lundi 8 juin 2009

La République et la démocratie aux mains de l'Ennemi, encore et à nouveau.

La République et la démocratie aux mains de l'Ennemi, encore et à nouveau.

Après la couronne d’Epines un peu penchée sur le béret qu’il fallait, la dite couronne m’est atterrie sur le nez pour qu’elle me pende au nez, après l’avoir eue implantée avec le béret toujours aussi penché autour de l’orifice, buccal, vaginal et anal. Pour vous suicider il vous en faut peu, je vous le dis. Renourrie sous peine de placement, pour rattraper la faute du Christ de s’être affamé sur son chemin de croix jusqu’à la consomption au vinaigre de vin, qui lui a servi de Surfarlène, le vinaigre de ses sept plaies d’Egypte limitant la soif, moi-même engraissée pour que son corps ne connaisse les maigreurs d’Ausweis.

Casserole qui me pend au dos pire que celles de Chirac, réduite face à cette fadaise à l'état d'abesse de pizza façon scalp d'écorché, autrement-dit lobotomisé, déjà écorchée depuis longtemps, ne serait-ce que par la séparation de la peau de mon corps des chairs, des kilos de cellulite pris en fonction des mauvais traitements et traitements nmédicaux. Ce qui se pratique mais avec introduction d'air entre la peau et la chair, chez les brebis et moutons pour les écorcher. Chez moi, cela se passe à vif, d'où les douleurs et souffrances dites pondérales. Jusqu'à la pommade, et la pensée dans la pommade, destinée à me calmer les nerfs mis à vif de tant de souffrances, douleurs endurées des tortures subies.

Inspecteurs, psychiatres s’assimilant à la fonction de policier, tirant dans le tas et la foule, peuplant les lits d’hôpitaux et cliniques privées, de cette population de victimes de criminels en bandes armées et clans, le roulement des lits d’hôpitaux destiné à les accueillir ces victimes damnées, au nom d'une plus grande démocratisation de cet accueil et de l'accès au soin qui là devient plus qu'un droit, obligatoire, sinon devenu nécesaire, il ne fallait, ces lits, les destiner toujours aux mêmes individus, leur fermeture commise en vue d’une plus grande complaisance envers ce faux semblant d’humanité, faire accroire à un manque de clientèle, comme par hasard, cruel zazard, et faire mentir les chiffres sur les alités, quand le pays croule sous le poids des estropiés de ces luttes intestines. Qui désormais ne seront plus soignés à domicile que dans leur milieu qui les a tant décimés depuis Trieste. Manoeuvres.

Cassant des bras pour les dire cassés et faire semblant de les réparer, affectant de lésions corporelles constantes jusqu'à des nerfs de l'élocution, des personnes répressées pour leur finesse comportementale et d'esprit dans le but de faire accroire aux faits de la maladie, rendant prognathe par pur punissement de la critique s'il le faut pour constater l'état de prognathisme, de type mongoloïde, prétendant ensuite régler le léger problème.

Si je souffre tant de diplomatie c'est que je souffre de maladie plénipotentiaire. Et cela ne saurait suffire;

Cela se présente comme une pension d'invalidité qui m'est tant depuis mes jeunes années, années 80, revendiquée, à titre de dédommagement de la société pour le mal complet qui m'aura été fait, par celle dans laquelle je vivais et avais vécu depuis ma naissance, mais aucun dédommagement devant me rester gratuit, je n'aurai qu'à le mériter et même par la suite des opérations, le gagner dans la Douleur du Christ à la sueur de mon front et pas seulement à la force du poignet, sinon par celle de ces gens en armes. Sic.

Sachant qu'une frite peut être aussi dangereuse qu'une cigarette, les agents de saveur et adjuvants destinés à les rendre soit-disant plus consommables, en fait destinés, drogue certaine ou alcaloïdes, à créer l'accoutumance jusqu'à l'overdose de ces produits de consommation courante, le prix du paquet de cigarettes placé au prix du caviar de la gauche caviar qui fume aujourd'hui sa dernière cigarette du résistant condamné à sa fin prochaine, que penser de l'assiette de frites, qui lorsque elles ne sont belges à vous en rendre folle, viennent de chez Mac Kain. jusqu'à la moindre consommation, emplie de ces produits chimiques destinés à accoutumer à une plus grande consommaion de ces aliments à adjuvants, jusqu'à l'overdose du porte monnaie et un accroissment de l'obésité dans la population mondiale. Ne serait-ce que causée par le béribéri dû au rafinement trop poussé des farines.

L'on s'entre-flicque en attendant la fin du monde dans la peur du gendarme. qui ne vérifie pas que le trou de mémoire ni celui de la Sécu il aura causé mais l'orifice en question et donc ce que l'on en fait, le jour de l'injection, cela ordiné et provenant de haut.

J'avais la curieuse manie de proférer à haute voix mes confidences sur l'oreiller, et de ne tolérer rien d'autre permettez dans ce cas que je repose ma tête sur autre chose qu'un billot de bois.

N'ayant droit de ma libre opinion et conscience tranquille à l'usage ni emploi de la loi du Talion ou Droit Régalien, ni à l'usage envers autrui des pénalités judiciaires en cours de nos jours, ni aux mesures de répression psychiatrique signifiant les méthodes totalitaires de la torture médicale, ni le droit de faire justice par soi même, le Dr Brès Robert ayant calculé en collaboration avec ses émules et acolytes et la complicité de la famille, le droit de par ces méthodes auxquelles moi j'avais le devoir de me confronter, et qui me revenaient, de me contrer dans les arguments de mon opinion jusqu'au point ultime de la cancérisation. Bref, ayant choisi l'élimination physique pure et simple, avec celle de l'affaire, il triomphe ainsi, n'attendant que mon décès après ce type d'exécution sommaire, me laissant dans la lente agonie promise. dans des traitements subsidiaires à ceux qu'il espérait et qu'il m'inflige encore en surcroit de ceux que m'impose mon médecin officiel. Si je résistais à la mort subite.

Essayez par la suite, du beau langage résiduel spontané qu'il vous reste après maintes et maintes opérations du système nerveux encore en service, à un policier ou deux armés, que vous êtes une vache à lait que l'on cogne et enflicque pour lui avoir une tête de veau et des pieds de porc.... Au nom d'une politique sécuritaire du CHU.

Les personnes en crise traités à domicile au grand dam de leurs entourages, voisinages et familles, empoisonnés jusqu'au handicap de ce fait d'arme là, jusqu'à ce que les personnes malades traitées ne réclament d'elles même que le placement libre, en pavillon psychiatrique, une fois guéries de cette phase.

Aidez vous le ciel vous aidera et se cherchera d’exaucer vos vœux et rêves, ne faites pas trop de cauchemars, dira Amnesty International à la camarde antipopulaire que je suis, bref anti-tout comme anti-toux quand Tonton tousse.…. Et qu’il se fait un mal de chien quand on lui tire résolument dans la prostate.

Tout individu doué de raison placé à l'asile psychiatrique et traité pour sa raison humaine à vie, poussé à bout puis à la démence véritable d'opérations, tortures physiques et mentales associées constantes. Avec devoir de s'en accommoder, après la dernière piqouze pour vous faire respecter la Grande Incommodationd ea torture systématique systématisée, autre façon de stigmatiser.

Après la planche en fer la langue de bois et le chèque en béton armé sinon en bois parce qu'ils visent au porte-monnaie, la planche en bois.

