lundi 8 juin 2009

LE CHANT DES HIPPOPOTAMES, LA THÉORIE DES AIGUILLES

LE CHANT DES HIPPOPOTAMES, LA THÉORIE DES AIGUILLES

Répression pollution d'État. Le monde la France et sa population se l'auto-établissant, en faisant un usage personnel. Tenant à l’instrumentalisation de la présence sur terre d'un tiers ou à son délire ne serait-ce que d'un père, d'un membre de famille délateur d'un des siens. Répression égalant torture. La répression sur terre usant de la torture psychiatrique, dénommée effets cénesthésiques du délirât sous-jaçant. Point. De suture y compris. Cercle vicieux vieux, circadien. Petite systémique de la pensée qui s'échafaude en cristallisations sauvages à barbarie récurrente prépondérante.

Contrainte et forcée sous les tortures du STO psychiatrique pour les ferrer, à la révolution prolétaire et du lumpenprolétariat sous peine de placement d'office en établissement psychiatrique. Dans une mobilisation forcée de tous les dits handicapés mentaux maintenus dans la gratuité de leur travail paramilitarisé sous prétexte de militantisme. D'ailleurs anti-hitlérien.
Tentatives répétées de dépeçage de mes nerfs dits coaxiaux, que l'on retrouve ensuite trainant dans un coin de l'appartement très empoussiéré. Tiens, j’ai marché sur un nerf.

Jusqu'à ce que je me sois pissée de douleur dessus, mutilée de tabassages électriques, rendue incontinente urinaire de ce fait.

Associations, d'aide à domicile entre autres parasitant la vie de dits handicapés, les incapacitant de la récupération de ces méthodes s'ils les connaissent, dans le seul but de persister à créer les besoins de leur service auprès d'eux. Et travailler bien plus.

Soviétisation de la vie courante selon les lois psychiatriques leurs tenants et de vieux gériatres, lois de la gériatrie de l'orgie, de la lobotomie, avec ouverture ou non de l'os, de la porte de l'appartement ou non et que l'on ne s'en plaigne qu'il n'y ait ouverture de l'os, bref, et que cela ne se voit pas.

Dans l'absence de motivation sinon contrainte et forcée, ni d’émotion ni de peur, ni de trouble sentimental des sens, vie dans le calme plat de l'abstinence et du rapport sodomite forcé obligatoire et assumé, sinon dans la haine.

Transformant l'amour en haine et le vin en sang, le sang en eau, dans la pêche miraculeuse de maquereaux des établissements. Destinés à renverser de main prolétarienne les pouvoirs, selon des critères de bourgeois. Sous les effets de Directoire de l'impératrice Eugénie. Eugénie.

A me faire revendiquer l’appellation de Duze deux, triples buses.

Jouant les afrikaners, ce n'est de la pâle imitation, dans ferme de délassement à tortures salées sur noir gauchiste. Autant que moi-même. Délais de justice jusqu'à la proscription de l'affaire. Soigneusement temporisée.

Livre testamentaire. Dans l'hystérie collective qui a abouti au lancer de chaise sur crâne de comédienne de Jean-Louis Lacoste, Et molestage de moi-même, participante au concert qui précédait. Dans le spectacle Douches Electriques. Brest.

Revenir à la définition de délire. Ou trip avec ou sans neurotoxique, j'y suis. Petit ou gros en grandes ou petites quantités. D'origine pharmacologique ou pas. Mais je suis bolide je suis à crever.

Le logos concernant le corps dans la symptomatique schizophrène, ou la dualité langage/corps dans ces cas, relevant d'un langage particulier lié au délire, et la régression passant pour pure ignorance ou même arriération dans nombre de cas. Ignorance dont je ne relève pas, ne possédant non plus de termes de régression spéciaux liés à l'anatomie.

Serais-je lucide ?

Faites risette après le gros nion. Beurrée de nions. S'il faut être sonnée. Et du chlore de la javel des ménagères, gaz de combat pourquoi pas tant qu'ils y sont mais le gaz moutarde, plus nettoyant. Permettez que j'en fatigue, de quelques vertiges. En plus des pertes de vigilance dues au traitement.
Mon amour.

Sans compter les effets de corporatismes de caste, les handicapés mentaux ne devant flirter avec la médecine et encore moins avec les médecins, sinon sous électrodes pour leur crise d'érotomanie, aberrante névrotique à obsessionnelle et injustifiée si vous désirez leur parler tout bas de vos rêveries de collégienne à leur égard... Restez people. Et discrète.

Et vous ne ferez que décaler le problème en prenant un ami. Je vous jure n'ai jamais consommé de ganja ni fumé.

Faire et ne rien dire.

Mon statut représentant en soi le Mal. Et la médecine le Bien.

Les autorités, le peuple voulant tout savoir.

Encore un dichotomique répliquera le père. Cela la changera de la fosse mais elle reste sceptique.

Le handicapé mental n'étant selon l'échelle sociale et des valeurs françaises préconisées par l'asile psychiatrique, qu'à l'échelon en dessous du bounioul et de celui du négro, au même échelon que la pègre, au dessus de celui du mongolien, autant ou à peu près selon la police, qui distribue les beignes et dans les services. En dessous vient l'animal pour les maux d'animaux. Le fou bounioul si cela se trouve nègre au Largatil du nègre de Mobutu pour ce qui est du mal d'animal. Et négro des bouniouls. Ou ménage à trois. A finir mongol.

Justice à double poids deux mesures, l'interne notant à la tête du client, les mesures de contrainte méritées à infliger.

Avec le statut qui est le mien, auquel l'on m'assigne et la gueule de l'emploi qui m'a été faite, invalide de guerre, et que m'aura voulu ma famille, je pouvais penser à épouser quelque diplomate avocat ou médecin... Ou le risquer.

Ou la politique du crève-cœur, cf. L'Arrache Cœur, de je ne sais plus qui, auteur de Ravages et l’Astragale. Tradition dans la région du Midi où elle aura vécu.

Celui-là continue le père, plutôt dans le genre vétérinaire, de grosse vache à lait dans le genre elle, souris en quête éternelle du mari idéal et du bon fromage tuée de douleur après un coup de tapette qui tape dur et punk. Parce qu'elle compense.

Par les hanches, le coin de la poire en coin et entre autres zones de l'épi rebelle pariétal des cheveux. D'ailleurs elle, la voisine du dessus, s'y remet. Et la voisine du dessus hein, c'est moi.

Et cela lui fait mal ?

Cela lui arrive et c'est souvent.

Les schizos et les machines. Moi c'est les tapettes à souris. En espérant chez les internes le café pas trop tripant.

Ils n'ont pas encore demandé si je mordais.
Des souris et des tapettes. C'est bien là tout ce qu'il me reste de Descartes. Et vous verrez qu'il ne me manquera qu'un yaourt.

La chasse au monstre est ouverte, mal de primate ou de souris. Au moins les souris d'appartement, chez eux, quand on les voit au microscope, on peut les appeler King Kong.

La langue de bois après chez les souris. Défense dans ce cas de leur faire des électrochocs sans savoir se servir de l'appareil, évitez les appareils d'occasion ou de contrebande, parce qu'ensuite elles ont une langue comme une patate, doublée d'un certain zézaiement, pas que de crise de foi, mais de crise de moi. Non mais il n'y a pas de honte de dégrader autant un petit animal qui n'a rien fait de mal pour le mériter. Quoique celui-là dans le stade spécimen, depuis. C'est à ne le distinguer d'un singe ou d'un lapin. Décidément, complètement dénaturant. Elle ne s'est pas fait ça tout de même toute seule. Alors celle là elle a remplacé Gros Minet dans Titi et Gros Minet. Ou Pif des BD Vaillant. Pauvre chat. Plutôt verte la souris, à remettre à ces messieurs. Cela doit être sa couleur politique, le vert légèrement blet.

