lundi 11 janvier 2010

Exemple de triturations maladives inspirées par la médecine :
« Je soussignée Line Llao vous présente ma demande de requête, pour une levée de ma curatelle allégée, et vous demande un rendez-vous en vue d’un entretien, libération de cette mesure de surveillance et de contrôle de mon budget que j’atteste justifiée pour les raisons qui suivent.

Je demande également que des sanctions soient prises envers la curatrice attachée à l’UDAF ainsi qu’envers ses supérieurs qui l’influencent , Madame T., sensée gérer ce budget, car je l’estime incapable d’assurer la gestion d’un dossier qu’elle avoue elle-même très facile en comparaison de ceux d’autrui qu’elle a en charge, elle capable de me mettre en difficultés financières graves du fait de bloquer mes demandes en suppléments exceptionnels afin d’envisager ne recours à la curatelle renforcée afin de justifier un motif de travail qui la déborde mais lui rapporte et se faire croire indispensable.



Plaidoyer :



1 - Depuis 1986 date à laquelle est prononcée la demande de placement sous tutelle aux prestations sociales à mon encontre, ma situation différait absolument de celle d ‘aujourd’hui, étant donné que je percevais une AAH de 1500 F et que malgré tout, tout impayé m’a été causé depuis par cette mesure drastique et de protection inadaptée en matière de règlement des traites et dépenses ménagères, puisqu’elle m’a causé des défauts de paiement et mis mon cas dans des situations précaires suite à des emplois, suite aux retenues sur AAH des salaires et prestations ASSEDIC au point de ne devoir vivre qu’avec 40 F par semaine, pourquoi pas par mois à y être, à devoir voler son propre argent sur mon propre compte bancaire, pour y revenir, pour survivre et trouver un autre emploi, ce qui exige bonne présentation, propreté et nourriture adaptée, ne serait-ce que cela.



D’autre part, le même certificat médical de complaisance a servi durant des années, de 1986 à aujourd’hui, faisant office de jugement et pièce à conviction pour tout renouvellement de tutelle ou curatelle, tutelle aux prestations sociales instaurée pour le simple fait, je le rappelle, que je voulais travailler à plein temps (au départ des ménages dans une entreprise de nettoyage) et donc une tutrice m’a été nommée d’office afin de percevoir mensuellement le montant de l’AAH au cas où un jour je voudrais en disposer, trainée par me parents en justice au cours d’une procédure dans laquelle je n’ai témoigné, et n’ai été représentée que par mon père, accablant, seule la partie civile de mes inculpateurs qui ait été entendue, moi-même sensée ne pas m’en préoccuper. Incapacitée par un traitement inapproprié et invalidant, je fus incapable de prendre un travail à plein temps, de témoigner, et me contentais ensuite de stages CES à mi temps. Certificat médical attestant que je refusais cette Allocation qui m’était allouée pièce maitresse de tout procès et soi-disant témoin d’une irresponsabilité que je ferais.



2- Etant donné qu’au décès de ma grand-mère paternelle et de celui de ma mère, dans les années 1999, j’ai fais l’héritage de 20000€ qui ont été placés sur une assurance vie intouchable durant 8 ans, qui ont fructifié jusqu’aux 10000€ d’intérêt, ce qui donne une somme de 30000€ au total, étant donné que la curatrice Madame Tessier vous a demandé une requête demandant la vente de mon studio,( requête qui ne se justifiait puisque je possédais le document que vous m’aviez envoyé, attestant que je n’avais besoin de votre permission pour mettre mon bien immobilier, un studio, en vente, sis avenue de la Justice de Castelnau), étant donné que la vente de ce bien s’effectue en partie sans la présence mais avec le conseil ainsi qu’elle l’a souhaité, de cette curatrice, que le produit de la vente s’élève à 70 000€ somme assez conséquente que je comte placer sur un LEP,

