lundi 8 juin 2009

MÊME SERINGUE, CONTRE-CHANT

Crises de répréhensions. A vous faire prendre pour Jo le balafré pour le plan épervier qui vous poursuit avec assiduité depuis des années, à vous éclater le reste de cervelle qui en reste. Pour trop de pertinence du raisonnent prise pour impertinence. Désormais à implants à vieilles toupies et sauvages pour sauvageons et sauvageonnes de gauche. Comme on se les battrait et pour se les battre, pas uniquement dans la lutte idéologique, mais dans la lutte armée jusques dans les lutrins, et les gros coups de bâtons, de gégène, afin de vous désorganiser avant de vous désosser, gégène, policière et médicale, ou ses mouvements et artéfacts de postes à soudure, re. Afin de leur araser à ces handicapés de gauchistes, les zones frontales en cas de repousse de ces centres nerveux du cerveau. Qui réfléchissent. Ou zones frontales.

Parce que j'abordais de front le problème du front, et pas national, les services trouvant plus commode cette expérimentation non officielle, un sujet à handicaper de cet agissement, plutôt que se confiner en déplacements pour toujours venir me punir d'électrodes au moindre appel délateur mensonger ou non. Bref pour l'entreprise de la délation. Et plutôt que de venir simplement contrôler, constater les faits et sanctionner ou soigner en conséquence. Dans la prévention. Médicale.

N'agissant que sur le sens logique de l'erreur analphabète de français bien accablante envers la partie civile adverse. Ne militant que pour et par l'analphabétisme, car le langage universitaire n'atteint, ne désigne dans sa sémantique, que les vérités essentielles pour la plupart rituelles et issues des rites populaires à populaciers, de castes et de corporatisme, que recèle l'argot, de surcroît méditerranéen, qui atteint les milieux de l'enseignement et de pluriples administrations, policières également, le terme de cul un exemple, d'argot national chauvin, un cul propre restant un cul tout de même à odeur de cul de manant qui se fait botter le cul, donc sale. Question de discernement, sans quoi l'argot trivial de viol en gargote manquait à mon éducation, à ma connaissance dialectique des phénomènes sociaux. Dialecte barbouze de parties de chauffe moyenâgeuse qui avec la boite de sardines au beurre qui manquait à ma constitution mentale et physique, me faisait défaut. Tout dans les procédures d'internement ne se jouant qu'à un cheveu ou poil près de cela.

Le diplôme de la Licence de la licence pure pour certains malappris. Que penser des deux ou trois années d'études en école infirmière, qui n'aboutissent qu'à un langage peu châtié et une connaissance vénale des vices et sévices des plus scatologiques à châtiments rituels sado-masochistes, des étudiants au sortir de leur école d'hôtellerie ou de secrétariat plus polis érudits de toutes notion, d"une plus grande culture générale et plus avertis que ces bandes de fonctionnaires ripoux. Et faux infirmiers, ne possédant aucune notion ni connaissance d'anatomie ni aucun vocabulaire ni langage médical, ni scientifique. Certainement personnels administratifs et médicaux ripoux recrutés dans les milieux de la pègre. Affaire pire que celle des emplois fictifs.

Je pense pour vous Madame, et roulez bien, après votre verre de prétendues gouttes à base de pisse de WC de particuliers choisis pour ce fait et de matons de service, pisse ajoutée à de l'alcool à 90° assez soulante pour réduire vos capacités à lutter physiquement contre l'action du sperme, de semences, lubrifiants séminaux, et urines (ou gouttes) dont l'action sur le corps humain est encore à l'étude sur précisément les sujets de plaintes récurrentes à leur encontre, de délation de leur vie privée en profusion. Morceaux de prisonniers d'opinion de ce type lyophilisés réduits en poudre ajoutés à excipients au gout assez puissant pour signaler qu'ils peuvent causer tort à force d'ingestions forcée de ce produit, aux organismes désignés pour les absorber à hautes doses constantes. Excipients pouvant à la longue être mortels. La liste des ingrédients et formules chimiques, molécules constituant ces urines et leurs adjuvants dans les posologies n'y ajoutera que rien au fait que ces médicaments soient issus d'humeurs humaines. Infligées jusqu''à l'amnésie totale du problème, de la simple et seule critique envers le système répressionnaire de cette mafia de type russe et du capitalisme impérialiste.

Produits de lavage de fesses issus de pressage de vieux gants de toilette emplis d’eaux de rinçage, dans seringue ou verre versé dans le lait à prendre, ou injecté dans pack ou bouteille de lait fermée non encore entamée. Apprendre dument et sans discuter, en plus du neuroleptique à libération prolongée, qu’il contenait ou Semap, neuroleptique très dangereux pour la vie et la santé, car cancérigène tant cause de brûlures internes, externes ou dénommées érythèmes voire fessiers, bref, cause d’éreutophobie, et ce, jusqu’à l’apparition du carcinome malin ou cancer, voire même, le mélanome ou cancer de la peau..

Prozac, Théralyte, électrolytes ou traitements à base lithium, produit radioactif, irradiant gravement corps et cerveaux, micro-fracturant, tailladant les chairs abominablement de façon constante, jusqu'à l'apparition du carcinome, les tissus ne pouvant à la longue poursuivre leur cicatrisation, épuisés en cellules mères à la longue exterminées. Électrolytes prescrits en cas de soi-disant dépression, ou mélancolie. Tout antidépresseur, issu de molécules ou formules radioactives la France inondée de ces produits là au moindre trouble social, ou révolution sévère, nos français dépressent, traitements constitués de ces produits radioactifs, cause d'une épidémie de cancers sur le territoire national, cause d'une épidémie de cancers sur le territoire national, flétrissement et cassure de la peau, d’où la profusion de pommades calmantes des irritations voire douleurs en conséquence, sur le marché. Et en Occident, bientôt, dans les pays en voie de développement atteints des maux et viols en tous genres des dicatatures de l'occident commis sous la coupe de la psychiatrie .

Car dans ces cas de procédures très souvent à contumace, il se peut que vous fassiez vingt à trente ans, sinon le restant de votre vie sous pénalité, contrôle judiciaire et psychiatrique, pour le simple refus de la cour à vous laisser paraître et enter, du moins, plaider de façon officielle et en personne. contre toute arme dans ces moments là, rester désarmant de bonté contrainte et forcée. Quand à l'homme de pierre face à individus en armes qui me tirent dessus, je ne le ferai que dans le cercueil.

Si durant toutes ces années de guerre, les juifs, nouveaux juifs que représentent rebelles contestataires, résistants et malades mentaux n’auront pas été destinés au camp d’internement, lutte éternelle depuis la dernière guerre mondiale.

Armement nucléaire de faible et courte portée aux mains de la population, de ses délinquants et criminels, population prête à la guerre civile et propageant crimes, exactions, parfois mortelles (acceptées sous la dénomination de suicides, morts accidentelles voire naturelles) de ces armes de poing et de pointe, au nom d’une raison d’Etat qui fait dire que la Raison, je ne l’ai pas.

Cerveau frit. En chair à saucisse ou à canon, sucée ou cervelas. Pour faire plus et d'avantage saucisse frite allemande. Dans le grand chambardement nucléaire ou potin du peuple et de vieilles bien people. vous préparant votre corps tel celui de vestale à l'approche du Sultan qui s'offrira votre virginité dans le viol thérapeutique, après le rasage de près et le bain forcé assuré, pas uniquement linguistique.

Et ils acceptent quoi, en tant que preuves de la dure épreuve, qu’ils pourront tourner à mon encontre ?

Sans compter que l'on peut se heurter à la maladie de la mouche tsé-tsé au sein des administrations, au cas où un préfet ou sous préfet qui n'aurait fait son travail, ou bien un peu trop artiste l'aurait contractée, un trépan en plein front dûment attrapé l'on ne sait par quelle attention, pour lui apprendre le bon nerf du transept amputé, son HLA trépané dans l'hypothalamus, que le courant artiste n'a pas à passer tant d'un cerveau à l'autre. Quelle mouche l’aura piqué de passer à la télé le crâne ainsi fêlé, quitte à travailler d’arrache-pied comme un malade, mental, ensuite pour en rattraper les frais… Et confection au laser, à travers murs et plafonds, faisceaux en harcèlements sinon commandant implants du moins approchant de loin, et neuroleptiques, de la tête de gland au nez en forme de gland, sinon la tête carrée militaire d'officier de Saint-Cyr que j'ai toujours été aux yeux d emes défenseurs, inutile de sortir de Saint cyr pour se réaliser dans un métier. Le portrait refait.

S'il ne veut pas,le quelque préfet, quelques bougies qui le passent à l'éteignoir, à vouloir tant souffler sur les doigts de quelque petite fille aux allumettes de leur région qui leur en saurait trop long.

Pour dire autant que révisionnistes, que dans les camps de déportés il ne s'y passait en comparaison de cette dictature, que moins de ravages, la preuve en étant la présence encore sur terre de Simone Weil, et de quelques anciens déportés, si l'on peut à elle aussi lui demander de s'expliquer sue le pourquoi et le comment du fait qu'elle soit restée en vie de son camp d'internement. Et s'il ne serait pas une vue de l'esprit. Au grand détriment je le suppose de l'amant joli. Mata Hari.

En cela les révisionnistes ont peut-être quelque argument de véridique, sachant qu'il se produit plus sous la dictature actuelle mondiale et aussi française de crimes contre l'humanité que dans la dernière guerre mondiale.

Déplacements de populations en fonction de ces multiples pressions, répressions armées, autrement-dit exodes, dont celle des cerveaux français fuyant à l'étranger, craignant pour leur vie et leur survie, l'arme fatale braquée sur eux, ne voulant être récupérés par les pouvoirs de cette dictature planétaire devenue religion inquisitrice basée sur une torture médicale nouvelle forme de l'Inquisition et de la Gestapo, religion donc dictatoriale mondiale colonisant chaque pays la France y compris.

La parole d'un dit dément ne valant pas plus que propos d'enfant, ou mineur, éternels mineurs délinquants aux yeux de la justice qu'ils sont. Le trou un peu nerveux les jours d'injection et le muscle un rien rétif, à détendre et attendrir pour que cela lui rentre un peu plus dedans, dans le deo profundimus des sens secrets de l'enculement sous secret médical voire sur ordonnance et que l'on aime ça. Dans la position requise, de la sodomie masochiste du viol thérapeutique. Ils n'aiment pas les balances. Et salent les bananes parce qu'ils n'aiment pas les bananes salées.

Le problème étant et il doit rester le mien, si tant il en affecte de population, de l'infantilisation russe dans les domaines de la psychiatrie, contrefaisant l'analphabétisme obligatoire conduisant à l'appréciation de régression (des facultés mentales donc linguistiques) de quelque maladie que se soit bien mentale, infantilisation réduisant la qualité du langage médical et scientifique de ces personnels administratifs médicaux, à la simple détermination d'un dit mal dans le langage ordurier de barbouzes, le lieu commun populaire, le dialecte de rixe et d'altercation. Toute preuve de don ou de génie des êtres ainsi accablés réduite au niveau régressé du Cours préparatoire de l'enseignement primaire. Idée lumineuse de causer la régression mentale et physique des intellectuels de gauche, des militants de leur base, propagée par les populismes en cours et en vogue. Usant de la politique d'entreprise du CHR et des cliniques privées.

La République et la démocratie aux mains de l'Ennemi, encore et à nouveau.

Après la couronne d’Epines un peu penchée sur le béret qu’il fallait, la dite couronne m’est atterrie sur le nez pour qu’elle me pende au nez, après l’avoir eue implantée avec le béret toujours aussi penché autour de l’orifice, buccal, vaginal et anal. Pour vous suicider il vous en faut peu, je vous le dis. Renourrie sous peine de placement, pour rattraper la faute du Christ de s’être affamé sur son chemin de croix jusqu’à la consomption au vinaigre de vin, qui lui a servi de Surfarlène, le vinaigre de ses sept plaies d’Egypte limitant la soif, moi-même engraissée pour que son corps ne connaisse les maigreurs d’Ausweis.

Casserole qui me pend au dos pire que celles de Chirac, réduite face à cette fadaise à l'état d'abesse de pizza façon scalp d'écorché, autrement-dit lobotomisé, déjà écorchée depuis longtemps, ne serait-ce que par la séparation de la peau de mon corps des chairs, des kilos de cellulite pris en fonction des mauvais traitements et traitements nmédicaux. Ce qui se pratique mais avec introduction d'air entre la peau et la chair, chez les brebis et moutons pour les écorcher. Chez moi, cela se passe à vif, d'où les douleurs et souffrances dites pondérales. Jusqu'à la pommade, et la pensée dans la pommade, destinée à me calmer les nerfs mis à vif de tant de souffrances, douleurs endurées des tortures subies.

Inspecteurs, psychiatres s’assimilant à la fonction de policier, tirant dans le tas et la foule, peuplant les lits d’hôpitaux et cliniques privées, de cette population de victimes de criminels en bandes armées et clans, le roulement des lits d’hôpitaux destiné à les accueillir ces victimes damnées, au nom d'une plus grande démocratisation de cet accueil et de l'accès au soin qui là devient plus qu'un droit, obligatoire, sinon devenu nécesaire, il ne fallait, ces lits, les destiner toujours aux mêmes individus, leur fermeture commise en vue d’une plus grande complaisance envers ce faux semblant d’humanité, faire accroire à un manque de clientèle, comme par hasard, cruel zazard, et faire mentir les chiffres sur les alités, quand le pays croule sous le poids des estropiés de ces luttes intestines. Qui désormais ne seront plus soignés et cognés à domicile que dans leur milieu qui les a tant décimés depuis Trieste. Manoeuvres.

Cassant des bras pour les dire cassés et faire semblant de les réparer, affectant de lésions corporelles constantes jusqu'à des nerfs de l'élocution, des personnes répressées pour leur finesse comportementale et d'esprit dans le but de faire accroire aux faits de la maladie, rendant prognathe par pur punissement de la critique s'il le faut pour constater l'état de prognathisme, de type mongoloïde, prétendant ensuite régler le léger problème.

Si je souffre tant de diplomatie c'est que je souffre de maladie plénipotentiaire. Et cela ne saurait suffire;

Cela se présente comme une pension d'invalidité qui m'est tant depuis mes jeunes années, années 80, revendiquée, à titre de dédommagement de la société pour le mal complet qui m'aura été fait, par celle dans laquelle je vivais et avais vécu depuis ma naissance, mais aucun dédommagement devant me rester gratuit, je n'aurai qu'à le mériter et même par la suite des opérations, le gagner dans la Douleur du Christ à la sueur de mon front et pas seulement à la force du poignet, sinon par celle de ces gens en armes. Sic.

Sachant qu'une frite peut être aussi dangereuse qu'une cigarette, les agents de saveur et adjuvants destinés à les rendre soit-disant plus consommables, en fait destinés, drogue certaine ou alcaloïdes, à créer l'accoutumance jusqu'à l'overdose de ces produits de consommation courante, le prix du paquet de cigarettes placé au prix du caviar de la gauche caviar qui fume aujourd'hui sa dernière cigarette du résistant condamné à sa fin prochaine, que penser de l'assiette de frites, qui lorsque elles ne sont belges à vous en rendre folle, proviennent de chez Mac Kain. jusqu'à la moindre consommation, emplie de ces produits chimiques destinés à accoutumer à une plus grande consommaion de ces aliments à adjuvants, jusqu'à l'overdose du porte monnaie et un accroissement de l'obésité dans la population mondiale. Ne serait-ce que causée par le béribéri dû au rafinement trop poussé des farines, de Mr jean Valnet, ancien militaire et médecin hospitlaiers des temps reculés dela guerre dIndochine, soignez vous par les aliments ou je me trompe peut-être, mais c'est bien encore lui qui avait la raison...

L'on s'entre-flicque en attendant la fin du monde dans la peur du gendarme. qui ne vérifie pas que le trou de mémoire ni celui de la Sécu il aura causé mais l'orifice en question et donc ce que l'on en fait, le jour de l'injection, cela ordiné et provenant de haut.

J'avais la curieuse manie de proférer à haute voix mes confidences sur l'oreiller, et de ne tolérer rien d'autre permettez dans ce cas que je repose ma tête sur autre chose qu'un billot de bois.

N'ayant droit de ma libre opinion et conscience tranquille à l'usage ni emploi de la loi du Talion ou Droit Régalien, ni à l'usage envers autrui des pénalités judiciaires en cours de nos jours, ni aux mesures de répression psychiatrique signifiant les méthodes totalitaires de la torture médicale, ni le droit de faire justice par soi même, le Dr Brès Robert ayant calculé en collaboration avec ses émules et acolytes et la complicité de la famille, le droit de par ces méthodes auxquelles moi j'avais le devoir de me confronter, et qui me revenaient, de me contrer dans les arguments de mon opinion jusqu'au point ultime de la cancérisation. Bref, ayant choisi l'élimination physique pure et simple, avec celle de l'affaire, il triomphe ainsi, n'attendant que mon décès après ce type d'exécution sommaire, me laissant dans la lente agonie promise. dans des traitements subsidiaires à ceux qu'il espérait et qu'il m'inflige encore en surcroit de ceux que m'impose mon médecin officiel. Si je résistais à la mort subite.

Essayez par la suite, du beau langage résiduel spontané qu'il vous reste après maintes et maintes opérations du système nerveux encore en service, à un policier ou deux armés, que vous êtes une vache à lait que l'on cogne et enflicque pour lui avoir une tête de veau et des pieds de porc.... Au nom d'une politique sécuritaire du CHU.

Les personnes en crise traités à domicile au grand dam de leurs entourages, voisinages et familles, empoisonnés jusqu'au handicap de ce fait d'arme là, jusqu'à ce que les personnes malades traitées ne réclament d'elles même que le placement libre, en pavillon psychiatrique, une fois guéries de cette phase.

Aidez vous le ciel vous aidera et se cherchera d’exaucer vos vœux et rêves, ne faites pas trop de cauchemars, dira Amnesty International à la camarde antipopulaire que je suis, bref anti-tout comme anti-toux quand Tonton tousse.…. Et qu’il se fait un mal de chien quand on lui tire résolument dans la prostate.

Tout individu doué de raison placé à l'asile psychiatrique et traité pour sa raison humaine à vie, poussé à bout puis à la démence véritable d'opérations, tortures physiques et mentales associées constantes.

.Après la planche en fer la langue de bois et le chèque en béton armé sinon en bois parce qu'ils visent au porte-monnaie, la planche en bois.

Corps de torturés assassinés laissés sans autopsie, incinérés par destruction de preuves au cas où la médecine légiste pourraient les faire parler post-mortem pouvant déterminer parties de snurf électrodes parties sur ces victimes de banquets à mille feuilles treize à table à Cènes de ménage les jours de fête et repos dominicaux, avec aréopage d'infirmiers et psychiatres patentés,en état de haine envers les idées claires, y voyant délire hallucinatoire satanique et acte de divination extralucide tant lucide présents dans le devoir vous amputer les 390 pages de votre dernière plainte. Lobotomies destinées à réséquer la partie civile en question, lobotomies pratiquées sur procédures illicites jusqu'à domicile, sur faux en écritures et faux en justice diffamatoires et infamantes.de la plus grande ignorance privilégiés par la discrimination positive socialiste et humanitaire envers l'illettrisme, privilège récupéré par l'extrême droite, cultivant l'ignorance, mais je pense pour vous, si vous n'y aviez pas pensé en à ça..