L'ont cramée et espoutie.

Ils ont aussi essayé sur les singes et les lapins. Celui-ci vous me le lâchez, il court vite. Certains ainsi se sont évadés de leur clapier. Celle là, non. Quoique, une souris en cage... Peut-être avec un patch coup d'éclat... Et, elle doit encore servir à quelque chose ? Et elle n'allait, la ratouille, se lancer dans le grand travail productif que le corps à moitié brûlé et totalement espouti ?

Experts à Miami pour souris qui passent leur temps à te la disséquer à vif, passée sous rouleau compresseur. Comme vous dites l'histoire à rallonges.

Va encore falloir se la customiser. Il y a un blême.

Chez les allemands c’était plutôt la bière allemande et les amphétamines, qui assuraient la suprématie de la race, je crois.

Une victoire peut-être de la médecine, aux dernières informations, ils auront reconnu que les tapettes à souris, cela peut, les souris quand elles se nichent, les rendre malades. Pas seulement que d'une indigestion de fromage, les pauvres bêtes, d'ailleurs elles sont restées un peu bêtes. Mais arrêtez de lui mettre le groupe électrogène derrière les oreilles et lâchez-lui cette truffe, ce n'est pas un pet bull, votre souris, c'est un hamster, une pauvre ratouille quoique un peu sauvage mais attention elle va mordre, cela tient décidément de la maltraitance sur petits animaux, et ne la transformez pas en boa, non mais de votre souris n'en faites pas tout un fromage vous aussi, après tout elle n'est ni votre souris ni votre meuf, et vous n'êtes pas son gros rat, dira, je l'espère, le vétérinaire, toujours très gent et jeune gens bonne famille, s'arrachant encore un peu de vertu. A tel point qu'il oublie de vivre, sans pour autant se prendre pour Johnny.

C'est dira le père, un évêque.

Là je réponds que le père tombe mal, parce que je crois bien que l'évêque, est autant athée que besançonneauiste, du moins, le père autant évêque que lui, version intolérance, incontournable. Et allez faire coucher dans son nid un vétérinaire avec un rat de cette espèce, un vulgaire hamster, ou surmulot. C’est terrible. Ou rat acolyte, qu’il le veuille, ou non. .

Tenez, reprenez-le, et gardez le, votre rat mal nourri, dixit le vétérinaire attitré, mordu légèrement d’esprit ascétique et par le rat, qui se débat, de l'espèce qui se fait dépréder, na pas fumé son tapis Saint Maclou. Et finit, à court d’idées, séduit sans crise d’érotomanie pour autant de tant de douceur, par léchouiller ne serait-ce qu'en rêve, affamé et affamé de ça et oui même chez les rats cela fonctionne, flonflon en coeur et en tête, cette main de jeune époux qu'elle trouve être exceptionnel, la charmante pauvre petite bête.

C'est pas son rat, c'est sa meuf dira le beur. Je vois pas le rapport, mais vous le voyez où, vous ? Ménophytéa Ventre plat, suivez la tendance, et ah ça ira, ça ira.

Ouais, mais le vétérinaire, pour son malheur et celui de la ratouille, n'était pas Zorro.

Niche. J''vous jure.

Niche au prochain rendez-vous.

La douleur n'étant que le stade animal de l'humain. Apocalypses de souris. Et mille euros pour moi.

Oui mais là vous avez une souris en état de groupie du pianiste envers son vétérinaire tant elle se fait courser par des chiens lâchés spécialement pour la faire courir, faut-il des barbituriques ? C'est le risque, dixit le Dr Brès, presque en état de viol, thérapeutique, cela va de soi, sinon d'hérésie.

Une tapette à souris en mal de viol sur souris, j'sais pas. Non mais là, c'est moi qui fait le rat, Sinon, je disais rien. Même au plumard.

Cela vaut aussi pour les lapins. Morts de rêve.

S'est faite courser par un genre de pit bull bouffeur d'homme, là c'est plus le Scrat, mais Evinrude, de Bernard et Bianca, le film de Wall Disney. Elle va finir par s'en attrapper de l'asthme. Mais aussi on voit un rat qui court comme un dératé depuis un moment et l'on ne comprend pas.

Boite. Cf., Le texte dans Empreintes, de ce blog.

Parabole religieuse et biblique.

Demander à Amnesty International si chez le prisonnier d'opinion cela fait mal de se faire taper sur les doigts.

Nos psys désormais, il nous les faudra un peu vétérinaires. Tiens, il faudra leur en fonder une école.

Plaidoyer, et un plaidoyer c'est long, j'ai horreur de la justice expéditive. Pool.

Monde partagé entre cérébraux et intuitifs, brachys et dolichos, démagogie que la perception de la réalité,

L'amour et ses prémisses idée parasitaire à la vie réelle.

Vous, vous êtes mon idée parasitaire de premier choix

Et c'est bon ?

Vrai, mais vous allez être jaloux de l'idée prenante que je me fais de vous, s'il faut se faire une idée préconçue qui soit préjugé.

Nègre, négro, négresse
Dégradations corporelles
Malentendus et quiproquos, crevons l'abcès. C'est pas possible, mais ils ont passé un contrat avec Sanofi, la nouvelle firme du médicament sur la région, faux semblants de maladie en trompe l'œil.
Massacrée façon Sus a l'ouzbek, pour son travail de Peul. Ou contrefaçon de torture du Venezuela. En sus je reprends, d'à la gueuse rasqueuse, visqueuse d'ailleurs.

Hygiénisme, eugénisme bionique, traits négroïdes à asiatiques ou mongoloïdes atteints par action d'implants électroniques, à pence maker

Déni administratif de justice.

Si c’est moindre d’être vieille. Et de vieillir.

Il n’y a qu’en psychiatrie qu’il n’y a proscription mais prescription en conséquence, l’essentiel étant que le molestage ne se fasse pas trop sentir et que la victime ne fasse énervée.

Le langage universitaire, logos, discours intellectuel de gauche, la connaissance et le savoir, la culture et la cognition jugés délire rentré devant nécessiter la crevaison de l’abcès, un travail par essence psychiatrique , allant parfois jusqu’à écrasement de nerfs faciaux et cruraux, dont ceux destinés à l’élocution. Entravant ainsi la bonne prononciation du langage universitaire actuel et dans ce seul but, faisant ces faisans pierre à deux coups car opération pratiquée au groupe électrogène, à vif. Morale civique et immoralité.

La lutte contre l’identité même de l’intellectuel identité physique et mentale en interaction constante, une priorité de la torture psychiatrique. Droit au suicide obligatoire de l'embryon du lettré fiché, sous les coups et blessures destinés à le tuer, dans un corps de sa mère éclaté.

Pour rétablir ses algorithmes et rythmes biologiques perturbés par les exactions du système du capitalisme sauvage, vociférez et gueulez votre haine antigouvernementale dans votre manif résolutive à tout encombrement des sens et fonctions naturelles du aux guerres intestines.

Mal. Le Mal. Bobo beaux-arts, contemporains, me réfugiant autant que chaque français dans le travail comme on se réfugierait dans l'alcool.

D'où les mètres de papier WC notoire on en fait même en cachette, voire administratif, de la France qui bosse de ses bosses pas forcément des maths au fond de la fosse. Il y en a même qui y trouvent des diams. Vrai. Mais je ne sais pas si c'est ceux qui en auront le plus chié. Et le papier WC de salon, au cas où de la censure et de la répression, tu dégueules. Les français vomissent les tripes. Dernier sujet du Bac philo 2008.

Jusqu'à la nostalgie dite neurasthénique, des temps passés, et vive le retour en arrière qui ressource, mais pas Joffre. Trop pénible et rébarbatif. Je préfère encore Tracy Chapman, elle est plus près des viscères, quoique, excellente. La morale en art, ne comptez que sur lui, et la France en musicothérapie remplaçant la morale politique et de groupe. A faire et refaire au contestataire les procès de la Pucelle de France. D'ailleurs en moi assez baraquée ou mastoc pour faire fille de ferme, mais tant tabassée jusqu'à la fille fragile. Ni homophobe, ni homophile. Baraquée, mais fragile. Et pas cracra pas beau Omo, la marque de grande lessive. Au vu des irrégularités.

La liberté n'étant que dans l'acception totale de l'esclavage. La liberté du voisin n'étant pas la même que la mienne, sa notion de l'esclavage encore moins. Sa liberté peut m'être un esclavage et son esclavage ma liberté. Tout n'étant qu'appréhension et de perception de la réalité, problème né de la dite schizophrénie, quand elle se heurte au monde de la démagogie. De là à imposer son esclavage à autrui, qui ne devra l'accepter qu'en tant que liberté profonde... Mais la guillotine, arme première de la république française, inventée par Mr Guillotin, chirurgien, n'a été inventée par la science que pour cela, abréger les souffrances du Moyen Age, et celles de la royauté. Se méfier tout de même de la déontologie de la science, ses techniques pour abréger les souffrances n'ont pas beaucoup changé.

Mais permettez que je m'allonge.

J'ai osé. Osé dénoncer ce qu'est la censure d'État, français, et en quoi elle consiste, dossier. Torture sur faux constitués et dossier. Optez pour dire les "dégâts" si l'on doit parler des sévices. France, terre d'asile des prisonniers économiques et d'opinion, de précisément, l'étranger. J’étais très forte, jusqu'à présent. Désormais je le suis moins, du moins j'ai intérêt, à me calmer. Sinon, la claque à l'artiste et son cachet d’aspirine.

Je revendique, réclame, préconise, depuis toujours, l'interdiction, l'abolition des méthodes de la torture médicale précitées, constituant à l'heure actuelle la torture psychiatrique encore en vigueur depuis la création de la psychiatrie.

Revendication qui m'a valu depuis ma naissance, exclusion, procédures diffamatoires en tous lieux et toute région, exactions punitions corporelles, représailles et vendettas, viols coups et blessures attentats à main armée constants, jusqu'aux handicaps et infirmités déclarées dont une qui m'est revendiquée et imputée à tort et reconnue qu'en tant handicap, ce qui a influé sur mon niveau de vie, la dite psychose que serait ce plaidoyer que je nourris depuis les premiers sentiments que j'ai eu de mon optique sur l'affaire, autrement dit, depuis que je suis née. D'un père biologique qui dès mes premiers jours a exprimé son refus de me voir chair de sa chair sinon dans le devoir pour moi d'être son clone et de lui ressembler en tout, considérée poids, fardeau incommensurable plus que cadeau de la vie.

Pour le fait d'être tenue pour responsable de la souffrance d'un accouchement difficile qui a déchiré ma mère et sapé de ce fait sa santé mentale. S'occuper d'un bébé puis d'un enfant lui ayant par la suite été très pénible, amplifiant son mal être. Mon père géniteur inexistant dans mon éducation ou presque, sinon présent par les sanctions, intéressé surtout en père fouettard et abusif par mon adolescence.

Depuis, cela dure, lui restant fixé sur cette période. toujours refusant mon âge. La censure populaire l'invitant à sanctionner plus durement encore.

Pour tout expliquer.

Séance psy du magazine.

Le monster à munster, ou fromage classique autant que la danse classique, présent indéfectiblement au repas des hôpitaux et cause le plus souvent avec adjonction de quantités de pâtes, le plus souvent au beurre ou grasses, intubées ou absorbées dans un tube digestif anesthésié de traitements chimiques et d'autre nature, cause donc d'abcès, kystes assez conséquents pour faire appeler le neurochirurgien, siouplait, le monster donc poursuivant sa vie d'artiste, en tant que mongol mongolien ou mongoloïde s'il ne fait partie des trafics de drogue. Et donc de prostitution. Et là vous êtes en état de grâce.

Et que l'intelligentsia s'en drogue si elle ne veut être de droite ni s'en décimer, bien pis par l'extrême droite, l'extrême gauche la plus dure dans son extrémisme ses trafics, ses effets de secte. A vous exécuter par envie, en plus de l'anarchie. Dans la grosse provoc. Puis de ma part grosse bronque. Sinon je ronque, mais sous les coups blessures brûlures et éradications, de cervelle. Mais c'est bien mimi. Parce que ces voisins kikis.

Bref, homos, affolés de mon petit cul, de mon gros pot à m'en sortir sans mourir, de leurs coups et tours de vaches. Qui enfliquent.

Parce que j'ai décidé de claquer dès le départ pour ne jamais en consommer dès que l'on m'en à cela confrontée, la porte à la drogue et à l'alcool, mais non, pas claquer vraiment, ni ma vie ni argent, de mettre cette merde d'état capitaliste opium du peuple aux chiottes et de tirer la chasse à chaque élection, ou évènement social digne de ce nom, j'ai risqué l'omerta. C'est l'omerta. Que je subis depuis le temps qu'elle dure. Mais quand me vient l'esprit.

Ou comment l'esprit vient aux gauchistes.

La France, ce pays, le monde, un pays de partis dits politiques, en fait de sectes qui s'emparent des idées de la gauche et des idéologies diverses de la population, chaque parti une secte en soi, ses gourous, ses images, ses icônes, ses idolâtries, ses rites et pratiques, dogmes et sacerdoces, croyant chacun détenir la vérité, depuis les premières internationales juives et communistes, et les temps des Brigades du tigre, période de l'histoire où l'état s'était enfin inquiété de l"apparition de ces sectes, des loges franc maçonniques, et optait pour une lutte féroce et organisée envers ces organisations mondiales la plupart de type nazi et Moon. J'attends à nouveau ce temps de lutte. Le capitalisme lui -même une forme de secte, employant ces sous sectes, s'y impliquant, les absorbant et récupérant, s'en faisant des rouages parfaits de son système de négoce. l'asile psychiatrique dernier rouage du système répressif de récupération des contestataires, réfractaires, divergents et passibles de peines, asile lui même forme de société aztèque pavillonnaire çà multiples temples et dépendances de palais, ses sultans et sultanats, avec nègres à palmes et baldaquins, les bruits de palais et de couloirs, ses bruits de palais et de couloirs, leur adoration pour le temple Kéops et odes à Kéops de ce siècle, sacrifices humains publics et à titre privé, leurs prostituées, leurs cours, leurs escadrons et escadrons volants, nymphes et nymphettes, droits de cuisse et viols à main armée sur hommes femmes et enfants, razzias et jungles autour où il ne fait pas bon vivre, sinon en tant que poisson rouge dans un marigot de piranhas autant que dans Nam, le film, le Vietnam.

