dimanche 7 juin 2009

BONBONS A LA FRAISE

BONBONS A LA FRAISE

Des infirmières aux formes encore humaines, malgré leur appartenance aux canons des ménagères, poussaient du bout du doigt mes dernières circonvolutions arrachées mes nuits de veille, en s'excitant s'exclamant et riant autant que devant vulve de fillette, ou ses deux fesses. Jouant avec les morceaux de tribut et s'adorant mutuellement de la chose.

Je ne saurai jamais, le temps aidant, si ce fantasme avait une réalité ou non.

Sarabandes grotesques du personnel.

Lourde sanction, tous les saints sacrements, la kyrielle de rites protocolaires sexuels, polymorphes et qui traînent autour de la sacro-sainte pénétration, de l'éjaculation-post-opératoire, autour du rentré du canif dans la tonsure, du plaisir de l’épilepsie que doit souffrir avec abnégation l'alité de service dans leurs services. Plaisir qu'il faudrait même simuler tant soignants et chirurgiens se paient eux le plaisir de mutiler un corps inerte endormi ; ils mangeraient le cul d'un singe et encolleraient les trous des morts si cela leur était permis, si le propos de le faire n'était déjà cité au cours de ces partouzes de sauvages.

Prenez bien votre traitement, si vous ne voulez devenir maso.

Vivant auprès encore de la surpuissante électrode-punissement, à se fourrer là où l'on aime, sur tout organe qui rejoindrait l'amour physique ou l'émotion salvatrice de l'ennui, sur toute partie de la cervelle qui pourrait recéler un brin d'intelligence, de connaissance, de devoir. D’esprit civique.

Pas vu, pas pris, pas cru.

L'électrode collée au front comme sainte hostie à la fesse, elle ira se plaindre, la nouvelle arrivée.

Parce que je me plains de l'usage abusif de ces méthodes médicales maintenues à titre privé, dans les habitats ou pavillons collectifs et dans des situations d'urgence où l'intervention est légitime, en cas de conflit presque territorial, entre médecin et patient, locataire et voisinages en crise.

Voyeurs, pères coupables, mères jalouses, petites aux envies funestes de vous violer par le bout, le bout qui leur plaira, voisins un rien violeurs quand cela doit faire mal, mémères violentes en mal de pucelle, qu'il faudrait nourrir et laver, pomponner et dépraver, au risque de la dépuceler, ce dont elles voudraient bien être au courant, pour y assister.

Si j'évite d'en parler par moi-même, c'est parce que j'y suis obligée.

L'altercation passée, avec un énervé qui loge au-dessous de mon appartement, le moindre cri dans la cité m'est imputé, cela m'apprendra, s'il était alcoolique et se soûlait d'esprit de revanche envers des écrits bien anciens, que j'aurais commis, qu'ils auraient, à eux tous, énervés et commères, lus après forçage de ma porte, durant mes absences. Ou piqué dans ma cervelle, allez savoir comment.

Formidables delirium tremens du voisin : Cela se concevait de me surveiller car j'étais arriérée. Mongolita Chita pour lui, digne de tous les viols qu'il me voudrait, à titre de déshonneur, mes livres ayant été impunis et mes titres à fustiger. Pour la couleur bleue de mes yeux qui ne correspondait à la tendance anti-lepéniste que j'affichais politiquement et philosophiquement parlant, pour cet individu la Gauche est une maladie dangereuse qui ne se soigne que par l'internement à vie dans une maison de discipline. A punir de maladies tout aussi dangereuses. Physiques y compris.

Je passais mes journées à compter les heures que je passais à respecter le Coran tant je devais être douchée ou devais me sacrifier au bain forcé après le plaisir comme après les gros besoins. Cela aussi m'était surveillé, je n’évacuais naturellement que sans traitement, l’on me reniait ce droit. Dénoncée publiquement si je parvenais à aller à la selle normalement car signe de peu de traitement, neuroleptique cela va de soi, car constipent. Etant entendu que pendant les fellations que j'endurais durant mon sommeil obligatoire, l'on me rappelait que mon fondement avait le goût de mes excréments.

Visite ou pas visite.

Pas vu pas pris.

Je ne cherche pas le drame, je cherche à l'éviter.

Mais les électrodes étaient sans anesthésiques, l’épilepsie causée exige un toilettage irréprochable, sans quoi les mégères à l'affût d'un cul sale pourraient estimer qu'il me fallait être plus propre gantée, retoilettée.

Même pas fichue de se laver...

Sans anesthésique, la douleur atroce rend muette, envahit chaque lobe, atteint la matière plus profonde du cerveau, irradie, coupe souffle et parole, s'insinue dans chaque fibre du crâne, à laisser un mal d'os et de cuir opiniâtre, incoercible.

La France ne se plaît qu'en cela, la foi des enculeurs de mouches.

Parce que cela nécessite un certain forcing de la part des braves gens d'exiger que cela soit, cette idéologie bien fessante entre prison et charité, l'Eglise et la religion, y compris la dernière bulle du pape qui n'y a rien fait, que ce soit après le Pater ou l'Ave. Le droit d’asile se mêle d'interdire la masturbation chez les petites filles, depuis l'enfance jusqu'à la mort, ce plaisir réservé à cette sous-caste, la fillette, sous caste à celle des femmes, l'onanisme chez le célibataire plus que chez l'individu marié ou en couple, strictement réprimé, car il confèrerait les symptômes d'associabilité que présente la schizophrénie chez l’adulte ou la démence précoce chez l'individu jeune.

Depuis ma première prise de conscience, je ne vis plus.

On réussit à s'en souvenir comme l'on gagne au tiercé.

Fureur et cris du voisinage. L’on parlerait plutôt de cris inarticulés. C'est faux, engueuler existe, la confusion règne pour la formule « crier après ». Crier oui, mais au cours de semonces et lamentations.

Exhortations et harangues, au gré des obsessions de la populace, ma vie intime livrée à l'hystérie collective.

Qui instaurerait bien le droit de pratiquer l'opération neurologique à titre de matraquage d'intellectuels. Matages et simulacres à simulations de travail à la gégène par l’implant et l’électrode. Ne serait-ce dans mon cas pour me faire admettre tout acte qui relèverait d'une forme de la torture encore en reliquat dans notre société et qui pourrait me rendre un jour violente à meurtrière par légitime défense. Ne serait-ce que pour faire accepter sans crises ni revendications, ni hurlements de terreur le bienfait de la thérapie Tant j'aurai eu souffert le martyre d'un calvaire sans fin, inaudible. La torture subie, ineffable.


Cercle vicieux. Aveux narquois et fantaisies sales de vieilles femmes, sarcastiques, habitées de démons, harpies qui voudraient bien me rendre la monnaie de la pièce de mes réparties et heures de droits de réponse, sous forme de jeux de mots que pourrait créer la méthode globale dans l'enseignement de la lecture. Incultes formes de pataquès, persiflages bourrés de force gifles psychologiques, railleries dépravées de vieilles caques effrontées, aux insolences infantiles, persistances de saphiques violeuses, opiniâtres dans leurs confusions auto-complaisantes, une insistance qui tient de la torture de guerre sur prisonnier d'opinion, pour le simple fait de m'entendre rager, triomphatrices et pourries d'appels à l'illettrisme pour bien me faire oublier les carnets d’Amnesty International. Mes journaux au tir nourri.

Je crois parfois entendre ma mère, son sac de luxure argotique, ses pourparlers et exigences aux canons despotiques. Ils la feraient renaître de ses cendres pour qu’elle poursuive son travail de sape sur mon moral, ma bonne confiance

Au loin, propos à double face accusateurs et bien salés.

Où la paillardise est la seule leçon de l'athéisme.

Et c'est une dure vieille leçon qui dure...

Moqueries quasiment homosexuelles d'infirmières sexistes racistes, dans le plus pur esprit supérieur bien fessotant et colonialiste destinées à planter dans une fesse un aiguillon sacrificionnel et salvateur, une claque de plus sur le large darge avec toute la grossièreté du défoulement répresseur, obnubilations de haines fascistes, commentaires grivois.

Une vengeance étatique triomphatrice qui part de la théorie de l'assommoir pour en venir assez vite à celle du viol thérapeutique. A décourager tous les bourrages de crâne tournant autour des peines de mort comme autour des pénalités telles lobotomies en tout genre et de toutes tailles, en plusieurs exemplaires et formats.

Rappel dans ce jeu des faits tels que je les ai oubliés, que reprennent mes activités intellectuelles sur le sujet prohibé, dès la rude leçon de confiance passée.

Que cela se passe des manifestations de mon amour propre, rappel des exactions commises au moindre doute, à la moindre évasion littéraire, au moindre sursaut de sentiments, selon une mentalité de concurrence incontournable. A bien enfoncer le clou, sacrificionnel.

Saoule.

Je reste saoule, souple et patiente. Le cœur sans émotion aucune.

Seule face aux bigots, à bouffer du curé en silence, sans jamais désarmer, même de façon intérieure, à râler de temps à autre et m'enfoncer dans l'agonie de la prostration, pure et simple.

Il fallait alors avaler rond des traitements sous la qualification de cure salutaire, comme l'on en boit à plein goulot avec de l’huile de coude du côté du foie, dans des services où la survie ne tient qu'à la diplomatie du patient, au farniente ouvrier des matons.

Vaccination contre le monde autant que contre soi et le phénomène du bruit, une lutte qui entrave plutôt la vie de ses victimes, le bruit, tout comme le contenu du bruit, qui même s'il était murmuré à l'oreille, réveillerait un mort.

Titillements choisis de ma sensibilité examinée aux infrarouges, qui répondrait aux canons de la maladie, sensibilité devenue celle de mes fesses, visées de près par la cérémonie du soin, au pire ridiculisant.

Pour voir et vérifier si encore j’ai le petit doigt qui leur bouge...

Il ne faudrait pas que cela avec leur vin de messe me soit monté au cerveau, et que cela ne m'emporte la tête, cela fait trois heures que je tape à la machine.

Suivent les allusions bien répugnantes et des provocations pour démence grave, façons ignares chercher l'altercation et la rixe.

Je penche, donc j'essuie.

Souillures implacables, tu vas voir si elle a le niveau. Juste pour chercher à affronter une crise célèbre, illustratrice du mal, exemplaire pour l'éradication longue et patiente qu'elle aura exigée.

Il faut hurler plus fort encore que la folie et frapper fort, à entrer sans avertissement dans mon logement comme l'on rêve de tuer, pour le jeu de massacrer une coupable, on la tient enfin, la gueuse, et de noyer le bébé dans l'eau du bain et de jeter l'eau du bain avec la môme.

Des soins à tuer père et mère, pour vous faire avouer qu'il faut se soigner,

Lorsque l'on en revient, l'on tuerait bien encore.

Ou bien il le faudrait encore.

Ne serait-ce que pour m'apprendre à supporter bien pire : Tant que l'on n'est pas mort, ce n'est pas grave.

Ce sont toujours paraît-il des cris inarticulés, des cris de chimpanzés, les engueulades n'existent pas, je ne ferais que vociférer...

Aveux narquois et plaisanteries sales, sarcasmes effrontés qui nuisent à la compréhension du sujet, de l'autre, jeux de mots pervers, dans les termes ignorants d’une infliction de ciguë.

Avant les grandes périodes de faconde, où l'esprit part à sa recherche, sous les prêches au lamparo des matons, quand ils viennent, me faire pisser le sang sur ma chaise de bureau.

Persiflages, fortes gifles malgré les jérémiades tacites de proches qui se sentent coupables, ceux qui espéraient me faire prendre une revanche, qui ne se sont jamais dénommés. Témoins affables disparus. Bénévolat perdu dans la nuit qui avance, pleins phares.

Railleries de vieilles caques, insolentes et infantiles, aux ragoûts puants et fétides, sentant la sauce alcoolisée, bourrées de germes fécaux de diarrhée, chants de guerre tribaux, triomphateurs, ceux de la connerie triomphante. Pour que rien de soit de ce qui était, et que l'histoire avance à grands coups de pieds au derche, de ces colonisateurs d'imbécile.

Moqueries homosexuelles dans l'esprit de maquer le moindre réflexe, dans la grossièreté de l'altercation, la grande familiarité des colons d'Alger, où les nez tuméfiés rimaient avec les défoulements hystériques d'obnubilateurs grivois, tels OAS digérants et dirigeant l'infirmerie. Même si tout ne peut être dit.

Vengeurs, propres à la thérapie de l'enculement par le bon bâton merdeux et le vrai sens du manche, propre cela aussi et aussi net, jusque dans les moindres recoins du crâne. Ponctuant les scènes d'orgies durant les électrodes avant les lobotomies répressives du libre arbitre, et de la Gauche souveraine.

Rappel des faits dès que la populace les oublie, aux grands cris de ralliement des vieilles femmes qui emboucannent, le slip un peu rance et le pecho fermenté, qui prostituent avec leurs grands airs de faisandées satrapes, les jeunes filles émancipées de ces cités.

En finir avec l'écrasement total, qui dure, pour une communication à sens unique, ce dont ils parlent eux, pas moi.

Et le fait d'entrer comme pour boire à plein goulet ce peu de vie qui me reste, et le recracher avec le reste de mon cerveau. Le battre. Le battre et le morsurer. Elles voulaient morsurer mon cerveau. Y entrer dedans avec leurs doigts sales et le griffer, le gifler. Absence de mathématiques, au cours des visites de jour, comme de nuit, allez, avec force ménagements pour que je ne les aperçoive pas. Et s'ils utilisaient le chloroforme. Juste en se plaçant dans mon dos, juste le sens et le temps de les ressentir, leur présence, indélébile, leur façon de crocheter la porte, de laisser tomber la clef, et soudain la main sur les yeux, la gifle qui m'assomme, j'ai beau les guetter, je ne vois rien, et pourtant, ce n'était qu'eux.

Une vague odeur d'alcool dans l'évier, les traces de sang frais sur le sol, les sensations étranges de soins, j'ai été gavée. Ou peut-être, autre chose. Une odeur de toilettage, au parfum inconnu.

Une accélération de ma combativité pendant plusieurs jours, longs et pénibles, entrecoupés de transes dans le voisinage, réveils décadents au son des chambellans, des teneurs de lampions, des éteignoirs de bougies à la lueur des chandelles.

Traitements plus lourds contre la folie explosive. La leur ? Pas la mienne. Je combats cette nullité de se laisser faire, du rien dire.

Vaccination intemporelle contre soi-même et le bruit, le surmenage et le rançonnage, ma sensibilité augmente de peu, portée à son maximum en début de nuit, titillements de ma pensée à chaque nouveau son de cloche, grosse irresponsabilité du voisinage, évacuation en douceur dans l'air. Ils nient mon autonomie.

Comme une recherche de la rixe. Rixer. Souillures implacables trouvées sur la table, avec une flaque d'urine au relent de purin, aux pieds de l'évier. Voir si eux aussi ils ont le niveau, cette familiarité de sans famille dont ils m'étranglent.

Des médecins qui épient cherchent la zone à cogner, pour que l'heure venue reste grave, je n'ai pas moi non plus le temps de m'amuser. Crise célèbre au point de me farcir de comprimés, à prendre dans le café. Cogner et taper fort. Sur ma tête. Dans mon ventre, parce que là aussi question somatismes il y a à faire.

L'assommoir, l'entuboir, l'entonnoir, la poubelle de la société, avec ses déchets sociaux et ses ordures qui les gouvernent.

Leurs façons de narguer nient le gouvernement, nient la république, la démocratie de ce pays, jusqu'à la recherche de l'affrontement armé de guerre totale avec un de leurs individus qu'ils surveillent. Contrôlent, nuit après nuit, jour après jour, dans l'espoir de vieux témoins de longue date de le réhabiliter. Ou moi-même qui me suis battue, avec eux, ces gens du bénévolat qui trouvent le temps de faire la guerre, à ma place, et de m'en sortir, de me repêcher, parfois, par la peau du cou.

Des troubles de l'ordre public qui m' « assagissent », quand les affrontements se font de foule à infirmiers, venus là spécialement roder autour de mes fenêtres, à vouloir deviner s'il n'y reste pas quelque chose encore à sucer de leur familiarité.

Laxisme hospitalier envers ces affrontements de tout ordre, que je bénie pour le fait qu'ils sont bien de ma patrie, pas de celle de ces voisins, flics qui m'enfliquent, ces voisinages tordus de cognes qui désespèrent de ne me voir des leurs sous le képi, nuque arasée à la chinoise.

Certains s'en suicideraient.

J'ai résisté.

A risquer la mort de tant lutter. Mauvais traitements ou début de cancer, quand cette maladie peut ne se déclarer qu’à l'occasion de trop de contrariété. Vie de rancune et de pardons, où j'oublie jusqu'à mon nom, que dire, si l'identité première m'est restée.

Infliction de neuroleptiques retors, qui pourraient endeuiller ma famille, si j'en périssais, de trop de sécheresse, jusqu'au mal pouvant causer la mort, emmaillotage sacré, auquel l'on peut assimiler l'hostie, à prendre entre deux vins de messe, comme ces vieilles, qui l'avalent le clapet gouleyant, à grand renfort de platées de ratas et de saucées vineuses, entre deux repas à la sauve-qui-peut étouffe-chrétien, qui minent par leur démocratisation l'esprit de la pureté, et la nuptialité des fiancées.

Par la bouffe reproductrice, la cuisine au beurre de cul de nudiste qui desserre bien, celui des fiancées qui copulaient sainement et saintement, à qui l’on tient la queue du poêlon, pour leur faire lécher à fond le fond de la gamelle, au cours de leurs grosses bouffes maritales.

Préparations nombreuses au grand chambardement, de la populace craintive en lisse, toujours processionnelle et prête à l'Inquisition, la Gestapo en guise d'étendard, mobilisée pour les histoires de fesse, à prendre un exemple parmi ceux d'entre elles. Pour qu'il vive l'échafaud et la potence, à le suivre en kyrielle jusqu'à son domicile, où par la foi de l'Oustal, il périra, pour ainsi dire, de leur main, quitte pour lui-même à se promener sa tête qu’il a perdue au bout d'une pique.

Silence quand on assassine le barde. L’on cure le fond de la marmite à Hildegarde avec le vieux crouton de la dernière fondue savoyarde au munster de nuque rase. Gardes, halte à Hildegarde, elle a bougé je crois.

Barbouillée d'un gant humide, le cheveu encore suintant de l'odeur de moelle chaude, je prie doucement mon étoile pour qu'ils ne m'aient pas violée, en sus de l'abandon sexuel qui suit l'épilepsie, suite aux électrodes, sont-ils entrés ? Odeur de salive au goût de cachets et de glandes génitales. Ils ne se lavent même plus le cul, de tant vouloir m’avorter de moi. Autant de liesse dehors que dans une ferrade dans la manade, tous à vouloir me ravir la cocarde. Hululements de fête des femmes arabes, qui font claquer leurs mains, juste avant la circoncision d'un des leurs. Circoncision, de cerveau, singeant et assimilée à la sanction grave, contre des écrits sulfureux que j'accumule, sans même les relire.

Partouze de principe que précipiter dans la mort apparente, par l’anode et la cathode, une jeune femme nue dénudée à la hâte par une équipe d’hommes et de femmes qui le revendiquent. Seulement viols sadiques ?

Avec toute la bénédiction de voisinages qui m'en entreprennent jusqu'à me voir sous l'auréole du messie. A crever du sacrifice. Humain.

Vestale par obligation ou Fille de dieu pour les uns et dotée de la Voix, éternelle Marie-Madeleine qui doit pleurer sa mort prochaine, tenue entre deux larrons en foire et l'esprit de Bethléem. Sur la croix de celui qui la lui voudra, ou sous celle de ceux qu’elle aura défendus, dignement

Aussi hallucinée que la Sainte Pucelle et hardie envers leur mouvement.

Ces gens.

Quand ils vous poursuivent de leur vendetta, à vous faire crever de gentillesse pour rien.

Tant que je n'aurai pas été opérée et réopérée sous son contrôle un peuple de médisants, de professeurs de satanisme aryen s'agitait, déférait mes droits, mes libertés, mes goûts comme mes convoitises, inventait des charivaris sans fin, usait de tout son imaginaire pour corrompre ma face et se servir de mon identité en tant que défouloir, polochon de leurs cauchemars, objet d'expurgations les plus noires, les plus délinquantes, des déviances les plus insensées. Poupée vaudou.

Langage mutin et plein d’amabilité des matons de garde aux bonbons, au niveau d’eau qu’il faut, la trique en vue pour la servir là aussi quand il faut, avec le même style de jargon. Et bien user le crouton à Hildeberg.

Scabreux contes sur les orgies faites en ma présence, quand je ne devais qu'être endormie, à mon domicile, sous le pouvoir du chloroforme ou de quelque anesthésique : orgies faites de soins illicites, dévoyés de leur vraie nature et dont un personnel dépravé userait contre moi, tant originaux par l'impression de viol à main armée qu'ils leur procurent. Gavages, toilettages, électrodes pratiquées sur un corps dénudé à la hâte, dans une intention de viol, de celle de l’excision de bille, corps dénué de réflexes car endormi, que l'on maintient immobile pour qu'il ne se débatte trop ni ne se blesse, si les matons n'invitent des témoins de ce lucre, dont sa famille et ses amis, pour les aider à tenir les sangles qui immobilisent leur victime. Sangles posées sur la poitrine, les reins, laissant traces rouges et varices douloureuses. Sur une alèse, si dans un lit, parfois même, dans la salle de bain, à l’occasion d’une douche, la tête sur la serpillière, tout comme je l’ai dit dans ces cas de pratique de l’excision.

Procédés intentés revendiqués tout autant que pour peine de mort, le viol-rodéo sur vachette sauvage, puant le fauve un peu après la dernière jouissance épileptique, compte non tenu des trop pleins de beurre cru destinés à me desserrer les dents des fesses et les boyaux, afin que je me donne plus librement lors du coma.

Les tricoteuses s'acharnent à vaincre encore la bête une fois éveillée et seule, réanimée juste un peu d'une bonne vieille paire de baffes avant le départ des matons, dieu seul sait comment ils ont pu entrer, la porte fermée à double tour et la chaînette tirée en travers des chambranles. Elles étaient là, derrières leur fenêtre, à me héler, à héler les gens de cette cité, à vouloir me vaincre encore dans un rêve de cogner après la branlée, la dernière de ce jour, et me destinaient encore au supplice de la roue, du gavage. Pas seulement avec de l'eau, autant qu'à leur haine rabâchée, aussi fondée que haine raciale, ne me voyaient que tabassée, sous l'emprise du poison, voire la tête coupée, dans leurs vieux songes, quitte à faire de moi un futur condamné à mort, l'on n'en était pas loin.

Avec autant de sadisme et de révolte, elles cherchaient à faire un exemple de plus pour leur fascisme populaire, à ressusciter les prisonniers d'opinion, les idées barbares de l'Inquisition, jusqu'à me vouloir des électrodes sur les yeux pour tenter de les crever.

Avec encore peut-être un verre de lait et des biscuits écrasés. Tout autant que dans les anciens contes, que j’écrivais.

Leurs déchaînements agglutinaient les après-midi de sieste forcée, cause, des cachets dans l'eau du café, la cafetière se prêtant à ce genre de procédé, leurs déchaînements donc tempétueux, typhonesques, agglutinaient les enfants de dix à douze ans sous leurs fenêtres, ils légiféraient tour à tour, toujours en référence à ce que je pouvais en penser à voix haute, tantôt, se laissant aller à des heures de redresseurs de tort, dans leur jeux. Ils s'amusaient avec sérieux à m'aider dans un bénévolat que je soutiens, de loin en loin, sachant eux-mêmes que ce n'était que leur futur qu'ils prenaient en charge, si l'un d'entre eux venait à tomber dans un tel piège. Cette génération de vieilles harpies les effrayait, et ils travaillaient durement à une prochaine vengeance.

Elles entonnaient, balançaient leurs clameurs sauvages pour hurler leur haine viscérale, dans l'attente de me voir la tête coupée, comme autant de fantasmes autour d'une Camarde condamnée à mort par sa horde de caméristes en folie, privilégiée pour l’audace de détenir la Pensée, dans une bataille sordide et extraordinaire pour se la faire mériter, dans un épandage de sadisme d'orgueil et de révolte, d'excitation sexuelle autant que dans curées.

Tout ce calme qui restait après le déluge des procès, tenait au fait que plus aucun enfant ne tenait à vivre dans un monde où la barbarie ne se calme que dans le sang et la chasse à l'Homme. Ce n'était pour eux qu'une question d'honneur, de conscience tranquille, ils ne pouvaient subir d'avantage une grogne pareille, aussi sale et inquisitrice de leurs propres mœurs. Avec tout leur pouvoir d'enfants et le droit qu'ils savaient.

Aussi sanguinaires Bérurières thénardières et mégères, vieilles caques aux tas d'immondices qu'elles fouillent parfois pour savoir ce que je consomme et mange, me farcir de mes vieux déchets d’il y a une vingtaine d’années, car pour une écolo, je gaspille vraiment. Vieilles boîtes de sardines jetées des années auparavant, vieilles pommades récupérées d’on ne sait quelle poubelle de leur établissement, que l’on me colle sur la gueule en cas d’électrodes, sur la devise du père, qui refuse que je gaspille, pour que la peau du visage ne se fendille point, sous l’impact des décharges électriques. Racailles qui jamais n'ont été aussi crues, par un personnel hospitalier, mes amies, mes relations sexuelles. Elles faisaient croire à des visites que je leur faisais à leur domicile, d'après leurs récits, leur droit de cuisse n'était que des coucheries que j'aurais eues avec elles et que j’exigeais, elles osaient s'en plaindre, je ne les ai jamais vues, en fait.

Leurs procès d'intention prenaient des allures d'affaire Dreyfus, me mettaient à vif, les médecins assez fourbes pour les épargner et les croire quelque facette de ma personnalité, croyant les coups de fil des vieilles et des témoins les miens, ils ne s'en remettaient qu'à l'inconscient de la foule, les psychoses sociales les déroutaient, la seule solution était la substitution, ils me mirent l'affaire sur le dos.

Et de prescrire opérations graves du cerveau narcoses, gavages aux oeufs, avec la même ferveur dont on se gratte le cul, parce que cela les démange. Jusqu’à la prochaine de mes lobotomies, pratiquées toutes le plus souvent en douce à mon domicile, dans quelque clinique où j’aurais, été, chloroformée, convoyée, assez inconsciente pour que cela se passe à mon insu. Ramenée à mon appartement en chariot à la va-vite. Puis, crises de révélation faite à Marie dans le voisinage, scènes de violences, pour me faire accepter. Et puis, admettre.

Dans le même instinct de survie faire porter la croix, toujours par le même. Celui qui gêne. Pour sa liberté de penser, témoin silencieux du superfuge et reproche vivant du crime.

Face à une telle clientèle les médecins devisaient sans vergogne et me faisaient bourrer de médicaments de la main de leurs infirmiers, jusqu'à l'apparence chez moi de trogne d'arriérée.

Pourrie de graisse séreuse tant huilée de leurs repas, jusqu'à la moelle, autant dire, jusqu'à l'os.

Mon visage suintait le beurre, la vomissure, le barbouillage de salive aux relents de sueurs de gynécologue. Smegma mêlé aux excréments, barbouillés sur la bouche…

Une opération incognito, dont on ne remarque que quelques traces le lendemain, dont on s'aperçoit aux témoignages récités par le voisinage. Une vague odeur de moelle chaude, de cheveu roussi, quelques bleus, des croûtes de chaque côté du front, le médecin traitant niera en disant : Des champignons. Electrodes usagées réutilisées, surinfectées de champignons versicolores.

Les cris du voisinage en affaire pénale ressentis tels un réel sans objet qui affecterait ma conscience, vient le redoublement de menaces, de celle du dessous, toute pouffe, bisexuelle véritable petit boudin pur porc, qui fait l’andouille puis la nouille pour m’avoir trop usée après avoir tant bu, qui une fois qu'elle vous a trouvée ne vous lâche plus, un vrai molosse du moment, du moment que je ne suis qu'à demi à son goût. Je le serais réellement à part entière si je la subissais plus, et cèderais à ses avances, coucherais avec elle durant ses libations. Mais il n'en est rien, car si je n'étais vraiment pas à son goût, elle chercherait moins à me bouffer le croûton après m'avoir mis la quigne.

Puis la guigne.

Pour ses hospitalisations que d’après elle, elle me devait.

Elle milite depuis ses tapis pour m'occire au cours d'une de ses prochaines orgies, dans sa vision des choses qui était de prendre une revanche de plus et de plus en plus téméraire, elle voulu me dégeler sur place.

Copilote de mes rêveries, chambellan de mes rêves d'amour les plus suivis, car certains se flattent de me les voir en version originale, elle se cramponne à ses delirium, elle en a eu de satanés, ivrogne et dépravée, invétérée.

Ses crises d'agitation font frémir les infirmières, qui toujours à sa solde rêvent pour elle d'un mieux. Et de trinquer à ma santé, avant de me démolir.

Sous les criailleries abominables, railleuses et conspiratrices, voire diffamatoires, d'une ou deux mégères du quartier qui espéraient depuis longtemps et travaillaient hardiment à cela, m'opérer comme l'on opère son chat ; elles rêvaient avec toute leur diplomatie paysanne, de me sortir comme l'on sort un ennemi, histoire de me faire prendre l'air après la claustrophobie qu'elles auront faite régner dans la cité, tant leurs boniments faisaient manquer d'air. Cette forme de vocalises en bruit de fond n'a rien épargné de ma patience, ni de ma discrétion.

Infamie.

Ils se sont fait gueuler à fond, bien parler à souhait, ceux que ces bonnes femmes ont incommodés, par leurs discours grotesques, leurs expressions familières, une accentuation de ribaudes le terme bien quèque.

Ils se sont défoulés sur moi comme ils l'ont pu, tous de ces grincheux sont repartis repus et contents, un rien secoués par cette orgie de cris et de hurlements au sang. Avec tout le savoir et l'accord de leurs médecins. Qui ont cru faire passer la chose en leur confiant des médicaments qui irrésistiblement finissaient dans la cafetière du matin, chez moi.

Empereurs du pire, ils n'ont pu que parlementer, bien qu'ils se fussent déplacés, rien n'allait mieux que lorsque je prenais quelque rasade supplémentaire de leurs produits pour éclopés. Et d'éviter la forclusion dans le voisinage équivalait à me traiter avec, car ils ne parvenaient en rien à persuader ces voisins là de ne me refiler leur traitement coûte que coûte. Et il manquait des lits pour tout ce monde.

Surnom Elne. Sujette aux tours de vache mais toujours aussi dérangée... Surtout si on la dérange.

Et si frappée de voies de fait, donc frappée, donc démente, ou piquée, dérangée, par eux surtout.

Toujours assimilée aux maladies imputées au physique, entre chienlit et pipi-caca-bobo, d'autant que mon physique de personne blonde aux yeux bleus pouvait s'apparenter à l'aspect qu'avaient certaines jeunes femmes folles, filles de l’Est du temps des années 70.

Simplement physique de l'ennemi, l'Allemagne, les femmes rasées. Bleu des yeux héréditaire jusqu’à l’opinion d’extrême-droite soupçonnée.

Après cette cure de charmant bourrage de crâne, l'heure sonnait du lavage de cerveau. Il fallait vivre à l'heure de l'hôpital et manger aux heures qui s'y pratiquaient, sinon c'était que l'on ne mangeait pas, et que l'on était anorexique. Moi surtout.

Il fallait aussi oublier tout ce décor sonore pour s'adonner à domicile à des activités de type atelier de réflexothérapie, en assumant ce manque de silence, sous la surveillance des matrones mornifleuses qui épiaient de chez elles ce qu’elles en inventaient.

Flemmer sur commande après le Valium dans la tisane, se coucher dès que voulu, après le traitement du soir inventé par le voisin du bas. Le café qui endort et la camomille qui réveille. Si vous voulez en plus du sirop dans la camomille…

Se lever dès les 6 h du matin pour les séances de hystério-séismo-convulso-thérapie, commises par un personnel invisible jusqu'à présent, pour se recoucher 5 mn après le café du matin pour un coinçage de bulle supplémentaire, jusque vers les 8 ou 9 h.

Les rendez-vous manqués, il ne reste plus qu'à re fainéanter ou se représenter sous les nombreuses attaques. Ce qui sera dit et rapporté.

Se laver pour ne pas déplaire à la voisine équivaux à deux fois deux douches par jour, pour la deuxième douche s'entendre dire que je suis sale, que je ne sais ce que c'est qu'un bon bain, qui fait office chez elle de douche vaginale et anale, une forme de désincrustage des parties incrustées du sexe, des interstices que la simple douche ne peut atteindre.

Elles sont bien au courant de ma morphologie, ces dames, me reprocheraient de posséder encore à mon âge un sexe de femme qui n'a jamais accouché.

Cette loi coranique concernant mon corps, m'oblige à me laver l'ampoule anale plusieurs fois par jour sous peine de me le voir faire sous des soins à domicile dont je ne voudrais ou bien après incarcération dans un de ces bâtiments où l'on vous rappelle ce que c'est l'hygiène.

Sans quoi l'on pourrait appeler mon cas la schizophrénie.

Elles veillent au trou à sa fidélité et à sa propreté. La masturbation supposée du célibat ne pouvant que rendre sale. Obligation de la douche vaginale et anale.

Leur puanteur à relents n'effraie que les internes ou moi-même, et les unes et les autres, nous les raisonnons, car ce contrôle du trou, de l'usage de l'anus et de ce qui s'en fait, déjà prescrit dans les lois coraniques, atteint jusqu'à l'usage du plaisir féminin. Le reproche gagne du terrain : aucune série d'accouchement ne m'a bien détruite, de ce côté là je reste entière, ne suis diminuée dans les effets du plaisir, l'on est proche par la suite de la morale de l'excision des petites filles.

Entière, peut-être, mais à moitié, seulement mutilée bien jeune. Le frein.

Ce contrôle que ces vieilles femmes bien jeunes pour certaines, revendiquent, est revendiqué de façon sérieuse et draconienne, par nombre de ces catholiques croyantes qui parce qu'elles croient bien faire de lutter contre les plaisirs de la chair d’autrui, s’en gargarisent dans la suffisance et leur heur d’en plaire en bonnes paroissiennes bien malthusiennes. Après avoir passé le Pliz.

Elles se mêlent de l'usage des fesses, de la façon dont il les faut bien remplies, callipyges et nourries de repas gargantuesque pour ne point manquer au devoir conjugal qu’on leur doit, celui de se rincer l'œil gratis en soignant un gros derche, après le gavage aux oeufs ou quelque omelette qu'elles auront confectionnée dans l'espoir de vous l'en faire intuber. Afin de soumettre à des plaisirs sexuels la personne indiquée, quand vient l’heure du tripotage collectif, celle des électrodes (afin de ne causer un clap-end digne d’un appel chez les pompiers).

Autant qu'en présence de matons, la prison portative du shador médicamenteux me poursuit partout, m'accompagne où que j'aille, emmaillotage chimique, surajouté aux palpages d'anus et de sexe, la fouille corporelle obligatoire dans certains pavillons, à votre insu ou non selon les méthodes employées, durant le sommeil après gros cachet ensuqueur dans le café, par surprise dans la rue, ou au sortir des douches. A votre insu. Idem chez soi. Marches à pieds glycérinées.

Suppositoires de glycérine à l'appui, les deux doigts inquisiteurs écartent au maximum, se glissent sous les jupes, ou bien à manteau relevé, entre deux feux rouges, si à pied.

Si les deux doigts ne vous finissent dans la bouche, pour bien vous faire apprécier l'acte, au réveil de votre conscience, ainsi que le goût sucré de votre fondement.

Cette surveillance par des rombières d'âge canonique car il s'agit bien d'elles, agrémentées des équipes de matons dont elles m’affublent, qui ravitaillent les secteurs médicaux de leurs observations voyeuses, s'accompagne de rites pervers et proxénètes, maquereaux au possible mais que les psychiatres ont du mal à réaliser.

S'ils ne s'en moquent pas, les médecins persuadent dans le sens des auto-explications du malade, quand il dénigre lui-même les faits pour s'auto rassurer, assumer subconsciemment le parjure des faits. Donc, ils dénigrent, ces médecins, le fait des soins à domicile tout comme je nierais la vérité de ces soins pour mieux les endurer, sans l'envie de taper, cogner, mourir ni tuer par légitime défense, sans se débattre ni hurler, ainsi que je l'ai déjà fait, dans cette ambiance cauchemardesque de thérapies non déclarées, officieuses car n'existent dans aucun dossier médical, obnubilent et accaparent. Jusqu’à l’internement.

Voisinages qui ressassent les vieux dossiers figés dans les vieilles affaires, vous les repassent en vidéo couleur tant elles les décrivent au son de leurs fantasmes, dans l'atmosphère d'un jugement dernier et selon les procédés typiques des procès de sorcières de Salem.

Ces interventions que chacun protège ou conteste, sont encore et toujours qualifiées de cénesthésies auditives, hallucinations sensorielles morbides dépendantes du subconscient.

Relatives à la schizophrénie.

Etayés par la famille, les médecins n'hésitent, possèdent des droits de veto sur les droit comme sur les libertés, surtout individuelles, ils sanctionnent sans même l'avouer, histoire de faire payer le prix de la place dans tout ce cinéma.

Si en effet un secteur me prend en charge, s'il s'avère qu'il est trouvé inefficace, alors des bandes de voisins et de voisines des HLM attenants, se chargent de me confier à l'antenne d'un autre département de soins psychiatriques, qui après m'être passé autant que l’autre sur le corps, tout comme dans la chansons à boire, la rirette, sera déclaré avec ses interventions et soins à domicile, un réel sans fondement. Une absence de réalité. Une hallucination sensorielle olfactive. Qu’il faut soigner de façon autre, et selon d’autres méthodes. Par un autre département.

Bref, personne ne peut s'en venger, la bataille enfle, grossit, devient abcès de fixation et ne demande qu'à crever dans la population, son conflit avec les autorités persiste et travaille, au point de devenir psychose collective au moindre événement (élections, drame, campagnes de tout ordre etc.).

La pédagogie pour enfant en bas âge menée sur l'adulte, étouffe, rabaisse au niveau infantile du « je ne te crois pas », phrase violeuse qu'exhibent les médecins, les explications hasardeuses ou butées des infirmières, se terminent le plus souvent par électrodes ou gros traitements, car le combat leur devient lassant et que le personnel médical refuse ce combat sinon dans la lutte armée, en entendre d'avantage serait abuser et mériter la chambrette.

Ceci-dit soignez-vous, c'est grave. Et que ce soit dit une fois pour toutes.

Des lobotomies, des électrochocs, non mais...

Les multiples formes de torture à la française ne manquent pas, s'il vous prenait l'envie d'en faire une crise...

Obligation de dépenser sans compter eau, électricité, énergie, de dépenser outrageusement en achats de remplacement, afin de remplacer les aliments, produits ménagers qui ont servi au cours des orgies, ont été souillés dans la lutte.

Sans se faire savoureusement rappeler la note d'eau et d'EDF par le père, car il fallait laver les souillures des vêtements se redoucher, repréparer les repas qui avaient servi.

Non, on ne s'en fait pas. Ne t’en fais pas. Tu es folle.