Les juges d’instruction ne retraçant dans un style plus simplissime que le raisonnement clair et net des personnes incriminées, si le travail des juges si litige reconnu, en manque d’érudition total du langage judicaire ne se résumant qu’au travail que leur mâche les intervenants, le juge chargé seulement de débrouiller l’affaire toujours très embrouillée, cause la médisance, la malfaisance, la criminalité, les procédés affabulatoires etc. tout résidant dans le ect. Le seul jugement d’un juge se résumant à la clarté de son raisonnement. Le véritable travail de justice revenant à certains acteurs de la médecine, qui eux, résistent et tiennent le bon bout.

Personnes démentes et folles dangereuses, armées et rendues plus folles dangereuses de l'utilitarisme envers cet armement d'infanterie nuclaire légère récupéré de l'armée et des tenchnologies nouvelles, fourni de mains de personnels médicaux, les médecins en question le niant, attendant que l’état de criminalité de leurs patients dégénère, les poussant au meurtre et aux crimes contre l’humanité, exactions de type policier et psychiatrique, d’état policier, prétextant une fois leur forfait accompli dans chacun des buts envers une victime de leur manoeuvre, l’état de dangerosité de ses agresseurs et le devoir de les opérer du cerveau, bref, de lobotomiser la victime ensuite, avec ouverture de l'os ou pas, soit par acte neurologique soit par neurochirurgie. Dans les viols dénoncés par Reiser et Chagal. Tout de Reiser façon psychiatrique.

Le budget entier que l’Etat alloué aux secteurs psychiatriques passé dans l’armement de ces secteurs, d’armes d’une nouvelle convention, et d’un nouvel ordre, et de technologie nouvelle, destinées à faire accroire aux faits de maladies, dénommées longtemps les faits et possessions de Satan, en fait imaginaires sinon préfabriquées des mutilations pratiquées de façon constante avec cet armement, employé dans des procédures illicites comportant tous les vices de forme des procès des sorcières de Salem, du procès du Jugement Dernier, celui de Nuremberg, de la Pucelle d’Orléans et de Kafka.

Escadrons volants de psys et psychiatres, venus spécialement examiner de près l’affaire, séduits par mon argumentaire moratoire, mon moratoire argumentaire les induisant à la séduction qu’il leur inspire, le devoir d’acheter ma fiabilité éthique en et de me débarrasser de ce fait des ennemis qui troublaient ma vie privée et l’ordre public autour de ma personne, proposant de les lobotomiser. Quand mon combat essentiel porte précisément sur le de devoir de lutter pour l’abolition de ce principe et de cette pratique abominable et inhumaine de la torture en France et en Occident. Positionnée, acculée à ce combat depuis ma naissance, en tant que victime du conflit national, par l’infliction sur moi-même de ces méthodes.

Perquisitions de jour et de nuit, à mes domiciles successifs, exécutées sur l’ordre (rapporté) du père, de ses amis et relations de la famille, prétendus mes amis, en fait, des ripoux très corrompus à la cause du père et des agissements en question en forçant ma porte, dans le but de contrôler mon comportement, mes idées dites préconçues donc coupables, décrétées délirantes de ce fait, sans se faire voir de moi, s’introduisant à pas de loup et discrètement, me chloroformant profitant de mon manque de vigilance du aux traitements médicamenteux, et profitant du moindre de mes dos tournés, pour m’infliger injections et traitements de choc ou enlèvements et rixes. relations de ma famille qui m’ont été toute ma vie durant imposées, servant de police privée a père et aux voisinages miens qu’il aura corrompu, de sa haine œdipienne et Respectueuse du SAC de Charles Pasqua, dont il m’inflige les pénalités psychiatriques depuis que je suis née. Relations, famille instrumentalisée à mon encontre dans l’affaire,ne rêvant plus que de me posséder baiser jusques dans le cul rouler et dénaturer, laisséerinfirme autant que moi-même Le procès de l’établissement de Mairet et des exactions qui y ont été commises des décennies durant, m’étant fait, pour n’avoir pas été hospitalisée à ce pavillon.

Trois motif d’agissements pareils envers moi-même : Faire respecter l’extrême droite, ses miliciens et miliciennes, m’interdire tout délit d’opinion par les voix de la torture médicale, psychiatrique, policière, m’obliger au langage imposé du dialecte de secte fondé sur un délirât de dément choisi pour ce fait, m’infliger les grandes affaires et faits divers de l’actualité afin de m’en tenir informée si m’informer est interdit de ces représailles dont interdiction communiste de consulter les médias et les sources de mon raisonnement, dont l’affaire Cleastrem, psys de Guingamp, affaire des emplois fictifs, bref, les vieilles et nouvelles casseroles de l’Etat français, du capitalisme impérialiste, j’en passe et des certaines. Affaires et faits divers dont est friande l’extrême droite, moi-même dans l’interdit communiste de m’informer et de me tenir informer de cette affaire. L’extrême droite fonctionnant en accord avec le parti communiste en ce sens.

Ne se calmant qu’à la condition que je sois passée par les électrodes, injections d'eau de mer jusqu'à la danse de Saint Guy des marins et la phlébite organisée, le caillot assuré, de ce sodium en excès, traitements lourds et trépans requis pour me clouer le bec voire lobotomies plus importantes, toutes les fois où ma famille descendrait dans la région et à chaque dispute que me causerait qui que ce soit pour mon délit d’opinion envers lui. Délit d’opinion tenu pour les faits de la maladie mentale envers moi invoquée.

Quand la voisine du dessus me passe à tabac, l’on vient par effraction de la porte à mon domicile me repiquer, en surcroit du traitement officiel, pour m'apprendre à la respecter, sachant que les dossiers contenant, s'ils sont répertoriés, ces traces d'injections jusques dans le cervelet et interventions à domicile, sont tenus secrets, jamais présents dans le dossier officiel, ne traitant que le résultat des faits et tortures de cette Inquisition. focalisant ensuite sur mes fautes de frappe de ces textes que je rédige pendant leurs interventions, maltraitances opérations neurologiques, voire neurochirurgicales et vendettas moi-même comme personne travaillant jusques sur le bloc opératoire, à domicile.