Etant donné que les sommes conjointes de 30 000€ et 70 000€ moins 11 000€ dont j’ai fait la demande à l’occasion de deux déménagements successifs, somme consécutive aux paiement de deux loyers en même temps des anciens appartements et nouveaux logements sur 1 à 2 mois, le temps que le tems de préavis soit terminé, somme correspondant aux frais d’agence, paiement des loyers, cautions, et frais de déménagement 600€ environ pour le premier, prix d’ami, et 900€ environ pour le second, exécuté par professionnels, étant donné les frais d’emménagement et achats de meubles adaptés aux nouveaux logements, entre autres frais d’appareils électroménagers, en sus d’ameublement adéquat, il me faudrait un lit, un bureau, deux tables dont une table basse, des meubles de rangement, afin de m’établir dans un F2 plus confortable que le F1 amélioré qui précédait, bien trop exigu, (ma seule erreur étant d’avoir voulu quitter mon F3 de la Paillade trop rapidement, fuyant un milieu nocif pour tomber dans un logement plus étrange et dangereux encore).





3- Etant donné que la somme en question de 5000€ dont je fais demande devait servir à régler les sommes du dernier déménagement, 900€, des derniers meubles et opérations multiples que je dois faire (extractions de grains de beauté, pose de prothèses dentaires s’élevant à 2000€ remboursables, 1000€ l’une  si ces dents ne nécessitent une extraction pour avoir attendu trop de temps, enfin une opération de l’urètre que je dois effectuer après septembre), opérations qui ont été remises à cause des coûts du dernier déménagement, Madame Tessier bloque l’attribution de cette somme afin que je sois en difficulté financière et prétend la dilapidation de mon patrimoine, chose que je ferai jamais, cette dépense occasionnelle, envisageant de m’établir pour longtemps dans ce nouveau logement, quand je possède assez de biens financiers pour prétendre à cette somme, et quand à la mort de mon père, âgé et souffrant de deux maladies mortelles, s’il ne l’a dilapidé pour quelque maison de retraite ou raison de santé, il me lèguera ses biens personnels et immobiliers, d’après ce qui de conçoit. Ce n’est pas que je compte sur ce décès, mais je sais que je ne vivrai moi-même longtemps, en cause une hérédité mortelle, le cancer généralisé que je risque, et que tout argent qui me restera à mon décès, que j’estime vers les 60 ans ou prématuré, mon organisme ayant ces derniers ans souffert plus que mesure, seront légués à des associations humanitaires sinon à mon père, si encore en vie.



4- Etant donné que je n’ai jamais dilapidé quelque argent que ce soit, sinon dépensé ce qui m’était du pour survivre et me maintenir dans la bonne santé et le bon droit, et que mon AAH, APL pension actuellement d’invalidité et d’autonomie suffisent, avec l’aide de ma famille et mes biens immobiliers, à assurer ma vie et principales dépenses, que je n’ai jamais volé l’argent d’autrui sauf le mien contrainte par une réduction d‘AAH pour avoir travaillé, que les difficultés dans lesquelles j’ai vécu auront été cause de l’apparition chez moi d’un cancer du sein, apparu faute de vie saine, de nourritures appropriées et de paix, durant des temps de misère assurés par l’UDAF, les inquiétudes et le stress prolongés dus à une existence précaire quand l’intégralité de ma famille vit bourgeoisement bien établie dans villas, ou logements décents sans consentir à me venir en aide sans autre aide que celle de l’UDAF  qui n’en est une mais se débarrasser d’un objet encombrant né par hasard, et revenant trop cher (en fait, enfant unique, je ne vivais que négligée et enfant pauvre et battue de la famille,, autant que les enfant de cet âge, abandonnée à mon triste sort d’enfant abandonnée dans sa propre famille depuis sa petite enfance, puis laissée quasiment sans vivres et traitée pour cela en anorexique, dans des logements prêtés ou loués, avec 60€ par semaine au plus, même avec l’aide de mon père je n’y parvenais à survivre quand ils s‘agissait de s’habiller et de se soigner, spécialistes, examens médicaux et radiographies très chers) pour être né sain, en l’occurrence, moi-même, sinon quelques paiements destinés à me faire survivre aux procédés tyranniques de cet organisme, qui a fait pitié jusqu’à mon père, pourtant très sévère sur le plan financier, son complexe dit rapace ou Picsou l’aidant, tant les maltraitances de l’UDAF mettait ma vie et des vies en péril des trop grandes spoliations des minimas sociaux, et revenus en dessous du seuil de pauvreté, de trop de contraintes injustifiées machinales à maladives, mon père, ma mère du temps de sa vie et décédée à l’heure actuelle, se sentant obligés de m’aider financièrement tant ma misère noire et le grave défaut de paiement préjudiciable guettaient mon budget accordé étant mal géré, car ayant suffisamment de biens pour en vivre mieux l’UDAF aurait pu m’assurer, ainsi qu’à certains de ses protégés, une existence plus digne et moins dangereuse pour la vie et la santé que celle de manants serfs de cette société que protège cet organisme agréé par l’Etat, si de telles tyrannies drastiques à militaires doivent se mériter sans être contestées. Je n’ai été qu’une de leurs privilégiées. Que penser de moins favorisé.



5- Etant donné que je n’ai jamais de dépense pour quelque drogue ou alcool que ce soit, sauf accoutumance causée par hospitalisations au tabac, que je me prive de sorties en ville couteuses car tout commerce en ville très cher et de sorties au restaurant, discothèques, virées de nuit, fêtes entre copains, voyages, vêtures onéreuses, ou autre que celles des marchés populaires, dépenses qui en fit attirent amis et bons maris, concubins dignes de ce nom, ce dont je me prive également, étant donné que de ce fait je suis et reste seule à assurer les dépenses d’un logement, aidée ni par bon mari ni par concubin, que tous ce que j’ai eu pour ami m’auront violée violentée ou exploitée en vivant à mes crochets, car racaille infâme, seules relations rencontrées dues à mon statut, je n’allais pas épouser, sous UDAF et déclarée  handicapée, un médecin ou avocat, moi-même enfant rebut de sa classe moyenne, caste d’origine qui m’est restée inaccessible, car même plus étudiante, et rebut de la société de ce fait promis uniquement aux castes lumpenprolétatiennes dont j’ai gardé par la force le physique qui m’en a été infligé pour des questions de principes et représailles, à tel point que de ce fait je n‘en ai eu que les accusations de perte d’identité quand la mienne a été constamment de ces principes, refusée, ni enfants officiels, qui pourraient m’être une dépense en sus et cause de précarité supplémentaire, autre façon de stérilisation forcée, tout embryon promis à la poubelle ou aux WC sous avortement spontané causé par sévices et maltraitances, stérilisation surajoutée et induite par la prise forcée durant 30 ans environ de médicaments nécessitant l’avortement en cas de grossesse, (trois en tout d’officiels) et cause en partie de mon cancer du sein, car très galactogène cause de mastoses à répétition, très irritant et trop longtemps lourd quand cela ne se nécessitait, ne serait-ce que cela, prédisposition augmentée des thérapies diverses supplémentaires, interventions multiples à domicile et de travail dans des conditions de répression et surveillance inacceptables. Et dégouttant de tout emploi. Statut me promettant aux bas salaires des basses classes lumpenprolétatiennes et classes défavorisées, m’en conférant le physique jusqu’à patibulaire, malhonnête ou miséreux qui m’a été voulu, quand je suis issue d’une famille bourgeoise des classes moyennes, enfant rebut de cette caste qui dépense plus que pour survivre, a des consommations de produits de luxe que je n’ai, m’en privant, privée de cela depuis ma naissance, gros et grands repas arrosés entre rites dépravés, consommés en famille et entre amis et restaurants au détriment de la santé, voyages fréquents, voitures fréquemment renouvelées, investissements dans l’immobilier, terrain avec jardins arrosés et terrains habités de petits bungalows, ceci jusqu’à l’hypothèque de la villa de mes parents pour leurs trop grandes dépenses, ayant causé la cessation de mes études dans les années 80 faute de finances assurant ma vie, ma santé assez fragile pour que je ne travaille en sus de mes études, et dons financiers familiaux pouvant me sortir d’affaire en cas d’impayé ou de dépense vestimentaire, médicale, et en vivres, m’étant retrouvée sans diplôme universitaire et des ennuis physiques de santé fréquents, surinfections à répétition, dues à des vêtements surinfectés de chez fripiers car moins chers, dysménorrhées menstruelles dangereuses pour ma vie causées par appareil génital broyé de jeans trop serrés mutilateurs et broyeurs de l’appareil génital, les filles autant qu’en Inde et en Chine coutant cher à leurs parents, je grandissais et grossissais, jeans inchangés car trop pauvre malgré mes appels véhéments de détresse, mutilée grièvement jusqu’à abandonner tout travail, je n’ai pu trouver d’emploi à temps avant la perte de mon statut étudiant, ai tenté de poursuivre ma famille pour abandon familial, ce qui a justifié une première hospitalisation sur certificat de complaisance afin de soigner en psychiatrie ces infections en série en cause la misère noire et régler ce défaut d’emploi, de statut règlementaire social, placement suivi d’internements arbitraires identiques, toujours à contumax, pour raisons sociales de rejet raciste absolu de la société envers ce statut d’adulte handicapé devenu traditionnel à mon encontre, faute de n’avoir pu en gagner ma vie, (en cause les retenues sur mon AAH après rémunération de mes emplois à mi-temps et allocation de chômage ASSEDIC) statut rendu obligatoire après le premier placement, arbitraire tout autant, sans comparution de ma personne, car hospitalisée, toujours représentée à contumax par mes adversaires) voilier deux mats de 8 m, (je pense que leur compte en banque a été confondu avec le mien pour que l’on parle de dilapidation du patrimoine familial) et s’aident entre eux, entre-aide que seul mon père est près le plus souvent à m’accorder, au prix de plaidoyers que je dois également auprès de l’UDAF, ma vie un éternel plaidoyer de fautive éternelle pour faire valoir et respecter mes droits, ne seraient ce que les plus élémentaires sans restriction aucune, se vêtir, se nourrir, laver, se laver, se torcher, vivre sainement, aimer et être aimée dignement sans accusations ni irrespects et préjugés aliénants des droits les plus élémentaires de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.



