mardi 1 décembre 2009

Je subis en tant que défenseur des droits de l’homme (et récemment adhérente d' organismes de défense des droits de l'Homme) depuis mes premières prises de conscience, de violentes représailles à un militantisme que l’on me craint dans mes écrits, et ces derniers temps, ayant décidé la réédition de mes derniers livres, ainsi que l’envoi de mon dernier manuscrit à un éditeur, je subis des violences inacceptables, vires et expéditions punitives sans placmement officiel d’équipes médicales du secteur de santé mentale 2, chargées de s'occuper particulièrement de mon cas, envoyées soit sur l’ordre de ma famille, et relations, assez axées sur l’invitation à des personnels médicaux aux répressions de goulag, soit sur appel délateur de corbeaux de voisinage, assez eux indélicats et exacerbés pour pratiquer eux même de exactions et enfreintes aux droits de l’homme, violences physiques de type charcutage neurologique aux laser perquisitions constantes de mon logement, règlements de compte et régimes de faveur selon le mode, par pure farce Jung nazie, des services spéciaux, ne laissant de traces que par empoisonnement de mes boissons chaudes, cafés aux sels arsenicaux et cyanure, lâchers de gaz létaux ou d’ambiance à doses toxiques, ainsi que récement sur les hauts de la ville, dans trams et trains, destinés certainement d'une part et d'autres :

A un programme d’action du CHR de Montpellier et voire sur congrès médical, de l’ensemble du pays, d’euthanasie des malades mentaux, prisonniers d’opinion ainsi constitués depuis les années 30 à 50 par leurs équipes, ce qui se pratique par tradition encore de nos jours, pratiques d'immiscions dans la vie intime et privée, ingérence à la liberté de conscience notoire et préservée par la politique de trust de l’hôpital et du complexe hospitalier de la région de l’Hérault, très contraire au programme de Laborde, programme de prévention, contraire à la politique commerciale de ce trust hospitalier attentant sciemment, attendant la criminalité des pathologies de la démence pour prétendre à la criminalisation de la démence, emprisonner les déments et non prévenir leur crise meurtrière. Afin de prétendre à la traiter par les méthodes de torture de dictature des pavillons de force, en tout pavillon. Au dessus de mon logement, logent des individus très intéressés par ces pressions, parfois eux même malades mentaux récupérés par l’asile psychiatrique et certains secteurs psychiatriques de la ville, pour intimider gravement toute liberté de pensée que par mes activités intellectuelles et littéraires, je leur représente, certains, franchement de partis aryens. N’hésitent au délogement par farce et violences accrues, faisant appel à des engins irradiants de la mafia locale, engins de répression dont s’arment sous l’action de certains membres de la police complice avec les faits,propres sur appel chez « l''inspection » à la répression et l’exécution sommaire, parfois par pendaison, sur tout lieu de détention, public ou privé, y compris hôpitaux, ou à protéger les faits, les pavillons, et destinés sur programme d’action de l’hôpital, à « sécuriser les pavillons » depuis la direction de l'asile psychiatrique par Manville, un ancien membre du SAC, s’arment en fait d’armements militaires souvent de type nucléaire de nouvelle catégorie, armement militaire non classique et d’une assez longue protée, issu de la recherche, testé encore à l’heure actuelle sur tout contrevenant à cette guerre qui inévitablement, s’il ne s’adresse au bon policier capable de l’écouter, se trouvera transféré en tentative de dépôt de plainte, au CHR en question, sous placement d’office. La région privilégiant l’ébriété des foules, sinon par auto-acception de l’enivrement aux toxiques et produits alcoolisés, du moins aux narcotiques puissants. Armement nucléaire, ou à faisceaux, propre à faire accroire à la maladie ou à la créer, le complexe hospitalier de cette ville ne vivant que de ce trafic et de la présence des lésions, pathologies diverses et variées crées sur la région, jusqu’à une profusion de cancers. Ajoutée à un programme d'euthanasie des individus et patients ciblés de la ville, propre aux programmes d'euthanasie nazis, avec attribution de chambre létale; programme apparemment issu de Jacques Blanc, Hitlérien ayant accaparé l'hôpital psychiatrique, le complexe hospitalier en général à une certaine époque de Georges Frêche, et qui depuis, s'allie à des médecins de Patrice la Fuentes, et autres partisans d'extrême droite fanatisés dans la pratique de la torture médicale, et psychiatrique; qui la pratiquent dans leurs officines, sous le nez de la maire, Mme Mandroux, qui aurait tendance à protéger les faits, ou à les ignorer froidement.

