dimanche 6 décembre 2009

A cette occasion, je me permets de vous réclamer une action en faveur des filles garçons, hommes et femmes adultes victimes des violences conjugales de pères de famille incestueux, jaloux, violences pouvant se révéler aussi meurtrières que celles causées par les violences conjugales. L'enseignement laïque pouvant receler autant de tortures discrètes ou non commises dans le silence de la femme battue et de l'enfant martyr, dont je peux dire que je suis, enfants dès la naissances condamnés à des doses de séances de torture électrique qui les ont amenés, autant que moi même, à des réanimations quotidiennes, sur les lieux des tortures, le plus souvent, le domicile conjugal des parents, qui parfois, persécutent en famille l'un de leurs membres, incitent la médecine à les corroborer, à appesantir le poids de la torture médicale, psychiatrique, parfois, dès la maternité. Répressions, jusqu'à l'emboutissement des os de la boite crânienne, voire du visage et du pourtour du front, des yeux, n'hésitant à avoir recours aux lobotomies sur célébrités de l'intelligentsia (cf. la forme crânienne de Mr Duhamel, et autres célébrités du monde culturel, de celui du sport, et de la jet société); Milieux sordides de l'éducation laïque, aussi pédophile que le monde chrétien, adonné autant à l'orgie répressive et publique qu'en petit comité sur nouveaux-nés, durant également leur enfance totale soumise à ces tortures totalitaires, jusqu'au décès, le plus souvent, aux alentours des quarante à cinquante ans, date anniversaire du décès programmé des trisomiques dont le niveau est requis pour plus d'efficacité des soins et pratiques illicites de la dégradation totale du système nerveux et du bon fonctionnement cérébral,,date que je viens de passer dans un cap de mise à mort de mon corps et de ma vie. L'éthylisme dans ces milieux médicaux et de l'éducation, à parties fines de même type précédant la lobotomie rituelle dès la repousse des lobes amputés des du cerveau de leur proie, parties à trois, autres ou plus faisant rage et allant de pair avec celui d'infirmiers en équipes, soudoyés en bakchichs, affiliés également à ce type de parties de torture, autrement dit, parties de snurf, psychiatrisées, le plus souvent avec scènes de mise à mort pouvant tant infligées à longueur de journée, aller jusqu'à l'effet de casque électrique Américain, en sus de tentatives vaines dans mon cas d'amener au suicide, sinon api ingestion forcée de narcotiques puissants en overdoses,  produits rubéfiants et soumission aux effets de torture tropicale par inflicton de Subutex, très sudorifique et hypercalcinant, hyperchauffants, très sudorifiques, cause de fièvre brutale et inexpliquée, autres procédés de la torture  chimique ou crémant ou conduisant l'organisme à un très violent dessèchement (neuroleptiques en forts dosages, issus d'une recherche technologique visant plus à la répression qu'au soin pur et simple, autant puissants que la digitaline, la colchique, dont certains neuroleptiques sont issus, poison phytothérapeutique puissant autant que cigüe, rien que des plantes, selon la publicité mensongère des posologies et de la pharmacopée médicale), en sus d'injections dites retard d'ordinaire officiellement non prescrites, autant que dans messes noires à parties de jupes, dans mon cas, avec viols à violences létales jusqu'à la mort apparente mainte fois causée dans la journée. Rendue exsangue des maintes hémorragies cérébrales obtenues après résections multiples durant la semaine, lobotomies pratiquées après intubations forcées destinées à obtenir la repousse systématisées des zones amputées en question, jusqu'à leur ré-amputation, sur demande de membre de famille exacerbé par de tels possibles, je suppose services hospitaliers et de secteurs privés, prétendant au commerce de ces prélèvement en grande quantités, la moitié d'un cerveau par semaine à peu près, sur une ou un de leur prisonnier, le plus souvent d'opinion, traité en vache à lait, à traite publique de ses matières cérébrales. procédé anthropophage aux rituels cannibales, pouvant aller autant qu'en Guantanamo, à ingestion forcée des cendres de morts de leur famille chez les prisonniers en question, notamment à l'occasion des fêtes de la Toussaint.  Et a présentation de dessus de crânes lobotomisés à la victime, sur plateau de ses légumes dégurgités pour l'occasion de sa mis eà jeun par séances d'électrodes, anté-opération..