Mon père, si son avis doit lui être demandé, seule personne de ma famille capable de me venir en aide n’a jamais souhaité toutefois supprimer cette mesure de tutelle ou de curatelle, m’abandonnant encore une fois pour ne m‘accorder que la mansuétude de sa charité, encore heureux qu’il m’aide et concède à son rôle et devoirs s’il a des droits, de père autre que géniteur, cherchant à me restrictionner quand il vit la belle vie avec désormais une compagne, lui ne m’ayant accordé qu’une maigre chance de me marier ou trouver compagnon digne de ce nom, encourageant parfois à cette contrainte de restriction de tutelle ou curatelle, pour des raisons je suppose diffamatoires à mon encontre, liées à son complexe de supériorité maladive, sans aucune justification en regard de mes résultats sociaux et productions intellectuelles, qu’il admire pourtant, mais sans grand effet sur des mesures réelles de mise en liberté, sinon les justification liées au fait de vivre très à l’aise en m’incapacitant de mesures invalidantes, sans que j’aie eu pu profiter de la vie et que jeunesse aie pu se passer sinon passer.





Je vous fais la demande de lever la mesure de protection UDAF concernant mon cas et de faire en sorte que me soit accordée entre temps cette somme de 5000€, assez urgente, ne faisant ni emprunt ni n’ayant envie de tomber dans les crédits. D’autant plus que la ponction de cette sommes sur mon assurance vie ne met pas mon patrimoine, que je ne transmettrait pas faute de descendance officielle, en danger, puisque à son décès, mon père, âgé de 76 ans, et très malade à l’heure actuelle d’une hépatite Cet d’une affection cardiaque, me transmettra deux appartements et peut-être si la loi ne s’y oppose, la pension de réversion de ma mère, ainsi que l’argent qui est en sa possession, s’il ne l’a entre temps dépensé, pour ses raisons de santé.





