lundi 8 juin 2009

Envoi du dossier Judas aux associations SOS Racisme, Amnesty International, l'Agidd, la Ligue des Droits de l'Homme,

Montpellier, le 06/11/2008

Montpellier, le 21-07-2008

Bonjour,

Je vous prie de bien vouloir trouver en pièce jointe mon dernier manuscrit Judas, ne sachant si vous avez reçu mon premier e-mail, livre concernant, malgré un certain humour noir parfois jusqu’au bleu noir, les violences policières (refus de servir, classement de mon dossier en dossier médical, orientation et détournement de mes plaintes, intimidations), et psychiatriques dont je fais l’objet depuis ma venue sur Montpellier, violences mentales et physiques que j’ai eues vécues au sein de ma famille, depuis parfois ma naissance, en tout lieu où je résiderais, me situerai ou fréquenterai, envers tout acte de ma vie, intime, privée, morale et intellectuelle, sachant que depuis que l’ai osé rédiger un dossier de plainte concernant l’affaire de violences policières et psychiatriques en France, j’ai dû me heurter à un mur, un long parcours du combattant et chemin de croix de ma lutte contre le pouvoir absolu qui est imposé en France, en occident, au nom de l’étiquette de la maladie et de la démence, attribuée à tout contrevenant à cet effet de dictat contre les libertés individuelles, les droits de l’homme et la liberté de conscience, acquis de Mai 68 soit, mais dont les critères me sont reprochés à titre de symptomatique typique de la maladie.

Connaissant les risques du métier intellectuel, le risque de folie donc, et l’action de groupes fanatisés de l’extrême droite et dits de l’extrême gauche en fait empreints d’un certain fascisme reproché aux bolchevicks et médecins assassins soviétiques, usant et abusant des droits concernant le handicap, la mise sous protection judiciaire et médicale des personnes, jugées trop lucides et pour résumer bien trop contestataires, accablées de l’accusation de folie, voulant dans scandales diffamatoires et procédures à domicile illicite infamantes, que ne connaissant voix de maître j’obéisse à la voix de mon maître, usent eux même du droit de torture mentale et physique et de violence, de maltraitance sur personne dite vulnérable, en fait, totalement soumise à ces tortures et sévices, qui le maintiennent dans sa faiblesse, son non droit, ses droits niés et aliénés ce qui lui vaut l’appellation d’aliéné, ou l’étiquette contre laquelle je me bats depuis mes 19 ans. Afin de défendre des libertés individuelles et collectives, ne serait-ce que les droits fondamentaux du code civil et les droits de l’homme, qui me sont niés, refusés, bloqués de ces violences parfois commise selon les lois de la torture systémique, des années durant, sans minute de répits. Viols, thérapies ou pseudo-thérapies violentes, viols thérapeutiques en tous genres, chocs nerveux, traumatismes physiques divers, ma vie un long plaidoyer au cours d’interrogatoires quotidiens, parties civiles successives et réquisitoires que la psychiatrie aidée de ses acolytes fanatisés s’acharne à m’extirper et réséquer ensuite je demande auprès de votre organisme aide et soutien juridique, si vous pouvez me l’accorder.

Vous remerciant par avance de votre aide, et attendant votre réponse par e-mail, ou retour d’e-mail,

Avec tout mon soutien moral,

Amicalement

ine Llao

signez lpétitionsur le site :

http://www.thepetitionsite.com/2/linellao-care2-letter-to-world2


Moratoire : Introduction

Présentation du livre :

Livre mémorial, stèle aux morts anonymes de la Psychiatrie, science médicale empirique servie organe de répression du pouvoir, capable d'immerger ses prisonniers d'opinion de tous temps dans l'atrocité des crimes contre l'humanité qu'elle persiste à pratiquer, dans la pratique silencieuse au grand jour de la torture psychiatrique la plus taboue qui soit en France et en Occident. Présente dans les mœurs du quotidien, pernicieuse, silencieuse, inévitable, incontournable, torture-répression fatale à l’esprit humain, pourchassé jusques dans l’identité physique, mentale, le corps même de ses prisonniers politiques, sous l’étiquette actuelle et depuis les premiers âges de l’humanité, de la démence. Soignée jusqu'à l'os et sa substantifique moelle depuis les années 80 pour délit d'opinion, rébellion envers les autorités sous le couvert de l'étoile jaune de la maladie, la démence. Et de la schizophrénie à priori, synonyme encore de nos jours des termes de prisonnier de guerre et d’opinion. Ou prisonnier d’Etat.

Présentation de l’artiste :

Artiste peintre au départ en formation, après études de deux ans à la Faculté de Lettres en Géographie, Bac Littéraire philo, réprimée, recyclée dans le secrétariat, puis écrivaine répressée dans tous milieux, enrôlée de force sous l'étiquette de la démence dans un combat apocalyptique contre un cobayage universitaire psychiatrisé incessant de tests médicaux et gouvernementaux, servi à titre de perdition envers mes écrits antiétatiques jugés très subversifs, au départ simplement d’avant-garde, ravalée au rang d'infirme.

Causé par des mutilations quotidiennes, Contrefaçon de démence causée par ces mutilations quotidiennes infligées à titre de pénalité handicapante envers la rédaction, confection de mes œuvres, confinée depuis dans ce système de contention à torture armée

Moratoire contre la torture médicale, les violences et exactions psychiatriques en France, en Occident et dans le monde, pressions physiques envers le délit d'opinion


Liberté, République, Psychiatrie et démocratie

Les milieux de la police en relation avec des groupements et groupuscules fasicstes, ainsi que parfois la BAC ou police de nuit, assènent le préjugé, opèrent avec la DST un nettoyage en profondeur et désincrustage au carecher comme promis, dans les milieux intellectuels de gauche et du renseignement, de l'intelligentsia, privilégiant les adeptes de la drogue pour assurer leur défense et les protéger contre tous ennemis qu'ils auraient, dans l'intelligentsia et les milieux cités, inspectant jusqu'à la violence gratuite appartements de voisinages malappris, parfois peut être le votre après votre départ inopiné ou subit, jusqu'à la violence sexuelle si nécessaire.

Exploitant le règlement de compte entre voisins, délinquants et victimes, conflits familiaux et de tous ordres, creusant la faille dans le crêpage de chignon, scènes de violences conjugales à l'appui dont on doit justifier aussi.

Négligences diplomatiques qui font monter le degré de violence dans la démocratie si elle en survit encore, la formation de bandes armées d'appareils à effet contondant et milices armées d’ armes de poing non conventionnelles autant qu'américains, je reprends, démocratie laissée dans le laisser aller, le laisser faire de la police même, sauf peut être de la BAC, service de nuit, négligences donc qui font monter le ton de la grogne dans les milieux populaires damnés, la police profitant de l'esprit de révolte des banlieues et du degré de sévices infligés pour revendiquer sa place son rôle, la multiplication d'effectifs, petit jeu dont elle se plaint, plaidant l'innocence des persécuteurs qu'elle laisse impunément cogner, tabasser, violenter, voire tortionner des victimes soit hospitalisées en conséquence des heurts et types de blessures en tous secteurs médicaux, soit psychiatrisées.

Profitant cette police pour faire remarquer sa nécessité d'exister en intimidant, réprimant les mécontents de l'affaire, via également l'hôpital et la torture psychiatrique, les services sociaux dont tient encore debout l'État, tout aussi armés qu'elle de ces appareils de contention en vente illicite et circulation souterraine.

Services psychiatriques ou policiers se servant de délinquants et trafiquants pour intimider durement, salement frapper jusqu'à l'affection neurologique sévère voire la méningite après sinusite méningée surinfectée et autres graves complications sévères passant pour des causes naturelles, nettoyer ainsi tout milieu de ses contestataires d'interrogatoires au long cours durant leur vie entière s'il le faut, histoire de faire marcher le Renseignement, avec la participation pas toujours agréable ni sereine du voisinage, qui participe à la manipulation des dits appareils de contention, destinés à interroger... Ce qui rapporte à la communauté entière des médecins et psychiatres, ne me dites à leur insu, gains, profit, et notoriété, immunité étatique et échelon social de noblesse de robe.

Ou nouvelle aristocratie médicale créée de toutes pièces, de la souffrance et de la douleur sous les actes de torture, leur mort, des personna non grata ainsi obsédées à qui elle reproche les faits de la noblesse. Parfois peut être, destinées à payer à la droite même en crise le prix de la vie et de la rébellion. Aristocratie d'agresseurs et délinquants travaillant à l'apparition de délires, le plus souvent discours antiétatiques censurés par le soin et la thérapie ou repris en cœur par le reste du système social, revus et corrigés, resucés et retravaillés parfois à la main, par la société de récup, ce dont profite la droite et donc le système étatique. Qui attend que les dégâts corporels et psychologiques soient d'un degré assez sérieux de gravité pour opérer, se répandre en opérations des zones corporelles lésées des tabassages, opérations qui coûtent cher à la société et à la Sécurité sociale. Et font marcher la Cotorep, les assistantes sociales, l'Anpe et les Assedic.

Les individus récupérés ne pouvant provisoirement ou définitivement plus travailler, handicapés et infirmes si reconnus handicapés, et infirmes. Rendus pour ceux condamnés aux neuroleptiques, frigides, impuissants (une symptomatique schizophrène), patients maintenus dans le devoir de rester stériles car traitement conduisant au handicap, à la malformation de l’embryon et du fœtus, d’où la stérilisation forcée encore de rigueur.

Pressions physiques.

États dits de délires ou états second causés par ne serait-ce qu’électrochocs, opérations cérébralks en sus de malnutrition infligée durant lespériode pré-opértaoires en séries, maltraitances, violences physiques et mentales, provoquant commotions et états de chocs graves, voire suivis de coma (post épyleptiques et post-opératoires pourla plupart) d’individus choisis dans la société, réséqués pour ces dits délires induits à l’électrode, lobotomisés par neurologie et neurochirurgie, dits délires imputés à la démence et résignés de traitements de contention de longue durée, parfois à vie pour un état de heurts avec les autorités en fait, surpris tel.

Dictature française déguisée de type Mossad et FIS coalisés au fascisme insidieux, le capitalisme sauvage mondialiste, qui individualise les problèmes sociaux qu'il crée pour les traiter au cas par cas, par la torture psychiatrique s'il le faut, à titre répressif. De la simple meurtrissure répétée au cancer généralisé.

Cerveaux manufacturés à la main, à la chaîne, aux lasers et contrefaçons d'appareils à électrochocs, Récupérés de tous bords et de toute industrie. En vogue dans certains quartiers, de Toulouse à la capitale.

La police ne rétablissant que par le crime impuni en espérant que cela ne se voit.

La gégène médicale faisant rage actuellement, en vogue dans les chaumières, coutumière des déplacements, résolvant de loin comme de près chez l'écrivain et l'intello de gauche, entre autres problèmes, les problèmes de page blanche.

Afin d'instaurer la torture étatique sur des individus isolés devenus récalcitrants à force d'ingérence constante dans leur vie privée sous la contrainte de la torture psychiatrique et/ou policière, à isoler pour les rendre répréhensibles et sensibles au commandement de par la torture qui tue, dans les zones sensibles, qui ne serait obédient aux directives de partis impliqués dans l'affaire de corruption médicale, méthodes entrées en France par la petite et la grande porte de la Psychiatrie. Système de répressions multiples très répressif.

Face au pouvoir de psychiatriser à outrance les masses et le fascisme, de créer des prisonniers d'opinion et politiques de ce fait dans les pour et les contre, que faire, le fascisme, une maladie mentale ? Cause l'engorgement de la jurisprudence et le manque de prisons, de lits d'hôpitaux, de structures de réadaptation à la vie sociale, peut être, tant la violence et la barbarie auront fait rage.

Je pose la question. Et non les brodequins.

Fascisme, sinon pour certains le seul langage de la Raison.

Sardanapale ou la raison papale, dans la guerre des sabines. Guérissez Michel-Ange pour ses problèmes avec les Beaux-Arts, et son manque de revenus à la Rubens, dressez le à être Ecce Homo, dans la Raison Universalis, dédiée à d'autres temps, futurs. Et surtout internez Jésus. Crucifiez-le si encore il ne l'est et curetez lui toute une vie durant les circonvolutions de son front à vif à l'électrode.

Prise entre chien et loup, Hitler et Poutine, Pierre et le Loup en plein mitan.

France du Handicap et du handicapé, fait et recousu à la machine. Et que l'on juge, de ses assesseurs, jusqu'à la dernière goutte, de suc, que ne lui aura le percepteur. L'infirmité philosophe. Si la Cotorep le recommande.