Façons de nier les soins injustes et infligés en pleine conscience de leur injustice, qui déplacent la réalité des faits : faits qui ne sont plus à soigner mais à nier, au lieu d'être crû et compris, le malade est renvoyé à la folie, celle de la victime flouée et du dindon de la farce, quelle est la véritable maladie soignée, la mémoire des incidents ou un imaginaire sur cette personne, imaginaire qui ne réside que dans l'esprit des soignants ? Et dans l’esprit des belligérants.

Retracer les violences et les opérations, est-ce vraiment un vice, et nier ces interventions, là n'est-ce pas le sévice ?

Jusqu'au renoncement, dans des défécations épileptiques à vous vendre, vous faire vendre et vous faire vous vendre sur la Foire du Trône.

Technique paysanne apparentée à une lutte contre la via persona parisienne, des brutalités mensongères qui laissent tourner en rond dans un périmètre bien gardé, un enfermement dans un monde de manque de réalité qui vous est reproché. D'autant plus que les interventions au domicile du patient, les soins pratiqués durant son hospitalisation lui sont déclarés fantasmes délirants réfutés, quand le personnel a insisté durant ces crimes pour que le malade réalise bien ce qui lui était fait à titre de leçon, bien humiliante donc bien cuisante.

A rester dans sa réserve, d’indiens.

Des soins cuisants qui passent pour des vécus sans réel bien fondé.

C'est alors l'existence même des soins qui est remise en question, électrochocs, lobotomies, trépanations, toujours en tous genres et de toutes espèces. Si ces thérapies sont pratiquées officieusement il règne une loi du silence sur ces procédés qui sont déclarés dans certains établissements pures hallucinations, obsessions délirantes. Le fait même de dénoncer ces pratiques s'oppose au diagnostic de folie, mais toute personne qui se dit victime de ces procédés est déclarée démente.

Exorciser les cas en les faisant parler pour les traiter jusqu'à l'amnésie, les étouffer dans un refoulement profond sans issue par crainte du malade de mériter quelques autres opérations de même type, telle a été la solution trouvée miraculeuse par la médecine. Miraculé de la science, tant l’on en a réchappé l’on se demande comment encore vivant. Penthotal, draps d’acide jusqu’au délire à delirium tremens quand on n’a plus rien à dire, et dont on n’a plus rien à dire.

Dénoncer l'existence de méthodes militaires ou étrangères, tortionnaires, l'usage de la torture médicalisée au sein de l'asile, dénoncer ces techniques de matons pour faire apparaître la folie, dénoncer l'existence de ces barbouzes cachés dissimulés par la simple opposition du terme de démence, précoce ou infantile ou même sénile, devient une menace de mort et d’abord de mort psychique pour la victime. Menace d'autres interventions plus graves encore, l'infliction de tortures, sévices psychologiques et physiques plus affreux encore exécutés par une foule intéressée. D’intéressés.

Comédies inhumaines de familles aux larmes de crocodiles, venues solliciter l'aide des médecins, familles à qui l'on fait miroiter bons soins et services, à qui l'on fait référence pétainiste par les méthodes policières d'inspecteurs qui rabaissent le « collègue » au rang du statu de l'enfance, la famille alors soutenue et glorifiée, parle commissaire et fait confiance à ses sous fifres, fait opposition aux décisions du malade s'il souhaitait porter plainte, en l'enfermant. Le mensonge fait loi.

Les lobotomies servent dans certains cas à faire « oublier » les faits, soins les plus traumatisants, bloquants ou révoltants, dans une idée de défoncer la vie comme le corps du malade, le pousser à bout de son système cérébral.

Viols, partouzes sadiques, violences sexuelles, mentales, brutalités sur l'intime précèdent ce nouveau genre d’immolation.

Si le malade est cogné, si les lésions qui le perturbent sont remarquées, s'il s'est fâché avec le coin de sa table de nuit, si on le force à ingérer, par la contrainte ou bien la faim, urines, spermes, liquides anaux et vaginaux, lubrifiants sexuels obtenus par douches anales et vaginales, cosmétiques, alcool mélangés à ses boissons, si on l'oblige à consommer mélangés à ses aliments des sécrétions, mucosités et crachats, issus de soins sur sa personne en pleurs, gros sanglots, ou enrhumée, si on lui introduit dans sa viande cuite ses propres lobes cérébraux, pendant la cuisson du repas, si le malade est obligé de consommer ces plats et liquides parce que tenu de ne rien gaspiller ni jeter, tenu également par le manque d'argent, car dévalisé en espèces par ce jeu de jeter dès le moindre soupçon les aliments souillés, d’entrée déterminés souillés sur le conseil de voisinages initiés, alors prend le médecin l'envie à la moindre confession du malade de l'interner, l’abreuver de gouttes et cachets, de le matraquer à son insu ou non par les électrodes, la matraque électrique, la Gégène, une fois de plus.

Suivent par insinuations le besoin des infirmiers de léser le bras ou la main permettant l'écriture, afin que ne soit rédigée aucune plainte, jusqu'au matraquage électrique pour que ne soit possible la lecture d'un rapport sur leur activité, ils veillent assez bien à ce que soit vérifiée toute écriture envers leurs « devoirs ».

Essais de torture marocaine ou américaine, le soin et le mensonge vont de pair, la violence, l'artifice concernant l'établissement du diagnostic, sont entretenus par des rapports de force inégaux, violence à domicile qui persiste entretient et confirme le symptôme classique du coup monté, du sentiment d'injustice.

La victime est toujours choisie pour la déclaration de démence qui l'accompagne, fil à la patte classique, l'entourage grossit, noircit son cas jusqu'à lui vouloir les méthodes ancestrales de la torture psychiatrique, qui relèvent du poncif et du tabou : La lobotomie, les trépans et les électrochocs, voire les sévices des voies de faits, l’abus de coups.

La lobotomie, déclarée pour certains cas condition sine qua non de leur survie, si des zones cérébrales ont été trouvées lésées à la suite de violences, de séances d'électrochocs handicapants, qui auraient endommagé le cerveau dans plusieurs de ses lobes. Pourquoi pas aussi chirurgie réparatrice. En cas de gangrène.

Lobotomies, pratiquées à la moindre irresponsabilité, dans les cas de mort accidentelle de victime du cas, de préjudice qu'il aurait causé : accident de voiture, éthylisme, etc. Le plus souvent, dans les cas de forte tête.

Protégé par la médecine, l'accusateur est comblé, se débarrasse d'un conflit judiciaire gratuitement et légalement. Dans mon cas, les accusateurs se sont défoulés dans tous les sens du terme sur ma vie privée, ingérence et préjudice repris par les soignants, afin de me punir de mes fautes et erreurs passées, au cours de vendettas de soins destinés à me faire payer les frais d'un énième jugement dernier, la cité ayant souffert de ce chapardage de vie intime qu'était se soumettre aux cris, violences verbales des vieilles harpies.

Point d'achoppement pour que soit déclarée la démence : Les cris poussés pendant les agressions ou les altercations, les plaidoyers des cas invoqués, laissés seuls à assurer leur défense, disputes occasionnées par des provocations incessantes du voisinage, insupportables pour le commun des mortels mais déclarées vivables, inexistantes en langage médical ou infirmier, moins graves en tout cas que des séances d'électrodes. Ou un trépan. A vous faire oublier votre rhizome.

Les réponses des cas de victimes d'outrages sont déclarées cris de démence. L'habillement est prépondérant, les roupilles portées par pauvreté sont interprétées, déclarées symptôme de la maladie.

Pauvre, donc fou.

Pauvre fou, donc.

Les soins conseillés sont la neurochirurgie et la neurologie, à pratiquer également au domicile.

Tous savent que ces visites-cambriolages sont des actes de bravade envers la loi, qui interdit ce genre d'hospitalisation officieuse non déclarée au médecin traitant, bravades imposées parce que certains voisins jugeaient que le médecin était « inefficace » envers le cas traité. Les cas de vandalisme ont suivi.

Tous le savent, sauf le véritable médecin.

Tous le savent et se répètent publiquement leurs propos de bienfaisance, leurs bondieuseries bien nourries en anticipation au cas où il y aurait mort violente. Chacun répète son rôle avec de grands « je ne comprends pas », partenaires, familles, proches, voisinages, regrettent le suicide, hochent la tête, au cas où la police ferait tout de même enquête.

Après cela, une comédie, une coalition presque théâtrale comme l'on en voit au cinéma, dans les pièces de théâtre, chacun ente pour cacher sa participation aux crimes endurés par une personne ciblée, jalousée, mise dans le cas de l'enfant martyr. Mêmes violences verbales, même charisme et même indifférence, un chat se serait fait écraser aurait été la même chose.

Si le cas a réussi à survivre, autant lui faire oublier les provocations et lui ôter de la mémoire toute idée de fin imminente, donc l'opérer en guise de dédommagement. Ou lui faire retirer d'un trépan, d'une électrode, les réponses et répliques pensées au cours des scènes de ménage, les pulsions violentes de la famille, des voisins. Vécu.

Opérations consécutives aux attouchements causés par un verbiage obscène obsédé, les humiliations quasi constantes maintenues après un plat aux oeufs durant des heures. Le masochisme créé par les séances d'électrodes fait office de besoin violeur, occasionnant le plaisir à l'encontre du sujet des brimades sexuelles.

Pas le droit au travail ni au repos. Sinon en pavillon, mal nourri, maltraité.

Le médecin continue à traiter le patient de malade et lui inflige le maximum, quoique le malade ait dénoncé.

Le délire de persécution a bon dos.

Abus et autres formes de soins tortionnaires, gouttes et cachets aliénants au point de faire perdre tout usage de l'identité.

Si le sujet s'oppose à cela, il est décrété en crise, ré-hospitalisé, ses réactions trop « exagérées », gênantes pour le voisinage et l'entourage. Si nombreux sont les appels de ses concitoyens qu'il faut les prendre en compte, ils seront charmés par les séquelles plus tard.

Si nombreux que le sujet ne fait pas le poids, à cent contre un, l'on est plus sûr de gagner aux élections.

S'il y a plus de plaignants que de satisfaits, là, on le garde, l’on le rendra dans quelque temps, en sortie d'essai. Ramené et re-traité, tel vulgaire déchet de la fête, si la vie au dehors ne lui convenait pas.

Le viol médicalisé, la violence sexuelle, le délit d'opinion, la répression en conséquence, cénesthésies.

Observations paramédicales et scientistes pratiquées par ménages, personnes non qualifiées ni habilitées pour la chose, mineurs, étudiants en mal de domination, profiteurs alpagueurs et michetons aux aguets ou simples casse-pieds. Etudiants en mal surtout de rat de laboratoire pour expérience de vivisection et partisans de Le Pen, colonialistes à souhait, à la recherche de cobaye humain comme l’on en torche, nègre de leur thèse sur les implants électromagnétiques à télécommande à distance.

Voyeurs.

Cherchez la manette de télécommande. Quand ils gagnent votre fric. A votre place, de chez eux.

Cela ne se voit en rien. Il faudrait qu’un feu rouge lui sorte du bras pour que l’on s’en aperçoive.

Pataouet mi-français mi-espagnol, argotique, méprisant par ses intrusions occitanes, qui sert à rappeler la cause du cycle des interventions, le racisme dû au nom, le langage familial.

Retournent les accusations qui leur sont opposées, (violences physiques, agressions verbales), entent en procédures maoïstes sous les fenêtres ou de chez eux, dans les termes de démence grave, optimisent par l'apartheid, l'existence d'un état dans l'état, l'asile d'aliénés, nouvelle forme idéale de réserve d'indiens, dont nulle victime du régime policier souhaité par un lumpen prolétariat en mal d'idolâtrie, ne pourrait s'évader. Sans l'accord ni la permission de leaders des partis staliniens, alliés à l'extrême droite, une efficacité plus performante projetée par une alliance de pouvoir avec le SAC de Charles Pasqua. Leur droit de regard sur la vie privée et le soin totalitaire. Videur.

M'accusent souvent d'avoir commis les violences que j'ai subies, inversion des faits, leitmotiv fascistes, référence à l'incendie du troisième Reich.

Accusée du total illettrisme des personnes qui ont rapporté les faits, certaines de mes observations, bien reprises de façon inversée, pour que les accusations dont cette pratique est porteuse aillent à mon encontre. Accablée en termes d'ignorance, soumise à la menace de placement dans la clinique qui sert à cette populace en mal d'hystérie collective depuis la prise de la Bastille, d'organe de pression et de répression de leur parti, comme l'on colle une gifle.

J'exclue tout mouvement d'impatience, me prostre, vérifie mon opinion au fur et à mesure qu'elle se voit contestée dans la volonté de la soigner telle un TOC. Soigner jusqu’à mes positionnements imposés.

Papon n'a pas fini de crever. Premier fascicule.

Viols dans le sommeil par sodomie et fellation, durant l'intervention sous le bandeau, pendant la sieste.

Tabassage des côtes au groupe électrogène, gégène au cœur, poste à soudure dans le coroner. L'électrode cardiaque, l'implant meurtrier, l'épine sauvage dans la poitrine, le viol par la douleur, le lysis de la torture systématisée. Faisceaux lasers ou bistouris de ce type couverts d’un capuchon de stylo, destiné à diffracter le jet de laser. Cf. le chapitre Guerre de nerfs de ce livre.

L'implant électromagnétique télécommandé dans l’appareil sexuel. Sous les délires tourmenteurs de voisins voyeurs, chambellans bougies de l’opération.

Je relate les faits.

Opposition farouche et convaincue de mes propres convictions, il est impossible que cela soit, parole de médecin, cela ne se peut que chez les autres. Chez les femmes prostituées. Je ne suis pas une prostituée, donc cela ne peut m'être arrivé.

Cela n'arrive qu'aux femmes qui le veulent.

Le gros besoin puant du prisonnier. Ils m’en feront un caca nerveux.

Je ne ferais que rêver par pur plaisir masochiste ce que j'ai enduré, une sorte de cauchemar éveillé. Crimes et préjudices. Retranchée dans les moindres raisonnements, mes pauvres persuasions, mes mensonges à l'amour propre qui me maintient en vie, ceux qui m'aident à tenir, à ne pas m'avouer ces situations où la torture soigne et tue jusqu'à l'identité, ne rien m'avouer.

La familiarité n'est pas un rempart, elle remplace la communication avec le malade.

Après m'avoir renvoyée à ma propre opinion sur le CHR, nouveau et autre jugement dernier à propos de mes convictions intimes, ma petite enfance, les conflits d'une adolescence retardée. Par le manque de communication, la menace d'excommunication jusqu'à l'hospitalisation, l'enfance sous le coton.

Même ressentiment victorieux d'être encore en vie, rancune sardonique, nourrie de velléités exogènes et sadiques, exclusion du monde des adultes, reléguée au statut de la dragée haute et de la table qui recule.

Un point de douleur violente pour une critique acerbe. Dans les côtes.

Ménagements accusateurs. Plus de réaction ou plus du tout, auquel cas je serai réprimée follement pour tout autre fait, autant que si je l'avais commis. Morale de l'excision.

Thérapie du plaisir des répons dans la bouche pleine à table que l'on doit faire au voisin bavard ; en finir plus tôt avec ses réactions à lui, anticipations d'un travail de rapetassage, celui de la maison la bricole, un coup de mailloche par ci, un coup de rabot par là, sinon à coup de cisailles, attention à la varlope, la rabibocheuse, jusqu'au beau meuble en sipo, celui de la fin.

Electrochocs-cénesthésies. Si je m'aperçois que l'on en fait sur moi, les mensonges affluent, une fois de plus je m'en suis aperçue, mais ce n'étaient qu'hallucination, hein, je n'ai fait qu'halluciner. Dans le viol médicalisé et la tourmente. Esprit de tourmente, autour. Hallucinations génitales.

Les électrochocs à domicile sont faits inexistants, simples fruits de l'imagination, ils ne se pratiquent qu'en chambre d'anesthésie, en clinique, en pavillon. Fantasme pur et simple du délirât sous-jacent, en train cette fois ci de faire des bulles. De magma. Délire rentré.

Vaincre la peur de « ça » par le matage vicelard, la répétition de propos lénifiants, de bondieuseries pudibondes doucereuses, de diagnostics tutélaires paternalistes.

Pouvoir raccrocher le combiné quand on vous demande des explications.

Thérapie par le doute pour aider à réaliser, je te badigeonne de tes excréments retirés de tes intestins lors du matraquage électrique, je te dis que ce n'est qu'une cénesthésie de plus, olfactive.

Odeur de moelle pure.

Une simple méthode pédagogique.

Histoire de maintenir le prisonnier en vie par crainte qu'il ne se supprime.

Pour faire durer la pratique plus longtemps.

C'est déjà dit, rabaissement jusqu'à l'infantilisme, au cerveau réduit et ridicule, racorni, sclérosé de brûlures, séquelle fréquente des électrodes, cerveau tabassé d’électrodes implantées, à l’électrode électromagnétique. Thérapies sales sur malade-enfant martyr, cours de rééducation à la dure, avec apprentissage du ridicule, qui en clinique « ne peut pas tuer », l'assurance de ce ridicule, avec pardon à la barbarie du geste.

Traitement de michetons, presque prostitution occasionnelle du soin quotidien sur prisonnier politique ou de guerre face à la mort, humilié par la thérapie de ce soin de porcs, de bouchers, parc de malades infantilisés pour la prétention d'avoir voulu vivre sans l'étalage de prétention et de faux savoir, de pratiques tortionnaires restées dans les rituels de la torture d'état.

A la Française, en vogue autant dans prisons que dans hôpitaux. Guerre sociale.

La rédemption par le travail. Infirmières homosexuelles bien panthouzes, qui calment à coups de poing et défoncent le portrait de qui bouge. Viols thérapeutiques heure après heure. Viols tus. Thérapies par l'absurde et farces Jung, pourquoi pas punks, à rabâcher interminablement les mêmes problèmes infructueusement, jusqu'au rabaissement ultime, la dernière goutte de sueur, abondante en cas de malaise.

Torture mentale.

Vaincre par la peur profonde de quelqu'un qui souffre. Le martyre de la Pucelle. Exploitation par le crime de ses propres techniques de survie, jusqu'à l'insupportable, l'inhumain, le surhumain, ces façons de détruire par l'intime, le viol de l'intime, muré, corrigé, harcelé sans fin, tourmenté jusqu'au jeu de brodequins, les transistors, les bigoudis, l'étourdissement quasi fatal, le raqué et le vomi.

Digère.

Jusqu'au descellement des os du crâne. Et leur fissuration. Leur fracture.

Opération du moment. Sacré. L'état de grâce qui gêne. Torture, barbarisme à la Française.

La Question. Rien de bien fondé dans le légitime sinon ne pas s'afficher en train de hurler, non, ça non. Et se faire dire que l'on est en train de réfléchir au bien fondé et au légitime du hurlement, pour bien vous faire comprendre ce que c'est qu'un orifice.

On t'a vu la luette.

Le moment post-opératoire. Haine. La Haine.

Les propos acerbes sur la mort, le risque neurochirurgical. Pour vous punir de vos pratiques et arraisonner des critiques, jugées démentielles, sur le sort d'autres malades traités tels déportés. Pour les avoir vus calomniés, leur condition ravagée de départements de force au détriment de leur santé, physique et mentale.

Tu auras le même tort, le même sort.

Et tu n’en auras aucune confidence. A ces Fesse à Marie.

Ce que dans la vie tu auras jugé d'insupportable sera.

Et tu endureras. Jusqu'à la rédemption, par le tourment.

Vivre les tabous et les ornières, des éducations et rééducations tortionnaires pour en arriver là.

La famille nie, alors, vous n'en ferez pas l'aveu, car l'on juge que vous n'êtes pas en état de vivre. A l’intérieur de chez vous, à l'extérieur, l'opération est trop proche pour que vous l'ayez réalisée.

Et là, je le réécris, je le cris, certaines formes d'infirmières, de ce type que vous fuyez à la vitesse grand V, pour leur talent de tortionnaires, leur air de vieux varans, poussent le raffinement jusqu'à vous pousser du bout de l'ongle, cassé à force de vous taper, vos dernières circonvolutions en ébullition, encore arrachées durant la nuit de veille. Toujours en s'exclamant telles petites filles devant vulve de truie ou les deux petites lèvres arrachées à leur propre mère. Jouant avec les morceaux comme d'une bille qui comme la leur est interdite, s'adorant mutuellement en s'auto congratulant, elles se moquent, se faisant pour l'occasion, encore un peu de fesse.

Quitte à vous passer par la suite de l'Arnica.

Et tous les saints sacrements du comprimé-hostie, la sainte kyrielle de la sacro-sainte éjaculation du mec en mât lors de sa dernière opération, pour vous, si vous êtes une femme, c'est le triple, il n'existe, ne doit exister, de plaisir féminin.

Ou du moins si une femme en éprouve, elle doit d'abord souffrir. Le futur doit être un futur alité, il n'y a d'amour sans maladie ni dure épreuve, d’où le mot fréquent d’aventure, car cela en est une à épisodes rudes d’aventuriers de pouvoir aimer. Il faudrait aussi simuler, sans quoi, leur plaisir, ils ne sauraient qu'en faire sinon le causer.

En fait, ils enculeraient un mort s'ils le pouvaient, leurs escadrons de la mort, dans leur devoir civique, et si cela leur était permis, ils en gagneraient le double, pour finacer sur leurs orgies et financer leurs parties de sauvages.

Vivant pour la sainte électrode toute puissante et punissement, sur la foi de la destruction d'organe selon la loi de parties de démolissage de viscères à la minuit chrétien, l'électrode implantée toujours allumée comme sainte relique à la fesse, qui elle, n'ira pas se plaindre.

Avec l'autre pareille que l'on piquouze.

A coup de gros clystères, remplis de neuroleptique, c'est bon pour la digestion. Avec le coup de poing entre les dents.

Et celui là d'autre dans la tempe.

Sinon on vous le fait par implants.

Si l'on compte le nombre par journée et par heure d'interventions d'urgence, le nombre de méthodes pour calmer qui se font dans ces établissements, l'on peut dire que la totalité de la population est touchée, à moins que ce ne soit une préférence pour certains cas, toujours les mêmes, connus des services de la police, par ailleurs, tout autant que moi-même.

Toujours à ronger leur nonos du même client, ils existent.

Vivent par l'électrode-punissement, sur la foi ou la conviction de faire le bien et de bien faire, dans la liberté que leur accorde l'esprit, la religion, le fantasme aryen. L'on ne pourra bientôt témoigner des horreurs de Staline.

J'évite d'en parler par moi-même.

Le moindre cri dans la cité où je réside m'est encore imputé, delirium tremens d'alcooliques qui me sont réservés mon cas servant de parade à toute immiscion dans mon quotidien. Soignée pour les voix rêches de vieilles arriérées, de soulauds, de lesbiennes âgées ou non, en mal d'aventure sado-masochiste sur chair fraîche.

J’eu toutes les peines du monde à me faire respecter, malgré les heurts passés à cause du Coran, en fait, l'on a eu chez ces français, le plus grand mal à me le faire infliger. Promesses de douches forcées, de bains d'orifice après la surveillance des besoins. Il était même bizarre qu'après le gavage aux petits pois je libère avec entrain, j'en avais même des repentirs sévères, entre deux accrochages et deux crochetages de porte.

J'essuie de temps à autre quelque campagne bien retentissante pour les séances d'électrodes, le lavage de cerveau avant ou après la lobotomie pour gauchiste, la douleur rend muette, envahit chaque lobe, cloute le cerveau, coupe le souffle, la parole restante après l'annonce des festivités, les séismos sans anesthésiques, le trépan salvateur qui fait de vous un rescapé du pourrissement de vos nerfs trop violemment électrocutés, qui pourraient se gangrener.

Puis, le forcing pour apprendre toute idéologie bien fessante, le baume au visage et l'extrême onction des vergetures, nous oignons d’onguents bénis des desquamations de peau, la mienne, l'église et la religion devant discipliner cette sauvage que j'étais, sans le baptême ni la prière, la dernière bulle du Pape et du Père faisant office d'absolution pour mes derniers péchés, entre autres, me prélasser. Chez ces gens là, l'on ne s'allonge que pour mourir.

Annonciation faite à Marie, moi-même, de la dernière lobotomie, du dernier passage des services à mon domicile. Ils m'ont gavée et relavée, après la séance d'électrochocs. Matée voire, parce que je ne parle plus.

Révélations sans tendresse mais lippues. Maintenant, je suis bien tendre.

Ne serait-ce que pour m'apprendre à subir comme les autres sans scandale ni scène d'horreur autant de vrais matraquages, le groupe électrogène, le viol médicalisé assermenté, le tabassage en règle, la semi-prostitution du soin, avec dénudage du prisonnier et maintien des fesses écartées sur le bassin, pendant le coma épileptique. Pour bien vous apprendre à chier.

Au fait, si je hurle c'est toujours sans cris inarticulés. En fait, il faudrait que je gueule.

Engueuler son psychiatre n'existe jamais.

Jamais.

Je pourrais un jour en devenir meurtrière, avec crise de ire et grosse terreur, une hurlante à me faire damner, où je tuerais pour me venger et attendrais le pire, car il existe toujours le pire à l’infâme, à l’inhumain.

Ironie malsaine d'individus appelés à cogiter sur le fait, dans les étages. Railleries des vieilles racailles persifleuses, percluses de leur moule à caque, doucereuses des insolences infantiles du gugus à le Pen, triomphateur et énervé, empli de vin et pas de flotte, fier de picrate, qui pipe au fût et rôte gras. Après son litre de bière allemande achetée chez Norma, ce week-end, il entonne son laïus bien-pensant.

Il en existe aussi à la tequila.

L'on note alors une accélération de ma combativité pendant plusieurs jours, voire quelques semaines, accompagnée d'une plus grande vélocité et d'une logorrhée presque permanente.

A mater.

J'en parle, j’aurais des idées sur ce que sont des lobotomies.

J’en ai même bouffé les miennes, dira-t-on. Cf. mon livre Ether Bleu.

Dans un parler bien citerne, ou trop grosse barrique, l'on m'explique bien vaillamment que je dois rester calme, et suivre sans contester, les devoirs de chacun de me surveiller, au cas où ce serait le drame. Mes conversations téléphoniques rabâchées, sucées par fidélité à mon fait, commentées avec force satisfaction, et assouvissement en perspective.

La diplomatie, j'aime.

Bris d’os de crâne emboutis, impacts sur les os. Dégâts dans le cerveau pis que par tir de balles.

Ce n'est presque qu'une vaccination contre soi-même, l'injection retard, il existe d'autres traitements plus massifs contre la folie. Titillement de ma sensibilité encore exacerbée, devenue à fleur de fesse, cause la grosse bronque menée dans le but de m'énerver quelques jours auparavant et j'évacue alors difficilement, et non plus tacitement ou en douceur.

En exemple, chez ces larbins du FN, nier tout droit pour moi à l'autonomie. Ils penseraient pour vous, vous ne vous en étonneriez, après le tubage du repas et le rasage de barbe quotidien. Jusqu’aux dartres.

Railleries pour démence grave, l'ambiance passe à l'altercation.

Tu vas voir si ce travail cela ne lui est pas monté à la tête. Souillures implacables

Et tu vas voir si elle a le niveau.

Personnel infirmier et entourage, familles sans morale et médecins susceptibles ou tatillons cherchent à cogner, à affronter une crise enfin exemplaire. Et frapper, hurler plus fort que moi s'il le fallait.

La folle.

A empoigner et violenter, à taper et gifler fort. Presque dans l'esprit de tuer. A tuer de beignes.

Manques de scrupules et indélicatesses

Elle boit ?

Je bois beaucoup, d’eau …

Mal de l'éthylisme populaire.

Et infirmier.

L'assommoir, l'entuboir, l'enculoir, le dépotoir de déchets sociaux, de ceux que la société a faits et qu'elle jette là, comme chiens galeux à la fourrière.

Au chenil.

Avec moins de philanthropie que la SPA.

Au foutoir.

D'ailleurs, tous foutus.

Je ne puis que répondre ainsi, aux provocations.

Leur façon de narguer fait effet lorsqu'il est rapporté, de délire de persécution.

Jusqu'aux troubles de l'ordre public que ces voyeurs d’HLM causent, troubles qui sont toujours pris pour délire de persécution, paranoïa ou manie.

Laxisme médical envers les rites populaciers, les hystéries collectives envers le fou, le demeuré, la femme libertine et la femme rasée.

Ou le simple charivari contre les couples émancipés.

Jusqu'au cas de suicide. Ou de mort violente.

Risquer la mort n'est pas la mort, dira mon père.

De là à infliger des calmants ou des neuroleptiques aux précancéreux pour que leur maladie n'évolue pas... Cause le chagrin peut-être, la douleur ou les soucis relationnels...

Jus de cerveau que tout ça.

Préparation longue et futile par le groupe du voisinage toujours tenu au courant sous l'imposture de leur qualification : des amis chers ou proches. Chuchotis face à certain cas de « démence », ils ne se doutaient pas.

La foule participe aux jeux romains, se met au courant de l'opérée, ou de la future opérée, en calculant le degré de moqueries chaudes et salées pour que la personne en question ne se supprime d'eux. Foule qui prémédite la date de visite à la dite opérée, par leurs soins.

De quoi devenir un temps une bien grande folie dangereuse.

Barbouillée d'un gant humide et sale, en cas de viol réitéré par un voisin se décrétant manu militari mon amant ou par quelque infirmier égaré dans le sens du devoir, pour que disparaissent les odeurs de salive et de sécrétions génitales, tu comprends, sinon, elle ne se le lave pas. L'odeur des viols et sévices a toujours été imputée à la saleté de la victime, la mastu.

Provocations des habitants du quartier, qui se sentent concernés, une folle, donc dangereuse. Seules des bandes d'enfants prennent ma défense, prêchent l'égalitarisme, les droits de l'homme et du citoyen. Leurs cours. Leurs réflexions sur le monde. Sans comprendre la gravité de leur engagement, simplement pour se défendre de la circoncision, une autre forme de l'excision que l'on me voudrait, l'incision de crâne, chez les majeurs. Rites.

Avec toute la bénédiction de ma voisine, qui assiste et participe au charivari, elle se masturbe donc elle est sale, elle aussi, voisine qui elle prêche les sévices continuels et la maison de redressement à sa façon, celle qui ment comme l'on s'enfourne une tartine, en biaisant sur des épreuves qu'elle me voudrait, à conseiller à un dresseur de fauve.

Vengeances de lesbienne, à moitié entichée de ma personne, par jalousie, quitte à me vomir pour m'avoir imposé l'inverse de moi-même, et comme elle sale les bananes, elle les jette avec mon moi, par la fenêtre, parce que les bananes salées, elle ne les aime pas.

Histoires drôles.

Jalouse de me savoir épargnée par ce qu'elle a vécu, et qu'elle me voudrait au centuple.

Délire hallucinatoire, je relate le nombre d'opérations sous la blouse et les affaires précédentes, qui ne cessaient qu'au retour de quelque hospitalisation. Pour s’agrémenter de nouvelles, au bout d’un certain temps, le temps pour le canon de refroidir.

Tant que cette solution n'était pas envisagée, un peuple de médisants persécuteurs harcelait le professeur quasi britannique qui me suivait, déférait tout de cet imaginaire que je préserve pour créer, m'imposait son défoulement personnel sur ma présence, scandale et scène de violence incessante qui revendiquait la mort de la jeunesse, l'enfermement de l'artiste, la croix au gauchiste, le bordel à la femme.

L'opération tout autant de peine de mort, l'électrode, simulacre d'exécution sommaire.

Tribunaux d'exception pour condamné au hasard des masses.

Les tricoteuses s'acharnaient à me vaincre, à se battre pour leur pays de la roue, dans un rêve de cogner au-delà et plus loin que la mort le condamné, la coupable, un rêve de torture à l'appui, foule de mégères avinées de picrate et qui ne voulait de médicaments pour ça, qui déférait tout de mon être, turfistes gangrenées de barbarie, elles s'agglutinaient aux fenêtres pour hurler en un nouvel Ulster leur haine aussi fondée qu'un envahissement de peuplade, raciale, dans l'attente de quelque condamnation de larron de leur foire. La tête coupée de bistouris, l'électrode fatale et foetale, comme autant de fantasmes autour du serial killer chopé au nid, avec autant de sadisme et de révolte, d'excitation sexuelle que face à un condamné à la guillotine, un soir de prise de pastille.

A bas la reine était presque prononcé.

Brunehilde hersée en son champ.

Le déchaînement de cette violence, raciale dans les cas de maladie mentale, a fait pousser des cris d'horreur à plus d'un enfant, giflé dans ses couches pour avoir osé me défendre, plus qu'aucun qui ne pourrait vivre dans un tel système, où la barbarie ne se calme que par le sang versé, la chasse à l'homme et les jeux romains. Le spectacle est la mort. Enfin du sang, de la violence sexuelle.

Aussi sanguinaires que bérues, les mégères, vieilles canailles qui ont dû travailler avec la milice à faire crémer des juifs, par l'exercice de la délation et de la délation mensongère, farouches et bêtifiantes, elles étaient crues.

Médecins fourbes consentants envers tous desiderata de cette racaille, inconscients de s'en remettre à ces belles emmerdeuses, au bon sens des hystéries de la foule, médecins atteints des psychoses sociales, des maux de la collectivité. Partis en guerre de main armée pour les nier.

Rien ne les arrêtera, même pas l'évidence, rien ne les empêchera de prescrire contre l'apartheid des médications, des opérations de bannissement, des soins jusqu'au bannissement, avec autant de ferveur que lorsqu'ils se grattent le cul.

Amen.

Face à leur client, ils rient sans vergogne et défigurent au passage trois jeunes filles par leurs traitements de cheval, jusqu'à la trogne d'arriérées, ils restent pignon sur rue, et pissent sur ces femmes autant que dans la rue, pourris de vérosité et blêmes en campagne, séreux après leur repas de bonnes soupes grasses, démagogues jusqu'à l'os.

Si c'est pour m'entendre l'insulter, je peux retourner dans ma tombe. Vexé de mes déballages, il s'insurge, vous n'avez jamais vu un médecin vexé.

Cela souvent est suivi d'indigestions de cafés au goût médicamenteux.

Depuis le temps que je suis en conflit avec des médecins, j'ai dû en avaler la pharmacie.

Thérapie de l'opération incognito, autant que dans les cas de stérilisation sauvage à l'insu du patient. On remarque seulement quelques traces le lendemain, on s'en aperçoit rarement, faute de voisinage au courant, c'est en tout cas fortement démenti. Les cris des voisins en affaire pénale toujours ressentis dans le flou, mes cris différents des leurs, je ne me trompe et selon eux ils restent proches de ceux du primate. Je ne faisais que râler, tant la mort m’était promise.

Cela doit être bien ça.

Ebriété due aux calmants.

Mais selon le voisinage, m'occire serait la façon la plus sûre de se débarrasser de moi, pouvant devenir dangereuse à la suite de l'exploit médical, il vaudrait mieux en finir, l'euthanasie serait de rigueur, l'on reprend les mêmes et l'on repart comme en quarante.

Une fois rendue pouffe, bouffie et bien boudin par une vie de bon ménage avec la psychiatrie, me voilà assez hideuse pour que personne ne puisse prendre ma défense, trouvée au goût de personne après ces thérapies modèles, au goût de moelle, l'on m'abandonne aux rêveries, aux fantasmes de suppression de la meute.

Ma voisine se cramponne à l'idée de pouvoir sucer mon jardin secret de plus près, me sachant prostrée, sans plus aucune carapace.

Tremens de son concubin, au bord de la crise d'agitation, ivrogne.


SUITE, LA TATARAGNE ET LE FAUCHEUX, ARAIGNEES AU PLAFOND

Araignée du soir, espoir, araignée du matin, chagrin.

Démence que certifier les faits, c'est courir un grand risque que de rester dans l'exactitude. Relancée dans le récit des faits, je devrais faire semblant de rien entendre ni saisir, encore moins me plaindre.

Cela ne suffisait pas d'avoir assumé, il fallait de plus en faire l'aveu, l'avoir supporté subconsciemment. J'assume plus que de raison.

Et non, ne t'en fais pas, cela fait quarante ans que l'on en fait plus, devoir du père de cogner dans le dos, père qui n'y croit plus et cherche quelque autre argument capable d’affronter mes affres anti-neurologiques. Je clame haut et fort, même en présence. Parfois, il n'en paraît rien.

Façonnage de crise d'ébriété tant rabâchages et neuroleptiques, barbituriques dans le thé. Je persiste encore, jusqu'à l’énième séance si cela se trouve. Beurrée, je râle encore. Façon autre de me rappeler mon devoir de ne rien dire, alors, je pense intérieurement, ne rien relater de ma vie privée, ne me rappeler l'éviction de mon logement, ces moments où j'explose, malencontreusement.

Où l'on vient me chercher.

Esprit de contradiction, cher aux jeux scolaires, soutenu par une mauvaise pratique du français, inversions systématiques des faits dans le récit des évènements du jour et des ragots de la veille. Jeux d'adolescents du voisinage, qui présente certains défauts de langage et quelques difficultés de compréhension.

Si je ris une fois il est déclaré que je ris tout le temps

Idem si je proteste, c'est que je cris toute la sainte journée, imitation de cris de démence, chez les enfants qui jouent dans un coin du quartier.

Relais de jeunes et d'enfants qui se passent le récit de mes moindres faits et actes, dans un vrac qui nuit à la bonne compréhension et que je dois là aussi, assumer.

Je dois me débrouiller pour débrouiller des histoires que l'on me fait, les racontars et ragots salés, ou portés sur la critique acerbe de la démence, je dois démentir, apporter précisions à des récits lacunaires qui pourraient être pris pour les miens, quand on fait mine de les rapporter.

Baisse de mon pouvoir de concentration, je ne sais plus si je corrige des cahiers, si je travaille, si je me repose ou si j'étudie en écoutant la radio. J’entends bien malgré tout.

Peut être l'inverse, concentration horripilée par l'irritation constante que provoquent les interminables et inimitables discours de mes voisines, du voisinage que « cela concerne » et qui ressasse, mon attention descend sur terre, plus bas que terre, dans les trente-sixièmes dessous et en ce qui concerne les égouts, j'interviens, le scatologique, je hais, j’en reviens.

J'en perds le fil. Je connais la fin. J’en reviens. Je commençais juste à rêver, fin des torpeurs estudiantines, je dois toujours veiller d'une oreille avertie.

Vaccination imposée contre la violence des quartiers défavorisés, dans un affrontement verbal constant, jusqu'à l'émoussage des sens, de l'acuité auditive, violence continuelle qui se qualifie d'imaginaire ou même de folie.

Interdiction de s'adonner au plaisir solitaire ou même de s’allonger sur un divan, pour toute autre raison. Chasse aux femmes célibataires vivant seules.

Peur du ratage, orgasmique aussi, l'on ne parvient au plaisir qu'au bout de plusieurs essais, toujours les mêmes beuglements du gars d'en bas, de quelque querelleuse au moment du crescendo. Crispes de l’organe.

Thérapies par le forçage, la prostitution alimentaire : il faut qu'elle mange de tout et le tubage, Témoignages rabelaisiens, des soins constatés dans la journée. Toutes les techniques pour me faire trouver dans tous les états, rééducation catholique par le bâtiment de force que l'on me voudrait bien mais que l'on imite chez les voisins, pour me le servir au lit et à table. Chambre à domicile si réaction.

Obligation de supporter les grands enfants des autres, intransigeants, velléitaires entre eux, insupportables et pourris, grossiers, agressifs dans l'ingérence, violents et ivrognes, gavés de haschich, quitte à passer pour refusés par la vie, obligation de les surveiller pour veiller au pire.

