mercredi 16 décembre 2009

Pour avoir osé avoir une activité sexuelle et amoureuse avec un amant et avoir été soupçonnée de rapports, en tant qu'handicapée mentale donc devant restée castrée de toute sexualité et de l'infantilisme obligatoire du statut de l'enfance handicapée en fonction de mon opinion et mes activités artistiques, interdit,(sous peine d'obligation sous peine de mort psychiatrisée,et de soumission sous le proxénétisme hospitalier, à la prétendue prostitution libre), d'avoir eu pour amant un de mes médecins, après enquête sur ces relations présupposées de plus de deux ans d'interrogatoires massifs sous décharges électriques, à mon domicile, par intrus s'y introduisant autant que plombiers, pour avoir rédigé les textes de mon dernier blog Eclipse2, pour avoir été soumise ma vie durant à des pratiques pareilles de la médecine, la torture mentale et physique légalisée, banalisée, j'ai été après rapt sur la voie publique et maintes fois été soumise aux viols de psychiatres déchainés sur mon corps, aux lobotomies de quarts de cerveau (mis dans ma poubelle) l'un sur le dessus de l'encéphale droit, après arasement du dessus de cerveau, que j'avais beaucoup plus volumineux, ablation de l'arrière du cerveau, rendu brachycéphale, en forme de ivre demi-fermé our mes livres déjà édités et celui à paraitre, "Judas", ceci, procédé de parties de viols à snurf systématiques quand elles précèdent toute lobotomie à titre de vengeance envers mon opinion sur ces pratiques, ainsi qu'envers mes engagements humanitaires, politiques, et convictions non religieuses, parties de torture à électrochoc jusqu'à les rendre en corne séchée, ablation de ce fzit de plusieurs de mes nerfs sciatiques, dont certains relatifs au plaisir, ainsi que certains liés à a résistance aux abus sexuel, ainsi qu'au plaisir infligé, torture électrique  des intestins jusqu'à ce qu'il parait, l'ablation en premier lieu de dix centimètres d'intestins grêles pour leur cancérisation, puis de un mètre de ce sinstestins pour leur degré de cuisson, suite à ces tortures, ainsiqu'un régime alimentaire intubé d'interventions intempestives contre mon gré depuis le début de l'été, à base de malbouffe capitaliste, destiné à les cancériser,piquée aux neuroleptiques des années et en overdoses ces temps derniers à titre de sédatifs,et de bâillon envers toute lucidité que j'aurais des faits, ne voulant que je m'en aperçoive,  courses poursuite dans la ville entière afin de m'infliger ces représailles, contre façon du casque électrique de de la peine capitale, tentatives multiples et répétées ces dernières journées de meurtre par électrochocs sur ma personne par personnel affecté à cet emploi,  intervenant sans placement officiel, à mon domicile, en constante intrusion et forçage des portes de mon domicile, pire que l'affaire cleastream, m'éblouissant de lampes de poche et feignant chez moi la folie dangereuse,pour mon opinion, que vous connaissez, gavages et avec salives de ma mère, décédée, ainsi que viols organisés avec participation de mon père, dans les pratiques défloratoires de l'excision en Egypte, amputations répétées de l'extrémité du clitoris, sectionnée, cette dernière nuit, au cours précisément, de ces orgies de psychiatres et neurochirurgie proxénètesns. Tous plus ou moins, adeptes du führer, dont certains,officiers des secteurs disciplinaires appelés pour la cause, en salut hitlérien face à une statue de la vierge posée sur le buffet de mon appartement, pour la circonstance. Ce que l"on dénomme, un discours confus. Avec l'accord des pompiers qui y sont allés en visite annuelle des étrennes, de leur appareil à électrodes à détenteur, dont la détente et celle d'une arme à feu, pour le fait que je leur ai eu signé un chèque de dix euros, quand ils s'attendaient à plus. sous les provocations incessantes, de provocateurs du FN, certains psychiatriques appelés à la chaine le long de ces dernières journées, n'ayant hésité à tenter de me crever un œil, par culture lepéniste de la pose d'une électrode sur l'orbite, brulant mes paupières, pose constante, heure après heure, durant ma vie entière, des électrodes de ces électrochocs, sur toutes zones du crane, qui recellerai selon eux, une hypertrophie, en fait un cerveau développé. sur la visage, afin de le défigurer, séances de ce genre de groupe électrogène dont l'usage devrait être proscrit en médecine  et n'a rien à faire en médecine, usité à titre simplement répressif,et de torture électrique, pose donc de ces électrodes sur mon corps, sur mon crane, jusqu'à la cuisson des chairs, du sang, rendu tel jus de viande frite, fusion de lobe cérébraux ayant giclé en crème de cerveau à travers un orifice pratiqué d'un coup de laser, c'est dire  la puissance du groupe électrogène. Électrodes-parties dans la vulve, grillée à vie, grillage de cervelle assurée entre-temps, jusqu'à n e tumeur des petites lèvres, du sexe, et l'amputation répétée, de la chair et des muscles,d 'une grande lèvre, régulièrement réduite en fibrome. Cette nuit encore, introduction d'un doit dans mon conduit annal, après l'opération du quart de cerveau supérieur, afin de me prouver, combien ma vie durant, je l'ai eu dans le zob, violée d'un doigt d'honneur jusqu'à ce que vienne le plaisir, le viol ayant été déterminé viol, si sans plaisir, violée par mon propre plaisir causé de ces stomisations, amputations de nerfs secs et amputés du sommet du crane, aux pieds, extirpés, en les tirant par un orifice pratiqué sur le dessus du crane, dépecée de ces nerfs dès qu'ils auront eu repoussé.. soumise ensuite à des viols par masturbation forcée aux plaisirs saphiques de lesbiennes venues spécialement s'introduire à son domicile, pour également me narguer de ce viol, Le secteur de santé mentale 2 se débrouillant pour m'interposer, après maintes enquêtes et tortures destinées à connaitre mes talons d'Achille, toute pratique médicale, sociale de la torture qui serait un viol, et me serait un viol, pourrait me pousser soit au suicide soit au meurtre, afin de m'imposer des supplices vénaux, jusqu'à obtenir aucune résistance à ces viols, ni aucune réaction, eux tendant l'oreille entre mes fessiers maintenus écartés pour feindre le fait de n'entendre plus rien de moi, contre ce proxénétisme. Un ex-concubin appelé, un psychopathe que j'avais hébergé, afin qu'il me fasse la loi, me soumette à ces viols qui m'auront été reproché pour leur indécence, en fait prétexte, par ces parties de meurtre par électrochocs et condamnés par ces lobotomies. condamnant le viol chez la femme, par ces méthodes totalitaires.Fichant la femer ebelle, l'énergumène, l'ami fidèle, les destituant de elurs droits, les manipulant à leur insu, dans des marchandages, elle ou toi, innommables, datant des SS.
Médecine psychiatrique police politique, junte de psychiatres sur la région de Montpellier, en constitution de prisonniers politiques, (dont je suis), usant de la démence œdipienne des pères et mères de familles dont le mien, instaurant de le devoir chez les filles, d'inceste, et de pratiques pareille de l'inceste. le père revenu le lendemain matin, ce matin même, me revioler, tripoter, narguer de ce fait et laisser dans l'orgasme causé, le système nerveux résistant à ces actes de caresses, tué net ou à la longue, amputé, nerfs de la résistance physique et de la douleur causé par la résistance au plaisir physique imposé, avec soumission au masochisme, aux parties de sadomasochisme, dans mon appartement réduit à chambre de ce type de sado-masochisme. Père devenu mon proxénète, me soumettant en complicité avec ma famille, à ce genre de parties de stupre et de torture et de stomisations sur sa propre fille qu'il confine la situation de la fille forcée, autrement dit, sa fille de charme, qu'il dénomme, sa"danseuse nue", amputations des plus diverses d'organes et zones de mon corps, sous peine de mort destinées à me faire réfléchir, me soumettre à aux orgies de ces messieurs, sous l'étiquette de la démence dans ce logement devenu maison d'entrainement,sans quoi... Crises de führers venus spécialement, certains l'ont avoué,en sauterie récréative, "si l'on ne peut plus s'amuser à bouffer, s'étant faits payer grassement pour ces rites de Montpellier, les "Folies" du gratin. s'amusant dans les heures creuses, à torturer mon nez d'électrodes et radiations  des plus cuisantes, avec une instance maladive durant de heures, interdiction de toute nourriture, avec intervention avec mandales violentes, interdiction d e vomissures dans mes sandwichs, masturbation de l 'officier chargé de me contrôler, avec la tranche de viande que m'avoir servi un restaurant, en plein restaurant, viande laissée au gout de viol, d'une odeur puissante de sardine, dans mon assiette, après maintes gifles, pratiques destinées à me maintenir à jeun, avec filage de train, anté opération du cerveau préméditée.

Toute alimentation que je tenterais refusée, d'introductions systématique de baves et salives de ma mère anté son décès à Val d'Aurelle, dans des conditions douteuses d'euthanasie après violences  euthanasie qui m'a été instaurée d'infirmières y compris de Val d'Aurelle, venues m'irradier longtemps depuis afin de me faire taire D'autant que mon généraliste, pour avoir été décrété trop intime avec moi, fut assez puni pour se retourner contre moi, préférant prendre le parti de mes violeurs établissant un bouge fasciste à mon domicile, puis choisissant de m'éliminer d'abord passivement pour l'entreprise de torture de me séparer de lui, sous peine de mort, moi pour avoir osé prendre un amant par peur, suite aux inconséquences du généraliste, incapable d'interdite toute torture qui m'aura été faite pour lui, qui aura été lui aussi sacrifié, lobotomisé grièvement, moi-même éliminée physiquement définitivement pour les tortures endurées destinées à me séparer d'eux, pour leurs abus précédents,infirmiers  intervenant à mon domicile et instituant mon décès sous les décharges électriques continuelles ces trois mois -ci, , sous peine si j'en survis encore, de me placer pour un décès légal en pavillon fermé par décision de mon généraliste, entrainé à cela pour eux.
je risque le décès sous  peu de ces attaques, maintenue à jeun pour la pratique continuelles des électrodes, et trépanations graves rituelles et cycliques, quasi séquestrée à mon domicile depuis trois mois, toute nourriture prise immédiatement rejetée sous électrodes, ou souillée de baves notamment de ma mère avant son décès, destinées à me gangréner, sauvée in extrémis encore récemment de cette gangrène des os, qui m'a été voulue telle que dans un de mes inédits, "la chambre carrée", conte sur les méthodes nazies des pavillons de forces, les hôpitaux prisons en faisant usage jusqu'au décès des victimes, ici, par représailles, il s'agit de moi. Mon médecin généraliste pris en otage pour qu'il tienne le rôle du généraliste du conte, peut-être à son insu;lui préférant les jolies pommes sans les pépins telle qu'il m'a vue, aux bonnes poires à tête en poire que je suis devenue pour lui, après qu'il ait eu vainement tenté de faire de moi, sa maitresse, pour ses problèmes de couple. Lui ayant trouvé ailleurs bonne amie, m'interdit depuis longtemps tout accès à son cabinet sans électrodes, trépans lasers, nouvelles technologies de certaines cliniques, afin de trouver prétexte dans les récits que je lui en ferai, à me placer en clinique, afin d'en finir, ainsi que par jalousie, maltraitance et violences conjugales aggravées, entreprise raciale de m'éliminer, pour m'avoir revue indisponible puis fâchée de ces tortures infligées pour m'en séparer, ayant parfois essayé de me reprendre, puis brusquement jaloux ou enivré, de vin, de quelque soin qui lui est du, ou de quelque rencontre de plus. tout médecin hospitalier ou non appelé à mon secours, réinfligeant viols, sévices, tortures électriques supplémentaires, certains, par orgie ou partie de torture, dite de snurf, ou par pur profit cynique.

Mon chat pris en otage dans l'affaire, cancérisé mortellement d'irradiations qui m'étaient destinées, puis froidement cuit jusqu'au sang frit d'électrochocs, tabassé et violé, pour ce fait, soumis à des narcotiques puissants qui le mettent grièvement à mal et dont il pourrait mourir, chat tabassé pour me signifier le droit des nazis du film 1900, exécuté ligoté sur poutre, après semblable séparation d'un couple, par sa mort, lors d'un rapport surpris d'une milice aryenne.

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