lundi 8 juin 2009

La vérité sort de la bouche des enfants, et des grands enfants.

Au pays des aveugles les borgnes sont rois.

Fleur de Farine, celle du dessus, ou moi, le duel, prête à faire bonne pâte et pas pizza. Bref, écorchée vive en écorché. Ou Scalp d'indien.

Les familles de ce pays et d'occident au pays des aveugles, torche cul de pauvre et d'intellectuel de gauche plus borgnes-rois même sans le vouloir, aveuglées d'œdipe, que le Borgne national, depuis les hauts temps de l'Antiquité et bien avant la venue du Borgne et de son Hôtel Borgne sur terre.

Et le Scrat, je crois, c’est le truc récurrent ou vision récurrente qui revient.

Il faudra faire signer l’Amnistie à l’Etat en état de guerre armée envers la démocratie de l’Encyclopédie avant que cette France ne finisse éclopée des principes et idéaux dont elle se charge depuis les premiers temps de l’humanisme et des idées libertaires si ce n’est trop demander au psychiatres que les respecter sans les considérer maladie mentale grave, à réséquer. Mines anti-personnel dites anti-char de gauche à eux seuls, quand ils n’ont pas leur canon sur la cervelle, afin de s’éviter le pire.

Quand les psys se marient à la Médecine pour marier l'individu conscient au corps de Médecine, visant au porte-monnaie comme entre les deux yeux, se faisant un temps la main sur vous, vous leur servez d’huile de coude et de ménage, s’ils n’ont de temps pour les plaisirs du mariage, vous non plus, mais ils préfèrent user du viol thérapeutique, si c’est normal chez eux, c’est bizarre chez vous, et si vous en mourez, c’est perso, dès que vous êtes belle comme personne. Là, d’amis, plus rien. Je me meurs de constater.

Heureusement que je décrypte, inassouvie que je suis. Mal baisée aux électrodes seulement.

Et vous souffrez d’insomnie ?

Ta gueule Cassandre.

Tête à clope et cataclope. La moitié du cerveau de la raison ablavé, il ne vous restait plus que le cerveau du subconscient pour faire rêver, autrement-dit, acceptez votre lobo et faites de la poésie, dixit, le mafiosi. Ou le Pierre qui vous a tant fait voir les pierres, Pierre Montalti ou Manville, vous avez le choix dans les parrains de cette mafia.

Un mafioso des mafiosi, autant que les spaghettis, à la sauce au gros rouge, qui tiennent le ventre et aident à l’effort du cycliste à la bécane ou monsieur l’Esprit Lumière depuis les Frères Lumière, cela vous vient très rapidement, pour le travail, famille patrie, partie . Autrement dit le résiné à Lapeyronie. Mairet s’emparant de la ville, le gauchiste né trop à gauche la patte goye pour s’être fait tabasser ne marchant droit s'il marche à gauche, devant pour son trop grand répondant marcher à droite et raser les murs droit, au pieds du mur (de l'asile) en imper gris et en comptant sur le piston. Quitte à servir de passe-muraille, sans passe-droit ni couverture, autre que sociale. Il fallait là se faire admettre, sinon se faire admettre, mais à Mairet et se faire feller. Dans l’esprit de claustration ou enfermement thérapeutique, fondu de charisme, prêt à fonder association s’il le faut antisémite ou projuif selon la qualité du soin. Il n’y a pas de déshonneur à cela, ce n’est que votre sentiment d’indignité . Question de sémantique.

Innés dans le combat, récupérés de tous bords pour combat de gauchiste d’apparat, officiers de réserve de psys en mal de les mobiliser pour la dernière guerre à faire, servant à tout autant que la religion et le cochon de la religion en qui tout est bon, réutilisés pour la patrie autant que les derniers juifs de la terre jusqu’à la dernière corne de leurs cerveau et même celle de leurs pieds, ou sabots de veaux, Adoubés à la partouze à lobotomies au saut du lit et parties de guêtres à électrodes jusqu’à l’amputation, bien au chaud chez soi. Histoire de travailler à se défaire de cela jusqu’au rut céleste sur le dernier coït en attendant que l’on finisse de se calmer sur vous et eux

A dix dessus pour un fou rire ou une idée mal perçue, le bon mot qui tue, cause, l’euphorisation légère due aux électrochocs ou séismoconvulsothérapies, en fait due aux traitment qui suivent l'électrothérapie, en sus de la charte des médicaments du Québec, cf. site Internet de l’Agidd. Ou la bonne idée qui passe auprès de la gauche et qu’il faudrait faire passer avec les embrocations de la droite, récupérée par fanatismes extrémistes de tous bord .

Electrochocs, à l’origine produit du capitalisme naissant récupéré à des fins thérapeutiques des abattoirs ou pistolet électrique percuteur paralysant, placé entre les deux yeux de l’animal., depuis dans les abattoirs l’on a fait pire, avec le pistolet à tirette, embrochant d’une tige de métal percutante le cerveau de la bête à abattre. Mais chez l’homme l’on n’en meurt pas forcément. Des nouvelles trouvailles de la technologie scientifique, sensées améliorer la vie quotidienne du malade, et ne pas faire semblant de l’exécuter, pour la plupart du temps.

Cassant jusques chez la secrétaire dactylo polyvalente soit disant encore en fonction le cerveau et son système nerveux la gueule, la gaule en cas de gaule, ou mat à fausser dans sa dernière mâture, faisant sauter et griller la cervelle à l’occasion, exécution sommaire faisant deleurs rescapés des personnes dites vulnérables, velléitaire envers toute action nocive ou contraire à vie qui leur serait faite et commise, jusqu'aux faits du proxénétisme y compris, facilement roulalbes et escroquable du fait du raquet par l'Etat instauré sur ces têtes. Rétablissant par le biais des établissements psychiatriques et pénitentiaires, le FIS et le SAC en France tel qu’il a toujours régné.

Le secret de Jacques Blanc et de Manville, hurler au loup qui vous égorge de vivre dans son canapé-lit madame Récamier, quitte à vous égorger tel poulet façon fermière pour vous y faire chanter la Marseillaise à lobomiser. A moins de leur chanter l'Internationale ou l' Ami entends-tu, je ne vois pas, l'on considère néant le chant des Loups et pit-bull de la ville entre autres, zzzz, pas glop, non, molossoïdes nazis qui crisent, crient et courent sus au Loup, à la bête de Gévaudan jusqu'à ce qu'il y en ait une de genre Louve Romaine telle que moi-même, et celle là, précisément, voit des Loups dans la Ville partout. Entre autres fascistes en blouses blanches mais ce n'est pas grave.

Boîtes de Pandore que ces pavillons et HLM, où ils règnent, réséquant vote moitié de cervelle comme autant de moitié de couille pour ce que vous aviez eu de couille de leur dire, quand précédemment ils vous réséquaient, pour votre ventre à leur signaler que, etc.

Faites quelque chose à celle du dessus je la finis au hachoir, Aïe.

Médecine corrompue de Médecins Assassins prosoviétiques ou pronazis, fascistes en somme, laissant la région la peur régnant sur la ville, à Jacques Blanc et Mr. Manville, terrorisme hitlérien sinon mussolinien si vous en souffrez de mélancolie, passant à la politique de terreur, politique d'extrême droite qui passe en forcing de manœuvres politiques d’envergure et de masses. Pendant que Manville ses pendants collatéraux et complices, comptent les fautes stylistiques et de frappe, d'opinion et de goût de ses secrétaires travaillant la tête sous le tranchet, parfois le cerveau foulé lésé refoulé et relésé depuis la dernière entorse judiciaire la piqure sur le cul aussi, personnels administratifs et autres artistes du genre qu’ils envoient au billot sinon au bucher. Entre le four et le moulin, finies parachevées au laser–trépan. Entre autres moi. Et arrêtez de râler quand l'on vous aime.

Moi, D'ailleurs toujours en relation morbide avec être morbide pour lequel il faut que l'on m'opère, lui non pas. Resté libre de cela et de m'opérer et prospérer en surcroît. Z'auront réussi à me faire travailler en bouffant pendant le repas de midi. Parce qu'en plus certains aux repas ne bouffent même pas. Et après ils aiment la partouze. Pensant tout haut ce que personne n'ose dire messires tout bas ni n'admet sinon à l'asile d 'aliénés. Je pense pour vous, à ce que vous n'omettez que de penser. 'Service.

Dans l’affaire c’est le café qui fait le plus mal, depuis les hauts temps de la prohibition. Mise à part de cela qu’il vous faut travailler, sortie du fanta fantastisque... .

Pro-hitlériens de ce type arrachant cheveux du dehors et cheveux du dedans, dans crêpages de chignon au groupe électrogène avec les membres actifs de leur personnel qui pour vous réséquer quelque nerf trop rétif ou quelque morceau de cervelle sont toujours vos amis. Manque plus que le tatouage du mafioso ou du juif en camp, c’est déjà fait pour moi, un sein tatoué de deux points pour soin, suite à l’échauffourée. Trois, cela aura signifié Mort aux vaches. Et je pète un câble un peu trop, parfois un pied dans la tombe.

Sans l'écriture automatique, vous faites quoi ?

L'écologiste, OH, l'on pète jusque un peu la glace après l'explosion.

Le plombier de service, avec l’électricien du coin après le médecin. L’on entretient le moral des troupes.


Modes de la torture en France protégées de nos jours en France par la psychiatrie et la propagation du dictact qu’elle infirme, qui passent par tous les carcans que s’impose la femme et que lui impose l’homme en surcroit des siens, passant du corset de la mode vestimentaire assez tortionnaire pour faire des victimes et causer des décès (ablations des deux dernières côtes du thorax des siècles derniers destinée sà affiner la taille dans el port du corset, fausse-couches et décès prématurés qu’il a causés), de nos jours, modes de la violence conjugale véhiculé par les mères et le matriarcat de certaines sous-couches de la population, profil type des mères, Lucrèce Borgia véritables, de tous bords usant de toutes politiques, maquerelles tabasseusses mortelles impossibles à vivre et invivables, violeuses et prostitueuses, de toutes méthodes de tortures mises à leur disposition ou de leur invention et libre initiative.

Jalouses envieuses, traitres acariatres, impitoyables grossières ivres saoules d'esprit de vengeance, violentes et possessives envers leur progéniture. Aimées, respectées pour leurs crimes contre l’humanité dénommés éducation dite rigide ou sévère voire digne. Le plus souvent obscènes, et privilégiant l'obscénité, déviantes obsédées de tous vices de type lumpenprolétarien, de la nuptialité de a jeune fille à la virginité. Et justifiant le machisme, pestes vicieuses composant la plupart du temps les personnels hospitaliers féminins, totalitaires, forgeant l'obsédé le suicidaire et le forcené, à la matraque systématique, le plus souvent électrique. Quasiment toutes bourreaux obsessionnels prêts à l'exécution sommaire, profiteuses, la moindre défaillance, la plus stricte normalité même pas en réaction à cela jugée déraillement, de l'idée, faiblesse de l'esprit. Dans les systèmes de patriarcats, agissements identiques, les pères parfois prenant le relai, ou épousant ce type de femmes. Créant cellules familliales très totalitaires et populations en imposition de dictat dans les pays et le pays français. Mères fondatrices et causes de la psychiatrie même.

Le féminisme actuel pouvant se résumer à cette activité et infliction des troubles du caractère et maux de la personnalité de ces femmes, organisées en réelle sous-couche de la population. Organe même de partis et de détention des prisonniers politiques les constituant et faisant détenir par la psychiatrie. Forgeant des pères de familles jusques dans les hautes sphère, à leur instar et image.

Mères casseuses des idées corps physique et cerveaux de la gauche humanitaire et libertaire, causes à elles seules des dictatures françaises, du dictact, actuel.

Au Maghreb, le système d’éducation différent du modèle occidental, le fils de parents intégristes ou affiliés à la religion, enfant-roi, la fille elle brisée de la tête au pieds dès la naissance par la famille dont parfois, elle est l’esclave à sévicier et maltraiter, sinon enfant gâtée de familles plus émancipées, occidentalisées à simplement intégrées, arrogante petite beur pourrie des velléités et faiblesses de ses parents démissionnaires envers ses extravagances, ses vices nombreux, développés depuis le plus jeune âge petites privilégiées outrancières névrosées de pouvoir tant accordé à leur inutilité sur terre, accompagnées de leurs complices, voyous bloqueurs et bloqueuses-princesses d'Afrique de société française décrits dans Harry Potters voyeurs avant tout des intérêts idéaux modes d'action et vies intimes de la gauche plurielle, choisis agents de territoire, alliés aux voyous casseurs de l’extrême droite, discréditant tout travailleur immigré ou non qu'il leur plaira de débouter de sa vie par violence gratuite et le déboutant de son emploi, de leur pratique de l'envoutement et de l'ensorcellement de type quasiment vaudou privilégiant leur complexe de race supérieure envers la « race » française, racisme inversé issu de l’immigration choisie exercée je crois depuis longtemps destinée, je pense, à mettre la gauche en danger de mort, gauche tremblant sur ses anciens fondements, la violence gratuite à tirs dirigés l'aliénant de ses droits le plus élémentaires, et l'introduisant dans le monde de la répression psychiatrique.

Délinquance juvénile ou étudiante populiste infantile illettrée analphabète raquetant thèses et emplois pour les obtenir le plus souvent, reproduisant les pieuvres du monde de Matrix, très affiliée à la mode surtout vestimentaire (cf. le film "La haine", version féminine ici), en consensus avec la discrimination positive qui la privilégie, petite pègre fasciste, pourriture et vermine de la société en dépérissement dans les pourrissements de la situation de marasme socio-juridico-économique, donc, politique, concurrençant de ses privilèges injustes et injustifiés, la gauche lettrée humanitaire humaine ou humaniste simplement dans le rang des travailleurs salariés, pègre déstabilisant les fondations de la démocratie, et prête à tuer des armes précitées significatives de la répression, s’en étant emparée, en relation et même flirtant avec les milieux étudiants de l’extrême droite dont l’UNI, pègre donc prête aussi à commettre tous les crimes contre l'humanité y compris contre ses propres frères et soeurs, pour réussir socialement, faire craindre et respecter à l'obsession ses trafics. encourageant, poussant à la discrimination et la haine raciale envers leur peuple. Orgueilleuses assassines très privilégiées des professeurs de facultés, noyautant en état de putsch armé, facs de Lettres, Droit, Médecine,Sciences, Pharmacie, Ecoles d'infirmières, d’Esthétique et de Chirurgie esthétique, à vous faire mourir de mauvais quarts-d’heures qui durent une éternité de souffrances endurées.

Pègre de fascistes très rarement considérés mauvais éléments. Contraignant à l'action kamikaze envers elles.


En cette France seul laissé le langage de la violence et la voix des armes nucléaires et de guerre, occasionnant la régression de la gauche dans chacun de ses milieux, crimes et abus de tous ordres nés de la propagande fasciste, de l'extrême gauche et de l'extrême droite réunies, cancer de la population de ce pays, fondant le Bronx, dénigrant toute forme d'existence aux libertés de la gauche plurielle, et des libertés fondamentales d'un pays démocratique, la boutant hors pays, l'internant et la dépossédant de ses biens, usant avec l'appui de la médecine généraliste, de la mafia médicale politique sous l'égide de la médecine psychiatrique, tenant à quelques médecins types en propagation extrême, des lois et administrations de la république pour étendre son pouvoir et surajouter au poids du dictat français actuel.

Le problème étant de faire respecter médicalement, juridictionnellement ou pas (par action sociale dans ce cas ou sur l'initiative personnelle venant de tous), les lois de la démocratie et d'un état humain de l'Homme, sans affecter les libertés individuelles ni faire ingérence dans la vie intime et privée de chacun, afin de régler sans ingérence trop incorrecte, les débordements politiques. Problème éthique, déontologique.

Le secret médical en vigueur encore, rudement malmené et revendiqué aboli pour des questions de jurisprudence, au gré des enquêtes de vérification précisément envers les abus, fraudes, ne laissant différencier la maladie véritable de l'apparence de la maladie ou des effets de causalités. Des personnels, médicaux, médecins, capables de se faire "hacher menu", torturer voire supprimer plutôt que le transgresser, secret médical maintenu au nom des lois de la république et pour un pacte anti-discrimination avec elle, en fait transgressé par la médecine elle-même et son usage, donc, le secret médical doit il rester aussi rigide dans son usage et emploi, ayant servi couvert et cautionné tous les crimes et abus.

Dont la constitution de prisonniers d’opinion sur le teritoire français et le sol européen, prisonniers constitués au délit d’opinion non officiellement reconnu.

Accepter les termes de prisonnier d’opinion de gauche serait accepter l’idée que des prisonniers d’opinion de factions fascistes dont également de l’extrême droite, puissent également exister et être constitués, quand ces contrevenants à la Loi et criminels ne méritent que les pénalités judiciaires en fonction de leur crimes, criminalité et criminalité potentielle, rappelons-le. Qui justifie auprès de beaucoup de témoins, des afaires causées, l'usage de la torture en milieu psychiatrique et pénitentiaire.

Constitution de l’état de forcené et de ou furieux dangereux, à force de tortures endurées, l’attitude violente, agressive, des administrations hospitalières cause de cet état de folie dangereuse chez certains au départ les plus doués de raisonnement, de bonté, de douceur et de sens du discernement jusqu’à l’état de bête sauvage

Obtenu acquis par le surajout quotidien de répression armée physique et mentale jusqu’aux prémisses de l’épilepsie maintenue par la force de ces méthodes très douloureuses, causes d’agressions physiques à main armée parfois mortelles, formes en fait de légitime défense de corps humais poussé à bout jusqu’à la légitime défense devenue là arbitraire car état de self-défense du corps humain, organisme réduit aux derniers recours de l’animalité de l’homme, corps d’animal blessé à la folie de l’épilepsie, rendu fou de rage aveugle, de douleur physique et de souffrance morale, dans le devoir de massacrer parfois le premier venu qui aura osé se trouver là, sur son passage, dans un contexte si évasion du suspect face aux tortures subies, de violences souvent à main armée de rue, de racisme et provocations raciales obsessionnelles, de justice populaire envers toute personne dite évadée ou dite de l’hôpital psychiatrique, dont peut-être la victime de l’agression mortelle aura fait montre.

Premier venu ou probablement témoin faisant en fait partie peut-être même des impliqués prétentieux arrogants diffamatoires et mensongers, ayant contribué à la mise en placement arbitraire du forcené. Affaire de type Meurtre à Alcatraz, cf. le film.


Condamné pendant des années durant, déjà pour rien au départ, au dit soin, humiliant, de l’injection (pour les électrodes de la torture électrique) et l’injection retard, piqué injustement tout au long de sa vie, soumis à la vindicte populaire pour ce soin violeur des zones érogènes, des fessiers, zone sexuelle particulière ouvertement et ostensiblement dénudée pour cette répression, très sensible chez l’homme et référence à l’acte sodomite, répression prétendue soin et faisant l’objet de la répression populaire, et infligée aux yeux de la plèbe qui en fait cet usage, à titre de peine capitale exemplaire dans les faits du SAC. Société sadique anale ignare de ces faits, encourageant à l'acte de barbarie, de cruauté totalitaire à l’issue fatale, au suicide collectif de ses prisonniers mourants de suicide sinon de révolte saine face à elle, irresponsable et responsable de ces tortures tout aussi irresponsables. Société violeuse de moqueries humiliantes, pernicieuses, sévicieuses, sodomites salaces injustement punisseuses, viols à sévices injustement punisseurs et ostentatoires de pouvoir absolu au cours de ces parties de viols à orgies qui accueillent ces condamnés aux tortures supplémentaires, qui les attendent. Ce qui mérite une explication.


Animal traqué dans traque, ou idées de chasse à l’homme, poussé aux dernière limites de l’animal humain, attaqué jusques dans son appareil reproducteur de mises à nu et répression le réduisant à l’état de propre progéniture mise en danger et torturée sous ses yeux, reproduction de son espèce qui lui a été refusée, en sus de méthodes répressives, mauvais traitements, abus médicamenteux et tortures systématiques constantes, provocatrices ne serait-ce que sur le plan de l’honneur masculin er féminin, jusqu’à l’augmentation chez certains pris en particulier, au régime du traitement de faveur de ces établissements psychiatriques, du taux de l’adrénaline en fonction du taux ad norme de testostérone ainsi utilisé, retourné contre lui, taux d’adrénaline maintenu quotidiennement au point de pousser cet individu à l’assassinat, crime induit, prémédité par le personnel hospitalier, afin de justifier des répressions armées et de celles que par la suite cet individu devra enduré, montée de la violence hospitalière à un degré d’inhumanité à faire constater auprès des instances judicaires, seules aptes à juger ces faits.

L’agresseur déjà passablement échaudé des mises à nu donc causées par les enquêtes préalables sociales et puis d’observation à domicile d’abord puis en établissement psychiatrique, surajouté au poids des blessures physiques et traitement plongeant dans l’état second en sus de l’état de commotion du aux opérations cérébrales, parfois constantes et pratiquées par armement expérimental usité à tire d’instruments de soins, observation passant au crible chaque menu instant de vie intime et privée, commentée, violée de commentaires et attaques personnelles à tir dirigé des plus dépravés, exacerbant le sentiment dit d’indignité chez le prétendu schizophrène, en fait, personne torturée bien plus qu’à Guantanamo, en réaction saine face aux méthodes employées contre sa personne et personnes de son rang, voire de son délit d’opinon, ne serait-ce que face à la présence de cet armement plus souvent nucléaire infligé en surcroît des méthodes humiliantes des prétendus soins, le prétendu malade prostitué de ces dits soins. Affaire qui tourne en rond jusqu’à l’issue fatale d’au moins une personne, phénomène connu des meurtres en série dans les facultés à l’étranger.

Comportement d’agression mortelle que l’on peut pardonner à un animal pas systématiquement en fait, mais pas à l’être humain, réduit à l’état d’animal blessé jusqu’à attaquer, comportement suicidaire que l’on retrouve aussi chez l’animal, apte autant que l’homme au fait de retourner l’arme contre soi plutôt qu’être réduit à tuer, animal qui, rappelons-le, peut tuer pour seulement réclamer sa pâtée si elle lui manque après y avoir été habitué, toujours par le même sens de l’aberration de l’Homme envers l’animalité des animaux et de l’être humain, dit incompréhension, mur contre lequel se heurte les diagnostiqués de schizophrénie, en fait, méthode avérée de torture mentale induisant la torture physiques des prétendus soins, obnubilateurs, obsessionnels, psychorigides, humiliants, tortionnaires, constamment mutilatoires et dégradants pour la dignité humaine et la santé, dont les lobotomies dites résolutives du mal, pratiquées à tort de façon injuste, injustifiée et abusive, par quelque méthode de torture que ce fut. Et destinées à réséquer toute forme de zone cérébrale contenant critique contre la société et lucidité envers les méthodes employées, dans le but de profil, gains d'argent, de pouvoir et bonne notoriété, personnels médicaux obscènes tant véreux, provocation supplémentaire.

En sus de la fracture morale, une fois l’évadé à l’extérieur ou le prétendu fou traité en mongolien par la population sur les lois de sus au mongol de brutes épaisses avariées, remis en liberté provisoire, fracture causée par les futilités de la vie courante régies selon les lois du gaspi, de vies aussi, et de la sienne aussi pour en revenir au forcené.


vrai.

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