Voisinage en névrose obsessionnelle, refus de servir des médecins, qui laissent faire en contrôlant le minimum, provocations de séniles et fausses cacochymes en besoin de tortionarisme envers paria, sévisme illuminé de satyres machistes, allumés aux souvenirs de collégiens.

Paroxysme inversé, face à l'absence de réponse, tout est imaginé de ce que je peux faire, tout comme la religion apporte des réponses aux questions éternelles de l'humanité.

Je fais partie de l'humanité, moi aussi.

La déclaration de démence prend des allures de déclaration de guerre, le personnel très furieux des agissements de la foule, entreprend d'user des gros moyens, agité à l'idée des appels répétés et des complaintes réitérées d'un couple de corbeaux, dans tout l'art de plaire.

Pour que rien ne se sache du scandale qu'ils ont déclenché, tous les matins, les infirmiers prélèvent quelques grammes de cerveau en introduisant dans les narines des trépans, qui laissent quelques miettes de cervelle accompagnées de petits nerfs cuits accrochés aux poils du nez.

Miettes que j'expulse en me mouchant, quand je me mouche, je crache mon cerveau.

Silence absolu du bastion.

Perte progressive des réflexes de survie, de la sensibilité de l'amour propre, comme un effet anesthésique.

Equipe d'urgence pour éviter la rixe, je ne résisterais pas en effet, à céder, bien que je ne me sois jamais battue de ma vie.

Incitations réitérées à la violence contre eux même.

Je résiste tant bien que mal à répondre d'une longue incartade.

Mater mon envie de répliquer, là était peut-être le but. Me prendre sur le fait.

Intolérance exagérée, pavanes au fil des réflexions et désobligeance, chahut réciproque, j'ai balancé quelque vanne, les répons fusent.

Dénèguent et dénigrent sur les faits, sur tout élément qui leur est rapporté concernant mon intime. Il suffit qu'un tiers intervienne, raconte par le menu détail une de mes journées, le voisinage explose, argue fort et parle haut, accablant, habile à noircir le tableau.

J'ai d'autres préoccupations, faudrait-il que j'affirme.

En fait, l'on dirait plutôt une thérapie de groupe par l'esprit de contradiction et la médisance, pourrie des hallucinations sensorielles de quelques mégères qui me juraient transparente à pouvoir laisser dire que l'on peut lire dans mes pensées, et de là, suivre mon activité mentale et physique de loin, de chez elles par exemple.

Ma peur de grossir, en volume, et non pas les faits, leur a été un symptôme qui a mis le feu aux poudres d'enquiquineuses de service que cela empêche de dormir. Symptôme Idéal pour entamer une guerre du repas obligatoire sous peine de graves conséquences et séquelles, le gavage aux féculents et toutes formes de viandes préparées à tous les goûts formeront le mien, si je ne suis avertie, car le tubage aux œufs et aux sardines au beurre par surprise existe, sous chloroforme et dûment appliqué, quand on en voit la nécessité, pour ne point laisser mourir de faim, sauter un repas de temps à autre serait mortel. Surtout en période électorale, donc d’électrodes.

Sans cette superbe boîte de sardine, j'aurais paraît-il pu être morte.

Même si cela n'est pas vital que l'on doive ingérer par la force le repas proposé par la vieille du quartier qui tenait tant à me gaver, pour obtenir de moi ses formes charnelles séculaires autant pléthoriques qu'antiques. De Vénus bien callipyge.

Pâtes et nouilles, dont on n'a pour souvenir que le goût, sans pouvoir dire que l'on ne se nourrit que de leur fumet, dans un relent d'anesthésie post-opératoire.

Quitte à vouloir me gaver au lait de chamelle, reléguée dans le quartier arabe de la ville, je devais correspondre au type même de la grue de village, connue pour son manque d'hygiène, alimentaire aussi cela va de soi, assez tarte pour exister contre elle, pour devoir subir la raillerie, objet de défoulement pour sa bêtise.

Fâchée avec soi-même pour sa bêtise, d'une identité assez louche pour n'attirer qu'ennemis, voire, sa haine contre soi-même personnelle et contre son intimité.

J'aurais pu en rester alitée au point d'en devenir grabataire, et impotente, ce qui ameuterait les services sociaux, et risquerait de faire travailler la sécurité sociale.

Ecrire, morbleu, est-ce si grave et si absurde, qu'il faille tant meurtrir et opérer ?

Qu'auraient-ils fait si j'avais tué ?

Ou écrit cent pages de plus...

Autant me forcer à me relaver pour l'odeur de mes mouillures vaginales, les odeurs sexuelles chargées ou même discrètes chargées et bannies du canton par ces vieilles femelles autarciques presque indigènes du guetho de cette ville et de cette cité, prêtes au viol avec violences si je persistais à garder mon attitude, gardiennes de mes actes comme de mes sensations. Quand à remanger des œufs sinon sous leurs ordres…

J'étais poursuivie par une sainte envie d'aimer, cela importunait mon voisinage, et troublait la sieste de mes concitoyennes.

Grabataire pour avoir osé aimer, penser, allongée sur un canapé.

Aveux narquois qui se passent du continent freudien, moqueries concernant le plaisir féminin, le sale, et l'art de faire le tapin, aveux d'ablation de lobes, art pédagogique pour bébés en couches, couches pour incontinents, pour le fait que certains ont réussi à en faire porter à des malades, au nom de quelques électrodes qui ont inspiré la galerie.

Aveux déficients, défiant le supportable, sur anorexiques et jeunes filles en fleur : Pour la faire manger, il n'y a qu'une chose, lui interdire de faire ça.

Railleries sur autiste saphique, sur le versant de la boulimie, mais par la suite seulement.

Onirismes entravés au nom de la grosse bouffe, suivis médicaux jusqu'à la défécation honnête, crochets du droit destinés à calmer les cas de révolte, ou d'agitation spontanée.

La branlette mentale, une grave atteinte cérébrale.

Ma libellule.

Mon petit rat.

Je ne connaissais pas cela mais je ne recommencerai pas.

En plus des mœurs particulières du voisinage, de certains participants à la grogne helvétique qui agitait le palais qui accompagne désormais depuis vingt ans la cohabitation, les campagnes lepénistes, ou électorales de la métropole du Languedoc, j'eus droit à l'aide condescendante de quelques électeurs qui eux ne se massaient la boulette que par pur plaisir. Je ne dois la vie qu'à eux, dotés d'un esprit loin d'être supérieur, ils me firent la charité, volontaires et non ostensibles, de faire taire ces fesses à Marie et enfants du bon Dieu de cette ville, non velléitaires à mon égard, prêts à faire un autodafé de mes manuscrits.

Ces médiateurs firent un bon travail de sauvegarde de l'esprit républicain, tout en tenant au courant de l'affaire la ribambelle d'enfants qui s'étaient battus comme forçats contre les rites lapidatoires des quelques mégères et jeunes ménagères à leur solde.

Incapables de tolérer. Pour une campagne de gros et de grosses, l'obésité en marche triomphante triomphant de tout individu dit libre. A soumettre à la loi de l’entonnoir. Et de la casserole sur la tête.

Silence altruiste, bruits de claquement de clapoir des vieilles égéries de l'extrême droite, pourries d'une envie d'Enfer et nourries des processions de la Grande Inquisition.

Toutes à la recherche de tout ce qui nuit, peut se révéler torture pour le corps comme pour l'esprit : le sel et le poivre, la moutarde, l'harissa, ce qui fait empâter et enfler et grossir pour que l'on s'en moque aisément. Et que le corps, rendu prison portative, empêche toute liberté. Dans les saintes plaies éternelles.

Si j'ai le droit là dessus d'en émettre une, le personnel médical fait passer les débats sous la table. Je m'associe à l'idée que je devrais être pour bien aller une grosse femme, laide comme un pou et qui ne connaît le plaisir sinon celui que propose l'homme, dans les clauses de la prostitution, le caca boudin, la bouse de vache et la flatulence, la purée de marrons les frites, le bouchage de trou et le touchage de figues, la sodomie, agrémentée de la fellation obligatoire et du mâchage de pain.

Tels vols de moucherons, voyeurs implacables pour ce qui est du dénigrement et de la caricature, à l'appui de tout ce qui pourrait représenter le viol dans le monde médical, ils me tiennent compagnie sans vouloir me lâcher une seconde, ratissant tout de mes faits dans un monde où je leur serais invisible mais présente par la sensation qui découlerait de ma présence entre leurs murs quand ils sont encore miens. Invivables, agités de violences mentales qui les poussent à vouloir gérer par eux même ce contrôle qu'ils me veulent, ils me jugeaient dangereuse pour mes acquis, ma défense des libertés individuelles.

Et alors, tout le monde a bien droit à sa crise, mais eux la mènent contre ma vie privée.

Le voisin d'en bas squatte toujours mon arrière pensée, il sait ce que je sais, n'en retient que ce qu'il veut, saprophyte de mes logements, il rêve de fanatisme pro-hitlérien, dans l'absolu de ses démarches auprès de mon pavillon, des antennes médicales qui ne s’en foutent et le prennent toutes en charge et considération…

Prêt à oblitérer la lettre de délation, qu'il voudrait bien mensongère pour enfin triompher, pour lui, du spectre de la Maladie mentale par excellence, la Gauche.

Le voisin Roi argue, sa pseudo concubine Reine et Régente de ma vie, rivalités de princes et de princesses, enfants larbins de leur cause, leur mégère impératrice de Chine hurlante et raide comme un pique fleur, salée pire que saucisson à l’ail. Espèce de vieux gros chorizo qui se dit une de mes amies particulières, sainte nitouche, fière pire qu'un fauve, une hyène de pouvoir, sarcastique et poisseuse, avinée dès le matin, boiteuse de sa haine immémoriale envers les filles de mon acabit. Dont elles voudraient le génocide et l’absence de reproduction.

Et moi, déclarée petite amie du mec d'en bas ou de celui du d’en haut, sérieuse comme une verrue plantaire ou mieux, à la fesse, lui, malin comme une prothèse dentaire, prêt à m'enfoncer les ovaires du pied, et il le fait, à sa façon, toujours avec son tarin de fin limier pour voir d'où vient le vent, assez nerveux pour me vouloir une cimaise intracrânienne, greffée directement au cerveau comme chez les singes de laboratoire, à qui l'on inflige cela comme un suppositoire, bref, des électrodes implantées.

Ne me demandez pas s'il s'agit d'électrodes électromagnétiques ou pas, ce que je sais, c'es que cela fait mal, qu'elles sont télécommandées nuit et jour par une manette manuelle, composée de touches comme celles d'un téléphone, bref, bientôt, chacun pourra vous télécommander le clito de son portable. Si pour ne pas se faire des bleus au doigt à force d’enfoncer la touche, l’on n’y pose dessus le pot de fleur et pour les vieilles, le pot de chambre.

Quant aux médecins qui me l'ont voulu, des Adolfi.

Tout est parti d'une cure de sensibilisation menée en fonction de ce que je pensais sur l'Homme.

Et d’une cure de désensibilisation envers ce que je pouvais en savoir. A l’heure de l’hôpital et de ses mémères.

Ou envers tout ce que j'ai pu refuser de lui.

Il faut apprendre à l'aimer publiquement.

D'un colonialisme ardant, payant et extrêmement droitier, presque par moments à la limite du pardon du Père, dans une propagande bleuie au curaçao, le voisin fait sa crise et remet en compte mon autonomie. Encore un, et pas toujours le même.

Pour s'enticher de fanatisme, me vouloir la visite réglementaire de mon appartement, la fouille régulière de mes affaires et le quotidien soin quasi dominical mais tous les jours cette fois ci, pour m'apprendre à rester bien tranquille quand il m'insulte, à ne répondre à leurs assauts : Quand elle ne dit rien, on veut savoir ce qu'elle fait.

Et bien Bébé fait des bulles dans son coin, puis suce son pouce, ce qui n'a rien là, de réglementaire, ni d'innocent. Surtout de sa part.

Mes défenseurs contactent leurs viviers de jeunes vipères, et là, commence un voyage aussi long et infini que le voyage du Père.

Car malgré le parlementarisme laxiste de ces domi-dominici, les voisins s'acharnent, le besoin d'égalitarisme de mes protecteurs se heurte au bon vouloir de ces petites gens, douées de bavardage séculaire soit, mais sur l'infirmité. Surtout la mienne. Le féminisme, un mal premier.

Je devais me plier aux crises de soins particuliers de ces quelques locataires, en mal de biberonner jusqu'au grabuge, à vouloir pouponner un prisonnier d'état à moindre frais, mais dans quel état, dans le devoir du chrétien et le sévice musulman, à demander de l'aide à des garde-malades chevronnés pour pallier au manque d'imagination, quand cela ne fait pas assez mal.

Ou le plaisir du troisième enfant-que-l'on-ne-peut-pas-avoir-faute-de-rémunération-décente, ou qui ne vient pas, cause la ménopause. Et qui ne pourrait être qu’une mongolienne, comme vous.

Quitte à vivre dans un crade historique, elles se négligent, ces harpies, au nom des plaisirs de leur âge, noircissent l'affaire et s'en remettent à l'Histoire. Chacune y trouve ce qu'elle y veut, selon les rites des temps immémoriaux de la Religion.

Essayez de trouver un emploi, après ça.

A moins de servir de cobaye humain.

SOUPES DE CACHETS, DANS LE CAFE, ET SOUPES-AU-LAIT, NOTICE EXPLICATIVE

Ah, et excusez…

On se fait tellement d’idées sur vous, Elne, l’on vous a peut-être un peu trop lobotomisée, excusez, encore une fois. Dixit une voix provenant de l’étage en dessous.

J’accuse le coup, encore une fois, c’est bien mignon, mais je refuse ce genre d’excuses, trop facile, tout le pognon dans ce pogrom qu’ils se mettent dans les poches, avec ce genre d’erreur. Cela leur rapporte de quoi vous bouffer encore jusqu’au trognon. Dans des soins et observations à domicile de dépravés.

Lobotomisée par erreur…

Des opérations de neurochirurgie avouées avoir été pratiquées, sur moi, par erreur…

Vous ne voulez pas être fou, folle, mais de rage ?

Si vous désirez de plus amples informations sur votre dernière radiographie du cerveau, consultez votre neurochirurgien.

Lobotomisée des centre nerveux de la self-défense pour que je ne rixe pas. C’est bien cela, ils ont inversé les faits. Il faut faire de la musculation des abdominaux pour répondre sur la digestion après avoir été strangulée à vous étrangler durant tout le repas par les sarcasmes des vieilles femmes, juste venues là d’ailleurs chez les voisines d’en dessous observer comment je me comportais après pareilles représailles, observer avec infirmiers les résultats de l’opération. Qu’elles ne viennent pas prétendre à de la spasmophilie si je leur réplique que je ne les boxe pas. Elles ne les ont pas comptés autant que moi les coups de poing que je ne leur ai pas filé et qu’elles méritent.

Des situations pareilles, tous les jours.

Ah merde…

Quand à votre silence, Monsieur le Curé, vous ne le devez qu’à notre bière d’Alsace Grimbergen, et excusez.

Ah la bière Grimbergen de la grosse bibendum qu’il ne lui reste plus qu’à prendre pour oublier, si elle n’y cède, certains cèdent, parce que la pauvre top model, l’on ne la voulait pas « anorexica ».

Parce que votre silence, Monsieur l’Abbé, gêne. Entre autres moi aussi.

Dites le à votre suzerain, dit le suzerain, pourquoi la mousse de votre bière est si douce, et si onctueuse… Ce n’est pas fini, ce silence, ainsi que dit la pub.

Une situation qui dure depuis le douzième siècle.

Pardonnez-moi, maître, lobotomisée, parce que je me taisais, trop pour eux. A prendre pour du Kierkegaard la bière qu’ils buvaient. Les voisins, infirmiers et médecins. Quand on ne les récompense pas, en plus des petits biscuits Delacre, de bouteilles de champagne après l’opération, si estimée réussie, de pastis Duval avec bouteilles de pinard millésimé. On ne lésine pas sur le gros rouge, dans les rangs des infirmiers, après, s’ils se sont trompés…. Quand vous en êtes au gros rhum blanc de leur infirmerie, mais après.

Apparemment le mot saligots n’est français que dans le dictionnaire, exactement ou à peu près le poids en concentré de ma tête. Schizophrène est peut-être un mot plus français, excusez.

Produit Z, la bière un peu givrée.

Et en citant le produit Z, ils vous masseront la boulette aux électrodes. Extra et intracranem.

Il n’y a pas que ça.

Parce que par la suite, « que n’avez-vous refait Monsieur le Père ? ».

Et re-grosse tremblée à gros neuroleptiques, bien urticants et rubéfiants à vous faire prendre des coups de soleil après minuit en plein hiver. Et ça, l’on ne le savait pas…

Après cela, Terre…

Et pour les gros viols bien à sévices, avale.

Hissez le hunier, remettez ça, hein à ce moment là, où l’on commençait à si faire…

Oh punaise mais que c’est bien dit, c’est donc qu’il faut bien qu’il en reste, un rien, de ce qu’elle sait penser et faire. Et donc, de sa tête, sans quoi, l’on pourrait croire qu’elle en perd un bout parfois, dans la bataille. Perdre de sa tête, la nouvelle expression.

Le cachet à l’artiste, et la culture à l’hôpital.

Lobotomies par l’électricité.

Rêves de fesses et parties de fesses, de fosses à bosses.

L’essentiel c’est qu’elle en rie, Inri. Marrons-nous d’avance. Marions-les.

Je l’attendais pour ça. Avec moi, elle n’y arrivera pas.

Pour l’honneur, par quelle extrémité il ne faudrait pas qu’elle passe…

C’est bon, je reconnais.

Elle a le thon bien frais, depuis quelque thon,

Enfant, elle aimait ça. Je lui permettais d’exister.

Le fond de thon a l’air un peu pâle.

Et si on sortait du Tonton…

Le pipi-au-là n’est qu’apparent.

Le pipi-au-lait, mais le pipi-au-lit aussi.

Il y a des gens qui ont dû lui parler mais des comme ça…

Encore le Musas.

L’Amusas.

Le, la. Le voisin du dessus.

Allez, allez, dépêche-toi, mais macarel et rince-la.

Et macarel de caramel.

Ils auront fait de leurs médicaments une vraie Cour des Miracles, façon nouvelle Russie, un moyen Age des purs et des durs, un noyau certain de la Révolution.

A dénoyauter, en commençant par la boulette du pauvre. Et par le bâton merdeux toutes les fois où on le voudra.

Et si elle ne rentre pas dans le moule de la Schizophrénia, on lui coupera un bras, s’il en dépasse.

Acariâtrie, répétition, rabâchages, déliriums trémens et crises d’ébriété, à envies insurmontables de rixe, troubles fréquents de la mémoire faisant penser à un état second, peut-être d’hébétude, logorrhées au Prazimil, ires satanées et rages froides à blêmes, activité nocturne et aphasie diurne, délires de persécution, idées noires à fixations obsessionnelles, perversions sexuelles, nervosisme, idées fixes à confuses, versatilité du comportement, à diverses apparences chronologiques jusques dans la physionomie et l’aspect physique, la physiologie suivant. Troubles multiples de la personnalité. Et du comportement. Tics, tact et Tocs. Le plus souvent au Librium.

Je ne sais pas ce que j’ai, amis quand je vois un psychiatre, j’ai des idées noires, je vois des blouses blanches partout. Je dois faire un cauchemar vivant.

Si elle ne sait pas ce qu’elle a on la placera en observation.

Toujours dans la logique de la symptomatique schizophrène, inversion des horaires diurnes/nocturnes, à coups de soupes de neuroleptiques et cachets divers introduits dans le café tous les matins et les après-midi où auront duré mes pseudos hospitalisations à domicile, ma cafetière se prêtant à cet usage, jusqu’à la contrefaçon de l’inversion d’horaires tant décrite dans les anales.

Inversion et contrefaçon provoquées par la suite par le manque de neuroleptiques et cachets de barbituriques les accompagnant le plus souvent, quand leur fort dosage crée une accoutumance symptomatique qui passe quand vient le manque pour des symptômes typiquement schizophréniques en recrudescence. En réapparition si après une prétendue rémission, due en fait à la désaccoutumance à ces trop puissants traitements.

Me voulaient à tout prix ce manque soit pour que je m’habitue à un fort traitement, à ses augmentations régulières, soit par représailles et règlements de comptes.

Pour bien faire apparaître le syndrome, plaider la démence grave, démence précoce à cet âge là de l’avant et après-majorité où cela pouvait se dire et se déclarer pour des phénomènes de la médisance dont chacun s’amusait en s’amusant à fabuler sur ma vie intime et privée, jusqu’au diagnostic de paranoïa. Traitement dont on voudrait bien un peu trop se préoccuper.

Devant soigner au départ des crises dites par mon Père, féru ainsi que chacun le sait en médecine, de spasmophilie, en fait des spasmes et soupirs d’orgasmes tus et cachés, non-dits en tout cas, suivis de colère fulminantes quand ils étaient épiés, surveillés, contrôlés, interrompus, voire commentés sans gêne aucune. Soi-disant crises qui servaient de paravent à des conflits familiaux ou de tout autre ordre, y compris de voisinage.

Pour ces faits, prise forcée de médicaments le plus souvent par neuroleptiques retard sous forme d’injection mensuelle dont il fallait ne pas se plaindre nous peine d’en voir le dosage augmenté ainsi que leur fréquence, passant de un mois à trois semaines ou chaque quinze jours.

Suivie et soignée à vie pour orgasmes non déclarés et contrariés.

Faits fabulés violemment dénoncés par population en mal d’agression, de viol avec violences aggravées, par procuration médicale ou non. Affabulations des voisins prises en cause. Violentes électrocution du corps par le cerveau. Crises de violences exacerbées des voisins et voisines.

Pour une meilleure compréhension du problème, traitements d’effets pervers de médicaments, sans aucun aveu de cela, si cela su un jour. Traitements augmentés pour les arguments précités dans ce livre. Toutes les fois où partiellement je les aurai eus. Extirpés de ma pensée sous des provocations incessantes. Le plus souvent nocturnes. Guérillas dont nul dans cette cité ne se passe.

Et ce, jusqu’aux implants. Pavillon de force portatif à gégène directement greffée dans les tissus, pour folie dangereuse à maitriser de ces appareils de contention.

Le pavillon de force, paraît-il, elle le porte avec soi.

Parce qu’en plus, avec eux, les jeunes fiancées, elles aiment la chair et la saucisse.

Quand on les gave.

Placements d’office anticipés à mon domicile pour pallier à ces faits, puis appliqués légalement en pavillon, soit en congés d’essai assez durables pour rassurer les mauvais éléments qui avaient causé les troubles de l’ordre public à mon encontre dont on m’a accusée auprès de médecin crédules parce que cela les rend riches et respectables, d’interner sur fabulations et affabulâts. Quand ces citernes qui les commettent à grands beuglements de grandes vaches de tant enfliquer après leurs libations et abreuvements, en mal de nymphette à sévicier depuis longtemps, il faudrait les prendre pour des acouphènes. Contrainte à vivre en communauté entre vieux lardons et vieilles sybarites aux sons de leurs cithares et grosses grenailles.

Forçages à déflorations par les courants électriques, dans des pratiques illicites de la torture médicale.

Il y en a qui parlent de rien

Il y en a qui parlent d’Aryens,

D’autres qui parlent Aryen,

Certains qui courent toujours,

Et d’autres qui parlent du naze qui leur a mis un nez comme une patate comme ça et une lobotomie en surcroit.

De l’inculture en France.

Œufs tubés pour bien condamner ce plaisir connu par soi, par son infliction plaisir que les œufs, des aphrodisiaques alimentaires de renom, procurent inévitablement, même intubés selon cette volonté de punir. Plaisir pris contre son gré, contre lequel le corps doit lutter s’il ne veut être pris ni se donner sur la volonté d’autrui quand on n’en veut. Condamnée à mon propre plaisir. Viol obscène. Non reconnu, pris pour violence anodine. En fait gratuite. Cela pour le plaisir condamner le plaisir. En infligeant l’auto-lysis par l’infliction du plaisir, sexuel, non recherché, dans un but de déflorer jusqu’au bout. L’on m’inflige ce plaisir pour me le condamner. Pire condamné que celui de la drogue, à laquelle ils voulaient, certainement, m’adouber, dont le seul plaisir m’était donc concédé. Quand on peut mourir de trop de plaisir (cf. le film « le rideau cramoisi »). Je n’ai pas cédé.

Tout ce livre pour le simple interdit de la masturbation, quand il n’existe aucune loi en France qui l’interdise, elle est tout de même sérieusement interdite pour la raison religieuse commuée en interdits sociaux. L’athéisme, les libertés individuelles condamnés en France à ce point là par la médecine psychiatrique, tout autant qu’à l’étranger.

Il est des interdits qui devrait être interdits, que l’on ne vienne pas dire il est interdit d’interdire.

Je n’avais fait que me défendre face aux agressions, accusations multiples et à rallonge. Placements qui furent permis et légalisés sur des rapports dans dossiers illicites, car montés de faux témoignages soit commis par erreurs de français accablantes pour moi, soit par volonté de nuire, de s’attirer considération et argent dans un placement profiteur, falsificateur de faits qui parfois furent commis par mépris ou ignorance de la langue française, maladresses qui me furent fatales dans le jugement des procès de Placements Administratifs et dans l’établissement du diagnostic.

Placements, suivis occasionnant de multiples affaires à sacs de nœuds, innombrables opérations du cerveau, juteuses.et profitables. Où tous les droits étaient permis, y compris ceux qui n’existent que dans les caprices des fantasmes les plus délirants. Opérations déclarées être commises sur la demande du Père en violente crise sur moi de répression pour ce qui lui a été dit et rapporté le concernant et me concernant, opérations du cerveau précédant son futur voyage en Ardèche ou Sologne. En Russie ou bien en Egypte.

J’en ai été percluse de ses souvenirs de voyage. Le voyage. Nuits électriques pour moi, après la lobotomie de choix, rituelle dans ces cas, parce que je n’en supportais l’idée.

Les lobotomies et électrochocs n’étant chez eux, hein, que des bruits de couloir. Qui animeraient tout le palais. Chez, l’on n’en fait pas. Ils ne le disent, ou bien ils le font faire par d’autres cliniques, ou pavillons. S’ils en font, cela passe bien pour des hallucinations sensorielles de tout ordre, en guise de ménagement pour que cela ne déménage, par la suite.

Je plaiderai simplement internements abusifs. Par graves actes de torture, inavoués.

AUTRE AUJOURD'HUI

Les tabous, l'inhibition quasi incestueuse des relations parentales qui en découle, l'inhibition que causent les interdits sociaux, ne sont pas dénués de relations, confuses, soit, mais avec le ça, concentrent toute leur richesse de relations exogamiques, exogènes et hétéroclites qui selon le découpage des hiérarchies et des pouvoirs, s'organisent en moi-je.

Découpes selon des critères non pas basés sur l'affectivité seule, mais surtout sur l'adéquation d'une réponse juste pour tous aux critères de qualité et de tolérance. Réponses basées aussi sur les capacités autant que sur les valeurs énoncées dans le discours de l'enfant, les découpes de la réalité selon les critères même de la hiérarchie qui juge l'individu, envahissent les valeurs de la différence et tiennent de l'opposition amalgame réalité/vérité.

Tolérance : Envers la marginalité, la contestation dans le cadre de l'émancipation non plus des masses mais du mineur, l'émancipation féminine étant dans l'absolu la plus rejetée, la différence de la solitude, celle du cadre familial qui déborde du cadre de l'éducation tout court, et passe au mode éducation relationnelle. Tout cela signifie la transgression un jour ou l'autre de l'interdit, de tabous amoncelés par la société dans la fonction éducative, qui font immédiatement référence à la personne d'un tiers-juge et censeur, qui serait vécue non pas dans l'avunculat mais dans l'image d'un intermédiare-boureau, le psychiatre, le psychologue, le médecin.

Bref, un nouveau type de viol initiatique dont le rituel envahit les familles : Le psychiatre exorciste du mal d'amour, dès la naissance, durant l'adolescence, et de l'apprentissage de sa personnalité chez l'enfant.

Le Médecin-Pouvoir d'Etat. Nouveau Papa dans ses affres du nouvel alité.

Enfreindre les tabous, donc les interdits sociaux liés au rejet pour la différence (d'opinion, de conviction, d'aspect et de geste), donc liés à la solitude engendrée, équivaut pour le commun des mortels à une vaste purge, une excommunication d'individus accablés par l'accusation d'avoir commis une grave faute, la différence de pensée, ou d’idées. D'où le mépris qui s'installe, qui envahit les échanges, systématise la violence et l'apartheid le plus souvent, lié lui au grand contingent de fantasmes qui guide ces relations.

Fantasmes de destruction d'autrui. Jusqu’au délit de sale gueule.

Elimination pure et simple de l'objet de cette charia.

Déclarée délire de persécution par des médecins qui plutôt qu'être avocats de la défense de l'objet de rejet, l'accusent et le violent, mentalement, physiquement, par le soin obligatoire et souvent la détention.

La relation parents-enfant assure cette main mise sociale du médecin sur le « malade ».

Un paternalisme dévoyé et démagogue, où l'on fait mal pour faire du bien, le Bien médical, une imposition qui prime, sans débat.

Prolongée d'un trop long séjour hospitalier, ou au sein d'une famille, la solitude s'accroît, d'un repos dû aux médicaments, souvent prescrits pour faciliter le travail de récupération qui prime lui sur le relationnel, attitude qui nie l'affectivité de l'échange humain, plutôt qu'un hospitalisme froid et magistral paralysant nombre de jeunes qui endormis et anesthésiés de traitements, de soins plus intensifs, s'endorment sans se confectionner de public-relation digne de ce nom. Où ils pourraient s'épanouir, sans passer par la solution de facilité du soin. Leurs nouveaux appareils de contention dits de thérapie sont d’ailleurs à consigner dans leur futur Musée des Horreurs.

L'on traîne alors avec soi son poids d'inertie sociale, de ressemblance avec une réalité qui n'existe pas, que l'on appelle délire hallucinatoire, et la projection sur autrui d'une rétention du besoin de communiquer.

Le ressenti de cette situation est banalement dénommé psychose, embryon d'une relation individu-monde extérieur saturée de violence refoulée, de violence subie et de mutisme prenant des allures de délire, si le langage est emmuré dans la forclusion du silence contraint et livré brusquement à lui-même par l’effet de communication : Les questions du médecin. Qui n’endiguent rien.

La rétention de cet univers que se bâtit le malade ou l'adolescent en marge est amplifiée d'une tension de révolte contre son cas, de révolte sienne contre l'incompréhension, due aux conflits initiaux, ce qui souvent débouche sur une dénaturation de l’individu dans ce mal être, une dénégation s'instaure contre lui, et lui dénègue ensuite contre ce fait là. Les problèmes sociaux, l'amplification de la crainte de paraître, orientent l'individu vers un repli sur soi, une dépendance avec autrui naît parce qu'il perd ses repères de son repaire à trop vouloir les protéger, dans la non-communication du problème initial.

Monde où la sexualité n'est réservée qu'au couple, où la famille s'unit pour protéger cela et se protéger du « malade », cette frustration l'emporte sur la raison de vivre, s'amure à des conflits mal assumés, où la promiscuité avec le malade a raison là, de son bon raisonnement. La chambre du couple qu’il voulait former devenue chambre d'hôpital du nourrisson, dans les cas de séjour ou non, le malade réduit à la condition d’enfant, gardé, surveillé jusqu’à l’étouffer.

Nourri pratiquement et tranquillement à la tétée.

Ce discours porté à son maximum, celui de s'isoler pour mieux paraître, devenir incontrôlable par les gens que cela gêne, se projette autant sur les personnes connues qu'étrangères au cercle familial des relations, puis de là déteint sur la masse des individus rejetés, constatés être différents et enregistrée subconsciemment. Une attitude qui nourrit les fantasmes hystériques de la foule, des songes qui ne demandent que le passage à l'acte, pourrissent la vie intime des « malades » recensés et contrôlés par la population.

Le pouvoir d'asservir.

Le seul pouvoir de l'asservissement, pour le malade.

Le ton d'explication du psychiatre.

Le pouvoir de la colère Divine sur nos têtes.

Sans distinction de rang ni de statu, l'enfant perturbé par les prémisses d'une adolescence difficile, amasse, cumule les expériences secrètes et intimes de son isolement, qu'il meuble d'une appropriation hors circuits de l'information extérieure. Il passe ses journées à vivre par procuration la vie, à flirter avec des rêves interdits, capitalise le fruit de ses dons dans lesquels il se réfugie, ne cherche parfois pas à les connaître, parfois tombe dans le besoin d'évasion. Il ne cherche que sa satisfaction, nie le devoir, l'obligation lui est un artifice pénible, il veut la facilité au risque de friser l'asthénie pour ce qui lui est nécessaire, narquois accablé ou sardonique, muet de mutisme ou logorrhéique, ses raisons sont l'assouvissement de ses rêves, à ne plus savoir ce qui lui est bon ou mauvais, il se terre dans l'essentiel, le vital pour lui, enfreindre la frustration.

Son identification par l'échange ne s'amorce plus, ou plus tard seulement, lorsque ses songes seront exaucés, qu'il n'y a plus rien à tirer d'eux, ni de plus de l'imaginaire. L'imaginaire au repos ne donnerait que des sensations amorphes et sans goût, trop subconscientes pour être supportables ou bien trop évidentes pour ne pas l'agiter.

Sa fièvre de rester sans famille l'absorbe dans un cauchemar continu, le soin obligatoire, ses rapports à la société.

A un âge où les conflits de la puberté qui stagne dans l'après adolescence se résolvent dans la vie à deux, le malade survit dans une tristesse ignare des plaisirs de son âge, dans une solitude traîne-savates, où la famille l'asservie à son rôle de parasite. Dans un zizi-panpan d’âge freudien ; sinon antédiluvien et devant être trouvé anodin.

Un âge où les conflits relationnels sont intérieurs, transparents tout de même, mais d'une faible lueur que nul ne peut traduire sainement, les parents cherchent à maintenir un climat infantilisant, despotique et démissionnaire, toute relation prétexte à des disputes qui peuvent perturber très tard, toujours dans le mal perçu par autrui, la famille devient cause d’étouffement. Obnubilée par le conflit des générations et rivée sur le besoin d'indépendance de leur descendant.

Presque un Empire ottoman pour les filles, à qui l'on conteste la poussée pré et post-pubertaire d'adrénaline, et la sexualité sous toutes ses formes.

Cela peut inciter à la castration des mâles, la stérilisation forcée du malade (pratiquée je le rappelle à l’insu des cas jusque dans les années 95).

Ce genre de comportement insuffle la violence à domicile, à un âge où l'hyper familiarité des parents règne en maître, où les contraintes de la promiscuité pèsent, les plaintes de l'adolescent sont plus ou moins formulées, scandalisées, face au mur de glace de la famille, elles s'accumulent tel un cahier des charges. Une misogynie envers cet être renfermé s'installe, revient à crucifier sa jeunesse au nom d'un mal, une jeunesse qui ne rêve que de dévoiler, garder pour soi ses secrets, de voler de ses propres ailes, sans aucun mauvais souvenir du passage à la frontière de la majorité.

Là aussi, la douane et les douaniers, cela existe.

C'est alors le vol de la liberté d'une génération.

Psychiatres, toujours à nier ce qui ne se voit pas. Invisible, inconcevable, donc irréel.

Au nom de la cécité d’Etat.

Après les premières aventures sentimentales, l'esprit n'est ni à lire ni à étudier, encore moins à travailler. Les parents, qui voyaient du coté parental uniquement, sans aucun souvenir de leur chemin personnel ni de leur jeunesse, de l'œil hypocrite des médecins nient toute évidence de ces moments, font soigner pour dépression, démence précoce, de fort belles déceptions amoureuses. Un non droit au chagrin d'amour, non droit qui ne passe que par la censure sociale envers le sexe des jeunes, la psychiatrie, un non droit de l'émancipation sexuelle.

Plus tard, au nom de la Santé Mentale, le voisinage prend en charge la personne soignée, sert de censure à son tour, fonde son pouvoir sur le complexe de castration. Une cause qui sert de cause commune inconnue, obscure et ignorée.

Une lubie du malade s’il vient à se plaindre.

Celle de la sévérité, du lysis, envers des individus qui aiment.

Qui sont purs, de tant subir.

Ce qui les renvoie au rang de boucs émissaires, victimes, donc à vaincre.

Victimes, donc à sacrifier.

Ca a trente ans et cela fait encore ça.

C'est le langage de la Raison.

L'alter mondialisme, oui, mais de l'alter psychiatrie, dans ce cas.

Des sociétés qui ont fait des torturés.

Des tourmentes médicalisées.

Seuls les droits de l'Enfance, et ils sont tout récents, peuvent éviter ce piège, dû à la religion.

A ces individus différents, on leur a voulu l'hôpital, comme on leur voudrait la maison de redressement, à vie, pour leur sexualité, comme par convention.

Pour leurs libertés.

La gégène pour les gèges.

La gégène au gège.

La géhenne pour le tordu.

Comme par lapidation. Lynchage.

La torture dans les hôpitaux, ils la réclament.

C'est un fait, mais soignez-vous d'abord.

Et vous verrez,

Ah, ça ira, ça ira...

Depuis que je ne fréquente plus les hôpitaux, oui, je vais beaucoup mieux.

Ces gens, que l'on n'accepte que par le concept de différence,

Gège, oui et alors,

Comment, alors, les dénommer ?

Réduits au stade d'enfants de dieux inévitables.

Le Dieu-Psychiatre et la Psychiatrie-Religion.

La psychiatrie, une nouvelle religion néo-colonialiste.

L'exclusion des damnés dans un purgatoire ad-vitam, l'enfer de la réserve des lépreux.

Où quant l'on vous voit bouffer vos oeufs, l'on vous dit « vous ne manqueriez pas d'un peu de fer ? ». Parce qu’il y en a dans la viande…

Et imposition des fers.

Via la mater dolorosa qui ne supporte pas la maturation de la sexualité de son enfant, ni sa maturation mentale, et qui couve d'un regard dictatorial le fruit de ses entrailles.

Mal mariées, mal baisées, avec pour et par des époux autodidactes, irresponsables tant autoritaires et absurdes dans l'imposition de cette loi, la Santé mentale autant que la Muette et la Santé, ils ne vivent que pour cela, ils vivent avec ce pouvoir de faire la loi à autrui parce ce qu'il ne leur ressemble pas, ou leur appartient par l'intermédiaire de cette loi.

Possession d'esclaves, un nouvel esclavagisme, la Santé mentale.

Une fronde patriarcale et machiste, qui passe par le chef de famille, à la recherche de nouveaux camps de concentration, les asiles de fous, un nouveau spectacle de jeux romains, un pur divertissement.

Par la voie de la sévérité.

Ou le plaisir de frapper le chien puis de l'abandonner à l'asile chenil, le plaindre et le haïr, conviction inaltérable. Aussi pénible que l'art de bousculer sur le repas, jusqu'au bouleversement extrême, l'émotion suprême et la fausse route.

Le plaisir de frapper le petit tant qu'il n'est pas encore mort, de le fumer derrière le cyprès, ainsi que le dit la chanson, cela entretient les rapports freudiens, on ne peut les éviter que loin.

Tant que l’on n’est pas mort ce n’est pas grave.

Tant qu’on n’est pas mort, c’est encore bon.

Le fait de forcer à dévoiler, au cours des querelles, le moindre secret, d'affouiller dans la vie d'un enfant le pourquoi du comment, et cela, le posséder, en user pour nuire à cet enfant, il faudrait un livre tout entier sur la sexualité parentale pour analyser correctement la condition d'enfant et d'adolescent.

Ce n'est pas le but de ce livre.

Autant analyser le mythe de la trempe et de la raclée, en faire une thèse d’Etat honorable, liée à de précédents fascicules autant touffus que celui-ci, pour situer le comportement des parents et leur panpan cucul, le zizi panpan en prime, leur haine acharnée nourrie de rites populaciers et hospitaliers. A psychanalyser.

Acharnement thérapeutique.

Gaver un enfant parce qu'il ne comprend pas pourquoi il faut se nourrir, le soigner pour qu'il mange parce que le repas fait partie intégrale du kamazouthra français et que tout ce qui se rapporte à la nourriture, la pénétration du corps encore vierge de cette notion par une alimentation imposée, nourrit un complexe freudien ou de persécution des parents, revient à gaver l’enfant dès qu'il doit être content ou dès qu'il ne dit rien… Embuqué.

Dès qu'il a un problème, la nourriture devient le champ de la violence, un terrain de prédilection pour le fantasme du couple qui rejette sur son enfant, le complexe de domination des français.

Et que tout passe par la pénétration et le tube.

Y compris les œufs en tube.

Henry IV imposait bien la poule au pot. Il n'est pas rare de voir des enfants s'agiter car malades des simples mots « bouffe », « aliment ». Bouffer étant être Bien en société, un super lucre des familles depuis la fin de la guerre et des restrictions. Les enfants devaient immanquablement connaître la « Grande bouffe » qui a tant séduit les Français depuis ces dernières années. Et les fameuses boîtes de sardines au beurre du fameux Dernier Tango à Paris, du Décaméron. Depuis le parfait manuel de savoir vivre des jeunes filles du 19° siècle, version antiquaires.

Nombre jeunes gens sont tombés victimes de ce crime fasciste. Pornographique, la dispute au moment du repas, abortive pour les jeunes filles dès leur premier amant, la tradition exige ces disputes, le repas en famille en mémoire des disettes et de la crainte du lendemain.

Sujet tabou précepte des familles autant de causes de débuts d'anorexie, quand il faut ouvrir la bouche et se faire pénétrer le plus souvent dans la haine et la plus pure peur du châtiment, devant des parents ennemis romains, par l'aliment abhorré jusque dans les tréfonds du fondement. Après l’obligation de parler la bouche pleine. Souvent la réaction à ce conflit est le tic, le toc, l'anorexie, l'induration du problème initial qui persiste et perdure, s'ancre et devient tumeur maligne. Seule réponse à l'absence de communication. A l’abus de tact.

Ensuite, vient l’anorexie, m ais cause la misère, via l’UDAF.

Le plus grand plaisir d'une omniprésence continuelle, d'une perquisition constante et d'un commentaire insolent lors des observations en milieu hospitalier, contribue à une absence d'intimité, l'absence d’un isolement qui peut être parfois sain quand il n'est imposé que par soi-même. Une perturbation persistante et pesante, l'observation, celle que font les proches aussi, et qui conduit le plus souvent à la psychasthénie prostrée comme à l'aggravation du cas.

Le pays stagne, pour un manque de respect de l'intimité, du plaisir du repos et de la paix. L'on ne peut se reposer qu'en clinique.

Dans les HLM, l'esprit reste toujours préoccupé par le bruit sinon des places et des rues, du moins celui des étages, le chômage recrudescent n'arrange rien, la vie des inactifs se change en bataille, en guerre des nerfs. Les gens restent chez eux, mais ils y vivent dans le tapage, la hargne et les provocations.

Les enfants livrés à eux-même s'éduquent tant bien que mal entre eux, selon les critères le plus souvent de l'école de la rue. Les performances intellectuelles ne sont valables que chez les privilégiés, l'imaginaire truffé des séries télévisées, les enfants des quartiers se livrent à la violence, sinon à la lourde tâche rare de sauver la veuve et l'orphelin.

Dans la délinquance de leurs aînés.

Le pro-américanisme se développe dans les cités, où la norme est l'universalisme de la forme standard créée dans les dictatures, l'esprit militaire et les milices.


UN LIBÉRALISME ÉCONOMIQUE, L'HÔPITAL DE POINTE

Opérant par le double langage, la langue de bois ou le cachet supplémentaire après une crise d'asthénie post-opératoire, les gouttes dans le café avec le zeste d'urine, prêchant le double sacrifice du malade et de sa famille, le médecin demande des alités, décide des familles à cela, prêtes à occire, le shoot du médecin qui vous injecte son produit pour électrochocs en déclarant qu'il ne s'agit que d'un Valium, ne peut que vous faire du bien. Après un passage à vide, ciblé par toutes les infirmeries et le ventre attendri de gavages, le malade s'allonge dans l'esprit du suicide et du chien crevé au fil de l’eau, en attente du pire. Quand il lui est infirmé que ce pire n’existe et n’a jamais eu lieu, en ce qui le concerne du moins. Le médecin des hôpitaux ne risque pas de devenir une espèce en voie de disparition.

Le rôle du mari ou de l'ami intime, corrupteur, qui s'infiltre dans les relations conjugales autant que familiales, intime corrupteur qui séduit, rince, amoureux et servile, esclave à double sens du maître et de l'esclave, il prend le temps de s’asservir dans un esprit de triomphe, il ouvre à la relation amoureuse et vous surveille, fréquent de savoir cela, il vous laisse son cachet dans votre tasse. Dauphiné par la médecine, fervent de votre « maladie », il se complait dans la situation de mère sacrifice, repéré par le personnel médical et le médecin, qui s'insinuent dans la vie de tous les jours, il instaure l'apprentissage de la méfiance, du soupçon qui tue, sponsorisé également par la famille, portier des services.

Corruption des amis et de l'entourage, enrôlé dans la personne morale de la cause publique, la vie devient alors un enfer, une politique hospitalière de manipulation des masses en cette faveur donne dans le transfert des phobies sur le côté intime des individus soignés, un transfert psychologique manipulé par la médecine, qui fascine les foules.

Le côté invisible de la chose rend fou, le délire de persécution peut être invoqué, entre autres procédés de démagogues.

La morale d'organisme politique de la psychiatrie fait peur et attire de ce fait, l'opinion du service médical prime sur la vie sociale, ne tolère que de rares écarts de l'individu, baigne dans le pétainisme le plus concret et cela ne lui est pas une faiblesse.

Opinion et service médical font un, image de marque d'une intelligentsia qui ressasse ce fait connu de tous et qui reste tabou, alors, elle le signale dans un métaphorisme aigu, qui repose enfin de la langue de bois. La médecine de la bourgeoisie existe aussi, aux accueils chaleureux, mais prête à réduire la dissidence en charpie, et charognarde à la blouse blanche, la psychiatrie fait rage, dans tous les milieux, tirant sur la chair à canon qu'on lui présente, pour le profit d'une élite noirâtre aristocrate, ceux qui sont du bon côté. Depuis les chars russes, et avant le dernier débarquement des anglais.

Morale d'organe du parti de la médecine actuelle.

Opinion et médecine font une union sacrée qui ne tolère plus aucun écart de l’individu, règne en maître dans l’apparat de sa noblesse de robe, la blouse blanche. Image de marque d’une intelligentsia, d’une médecine d’une bourgeoisie à laquelle tout un prolétariat voudrait accéder et référence première du lumpen prolétariat.

L’envie de jouer à l’infirmier, l’infirmière du voisin, de la voisine, du rejeton, prime dans les couches sociales, envenimée des accords de la médecine. Une médecine aux abords chaleureux, qui manipule et masque l’envie de faire du malade de la chair à canon, une charpie informe qu’elle passe son temps, après l‘avoir bien dégradée, à récupérer, pour le profit d’une autre élite notoire : le médecin, le milieu médical, le personnel hospitalier, une horde de péteurs plus haut que leur cul, sans façon.

Le médecin-barine complexe et érigé en maître, au savoir digne d'un pouvoir absolu, l'Homme de la Situation par qui l'on jure, autodidacte lui aussi, éducateur du malade-moudjik.

L'application de peines lourdes, en opposition avec une justice officielle, l'officieux des bannissements et des soins infligés à une population de « malades » pour son opinion, faits et gestes, fait de cette masse cryptogame un peuple de blessés d'une guerre civile rampante, taboue et légiférée, gérée par une médecine d'Etat, le grand drame mené tambour battant jusqu'à l'incision par une armée de plaignants et de fidèles aptes à la délation pétainiste, vétustes, foireux.

Une sorte de sous-couche de la population disparaît dans les trafics d'influence, les rapts et disparitions, dont elle ne revient que fantomatique et hébétée, transpirant une sueur maligne de défaite sous l’urgence du soin, et de bras baissés, parce que rompus.

La revalorisation de l'individu ne tient qu'à son niveau d’intégration dans le milieu du travail, ce qui le condamne à travailler sous chape de médicaments ensuquants et figeants, un emmaillotage chimique constant et fréquent, parfois, cela le sauve de la détention, du nihil de la maison de santé, son degré d'intériorisation et d’intimisation jusqu’à l’autocensure de la morale pétainiste le travaille, il est soigné pour accepter. Dans le respect obligatoire de la religion.

Ou dans le manque reconnu et contrôlé de réaction à son infliction.


FRUITS DU PÉCHER

Malade, oui mais parce qu’athée.

Il s'en soigne des illuminés plus que curés, mais cela reste des cas rares, qui ne tiennent qu'à la conviction religieuse du médecin traitant. Les patients sont tributaires de ce fait là.

Ce qui donne parfois : non l'on ne vous soigne pas parce que vous ne croyez pas, cela se passe dans votre imagination. Les ouailles du Pape, il les a rêvées. Délire de persécution.

Créateurs de piliers culturels pour que soit le monde de la culture et du patronat, le despotisme éclairé du CHR ne lésine sur l’introduction des dépravations strictes et sans limites du proxénétisme et du fascisme, devenues nouveaux moyens des échanges malades-personnel médical.

Cette initiation des masses à la licence, aux sévices du viol thérapeutique, à la dépravation des mœurs dans tous les milieux, prend racine dans la visite d’urgence, où l’observation médicale contrefait le voyeurisme délibéré de voisinages aux confins de la délation mensongère et de l’épiage de corbeaux. La politique du CHR tombe dans la constitution d’un contingent de femmes, jeunes filles et jeunes hommes à visiter selon les lois de la rafle, personnes qui sont soumises à loi du sérail, sont tenues telles filles tenues, de ne rien faire ni même protester contre ces démarchages quotidiens souvent tus jusque dans les dossiers et niés par les médecins eux-même. Visites incognito mais à scandales publics répétés toujours décrétés hallucinations sensorielles, au nom du contrôle médical, de la prévention ou de l’urgence, le plus souvent se soldant par les électrodes contre l’usage privé du corps et la liberté de penser.

Franc symbolique pour l’entourage à tout ce qui pourrait rendre le malade à la raison et au succès du plus fort, le concubin, la concubine pavoisent, remplacent le milieu médical, s’improvisent matons intimes de la dulcinée, marâtres exemplaires et Génitrix de l’ami(e), dans son lit, où le patient, la patiente rompent, rendus au monde de la solitude. Celui aussi de la privation, de la rivalité obsédante des voisins, coulent, noyées sous des supplices de la baignoire, les reconstructions sauvages d’affaires passées, de leur histoire, genres de mystères d’Hybernatus dont les foules se délectent. Accompagnant le tout des voies de fait quotidiennes revendiquées et de violences en excès, qui dans une répétition insensée, tiennent de l’acte de torture.

Des balances pétainistes de cliniques du manque d’ami, mouchards symboliques du manque de pouvoir du Führer, l’ami, l’amie du patient ou de la patiente, volent en silence des heures parfaites de confiance conjugale. Des vies entières.

Suit un rabâchage constant pour aider à réaliser au malade sa description constante des faits, un décorticage d’affaires, un rabâchage destiné à le convaincre que c’est la pure réalité mais qu’il n’a le droit que de le souffrir ni sans tuer, ni sans rébellion aucune, sous l’offense quotidienne et la prostration murée, cela encore quand on le lui souhaite.

Et pour qu’il assume à la longue la vérité qui lui est insupportable sans drame ni « exagération », méthode du soin des TOC, à la pédagogie suintante d’antisémitisme, brimante et humiliante, jusqu’à causer tant de haine chez le sujet qu’il ne puisse que plus en vivre, mais dans l’espoir d’une revanche, chose qui ne lui sera jamais permise, ne serait-ce que pour faire durer la situation.

Et après la volée, maintenant, suicide-toi.

Malades de la culture et de la société, les malades mentaux acculés à la sous-caste d’intouchables, stagnent dans la mise à feu de rôles éblouissants de prestige : Celui de bouc émissaire de la population, une sous race des presque juives de tant d’intolérance envers la simplicité et le cauchemar de son existence. Face à un avenir d’éternel purgatoire, qui ne serait qu’une conversion stabilisante de leur enfer, irrépressible et irréversible.

Le rêve d’une partie ou presque d’une moitié de France sans conviction germe dans les idées des patriarches, la France sourde et aux idées noires, qui le bras cassé et le nez en miettes, se mure, inculte ou décérébrée. Sans aucune idée de syndicalisme face à une médecine d’hacienda, de tontons macoutes, et qui ne trouve son salut que dans ses soi-disant Familles.

Certains à ce compte là feraient bien d’être des sans-familles.

Le rabaissement du niveau à celui d’un enfant de deux ans, rituel respecté par les opérations du cerveau et les imbibitions à haute dose de neuroleptiques, réduit au ridicule, thérapies destinées à l’avilissement inhumain, à l’apprentissage post-opératoire du sujet pour l’acception de l’inconcevable, de l’impossible à supporter par personne au monde, impossible n’étant pas français.

Vaincre la terreur semée par le Soin Psychiatrique, par des rites de cliniques qui crachent au visage les propres ménagement du malade, faisant de son intime un cul nu déculotté publiquement, offert au vice de ceux qui en redemandent, l’insurmontable, le surhumain est exigé, pour ne point faillir, tuer puis se supprimer.

Comment confectionner à la carte des forcenés, dans les sévices, le vice, l’abstinence et le viol, la violence verbale et les brutalités, les provocations incessantes, le refoulement inquiet, la névrose obsessionnelle des milieux encourus, l’obsession totale, et en fin de compte, le pouvoir absolu d’une élite de la société, celle de la blouse blanche, fausse folle aristocratie drapée dans sa dignité de charcuter les âmes innocentes.

Vaincre par tous les moyens est leur guide, vaincre tous les moyens de tenir le coup, dans le bien fondé et le légitime, jusqu’au désir de hurler, du hurlement post-opératoire pour vous punir des pratiques aryennes de ces placements, des critiques mêmes sereines que vous y avez opposées.

Le matage des nuques rebelles, en toute quiétude.

Aryen, vous avez dit Aryen ? Symptôme irréfutable.

S’ils vont jusqu’à pousser à l’ire, la fameuse ire du schizoïde, c’est bien pour faire taire quand vient l’aveu d’avoir été opéré, chose que le sujet repense impossible tout de même même pas méritée même si déjà faite.

Graves disputes avec la famille qui nie, graves sanctions si le sujet déclare qu’il a été opéré récemment.

Rites de la torture les yeux bandés, sous la cagoule.

L’on vous en a tellement fait que l’on n’ose vous l’avouer, quand vous n’en vouliez même pas une.

En voyant la radio du crâne de près : Oh pétard, elle en a raté une de près.

Il faudrait l’en faire rire.

Préparation longue et sulfureuse de la population, toujours tenue au courant de quelque cas, foule qui participe et veut du pain, du vin et du Boursin, pour le dément, mais aussi pour leurs jeux romains. En calculant le taux de ménagement et de moqueries salaces, de déménagement aussi de l’ambiance, ce qui demande, dans tous les cas, du temps.

Dix ans, vingt ans, une vie entière, le temps d’une psychanalyse des faits.

Quand la vie n’est qu’une question de temps.

Les intervenants comme les enfants ne comprenant pas trop la gravité de l’affaire et assimilant toujours les opérations à la dernière circoncision du petit frère ou à une idée que je me ferais.

Barbouillée d’un gant humide. L’odeur des viols et sévices, ça ne peut venir que de sa mastu.

Fais voir.

On n’allait pas tout de même la laisser repartir ainsi.

Avec toute la bénédiction de la petite voisine du dessous qui assiste à l’intervention avec délectation, ce qui devrait servir son homosexualité, avec sa tartine d’épreuves à me laisser salée, à conseiller à un dompteur d’enfant sauvage. Depuis quelque temps, j’ai tendance à me retrouver avec une masse de familles d’accueil, qui se proposent, dans mon voisinage, de me prendre en charge, au nom d’Hitler et du coup de poing, si ce n’est celui du marteau.

Violence à domicile.

Pour qu’il ou elle ne puisse plus témoigner. Voyeurs, pères coupables, mères abusives jalouses, infirmiers violeurs et infirmières lesbiennes, détruisent l’essentiel du secret médical concernant l’affaire. Percent des secrets intimes, font traîner des grands secrets sur leur attitude qui suintent et percent dans des scandales en plein jour, sur les soins à domicile que j’aurais pu souffrir, cénesthésies, cela aussi. Auditives, cette foi ci.

Le personnel nie les effets de pavillon de force auquel l’on me contraint, si j’évite d’en parler par moi-même on me l’envoie à la tête à la moindre altercation qui m’est cherchée, à laquelle je suis sensée ne point répondre. Premier avantage de la sagesse, se faire mettre bien dessus et ne rien en penser, sinon bien tendrement et en douceur. Chanter le cantique des cantiques en attendant les lendemains qui chantent, tout en étant loufoque, et cela je crois, n’est pas toujours bien accepté.

Le moindre cri dans la cité m’est toujours autant imputé, le moindre delirium tremens ne pouvait être que le mien, m’est réservé le traitement de faveur, l’électrode suivie du cachet broyé dans le café, les gouttes, inodores et translucides, dans les boissons. Ma voix reprise et imitée, par les vieilles caques qui usurpent mon identité, font penser que je possède plusieurs facettes dans ma personnalité. Soulauds, gouines en mal d’aventure sadique anale, vieilles racailles et mêmes enfants, ce ne peut être que moi, selon les pavillons sollicités.

S’ils vont jusqu’à la torture physique, oui, les électrodes pratiquées sans anesthésiant, j’ai bien réalisé les soins prescrits, si les coups de poing pouvaient être remboursés par la Sécurité Sociale, l’on serait riches plus souvent.

Histoires de niches.

Pas vus, pas pris.

Pour un forcing à faire accepter par toute forme de pédagogie bien pensante l’église et la religion, y compris la dernière bulle du Pape, et celle du Pater, qui interdit à sa fille depuis la prime enfance toute connaissance du plaisir et de la connaissance sans lui, que penser de l’onanisme, qu’il déclare être les faits des symptômes de la schizophrénie ou de la démence précoce, aggravée d’une névrose de propreté doublée d’un autisme sévère. Il faudrait m’empêcher de me mutiler.

Dans l’esprit de frapper la monnaie, et de rendre la monnaie de la pièce pour mes révoltes. L’image du Père dans la schizophrénie.

Forts chocs psychologiques, force gifles et soins des amygdales cérébrales, centres paraît-il de la sel-défense, au cas où de ces parodies médicales, je pouvais devenir dangereuse.

Et tuer.

Insolences infantiles, chants de guerre des plus guerriers, triomphes d’énerveurs pour tenter de m’agiter. Emeutiers qui font vivre les cités sur les nerfs, la vache au trou, et le bâton merdeux du barbon pendu au cou après le gruau du matin. On ne va pas quand même vous la livrer avec le tube de vaseline dès que l’on croit qu’elle a fugué, si elle ne prend pas son traitement.

Première leçon qui m’a sauvé la vie.

Les clefs de mes appartements ont certainement du être confiées à quelque famille qui harcelait des médecins pour qu’elle me prenne en charge, et vienne visiter, à mon insu, mes lieux de vie, afin qu’il ne reste aucune trace de mes identités premières ou antérieures. Métamorphosées en moi-même ou en n’importe quoi. Il en manque un bout. Pour que précisément chez moi je ne fasse pas n’importe quoi, pour mettre de l’ordre dans ma vie. Que je mange bien à tous les repas, et accepte de ne pas me reposer tout le jour. Jusqu’au trépan s’il le fallait. Même le collapsus sous l’électrode cardiaque, bien implantée celle-ci. Et que je vive chez moi ainsi que dans un hôpital. Là.

Voisins à forcer le secret médical pour savoir si ou non je prenais un traitement que je devais leur déclarer tout autant que si je devais circuler un panneau sur le dos. Eux de réclamer le pouvoir de m’embrasser même avec la langue après la dernière commotion, après avoir bien rallongé l’ordonnance, avec les médications de leur médecin traitant. Catatonie.

Ceci dit au cours des harangues, chacun se sentait un plaisir nobiliaire de cela. Vaccinations aux neuroleptiques retard en fortes doses, contre le bruit et le manque de fainéantise des mauvaises gens, contre une hypersensibilité exagérée que j’aurais, à répondre aux concerts d’HLM

La nature emplie les vides. Jusqu’à la dernière lampée de picrate.

Allez savoir.

Enerver pour m’évacuer plus facilement, au cas où mon silence gênerait, en douceur et avec les gros moyens.

Il fallait que je sois passée par-là. Ou j’aurais été privilégiée.

Pourquoi, je le leur ai fait, à eux ?

Il leur a été rapporté que…

Mais maintenant avec les implants ce n’est plus pareil.

Parce que, ça peut faire mal.

S’il faut encore un certificat de virginité pour savoir si elle est dangereuse… Après ce qu’ils ont fait…

Ou le dernier menu du repas. En plus de la liste des tâches ménagères.

On ne va pas non plus lui faire porter un panneau sur le dos où il y aura écrit : prend son traitement, et tant d’Epoxil, a mangé.

C’est l’Aldol retard qui le lui fait, à ne pas confondre avec l’alcool.

Autant qu’en présence de prisonnières, la prison vous accompagne partout où vous allez, signalement en vue et quinte d’ostracisme à votre égard, dans l’ensemble de la population, je l’ai déjà cité. Sorti de peu, donc un réchappé.

Un peu plus de viol ?

Repassent les pavés de mai 68 au-dessus de ma tête, histoire de me déclarer incapable ; façon aussi des thérapies peut-être pas déclarées de couvrir un voisinage d’électeurs du front national mâtiné de Charles Pasqua qui ressasse et obnubile et suit le trajet de votre pensée au moindre instant de paix.

Que penser de la douloureuse… Du passé douloureux qui n’est plus que les interventions à domicile et les ragots de mauvais aloi, de cette masse qui se repaît et se râpe de cette corrida, dans laquelle il faut ferrer et obtenir un comportement étrange à force de gros traitements bien paumants, dans l’insupportable.

Au cours d’un long calcul savoureux toutes les folies sont permises dans le voisinage pour s’attribuer droits de visite, et permis de participation, cela va du deal pour des séismos aux punitions corporelles, sévices psychologiques injustement infligés, à l’injustice d’un marketing démarchage d’interventions à longueur de vie, long et pénible pour obtenir satisfaction sur tous les caprices de chacun, chacun espérant obtenir le droit d’opérer.

Ne durcissez pas votre ligne ou l’on vous en refera pour de bon, ne vous en faites pas, vous l’inventez.

Accusée aussi d’avoir commis les ragots ou d’en être la cause, pamphlets de ces mauvais éléments qui ont effrayé bien des surveillants de secteurs médicaux, d’avoir commis les exagérations et rapports détaillés sur ma vie version 16 mm, version infantile ou enfant débile qu’ont pu raconter par bravade les parents en tirant bien la couverture à soi, j’étais toujours autant accusée d’avoir commis les délires imaginatifs du voisinage sur mon compte. D’avoir causé des troubles de l’ordre public à mon encontre que ces mauvaises gens ont entraîné.

Quand dans tous les HLM l’on trinque à ma santé.

Bouc émissaire et tête de turc de la ville tellement les cancans vont bon train, J’ai bien le dos large, avec ma marge. L’affaire reste en huis-clos, pour tous mais que cela se sache. Colportage, téléphone arabe.

Que j’en reste les pieds bandés, la gueule bardée, la tête brûlée, à coup de gros neuroleptiques.

Il fallait en porter le chapeau, le chapeau noir et pour tous, enfants menés de litanie de commère cosaque en pataouet d’apprentissage du FIS, commères assidues dans l’art de médire et conspuer dans toute la force de leur déraison, en grand achalandage, bon et grand étalage des notions culinaires de la cuisine française, notions altruistes, tout le monde en a conscience, sans aucune altération du caquet due à l’âge.

J’en médirai tout autant.

Troubles connexes à la puberté, au retard d’horloge biologique. Troubles annexes à la démence précoce, on l’aura voulu, affaire classée définitivement on l’espère. Le premier malade qui se plaint en prendra plein la gomme, et ça, cela se comprend. L’Oréal, il le fallait bien.

Surtout après les bigoudis, le shampoing.

Parce qu’il y a du grabuge. Voilà tout.

L’Oréal, il le faudrait bien.

L’orignal.

Opérés du cerveau, vous avez rêvé.

Elle a été à l’Ecole Communale, ne l’emmerdez pas. Non, elle ne se masturbe pas sans arrêt.

Combat d’Apocalypse, contre l’école libre, combat aussi dur et tenace, aussi pénible et acharné que celui, respecté celui-ci, contre l’euthanasie.

Vécue dans la promiscuité d’autrui, plus que dans la proximité d’amis.

Si je corrige mes fautes, c’est dans un purgatoire où je remplace les terminaisons en A par les E nécessaires à la compréhension, au cas où me viendrait l’idée de faire de la poésie ainsi que le voisin du bas qui termine tous ses mots par un O, car il faut que cela rime. L’avalage de poisson d’eau, c’est beau, dit-il, comme la décoctio. S comme les serpents qui sifflent au-dessus de votre tête.

Non, on n’a pas à la contrarier autant parce qu’elle est de gauche. Gauche ou gauchère contrariée, tss. Depuis qu’on le lui voudrait en mousse, son encéphale droit…

Ou son cerveau de gauche.

On me soigne au fait, quelle psychose ?

Plus aucune disponibilité, saturation. Saturât de Sion.

Simple convention qui se fonde sur une tradition, la convention de l’hospitalisation peccadille ou du devoir civique. Devoir pour la Patrie du Père, de la Famille et du voisin témoin, Au nom du Père, du fils et du Saint Esprit, si vous l’avez encore, et du fameux adage, Travail, Famille, Patrie. L’on vous espionnait, donc ?

Le voisinage n’a eu que de modestes égarements.

Si la personne en question finit par reconnaître les faits qui l’ont amenée à être ré-hospitalisé, sans que l’on ait eu le besoin de les lui seriner, lui est resservi un soi-disant mensonge qui sert à assumer, lui signale que c’est bien son père ou son ancien concubin, amie, qui a été la cause de l’opération, simple jeu de l’esprit. Ici aussi, intervention du personnel dans sa recherche de tout ce qui pourrait faire passer la pilule bien qu’amère, avec le reste de l’éponge.

C’est là que le rôle de l’hôpital devient dominical. L’on ne peut compter que sur votre prière, de n’être pas passée par-là. C’est ainsi que l’on évite de tomber.

Sur le miracle d’une simple consultation, le pire est permis, l’accusé de ces affaires trompé, abusé, tourmenté, devenu méfiant, autant que dans les combats contre l’erreur médicale, parcours du combattant aussi éprouvant que le combat contre la peine de mort.

Cette fois, il ne se trompait pas.

Baisse de mon pouvoir de concentration, toujours horripilé par les irritations que causent les réflexions désobligeantes du voisinage, qui me fait redescendre sur terre au moment où je m’y attends le moins, pendant que je réfléchis durement à un problème, ces discours éthyliques me font perdre le fil, émiettent l’idée. J’y prête quelque attention dès que je commence à penser. Finis les songes amis des torpeurs estudiantines. Je ronque.

Forme de loi du Talion organisée contre mes critiques. Mes convictions prises pour des TOC, mon radicalisme envers certains soins dégradants pour la dignité humaine, d’ailleurs grossièrement soigné par les gros moyens :

Technique de l’erreur médicale en guise de choc nerveux.

Accusation de toutes sortes de démences que j’aurais connues au cours de ma jeunesse : Autisme doublé de coprophagie, apprentissage du sale par soin d’une « névrose de propreté », dite ensuite folie du crade, tant elle a été soignée. Proposition de soin : la thèse de Lempérière (section du cerveau en deux.) pour ma propreté jugée excessive, tellement le plaisir de rester propre, assimilé à celui du plaisir onanique, était condamné et qualifié de sale. Souillée du reproche de saleté, je nettoyais sans relâche, corps et âme, linges pavés et sols.

Quand il ne s’agissait que de préparer mon nid à la venue de mon enfant, grossesse qui m’a été interdite jusqu’à la mutilation, pendant ces vingt dernières années, sous forme d’opérations chirurgicales, neurologiques, de rixes et brutalités, d’une partie de mon anatomie, de mon corps entier et de mon organisme, je parle d’exactions commises à mon encontre, avec promesse de castration, vers mes 40 ans. Mon père et ma mère participaient d’après témoins activement et avidement à cette affaire.

Névrose de chasteté ou de coucherie volage, j’ajouterais hypothrophiée de médicaments.

Crises d’hystéries des voisinages, au nom des douleurs menstruelles trop violentes, mégalomanie, en fonction de mes dons artistiques, schizophrénie paranoïde à hébéphrénique si malmenage par le voisinage. Cataleptique si trop de soins et prostration, catexchie ou psychose évolutive à cénesthésies, épilepsie si électrodes,

Phobies et névroses : peur de la constipation (gavages aux féculents et neuroleptiques pour m’empêcher d’y penser).

Peur de la scatologie (introduction d’urines, salives et glaires que j’aurais rejetées lors de mes séances d’électrodes, jus de cerveau des plus infâmes en provenance de ponctions, introduits dans mes aliments et boissons, même à mon domicile et à mon insu).

Peur du viol (soins types : le viol thérapeutique, l’obligation au rapport forcé endormie ou non sous la contrainte de menaces d’internement, de violences ou de meurtre).

Peur des sévices (soins : sévices).

Peur de grossir (gavage avec toutes sortes d’aliments, porc, féculents, ceux-ci décrétés médicaments contre les vertiges orthostatiques).

Peur et refus de consommer du porc (soin : toutes tentations envers charcuteries, obligation dans les repas proposés d’en consommer sous peine de devoir se passer d’autre viande, andouilles puantes et puant l’orgie, l’obscène et l’obsession).

Peur du plaisir et de l’abstinence (interdiction de s’adonner au plaisir solitaire, de coucher, abstinence ou chasteté contraintes par la force de la répression en pavillon autant que chez soi).

Peur de me faire voler mes écrits (chipage de certains mes textes, ceux auxquels je tenais le plus, saisie de texte dénonciateurs).

Dans les termes et les fadaises de l’extermination raciale.

Peur du redoublement : séries de redoublements, pensums dans l’intimité infligés par le voisinage.

Peur de la folie et de l’enfermement psychiatrique : internements répétés et prolongés officieusement à domicile.

Peur de la fraude : soins crapuleux non déclarés.

Peur de la torture : actes de torture prolongés au-delà des normes en cours y compris dans les pays étrangers. Le plus souvent sans anesthésiques. Nuits et jours passés dans la souffrance des morsures électriques.

Peur des soins psychiatriques et de la douleur : torture psychiatrique par implants surtout manipulables par proches et voisinages proches à immédiats. Capables de s’en servir des années durant. Acquisition d’une main-d’œuvre sans qualification auprès de la population.

Peur de la taule : Tiens…. Prison à vie.

Peur de la chambre et des taules : chambre taules et galères.

Peur du grabuge, de la rixe, des violences : infliction de ces violences, de scandales incessants à mon encontre avec étalage de ma vie intime et privée en public.

Peur du taquet, du matage de fortes têtes : prison à domicile prolongée où que je me trouve. Coups et blessures, tiens, chope.

Peur des animaux ou de l’accident : coups de sabots en vache et traitements de cheval causés par simulations in vivo bien réelles de violences physiques causées elles par des implants, obnubilation jusqu’à l’adoption d’animaux de compagnie, ainsi que du mode de vie souhaité par les pseudos familles d’accueil. (Prise en charge spontanée).

Phobie du patois argotique de mes parents : audition simple et forcée des injures en ce pataquès.

Peur du rabelaisien : même type de soins, avec applications spéciales du viol thérapeutique accompagné de ses sévices sexuels.

Ratissage de mes secrets et intimes convictions.

Pour le triomphe de mon Dieu le Père. Dénommé en secret par mes défenseurs, le Pape, et par mes défenseurs, la Paire.

Thérapies éprouvées, cures de désensibilisation à tout acte tortionnaire de la société, déclarées respectables, certainement pénibles et un peu fastidieuses. Du simple désagréable qui mène à la ré-hospitalisation.

Après cela l’on est plus soi, il faut se soigner pour se resituer.

Thérapie par l’occupation continuelle de l’esprit, l’obligation de subir sans réfléchir ce qui peut inspirer la répugnance, la haine ou même la légitime défense. : Mises en danger de ma santé et de ma vie, introduction de bave de chien de rat ou de singe dans les tasses de café, de miction animale ou humaine. Façon de rappeler mon rang de rat de laboratoire, irresponsable parce qu’inconscient, ainsi que tout animal jusqu’au mal d’animal.

Après les gavages aux viandes porcines, pour ma haine envers les nazis, saucisses et ragoûts pour bien me faire reprendre le petit déjeuner pour ma peur des gros mangeurs : Gavage avec tout ce qui peut leur passer par la tête, et pour ma peur du proxénétisme par la nutrition, gavage aux omelettes aux œufs, sous le prétexte de frigidité, d’anorexie, de malaises généraux après les rixes à l’implant et les passages à tabac : l’inanimation ne pouvant provenir que de l’inanition.

Peur de me faire tuer : Tentatives de meurtre répétées plusieurs fois par journées, à force de violences qui m’étaient et me sont encore infligées. (Par l’action d’implants, malmenages longs et répétés sur plusieurs semaines, voire des mois, des ans sur le même organe.)

Bref, pour l’intérêt de la santé l’on met la vie en danger, dans l’esprit de faire connaître encore une fois la maison de redressement pour des pensées secrètes sur ce que je jugeais insupportable chez mes parents, envers les agissements d’autres individus, re-jugement de mes dossiers dans un procès officieux sous mes fenêtres, dans toute résidence où je vivrais. Appels répétés auprès de ma famille pour la rendre témoin de l’affaire, qu’elle constate ma rédemption future, mon assagissement sur certains points qui m’étaient litigieux, ou bien pour tenter d’obtenir un nouveau placement. Appels réitérés auprès des pompiers afin qu’ils constatent les faits et me réaniment, le plus souvent, par intubation d’aliments et pose des électrodes.

Avec douche appropriée pendant mon coma épileptique pour que les odeurs de brûlures que l’on me voulait ne persistent dans mon corps. Brûlures internes de la moelle osseuse aussi, assez fortes pour causer le dégoût et l’horreur au réveil, persistantes, décrétées hallucinations olfactives par le médecin traitant.

Inversion des faits dans leur narration auprès des antennes psychiatriques : j’ai longtemps porté la croix des amis pour lesquels l’on me prenait, ou bien l’on me confondait avec tout individu qui me rançonnait. Agité, exalté et querelleur, pendant les rixes par l’implant qu’il me voulait.

Mise en situation de toute affaire de brutalités, de torture physique ou mentale qui pourrait causer dans mon idée le meurtre ou le suicide, avec tentatives de meurtre sur ma personne répétées jusqu’au parfait matage, que ce soit dit, ma maturation, mon assagissement, sur des questions de principe. Mes voisins faisant office de matons, m’enfermant dans le rôle de tête à claque et de souffre douleur, bouc émissaire de leur établissement médical. Ceci, à l’insu de mon médecin traitant, qui lui affirme cette affaire n de mes délires hallucinatoires. Sur l’injonction de mon père qui lui aussi me confondrait avec toute jeune garce ou vieille arriérée qui lui téléphonait en voulant lui rapporter des faits sur ma personne qu’il méconnaissait.

Le tout étant qu’il fallait que je minimise mon raisonnement envers les méthodes de torture indiquées. Que je nie en être la victime, que j’avoue les exagérer.

Ces méthodes policières, dans le but de me faire mesurer le poids de mes mots, si je dis torture nazie, j’aurai le plaisir de la subir. Idem pour électrochocs, trépans et lobotomies. Langue de bois, méthodes très répressives. Il fallait seulement minimiser les faits, sans paria à déclarer, pour ramener l’affaire à sa « juste mesure », au cas où je me ferais trop boxer.

Je n’ai plus ci cela est le cas, qu’à écrire à la cour européenne.

Des interventions de suivi préventif non déclarées qui auront été la cause des troubles de l’ordre public qui eux m’ont amenée à des ré-hospitalisations longues et douloureuses, dont chacun se glorifiait. Les affaires ont débuté sous le prétexte que je ne me levais pas de mon lit, que je ne mangeais pas assez bien, passais mon temps à ma masturbation. Les explications que je devais à ces ingérences dans ma vie privée, sont si longues tant les exactions ont persévéré, malgré mon attitude réservée, mes coups de gueule rares et mesurés, que j’ai dû en rédiger plusieurs fascicules, dont celui ci, que j’espère être en mesure de suffire.

Parce que lorsque l’on me dérange, je suis dérangée. Et si l’on m’obsède, suis-je obsédée ?

Si l’on m’obnubile je suis une obnubilée, si frappée je suis une frappée, si tapée une tapée, mais alors une piquée tant piquée… ou une pintée tant pintée ? Même si je reste neutre et avertie, ce qui est très vite insupporté. Dans des vols au dessus d’un nid de coucou à ne refaire.

Dans l’attitude de secte de certains des départements psychiatriques contactés par la populace à mon égard, sur la simple accusation que je subissais des soins.

Je n’omets les tabassages par « implants » (électrodes à télécommande à distance, de type dystonie, à usage plus large, restées apparemment insérées dans mes tissus après une étude expérimentale sur sujet de mes automatismes et de mes réflexes, de zones de mon corps et de mon cerveau. Placées dans l’organisme avec boitier noir à pile radioactive. Dans le genre pence-maker. Une affaire litigieuse cause de violences et de licence qui dure depuis mes vingt ans, autant dire dans les années 80, cause de douleurs parfois atroces).

Implants dont j’ai subi dans le ventre et le bas-ventre les courants électriques pour que l’on me contraigne à avorter à force de coups et blessures qu’ils me causeraient toutes les fois où je serais soupçonnée d’être enceinte, dans l’espoir de me supprimer avec l’embryon ou même le fœtus en cas de rebifade sous ces violences, dans l’immédiat si je ne le supportais ou à la longue. Appareils de contention, implantés. Aisément utilisés en ceinture de chasteté, situés jusque dans les extrémités pour plusieurs. Prothèses à électrodes. Etat des lieux de la Psychiatrie.

Quand il est déconseillé de pratiquer l’avortement thérapeutique, certes plus de cinq fois sur une même personne, sans quoi elle risquerait la mort cardiaque, il fallait me faire connaître la crise cardiaque simulée par implants à longueur de volonté et sur plusieurs années, ce qui punirait ma foi d’enfanter, et me laisserait stérile.. Il fallait me faire changer d’avis pour que je ne sois plus la même personne, pour pouvoir poursuivre ces avortements sur moi-même, continuer à m’opérer du cerveau.

M’interdire tout droit de me reproduire, causer l’avortement par l’usage prolongé de ces méthodes. Je n’ai eu que des mères jalouses… Pratique de l’électrode cardiaque dans des pavillons mal famés en cas d’opération du cerveau. Je n’ai pas non plus demandé de père souteneur ni accoucheur.

Bref, j’entendais des voix. Le psychiatre pire qu’abbé Cauchon, confessait sa Pucelle.

Les manettes de télécommandes de ces électrodes sont distribuées dans la population. Ceci, depuis longtemps. L’on me corrigeait déjà ainsi quand j’étais enfant.

Juste un peu de mélancolie, et un avortement spontané s’il vous plait. L’on n’a pas à la forcer à avoir un enfant.

Ah au moins, maintenant, je ne les attouche pas.

Et, dira le Père, s’il y avait un morceau « des tout sec », dans le cerveau, eux aussi, ils ne me le disaient pas…

Oh, juste un œuf.

Obligation de nettoyer tout ce qui dégoutte et qui me faisaient haïr étant jeune ma mère, pour m’apprendre à ne plus rien en faire.

Chez elle, cela devait être, dégouttant…

Je haïssais les querelles à travers murs et étages, d’un appartement à l’autre, et bien je devrai avouer que j’en ai été.

Si j’ajoute que l’on me cherche des histoires, mais il ne s’agit que du même délirât sous-jacent. Mise à l’envers de soi.

Toutes les techniques au bon Dieu possible pour me faire trouver dans tous les états. Et bien non, je reste calme, quand même.

Amurée à cela.

Rééducation catholique, obligation de répondre aux rites des répons pendant l’avalage des aliments, jusqu’à la fausse route, cela aurait pu, dans le temps, m’amener à tuer au cours d’une rixe. La même chose dans les rapports, au moment de la jouissance. Loi du coïtus interrompus, pioupioutage chez les poilus, dans l’idée, les sentiments, le plaisir même.

Après tout ça, l’on ne me reconnaît plus.

Et si en plus il leur faut une thèse d’Etat…Non, mais c’est un accompagnement en fin de vie, ou quoi ? Non, elle n’a pas à leur répondre !

Et si maintenant elle ne peut plus faire opposition à cette sorte chèque en blanc qu’on lui a mis sous le nez… La présomption de maladie…

L’on ne pouvait que tout se permettre.

Mater mon envie de répliquer et de répondre ou de plaisanter d’un air narquois, intolérance exagérée, pavanes et réflexions désobligeantes, incitations continuellement répétées à l’ire du schizophrène, à la crise de fureur bien sentie que je leur devrais.

Histoire de me faire entrer dans le moule de la maladie, quitte à me sectionner un bras s’il en dépasse. Me faire accepter la rixe qui devrait m’amener au CHR en hospitalisation durement répressive pour grave agitation, dans l’intérêt de faire durer ce genre de situation et mon fil à la patte. Se faire envoyer à l’hôpital à coups de poing dans le ventre, comme l’on se fait casser un bras, sachant que j’étais probablement enceinte de leurs basses œuvres. Me faire taire. Me taire.

Bref, m’envoyer avorter en me bourrant de coups, d’électrodes, de mauvais traitements, une envie de cogner causée par mon humour noir, réponse au paroxysme inversé de ces gens qui en grave état de criade et de harcèlement, de violence et de fureur fustigatrice, me voulaient pour mon attitude calme l’hôpital-prison, pour le simple fait que je ne leur répondais pas. Je l’ai bien risqué en fonction de ce que je pouvais en penser et bien expérimenté encore en liberté. Bâtiment que l’on voulait me faire à tout prix avouer autant que par véritables proxénètes.

Ce défoulement total et absolu du voisinage sur mon ventre, faits et mœurs quotidiens, a fait que les enfants du quartier ont pris ma relève, ils auront fait taire les plus forts ragôts et scènes de violences à mon encontre de leurs jeux savants patiemment égrenés, perfectionnant la déclaration de guerre des tranchées qu’ils auront faite à l’ambiance générale de pogrom sur ma personne.

Ils n’ont pas tout réglé de l’affaire, contenue par médecins et personnels médicaux, ces jugements assez ignobles pour que tous n’en fassent qu’à leur tête et de me vouloir le matage, la matraque électrique, le trépan, je devenais leur bête noire. Ils, les intervenants, m’expulsaient de tout système de vie, de tout logement tant leur pression et leurs répressions étaient insoutenables. N’interrogeant que l’entourage pour savoir sans me voir ni m’interroger, surtout sûrs de mes propos mal rapportés et inversés, interprétés, détournés de leur vrai sens.

Ils cherchaient à me soigner jusqu’à l’enlèvement. Façons de déstabiliser. Résistant à me démolir pour plus me travailler à la masse, au prix d’un déboutement de mon raisonnement, qui à la longue je le reconnais, les dénonçait. Mes défenses interprétées forme de démence dangereuse.

Ils faisaient l’expérience de ce test, poursuivre jusqu’à voir quand je tombais à terre de ce traitement.

Une formule nouvelle de l’hospitalisation en pavillon de force, imposée à mon domicile par un voisinage s’improvisant bourreaux de fiction politique.

Ce n’est jamais assez grave, quand c’est à moi-même de minimiser.

A me faire digérer les repas dont ils me gavent à coups de poing dans l’estomac à n’importe quelle heure et surtout entre les repas que je dois prendre durant leurs interventions musclées. Des journées et nuits entières, éviter que je maigrisse de leurs agissements et mauvais traitements. M’éviter le chantage à main armée qu’ils me faisaient, de m’obliger à céder aux rapports forcés avec ces individus et commères qui en possédaient les techniques verbales, sur l’ordre et les facéties hurlées de la voisine à l’étage au-dessus. Violences perpétrées avec la complicité de mes compagnons du moment.

Ils n’avaient pas à en faire tant, mon attitude restée neutre, si je n’ai répondu aux outrages et violences que de façon passagère, indirecte, aux actes de haine. Ils auront pendant quelque temps augmenté mon traitement, par la violence et la force, ne sachant si j’en souffrais un déjà et voulant me le faire avouer par les méthodes des plus répressives en harcèlements sans trêve. Mon traitement, si je le prenais était une chose que je m’appliquais à ne pas leur communiquer, sachant le prix du secret médical, dans la crainte de devoir en porter le panneau sur le dos. Quand dans la population certains éléments voulaient me mettre au travail sous les coups et blessures, parfois même des violences aggravées. Dans l’art du corbeau, du fait de tuer la Pucelle par l’abbé cochon. Elle entend des voix, parait-il.

L’on m’arrange tant que de ma vie l’on ne sait rien et que ce que je fais on l’ignore. Quand l’on me cogne pour établir ce contrôle. Je n’étais pas quand même de la discrétion de l’ETA.

Parmi les hurlements de colère, de fureur, de ces individus et mégères, je digérais sous les coups qui pleuvent, pendant que mouchards et corbeaux entent contre le personnel médical qui tortionne et contre comme l’on crèverait, employant les gros moyens qui se passent de diplomatie, dans tout l’art de plaire. Et moi qui regardais comme l’on se regarde vue d’avion, ce corps qui m’appartenait encore, se dégrader, sombrer dans la douleur de ses organes. Le rapport au corps de la schizophrénie…

Pour que rien ne se sache du scandale qu’ils auront causé par leur attitude et leur cause véreuse, les infirmiers et médecins, ceux qui ont été si violents, opèrent, enlèvent tous les jours s’il le faut, quelques grammes de plus de mes lobes du cerveau en introduisant trépans et canules dans les narines, dans les zones reculées du cervelet, trépans dans les fosses nasales qui laissent quelques miettes de cervelle accrochées aux poils de nez. Dans le charivari que cela cause.

J’en mouche presque du cerveau. Que la terre est bien basse.

Quand on se fait bien casser par eux la gaule.

En duplex du Bar du Commerce du coin.

Tiens, ils en rajouteraient bien une couche.

Cogner fort et faire marcher droit…

Et bien casser la gueule à Brunehault.

Dans le cagué pété cogné des jeunes filles.

Implants au cerveau neuro-végétatif, hypothalamus glandes endocrines, surrénales et hypophyse, électrifiés, cognés. Courants déphasants si cris et hurlements. Pour dépharer.

Miettes de cerveau que je rejette en me mouchant, que je collectionne, au creux de mes mouchoirs, dans un véritable esprit de colonialisme qui équivaut à un silence absolu qu’entraîne ces opérations destinées à intimider, brutalités et sévices commis chaque jour et nuit, jusqu’à l’odeur forte d’électrochocs, dans les cheveux, couvertures et coussins. Il y va de la dignité humaine.

Un chantage à main armée de voisins en état de parents bourreaux.

J’en étais presque à vingt ans dans l’état de Nijinski sur la fin de sa vie.

S’ils dénèguent et dénigrent sur les faits, ils dénèguent aussi sur ma vie, mon activité mentale quand elle n’est que muette. Il suffit.

Mais selon le Père, si je l’aime, c’est que j’aime avoir mal et le mal qu’il me fait. Enclin lui à me ré-enfanter une fois de plus si de l’aide pour moi lui est demandée.

Il suffit aussi qu’un tiers intervienne et raconte dans le détail l’une de mes journées, les matons du service appelé se chargent de m’en faire perdre toute mémoire. Arguments et autres préoccupations.

Thérapie par l’esprit de contradiction, histoire de faire passer l’esprit de rester maigre à leurs yeux, ce qui pourrait, à force de volées de bois vert avec implant dans l’estomac, me rendre anorexique, me causer quelque hallucination sensorielle que je prendrais pour une réalité qui pourrait gêner.

Ils vous feraient prendre votre dernière lobotomie dans votre omelette pour une simple persillade.

Ou l’inverse, j’ai le choix.

Début du diagnostic, me faire rabaisser caquet comme niveau qui pouvaient me défendre ou blesser. Déjà premier effet, torture chimique. Puis viennent les moyens les plus persuasifs, dont les plus musclés, enfin, les lavages de cerveau aux électrodes, dont les courants déphasants, que je devrais subir sans réplique. Un bon tabassage dans le bas-ventre ou le buste par l’implant, et ça repart, puis les méthodes de vivisection destinées à me les faire supporter sans grand préjudice pour autrui, ni même rébellion de ma part, les implants devenaient moyen de chantage à main armée cause de ma castration, multiples cassages de gueule. Enfin viennent les passages à tabac sur un autre organe choisi, une autre zone cérébrale, car à la longue on leur dit changez de zone, ça repart à nouveau comme en quarante pour une bonne ré-hospitalisation. J’aurais dû en rester agitée de ces traitements.qui rendent d’ailleurs boulimique à souhait, entre quelques périodes de régime draconien qui passent vite pour de l’anorexie indurée.

Résistant à la thérapie. Et aux thérapies les plus dures.

Ces mauvais éléments étaient gênants, mais parce que la police en faisait autant qu’eux, dont le cassage de figure quotidien avec arme. En accrédition à des faux en justice, afin d’infliger, pour de mes convictions, la reconstitution du SAC par service armé de milices de civils, en état de torture médicalisée, dans une guerre civile fratricide pour les détenteurs de savoirs gauchistes. Ils réinventaient les brigades rouges, il n’y avait rien à redire. Ce serait bon de galvauder.

L’on trouverait qu’il s’agit de bonnes méthodes et d’une bonne réinvention du SAC. Donc qui cautionnerait un bon rassemblement de l’extrême droite dans la région, front de lutte qui bat campagne dans le pays entier, dans l’espoir d’un ralliement avec l’extrême gauche.

Je n’en étais pas de celle là.

Donc, j’ai morflé.

Pour la couleur de mes yeux, qui ne pouvaient être que ceux du Front national, l’extrême droite, on le sait, va de pair avec l’hérédité. Déjà pour ma propreté, il se disait que je pue… D’où ma névrose du sale… La masturbation, ne peut que fâcher avec le savon.

Dans le style militariste du fait c’est ainsi toutes les fois où il y a des manœuvres. Au cas où vivrait un dernier forcené dans le coin… Ils ont dû lui étudier le cas pendant un moment… Avec tout le camion de renfort militaire. Entre autres moi. Ils peuvent toujours par la suite me parfumer avec un petit pchit-pchit. Ils se sont vraiment défoulés jusqu’à la forte contusion.

Bruit de cassage d’œufs en omelette.

Ce qui promet des lendemains qui chantent.

Parce que, si l’on hurle autour de moi ainsi que forcenés, c’est moi que l’on arrête. Mon père servant d’arme blanche maniée dans toute la science de la manipulation contre ma personne, dans le type purge mussolinienne, à digérer telle introduction de suppositoires. Les grands intellectuels de gauche parleront ensuite de génération sacrifiée.

Tarification de l’opinion libérale des femmes rabaissant le rôle de la femme à la vision pétainiste, kirsch, «Kinder, Küche, Kirche » : Femmes à mari, pute mère ou fille, à confesseur public et parrainage infirmier, de par la loi du couvent et du parent barbon, filles à mère et père, au nom du fils d’autrui. Vivant impunément et uniquement sur le mode allemand ou pro-islamiste. Sous des pressions insoutenables de violence inhumaine parfois jusqu’à l’affrontement physique violent, femmes vouées à la stérilité de leur caste. Femmes devant à leur patrie le service national des « trois K », en plus du Service du Travail Obligatoire.

Cadre bien cadré d’une purge bureaucrate, purge des idées humanistes les plus conquérantes et suivies, le trafic d’influence qu’est le dictat du CHR et du mercenariat armé médical qu’il représente auprès des masses, se permet tous les coups bas. Les médecins traitent, piliers au départ des idées humanistes de la démocratie, contrôlent chaque famille, fichent chaque individu, passent au peigne fin comme au crible toute pensée jeune et marxiste, oligarques du patrimoine pétainiste, du quadrillage systématique de tout individu, chaque habitant dépendant d’un secteur médical, au moindre bobo, sous l’égide du bienfait médical. Chaque trait de chaque personne en vie connu, ils opèrent dans le silence les opinions marginales dans une pression publique insoutenable, à la moindre intolérance envers un sujet de grogne générale, sur prescription légale. A corriger des écrits et livres à gros coups de gros électrochocs.

La société a besoin d’avorter d’un individu, la médecine accourt, opère, ligature et ficèle, puis parfois, tue parfois cet auteur de phénomène social autour de lui, par le sur-ajout d’internements, lui accorde une neutralité, une survie inhumaine, par le suivi médical, dans les conditions d’une fiction terroriste futuriste. Cible des contestataires à ce régime militaire, bureaucratique, détermine une résistance qui feint l’ignorance qu’elle cultive, sous l’emprise de Big Brother. Si ces éléments rebelles isolés, par la suite, je l’ai déjà dit, ne sont vus d’avion ou repérables par satellites. Nouvelle race de prisonniers d’opinion. On n’en est pas encore à la guerre interstellaire, mais nous y sommes presque.

Ces éléments contestataires peuvent être tués dans le combat, pour certains acculés à leurs derniers retranchements, s’ils résistent un peu trop, s’ils ne se soumettent pas.

Dans ces méthodes, les gros bras n’hésitent pas.

L’engagement vraiment déontologique, dans une politique médicale purement scientifique, vraiment éthique, est rare. La lobotomie à titre de prévention sociale, fait office d’idéologie à la force de frappe d’une certaine extrême Droite fasciste qui récupère l’engagement de militants humanistes pour les neutraliser, cet activisme de médecins commue la politique purement médicale de la médecine en agissements sous-terrains d’une violence dure à réaliser, à admettre. L’hospitalisation dans ce cas est inévitable, devient dangereuse, soumission du soutien d’une politique morale à celle de petits chefs.

Les opiniâtres de la séquestration perdurent, n’offrent en tant que modèle de domination que le knout chimique et la matraque électrique, le droit d’enfermer, à une masse de petites gens qui ne se gavent et ne se gorgent que des vulgarités télévisées, vulgarisations d’une politique pénitentiaire et policière dispensée dans les téléfilms américains. Où la femme violée qui sera trépanée sous la bénédiction de son mari ou père, sera sauve avec tous les encouragements boy-scout d’une police qui traîne dans la boue et torture toute victime de violence, l’admet en cure et lui faire perdre dans ce purgatoire les souillures communes à la femme.

Les opiniâtres catégoriques de la médecine-couperet, arrêt cardiaque d’une affaire qui traîne en longueurs activistes, typologique aux diagnostics catégoriels de maladie, vident la Constitution, cas par cas, de ses défenseurs et de ses droits. La législation de son bien fondé, mutile les maquisards du système qu’elle mutine, qui selon elles nuisent à la notion même de République puisque souvent fichés dans chaque Préfecture sous Placement d’office par Ministère même de la Justice, enfin, elle castre la gauche de ses derniers soutiens et soupirants. Dans une politique flagellaire de flagellants jusqu’à disparition de l’espoir.

Sous le mythe de la purge anti-sémite.

Minimisons, les fascistes, des défroqués.

Ces petits chefs des secteurs psychiatriques fascisent la médecine, point d’attache de tous les pouvoirs, même minoritaires, politisée, fanatisée dans les grands ensembles hospitaliers, médecine répressive de tout pouvoir adverse elle abat les têtes, et rêve de crever le chat.

Elle se militarise dans la langue de bois des dictatures.

Et rêve de ses malades comme de ses putains, utilisée en tant que garante d’une marque de produit fini par les émissions télévisées. La psychiatrie devient une arme d’envergure redoutable, caution d’un rétablissement de l’Ordre, sous le principe de l’Ordre public et d’un pays d’extrême-droite de type maoïste.

A vous faire aimer par un cure dent, fiché dans le cervelet, pour avoir vu le dernier film subversif de gauche. Le dernier succès de l’épine, plantée dans la tempe droite.

Utilisée en tant que faction activiste et milice de garde, commando CRS ou forme de GIGN, la psychiatrie prend position, sans jamais avouer ses fantasmes, sinon sous la loi du silence. Silence, l’on pense pour vous.

Tontons macoutes provocateurs, ils règnent sur des secteurs géographiques autant que sur haciendas dotées de réserves, médecins tueurs et fantoches, nivelant par la base, problème de la démocratie, insoluble. Réputés lénifiants et laxistes, mesurés et main de fer dans un gant de velours, ils laissent imaginer et estimer les parodies de soins dont peut être capable leur secteur médical.

Quand la justice se délègue sur leurs pouvoirs, en considération de l’engorgement des prisons.

Nivelant l’engagement de penseurs trop libérateurs de populations opprimées, d’opinions lésées et passablement en train de se faire réduire, éliminer par les pouvoirs restants, les médecins enferment les idées révolutionnaires de générations antécédentes, les principes de la démocratie au cas par cas, promulguées démences. Mutilent et terrassent les précurseurs de temps nouveaux.

« Et avec des électrodes ils te la désintubent », susurré par l’infirmière référante, du cas.

Elle est des ignares dont la désinformation est des requises, vive le pataquès ambiant, rabâché sans cesse, et non « incessamment », la fausse amitié aussi l’est pour accéder aux dossiers médicaux et mieux soutirer. Torturer.

Générations perdues pourrissant dans la bestialité animale, l’abrutissement chimique ignorant tout acquis de la gauche au cours d’une longue rééducation à la dure de leur vie mentale, les malades mentaux ou déclarés tels, végètent tels petits légumes dans les réserves d’indiens du CHR, avec le compliment de la région entière.

Médecins qui protègent la cellule familiale, refuge d’Hitler, famille cultivée dans l’art de plaire et de mettre la main à la fesse avec déculottage de tout ce qui bouge, l’art selon l’émancipation sexuelle des masses, sur le mode freudien. Le CHR ainsi que le monde médical restent le territoire de base d’une fromentation antirévolutionnaire à la racine. Devient opinion politique majeure, essentielle dans tout parti.

Freud, premier censeur des générations de gauche, un antimarxisme de masse.

Euthanasient dans l’œuf le moindre effort surhumain, l’art et la littérature qui pourraient être dénonciateurs des faits relatés, effort surhumain de sortir de leur gangue infanticide, patricide parricide et fratricide, une ornière semi-catholique et romaine (la décadence romaine d’après le Père dura mille ans) tant orgiaque et défroquée, qui met en péril une République entière, met en érection jusqu’aux vieux pères d’une gauche saturée révisionniste de ces faits. Révulsée à l’idée qu’elle a pu faillir en son cœur même et certaine d’avoir raté sa progéniture.

L’acharnement à rabaisser au stade embryonnaire ou fœtal des populations de la région, à en constituer une sous ethnie muette, nouvelle race d’indiens du Nevada ou d’Amazonie, sans voix ni représentant, une race à part, cet acharnement met en place des équipes de médics douloureux, douloureusement penchés avec une affectation hypocrite autant que leur certificat d’Hippocrate, sur le sort de leurs pseudos enfants sauvages.

Sortent donc les vieux pères de leur tanière, manipulés soigneusement, qui débusquent jusqu’au moindre soutien, moral, quelque dernier résistant à leur système, épargné encore de la fameuse équipée de droite.

Un stade fœtal manipulé, réduit au stade mineur de minorité silencieuse, diminué avec précision et à grands coups de fouets de fers et de médicaments, hommes femmes et enfants raptés, emprisonnés, disparus ou bien claustrés dans l’apprentissage de la grande démence, le bâillon chimique dans la tête, l’entrejambes revue et corrigée dans des parties de fond de culottes immémoriales.

Le patient, devenu agent double pour son patelin, pour la grande joie de la Sainte Famille ou celle du dessus et la double couardise à la coudée bien franche de son médecin, le « malade » donc, perce l’infiltration psychologique de sa condition, se heurte à des pouvoirs qui prêchent la vérité universelle, le bon sens de l’ami et le silence du père, dans sa conscience de directeur de pensée.

L’inversion absolue.

L’intronisation même de l’idée préconçue, du préjugé, de l’hystérie sociale, de la première psychose collective qui passera par le fer et la camisole chimique, le déculottage public, l’aveu public du traitement, une chose dont tout un chacun est et se veut averti.

La bêtise même, ecce homo, que l’on revendique au nom de la Santé, les poncifs et les tabous, le respect du tabou, les mythes aryens et racistes, le respect que l’on leur doit, le racisme voulu, protégé et défendu à grands coups d’électrochocs, sa thérapie, le groupe électrogène, maillons d’une chaîne de solidarité inverse à celle de la gauche et de la rébellion.

La suffisance, la petite pédanterie, la sublimation de l’imbécillité, le lysisme aryen et son malthusianisme, l’excitation psychologique, protégés par les croyants, au son de bottes des minarets minuit-chrétiens, vont de pair avec la lutte contre le plaisir et autres bulles papales à respecter autant que le petit doigt en l’air pour vous le signaler, et la chute des voix pour les minorités de la Gauche plurielle, cela, à la longue, use les nerfs jusqu’à leur dernière trame. L’on ne peut pas toujours se refaire, c’est bien là-dessus qu’ils comptent. Lobotomie parachevée. Dissimulations ainsi de preuves, faux et falsifications de dossiers,

Chacune de ces dames se prenant pour l’immaculée Conception face à la providence de la Médecine de groupe en cas d’idées trop libertaires.

Patrimoine incorporé jusqu’à la lie jusqu’à l’oubli des convictions acquises de la gauche séculaire ; désencrage d’une opinion libératrice française, qui avait bonne foi, et qui désormais, n’a plus que bonne conscience. Celle d’une nouvelle Gauche tuée dans l’œuf, toute réservée pour les soins psychiatriques et symbole mythique d’une France déstabilisée.

L’aryen cuir-casquette, la chimère du pédéraste et de l’homosexuel à chaînes et lanières de cuir, l’ombre du nazi et ses pulsions noirâtres, la corruption pétainiste, ont disparu des mémoires, l’uniforme SS, la croix gammée, seuls vestiges édentés encore dans les mémoires d’une rumeur vichyssoise qui a revu le jour ces dernières années. Le bordel fasciste le STO pour les inactifs, les fours crématoires, l’extermination raciale, oubliés.

Le président est mort. L’extrême droite déjà au pouvoir.

Cela relève du traitement lourd.

Hardi privilège des hautes sphères de l’intellectualité, le savoir ainsi que la lucidité sur les problèmes mondiaux ou sociaux, font poule mouillée quand ils percent dans nos provinces. Rite concentrationnaire de l’apartheid envers les penseurs de ce monde, dont seuls les plus célèbres ont droit à l’audience.

Les autres sont chargés d’oublier leur mémoire de peuple soumis et trucidé dans le grand chambardement pendant un grand calme, dira-t-on d’eux et leurs déboires sentimentaux figurent dans les petits journaux de l’asile psychiatrique, les journaux parlés colportages de sa ville. Rubrique des chiens écrasés.

Cadre d’une purge des idées socialistes, l’acte dirigiste de renvoyer un étudiant pas nian-nian, au moins un, à l’asile, celui de déclarer sauver en fait un sans logis ou un sans statut, qui aurait pu mourir des froids glacés de l’hiver sans son admission dans un pavillon.

L’acte dirigiste de démolition d’une partie de la gent estudiantine, devient la menace d’une formulation autre d’exécution sommaire : L’internement, la prise en charge d’un membre d’une famille « en désarroi », qui frisent les bondieuseries bien pensantes des anciens Saint Vincent de Paul qui faisaient eux la charité les soirs de neige, entre les visites des dames patronnesses de la Liberté d’Expression.

L’étudiant-diant-diant à Dachau, et bien voilà, hein, qui est aller mieux et un mieux être.

La prise en charge sous l’égide d’une autre famille que celle de l’individu, cette guilde familiale dans le suivi médical, qui se passe du conflit de son aveu, et du conflit dû à la promiscuité d’êtres qui ne se supportent pas, engendre la « coupure », celle de la césure que vous portez au front, qui agit tel un climatiseur modérateur de conscience, en cas de refilage de patate chaude.

Dans ce cas vous êtes vite repérés, signalés, précédés et entourés d’une aura de gueuleries acharnées qui signaleraient quelque fauve échappé dans les alentours.

D’où l’agora phobie.

Rien ne vaut sa pommade calmante.

Pensez au chaud et restez bien pisse-froid, on parlera de la dernière pisse-chaude après, chopée dans les WC de l’asile, à parler politique. En pensant reproduire cette connerie en faisant des enfants…

Elle allait avec, non mais dites, et allait bien, elle au moins.

Un enrôlement pour un engagement des consciences tranquilles, œuvre de missionariat de certains médecins qualifiés qui sauvent la veuve et l’orphelin, avec les apparences d’un centre hospitalier désuet, démuni au point de remplacer l’absence de nouveaux médicaments et de chaleur humaine par des mauvais traitements.

Enrôlement démissionnaire pour le dit malade, qui passe par toutes les guerres de marasmes, de la contre-opinion médicale qui a marqué les idées humanistes d’à peu près chaque classe à l’image douce et de qualité d’un CHR engagé dans une lutte de fiefs politiques et d’opinion, cela fait de la vie courante une guerre civile des mœurs, un combat contre la continuelle dépravation d’un service public qui se veut de qualité, et se vautre dans le manque de témoignage. Témoignages qu’il étouffe, avec les multiples affaires, mauvais traitements, mauvaises mœurs.

Gagner la confiance de ces services reste toute une affaire, affaire à diriger d’une sympathie complice, masque de guerre, guerre civile qui désunit les malades et le personnel hospitalier, la césure malades-médecins.

Sorte de guerre civile souterraine qui a marqué bien des générations, une attaque armée véritable qui déstabilise la bonne entente, la vie parisienne autant que la province, chaque village de l’arrière pays, force de frappe médicalisée de grasses farces et attrapes, forcings jungs à base de dictons séculaires autant qu’éculés, qui ponctuent la vie hospitalière : l’arroseur arrosé, fontaine, je ne boirai de votre eau, systématies du milieu urbain et geôlier.

A outrance et avec manichéisme, culpabilisante et défonceuse, les offenses inculpent le droit dans toute sa légitimité, le droit à la condition humaine du patient, le droit commun autant que les droits civiques, les droits de l’individu ; la médecine force les portes ouvertes des petites gens, estropie les mauvais mariages, euthanasie ou rêve de supprimer les suspects de prévoir un bon héritage, suce chaque occasion de profiter des situations litigieuses, cherche le différent, s’y incruste et agrandit la faille. Ambiance de favelas. Pressions judiciaires et psychiatriques sur les plaintes trop fréquentes pour internements abusifs, actes de torture et barbarie, mauvais traitements, décrétées si trop fréquentes à force de non-lieux répétés, symptôme de schizophrénie. Dossiers falsifiés, plaintes et livres censurés, sanctionnés. Dans ces cas-là l’on ne sait à quoi l’on s’expose. Quand cela fait mal, un mal redoutable. Cela aussi.

Nouveaux exploitants, dignes par leur dangerosité, d’un nouveau marché, la traite du malade, du malade mental seulement.

Rivalités qui animent les cours d’école, les couloirs des facultés, le moindre recoin de l’existence, et prennent racine dans la vie de tous les jours, les téléfilms américains restent un témoignage très convaincant de ce qui se produit jusque dans Paris. Un esclavage qui relève des techniques OAS, du SAC, de la RDA, vie stalinienne de goulag, entre le « tracas » quotidien d’une torture psychologique et la résistance. La condition du malade n’est guère à priser ; l’espionnite malveillante des citadins, paysans de l’exode rurale qui ne veulent être en reste, sur l’usage que l’on peut faire de soi et de son propre corps devient un rempart contre tout succès. Obsession.

L’entourage, défiant toute riposte, détourne les quelques arguments que le ou la future malade puisse opposer à cet ultra dirigisme, qui s’il n’est pas supporté, sera réitéré jusqu’à l’absence de réaction.

Un entourage veilleur de nuit, qui nuit à l’intimité absolue comme à la paix, au droit de se sentir bien chez soi, sans pour autant finir biberon-charentaises.

Tendant à simuler l’univers hospitalier, le voisin attaque de front, aborde le problème de la garde d’une « malade », dont personne ne soucierait mais par contre dont personne ne voudrait plus, pour le scandale public qu’il lui cause. Simulant l’acte amoureux avec la belle, il cherche dans une mise en scène digne de Bunuel de s’attirer la sympathie, jusqu’à la mise sous protection de sa victime, le voisin fier d’orgueil de ses diatribes subjugue, parle tel robinet mal fermé, à plein ratch dirait ma mère sinon à fond, éjacule son triomphalisme plaintif et revanchard, revendicateur de sévices et représailles.

Cherchant dans l’art du cinéma la prise en flagrant délit de la fille seule, accusée d’être acculée à la semi-prostitution de ces dires, le voisin, et sa complice, cherchent encore la culpabilité évidente, la moindre faille ou faiblesse qui pourrait être mise en épingle, servir de talon d’Achille et de pivot à leurs scènes de tapage, de chantage, de monnayage sans fin.

L’engagement de les croire sur parole, au cours de longues nuits d’échanges téléphoniques Bouygues Télécom, gratuits après 22 h et les week-ends, déclenche un nouvel intérêt chez les personnels médicaux, d’infliger des dommages corporels qui sont source de soins interminables et devenus nécessaires, de crimes contre l’humanité qui n’ont rien à voir avec l’éthique humanitaire de la Science.

Parfois quelques rebelles aux ordres se plaignent, vite ramenés à leur rôle d’une crainte mal avisée, le blâme. Seul égocentrisme de la petite cupidité raciste.

Relatés par un ancien taulard, les crimes des matons, autant infirmiers que policiers, seraient presque crédibles, mais dès qu’il s’agit d’écouter les récits d’un malade, la télévision seule peut faire accorder foi à cette voix inaudible, ce témoignage de noyé de jeunes gens castrés, incisés, re-lobotomisés, sacrifiés au nom de tous pour leur vie entière, enfin, pour des problèmes de la société.

Plus c’est long, plus c’est bon.

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ENTRE AUTRES

Les pressions de voisinages qui enfreignent les strictes lois de l’hospitalité et de la décence, obtiennent de leur détracteur un comportement qui pourrait faire accroire à la folie, se commuent en jeu, une corrida où chacun s’amuse à agiter le chiffon rouge et cherche à en faire un moyen de prouver l’agitation.

Fausses accusations, délation mensongère, longs plaidoyers, mea culpa divers et incessants, revendications, exigences outrancières, éléments perturbateurs, tendant à prouver un comportement jugé par ces quelques paroissiens gênant pour autrui, ne serait que l’acte de s’allonger sur un canapé. A ce point la haine du divan.

Prise en otage comme en charge spontanée au pas de charge, d’innocents par des pseudos familles d’accueil de pauvres gens qui s’improvisent matons, pour des jeux romains pas courants. Dans une affaire de sensibilisation aux nouveaux marchés du drame, les établissements en manque d’activité sont à la recherche de têtes, toujours les mêmes qui reviennent à vie dans ces lits, sous forçages sporadiques de remparts que leur oppose la population, une population d’intéressés par la démence, population qui possède un rôle auquel elle tient, celle de débarrasser la justice de malades et jeunes gens compromis dans cette affaire de traite du malade. Une campagne menée tambour battant contre le farniente des patients, contraints, si endormis et assommés qu’ils sont, à ne pouvoir travailler et à devoir quand bien même le faire.

Une ethnie s’est crée, à traiter, retraiter, parquée dans un périmètre de république bananière au sein de la ville, assignée à une surveillance constante de ses faits et gestes, une sous couche de la population en aucune façon représentée ni syndicalisée, sinon défendue à son encontre.

Seul frein possible à une attaque massive de front contre la mauvaise foi, les mauvais traitements, les activités douteuses, le tribunal et la police, qui suspicieuse, classe les victimes dans les malades mentaux, à traiter.

Classique depuis longtemps, ce fait que la police apporte une aide complice aux affaires d’outrage à la loi et de sévices crée des affaires de mœurs qui dérivent vers l’hospitalisation des victimes.

Il est impossible de nos jours pour un individu décrété contre son gré malade, de déposer une plainte pour abus et internement abusif contre un département hospitalier, qui aligne les méthodes de dissuasion très persuasives contre des accusations probables très probes et probantes, contournements de la loi que le flegme policier respecte : Expéditions punitives, tabassages aux électrodes, passages du cerveau à la gégène, faire en sorte que le dissident perde toute mémoire d’arguments implacables si procédure.

On le gavera bien sûr avec du poisson et de la saucisse, pour la mémoire la lui faire revenir. Odeurs suspectes. Bien d’autres intimidations sévissent dans le pays, auxquels certains détracteurs succombent.

Certains, d’épuisement.

D’autres, qui avant leur décès, affirment avoir subi des expériences scientifiques menées sur eux contre leur gré. Dont, les implants.

Accusée du manque de discernement de mes accusateurs, accablée de leurs revendications de témoins extra-lucides d’une folie dont je souffrirais, je souffre en silence. Les assaillants poursuivent leurs jeux de riches et de petits prolétaires pernicieux dont la devise serait plutôt d’appliquer par anticipation la présidence de l’extrême droite, je me soumets aux échanges, commentaires fallacieux autour de mon lit, ma table, mon déjeuner, je passe des heures entières, des semaines jours et nuit à entendre leurs risées, je vis parmi mes heures de vie intime, dans ce vol de corbeaux qui croassent sans répit.

Brouillage de la dénonciation qu’a pu faire le patient, dans le rapport Domi dominici des médecins qui missionnaires quasi-illuminés du pire qui puisse arriver à un être humain, servent d’avocats de la défense aux ennemis accablants de leurs malades. Commentent les façons de réguler la situation le plus souvent embrouillée de chacun par le diagnostic de délire de persécution, le plus souvent, démence schizophrénique, là, il y a soins.

Ceux-là, au moins, l’on ne les invente.

Seuls les accusateurs qui ne possèdent pas d’antécédents psychiatriques peuvent porter plainte, seule la plainte qui le certifie a des chances d’aboutir, sans quoi, vous êtes remis entre les mains sales de votre pavillon. Ce qui équivaut à quatre, cinq, six mois d’hospitalisation à plein temps, suivi d’un assez durable placement de jour, vous payez rubis sur l’ongle le tout, sachant que vous ne bénéficiez d’une allocation adulte handicapé que dans but là. Sinon que vous n’avez à votre sortie que pas tout à fait encaissé, surtout après l’accès de telles incompétences, et que votre logement vous est refusé par le voisinage, (même si vous avez eu assez d’argent pour payer le loyer en plus du forfait hospitalier, sans quoi vous seriez condamné à rester reloger à l’asile psychiatrique) voisinage qui ne vous veut plus dans cet appartement, et persiste à vous poursuivre de ses tourments, là, cela s’appelle la rechute. Cela, pour le fait d’ouïr.

Ré-hospitalisation repayée aux frais de la princesse, c’est à dire vous, amende supplémentaire pour des troubles de voisinages que vous ne dominez, et qui semblent être induits par votre manque de responsabilité.

Parties de jus à courts-jus où tout droit de fait est de droit et donc légal, et jus de cerveaux.

Quand on n’est pas responsable d’un fait, d’un délit ou d’une situation, l’on est déclaré irresponsable. Pas responsable de, donc irresponsable.

Parfois, cela se termine par de la casse. Accusé innocent du fait incriminé, donc attardé.

C’est là que tout le monde se fout de vous, mais alors, d’une façon incroyable.

Les médecins sont chargés d’étouffer les litiges des affaires un rien sérieuses, qui les impliquent directement et démontrent leur esprit de nuire, affaires scandaleuses qui sont une mauvaise publicité pour le CHU. Quand s’y développent des affaires de mœurs comme de mauvais traitements, menus faits de la vie quotidienne, leurs tenants occupent l’existence de chacun, dans les HLM, cette vie traditionnelle de sévices s’y étrique de rites et habitudes, qui font que les actes de torture finissent par devenir des vicissitudes.

Tout d’un coup, la première pierre est lâchée des attitudes lapidatoires diffamatoires et divagatoires, suivie d’un bombardage lynchom de la vie privée, les ragots sales des parents s’emparent des dialogues échangés, du discours de la personne ou de l’enfant concerné, le détournent de leur sens premier, souillent ses propos d’infantilismes assez incohérents pour faire accroire à la démence, jusqu’à l’agression physique.

Guerre de bastions qui atterrit dans les bondieuseries de pourparlers, qui finit dans la porcherie, puis dans les porcheries de la ville, les pavillons de crise. Si vous n’êtes pas la grue ni la folle du quartier, vous en êtes le mongolien, l’attardé, l’anormal, la tarée, tous mots de défoulement social autour de la folie. Répétés, remâchés, ils vous suivent jusqu’à l’amputation des droits, des libertés. Voire, jusqu’à l’amputation tout court de parts de votre conscience.

Enfant martyr de la population, le lynché parfois est menacé de mort, les électrodes servent de simulacre d’exécution sommaire accompagné de viol avec sévices, de lobotomies exécutées à l’électricité, de lobotomies tout court-lavages de cerveau. Ces caractéristiques des électrochocs servent tout un complexe de revendication des voisins acharnés à vouloir tabasser et commettre des sévices de guerre sur un de leurs prisonniers, qui peut, acculé au suicide voulu, peut autant en finir que devenir dangereux, étant donnée la grande suffisance de chacun dans ce cas.

Un rassemblement des extrêmes qui font un complexe de castration quand il n’est question que de castration, nécessitant un bouc émissaire qu’ensemble ils cuisineront, dont ils s’amuseront jusqu’à sa mort, bien souvent trouvée grâce au refus de servir d’une police complice qui ferme les yeux autant que sur camp nazi.

Puis retour au foyer, et là, vieilles punaises du quartier, autant furies hitlériennes que rombières staliniennes, acariâtres langues de pute et langues bien pendues, le doigt fendu et le ventre repus, le sabot fourchu et l’ongle crochu, férues de bassesse, de couardise pour leur sort futur, manipulent saintement des quartiers entiers qu’elles brassent de leurs cris ; orientent leur charia contre le paria pseudo délinquant dont la présence les énerve tant. Arguant les sévices, ivres de jalousie face à des attitudes de la dignité, dont elles n’ont en rien l’apanage, menées de foi pédante et d’esprit supérieur.

La main au cul, la réplique bandante, bananante d’envie de faire mal, le giron en transe, elles violent les lois et les jeunes gens en fleur, accompagnées en cette tâche par le personnel infirmier, qui rallie le vice à la vertu de soigner, ainsi que la voix des familles de ce genre taulier.

Leur morale de bas-fond fait fortune et effraie, jamais jusqu’à la résolution d’ôter cette présence sur le territoire français, de pareils tripots. Cette indécence cruelle et leur coté enfantin, de bon aloi apparent révolte les foules, assez infantiles, béantes et lâches pour ne point réagir, va au contraire dans le sens de la médecine qui couve, protège ces lieux de perdition, poubelles de l’état envers qui le contesterait, qui poursuit son rôle de dépotoir à déchets de la société.

Etat dans l’Etat. La corruption dans ces milieux-là, effrayante.

Si ce n’est le tampon de papier WC qui a servi à vous torcher, qu’ils vous mettent sur le nez, histoire de vous en masquarer en caponnade. Genre de Guide du déshonneur qu’il faut apprendre à vivre.

Toujours avec leur problème de constipat, qui viendrait de l’anorexie, et ma mère et son gavage aux oeuvatchs et au pouletch de paysanas bien gabatch, pour m’en mettre plein le fafat, m’empêcher de rester toute esclouffide, sans mon boudinat, ni mon titole d’embryon.

Des bains forcés pour vous empêcher d’être rance après eux, vous passeriez la journée sous la douche tel Marat dans sa baignoire, cela ne suffirait à vous décrasser, il ne vaut pas mieux sentir le vieux gruyère ni le munster du repas obligatoire à odeur de cuni lingus, qui a pu vous arriver pendant le sommeil lorsque vous en parlez à votre psychiatre et avez osé aborder le chapitre du viol avec violence, celui aussi de la décence. Quand tout un entourage en quête de sensation se met à jouer à la poupée Klaus Barbie, à peigner et laver, le personnel infirmier, lui, joue aux mauvais parents et à la poupée russe, à punir, écorcher.

Immunité parentale, immunité de la blouse blanche dès qu’il est question de traîner le service en justice. Tout droit déchu. Dans l’innocence du dogme, seigneurs et bouchers du site.

Une vie, le temps d’un bon internement, de suivi médical autant en sus des familles de style russe, un esprit de goulag de pointe et un bon vent en poupe rupin. Pour mon salut, ce dont je le remercie.

La prononciation affectée, leurs façons de parler trou de nez, avec leurs talons hauts qui claquent fort et leurs petites affaires qui les rendent malades de jalousie, de haine, leurs gouines et leurs dragons de guerre, elles se massent la boulette, elles, des confusions qu’elles font avec leurs vieilles toupies, les prenant pour moi-même. Les infirmières rayent le plancher quand elles ne vous font pas cracher le dentier, dans un élan déplorable follement moralisant qui démolirait un footballeur, et l’anesthésierait à coup sur. En transes punitives, elles feraient des envieux ou irriteraient les plus émancipés jusqu’à la casse.

Et vous savez, dans ces départements psychiatriques ils ne soignent que par la chimie. Guerre chimique, car le côté physique, l’on connait aussi.

La théorie de la main sur la bouille. Les trous fermés non plus ne leur font pas peur, l’on ne sait plus où fermer les écoutilles, fan la tarasque dans l’esprit de vous foutre dessus et du haut de leur droiture, on n’a pas idée, elles ne meurent que de voir un trou fermé pour le bourrer, le fourrer, le vider et le renfiler avec des objets, le plus souvent contondants, tellement naturellement que cela paraît normal.

L’empalement de l’orifice par l’objet, jusqu’à l’engoncement, est courant, ces femmes depuis Auschwitz aimant et préférant les grosses et n’aimant pas du tout les anorexiques. Des infirmières qui ne peuvent se passer d’engraisser la petite top model de la famille untel qui passait elle sous les fenêtres de leur pavillon, ou sous celles de la résidence des vieilles femmes, qui obèses, rêvaient de loin qu’elle était trop maigre.

Et comme son père, affirmaient que les hommes n’aiment pas faire l’amour avec des bicyclettes, encore moins avec des échelles… Ou plutôt, des échalas, au cas où la bicyclette prendrait du chevron. Et crèverait un œil du pointu de son coude. On ne s’est jamais vraiment posé la question de savoir si son petit ami était une tige une cigarette ou une tringle, après tant de bourrages aux coinçages de bulle, huiles de table et féculents rassis à devenir pétomane. Ce qui vous sera reproché et puni.par la loi des implants, si implants véritables il y a, leurs manipulateurs choisissent une zone, un organe précis pour le jour ou la semaine, le tabassent ou l’oppressent jusqu’à la congestion, la forte douleur, l’œdème, avec une opiniâtreté de démonstration auprès des services psychiatriques que l’on ne peut plus parler que de crise de sévices sur un organe, une zone déterminée être une sorte de sexe à charcuter à longueur de volonté. Des implants placés jusques sous des ongles incarnés des pieds.

Rares cas de guérison, vus uniquement si soumission exemplaire aux assouvissements, exigences des entourages et personnels médicaux, guérison parfaite si individu bien maté, suivi à vie pour les défoulements dont il fait l’objet.

C’est pour cela qu’il faut être bien patient. Et un patient bien.

Seule sa faculté de discernement distentie le patient de son entourage, qui illettré et doué seulement d’analphabétisme aigu à chronique, méprise du haut de sa croyance, fabule avec mépris quand les arguments des témoins pèsent de trop de poids, deviennent implacables. Le seul moyen de réchapper à une augmentation de traitement, à l’enfermement, est le silence total si s’y tenir est possible, face aux pressions dues aux accusations mensongères, telles celles des procès qui sont faits pour télépathie avec certains habitants et enfants du quartier. De ma cité. Cécité.

Si cette transparence fait référence à la transmission de pensée plaidée par les cas de schizophrénie, j’en attrape déjà des boutons de fièvre, car sortant d’hospitalisations répétées pour cette croyance là des mégères et vicelards à leur solde, je retombe dans le même supplice de la baignoire de me voir ce procès révisé, réitéré. Fausse joie. Ce qui me donne une petite allure de petit cheval blanc sous les lazzis des préjugés les plus racistes quant à ma santé de souffre-douleur.

Populations souffre-douleur d’autres populations, cultivées telles plants de lentisques dans marais poitevins, petits légumes dont chacun a bien besoin, pour librement végéter dans l’abrutissement le plus complet, autant que le repas, y compris celui du soir, celles des fous, ilotes des spartiates phalangistes de la nation.

Repas à prendre dûment sous peine de liberté confisquée puis conditionnelle pendant longtemps, et voire, plus grave.

La vindicte populaire restant la plus forte, l’ouverture sociale d’une vie à l’extérieur tombe vite à l’eau, malgré les quinze à vingt essais qui se sont soldés par des échecs retentissants, même après quelques déménagements et changements de quartier. La vue est imprenable. Mais il suffit de loger dans une résidence pour que tout un peuple, sachant un malade en ces lieux, ne se mette à trépider jusqu’à l’expulsion, la psychose collective de guerre.

Jusqu’au devoir de voir la police débarquer manu militari un beau jour pour le seul fait que vous avez dû protester un peu trop longuement contre le chambrage incessant de vos voisines et mégères, dans l’exercice de leurs vocalises.

Presque le totalitarisme de la vieille Ecosse ou de la vieille Pologne.sonne à votre porte, dès que vous vous cuisinez un petit plat bien mijoté. Les oignons, certainement.

Après les électrodes, cela pue juste un peu la cigarette chaude.

Pétain et les puanteurs séniles ne sont toujours pas morts. Dans la vieille conscience rabelaisienne et ubuesque des ribaudes, l’esprit du corbeau est celui qui vous veut le plus de bien, adorateur du viscéral et ancestral, il ne manque que les amants en chemise noire, un soir de fête.

Histoire de bosses. Si je dois minimiser.

Prêts à débarquer sans que vous puissiez les apercevoir, toutes les cinq à dix minutes dans votre appartement s’il le faut pour asséner gifles et quolibets, vous aider à décoller les flocons de maïs du mur un à un. Ils lui ont bien encore cassé la gueule, pour bien ponctuer les accusations que vous ne faites pas et font valoir que vous n’allez pas. Injections si refus d’obtempérer en cas de remontrances, gouttes et cachets pulvérisés introduits dans boissons et pots de yaourt. Thé ou café, c’est le choix du jour. Seule liberté qui vous reste, n’en prendre pas. Jusqu’à ce qu’il lui en reste la bouche bée, autant que dans hébétude hébéphrénique.

Vivent les plombiers.

Il vaut mieux garder le silence.

La morale de visser les petites filles, férue dans le ravaudage, n’est pas près de s’éteindre ni de disparaître.

Béatitude unique du phalangisme populacier, farci repu d’avoir obtenu satisfaction, après le retour au nid de son résistant, après bien des beuveries car l’on trinque à sa santé, chez les mémés.

Activisme anti-universitaire qui tombe dans la politique des disparitions.

Activistes trop contestataires brûlés vifs tels sorciers et sorcières, pour leur hérésie à ce dogme.

Et cette opposition à ce procédé de cannibales, la tête comme dans un four, bien crématoire. Crêpatoire…En cas de crêpage de chignon bien chicanier.

Les interventions à domicile, sur le terrain des pavillons occasionnels appelés par le voisinage pour résoudre un violent litige, sont consignées dans dossiers immanquablement par leur médecin, décrétées hallucinations sensorielles des personnes déjà suivies par un secteur médical.

Vie sans filet. Et grosses gamelles, ou coup de chaud.

Chez eux, aller au-delà du fantasme sexuel de domination, aller plus loin que cela, dans un rêve de torture infinie, aux passages à l’acte des plus stériles. Et des plus douloureux.

Parce que si le malade suivait déjà un traitement, s’il ne le signale pas au voisinage ainsi que celui lui est ordonné sous peine de plus graves soins, le médecin appelé à l‘occasion de violences, prétend être le seul à pouvoir le traiter, donc rajoute un traitement de plus au traitement déjà en place, supplément qu’il charge les proches ou voisins d’introduire dans les repas intubés en cas d’anorexie, à introduire en tous cas et à tout prix dans la nourriture du patient.

Pour un traitement de fond de deux à trois ampoules de neuroleptique retard, l’on peut voir jusqu’à huit ampoules en tout, dont cinq à six surajoutées à son insu, sur les répliques exaltées d’un voisinage en mal de répression.

Donc, à chaque baisse de traitement, supplément de cachets et potions, parfois, le double du traitement déjà prescrit par le médecin traitant. Sans que celui-ci soit mis au courant. Liste d’attente des lits pour ceux que la foule aura visés et concernés. Cela me concerne.

C’est le problème de l’incommunicabilité.

Les procédés de l’un des secteurs dits hallucinations sensorielles, par l’autre qui lui est concurrent, délirât sous jacents si les thérapies deviennent trop fréquentes. Ne me parlez que du manque de coordination entre les secteurs psychiatriques et du manque de circulation de l’information entre les départements médicaux surtout quand ils se font ombre, se disputent sous un commun accord qu’un individu manque de soins, l’apanage d’aliter des malades qu’ils arrachent à leur paix, à leur médecin traitant. S’ils par la suite se les partagent, c’est un signe de guérison providentielle, une rémission qui leur est due.

Sueurs froides.

Jusqu’à me retrouver assommée, dans l’interdiction de m’allonger sur un sofa pour la surexploitation qui faite aux autres, ne serait qu’à chacun de mes vertiges et étourdissements, beurrée de commotions causées par l’abus de médicaments, en cachets gouttes et injections. Ce qui ferait dire que je me vautre et passe mon temps à me frotter, quand les abus de traitements rendent frigide, qu’alors il me faudrait une ceinture de chasteté chimique contre la masturbation, les neuroleptiques ou l’antidépresseur de choix et son double emploi, me stimuler pour que je ne reste toute la journée allongée et ne pense, d’abord à rêver. Car il faut pour s’allonger sur son divan demander la permission à ses voisins et à son psy.

Magnanime de Prazimil jusqu’à l’ébriété, au délirium trémens qui suit, traitements déstabilisants.

Tout ceci pour me rendre service. Car elles proposeraient en plus de ces traitements, du Prozac, si elles n’en trouvent pas elles en trouveront en tube avec la mayonnaise pour contrebalancer les effets, contre la manie de se masturber soit disant à chaque heure de la journée, en fait, en guise d’interdit à l’encontre du soulagement de toute nature, pris pour plaisir solitaire chez les enfants comme chez les célibataires et autant dans les couples. Et d’exiger qu’à mon domicile mon ami du moment l’introduise dans mes boissons, ou aliments. Jusqu’à la rature, tant désirée.

Pénalités psychiatrisées de semi-exécutions capitales et décapitations partielles, dans de grands réjouissements, en déclarant que cela est Bien. Etre bien que bien le subir.

Les deux pieds dans le plat. Car il faudrait toujours rester hyper actif comme dans toute bonne dépression, histoire de me projeter dans ce moule, sans éclaboussure gênante d’ailleurs ni droit au repos, déclaré répit autant que le repas obligatoire. Le médecin, autant le mien que l‘occasionnel, tend après tout cela l’oreille pour bien signaler qu’il n’entend aucun bruit venant de ma part, que l’on ne m’entend même pas faire une crise de rage. Il n’a pas lésiné sur les moyens de mater. Après un bon safari lion de jeunes riches pour me réduire au silence par des méthodes de gros bras, mater la lionne devenait le dernier chic, quand je ne me fais pas traiter de louve des bois.

Parce qu’en plus des cinq ampoules de neuroleptiques retard mensuelles, selon l’humeur des derniers corbacs, sont administrés des cachets de neuroleptiques retard qui eux, durent une semaine. Sans que le médecin véritable du patient soit mis au courant de l’affaire, ce qui le détermine à diagnostiquer l’hallucination sensorielle, apparente cénesthésie à m’augmenter le traitement initial, jusqu’à l’hospitalisation. C’est le cursus classique après chaque baisse de traitement officiel.

Ce n’est qu’une histoire de fou, chacun sait ça. D’hôtel borgne.

Excision de circonvolutions et de nerfs. Le vécu n’a pas de prise. Cerveau sans une ride.

On a beau ablaver, rien n’y fait, c’est un puits sans fin.

Psychasthénie.

Raison obnubilatoire, le savoir, la dictature scientifique, le bureau de crise, la psychiatrie, dite moderne. Les tomes de témoignages s’empilent dans les archives, jamais déterrés sinon pour des révisions de procès massacrantes, où le contenu des accusations est ré-infligé, mes défenses retournées, tout acte de perversité, de barbarie que j’y aurai dénoncé m’est rendu au centuple, dans un crescendo qui aboutit sur une ré-hospitalisation. L’histoire, un éternel recommencement…

Enterrés vifs dans l’annihilation de ma mémoire, mes dossiers brûlent avec ma cervelle, œuvres de jeunesse qui ne réparera rien, employée avec totalitarisme contre ma cause et contre moi-même, à nouveau, dans une parfaite réédition de mes vertes années.

La peur de savoir, hein ?

Ecritures enterrées vives muselées avec la mémoire de leur auteur, avec ses espoirs, ses peurs et ses qualités, ses reproches, qui eux aussi, font peur.

Résumons l’affaire. Résumés d’affaires qui manquent beaucoup au médecin traitant qui accepte par manque de temps l’édulcorât des troubles de l’ordre public qu’il occasionne, tant par son ignorance des faits que par sa méconnaissance de la vie sociale française. J’ai consacré ma vie entière au manque de temps, ne sachant depuis le premier litige par quel bout commencer, s’il faut des résumés, à moins d’une ou plusieurs lobotomies à électrochocs pour m’aider à édulcorer.

Résumer toute une vie… Quand chaque seconde compte, par ces temps de dangers.

Au fait, ils m’ont amputée de deux ou de trois doigts, parce que deux doigts, c’est déjà grave, mais trois, il faut bien en donner le détail, pas de résumé dans ce cas, détail important autant que le nombre de doigts. Arrachés ou pas, avec des ramifications comme des saucisses autant que doigts de prisonnier politique. Il y a des fois, le besoin d’axones, de neurones… Là il fait bon de le préciser, donc précisons, et le résumé, à ce moment là…

Culture cristalloïde qui répand sa nappe sourde, dont s’abreuvent et se délectent les vieilles gens à qui rien n’échappe, les commères affreuses qui n’en perdent goutte, paparazzis à cacahouètes percutantes ou urticantes en berne pour mieux défier ma conscience, un savoir arachnéen, qui ne s’en remet qu’à la trame de sa logique. Des observations ultérieures furent suivies de thérapies non officielles, marquées dans aucun dossier, mais la chair travaille encore à récupérer, retrouver ces moignons de pensée que je soulève encore et je résous peu à peu ce travail qui prévaut à la survie humaine : Rester en vie, intégralement consciente. Entière aussi.

Cultures pragmatiques de ces punaises des lits, langues de pute et putes à marie, levées tôt le matin pour dénéguer sur la thésaurisation du vécu, le rendre insupportable, étayant vos soupçons, ceux du soin à domicile, commis depuis le passé à votre insu. Ils l’ont trépanée, et relavée. Des termes qui font lumière à ce qui se passe à la lueur du jour, dans ces appartements où j’ai vécu, des heurts incessants qui meurent à la flamme des électrodes, que d’après les voisinages, j’ai subies… Feux d’alarmes seulement sus, que seuls quelques rares témoins emportent avec eux, qu’il faut, patiemment, retrouver, dans un travail d’enquête menée par quelques âmes salvatrices, habitants en quête de témoins même anciens ou lointains, pour un placement volontaire de ma personne.

Tout sujet ramené à la vie sourde, à la meute des infirmiers, toute lucidité, toute évasion même littéraire ou sentimentale évasion ramenée la main au coude dans le système de la chambre que l’on n’aurait jamais dû quitter, observatoire ultérieur des grandes passions pourfendeuses.

Toute autre relation intime bourrée de décharges implosives, sortant du monde de tous les jours pour l’existence végétative de la vie en communauté, celle de l’hôpital. Pour des commères voisines racistes, elles l’étaient. Délinquance urbaine autant que rurale, voyeuse, médiévale.

Parce que si chacun m’appelle son médecin pour qu’il me soigne, des listes de médicaments, cela m’en fera combien, en surcroît des miens ? Pourquoi pas celui aussi du facteur, au cas où j’aurais besoin pour m’y faire aider, de son pouce ?

Il faudrait les engager dans les secours humanitaires, tellement elles y vont avec cœur, leur discipline des quatre repas obligatoires, en sus de l’interdiction de s’y allonger dessus. Parce que, au Bengladesh, il en existe d’autres comme moi qui crèvent la faim et ne se lavent pas…

Tout est dans le témoignage d’autrui, on n’a que faire du mien.

Cette tendance à pratiquer les persécutions dans les soins psychiatriques prédispose à une purge dans la population, des éléments rebelles de la société, crée le statu de prisonnier d’opinion sans que cela paraisse, ni ne soit affirmé vraiment, plus lâche encore, ce qui gâche tout, mais ne leurre personne. Ou si peu de gens que le conflit dans le pays persiste, et s’aggrave avec les évènements.

L’incompréhension, chaque individu maintenu dans sa bulle d’activité et de compréhension, le doute, la foi, créent des ravages, les entretiens se limitent à quelques échanges, courants d’air dans un étouffement parfois discret, un effacement qui n’est qu’une asphyxie de plus.

Rien de cela marqué dans les dossiers.


LES ORIGINES D’UNE MÉDECINE HIDALGO

Dès les premiers âges de l’Humanité, d’une humanité élaborée dans l’esprit chevaleresque de l’hidalgo sur lequel le forban fait feu, la douleur est et restera une énigme que la médecine s’acharnera plus tard à vaincre.

Les pourparlers humanistes dans les chaumières au siècle des lumières, ont contrebalancé l’ivrognerie pédante, le laisser-aller paysan. L’image d’une terre parfaite et unie, saine et vierge de toute salissure, ni sans aucun dommage originel, une planète encore inexplorée, hante les visions de médecins catéchumènes de cette foi.

Les améliorations futures ont le droit d’alléger le fardeau des souffrances, de bannir la cruauté des plaies, œuvre tacite déjà lointaine des prêtres et des capucins, œuvrer contre les fléaux d’origine naturelle des époques impuissantes dans leur mal être. Combattre les faiblesses des régimes, innover des découvertes, des techniques, simples, telles l’aspirine, le savon de Marseille et l’eau de Javel, correspond à une époque du machinisme que contrecarre un esprit humaniste qui lui rêve d’un encadrement probe et viable, la Science.

Soulager, protéger la santé, la longévité, améliorer les chances de survie, tels sont les dons de la médecine à une humanité vouée à sa perte sans un grand nettoyage de ses habitudes, de son quotidien, contrebalancer le poids des tortures vécues vicissitudes, de l’esclavage éternel, des régimes autocrates à totalitaires, tels le capitalisme et ses premiers pas dans le monde. Corriger les erreurs, soigner les enfers prolétaires usagers, enfers sociaux, meurtriers, issus d’un monde pourri d’industrialisation, d’usines noires et de poussiers sinistres.

Plus les dangers dans les sociétés deviendront imminents, plus les hommes s’en remettront à une église, à un pouvoir réducteur des maux sociaux. La médecine s’est vue attribuer ce rôle là, et pourfend sans discernement, croyant à une justice telle qu’on la voit dans les rêves, choisissant mal ses chevaux de bataille, elle risque de voir s’échapper la confiance des consciences altruistes, lorsque ont été entraperçues les coulisses de l’exploit. Car de nos jours, elle s’attaque aux victimes et vend à la chaîne des fantasmes de pouvoir absolu à des utilisateurs du commun chez qui elle crée un état de besoin envers le sévice.

Médecine séductrice qui n’a jamais pu sauver la terre, la sauver de ses maladies, de ses misères, reviendrait à se soigner elle-même, la médecine donc aurait dû soulager sans rites ni carabins morbides, qui auraient dû soulager eux humblement la douleur, la souffrance sans se pavaner dans ses blancs atours. La psychiatrie s’engage dans la privatisation et le commercial, d’une suffisance ignorante des problèmes de l’humanité, les médecins n’ont pas rempli leur rôle véritable, individualisent les luttes des classes, les conflits de générations, les clivages sociaux et les grandes guerres de la République.

Sans supprimer pour autant les grands élancements d’une terre écrasée de pouvoirs féodaux despotiques, dont on ne survit que miraculé, la science aidée de la médecine, s’oriente vers un mercantilisme sans fondement, un engagement sans éthique véritable, sinon celle du succès et de l’argent, le profit. Après la réforme de la Sécu.

La place à gagner de la clinique privée, où là, on opère en toute liberté pour l’argent que cela représente, place à gagner et garder, un approfondissement du mal s’y fait sentir, jusqu’à fidéliser une clientèle pour que soit favorisée une médecine d’élite, qui essaie parfois de se sortir de son marasme d’une pointe d’audace, qui dessert les populations de malades plus qu’elle ne peut leur servir, pourquoi pas le four crématoire ou quelque autre détail de l’histoire, tant qu’ils y sont….

L’on peut parler de miraculés de la Science, pour ceux qui ont osé s’en sortir indemnes.

Sans doute une pointe d’égalitarisme n’y ferait aucun mal, quand dans ces secteurs, il consiste à faire subir à quelqu’un, ce que d’autres ont subi, car il n’était pas encore passé par là et donc s’en trouverait privilégié. La similitude des cas et celle du clonage en guise de traitement.

Il est proscrit, cet égalitarisme, la hiérarchie soignant–soigné ne manquant pas de piment, elle perdure, indurée de manifestations sordides, qui prêchent d’autres devoirs civiques, le manque à gagner d’une profession qui autrefois élevait sa notoriété jusqu’au bénévolat. Dans ces milieux, le bénévolat consiste à vous faire rôtir sur le bûcher des électrodes, mort ou vif, pour bien vous agenouiller devant la réflexion du Père ou du larron voisin, à l’heure de la décapitation. Parfois à l’heure des braves.

L’esprit se perd…

Cela doit leur gicler derrière les gencives, tant ils espèrent vous aider en vous passant à tabac, en vous traitant en dedans de grosse praire, quand ils n’ont cru que vous chatouiller, même si cela pue la moelle en feu à vous étouffer de l’odeur dans votre appartement. L’électrocution pure et simple du corps entier à partir du cerveau. Jusqu’au coma, épileptique ou pas. Car il est méconnu peut-être que la crise d’épilepsie cause l’orgasme, le vomissement, la défécation la miction et la chute grave de tension. Jusqu’au coma. Certains mal intentionnés s’amuseraient de ce phénomène…

A vous le refaire toute une vie si vous ne l’appréciiez.

L’égalitarisme se perd dans les professions de foi, qui sales et profiteuses, instillent le bien être du malade, le médecin-dirigeant, facette d’une profession qui reproche à ses patients leur appartenance religieuse et politique, se professionnalise dans l’épuration, selon les directives d’un activisme sous-jacent socio-politique. Outre que simplement universitaire, ce pouvoir dépasse ses limites, dans un engagement militaire ou répressif qui ne va pas toujours dans le bon sens de la déontologie. Les médecins militent en général à droite, pour l’extrême droite le plus souvent, sauf quelque communiste fortement enragé de l’esprit du KGB, et de la morale de commando.

Si les pompiers n’en font autant, par esprit eux de régulation de la vie privée, dans l’urgence du cas. Surtout pour vous rentrer dans le lard, quand vous les qualifiez tout bas de SS.

Un évanouissement de femme enceinte, vous êtes bon pour l’épilepsie, même si une crise de ce type peut vous causer le décès, tant ces opérations neurologiques en fait présentent un risque, le risque précisément de décès. Elles seraient pratiquées dès que vous ne vous passez pas la pâte dentifrice, si vous ne prenez pas le repas à temps, à la moindre altercation même si vous n’y répondez et dans les moindres cas de perte de connaissance, vertiges orthostatiques causés par l’abus de traitements sédatifs. Le plus souvent neuroleptiques, prescrits dans la plupart des cas sans l’effet des correcteurs, antidotes palliatifs des effets secondaires dits pervers. Torture chimique.

Certains esprits malfaisants signalent le devoir d’employer ces méthodes sachant qu’elles sont abortives, s’il s’avère que vous êtes une femme en état de grossesse. Privilégiant ce qui peut faire figure d’acte de torture dans les procédés médicaux, et ce, dans le but acquis de commettre l’eugénisme, le génocide humain de toute descendance d’individus déclarés malades mentaux, le peuple commande, et recommande la sentence d’exécution sommaire aux services requis.

Société récupératrice des vieux périls.

Dans l’espoir de sortir des vies humaines du glauque, de la fange et du péril de mort, les médecins ont commis l’irréparable, l’illusion d’un paradis forgé dans les efforts d’une éthique médicale, plutôt que d’apporter soulagement et confort autant que l’on s’y attendrait, même si cela ne vous a pas coûté cher, les spécialistes travaillent dans l’ombre, ils ne se font pas rares.

République des psychiatres.

Nouveau régime de Pol Pot, le médecin traitant, et sa bande de Saloth, contrefaçons de Khmers rouges qui divisent les classes et les individus, pratiquent sous la blouse blanche, presque sans le savoir, des purges ethniques parmi leurs insurgés à la demande de quelque chef de prairie. Au calot bien bandant. Biens des bacchantes, après la restauration au poulet et les odeurs de cuisine française.

Ne pas s’effrayer ensuite des baisses de niveau tant la confusion règne, dans la forclusion de l’affaire. Que faire poétiquement de plus, sinon faire deviner la chose… Qui devait passer sous silence. Tout comme je me passe actuellement de la doctrine du silence.

La peur du gendarme, du pin-pon du Samu, du pon-pon du pompier, du psychiatre et du curé.

Pour la gloire du diplôme, soigner à la légère finit vite dans l’abus de rôle comme dans l’abus d’autorité, sous le masque du jeune interne, le teint frais comme une rose, qui établit ses rapports en cinq à dix minutes, comme l’on s’avale à la va vite un petit pain. Quand pour les malades c’est la multiplication des pains, par la figure. Sortir une humanité boiteuse des passés à passifs accumulés, cela va du cumul des hécatombes, à l’inclusion du patrimoine génétique dans le soin des canards boiteux et des brebis galeuses de leur milieu social, promet l’avènement d’un affaiblissement des générations futures. Ou bien le temps, ils le prennent trop, ce qui ne les empêche de faire tout de même du malade à la chaîne. C’est à soi qui en est victime de prendre le pas et respecter la juste mesure.

A qui se fier donc, si même les valeurs les plus sûres promettent à la disparition de l’espèce, au nom d’un progrès dirigiste, dirigé lui sur un anéantissement total de la race humaine, toute ressource de vie et de raison rendue victime de tares ou vouée à sa simple disparition. Les bonnes résolutions…

Le rôle de la médecine est de rester une médecine réelle.

Quant à leurs électrodes, ils ne se les sont jamais mises assez sur leurs parties sensibles.

S’y prendre tels Slovaques, en prétendant surélever la race humaine au-dessus de l’animal et du végétal, du minéral et de la nature, voilà bien la prétention d’une médecine à l’infantilisme d’un char d’assaut allemand, qui ne serait pas à prendre avec des pincettes, dans toute la susceptibilité du schizophrène. Sauf votre respect, un peu pornouille, d’ailleurs, avec son cul qui pendouille, dixit ma mater.

Mis à part que moi, je n’écoute que du raga.

Non, ils ne sont pas mes amis. Ils ont du trouver la faille du système, pour interner.

Contrefaçons d’amis qui ne peuvent pas saquer. Et matent bien les résistances les plus farouches, facilement influençables après les contrefaçons de soins, il fallait rester d’une certaine faiblesse d’esprit et à peine conscient, excusez le peu.

L’être humain. Une espèce capable de disséminer aux quatre coins de la terre et de l’univers son savoir et son pouvoir de destruction, sa science du vice et du sévice, les lois vitales de l’organisme humain, ses capacités de procréer une progéniture, et de l’élever, est incapable d’affronter le moindre petit mal, le réduit par les grands moyens à l’état de poussière dès qu’il est question d’aborder le problème social. Une terre vendue de la surexploitation des marchés, qui sapent les rythmes biologiques et les lois des cycles naturels, défie l’homme de trouver remède à ses incartades conflictuelles, les crimes contre l’humanité, dans un confinement de bureaux où cela se pratique, à la limite de l’extra-terrestre. Du livre de science fiction ou de la fiction de terrain.

Un Mad Max toujours présent, entaché de fièvres latentes et létales, de honte prostrée, qui traîne dans chaque rue, se fiche de la morale, un exil que chaque enfant combat, du haut de ses dix ou neufs ans, dès les premiers mots sinon dès la conception parfois, jusqu’au dernier souffle.

Le malade, quel malade, réchappé des pogroms endémiques d’une société toujours perturbée par les différences, persécutrice, aussi terrible que les guerres quakers, ou germaniques, épizootie totalitaire et concentrationnaire, le malade, donc, est chargé de se faire accepter, par la même occasion, de se faire tout petit, il n’est pas le seul à souffrir.

Guerres despotiques à tribales, qui agonisent dans la menace d’une guerre bactériologique, chimique ou bien nucléaire, issues des temps protégés de l’humanité, elles croupissent dans le manque de moyens et de méthodes nouvelles. Exterminatrices.

Peuples du néant anéantis d’une occupation de terrain, acculturée et cultivée dans l’ignoble, la caste des malades mentaux pourrit sous l’ignorance inculte, l’infect parmi toutes les phagocytoses qu’elle a subies, issue elle d’excréments, du pu et de cadavres, de merde et de crasse noire, sans ignorer les odeurs de vomi, de pisse et de gouttes dans le genre sucs de macchabées. A vomir en cœur sur les tables de réfectoires, à l’heure des repas.

Ce peuple naïf s’invente un 17° siècle, Siècle des Lumières digne d’un progrès incommensurable. Vit de chimères tacites, parfois se révolte, étincelle dans la nuit, vite étouffé d’un protectorat de maîtres missionnaires illuminés. Une organisation solide qui argue le bon coup de pied, porteuse de sa foi qui règne pour la plus part du temps aujourd’hui, dans l’inutile, la Médecine.

Elle aboutit à des résultats probants après bien des tâtonnements, des saignées et des clystères, de ferventes nuits passées à veiller pour que ne meurent les Hommes, un humanisme qui aujourd’hui passerait pour une exagération des problèmes de notre espèce, et serait ciblée telle maladie. Une ferveur que nul ne peut traduire.

Gloire donc aux découvertes impalpables et pourtant essentielles, dont l’apparition à un âge où l’espèce enfin raisonne, où une infime partie de sa population reste les pieds sur terre, éclot au milieu des orgies et des deuils nationaux ou pas. Vouloir sortir de l’obscurantisme, veiller sur une terre qui n’a besoin que d’un âge autre que celui de la pierre ou de la lapidation, l’âge d’une autre conquête.

Nouvelle conquête de l’Homme, l’Homme, serait l’un des premiers cris à pousser, si j’étais moi même médecin.

Hissée au-delà des esprits englués de barbarie, de faim et d’alcool, l’humanité pense. Profite du laisser aller de l’œil noirâtre des persécuteurs, les grandes occupations de l’église, la raison universelle qui s’instaure.

La bride un peu plus sur le cou, l’homme explore son corps, prend connaissance de ses biens naturels et de sa nature, dépasse l’espace d’un demi-siècle les creepings lâches de serviteurs ladres des nouveaux despotismes habitués aux esclaves. Et là, la science régresse. Terre négresse.

Ou plutôt laissée libre pour que soit bien entretenue la masse des fidèles, les serviteurs de l’église et le gouvernement jugent bon de laisser libre cours à une inspiration scientifique qui permettrait des éléments plus durables, donc plus facilement exploitables, une bonne qualité de la force de travail étant requise. Faire front aux épidémies était une issue de secours de la race humaine si elle ne voulait s’éteindre ni souffrir.

Les antiseptiques et l’hygiène ont remplacé l’alcool et l’éthylisme, une perdition de plus, qui était certainement une lutte inconsciente contre les infections, tant les beuveries étaient permises.

Et vive la phtisie, encore un coup…

L’alcoolisme dissuasif des virus et microbes, sorte d’ersatz d’antibiotique, a précipité l’homme et l’humanité dans des hécatombes effroyables, les guerres, l’ignorance, la torpeur et les vapeurs lourdes d’esprits embués, incapables de réfléchir ni de penser au futur de la planète, un monde de brutes épaisses et d’abrutis. Servant la même occasion de se battre pour mourir, réguler par les génocides les trop pleins d’individus dûs à une politique religieuse nataliste. Abusive. Jusqu’au mal de Saturne ou Dieu Cronos dévorant ses enfants. Depuis le temps, vérité éternelle.

L’alcool soignait les détresses, les coups durs, les veillées auprès des morts, désinfectait les plaies, un revigorant qui poursuivait jusqu’au crime. Une trouvaille diabolique, qui trouvait un équilibre dans ces sociétés là. Sursaut de fidélité à un soin subalterne, l’humanité se sent encore coupable de tant de beuveries, étudie et travaille ferme, malgré tout, la France n’a pas abandonné son litron-cammenbert-saucisson, preuve indicible d’un état de pays en sous-développement, où l’opium du peuple va de pair avec une résistance farouche de l’esprit des dictatures. Dictatures autant qu’alcool, opium des peuples.

Cette propension à boire qui hante tous les âges, qui fait que la peur est noyée dans les lendemains d’ivresse, la cuite dans l’anesthésie des cerveaux qui remplace toute quête d’un amusement ou d’une recherche de loisir, d’occupation bénéfique, imprègne à vie autant que le monde, le génotype même des ethnies et des sociétés.

L’art du vivant ne devenant plus que l’art de la mort. La terre n’a pas réussi à purger cette catastrophe des temps mal vécus, digérer les cadavres, les corps mutilés des surplus de population lui appartient désormais. Déjà le monde entreprend une nouvelle guerre, celle de civiliser à outrance, par réaction aux extrémismes qui concurrencent l’aveuglement des cultures du vin et de l’alcool. Remplacer le carnage par l’émancipation, la médecine tape fort, l’éducation a vu grand. Une souffrance incommunicable et muette hante telle revenant les couloirs, les allées des hôpitaux, des asiles, celle de la cure, pétrie des subconscients affolés, rêves prostrés de toute vie future, une génération marquée : La jeunesse, tombée dans l’oubli de l’éthylisme, des drogues dures.

Le gaspillage immonde de la planète et des vies végétatives ou pas, est une source de poison qui damne la vie terrestre, sature dans une orgie fasciste le plaisir et le bien être, le remplacent par le plaisir de dominer, d’affecter une population dans l’affection des plaies anciennes pour que les cerveaux ne pensent plus, sinon à leurs blessures.

Une façon de cogner jusqu’au sang, amputation de membres et d’organes, blessures vives qui freinent les cultures, les empêche de librement s’épanouir, la mort de l’identité des peuples et de l’individu, due à la violence éthylique, puis médicale, rompt l’élan des sociétés qui auraient pu répandre l’idée d’un pacifisme presque immortel. Paradis promis par la science et l’humanisme Chrétien depuis les plus hauts temps de l’humanité de la religion et de la politique. Médecine, culture cumul des barbaries de tous les temps.

Le plaisir belliqueux dominateur corrompt, engendre le crime, pour régner plus facilement, conduit des dirigeants à laisser croupir des masses dans la maladie la lèpre noire et la misère, cercle vicieux de la consommation d’alcools, la famine, le manque d’hygiène torture officieuse des pays atteints, jusqu’au handicap d’une ethnie qui paiera de son ravage le prix de l’ivresse, celle de tuer.

La hargne et l’apartheid galopant de plus belle, d’une froide lame étêtant quelques martyrs, d’une fièvre transmissible la Médecine comme l’alcoolisme d’Etat éteignent la lucidité dernière des hommes, à peine trouvée, fait chahut aux portes des cités, marquent d’une pierre indélébile l’apanage des records, l’endurance de générations qui n’auront connu que les épidémies et la résistance, parfois seulement individuelle Appelée de nos jours aux fascinations intégristes de tous poils, capitalistes autant que religieuses, une nouvelle drogue dure.

Peines et bateaux d’une vie condamnée à la souffrance, prisonnière d’une lutte fratricide lucide envers et contre tous, l’humanité au creux de la vague de violence tombe de sa noblesse au milieu de l’ivresse collective, crée de nouvelles maladies. Des reliquats d’anciennes démences, à chaque âge des sociétés leurs maladies, de nouveaux malades de la barbarie, de la défonce sociale dans le travail et les nouvelles drogues. Le malade du vingtième siècle consent à l’idée du soin, les plus rebelles s’opposent à des murs de résistance.

Le rôle d’une médecine bien avec son éthique, est de faire penser, réfléchir, non d’abrutir et faire végéter dans la cécité, l’aveuglement idéologique toute une sous-couche de la population. Les premiers ages de la Science l’avaient compris.

Nouveaux Galilée.

Aristote, Archimède, et les philosophes.

Cette Science qui nourrit telle pain, qui issue de nulle part est la foi en la survie de l’espèce, perd ses atouts dans une guerre des possibles, un profit colonisateur dans une récupération royaliste charlatane des mesures de sécurité, de prévention, étatiques.

La médecine, au départ pédagogue et humaniste, finit par envoyer aux galères ses dissidents, condamnés au moindre combat aux oubliettes de cette monarchie médicale, meurtrière au centuple dès que sa déprédation sur les masses ne s’amenuise, dès que contestation dans les rangs il y a. Aucun progrès depuis une décennie, sinon l’usurpation d’identité d’une science qui est restée répressive et totalitaire, dans ses lois sur l’enfermement et l’accaparement du corps des individus qui prennent le maquis de l’antipsychiatrie.

La divinité Médecine, telle Méduse, (Cf. Gorgone ou l’Or Fou), trône depuis belle lurette dans un ramassis de mensonges derrière le voile de la blouse blanche qui sert de façade à tous les abus. Le médecin psychiatre, pire que prêtre de l’Inquisition, curé dans sa cure, pourchasse et punit, traite et juge sans procès, évalue le degré de culpabilité de ses patients selon des barèmes préétablis, ou dignes de Néron.

Experts en la matière.

Son rôle second, purificateur d’une ethnie de serfs et de subalternes, son devoir d’assainir et de curer les plaies réduit à celui de la consultation, où libre sous la toge, le prêtre aux abois de trouver une nouvelle proie officie, père d’une église de fait que nul ne peut affronter, sans risquer sa liberté ni sa vie.

Médecins : Ils sont l’infanterie dans la ville, les nouveaux flics bourreaux plus terribles que CRS, dans la logique du putsch, et de la détention d’esclaves sous l’emblème de la Psychiatrie. Résoudre les problèmes de la police quand elle n’assure plus, selon les lois médicales, revient à déléguer les pouvoirs de la justice à des marchands de soupes. L’hôpital ou la prison ? Parfois, pour certains, l’hôpital prison, et il faudrait voir s’ils le méritent.

Internements arbitraires, une injustice digne du diagnostic de symptôme schizophrénique ?

Née pour contrebalancer les effets pervers de religions dotées d’un pouvoir étatique, la médecine, de réfractaire aux totalitarismes, devient elle-même despotique, fait fureur, au pays des libertés. Poids marchand dans l’étalage des performances, un marathon des professions de foi, elle reste l’enjeu des pouvoirs, berce de douces illusions des peuples entiers en mal de réhabilitation ou de secours réel. Groupes majoritaires armés de sa main, qui récidivent dans le détournement de loi, et dont les agissements souterrains restent invisibles, la médecine prend des allures de science céleste, au service des états, et de nature divine, s’affirme incontestable. Morale d’Eglise d’une science douce en apparence et qui frappe dur dans le dos. Purgatoire des libertés, anti-chambre de la mort des consciences.

La psychiatrie en connaît les effets pervers.

Un manifeste de l’antipsychiatrie serait le bien venu.

Tel serait le propos, je ne vivrais peut-être plus.

Martyrs d’un maître incontesté, inconstant, incontournable, maître en lui et au fond de sa maîtrise, maître de la Science, le médecin souverain pontife qui applique sa loi, les individus qu’il traite de sa traite du malade, restent responsables de l’image que donne l’institution qui les soumet. Soutenus par aucun syndicat des malades mentaux, ces gens là sombrent dans l’absence totale de revendications, sinon, très peu entendues. La transparence du système manque, quand la plupart des traitements médicamenteux sont issus d’expériences plus que probablement expérimentées sur des déportés des camps nazis. La psychiatrie a connus d’autres voies de garage, dont les bains forcés et les douches froides, la litière de paille et les fers aux pieds, de corps dénudés.

Il n’y a pas si longtemps…

Et ne comportaient auparavant que l’introduction dans les hôpitaux de médicaments à base de drogue, que dire des effets secondaires, pris le plus souvent pour la véritable maladie…

Silence, l’on vous soigne le crâne.

Suivi de son parterre d’érudits agitant le baldaquin, et sous son palanquin, le médecin psychiatre visite son sultanat, réduit aux derniers accroupissements et génuflexions des consciences tranquilles de « déséquilibrés », qui bannis dans leur chambre à la moindre tentative de rébellion, s’allongent dans la douleur profonde qui leur est faite.

On leur doit la foi d’exister encore, sous la condescendance noblement rancunière envers cet état, si roturière du marché aux esclaves qu’est la médecine psychiatrique.

L’Etat, au beau fixe.

L’on vous recollera les morceaux jusqu’aux idées fixes.

L’hygiénisme jusqu’au lavage de cerveau pour que vous ayiez des idées qui vous soient bien propres…

Morale d’un peuple de dominants qui s’est couvert de honte.

Les murs des asiles psychiatriques, le Mur de la Honte.

Repos et garde à vous des traitements, génuflexion, pirouette devant les visiteuses et les médecins, rompez et faîtes bien la fête, tout esprit de race mis à part, venez, enivrez-vous d’une seconde vie de beignes et de bien-être sous le chloroforme, après l’absorption d’une substance élégiaque bien paumante et, enfin, faites attention.

Enivrez vous de l’odeur de votre serpillière, battez votre femme, si vous ne savez pourquoi, elle le sait bien, ne parlez à personne de tout cela. Saturez et suturez votre prochain dans votre dernière crise de revanche, internez votre dernier enfant, faites lobotomiser votre amant, en guise de rituel initiatique, ablavez de sa fatigue votre vieille mère, tabassez bien votre père, au cas où il ne voudrait point prendre ses gouttes, enfermez le chien et attachez serré le chat, après l’avoir pris à la gorge pour avoir eu pris un peu trop de flotte. Méfiez vous, vous avez mauvaise haleine.

Et restez, statue d’essence éternelle, vieille et vierge de tout compromis. Là, au moins, vous ne vous posez en victime. Dans la pénombre d’un bureau confessionnel, le prêtre-médecin confesse et fesse à la fesse tendue, pouffe à perdre la raison, psychanalyse et se flatte du bien fondé de la chose, lui qui a toujours défendu les faibles, mais en les faisant rôtir dans les feux de l’enfer sur la place publique.

Des idées qui profitent. Crudité de la lumière sur le défendu, le bien des pauvres et la mythologie des grecs. Elle oublie les sans abris, qui à l’origine étaient les vagabonds des églises, de la charité. Sauver des méthodes de l’Occupation dans les termes de la religion, le rebelle dit agité, les consciences tranquilles de peuples ignorants. Consciences vouées à l’intolérance. Il fallait autre chose que le charisme et la pitié de Saint Vincent de Paul, la Psychiatrie a trahi ses pères.

Contrecarrant les problèmes d’un profit d’Etat dont les biens amassés cachaient un danger, l’esclavage, la religion, médicalisée aujourd’hui, appelait à la tolérance envers la misère des maux, mais en un autre sens, s’en remettait à la méfiance qui hantait les subconscients, méfiance en la nouveauté des idées. Et détectant la peccadille qui aurait pu la sublimer, la terrassait du supplice du bûcher.

La psychiatrie n’a pas fait mieux. Dotée de ses supplices infernaux pour nouveaux martyrs chrétiens, les martyrs de la Science. Dans le démoniaque de ses recherches expérimentales, et de ses derniers rôtissements.

L’acquisition d’une lucidité en passant d’une éthique d’élite à l’autre, de la morale de groupe papale et d’église associative à celle plus individualiste du médecin traitant, les progrès de la médecine allaient bon train quand la déontologie dérapa, au 20° siècle en s’acharnant sur les plus faibles et les moins puissants, les plus pacifistes, dans un travail d’élimination assez sectaire pour être le fait de nouveaux gourous.

Femmes enfants adolescents et vieilles personnes, isolés et sans travail furent les plus attaqués par une population qui voulu faire de ce pouvoir dans l’Etat une nouvelle arme de frappe sous sa chape d’interdits et subconscients. Dans le devoir civique pro germanique. L’asile recréa tout ce que l’humanité possédait de fléaux, remplacer la psychanalyse par un savoir populaire d’une ignorance plus profonde que ses apparences, a été de ce pouvoir tertiaire, l’erreur. Sacrifices humains de la veuve et l’orpheline…Charmé du chant des sirènes, de métaphores légendaires qui sont le lot de la vie dans certains de ces pavillons, le patient des asiles, espèce en voie de disparition autant qu’en voie de prolifération, retourne chez lui comme sur un coup de pied aux fesses, la tête pleine de ses luttes intimes contre des heures de bonne volonté de marâtres et pères fouettards qui l’auront réduit au stade de descente lit pour colonisateur en mal de pays nègre. Il retourne donc vaquer à ses occupations, après le quart d’heure de catéchèse de sa dernière pseudo explication sur Sa Vérité au divin psy’. Enfin, seul.

Retrouvant sa Raison après l’avoir perdue au paradis, surtout celui des cliniques, dans un travail de ressourçage aux origines, à savoir son logement, le vieux schizophrène ne s’ennuie pas. Détrôné de la véracité de toute pensée qui pourrait lui venir, et sensé bien assumer cela, affable et bien encadré par des voisinages très compréhensifs très démonstratifs, il ne voit plus dans toute intention quelque geste malsain, par l’art des visites, entretiens de fond et autres saines occupations jusqu’au dimanche, le malade n’a plus qu’à chanter le cantique des cantiques, voilà pour la partie théorique.

Sans parvenir à une relation bénéfique vraiment salutaire, le malade s’engage autant que dans légion, dans un conflit armé, redoutable : Je ne veux plus vous voir, ni reprendre de ces médicaments. Adieu.

C’est là que les choses se corsent, parce qu’il y a inévitablement quelque chose. Car il se trouve que le patient trouvera toujours un vendu pour l’échauffer à temps, dira la référente déférente qui le défère pour le chambrer de façon irréversible, assez convenable pour que le malade garde le mauvais rôle, celui de porter le chapeau de l’affaire, c’est à croire que les corbeaux aussi, l’on les enrôle, pour servir de mouche de coche.

L’institutionnalisation de ce genre d’individus qui vouent leur temps libre à donner des renseignements sur telle personne dont les clefs psychologiques tout comme les clefs de leur logement voire leur sont confiées, la quasi officialisation et l’emploi libre ou presque gratuit par l’hôpital de ce genre de contrôleurs des vies parallèles de malades, fait que les charias dans lesquelles vivent certains patients peuvent s’avérer mortelles.

Inattendu, le rôle de la médecine était de soulager les hommes, certains médecins n’ont pas vu là le mal d’une telle expérience, étant donné le gros labeur que ces écuries d’Augias représentaient dans la ville, la marginalisation des êtres certifiés non conformes au moule de l’esprit concierge en général. Forts de cette expérience de récupération, papa et maman ne sont pas toujours à la roue, au moins, pour stimuler, sanctionner, le voisinage immédiat ou non s’en occupe et même en fait ses après midi de salon. Quand à l’hôpital, lui, il s’en préoccupe.

Préoccupons, donc. Il ne fait pas toujours bon d’avoir une famille, car dans ces cas là, elle vous possède.

L’éthique première de la médecine, qu’elle tient des Loges franc-maçonniques dont les Rose-Croix, était de soulager, délivrer les êtres humains du poids des souffrances, de la douleur et des différences, il serait bon d’en faire l’exégèse, ce qui reviendrait à réfléchir sur ses droits, reconnaître des rites de toutes sortes, de toute nature, qui ont guidé l’homme vers le sentier de la découverte médicale, enracinée dans la culture empirique des tribus, chamans, sorciers, gourous, marabouts. Délivrance arguée par le souverain, qui tient à la bonne santé de sa horde, dans le souvenir des résurgences des grandes barbaries. Sources d’une compilation des innovations, détournée sous la coupe de religions vers une décadence de son usage, dont il faut bien connaître le mode d’emploi.

Parce que là la coupe est bien pleine, je crois. De religion gourou sorcier ou chaman, la Médecine revient à son premier rôle.

Décadence des structures d’accueil, pontification du sorcier, le médecin et la sorcellerie tribale ne sont plus que l’avenir de la médecine actuelle, si elle ne donne dans le vaudou tant elle est devenue à la mode, tant les cures de sensibilisation que font les masses d’un tel problème, vouent des têtes à cette publicité mensongère. Une arme de pointe dont la foule s’alarme et fait vite des choux gras. Dans la cure de désensibilisation, hein, à tout ça.

La profanation de la recherche investie à ce point dans le charlatanisme ségrégatif de la psychiatrie moderne se fait sentir, les cuistres en ce domaine doivent se réserver pour une éthique des plus terre à terre, un pourcentage sur les lits pleins, et plus pragmatique encore, spéculent en élucubrations des plus esthétisantes sur ce qui serait à craindre de beaucoup, le Nouveau Goulag.

Histoire de répondre enfin, à la dernière conférence de presse de la psychiatrie contemporaine…

Cercle fermé, proche du franc-maçonnisme, sinon entièrement rongé des Ordres. Presque tous d’obédience Catholique à Chrétienne. Même si parfois de la Gauche mais Chrétienne.

Les fous. Problème de l‘Humanité. C’est à se demander qui a un réel problème. Population-déchet que le monde occidental a entrepris de civiliser selon d’autres normes que celles préétablies, mais on ne sait par quel miracle intégrées par la morale de la base, cette minorité ethnique que représentent les malades mentaux végète dans l’ignorance de son sort. La civilisation ne se fera que par la propagation de propagande, la généralisation du monopole capitalisme ou ne sera. Et sa suite de progrès nocifs servira de miroir aux alouettes à des familles éparses sur les territoires, qui dans une détresse sans pareille, livreront mains et pieds liés leur rejeton ou vieux parents à ces monstres sacrés dans leurs favelas d’agonie.

Progrès pédagogiques d’organismes humanitaires qui se heurtent au manque de courage des pays émancipateurs, aux blocages totalitaires des dictatures de fait. Le monde manque de temps réel pour soulager les maux qu’aggrave cette gangrène du pouvoir mercantile. Médical de nos jours.

Efforts humanitaires qui remplacent toute initiative que l’on attendrait de telles nations, et il faudrait concevoir ces exactions comme un progrès tant les carnages dus aux occidentaux pèsent dans le poids de la balance ; mis à part ceux de la Bosnie, les préoccupations salutaires seraient muettes face à cet étalage de bienveillance qui masque le véritable problème de fond des hôpitaux mouroirs, où s’y pratiquent des dérapages peut-être aussi graves que ceux des militaires américains sur les prisonniers iraquiens. Ou calqués sur les camps d’internement nazis. Où furent crémés les premiers les malades mentaux des hôpitaux de l’époque. L’on comprend bien désormais pourquoi l’homosexualité n’est plus déclarée maladie mentale… Les camps roses.

Préoccupant, mais efforts qui coûtent à l’humanité, car les soignants qui organisent une telle action d’assainissement de la société ont sombré dans le poujadisme dogmatique démagogue le plus curé en comparaison du type d’intervenants qui serait souhaité, et espéré.

Des matons, difficiles d’abord, des grosses femmes, obèses querelleuses et baffeuses, le cul et le culot en coquelicot de ces poivrots éthyliques à souhait qui parlent corde et pêche à la truite, passent leur temps dans les intimidations les plus crues ou imagées. Fleurissent de leurs perles rares les rares moments d’extase quand viennent les soins, passent de la Question à celle de la peine de mort pour patients puis à la question évidente pour eux de l’euthanasie, au menu ces derniers repas tournant autour de la fameuse cuisine à la française, qui servent aussi à tuer le temps, après les dernières demandes d’augmentation de salaire des effectifs.

Taper le carton avec revient à un exploit, devenir célèbre dans leur pavillon, sous condition de posséder un parent influent qui remercie plus qu’il ne distribue désormais les beignes, d’un kilo de petits biscuits, les quelques services requis. Dans le clan des surveillants il faut montrer patte blanche et bien surveiller l’éducation, sans se mêler des parties ubuesques de pétanque à Nice. Lors du dernier voyage organisé. Un pays où il fait toujours beau…

Leur esprit aussi ivre et inculte que la mentalité des piliers de bistrot, leur aspect reposant de vieux bouledogues, ou de matrones imposantes à hurlantes de ire, dotées d’une haine féroce envers le désordre, ne laisse rien présager de bon.

Une revitalisation des personnels infirmiers serait à prévoir, où les maternités séculières des ces anciens bagnards recyclés dans la fermentation onirique des ordures, ne gêneront plus les cures de jouvence qui se passent à l’hôpital.

Bousculeurs, colériques, ou matriarcats d’ancienne Espagne ou Italie, ils raffinent le manque à gagner dans telle filière. Vous frôlent, pour ce qui est de leurs nurses d’Etat, de leurs larges jupes, larges comme des tours dont elles vous flanquent, leur tour de poitrine opulent vous étouffe entre deux mamelles, ou bien, de leurs jambes rachitiques, elles courent avec les nabots, à la vitesse de la foudre, sus à la rasqueuse. Et à la rouquine.

Elles ne lésinent pas, elles non plus, sur le rouquin.

Le personnel hospitalier français ne paie pas de mine, matrones ou vieux joueurs de boules, têtes farcies à l’huile de porc, à l’aïoli bien salé, dans l’art de calmer experts ils vous collent leur poing dans la figure ou leur clystère dans le cul et vous admirez là la ligne de flottaison chez l’ivrogne, il l’est toujours beaucoup plus qu’eux. Un point c’est tout, c’est dit.

Purge inlassable, les salles de ces hôpitaux ne désemplissent jamais, rare période d’étiage en vue.

Preuve incertaine d’en sortir, la France cache vite fait ses éclopés, ou en fait un grand étalage, dans les émissions télévisées.

Une souffrance indicible.

Invincible, incoercible, que seule l’injection peut faire oublier, qui hante les dortoirs comme les rêves de catéchumènes tel fantôme subconscient des têtes inhabitées et vides de conscience.

Est acquis le terme de malade, ni affaibli des purges pseudo staliniennes, ni déchet industriel.

C’est déjà ça.

Quelques guerres titrées à la une des journaux, génocides totalitaires, pandémies épizootiques tant naturelles dans le développement de l’homme, la déontologie ne s’embarrasse pas d’efforts : Le résultat est identique, ou sombrement humanoïde, le malade. La déontologie des temps anciens, protégée depuis les hauts temps du moyen âge et de l’antiquité, comme recette de bonne foi et acte de bravoure, hisse l’humanité au-delà de sa condition, des fosses et des bouges, des croupissements noirâtres fétides et aliénants, des tueries mondiales ou tribales.

Les peuples qui s’anéantissaient dans une occupation de terrain des plus diversifiées, se passent le flambeau de la guerre psychologique, se vautrent dans des terrains glissants, qui ajoutés à ceux plus infâmes et infects de la guerre économique, cause de misère noire et d’épidémies, laissent apparaître les quelques détenteurs de la « tare » : les fous.

Fous de la folie humaine. Facteur régulateur des trop pleins de l’histoire, la misère cultive l’ignorance et le poujadisme, dans la luxure la plus hideuse, les marasmes les plus infinis, la débauche, des plus séculières le plus souvent. Le clergé, l’église, les religions du monde entier ont appesanti la coupe de l’anéantissement des populations sous des peuples innommables.

La Liberté n’existe pas, elle ne reste qu’un concept philosophique utopique.

La réalité de la Liberté se mesure au degré d’esclavage de la femme et du malade…

L’ignorance crasse et noire qui savamment entretenue sous l’occultisme bloque les peuples dans un état sauvage de barbarie morbide, dans l’esclavage qui en découle, esclavage éternel que la médecine n’avait réussi à infiltrer que discrètement, travail de chrétien romain, l’ignorance donc était la caution des pouvoirs établis, qui ne craignaient ni le nombre de morts, ni les crimes les plus atroces, ni les holocaustes les plus sanguinaires. Leurs résistants non plus ne les craignaient…

Pathologies de prédateurs du genre humain, prédation de classes dominantes, propagations épidémiques des assassinats en masse, ces tares de l’humanité furent les causes du manque de sérieux des notions élémentaires d’hygiène, le désinfectant le plus sûr restait, j’y reviens, l’alcool, quelques potions de rebouteux, des onguents d’herboristes acharnés. L’alcool tuait plus sûrement que jamais par son abus. De nos jours, l’on parlerait plutôt d’alcool à 90°…

Les découvertes du 17° siècle propagatrices elles d’un progrès invincible doué de raison et du don de guérir, avancée telle la suppression de l‘emmaillotage des nouveaux-nés, cette percée formidable due certainement au laxisme incertain des pouvoirs dominants, victimes d’une organisation affaiblie par les guerres, cette flambée de la médecine a prouvé qu’une force nouvelle naissait, qu’une forme d’état de pensée relayait les pressions dirigeantes et régressives, permettait cette chance de survie inouïe. Ce qui aurait pu et cela n’a pas été, se produire aux premiers âges de l’humanité, mais elle semblait n’en avoir pas eu besoin.

Ou bien l’humanité n’a pas eu cette chance de mériter cette faille dans ses conceptions et celles de ses pouvoirs qui la dominaient, de cette invention plus tard salutaire, celle d’une déontologie non pas arriviste, mais fondée sur le bénévolat, le courage, le sérieux d’un créneau organisé et cohérent. Née de la charité et du puritanisme, cette foi ardente de soigner qui mobilise les anciens carabins du moyen Age dans une quête de la raison et du ratio, qui les poussait jusqu’à profaner des tombes pour disséquer, ce qui était interdit, prouve encore une foi que l’homme semble trouver le droit chemin. Digne de ce défi, mais après quelques folies meurtrières ces quelques jeunes gens se forment entre eux pour, sorte de mai 68 universitaire, se liguer contre les abus des classes dirigeantes. Morale de sacrifice qui part de bonne résolutions croyantes mais qui, peu à peu, dérivent salutairement vers un athéisme universitaire à toute épreuve, bardé des défenses les plus calculées, les plus justes et les plus sincères.

Retrouvées l’éthique médicale et la foi de sauver l’humanité issues des Loges qui les ont nourries et qui tenues au secret pis que secret médical doublée du serment d’Hippocrate, ayant accès aux secrets médiévaux jalousement tus et gardés, empiraient le monde des tortures d’un parcours initiatique à leur sectarisme, pis lui que celui de rat de laboratoire dans labyrinthe. Promettant si trahison du secret mort torture et malédiction sur des familles entières, au détriment de leur santé si existaient quelques réchappés à cette folie. A se méfier de la maladie d’Alzheimer, chez les initiés, telle elle est causée certainement dans certaines maisons de retraite, par des procédés peu sus. Connus de Loges. Parcours initiatiques et secrets puits de science qui en sont issus, m’ont laissée bardée de dons, l’esprit scientifique et rebouteuse un rien.

Sans cette percée inattendue de la médecine déontologique, l’humanité aurait vu, à ce tournant de l’histoire, sa fin. Mis à part quelques survivants, et encore, les plus salauds. Le genre humain trouve toujours résolution à ses problèmes.

Celle-ci était des moins éprouvantes, la moins barbare, mais son évolution semble se diriger vers des moyens tout aussi tortionnaires que ceux dévolus des premiers âges de l’humanité, je parle, de la Psychiatrie. Médecine non sens de la médecine générale, qui soigne plus qu’elle ne convainc.

Gloire des découvertes de notre siècle et de celles qui firent de la médecine une science qui a tant cumulé les erreurs qu’elle possède une histoire. Les inventions les moins funestes firent leur apparition dans une période de réflexion de l’occident, où l’homme voulait sortir de son obscur, des esprits englués qui le menaient à sa perte.

Sursaut de logique.

Draps d’acide.

La folie de soigner…

La barbarie, folie humaine.

Après des siècles d’hécatombes, à quoi s’attendre de plus, de la part d’une science qui reste aléatoire, et diverge de ses racines, peine perdue lovée dans le cœur. Leçon qui reste dans nos mémoires, imprègne les méninges de tout humain, animal, le progrès technologique dessert lui aussi plus qu’il ne sert, et dans cette branche des sciences, la déontologie le suit de près, se perd. La terre n’a réussi à purger cette catastrophe des temps vécus par l’homme, de digérer les cadavres, neutraliser les déchets de la fission nucléaire, ni d’éliminer toute trace de radioactivité d’origine accidentelle ou bien militaire, peut-on lui faire confiance ? Elle n’a pas non plus fini d’assimiler les corps des surplus de population, les souffrances des martyrs de la Science, certains décédés faute de moyens sérieux, sous l’œil atavique de pouvoirs complaisants.

A quelques années du 20° siècle, le monde a osé lever le voile sur des zones interdites, les adultes handicapés, les malades mentaux, preuve qu’il n’existait aucun progrès sur cette race terrienne depuis des siècles. Il y a quelques décennies, ils couchaient sur de la paille, certains enchaînés, nus drogués et victimes de mauvais traitements. Il n’y avait d’ailleurs de traitement que les mauvais traitements. Gaspillage de vies immonde, de générations entières muettes sinon timides, dont le propos tombe dans le silence, le mutisme franc et absolu.

La lucidité d’un genre humain réel retrouvée, allégeant la peine de mort et les bizutages universitaires, abolissant l’ivresse collective et les débordements d’une foule tourmentée de délires obscurs, les états occidentaux ont fait un bon ménage jusqu’à la question de l’euthanasie, qui, l’on ne sait par quel esprit de régression, est abordée. L’alourdissement des peines se calcule, les découvertes en biogénétique prennent le relais des hypothétiques dangers infernaux que l’Homme se doit de déjouer, puis il retombe dans l’enfance de ses premiers âges. L’humanité ne se lassera de faire et de défaire, ni d’éviter le pire.

Autant que ses quelques tenants le pourront.

Les termes du capitalisme étant dépassés, termes qui masquent les profits, abus de pouvoir qui révélaient un danger, le malade mental qui étudie son cas relativement au contexte social, selon les lois sociologiques et ethnologiques de la gestalt thérapie, est sensé devenir un élément contrariant, suspecté de mélancolie, neurasthénie. Il sera atrocement réprimé, enfermé, répression silencieuse qui n’est qu’un droit de fait, face au regard des libertés d’opinion, lois d’opportunistes que celles de cette médecine de l’esprit, en contradiction de celui du Christ, qui devient le point de départ de l’existence ou non-existence de prisonniers d’Etat. Quand est niée toute forme de leur existence.

L’accréditation d’une lucidité éclairée d’une éthique du progrès humaniste et non dotée d’un philanthropisme de façade, ne devrait se passer d’une analyse du savoir populaire, de ses rites et fonctionnements, fantasmes subconscients que la sociologie dénomme subconscient collectif. Bourré d’envies de sévices et de rêves de cruauté, de rêves de domination, issus du légendaire profond, qui traîne encore de nos jours et fonde le passage à l’acte d’actes sadiques.

Entre autres, la Pute à Marie, Marie la Salope, Marie Couche-toi-là, Marie Madeleine.

Jésus. Le Paillasse. Et le Cœur du Fils.

Le rôle de la médecine est de précisément faire l’exégèse de toutes sortes de traditions et conseils de bonnes femmes, recettes que la nature a guidés. L’Homme dans l’établissement de règles de vie objectives et rationnelles a guidé la race humaine vers le sentier de la science moderne, empiriquement d’abord, science enracinée dans notre espèce et propre à elle, ne serait-ce que pour le mieux-aller, délivrance arguée par la vieille école. La résurgence d’antiques sources de pratiques paramédicales s’avère source de réflexion, mais point résolutive des causes mêmes ni traitement officiel du douloureux ni de la souffrance.

La convention médicale de réviser une compilation des inventions dans le domaine de la psychiatrie devrait exister, car tournée vers son but initial, elle s’enfonce dans une décadence récupérée par les masses, détournée par cette clientèle et son appel d’offre, la création de besoin faisant, le style de soins et de sons de cloches proposé aux familles n’a plus rien à voir avec le soin médical ni infirmier.

Les premiers pas de cette Science psychiatrique font penser aux premiers abords à une taule infecte datant du Moyen Age dotée d’une centrifugeuse pour fous. Ce rôle de bonne intention de sauver, cette place d’institution incontournable car essentielle dans nos sociétés, et donc en soi bien fondée, prend des allures de structure d’Etat policier et totalitaire, tend vers la propagande de l’Eglise et du Führer, vers la profanation de l’éthique première de la science et de la médecine.

Ceci dit dans tout ce qui peut se dire de tempérance.

La démystification des tabous, les vérités qu’ils taisent, sans jamais oser les avouer, et leur point de départ, la décision d’interdire pour son bien fondé, les idéaux marxistes qu’ils contiennent issus d’un socialisme chrétien, juxtaposent les origines de l’être humain et celles de la Science, retracée dans des récits de légende, moralisés : Tels, la Bible.

Petit livre de Mao des premiers pas de la morale et de l’hygiène collective, ce livre fait encore fureur, remplace toutes les consultations chez les conseillers judiciaires et médicaux. Qui ont peut-être aussi dégoûté tant de leurs services que la plupart de la population préfère croire aux dons et miracles de quelque puissance surnaturelle. Quand on interne moins les curés que leurs illuminés. De nos jours Jésus-Christ, l’un des premiers humanistes pacifistes et démocrates célèbres de l’Humanité avec Moïse, et chef révolutionnaire émancipateur des esclaves romains, serait le premier à l’être, interné et opéré, lui l’aliéné, autant que le serait un nouveau Che Guevara. Et l’on ne le croirait pas. Jean-Marie Le Pen pris en effet par bon nombre de la population française pour El Che.

Soi-disant à censurer.

Bible. Contenant quelques traces de découvertes véridiques, véritables sources de bienfaits cachées sous un couvert de légende et de propos bêtifiants, logique sourde et immuable face à l’arriération des foules, livre rigide bâti sur un hygiénisme romain des plus inquisiteurs, la bible masque sous ses récits et un voile de bonté, le dur apprentissage, l’initiation à l’humanité d’un peuple trivial, bestial, le peuple. Peuple incapacité de toute son ignorance, le savoir véritable victime d’autorité publique et détenu par l‘élite, il fallait trouver les moyens d’éduquer les masses livrées à elles mêmes sans trop de sang ni de dégâts.

Galilée, Aristote…

La religion prend alors le rôle d’éducateur, relatif et ménageant les barbaries autant que le désir de révélations, elle se laisse corrompre à son tour par la morale publique, l’autodafé sur les places publiques devenant la seule médecine rédemptrice. Les chasses aux sorcières, la mort de tout individu qui dévierait de la logique de l’Eglise, aboutissent au dictat. Traqués pour leur franchise, les premiers humanistes tout autant que les premiers chrétiens sous les romains, doivent payer de leur vie leurs premiers devoirs envers une humanité grossière imbibée de paganismes religieux, décadents et profiteurs.

La religion constituée seule vérité, exactitude infranchissable qui remonte aux temps immémoriaux de la Création, fondation organisée sur la structuration des relations humaines d’un premier état de l’Humanité, tombe dans les excès policiers, profane l’idée même d’Etat. .Les luttes primitives et les débordements successifs qui ont suivi, les procès d’une institution qui s’est battue pour l’humanisation de l’homo sapiens, voient leurs successeurs profiter lâchement de ses infrastructures, incapables de remplacer les Pères d’une mission d’émancipateurs des foules, ils se retrouvent dans les premiers élans de la médecine, dans le profit qui en a découlé, aux idéaux de jean-foutres malhonnêtes et charlatans.

Je parle simplement de la Psychiatrie.

Cette image d’époques de luttes intestines, ces luttes pour le pouvoir au sein de morales détenues par une minorité, une majorité, morales établies dans le but non de nuire mais de protéger des classes ou des castes, qui ont aboutit à la corruption des procédés, remontent à la surface de la mémoire des concierges. Qui contradictoires et anarchiques, cherchent une union collective dans les basses classes, le lynchage calomniateur et les railleries, les houspillages dérivés de la profanation du martyr chrétien. Jusqu’à la profanation même de l’Homme.

Les Hommes, lutteurs de foire imaginaires ivres d’alcool et de boulot, retour aux sources définitivement ancrées dans les mémoires, travail famille patrie devoirs civiques ancestraux en intransigeance, que dispensent de nos jours asiles psychiatriques et dispensaires attenants, où le repos est simple aphasie.

La mémoire des peuples promise à l’amnésie, leur conscience vouée à l’aveuglement, chimique ou issu de toute autre thérapeutique, à l’abrutissement des masses plébéiennes si ce n’est causé par l’argument, par l’alcool ou le médicament.

Donc, à argument, j’argumente.

Autant de Don Quichottes flanqués d’autant de Sancho Pança sergents.

Réaction régressive et commémoratrice du Reich, histoire de la recherche d’un équilibre dans la protection civile des peuples, la paix de soi à soi, dans l’oubli total de soi et jusqu’à l’obnubilation abnégatoire, ne préserver que soi, que penser des autres quand ils vous cherchent l’enfermement ?

Soi en soi et par soi, ou les débuts d’un humanisme individualiste basé sur le libre arbitre qui mêlé aux traditions populaires, déchaîne les basses classes dans une société en mal être. Libre arbitre seulement réservé à l’élite, artistique, bourgeoise, bureaucratique, médicale. Fondé sur un existentialisme mal digéré qui devient un « j’ai le droit, pas toi », lèche et bien nourri, pour un égalitarisme qui frise la fraude (s’il n’est pas comme moi, il est un malade mental), bourgeois et sophiste à syllogique à souhait. Idolâtré par les petites gens.

Enfants délétères d’une philanthropie philosophe rejetée et mal assimilée, les jeunes gens des villes ne cherchent que la quête du plaisir immédiat, la rixe, le lynchage, la délation du plus affaibli que soi. La quête leur est essentielle de ce plus petit que soi qui leur est tant nécessaire pour exister, et qui, une fois qu’ils l’auront trouvé, avec ses points faibles et ses armes personnelles, devra être sacrifié à leur engagement en gage de leur pouvoir sur l’Homme, individuel et qu’ils veulent à tout prix inaliénable.

Lobotomies sous les charmilles.

L’expérience de l’église, institution mal lavée de ses dernières horreurs, est leur guide, rappelle l’histoire du capitalisme et celle de la médecine, mêmes objectifs, mêmes types de pouvoir, mêmes croisades sans foi au nom de la foi, ni feu ni morale, inquisition aussi dure pour les êtres que pour la planète.

Ralliant au rassemblement des partis pour une bonne cause qui sera défendue hardiment, un rassemblement des peuples unis dans le même pacte de dignité dans la tâche de pacifier, les médecins comptent au fond de leur conscience les munitions qui réuniront les ethnies les plus démunies, désemparées dans leurs après guerres. Lutte active et passive, non dénuée de tout rejet ni de crime de race, d’une organisation qui aide à franchir le cap d’une époque de survie et tient lieu de première pierre pour la fondation de nouvelles démocraties, la psychiatrie trahit ses frères d’armes, dans cette valeur de terre d’asile qui leur était chère. Pari immortel qui persécute l’idée de médecins consciencieux autant que curés de campagne, penchés le front innocent sur leur chaire, au dessus des chères têtes blondes de leurs ouailles.

Subsister jusqu’à nos jours, après tant de dures épidémies et tant de conflits, fut une rude tâche, les catastrophes mondiales aidant, mais comment l’homme a-t-il pu réussir à survivre, à tenir bon, à ne pas s’éloigner d’idéaux communs et collectifs, brefs, humains ? Je ne parle que des peuples occidentaux. Témoins des détresses d’un monde qui périclite dans la sauvagerie des plus banales, l’hideur de mondes neurovégétatifs tant drogués de fanatismes séculaires, la médecine autant que l’église eurent un rôle qui s’est éloigné de la philanthropie qui les animaient, veuleries et gains mis à part.

Univers qui ne peut plus faire confiance ni appel à une planète politiquement truffée de profiteurs, de nantis. Les individus lucides, les consciences éveillées se tournent vers une institution qui leur faisait envie, mettait l’eau à la bouche des damnés de souffrance que sont les déments, les exclus et les désemparés. Les à problèmes, pouvoir médical qui n’a su tenir ses promesses et appâte les foules, surajoute au poids des persécutions sociales, le poids d’une convention d’Eglise.

Convention bénéfique communément acceptée, la Médecine, celle de la psychiatrie. L’église et elles s’en remettent au but social, qui la pierre d’achoppement de leur action, assembler les esprits et les âmes, les tenir au chaud l’hiver et au frais l’été dans une forteresse qui résisterait aux idées barbares, aux maladies, épidémies, porteurs de virus diaboliques. Avec pour droit de détruire sans contestation aucune sous le consentement d’un consensus collectif, celui des enragés de toutes formes de spectre d’une société anarchique, incontrôlée et indiscernable, qui eux sollicitent les services d’une telle application.

Bref, indéfinie. Et la Psychiatrie, elle, ne se passe de définitions. Fous parents pauvres de la Médecine. Dernière roue de la Charette, sinon du carrosse doré.

Ages invincibles… Aux langueurs terrassantes et carabins dans leur jeunesse dorée.

Médecine à l’arme blanche rêvée depuis l’Antiquité, le haut Moyen Age, Paradis futur de l’Humanité à qui elle promettait l’éternité, dans un futur aussi lointain qu’incertain, il fallait y croire.... Faux Paradis actuels aux cliniques peuplées d’Anges aux tenues blanches et de Démons qui rôtissent en Enfer.

C’était, bien prévu. Dans des rêves cauchemardesques d’expérimentations, de greffes humaines et homme-animal, qui datent et relèvent du Jardin des Délices, de celui des Supplices, du temps de Jérôme Bosch, aboutissent à l’image du Diable, greffe ou hybride mi-homme mi-chèvre, avec queue de dragon. Mythe de l’homme-animal hybride, d’hommes greffés, qui hante l’humanité depuis bien avant la haute antiquité chère aux fascistes.

Enfers médiévaux connus depuis Nostradamus qui prévoyait le monde occidental en attente dans les hôpitaux léproseries et dispensaires de l’époque, démons alchimistes prescients de notre pharmacopée, brûlés vif pour sorcellerie sur buchers avec athées qui les soutenaient, premiers démons de l’espèce médicale à venir. Enfer promis par les Saintes Ecritures écrites par des Saints, Pères de l’Eglise et de la Démocratie de l’époque, dont certains peut-être des Loges franc-maçonniques, l’Eglise s’est ensuite attribué leur action. Sages qui avaient bien raison de prévenir et la Raison de le faire face à telle montée de fascisme, autant qu’en 1930. Personne ou peu ne les a écoutés ni crus parce que bibliques, parce qu’il ne fallait le croire ni le dire ni même l’avouer pour rester en vie et n’en concevoir des monstres chez les femmes gravides ou futures, ce fut l’Enfer de Nostradamus, les autres, ceux qui restaient, brûlés vifs. Suppliciés. Dans un Enfer que les hôpitaux encore de nos jours représentent et connaissent et sont. Enfer de Déluges de feu de flammes et de sang, de supplices originaux et chrétiens dont nous sommes issus, rescapés de rescapés de tous bords.