Leur vin leur saké et alcools de maïs, leurs sucs de macchabées issus de ponctions voire lombaires ou amniotiques, cachets et pilules de la paix à base de cerveaux de prisonnier découpé en lanières lyophilisées, voire ésthérisées, extraits de poudres de germes fécaux de femmes enceinte à diarrhées traitées pour firmes de bifidus et germes de boissons lactées, telles bêtes de somme et traites telles vaches d'étable avec droit de visite à domicile et parcage en clinique pour pérennité de la collecte divine en cas de récidive.

Dans le peuple universitaire, seul l'usage de la drogue garantissant de bonne études et leur couverture sociale. Drogue étant dans ces milieux infirmiers également, si l'on n'est du bon côté du manche, sans quoi piquouze à la hanche, dans la zone érogène précisément du bon slow qui tue, drogue sinon palliatif, donc synonyme de réussite et richesses assurées. Il fallait avoir été tenté au moins une fois et bien en user assez longtemps pour montrer patte blanche dans ces milieux de bandes qui finissent aisés, lures et enflammés de gauchisme ou d'anarchisme d'extrême droite, si cela peut suffire. A moins d'être dans la police. Alors là ça va, c'est que vous allez bien. Du moment que vous êtes cogne. Et que vous pouvez cogner. Voire immoler. Par expérimentation sauvage sur l'objet vivant de leur choix et de l'arme totale choisie qui vous tuera, de récupération le plus souvent cf. le chapitre suivant.

Il fallait chez les particuliers et contribuables, en cas d'agression, aller et aller bien, au commissariat autant, porter plainte avec la carte du parti politique prisé. Préférentiellement dans ce cas d'extrême droite, ne précisons du Front national si vous parvenez à citer le nom du parti selon le parti à idées fixes de l'inspecteur, ou formes de groupuscules d'extrémistes assimilés, sans quoi, c’est la fosse en taule ou Dachau, pour le timide un peu culotté et la même môme gonflée un peu pétroleuse l'asile d'aliénés. Idem pour le jeune timide un peu rentré, dans le lard façon maison mais pas Lacouture ce n'était ça déjà hein, genre Guillaume Dastier. Dont on ne peut en dire que pécaïre, le pauvre, et c'est vrai.

Autre Maison Lacouture de Montpellier où tous les matins l'on passe dès le réveil sur la table d'opération pour les fers, ou table en fer. Bref, les électrochocs. En brochettes de collés par la société, à renier le bahut et retourner à la maternelle, file indienne et queue leu leu. A vivre également chez soi, avec matériel de poing pointé sur le crâne, voir chapitre suivant. Me prenant ces gens qui m'épient en continu, pour quelqu' évadé de cet établissement de Mairet, de Montpellier B1 à tout avouer, organe de répression de la ville.

Surtout que je ne revienne au Monde Diplomatique. Si j'en suis restée diplomate.

L'on en a trouvé plus d'un, de ces fous qui en consomment, chez soi, de ce genre de littérature, ou bien en "pavillon", mort de fatigue, dépendant de l'asile psychiatrique, libéré pour "bonne conduite", enfermé récemment ou anciennement pour délit d'opinion ce qui est très peu reconnu, autant que mon cas, pour avoir osé. Tabassé, étouffé de chimie. Ou décédé dans son bain, le cœur ayant lâché. Car si à cela on l'y aura un peu aidé, cela n'est pas dit. On le devine, si on y parvient. La censure au détriment de la vie et de la santé et c'est le trou de la Sécu qui paie. Ce que les contribuables, en ce moment un peu trop animés, auront payé.

J'aurai, moi aussi, morflé. Mes voisins durant quelques jours prenant ma scissure frontale de la fontanelle du nourrisson à la naissance du nez, pour leur raie des fesses, mais de façon mutilatoire aux contrefaçons de groupe électrogène, sachant cette zone mortelle chez le bébé, et cherchant à tuer, à m'en extirper querelles et altercations, incessantes en ce moment de ce mouvement. Ne comptons les effets de sinusite, là, je dois l'avouer, gratinée. Eux me tabassant quand ils s'emmerdent sur l'extrémité de l'angle des arcades sourcilières.

L'on ne va pas, hein, à l'heure de Sarko, refaire Mai 68. Bigre redira le Psy, du service. Alors vous, au moins vous ne lésinez pas, dira celui appelé d'urgence pur mes ires. Mais qu'est-ce qu'on lui a fait ? Dira un Brès exacerbé. Niant toute implication.

Ce n'est peut-être que le verre de thé.

Minimisons, minimisez, temporisons dans le sade et le crade, si tant cela qu'il faut, les dégâts autant. Non mais dites donc je n'en suis ni morte, ni morte de fatigue. Ceci dit je n'ai pas encore réussi à refaire la vaisselle, depuis hier.

Rédiger la France des Mensonges pour Desclozet à l'époque étant une bien grande chose. Signez. Et digérez.

A mon grand détriment. Détritus et papier gras de la fête. De ces ordures, qui se prennent au sérieux.

J'attends un(e) nouveau Lula pour la France, si même elle ne doit être que celle de Ségolène.

Mais là je n'ai peut-être pas plus la raison. L'espoir faisant vivre.

Passant mon temps à raccommoder le tissu de Pénélope que ses ennemis en éternel saccage de ses biens défont durant la nuit et son éternelle attente de l'éternel retour d'Ulysse. Pénélope. Toujours le mauvais rôle.

La Croix-Rouge, Amneststy International ou tout être salvateur et amoureux de l'acte humanitaire de bienfaisance, Zorro pour les enfants, appelé en dernier recours lors de l'agonie du sujet, récalcitrant, et se pointant enfin sur ces entrefaites, après la guerre qui fait rage, autant que l'on le leur a permis, dernier rouage innocent du système capitaliste du soin, de la création de ce besoin de récupération des gros dégâts physiques et mentaux bien laissés dans l'attente de se créer et d'apparaître, rapaces innocents encore de ce devoir de salvation inopinée et compensatrice des actes morbides de persécutions fascistes à l'encontre d'individus isolés par ces agissements, et réduits à l'ombre d'eux même, ces organismes feront les frais de l'envie de les crever. Car arrivés trop tard, et petits parvenus de ce fait.

Car parvenus à ne sauver, en fait et de ce fait, en jonglant avec les censures et pouvoirs, qu'après graves mutilations et dégradations corporelles en légion le plus souvent irréversibles chez la victime, lésions et plaies, infirmités non répertoriées sinon avec grandes difficultés et celle du parcours du combattant pour le faire reconnaître par la Cotorep, la société et les services médicaux, ceux-là, ces organismes, humanitaires, ou l'être salvateur, ne morfleront que pour tout le monde, sauvant activement des charniers et des charognes du monde entier la lie du système. Ou système de persécution jusqu'à la symptomatique schizophrène devenue défouloir de l'individu en l'individu et le plus souvent l'énergumène.

Me faire porter le chapeau de l'affaire si je la dénonce et l'ose, j'en travaillerais du chapeau. A épingles à chapeau. L'on s'en créerait même des problèmes de race quand la mienne doit rester celle de la caste des invalides et donc des intouchables. A lobotomies voire au laser bistouri. Le Père, Brès et ses bienfaiteurs restés eux inaccessibles inattaquables à intouchables par la loi, sous immunité de leur caste et par la justice qui refuse d'examiner en juste mesure de procédure les faits. leurs victimes occises, tabassées jusqu'au décès dans les violences de la maltraitance mortelle du fait de l'usage continuel de la torture, sous le silence administratif et le vide juridique qui la couvrent, ordinairement, autant qu'envers enfants martyrs mis à l'étouffoir, rebelles à la société dits malades pourtant adultes devant rester ineffablement infantiles et privés de leurs droits, mis en joue et visés en continu à bout portant des armes de ces méthodes, leurs droits spoliés, aliénés jusqu'à la déclaration d'aliénation pure et simple. Administrations les yeux fermés sur ces pratiques et méthodes.