Ceci jusqu'à l'apparition de l'esprit de révolte bien vite maté.

La France opérée du cerveau de la lobotomie sublime de bienveillance et obligatoire, bien incapacitante de rigueur en cas de rébellion surtout agitée. Selon les lois, et les théories parachevées de l'Os à Moelle.

La psychiatrie une forme pernicieuse et déguisée de la répression, qui ne leurre ou rarement personne sur ce fait. Mais escroque et dupe. Et non une Médecine purement éthique. Pour ceux qui y croient encore. La répression psychiatrique une forme de libre consensus de l'État avec la population et la Médecine.

Vérité, démocratie et effet placebo. Appréhension de la réalité, vérité réalité, absence de réalité et vécu non fondé, ça moi surmoi inconscient et subconscient collectif. Délit d'opinion. Expérimentation scientifique. Le ça dépravé adonné à la dépravation et l'addiction secrète ou avouée, le moi esclave d'un surmoi patronal détenteur du pouvoir.

Etre et paraître

La vie quotidienne d'aujourd'hui forme déguisée de la torture.

La science, la médecine, doit-elle mêlée à la vérité et doit elle seulement servir la police scientifique, affaire de corporatisme et de castes.

Psy communistes en collèges, repères de nazis de tous les fascismes, y compris pour les origines de certains des leurs, aux fascismes issus des fascismes de l'étranger. Aucun pays n'ayant échappé au fascisme de la pratique encore actuelle de la torture sous quelle forme qu'elle fut, tout pays possédant ses méthodes, avouées ou tues, des plus barbares autant que les dites "mœurs" françaises, ou coutumes traditionnelles de la torture. Torture française. L'essentiel étant de ne pas crier. Ou.

La propension à l'autocensure instaurée par le peuple qui se l'inflige depuis les grecs jusqu'à l'affliction somatique due à une intimisation dans le moi-je de la torture et de la répression, qu'elle soit d'origine cognitive ou issue de la practis, génère un comportement auto suicidaire de groupe qui ne se calme que dans l'accomplissement du sévice mutilatoire et de l'acte de torture ou de cruauté handicapant sur autrui ne l'ayant connu autant que ses bourreaux. Forme dérivée de loi du Talion. Le tout récupéré, manipulé par les pouvoirs. Choisissez votre dictat. Les grecs sensés choisir leur dictateur dans la haute antiquité.

La révolte, mue par l'instinct de survie mu lui par la souffrance et la douleur, quand le coté animal de l'homme devient surhumain, révolte décrétée schizoïde, un fait en soi de la volonté de rétablissement de l'humain et de l'humanité chez l'Homme quand il dérive, et devient inhumain. Ou définition même de la schizophrénie. Qui peut voir son contraire dans la maladie ou le comble de l’humain. L'esprit de révolte ne provenant que de l'étude et de l'éthique. Selon son degré d'émancipation.

Psys. Opérant du cerveau par esprit de représailles sur tout individu, toute personne qui leur serait dénoncée capable d'actes de journalisme sur le monde contemporain et même peut être de l'Histoire, ou temps passés, dans les sens du socialisme actuel. Ou l'état des sources des médias quand ils vous soufflent dessus, actuellement. Crimes politiques sur toute personne capable de ce journalisme. Depuis la perte d'audience du Monde Diplomatique. Crise des médias, émancipateurs des masses salariales et intellectuelles.

Le fascisme mondial, pas forcément hitlérien, tout pouvoir absolu en soi fasciste, dans des faux-semblants de bonne foi.

L'Handicapé devant resté attardé soigné confiné, confié, étouffé de thérapeutiques et battu à mort, miraculé de la science s'il a survécu, soumis à la maltraitance à la salissure, la malpropreté, l'obsolescence et la vieillesse prématurée, la multiplicité des infirmités et handicaps, l'erreur thérapeutique systématique, la stérilité et l'interdiction de se reproduire. La malnutrition et la fréquence sexuelle obligatoires, le rapport forcé avec orgasme assuré. La violence sexuelle des soins sur la sanction pénale jusqu'à la dite chronicité du prétendu mal, induit, causé, induré et trépané ne serait-ce qu'à force d'électrodes, à la chaîne. Dans la nudité et la mise à nu sous l’effeuillage de son cas.

Massacres planétaires, jusques dans la France entière...

Quand la maladie mentale et la délinquance ne se distinguent de par les effets de la drogue, de l'alcoolisme et de la délinquance conjointe. Incarcérer ces contrevenants ou les interner en Placement, psy devenant la pierre d'achoppement de la violence, entre partis politiques aussi au nom de leur philosophie, pas toujours éthique, qui peut laisser longtemps l'indécision et l'inaction à s'en faire sinon assassiner du moins exterminer racialement, radicalement et de la façon des plus morbides, dans des fins de vies atroces, ce n'est à moi de trancher le nœud gordien des problèmes de philosophie que l'on laisse se resserrer autour des gorges, mais aux experts des tribunaux s'il y a, du moins encore ; une psychiatrisation plus vaste des foules serait à envisager cause sa propension à la violence.

Faut-il psychiatriser la violence, pathogène de ses actes et cause des pathologies diverses du monde actuel, je pose le problème, essentiellement communiste à mon avis et concernant de près les idéaux, la pragmatique de la gauche entière, c'est à la nouvelle psychiatrie s'il y a et je l'espère, de trancher.

Je réponds à la question : La violence, mal premier du siècle à psychiatriser en premier et en premier lieu, ce qui serait résoudre l'existence des pathologies mentales et physiques qui lui sont consécutives. La psychiatrie n'ayant traité jusqu'à présent, que précisément, les victimes de cette violence. La violence, une maladie grave parfois mortelle qui ne se distingue du fait quotidien.

Le manque de mixité sociale dans ces ghettos de violence, cause de heurts quotidiens injustes, injustifiés, dus à la violence raciale, entre communautés de personnes et ethnies groupes et groupements délinquants, augmente l'injustice du traitement des minorités récupérées au cas par cas par les instances juridiques, administratives, médicales et psychiatriques. Dans la plus grande injustice, ignorance du fait et démagogie adverse imbibée de pouvoir des plus lamentables qui soit.

Infantilisation du peuple des malades mentaux.

Ces médecins auront trituré jusqu'à l'esprit de meurtre, et que cet esprit vienne à leurs malades s'ils n'en souffrent au bout d'un moment cela leur vient vite, tous remis en liberté et armés d'appareils de contention dits de soins dont ils vandalisent autrui créant tout une pathologie médicalisée dans les populations et mêmes les ethnies. A la mode de nos jours. Tout individu, même enfant ou nourrisson qui leur serait confié, traité indifféremment de quoiqu'il souffre ou pas, selon les critères caricaturaux de la maladie mentale grave, conjointement à ceux tout aussi caricaturaux, concernant la caricature antisémite. Considérant la lobotomie de type anti-sémite, problème nazi, sans anesthésiques et quotidienne, aussi peu grave que l'introduction chez le nourrisson de suppositoire. Chez eux très pénétrant. Lobotomies sous forme de plaies et lésions cérébrales causées de trop de séismos ou d’élecgtrodes, trop prolongées jusqu'à un temps de vie réduit dans l'alpague l'éternelle querelle quotidienne la torture obsessionnelle et le sévice ordurier.

A n'inspirer que de coups de marteaux, faire passer par tous les synonymes du terme torture, sauf par le mot torture. Mot torture tabou, acte de torture défouloir et langue de bois journalistique, la censure passée par là, psychiatrique, policière, judiciaire et d'Etat.
Sévices, violences aggravées, voies de fait, intimidations, passages à tabac policiers, coups et blessures, exactions, répression à l'étranger, violences conjugales et à domicile si reconnues, enfance martyr, violences sexuelles attouchements et lésions corporelles, brutalités, opérations psychiatriques du cerveau et électrodes, dégâts matériels maltraitance et plaies, surinfectées, surinfections à suppuration, ulcérations à points de suture et autres déterminismes concernant les séquelles. Précisément des actes de torture. Tout mais sauf le terme de torture. Torture. Terme non reconnu par les services de jurisprudence et de police. Sous peine de graves maux de têtes opiniâtres ou céphalées parfois violentes, et d'ablation de l'utérus, des ovaires dont un brutalement devenu non fonctionnel et voire même de la prostate. L'usage en France de la torture électrique dans les commissariats et les hôpitaux taboue.

Le concept même de torture française et celui de délit d'opinion, inacceptable inconcevable en France mais dont la présence est rendue bien présente et objet de tabous sur le territoire national par l'action des autorités au sein même des populations, cette idée tant inconcevable d'oser sinon l'avouer du moins revendiquer la notion même de son existence, remontant à la surface avec l'épisode Dastier, à la surface du lac tel cadavre immergé sous la partie cachée de l'iceberg, formule psy.

Psychiatrisation de l'éducation religieuse, de l'école religieuse et laïque, sa fanatisation dans la torture médicale psychiatrisée le plus souvent électrique, psychiatrisation de l'enseignement de son personnel, de ses élèves et étudiants.

La France à l’ail au cerveau à l’aïoli de Marseille et ses trafics de drogues depuis ses comptoirs d’opium, cause de marées humaines d’handicapés physiques et mentaux, si le bébé que l’on voulait tant à l’ail faire passe, qu’il est né, malgré cela pour les embryons non désirés, la plante ciguë des embryons. Commis avant toute vague d’herpès qui a suivi dans les années 80 mêmes effets sur la population, cause de la naissance d’handicapés mentaux et anomalies, malformations de toutes sortes. Bizarreries qui l’ont dit.

Stérilisations forcées la plupart du temps à l'insu des patients, sous couvert et sur ordonnance de la DDASS, impliquées dans des affaires durant ces dernières décennies, de prostitution contrainte et forcée. Donc, de proxénétisme et de viols sur pupilles de la nation exactement, statut dont font partie tous les handicapés mentaux.

Etude effectuée par l’INSEE du département de la Gironde dans les années 90 sous la cohabitation Chirac-Mitterrand, et divulguée par le Charlie Hebdo de l’époque.

Type de situation identique à celle des années 1920 à 1930, sous la montée du fascisme qui avance, profitant de l'ignorance, en Europe, et les gargarismes sous les Jeux Olympiques hitlériens. Certains en témoignent, tel ce dessinateur d'un court métrage en dessin animé réfugié politique en pays d'accueil, concernant la Marche des marteaux en Europe, issu de Roumanie ou de Pologne. Dans ces pays, l'enfer, pur.

Résister, autant que le fait la nouvelle gauche américaine, depuis longtemps. Avec tri préparatoire à l’extermination, de qui en est qui n’en est.

Destruction à peu près totale préalable à la troisième guerre mondiale qui se prépare, de la gauche française par manque de concertation de son intelligentsia, complètement bourrée soit de drogues soit alcoolisée, sachant qu'elle pouvait construire une résistance et la fournir en effectifs. Chacun devant prochainement lutter jusqu'aux dernières de ses ressources intérieures.

La population des étudiants, quelques artistes, intellectuels et diplômés entrent en guerre souterraine contre cette pernition fasciste de la république, de l'Europe et du monde occidental, en voie d'une lente fascisation depuis les années 1905 à 50, résistants d'un nouveau siècle autant actifs et désarmés que casques bleus de Bosnie. Offrant là un parc de prisonniers politiques, cible victime première non reconnue des répressions, bouclier humain innocent de toute l'amoralité du pays. Qui ne compte pour sa moitié que sur leur vie et leur action dans le monde.

L'acquisition préventive contrainte et forcée sous l'opération continuelle et quotidienne du cerveau, des symptomatiques de la maladie, ajoutée à des méthodes violentes de tortures inhumaines, déterminée déstabilisation du sujet. Commise entre autres méthodes des plus violentes, de l’obnubilation par attaques racistes et préjugés accusateurs. Ou soins psychiatriques.

L'école de psychiatrie actuelle un pouvoir absolu. la psychiatrie actuelle datant de la montée au pour d'Hitler et de l'extension du fascisme aryen. Chaque pays possédant son type de fascisme.

Commençant par instituer la prostitution au domicile des couples et en faire leur pain de ménage, que ce soit leur dada, chez certains cocos leur cheval de bataille, le bordel rouge, proxénétisme des moeurs repris par Dada et son pain bleu. Institution de la censure et de l'interdit par la neuropsychiatrie, au sein des populations.