Corps de torturés assassinés laissés sans autopsie et incinérés par destruction de preuves au cas où la médecine légiste pourraient les faire parler post-mortem pouvant déterminer parties de snurf électrodes parties sur ces victimes de banquets à mille feuilles treize à table à Cènes de ménage les jours de fête et repos dominicaux, avec aréopage d'infirmiers et psychiatres patentés,en état de haine envers les idées claires, y voyant délire hallucinatoire satanique et acte de divination extralucide tant lucide présents dans le devoir vous amputer les 390 pages de votre dernière plainte. Lobotomies destinées à réséquer la partie civile en question, lobotomies pratiquées sur procédures illicites jusqu'à domicile, sur faux en écritures et faux en justice diffamatoires et infamatantes.de la plus grande ignorance privilégiés par la discrimination positive socialiste et humanitaire envers l'illettrisme, privilège récupéré par l'extrême droite, cultivant l'ignorance, mais je mense pour vous, si vous n'y aviez pas pensé en à ça..

Les juges d’instruction ne retraçant dans un style plus simplissime que le raisonnement clair et net des personnes incriminées, si le travail des juges si litige reconnu, en manque d’érudition total du langage judicaire ne se résumant qu’au travail que leur mâche les intervenants, le juge chargé seulement de débrouiller l’affaire toujours très embrouillée, cause la médisance, la malfaisance, la criminalité, les procédés affabulatoires etc. tout résidant dans le ect. Le seul jugement d’un juge se résumant à la clarté de son raisonnement. Le véritable travail de justice revenant à certains acteurs de la médecine, qui eux, résistent et tiennent le bon bout.

Personnes démentes et folles dangereuses, armées et rendues plus folles dangereuses, de mains de personnels médicaux, les médecins en question le niant, attendant que l’état de criminalité de leurs patients dégénère, les poussant au meurtre et aux crimes contre l’humanité, exactions de type policier et psychiatrique, d’état policier, prétextant une fois leur forfait accompli dans chacun des buts envers une victime de leur manoeuvre, l’état de dangerosité de ses agresseurs et le devoir de les opérer du cerveau, bref, de lobotomiser la victime ensuite, avec ouverture de l'os ou pas, soit par acte neurologique soit par neurochirurgie. Dans les viols dénoncés par Reiser et Chagal. Tout de Reiser façon psychiatrique.

Le budget entier que l’Etat alloué aux secteurs psychiatriques passé dans l’armement de ces secteurs, d’armes d’une nouvelle convention, et d’un nouvel ordre, et de technologie nouvelle, destinées à faire accroire aux faits de maladies, dénommées longtemps les faits et possessions de Satan, en fait imaginaires sinon préfabriquées des mutilations pratiquées de façon constante avec cet armement, employé dans des procédures illicites comportant tous les vices de forme des procès des sorcières de Salem, du procès du Jugement Dernier, celui de Nuremberg, de la Pucelle d’Orléans et de Kafka.

Escadrons volants de psys et psychiatres, venus spécialement examiner de près l’affaire, séduits par mon argumentaire moratoire, mon moratoire argumentaire les induisant à la séduction qu’il leur inspire, le devoir d’acheter ma fiabilité éthique en et de me débarrasser de ce fait des ennemis qui troublaient ma vie privée et l’ordre public autour de ma personne, proposant de les lobotomiser. Quand mon combat essentiel porte précisément sur le de devoir de lutter pour l’abolition de ce principe et de cette pratique abominable et inhumaine de la torture en France et en Occident. Positionnée, acculée à ce combat depuis ma naissance, en tant que victime du conflit national, par l’infliction sur moi-même de ces méthodes.

Perquisitions de jour et de nuit, à mes domiciles successifs, exécutées sur l’ordre (rapporté) du père, de ses amis et relations de la famille, prétendus mes amis, en fait, des ripoux très corrompus à la cause du père et des agissements en question en forçant ma porte, dans le but de contrôler mon comportement, mes idées dites préconçues donc coupables, décrétées délirantes de ce fait, sans se faire voir de moi, s’introduisant à pas de loup et discrètement, me chloroformant profitant de mon manque de vigilance du aux traitements médicamenteux, et profitant du moindre de mes dos tournés, pour m’infliger injections et traitements de choc ou enlèvements et rixes. relations de ma famille qui m’ont été toute ma vie durant imposées, servant de police privée au père et aux voisinages miens qu’il aura corrompu, de sa haine œdipienne et Respectueuse du SAC de Charles Pasqua., dont il m’inflige les pénalités psychiatriques depuis que je suis née. Relations, famille instrumentalisée à mon encontre dans l’affaire,.ne rêvant plus que de me posséder baiser jusques dans le cul rouler et dénaturer, laissée infirme autant que moi-même Le procès de l’établissement de Mairet et des exactions qui y ont été commises des décennies durant, m’étant fait, pour n’avoir pas été hospitalisée à ce pavillon.

Trois motif d’agissements pareils envers moi-même : Faire respecter l’extrême droite, ses miliciens et miliciennes, m’interdire tout délit d’opinion par les voix de la torture médicale, psychiatrique, policière, m’obliger au langage imposé du dialecte de secte fondé sur un délirât de dément choisi pour ce fait, m’infliger les grandes affaires et faits divers de l’actualité afin de m’en tenir informée si m’informer est interdit de ces représailles dont interdiction communiste de consulter les médias et les sources de mon raisonnement, dont l’affaire Cleastrem, psys de Guingamp, affaire des emplois fictifs, bref, les vieilles et nouvelles casseroles de l’Etat français, du capitalisme impérialiste, j’en passe et des certaines. Affaires et faits divers dont est friande l’extrême droite, moi-même dans l’interdit communiste de m’informer et de me tenir informer de cette affaire. L’extrême droite fonctionnant en accord avec le parti communiste en ce sens.

Ne se calmant qu’à la condition que je sois passée par les électrodes, injections d'eau de mer jusqu'à la danse de Saint Guy des marins et la phlébite organisée, le caillot assuré, traitements lourds et trépans requis pour me clouer le bec voire lobotomies plus importantes, toutes les fois où ma famille descendrait dans la région et à chaque dispute que me causerait qui que ce soit pour mon délit d’opinion envers lui. Délit d’opinion tenu pour les faits de la maladie mentale envers moi invoquée.

Quand la voisine du dessus me passe à tabac, l’on vient par effraction de la porte à mon domicile me repiquer, en surcroit du traitement officiel, pour m'apprendre à la respecter, sachant que les dossiers contenant, s'ils sont répertoriés, ces traces d'injections jusques dans le cervelet et interventions à domicile, sont tenus secrets, jamais présents dans le dossier officiel, ne traitant que le résultat des faits et tortures de cette Inquisition. focalisant ensuite sur mes fautes de frappe de ces textes que je rédige pendant leurs interventions, maltraitances opérations neurologiques, voire neurochirurgicales et vendettas moi-même comme personne travaillant jusques sur le bloc opératoire..

Quand cette voisine me tabasse au faisceau et contrefaçons d'électrochocs, spécialement pour me faire repunir.

Moi-même dans le devoir d'écraser longtemps dans le mutisme devant de ces agissements, ne de n'en sortir que quand ces voisinages l'exigeraient selon leur bon vouloir par la voix des armes et de la torture psychiatrique, de la pratique illicite de leur main, de la médecine et de subir leurs opérations quand ils voudront sur moi se calmer les nerfs..

Quand l'affaire a repris pour le fait chez ces intervenants de devoir m'empêcher de percoler socialement par le biais d'un travail rémunéré ou pas, bénévole ou personnel, fruit de mes dons, puis du devoir de m’imposer le devoir de travailler sous le STO sous el prétexter que je ne foutais rien, sic, puis sous les prétexter que je n'avais à échapper à eur emprise en me trouvant quelque compagnon qui puisse m'être bon mari, enquêtant à tous vents pour que se connaisse son identité et lui en imposer autant qu'à moi-même, ce que j'ai dû taire au détriment de ma vie privée et de ma santé. Le cerveau refait couturé de tout acte contre nature. .

Loi de la rétroactivité en toute affaire d'agression physique de ce type.

La féodalité une autre forme de nazisme, précisons. le pays ayant vécu depuis les premiers temps de l'humanité sous tous les nazismes et des plus divers.