.

Les portes des prisons s'ouvrent, je reprends les phénomènes de la violence, les lits d'hôpitaux se ferment, problème sarkoziste avec toute la complicité de la gauche, donc le mien, je ne sais par quelle logique d'État.

Faux problème communiste, faut-il donc psychiatriser la violence ainsi créée. Dans ce cas évitez d'envoyer toute la dose. Cause l'erreur thérapeutique, et la torture sur dossier.

Le tout étant parmi les organismes de soutien de la gauche, de s’entendre sur les modalités de sanction des contrevenants à la loi, criminels de la drogue et de l'alcoolisme pas systématiquement reconnus, de s'entendre sur les modalités donc également de traitement de la folie véritable si elle existe vraiment, sinon préfabriquée, sans que la loi ne tombe dans la sanction pénale lourde jusqu’à ‘lassassinat, les mesures connues ou inhérentes à tout dictat, de torture psychiatrique, sans rester dans la demi-mesure ni les extrêmes de la violence. Dans le devoir de réinventer la science psychiatrique en la ramenant à son objectif premier du siècle des Lumières, du 17° siècle. Freud ayant fondé son école, ne l’oublions, en 1905, durant la montée du nazisme en Allemagne.

Méthodes.Pratiquées jusqu’à ce que le corps du dissident lui soit son propre traître et le trahisse, Judas en soi, que son propre propriétaire ne puise plus garder sa confiance en lui. Possédé d’un corps animal traître et traître à sa patrie qui se retourne contre son maître dans la révolte du Maître et de l’Esclave, dans tous les tours et détours de sa et de la nature, dont celle du cancer, de la faiblesse, de la tare physique, le corps devenu prison individuelle portative, qui empêche, et lutte contre, la liberté de conscience et de pensée. Sport de milicien d'y parvenir en son ennemi.

L’art devenu méthode pédagogique du militant de gauche, après son rôle d’Art-thérapie, qui indigne encore nombre d’associations d’ouverture à la culture, la culture et l’Art en soi ni une pédagogie militante ni une thérapie sociale, mais une pratique qui doit se redéfinir et redéfinir son éthique et sa philosophie même, ce que je laisse à l’initiative de chaque artiste, s’il ne veut se concerter avec ses collègues et congénères.

Miliciens militant et agissant pour une société de la maladie, de la tare et de la défaillance mentale et/ou physique, contre tout combat humanitaire des associations et de la gauche, dont jusqu'au saltimbanque reste des écorchés, encore trop vifs. Pétés de matraques durant leur travail vécu manif ou leurs manifs.

Traités en morveux par la droite et l’extrême droite.

Par la Science et la Médecine, armée des armes de l’Etat, récitant ses messes latines issues de son déterminisme sémantique en latin de vieux papes de la Médecine, depuis que le dernier pape a voulu rétablir la messe en latin et que la messe en latin existe.

La culture, le savoir, la connaissance, l'intelligence bref, signes extérieurs de richesse de privilégiés, mis à l'amende et placé sous le handicap des chevaux gagnants du PMU, épinglés pour excès de vitesse intellectuelle donc mentale. Handicap opposé jusqu’à la lenteur de cerveau ou cerveau lent. Leur savoir ne devant se faire et régner que sous le signe de la souffrance et de la douleur du Christ, pour ce qui est artistes aussi, la Création un mystère de Dieu devant obéir aux mêmes lois de la Création de la Femme, qui n'enfantera que dans la douleur, du Christ idem. Et le martyre du prophète, autrement dit, le poète visionnaire autant que Jules Vernes. Tout travail en ce sens là décrété mission schizophrène.

Le travail je l’ai déjà bien dit, devant obligatoirement être issu d’un corps qui se force à ce travail qui doit s’exécuter dans la plus grande pénibilité de son cas, corps de travailleur fille forcée de lui-même dans l’auto-viol conditionné par l’appât du gain instillé d’un patronat proxénète, et tournant en rond tel rat savant un rien rat des champs dans sa roue de hamster doré en cage pas toujours dorée, image des tee-shirt de l’affaire Cleastrem, voir site mentionné de la préface. Le dit rat ou surmulot transformé pour l'occasion en véritable Scrat ou rat de l'Age des Glaces, le film d'animation. Véridique; d'ailleurs toujours à la recherche, obnubilatoire, le rat en question, de son gland, en fait son véritable travail.

Le dit travail en fait, ne doit selon l’éthique réellement marxiste, que se résumer à l’expression d‘un don et l’étude qui le permet en vie, en la production de ces deux sources de productivité. Les nazis ayant raflé l‘usage du mot Travail, lui ajoutant une consonnance d’obligation du Service (ou sévice) du Travail Obligatoire ou STO, ce que la France a du mal à oublier. Mémoire....

L’attitude fasciste de le Pen envers le travail récupérée, reprise en chœur par la gauche et l’extrême gauche ; qui peut se flatter de la récupération des idées et idéaux de la gauche par l’extrême droite…

Il fallait dans les cas de violences à domicile et conjugales, que patiente l'on meure sous les coups pour des délais requis de justice. Matériel de persuasion et appareils de dissuasion, matériel de guerre en préparation, faits d'armes.

Bats ta femme elle saura toujours pourquoi si tu ne le sais pas, par ailleurs les femmes battues ne sentent même pas la douleur quand elle est paroxysmique c'est pourquoi elles crient et c'est pourquoi on les bat, on leur colle un gros neuroleptique genre Nausinan en plus du myorelaxant pour leurs contractures et contusions dues aux soins, et coutures, pour les détendre et que la souffrance causée par leur douleur quand on les bat, imaginaire à psychotique elles ne la ressentent que trop fortement, sauf autre origine de la douleur, si quelque antalgique y fait et suffit, si elles ne sont pas tant coupables de sensations hallucinatoires parfois très douloureuses face au mâle. Quand elles se le prennent dans tous les coins, de mâchoire et de tous les systèmes, même urinaire. Pavillon psychiatrique des femmes battues, décrétées psychoses voire dangereuses et traitées en conséquence. Dans les mœurs précitées. Plutôt que le foyer, à un moment où ils étaient et restent inexistants.

Raquet destiné à ce que je rédige, décrire, explique narre et récite thèses et essais, études reprises d'interne en interne ou étudiant, de lettres, sciences, philosophie et sciences humaines, certainement de l'UNi ou de groupuscules Maoïstes, venus en inspecteurs dits stagiaires, anonymes, dans les étages inférieurs et supérieurs, autour de mon logement, en plus de la limonade qu'on leur sert, épier mes récits et pensées secrètes. Via l'électrode ou par l'artéfact des instruments décrits dans ce livre, servant de groupe électrogène ou poste à soudure à faire cracher la vérité sur sa mère à n'importe quel beur ou beurette, pour mon grand malheur je n'en suis pas et le paye cher du prix des sévices de la chair. Mes plaintes et plaidoyers que je rédige également, leur servant, quand je les formule sous les coups et blessures, constants, intoxicants de douleur, de souffrance mentale, de thèse à reprendre pour l'usufruit qu'ils en auront, qui leur rapportera diplômes et richesses, à mon grand dam. Travail d'esclave en esclavage rémunéré uniquement de coups, plaies internes brûlures et blessures que je leur dois.