A faire traiter les Boschs (les SS dont le surnom provient de ce peintre) tant ils en ont fait de ce genre d’expérimentations dans les camps de concentration, de Bosch, qui a vu venir cette montée pronazie, tant il en a dénoncé les premières pratiques alliées à celles de la Médecine dans le Haut Moyen Age, ou de baoutchs (issu de Boschs), fous en patois méridional encore de nos jours, pris pour SS pour le langage nazi de certains dits fous par les anciens résistants. Confusion, assimilation nazie concernant les déments, les idiots (celui-là c’en est un, tri dans la société baoutch pas baoutch, nazi, pas nazi, résistant, pas résistant) et anciens résistants de la France Libre issue des camps d’internement où se pratiquaient ces expériences de vivisection médicale. Ceux qui en sortaient étaient décrétés atteints du délire de Jérôme Bosch. Les implants de nos jours. Marteaux en langage carabin. Fou, marteau. Il ne pense qu’à ça. Tous mis dans le même panier concernant les SS. Victimes et nazis, profiteurs, infirmes, résistants.

Inversion des faits. Dits fous parce que mode d’expression, artistique ou non, langage assimilé au fameux « délire » de Jérôme Bosch et son Jardin des Supplices. Tu, ou peu su. Langage nazi de la Médecine, qui pratique les expérimentations sauvages forcées sur victimes déclarées démentes et contraintes à la démence apparente, que l’on voudrait bien stupides, illettrées ignorantes dites cons, couilles, à la gueule bien cassée-tête de l’emploi. Langage nazi de la Médecine concernant les faits encore en cours de l’Histoire, dont ceux de la dernière guerre mondiale. D’où la schizophrénie surtout celle concernant les artistes dans la France de l’extrême-droite. Etymologiquement vrai. A démonter point par point toute accusation de démence de ce type, dans un esprit façonné au cordeau. La dénonciation envers le fascisme, du délire de mélancolie, hein,… Tu n’es pas pinté, de gouttes, non, un peu, Bosch… ? Bosch, les Boschs, Baoutch. Marteau.

Dans les sociétés trop libertaires, les populations perdent leurs repères, votent pour les totalitarismes les plus démunis de raison. Flambée en France actuelle monarchiste et nazie à pro-hitlérienne. A vous éradiquer, amputer de toute zone de la mémoire y compris visuelle concernant les faits. La Médecine tremble tant face à mes livres qu’elle souhaite m’enfermer dans ses cloaques. Hôpitaux aryens. Anciens et nouveaux camps de concentration. Que les fascistes retournent dans leurs camps. Il faudra bien les y interner. Les y garder bien au frais, s’ils y veulent dedans la Gauche intellectuelle, au son de leur leitmotiv fameux Karl Marx à l’asile psychiatrique. Asile qui devient un Etat dans l’Etat. Le Goulag et l’Enfer de l’extrême-droite, de la droite capitaliste poujadiste et de Staline.

La France aux gauchistes. Ou ce n’est plus que la France du délit d’opinion.

Les malades de nos jours ne sont plus les victimes d’épidémies horrifiantes ni de genre moyen âgeux, celles de l’Asie ont pris le relais, où les endémies prolifèrent, les malades donc ne sont plus victimes d’holocaustes ni de pillages, de razzias ni de génocides, mais victimes d’un capitalisme insidieux. Doux d’apparence, il ne passe pour une véritable dictature mais ronge inlassablement les consciences et les corps, jusqu’à ce que l’un des hommes tombe et que les pierres de la lapidation ne l’achèvent.

L’espoir que la Médecine lui soit la restitution de ses biens, qu’elle s’en tienne à son image de fondatrice d’un progrès et d’une société qui évolueraient vers le bien être paradisiaque, la quasi sécurité de l’individu, laisse dériver les rêves malheureux de déments ou déclarés malades mentaux vers le cauchemar des plus affreux.

Et pourtant bien réel. Si réel qu’il semble irréel.

Ils feront en sorte que Cela ne soit vu comme ça. Mais il faudrait que Cela ne soit pas comme ça.

L’art de l’Eglise et de la Psychiatrie : Posséder, chair et esprit, âmes et corps.

Sciences traîtres à leur éthique qui laissent dériver de leurs pas dans la réalité des sacrifices humains dans l’obsession, des êtres broyés, sans vie, tabassés et séquestrés d’une façon ou d’une autre, sous la chape d’une misère des plus noires, dans une solitude des plus traquées, misère affective aussi déroutante qu’un étouffement continu, des produits d’enfer dans l’organisme, une vie de Purgatoire social.

Coincés entre deux castes, entre vrais prolétaires et privilégiés d’une élite qui n’est pas passée par cette expérience du Soin, une élite commerciale de la religion médicale, à l’appui médical en guise de maître et patronat inattaquable de la caste des déments, coincés entre deux pouvoirs inattaquables, réduits à végéter dans une impasse invisible, celle du ragot et de la délation pétainiste, les malades mentaux vivent leur dernière existence sous les coups, les coups en vache, sous des fureurs insoutenables. Fureurs des foules et des personnels médicaux, foudres de Satan qui les foudroient au moindre remuement de petit doigt, pouvoirs qui les narguent les provoquent dans l’intolérance la plus assidue, les injures et les maltraitances.

Pavés de choix pris dans la face, la tête coincée entre deux caillasses, la Bible et le Vidal, à moins qu’il n’en arrive un par derrière comme celui de mai 68, les malades renoncent vite à la thèse d’Etat pour exprimer leur patience, leur rancœur, incrustés dans un ressentiment digne de Sade et Machiavel conjugués.

Finie la théorie de l’essence incantatoire quintessence de la narration, moratoires et abrégés d’histoire des populations du tiers monde, la vie sous le soleil de France : Il n’y a ni lieu ni endroit où ils peuvent respirer la paix, ils en sont, mais des maudits. Des lépreux du 21° siècle à qui ne manquent plus que les crécelles s’ils souhaitent seulement s’exprimer.

Abattu, abruti, le malade circule mais banni du monde et de la société, isolé au milieu d’une foule qui le rejette, qu’il fini par haïr tant prête aux lazzis, prête à le pourchasser ou achever, au moindre geste qui serait dit celui d’un énervé, ou échappé.

Immobilisé encore parle coup de pied au cul résultant de sa sortie comme de sa réceptivité naturelle à prendre des baffes, après le pavé entre les genoux. Il devrait seulement prendre ça argent comptant et ne lever le petit doigt que pour dire stop.

Morale de combat contre laquelle rien n’y fait, rigueur d’anciens coloniaux aidant, les infirmiers, termes de médecine algérienne au sérieux grotesque, les infirmiers, en l’honneur des pratiques d’élite superbe et repue, font un accueil franc et détendu.

Goinfres affamés de représailles à sévices, les personnels hospitaliers des établissements psychiatriques, pires dans que maisons de retraite non conventionnées, dispensateurs de supercheries plus que de biens et services, isolent, spolient les droits du malade, incitent à la grogne dans les rangs, à la violence et la revanche, pour mater tout cela ensuite.

Je vous aurai…

Initiatrice animale de l’esprit partagé d’instituer le bien par le mal, ivre de soulagement passé à prendre à vif quelque note et à bien corriger, gorgée des plaisirs faciles de la domination par l’acte médical, et facilement récompensés, piquer, frapper, engueuler, n’ayant pour mémoire que les souvenirs des temps aisés de l’Algérie, du soutien d’une morale de camps, la caste des infirmiers, narquois et triviaux, semblables à de gros michetons, trône dans tout son pouvoir obnubilateur, omniprésent. Mauvais exemple des foules qui contrefont et récupèrent les canons du système, pour écumer rues et fonds d’alcôves, dans des contrefaçons dignes de matons véritables.

Un autoritarisme qui se permet bien des abus cuisants, un calvinisme chauvin et douteux qui enrage et engage en tant que seule défense un protectionnisme adroit et profiteur. Légèrement manipulateur par les gros moyens. Négociateurs des engagements de la Gauche.

Nulle vie sans combat.

En référence aux dérives du gaullisme dans les années 40 et 50.

Médecine d’Etat.




GENERATIONS SACRIFIEES

Ils revendiquent, la bouche encore pleine des dernières bouffes entre collègues, quelque argent de plus, non pas pour le donner à leur progéniture, ils donnent les baffes d’abord, mais pour s’offrir quelque plaisir supplémentaire, voyages aux Baléares et séjours de ski en haute altitude, Thalassa thérapie, certainement pas celle de leur esprit, cela fatigue d’avance.

Ou pour acheter le manteau de cuir dernier cri, qui fait envie depuis un an après tout, on économise.

Ou la dernière Lancia, une turbo diesel qui vaut une fortune mais qu’à force de travail et de labeur durement accompli on réussi à s’offrir, après une grève. Monstrueuse d’après les services de sécurité.

Les enfants de tels nantis n’en récolteront pas un sou, sinon l’argent pour leurs études, avec tes six cents francs que je t’ai donnés tu devrais t’en sortir, et nous, comment on fait ?

Ils devront se faire dire en plus du tout, étudie et tu verras, si de l’argent tu n’en gagneras pas, travaille, autant que nous et tu le verras de près. Et le notre tu ne t’attribueras.

Le Nous de l’hypocrisie…

Fonctionnaires bien gras qui corrigent le manque à gagner de leurs enfants d’un ton péremptoire et sans réplique. Plongeant dans l’infantilisation chronique, les institutions publiques, dégoûtent tant leur public qu’il finit par se tourner vers le secteur privé, cela vaut autant pour les écoles que pour les secteurs médicaux privés, mercantiles plus encore de leurs bienfaits.

Pourris.

Véreux jusqu’à la racine.

Seuls les réchappés de ce genre de système pourraient en témoigner.

Et maintenant dis lui que tu n’en as pas raté une.

Et vlan.

Et c’est reparti.

Tu l’auras, si tu y tiens.

Et pan.

Et zou au lit.

Dans le fondement.

Bats-toi.

Institutions religieuses puis laïques d’origine, elles finissent ces cliniques, par devenir toutes le foutoir, l’école de la rue, le vidoir des mochetés laissées pour compte, les cas rares d’abandon social.

Lumière déjà concurrente au milieu du 20° siècle, les cliniques du secteur public revenant au christianisme initial, fondent leurs droits dans le code civil, sans jamais le respecter, n’ignorant que les devoirs, quand elles en exigent à leur avantage, instituant des droits fictifs, des droits de fait pris pour faits de droit que rien ni personne n’ose encore contester. Sans être enragé.

Mais cela ne dérange personne.

Donc, surtout pas moi.

Age obscur de l’après pétainisme, largement concurrencée par la médecine privée, la psychiatrie hospitalière s’essouffle, parvient en bout de course à un âge rétroactif où se regrettent déjà les fers aux pieds, les douches froides et les bains forcés. Les trépanations, lobotomies, la trace de trépan sur le chemisier, après les électrochocs. Pour vous finir au drap d’acide. La France a laissé faire.

Soyez un Poète pas engagé ni enragé.

Pour en revenir aux familles, garder des biens pour ne les laisser à la porté d’aucun des enfants conçus, les garder pour soi, les accuser si l’un d’entre eux se révolte, de délirât, délices et dilapidations…

La constipation naturelle des portes monnaies de la fortune familiale créée quelques dissensions qui finissent malheureusement pour les générations futures par un internement.

Le refus de céder à son gosse un centime devient monnaie courante. Il s’agit là d’une idée fixe très bien tolérée par la médecine, qui s’occupe désormais d’économie Et travaille en direct et discrètement avec le Ministère de l’Economie dans la manche. Cela résout les problèmes de chômage, de legs et de surendettement.

Souvenirs acquis, à préserver du pire, profits gains de parvenus, argents à maguer tels magots reluisants de collaborateurs avec l’ennemi. Trafiquants de marché au noir, sous les lois d’un hôpital qui les émancipe, les protège, leur assure une immunité implacable et un portefeuille de ministres. Le fossé entre les générations accumule les parodies de pouvoir. Les lendemains de mai 68 ne sont guère enchanteurs, et les jeunes, renfrognés, engoncés dans leur pull à col roulé, un pull acheté 30 francs c’est déjà beaucoup, au marché, regardent passer les midinettes qui se trémoussent sous des parkas achetées mille balles dans les grands magasins, payées par leurs propres revenus, quand le chômage augmente. Jalousie, mais pédanterie aucune.

Rééducation tardive à la dure des porte-monnaie. La crise ne passera pas, mais au détriment de qui… S’éternisent les commentaires sur les mémères à problèmes dont le revenu vieillesse leur permet de piper au fut, pour 600 francs par mois, sinon pour le trimestre, comment récurer, se nourrir et se vêtir sans risquer l’expulsion. Le tout étant d’exiger cette misère à qui n’en serait.

Délires orgasmiques d’une classe d’anciens privilégiés, les propos infirmiers vont jusqu’à plaindre pour mieux dominer, leur commisération plus une mansuétude opiniâtre qu’un désir d’entre aide. Se faire plaindre devenant plutôt rare et se payant très cher.

Les vieux fonctionnaires, sans lâcher le morceau pour autant, masse vicieuse despotique éclairée de confiance étoilée, réclament plus, s’estiment plus lésés pour leur activité que les êtres spoliés qu’ils mâtinent de griefs des plus féroces. Sans ménagement au dessus du panier.

Engagés pour le manque à gagner populaire et la précarité du peuple, après les hécatombes de rejetons mal nourris de la dernière décennie, qui ont tous fini handicapés ou végètent encore dans quelque coin de département, assoupis de bons repas obligatoires, les fonctionnaires du secteur public vitupèrent gaillardement, repus des dernières fêtes où se comptaient tout de même quelques victuailles, et une partouze, pour certains affilés, des dignes de ce nom.

Délices de bourges…

Panthouzes, vieilles sauces, suces, barbouzes avinés, clament en concert l’innocence des interventions, jalonnent les rues de clameurs de horde sauvage, quand vient l’heure de la traque d’un échappé.

Donnent l’exemple à la population dans un charisme aviné d’auto compréhension. Sans détresse.

L’enfance née de ces générations qui résultent du partage des sciences et des consciences, assommée des théories paramilitaires et paralysantes d’une médecine, d’une science activistes, outrage le bon fond d’un scientisme très prolixe en miracles et métamorphoses de l’individu, scientisme qui sert d’évasion à une France sans but. Qui tourne en rond autour de la bonne formule.

Scientisme protégé, éculé et sadique, qui engendre jusque dans le sein des familles bien nées des luttes intestines redoutables… A ne pas confondre avec le transit intestinal. Votes sans conviction, croupades sous les pouvoirs à la limite du proxénétisme. « Faux » pouvoirs protégés eux par le pouvoir parental. Cellules familiales…

Le mal de la jeunesse ne se passe de pétainisme, qui persiste s’il n’atteint pas les générations qui précèdent, qui elles régissent au dictat de la famille paroissienne par tout un discours des plus étagés, bien que des plus concis, mais incompréhensible d’une jeunesse inculte et désintéressée, désengagée, qui ne profite elle que par ce laisser aller, ses morales grunges. Ce qui économise bien l’eau du lavage. De linge sale national en famille.

Le Culte de la Famille Freudienne autant que Pétainiste, ou mieux Pépétainiste, imprègne chaque parent, fut-il de l’ancienne avant-garde gauchiste, de par la séduction qu’il avance, avantages, pouvoir inaliénable et incompréhension assurée, s’enfonce dans l’abus de pouvoir et d’autorité, l’autoritarisme inculte, la séduction de la brutalité, les classes farouchement opposées à une rétroactivité de leurs droits sur leurs enfants, restent figées dans une attitude des plus outrancières : Si tu ne m’obéis pas je te fais enfermer. Pavillons de force et disciplinaires à l’appui en cas de grosse rébellion du mouflet, pavillon de crise en guise de férule, pour les loupiots les moins révoltés par le complot, le nouveau père étudie le droit légal avant de dresser son marmot à dire merci et non plus merde. Après la peur des coups.

Vieux lardons figés dans l’âge ingrat, les malades mentaux persistent et signent, leurs hospitalisations répétées.

Lente invitation à partager les accents munichois et les avantages d’une extrême droite récalcitrante, d’une extrême gauche stalinienne, mais bien tentante, tout compte fait des services rendus, partis banals et quotidiens qui s’infiltrent dans la vie de tous les jours de chaque bon père, de chaque mauvaise mère.

Infiltration insidieuse qui dure et perdure dans la moindre opinion, insensible mais efficiente, perce sous chaque accent de morale des pères de l’opinion, pro-américanisée par une surexposition bien trop longue aux séries télévisées, pères soutiens de familles même anti conservateurs et même anticléricaux. Eux aussi.

Cette séduction de l’extrême droite envers les personnes âgées, l’attrait qu’elle offre, la sécurité promise pour les chères têtes blondes qu’elle laisse prévoir aux vieillards qui s’intimisent dans le confort bourgeois douillet, goûtent aux délices, aux joies d’un semblant de pouvoir autant personnel que partagé, cette séduction laisse penser le pire. Nombre de personnes qui ont durement travaillé tout au long de leur vie votent Front National pour goûter aux bonheurs complices de labeurs acharnés enfin récompensés d’une rigueur maladive envers leur progéniture.

La population de la France devenant vieillissante, cela laisse présager une tyrannie future bien plus grave encore, le passage de la présidence à l’extrême droite.

Le désir de vivre encore, chez les personnes âgées, est plus fort que tout, peuplé de ses démons lorsqu’il est question de préserver ses biens, à l’encontre de l’enfant prodigue, non plus prodige. Retour aux vieux adages de l’économie, de la bourgeoisie du 19° siècle.

Vieux barbons. Morale de couvent.

Dures époques… Aux fantasmes extrémistes.

Concurrencée par la surélévation surnaturelle au dessus des normes acquises, d’une jeunesse mal lavée, mais présente, incomprise et qui nuque baissée préfère rester chez papa maman que quitter tôt sa famille, la génération des vieux constate le conflit, les asiles de fous ne désemplissent pas tant la population s’avère atteinte de folie, à tel point qu’il a fallu établir un roulement des lits faussement laxiste quand augmente la demande des intéressés.

Les laisser se débrouiller seuls, ces jeunes, cela ne peut que leur faire les pieds.

Foule prête à tirer sur le demeuré, ou le fugard. Chahuts populaires.

Bleus et ecchymoses, les jours de reddition.

Langés, nourris, logés, ils ne peuvent revendiquer, ces chers bambins, mais ont le droit à l’alcool sous le coton, et si permis, coucher.

Autres générations…

Encore réduite au point de vue raisonnement au nouveau moutard, sans élite ni vigile un rien traducteur de ses délires, la jeunesse, suit de loin, dans ses rêves d’en finir avec le cauchemar, l’émancipation des foules au problème de l’adulte ne pouvant passer que par celui du handicapé.

Les dissidents du parti des familles, ne connais pas, s’il en reste. Leur syndicat, encore moins, mis à part quelque association. Mais les jeunes évacuent vite ceux qui ne suivent, les éclopés de la nature comme ceux qui ne se fondent dans la masse.

On connaît par contre leur fourrière…

Les jeunes, font leur propre police, évacuent de leurs troupes comme de leur contingent le trop plein de concurrence, de discours revendicateurs, mais tu rêves tu délires, reviennent déçus ou enrichis de l’étranger, congrès meetings d’étudiants, écoutent radio-nian nian et rêvent minitel rose. Ou chats informatiques. S’aventurer à l’étranger et y fuir un rien, quand on vous y ferait rechercher depuis votre majorité par Interpol si l’envie vous prenait de vous y faire voir ou de vous y trouver, avec votre psychose… Où que vous soyez, l’on vous retrouvera.

Banques de données sur pattes, ils courent plus vite que la mort et les fers aux pieds, ils pensent doucement à leur avenir, futurs banquiers et nouveaux cadres aussi rapias que leurs prédécesseurs, avenir aussi incertain qu’un chant de flutte, rats de Salem.

Discours larvaire qui hante les subconscients de notre enfance, engendrait la révolte de notre temps, autre mai 68 étouffé dans l’œuf, dans des litres de café noir suivis des gouttes matin midi et soir, grand flop de cette guerre civile qui aurait pu être plus grave encore que Woodstock, réduite à la passivité d’aujourd’hui, par des générations de vieux pontes qui mènent les masses par le bout de leur nez.

Les Jeun’s.

Pas plus de conscience que ça pour avoir eu la vie dure, et au pieu.

Il faudra, à cette jeunesse française éduquée à la Thatcher, leur sucrer le thé très fortement avant qu’elle n’ait le courage elle aussi de lever le petit doigt pour dire stop.

A quand le trop plein ?

Ils plantent des fleurs sur les emplacements des anciennes barricades.

Young and flowers, le Mur de Berlin. Pour eux, l’exercice de la corde raide, le fil du rasoir sous le porte monnaie, la réflexion assidue quand elle est permise les promesses auraient-elles une fin ?

Ils laissent tomber de leurs poches les scories des anciens adultères, les révolutions perdues de leur adolescence, leur mal. L’insubordination se paie cher. Résolutions peut être de ne plus fonder de castes, de ne plus travailler pour une élite qui se démène pour profiter des délices de Capoue, qui transpire de crainte, exploitatrice des faibles. Enfants de la droite déchus d’un paradis jamais atteint mais qui était promis depuis une éternité, déchus de leur position de boys scouts, ils restent dans des voies de garage tels les loisirs de leur civilisation, visionnaires de la fin des poètes, même les jours fériés. Quand l’on pense que tant de personnes et de gens ont cru de toute leur foi à ce Paradis futur, tout au long de la chrétienté. Nous y sommes. Paradis des Anciens, présent d’aujourd’hui. Plutôt un paradis fiscal du mercantilisme et de la Médecine.

Jeunesse dorée de pénitence, qui se dore au soleil de l’abstinence et du zizi pampam des culs-bénits…

A se faire la loi entre eux. Après leurs libations.

La guerre des femmes et des peuples soumis leur appartient, batailles rangées de quartiers et séquelles, peu leur importe, leur devoir restant celui de survivre. Démobilisés, mais ardents au fond d’eux même, ils craignent plus qu’ils ne respectent.

Ils craignent les conflits familiaux, les litiges du conflit de générations, fuient à l’étranger les problèmes d’une France qui les mène à l’asphyxie. Litiges excréteurs et exutoires des passions populaires, ils préfèrent leurs impressions aux évidences scolaires, selon les derniers sondages, vivent entre deux portes, fomentent quelque révolte qui laissera quelques handicapés de plus à l’hôpital, ferment les yeux sur le passé de la nation et rêvent d’intégration passive.

Je jure que de mon cas, je ne fais pas généralité.

Purgatoire du commun et ses dessous, zones rouges non déclarées, les quartiers défavorisés dans le palmarès de la drogue et des trafics de la violence, de l’intolérance, sont leur terre d’asile, mais les jeunes français, entre autres, bouffent et ne répliquent rien. On est bien chez vous.

On rêve doucement à la déesse du voisin, à son chérubin, se téléphone que tout va bien, à chacun ses secrets. Et on se contente d’étudier, de bien finir par arriver. Lentement mais sûrement, qui va piano va bene.

Classe sociale non permise, berceau des anomalies du comportement, jeunesse foutue. Les handicapés mentaux lentement sont intégrés dans cette masse mouvante des jeunes, atmosphère de suffisance et d‘esprit supérieur, laxisme rare ou bénévolat aryen, meurtrie de médisance. Celle des générations futures, pétries du manque de blé, des râleurs et râleuses de quartiers. Ou d’étage.

Dernières nouvelles du Front Populaire, de 1994 à nos jours.

Drapeau en berne du handicapé social à surveiller à tour de rôle, la jeunesse s’étripe à le castrer de ses droits, l’étouffe de vigilance d’un contrôle perpétuel. Toujours à déclarer son fou en état de crise. Sur ses talons à la moindre sortie, pour vérifier son bon de permission, son laissé passer, prête à donner son signalement aux autorités. Les jeunes s’enfliquent.

Concerts de dévotion envers l’église et son tabou, le plaisir solitaire chez l’aliéné. A ressasser. Messes et cantiques sur les faits de sa vie intime, dans les bus et les trams, en ville comme sur le chemin du retour, certainement au bercail, après ces passages au peigne fin de l’idée dans les cas de démence.

Ce mariage des classes en une sorte d’uniformité de l’ancien fumeur de hash au vieux pépère et sa pétoire, de l’éthylique repenti à la belle casseuse de pieds pouliche du Führer qui a fini par causer un pétage de plomb chez l’autre alité, fait peur, transit les foules témoins de ces drames quotidiens. Sert d’exemple au bon comportement du français moyen, étale publiquement des fautes de pouvoir inexcusables.

Célibataires endurcis, méfiez vous, chasses puritaines à la femme des bois, au vieil ours de banlieue.

Ramener la vie…

La quadrature du cercle était parfaite et de rigueur, question de bienséance.

Plantes exotiques ou poissons d’aquarium ?

Un-enfant-d’appartement… ?


FESSES À MARIE, CULS-BENIS ET CULS PUNIS

Le somatisme sexué est déjà une pénétration sexuelle de la culture populaire et familiale, la psychologie intimement liée à l’esprit (habitude de l’inhibition forcée qui tue lentement la sensation corporelle, décrétée cénesthésique chez les rebelles, sensation condamnée du désir et du sexuel de la représentation de l’amour à celle du rapport). Mort prêchée des sens par les relations culturelles, sexualité communautaire transcendée du monde du travail à celui de la religion par la politique.

Un être civique ne bande pas, ils souhaite, désire, ne peut être excité sexuellement sans quoi, sur de tels contrats de pouvoirs britanniques, il est rejeté de la vie politique, mais s’ajoute à part et tout seul, vécu tel infirmité, s’il garde indivisis de sa vie publique un soupçon de vérité, de sincérité autre que puérile.

La masturbation mentale chère aux arguties de l’extrême droite lorsqu’elle parle des militants de gauche, n’a pas cédé d’un pouce lorsque un dirigeant combat lors d’un débat une allusion fine et bien dirigée, chez eux, la branlette de tout ordre et surtout artistique n’existe pas.

Etre artiste = ne rien faire. Passer son temps à branler, se branler.

Donc personne schizoïde donc pour eux très dépressive.

La part des choses de la vie, l’unicité indivisible d’un être et de sa sexualité, diffuse et complexe en toute culture intimement liée à chaque instant de manifestation, reste liée au vivant, à la manifestation du corps inextricablement mêlée à la vie culturelle. Elle exige un être civique sectionné du reste de son corps selon le critère de la séparation du corps et de l’esprit, une vie à part de la vie matérielle, vouée au démon, transcendée en paradis surnaturel si officiel qu’il faudrait tenir pour Vérité Universelle et Raison y compris d’Etat, le plaisir même condamné par la République dans une législation du non dit et de l’interdit social.

Cette transcendance des sentiments et des relations, qui doivent pour la plus stricte des politesses être dénués de toute sexualité, contraint à la frigidité des rapports sociaux, qui ne tolèrent du sexuel que quelques sorties de secours culturelles, dénuées d’érotisme serein, basées sur le lysisme, le porno et ses dérivations obscènes, ne vivent que dans le vice récupéré par le capitalisme et sa société de consommation du pécher.

La danse, quand l’on vous fait danser, une des activités avec le sport proposées en tant qu’acte de dérivation du problème, avec l’inspecteur Derrick, est une des manifestations de la déviance de l’instinct sexuel, drainé, orthonormé, normalisé en cadence par un cortège de rituels sociaux catégoriaux autant que catégoriques, dont le rite de la réussite due à la frustration bien vissante, manifestations surveillées, contrôlées au sein même des familles, autant que par l’establishment. Américanisme.

Obsédant.

La frigidité des relations avec l’autre, descendant des derniers codes puritains du 19° siècle, transparaît mais uniquement à la condition que les phénomènes sexués du corps soient traduits en phénomènes culturels et généralisés, de nos jours, susceptibles de profit, commercial et idéologique.

L’appel communautaire à inciter à la rébellion à l’encontre du dogme du tabou et de l’interdit, incite à l’intransigeance des masses envers la pratique sexuelle, fondée sur le lysisme et la restriction mentale malthusienne, la dépravation du corps et de ses sens, leur déviance parfois mortelle pour la planète comme pour l'être humain, fonde donc des groupements d’hommes et de femmes qui s’enferment et enferment dans ces rites, les imposent au nom de la liberté de penser, groupements qui pratiquent la journée entière et durant la nuit, cela emplit la moitié leur temps, la surveillance de l’autre. Façon de vérifier, vérification qui prend du temps, emprisonne les cerveaux et les corps dans le carcan de la paroissienne, de l'onanisme mortel pour soi autant que autrui, sinon gravement pathogène à handicapant voire infirmisant, infligé et auto-infligé dans l'acte de torture banalisé, intimisé et les sévices infernaux, du démon de midi aussi.

La soumission aux interdits et leur transgression devenant le sport favori des jeunes filles, des ados et des commères.

Jusqu’à la dernière manifestation sexuelle est boutée, la culture religieuse prend le dessus sur l’éducation laïque, la religion très soucieuse du sexe et donc très sexuée, pour ainsi dire, très portée sur le sexe autrement dit le Culte du Cul, religion qui brandit le reliquaire fornicatoire et fustige pourtant toute sexualité des fidèles autant que celle des impies, harangue ses pratiquants et les exhorte à l’abstinence. Pratique des chasses à l’homme encore de nos jours en vigueur, pour fustiger l’hérétique à cette loi sociale de la chasteté, que soit respecté le rite de la soumission, rite sexuel pis encore que s’il n’existait, norme établie par la morale de l’Eglise, reprise en coeur par les médecines. Pédophilie vicelarde à souhait, d’autant que le Pape interdit la masturbation même y compris chez les petits et grands enfants, conçue pécher mortel chez l'individu, et durement raisonnée par la psychiatrie, toléré chezles masses si obéissance certaine, sous les conditions libidineuses de la dépravation, de la prostitution et de la luxure. Sinon dans les cas morbides de torture, conjointement physique mentale et sexuelle alors.

Pas touche mais tu passes à table, après le baiser parental.

Pour le plus grand plaisir des aficionados.

Le plaisir, autant que la conception, le sexe, sont visités par sommes de voisinages, dans une forme de sexualité à plusieurs crasse inculte orale et verbale, qui peut aller très loin dans leurs conséquences et leur degré de violence, cf. « Le Cheval d’Orgueil » de Pierre-Jakez Hélias. Interdite toute intimité, fouillées les vies privées, intimes ou de soi à soi. Dans les contraintes d’un proxénétisme officiel de type soviétique. Dogmes incontournables qui transparaissent sous forme de bonnes normes d’une vie sociale exogène où l’apprentissage de l’exogène est strictement répressif et quantifié par la psychiatrie, normes donc respectables protégées par les religions, les institutions médicales devenues organes de pression et répression, armes de frappe de l’Eglise et de partis extrémistes.

Sus à l’Endo’, condamnés l’endogène et l’endogénéité dans la société. Par contre, aide-toi tout seul, Dieu t’aidera. Désolidarité. Ou Etat de Grâce, de l'aliéné.

L’asile d’aliénés lui aussi un moyen de pression qui sert à obliger au respect des traditions. Instrument de pouvoirs ultra nationalistes et poutinistes, il détient sa fonction de censeur, régulateur et groupe de pression dont le but est de soumettre au thème favori de l’Eglise, de nombre religions, nier le corps et privilégier l’esprit. Reprendre ses esprits dans cela.

D’où la paranonïa qui s’installe parmi les quelques regroupements populistes. Quartiers, villages, résidences collectives, vivent à l’heure communautaire de l’Amérique et de ses fausses libertés, dont celle de tuer torturer pour de ses critères sociaux fondamentaux tels que celui tabou de l’interdiction du sexe.

L’asile sert de pôle d’attraction, de poubelle à rebelles et dissidents de quelques matrones à mauvais garçons et mauvaises filles qui vite assimilent le contrôle des idées, celui de la propreté sexuelle, et passent vite inaperçus…

Dans un viol par lysis qui tient du pioupioutage plus que poilu, loi du coïtus interrompus abortif chez adeptes du Ku Klux Klan.

Facteurs communautaires perturbateurs. Troubles traumatiques.

Et un punch, j’ai dit. A la place du putsch et même bien avant.

Transcendance du discours érotique qui ne traduit de l’existence d’un désir sexuel refoulé que dans l’idiome politico culturel du « je l’ai eu », sodomie des masses du trahi et du langage prolétarien ; le fait de posséder et d’être possédé, d’être vaincu et humilié remplacent le rapport, qui n’existe pratiquement que pour la procréation, sous peine de ne finir que dans le vice et la bestialité.

Celui, celle qui nie cette vérité et qui diverge de sa tendance est un fou. Ou une folle.

Sois si maso ma fille de ce que je te fais et t'inflige que je t'en viole, et par l'entremmise douce ElIse du viol thérapeutique, reste douce ma promise, serre les fesses et prends toi ça dans les dents, que te dérouille une bonne fois, de plus pour moi. Ou tout le Père de famille.

Sexualité inhibitrice, castratrice, initiatique, qui loin d’être considérée partie fine publique et consentie par les autorités, orale, prend le dessus, triomphe, généralise ses processus de domination, sa gnose populaire étale ses fantasmes, les inflige, intercale le moindre instant de vie privée autant qu doigt entre les doigts de pieds maintenu longtemps jusqu'à causer le décès, viole les intimités et retient les élans d’une jeunesse prête à singer ses ancêtres. Echappatoire insensible, pourvoyeuse de plaisirs déviants, le fait de médire en étant un de ceux là.

Restant inexistant pour tous, tant banal et quotidien.

La sexualité courante des masses populaires défiant l'état et la liberté de penser de sa confusion entre homme et femme, le droit de fait de l'acte sodomite d'enculement sur la place publique du fautif de la femme coupable et du faible , que cela reste implicite fictif ou actif, reste impuni, implicite, règne en maître et toute impunité, libre et remplaçant depuis des décennies au nom de l'esprit de survie d'ethnies que seul le fascisme regroupe, l'acte libertaire de salvation qui aurait tant du devenir courant sans ce règne apocalyptique de l'instinct de torture par envie que mène l'instinct de violer, hommes, femmes, enfants, toute forme de vie et la planète entière. Ou propre de l'Homme avec sa pensée, né avec lui, depuis les hauts temps de ses premières formes de vie.

Le masochisme des places publiques sévit, l’emporte sur le dégoût, le plaisir ne peut provenir que de la lente torture qu’est l’intervention voyeuse des tierces personnes au vivant, faisant sur son passage quelque traumatisé, domination saphique ou sadique, masochisme des vaincus, souffrance dans la privation des libertés, repos infernaux. Interdiction de la sensation de paix profonde : fais d’abord la paix avec toi-même (as-tu cédé ?) et refais ton autocritique.

Restez sadique ou zen.

Le malade mental oublie son corps, ses fantasmes amoureux, ses douces rêveries bucoliques. Souvent indifférent au rapport, castré mentalement depuis l’enfance, il poursuit sa course immatérielle, sert de sexe d’ange dans la quête de sa paix, cogite sur la matière plus que sur l’esprit et pense matière vivante, peut être, encore en vie. Aucune soupape.

Défoulements ubuesques de la foule, en priorité sur les déments. Les socialement exclus.

C’est là que les psychiatres, bien doués pour penser, pensent, et pensent surtout à nous les bonnes soupes. Qui sont faites à leurs patients. Affrontement avec eux, individuels. Là, point de barricades. Encore moins de fleur au fusil, la médecine trouverait cela, un peu fleur bleue.

Frigidité des rapports intimes, impuissance notoire des constipés. Les corps enlaidis et déformés de rites collectifs et de celui de l’engraissage, les corps gros et farcis de traitements, ressemblent de plus en plus à celui des mégères et blaireaux qui leur ont confisqué la vie, ne trouvent là rien d’autre que défoulement et fesse publique, généralisation de la culture du prisonnier nu et de son cul nu. Son pipi caca bobo.

Jouer au docteur, à l’infirmière avec le patient, le voisinage garde-malade improvise ses scènes de stupre et de violence, gloire au sang versé, cela soulage de tout.

D’autres voisinages usent du pouvoir d’infliger des psychotropes castrateurs inhibiteurs de libido dans le seul but de rendre frigide ou impuissant, préférant dans ces narcotiques, parfois puissants, les effets secondaires à leur action véritable pour la jeune effrontée, si en plus, cela soigne l’idée…. Bien qu’empêcher de penser leur semble favorable à leur cause, donc, faisant pierre à deux coups, ils utilisent cette castration chimique due aux effets pervers de ces traitements, pour imposer cette façon de ceinture de chasteté, par pur vice, vaincre les idées de partis qui s’opposent à ce fanatisme.

A préférer, le mutisme total, et absolu.

La tape sur les fesses rebondies du repenti ou de la prisonnière, partie de cinéma freudien des foules en mal de sensations érotiques nouvelles, de rapports efficaces et efficients. Le déculottage public dépassé, il ne reste que l’isolement, la contrition pour trouver une nouvelle force imaginaire ou onanique à chacun, quelque excitation passagère de plus.

Juste de quoi rendre fou…

Un imaginaire compensé et morbide de la vie quotidienne.

De la morbidité populaire, énième édition.

De la rationalisation morbide, j’en passe et d’autres.

Toujours dans l’idée qu’il faut que cela se sache et ne paraisse pas. Annonciations faites à Marie sur sa dernière séance d’électrodes et sa nouvelle lobotomie, suivies de tout un catéchisme sur le modus vivendi et les façons de vivre le voisinage, sur l’hygiène catholique, sur le sexe diabolique à convertir. Messes qui s’investissent dans les relations sociales du malade avec son entourage et sa famille, dans les journaux tenus verbalement sur les relents de maladie du petit dernier de Mr Untel, sur la vieille du troisième ou la jeune effrontée d’à coté. Tous ces rituels s’exhibent auprès des services psychiatriques les plus proches qui font partie de la masturbation orale des foules, populace aux trips démoniaques dont il faudrait respecter avant tout le bon sens, les débordements d’affection comme de haine, envers les règles de la bienséance comme envers celles de la dernière opérée. Par leurs soins, à son domicile, je le confirme. La nouvelle nègre du quartier.

A répéter de telles fantaisies, je me lâche...

Menstruations mentales de foules en délires, exacerbées car à la recherche de condamné au sang dont la société rêverait d’avorter, seul rêve permis et devant rester collectif, constituant une identité commune face à lui. Tabous incommensurables, pris pour délires de persécution, aux immunités d’origine divine. Autant que la parole du psy, du coin.

Après l’étude des comportements sociaux et relationnels du malade, il faudrait je crois écrire la psychanalyse du pilier de bistrot, du coin aussi, et les cinq psychanalyses de la mentalité de concierge, en trois fascicules, pour réellement comprendre et ce serait l’idéal, bien cerner l’origine dans toute son originalité, du problème. Du fils ou de la fille de Mr Untel. En plus de la psychanalyse en trois dimensions et cinq exemplaires du Père.

Il ne faut surtout pas avoir les nerfs. Ni l’avoir sur les nerfs.

Ne pas rester fière. Et bien plomber.

Le cul-pourri, de l'odeur des sévices infligés et du viol, pain béni des masses. Car ce n'est là que le commencement de la déprave. La moralité du vert cadavre et de la cravate à pois, de la bougne qui fait mal et du pipi culotte, les draps souillés et le sang de la virginité, la propreté de la raie, raie publica, visitée, et sa juste valeur. Celle du macchabée et le toilettage du pauvre.

En cas de litige avec les voisins, décharges électriques et séances gratuites en guise de dédommagements, au cas où précédemment ils y seraient allés un peu trop fort. Et où ils lui en auraient un peu trop fait.

Je le dirai à tout le monde.

Et un looping.

Elle a valsé.

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