Les recherches en matière de gériatrie et de neuropsychiatrie ou de progrès médicamenteux perverties de façon identique, destinées plus à torturer et tuer que rendre la vie agréable. Certaines personnes très mal intentionnées usant de ce matériel médical à l'origine destiné à opérer, pour des pratiques paramilitaires de la torture, instituant ainsi dans les foyers la torture de guerre jusques dans les rapports intimes. Pour résumer. Avec fichages par les autorités de chaque individu, si a participé ou a refusé l'expérimentation de la torture française. Tests gouvernementaux sur population ou de partis à idées fixes, avec accords préfectoraux à l’appui en cas de signature de PO pour les plus récalcitrants.

La psychiatrie ne traitant, n'enfermant que les enfants martyrs, femmes battues, veuves, violées, victimes de crimes et préjudices, boucs émissaires et souffre-douleur de la population. les violents qui en sont la cause laissés en liberté, paradant dans leur bêtise inculte et triomphante, ne voulant les laisser que sans réplique, les attendant à la sortie de l'asile, pour reproduire leur violence sur ces victimes. Certaines, prise dans le piège de la légitime défense, tuent leurs bourreaux et meurent des soins de l'asile. D’une certaine façon exécutées.

La psychiatrie ne traitant que par l'usage de la torture sur prisonnier, le plus souvent politisé, si conviction politique, prisonnier d'opinion et celui là prend pour tous les autres. Fait de la schizophrénie que l'on lui apprend par acculement suicidaire du corps et de l’esprit à cette acquisition de la légitime défense traitée en tant que dangerosité, avec acquisition forcée des autres faits de la symptomatique de la maladie par l'exercice de ces méthodes jour après jour, heure après heure, nuit et jour. Méthodes au nazisme identiques.

La neuropsychiatrie, la neurologie, la neurochirurgie sous-ensembles du corps général de la Psychiatrie. Bien que personne n’en sache les frontière, ni celles entre ses différents corps.

L'auto endoctrinement calmant les douleurs prépondérantes de la souffrance psychique causée par la bêtise humaine et la conscience de son existence en soi comme sur terre, cet auto conditionnement abrutissant à la barbarie existe bien réellement, parant à toute démence de bourreaux irresponsables par l'acte de violence physique et la torture sous toutes ses formes sur leurs victimes. Comblant les failles autant du système capitaliste que de celui des cases vides, qu'il engendre. le système n'étant en soi qu'individus, d'où le personnalisme, à la mode et de rigueur. L'intimisation de la torture passant en premier lieu par le fait d'aller réclamer à la pharmacie comme à la boulangerie des pains et de prendre la baguette du boulanger à qui aussi l'on réclame des pains, des gros ou des petits, pour taire ou montrer une arme de guerre fatale qui vous fera marcher au pas.

Répression pollution d'État. Le monde la France et sa population se l'auto-établissant, en faisant un usage personnel. Tenant à l’instrumentalisation de la présence sur terre d'un tiers ou à son délire ne serait-ce que d'un père, d'un membre de famille délateur d'un des siens. Répression égalant torture. La répression sur terre usant de la torture psychiatrique, dénommée effets cénesthésiques du délirât sous-jaçant. Point. De suture y compris. Cercle vicieux vieux, circadien. Petite systémique de la pensée qui s'échafaude en cristallisations sauvages à barbarie récurrente prépondérante.

Chacun identité contrainte et forcée sous les tortures du STO psychiatrique pour les ferrer, à la révolution prolétaire et du lumpenprolétariat sous peine de placement d'office en établissement psychiatrique. Dans une mobilisation forcée de tous les dits handicapés mentaux maintenus dans la gratuité de leur travail paramilitarisé sous prétexte de militantisme. D'ailleurs antihitlérien.

Soviétisation de la vie courante selon les lois psychiatriques de l'orgie, ses répressions, le soin, la torture électrique, la neurochirurgie curative, avec ouverture ou non de l'os, de la porte de l'appartement ou non.

Le langage universitaire, logos, discours intellectuel de gauche, la connaissance et le savoir, la culture et la cognition jugés délire rentré devant nécessiter la crevaison de l’abcès, un travail par essence psychiatrique.

La lutte contre l’identité même de l’intellectuel identité physique et mentale en interaction constante, une priorité de la torture psychiatrique.

La liberté n'étant que dans l'acception totale de l'esclavage. La liberté du voisin n'étant pas la même que la mienne, sa notion de l'esclavage encore moins. Sa liberté peut m'être un esclavage et son esclavage ma liberté. Tout n'étant qu'appréhension et de perception de la réalité, problème né de la dite schizophrénie, quand elle se heurte au monde de la démagogie. De là à imposer son esclavage à autrui, qui ne devra l'accepter qu'en tant que liberté profonde... Mais la guillotine, arme première de la république française, inventée par Mr Guillotin, chirurgien, n'a été inventée par la science que pour cela, abréger les souffrances du Moyen Age, et celles de la royauté. Se méfier tout de même de la déontologie de la science, ses techniques pour abréger les souffrances n'ont pas beaucoup changé.

Je revendique, réclame, préconise, depuis toujours, l'interdiction, l'abolition des méthodes de la torture médicale, constituant à l'heure actuelle la torture psychiatrique encore en vigueur depuis la création de la psychiatrie.

Les portes des prisons s'ouvrent, je reprends les phénomènes de la violence, les lits d'hôpitaux se ferment, problème sarkoziste avec toute la complicité de la gauche, donc le mien, je ne sais par quelle logique d'État.

Faux problème communiste, faut-il donc psychiatriser la violence ainsi créée.

Soviétisation contrainte et forcée d’une science médicale, la médecine psychiatrique, au nom d’une récupération de ses services par la pratique de l’infliction de la chimie, ou torture chimique avec emmaillotage chimique ou camisole constante, fait dénoncé par Amnesty International dans ses carnets, torture aux médiations archaïques causant plus de troubles et effets pervers à la maladie que sa guérison pure et simple que certains attendent toujours avec leur rédemption.

Plutôt que de travailler à aller sur mars et la lune, la science politique aurait mieux fait de s’intéresser de plus près aux traitements de ses exclus et fichés, ce qui aura été fait et commis, par le cobayage médicamenteux pratiqué sur étudiants affamés en mal de job à l’année moins sous-payé que d’ordinaire, dits volontaires, autrement dit, procédé de l’Inde, quitte pour eux à y laisser la vie dans l’expérience au risque et détriment de leur vie, poussés à cette dernière extrémité par les tortures citées, les droits de l’homme bafoués.

Désinformation capitaliste autant qu’anciennement nazie, contre culture contre la censure et les pratiques citées, la propagande d’Etat envers cette folie indigne de ce siècle, la barbarie médicalisée, la torture médicale et ses procédés, le monde capitaliste l’ayant récupérée à son escient, sans ambages, dans une pernition implacable et qu’il veut sans réplique, noyée dans la vie courante d’une ville qui renie ses sources, ses origines carabines protestantes, niant jusqu’aux vérité fondamentales, que la terre est ronde, et immolant Jérémie dans l’Apocalypse selon Saint jean, de ses derniers jours.

Psychiatrie niant pour plus de confort les faits de la réalité, démagogue à souhait, Science au départ aujourd’hui pratique politique de coercition et de pogrom, de génocide eugéniste envers une partie de l'humanité, la population contestataire, ou science toujours aussi empirique, aléatoire et basée sur l’évaluation arbitraire.

France où l'on écorche les noms propres le français et les citoyens de leur nom, dans les élans du fandango de la cucaracha et de la Pucelle Noire à châtier, la galopine, lépreuse de la lèpre commune aux crécelles brodequins écrouelles et martingales pour sauver les marrons du feu en cas de grabuge Selon les jours d'écorchage.

L'être civique dans son action au sein de la société selon donc son langage, représentant l'asexualité typiquement schizoïde, point de suture à l'appui, longuement maintenu jusqu'à l'apocalypse, dans le sourcil droit.

Aussi puante en gueule que les odeurs de sale qu’elle semble pourfendre, scatologie libidineuse qui masque un puritanisme quaker repenti de vices cachés, la populace se mêle de la vie intérieure des intellectuels, censurée et sentant le sapin à la moindre incartade. S’évadent de ces systèmes des rêves de liberté sous un totalitarisme total aussi aigu qu’une épingle dans une plaie vive, le cure-dent du voyeurisme planté sous les méninges, curette les cerveaux neurovégétatifs d’une ethnie en voie de disparition par purge préméditée et médicalisée, de main d’un fascisme de chaque jour qui épie les poumons qui respirent. Et frappent au cœur, jusqu'à la crise cardiaque, cette fois.

Montpellier, le 21-07-2008

Guerre des nerfs, histoire de fous

Procès de Salengro qui font de mes livres une arme de survie, la seule issue de secours dans un monde clos où régnaient bien plus que les méthodes de pression des journaux d’extrême droite.

1900 à 1939, période vécue Trente Glorieuses politiques d’alors et Belle Epoque où la montée du fascisme en France dont celle de l’Action Française ne passa inaperçue, mais où personne n’y croyait, période de Cassandres qui elles voyaient cela. Cassandres endormies, anesthésiées dans les asiles psychiatriques de l’époque, futurs Dachau.

Encore vrai de nos jours, dans les secteurs psychiatriques, sous l’égide de plus en plus présente de la médecine psychiatrique libérale. Montée du fascisme en France actuelle. Combien de Cassandres… Serais-je une de ces Cassandres…

De nos jours encore, autours d’eux, un monde du renseignement, pour aider ces personnes recherchées ou tortionnées, à s’échapper ou à fuir de ces méthodes. ou destiné à les surveiller. L’Euthanasie de tout un peuple précepte d’Hitler, l’euthanasie tout court aussi du sujet d’expérience, ou de soins, des malades mentaux et des handicapés. En premier lieu.

Si l’on peut accepter cela de nos jours en tant que principe de liberté, autant pour l’avortement, qui sous principe de liberté, n’est qu’un esclavage supplémentaire de la femme, dû à sa condition d’esclave de l’Homme et de la Société, du travail et du monde financier, nombre d’avortements étant revendiqués par la famille contre le gré de la bonne élève enceinte encore mineure, de la jeune femme sans revenus, privée de la liberté d’enfanter parce que conditionnée par le monde des Mères et Pères la Patrie. Tabassée voire tuée pour qu’elle n’enfante ni ne se reproduise en ayant les idées qu’elle possédait. Question de Possession.

Au nom de l’eugénisme de son genre, vécu en tant que pure sous-race par autrui, pour l’eugénisme ne serait-ce que d’une Mère, ou du Père.

Psychiatriser le pauvre, la femme battue, violée, mutilée, l’enfant martyr, le vagabond, la dissidence, les libertés la culture le savoir et le délit d’opinion, un soin médical.

Horde de gueux de serfs errants en guenilles et de servants apatrides écœurés de la patrie, taillables et corvéables à merci, issus de toutes les strates de la république et de la société, horde d'êtres sociaux disparate condamnée aux puanteurs de bouges infects à domicile ou en pavillon, dans le remugle et la bourbe de la misère des basses classes quand leurs médecins se soulent avec raffinement au bourbon, condamnée cette populace de serfs hirsute des nerfs, à l'esprit supérieur omniprésent et revanchard du mégérisme radical et obscène, du barbonnisme médical, de l'aristocratie médicale et infirmière, au lynchage de chacun et aux pogroms de tous, autour de leur vie restante. Manipulés, éradiqués, réséqués, obstrués, obturés, sous le langage matriarcal et le paternalisme colonialiste outrancier des secteurs médicaux, soumis aux parâtres et marâtres infirmiers affiliés à la loi de les corriger, dépuceler, sodomiser, dénoncer, surveiller, contrôler entre autres dites corvées de bas étage, auxquelles la basse tâche de gardiens de cochons à saigner les assigne.

Opération couverte par les préfectures depuis Mitterrand et les années 80 (où se signent les placements d'office et internements le plus souvent pour délit d'opinion déguisé en grave dangerosité envers la société et soi-même), d'essais nucléaires et/ou médicamenteux sur la population, d'origine étatique ou de la libre initiative de chefs de cliniques, destinée à enrayer toute forme de contestation. Tomographie. forme de scanner primitif. Examen clinique en libre cours depuis les années 80 après essai durant des ans sur détenus psychiatriques ou patients cobayes humains contraints, qui en auront parlé comme d'autant de fours à micro-ondes qu'ils se seront pris par la poire eux aussi, jusqu'à ce que soit affirmée la schizophrénie.

Politique contre-socialiste du CHR qui recherche points d'achoppement et creuse les failles entre les clivages familiaux (tactique pétainiste, didactique nazie) et sociaux, recherche en le sein de chaque famille, focale fasciste, de quelque futur opposant ou simple conscience tranquille à embrigader pour ses engagements, qui si elle oppose quelque résistance même passive faible et simplissime sera soignée, rouée de coup et placée, au sein même de l'hôpital revendiqué pour trop d'activisme à tout opposant dissident, ou dans quelque secteur médical dit de répression, public ou privé, ramifications de ce système de surveillance des contres opinions psychiatriques qui tient du réseau mafia, toile d'araignée autour du complexe médical public et privé possédant ses ramifications et donc moyens de pressions jusques dans chaque cabinet de médecin conseil ou traitant... Sous le couvert du respect des bonnes normes. De style Poutine dont le spectre s'agite jusqu'en France, à mon avis avec celui maintenu en vie d'Hitler.

Consciences libertaires placées sous le sceau et l'étiquette ou brassard jaune de la maladie en placement officiel ou non à vie à domicile ou en pavillon, sous le symbole et la systématique à systématisation de l'arriération physique et mentale gauchiste, la pauvreté d'esprit dont elles ne doivent s'impartir, à les désister de toute entreprise de refaire surface par autant de corbeaux dignes des pressions et surveillances de la DST. Ces consciences lucides grondent, partagent mon amour des libertés, je les ressens tout bas. Contraints ces opposants à rester dans la plus stricte bonhomie de leur aspect, de leur abord, dans la plus grande passivité soumise et dans le poncif obligé, le mutisme sous la contrainte ou la ruse, seule dignité contre la torture et la mort qui leur reste de leur existence d'esclaves et de reîtres... Devant rester positifs militer pour et non contre, ainsi que le souhaitent Sarko, Le Pen, voire Ségolène et le parti communiste. Bref de quelque côté ou bord que cela soit, l'on ne s'en sort pas. Ni ne sait où vivre ni se réfugier sinon chez quelque ami, parent, apte à vous cacher, symptôme schizoïde.

Positivez pendant la matraque, en plein mitan du sourcil gauche ou droit, restez actif et mou, rêvez sous le knout. Et, servez-nous, dans la nullité de vos efforts. Servez-vous pour vos défoulements diaboliques et crises de nerfs démoniaques, du corps du faible, du nourrisson, de la femme et de l'aliéné, du dit aliéné que sera votre prisonnier de guerre civile, prisonnier d'opinion que vous crèverez de tortures et maltraitances, enfin, pour vos envies de respirer un air qui vous paraîtra, ce meurtre accompli, plus pur. Autant que le bleu de vos yeux.

Enfermement fœtal de la base du parti socialiste dans cette situation de cas exemplaire de répression psychiatrique envers certains éléments de la contestation, devant végéter dans le manque d'entraide de leur parti politique divisé et apte à l'enfermement des dissidents, et de leurs sympathisants, démunis de solidarité véritable, sans concertation sincère, noyautés de tous bord d'activistes dangereux pour leur vie, récupérés et agités violemment mais secouez les, jusqu'au placement administratif en pavillon voire disciplinaire après l'escarmouche, noyés de contraintes, obligations tortures et devoirs de s'y soumettre sans un cri, autant que chez Khmers rouges. Loi de cet enferment physique et mental dans la rétroactivité et la géopolitique mutilée du manque d'engagement causé par l'enrôlement forcé, la critique possible, mais du bon coté des barricades de tous bords quand elles encerclent.

Quant à l'optique que j'adopte elle est celle-ci, je revendique d'ores et désormais la présence d'observateurs d'Amnesty International dans la politique de l'hôpital, des CHU,et CHR, des secteurs médicaux même privés des complexes hospitaliers et cliniciens, pour qu'en soient observées les déviances, irrégularités, contradictions, sévères ingérences et pratiques de la torture médicalisée systématisée commuée en dits soins médicaux et thérapies des plus nocives à je le dis, perverses, sadiques à tordues sans pitié, il en existe des plus simples chez eux à efficaces, qui tiennent de la farce nazie adventionniste des plus retorses.

Dans ce qu'il existe aussi de plus puristes dans l'art de la profanation de l'individu unique Indivisis, de l'être humain civique et de sa nature. Qui doit être celle de celui qui assume sa dégradation physique et mentale. Ou autre aperçu de l'introspection et du voyage en soi-même. Sous le complexe du secret médical. Je crois que ce sera la Cours Européenne, quant à l'hospitalisme immobiliste de chacun, ayant bien intégré, intimisé, cette politique de prise par contrainte par corps de cas pour l'exemple, et de cas d'exemple relevant typiquement, de la tactique lepéniste et non plus hellène ou mise au pilori sur le caballet de l'ami sur demande expresse du père et de la dite mère. D’un tiers ou d'un faux frère...

La répression ces temps derniers croissant en l'honneur des prochaines municipales, et des fêtes attenantes, se créent des troubles populaires divers, créant eux même des troubles physiques et mentaux divers également, fonctionnels aussi, fournisseurs en plus des croûtes dues à la misère, de lits en hôpitaux quand les lits hospitaliers se ferment, et services médicaux divers, qui ne vivent et croissent que de ce système de la répression psychiatrique, envahissent la ville d'une prolifération gênante, ne croissant que d'une existence de parasite saprophyte de cette violence crée, endurée sous l'hégémonie du complexe hospitalier, qui ne vit plus que pour lui même et réclame face à l'incompétence de ses services qui lui est reprochée un renfort de subventions, marlous sous l'uniforme blanc ou bleu et effectifs notoires. ou secrets, possédant leur police secrète, ses mercenaires. Police elle même avec ce CHR envahie de tous les trafics.

Chaque médic, personnel infirmier soumis à ces querelles de pouvoir, devant se déterminer, s'il doit fuir ou fonctionner et/ou marcher avec, face à ces pressions, physiques jusqu'à la crise d'hémorroïdes obligatoire, ses procédés d'acquisition, et la mise en congés de deux jours pour bien y penser, peut-être même la mort et le décès gratuit, bref, le crime politique parfait, car décès dit d'origine accidentelle ou naturelle, cancers, attaques cérébrales inexpliquées, longues maladies dégénératives etc. Et ils ne vous loupent pas.

Malades. Fous. Aliénés de leurs droits.

Devant rester bêtes ou idiots dans l'arriération profonde et incarcérée de bestiaux. De la bête de somme des CAT et du bétail à l'étal.

Arsenal pathologique et pathogène que détient la population occidentale et française surtout. S'entraînant sur tout prisonnier de guerre de ces luttes intestines qu'elle se fera.

Politique de guerre de l'état maintenue par la populace. Faisant de chacun un soldat de sa soldatesque, à sa solde, se défoulant sur son prisonnier tel soudard.

Erreurs humaines, inhumaines.

Armes de la torture médicalisée donc devenues armes de co-répression, de surveillance et de « soins» commis par la psychiatrie : Coopération ou plutôt nouvelle Collaboration obligée dans ce monde de récupération des anciennes armes des Faisceaux, dans un système de l’Occupation, sans France Libre aucune sinon dans l’acception profonde ou simulée de ces actes de médecine illicite juteux de profit sous peine d’HO. Dans toutes les compromissions.

HO (Hospitalisation d’Office) Dachau des nouveaux temps modernes. Depuis les temps de Charlot.

Préparation dans la population française de la future guerre mondiale, distribution préventive de ces anciennes armes, de nouvelle conception parfois qui ont été conçues à partir de celles-là précisément.

Armes du futur construites à partir du passé, des camps de concentration allemands. Et français.

La propriété du corps et de l'esprit relevant d'un problème de jurisprudence de l'Etat envers la délinquance et l'aliénation, le corps de l'individu et de chaque individu indivisis qui fait la masse, l'assurance du respect de l'intégrité corporelle et mentale relevant de la répression, seules les fesses de Carla Bruni pouvant être protégées par quelque assurance véritable. Au cas où elle en aurait le besoin, si un de ces jours elle veut assurer ses arrières.

Pour modifier toute personne et personnalité de la dissidence à ces actes de saprophytes parasites et auteurs de la résurgence nazie voire stalinienne, celle désormais du poutinisme français, gouttes de médicaments et tord-boyaux retors, rhums blancs vodkas sucrées, cognacs plus nauséeux que alcools forts, brûle-gueules pour indiens dans le nouveau Nevada français, distribués dans hôpitaux psychiatriques français depuis les camps d’internement, tortures et emmaillotements chimiques de type « bouillon de 11 heures » dans les boissons administratives. Depuis les temps anciens et reculés des camps.

Goulag français promulgué par cette science médicale de la psychiatrie, destinée à son origine à maintenir le degré d'humanité de la population. Sans atteindre le degré nécessaire d’humanité de l'Homme véritable pour maintenir sa survie, psychiatrie dont l'existence ne tient qu'à celle de ses psychiatres et de leur école qui les trie sur le volet et les choisie, servant plus à diviser pour régner qu'à soigner et limiter le degré de barbarie des masses, sachant bien à l'origine que dans ces écuries d'Augias le travail accompli serait très limité et constant.

Hyper-autoritarisme de grande influence sur les mœurs et moindres gestes de la vie quotidienne, appareils de surveillance tutélaire raciste, antisémite, divulgatrices de soins psychiatriques, par pur engagement politique d’une guerre future hitlérienne qui se poursuit de nos jours et tue par ces méthodes. Restes de deuxième guerre mondiale qui en devient une cinquième après celle du Golfe et la Guerre froide.

Guerre totale.

Arsenal médical militaire à paramilitaire de guerre totale, bien plus qu’armement de dissuasion, testé de main de civils employés par le SAC, bourreaux choisis dans la population civile pour leurs aptitudes à pratiquer la torture, sur certains éléments recherchés de la population pour leur intellect, dissidents de l’affaire placés sous en cette occasion l’étiquette de la démence, employés par la force et contre leur gré autant que Jarod de série B du Caméléon, en tant que cobayes humains, sujets d'études de cas et bouclier humain de ces armements, qui vont des simples contrefaçons de poste à soudure à l’arme de poing mortelle, en passant par le Taser sans fil, greffé lui ou implants, affaire des Tasers à laquelle s’est heurté je crois Besançonneau.

Se heurter à l'autorité de ces tests sauvages pratiqués jusqu'en cliniques, menés de façon scientifique, suivi médical gratuit ou quasiment assuré, relevant du suicide ou du crime de lèse-majesté méritant la haine populaire invitée à rechercher tout évadé au système, et la répression par l'usage de ces mêmes méthodes, sinon mortelle, du moins assez invalidante. Sous prétexte de salubrité. Chacun participant sciemment ou à son insu, subliminé, depuis des décennies, à ce plan.

Chacun pour ses souffrances démences et/ou raisons personnelles, dont la jalousie et l'aversion envers le délit d'opinion, pratiquant l'usage de la torture via la possession de cet arsenal distribué en douce peut être même par autorités, sur un ou plusieurs de ses congénères, proche, ou membre de même famille, dans l'apprentissage du rôle de détenteur et bourreau de prisonnier politique. Et son élimination, ou éradication, purement biologique. Sans compter les phénomènes de torture administrative française de style Poutiniste. Hôpital français actuel de type russe, ou turc.

Créent entre autres dans les torses et les corps courbatures dites dues à la fièvre sinusites et rhumes, états grippaux, douleurs dites crurales névralgies faciales y compris intercostales, qui sont également causées par ces engins servant à frapper les dissidents, nouvelles matraques de foire marchande Lepéniste Trotskyste et Mégrétiste. Le secteur médical travaille à réparer ces lésions depuis longtemps, depuis les années 40. Médecine de guerre. Qui vit, rapace, de ces dégâts physiques et mentaux. Pour votre plus grand bienfait.

Années 1930. A nouveau.

Dissidents, contestataires qui s’envoient par le godet des médicaments tels armes chimiques de guerre comme ils se colleraient le pistolet dans la tempe en se tirant dessus avec avant que la gestapo armée en Waffen SS et matériel lourd ne les assassine. S’ils n’abusent du cyanure, ils abusent en traitements ou calmants, dont certains équivalent au knout chimique, à prendre de façon expressément recommandée sous peine de devoir mourir sous les violences. Cafés cyanurés. A domicile ou pas, policières et hyper répressives. De la main de voisinages armés en état de démons ou d’anges des ténèbres, quand ils s’en mêlent. Jusqu’à ce que les dissidents contestataires donc, passent à l’acception de se suicider sous les coups et blessures, sous peine de torture plus violente jusqu’au décès autant qu’il le faut, résistants nouveaux à cette gestapo de junte paramilitaire médicale. Qui n’en note dans le dossier des dits clients que ce qu’ils veulent noter de l’affaire.

Tant d’Art, de peinture. Pour y faire face. Maquiller l’affaire.

D’où des grèves du médicament durement réprimées, objets de toutes les moqueries psychiatriques, souvent grèves individuelles je l’ai dit non concertées entre patients, jusqu’au ficelage total et absolu de leur cas, ou camisoles chimiques, torture électrique et mort.

Société de pioupious dès le plus jeune âge mort la fesse et tranche moi le lard jusqu’à la mort, qui se pique de se rebraguer le matin comme l’on part à la guerre, de 14-18, avant le petit plaisir à assouvir au travail c’est plus d’énergie, retour à la case départ et métro-boulot-dodo sous calmants-somnifères qui aboutit à des émissions-dortoirs sur l’amour au boulot, récupération par la société de consommation du problème, y compris de votre constipation, qui s‘évacue en surconsommation qui elles ne sont gratuites et remplissent les poches de l’Etat. Contre cet état de fait, seul le schizophrène, à paranoïa, fait rempart, de son corps. Bouclier humain dont chacun se sert, nouvelle race de juifs correspondant bien à la caricature du schizo que chacun se fait.

La psychiatrie ne tombant que sur les victimes du long combat contre le système, suppliciant blessés, violés, électrocutés, mutilés de guerre et petits enfants. La veuve de guerre et la jeune fille évanouie en pleurs. Admirant le cul puni de tous ces poulbots lors de la dernière ferrade aux orties.

Torture de guerre, torture médicalisée en tout lieu de la société française, autant à l’étranger, dans tout pays, y compris en Suède (eugénisme et stérilisation de masse des malades mentaux), en Allemagne, pays qui se disent pays de liberté dans les reportages d’information télévisés de la 5. Torture française initiatrice de la torture dans pays étrangers, américains, algériens, autres. Depuis ses anciennes colonies, elle a régné partout depuis, jusqu’à nos jours encore. Voisinages peu érudits ou cultivés servant de police politique dans tout canton, armés de mains miliciennes. Utilisée par chaque parti surtout entre eux, armés de ce type d’armes non conventionnelles actuellement promues par les CHU.

Magouille, décrétée de type démence schizophrénique voire précoce ou autistique chez les petits et grands enfants, par les services médicaux, la Médecine. Erreur médicale devenue Guerre obsessionnelle, obnubilatoire, incessante jour et nuit, guerre civile déjà faisant place nette, guerre souterraine et sue par tous.

Montpellier, le 22-07-2008

Liberté et Psychiatrie, suite de l’affaire

Médecine Raison d’Etat. Médecine d’Etat. Je proposerais plutôt de soigner la Raison d’Etat, si la loi du Talion devait exister, mais le propos n’est là.

L’antipsychiatrie non tout court, mais issue d’une antipsychiatrie condamnant la médecine psychiatrique telle qu’aujourd’hui elle est pratiquée, parcourt l’histoire relative à celle de la religion chrétienne de la religion psychiatrique, son histoire et ses déviances à une éthique véritable, initiale à toute médecine, déontologie qu’elle n’a jamais respectée.

Appel au secours envers la démocratie, appel aux lois de la république, à la Liberté de Pensée, à la Laïcité de l’Etat, ce texte est aussi un appel à l’esprit civique de tous, à la fibre oculaire de chacun qui n’ose constater cette vérité tant occultée de la présence tabou de la torture en France, dans tout système occidental, dans les termes et mécanismes d’une Religion d’Etat, ceux d’une médecine, la Psychiatrie. Capable de se confectionner jusqu’à des prisonniers d’opinion. Cracher toute la purée sous l’électrode, parfois fatale. Torture psychiatrique. Et Eglise de Scientologie

Analyse par paliers successifs de degré de conscience concernant cette guerre civile fratricide et totale qui affecte chaque concitoyen, sous la menace d’une Occupation, l’occupation de terrain des terrains neutres, depuis la Libération et dès les premières manifestations du fascisme. Liberté de Conscience que la psychiatrie torture et affecte, à souhait. En tout mépris des Conventions des Droits de l’Homme et du Citoyen. De l’utilitarisme de la torture, le plus souvent à mort.

La dissimulation de preuves et pour la plupart leurs destructions si implacables, incontestables et lettrées, jusqu’au crime contre l’humanité et le crime politique, selon les lois de l’Eglise de Scientologie. Certaines de ces tortures dans le but tout aussi certain, de couper de toute source médiatique, autant chez communistes à trotskystes que dans les partis d'extrême-droite, afin de limiter des écrits jugés trop subversifs et dénonciateurs d'affaires au grand jour tenues secrètes...

Brimades, privations et privation de sommeil, de nourriture à faire passer plus d'un pour obèse. Condamné à l'anorexie à la gégène si conscience tranquille restant dans les terrains neutres. Jusqu'à la situation d'échec constante à quasi constante.

Psychiatrisation des phénomènes sociaux et de leurs mouvements.

Parcours initiatique que le mien, au comportement d’une extrême droite engagée et enragée de lutte armée, où Zadig traverse les Horreurs de la Guerre, indien dans ce Paris du Midi de la France qu’est Montpellier, Ville Universitaire, qui se veut seulement culturelle, mais possède un dispositif médical et hospitalier de pointe, dans une politique de trust dans la région entière ; dans ses secteurs psychiatriques éminents, qui ont longtemps servi de force de frappe, que dire de l’intolérance, à ses maires et responsables, règne une politique de guerre des tranchées où l’on s’entretue d’affaires Dreyfus tout autant que dans tout foyer, à l’encontre de ceux, affublés de voisinages de type secte Moon, des personnes handicapées et malades mentaux, parias devant le rester, de ces masses et groupuscules.

Condition traditionnelle et conventionnelle de paria que le statut de malade mental. Mise à l’abri des opposants de l’ancien Maire, Georges Frêche, des représentants mêmes souterrains ou devenus inactifs de minorités politiques et éthiques dans les cantons. Penche de ce fait la balance des minorités et majorités les jours d’élections. Pressions politiques psychiatrisées. Interrogatoires musclés façon DST, pas interview télé, assignations à résidence dénommées congés d'essais post office, surveillance psychiatrique et psychiatrisée d'armes paramilitaires possédées de particuliers, dirigées sur particuliers, phénomènes d’écoutes psychiatrisées...

Erreurs sur la personne, erreurs induites dites thérapeutiques, qui soignent selon les médecins mieux parfois que les soins justifiés en eux même.

Entre ce qui est dit, ce qui est cru, et la réalité, existe une marge qui est celle de l'extrême gauche, la mienne. Avec pour mot d'ordre de tous partis de ne point s'occuper de, d'ignorer l'extrême droite quand elle ne vous ignore pas.

Enfermement, internements injustes injustifiés répétés et réitérés en toute impunité quand bien même injustifiés pour quelle maladie que je ferais, sinon celle d'être tabassée constamment à l'électricité. Ou aux électroaimants. Cela n'est rien en comparaison de la gégène ou simple poste à soudure, et n'a de commune mesure avec d'autres tortures, ce qui se fait en tant que nouveaux soins et nouvelles thérapeutiques psychiatriques et neurologiques destinées officiellement à maintenir le niveau de vie du malade. Sinon à le réduire totalement en marmelade.

Psychiatrie trafic d’influence, à dissidents anti-maoïstes dit malades mentaux en état de divergence d’opinion, délit d’opinion que je nourris envers la politique de cette ville et la politique hospitalière. Qui m’aura valu la condition de paria de ma naissance jusqu’à aujourd’hui, dans une charia à charivaris sans fin ne pouvant conduire qu’à la lutte engagée, sinon à la folie ou au décès. J’aurai été à l’école de tous les fanatismes, des plus intégristes, j’ose les profaner d’une écriture critique, pas forcément en état critique, la politique se meurt dès qu’un artiste la brandit.

Etude, thèse ou théorie philosophique antiétatique, née du véritable anarchisme, de l’anarchie, la vraie, celle qui organise l’individu et lui confère la conscience éthique du citoyen, de l’être civique.

Ou mémorial des morts sans nom de tous ces soldats inconnus exécutés, morts de souffrance et torturés par la psychiatrie, sa pratique dans le monde, à l’encontre même des droits de l’homme et du Citoyen, de l’Humanité même de l’Homme.

Faut-il psychanalyser, psychiatriser l’Art, le syndicaliste, Arlequin de service, psychanalyser l’Art et le désir ou pulsion d’Art, la Commedia Del Arte et le théâtre avec, l’Art n’étant une maladie ?

La France prête à la torture dans la légalité du fait, autant qu’à l’étranger. La France torture, n’a jamais cessé de pratiquer ces méthodes. La France a un besoin viscéral de torture. La France n’est exempte de torture.

Attitude mal vécue par les masses, qui mettent des parasites dans les antennes, la Gauche mal à éradiquer dans une chasse aux sorcières incessante contre la liberté de pensée, le féminisme, l’usage du sexe féminin et de la Veuve Joyeuse, un déferlement de violences, de jugements derniers, menés contre les principes de la démocratie, de la république, de l’égalité. Lutte, guerre ou pogrom fondé sur la répression et la torture médicalisées, la torture psychiatrique, dirigé contre les défenseurs des Droits de l'Homme et du Citoyen, de la dignité humaine et de l'humanisme.

Contre les défenseurs de l’antipsychiatrie tout court, et les femmes libérées.

Lutte qui se solde à chaque régression économique, à chaque période de récession, de redressement moral, à chaque crise gouvernementale de l’Etat, de la Constitution même, par l’enrôlement forcé sous peine de graves tortures et de mort, le STO, des handicapés mentaux ou sociaux, accusés selon leurs saprophytes d’être des sous-êtres sous-humains, pour leur dit handicap, parasites de la société.

La liberté de pensée jugée elle autant mal à éradiquer à la racine, par la loi de la torture chimique, des électrodes du trépan, de la trépanation, la déclaration de rhizome psychotique, schizophrène,

Surveillance psychiatrique d’obédience communiste, d’origine trotskiste, SPD apparemment et non pas NPD essentiellement, contrôle médicalisé au fascisme pis que national-socialisme allemand, contrôle fliquant de type maoïste infligé sur tout élément contrariant, contraire ou réfractaire à la campagne de dévotion d'extrême droite envers la religion et le fascisme. Suspicion raciste systématique envers tout être fiché dans les secteurs psychiatriques, automatiquement suspect autant qu’immigré, c’est toujours à lui à Rachid (tout individu fiché dans les secteurs psychiatriques étant à priori français, de race blanche, de sexe féminin donc suspect, tout autre individu de race de couleur et/ou étranger finissant automatiquement en prison pour les mêmes délits et faits, à croire que l’internement est un régime de faveur).

La schizophrénie ne touchant surtout que la population de type mâle, les femmes concernées par la psychiatrie étaient, sont surtout masculines, garçons manqués, homosexuelles, émancipées. Cf. la Psychologie des foules, de Gustave Le Bon (1895), concernant les femmes et les enfants, déclarés, traités en races inférieures, propres et propices à la manipulation, certainement parce que peu cultivées, peu scolarisées ou bien trop intellectuelles et cultivées pour le commun des mortels et celui de leur « race ».

Schizophrène, autre terme, inauguré par Bleuler, désignant les prisonniers d’opinion, depuis l’apparition en 1911 de ce mot dans la terminologie psychiatrique, en vigueur sous la III°, IV°, et V° République, préexistant depuis peut-être en fait la I° Internationale communiste, la détermination et naissance de l’anarchie (fin XIX° siècle), celle de la SFIO (1905).

Ces cas de prisonniers politiques étaient ceux-là dit je crois des incurables, avec ceux des premiers syndicalistes, après la Révolution (loi Chapelier de juin 1791). L’absinthe, très prisée, et l’opium, diffusé par comptoirs coloniaux nationaux de l’époque dont celui de Marseille, firent des ravages décimants dans ces milieux du temps de Degas, Renoir. De nos jours les mouvements politiques, cercles éclairés du syndicalisme et de l’art tombent avec les artistes, l’intelligentsia, dans l’alcool, les drogues le plus souvent dures, d’où la prolifération de cas signalés de démence et surtout de schizophrénie dans ces classes. La tradition du mot, du diagnostic de démence, surtout celui de schizophrénie en ce qui concerne la dissidence dans les milieux émancipés, érudits éclairés clairvoyants ou lettrés est restée. La bourgeoisie en a fait son arme favorite de lutte de classe, chaque parti se renvoyant la balle en ce qui peut concerner les éléments discordants aux arguments les plus gênants.

L’histoire de la psychiatrie, d’origine allemande avec Freud, débute véritablement dans ces périodes là, 1900, avec la montée du fascisme, médecine détournée de son vrai but pour résoudre les problèmes et conflits sociaux des populations sans intéresser ni dénoncer les pouvoirs qui les contraignent, ramenant la source même des conflits étatiques, sociaux, à la cellule familiale fasciste ou pétainiste. La psychiatrie n’a concerné l’Etat que pour en réclamer argent et subventions, autorité et pouvoir.

Jung, d’origine allemande ne l’oublions pas, fonda en 1905 son école, dont l’idéologie pronazie antisémite collaboratrice des nazis se greffa en Grande-Bretagne, Italie, aux Etats-Unis, au Brésil, en Argentine, pays de dictatures auxquelles il a contribué, son autorité en matière de médecine faisant foi. Contribuant à l’exercice de la torture, surtout dans ces pays là, dans toute politique surtout familiale adepte de ces principes.

Le culte de l'être suprême, en l'occurrence ici les canons de la mégère et du blaireau prolétaire bien ribauds, devant être de soi-même intimisé, faire partie du Moi-je pour tous, culte pour le gros, le maton et le porno, devenu une forme de paranoïa mégalomane revendiquée par des histrions de la plèbe issue de ces pouvoirs absolus. Paranoïa décrétée propre au cerveau de leurs résistants.

Usage dans tout pays surtout occidental et en France même, de la torture psychiatrique, médicalisée, médiévaliste, actes graves de propagande auprès des services médicaux destinée à lancer une opération de banalisation de la torture, campagne d’assouvissement des mauvaises mœurs, de lutte pour l’abrutissement intellectuel, l’obscurantisme religieux et la propagande nazie, campagne pour l’internement de tout contestataire réfractaire même pacifique à cette loi. Contrôle populiste psychiatrisé dirigé à boulets rouges sur des intellectuels de gauche.

Poètes, surtout visionnaires, vous hallucinez.

Infliction du pouvoir absolu de la torture psychiatrique dans une tentative de fédération des pouvoirs de multiples dictatures. Tabassages, le plus souvent au poste à soudure médicalisé, quasi constants, le plus souvent jusqu’au décès prématuré, seule issue qu’oppose ce régime répressif, passage à la gégène des cerveaux et des corps dissidents.

Lutte de type secte pour l’acculement au suicide, à l’acte de violence, de démence ou de forcené, incitations répétées par l’insulte nargatoire, l’infliction de soins préventifs à domicile insurmontables, non déclarés au médecin traitant habituel, qui les dit délires hallucinatoires si les faits lui sont rapportés, gavages, électrodes, viols avec violences, avec implants électriques fonctionnant sur pile ou non implantés à cet effet, sévices avec insistance, nocifs pour la santé et la vie humaine, pour la dignité et contraires à l’hygiène la plus élémentaire dont se parent tant les soignants. Apparence de soins, dégradants pour l’amour propre, devenus par leur prolongation et leur violence torture morale et physique. Digne de l’activité de sectes. Infliction de la torture reprise à titre d’attitude exemplaire de la normalité par les foules.

Offenses, provocations faisant allusion à la santé mentale de l’individu libre de gauche, envies de salir sa réputation ainsi que profanation de ses idées comme de sa personne. Quitte à le pousser au délit. Au crime par self-défense et légitime défense.

Assimilation de la liberté de pensée à la maladie mentale gravissime, pour tout défenseur de cette liberté enfermé si non entravé par quelque maladie, physique ou non dont il sera tenu, dont il mourra, qui lui sera un handicap aliénant pour ses droits et libertés, lui privé de son droit de réponse sous l’acte inquisiteur de la surveillance médicale. Sinon doré ou dorée au soleil de l’innocence (sexuelle) de ne point se toucher, très conseillée, tenu pour condamné tout athée non adonné au vice, quelque vice caché que ce soit, l’ignorance. L’alcool, la drogue, la corruption, l’esprit dictatorial, sinon franchement communiste ou d’extrême droite, l’on peut bien être un illuminé dans ces cas, mais modéré seulement si libertaire et non dictatorial, tout être gauchiste assimilé au communisme, au pourrissement d’un certain socialisme, individu traité si pur, incorruptible et impénétrable, en extrémiste étranger (de Camus, que je dois relire). Dans l’esprit de punir et salir encore.

Rééducation psychiatrique très répressive cautionnée par les autorités et services de la police qui ferment les yeux jusque dans leurs domaines d’action, ne condamnent jamais rien des exactions constatées, aggravent les cas, pour les femmes émancipées, les défenseurs de la lutte pour les droits de l’homme et du citoyen...

Pure condamnation du rêve amoureux érotique au profit d’une propagande véreuse pornographique, institution d’une quasi prostitution gratuite à domicile sous la loi du sévice parfois mortel, des sujets ciblés restitués à la médecine par la police en cas de non obéissance à la loi du viol médical incontestable, inattaquable et despotique.

Contrôle, pro-germanique, qui se fait dans les masses sociales, d’intellectuels, petits intellectuels, de personnes visées concernées ciblées pour leurs idées d'avant-garde, ne seraient-ce que parisiennes dans leurs mœurs et d'Extrême Gauche, personnes ciblées pour leur non-respect des règlements, sommations, menaces scènes de torture, ordres obstructifs des auteurs de la propagande en vigueur. Dans la ferveur la Gauche marxiste à l’hôpital, à l’asile politique des psychiatres.

Opération spontanée dans les foules tue, exercée au nom d’une légitimité de la torture d’Etat. Après le recensement de tout acte par ces masses et sur leur exigence, actes qui pourraient s'avérer viol thérapeutique, sadique anal, proche de la torture allemande, du SAC ou OAS, voire du FIS, de la Junte argentine ou brésilienne, torture strictement pro-nazie, stalinienne ou simplement d’origine française, s’instaurent des violences que chacun doit minimiser sinon taire dans les mœurs de la vie quotidienne, reliquats de ces formations.

Dans une France Libre toujours sous l’Occupation depuis les années1900. France qui se voile la face pour ne point voir, ni constater, l’état de besoin de torture des foules.

La lutte pour le respect de la dignité humaine considérée dans la médecine psychiatrique amour propre démesuré, délire de persécution paranoïaque à schizophrénique, avec idée de déshonneur, d’indignité, et d’injustice.

Tabassages policiers commués en besoins de viols par rixe et torture médicalisée, tabassages engendrant de multiples lésions, blessures, violences causées par la matraque électrique, violence gratuite et torture sexuelle à la fois pratiquée sur une personne traitée en prisonnier d'opinion par une partie du lumpenprolétariat, en mal d'exécution publique de l'élite, de violences sexuelles, blessures de guerre sur prisonnier d’opinion ou de guerre, autant que sur prisonniers iraquiens, une idée certainement due à la pro américanisation de la société…

Torture américaine à implants-presse-bouton, gadgétisée et infligée sur hommes-femmes, femmes-prisonniers d’opinion, sous-êtres gadgets objets à couper, jouets à sévicier de leur société. Torture sur dossier pour plaisirs sadomasochistes de belligérants intégristes de cela.

Pratique banalisée des électrodes qui rappellent le groupe électrogène des années 50 à 60 en vogue dans les mœurs des commissariats, dans toute dictature, durant les temps de la Gestapo.

France médicalisée, chaque individu fiché, par un besoin de fascisme à redressement idéologique pro-américain thatchériste croupi dans un eugénisme suisse et suédois, digne affaire Dreyfus de toute chaumière. Bataille rangée sans fin. Contre également le rétablissement de la peine de mort qu’ils voudraient commise dans les Asiles Psychiatriques et les Hôpitaux. Lendemains qui chantent. Punis du cerveau.

Guerres aux implants contre tout travail de sévérité à l’encontre de ce crime politique commis avec l’investiture psychiatrique de partis. Psychiatrie force de frappe de ces partis politiques, devenue leur bief.

Actes de torture médicalisée, qui vont jusqu'au viol de l'intime, ne fonctionnent qu'ainsi, dans une ingérence de la vie privée insupportable, mais tue. Le trouble de l’ordre public causé entrave aux libertés individuelles. La torture, n’est et ne commence que par la torture de l’intime. L’anus, le sexe du prisonnier devenus chose publique. Livrée aux quolibets de tous et de chacun.

Appropriation par les foules et la médecine psychiatrique, du corps, de la pensée des contestataires devenu objet public, chose publique propriété d’Etat, à déraciner de ses attaches terrestres et dépersonnaliser. Torture psychiatrique causée jusqu’à l’oligophrénie. Le décès, le handicap.

Usage de la force psychiatrique dans la constitution de prisonniers politiques ou d’opinion en sous-marin, de prisonniers de guerre de ce front de guerre civile, à torturer et assassiner, droite et front national qui en usent par actes de traite du malade, par la manipulation, comme de putes privées, objets de tous les profits et défoulements.

Lutte de ce front pour l’acculement au suicide, on ne meurt que de soi, et même l’on vous y aiderait, incitations répétées, l’insulte, les façons de narguer sur l’intime du sujet. La mort subite par la scène de violence, l’exécution sommaire, le meurtre prémédité, camouflé en orgie publique, accident mortel. Suicide, mort naturelle si l’on vous y a aidé. L‘infliction des libertés individuelles au nom de la Raison et de la Santé : Le meurtre, le proxénétisme médicalisé, la loi du silence et les avortements illicites illimités jusqu’à la mort cardiaque ; lâcheté ou bien être velléitaire, auto-complaisance, laisser-faire des autorités.

Suicides dans la prostration sous les attaques et voies de fait, les coups et blessures de violences ne pouvant provenir d’après les médecins intervenants que d’hallucinations sensorielles.

Prétexte aux offenses, provocations faisant référence à la santé mentale sur tout gauchiste concerné, contestataire de cette rééducation mentale du malade. Rééducation à la dure qui se pratique encore à domicile, dans des pavillons de crise, d’éducation surveillée, maisons de santé, en fait pavillons proches de la maison de redressement, domiciles hôpitaux-prisons pour adultes et enfants. Après le dernier des Jugements Derniers, les grincements de dents de la Géhenne.

L’éducation spécialisée pénitentiaire dont ils rêvent pour chacun concurrençant l’Education Laïque, sérieusement mise à mal par ces principes de dureté et de cherté. La République et la Démocratie ne pouvant se passer de la culture ni de l’Enseignement, qui la fondent, en sont le fondement même, la Démocratie est elle-même en péril. L’enseignement laïque, vie d’astreintes monacales (roustaniennes, vieilles filles) dont beaucoup dans les rangs de l’éducation et du professorat, perdent la tête, mis en grand danger d’annihilation dans la violence des collèges.

Voisinages initiés en pleins trips sur le Führer qui divulguent au gré des rêveries de chacun si permises des cours de redressement mental, à des cités de familles soumises par la loi de l'internement et de l'établissement de quartier, au silence du pouvoir absolu médical. Ainsi qu’à la langue de bois : Silence, hôpital, l’on vous soigne, les idées avant tout chose.

Désir de rétablissement du bordel, du proxénétisme envers la femme libérée. De la prostitution de l'intelligentsia, du corps de la femme émancipée comme de ses idées. De sa conscience comme de sa mort, de sa morale comme de son amour profond pour la vie, par tout effet de torture des brigades rouges maoïstes comme par ceux, recréés par l’Hôpital et la Médecine Psychiatrique, du SAC, des autorités. Cf. la « Politique du Mâle », de Kate Millett, 1971. Silence hôpital. L’on pense pour vous. Pour celles qui ont osé dire qu’elles ont les règles, traitées en prostituées notoires pour ce seul fait, jusqu’à la confection de règles douloureuses, hyperalgiques (dysménorrhées). Causes de premiers internements désirés à vie, des années 70 à aujourd’hui.

Le cerveau de la femme et des féministes ne devant excéder 1 Kg de poids (microcéphalie obligatoire et contrôlée).

Besoin viscéral d’interner pour torturer à loisir par loisir, dans l’esprit de profanation antisémite, envers les intellectuels de gauche, même encore en herbe, dès le berceau, sinon dès les premiers langes et les premières réactions à la mère.

Fantasmes hitlériens de la plèbe, qui passe à l’acte et à l’action dans ses fantasmes de domination, sexuelle ou autre.

Les idées de la Gauche à sérieusement soigner, la liberté d'opinion, le Droit des Femmes comme celui des malades jugés maladie mentale plus grave et dangereuse que celle des forcenés.

A calmer…

Considérée femme publique depuis les premières femmes rasées, prostituée notoire pour n'avoir pas eu voulu coucher avec les défenseurs du despotisme et du dictat, la femme libérée représente l'ennemie publique numéro un. Si elle n’est décidément la bonne du curé.

Pour son usage aussi de la Veuve Joyeuse, pour son art d'échapper ainsi à l'obligation de coucher avec le premier venu, de préférer soi-même à l'Homme ou plutôt à l’Hyper mâle teutonique nazi à pro-nazi, sans pour autant négliger l'amour libre : Loi en France même de l’excision de bouts de cerveau ou de ses organes sexuels, à défaut de clitoris, contre la femme émancipée, sa force, son choix, son pouvoir de vouloir, sa volonté d'être intransigeante et de défendre ses libertés. Contre celles de la défloration au vilebrequin, parachevée aux courants électriques.

Rétablissement sous la torture médicalisée jusqu’à parfois la répression par l’infliction de tentatives d’exécutions sommaires répétée dans certains cas jusqu’au décès causé, d'une police des rêves et des amours, dotée d'un pouvoir médical qui va jusqu'à perquisitionner sur les lieux de vie des personnes visées cernées par le Soin. Ne serait-ce que dans un but de vérification des dires invoqués par les pavillons, tribunaux, en provenance de corbeaux parfois en état de concurrence. Inspiré des vieux pères fouettards de la république, d’une ancienne Gauche révisionniste des séquelles de Vichy dans la société actuelle.

Etayée depuis plus d’un siècle par les pouvoirs psychiatriques pour perpétrer crimes contre l’humanité, exactions et purges dans la population des générations qui suivaient, parmi toute résistance. Assassinats et meurtres considérés suicides, morts naturelles, accidentelles.

Tentatives répétées d’un rétablissement d'une cohabitation fasciste d’une Extrême-droite et d'une Gauche que des partisans activistes désorganisent en la privant de ses défenseurs. Essais inspirés d'une société primitive prolétarienne, autant punitive que policière.

Tentatives maintenues par un usage frauduleux de la psychiatrie commuée en une force de frappe usitée par des partis extrémistes, l’asile psychiatrique lui-même pour étouffer toute affaire de corruption, d’internements abusifs, par des particuliers défenseurs de la religion, des partis incriminés, de parties civiles crapuleuses, dans un combat d’où les règles de la démocratie sont absentes. Sous la couverture et l’étiquette de la maladie mentale. Existence d’une Gauche de la résistance à résorber par la psychiatrie et de la dure, de type Hel Kaiser.

Ceci jusqu’à l’enfermement de tout contestataire réfractaire aux exactions et opérations de purge, une résurgence dans les mœurs du bas-peuple d'une nouvelle sorte de pogrom de type stalinien.

Staline et Hitler devenus les fantoches d'un lumpenprolétariat qui désire une fronde forte des préceptes de la Junte, proche des camps.

Fantasmes policiers publics hurlés dans la société, d'un exercice de la torture par une médecine engagée et enragée de çà, qui s'y adonnerait en tant que sport ou plaisir violent à titre privé, dans la légitimité d’une légitime défense qui n’existe qu’en leur faveur. En la faveur d’une Médecine détentrice de la Raison d'Etat par la force, de la Raison Universelle tout court, à quelque mot près.

Qui juge, s’attaque à tout élément contrariant de la société dans les tribunaux d’exception que sont les bureaux médicaux. Centres nerveux de toute réfutation d’arguments irréfutables et incontestables tant implacablement justes, compromettants pour la survie de l’entreprise psychiatrique ses activistes ses activismes et ses agissements. Jusqu’à la rétractation de plainte, le non-lieu, si incriminés ou traînés en justice. Jusqu’à la croûte de neurones frits dans leur jus. Parties de jus, de courts-jus et de droits de fait.

Actes médicaux infligés en guise de représailles sur quelques leaders de la Gauche et de sa base, déshonorés par le soin, tentatives certaines de dénoyautage, de destruction de mouvements de la Gauche, de ses sympathisants, intimidations violentes opposées aux mouvements libertaires et humanitaires. Des mises au pilori qui désolidarisent les moindres meneurs, intimident et prostrent les penseurs de la Gauche, exhibent les thérapies de l'acte de crime politique, une politique médicale tortionnaire, inquisitrice. Qui se veut rentable dans une rentabilisation du malade à faire frémir.

Il fallait que cela plaise au Dieu Le Père, à la Mère Folcoche et Mater Dolorosa de chaque famille.

La Gauche reste muette sur l'usage de la torture psychiatrique en France, sur ses méthodes comme sur son bien fondé, aucune remise en cause n'a été faite, depuis la chute de Staline et des anciens Goulags : Les partisans de ces dictatures étaient, précisément, de la Gauche la plus dure, la plus répressionnaire... Camps de Tchang Kai-Chek, politique de sécurisation militarisée KGB à la Sarkozy des hôpitaux psychiatriques, sur un budget non plus destiné à leur humanisation, mais à la rapide dégradation de leur rôle. Hôpitaux-prisons de type camps de torture de la CIA.

Exigence dans les masses d’une disparition du secret médical, dans le souci d’une plus grande surveillance des dissidents qu’elles font suivre et poursuivre pour leurs idées.

Est créée une sous-population, une sous-caste d’intouchables, d’ilotes grecs, de sujets quasiment prisonniers d’opinion de cette guerre civile, tribus trophées de guerre surveillés comme dans toute assignation à domicile et en liberté surveillée, dans le périmètre de leur réserve, dans le double sens du terme. Réserve qu’ils devront réintégrer aux moindres heurts avec le reste de la population, avec un médecin, ou bien un système médical.

Image du primate maintenu en cage dans son jardin d’acclimatation : Le malade jugé par la foule ne posséder que le degré d'humanité d'un animal proche pour les braves gens du chimpanzé de laboratoire, recherché pour sa facilité à se faire exploiter dans toutes les expérimentations sur sujet proposées à son entourage de mouchards. Dans toute la symbolique d’un nouveau King Kong populaire, à confiner dans un zoo humain.

Depuis la psychiatrie de Trieste la France vit des heures et des années de tir à vue dans des soins à domicile illégitimes, illicites, à dormir debout dans le déshonneur, la promiscuité et les affres de la torture d’Etat, déshonneur récupéré dans la plus stricte injustice, des plus violentes et meurtrières, dans la plus grande barbarie du monde, le Capitalisme pro-américain de Berlusconi de type médicalisé, à politique religieuse et médicale dirigée vers ses hérétiques et opposants, à les faire se rétracter, minoriser en nombre, disparaître de la surface de la Terre. Politique de Terreur pis qu’envers terroristes. Sous l’étiquette de la démence.

Régime fondé sur le crime politique mené par une Science en état de Fronde despotique de type Hitlérien regroupant tous les fascismes de Droite et de Gauche, Etat dans l’Etat, de populisme freudien, au gaspillage de vies immonde, capable de tous les crimes contre l’humanité sous le prétexte du Progrès dans des camps d’extermination à expérimentation forcée. Dans lequel chacun devrait y trouver son compte. Le trou dans la Sécu pour rembourser tout ça. Mais le ça restera le ça. Du peuple.

Régime totalitaire aux répressions totalitaires.

France. Pays de honte où Staline est Roi. Magouille de partis coalisés. Goulags Guomindangs du pauvre mettant en danger la Femme émancipée décrétée prostituée, la femme battue, la Veuve et l’Orphelin, la France déjà en péril.

Obstruction mentale de partis à idées fixes et pré-occupation de terrain sous forme d’exactions violentes commises selon les soins dégradants d’une médecine illicite, contrôle de la population incessant sur les détenus psychiatriques en semi-liberté, une sorte de liberté conditionnelle, violences verbales continuelles, incitations racistes, antisémites, à la violence ou rétorsion mentale et physique. Drogue du peuple. Font rempart, intoxiquent, incommodent, voire dérangent sérieusement. Drogue idéologique savamment, librement diffusée.

Tentatives vaines de redressement de la Gauche et de la Gauche radicale, à plusieurs reprises, dûment reprisées, autour des élections de la nouvelle Constitution Européenne, qui prêche autant que psys qui ne sont pas forcément d’origine divine, l’expérimentation scientifique sur damnés, incontournable et inattaquable, inaliénable même devant la Justice : Que nul ne saurait ni ne pourrait attaquer, ni empêcher. Cf. l’article III déjà cité de ce traité là. Constitution déjà en vigueur. Là aussi, rien que d’y penser, cela fait mal. Jusqu’à la minorité du mouvement.

Usage en fait d’une exigence dans l’urgence du soin, de la torture médicalisée, de la propagande pro-nazie auprès des services médicaux dans le but certain de lancer une opération de banalisation de la torture psychiatrique soumise à la loi du silence, celle de l‘internement, de la torture commune à chaque instant de la vie courante.

Campagne d’assouvissement de tous les vices par cette entremise, mauvaises mœurs, rites aryens, lutte pour l’assouvissement dans l’acte de torture, l’abrutissement des masses, l’obscurantisme religieux, l’internement de tout opposant à ce régime, réfractaire ou pacifiste, purge sociale permise par le Soin. Sion. Dans les puanteurs de bouges, médicalisés.

Appel à un hôpital répressionnaire dans ces cas de la femme contestataire, de l’homme humaniste, de l’enfant martyr, autant qu’appel à la maison de redressement médicalisée pour militants anti-psychiatriques, style d’hôpital devenu prison, détenteur des libertés de penser et d’agir, chargé d’une surveillance systématique et officieuse de défenseurs des droits de l’homme et du citoyen, à tous niveaux de la société. Enferment leurs détracteurs, les internent ou font soigner, pour les fermer, à ce sujet.

Gauche pourchassée du fantasme d’un proxénétisme psychiatrisé pénal, la prostitution et la dure, médicale répressive et rédemptrice des féministes, des femmes libérées, purgatoire de leurs libertés si en voie de renoncement à leurs idéaux. Excommunicatrice de ces femmes jusques dans leur vie privée pour les faits d’armes de la droite fasciste, autant par la Médecine que par la religion. Il fallait vivre cela à l’heure de l’hôpital chez soi pour apprécier combien la terre est basse, dans la maladie mentale prétextée prétexte à tous les abus, fraudes, expérimentations et exterminations raciales, maladie mentale couverture de leurs crimes contre l’humanité. Faisant accroire à une lutte contre des moulins à vent.

La Psychiatrie, Mal français

Torture en vérité pas bonne à dire.

Palette latérale de discernement thématique, classifiée en sous ordres et sous clases d'importance, classifiant la vérité de l'univers, de la planète et de la société humaine, sous classifications chronologiques en dépendance de ces sous-ordres de prise de conscience universitaire, la vérité dans sa globalité inter intra et infra relative à elle-même, donc inter intra et infra relativité des vérités des sous-ordres du classement de approches scientifiques. programme universitaire de la faculté de lettres paul Valéry 1977, du Professeur de géographie Mr Ferras.

Personna non grata mises sous influence médicamenteuse, sous peine de plus graves exactions et brulure intégrale du cerveau et du système nerveux, soumises aux déformations linguistiques d'un déliré schizophrène, pas le sien, qu'il devra intimiser, et sera classifiée sa symptomatique personnelle de la maladie. du coup en vache au coup monté, classifié lui aussi symptomatique propre à la schizophrénie. Sa mémoire lobotomisée pour qu'il ne puisse plaider son réquisitoire, amputé dans toute zone cérébrale dont frontale où il se situerait., le militant non déclaré ni affilié planche Si, sur la suggestion d'un maton, apparemment sensé l'en sauver, il écrit sa demande de grâce auprès de la présidence, symptomatique due à la maladie, là aussi, coup classique. et fait d'école.

Electrodes paralysant cerveau et système nerveux pour un long temps, parfois sans rémission selon la quantité et la longueur des séances d'électrodes, de décharges portées au delà du courant EDF. Certains types de décharges de courants paralysent, voire tuent les zones cérébrales, d'autres les brulent et d'autres les résèquent, faisant fondre en fusion les graisses cérébrales. Et donc vont jusqu’à la mutilation des chairs. Infligée à titre de répression sur victimes de rixes et de violences par voyous, qui eux sont considérés posséder la raison plus que leur victime, déclarée démente folle pour ses cris et protestations véhémentes et poussées par des tortures ineffables, à leur paroxysme. Bref, tabassent sur les modes d’intrusion à domicile de la gestapo et des services spéciaux, sur victimes de leur pratique du trou normand aux électrochocs. Pratique du trou normand par électrodes, en périodes de festivités, occasions d’orgies, notamment à base de gavages intempestifs de repas complets et toxiques à toutes heures dès les systématiquement les huit heures du matin.

Par ailleurs et d'ailleurs, l'humour chez eux est qualifié de paranoïaque, la gégène une sensation bizarre hallucinatoire de délirât sous-jaçant décompensé dénégatoire envers le monde. la gégène ne rétablissant si tant elle est sensée rétablir la santé de la pensée du prisonnier, que les obsessions de ses bourreaux, qui ne se soignent qu'ainsi. Comment l'esprit vient aux intellectuels de gauche. Il règne en ce moment un grand courant mélodramatique sinistre autant qu'une porte de prison, avec atteinte mélancolique des deux maladies psychotiques maniaco-dépressive et schizophrénique, parmi cette population de nouveaux petits médecins, psychiatres entre autres, à vous faire prostituer autant que lulu, parmi eux s'il entendent ainsi ne pas plaisanter en vous rentrant dans le lard, pour que vous couchiez à l'internat, vous y étant réfugiées par esprit érotomane et schizophrénique un soir de passage à tabac sur l'ordre de l'un d'entre eux, épris d'esprit de bravoure antisémite autant qu'anti-gauchiste, eux faisant avec la secte de scientologie, si vous ne faites ensuqué, vous sen feriez juste ne petite mélancolie de leurs services, dans le devoir de vous crever mais pas de rire. Et s'il y en a un autre qui rigole...

Motion de censure contre l'usage abusif des électro-convulso-thérapies

Vente des biens immobiliers dans récession telle que la perte du patrimoine familial qui coute plus que revient est nécessaire à la survie des individus et des familles.

Baisse du niveau national des personnels médicaux et infirmiers, tant et tellement que ce regain de l'ignorance en France, devenue inculte, nécessite l'import autant que de bêtes de somme, de médecins et infirmiers, infirmières étrangers, sollicitant l'étrangers pour ce fait, plus cultivé que la Franc en ce domaine afin de fournir les rangs du pays en personnels aptes et capables d’exercer dignement leur métier.. Certains des médecins français dans une méconnaissance parfaite de l'anatomie du corps humain, et dignes du toubib charcuteur des OAS et nazis, tant leur charlatanisme tient au fait, embauchés par pis aller par un état français qui par défaut de personnel plus apte, les a tout de même diplômés de diplômes de complaisance, créant un certain privilège de caste de vieux seigneurs et un certain scientisme de caste s'attribuent les privilèges de caste de l'aristocratie, envers une sous caste de serf en servage leur témoignant notoriété gains et gratitude, clientèle qu'ils se fidélisent à vie des trafics précités, charlatanisme scientiste.

Opérations du cerveau pratiquées sur individus pour leur délit d'opinion, à l'aide d'instrument de torture, opérations infligées à titre strictement répressif. ou lobotomies. De Deutsch Hôpital;

PO : mesure temporaire de torture sur individu isolé de la société pour ses engagements et sa liberté de conscience en délit d'opinion, constitué prisonnier d'opinion par vox populi saisissant l'Etat

En résumé :

Viols, viols à titre thérapeutique, espionnage constant et maintenance à main armée de ma vie intime et privée, recel d'armes non conventionnelles sans port d'arme et trafic d’armes, issues du trafic de drogue de la prostitution et du proxénétisme, ingérence dans la vie privée, torture, torture médicale, maltraitance, barbarie et actes de cruauté, voire crimes contre l'humanité, tentatives réitérées d'assassinat, actes de proxénétisme, sévices, voies de fait, coups et blessures, violences aggravées en vue d'expérimentations scientifiques. Effets de procédures illicites, détournements de lois, exercice illicite de la médecine, expérimentation sauvage, association de malfaiteurs corruption de fonctionnaires et racket dans le but de prostituer, expéditions punitives, effet de bureaucratie soviétique ou nazie et de secte, etc. Ce que l’on peut en retenir, en cas de main courante auprès des commissariats avant de se lâcher et que l’on vous appelle le médecin de la police, justice dans certains de ces cas, impraticable. Voir articles de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme.

Moratoire pour une Europe ne se contentant d'un visage humain masquant la barbarie, mais une Europe humaine, dotée d'une éthique civique, déontologique et morale soucieuse d'apporter bien être aux citoyens de l'Europe et non faux problèmes de rites prédateurs obnubilateurs de lucidités à un pays sous encore une Occupation de terrains neutres engagés ou de principe, agissements d'un capitalisme sauvage organisé en mafia presque russe, sournois pernicieux et rampant. Ravageur des consciences libertaires et les assimilant sous le poids et le langage des armes, à l'aveuglement idéologique et la perte d'identité de l'être humain, réduit, à l'inhumain. tout discours de la conscience autre que ceux de la langue de bois, réduite d'ailleurs au leit-motiv hitlérien, cerveaux des petits penseurs de ce siècle piliers de la démocratie et des petits actes de journalisme philosophique, arasé, décérébré, voire, médicalisé à outrance dans une tendance au retour à la constitution du délit d'opinion. La France n'ayant jamais vécu et existé en tant que république démocratique que dans les textes de ses droits, France, une utopie, un cauchemar vivant, un conglomérat issu d’une métaculture des fascismes régnant sur terre depuis l’apparition de l ’Homme. .

Il n’y a à exister aucune forme de crime contre l’humanité contre tout militant de parti quel qu’il soit pour son engagement personnel, ni ingérence dans sa vie privée, ni exaction commise afin de lui interdire d’exercer son engagement, au nom de la du droit à la torture, à la reproduction de l’usage de la torture des pays étrangers et de celle des camps de concentration qui ont été tolérés après la dernière mondiale afin de rendre aux allemands nazis prisonniers de guerre les horreurs qu’ils auront eu commises sur les juifs, résistants, homosexuels et romes exterminés. L’usage de la torture mutilatoire ou pas, (en harcèlement ou non) ni en son nom ni au nom de l’usage du crime politique pour vaincre un ennemi, n’a à être tolérées en aucun cas, ni même envers un ennemi commun, car toute torture à ce compte là peut trouver justification. La torture et son usage n’a à être nié ni toléré, ni tu ni à reste inavoué, ni à être sujet d’actes dits de bravoure des dissimulation faisant accroire à la démence de tout dénonciateur ou défenseur de sa partie civile, aucun militant d’une cause quelle qu’elle soit n’a à subir la torture au nom d’une lutte des classes mobilisées dans une occupation fasciste de partis politiques, clandestine permettant le droit de torturer dans le non-dit, encore moins parle fait d’un armement illicite non conventionnel distribué par les administrations auxquelles il est en partie restitué après incarcération du contestataire, armement recelé par les factions fanatiques de ces regroupent, arment revendiqué hallucination des victimes atteintes et blessées de ces armes tolérées, connues et sciemment distribuées dans la population, par les gouvernements depuis les années 30.

Les partis politiques de Besançonneau, Chevènement, certains partis écologistes, et ceux de l’extrême droite, très durement réprimés, au point qu’il est normal que Jean-Marie Le Pen parle de mort subite, et de martyre chrétien e ses partisans, tant ils auront eu jusqu’à décéder de mort violente de ces luttes armées. Prendre la défense de l’extrême droite en ce point-ci, revient à ne tolérer, ainsi que ci-dessus, aucun acte de torture y compris mortelle, envers tout individu pour un délit d’opinion lié à une intolérance inquisitrice datant de l’Inquisition, ancrée plus profondément dans les masses populaires depuis les années 30 et la montée du nazisme en Europe, qui s’avèrerait dangereux pour sa vie, sa santé et l’intégrité de sa conscience. Pour certains militants de ces partis, et surtout ceux de la droite, leur physique refait, remodelé au laser à vif, opérations de chirurgie esthétique pratiquées au domicile des personnes, sur tout lieu de vie où elles se situeraient, dans des douleurs de blessures parfois mortelles, qui les handicapent et voire les éliminent pour handicap grave chronique, leur droit au travail ensuite remis en question, sinon rendu obligatoire autant que sous nazis.

L’incompréhension générale du problème du à une grande ignorance des populations, affectant la plupart des ressortissants lucides de tels agissements. Incompréhension rituelle envers l’étiquette de démence précoce et de schizophrénie qui leur est attribué, et affectant tout prisonnier politique, mêlé aux malades véritable de cette affection mentale, réelle pour certains des cas recensés.

Procédés d'autant plus injustes et intolérables qu'ils se pratiquent sur des malades mentaux réels, qui n'ont encore moins que prisonniers d'Etat à connaitre ni subir l'usage de la torture à titre de soins. Capable d'instituer l'instinct de mort par contrainte à la légitime défense militarisée par tous les systèmes sociaux et psychiatriques également, moteur jugé essentiel de la lutte pour la vie, récupéré par le système capitaliste, de la force de travail.

En attendant le droit à la torture de guerre, officielle et légale, la torture de droit de fait officieuse et imposée autant que si légale elle était dans le pays fait rage, l’on torture le voisin, chaque individu de la société son prochain au nom de son délit d’opinion, lui dans le seul droit de se laisser torturer dans le mutisme qui lui sera voulu ou corrigé, son silence transgressé, afin qu’il avoue sa foi qui lui sera amputée par la lobotomie nazie qui lui reviendra s’il persiste à ne pas s’engager dans le combat fasciste, de quelque bord politique qu’il fut, dans une société de surveillance qui n’est qu’une dictature. Dénommée paranoïa schizophrène à dissociation du moi délirante hallucinatoire, envers tout libertaire contestataire lucide de ces réalités ici décritesqui se heurtera à ce rempart de déluge et de feu dénommé l’intolérance. De plus, dans le lavage de cerveau qui sert d’éducation de la jeunesse actuelle, au nom de la guerre et d’une torture de guerre, à l’infini dans les systèmes de corruption de la population, contre les libertés de conscience, contrées de la torture pratiquée sous l’égide de la Raison unique, Raison d’Etat, et de la Raison Universelle. Dans le sabotage du travail intellectuel, le viol thérapeutique au nom du soin de la frustration des pétroleuses féministes décrétées jusques parla science psychiatrique qui leur est opposée, mal baisées, phallocraties aryen toujours si ce n’est plus, à l’honneur.

Toutes libertés devenues obligatoires. La religion un fait du fascisme.

L’attribution de l’étiquette de démence prononcée contre le délit d’opinion, traité en maladie mentale gravissime, nécessitant les méthodes les plus indignes bafouant le code civil et les crimes contre l’humanité les plus dégradants pour la vie, la santé et la dignité du prisonnier de guerre dans son incarcération en semi-liberté préventive ou carcérale et sa privation de liberté ainsi instituées. Les infirmes chargés du travail obligatoire rédempteur du pays de leur grave faute de ne point pouvoir travailler ( pour leur délit d’opinion) ne serait-ce que dans toutes leurs inaptitudes requises et de rigueur, sinon pour cette rédemption ou inutilement et gratuitement, Travail obtenu de toutes le tortures inimaginables possibles, ainsi qu’envers tout femme émancipée depuis le début de la dernière guerre, ne serait-ce que dans toutes leurs inaptitudes requises et de rigueur, leur cas réduit à celui de la femme libérée et de la prostituée que chacun peut battre à souhait et cogner, voire exécuter froidement leur droit au non-travail, chargé de sauver la France de l’iniquité d’une récession dont la faute leur est attribuée. Soigné dans la faute de Marie-Madeleine, et selon le sort de Jésus Christ. ses infirmités voulues et obtenues par la torture mutilatoire, dans l’esprit de soigner son délit d’opinionréduit à celui du tiers monde social selon l’imposition de la torture chimique sous peine de et accompagnée de la torture électrique à longueur de vie. Théorie négationniste de la dernière vague fasciste du Pacte d’Orange.

Cf. le site de SOS Racisme, chapitre négationnisme européen.

.Opérations du cerveau pratiquées sur individus pour leur délit d'opinion, à l'aide d'instruments de torture dont de opérations infligées à coups de décharges de groupe électrogène ou matraque électrique, ou de tout engin de torture de guerre qui pourra s’y assimiler, opérations infligées à titre strictement répressif, lobotomies. De Deutsch Hôpital;

PO : mesure temporaire de torture sur individu isolé de la société pour ses engagements et sa liberté de conscience en délit d'opinion, constitué prisonnier d'opinion par vox populi saisissant l'Etat pour y infliger sa dictature lumpenprolétarienne.

Line Llao

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