6- J’estime que depuis 1986, injustice m’a été faite, faire cesser ce tourment cause de sous-existence envisagée sous-caste de manants survivant en dessous du deuil de pauvreté sans l’aide monnayée d’une famille conflictuelle éternellement en conflit avec ma personne, je souhaite vivre dignement et sainement, faire cesser ce faux semblant de justice qui m’accapare de façon injustifiée m’est un devoir de survie , cette mesure qui aurait du m’entre une salvation providentielle ne m’ayant laissée en aucune mesure les mains libres afin que soient avancés de tels propos injurieux sur mes soi-disant dépenses astronomiques et inconsidérées, amputée dès mes jeunes années de mes responsabilités, étouffées dans l’œuf les moindres de mes initiatives, à tel point que semble-t-il, l’on parait attendre l’achat compulsif chez moi, que certains, prisonniers de l’UDAF n’ont du tant avoir, ce qui justifierait des craintes envers mes initiatives, enfermer pour enfermer, plus et d’avantage, étant la politique de cette curatrice, suppléant à mes devoirs dans l’irresponsabilité d’une névrosée du pouvoir totalitaire et de l’enfermement sécuritaire arbitraire, ce qui n’est que la moindre de ses armes pour faire respecter ses caprices de grande aristocrate.... Plus d’un rebelle à cet UDAF s’en est retrouvé diminué ne serait-ce que par grave carence alimentaire et séquelles à une vie de violentes restrictions pouvant les amener, faute de ressources vitales, à une ré-hospitalisation ou reconduction de la mesure UDAF pour s’être heurté à elle, ou rebellé contre tant d’indigence forcée..



7- L’immaturité irresponsable prétextée pour cette main mise sous tutellât de l’UDAF en provenance du simple interdit social populiste repris et respecté, fait respecter par l’église, la religion les milieux sociaux malthusiens et la médecine en premier lieu psychiatrique, concernant le plaisir féminin, ou masculin, interdit de ne point se toucher, ni ne connaitre le plaisir seul ou même à deux, sous peine de se voir accuser d’automutilation perverse à sadomasochiste envers soi, induisant à une soi-disant dépense frauduleuse hystérique, ce qui n’a jamais été mon cas, étant accablée du diagnostic que je jure frauduleux de schizophrénie présupposant la dangerosité (je suis depuis longtemps pacifiste, non-violente, défenseur des droits de l’Homme adhérente d’organismes associatifs humanitaires et n’ai jamais causé de tort à autrui ni fait mal à une mouche) et non traitée pour hystérie spasmophile en 1980 prétendument détectée après la série de diagnostics authentiques dont celui de la dépression à accident dépressif , ont suivi manie atypique, névrose obsessionnelle, psychose évolutive, phobies à TOCs et de la maniaco-dépressivité puis de la schizophrénie catatonique, autistique, paranoïde, hébéphrénique, ne sachant sur quelle maladie ni schizophrénie déjà invoquée compter pour l’indurer sinon la créer, puis prétendre à la traiter pour la recauser, diagnostics différant selon le médecin, le type d’entretien, le milieu social et le milieu médical, concernant ma soi-disant folie d’aimer, de vivre « la belle vie », en fait de mes parents et de « danser la carmagnole », en fait écrire, éditer dessiner faire du chant et peindre malgré somme de maîtres chanteurs me voulant ces mesures si je ne cédais à leurs exigences pathologiques à hystériques ou conscientes et crapuleuses parfois liés à des représailles de secteur médicaux, par pur but d’élimination physique de ma personne, revendiquée inculte, de toute procédure que j’intenterais contre eux, j’en savais trop long sur leurs fraudes parfois meurtrières à mortelles sur autrui et sur moi-même, la maturation venant avec la perte contrainte du plaisir solitaire le plus souvent dû au devoir de se garder de la virginité, dans des vies de contraintes au célibat pour plus de facilités de paiement, et refus de coucher avec des engeances douteuses, ou strictement célibats diminués de soins dits et attestés préventifs, (procès qui m’ont été faits) promis à coucher entre malades et profiteurs que ce statut d’handicapé sous caste sociale de sous-hommes attire immanquablement. Le plaisir solitaire contraint dans ces célibats que sont les handicaps et les infirmités, est une prise de risque supplémentaire tendant à l’attribution du diagnostic de folie, pour facilité à la dépense hystérique et contentement dépensier de la chair, ainsi que nombre de femmes s’en sont faites insulter et priver de leurs libertés depuis les temps des barbons de l’Eglise et de la Haute Inquisition.



