samedi 5 décembre 2009

Afin d'éviter toute explication envers la situation qui m'accable depuis la fin de l'été, dont j'ai tenté de vous faire part et qui serait bien trop difficile à résumer sans paraitre délire ou logorrhée irrépressible, les paroles s'envolent, les écrits restent,  afin également de mettre au courant des instants terribles de solitude que j'ai connus lors de mon dernier anniversaire du 26-11-2009,  veuillez trouver ci-dessous textes, plaintes en fichiers joints et analyses parfois catalytiques autrement dit narco-analyses à domicile que je l'affirme, de courriers destinés à élucider les violences auxquelles je dois faire face depuis à peu près le 20-09-2009, s'amplifiant avec la date anniversaire de la naissance de ma mère, je vous en avais fait part, le 02-11-2009, et celle du mien. N'ayant pensé qu'à trouver quelque aide auprès de vous, je vous suis reconnaissante pour votre amitié, qui ne mérite que les quelques élucidations ci-dessous, quitte à devoir vous perdre, la franchise m'étant un devoir qui doit se passer du mensonge d'omission afin de garder la confiance d'autrui s'il est respectable et digne de cette confiance.
considérant que depuis le jour où j'ai atterri, atterrée d'un nerf crural sur votre table de soin, j'ai du faire face à des représailles, vous ne le croyez ni n'y attachez d'importance, en conséquence de supposées affinités sentimentales, intellectuelles, voire plus, avec vous,qui m'auraient été supposées assez pour causer interrogatoires sous électrodes sur précisément mes relations avec quiconque je fréquenterais, au cours d'une  enquête spéciale sur mes précisément, relations, sexuelles, sentimentales, amicales, antécédentes et à venir, bref, quelles qu'elles fussent ou aient été, je suppose afin d'un fichage systématique de chacune des personnes que j'aurais connues, relatives au possible pour elles d'être averties d'une certaine opinion très pourchassée chez moi, depuis sa parution sur divergence FM, entres autres la publication de mon dernier manuscrit judas, bête noire de mon père et de secteurs psychiatriques armés jusqu'aux dents  en guise de tranquillisants, envers ce genre de nerf rebelle à leur vocation, que je pourrait leur divulgateur par publication qu'ils cherchent à interdire, de ce manuscrit , maudit, autre version pour eux des versets sataniques de Salman Roujdi, version française envers la politique du CHU.
Pour plus d'appui envers mes arguments, extraits des parutions du collectif des 39, mouvement contestataire de ces pratiques et dérives médicale d'une science qui enfreint sa déontologie, jusqu'aux crimes contre l'humanité, en constance commis, envers le délit d'opinion, que je leur représente.
D'avance  merci, en espérant que vous garderez ces confidences pour votre usage personnel, si en toute condition je dois rester discrète, sans le transmettre à quelque clinique qui pourrait me mettre en pièces, sinon m'occire de tortures létales, dont je relève encore.

Mon état de nerfs similaire aux vôtres, mes ennuis semblables je le suppose aux ennuis électriques par lesquels je vous ai vu, quoique moi-même soumise à des traitements non officiels ni légaux, contre mon gré et mon gré, sans en avertir mes médecins officiels, qui m'obligent à une léthargie patiente que je ne saurais supporter même en vous, d'ordinaire speed et très dynamique, l'état de nerfs permanent chez ces équipes, à sens unique
Dans l'attente d'une réponse amie,
je vous embrasse
Line


Nuit sécuritaire
 
Je vous prie de trouver ci-dessous, les adresses URL de mes deux sites de blog et de ma page facebook, blogs contenant entre autres inédits, la dernière version de mon manuscrit,Judas. Suite logique d'argumentaires qui desservent une dialectique bien précise, antipsychiatrique, antitotalitaire et basée sur une philosophie réclamant une déontologie éthique en matière de psychiatrie réelle, récupérée à l'heure actuelle, par les pouvoirs, au service de la répression anti-contestataire, et en lutte armée de la torture psychiatrique et médicale contre le délit d'opinion, créatrice de ses prisonniers d'opinion, au service mercenaire des désidératas en matière de constitution de prisonniers d'opinion, de la plèbe, en mal de populisme, en quête brutale de tortures de plus en plus perverses, absurdes, douloureuses dictatoriales et violentes envers cette condition niée en occident, de prisonniers politiques et liée à l'internement arbitraire, autre formulation et formule magique du fait, prétendant à soigner autant la démence que le délit d'opinion, traité en tant que maladie mentale gravissime, à dangereuse pour la nation, l'ayant fait, sous la formulation innocente de placement, depuis les années 30 à 50. Sous les principes de la torture médicale, et de l'abus de pouvoir caractéristique, le détournement de science et de déontologie médicale. « Judas, Lucarnes et œilletons, Mégères ou le baiser de Judas », nouveau roman entre l’essai scientifique et la thèse philosophique, inéditable en édition commune, car je crois jugé trop inclassable pour sa subversion. Parti, en résumé, d’un simple constat d’un malthusianisme omniprésent d’intervenants en retour de années 50 dans la vie sociale, j’entre dans la lutte résolue contre la présence militaire d’un armement de pointe et de nouvelle convention, destiné à des tests pratiques au nom d’un programme de recherche militaire d'État, similaire à celui actuel qui règne dans les états américains, incluant l’apprentissage par les masses sociales, classe par classe, regroupement par communauté, de la torture et de la torture médicale, dont psychiatrique, sur un bouclier humain de la population, choisis parmi les personnes ciblées en premier de la contestation, tests maintenus et pratiqués par de bandes qui en sont armées, payées en soubassements politiques pour cet activisme de mafias locales et de petits partis au pouvoir exorbitant, causant démences, pathologies diverses, morts et blessés dans la population entière en occident au nom d’une lutte des classes fanatique de la dictature d’un lumpenprolétariat totalitaire déjà triomphant, ne sachant où incinérer ses morts, ni calmer ses invalides de guerre. La pratique de la torture médicale et psychiatrique en France sujet tabou soumis au secret médical sous le sceau du secret défense d'État, mais bien présente, prépondérante dans tout lieu de vie, de détention, même privé, présente de façon cryptée, au nom d’un acharnement thérapeutique envers prisonniers d’opinion détenus par la psychiatrie scientiste devenue nouveau goulag, que se confectionne la vie sociale et ses collaborateurs à ce système de prévarication, jusqu'au pourrissement de la situation, et l’apprentissage général, du vice, de l’ignorance analphabète conduisant à l’usage intime et collectif de la torture, sur soi, sur autrui, de l’analphabétisme acculturé, du pouvoir absolu de la bêtise conduisant à celui confiné, de la barbarie des plus inhumaine, le fascisme planétaire régnant depuis l’apparition de l’humanité.Liberté d'expression, d'action de la contestation psychiatrisées, psychiatrie-Raison d'État sous étiquette de démence, secret médical loi du silence. Psychiatrie organe répressif de partis,libre droit de torture médicale,fléau d' Inquisition, insidieuse, inavouée, tabou.

http://chelseyletterstoworld.blogspot.com/

http://facebook.com/line.llao
16 septembre 2009 06:40
Pour plus de dignité dans le soin, dans la lutte pour une politique sécuritaire à but commercial, dans l'enfreinte totale et totalitaire aux droits de 'homme, dans la permanence des crimes contre l'humanité quotidiens, dans la politique des disparitions, et le crime politique organisé de ce trust médical, le meurtre sur ordonnance et la mort des contestataires à ce régime, programmée, fait suite ce réquisitoire, pour plus d'appui à mes arguments, qui ne sont une thèse, celle première de mon livre "Judas", mais le prolongement de cette lutte du collectif des 39, les derniers textes de ce collectif, attestant qu'il s'agit d'une urgence sociale, que combattre cette tendance en glissement de terrain vers la prohibition de la pensée et l'euthanasie au scalpel de la liberté de pensée, de la liberté d'expression sinon promises au bucher psychiatrique; froidement ainsi que toute trace de rebellion, réticence ou conscience tranquille, exterminées selon le programme nazi d'extermination de la race juive, et autres peuples jugés races inférieures, au cas par cas,

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