Pratique illicite de la torture médicale à titre de soins, dans les basses autant que dans les hautes sphères de la société, en particulier sur victimes intelligentes en fait les plus sensées de ces milieux, de parties de snurf autrement dit de torture orgiaques sous l'incrimination de la démence de leur proie repérée dans l'enfance martyr niée par les forces de l'ordre et les pouvoirs médicaux appelés à témoigner ou venir en aide par témoins de ces orgies scandaleuses en tous milieux, victime souvent soumise à ce genre de parties de genre à thèmes spéciaux et spécifiques de la psychiatrie, parties dites de sauteries récréatives ou de jambes, à très gros gaspillage de vies et de nourriture, des budgets entiers de la victime soumise pour ces faits aux mesures de tutelle et de curatelle de l'UDAF destinées à gérer les surcouts occasionnés , substitution supplémentaire illiciteà ces orgies de tortures parfois mortelles pour la victime choisie le plus souvent dans la bonne société, pour sa pureté et virginité sensorielle à déflorer, des exactions de médecins généralistes, spécialistes et psychiatres non hospitaliers, privés ou hospitaliers, en relai sur la même personne, de la torture électrique létale en parties de snurf d’abord puis d’exécution sommaire, en séances de une heure chacune, infligée tout au long du jour dans des interventions à domicile constantes jusqu’à la cuisson et l’éclatement en purée cuite de zones cérébrales concernées et choisies pour être ensuite lobotomisées, que ce soit au domicile même, ou bien en bloc opératoire, le plus souvent, après rapt à l’insu des victimes, parfois suivi d’un ramener du corps inanimé de l‘opéré du cerveau, pour ma part, lobotomie régulière dès la repousse des zones amputées après leur décès sous décharges électriques, repousse causée par alimentation forcée en ce but, des zones arrières du cerveau, d’un pan du cerveau gauche de l’arrière du crane au front réduit à en poire du coté gauche, opéré, moi y compris, à son domicile, mon corps inanimé et presque sans vie, réanimé par brulure intense des zones du cervelet, organe vital du cerveau reptilien, qui mort et décédé, cause le décès, replacé dans de la position identique dans laquelle il avait été surpris, le plus souvent, endormi, parfois, après lâcher de gaz neutralisant dans son appartement. Dans l’espionite générale de ce que chacun fait, et la loi de la surveillance constante dune société policière en voie de devenir une dictature de type Birman à la française, s’en prenant aisément aujourd’hui plus encore, aux liberté de conscience et au délit d’opinion. Dont le mien, de leur tenir tête, réduite à cette seule action. En sus des thèses de Lempérière fréquemment pratiquées sur mon cas, autrement-dit, vivisection charlatane, section en deux du cerveau par la selle turcique, sa base, amputation du pourtour du cerveau, après tabassages avec appareils de torture électrique ou très irradiants, destinés à causer les dits troubles du comportements résultant prétendument de la section du cerveau en deux, objets des amputations suivantes du pourtour du cerveau...

Électrodes dans les parties génitales, dans la salle de bain, autant que dans partie d’excision égyptienne, engraissage jusqu’au foie gras chez moi de repas dès les huit heures du matin, en sus des repas que prends après opérations neurologies à mon domicile, gavages aux aliments contraires à ma santé jusqu’à des tri-glycérides en dosages mortels, et début de diabète, destiné à m’enlaidir, défigurer physiquement, de l’obésité des barbouzes qui me traitent, forme de tchador médical et médicamenteux, torture chimique qui m'est infligée depuis longtemps, constituée en leur prostituée ensuite, ces équipes et personnels médicaux appelés sur appels de corbeaux et indicateurs de vie privée, commettant viols par sodomie avec vaseline, fellations durant comas, dans un but de proxénétisme d’un mafia infiltrant les secteurs psychiatriques de la ville, commettant la torture psychiatrique et le viol thérapeutique (gavage par alimentation forcée et supplice sinon de l’eau par assoiffement du à des doses massives de neuroleptiques déclencheurs de potomanie, supplice de l’entonnoir et de l’aliment représentant les excréments et ce qui les constitue, des maquereaux, ingérés par la force dans un but de mise à mal, dressage à la coprophagie et cassage de l’organisme, à des fins de matage dit « débourrage » de futures prostituées sinon placées en placements non déclarés à domicile, du moins en pavillon fermé, sous l’étiquette de la démence, pratique de la torture électrique en vue de lavages de cerveau, de l’acte de neurochirurgie à fin de pression physique et assermentation, faits des actes de barbarie, actes de cruauté, (injection de demi-litres de vin entre les os de la boîte crânienne et les plages de cerveau réséqué à l'arrière de la tête, l'arrondi dolichocéphale amputé en forme de livre tenu droit, à demi-ouvert, ou même fermé à angle aigu, tête rendue (après introduction d'un cathéter à robinet, dans une plaie de deux centimètres de largeur, en dessous de l'un des cervelets, amputé pour sa moitié tant brulé par les servies hospitaliers chargés de me réanimer à ce point de cuisson de ces chairs), fontaine à vin, puis à eau destinée à laver les plaies subies sous les os, fait identique pratiqué à l'entrée de mon vagin et de mon rectum, devenus fontaine pareillement à vin et à lubrifiants artificiels en grande dissolution avec eau paraffinée, ou eau de lavement, autant que dans supplice de Marlilyn Monreau, au cours de parties fines à thèmes, électrodes infligées à la naissance des faces internes des cuisses, afin de me forcer à les ouvrir face à leurs exigences et viols, jusqu'au grand-écart, crimes contre l’humanité qui se pratiquent en pavillon et placements illicites à domicile, (dont avortements très fréquents après grossesses dues aux viols parfois avec fellations et actes de carressages jusqu'au coït, moi-même plongée dans un coma épileptique profond du aux violentes décharges de courants déphasants, et considérée durant des années catatonique tant trouvée à mon domicile allongée sans connaissance et dans un coma prolongé nécessitant secours d'urgence qui pris de panique violente, m'infligeaient décharges électriques sur séances d'électrodes, ma lutte continue et ma révolte fréquente contre ces abus en continu, déclarée par d'autres médecins hospitaliers spasmophylie (devant être réglée par l'interdiction chez moi pure et simple de l'usage du café, systématiquement imbibé des glaires de ma mère décédée à ce jour, et des salives, glaires séminales de mon père en plein rut), ou voire schizophrénie paranoïde, quand à peu près la totalité des maladies mentale m'a été invoquée et traitée y compris par les forces de l'ordre chargées de me secourir, immiscions du liquide amniotique retiré dans les aliments, actes de cannibalisme forcé des déchets humains hospitalier, prélevés sur la victime même ou en provenance d’autrui, faits criminels protégés par la police, la justice et la jurisprudence, moi-même encore et fréquemment soumise à leurs actes de carressages durant les interventions, qui me restent invisibles, tour de secte ou de type militaire. Profitant en m'éclairant d'une lampe de poche allumée les rendant invisible car mes yeux éblouis de la photo sensibilité de ces yeux déjà fragiles car rendus de ces tortures fortement myopes, déjà fragiles pour leur couleur bleu donc sensibles a la lumière, sensibilité augmentée des effets secondaires des neuroleptiques infligés à longueur de temps depuis bien avant ma majorité , forme de ceinture de chasteté à port graisseux de vertugadin destiné à augmenter la défiguration de mon corps, sorte de tchador médicamenteux et silice chrétien, à vitriolage médical de la beauté physique et intellectuelle qui m'a été incriminée depuis mon adolescence, et qui pouvait me permettre de réussir en société, de trouver vie maritale digne de ce nom qui pourrait s'avérer une aide à ma cause et me soustraire à ces abus. Boutage donc total et absolu de toute relation, amitié, relation sexuelle ou amoureuse, parties de cuisinage musclées au groupe électrogène destinées à me sortir de mon silence sur les faits, avertis que je survivais en en sachant trop long, ou électrodes parfois contrefaites de faisceaux radioactifs, longtemps pratiquées sur mes sinus maxillaires, frontaux et mastoïdiens, oreilles et lèvre supérieure de la bouche, afin de déterminer le nom de mes dernières prétendues coucheries, ou amours qui me rendaient tant selon ces intrus à mon domicile, « divine »,, ce qui ne saurait se concevoir, sinon sérieusement défigurée, bouffie, rendue obèse ou limitée au sur-poids, rougie et à trogne d'ivrogne avéré vouée au viol éternel dans des délices de Capoue que je refuserai par pudeur; et horreur de ces viols. Usage de la pratique médicale à des fins de proxénétisme, fraude électorale, élimination physique de toute personne qui serait témoin gênant de fraude à des fins d’occulter les affaires crapuleuses, de la région et du pays...


Je vous avais envoyé un courrier concernant les rites de la torture totalitaire psychiatrique en France, tentative de redressement d'une médecine déontologique de la santé mentale non initialement destinée à assurer les répressions d'un pouvoir de dictature sur le pays, le « flicquage » constant et quotidien d'une société policière et d'un état marxiste dont le goulag, récupéré par les pratiques médicales d'une psychiatrie de l'extrême droite, de la gauche marxiste pro-soviétique, est une résurgence du passé sans scrupule et sans façon, l'extrême droite assurant le pouvoir CRS ou KGB à camps mao à domicile de la psychiatrie, autrement dit, l'existence de secteurs de santé mentale goulags véritables ou prisons psychiatriques étatiques de même type que les prisons privées de l'Amérique Bhushienne, où s'y pratiquent des chaises de contention à tortures mortelles, dérapages de violences policières meurtrières, à but de déstabilisation de la gauche, dans un but politique et privé d'instituer la torture sexuelle, physique et mentale non officielles encore mais présentes en tout lieu de détention, sinon au sein de tout couple et de toute famille, dans un but de régner sans contrepartie, ni contre offensive, ni contreculture que ce soit .