Personnels fonctionnaires et médicaux corrompus, à même d'être achetés. Crachats dans le café et la soi-disante pommade en fait une crème pour visage et corps à la rose, sous le prétexte que je n'avait pas droit à ce parfum, le crachat testé de par eux à tire thérapeutique, et ses bienfaits strictement étudiés. la douleur profonde due à la torture mutilatoire une cénesthésie due au délirât non compensé ou décompensé. Eux arguant la pré séquestration ante placement d'office, pré séquestration capable de constituer sinon créer des preuves constituées et constituées de toutes pièces et méthodes de torture ineffables, preuves dites irréfutables destinées à justifier ce placement. Pour justifier d'un état qui nécessite quelque lobotomie ou résection de cervelet, à titre de prévention à un placement décrété nécessaire pour trop grande perspicacité lucide que je ferais. Amputation pour droits imputés, invoqués, de le devoir dans le devoir de partouzer de la partouze de pouvoir absolu, totale et absolue, au nom de la partouze publique, et privée.

D'autant plus que l'opération du cerveau est déjà en soi un viol collectif à elle seule, viol dit thérapeutique à tel point que l'on n'y voit plus la notion de viol en soi. Pratiqué au domicile du dit aliéné ou en pavillon. Viols décompensés que font les prisonniers d’opinion ainsi traités. De toutes nourritures cancérigènes, en état éternel de surniutrition, ou laissés faméliques, manquant dérisoirement de fer comme de fers à repasser tant maintenus dans la misère noire qui les fait dire anorexiques, torchés aux électrochocs s'ils manque de papier WC comme de papier monnaie, la pauvreté depuis ces périodes de récession, une vilaine manie (morale de Voltaire concerant les serfs et manants de son époque), à traiter de façon nazie..

Après avoir pollué mon cerveau et ma mémoire de cette affaire qui dure depuis une trentaine d’année, certains de ces psys du secteur 2 de psychiatrie de Montpellier, entre autres ceux comme par hasard du point de repère, ont proposé la lobotomie des centres nerveux contenant l’affaire et de m’en rendre amnésique de façon totale et parfaite, amnésie totale ou partielle, ne concernant dans ce cas que la mémoire immédiate de mes discours et plaidoyers (maintenus assez longtemps sous une foire aux trépans er tasers digne de m’attribuer l’accusation de logorrhéique), se cela pouvait me soulager, et l’ont entrepris, razziant zones frontales, occipitales, pariétales, nasales et de la mémoire. L'on ne va pas tout de même leur appeler l'exorciste pour les déposséder de leur foi de m'abattre et exécuter.

Les douleurs causées par la torture physique préparatoire et préalable au placement, considérées, au plus simple algie, sinon hallucinatoires, selon le degré d’aveu et de confidence du fait précité.

Le militant militant de sa libre entreprise de dénonciation des fait de ce capitalisme désossé, décortiqué, jusqu'à l'acculement sinon au suicide, du moins au militantisme par la loi des tapages des grandes campagnes électorales. sous peine de devoir murmurer sous les bruits de bottes doit prendre. L’effet de croute sur le nez tant tapé seulement cénesthésique chez moi selon la médecine, ambiante. .

Les grands tempéraments du siècle se retrouvant à l'asile, n'en ressortant que faibles d'esprit et maintenus dans cet état, par les violences citées dans ce livre, ivres saouls de traitements, commotions et opérations à anesthésiques du cerveau, du système nerveux, jusques dans les parties sensibles, d'où le degré d'ébriété et de vertiges, malaises imminents, les faisant croire quand ils ont la tête qui tourne de tournis, la tète donc d'près le rapport, un peu tournée, d'un air intrigué.

Quand chez ces gens le neuroleptique soigne l'effet du Prozac que l'on doit prendre en de se faire pendre la soupe et le bain en termes d'argot, le ventre pour le four... L'effet de croute sur le nez tant tapé seulement cénesthésique chez moi selon la médecine, ambiante.

N'examinant que les dégâts commis et ne retenant que ces séquelles et réaction à leur action de pogrom sur la nation à titre de signes de la maladie. La médecine réduite à cet artéfact de science là. Le voir venir de loin considéré par certains voyance-extra-lucide.

La gégène, ou poste à soudure de quelque façon qu'elle se présente, une simple façon de boxer, mais qui quand elle est pratiquée à longueur de temps, peut tuer, librement assassiner, les personnes encore lucides de cette société, au sein même de leur famille, totalement incapable et dans un état de démence à effrayer, personnes ciblées, triées sur le volet, maintenues dans un état apparent sinon encore sans séquelles, de la maladie mentale, sinon physique, dans ce cas réelle autant que bras cassé, à éternellement faire semblant de réparer.

Tous psy ayant au nom d'un privilège de caste, participé de près ou de loin, ne serait que dans la complicité du fait ou par assistance à personne en danger, aux viols ici précités. Il fallait si l’on ne se l’avouait, passer à confesse, direct.

Certains de ces bruits de bottes et prévarications, réduisant à respirer au respirateur après lobotomie électrique, le cerveau brulé au dernier degré en plus du fait d'avoir été cogné dans les zones cérébrales repérées pour être la cause du délit d'intellectualisme subversif, voire journalistique contestataire. aussi il fallait être con pour leur en dire un rien, devoir de se taire, autant que sous nazis, s'ils n'en sont.

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Incroyable mais vrai, adage bien français, si tant inconcevable qu'irréel, à force de creuser des trous dans les cervelles, ils vont finir par trouver du pétrole.

L’usage en continu de la gégène, un simple rhume de cerveau, nécessitant les gros moyens, selon l’avis de la médecine.

L'injection retard remarquée par faisceau jusqu'au mélanome fessier, dont, le mien.


Faites vous lobotomiser par nos électriciens plombiers quand ils viennent vous border, si vous ne faites après leur visite précédente que border-line, Van Damme... Et secouer l'abricotier, terme technique de métier. Cachez vous après cela et prenez vos cachets. Le bon voisinage dans tous les cas très compréhensif, empoignant tout ce qui peut se trouver sous leur main qui pourrait trouver là usage de poste à soudure ah la vilaine, tabassent à la gégène que ces objets parfois simple matériel de guerre à tester su cobaye à suc à sucer improvisé, tout individu qui s'opposera à leur présence sur terre, mais non ne les crevez. Ils ne vont certainement pas m’envoyer des bleuets le jour de ma mort de poète, à moins que cela ne soit pure injure.

C’est un conflit national en effet. Portant sur les méthodes choisies de pénalité envers des déments criminels. Trouvez, trouvons, d’autres méthodes quand elles résident dans la prévention, pas n’importe laquelle, la méthode pédagogique n’y suffisant., les traitements en cours de la maladie inefficaces à dangereux pour la vie, basés sur la maltraitance, le viol, le sévice ordurier, l’exaction de barbouze, les violences physiques, mentales, et la torture bref dans tous les sens du terme, le poste à soudure de quelque façon qu'il existe et sous toutes ses formes actuelles, servant de source d'inspiration à l'écrivain journaliste s'il ne souhaite donner ses sources...

Pour en revenir aux implants et faisceaux les simulant, réseaux de prostituées issues de la même prostitution infantile dans les familles, femmes et peut-être hommes qui en proviennent les portant, torturé(es) par ces prothèses électroniques, causant ablations de zones cérébrales contenant leurs luttes, réparties implacables et raisonnements, parties civiles et plaidoyers extirpés au cours de longs interrogatoires, qui pourraient les faire gagner en procédure contre ces médecins proxénètes et leurs acolytes, qui les tiennent et détiennent. De ces implants causant deux viols jusqu’à l’orgasme par heure, maintenus éternellement allumés, fonctionnant sur pile atomique au lithium implantée dans le corps. Implants placés jusques dans sinus, mastoïdiens ou rochers, maxiliiaires et frontaux, causant les maux et maladies des personnes de mon entourage, maladies voulues chez moi, dont tumeur dans le cervelet gauche et droit. Organe ne concernant je le rappelle si cela est méconnu de certains, que les fonctions vitales naturelles et organiques du corps.

