samedi 5 décembre 2009

Réponse à Amnesty International, et à la LDH

Je vous avais envoyé un courriel concernant les rites de la torture totalitaire psychiatrique en France, pour meilleur appui envers mes arguments, sis-dessus les textes du collectif des 39 contre la Nuit sécuritaire, tentative de redressement d'une médecine déontologique de la santé mentale non initialement destinée à assurer les répression d'un pouvoir de dictature sur le pays, le flicquage constant et quotidien d'une société policière et d'un état marxiste dont le goulag, récupéré par les pratiques médicales de l'extrême droite, de la droite, est une résurgence du passé sans scrupule et sans façon, l'extrême droite assurant le pouvoir CRS de la psychiatrie, autrement dit,l'existence de prisons psychiatriques étatiques de même type que les prisons privées de l'Amérique Bhushienne, où s'y pratiquent des chaises de contention à tortures mortelles, dérapages de violences policières meurtrières, à but de déstabilisation de la gauche, dans un but politique et privé d'instituer la torture sexuelle, physique et mentale non officielles encore mais présentes en tout lieu de détention, sinon au sein de tout couple et de toute famille, dans un but de régner sans contrepartie, ni contre offensive, ni contreculture que ce soit .
 
 
Ayant récemment envoyé à votre organisme un courriel concernant l'usage de la torture psychiatrique à titre de soin dans les hôpitaux, secteurs psychiatriques, milieux protégés publics, privés, à domicile inclus, je poursuis ma tâche de vous informer que ces pratiques médicales et dérives totalitaires qui s'apesantissent, autant qu'années de plomb, sur la ville et la région de Montpellier, autant que sur ma personne. Il serait urgent à mon avis de considérer le problème qui passe vite inaperçu, de la discrimination raciale qui persiste depuis les années 30 et la montée au pouvoir de Hitler, envers l'étiquette de la démence, qui ainsi que je vous l'ai déjà mentionné, perd de sa validité, et peut servir des pouvoirs totalitaires déjà en place, usant de cette étiquette dans la constitution de prisonniers d'opinion, en tous pays, en France surtout et également, dans le monde intellectuel et artistique, méthodes de persécutions destinant ces faux malades mentaux, à l'analphabétisme populiste requis, sinon le décès sous des tortures des plus arbitraires, physiques, mentales, extrêmement douloureuses, ainsi qu'envers ma personne, des bâtiments de force pratiquant la torture létale et des violences policières très graves, dont la peine de décapitation sous de violentes décharges électriques le plus souvent d'appareils électriques à détenteurs, dont les détonations vont jusqu'à celle d'une arme à eu, , assez prolongées pour atteinte le degré mortel d'électrocution, autre forme de peine de mort du casque électrique américain, trépanations et séances de viols correctifs et décharges électriques en surnombre pouvant conduire au décès, imbibition forcée des glaires, salives, lubrifiants séminaux retirés de ces prisonniers ou issus de déchets hospitaliers prélevés sur morts de leur famille, causes en partie surinfections non traitées, obstruction systématique par intrusions constantes au domicile de ces personnes traitées sur place par abus de ces départements et secteurs, en malades mentaux eux même victimes de ces dérives totalitaires des formes nouvelles de la torture médicale, sur les lieux de leur résidence et sur tout lieu, public, privé, de leur passage, déculottages intempestifs, électrodes en petits comités et en public suivis de partis fines publiques ou non et orgies à défécations et vomissements causés par des décharges électrocutant grièvement le cerveau, pouvant faire prescrire l'innervation des nerfs grièvement électrocutés, leur extraction, voire nerfs sciatiques, usage illicite de décharges d'électrodes à titre de sévices et punitions corporelles, pratiquées sur la quasi totalité de la surface du corps, sur la surface des jambes, les genoux, les pointes des coudes, zones sensibles du corps et très électromagnétiques en soi, fixation sur le devoir de lobotomie des zones arrières du crâne, pour une lutte insensée contre la dolichocéphalie, devant rester depuis les nazis, brachycéphales, mutilations des zones intellectuelles du cerveau, électrocutions des parties génitales, parfois dans un but certain de proxénétisme, à titre d'exemple, mon dernier appartement servant de maison de redressement et de ferme d'abattage pour intellectuelles devant