Le but étant de créer de toutes pièces les types de symptomatiques typiques des démences rituelles en séquelles à des pratiques illicites de la torture psychiatrique, mutilatoires et commises sous tentatives répétées de meurtre, maltraitances complexes, panoplie protocolaire des symptomatiques systématiques recensées de maladies fictives totalement arbitraires dépendantes de l'imaginaire populaire et issu de folies réelles réputées de médecins sur le sujet très imaginatifs, ayant répertorié certains comportements suite et résultante d'opérations cérébrales, ajoutées à des procédés inquisiteurs de la médecine, prétextes à l'usage ad mortem sinon cause des diminutions réelles physiques, que sont en fait, les dites symptomatiques des maladies mentales reprochée par loi de la rétroactivité à des patients qui auront été confiés au départ à ces pratiques, pour des problèmes autres que ces démences au départ imputées,parfois et le plus souvent, le simple délit d 'opinion et acquises à forte de persévérance sciemment voulue à les leur causer, de tortures électriques en cures, infligées à titre dit préventif sur tout lieu de vie,surtout ante-placement licite et destinées à causer les caractéristique des démences répertoriées, cures à domicile puis en pavillon fermé, grillant le système nerveux ou le réduisant en broyât cuit jusqu'à des projections de cerveau réduit en purée frite de plaies réouverte sous la puissance des chocs électriques, ou la fracture de os, parfois à remplacer, tués net sous la cuisson des décharges d'appareils à détenteur, ou cuits à la longue de décharges d'électrodes aboutissant à la cuisson des chairs,des os et du cerveau, en sus des cuissons aux électrochocs, ou autres formes de la torture électrique, des parties génitales, tabassées également de courants imitant des coups ports violents, causant de fortes douleurs, et dits aimants, contrefaisant le bouclier électrique de l'étranger.

Le métier de personnel médical psychiatrique et de médecins psychiatres, ne consistant plus depuis les années 50 à 80 à ces inflictions des diverses formes de tortures dans ce livre répertoriées, il en existe des plus abominables cela est certain, dans les asiles psychiatriques de la métropole et provinciaux; ainsi que des particularités dans certains types de tortures psychiatriques à 'étranger, aucun des décès de ces établissements et instituions, publiques et privées, recensé publiquement, aucun chiffre ne paraissant actuellement sur le taux de mortalité de ces pavillons, cliniques , centres, plus en simple maltraitance de ces pratiques protocolaires de la torture à titre de soin, à titre pénal d'autant plus de dans pavillons disciplinaires (qu'ont à voir les violences policières et les rites de tortures et persécutions meurtrières de ces pavillons avec la pratique déontologique de la médecine, si la médecine déontologique psychiatrique a eu seulement un jour depuis sa création existé, créée dans un simple but totalitaire, je le rappelle, extrêmement « répressif » d'extermination raciale) que les maisons de retraites déjà contrôlées.

Je rappelle que les métiers dits médicaux, sont strictement liés pour la plupart, à la récupération sociale d'une de leurs déviances psychotique exacerbées dans le sens récupéré d'un emploi le plus souvent très rémunérateur, en principe phénomène très fréquent dans deux secteurs sociaux, le secteur primaire, (les égoutiers, plombiers, déboucheurs de WC, et autres obsédés des WC, agriculteurs) et le secteur tertiaire, dont les métiers de la chirurgie, certaines médecines liées à des types obsessionnels de folie : obsession des pieds chez les podologues, à titre d'exemple, cannibalisme récupérateur des folies de la société, de type film Hannibal chez les neurochirurgiens, analystes biologiques des selles en mal d'obsession coprophage, obsessions à rigidité mentale psychotique qui les motive à un point de foi qui les sert.

Usage à titre privé et collectif de pavillons fermés et dits de force, tenus par sortes de contrefaçons de policiers en uniforme bleu marine et casquette de représentants de l'ordre, en aucune adéquation avec la déontologie propre à la médecine, et n'usant de son étiquette qu'afin de pratiquer en toute liberté à mots couverts, les méthodes de la torture médicale à mots couverts, de violences policières à titre de soins, aptes à dérégler les organismes, le bon fonctionnement cérébral, l'amputation cérébrale et méthodes dites de soins devant être considérées délivrance du mal par les tortures endurées créé, les médecins de ce pavillons déclarés inspecteurs, couvrant dans l'hypocrisie démagogue absolue, l'usage de méthodes policières totalitaires dans l'imposition de la répression contre les libertés individuelles, droits de l'Homme et droits protégés parle code civil, le plaisir ad normem et naturel du corps, le plaisir solitaire, la masturbation onirique (punie de l'arasement des zones arrières du rêve, du rêve amoureux, l'arrondi dolichocéphale de l'arrière du crâne), le maintien du licou ou la peine de mort psychiatrisée chez les femmes mariées ou en devoir de l'être, promises, concubines et femmes en rencontre, le lysisme, le coît interrompus jusqu'au clap-end requis, et l'abstinence forcée chez les femmes adultes et jeunes filles émancipées en général, la soumission au père violeur surtout, pour les fils, au père et à la mère, au devoir conjugal, la protection de l'inceste et du devoir conjugal qui lui est dû, l'obligation au vice, à la dépravation, à la prostitution publique, au devoir de fidélité, à la préparation du corps de la femme (bains forcés sous prétexte d'hygiène, dans baignoires malpropres servant d'infliction de la stérilisation forcée des femmes émancipée par infection à salpingite causée par éradication d'une flore vaginale persécutée de trop de lavages intimes, jusqu'à cette infection stérilisante, due à ces baignoires maintenues sciemment en état de mauvaise hygiène) aux devoirs conjugaux qu'elle doit à l'homme, au mari, obligation sous peine de mort, de graves opérations du cerveau (lobotomisé dès la repousse en imbibition de ces procédés, après gavages intempestifs, des zones incriminées), à la malpropreté évidente des couples, femmes et familles, saleté devant rester commune aux populations, destinée à fournir les cabinets médicaux et secteurs médicaux publics, privés, en patients sur-infectés, jusqu'à la réapparition de la pneumonie et épidémies communes au Moyen Age, ère privilégiée des aryens, obligation aux actes contre-nature décrétés norme, contrainte des mêmes méthodes totalitaires, aux opiums connus du peuple, à son abêtissement intellectuel, à la propagande aryenne en matraquage de la restriction « ne que » signifiant que cela n'était assez, il fallait plus pousser plus loin en violences, jusqu'à celles violemment revendiquée par les groupements dirigeants de ces pavillons, cliniques, des camps nazis, soumission massive obligatoire également aux lois du fascisme dont au phallocratie. L'exécution capitale de nos jours conférée aux hôpitaux, psychiatrique en général. Mort violente ou lente, torture supplémentaire de se voir mourir sans pouvoir s'y opposer, mort infligée d'une croix sur dossier à contrats.

Conditionnements pouvant conduire à la gangrène du corps, des hommes, femmes insoumises à ces lois, à celles du viol par excellence auxquelles elles sont systématiquement substituées sous a la loi de substitution psychiatrique, défendue par psychiatres et forces de police, ou autant que je le suis encore, punies entre autres individus pour les violences subies, par inmbibition forcée de leurs organisme, de déchets hospitaliers, (eaux en grandes quantités dégurgitées, en baves, salives et glaires de tous orifices, eaux de lavage vaginaux et d'appareils sexuels, ainsi qu'après sodomie, fréquente dans ces pavillons et jusques lieux de vie privée sous leur égide,eaux infestées de corps en décomposition), conditionnement basé sur les neuro-transmetteurs d'autrui propres à soi de ces salives et glaires extirpées du corps humain, ou même d'animaux de compagnie familiers, destinées à restituer des physiques ou pensées induites chimiquement par ces « jus » humains, autre forme de lavage de cerveau lobotomisateur, ces salives imbuquées de force, devant digérer, le sujet maintenu à jeun, condition de la correction sous électrodes, les protéines et l'organisme de ce sujet, jusqu'à son cerveau, remplacé ensuite par une nourriture contraire à sa santé, basée sur les contre-indication à la vie de son corps. Opérations barbares très scientistes décrites dans le film « Le perfinateur », de métamorphoses, parfois plusieurs opérations (régulières dans ces établissements) de ce type par vie, dangereuses, en clonages voulus issus de ces pouvoirs de ces salives, avec individus punis pour des fautes dues au vice (bruits salivaires lubriques) ou pour causes libertaires, sujets au cours des électrodes en punissement, ayant fourni ces rejets (transvasement des liquides, sucs d'un sujet décédé ou en vie dans un autre, thérapie de type Frankenstein ou politique fiction en cours) . La liberté de pensée niée, persécutée au profond du corps, de son identité mentale et physique, tué de main froide, forme dérivée de l'exécution capitale, corps devant rester esclave sinon transformé en mélanges de sujets aux idéaux similaires, constitués eux même de tels viols de leur organisme en sa totalité restante des opérations qui précédaient, son intégralité pour lutte pour son intégrité des individus confinés dans l'emprise le plus souvent fatale de ces établissements, bafouée jusqu'à l'extirpation de morceaux de cerveau, dents, bras, etc. laissés sur la table d'opération. En sus des neuroleptiques en guise d'anti-rejet de cette greffe de sucs salivaires et d'humeurs humaines, neuroleptiques en fait produits chimiques, pharmaceutiques, produits dans le but de torturer les fonctions naturelles et l'organisme, et dont la plupart, employés en psychiatrie, jusqu'à la gériatrie, causent la cuisson chimique des chairs jusqu'à leur état de saucisson sec, de corne, matière cérébrale sèche, séchée autant que grumeaux et amas de purée de blédine lyophilisée cuite au lait délayé, ( les régimes secs ajoutés, carencés en fibres, vitamines et oligoélments nécesiares à la survie, à base de légumineuses, pâtes sèches ,farines de tubercules et régimes sans résidus pour granivores, cancérigènes et prévus anté-coloscopie, pour leurs vertus cancérigènes et de carençage, la surconsommation de produits à base de grains et de blé ayant servi d'électrochocs dès les premiers temps de l'humanité, transformant en nouilles cuites le système neveux et cérébral, l'homme devant rester omnivore) et de porc salé, steak tartare cuit des procédés décrits, en sus de la cuisson létale par fortes décharges électriques, forme de four crématoire ou portatif (chimique ou en implants électriques) , ou mécanique imposé en réponse de ce totalitarisme à la liberté de conscience déclarée démence grave à ce point de devoir la corriger. Jusqu'au pourrissement du corps, parfois encore en vie, et son décès. Autre procédé égyptien d'euthanasie Étatique, d'embaumage du corps innocent du vice exécute pour ses libertés physiques sans entraves et de pensée, jusqu'à ce que mort s'en suive;

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire