cul et le plaisir, solitaire ou en orgie. Salles où l'amour du prochain, réside en la merde, la pisse, le sexe, le sang et la mort.

Le milieu hospitalier exacerbe les violences, jalousies, concupiscences, cancers de l'âme qui rongent ceux qui sont à l'intérieur de l'hôpital comme ceux qui vous y envoient : Vivre éternellement en vacances comme en vacance, vaut bien le prix de quelque brimade. Celles dues à la royauté, les patients tenus pour vivre dans le farniente de l’aristocratie, réfugiés dans leurs pavillons-hôtels quatre étoiles où l’on paie rubis sur l’ongle la dernière lobotomie, tout autant quatre étoiles, aux dernières des caméristes. Pour privilégiés. Là, au moins, c’est bien fait et les électrochocs sont avec anesthésiants. Même s’ils sont un peu trop anesthésiques.

Bafouant les droits de l'Homme ne serait ce que par leur seule façon de parler malade entre eux, les matons, gros bras de service, gardiens, infirmiers de nos jours, triturent les mémoires, impriment le ressentiment, rappellent le souci d'échapper à la torture des soins, dans leurs échanges vociférés, tonitruants, leur vacarme quotidien de coups de gueule et de portes qui claquent.

Cela aussi, cénesthésies. Auditives à sensorielles pour ce qui est du coup de poing.

Le milieu psychiatrique abrège des vies en les séquestrant, temps de vie inutile contre la vie même, car source d'une souffrance inhumaine, vies trop souvent ignorées, jamais traitées sur le plan national ni international, aucun gouvernement ne s'étant engagé à leur sujet. Malgré un manifeste des droits du malade, jamais appliqué, une utopie. Vies tenues à l'écart de toute vie sociale intégrée correctement, sans la présence d'une torture psychiatrique tue, sans l'omniprésence de l'opération neurologique, neurochirurgicale, taboue, sans parler des traitements barbares qui vont bien au-delà du simple emmaillotage, chimique. Cf. les carnets d’Amnesty International, cela ne peut se produire qu’à l’étranger.

Torture chimique, aussi.

Des soins physiquement, mentalement une torture. Sous anesthésiques parfois seulement, autant que cela était dénoncé dans les Carnets d’Amnesty International, concernant la torture sous la Junte, en Argentine. Amnesty International qui a contribué à l’introduction des anesthésiques dans la torture, depuis les années 70 à 80. En France, prise en charge de la douleur rarement tolérée dans les établissements et suivis psychiatriques.

Torture française. Qui devient l'écharde plantée dans la chair, l’épine implantée dans le cerveau, qui travaille, lentement broie toute idée, le fait de toujours entendre tout discours d’observation sur soi étant considéré mal de la personnalité.

Les infirmiers abusent des observations incessantes, jusqu'à déclarer la paranoïa, brisent les malades à ce jeu, les encerclent de contrôles, ronde de nuit comme surveillance de jour, commentaires lubriques, salaces réflexions cuisantes qui laissent monter la rage, pour la narguer, l'oppresser jusqu'au ressentiment, et là, cherchent à le faire oublier, par l'amnésie, électrodes, traitements abusifs, électrodes, électrodes. Nudité. A l'état pur. Celle du prisonnier face à son bourreau.

Situation qui reste rarement en mémoire de tout malade mental.

Histoire d'empêcher.

Jusqu'aux dernières résistances du corps et de l'esprit.

Rites sadiques.

Opposés à de la grande jérémiade.

Parfois, proches, voisinages en ingérence, personnels médicaux, choisissent un cas et l'excitent, le montent, le bourrent d'un bourrage de crâne qui le rend nauséeux et déjà lui attire les termes de « il est mal ». L'incitent à la violence, le poussent à contester, revendiquent de l'admettre en pavillon répressif pour sa trop grande et grave réaction aux provocations du personnel.

D’ailleurs il le lui faut.

Casse et bagarres, rixes où il ne sera jamais le plus fort, échanges de coups du patient avec détenu délateur, avec un membre du personnel qui l'exaspère et le conspue, lui inflige humiliations publiques sur brimades : Douches et bains forcés, abattement causé par un traitement trop puissant pour que persistent les réflexes et réflexions du malade, l'abrutissent jusqu'au sommeil forcé décrété état dépressif. Il ne peut plus se lever de son lit ni pour déféquer, uriner ni se laver ni manger à la table des autres. Parfois, cela se traduit par la chambre fermée, et là son état étant devenu celui de grabataire, ce qui l’humilie d'avantage, il se heurte aux gros bras qui lui font rencontrer l'armoire et le font se fâcher avec la table de nuit, arcades sourcilières fendues, gros coquards.

S’il n’a pas descendu l’escalier de lui-même, le jour du jugement pour son placement par contumace. Pas présentable.

On l'opère, voire le trépane, sous les insultes et les quolibets du personnel, d'autres malades témoins, qui viennent le lorgner au judas de la porte. Autres cas qui transmettent ses peurs au personnel, ses demandes et revendications : Cigarettes, briquet supprimés, il mendie le droit de fumer, de boire, de parler. Tripoté, violé d'électrodes, il est gavé si refuse de s'alimenter, plus le souvent plus le malade proteste, plus le ton de la sévérité grimpe : Renforts, pompiers.

Menottes aux poignets, nu sur le sol, parfois seulement en slip, aux yeux de tous ceux qui viennent le reluquer.

La bête féroce a été matée. Tous peuvent désormais rester en paix.

On lui prescrit des antibiotiques pour que ses blessures ne s'infectent. Il a du rencontrer la machette d’un pompier. Ils font ça avec élégance.

Traitant avec une élégance inspirée de la scatologie différenciée, un peu de gouttes le matin, un peu à midi, un peu le soir, les infirmières provoquent elles aussi, ont leur technique éprouvée pour fatiguer dès le lever.

Scatologie donc freudienne et Jung : le mystère céleste du cul tape sur les systèmes, enfonce les dortoirs dans la grogne, l'esprit de revanche inassouvi et les histoires de fesses à trous, tant l'obsession amplifiée d'un altier malthusianisme malsain et lubrique renforcé de voyeurisme attise les esprits.

Le lysisme dans la chambre se pratique aussi entre codétenus : les chambres peuvent comprendre jusqu'à quatre lits, les rapports sexuels sont proscrits par le règlement, la masturbation d'un consensus commun interdite, durement réprimée, sinon sujet d’interdits violents, de propos voyeurs.

Dortoirs d’écoles religieuses. Parfois, séparation coté hommes coté femmes.

Quand la mixité des patients est permise. Quand elle n'est pas remise en question. Pavillons style hôpital-prison.

Cette proscription de la sexualité est initiée dès le bas âge par les parents, la famille, l'entourage, le voisinage, les institutions. Dès le retour du malade à son domicile, l'interdit redevient source de rechutes ou simplement querelles de voisinage, disputes conjugales, familiales : la population, outrancière en ce qui est l'apanage des français, a besoin de ses eunuques et vestales. Proscription promulguée par de grosses oies du Capitole qui n'hésitent à entraîner les dresseurs d'enfants à ce jeu, uniquement pour mettre les glandes et exciter au point de faire signifier nécessité de trouver partenaire. Créent chez certains hommes les pollutions, le besoin d'aller voir les prostituées. Problèmes de castration freudienne. Depuis Jocaste et Oedipe.

Quand on ne leur veut pas de la Ricorée pour qu’ils pissent dans les draps. Le café, c’est bien trop énervant. Cela peut exciter…

Les femmes et les jeunes hommes encore en âge d'aimer, une fois revenus chez eux, sont séparés, contrôlés par un entourage en proie à la curiosité maladive de vouloir savoir « s'ils le font », patients condamnés au voyeurisme de barbouzes, parents ou voisinages peu scrupuleux, assez matons pour les mettre à l'école du gorille videur en cas de répulsion. Halte au gorille.

Condamnés sinon dressés à la trituration psychologique maladive, mutuelle ou individuelle, autopunitive, ils sont voués à l'autocensure du désir, à l’inhibition, la restriction mentale sinon aux orgies de leurs bienfaiteurs.

En cas de prise en charge spontanée. Punition aux œufs à la caque en cas d’inhibition ou d’abstinence un peu trop prolongée. Ecrits à tâtons.

Dressés à l'autocensure, à la restriction malthusienne jusqu'au manque de confort, la misère noire des guerres fratricides causées par l’UDAF, organisme de tutelle financière, ils assistent à une mise en déstructuration du fond et de la structure de leur pensée, selon le rhizome à enlever et exciser de leur pensée, une réorganisation de leur conscience au gré des focales phobiques, libidineuses, du bas-peuple à l’hystérie duquel ils sont jetés en pâture. Leur condition d'allocataires CAF ne leur permettant qu'un salaire de prolétariens, même pas le SMIC, leur conscience devient autopunitive, autodestructrice, auto-torturante d’une torture physique et mentale, carcan de la foule imposé par l'Etat : il faut qu'ils ressemblent à tout le monde, ce qui leur est fait payer très cher. Leur part d'individualité noyée dans la masse populeuse d'une plèbe illettrée, sous-culturée et ignare d'une hygiène mentale normale. Prête à la délation de cas s'il le faut.

Quasiment le sort de prostituées occasionnelles.

Actes de torture médicalisée cautionnée par la foule autant que par l’Etat. D’ébriété des fronts sociaux. Soit par l’apéritif soit par le médicament. Soit par l’argument.

Censure de toute lucidité, de toute émanation d'une émancipation honnête ou discrète. Ramenée vite à l’aveuglement, au brouillage d’idées. Torturés par la honte et le temps, par l'engagement irréversible d'un processus de rejet social qui finira dans l'hystérie collective de l’hygiène mentale, celle des pogroms, des chasses aux sorcières, dans le « semi-apartheid » des privations de liberté, dans l’apartheid des violences endurées, dorment d’un sommeil des consciences les malades mentaux.

Celui qu'établit une souche de paysans, de villageois infiltrés dans la population urbaine, caricaturaux, tauliers, triturateurs, procéduriers, envahis des résurgences de mythes barbares antiques et aryens, jusqu'aux mises au pilori publiques. Paysans âgés aux commémorations mussoliniennes, d'un totalitarisme multisensoriel ustensile et ostensible égayé d'effets de patrimoine génétique, et eugéniste. Comme en quête de milice chrétienne.

S’en prenant pour cela aux services médicaux pour réaliser leurs rêves, fantasmes de domination.

Ustensiles utiles en morale de groupe, de nature tribale, ces pouvoirs absolus auto-tortionnaires et résolus dans l'application de la rétorsion, consulter la définition, instaurent dans les masses des saprophytes phagocytes de cas, de vies d'enfants, de progénitures vouées au sort des générations sacrifiées, qui stagnent dans la prolifération de blattes et de corbeaux, leurs fameuses vieilles punaises des petits lits blancs en mal d'autiste à tortionner. Par l’Hôpital.

Rétorsions jusqu’à la rétraction, de pensée. Ou de rétractation de lettres. Fouille des archives, durant la nuit. Perquisitions de jour comme de nuit, genre DST.

Meurtrières des sources de la vie, selon les critères de Louis Pergaud. Sacrifiant des progénitures au pouvoir de dominer à l'envie, dans des taudis d'où ne naîtront que des enfants malades réduits à un esclavage qu'ils reproduiront.

La Raison ou la raison que l’on se fait de ça.

Méthodes et procédés rédhibitoires.

Implants électromagnétiques jusqu’à l’homme et la femme bioniques.

Vouée à une gestion autosacrificionelle, la vie des malades mentaux dans les cités se réduit à se débattre contre un pouvoir médical mercantile de ses effets, un hallucinant despotisme au service d'une populace prête à tirer, qui tripote et sévit avec ferveur au nom de sa foi, condamne également pour la non appartenance à la religion, au terme de dément. Pourris par le ver de l'engrenage essentiel d'un capitalisme chrétien, croyant multiraces, la seule notion de religion les enferme, car murés par une Médecine-Religion qui nourrit l'intolérance, décrépit et tortionne par le gaspillage de vies d'êtres humains, sous le prétexte d'une amélioration de leur existence.

C’est sûr, la gégène ne peut que faire du bien, si on vous le dit…

Gaspillage de l'enfance.

Dans un Capitalisme proaméricain retors.

Les jeunes classes prolifèrent en idées, mais s'arrêtent aux préjugés de leurs parents, dès qu'il est question de maladie mentale. Ils ont acquis les idées reçues sur la folie et ne bougent pas du cliché, les médias ne diffusent de leur côté que des téléfilms américains sur les serials killer psychopathes, aucun cinéaste n'ayant abordé le problème de fond, continuant à montrer des fous dangereux plus payants que nature. Ils existent peut-être, ces malades dangereux, mais la foule se les confectionne, de provocation en provocations dans la même publicité de mener les déments à la dure, jusqu'à ce qu'il y en ait un qui prenne le fusil et tire dans le tas. Dans l’urgence de sauver sa peau.


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