Matériel non conventionnel non déclaré, ni officiel, faisant accroire à la démence le plus souvent schizophrène à paranoïaque si décrite, rapportée et cernée. matériel de guerre tu dans les dossiers de patients opérés encore récemment autant que cela m'aura été commis, du cerveau, ou des organes affectés par ces appareils, à fort rayonnement, histoire d'en transformer un de trop en gros con, à tronche et gueule cassée de l'emploi, hure de vieux sanglier renfrognée, de vieille patate rassie encore trop jeune, au cerveau de patate chaude, pastèque et dangereux, bouffi et obèse, dit qu'on le lui veut, le plus souvent rachitique en ruine et miné quand il ne prend ses médicaments, à faire dire de lui mais qu'est ce qu'on lui a fait, mais le résultat si on l'interroge n'est crédible, parfois anorexique, se dit immolé, par le feu, ou celui du brûle gueule, obnubilé par le calorifère et le four dans grille-pain parfois dans les fesses, antisémite ou pro-sioniste, c'est selon, et agresso quand il dit qu'on le bat,irritable, parfois très dépressif, passage mélancolique à l'appui, alcoolique et expert en crise de nerfs caféinés, maniaque des toxicos et des toxiques, disant qu'il n'en prend, obsédé des machines, objets et engins, mécaniques ou non, je vous je que c'est vrai, indécrottable de sa maladie, parfois il hiberne, à l'asile de temps en temps, il le lui faut, les électrochocs à distance parfois il en parle, se dit persécuté, parfois en courroux inextinguible, à irrépressible, à vous mettre son coup de poing sur la gueugueule, ha vrai, infect sale et méprisant , poilu délirant et imaginatif sans fin tant qu'il fume son tabac, qui le tue, incohérent absurde et aberrant à non crédible ou trop imaginative, obsédé(e) par l'abstinence, se dit misanthrope, et toujours entre chien et loups, possédé de la patate chaude quand il est chez lui ou elle, toujours avec son sac, qu'on ne le, la bat avec les mains armées d'appareils de soin, diffamatoire et de ce fait en infamie, stakhanoviste de temps en temps à hyperactive ou simplement flémarde, agressant son psychiatre et bête hurlante à ses heures, ours des cavernes quand on les visite. Il, elle, a parfois quelque petit truc à rajouter. Si, il est pour le club des premiers nudistes à oser affirmer qu'ils en sont.

Dixit le sergent, via la famille, l'UDAF, organisme gestionnaire de ses biens et revenus, le psychiatre et les amis... Qu'il affirme ne pas reconnaître et être ses ennemis. Mais on n'en rajouterait. Les parents les pauvres. Le père entre autres lui tenant le timon. Une brute et le Brès une brêle.

Bref une peccadille, les vrais manants de Voltaire, spectre des vieux intellos déchus, anges devenus démons de par l'entremise de la maladie ainsi acquise ou tant défrayée autour d'eux. Ces dits schizophrènes, pour leur cas, correspondant à tous les ces critères nazis du caryotype bien caricatural SS antisémite du Handicapé auquel doit correspondre la parfaite apparence de réalité de cette démence. Sinon sa plus stricte réalité, devant le rester. Critères devenus socialement une drogue. Bref, pour se faire valoir, dire je ne suis ni schizo ni mongoloïde. Mais dite et déclarée telle. Bref, mémé, il la battait, l’abattait, nerveusement comme à coup de flingue, et de cachetons. Petit centaure de signe transformé à longueur de temps en cheval de cirque, le mors dans la barre de la mâchoire, et la bride tenue serrée au chanfrein. Dans le trip du légionnaire. L’implant destiné à lui faire signe, d’avertissement, qui fait signe à longueur de temps, atrocement, pendant il signe, le cheval petit blanc qui moura tué exécuté net dans son printemps.

Et quand ils s'en font une patate chaude de mon cas pour leur tête de patate pour une chaude pisse de plus que j'aurais attrapée de leurs visites et basses œuvres, c'est à moi que l'on ablat la patate, chaude ou servie en repas froid, qu'ils reçoivent cinq sur cinq ces voisins, avec l'affirmation que la moindre vibration d’amour ou de pensée chez moi est cénesthésie, qu'ils ressentent tout autant.

En plus certainement de la condition par l'entremise des électrodes, constantes, de femme battue, ce n’est pas une condition à admettre même en pavillon ni surtout disciplinaire, douleur, souffrance qu'ils ne perçoivent pas. Le plus souvent causée à des fins personnelles et concurrentielles, si ce n'est tant donc ça la libre concurrence, de par ce racket. Concurrence permise et tolérée, intolérence jusqu'à l'ablation de l'utérus pour fibrome avec bébé ou embryon dedans. Dans des scandales privés et publics à vous en arracher tripes et boyaux à procédures illicites rapportées selon les voix de la Pucelle d'Orléans.

A ne soigner que du Synthol pour les froissages de muscles et de ligaments. Certains malintentionnés croyant que pour l'aider à rédiger ses écritures, il fallait faire sauter la cervelle à l'écrivain. Ingérence qui l'avancera.

Elle a fait un de ces trucs, de fou.
Mais elle est un peu spéciale.
Libertine, tu veux dire ?
Aie.
Particulière, donc.

Ils peuvent ces médecins et médics vous fourrer, vous foutre le doigt si cela se trouve encore dans le corps humain, à moins que l'on ne vous l'ait ablavé, histoire d'esclave, de la connerie ambiante, dans l'ampoule anale pour vérifier si vous souffrez d'hémorroïdes, au cas où elles exploseraient à vous achever, lors de la séance de narcose, ou électrodes, s'ils veulent bien vous vous faire sauter la cervelle un rien, ces gentils médecins, mais vous pouvez tout de même bien leur faire confiance, ou vous la griller totalement jusqu'à l'exécution capitale partielle ou totale, parfois jusqu'au tabès du système nerveux et musculaire ce qui est déjà ça mais un rien selon les préceptes médicaux, cela pouvant être toujours plus grave, la méthode c'est selon, histoire de vous damner d'avantage pour vos meurs dilapidatoires et diffamatoires envers le souvenir qu'ils ont de vous, et pour ce que l'on raconte sur vous même. Et c’est bien encore que l’on vous palpe, hein, sans quoi vos hémorroïdes, elles pouvaient exploser. Si ça n’est qu’un problème esthétique, uniquement.

Libre accès au soin de se faire lobotomiser, dans tout l'art du kamazoutra médical.

Viols en séries par actes répétés de tortures mutilatoires dans le cerveau et son système nerveux. jusqu'à acquisition du masochisme voulu

Jusqu’à acquisition du masochisme voulu y compris jusqu’à chez certains patients la venue de la coprophagie autistique tant désirée de leurs médecins, la confection complète de la symptomatique parfaite de .l’autisme, de l’anormalité, de l’oligophrénie, bref, de l’arriération totale et absolue. Ou coup monté tant décrié des schizophrènes.

FRAPPE CHIRURGICALE, CHIRURGIE EXPERIMENTALE.

Le café concert commence demain.