Ce courrier autrement dit mes compléments de plainte suite à une plainte que j'avais en prime abord déposée auprès de votre tribunal, et suivie de représailles depuis, courrier concernant l'usage de la torture psychiatrique à titre de soin dans les hôpitaux, secteurs psychiatriques, milieux protégés publics, privés, à domicile inclus, je poursuis ma tâche de vous informer que ces pratiques médicales et dérives totalitaires qui s'apesantissent, autant qu'années de plomb, sur la ville et la région de Montpellier, autant que sur ma personne. Il serait urgent à mon avis de considérer le problème qui passe vite inaperçu, de la discrimination raciale qui persiste depuis les années 30 et la montée au pouvoir de Hitler, envers l'étiquette de la démence, qui ainsi que je vous l'ai déjà mentionné, perd de sa validité, et peut servir des pouvoirs totalitaires déjà en place, usant de cette étiquette dans la constitution de prisonniers d'opinion, en tous pays, en France surtout et également, dans le monde intellectuel et artistique, méthodes de persécutions destinant ces faux malades mentaux, à l'analphabétisme populiste requis, sinon le décès sous des tortures des plus arbitraires, physiques, mentales, extrêmement douloureuses, ainsi qu'envers ma personne, des bâtiments de force pratiquant la torture létale et des violences policières très graves, dont la peine de décapitation sous de violentes décharges électriques le plus souvent d'appareils électriques à détenteurs, dont les détonations vont jusqu'à celle d'une arme à eu, , assez prolongées pour atteinte le degré mortel d'électrocution, autre forme de peine de mort du casque électrique américain, trépanations et séances de viols correctifs et décharges électriques en surnombre pouvant conduire au décès, imbibition forcée des glaires, salives, lubrifiants séminaux retirés de ces prisonniers ou issus de déchets hospitaliers prélevés sur morts de leur famille, causes en partie surinfections non traitées, obstruction systématique par intrusions constantes au domicile de ces personnes traitées sur place par abus de ces départements et secteurs, en malades mentaux eux même victimes de ces dérives totalitaires des formes nouvelles de la torture médicale, sur les lieux de leur résidence et sur tout lieu, public, privé, de leur passage, déculottages intempestifs, électrodes en petits comités et en public suivis de partis fines publiques ou non et orgies à défécations et vomissements causés par des décharges électrocutant grièvement le cerveau, pouvant faire prescrire l'innervation des nerfs grièvement électrocutés, leur extraction, voire nerfs sciatiques, usage illicite de décharges d'électrodes à titre de sévices et punitions corporelles, pratiquées sur la quasi totalité de la surface du corps, sur la surface des jambes, les genoux, les pointes des coudes, zones sensibles du corps et très électromagnétiques en soi, fixation sur le devoir de lobotomie des zones arrières du crâne, pour une lutte insensée contre la dolichocéphalie, devant rester depuis les nazis, brachycéphales, mutilations des zones intellectuelles du cerveau, électrocutions des parties génitales, parfois dans un but certain de proxénétisme, à titre d'exemple, mon dernier appartement servant de maison de redressement et de ferme d'abattage pour intellectuelles devant sous ces tortures, s'adonner à la libre prostitution, en réponse à l'un de mes derniers courriels, les visites incessantes suivies de cures d'électrodes, dont celles dites cathodes, posées le long de la moelle épinière, sous les fessiers, dans le haut du dos, l'arrière du cou, dans les deux cervelets dans une matraquade des zones mortelles du corps, pouvant servir de cible dans des exécutions sommaires à l'occasion de virées de pavillons de force, violences assimilables à celles qui s'infligent à l'étranger, tout travail intellectuel m'étant de ces provocations et scènes de viols, tortures sous loi du silence, condamné. je dénonce l'usage de boucliers électriques plaqués contre les côtés de la face, ou électromagnétiques, plus douloureux encore, et générant un supplice infernal tant violent, pouvant causer des lésions graves, nécessitant la neurochirurgie dite à ce moment là récupératrice des dégâts causés, en fait prémédités bien avant l'usage de ces boucliers, sinon implantés, en vigueur dans certains pavillons, tenus par personnels policiers en uniforme bleu marine, les médecins de ces secteurs acquis à la cause aryenne, et appelés afin de limiter les QI de la ville non cadrés par l'université, ou animés d'un esprit libertaire nécessitant dans ce cas, l'appel de ces services, dont chacun peut se servir en tant que SAC.