sous ces tortures, s'adonner à la libre prostitution , en réponse à l'un de mes derniers courriels, que je vous avais envoyé. les visites incessantes suivies de cures d'électrodes, dont celles dites cathodes, posées le long de la moelle épinière, sous les fessiers, dans le haut du dos, l'arrière du cou, dans les deux cervelets dans une matraquade des zones mortelles du corps, pouvant servir de cible dans des exécutions sommaires à l'occasion de virées de pavillons de force, violences assimilables à celles qui s'infligent à l'étranger, tout travail intellectuel m'étant de ces provocations et scènes de viols, tortures sous loi du silence, condamné. je dénonce l'usage de boucliers électriques plaqués contre les côtés de la face, ou électromagnétiques, plus douloureux encore, et générant un supplice infernal tant violent, pouvant causer des lésions graves, nécessitant la neurochirurgie dite à ce moment là récupératrice des dégâts causés, en fait prémédités bien avant l'usage de ces boucliers, sinon implantés, en vigueur dans certains pavillons, tenus par personnels policiers en uniforme bleu marine, les médecins de ces secteurs acquis à la cause aryenne, et appelés afin de limiter les QI de la ville non cadrés par l'université, ou animés d'un esprit libertaire nécessitant dans ce cas, l'appel de ces services, dont chacun peut se servir en tant que SAC.
Je signale également, des partisans apparemment de la Ligue rouge, staliniens obsessionnels d'un secteur de santé mentale, en expéditions punitives en relais incessant d'équipes acharnées sur mes lieux de vie, envers mes libertés de pensée, équipes qui visitent sur appel délateur sectaire mon domicile, font vivre un procédure illicite de type placement d'office, sans réel placement officiel, dans un but d'euthanasie que ces secteurs appelés en renfort préconisent, envers tout ennemis de leur opinion, luttant en faveur de la dépravation, l'institution du bordel chez les femmes émancipées et culturelles, le devoir pour elles de prostitution, le devoir d'ébriété, de quelque cause qu'elle soit, drogue, alcool, coups, blessures, pratique illicite de déchaînements hospitaliers, cures ad mortem d'électrodes, sévices concernant la chair, innervations du système nerveux, condamnations à mort arbitraires, en sus de celles exécutées par les secteurs aryens décrit plus haut, dénommés, "l'inspection". Cassages de bras cassés en deux autant de baguette de pain sec sur genou, coups violents assenés sur dessus de cranes et nuques, pour ma part sur intervention d'un père incestueux faisant protéger son inceste à rites pervers, omnibulé par les violences des pères iraniens de régimes totalitaires dont ceux des SS et du FIS. Me filante le train sur tout trajet de mes déplacements, dans le deovir de destruction de tout aspect physique de jouvence et de beauté qui m'aura été surpris dès les 6 heures du matin, dans un "défatage", terme de l'arsenal de barbarisme insultants que le père possède en faveur de ce devoir parental pour lui, d'exécuter  toute personnalité et son identité physique dans l'eugénisme et le choix de mon aspect physiologique, de ma constitution charnelle, du devoir pour moi de manque de niveau culturel, intellectuel, devant rester fixée à l'age des 6 ans d'âges contraints à la pure simplicité d'esprit dite naïve, de ma personne, poursuites jusques dans trams et bus afin de détériorer  le bon aspect et le bon volume de ma chevelure, selon les préceptes de l'islam, organe sexuel chezla femme qui doit se cacher et rester brimé, aplatissement systématique de mes cheveux dès que propres, leur graissage le plus souvent avec huile de table diluée dans produit alcoolisé, afin de leur conférer un aspect gras, sale et abimé. filage de train jusques dans snacks et commerces où les séances d'électrodes, pratiquées dès le réveil vers les 6 à 8 heures de la matinée, se poursuivent, affolant le public de ces scènes d'orgies répressives, les témoignages des gens spectateurs impuissants de ces parties de "rentrement dans le lard", très violentes et systématiques dès tout déplacements ou témoignage d'autrui, surtout et malgré mon strict mutisme face à ces exactions, ces témoignages donc, ne faisant qu'augmenter la rage puissante des équipes que mon père et quelques corbeaux avoisinant les faits m'envoient à la moindre intrusion à mon domicile précédente, dans une chaine relai de violence de type liée à des vengeances de pavillons appelés à mon secours  afin d'interner le père ou faire fuir les agresseurs. 
 
A cette occasion, je me permets de vous réclamer une action en faveur des filles garçons, hommes et femmes adultes victimes des violences conjugales de pères de famille incestueux, violences pouvant se révéler aussi meurtrières que celles causées par les violences conjugales. L'enseignement laïque pouvant receler autant de tortures discrètes ou non commises dans le silence de la femme battue et de l'enfant martyr, dont je peux dire que je suis, enfants dès la naissances condamnés à des doses de séances de torture électrique qui les ont amenés, autant que moi même, à des réanimations quotidiennes, sur les lieux des tortures, le plus souvent, le domicile conjugal des parents, qui parfois, persécutent en famille l'un de leurs membres, incitent la médecine à les corroborer, à appesantir le poids de la torture médicale, parfois, dès la maternité. Milieux sordides de l'éducation laïque, aussi pédophile que le monde chrétien, adonné autant à l'orgie répressive et publique qu'en petit comité sur nouveaux-nés, durant leur enfance totale soumise à ces tortures totalitaires, jusqu'au décès, le plus souvent, aux alentours des cinquante ans, date anniversaire que je viens de passer dans un cap de mise à mort de ma vie. L'éthylisme dans ces milieux à parties fines de même type, faisant rage et allant de pair avec celui d'infirmiers en équipes, soudoyés en bakchichs, affiliés également à ce type de parties de torture, autrement dit, parties de snurf, psychiatrisées, souvent avec mise à mort, dans mon cas, jusqu'à la mort apparente mainte fois causée dans la journée.
Autant que dans tout exercice de ce type de proxénétisme, affamement de la victime, violences caractérisées, assoiffement, consommation forcée des déchets par alimentation forcée,domicile devenu leur site de sauteries récréatives de ce style, débourrages de prostituées en chambrées chez soi, ou à l'asile,psychiatrique, à peu près tout secteur médical de Montpellier, affilié à cette pratique illicite de la médecine, les médecins des pavillons psychiatriques et certains requins de la médecine privée spécialiste ou généraliste, rituels dans le rôle véreux de praticien souteneurs. don,t certains n'hésitant à faire demande de l'inspection, qui use du bouclier électromagnétique, jusqu'à la torsion des intestins, ainsi que cela a été pour mon cas, ce qui nécessite des examens humiliants à sodomie médicale dans des services annexes, qui vivent sans prétention aucune, des lésions, infirmités causées dans ces services, ou sous placement illicite. Je ne puis que vous suggérer de faire en sorte si vous le pouvez que ce problème de la violence à domicile, parentale, soit abordé vraiment, afin que les personnes victimes ne vivent un cauchemar supplémentaire sous les tortures des plus violentes en internement, fait logique de toute plainte contre ce système de protection de l'inceste et des violences sinon conjugales, du moins à domicile. Parents bourreaux d'enfants devenus ensuite adultes, condamnés ensuite à la gériatrie, sur la demande d'un proche ou du parent bourreau en vie, dans un but de faire taire toute plainte encore possible de la victime, limitée dans ses capacités et aptitudes, à la personne vulnérable incapable majeure, voire, confiée entre temps, à des centres peu scrupuleux pour adultes handicapés, centres dans la phase ultime du plan d'élimination, d'extermination physique et mentale de la personne tant que sa lucidité restera présente..
 
Line Llao
 

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