Quand cette voisine me tabasse au faisceau et contrefaçons d'électrochocs, spécialement pour me faire repunir.

Moi-même dans le devoir d'écraser longtemps dans le mutisme devant de ces agissements, de n'en sortir que quand ces voisinages l'exigeraient selon leur bon vouloir par la voix des armes et de la torture psychiatrique, de la pratique illicite de leur main de la médecine et de subir leurs opérations quand ils voudront sur moi se calmer les nerfs..

Quand l'affaire a repris pour le fait chez ces intervenants de devoir m'empêcher de percoler socialement par le biais d'un travail rémunéré ou pas, bénévole ou personnel, fruit de mes dons, puis du devoir de m’imposer le devoir de travailler sous le STO sous le prétexte que je ne foutais rien, sic, puis sous les prétextes que je n'avais à échapper à leur emprise en me trouvant quelque compagnon qui puisse m'être bon mari, enquêtant à tous vents pour que se connaisse son identité et lui en imposer autant qu'à moi-même, ce que j'ai dû taire au détriment de ma vie privée et de ma santé. Le cerveau refait couturé de tout acte contre nature. .

Loi de la rétroactivité en toute affaire d'agression physique de ce type.

La féodalité une autre forme de nazisme, précisons. le pays ayant vécu depuis les premiers temps de l'humanité sous tous les nazismes et des plus divers.

Personnels fonctionnaires et médicaux corrompus, à même d'être achetés. Crachats dans le café et la soi-disante pommade en fait une crème pour visage et corps à la rose, sous le prétexte que je n'avait pas droit à ce parfum, le crachat testé de par eux à tire thérapeutique, et ses bienfaits strictement étudiés. La douleur profonde due à la torture mutilatoire une cénesthésie due au délirât non compensé ou décompensé. Eux arguant la pré séquestration ante placement d'office, pré séquestration capable de constituer sinon créer des preuves constituées et constituées de toutes pièces et méthodes de torture ineffables, preuves dites irréfutables destinées à justifier ce placement. Pour justifier d'un état qui nécessite quelque lobotomie ou résection de cervelet, à titre de prévention à un placement décrété nécessaire pour trop grande perspicacité lucide que je ferais. Amputation pour droits imputés, invoqués, de le devoir dans le devoir de partouzer de la partouze de pouvoir absolu, totale et absolue, au nom de la partouze publique, et privée.

D'autant plus que l'opération du cerveau est déjà en soi un viol collectif à elle seule, viol dit thérapeutique à tel point que l'on n'y voit plus la notion de viol en soi. Pratiqué au domicile du dit aliéné ou en pavillon. Viols décompensés que font les prisonniers d’opinion ainsi traités. De toutes nourritures cancérigènes, en état éternel de surnutrition, ou laissés faméliques, manquant dérisoirement de fer comme de fers à repasser tant maintenus dans la misère noire qui les fait dire anorexiques, torchés aux électrochocs s'ils manquent de papier WC tout comme de papier monnaie, la pauvreté depuis ces périodes de récession, une vilaine manie d'anorexie (morale de Voltaire concernant les serfs et manants de son époque), à traiter de façon nazie.

Après avoir pollué mon cerveau et ma mémoire de cette affaire qui dure depuis une trentaine d’année, certains de ces psys du secteur 2 de psychiatrie de Montpellier, entre autres ceux comme par hasard du point de repère, ont proposé la lobotomie des centres nerveux contenant l’affaire et de m’en rendre amnésique de façon totale et parfaite, amnésie totale ou partielle, ne concernant dans ce cas que la mémoire immédiate de mes discours et plaidoyers (maintenus assez longtemps sous une foire aux trépans er tasers digne de m’attribuer l’accusation de logorrhéique), se cela pouvait me soulager, et l’ont entrepris, razziant zones frontales, occipitales, pariétales, nasales et de la mémoire. L'on ne va pas tout de même leur appeler l'exorciste pour les déposséder de leur foi de m'abattre et exécuter.

Les douleurs causées par la torture physique préparatoire et préalable au placement, considérées, au plus simple algie, sinon hallucinatoires, selon le degré d’aveu et de confidence du fait précité.

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Le militant militant de sa libre entreprise de dénonciation des fait de ce capitalisme désossé, décortiqué, jusqu'à l'acculement sinon au suicide, du moins au militantisme par la loi des tapages des grandes campagnes électorales. sous peine de devoir murmurer sous les bruits de bottes de l’armée rouge comme nazie. Quand chez ces gens le neuroleptique soigne l'effet du Prozac que l'on doit prendre. L’effet de croute sur le nez tant tapé seulement cénesthésique chez moi selon la médecine, ambiante. .

Les grands tempéraments du siècle se retrouvant à l'asile, n'en ressortant que faibles d'esprit et maintenus dans cet état, par les violences citées dans ce livre, ivres saouls de traitements, commotions et opérations à anesthésiques du cerveau, du système nerveux, jusques dans les parties sensibles, d'où le degré d'ébriété et de vertiges, malaises imminents, les faisant croire quand ils ont la tête qui tourne de tournis, la tète donc d'après le rapport, un peu tournée, d'un air intrigué.

Quand chez ces gens le neuroleptique soigne l'effet du Prozac que l'on doit prendre en de se faire pendre la soupe et le bain en termes d'argot, le ventre pour le four... L'effet de croute sur le nez tant tapé seulement cénesthésique chez moi selon la médecine, ambiante. il faudrai leur expliquer que la gégène, quand cela commence, fait mal.

N'examinant que les dégâts commis et ne retenant que ces séquelles et réaction à leur action de pogrom sur la nation à titre de signes de la maladie. La médecine réduite à cet artéfact de science là. Le voir venir de loin considéré par certains voyance-extra-lucide.

La gégène, ou poste à soudure de quelque façon qu'elle se présente, une simple façon de boxer, mais qui lorsqu'elle est pratiquée à longueur de temps, peut tuer, librement assassiner, les personnes encore lucides de cette société, au sein même de leur famille, totalement incapable et dans un état de démence à effrayer, personnes ciblées, triées sur le volet, maintenues dans un état apparent sinon encore sans séquelles, de la maladie mentale, sinon physique, dans ce cas réelle autant que bras cassé, à éternellement faire semblant de réparer.

Tous psy ayant au nom d'un privilège de caste, participé de près ou de loin, ne serait que dans la complicité du fait ou par non assistance à personne en danger, aux viols ici précités. Il fallait si l’on ne se l’avouait, passer à confesse, direct.

Certains de ces bruits de bottes et prévarications, réduisant à respirer au respirateur après lobotomie électrique, le cerveau brulé au dernier degré en plus du fait d'avoir été cogné dans les zones cérébrales repérées pour être la cause du délit d'intellectualisme subversif, voire journalistique contestataire. aussi il fallait être con pour leur en dire un rien, devoir de se taire, autant que sous nazis, s'ils n'en sont.

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Incroyable mais vrai, adage bien français, si tant inconcevable qu'irréel, à force de creuser des trous dans les cervelles, ils vont finir par trouver du pétrole.

L’usage en continu de la gégène, un simple rhume de cerveau, nécessitant les gros moyens, selon l’avis de la médecine.

L'injection retard remarquée par faisceau jusqu'au mélanome fessier, dont, le mien.

M'auront détruit ou à peu près le cervelet pour des hallucination sauditives qu'ils feraient, causées par l'usage intempestif du haschisch mélé à l'alcool, jusqu'à m'entendre hurler, après leur voir crié après. Longtemps.

Faites vous lobotomiser par nos électriciens plombiers quand ils viennent vous border, si vous ne faites après leur visite précédente que border-line, Van Damme... Et secouer l'abricotier, terme technique de métier. Cachez vous après cela et prenez vos cachets. Le bon voisinage dans tous les cas très compréhensif, empoignant tout ce qui peut se trouver sous leur main qui pourrait trouver là usage de poste à soudure ah la vilaine, tabassent à la gégène que ces objets parfois simple matériel de guerre à tester su cobaye à suc à sucer improvisé, tout individu qui s'opposera à leur présence sur terre, mais non ne les crevez. Ils ne vont certainement pas m’envoyer des bleuets le jour de ma mort de poète, à moins que cela ne soit pure injure.

C’est un conflit national en effet. Portant sur les méthodes choisies de pénalité envers des déments criminels. Trouvez, trouvons, d’autres méthodes quand elles résident dans la prévention, pas n’importe laquelle, la méthode pédagogique n’y suffisant, les traitements en cours de la maladie inefficaces à dangereux pour la vie, basés sur la maltraitance, le viol, le sévice ordurier, l’exaction de barbouze, les violences physiques, mentales, et la torture bref dans tous les sens du terme, le poste à soudure de quelque façon qu'il existe et sous toutes ses formes actuelles, servant de source d'inspiration à l'écrivain journaliste s'il ne souhaite donner ses sources...

Pour en revenir aux implants et faisceaux les simulant, réseaux de prostituées issues de la même prostitution infantile dans les familles, femmes et peut-être hommes qui en proviennent les portant, torturé(es) par ces prothèses électroniques, causant ablations de zones cérébrales contenant leurs luttes, réparties implacables et raisonnements, parties civiles et plaidoyers extirpés au cours de longs interrogatoires, qui pourraient les faire gagner en procédure contre ces médecins proxénètes et leurs acolytes, qui les tiennent et détiennent. De ces implants ou faisceaux causant deux viols jusqu’à l’orgasme par heure, maintenus éternellement allumés, fonctionnant sur pile atomique au lithium implantée dans le corps. Implants placés jusques dans sinus, mastoïdiens ou rochers, maxiliiaires et frontaux, causant les maux et maladies des personnes de mon entourage, maladies voulues chez moi, dont tumeur dans le cervelet gauche et/ou droit. Organe ne concernant je le rappelle si cela est méconnu de certains, que les fonctions vitales naturelles et organiques du corps.

Implants électriques électroniques manipulés par drogués alcooliques, faisceaux à fous dangereux et gangsters logeant dans le dit voisinage, commettant en harcèlements de leur mains résections mutilatoires de cervelet et de lobes cérébraux, tant rongés de courants et décharges électriques que réséqués à la longue, ablavés dans des opérations de longue durée voire plusieurs ans durant les corvées quotidiennes de l'intéressé(e), sinon détruits à vif de décharges et amputés ensuite avec ouverture des os. Histoire de loger une balle de plus dans le crâne, ou la nuque d'un prisonnier d'opinion qui l’on s’en plaint chez les médecins, n’en meurent que sur la table d’opération. Plutôt que dans leur lit, s'il faut mourir. Filles, hommes tenus de médecins jeunes et vieux proxénètes et véreux, usant de la torture médicale dans leur parties de viols dites fantaisies, Folies pour leur amusement, gains et profits, sur fille de joie placée sous l'étiquette de la maladie dans appartements maisons d’entrainement voire d’abattage sinon en pavillons disciplinaires aux même fonctions, victime, elle aussi, de cette gigantesque farce politique et escroquerie à la Cotorep, à la sécurité Sociale et fraude judiciaire gravissime. Certaines prostituées jusques dans leur emploi, parfois administratif. Avec la complicité des familles. Dans les tortures de république cotonnière. Ou coup de bambou. Sans autre forme de commentaire.

Comment les lobotomies quand elles ne sont pas permises sont pratiquées par la ruse. Décrétées signes de mélancolie hallucinatoire à mégalomanie, sinon, autre façons chez certains artistes, un peu trop subversifs, donc un peu fous (de se heurter à ce rempart), de se faire remarquer.

Arasant des zones cérébrales entières telles les zones de la vue, pour l’interprétation du mot homonymique de centre nerveux de la vision (hallucinatoire), la vue étant la vision en soi, depuis les premiers temps de la médecine. Terme conflictuel autant que l’interprétation par la médecine, la psychiatrie et la loi, des mots à homonymes tels mousse petit mousse ou mousse de salive), voix (du langage parlé, de chant, ou intérieure, donc automatiquement hallucinatoire et acouphène, terme technique), filles bien en fait terme désignant les chic filles dites bien donc stables mentalement pendant leur traite, selon les lois des trois capitaines d’orgie, chanson entre autres de Brassens ou la chanson d’Hélène, s'attaquant aux filles soutien de la démocratie et de l'intelligenstia. Les avocats du diable que représentent au sein des populations les défenseurs de ce trafic d'influence politique et dont ils font perdurer le mythe, jouant sur les mots. Jusqu'aux senteurs orgiaques de gruyère génital de nombril et smegma,au jambon de curé et charcuterie pour tout acte de boucher charcuteur ou charcutier destiné à vous mettre les jointures en culs, parfums de l'obscène. D'où le taux de suicides en France.

Ne laissant en vie que les attardés et assez arriérés de bêtise pour qu'ils ne soient opérés, cela serait leur ablaver le peu qu'il leur reste d'idée, sauvés de la lobotomie par la connerie triomphante de la borne ambiante.

Dans une politique de la razzia des dons et facultés de l’intelligentsia, de parties de rétiaires contre Goliath. Seules les bourriques épargnées. De la moindre à la plus proliférente.

Les médecins légistes, entre autres médecins véreux, attestant le suicide de la moitié de la France et des français trouvés morts décédés, parce que certains morts encore vivants, médecins donc qui la gégène entre les couilles à les entendre dire, déclarent la mort naturelle, accidentelle, ou suicidaire du condamné à périr ou mort de mort violente ou lente, s'il s'agit en effet d'un suicide de se heurter à cette machination. infernale. Avec toute mort, naturelle en soi, cela va de soi.

C'est moi qui faisait petit monstre de la famille ensuite vu le gros génie de mon père qui de son cornet acoustique électronique, j'ai toujours eu du mal avec les machines, a bricolé son témoignage avec ce qu'il a bien voulu entendre du mien, ne voulant entendre que ce qu'il veut bien comprendre. Si le gros problème du père doit être le mien, si je dois absolument en souffrir d'un. en sus d'un génie personnel qui résiderai tchez mo dans la moitié frontale de mon lobe temporal gauche, ou ydroit vu de face pour l 'effet miroir, et que mon entourage assumerait mal.


Permettez le peu.

Question de machine, ce n'est pas à l'emporte-pièce que de chez lui ils font trépaner mais au rayon d'oncologie décortiqueur de noyaux d'abricots de pêches et vieilles noix, lasers ablaveurs de rectum de cochon en chaîne d'abattage, sic Science et Vie des années 80. l'on y comprend pourquoi éditer ce genre de livre peut faire très mal. Évitez le café ensuite aux médicaments pour éviter dans ce cas de leur tomber sur la gueule si c'est vraiment le médicament qui le fait. Faites vous lobotomiser par nos électriciens plombiers quand ils viennent vous border, si vous ne faites après leur visite précédente que border-line, Van Damme...

Incroyable mais vrai, adage bien français, si tant inconcevable qu'irréel, à force de creuser, ils vont finir par trouver du pétrole.

T'en fais pas mon p'tit loup, dira Pierre Péret, vivre malgré tout, sans le Prozac pour autant.

C’est bon les bonbons, après cela, dirait Jacques Brel.

L’usage en continu de la gégène, ou tire-comédon pour les peaux sensibles avec tendance à l'acné chez les boutonneux, avec persécution nasale, j’ai dû relire Fluide Glacial sans le savoir, un simple rhume de cerveau, nécessitant les gros moyens, selon l’avis de la médecine

L'esprit, les mots d'esprit jugés folie jusqu'à la neurasthénie, suivie de mélancolie, au vu et au su des méthodes indiquées.

Les personnes en crise traités à domicile au grand dam de leurs entourages, voisinages et familles, empoisonnés jusqu'au handicap de ce fait d'arme là, jusqu'à ce que les persnnes malades traitées ne réclament d'elles même que le placement libre, en pavillon psychiatrique, une fois guéries de cette phase.

L'opinion, ce qui constitue l'identité même de l'individu et du citoyen remise en question, qualifiée de, traitée en raisonnement profond de malade mental, opérée dans le système nerveux qui la constitue et assure son existence, voire sa survie.

Le cerveau encore organique chez nos médecins, c'est bien pour cela qu'ils ne s'en prennent aussi au mien, si l'esprit ne devait y tenir qu’au bon Dieu, ils ne s'en prendraient qu'à lui. Vivez la science et l'esprit scientifique chez vous, de chez vous, in vivo sans risquer le placement. Ce n'est pas que le temps des fleurs, chez eux. La république une simple notion d’expression libérale, terme récupéré par le capitalisme, et signifiant à son origine libertaire.

Ablation de la mémoire immédiate, qui repoussera en principe, de grosse bouffe avec collutoire requis de l'asile psy pour adjuvant.

Ah ça l'ablation des deux cervelets, si c'est une farce nazie, peut être mortelle à vous envoyer au cimetière, direct. Ils tireraient à bout pourtant si ce n’est de loin sur la nuque ou le cervelet de l’humoriste pamphlétaire trop caricaturiste et libertaire pour l’accuser de mélancolie et d’esprit suicidaire, je rajouterai, de se heurter à eux. J’ai gagné le procès qui m’est fait, mais après résection de la zone en question de mes notions. sur l'affaire. Et après cela, l’affaire est close. Que j’écrase devant, aucune réplique admise, sinon moi-même en placement illicite. Au sein du HLM en question.

Amuseur amuseur du fait qu’il respire la fume de moquette des ménages qui l’entourent ou gaz hilarants à le laisser sur le tapis, l’alcool à 90° alcool de ménage chez eux, sinon alcool à boire. amuseur public dit atteint de mélancolie hallucinatoire s'il ne fume ni ne consomme du haschisch, visez le bakchich. Si quand ils viennent chez moi me piquer l’on me retrouve ensuite en état second pour trait de cocaïne ou de résine de canabiol injecté, ils ne vont pas le voir venir.

Dans ce système de prévarications, les peaux-rouges voient rouge, les blacks travaillent au black, les petits chinois travaillent dans les usines en tant que jaunes, et les verts finissent par croire aux extraterrestres sinon au vert cadavre, verts de rage. Les juifs broient du noir, les rabbins on les rabbine, et les hindous, restent hein, doux, mais vert olive sinon vert macchabée, si l'on veut que cela reste ma couleur politique.

Vous avez essayé de faire courir un chien sans rate ? Vous voyez alors un chien courir comme un dératé, avant de s'effondrer mort, dératé. L’attache en prime de l’oreille, forée, pôle ou chakra magnétique hypersensible en fait. A titre d'expérimentation. Histoire de vous brûler la cervelle un rien sinon d'avantage. Jusqu'à la dépilation électrique totale ou partielle des nerfs et cheveux. Histoire de vous en raboter le cerveau. A faire énervé. Enervé, ou petit être les nerfs arrachés à vif, supplice du Moyen Age autant que celui de l'écorché .

Histoire de vivre un rien dans les psychodrames du père et de ses Aryens.

Bizarrement de ces expérimentations scientifiques, l’on en trouve, par médecins attitrés et patentés, des cas, de comas prolongés ou cathexis catatoniques maintenues sciemment en cathexis catatonique, anorexie déclenchées indurées et état second savamment maintenus en états seconds, histoire là le de les faire traiter, une bonne fois pour toutes. Du moment que vous ne voyez que des éléphants roses au pays des socialistes.

M'auront détruit ou à peu près le cervelet pour des hallucinations auditives qu'ils auront eues, causées par l'usage intempestif du haschisch mêlé à l'alcool, jusqu'à m'entendre hurler, après leur voir crié après. Longtemps. Trépanant à l’électrode jusqu’à perte totale de mémoire de ce trafic, allant du simple fait divers de la rixe destinée çà faire punir un individu choisi, au trafic d’appareils de chauffe irradiant dans les établissements psychiatriques, destinés à créer des soi-disant agités, en fait fortement irradiés jusqu’à l’aspect frite belge, persécutés dans la tournante psychiatrique afin de causer leur mutisme sur l’affaire. de trafic d'armes de prostituées qu'il constitue, de médicaments, d'influence et crimes politiques crimes en fait parfait. Cercle vicieux de la spirale dite schizophrène. Ont cru m'entendre.

L'on n'a pas à faire avaler aux français la couleuvre supplémentaire et la pilule amère de l'usage de la torture médicale, électrique, psychiatrique dans le pays, au nom du bien fondé d'une légitimité du fait de la lutte contre la criminalité des malades mentaux, criminalisation de leur cas, comparé à celui de la délinquance maintenue dans le triomphe des trafics multiples et des plus avariés prenant naissance au sein des établissements psychiatriques, des usagers de la drogue et de l'alcool. au nom d'un fascisme ambiant décrétant que la torture et la bonne est nécessaire en cas d'application de peine, psychiatrisée pour la plupart des citoyens, sauf pour les immigrés d'origine arabe, ceux-ci et les drogués n'ayant droit qu'à la prison. Politique de Jacques Blanc et Manville, de l’ensemble des secteurs psychiatriques qui leur lècheront les bottes dans tout le sens du cirage à la blennorragie de leurs bordels et hôtels borgnes pour se répéter. Cf. Le film Ghotic à ce sujet. Et la mafia dans ce cas est toujours russe, ou américaine.

Le forfait hospitalier, forfait du crime parfait bref, véritable forfaiture, leur forfait accompli.

Vivez en toute sérénité au milieu de leurs bandes de casseurs en bande...

Représailles de Brès que pour moi on l'appelle et défilé des psys chez moi en conséquence. qui eux à vous mettre la gégène entre les coucougnettes se font des couilles en or. Et ne sont pas de ce fait à l'UDAF pour autant.

Politique de Jacks les Éventreurs. a vous arracher jusqu'au trognon, de bonne pomme, ou de poire bien juteuse. Traitée en brave femme parce que fort brave. Brave femme ou bonne femme de ces caques qu'elle doit devenir et rester. Chaque pavillon psychiatrique son air de biniou, à vous tabasser jusqu'au dessous du kilt. Digne de l'Ulster.

Les effets plafonnements des traitements pris pour faits de la maladie, autant en milieu hospitalier que dans la population, non mais l'on ne va pas m'en faire tout un fromage de tapette à souris, Sapeur Camembert, pour savoir enfin avec qui j'ai couché après l'affaire Cleastrem, après enquête officielleou non surmes ancienne et antécédentes relationss exuelles. De la part de l'Institut BVA. Inutile de m’en faire une tête de phasme, ou truxale, bref, le truc sale ou sale truc. Après la phase truc sale. et le machin truc derrière l'oreille, voire dans le nerf chiatique. Et je n’ai pas fumé un tarpé ni ne suis une des filles de joie, de l’établissement, du moins.

Les voix des commères hurlantes et vieilles harpies en campagnes vociférantes considérées voix de la dissociation du moi que je ferais, entre autres personnes persécutées de ces vieilles miliciennes et intervenants à leur affaire.

Appareils de chauffe dit de chauffage, irradiant fortement ou fours micro-ondes, appareils de guerre totale ou guerre nucléaire, disposés, placés dans appartements mitoyens à ceux des personnes à déloger. Jusqu'au coup de soleil, brûlures en plaques, naevi vitrifiés, déstabilisés, en mélanomes, fortes irritations, micro-taillades et peaux fendillées, incommodations voire insolations. Causes de cancers et cancers généralisés dans le pays. Ou bien appareils à faisceaux micro-ondes et lasers de type anti-tempête (paru dans les informations télévisées), version modèles réduits, testés étudiés actuellement sur la moitié de la population, dans la pratique du viol accompagné de torture.

Agissement en France, intolérables ne se contentant que de la prière en tant que seule action. Générations bananes issues du régime de république bannière, au sein d'un chargement collectif de pituitaires des années et décennies précédentes, causés par les essais thérapeutiques de produits médicamenteux tels le Surfarlène et l'Orap, très salivants et excédantsl es glandes salivaires dites pituitaires, au seins des hôpitaux et familles, incompréhensives et ne se doutant de rien. Fraude induisant au suplice de ces damnés de la science.

Ah s'il faut ensuite des comprimés de brome à toutes ces filles violées qu'e font ces mâtons fascii d'hôpitaux jusques parmi les hommes et les enfants d'tablissements parce qu'on les viole jusques par le plaisir, par pur plaisir d'infliger cette torture suplémentaire....

Ou motion de censure à l’encontre de la politique ces établissements, qui tiennent de l’établissement pénitentiaire, faisant forcing dans l’espoir d’infliger le fascisme à la France, dans des doses supplémentaires non déclarées, à ce qui préexiste déjà. Les gouttes officielles rapées à l'éther ou à l'alcool d'infirmerie.

Depuis qu'à la Villette l'on tranche le lard, dès les 5 heures du matin, que les loups sont dans la villee t que l'on en peut plus depuis Freud dénommer les nazis qu'ainsi. Bref, sous la dénomination de loups, Homme aux loups et l'Homme est un loup pour l'Homme.

Mes deux sourcils enfoncés délibérément dans la face des tabassages constants, pour le mot malheureux de primates dont j'avais qualifié des agresseurs, entre autres mouchards, à l'étage supérieur.Cf. la chanson de Renaud sur les petites bourgeoises blondasses pétasses maquillées comme un carré d'as, qui leur foutent les glandes, casse toi tu pues laisse les nibards et marche à l'ombre, sur le sujet, dès que cela sent le cramé ou le rousti. C'est moi qui fait la pétasse.

Quant à ces services de police et médicaux, c'est se tirer une balle dans le crâne à la roulette russe que se les faire appeler.

Matraquades pointées pratiquées jusqu’au coït, constantes.


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