Je signale également, des partisans apparemment de la Ligue rouge, staliniens obsessionnels d'un secteur de santé mentale, en expéditions punitives en relais incessant d'équipes acharnées sur mes lieux de vie, envers mes libertés de pensée, équipes qui visitent sur appel délateur sectaire mon domicile, font vivre un procédure illicite de type placement d'office, sans réel placement officiel, dans un but d'euthanasie que ces secteurs appelés en renfort préconisent, envers tout ennemis de leur opinion, luttant en faveur de la dépravation, l'institution du bordel chez les femmes émancipées et culturelles, le devoir pour elles (substituées sous l'étiquette de la prétendue démence, à ces fraudes et trafics dont de drogue), de prostitution, le devoir d'ébriété, de quelque cause qu'elle soit, drogue, alcool, coups, blessures, pratique illicite de déchaînements hospitaliers, cures ad mortem d'électrodes, sévices concernant la chair, obligation à l'imbibition forcée d'alcool, vin versé au goulot et alcool à 90° ou merphène imbuqué de force, dilué dans eau minérale ou de ville, en vue de prétendre aux soins décrits et interventions multiples au cours du jour et de la nuit, innervations du système nerveux, condamnations à mort arbitraires, en sus de celles exécutées par les secteurs aryens décrit plus haut, dénommés, "l'inspection". Cassages de bras cassés en deux autant de baguette de pain sec sur genou, coups violents assenés sur dessus de cranes et nuques, pour ma part sur intervention d'un père incestueux ivre en délirium trémens le plus souvent quand il entre, sans effraction dans mon domicile, de façon fréquente et quotidienne, après acte de serrurerie d'un de ses complices, père crapuleux et fabulateur, démagogue acquis à cette cause de l'orgie répressive à mortelle en famille, entre collègues, ramené ces temps derniers ivre mort et séparé parla force d'intervenants sérieux l'ayant surpris me violent et me violentant en état second de toutes ses forces, à son véhicule faisant le planton la journée ou la nuit durant devant mon dernier domicile, croyant devoir me surprendre au nid avec mon denier amant, qu'il souhaiterait lobotomiser et détruire autant qu'il me l'a fait depuis mes premières amours et depuis que je suis née, jalousie de père entièrement parti dans sa forclusion d'œdipe roi, me croyant encore à ce jour croyante donc à lobectomie, ou en la compagnie d'anciens amis ou concubins que j'avais chassés de ma vie pour leurs viols et violences, outrages et envies de prolonger ces pratiques envers la personne, ou lui dans le devoir de corriger le moindre de mes écrits (étant en sus d'être artiste, écrivain) et œuvres d'art qu'il perquisitionne à tout moment, des lobotomies hebdomadaires à séances d'électrodes (faisant le tour pour me les infliger, des cliniques et polycliniques privées, ou secteurs hospitaliers où on le remet afin de devoir s'expliquer sur ses comportements, toute tentative de ma part, de plainte à l'encontre des ces fraudes et abus suivie de ces représailles), et orgies rituelles les précédant, qu'il organise et m'inflige sous peine d'arsenic dans mes boissons, ce père donc et selon faits rapportés, décidant de vivre avec moi à temps complet autant qu'avec ma mère décédée qu'il voudrait et essaie de recréer en moi de ses salives et baves extirpées, qu'il me fait ingérer, me lavant lui même dans mes comas qu'il me cause de ses maltraitances, me faisant surveiller pour son ignorance « de ce qu'il se passe chez moi » par des couples logeant au dessus de mes appartements, ou vieilles femmes maquerelles d'extrême droite violentes et faisant partie de sa vie, logeant autour de mes domiciles et lieux de résidence, passage ou déplacements, véritable Stasi de corbeaux démarcheurs et indicateurs renseignant autant auprès de lui qu'auprès de services médicaux, de l'inspection et des forces de police, qu'ils appellent, sur les scandales causés par ces pratiques douteuses de la psychiatrie, défrayant la chronique de ma vie dans ses moindres détails dans un style universitaire étudié, et choisis pour cela, lui faisant protéger en déni de son mal, le démon de midi et l'alcoolisme doublé d'une tendance à la démence (démence qu'il m'impute par transfert de personnalité et déni de la sienne, lui par peur d'être interné ou incarcéré, ainsi qu'en entrave à la justice que je réclame envers ces crimes, faisant marcher le marché de la prostitution à cette encontre) due à une hépatite C pratiquement en phase terminale, son foie à plus de 60% de fibrose, en sus de revanches à ses douleurs naturelles très violentes inhérentes à des lumbagos, nerfs sciatiques, cruraux, et pénitences dit-on pénales augmentant ces névralgies, destinées à le punir de l'emprisonnement constant requis de ces douleurs hyperalgiques pour ses fautes, doublées d'acoquinements à des médecins protégeant ce type d'inceste à rites pervers violents et dangereux, lui me faisant passer pour sa feme et me contraignant sous les électrodes à un vieillissement prématuré prétexte à des soins supplémentaire et cures de jouvence t rajeunissement au lait et au œufs, omnibulé par les violences des pères iraniens de régimes totalitaires dont ceux des SS, talibans et du FIS. Mon appartement devenu leur boui-boui pour fêtes rituelles de ce type nostalgiques de Staline et d'Hitler, sous rémunération en guise récompense, d'une allocation adulte handicapée doublée d'une pension d'invalidité pour m promotion à ce statut, en cause, l'infirmité qui m'a été causée de ces fraudes, viols, avortements illicites sous la torture, (violentée, tabassée aux électrodes et électrochocs ,électrocutée et cognée parfois jusqu'à la perte artificielle de l'enfant, avec surveillance constante des dates des menstruations, coups s'il s'avère que je ne les ai pas, et dite en aménorrhée due aux excès de neuroleptiques ou à une grossesse, règles parfois causées artificiellement), mutilations bien trop fréquentes pouvant attenter à ma survie, le cerveau l'organe vital du corps par excellence, et tortures, m'obligeant à un statut non-dit de prostituée d'État autant qu'en Allemagne encore de nos jours...
Toute tentative par témoins outrés des transes meurtrières et actes de proxénétisme de mon père, de l'interner en pavillon ou maison de retraite, suivie de représailles à électrodes et mutilations cérébrales, violences dans ce courrier décrites, de ces pavillons et gériatres appelés auxquels il aura été confié, renvoyés à mon domicile me corriger sous astreinte d'internement officiel, sous le prétexte que le père n'avait qu'un peu trop bu. Lui ne reconnaissant que parfois ses torts et sa honte de s'être tant cédé, dans ses parties de monte entre amis et de monte à cru à actes de pédophilie dont violences sur mineur notamment sur ma personne, de ma naissance à ma vie adulte et répétant ses mots d'adieu sur ma future tombe voire urne funéraire à laquelle il me promet, face à mes morts apparentes, systématiquement et sans vergogne relaxé de tout policier et médecin, parce que constaté ivre saoul.

Autant que dans tout exercice de ce type de proxénétisme, affamement de la victime en vue des maintes opérations du cerveau, toute nourriture consommée aussitôt régurgitée sous électrodes, dans l'interdiction de se nourrir par soi-même, et la soumission depuis environ avril dernier, à la suralimentation forcée à base de viande de porc destinée à me rendre d'aspect physique porcin et leur truie faite de porc dont on me veut la hure, sinon trogne à air aviné confectionné de coups et électrocutions, produits rubéfiants très carminatifs contrefaisant la cuisance d'ordinaire due à l'alcool et le nez couperosé, tuméfié, de l'ivrogne, condamnée à la défiguration (confection de cernes par électrodes sur les yeux et orbites) et au physique lubrique à obscène qu'ils me revendiquent, par également intubation de nourritures inappropriées à ma santé, violences caractérisées assermentées nécessitant l'intervention d'équipes payées pour me récupérer autant que possible, mon portrait refait systématiquement à chacune de ces parties à thème de vieux cochons et vieux salauds, (ces temps-ci l'occasion de la fête anniversaire de mes 50 ans), fêtes immondes jusqu'à leur assouvissement, quoique, nymphomanes de ces plaisirs juteux du lucre, ils persistent encore aujourd'hui en ce genre de parties de snurf, monstrueuses dépensières en argent et dessous de table, sur fille ordinaire ou de bonne condition « qui sans ces faits aurait pu rester aussi belle qu'Arielle Dombasle », mon physique d'ordinaire, sans ces sévices, de même type que celui de cette actrice, mon niveau intellectuel repéré depuis l'enfance pour ses excellentes capacités et donc victime depuis des outrages ci-décrits au génie des enfants précoces et surdoués, présentée pour ce fait à ma mère dès ma naissance en tant qu'anormale, livrée à leurs actes de violence, tortures psychiatriques, maltraitances physiques et mentales et actes de bestialité de bourreaux, me promettant en tout temps et tout lieu au décès qui je vendais la mèche, ébruitais l'affaire d'où l'intérêt de me confier à la psychiatrie très tôt, afin de me soumettre à ces pratiques tortionnaires devant faire taire en sus des parties de genre, pierre à deux coups, toute lucidité et prise de conscience de leurs actes et tours de vaches infâmes, consacrant ma vie entière à ce rôle de prostituée et fille forcée de cette pratique illicite de la médecine.

Assoiffement, consommation forcée des déchets par alimentation forcée,domicile devenu leur site de sauteries récréatives de ce style, à coups de beignes et mornifles, débourrages de prostituées enchambrées chez soi, soumises à la loi du silence sous l'électrode temporale pouvant être fatale, commise jusqu'à l'odeur horrible de nerfs brulé jusqu'à leur réduction en corne grillée, et a cuisson des zones cérébrales touchées, la demi-cuisson du cerveau et de l'organisme donc, jusqu'à l'odeur de viande frite, et du sang demi-frit, formes de décapitations partielles ensuite puis par tranchet, autrement-dit lobotomies si résilience encore même faible, et si résistance de témoins scandalisés de telles pratiques, condamnation à des overdoses d'injections retard non officielles et autres traitements médicamenteux servant dans ces cas, à assermenter la fille, et affaiblie ses défenses mentales, puis en viennent encore et systématiquement à la mutilation cérébrale de grandes zones du cerveau, le dessus du crâne, l'arrière de la tête, puis un lobe entier temporal dès leur repousse ainsi que déjà indiqué,cerveau confectionné en cerveau lait, à l'œuf pâtes en gratins et au cochon, rebords brûlés de pain grillé récupérés durant mon enfance et ma majorité, avec pouvoir absolu de me forcer à terminer tout relief de repas que j'aurai laissé, soigneusement conservé depuis afin de me les faire ingurgiter dans les cas d' attente au tournant, (sous prétexte de me rétablir avec en sus de nombre et multiples injections de produits allergènes cuisants), avec tout insecte que j'aurai tué, ainsi que blattes trouvées chez autrui ou dans mes anciens logements, très cancérigènes une fois écrasées, dans un but de me cancériser, toute autre nourriture proscrite jusqu'à la cancérisation, qu'ils souhaitent cérébrale afin de mieux officier et m'éliminer définitivement, se faisant toute une fête d'organiser et préparer cette trépanation hebdomadaire jusqu'à masturber assez efficacement pour me causer orgasmes et coït, piétinant ma viande rouge lors de sa cuisson, pour la mettre sous l'eau et la ver des impuretés de leurs semelles, chargés de me la laisser ingurgiter ensuite, n'ayant plus de moyen autre de survie, quitte parfois à me faire des électrodes pour me sauver des empoisonnements causés et ainsi purger mon organisme, il fallait en accepter l'efficacité, des ingestions forcées ou de ma libre initiative car ignorante des additifs obscènes et vomissures que contenaient ces aliments, soumise aux anesthésiques à longueur de temps, nourritures d'aspect sain qui m'auraient pu être fatales, dont avec arsenic, ou ingérées simplement en état d'affamement mortel.

Scènes de tortures ignobles, ou la victime, en l'occurrence ici moi-même, promise à l'asile psychiatrique et donc au cercueil qui m'y attend, devant faire taire définitivement toute tentative de dénonciation de ce proxénétisme, à peu près tout secteur médical de Montpellier, affilié à cette pratique illicite de la médecine, les médecins des pavillons psychiatriques dont le psychiatre qui m'a été infligé depuis de nombreuses ans, couvrant de mes privations de liberté et obligation à un traitement neuroleptique bâillon de ma lucidité envers les faits, ou le placement en clinique devant faire taire ad mortem l'affaire de proxénétisme à scènes de meurtre et certains requins de la médecine privée spécialiste ou généraliste, rituels dans le rôle véreux de praticien souteneurs. dont certains n'hésitant à faire demande de l'inspection, qui use du bouclier électromagnétique, jusqu'à la torsion des intestins, ainsi que cela a été pour mon cas, ce qui nécessite des examens humiliants à sodomie médicale dans des services annexes, qui vivent sans prétention aucune, des lésions, infirmités causées dans ces services, ou sous placement illicite. Je ne puis que vous suggérer de faire en sorte si vous le pouvez que ce problème de la violence à domicile, parentale, soit abordé vraiment, afin que les personnes victimes ne vivent un cauchemar supplémentaire sous les tortures des plus violentes en internement, fait logique de toute plainte contre ce système de protection de l'inceste et des violences sinon conjugales, du moins à domicile. Parents bourreaux d'enfants devenus ensuite adultes, condamnés ensuite à la gériatrie, sur la demande d'un proche ou du parent bourreau en vie, si lui-même menacé d'être soigné en gériatrie pou sa démence avérée systématiquement respectée en tant que lucidité, substitution systématique également à ces multiples tentatives de témoins et intervenants, (parfois des médecins eux même témoins des actes de folie du père, appelés sur place), de soigner ce père, substitution faite par les pouvoirs public d'un ou plusieurs médecins hospitaliers ou chefs de secteur impliqués voués à le relâcher dans un but de faire taire toute plainte encore possible de la victime, moi-même, bouc émissaire et tête à claques de ce sbourreaux traitée en juive selon les lois aryennes de antisémitisme dont celle de la substitution, limitée dans ses capacités et aptitudes, à la personne vulnérable incapable majeure, voire, confiée entre temps, à des pavillons et secteurs médicaux très discriminatoire, peu scrupuleux envers l'étiquette souvent injustifiée d'adulte handicapé, pavillons dans la phase ultime du plan d'élimination, d'extermination physique et mentale de la personne tant que sa lucidité restera présente..