Pour ce qui est du gros révisionnisme bien relou, la torture électrique ou issue d'instruments pouvant y être assimilés, infligée ou subie, relève d'une forme excentrique le plus souvent de paresthésie dite hallucinatoire dans la plupart des cas, ou sensations anormales du corps, cénesthésiques depuis l'avis des psys et l'existence de la psychiatrie, fréquente chez les femmes quand on les viole ou les bat, relevant donc, ces sensations, du plaisir ou de la douleur parfois paroxysmique chez le sujet, parfois infantile, d'un vécu sans réel objet, dit non fondé. Une sensation corporelle intérieure du corps, due à une maladie relationnelle, avec un bourreau de façon certaine comme un yaourt avec les fruits, mais cela n'est pas dit. Bref, un vécu mal assimilé en résurgence commotionnelle au niveau du ressenti non fondé des sens. Ou hallucination sensorielle, dite cénesthésique. Vécu traumatique ressenti du cerveau émotionnel, à moins d'un gros défaut de raisonnement. Et cela on vous le fera sentir.

Cela commence par un trou de mémoire causé par barbituriques en cures obligatoires à prendre de soi-même ou, et finit toujours ainsi, en début de maladie d'Alzheimer suite aux évènements sociaux ou jours de service.

A électrocuter Molière condamné au lumpen-prolétarisme et l'accentuation requise autant que saltimbanque sur la place publique par nos molossoïdes pour ses Femmes savantes avec l'ave du Pater, et un barbonné Antonin, Artaud de son vrai nom, encore cerné de matons mâtinés de voisinages impétueux à sérieusement pour la formule du couvent, mais à domicile, de formule irlandaise, bordel rouge noir, israélite si vous ne vous le voulez pakistanais, ou russe. de toute façon, tant espéré des marxistes, Gong. Fin de l'application intellectuicide.

Soviétisation contrainte et forcée d’une science médicale, d'obédience communiste aussi antisémite que l'arianisme fasciste, la médecine psychiatrique, au nom d’une récupération de ses services par la pratique de la torture médicale et psychiatrique, entre autres l’infliction de la chimie, ou torture chimique avec emmaillotage chimique ou camisole médicamenteuse constante et décidée à vie, faits dénoncés par Amnesty International dans ses carnets, torture aux médications archaïques causant plus de troubles et effets pervers à la maladie que sa guérison pure et simple que certains attendent toujours avec leur rédemption.

Plutôt que de travailler à aller sur mars et la lune, la science politique aurait mieux fait de s’intéresser de plus près aux traitements de ses exclus et fichés, ce qui aura été fait, par le cobayage médicamenteux pratiqué sur étudiants affamés en mal de job à l’année moins sous-payé que d’ordinaire, autrement dit, procédé de l’Inde, quitte pour eux à y laisser la vie dans l’expérience. Je le dit au risque et détriment de leur vie, poussés à cette dernière extrémité par les tortures citées, les droits de l’homme bafoués.


Désinformation capitaliste autant qu’anciennement nazie, contre culture contre la censure et les pratiques citées, la propagande d’Etat envers cette folie indigne de ce siècle, la barbarie médicalisée, la torture médicale et ses procédés, le monde capitaliste l’ayant récupéré à son escient, sans ambages, dans une pernition implacable et qu’il veut sans réplique, noyée dans la vie courante d’une ville qui renie ses sources, ses origines carabines protestantes, niant jusqu’aux vérités fondamentales,
entre autres que la terre est ronde et certifiant qu’elle est plate, je ne sais plus si c’est Copernic ou Galilée qui a commis la faute, mais cela doit être la mienne donc je paierai, et immolant Jérémie dans l’Apocalypse selon Saint jean, de ses derniers jours.

Psychiatrie niant pour plus de confort les faits de la réalité, démagogue à souhait, Science au départ aujourd’hui pratique politique de coercition et de pogrom, de génocide eugéniste envers une partie de l'humanité, la population contestataire, ou science toujours aussi empirique, aléatoire et basée sur l’évaluation arbitraire.

Livre mémorial à un peule de disparus disparus selon la loi des disparitions, avec le plus souvent consentement des familles, malades et patients inconnus dont le corps reste anonyme autant que celui d’artistes de camps Mao.

Circulaire dans bureau médical de pavillon psy avertissant sainement qu’il ne fallait se débarrasser des corps des morts et décédés de l’hôpital psychiatrique de Montpellier à la décharge d’ordures de Gramont, lieu-dit réhabilité récemment. A proximité de l’actuel funérarium autrement dit, lieu de crémation des cadavres. Un peu mieux que la fosse.

L'hôpital et les services administratifs, l'hôpital un service administratif du moins fonctionnaire en lui-même, ne dispensant leurs services qu'auprès de privilégiés adeptes de leur politique.

Sans quoi les génies et surdoués de la question sensible de l'existence sur terre du système capitaliste impérialiste et de ses organes de répression administratif tels ceux de la psychiatrie, passent du génie et de ses acquis à la débilité la plus profonde en moins d'une heure d'hospitalisation tant les tortures médicales psychiatrique qui s'y protègent sont à ce point puissantes dégradantes atroces et terribles dans les lois de l’exaction et de la bavure médicales et policières.

France où l'on écorche les noms propres le français et les citoyens de leur nom, dans les élans du fandango de la cucaracha et de la Pucelle Noire à châtier, la galopine, lépreuse de la lèpre commune aux crécelles brodequins écrouelles et martingales pour sauver les marrons du feu en cas de grabuge, à la maison, plis creusé de la grabèle au bistouri laser de préférence, dans les zones, cérébrales, du front, entre les deux sinus, à causer l'euthanasie, si en France elle est déjà passée, j'ai dû louper les infos. Mourir, décéder. De l'électrode fatale entre les deux yeux des veaux, de préférence vous, autant que chez tous les veaux. En plus de l'escarbille fatale. Selon les jours d'écorchage.

L'être civique dans son action au sein de la société selon donc son langage, représentant l'asexualité typiquement schizoïde, point de suture à l'appui, longuement maintenu jusqu'à l'apocalypse, dans le sourcil droit. En son mitan. Egalement. Et son extrémité cérébrale droite je n'en peux plus ouf.

Faire jouir Sainte Éloïse de l'électrode de sœur Artémise, celle du dessus. Sinon ça fait mal.
Et là on ne peut pas dire qu'elle aura paré à tous les coups, Iphigénie.

La neutralité sexuelle civique considérée schizophrène.

Je suis un être civique et le revendique. C'est mon positionnement. Ou acculement au suicide notoire.

Donc, je suis schizophrène, ha. Charlemagne je crois aussi est mort à la tâche de ce pain là.

Je dois être et dois certainement le rester, une grande pédagogue. Passez-moi l'Atropine, Sécotine.

Que voulez, tous ici-bas ou à peu près fument le dictame de Crête et de Syracuse.

Je fuis l'enseignement.

Lâchez Kiki, il ne vous a rien fait.

Je ne suis pour l'anti psychiatrie qu'envers la forme de psychiatrie qui règne actuellement, et a toujours été. Créatrice à la chaîne de toutes pièces de grands enfants, et grande consommatrice de leur silence, de leur corps, de leur vie. Remplaçant la critique par la volonté, espérer faisant mieux que désespérer.

Un corps ne pouvant en remplacer un autre. Par contre un clou pouvant en chasser un autre, jusqu'à la fin du corps.

La philosophie ne devant être que l'art de se faire assassiner pour ses libertés. Ou rester poète et philosophe quand cela doit être et rester votre métier, ou le métier d'handicapé, invalide désormais, après tout ce travail inutile de résistance. Sous les instruments d'Hypokhâgne, de la Faculté de Sciences et celle de Lettres Paul Valéry en premier lieu, par la force des choses si cela se trouve, Vintimille. Ou Moi-même. A devoir le devoir de posséder leur tête de patate, chaude, militantisme des patates. En guerre.

Quand on vos cogne au moins vous Khâgnez.

J'ai n'ai pas besoin de me droguer ni de me shooter pour avoir des idées.

C'est le coup du Scrat.

Viols, espionnage constant et maintenance à main armée, recel d'armes non conventionnelles sans port d'arme et trafic d’armes, issues du trafic de drogue de la prostitution et du proxénétisme, ingérence dans la vie privée, torture, torture médicale, maltraitance, barbarie et actes de cruauté, voire crimes contre l'humanité, tentatives réitérées d'assassinat, actes de proxénétisme, sévices, voies de fait, coups et blessures, violences aggravées en collège groupements et réunion en vue d'expérimentations scientifiques. Effets de procédures illicites, détournements de lois, exercice illicite de la médecine, expérimentation sauvage, association de malfaiteurs, corruption de fonctionnaires et racket dans le but de prostituer, expéditions punitives, effet de bureaucratie soviétique, nazie et de secte, etc. Ce que l’on peut en retenir, en cas de main courante ante-décès auprès des commissariats avant de se lâcher et que l’on vous appelle le médecin de la police, justice dans certains de ces cas, impraticable, voir articles de la Déclaration Unverselle des Droits de l'Homme.

Les Libertés ne se gagnant dans cet éternel combat contre la récession des acquis de la gauche, l'éradication pure et simple de ceux hérités de mai 68, et l'interdit des libertés réduites à la peau de chagrin n'en faites une mélancolie, qu’au détriment de la vie et au prix de la mort, sachant que les libertés ne sont que les droits individuels autrement dits libertés individuelles, à reconquérir sous peine de graves représailles entre autres le placement d’office en cas de démission ou de faiblesse d'individus face aux répressions, ou de trop de rébellion, combat de reconquête qui en sera également la cause première certaine. Les droits garantissant les libertés individuelles respectés uniquement dans la position capitaliste de respecter la reproduction des forces de travail et uniquement dans ce but là si ce droit là seulement, respecté et non enfreint.

Le travail du STO actuel destiné à reconquérir ces droits inaliénables du pouvoir, interdits et répressions par les droits que prend la Raison d'État en ce cas, à bien stigmatiser que le droit aux libertés individuelles n'a à résider dans le code civil qu'en tant que récompense du travail fourni dans l'effort et la peine au détriment de la vie, l'usufruit des droits acquis nié, renié dans un éternel retour des répressions, afin que se poursuive le STO. le PO (placement d'office) destiné lui à bien faire respecter ce genre de système de pratiques. et de morale de camp de travail de quelque fascisme qu'il soit. Le travail au détriment de la vie et de la santé, ne serait-ce que celui pour tout individu de rétablir les droits individuels niés, de rebelle au système.

Dans l’incapacité de tenir un raisonnement adverse au système de répression contre toute personne non sous influence ne serait-ce que du panurgisme nouvel instinct grégaire depuis Rabelais, cf. Le film Femme sous influence, les traitements neuroleptiques causes de la faiblesse d’esprit et victimes ainsi d’esprit facilement influençable, jusqu’à acquisition du peu de caractère tant reproché aux prétendus malades mentaux, personnes qui se sont heurtées à ce rempart du gros matos de l’expérimentation neurochirurgicale sauvage à domicile dans l’ingérence totale totalitaire et absolue destinée à contrer toute critique. Contrainte à subir sans un reproche toléré ni permis jusqu’à l’acquisition certaine de l’épilepsie ou de la maladie d’Alzheimer, l’oligophrénie ou autre, traitements, mauvais traitements, tortures et sévices simulant chez le sujet les faits de la cachexie, catatonie, anorexie, spasmophilie, idées suicidaires et mélancolie, déclenchement de l'effet de névrose par le fait névrosant, neurasthénie, psychasténie, et autres psychoses à névroses préfabriquées de briques et de broques au départ, d'interventions quotidiennes neurologiques et neurochirurgicales si résistance du sujet aux méthodes employées, neutralisant à vie des vies de luttes underground au vu et au su de chacun. Pour résumer.

Les administrations cela se conçoit rebelles à toute intervention sur le terrain destinée à vérifier ne serait-ce que la présence de ces armes illicites en possession illégale (pour nier l'existence de cet armement de guere froide issu probablement du trafic d'armes actuel cautionné et introduit sur le territoire français par Charles Pasqua), au domicile des contrevenants quand trop agressifs, dits et déclarés officiellement braves gens, sains d'esprit tant qu'ils ne boivent pas je crois leur vodka dans un verre à pied. Peut-être par strict dénuement de verres à vodka ils le feraient, mais cela n'est pas signalé. Laxisme des autorités destiné lui à faire semblant de soigner pour se donner ad vitam gros boulot, dit sain, de contenancement perpétuel des tentatives quotidiennes de meurtres dues à l'usage répétitif de ces armements de poing de main de contrevenants fichés et travail, pour leur famille entière, relations et collègues estimés en sous-effectif. Administrations pénitentiaires juridiques et médicales impliquées ne vivant que pour elles même, en cercle fermé ou corporatisme.

Ou la soixantaine d'années depuis les années 45 à 50, de guerre froide.

Jusqu'à l'épidémie concertée préméditée de cancers du sein surtout droit chez ces dames, (les statistiques manquent), fières Amazones d'avoir tant défendu leurs libertés, parfois celles protégeant vices et déviances, qui leur sein ablavé se retrouvent brutalement une santé. Travaillent crèvent et finissent de crever pour la patrie après avoir travaillé jusqu'à la table d'opération. si ainsi que moi-même je l'aurai été, elles n'ont été opérées de quelconque façon que ce soit sur leur chaise et lieu de travail, antécédemment à toute opération bien officielle. Cancéreuses bizarrement pour je le répète la plupart du sein droit, pour certainement avoir eu voulu tirer à gauche, à l'arc, de leurs flèches.

Décidément, je vous le dis, je tirais et tire toujours à gauche, centaure de naissance devant être promise au buste plat du cavalier. Qui lui tire en biais, mais dans les parties d'échecs.

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Ceci jusqu’à la plaie grave, encore heureux que la plupart du temps il y ait anesthésiques, l’éventration, l’ouverture de crâne ou l’ablation d’organe tant qu’il n’est pas vital, et même parfois d’organe vital, passant auprès des autorités et de la population pour une peccadille du moment de l’existence des anesthésiques, le tout étant de reconnaître, tout de même la gravité de plaies identiques, chez individu je l’ai dit déjà sans anesthésiques, gisant sur le bord de route, après accident de circulation, attendant les urgences dans la douleur profonde, cela se conçoit. Là, peut-être il y a allégeance et l’individu en question ne repart pas travailler, du moins dans l’immédiat. Un cancer du sein de la gnognotte à coté de ce qui peut l’attendre et qui l’a attendu, tant qu’on ne lui fait pas bouffer son oreille après la lui avoir eu arrachée, et tant que ce n’était pas sa jambe, ou son bras qu’il a dû consommer dans partie de snurf improvisée ou préméditée, asiate ou autant que sur les côtes américaines, le refus de servir des autorités se fera sentir, clair et net, envers toute critique, si l’on a tant besoin d’elles et tant que l'on ne les aura appelés par soi-même…. Ne refusant de se déplacer sinon pour venir me chercher et devoir m'interner en pavillon psychiatrique. Ce qui suppose quelque travail préparatoire.

Permettez, ma jambe mon cerveau ou mon bras en partie dans la bouche que je me permette d'avoir quelques ennuis d'élocution, bien ou quelque peu schizophrènes. Après tout, hein, tant que je ne suis pas cannibale de mon propre foie.... Si, il y a eu un cas.


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