Implants électriques électroniques manipulés par drogués alcooliques, faisceaux à fous dangereux et gangsters logeant dans le dit voisinage, commettant en harcèlements de leur mains résections mutilatoires de cervelet et de lobes cérébraux, tant rongés de courants et décharges électriques que réséqués à la longue, ablavés dans des opérations de longue durée voire plusieurs ans, sinon détruits à vif de décharges et amputés ensuite avec ouverture des os. Histoire de loger une balle de plus dans le crâne, ou la nuque d'un prisonnier d'opinion qui l’on s’en plaint chez les médecins, n’en meurent que sur la table d’opération. Plutôt que dans leur lit, s'il faut mourir. Filles, hommes tenus de médecins jeunes et vieux proxénètes et véreux, usant de la torture médicale dans leur parties de viols dites fantaisies pour leur amusement, gains et profits, sur fille de joie placée sous l'étiquette de la maladie dans appartements maisons d’entrainement voire d’abattage sinon en pavillons disciplinaires aux même fonctions, victime, elle aussi, de cette gigantesque farce politique et escroquerie à la Cotorep, à la sécurité Sociale et fraude judiciaire gravissime. Certaines prostituées jusques dans leur emploi, parfois administratif. Avec la complicité des familles. Dans les tortures de république cotonnière. Ou coup de bambou. Sans autre forme de commentaire.

Comment les lobotomies quand elles ne sont pas permises sont pratiquées par la ruse. Décrétées signes de mélancolie hallucinatoire à mégalomanie, sinon, autre façons chez certains artistes, un peu trop subversifs, donc un peu fous (de se heurter à ce rempart), de se faire remarquer.

Arasant des zones cérébrales entières telles les zones de la vue, pour l’interprétation du mot homonymique de centre nerveux de la vision (hallucinatoire), la vue étant la vision en soi, depuis les premiers temps de la médecine. Terme conflictuel autant que l’interprétation par la médecine, la psychiatrie et la loi, des mots à homonymes tels mousse petit mousse ou mousse de salive), voix (du langage parlé, de chant, ou intérieure, donc automatiquement hallucinatoire et acouphène, terme technique), filles bien en fait terme désignant les chic filles dites bien donc stables mentalement pendant leur traite, selon les lois des trois capitaines d’orgie, chanson entre autres de Brassens ou la chanson d’Hélène, s'attaquant aux filles soutien de la démocratie et de l'intelligenstia. les avocats du diable qu'ils représentent au sein des populations et dont ils font perdurer le mythe, jouant sur les mots. Jusqu'aux senteurs orgiaques de gruyère génital de nombril et smegma,au jambon de curé et charcuterie pour tout acte de boucher charcuteur ou charcutier destiné à vous mettre les jointures en culs, parfums de l'obscène. D'où le taux de suicides en France.

Ne laissant en vie que les attardés et assez arriérés de bêtise pour qu'ils ne soient opérés, cela serait leur ablaver le peu qu'il leur reste d'idée, sauvés de la lobotomie par la connerie triomphante de la borne ambiante.

Dans une politique de la razzia des dons et facultés de l’intelligentsia et de parties de rétiaires contre Goliath. Seules les bourriques épargnées. De la moindre à la plus proliférente.

Les médecins légistes, entre autres médecins véreux, attestant le suicide de la moitié de la France et des français trouvés morts décédés, parce que certains morts encore vivants, médecins donc qui la gégène entre les couilles à les entendre dire, déclarent la mort naturelle, accidentelle, ou suicidaire du condamné à périr ou mort de mort violente ou lente, s'il s'agit en effet d'un suicide de se heurter à cette machination. infernale. Avec toute mort, naturelle en soi, cela va de soi.

C'est moi qui faisait petit monstre de la famille ensuite vu le gros génie de mon père qui de son cornet acoustique électronique, j'ai toujours eu du mal avec les machines, a bricolé son témoignage avec ce qu'il a bien voulu entendre du mien, ne voulant entendre que ce qu'il veut bien comprendre. Si le gros problème du père doit être le mien, si je dois absolument en souffrir d'un.


Permettez le peu.

Question de machine, ce n'est pas à l'emporte-pièce que de chez lui ils font trépaner mais au rayon d'oncologie décortiqueur de noyaux d'abricots de pêches et vieilles noix, et lasers ablaveurs de rectum de cochon en chaîne d'abattage, sic Science et Vie des années 80. l'on y comprend pourquoi éditer ce genre de livre peut faire très mal. Évitez le café pour éviter dans ce cas de leur tomber sur la gueule. Faites vous lobotomiser par nos électriciens plombiers quand ils viennent vous border, si vous ne faites après leur visite précédente que border-line, Van Damme...

Incroyable mais vrai, adage bien français, si tant inconcevable qu'irréel, à force de creuser, ils vont finir par trouver du pétrole.

T'en fais pas mon p'tit loup, dira Pierre Péret, vivre malgré tout, sans le Prozac pour autant.

C’est bon les bonbons, après cela, dirait Jacques Brel.

L’usage en continu de la gégène, ou tire-comédon pour les peaux sensibles avec tendance à l'acné chez les boutonneux, avec persécution nasale, j’ai dû relire Fluide Glacial sans le savoir, un simple rhume de cerveau, nécessitant les gros moyens, selon l’avis de la médecine

L'esprit, les mots d'esprit jugés folie jusqu'à la neurasthénie, suivie de mélancolie, au vu et au su des méthodes indiquées.

Les personnes en crise traités à domicile au grand dam de leurs entourages, voisinages et familles, empoisonnés jusqu'au handicap de ce fait d'arme là, jusqu'à ce que les persnnes malades traitées ne réclament d'elles même que le placement libre, en pavillon psychiatrique, une fois guéries de cette phase.

L'opinion, ce qui constitue l'identité même de l'individu et du citoyen remise en question, qualifiée de, traitée en raisonnement profond de malade mental, opérée dans le système nerveux qui la constitue et assure son existence, voire sa survie.

Le cerveau encore organique chez nos médecins, c'est bien pour cela qu'ils ne s'en prennent aussi au mien, si l'esprit ne devait y tenir qu’au bon Dieu, ils ne s'en prendraient qu'à lui. Vivez la science et l'esprit scientifique chez vous, de chez vous, in vivo sans risquer le placement. Ce n'est pas que le temps des fleurs, chez eux. La république une simple notion d’expression libérale, terme récupéré par le capitalisme, et signifiant à son origine libertaire.

Ablation de la mémoire immédiate, qui repoussera en principe, de grosse bouffe avec collutoire requis de l'asile psy pour adjuvant.

Ah ça l'ablation des deux cervelets, si c'est une farce nazie, peut être mortelle à vous envoyer au cimetière, direct. Ils tireraient à bout pourtant si ce n’est de loin sur la cervelet de l’humoriste pamphlétaire trop caricaturiste et libertaire pour l’accuser de mélancolie et d’esprit suicidaire, je rajouterai, de se heurter à eux. J’ai gagné le procès qui m’est fait, mais après résection de la zone en question de mes notions. sur 'affaire. Et après cela, l’affaire est close. Que j’écrase devant, aucune réplique admise, sinon moi-même en placement illicite.

Amuseur amuseur du fait qu’il respire la fume de moquette des ménages qui l’entourent ou gaz hilarants à le laisser sur le tapis, l’alcool à 90° alcool de ménage chez eux, sinon alcool à boire. amuseur public dit atteint de mélancolie s'il ne fume ni ne consomme du haschisch, visez le bakchich. Si quand ils viennent chez moi me piquer l’on me retrouve ensuite en état second pour trait de cocaïne ou de résine de canabiol injecté, ils ne vont pas le voir venir.