A cette occasion, je me permets de vous réclamer une action en faveur des filles garçons, hommes et femmes adultes victimes des violences conjugales de pères de famille incestueux, jaloux, violences pouvant se révéler aussi meurtrières que celles causées par les violences conjugales. L'enseignement laïque pouvant receler autant de tortures discrètes ou non commises dans le silence de la femme battue et de l'enfant martyr, dont je peux dire que je suis, enfants dès la naissances condamnés à des doses de séances de torture électrique qui les ont amenés, autant que moi même, à des réanimations quotidiennes, sur les lieux des tortures, le plus souvent, le domicile conjugal des parents, qui parfois, persécutent en famille l'un de leurs membres, incitent la médecine à les corroborer, à appesantir le poids de la torture médicale, psychiatrique, parfois, dès la maternité. Répressions, jusqu'à l'emboutissement des os de la boite crânienne, voire du visage et du pourtour du front, des yeux, n'hésitant à avoir recours aux lobotomies sur célébrités de l'intelligentsia (cf. la forme crânienne de Mr Duhamel, et autres célébrités du monde culturel, de celui du sport, et de la jet société); Milieux sordides de l'éducation laïque, aussi pédophile que le monde chrétien, adonné autant à l'orgie répressive et publique qu'en petit comité sur nouveaux-nés, durant également leur enfance totale soumise à ces tortures totalitaires, jusqu'au décès, le plus souvent, aux alentours des quarante à cinquante ans, date anniversaire du décès programmé des trisomiques dont le niveau est requis pour plus d'efficacité des soins et pratiques illicites de la dégradation totale du système nerveux et du bon fonctionnement cérébral,,date que je viens de passer dans un cap de mise à mort de mon corps et de ma vie. L'éthylisme dans ces milieux médicaux et de l'éducation, à parties fines de même type précédant la lobotomie rituelle dès la repousse des lobes amputés des du cerveau de leur proie, parties à trois pautre ou plus faisant rage et allant de pair avec celui d'infirmiers en équipes, soudoyés en bakchichs, affiliés également à ce type de parties de torture, autrement dit, parties de snurf, psychiatrisées, le plus souvent avec scènes de mise à mort pouvant tant infligées à longueur de journée, aller jusqu'à l'effet de casque électrique Américain, en sus de tentatives vaines dans mon cas d'amener au suicide, sinon api ingestion forcée de narcotiques puissants en overdoses,  produits rubéfiants et soumission aux effets de torture tropicale par inflicton de Subutex, très sudorifique et hypercalcinant, cause de fièvre brutale et inexpliquée, autres procédés de la torture  chimique ou crémant ou conduisant l'organisme à un très violent dessèchement (neuroleptiques en forts dosages, issus d'une recherche technologique visant plus à la répression qu'au soin pur et simple, autant puissants que la digitaline, la colchique, dont certains neuroleptiques sont issus, poison phytothérapeutique puissant autant que cigüe, rien que des plante, selon la publicité mensongère des posologies et de la pharmacopée médicale), en sus d'injections dites retard d'ordinaire officiellement non prescrites, autant que dans messes noires à parties de jupes, dans mon cas, avec viols à violences létales jusqu'à la mort apparente mainte fois causée dans la journée. Rendue exsangue des maintes hémorragies cérébrales obtenues après résections multiples durant la semaine, lobotomies pratiquées après intubations forcées destinées à obtenir la repousse systématisées des zones amputées en question, jusqu'à leur ré-amputation, sur demande de membre de famille exacerbé par de tels possibles, je suppose services hospitaliers et de secteurs privés, prétendant au commerce de ces prélèvement en grande quantités, la moitié d'un cerveau par semaine à peu près, sur une ou un de leur prisonnier, le plus souvent d'opinion, traité en vache à lait, à traite publique de ses matières cérébrales. procédé anthropophage aux rituels cannibales, pouvant aller autant qu'en Guantanamo, à ingestion forcée des cendres de morts de leur famille chez les prisonniers en question, notamment à l'occasion des fêtes de la Toussaint. ,

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire