dimanche 6 décembre 2009

A Amnesty International :

Merci si vous pouviez intenter quelque intervention ou action qui puisse permettre à des intellectuels, ne seraient-ce que d’aussi piètre envergure que moi-même, de librement avoir droit à la liberté d’expression, de conscience, de pensée et d’action, droit à l’information et aux soins adéquats, ainsi qu’à la santé, mes ennemis eux plutôt cherchant à me détériorer toute santé qui pourrait me réussir,  sur le territoire français, sans se heurter à des violences et tortures continuelles, pour le métier d’artiste peintre et d’écrivain que j’avais choisi de poursuivre, mes aptitudes et mes résultats depuis la fin de ma scolarité me le permettant, tout don sérieux, et même aptitude à un  métier lobotomisé d’expériences scientistes, traité en maladie mentale mégalomane chez moi. La résurgence ou la continuité de la présence de prisonnier d’Etat sur le sol de ce pays me parait évidente, mon sort ne vaut pas mieux que celui d’un prisonnier de camp maoïste ou étranger, quand il ne s’aligne sur les rites de Guantanamo. Toute dénonciation qui sera faite par votre organisme de tortures à l’étranger sera suivie  de tortures identiques qui me seront infligées de ces bandes menées de médecins ou « inspecteurs »  peu scrupuleux,  tout aussi longtemps que je n’aurai renoncé  « à m’en préoccuper », s’en prenant (selon les lois de l’absurde de déments qu’ils protègent et défendent envers les lois, parfois renorment), à moi tout autant qu’à tout défenseur des droits de l’Homme qu’il trouveront en leur présence , défenseur moi-même depuis longtemps des droits de l’homme, et militant dans le peu de moyens qui m’est resté de mes capacités physiques et intellectuelles,  suite aux ravages commis par les violences, enfreintes aux droits de l’Homme,  au code civil qu’ils ne respectent, exactions constantes et quotidiennes de ces groupements, cherchant à me réduire à l’inaction, au renoncement et au reniement de soi, à l’ignorance de l’érudition que je connaissais depuis mon Bac philosophie, ainsi qu’au STO pour eux. Je réside assiégée, ne sachant comment ni où résister à de telles représailles, ces mafias ayant tué froidement de mutilations plus d’un pilier de la démocratie et leur base sur la région, sans que dénoncer cela puisse être défendu. Il ne s’agit plus là de sabotage uniquement, mais d’atteintes physiques pouvant conduire au crime politique, la région ne vivant plus que de ces agissements luttes intestines et combats entre Georges Frêches et Jacques Blanc, rappelons-le, d’obédience nazie.
Je vous remercie pour votre news letter, et répond à votre article sur les mutilations sexuelles des femmes, cette pratique bien ancrée hélas dans les coutumes françaises et occidentales, rite autant religieux que athée, car la science et la médecine invoquées dans ces cas, la libre pensée fonctionnant selon la raison scientifique devenue religion et raison d ‘Etat, la médecine (Etat dans l’Etat, Vatican dans le Vatican) et surtout la médecine psychiatrique et ses médecins appelées à tenir le rôle de gourou exciseur, exorciste exorciseur du mal d’Aimer de la femme, et de l’Amour de l’Homme, plus d’amoureux de la planète, encore moins de passionaria, la Passion ne passera, selon l’église évangélique des intégrismes de ces religions, qu’elles soient athées ou pas :

L’excision des femmes et de leur pénis « modèle-réduit de celui de l’homme », celle du prépuce des hommes, ce qui équivaut si les organes peuvent ainsi se comparer, à l’excision d ‘une petite lèvre chez la femme, cette excision pouvant se pratiquer par éradication du plaisir sexuel et innervation lente des nerfs des zones érogènes, des organes du plaisirs, la femme ayant le seul droit de voir mourir lentement son innervation sexuelle du plaisir, par électrodes, implantées, forme nouvelle de l’infibulation pratiquée encore de nos jours en psychiatrie, de main de personnels médicaux très embarrassés pour l’expliquer car eux même condamnés à la semi ou totale clitoridectomie ne serait-ce que par son inhibition ou son viol ou à l’ablation du prépuce, ce qui peut créer des problèmes réels, le gland de l’homme excisé frottant avec les vêtements serrés, et se mutilant d’avantage, non protégé par le prépuce, le pénis selon certains, toujours excité ou à demi, (car cette mutilation empêche les gestes sains de la masturbation, le manchon du sexe trop réduit de cette ablation, et ne pouvant coulisser) de cette forme de nudité supplémentaire et forcée, homme forcés de cette exaction. D’où des personnels médicaux, « passés par » ces ablations, dits tordus et tracassés de première, autan si ce n’est plus que leurs prétendus malades. La folie indiquée dans les cas de femme ou d’homme possédant ses facultés mentales mais aussi doué de posséder l ’intégrale possession de son appareil génital, et son libre usage. La condamnation sociale du plaisir et de la libre possession de son corps, de son appareil génital, une des clefs du christianisme e du capitalisme. Ce qui crée une population de vices et d’inhibés ou mutilés sexuellement, homophiles, forme de droit d’asile social contre ces persécutions. L’inhibition sexuelle autre forme de mutilation génitale, privant de l’usage du clitoris, des organes du plaisir chez l’homme et la femme, et donc, nerf de la guerre de nos sociétés ; le plaisir intégral du corps et de l’orgasme complet, ou réduit à être partiel, condamné par le viol jusqu’à l’auto-lysisme, causé par l’alcool, récupéré par les drogues causant l’orgasme, autrement-dit, l’interdit personnel du plaisir jugé acte de prostitution et condamné à au proxénétisme sinon familial, du moins social, médical et répressionnaire. Les viols correctifs, la suralimentation forcée, consentie ou non,  sont un exemple de méthodes usitées pour condamner à son annihilation le plaisir sexuel et la pleine possession de ses organes.


La torture, génitale et mentale, la mutilation cérébrale ou du système nerveux dans ces cas d’émancipation féminine ou masculine, dès ses prémisses, est qualifié de droit incontestable à incontournable à la mutilation sexuelle et de là nerveuse et cérébrale. D’où l’usage de la répression psychiatrique dans ces cas, en France, et en Occident.  Se crée un système de suspicion et de chasses aux sorcières qui dure en France, en Europe, depuis le 19° siècle et la princesse Eugénie, ou le Directoire... Suivi d’une codification vestimentaire des pratiques de ces mutilations, très importante dans al détermination de la folie incriminée dans les cas d’émancipation intellectuelle. Et la pratique de cette mutilation des femmes au cours d’accouchements répétés pour lesquels elles auront é té conditionnées et poussées à les admettre, car rendus dangereux pour leur vie, et roulette russe de la société, le premier certifié assez mutilatoire, violeur et volontairement douloureux pour causer des plaies et dégradations voulues de l’organe féminine, définitives, assez du moins pour empêcher freiner réprimer ou gêner l’orgasme. Accouchements exciseurs causes de revanches des mères sur leurs filles et fils pour leur pleine possessions de leur facultés et fonctions naturelles, et des persécutions envers la nubilité des enfants, adolescents, et de l’attribution du diagnostic de folie, justifié ou pas, chez les adolescents.  Car certains présentent à la suite de ces exactions, des troubles psychologiques et mentaux, d’autres, simplement rebelles importunés et victimes de ces rites obnubilatoires, et donc internés ou suivis médicalement pour leur rébellion. La stérilisation forcé  des femmes dites atteintes de folie pour les persécutions subies de ces rites mutilatoires, les ayant sauvées en quelque sorte, de ces accouchements mutilateurs, leur est reprochée ensuite, par l’innervation aux implants ou aux électrodes, de leur système nerveux sexuel ; électrodes hors convention et non officielles, mais réputées efficaces, je le rappelle, allant jusqu’au plaisir forcé de l’épilepsie, autre forme de viol, dit thérapeutique, et mutilateur également. Remplaçant celles de l’accouchement évité.

 La réduction obligatoire dans les familles françaises, chrétiennes ou même athée, des petites lèvres des petites filles ou des jeunes femmes, se pratique encore, petites lèvres rendues « enveloppantes » c'est-à-dire très volumineuses et développées, et donc pouvant être cause de gêne épouvantable chez les jeunes filles, conditionnées dès la puberté pour se les faire opérer (jeans serrés mutilateurs, prohibition) et réduire autant que par réduction de poitrine, par toute une sous culture destinée à frustrer de l’acte sexuel afin d’ancrer le plaisir anté-opératoire causé par les rites familiaux et sociaux, par la frustration causant une érection ou semi érection continuelle sans aucune possibilité de satisfaction, sinon causée en cachette dans l’interdit et la surveillance totale de la vie intime, ou au cours d’orgies à farces Jung nazies,  facéties et scènes de boui-bouis, de théâtre de cabaret familiales et sociales. Ceci vaut autant pour les hommes, contraints autant que les femmes et les enfants à ne point se toucher, autrement dit à ne point avoir recours au plaisir solitaire condamné à mort par les religions, chrétien en également,, ceci maintenu jusqu’à l’apparition des pollutions, nocturnes et parfois diurnes, ce qui est une gêne sociale, un handicap dans le travail, crée un phénomène relationnel apitoyé et compatissant de relations amicales pour « sauver le jeune homme » de la confusion, ce phénomène ne se passe de clinique privée ou de l’hôpital surtout psychiatrique chez les familles et classes fortunées, les basses classes réglant le problème par la violence familiale et voies de fait mortelles, le proxénétisme, et les violences parfois meurtrières conjugales.

Les jeunes gens mariés à leur famille, ni plus ni moins, le temps de se faire « sauver » par la vie maritale ou conjugale, de ce fléau. D’où le rôle du beau-père castrateur, des belles-mères, contrôleuses génitales et malthusiennes du plaisir des couples, une certaine parti de la médecine, psychiatrique surtout, très corrompu dans l’exercice de G. Bush, la chasteté préconisée chez les jeunes jusqu’à leur mariage, rendu obligatoire donc, l’inhibition sinon leur mutilation de leurs fonctions sexuelles et le contrôle mental, génital, de leur vie sexuelle et leur droit à la reproduction, la stérilisation forcée des dissidents et résistants, contestataires et récalcitrants, conseillée et pratiquée par la médecine même. Jusqu’à l’hystérie sociale, la barbarie populaire, la transe sociale et la folie généralisée. L’être sain accusé de folie pour son émancipation et la possession de ses facultés et fonctions naturelles, la folie librement admise, considérée et décrétée norme, la schizophrénie revenant à être une des rares situations de dénonciation de ces faits, ou forme de l’accusation de démence envers la contestation lucide à ces exactions et pratiques, considérée délit d’opinion, ce qui est tu et tabou, le délit d’opinion en France, et en Occident, s’il est condamné par la psychiatrie, est non-dit, ni reconnu aussi ouvertement qu’à l’étranger. Si les femmes connaissent l’excision, la mutilation génitale et ses rites sociaux, les hommes autant. La Beauté des jeunes gens niée, sinon crachée au visage et surexploitée dans certains cas, car causée par tant de souffrance, et de pureté morale des victimes.
La suite  consiste en la surmutilation du sexe des femmes, dans des rapports de couple, violeurs assez pour rendre frigide. L’essentiel étant qu’aucun ni aucune ne puisse s’en sortir entière, ou entier, autant que cheval et bête de somme, mais coupé pour plus de docilité.
 
La psychiatrisation de la femme émancipée afin que son langage érudit soit ramené à la stricte et pure simplicité du langage destiné à l’éducation de sa progéniture soit des plus adéquat à ce qu’en espère la norme sociale que fait respecter la psychiatrie, en tuant en elle toute forme de sa faconde, sa culture et son niveau ramené par la constitution de son corps en celui de prisonnière d’opinion, à celui des basses classes du lumpenprolétariat, norme requise jusques dans la haute société qui préfère ses bécasses qu’elle met sur le pinacle et prostitue en toute liberté, aux femmes cultivées douées de savoir, d’intelligence, de finesse et dénuées des rituels sadomasochiste du culte ;

Si la véritable maladie en France, mentale telle qu’elle est prise en charge médicalement par la psychiatrie moderne, n’est l’établissement du diagnostic de démence, envers des prisonniers de la torture électrique dont les sensations causées sont délibérément, si cela n’est clair ni pas compris objet de diagnostic de folie ;
Chasse au célibataires et pogroms organisés par la population sur travail commandité de psychiatres, envers l’usage coutumier dit répétitif de la masturbation, ou l’onanisme ou plaisir solitaire, (certifié par la populace et la psychiatrie  ne rien foutre ou branler à ne rien faire, langage ordurier médical, donc être résolument Fouriériste), la Veuve joyeuse des  amoureux en attente de couple, des couples brisés, de la masturbation à deux, sur des problèmes d’interdit dus à la religion et à un regain de nazisme dans les secteurs médicaux intervenants sur appels délateurs de type vichyssois. Chasses aux sorcières répétées dans les rangs des célibataires dénommés dans ces secteurs psychiatriques réputés pour mettre une fin à ce mal, dans la population des célibataires dénommées vieux garçons et vieilles dès l’âge de la nuptialité, ou de la puberté, jusqu’à des crises de révoltes chez ces personnes pourchassée de soins intensifs à domiciles déclarés préventif s’en fait de véritables placements d’office à internement non déclaré sinon suivi médical, soins pouvant atteindre un degré de violence certain, jusqu’aux voies de fait prolongées jusqu’à l’apparition de troubles réels, physiques et/ou mentaux, violences de type violences conjugales parfois jusqu’au décès suivis de violences supplémentaires de type opératoires, sans anesthésiques, viols correctifs et thérapeutiques en genre et de toutes natures, accompagnés et ou suivis d’opérations du cerveau le plus souvent au départ neurologiques et neurochirurgicales, précédent un état de crise post opératoire nécessitant l’hospitalisation réelle et office.

Moi-même victime de réductions sexuelles, (réduction des petites lèvres autour du clitoris, ablation de son prépuce, partage en deux répété du frein du clitoris, dès l’âge des 9 ans jusqu’à aujourd’hui, implantation d’électrodes génitales  afin de réfréner et punir le plaisir, solitaire ou à deux) et de mutilations nerveuses pour le simple fait de posséder encore l’usage de mes organes génitaux, non mutilés ainsi qu’il est de rigueur par l’accouchement protocolaire, ces pratiques en France monnaie courante,
En espérant que vous pourrez agir, et mes remerciements pour ce que vous avez déjà pu faire,
Sincèrement,

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