Dans ce système de prévarications, les peaux-rouges voient rouge, les blacks travaillent au black, les petits chinois travaillent dans les usines en tant que jaunes, et les verts finissent par croire aux extraterrestres sinon au vert cadavre, verts de rage. Les juifs broient du noir, les rabbins on les rabbine, et les hindous, restent hein, doux, mais vert olive sinon vert macchabée, si l'on veut que cela reste ma couleur politique.

Vous avez essayé de faire courir un chien sans rate ? Vous voyez alors un chien courir comme un dératé, avant de s'effondrer mort, dératé. L’attache en prime de l’oreille, forée, pôle ou chakra magnétique hypersensible en fait. A titre d'expérimentation. Histoire de vous brûler la cervelle un rien sinon d'avantage. Jusqu'à la dépilation électrique totale ou partielle des nerfs et cheveux. Histoire de vous en raboter le cerveau. A faire énervé. Enervé, ou petit être les nerfs arrachés à vif, supplice du Moyen Age autant que celui de l'écorché .

Histoire de vivre un rien dans les psychodrames du père et de ses Aryens.

Bizarrement de ces expérimentations scientifiques, l’on en trouve, par médecins attitrés et patentés, des cas, de comas prolongés ou cathexis catatoniques maintenues sciemment en cathexis catatonique, anorexie déclenchées indurées et état second savamment maintenus en états seconds, histoire là le de les faire traiter, une bonne fois pour toutes. Du moment que vous ne voyez que des éléphants roses au pays des socialistes.

M'auront détruit ou à peu près le cervelet pour des hallucinations auditives qu'ils auront eues, causées par l'usage intempestif du haschisch mêlé à l'alcool, jusqu'à m'entendre hurler, après leur voir crié après. Longtemps. Trépanant à l’électrode jusqu’à perte totale de mémoire de ce trafic, allant du simple fait divers de la rixe destinée çà faire punir un individu choisi, au trafic d’appareils de chauffe irradiant dans les établissements psychiatriques, destinés à créer des soi-disant agités, en fait fortement irradiés jusqu’à l’aspect frite belge, persécutés dans la tournante psychiatrique afin de causer leur mutisme sur l’affaire. de trafic d'armes de prostituées qu'il constitue, de médicaments, d'influence et crimes politiques crimes enf fait parfait. Cercle vicieux de la spirale dite schizophrène. Ont cru m'entendre.

L'on n'a pas à faire avaler aux français la couleuvre supplémentaire et la pilule amère de l'usage de la torture médicale, électrique, psychiatrique dans le pays, au nom du bien fondé d'une légitimité du fait de la lutte contre la criminalité des malades mentaux, criminalisation de leur cas, comparé à celui de la délinquance maintenue dans le triomphe des trafics multiples et des plus avariés prenant naissance au sein des établissements psychiatriques, des usagers de la drogue et de l'alcool. au nom d'un fascisme ambiant décrétant que la torture et la bonne est nécessaire en cas d'application de peine, psychiatrisée pour la plupart des citoyens, sauf pour les immigrés d'origine arabe, ceux-ci et les drogués n'ayant droit qu'à la prison. Politique de Jacques Blanc et Manville, de l’ensemble des secteurs psychiatriques qui leur lècheront les bottes dans tout le sens du cirage à la blennorragie de leurs bordels et hôtels borgnes pour se répéter. Cf. Le film Ghotic à ce sujet. Et la mafia dans ce cas est toujours russe, ou américaine.

Le forfait hospitalier, forfait du crime parfait bref, véritable forfaiture, leur forfait accompli.

Vivez en toute sérénité au milieu de leurs bandes de casseurs en bande...

Représailles de Brès quand pour moi on l'appelle et défilé des psys chez moi en conséquence. qui eux àç vous mettre la gégène entre les coucougnettes se font des couilles en or. Et ne sont pas de ce fait à l'UDAF pour autant.

Politique de Jacks les Éventreurs. a vous arracher jusqu'au trognon, de bonne pomme, ou de poire bien juteuse. Traitée en brave femme parce que fort brave.Brave femme ou bonne femme de ces caques qu'elle doit devenir et rester. Chaque pavillon psychiatrique son air de biniou, à vous tabasser jusqu'au dessous du kilt. Digne de l'Ulster.

Les effets plafonnements des traitements pris pour faits de la maladie, autant en milieu hospitalier que dans la population, non mais l'on ne va pas m'en faire tout un fromage de tapette à souris, Sapeur Camembert, pour savoir avec qui j'ai couché après l'affaire Cleastrem. De la part de l'Institut BVA. Inutile de m’en faire une tête de phasme, ou truxale, bref, le truc sale ou sale truc. Après la phase truc sale. et le machin truc derrière l'oreille, voire dans le nerf chiatique. Et je n’ai pas fumé un tarpé ni ne suis une des filles de joie, de l’établissement, du moins.

Les voix des commères hurlantes et vieilles harpies en campagnes vociférantes considérées voix de la dissociation du moi que je ferais, entre autres personnes persécutées de ces vieilles miliciennes et intervenants à leur affaire.

Appareils de chauffe dit de chauffage, irradiant fortement ou fours micro-ondes, appareils de guerre totale ou guerre nucléaire, disposés, placés dans appartements mitoyens à ceux des personnes à déloger. Jusqu'au coup de soleil, brûlures en plaques, naevi vitrifiés, déstabilisés, en mélanomes, fortes irritations, micro-taillades et peaux fendillées, incommodations voire insolations. Causes de cancers et cancers généralisés dans le pays. Ou bien appareils à faisceaux micro-ondes et lasers de type anti-tempête (paru dans les informations télévisées), version modèles réduits, testés étudiés actuellement sur la moitié de la population, dans la pratique du viol accompagné de torture.

Agissement en France, intolérables ne se contentant que de la prière en tant que seule action. Générations bananes issues du régime de république bannière, au sein d'un chargement collectif de pituitaires des années et décennies précédentes, causés par les essais thérapeutiques de produits médicamenteux tels le Surfarlène et l'Orap, très salivants et excédentsles glandes salivaires dites pituitaires, au seins des hôpitaux et familles, incompréhensives et ne se doutant de rien. Fraude induisant au suplice de ces damnés de la science.

Ah s'il faut ensuite des comprimés de brome à toutes les filles violées qu'iis font ces mâtons d'hôpitaux jusques parmi les hommes et les enfants de ces établissements parce qu'on les viole jusques par le plaisir, par pur plaisir d'infliger cette torture suplméentaire....

Ou motion de censure à l’encontre de la politique ces établissements, qui tiennent de l’établissement pénitentiaire, faisant forcing dans l’espoir d’infliger le fascisme à la France, dans des doses supplémentaires à ce qui préexiste déjà.

Depuis qu'à la Villette l'on tranche le lard, dès les 5 heures du matin, que les loups sont dans la villeet que l'on en peut plus depuis Freud dénommer les nazis qu'ainsi. Bref, sous la dénomination de loups, Homme aux loups et l'Homme est un loup pour l'Homme.

Mes deux sourcils enfoncés délibérément dans la face des tabassages constants, pour le mot malheureux de primates dont j'avais qualifié des agresseurs, entre autres mouchards, à l'étage supérieur.Cf. la chanson de Renaud sur les petites bourgeoises blondasses pétasses maquillées comme un carré d'as, qui leur foutent les glandes, casse toi tu pues laisse les nibards et marche à l'ombre, sur le sujet, dès que cela sent le cramé ou le rousti. C'est moi qui fait la pétasse.

Quant à ces services de police et médicaux, c'est se tirer une balle dans le crâne à la roulette russe que se les faire appeler.

Matraquades pointées pratiquées jusqu’au coït, constantes.

La vérité sort de la bouche des enfants, et des grands enfants.

Au pays des aveugles les borgnes sont rois.

Fleur de Farine, celle du dessus, ou moi, le duel, prête à faire bonne pâte et pas pizza. Bref, écorchée vive en écorché. Ou Scalp d'indien.

Les familles de ce pays et d'occident au pays des aveugles, torche cul de pauvre et d'intellectuel de gauche plus borgnes-rois même sans le vouloir, aveuglées d'œdipe, que le Borgne national, depuis les hauts temps de l'Antiquité et bien avant la venue du Borgne et de son Hôtel Borgne sur terre.

Et le Scrat, je crois, c’est le truc récurrent ou vision récurrente qui revient.

Ne supportant la moindre incartade à la loi des voisins et voisines en fraude, certaines de ces incartades très violentes à mon encontre, et me punissant par électrochocs pour ces fraudes et outrages à la loi commis envers ma personne.

Arrachant mes cheveux et nerfs de mon système nerveux pour leur moitié, espérant les faire repousser de gavage de type Mussolinien, par intubation et alimentation artificielle, prétextant l’anorexie chez moi, supplice chrétien connu sous l’Inquisition de l’eau, du lait, des œufs et de l’aliment, au cours de fantaisies orgiaque de voisinages malintentionnés et nuisibles pour la santé, dangereux pour la vie.

Médecins, infirmiers, n’appréciant le type de réparties que j’ai quand ces locataires mitoyens ou de l’HLM d’eux même me prostituent sous la contrefaçon d’électrode et la contrefaçon de ces appareils à électrochocs qu’ils détiennent et dont ils se servent en tant qu’armes d’attaque et non de self-défense, prétendant les étudier sur eux. En usant pour commettre violences tortures et viols répétés et répétitifs jour et nuit, en usant aussi pour leurs loisirs, instants de détente défoulement et amusements sur ma personne .me tombant dessus à la moindre allégation vite crue sans façon sur ma vie intime et privée, de ces voisinages et commères du quartier pour commettre ces électrochocs sur la surface de mon crâne, tout comme sur femme battue ou prostituée pour la corriger par raclées afin quelle ne bronche ni ne bouche, ni ose les dénoncer. les bouibouis de la ville utilisant les services de ce CHR ainsi que les cliniques privées au même titre que hommes de main destinés à se faire respecter auprès des personnes impliquées et formes de prostituées que je représente à leur yeux et leur suis pour un délit d'opinion que je ferais envers eux et n'avouent ni ne reconnaissent sinon entre eux et parmi leurs complices.

M’interdisant par l’interdit de ces armes qui peuvent aller jusqu’à tuer, tout nettoyage de mon corps et de mes logements successifs. Interdit que je transgresse et qui me vaut chaque jour amputations de lobes cérébraux en partie, au grand complet sii trop longtemps je persiste à poursuivre mes tâches et corvées, devoirs tels le rangement, de mes documents administratifs et à assurer la maintenance de ma vie, de mon appartement, rendu impraticable et inaccessible autant que celui de mère-grand, placée en maison de retraite car appartement rendu impraticable voire dangereux pour sa vie car maintenu en joue sous le feu constant et continuel de ces armes et engins à l’étage supérieur, parfois des étages inférieurs. Dans un tel appartement suis restée quand même, d’où les dégâts corporels et au niveau de la santé physique.

Personnes du voisinage arguant que le proxénétisme en France permis seule la prostitution condamnée si devant être obligatoire. Se faire arracher lobes cérébraux et nerfs du système nerveux ou se les faire détruire, crémés, considéré moins grave que se faire arracher dents de mâchoire ou même œil par coups de poings.

Défense de me redonner du prozac pour que je renaisse de mes cendres, incinérée en partie et tuée raide net, d’électrochocs trop déphasants ou trop stimulants passant de l’un à l’autre, agrémentés d’aphrodisiaques alimentaires, dont les oeufs, permettant l’orgasme de l’épilepsie sans fausser les système nerveux génital, le gavage quotidien aux œufs en quantités nécessaire à ces fins, trop dangereux pour mon cancer. Seul ménagement possible à l’affaire.

Me tombant parfois et à leur heure, sur une de mes oreilles, en réséquant le pourtour, espérant y lobotomiser les centres nerveux de l’écoute en moi, utiles en cas de concert chez moi si cela se trouve que j’en organise encore, selon Mr Manville l’Art devant chez l’Handicapé se limiter à l’Art Thérapie et éviter à tout prix de se faire remarquer, et devant renoncer à socialement percoler, braquée en toute occasion dans toute zone ou aire mortelle du corps.

Poursuivie pour la qualité et le niveau de mes discours.


Mes agresseurs cherchant à tuer sans se faire remarquer, résolvant au silence du meurtre parfait par méthodes de violences allant de l’ablation progressive des deux cervelets, devant être entre–temps séparés maintenus bien écartés autant fessiers dans violade, jusqu’a l’étouffement des cris par appareil irradiant braqué sur larynx et poitrine, au niveau de l’appareil cardiaque. Cuisante les chairs du corps et de la tête jusqu’à l’odeur de viande frite, le sang maintes fois réduit au jus de viande cuite ; eux cherchant le nerf vital dans le cervelet, maintenant le corps en vie, et qu’ils pourraient tuer, le rongeant lentement, dans l’espoir de me faire décéder de mort lente après plusieurs tentative répétées chaque année de me tuer de mort violente.

Faisant accroire à une lente maladie dégénérative dont je souffrirais et mourrais.

S’introduisant dans mes domiciles à la façon des services secrets.

L’administration française, les services médicaux et spéciaux, feraient passer l’Inquisition et le nazisme en force dans le pays, personne ne s’en apercevrait. Ce qui induit l’appellation « d‘idées bizarres » que je ferais.

En résumé, je dépose plainte contre les personnes auteurs et responsables de ces faits là, tous ou à peu près anonymes, sauf Mr. Rivière et ses complices, étage huit au dessus de mon appartement, pour :

Viols avec violences en collège et réunion, viols à titre thérapeutique, espionnage constant, ingérence et maintenance à main armée de ma vie intime et privée, recel d'armes non conventionnelles et de nouvelles technologies non encore reconnues dans les services médicaux, sans port d'arme et trafic d’armes, issues du trafic de drogue de la prostitution et du proxénétisme, ingérence dans la vie privée, torture, torture médicale, maltraitance, barbarie et actes de cruauté, voire crimes contre l'humanité, tentatives réitérées d'homicide, actes de proxénétisme, sévices, voies de fait, coups et blessures, violences aggravées en vue d'expérimentations scientifiques sauvages ou à titre de représailles, simple expérimentation personnelle ou violence gratuite. Pratique de la neurologie à titre d’acte de neurochirurgie avec armement de courte et faible portée à titre d’instruments de soin.. Torture rituelle par implants. Charivaris. Incitation à la haine raciale, discrimination raciale sociale sexuelle et ethnique, ségrégation et apartheid, Effets de procédures illicites diffamatoires, de tribunaux d’exception, détournements de lois en vue de faux placements d’office, illicites, à domicile suivis de placements véritables destinés à officialiser et prolonger ceux qui précédaient, exercice illicite de la médecine, expérimentation sauvage sans anesthésiques, association de malfaiteurs corruption de fonctionnaires et racket dans le but de prostituer, humilier, dégrader la vie et la santé par profit et amusement, atteinte à la vie privée, expéditions punitives, usurpation d’identité, destructions de preuves physiques, faux en justice et en écritures, effet de bureaucratie soviétique, nazie et de secte. pénalités illégales.

Mon infirmité consécutive à ces faits, niée et reniée, traitée en refus d’obtempérer pour un travail rend obligatoire autant que sous STO.

Ainsi qu’enfreinte aux articles de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, à la Charte des Malades et aux droits du Code Civil.

Trop de fous dangereux du secteur 2 et du secteur de santé mentale de Lapeyronnie, certains leur ayant fugué, laissés en liberté, libres d’exercer contrôle et maintenance envers ma vie privée.

Je réclame leur enfermement en pavillon psychiatrique pour un temps durable et une mise en liberté sous contrôle médical à vie avec obligation de soins. Je réclame également sanctions pénales égales envers les médecins et personnels médicaux qui les auront laissés m'attenter à mettre ma vie et ma santé en danger. A force de lobotomies d'électrocutions constantes, viols (2 par heure ces temps derniers) coups et blessures, pour ma non violence face à une voisine et ses acolytes en état de meurtre sur moi depuis des ans et de mois.


Qui ne l’auront que perçu dans leur moi profond, ce genre de viol thérapeutique, équilibrés du repas équilibré, sucé en sus. Pour le bonheur des français, qui se repassent la soupe dans le casque de l'Allemand du STO depuis les années 40. Rien que du lourd.

Pratiques médicales allant plus loin dans ses tortures et violences, que la Gestapo, qui à celles ci n’y aurait même pas pensé, poussant le vice suprême de ce pouvoir absolu à ce point-là.

Accompagné d’un contrôle étatique de la virginité, à perdre en âge et heure voulus.

La France se comptant en cerveaux non lobotomisés, très rares dans ce pays. Autrement dit, vague de lobotomies en France, en roulement de lits hospitaliers au foyer des personnes ou pas. Depuis la fermeture de bon nombre des lits autant qu'à Trieste, en cours depuis Berlusconi en Italie, je me permets préciser, et sa mafia., introduite ainsi sur le sol français par le parti communiste en personne. Opérations du cerveau. Ne serait-ce que de main de neurochirurgiens ou neurologues patentés privés ou non arrivés là, opérant sur place même s’il le faut. Le plus souvent à l‘insu du patient, ignorant du fait ou vaguement conscient de sa résection sans toutefois s’en douter.

Il faudra faire signer l’Amnistie à l’Etat en état de guerre armée envers la démocratie de l’Encyclopédie avant que cette France ne finisse éclopée des principes et idéaux dont elle se charge depuis les premiers tems de l’humanisme et des idées libertaires si c’est trop demander au psychiatres que les respecter sans les considérer maladie mentale grave, à réséquer. Mines anti-personnel dites anti-char de gauche à eux seuls, quand ils n’ont pas leur canon sur la cervelle, pour s’éviter le pire.

Quand les psys se marient à la Médecine, visant au porte-monnaie comme entre les deux yeux, se faisant un temps la main sur vous, vous leur servez d’huile de coude et de ménage, s’ils n’ont de temps pour les plaisirs du mariage, vous non plus, mais ils préfèrent user du viol thérapeutique, si c’est normal chez eux, c’est bizarre chez vous, et si vous en mourez, c’est perso, dès que vous êtes belle comme personne. Là, d’amis, plus rien. Je me meurs de constater.

Heureusement que je décrypte, inassouvie que je suis. Mal baisée aux électrodes seulement.

Et vous souffrez d’insomnie ?

Ta gueule Cassandre.

Tête à clope et cataclope. La moitié du cerveau de la raison ablavé, il ne vous restait plus que le cerveau du subconscient pour faire rêver, autrement-dit, acceptez votre lobo et faites de la poésie, dixit, le mafiosi. Ou le Pierre qui vous a tant fait voir les pierres, Pierre Montalti ou Manville, vous avez le choix dans les parrains de cette mafia.

Et s’il ne faut pas faire tête brûlée un rien, toujours des services spéciaux, après vous et refait griller la cervelle, juste un peu. Ils seraient capable de parachever Gainsbourg, s'il vivait encore et n'avait pas décédé à temps, au chalumeau.

La joie de l’Europe, l'humour l'esprit et le bonheur des français ne tenant qu’à l’effet hilarant, Hillary, des électrochocs. Période de la Prohibition, de l'alcool et du café, jugés trop énervants pour le français. en cause la révolte publique en fonction des états d 'âme de Sarkozy agissant dans le pays, autrement-dit, état de répression pure.

Un mafioso des mafiosi, autant que les spaghettis, à la sauce au gros rouge, qui tiennent le ventre et aident à l’effort du cycliste à la bécane ou monsieur l’esprit lumière depuis les Frères Lumière, cela vous vient très rapidement, pour le travail, famille patrie, partie . Autrement dit le résiné à Lapeyronie. Mairet s’emparant de la ville, le gauchiste né trop à gauche la patte goye pour s’être fait tabasser ne marchant droit s'il marche à gauche, devant pour son trop grand répondant marcher à droite et raser les murs droit, au pieds du mur (de l'asile) en imper gris et en comptant sur le piston. Quitte à servir de passe-muraille, sans passe-droit ni couverture, autre que sociale. Il fallait là se faire admettre, sinon se faire admettre, mais à Mairet et se faire feller. Dans l’esprit de claustration ou enfermement thérapeutique, fondu de charisme, prêt à fonder association s’il le faut antisémite ou antijuif. Il n’y a pas de déshonneur à cela, ce n’est que votre sentiment d’indignité . Question de sémantique.

Innés dans le combat, récupérés de tous bords pour combat de gauchiste d’apparat, officiers de réserve de psys en mal de les mobiliser pour la dernière guerre à faire, servant à tout autant que la religion et le cochon de la religion en qui tout est bon, réutilisés pour la patrie autant que les derniers juifs de la terre jusqu’à la dernière corne de leurs cerveau et même celle de leurs pieds, ou sabots de veaux, Adoubés à la partouze à lobotomies au saut du lit et parties de guêtres à électrodes jusqu’à l’amputation, bien au chaud chez soi. Histoire de travailler à se défaire de cela jusqu’au rut céleste sur le dernier coït en attendant que l’on finisse de se calmer sur eux.

A dix dessus pour un fou rire ou une idée mal perçue, le bon mot qui tue, cause, l’euphorisation légère due aux électrochocs ou séismoconvulsothérapies, en sus de la charte des médicaments du Québec, cf. site Internet de l’Agidd. Ou la bonne idée qui passe auprès de la gauche et qu’il faudrait faire passer avec les embrocations de la droite, récupérée par fanatismes extrémistes de tous bord .

Electrochocs, à l’origine produit du capitalisme naissant récupéré à des fins thérapeutiques des abattoirs ou pistolet électrique percuteur paralysant, placé entre les deux yeux de l’animal., depuis dans les abattoirs l’on a fait pire, avec le pistolet à tirette, embrochant d’une tige de métal percutante le cerveau de la bête à abattre. Mais chez l’homme l’on n’en meurt pas forcément. Des nouvelles trouvailles de la technologie scientifique, sensées améliorer la vie quotidienne du malade, et ne pas faire semblant de l’exécuter, pour la plupart du temps.

Cassant jusques chez la secrétaire dactylo en fonction le cerveau et son système nerveux la gueule, la gaule en cas de gaule, ou mat à fausser dans sa dernière mâture, faisant sauter et griller la cervelle à l’occasion, exécution sommaire faisant de leurs rescapés des personnes dites vulnérables, velléitaire envers totue action nocive ou contraire à vie qui leur serait faite et commise, jusqu'aux faits du proxénétisme y compris, facilement roulalbes et escroquable du fait du raquet par l'Etat instauré sur ces têtes. Rétablissant par le biais des établissements psychiatriques et pénitentiaires, le FIS et le SAC en France tel qu’il a toujours régné.

Selon la restriction « ne que » (elle ne subit que des tortures) attestant, signifiant dans el double langage employé, que les tortures n’y suffiraient. Incitation à la peine de mort par exécution sommaire. Exaction.

Le secret de Jacques Blanc et de Manville, hurler au loup qui vous égorge de vivre dans son canapé-lit madame Récamier, quitte à vous égorger tel poulet façon fermière pour vous y faire chanter la Marseillaise à lobomiser. A moins de leur chanter l'Internationale ou l' Ami entends-tu, je ne vois pas, l'on considère néant le chant des Loups et pit-bull de la ville entre autres, zzzz, pas glop, non, molossoïdes nazis qui crisent, crient et courent sus au Loup et à la bête de Gévaudan jusqu'à ce qu'il y en ait un de genre Louve Romaine telle que moi-même, et celle là, précisément, voit des Loups dans la Ville partout. Entre autres fascistes en blouses blanches mais ce n'est pas grave.

Boîtes de Pandore que ces pavillons et HLM, où ils règnent, réséquant vote moitié de cervelle comme autant de moitié de couille pour ce que vous aviez eu de couille de leur dire, quand précédemment ils vous réséquaient, pour votre ventre à leur signaler que, etc.

Faites quelque chose ou celle du dessus je la finis au hachoir.

Médecine corrompue de Médecins Assassins prosoviétiques ou pronazis, fascistes en somme, laissant la région la peur régnant sur la ville, à Jacques Blanc et Mr. Manville, terrorisme hitlérien sinon mussolinien si vous en souffrez de mélancolie, passant à la politique de terreur, politique d'extrême droite qui passe en forcing de manœuvres politiques d’envergure et de masses. Pendant que Manville ses pendants collatéraux et complices, comptent les fautes stylistiques et de frappe, d'opinion et de goût de ses secrétaires travaillant la tête sous le tranchet, parfois le cerveau foulé lésé refoulé et relésé depuis la dernière entorse judiciaire la piqure sur le cul aussi, personnels administratifs et autres artistes du genre qu’ils envoient au billot sinon au bucher. Entre le four et le moulin, finies parachevées au laser–trépan. Entre autres moi. Et arrêtez de râler quand l'on vous aime.

Moi, D'ailleurs toujours en relation morbide avec être morbide pour lequel il faut que l'on m'opère, lui non pas. Resté libre de cela et de m'opérer et prospérer en surcroît. Z'auront réussi à me faire travailler en bouffant pendant le repas de midi. Parce qu'en plus certains aux repas ne bouffent même pas. Et après ils aiment la partouze. Pensant totu haut ce que personne n'ose dire messires tout bas ni n'admet sinon à l'asile d 'aliénés. Je pense pour vous, à ce que vous n'omettez que de penser. 'Service.

Dans l’affaire c’est le café qui fait le plus mal, depuis les hauts temps de la prohibition. Mise à part de cela qu’il vous faut travailler, sortie du fanta fantastisque... .

Pro-hitlériens de ce type arrachant cheveux du dehors et cheveux du dedans, dans crêpages de chignon au groupez électrogène avec les membres actifs de leur personnel qui pour vous réséquer quelque nerf trop rétif ou quelque morceau de cervelle sont toujours vos amis. Manque plus que le tatouage du mafioso ou du juif en camp, c’est déjà fait pour moi, un sein tatoué de deux points pour soin, suite à l’échauffourée. Trois, cela aura signifié Mort aux vaches. Et je pète un câble un peu trop, parfois un pied dans la tombe.

Vous faites quoi ?

l'écologiste : OH, l'on pète jusque un peu la glace qui traîne encore au pôle au Nord après l'explosion du Kilimajaro.


Le plombier de service, avec l’électricien du coin après le médecin : L’on entretient le moral des troupes.

Bizarre, vous avez dit bizarre, aurait dit Louis Jouvet.

Il n'y a de viol que dans le non-consentement à l'acte, exécution sommaire à la faveur du petit jour de la condamnation à la peine capitale consacrée par la peine de lobotomie ou résection de cervelle, pratiquée à titre de soin à domicile dans l'illégalité constante, et vous ne devriez rajouter rien à cela, et écrasez face à ça. Déterminée malade à être réséquée pour trop de lucidité de l'affaire, trop d'idée, trop d'impartialité, trop de répartie, de bon répondant, de conscience le bon cerveau apte au travail, donc, à ré-lobotomiser.. Gériatres dont les études ont consisté essentiellement à métamorphoser des jeunes femmes capables, encore dotées de leur physique de jeune fille, en vieilles commères bien mémères, et à se les attribuer après transferts de dossier médical, dans leurs maisons de retraite, pour un membre plus âgé de leur famille qui le s méritait. Dans le captations d'héritage, et de trafic d'influence, l'on ne fait pas mieux.

Après les électrochocs, l'on a un humour, fou. Et là, j'ai gagné la brique chaude en or massif, de la connerie.


Affaires Dreyfus de chaque famille, l’internement du père, du petit ou de la petite, avec celui de la grand-mère et peut-être même du frérot ou du concubin, affaires destinées à corrompre, faire diversion envers les affaires de magouille du pays envers la divergence, et obnubiler d’une préoccupation du terrain des libertés de consciences par la droite l’extrême droite et les extrémismes du pays. Afin d'aveugler sur les crimes contre l'humaité que commet la république au nom de la démocratie. Faire porter à chacun et plus particulièrement à ceux qui auront été choisis dans leurs instants bien choisis, la casserole sur la tète des casseroles de Chirac, Mitterrand et les autres gouvernements. Toutes les casseroles à la traine des l’Erzats d’Etat ou Etats despotes antécédents et présent, y seront passées, y compris chez moi. Jouant à pigeon vole et vole casserole chez les pigeons à écloper, soit. L’Etat despote et la populace régnant en maitre, réséquant le fou coiffé de la casserole de l’Etat. Qui traine sa brosse à dent au moindre dentifrice Signal, à mon signal. Fascisme, où l'on vous y tuerait le mongol sus au mongol.

Et c’est le gauchiste après cela qui avait peu de cervelle, grillée déjà de fortes douleurs parfois passagères, quand n’il a réussi à s’en faire perdre un bout sur quelque table d’opération ou dans quelque coin de lit, examiné sous le kilt dans ce genre de guerre d’Ulster.

Je reviens à la charge, sinon au pas de charge, z’auront réussi à me faire travailler jusques sur les chiottes depuis que le médef a décidé que la secrétaire dactylo ne bouffera pas pendant son travail quand on la licencie pour ce fait de santé lié à l’ergonomie, si elle continue de ne devoir que manger en travaillant, ne pas bouffer en travaillant, et non pas interdiction de bouffer pendant le travail, chose pour la quelle j’ai lutté, sous la douche et sur les WC. En plus de la vie d'El Ché que chacun doit vivre et respecter de façon concertée. Je veux bien, mais si je veux, si je ne suis débordée avec en prime le slip qui déborde des électrodes, si se soigner est une liberté et un droit, nos libertés devenus devoirs obligatoires er service militarisé pour la patrie. Autant que celui de vache à lait dans la métairie.

Tous nos babas au rhum et les babas au rhum, au trou. Et au B. A. BA. Il y a un beug dans l'ordi.

S’il faut être objecteur de conscience quand on décide de ne point travailler pour son infirmité.

Le fascisme ne passera pas.

Le fascisme pas exactement de la pataphysique de gauchiste en mal de réponse aux nais, resté sans voix ni voix électorale, aliéné jusqu’à ses droits, re, sinon qu’il ne passera pas, lui autant.

Bava an cap, la sarpatta a perda

Buvu un cup lu surputte u purdu

Bobvo on cop lo sorpotto o pordo

Bévé zé qué lé sépetté é perdé

Bivi in cip li sirpitte i pirdi

Buvons un coup la serpette est perdue.

Premier poème antinazi de l’école primaire, a la fin des embrocations, bavazaquée en tous sens du terme, s’il fallait le dire sur tous les tons sans que cela soit entendu..

J’ai dû être autre chose que poète ou simple folle.
J'vous qu'c'est vrai.

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