8- Morale de couvent obligeant sous l’étiquette du diagnostic de démence à vivre jusques chez soi la chambre monacale et la restriction des moniales dans le culte des sévices originels pour les pouvoirs en place et celui de la religion, de l’UDAF sous peine de vie de Jésus et plaidoyers de Marie-Madelaine dame-pècheresse promise au goulag français que leur représente l’hôpital dont ils usent ainsi, face aux dames patronnesses fesseuses et pères fouettards à barbonnisme phallocrate de tous âges qui les gèrent, qui vous confient le tout très vite à la neurochirurgie si quiconque se heurte à eux, s’il s’agit là d’une de mes focales ou d’une idée fixe, car les neurochirurgiens sur cette ville, je crois, vivent bien, croissent bien se multiplient et n’ont pas besoin de l’UDAF, eux, (ainsi que les prostituées qui elles s’en passent), pour vivre, quoique, en acceptant de me prostituer, auprès des proxénètes que l’on m’envoie parfois à titre de moyen de persuasion, ou par rite, j’aurais évité toute inquiétude concernant mon degré de démence ou de mes finances. Je n’ai accepté que d’essayer de vivre de ma production littéraire philosophique et artistique, les métiers de ce genre artistique là ne payant pas, s’il s’agit là tant d‘une inconséquence, je l’ai payé très cher tout au long de ma vie, ces gens s’en prenant par raquet à mes fonctions naturelles. Il suffisait simplement de le deviner, mon grand tort, dans l’affaire de manque de discernement les faits sont maquillés. Où règnent jusqu’à des principes de cherté tenant au fait de simples lettres de délation autant qu’au régime de Vichy attestant que untel, unetelle n’a pas payé sa facture d’électricité, état d’esprit général qui aboutit à une réquisition étatique autant que biens de juifs de leurs biens et de leurs revenus, afin que la pauvreté soit traitée en maladie mentale grave ou incapacité mentale à gérer ses biens, quand elle figure parmi les problèmes sociaux des plus graves, certaines familles s’endettant de multiples crédits sans jamais avoir eu affaire à l’UDAF.



9- Immaturité à irresponsabilité causée en fait de très gros lavages de cerveau aux électrochocs, traitements médicamenteux lourds, handicapants, voire rendant invalide, maintes mutilations cérébrales déclarées opérations de neurochirurgie, mutilations génitales maintes fois répétées, causées soit par électrodes, soit par violences et vivisection, ce qui dans ces secteurs médicaux n’est nullement prohibé et se pratique à l’insu du patient qui leur est confié, autant que dans stérilisation forcée promulguée par la DDASS jusques dans les années 1995, d’où l’aspect infantile à immature de certains des dits malades, et qui m’a été reproché, en conséquence de ma jeunesse mentale et physique si jalousée ainsi que mon degré de propreté et mes capacités intellectuelles, patients traités en esclaves ainsi que moi-même, à battre et corriger de façon constante à courante, travaillés à la main pour que cet aspect et tête de l’emploi ainsi confectionné de mauvais traitements violents et mutilations, leur reste et soit resté, certains assez mutilés pour que soit prononcée leur invalidité, incapacité et vulnérabilité, cuits, détruits suffisamment dans le prétexte de les réparer, la plupart ne réclamant pas grand-chose sinon vivre dignement en paix, pour que soit entés en justice placements hospitaliers arbitraires et prévarications en tous genres destinées à s’attirer et justifier au nom de cette personne, emploi, gains et profits, ces milieux hospitaliers pas probes. Le fait de n’avoir pu me marier ni d’avoir réellement connu la vie de couple prétexte à l’appellation de délit d‘immaturité.



10- . Si immaturité en matière de finances et budget personnel m’est reprochée, aucun enseignement ne m’ayant été donné à ce sujet ni même par l’UDAF, sinon venant de moi-même sous les pénalités constantes de ses systèmes de protection de la personne majeure, absolument inutiles et déconseillées sur le plan pratique car créent des incapacités à gérer un budget car pratiquement inexistant basé sur des restrictions pouvant attenter à la vie, a la santé, causes de la démence à vices à laquelle depuis des années l’on souhaite les pousser, si de mauvais éléments existent, de son apparence préfabriquée de méthodes totalitaires injustifiées si le totalitarisme à ce point là peut se justifier, et de situations pécuniaires graves très difficiles à surmonter, (sans compter les tracasseries administratives insensées des banques et centres financiers dont ceux en particulier de la Banque Postale cause d’impayés et mises en découverts car refusant ce type de compte protégé trop peu rémunéré pour pouvoir en tirer profit), difficultés ne seraient-ce que les impayés causés justifiant précisément l’emploi de ces mesures autoritaires et procédures de placement sous autorité de l’UDAF, abusive en tous cas et pouvant créer des troubles de l’ordre public dans la population, autour des personnes dites protégées, s’il s’agit tant là d’une protection réelle ou d’un paranoïa qu’elles feraient, troubles rapportés dans des délires populaires infâmes que l’on les a forcées sous prétexte de mesure médicale et sociale, à intégrer, faux témoignages de défauts de systèmes qui ont dans ces mesures de protection jusqu’à l‘indigence grave et la précarité extrême, moi-même n’ayant causé aucun dégât de ce genre chez autrui, compté double par rapport au témoignage des inculpés, dont moi-même, faux en justice longtemps émis, durant 23 ans, niant ce témoignage que je leur oppose, j’ai rarement pu comparaitre, et le détruisant sous le prétexte de cette mesure de justice, entravant toute démarche en justice que je ferais, me desservant ou ne me servant d’appui, rendant jusqu’à la possession d’un chat, très dangereuse.... Alors que dire de la possession d ‘un enfant, si un enfant peut se posséder avant de n’être qu’à lui même.



11- J’aurais accepté autant que mon père, multi handicapé et invalide affecter de maladies mortelles, non reconnu invalide ni handicapé par la COTOREP car trop de fortune due à son emploi et héritages, l’a fait, (la moitié de la France dans ce cas là car préférant travailler à plein temps malgré de sérieux handicaps pour moins de pauvreté ni de contraintes liées au statut objet de discriminations et de répressions sinon taboues, tues) de travailler atteinte d’une infirmité, (en partie chez moi due à un cancer, d’autres handicaps physiques, dont certains causés par les traitements abusifs et le traitement actuel, qui même si mimine, est déjà très invalidant, un plus lourd nécessitant en effet la mesure UADF pour incapacité à gérer les dépenses courantes car en état de légumes décérébrés incapacités de méthodes violentes, de gérer et organiser ne serait-ce que leur vie jusqu’à de ces violences et intimidations graves jusques dans leurs domiciles que mort s’en suive) j’aurais peut-être réchappé à ce circuit infernal parcours du combattant qu’est d’être traité en démence pour un manque de revenus, accablée des ans y compris par mes proches ma famille ma mère et mon propre père, pour n’avoir pas eu cédé sur ce terrain d‘entente avec maints personnels infirmiers et médicaux anonymes agissant sans se faire voir, dans l’ombre, dans un éternel jeu de cache-cache-plombier-électricien simulé de ceux des renseignements généraux, et rats d’hôtels afin de faire prétendre à la maladie, pour la plupart aidés de gens de la populace et collectifs plébéiens, m’interdisant tout repos tant que je n’aurai retravaillé, pour me tenir le licou serré sous peine de licenciement abusif, ce qui avait déjà été commis et revendiqué plusieurs fois de façon déguisée (congés maladie jusqu’à démission, mutation sans emploi, embauche pour emploi sous menace de mort, autres abus dont gavages aux aliments cancérigènes pour anorexie, en cas de disette grave dont je ferais montre ou serais soupçonnée, pressions de tous ordres).

Forme de stakhanovisme révolu ou de travail obligatoire, nouvelle formule du STO, dont je n’ai même pas le droit il parait de faire lever l’autorité. »

.





« En conclusion :



Mon sort, s’il n’est enviable, n’est que des moindres, ce qui m’attire bien des jalousies de malheureux plus mal lotis que moi qui pourraient témoigner à mon contre, pour avoir été impliqués, dans des affaires de prostitution, mendicité, délinquance et délits justifiés par des mesures de protection trop rigides encourageant à la fraude, les réseaux de corruption dont ceux de la mendicité de la drogue, du trafic d’armes illicites, et de la prostitution, ce dont je peux témoigner plus amplement, trafics se basant sur mes signes extérieurs de richesse, soit, le maintien absolu chez moi de la misère, sinon volontairement infligée, du moins totalitaire.

Si je suis restée dans le droit chemin, sans aucun dépense outrancière ni aucune dépense autre que pour ma survie ou un confort minime, je ne le dois que du qu’à ma ligne de conduite, et non à quelque envie de céder à une oligarchie des pressions physiques et morales prêchant le travail obligatoire (politique actuelle) sinon intimisé en revendication personnelle très liée au moi-je, des handicapés, infirmes et gens valides de ce pays, sous peine de pénalités plus graves, voire, crimes réels contre l’humanité, refus de céder ce ma part qui me vaut la persistance de cette curatelle, complice des tortures et violences qui 'auront été faites, décrites ci-dessus..







Abréger, lever cette mesure de contrainte et prétendue protection administrative serait m’éloigner de ces dangers m’en faire réchapper réellement plus que m’y plonger, dangers promis à la misère que cause en constante oligarchie répressive l’UDAF, spoliatrice des droits jusqu’à l’aliénation totale des droits essentiels et élémentaires et l’aliénation tout court tant incriminée chez certains ou la plupart, Car dans l’attribution de ces mesures de protection de la personne majeure, de fraudes se sont produites. »







En conséquence de ces crimes et abus, je vous prie donc de bien vouloir mettre fin à ces injustices d'autant plus abominables qu'elles interviennent en lieu de substitution à celles qui me sont d'ordinaire exécutées, insulte d'autre part en entrave à la restitution de mes derniers enfants récupérés auprès de la DDASS par assistances sociales, organisme où ils avaient été placés raptés dès leur naissance qui s'est toujours déroulée à mon insu et sur cette invocation, assistantes sociales me les ayant remis sans avertissement officiel, ni sur courrier ni sur appel téléphonique, enfants régulièrement livrés à eux même dans mon appartement à mon insu, après que j'ai eu été plongée dans un coma de narcotiques puissants, jusqu'à ce que les services sociaux alertés soient revenus les chercher et replacer dans leur organisme d'accueil, mes enfants en bas âge circonspects et muets, pour comble d'horreur mis en présence de mon corps inanimé plongé dans le coma épileptique du à de fortes décharges électriques, pour plus de torture envers ces enfants, ayant déjà suffisamment souffert de la séparation d'avec leur mère en surcroît des actes de neurochirurgie et autres pratiques de la psychiatrie qui leur auront été infligées, et dont j'ai été avertie, pour une certaine hérédité qu'ils auraient présentée, l'intelligence, de surdoués en fait.

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