jeudi 7 janvier 2010

Moratoire contre les violences et exactions psychiatriques en France, en Occident et dans le monde, pressions physiques envers le délit d’opinion


Extraits de Judas, lucarnes et œilletons, Mégères ou le Baiser de Judas

Montpellier, le 21-07-2008

Présentation du livre :



Livre mémorial, stèle aux morts anonymes de la Psychiatrie, science médicale empirique servie organe de répression du pouvoir, capable d'immerger ses prisonniers d'opinion de tous temps dans l'atrocité des crimes contre l'humanité qu'elle persiste à pratiquer, dans la pratique silencieuse au grand jour de la torture psychiatrique la plus taboue qui soit en France et en Occident. Présente dans les mœurs du quotidien, pernicieuse, silencieuse, inévitable, incontournable, torture-répression fatale à l’esprit humain, pourchassé jusques dans l’identité physique, mentale, le corps même de ses prisonniers politiques, sous l’étiquette actuelle et depuis les premiers âges de l’humanité, de la démence. Soignée jusqu'à l'os et sa substantifique moelle depuis les années 80 pour délit d'opinion, rébellion envers les autorités sous le couvert de l'étoile jaune de la maladie, la démence. Et de la schizophrénie à priori, synonyme encore de nos jours des termes de prisonnier de guerre et d’opinion. Ou prisonnier d’Etat.



Présentation de l’artiste :



Artiste peintre au départ en formation, après études de deux ans à la Faculté de Lettres en Géographie, Bac Littéraire philo, réprimée, recyclée dans le secrétariat, puis écrivaine répressée dans tous milieux, enrôlée de force sous l'étiquette de la démence dans un combat apocalyptique contre un cobayage universitaire psychiatrisé incessant de tests médicaux et gouvernementaux, servi à titre de perdition envers mes écrits antiétatiques jugés très subversifs, au départ simplement d’avant-garde, ravalée au rang d'infirme.



Causé par des mutilations quotidiennes, Contrefaçon de démence causée par ces mutilations quotidiennes infligées à titre de pénalité handicapante envers la rédaction, confection de mes œuvres, confinée depuis dans ce système de contention à torture armée

Montpellier, le 06/11/2008



Moratoire, Introduction

Envoi dossier judas auprès des associations humanitaires SOS Racisme, Amnesty International, et la Ligue des droits de l’Homme, l’Agidd



Bonjour,



Je vous prie de bien vouloir trouver en pièce jointe mon dernier manuscrit Judas, ne sachant si vous avez reçu mon premier e-mail, livre concernant, malgré un certain humour noir parfois jusqu’au bleu noir, les violences policières (refus de servir, classement de mon dossier en dossier médical, orientation et détournement de mes plaintes, intimidations), et psychiatriques dont je fais l’objet depuis ma venue sur Montpellier, violences mentales et physiques que j’ai eues vécues au sein de ma famille, depuis parfois ma naissance, en tout lieu où je résiderais, me situerai ou fréquenterai, envers tout acte de ma vie, intime, privée, morale et intellectuelle, sachant que depuis que l’ai osé rédiger un dossier de plainte concernant l’affaire de violences policières et psychiatriques en France, j’ai dû me heurter à un mur, un long parcours du combattant et chemin de croix de ma lutte contre le pouvoir absolu qui est imposé en France, en occident, au nom de l’étiquette de la maladie et de la démence, attribuée à tout contrevenant à cet effet de dictat contre les libertés individuelles, les droits de l’homme et la liberté de conscience, acquis de Mai 68 soit, mais dont les critères me sont reprochés à titre de symptomatique typique de la maladie.



Connaissant les risques du métier intellectuel, le risque de folie donc, et l’action de groupes fanatisés de l’extrême droite et dits de l’extrême gauche en fait empreints d’un certain fascisme reproché aux bolchevicks et médecins assassins soviétiques, usant et abusant des droits concernant le handicap, la mise sous protection judiciaire et médicale des personnes, jugées trop lucides et pour résumer bien trop  contestataires, accablées de l’accusation de folie, voulant dans scandales diffamatoires et procédures à domicile illicite infamantes, que ne connaissant voix de maître j’obéisse à la voix de mon maître, usent eux même du droit de torture mentale et physique et de violence, de maltraitance sur personne dite vulnérable, en fait, totalement soumise à ces tortures et sévices, qui le maintiennent dans sa faiblesse, son non droit, ses droits niés et aliénés ce qui lui vaut l’appellation d’aliéné, ou l’étiquette contre laquelle je me bats depuis mes 19 ans. Afin de défendre des libertés individuelles et collectives, ne serait-ce que les droits fondamentaux du code civil et les droits de l’homme, qui me sont niés, refusés, bloqués de ces violences parfois  commise selon les lois de la torture systématique, des années durant, sans minute de répits. Viols, thérapies ou pseudo-thérapies violentes, viols thérapeutiques en tous genres, chocs nerveux, traumatismes physiques divers, ma vie un long plaidoyer au cours d’interrogatoires quotidiens, parties civiles successives que la psychiatrie aidée de ses acolytes fanatisés s’acharne à m’extirper et réséquer ensuite  je demande auprès de votre organisme aide et soutien juridique, si vous pouvez me l’accorder.





Vous remerciant par avance de votre aide, et attendant votre réponse par e-mail, ou retour d’e-mail,



Avec tout mon soutien moral,



Amicalement



Line Llao

Moratoire :

Liberté, République, Psychiatrie et démocratie

La police et la BAC ou police de nuit assènent le préjugé, opèrent avec la DST un nettoyage en profondeur et désincrustage au carecher comme promis, dans les milieux intellectuels de gauche et du renseignement, de l'intelligentsia, privilégiant les adeptes de la drogue pour assurer leur défense et les protéger contre tous ennemis qu'ils auraient, dans l'intelligentsia et les milieux cités, inspectant jusqu'à la violence gratuite appartements de voisinages malappris, parfois peut être le votre après votre départ inopiné ou subit, jusqu'à la violence sexuelle si nécessaire.

Exploitant le règlement de compte entre voisins, délinquants et victimes, conflits familiaux et de tous ordres, creusant la faille dans le crêpage de chignon, scènes de violences conjugales à l'appui dont on doit justifier aussi.

Négligences diplomatiques qui font monter le degré de violence dans la démocratie si elle en survit encore, la formation de bandes armées d'appareils à effet contondant et milices armées d’ armes de poing non conventionnelles autant qu'américains, je reprends, démocratie laissée dans le laisser aller, le laisser faire de la police même, sauf peut être de la BAC, service de nuit, négligences donc qui font monter le ton de la grogne dans les milieux populaires damnés, la police profitant de l'esprit de révolte des banlieues et du degré de sévices infligés pour revendiquer sa place son rôle, la multiplication d'effectifs, petit jeu dont elle se plaint, plaidant l'innocence des persécuteurs qu'elle laisse impunément cogner, tabasser, violenter, voire tortionner des victimes soit hospitalisées en conséquence des heurts et types de blessures en tous secteurs médicaux, soit psychiatrisées.



Profitant cette police pour faire remarquer sa nécessité d'exister  en intimidant, réprimant les mécontents de l'affaire, via également l'hôpital et la torture psychiatrique, les services sociaux dont tient encore debout l'État, tout aussi armés qu'elle de ces appareils de contention en vente illicite et circulation souterraine.



Services psychiatriques ou policiers se servant de délinquants et trafiquants pour intimider durement, salement frapper jusqu'à l'affection neurologique sévère voire la méningite après sinusite méningée surinfectée et autres graves complications sévères passant pour des causes naturelles, nettoyer ainsi tout milieu de ses contestataires d'interrogatoires au long cours durant leur vie entière s'il le faut, histoire de faire marcher le Renseignement, avec la participation pas toujours agréable ni sereine du voisinage, qui participe à la  manipulation des dits appareils de contention, destinés à interroger... Ce qui rapporte à la communauté entière des médecins et psychiatres, ne me dites à leur insu, gains, profit, et notoriété, immunité étatique et échelon social de noblesse de robe.

Ou nouvelle aristocratie médicale créée de toutes pièces, de la souffrance et de la douleur sous les actes de torture, leur mort, des personna non grata  ainsi obsédées à qui elle reproche les faits de la noblesse. Parfois peut être, destinées à payer à la droite même  en crise le prix de la vie et de la rébellion. Aristocratie d'agresseurs et délinquants travaillant à l'apparition de délires, le plus souvent discours antiétatiques censurés par le soin et la thérapie ou repris en cœur par le reste du système social, revus et corrigés, resucés et retravaillés parfois à la main, par la société de récup, ce dont profite la droite et donc le système étatique. Qui attend que les dégâts corporels et psychologiques soient d'un degré assez sérieux de gravité pour opérer, se répandre en opérations des zones corporelles lésées des tabassages, opérations qui coûtent cher à la société et à la Sécurité sociale. Et font marcher la Cotorep, les assistantes sociales, l'Anpe et les Assedic.

Les individus récupérés ne pouvant provisoirement ou définitivement plus travailler, handicapés et infirmes  si reconnus handicapés, et infirmes. Rendus pour ceux condamnés aux neuroleptiques, frigides, impuissants (une symptomatique schizophrène), patients maintenus dans le devoir de rester stériles car traitement conduisant au handicap, à la malformation de l’embryon et du fœtus, d’où la stérilisation forcée encore de rigueur.

Dictature déguisée au fascisme insidieux, le capitalisme sauvage mondialiste, individualise les problèmes sociaux qu'il crée pour les traiter au cas par cas, par la torture psychiatrique s'il le faut, à titre répressif. De la simple meurtrissure répétée au cancer généralisé.

Cerveaux manufacturés à la main, à la chaîne, aux lasers et contrefaçons d'appareils à électrochocs, Récupérés de tous bords et de toute industrie. En vogue dans certains quartiers, de Toulouse à la capitale.

La police ne rétablissant que par le crime impuni en espérant que cela ne se  voit.

La gégène médicale faisant rage actuellement, en vogue dans les chaumières, coutumière des déplacements, résolvant  de loin comme de près chez l'écrivain et l'intello de gauche, entre autres problèmes, les problèmes de page blanche.

Afin d'instaurer la torture étatique sur des individus isolés devenus récalcitrants à force d'ingérence constante dans leur vie privée sous la contrainte de la torture psychiatrique et/ou policière,  à isoler pour les rendre répréhensibles et sensibles au commandement de par la torture qui tue, dans les zones sensibles, qui ne  serait obédient aux directives de partis impliqués dans l'affaire de corruption médicale, méthodes entrées en France par la petite et la grande porte de la Psychiatrie. Système de répressions multiples très répressif.

Face au pouvoir de psychiatriser à outrance les masses et le fascisme, de créer des prisonniers d'opinion et politiques de ce fait dans les pour et les contre,  que faire, le fascisme, une maladie mentale ? Cause l'engorgement de la jurisprudence et le manque de prisons, de lits d'hôpitaux, de structures de réadaptation à la vie sociale, peut être, tant la violence et la barbarie auront fait rage.

Je pose la question. Et non les brodequins.

Fascisme, sinon pour certains  le seul langage de la Raison.

Sardanapale ou la raison papale, dans la guerre des sabines. Guérissez Michel-Ange pour ses problèmes avec les Beaux-Arts, et son manque de revenus à la Rubens, dressez le à être Ecce Homo, dans la Raison Universalis, dédiée à d'autres temps, futurs. Et surtout internez Jésus. Crucifiez-le si encore il ne l'est et curetez lui toute une vie durant les circonvolutions de son front à vif à l'électrode.

Prise entre chien et loup, Hitler et Poutine, Pierre et le Loup en plein mitan.

France du Handicap et du handicapé, fait et recousu à la machine. Et que l'on juge, de ses assesseurs, jusqu'à la dernière goutte, de suc, que ne lui aura le percepteur. L'infirmité philosophe. Si la Cotorep le recommande.

Ceci jusqu'à l'apparition de l'esprit de révolte  bien vite maté.

La France opérée du cerveau de la lobotomie sublime de bienveillance et obligatoire, bien incapacitante de rigueur en cas de rébellion surtout agitée. Selon les lois, et les théories parachevées de l'Os à Moelle.

La psychiatrie une forme pernicieuse et déguisée de la répression, qui ne leurre ou rarement personne sur ce fait. Mais escroque et dupe. Et non une Médecine purement éthique. Pour ceux qui y croient encore. La répression psychiatrique une forme de libre consensus de l'État avec la population et la Médecine.

Vérité, démocratie et effet placebo. Appréhension de la réalité, vérité réalité, absence de réalité et vécu non fondé, ça moi surmoi inconscient et subconscient collectif. Délit d'opinion. Expérimentation scientifique. Le ça dépravé adonné à la dépravation et l'addiction secrète ou avouée, le moi esclave d'un surmoi patronal détenteur du pouvoir.

Etre et paraître

La vie quotidienne d'aujourd'hui forme déguisée de la torture.

La science, la médecine, doit-elle mêlée à la vérité et doit elle seulement servir la police scientifique, affaire de corporatisme et de castes.

Psy communistes en collèges, repères de nazis de tous les fascismes, y compris pour les origines de certains des leurs, aux fascismes issus des fascismes de l'étranger. Aucun pays n'ayant échappé au fascisme de la pratique encore actuelle de la torture sous quelle forme qu'elle fut, tout pays possédant ses méthodes, avouées ou tues, des plus barbares autant que les dites "mœurs" françaises, ou coutumes traditionnelles de la torture. Torture française. L'essentiel étant de ne pas crier. Ou.



La propension à l'autocensure instaurée par le peuple qui se l'inflige depuis les grecs jusqu'à l'affliction somatique due à une intimisation dans le moi-je de la torture et de la répression, qu'elle soit d'origine cognitive ou issue de la practis, génère un comportement auto suicidaire de groupe qui ne se calme que dans l'accomplissement du sévice mutilatoire et de l'acte de torture ou de cruauté handicapant sur autrui ne l'ayant connu autant que ses bourreaux. Forme dérivée de loi du Talion. Le tout récupéré, manipulé par les pouvoirs. Choisissez votre dictat. Les grecs sensés choisir leur dictateur dans la haute antiquité.



La révolte, mue par l'instinct de survie mu lui par la souffrance et la douleur, quand le coté animal de l'homme devient surhumain, révolte décrétée schizoïde, un fait en soi de la volonté de rétablissement de l'humain et de l'humanité chez l'Homme quand il dérive, et devient inhumain. Ou définition même de la schizophrénie. Qui peut voir son contraire dans la maladie ou le comble de l’humain. L'esprit de révolte ne provenant que de l'étude et de l'éthique. Selon son degré d'émancipation.



Psys. Opérant du cerveau par esprit de représailles sur tout individu, toute personne qui leur serait dénoncée capable d'actes de journalisme sur le monde contemporain et même peut être de l'Histoire, ou temps passés, dans les sens du socialisme actuel. Ou l'état des sources des médias quand ils vous soufflent dessus, actuellement. Crimes politiques sur toute personne capable de ce journalisme. Depuis la perte d'audience du Monde Diplomatique. Crise des médias, émancipateurs des masses salariales et intellectuelles.

Le fascisme mondial, pas forcément hitlérien, tout pouvoir absolu en soi fasciste, dans des faux-semblants de bonne foi.

L'Handicapé devant resté attardé soigné confiné, confié, étouffé de thérapeutiques et battu à mort, miraculé de la science s'il a survécu, soumis à la maltraitance à la salissure, la malpropreté, l'obsolescence et la vieillesse prématurée, la multiplicité des infirmités et handicaps, l'erreur thérapeutique systématique, la stérilité et l'interdiction de se reproduire. La malnutrition et la fréquence sexuelle obligatoires, le rapport forcé avec orgasme assuré. La violence sexuelle des soins sur la sanction pénale jusqu'à la dite chronicité du prétendu mal, induit, causé, induré et trépané ne serait-ce qu'à force d'électrodes, à la chaîne. Dans la nudité et la mise à nu sous l’effeuillage de son cas.

Massacres planétaires, jusques dans la France entière...

Quand la maladie mentale et la délinquance ne se distinguent de par les effets de la drogue, de l'alcoolisme et de la délinquance conjointe. Incarcérer ces contrevenants ou les interner en Placement, psy devenant la pierre d'achoppement de la violence, entre partis politiques aussi au nom de leur philosophie, pas toujours éthique, qui peut laisser longtemps l'indécision et l'inaction à s'en faire sinon assassiner du moins exterminer racialement, radicalement et de la façon des plus morbides, dans des fins de vies atroces, ce n'est à moi de trancher le nœud gordien des problèmes de philosophie que l'on laisse se resserrer autour des gorges, mais aux experts des tribunaux s'il y a, du moins encore ; une psychiatrisation plus vaste des foules serait à envisager cause sa propension à la violence.

Faut-il psychiatriser la violence, pathogène de ses actes et cause des pathologies diverses du monde actuel, je pose le problème, essentiellement communiste à mon avis et concernant de près les idéaux, la pragmatique  de la gauche entière, c'est à la nouvelle psychiatrie s'il y a et je l'espère, de trancher.

Je réponds à la question : La violence, mal premier du siècle à psychiatriser en premier et en premier lieu, ce qui serait résoudre l'existence des pathologies mentales et physiques qui lui sont consécutives. La psychiatrie n'ayant traité jusqu'à présent, que précisément, les victimes de cette violence. La violence, une maladie grave parfois mortelle qui ne se distingue du fait quotidien.

Le manque de mixité sociale dans ces ghettos de violence, cause de heurts quotidiens injustes, injustifiés, dus à la violence raciale, entre communautés de personnes et ethnies groupes et groupements délinquants, augmente l'injustice du traitement des minorités récupérées au cas par cas par les instances juridiques, administratives, médicales et psychiatriques. Dans la plus grande injustice, ignorance du fait et démagogie adverse imbibée de pouvoir des plus lamentables qui soit.

Infantilisation du peuple des malades mentaux.

Ces médecins auront trituré jusqu'à l'esprit de meurtre, et que cet esprit vienne à leurs malades s'ils n'en souffrent au bout d'un moment cela leur vient vite, tous remis en liberté et armés d'appareils de contention dits de soins dont ils vandalisent autrui créant tout une pathologie médicalisée dans les populations et mêmes les ethnies. A la mode de nos jours. Tout individu, même enfant ou nourrisson qui leur serait confié, traité indifféremment de quoiqu'il souffre ou pas, selon les critères caricaturaux de la maladie mentale  grave, conjointement à ceux tout aussi caricaturaux, concernant la caricature antisémite. Considérant la lobotomie de type antisémite, problème nazi, sans anesthésiques et quotidienne, aussi peu grave que l'introduction chez le nourrisson de suppositoire. Chez eux très pénétrant. Lobotomies  sous forme de plaies et lésions cérébrales causées de trop de séismos ou d’électrodes, trop prolongées jusqu'à  un temps de vie réduit dans l'alpague l'éternelle querelle quotidienne la torture obsessionnelle et le sévice ordurier.

A n'inspirer que de coups de marteaux, faire passer par tous les synonymes du terme torture, sauf par le mot torture. Mot torture tabou, acte de torture défouloir et langue de bois journalistique, la censure passée par là, psychiatrique, policière, judiciaire et d'Etat.
Sévices, violences aggravées, voies de fait, intimidations, passages à tabac policiers, coups et blessures, exactions, répression à l'étranger, violences conjugales et à domicile si reconnues, enfance martyr, violences sexuelles attouchements et lésions corporelles, brutalités, opérations psychiatriques du cerveau et électrodes, dégâts matériels maltraitance et plaies, surinfectées, surinfections à suppuration, ulcérations à points de suture et autres déterminismes concernant les séquelles. Précisément des actes de torture. Tout mais sauf le terme de torture. Torture. Terme non reconnu par les services de jurisprudence et de police. Sous peine de graves maux de têtes opiniâtres ou céphalées parfois violentes, et d'ablation de l'utérus, des ovaires dont un brutalement devenu non fonctionnel et voire même de la prostate. L'usage en France de la torture électrique dans les commissariats et les hôpitaux taboue.

Le concept même de torture française et celui de délit d'opinion, inacceptable inconcevable en France mais dont la présence est rendue bien présente  et objet de tabous sur le territoire national  par l'action des autorités au sein même des populations, cette idée tant inconcevable d'oser sinon l'avouer du moins revendiquer la notion même de son existence, remontant à la surface avec l'épisode Dastier, à la surface du lac tel cadavre immergé sous la partie cachée de l'iceberg, formule psy.

Psychiatrisation de l'éducation religieuse, de l'école religieuse et laïque, sa fanatisation dans la torture médicale psychiatrisée le plus souvent électrique, psychiatrisation de l'enseignement de son personnel, de ses élèves et étudiants.

La France à l’ail au cerveau à l’aïoli de Marseille et ses trafics de drogues depuis ses comptoirs d’opium, cause de marées humaines d’handicapés physiques et mentaux, si le bébé que l’on voulait tant à l’ail faire passe, qu’il est né, malgré cela pour les embryons non désirés, la plante ciguë des embryons. Commis avant toute vague d’herpès qui a suivi dans les années 80 mêmes effets sur la population, cause de la naissance d’handicapés mentaux et anomalies, malformations de toutes sortes. Bizarreries qui l’ont dit.

Stérilisations forcées la plupart du temps à l'insu des patients, sous couvert et sur ordonnance de la DDASS, impliquées dans des affaires durant ces dernières décennies, de prostitution contrainte et forcée. Donc, de proxénétisme et de viols sur pupilles de la nation exactement, statut dont font partie tous les handicapés mentaux.

Etude effectuée par l’INSEE du département de la Gironde dans les années 90 sous la cohabitation Chirac-Mitterrand, et divulguée par le Charlie Hebdo de l’époque.

Type de situation identique à celle des années 1920 à 1930, sous la montée du fascisme qui avance, profitant de l'ignorance, en Europe, et les gargarismes sous les Jeux Olympiques hitlériens. Certains en témoignent, tel ce dessinateur d'un court métrage en dessin animé réfugié politique en pays d'accueil, concernant la Marche des marteaux en Europe, issu de Roumanie ou de Pologne. Dans ces pays, l'enfer, pur.

Résister, autant que le fait la nouvelle gauche américaine, depuis longtemps. Avec tri préparatoire à l’extermination, de qui en est qui n’en est.

Destruction à peu près totale préalable à la troisième guerre mondiale qui se prépare, de la gauche française par manque de concertation de son intelligentsia, complètement bourrée soit de drogues soit alcoolisée, sachant qu'elle pouvait construire une résistance et la fournir en effectifs. Chacun devant prochainement lutter jusqu'aux dernières de ses ressources intérieures.

La population des étudiants, quelques artistes, intellectuels et diplômés entrent en guerre souterraine contre cette pernition fasciste de la république, de l'Europe et du monde occidental, en voie d'une lente fascisation depuis les années 1905 à 50, résistants d'un nouveau siècle autant actifs et désarmés que casques bleus de Bosnie. Offrant là un parc de prisonniers politiques, cible victime première non reconnue des répressions, bouclier humain innocent de toute l'amoralité du pays. Qui ne compte pour sa moitié que sur leur vie et leur action dans le monde.

L'acquisition préventive contrainte et forcée sous l'opération continuelle et quotidienne du cerveau, des symptomatiques de la maladie, ajoutée à des méthodes violentes de tortures inhumaines, déterminée déstabilisation du sujet. Commise entre autres méthodes des plus violentes, de l’obnubilation par attaques racistes et préjugés accusateurs. Ou soins psychiatriques.

L'école de psychiatrie actuelle un pouvoir absolu. la psychiatrie actuelle datant de la montée au pour d'Hitler et de l'extension du fascisme aryen. Chaque pays possédant son type de fascisme.

Commençant par instituer la prostitution au domicile des couples et en faire leur pain de ménage, que ce soit leur dada, chez certains cocos leur cheval de bataille, le bordel rouge, proxénétisme des moeurs repris par Dada et son pain bleu. Institution de la censure et de l'interdit par la neuropsychiatrie, au sein des populations.

Les recherches en matière de gériatrie et de neuropsychiatrie ou de progrès médicamenteux perverties de façon identique, destinées plus à torturer et tuer que rendre la vie agréable. Certaines personnes très mal intentionnées usant de ce matériel médical à l'origine destiné à opérer, pour des pratiques paramilitaires de la torture, instituant ainsi dans les foyers la torture de guerre jusques dans les rapports intimes. Pour résumer. Avec fichages par les autorités de chaque individu, si a participé ou a refusé l'expérimentation de la torture française. Tests gouvernementaux sur population ou de partis à idées fixes, avec accords préfectoraux à l’appui en cas de signature de PO pour les plus récalcitrants.

La psychiatrie ne traitant, n'enfermant que les enfants martyrs, femmes battues, veuves, violées, victimes de crimes et préjudices, boucs émissaires et souffre-douleur de la population. les violents qui en sont la cause laissés en liberté, paradant dans leur bêtise inculte et triomphante, ne voulant les laisser que sans réplique, les attendant à la sortie de l'asile, pour reproduire leur violence sur ces victimes. Certaines, prise dans le piège de la légitime défense, tuent leurs bourreaux et meurent des soins de l'asile. D’une certaine façon exécutées.

La psychiatrie ne traitant que par l'usage de la torture sur prisonnier, le plus souvent politisé, si conviction politique, prisonnier d'opinion et celui là prend pour tous les autres. Fait de la schizophrénie que l'on lui apprend par acculement suicidaire du corps et de l’esprit à cette acquisition de la légitime défense traitée en tant que dangerosité, avec acquisition forcée des autres faits de la symptomatique de la maladie par l'exercice de ces méthodes jour après jour, heure après heure, nuit et jour. Méthodes au nazisme identiques.

La neuropsychiatrie, la neurologie, la neurochirurgie sous-ensembles du corps général de la Psychiatrie. Bien que personne n’en sache les frontière, ni celles entre ses différents corps.



L'auto endoctrinement calmant les douleurs prépondérantes de la souffrance psychique causée par la bêtise humaine et la conscience de son existence en soi comme sur terre, cet auto conditionnement abrutissant à la barbarie existe bien réellement, parant à toute démence de bourreaux irresponsables par l'acte de violence physique et la torture sous toutes ses formes sur leurs victimes. Comblant les failles  autant du système capitaliste que de celui des cases vides, qu'il engendre. le système n'étant en soi qu'individus, d'où le personnalisme, à la mode et de rigueur. L'intimisation de la torture passant en premier lieu par le fait d'aller réclamer à la pharmacie comme à la boulangerie des pains et de prendre la baguette du boulanger à qui aussi l'on réclame des pains, des gros ou des petits, pour taire ou montrer une arme de guerre fatale qui vous fera marcher au pas.



Répression pollution d'État. Le monde la France et sa population se l'auto-établissant, en faisant un usage personnel. Tenant à l’instrumentalisation de la présence sur terre d'un tiers ou à son délire ne serait-ce que d'un père, d'un membre de famille délateur d'un des siens. Répression égalant torture. La répression sur terre usant de la torture psychiatrique, dénommée effets cénesthésiques du délirât sous-jaçant. Point. De suture y compris. Cercle vicieux vieux, circadien. Petite systémique de la pensée qui s'échafaude en cristallisations sauvages à barbarie récurrente prépondérante.

Chacun identité contrainte et forcée sous les tortures du STO psychiatrique pour les ferrer, à la révolution prolétaire et du lumpenprolétariat sous peine de placement d'office en établissement psychiatrique. Dans une mobilisation forcée de tous les dits handicapés mentaux maintenus dans la gratuité de leur travail paramilitarisé sous prétexte de militantisme. D'ailleurs antihitlérien.


Soviétisation de la vie courante selon les lois psychiatriques de l'orgie, ses répressions, le soin, la torture électrique, la neurochirurgie curative,  avec ouverture ou non de l'os, de la porte de l'appartement ou non.



Le langage universitaire, logos, discours intellectuel de gauche, la connaissance et le savoir, la culture et la cognition jugés délire rentré devant nécessiter la crevaison de l’abcès, un travail par essence psychiatrique.



La lutte contre l’identité même de l’intellectuel identité physique et mentale en interaction constante, une priorité de la torture psychiatrique.

La liberté n'étant que dans l'acception totale de l'esclavage. La liberté du voisin n'étant pas la même que la mienne, sa notion de l'esclavage encore moins. Sa liberté peut m'être un esclavage et son esclavage ma liberté. Tout n'étant qu'appréhension et de perception de la réalité, problème né de la dite schizophrénie, quand elle se heurte au monde de la démagogie. De là à imposer son esclavage à autrui, qui ne devra l'accepter qu'en tant que liberté profonde... Mais la guillotine, arme première de la république française, inventée par Mr Guillotin, chirurgien, n'a été inventée par la science que pour cela, abréger les souffrances du Moyen Age, et celles de la royauté. Se méfier tout de même de la déontologie de la science, ses techniques pour abréger les souffrances n'ont pas beaucoup changé.

Je revendique, réclame, préconise, depuis toujours, l'interdiction, l'abolition des méthodes de la torture  médicale, constituant à l'heure actuelle la torture psychiatrique encore en vigueur depuis la création de la psychiatrie.

Les portes des prisons s'ouvrent, je reprends les phénomènes de la violence, les lits d'hôpitaux se ferment, problème sarkoziste avec toute la complicité de la gauche, donc le mien, je ne sais par quelle logique d'État.

Faux problème communiste, faut-il donc psychiatriser la violence ainsi créée.

Soviétisation contrainte et forcée d’une science médicale, la médecine psychiatrique, au nom d’une récupération de ses services par la pratique de l’infliction de la chimie, ou torture chimique avec emmaillotage chimique ou camisole constante, fait dénoncé par Amnesty International dans ses carnets, torture aux médiations archaïques causant plus de troubles et effets pervers à la maladie que sa guérison pure et simple que certains attendent toujours avec leur rédemption.



Plutôt que de travailler à aller sur mars et la lune, la science politique aurait mieux fait de s’intéresser de plus près aux traitements de ses exclus et fichés, ce qui aura été fait et commis, par le cobayage médicamenteux pratiqué sur étudiants affamés en mal de job à l’année moins sous-payé que d’ordinaire, dits volontaires, autrement dit, procédé de l’Inde, quitte pour eux à y laisser la vie dans l’expérience au risque et détriment de leur vie, poussés à cette dernière extrémité par les tortures citées, les droits de l’homme bafoués.



Désinformation capitaliste autant qu’anciennement nazie, contre culture contre la censure et les pratiques citées, la propagande d’Etat envers cette folie indigne de ce siècle, la barbarie médicalisée, la torture médicale et ses procédés, le monde capitaliste l’ayant récupérée à son escient, sans ambages, dans une pernition implacable et qu’il veut sans réplique, noyée dans la vie courante d’une ville qui renie ses sources, ses origines carabines protestantes, niant jusqu’aux vérité fondamentales, que la terre est ronde, et immolant Jérémie dans l’Apocalypse selon Saint jean, de ses derniers jours.



Psychiatrie niant pour plus de confort les faits de la réalité, démagogue à souhait, Science au départ aujourd’hui pratique politique de coercition et de pogrom, de génocide eugéniste envers une partie de l'humanité, la population contestataire, ou science toujours aussi empirique, aléatoire et basée sur l’évaluation arbitraire.

France où l'on écorche  les noms propres le français et les citoyens de leur nom,  dans les élans du fandango  de la cucaracha et de la Pucelle Noire à châtier, la galopine, lépreuse de la lèpre commune aux crécelles brodequins écrouelles et martingales pour sauver les marrons du feu en cas de grabuge Selon les jours d'écorchage.

L'être civique dans son action au sein de la société selon donc son  langage, représentant l'asexualité typiquement schizoïde, point de suture à l'appui, longuement maintenu jusqu'à l'apocalypse, dans le sourcil droit.

Aussi puante en gueule que les odeurs de sale qu’elle semble pourfendre, scatologie libidineuse qui masque un puritanisme quaker repenti de vices cachés, la populace se mêle de la vie intérieure des intellectuels, censurée et sentant le sapin à la moindre incartade. S’évadent de ces systèmes des rêves de liberté sous un totalitarisme total aussi aigu qu’une épingle dans une plaie vive, le cure-dent du voyeurisme planté sous les méninges, curette les cerveaux neurovégétatifs d’une ethnie en voie de disparition par purge préméditée et médicalisée, de main d’un fascisme de chaque jour qui épie les poumons qui respirent. Et frappent au cœur, jusqu'à la crise cardiaque, cette fois.

Montpellier, le 21-07-2008

Guerre des nerfs, histoire de fous

Procès de Salengro qui font de mes livres une arme de survie, la seule issue de secours dans un monde clos où régnaient bien plus que les méthodes de pression des journaux d’extrême droite.

1900 à 1939, période vécue Trente Glorieuses politiques d’alors et Belle Epoque où la montée du fascisme en France dont celle de l’Action Française ne passa inaperçue, mais où personne n’y croyait, période de Cassandres qui elles voyaient cela. Cassandres endormies, anesthésiées dans les asiles psychiatriques de l’époque, futurs Dachau.

Encore vrai de nos jours, dans les secteurs psychiatriques, sous l’égide de plus en plus présente de la médecine psychiatrique libérale. Montée du fascisme en France actuelle. Combien de Cassandres… Serais-je une de ces Cassandres…

De nos jours encore, autours d’eux, un monde du renseignement, pour aider ces personnes recherchées ou tortionnées, à s’échapper ou à fuir de ces méthodes. ou destiné à les surveiller. L’Euthanasie de tout un peuple précepte d’Hitler, l’euthanasie tout court aussi du sujet d’expérience, ou de soins, des malades mentaux et des handicapés. En premier lieu.

Si l’on peut accepter cela de nos jours en tant que principe de liberté, autant pour l’avortement, qui sous principe de liberté, n’est qu’un esclavage supplémentaire de la femme, dû à sa condition d’esclave de l’Homme et de la Société, du travail et du monde financier, nombre d’avortements étant revendiqués par la famille contre le gré de la bonne élève enceinte encore mineure, de la jeune femme sans revenus, privée de la liberté d’enfanter parce que conditionnée par le monde des Mères et Pères la Patrie. Tabassée voire tuée pour qu’elle n’enfante ni ne se reproduise en ayant les idées qu’elle possédait. Question de Possession.

Au nom de l’eugénisme de son genre, vécu en tant que pure sous-race par autrui, pour l’eugénisme ne serait-ce que d’une Mère, ou du Père.

Psychiatriser le pauvre, la femme battue, violée, mutilée, l’enfant martyr, le vagabond, la dissidence, les libertés la culture le savoir et le délit d’opinion, un soin médical.

Horde de gueux de serfs errants en guenilles et de servants apatrides écœurés de la patrie, taillables et corvéables à merci, issus de toutes les strates de la république  et de la société, horde d'êtres sociaux disparate condamnée aux puanteurs de bouges infects à domicile ou en pavillon, dans le remugle et la bourbe de la misère des basses classes quand leurs médecins se soulent avec raffinement au bourbon, condamnée cette populace de serfs hirsute des nerfs, à l'esprit supérieur omniprésent et revanchard du mégérisme radical et obscène, du barbonnisme médical, de l'aristocratie médicale et infirmière, au lynchage de chacun et aux pogroms de tous, autour de leur vie restante. Manipulés, éradiqués, réséqués, obstrués, obturés, sous le langage matriarcal et le paternalisme colonialiste outrancier des secteurs médicaux, soumis aux parâtres et marâtres infirmiers affiliés à la loi de les corriger, dépuceler, sodomiser,  dénoncer, surveiller, contrôler entre autres dites corvées de bas étage, auxquelles la basse tâche de gardiens de cochons à saigner  les assigne.

Opération couverte par les préfectures depuis Mitterrand et les années 80 (où se signent les placements d'office et internements le plus souvent pour délit d'opinion déguisé en grave dangerosité envers la société et soi-même), d'essais nucléaires et/ou médicamenteux sur la population, d'origine étatique ou de la libre initiative de chefs de cliniques, destinée à enrayer toute forme de contestation. Tomographie. forme de scanner primitif. Examen clinique en libre cours depuis les années 80 après essai durant des ans sur détenus psychiatriques ou patients cobayes humains contraints, qui en auront parlé comme d'autant de fours à micro-ondes qu'ils se seront pris par la poire eux aussi, jusqu'à ce que soit affirmée la schizophrénie.

Politique contre-socialiste du CHR qui recherche points d'achoppement et creuse les failles entre les clivages familiaux (tactique pétainiste, didactique nazie) et sociaux, recherche en le sein de chaque famille, focale fasciste, de  quelque futur opposant ou simple conscience tranquille à embrigader pour ses engagements, qui si elle oppose quelque résistance même passive faible et simplissime sera soignée, rouée de coup et placée, au sein même de l'hôpital revendiqué pour trop  d'activisme à tout opposant dissident, ou dans quelque secteur médical dit de répression, public ou privé, ramifications de ce système de surveillance des contres opinions psychiatriques qui tient du réseau mafia, toile d'araignée autour du complexe médical public et privé possédant ses ramifications et donc moyens de pressions jusques dans chaque cabinet de médecin conseil ou traitant... Sous le couvert du respect des bonnes normes. De style Poutine dont le spectre s'agite jusqu'en France, à mon avis avec celui maintenu en vie d'Hitler.

Consciences  libertaires placées sous le sceau et l'étiquette ou brassard jaune de la maladie en placement officiel ou non à vie à domicile ou en pavillon, sous le symbole et la systématique à systématisation de l'arriération physique et mentale gauchiste, la pauvreté d'esprit dont elles ne doivent s'impartir, à les désister de toute entreprise de refaire surface par autant de corbeaux dignes des pressions et surveillances de la DST. Ces consciences lucides grondent,  partagent mon amour des libertés, je les ressens tout bas. Contraints ces opposants à rester dans la plus stricte bonhomie de leur aspect, de leur abord, dans la plus grande passivité soumise et dans le poncif obligé, le mutisme sous la contrainte ou la ruse, seule dignité contre la torture et la mort qui leur reste de leur existence d'esclaves et de reîtres... Devant rester positifs militer pour et non contre, ainsi que le souhaitent Sarko, Le Pen, voire Ségolène et le parti communiste. Bref de quelque côté ou bord que cela soit, l'on ne s'en sort pas. Ni ne sait où vivre ni se réfugier sinon chez quelque ami, parent, apte à vous cacher, symptôme schizoïde.

Positivez pendant la matraque, en plein mitan du sourcil gauche ou droit, restez actif et mou, rêvez sous le knout. Et, servez-nous, dans la nullité de vos efforts. Servez-vous pour vos défoulements diaboliques et crises de nerfs démoniaques, du corps du faible, du nourrisson, de la femme et de l'aliéné, du dit aliéné que sera votre prisonnier de guerre civile, prisonnier d'opinion que vous crèverez de tortures et maltraitances, enfin, pour vos envies de respirer un air qui vous paraîtra, ce meurtre accompli, plus pur. Autant que le bleu de vos yeux.

Enfermement fœtal de la base du parti  socialiste dans cette situation de cas exemplaire de répression psychiatrique envers certains éléments de la contestation, devant végéter dans le manque d'entraide de leur parti politique divisé et apte à l'enfermement des dissidents, et de leurs sympathisants, démunis de solidarité véritable, sans concertation sincère, noyautés de tous bord d'activistes dangereux pour leur vie, récupérés et agités violemment mais secouez les, jusqu'au placement administratif en pavillon voire disciplinaire après l'escarmouche, noyés de contraintes, obligations tortures et devoirs de s'y soumettre sans un cri, autant que chez Khmers rouges. Loi de cet enferment physique et mental dans la rétroactivité et la géopolitique mutilée du manque d'engagement causé par l'enrôlement forcé, la critique possible, mais du bon coté des  barricades de tous bords quand elles encerclent.

Quant à l'optique que j'adopte elle est celle-ci, je revendique d'ores et désormais la présence d'observateurs d'Amnesty International dans la politique de l'hôpital, des CHU,et CHR,  des secteurs médicaux même privés des complexes hospitaliers et cliniciens,  pour qu'en soient observées les déviances, irrégularités, contradictions, sévères ingérences et pratiques de la torture médicalisée systématisée commuée en dits soins médicaux et thérapies des plus nocives à je le dis, perverses, sadiques à tordues sans pitié,  il en existe des plus simples chez eux à efficaces, qui tiennent de la farce nazie adventionniste des plus retorses.

Dans ce qu'il existe aussi de plus puristes dans l'art de la profanation de l'individu unique Indivisis, de l'être humain civique et de sa nature. Qui doit être celle de celui qui assume sa dégradation physique et mentale. Ou autre aperçu de l'introspection et du voyage en soi-même. Sous le complexe du secret médical. Je crois que ce sera la Cours Européenne, quant à l'hospitalisme immobiliste de chacun, ayant bien intégré, intimisé, cette politique de prise par contrainte par corps de cas pour l'exemple, et de cas d'exemple relevant typiquement, de la tactique lepéniste et non plus hellène ou mise au pilori sur le caballet de l'ami sur demande expresse du père et de la dite mère. D’un tiers ou d'un faux frère...

La répression ces temps derniers croissant en l'honneur des prochaines municipales, et des fêtes attenantes, se créent des troubles populaires divers, créant eux même des troubles physiques et mentaux divers également, fonctionnels aussi, fournisseurs  en plus des croûtes dues à la misère, de lits en hôpitaux quand les lits hospitaliers se ferment, et services médicaux divers, qui ne vivent et croissent que de ce système de la répression psychiatrique, envahissent la ville d'une prolifération gênante, ne croissant que d'une existence de parasite saprophyte de cette violence crée, endurée sous l'hégémonie du complexe hospitalier, qui ne vit plus que pour lui même et réclame face à l'incompétence de ses services qui lui est reprochée un renfort de subventions, marlous sous l'uniforme  blanc ou bleu et effectifs notoires. ou secrets, possédant leur police secrète, ses mercenaires. Police elle même avec ce CHR envahie de tous les trafics.

Chaque  médic, personnel infirmier soumis à ces querelles de pouvoir, devant se déterminer, s'il doit fuir ou fonctionner et/ou marcher avec,  face à ces pressions, physiques jusqu'à la crise d'hémorroïdes obligatoire, ses procédés d'acquisition, et la mise en congés de deux jours pour bien y penser, peut-être même la mort et le décès gratuit, bref, le crime politique  parfait,  car décès dit d'origine accidentelle ou naturelle, cancers, attaques cérébrales inexpliquées, longues maladies dégénératives etc. Et ils ne vous loupent pas. 

Malades. Fous. Aliénés de leurs droits.

Devant rester bêtes ou idiots dans l'arriération profonde et incarcérée de bestiaux. De la bête de somme des CAT et du bétail à l'étal.

Arsenal pathologique et pathogène que détient la population occidentale et française surtout. S'entraînant sur tout prisonnier de guerre de ces luttes intestines qu'elle se fera.

Politique de guerre de l'état maintenue par la populace. Faisant de chacun un soldat de sa soldatesque, à sa solde, se défoulant sur son prisonnier tel soudard.

Erreurs humaines, inhumaines.

Armes de la torture médicalisée donc devenues armes de co-répression, de surveillance et de « soins» commis par la psychiatrie : Coopération ou plutôt nouvelle Collaboration obligée dans ce monde de récupération des anciennes armes des Faisceaux, dans un système de l’Occupation, sans France Libre aucune sinon dans l’acception profonde ou simulée de ces actes de médecine illicite juteux de profit sous peine d’HO. Dans toutes les compromissions.

HO (Hospitalisation d’Office) Dachau des nouveaux temps modernes. Depuis les temps de Charlot.

Préparation dans la population française de la future guerre mondiale, distribution préventive de ces anciennes armes, de nouvelle conception parfois qui ont été conçues à partir de celles-là précisément.

Armes du futur construites à partir du passé, des camps de concentration allemands. Et français.

La propriété du corps et de l'esprit relevant d'un problème de jurisprudence de l'Etat envers la délinquance et l'aliénation, le corps de l'individu et de chaque individu indivisis qui fait la masse, l'assurance du respect de l'intégrité corporelle et mentale relevant de la répression, seules les fesses de Carla Bruni pouvant être protégées par quelque assurance véritable. Au cas où elle en aurait le besoin, si un de ces jours elle veut assurer ses arrières.

Pour modifier toute personne et personnalité de la dissidence à ces actes de saprophytes parasites et auteurs de la résurgence nazie voire stalinienne, celle désormais du poutinisme français, gouttes de médicaments et tord-boyaux retors, rhums blancs vodkas sucrées, cognacs plus nauséeux que alcools forts, brûle-gueules pour indiens dans le nouveau Nevada français, distribués dans hôpitaux psychiatriques français depuis les camps d’internement, tortures et emmaillotements chimiques de type « bouillon de 11 heures » dans les boissons administratives. Depuis les temps anciens et reculés des camps.

Goulag français promulgué par cette science médicale de la psychiatrie, destinée à son origine à maintenir le degré d'humanité de la population. Sans atteindre le degré nécessaire d’humanité de l'Homme véritable pour maintenir sa survie, psychiatrie dont l'existence ne tient qu'à celle de ses psychiatres et de leur école qui les trie sur le volet et les choisie, servant plus à diviser pour régner qu'à soigner et limiter le degré de barbarie des masses, sachant bien à l'origine que dans ces écuries d'Augias le travail accompli serait très limité et constant.

Hyper-autoritarisme de grande influence sur les mœurs et moindres gestes de la vie quotidienne, appareils de surveillance tutélaire raciste, antisémite, divulgatrices de soins psychiatriques, par pur engagement politique d’une guerre future hitlérienne qui se poursuit de nos jours et tue par ces méthodes. Restes de deuxième guerre mondiale qui en devient une cinquième après celle du Golfe et la Guerre froide.

Guerre totale.

Arsenal médical militaire à paramilitaire de guerre totale, bien plus qu’armement de dissuasion, testé de main de civils employés par le SAC, bourreaux choisis dans la population civile pour leurs aptitudes à pratiquer la torture, sur certains éléments recherchés de la population pour leur intellect, dissidents de l’affaire placés sous en cette occasion l’étiquette de la démence, employés par la force et contre leur gré autant que Jarod de série B du Caméléon, en tant que cobayes humains, sujets d'études de cas et bouclier humain de ces armements, qui vont des simples contrefaçons de poste à soudure à l’arme de poing mortelle, en passant par le Taser sans fil, greffé lui ou implants, affaire des Tasers à laquelle s’est heurté je crois Besançonneau.

Se heurter à l'autorité de ces tests sauvages pratiqués jusqu'en cliniques, menés de façon scientifique, suivi médical gratuit ou quasiment assuré, relevant du suicide ou du crime de lèse-majesté méritant la haine populaire invitée à rechercher tout évadé au système, et la répression par l'usage de ces  mêmes méthodes, sinon mortelle, du moins assez invalidante. Sous prétexte de salubrité. Chacun participant sciemment ou à son insu, subliminé, depuis des décennies, à ce plan.

Chacun pour ses souffrances démences et/ou raisons personnelles, dont la jalousie et  l'aversion envers le délit d'opinion, pratiquant l'usage de la torture via la possession de cet arsenal distribué en douce peut être même par autorités, sur un ou plusieurs de ses congénères, proche, ou membre de même famille, dans l'apprentissage du rôle de détenteur et bourreau de prisonnier politique. Et son élimination, ou éradication, purement biologique. Sans compter les phénomènes de torture administrative française de style Poutiniste. Hôpital français actuel de type russe, ou turc.

Créent entre autres dans les torses et les corps courbatures dites dues à la fièvre sinusites et rhumes, états grippaux, douleurs dites crurales névralgies faciales y compris intercostales, qui sont également causées par ces engins servant à frapper les dissidents, nouvelles matraques de foire marchande Lepéniste Trotskyste et Mégrétiste. Le secteur médical travaille à réparer ces lésions depuis longtemps, depuis les années 40. Médecine de guerre. Qui vit, rapace, de ces dégâts physiques et mentaux. Pour votre plus grand bienfait.

Années 1930. A nouveau.

Dissidents, contestataires qui s’envoient par le godet des médicaments tels armes chimiques de guerre comme ils se colleraient le pistolet dans la tempe en se tirant dessus avec avant que la gestapo armée en Waffen SS et matériel lourd ne les assassine. S’ils n’abusent du cyanure, ils abusent en traitements ou calmants, dont certains équivalent au knout chimique, à prendre de façon expressément recommandée sous peine de devoir mourir sous les violences. Cafés cyanurés. A domicile ou pas, policières et hyper répressives. De la main de voisinages armés en état de démons ou d’anges des ténèbres, quand ils s’en mêlent.  Jusqu’à ce que les dissidents contestataires donc,  passent à l’acception de se suicider sous les coups et blessures, sous peine de torture plus violente jusqu’au décès autant qu’il le faut, résistants nouveaux à cette gestapo de junte paramilitaire médicale. Qui n’en note dans  le dossier des dits clients que ce qu’ils veulent noter de l’affaire.

Tant d’Art, de peinture. Pour y faire face. Maquiller l’affaire.

D’où des grèves du médicament durement réprimées, objets de toutes les moqueries psychiatriques, souvent grèves individuelles je l’ai dit non concertées entre patients, jusqu’au ficelage total et absolu de leur cas, ou camisoles chimiques, torture électrique et mort.

Société de pioupious dès le plus jeune âge mort la fesse et tranche moi le lard jusqu’à la mort, qui se pique de se rebraguer le matin comme l’on part à la guerre, de 14-18, avant le petit plaisir à assouvir au travail c’est plus d’énergie, retour à la case départ et métro-boulot-dodo sous calmants-somnifères qui aboutit à des émissions-dortoirs sur l’amour au boulot, récupération par la société de consommation du problème, y compris de votre constipation, qui s‘évacue en surconsommation qui elles ne sont gratuites et remplissent les poches de l’Etat. Contre cet état de fait, seul le schizophrène, à paranoïa, fait rempart, de son corps. Bouclier humain dont chacun se sert, nouvelle race de juifs correspondant bien à la caricature du schizo que chacun se fait.

La psychiatrie ne tombant que sur les victimes du long combat contre le système, suppliciant blessés, violés, électrocutés, mutilés de guerre et petits enfants. La veuve de guerre et la jeune fille évanouie en pleurs. Admirant le cul puni de tous ces poulbots lors de la dernière ferrade aux orties.

Torture de guerre, torture médicalisée en tout lieu de la société française, autant à l’étranger, dans tout pays, y compris en Suède (eugénisme et stérilisation de masse des malades mentaux), en Allemagne, pays qui se disent pays de liberté dans les reportages d’information télévisés de la 5. Torture française initiatrice de la torture dans pays étrangers, américains, algériens, autres. Depuis ses anciennes colonies, elle a régné partout depuis, jusqu’à nos jours encore. Voisinages peu érudits ou cultivés servant de police politique dans tout canton, armés de mains miliciennes. Utilisée par chaque parti surtout entre eux, armés de ce type d’armes non conventionnelles actuellement promues par les CHU.

Magouille, décrétée de type démence schizophrénique voire précoce ou autistique chez les petits et grands enfants, par les services médicaux, la Médecine. Erreur médicale devenue Guerre obsessionnelle, obnubilatoire, incessante jour et nuit, guerre civile déjà faisant place nette, guerre souterraine et sue par tous.

Montpellier, le 22-07-2008



Liberté et Psychiatrie, suite de l’affaire

Médecine Raison d’Etat. Médecine d’Etat. Je proposerais plutôt de soigner la Raison d’Etat, si la loi du Talion devait exister, mais le propos n’est là.

L’antipsychiatrie non tout court, mais issue d’une antipsychiatrie condamnant la médecine psychiatrique telle qu’aujourd’hui elle est pratiquée, parcourt l’histoire relative à celle de la religion chrétienne de la religion psychiatrique, son histoire et ses déviances à une éthique véritable, initiale à toute médecine, déontologie qu’elle n’a jamais respectée.

Appel au secours envers la démocratie, appel aux lois de la république, à la Liberté de Pensée, à la Laïcité de l’Etat, ce texte est aussi un appel à l’esprit civique de tous, à la fibre oculaire de chacun qui n’ose constater cette vérité tant occultée de la présence tabou de la torture en France, dans tout système occidental, dans les termes et mécanismes d’une Religion d’Etat, ceux d’une médecine, la Psychiatrie. Capable de se confectionner jusqu’à des prisonniers d’opinion. Cracher toute la purée sous l’électrode, parfois fatale. Torture psychiatrique. Et Eglise de Scientologie

Analyse par paliers successifs de degré de conscience concernant cette guerre civile fratricide et totale qui affecte chaque concitoyen, sous la menace d’une Occupation, l’occupation de terrain des terrains neutres, depuis la Libération et dès les premières manifestations du fascisme. Liberté de Conscience que la psychiatrie torture et affecte, à souhait. En tout mépris des Conventions des Droits de l’Homme et du Citoyen. De l’utilitarisme de la torture, le plus souvent à mort.

La dissimulation de preuves et pour la plupart leurs destructions si implacables, incontestables et lettrées, jusqu’au crime contre l’humanité et le crime politique, selon les lois de l’Eglise de Scientologie. Certaines de ces tortures dans le but tout aussi certain, de couper de toute source médiatique, autant chez communistes à trotskystes que dans les partis d'extrême-droite, afin de limiter des écrits jugés trop subversifs et dénonciateurs d'affaires au grand jour tenues secrètes...

Brimades, privations et privation de sommeil, de nourriture à faire passer plus d'un pour obèse. Condamné à l'anorexie à la gégène si conscience tranquille restant dans les terrains neutres. Jusqu'à la situation d'échec constante à quasi constante.

Psychiatrisation des phénomènes sociaux et de leurs mouvements.

Parcours initiatique que le mien, au comportement d’une extrême droite engagée et enragée de lutte armée, où Zadig traverse les Horreurs de la Guerre, indien dans ce Paris du Midi de la France qu’est Montpellier, Ville Universitaire, qui se veut seulement culturelle, mais possède un dispositif médical et hospitalier de pointe, dans une politique de trust dans la région entière ; dans ses secteurs psychiatriques éminents, qui ont longtemps servi de force de frappe, que dire de l’intolérance, à ses maires et responsables, règne une politique de guerre des tranchées où l’on s’entretue d’affaires Dreyfus tout autant que dans tout foyer, à l’encontre de ceux, affublés de voisinages de type secte Moon, des personnes handicapées et malades mentaux, parias devant le rester, de ces masses et groupuscules.

Condition traditionnelle et conventionnelle de paria que le statut de malade mental. Mise à l’abri des opposants de l’ancien Maire, Georges Frêche, des représentants mêmes souterrains ou devenus inactifs de minorités politiques et éthiques dans les cantons. Penche de ce fait la balance des minorités et majorités les jours d’élections. Pressions politiques psychiatrisées. Interrogatoires musclés façon DST, pas interview télé, assignations à résidence dénommées congés d'essais post office, surveillance psychiatrique et psychiatrisée  d'armes paramilitaires possédées de particuliers, dirigées sur particuliers, phénomènes d’écoutes psychiatrisées...

Erreurs sur la personne, erreurs induites dites thérapeutiques, qui soignent selon les médecins mieux parfois que les soins justifiés en eux même.

Entre ce qui est dit, ce qui est cru, et la réalité, existe une marge qui est celle de l'extrême gauche, la mienne. Avec pour mot d'ordre de tous partis de ne point s'occuper de, d'ignorer l'extrême droite quand elle ne vous ignore pas.

Enfermement, internements injustes injustifiés répétés et réitérés en toute impunité quand bien même injustifiés pour quelle maladie que je ferais, sinon celle d'être tabassée constamment à l'électricité. Ou aux électroaimants. Cela n'est rien en comparaison de la gégène ou simple poste à soudure, et n'a de commune mesure avec d'autres tortures, ce qui se fait en tant que nouveaux soins et nouvelles thérapeutiques psychiatriques et neurologiques destinées officiellement à maintenir le niveau de vie du malade. Sinon à le réduire totalement en marmelade.

Psychiatrie trafic d’influence, à dissidents anti-maoïstes dit malades mentaux en état de divergence d’opinion, délit d’opinion que je nourris envers la politique de cette ville et la politique hospitalière. Qui m’aura valu la condition de paria de ma naissance jusqu’à aujourd’hui, dans une charia à charivaris sans fin ne pouvant conduire qu’à la lutte engagée, sinon à la folie ou au décès. J’aurai été à l’école de tous les fanatismes, des plus intégristes, j’ose les profaner d’une écriture critique, pas forcément en état critique, la politique se meurt dès qu’un artiste la brandit.

Etude, thèse ou théorie philosophique antiétatique, née du véritable anarchisme, de l’anarchie, la vraie, celle qui organise l’individu et lui confère la conscience éthique du citoyen, de l’être civique.

Ou mémorial des morts sans nom de tous ces soldats inconnus exécutés, morts de souffrance et torturés par la psychiatrie, sa pratique dans le monde, à l’encontre même des droits de l’homme et du Citoyen, de l’Humanité même de l’Homme.

Faut-il psychanalyser, psychiatriser l’Art, le syndicaliste, Arlequin de service, psychanalyser l’Art et le désir ou pulsion d’Art, la Commedia Del Arte et le théâtre avec, l’Art n’étant une maladie ?

La France prête à la torture dans la légalité du fait, autant qu’à l’étranger. La France torture, n’a jamais cessé de pratiquer ces méthodes. La France a un besoin viscéral de torture. La France n’est exempte de torture.

Attitude mal vécue par les masses, qui mettent des parasites dans les antennes, la Gauche mal à éradiquer dans une chasse aux sorcières incessante contre la liberté de pensée, le féminisme, l’usage du sexe féminin et de la Veuve Joyeuse, un déferlement de violences, de jugements derniers, menés contre les principes de la démocratie, de la république, de l’égalité. Lutte, guerre ou pogrom fondé sur la répression et la torture médicalisées, la torture psychiatrique, dirigé contre les défenseurs des Droits de l'Homme et du Citoyen, de la dignité humaine et de l'humanisme.

Contre les défenseurs de l’antipsychiatrie tout court, et les femmes libérées.

Lutte qui se solde à chaque régression économique, à chaque période de récession, de redressement moral, à chaque crise gouvernementale de l’Etat, de la Constitution même, par l’enrôlement forcé sous peine de graves tortures et de mort, le STO, des handicapés mentaux ou sociaux, accusés selon leurs saprophytes d’être des sous-êtres sous-humains, pour leur dit handicap, parasites de la société.

La liberté de pensée jugée elle autant mal à éradiquer à la racine, par la loi de la torture chimique, des électrodes du trépan, de la trépanation, la déclaration de rhizome psychotique, schizophrène,



Surveillance psychiatrique d’obédience communiste, d’origine trotskiste, SPD apparemment et non pas NPD essentiellement, contrôle médicalisé au fascisme pis que national-socialisme allemand, contrôle fliquant de type maoïste infligé sur tout élément contrariant, contraire ou réfractaire à la campagne de dévotion d'extrême droite envers la religion et le fascisme. Suspicion raciste systématique envers tout être fiché dans les secteurs psychiatriques, automatiquement suspect autant qu’immigré, c’est toujours à lui à Rachid (tout individu fiché dans les secteurs psychiatriques étant à priori français, de race blanche, de sexe féminin donc suspect, tout autre individu de race de couleur et/ou étranger finissant automatiquement en prison pour les mêmes délits et faits, à croire que l’internement est un régime de faveur).

La schizophrénie ne touchant surtout que la population de type mâle, les femmes concernées par la psychiatrie étaient, sont surtout masculines, garçons manqués, homosexuelles, émancipées. Cf. la Psychologie des foules, de Gustave Le Bon (1895), concernant les femmes et les enfants, déclarés, traités en races inférieures, propres et propices à la manipulation, certainement parce que peu cultivées, peu scolarisées ou bien trop intellectuelles et cultivées pour le commun des mortels et celui de leur « race ».

Schizophrène, autre terme, inauguré par Bleuler, désignant les prisonniers d’opinion, depuis l’apparition en 1911 de ce mot dans la terminologie psychiatrique, en vigueur sous la III°, IV°, et V° République, préexistant depuis peut-être en fait la I° Internationale communiste, la détermination et naissance de l’anarchie (fin XIX° siècle), celle de la SFIO (1905).

Ces cas de prisonniers politiques étaient ceux-là dit je crois des incurables, avec ceux des premiers syndicalistes, après la Révolution (loi Chapelier de juin 1791). L’absinthe, très prisée, et l’opium, diffusé par comptoirs coloniaux nationaux de l’époque dont celui de Marseille, firent des ravages décimants dans ces milieux du temps de Degas, Renoir. De nos jours les mouvements politiques, cercles éclairés du syndicalisme et de l’art tombent avec les artistes, l’intelligentsia, dans l’alcool, les drogues le plus souvent dures, d’où la prolifération de cas signalés de démence et surtout de schizophrénie dans ces classes. La tradition du mot, du diagnostic de démence, surtout celui de schizophrénie en ce qui concerne la dissidence dans les milieux émancipés, érudits éclairés clairvoyants ou lettrés est restée. La bourgeoisie en a fait son arme favorite de lutte de classe, chaque parti se renvoyant la balle en ce qui peut concerner les éléments discordants aux arguments les plus gênants.

L’histoire de la psychiatrie, d’origine allemande avec Freud, débute véritablement dans ces périodes là, 1900, avec la montée du fascisme, médecine détournée de son vrai but pour résoudre les problèmes et conflits sociaux des populations sans intéresser ni dénoncer les pouvoirs qui les contraignent, ramenant la source même des conflits étatiques, sociaux, à la cellule familiale fasciste ou pétainiste. La psychiatrie n’a concerné l’Etat que pour en réclamer argent et subventions, autorité et pouvoir.

Jung, d’origine allemande ne l’oublions pas, fonda en 1905 son école, dont l’idéologie pronazie antisémite collaboratrice des nazis se greffa en Grande-Bretagne, Italie, aux Etats-Unis, au Brésil, en Argentine, pays de dictatures auxquelles il a contribué, son autorité en matière de médecine faisant foi. Contribuant à l’exercice de la torture, surtout dans ces pays là, dans toute politique surtout familiale adepte de ces principes.

Le culte de l'être suprême, en l'occurrence ici les canons de la mégère et du blaireau prolétaire bien ribauds, devant être de soi-même intimisé, faire partie du Moi-je pour tous, culte pour le gros, le maton et le porno, devenu une forme de paranoïa mégalomane revendiquée par des histrions de la plèbe issue de ces pouvoirs absolus. Paranoïa décrétée propre au cerveau de leurs résistants.

Usage dans tout pays surtout occidental et en France même, de la torture psychiatrique, médicalisée, médiévaliste, actes graves de propagande auprès des services médicaux destinée à lancer une opération de banalisation de la torture, campagne d’assouvissement des mauvaises mœurs, de lutte pour l’abrutissement intellectuel, l’obscurantisme religieux et la propagande nazie, campagne pour l’internement de tout contestataire réfractaire même pacifique à cette loi. Contrôle populiste psychiatrisé dirigé à boulets rouges sur des intellectuels de gauche.

Poètes, surtout visionnaires, vous hallucinez.

Infliction du pouvoir absolu de la torture psychiatrique dans une tentative de fédération des pouvoirs de multiples dictatures. Tabassages, le plus souvent au poste à soudure médicalisé, quasi constants, le plus souvent jusqu’au décès prématuré, seule issue qu’oppose ce régime répressif, passage à la gégène des cerveaux et des corps dissidents.

Lutte de type secte pour l’acculement au suicide, à l’acte de violence, de démence ou de forcené, incitations répétées par l’insulte nargatoire, l’infliction de soins préventifs à domicile insurmontables, non déclarés au médecin traitant habituel, qui les dit délires hallucinatoires si les faits lui sont rapportés, gavages, électrodes, viols avec violences, avec implants électriques fonctionnant sur pile ou non implantés à cet effet, sévices avec  insistance, nocifs pour la santé et la vie humaine, pour la dignité et contraires à l’hygiène la plus élémentaire dont se parent tant les soignants. Apparence de soins, dégradants pour l’amour propre, devenus par leur prolongation et leur violence torture morale et physique. Digne de l’activité de sectes. Infliction de la torture reprise à titre d’attitude exemplaire de la normalité par les foules.

 Offenses, provocations faisant allusion à la santé mentale de l’individu libre de gauche, envies de salir sa réputation ainsi que profanation de ses idées comme de sa personne. Quitte à le pousser au délit. Au crime par self-défense et légitime défense.

Assimilation de la liberté de pensée à la maladie mentale gravissime, pour tout défenseur de cette liberté enfermé si non entravé par quelque maladie, physique ou non dont il sera tenu, dont il mourra, qui lui sera un handicap aliénant pour ses droits et libertés, lui privé de son droit de réponse sous l’acte inquisiteur de la surveillance médicale. Sinon doré ou dorée au soleil de l’innocence (sexuelle) de ne point se toucher, très conseillée, tenu pour condamné tout athée non adonné au vice, quelque vice caché que ce soit, l’ignorance. L’alcool, la drogue, la corruption, l’esprit dictatorial, sinon franchement communiste ou d’extrême droite, l’on peut bien être un illuminé dans ces cas, mais modéré seulement si libertaire et non dictatorial, tout être gauchiste assimilé au communisme, au pourrissement d’un certain socialisme, individu traité si pur, incorruptible et impénétrable, en extrémiste étranger (de Camus, que je dois relire). Dans l’esprit de punir et salir encore.

Rééducation psychiatrique très répressive cautionnée par les autorités et services de la police qui ferment les yeux jusque dans leurs domaines d’action, ne condamnent jamais rien des exactions constatées, aggravent les cas, pour les femmes émancipées, les défenseurs de la lutte pour les droits de l’homme et du citoyen...

Pure condamnation du rêve amoureux érotique au profit d’une propagande véreuse pornographique, institution d’une quasi prostitution gratuite à domicile sous la loi du sévice parfois mortel, des sujets ciblés restitués à la médecine par la police en cas de non obéissance à la loi du viol médical incontestable, inattaquable et despotique.

Contrôle, pro-germanique, qui se fait dans les masses sociales, d’intellectuels, petits intellectuels, de personnes visées concernées ciblées pour leurs idées d'avant-garde, ne seraient-ce que parisiennes dans leurs mœurs et d'Extrême Gauche, personnes ciblées pour leur non-respect des règlements, sommations, menaces scènes de torture, ordres obstructifs des auteurs de la propagande en vigueur. Dans la ferveur la Gauche marxiste à l’hôpital, à l’asile politique des psychiatres.

Opération spontanée dans les foules tue, exercée au nom d’une légitimité de la torture d’Etat. Après le recensement de tout acte par ces masses et sur leur exigence, actes qui pourraient s'avérer viol thérapeutique, sadique anal, proche de la torture allemande, du SAC ou OAS, voire du FIS, de la Junte argentine ou brésilienne, torture strictement pronazie, stalinienne ou simplement d’origine française, s’instaurent des violences que chacun doit minimiser sinon taire dans les mœurs de la vie quotidienne, reliquats de ces formations.

Dans une France Libre toujours sous l’Occupation depuis les années1900. France qui se voile la face pour ne point voir, ni constater, l’état de besoin de torture des foules.

La lutte pour le respect de la dignité humaine considérée dans la médecine psychiatrique amour propre démesuré, délire de persécution paranoïaque à schizophrénique, avec idée de déshonneur, d’indignité, et d’injustice.

Tabassages policiers commués en besoins de viols par rixe et torture médicalisée, tabassages engendrant de multiples lésions, blessures, violences causées par la matraque électrique, violence gratuite et torture sexuelle à la fois pratiquée sur une personne traitée en prisonnier d'opinion par une partie du lumpenprolétariat, en mal d'exécution publique de l'élite, de violences sexuelles, blessures de guerre sur prisonnier d’opinion ou de guerre, autant que sur prisonniers iraquiens, une idée certainement due à la pro américanisation de la société…

Torture américaine à implants-presse-bouton, gadgétisée et infligée sur hommes-femmes, femmes-prisonniers d’opinion, sous-êtres gadgets objets à couper, jouets à sévicier de leur société. Torture sur dossier pour plaisirs sadomasochistes de belligérants intégristes de cela.

Pratique banalisée des électrodes qui rappellent le groupe électrogène des années 50 à 60 en vogue dans les mœurs des commissariats, dans toute dictature, durant les temps de la Gestapo.

France médicalisée, chaque individu fiché, par un besoin de fascisme à redressement idéologique pro-américain thatchériste croupi dans un eugénisme suisse et suédois, digne affaire Dreyfus de toute chaumière. Bataille rangée sans fin. Contre également le rétablissement de la peine de mort qu’ils voudraient commise dans les Asiles Psychiatriques et les Hôpitaux. Lendemains qui chantent. Punis du cerveau.

Guerres aux implants contre tout travail de sévérité à l’encontre de ce crime politique commis avec l’investiture psychiatrique de partis. Psychiatrie force de frappe de ces partis politiques, devenue leur bief.

Actes de torture médicalisée, qui vont jusqu'au viol de l'intime, ne fonctionnent qu'ainsi, dans une ingérence de la vie privée insupportable, mais tue. Le trouble de l’ordre public causé entrave aux libertés individuelles. La torture, n’est et ne commence que par la torture de l’intime. L’anus, le sexe du prisonnier devenus chose publique. Livrée aux quolibets de tous et de chacun.

Appropriation par les foules et la médecine psychiatrique, du corps, de la pensée des contestataires devenu objet public, chose publique propriété d’Etat, à déraciner de ses attaches terrestres et dépersonnaliser. Torture psychiatrique causée jusqu’à l’oligophrénie. Le décès, le handicap.

Usage de la force psychiatrique dans la constitution de prisonniers politiques ou d’opinion en sous-marin, de prisonniers de guerre de ce front de guerre civile, à torturer et assassiner, droite et front national qui en usent par actes de traite du malade, par la manipulation, comme de putes privées, objets de tous les profits et défoulements.

Lutte de ce front pour l’acculement au suicide, on ne meurt que de soi, et même l’on vous y aiderait, incitations répétées, l’insulte, les façons de narguer sur l’intime du sujet. La mort subite par la scène de violence, l’exécution sommaire, le meurtre prémédité, camouflé en orgie publique, accident mortel. Suicide, mort naturelle si l’on vous y a aidé. L‘infliction des libertés individuelles au nom de la Raison et de la Santé : Le meurtre, le proxénétisme médicalisé, la loi du silence et les avortements illicites illimités jusqu’à la mort cardiaque ; lâcheté ou bien être velléitaire, auto-complaisance, laisser-faire des autorités.

Suicides dans la prostration sous les attaques et voies de fait, les coups et blessures de violences ne pouvant provenir d’après les médecins intervenants que d’hallucinations sensorielles.

Prétexte aux offenses, provocations faisant référence à la santé mentale sur tout gauchiste concerné, contestataire de cette rééducation mentale du malade. Rééducation à la dure qui se pratique encore à domicile, dans des pavillons de crise, d’éducation surveillée, maisons de santé, en fait pavillons proches de la maison de redressement, domiciles hôpitaux-prisons pour adultes et enfants. Après le dernier des Jugements Derniers, les grincements de dents de la Géhenne.

L’éducation spécialisée pénitentiaire dont ils rêvent pour chacun concurrençant l’Education Laïque, sérieusement mise à mal par ces principes de dureté et de cherté. La République et la Démocratie ne pouvant se passer de la culture ni de l’Enseignement, qui la fondent, en sont le fondement même, la Démocratie est elle-même en péril. L’enseignement laïque, vie d’astreintes monacales (roustaniennes, vieilles filles) dont beaucoup dans les rangs de l’éducation et du professorat, perdent la tête, mis en grand danger d’annihilation dans la violence des collèges.

Voisinages initiés en pleins trips sur le Führer qui divulguent au gré des rêveries de chacun si permises des cours de redressement mental, à des cités de familles soumises par la loi de l'internement et de l'établissement de quartier, au silence du pouvoir absolu médical. Ainsi qu’à la langue de bois : Silence, hôpital, l’on vous soigne, les idées avant tout chose.

Désir de rétablissement du bordel, du proxénétisme envers la femme libérée. De la prostitution de l'intelligentsia, du corps de la femme émancipée comme de ses idées. De sa conscience comme de sa mort, de sa morale comme de son amour profond pour la vie, par tout effet de torture des brigades rouges maoïstes comme par ceux, recréés par l’Hôpital et la Médecine Psychiatrique, du SAC, des autorités. Cf. la « Politique du Mâle », de Kate Millett, 1971. Silence hôpital. L’on pense pour vous. Pour celles qui ont osé dire qu’elles ont les règles, traitées en prostituées notoires pour ce seul fait, jusqu’à la confection de règles douloureuses, hyperalgiques (dysménorrhées). Causes de premiers internements désirés à vie, des années 70 à aujourd’hui.

Le cerveau de la femme et des féministes ne devant excéder 1 Kg de poids (microcéphalie obligatoire et contrôlée).

Besoin viscéral d’interner pour torturer à loisir par loisir, dans l’esprit de profanation antisémite, envers les intellectuels de gauche, même encore en herbe, dès le berceau, sinon dès les premiers langes et les premières réactions à la mère.

Fantasmes hitlériens de la plèbe, qui passe à l’acte et à l’action dans ses fantasmes de domination, sexuelle ou autre.

Les idées de la Gauche à sérieusement soigner, la liberté d'opinion, le Droit des Femmes comme celui des malades jugés maladie mentale plus grave et dangereuse que celle des forcenés.

A calmer…

Considérée femme publique depuis les premières femmes rasées, prostituée notoire pour n'avoir pas eu voulu coucher avec les défenseurs du despotisme et du dictat, la femme libérée représente l'ennemie publique numéro un. Si elle n’est décidément la bonne du curé.

Pour son usage aussi de la Veuve Joyeuse, pour son art d'échapper ainsi à l'obligation de coucher avec le premier venu, de préférer soi-même à l'Homme ou plutôt à l’Hyper mâle teutonique nazi à pro-nazi, sans pour autant négliger l'amour libre : Loi en France même de l’excision de bouts de cerveau ou de ses organes sexuels, à défaut de clitoris, contre la femme émancipée, sa force, son choix, son pouvoir de vouloir, sa volonté d'être intransigeante et de défendre ses libertés. Contre celles de la défloration au vilebrequin, parachevée aux courants électriques.

Rétablissement sous la torture médicalisée jusqu’à parfois la répression par l’infliction de tentatives d’exécutions sommaires répétée dans certains cas jusqu’au décès causé, d'une police des rêves et des amours, dotée d'un pouvoir médical qui va jusqu'à perquisitionner sur les lieux de vie des personnes visées cernées par le Soin. Ne serait-ce que dans un but de vérification des dires invoqués par les pavillons, tribunaux, en provenance de corbeaux parfois en état de concurrence. Inspiré des vieux pères fouettards de la république, d’une ancienne Gauche révisionniste des séquelles de Vichy dans la société actuelle.

Etayée depuis plus d’un siècle par les pouvoirs psychiatriques pour perpétrer crimes contre l’humanité, exactions et purges dans la population des générations qui suivaient, parmi toute résistance. Assassinats et meurtres considérés suicides, morts naturelles, accidentelles.

Tentatives répétées d’un rétablissement d'une cohabitation fasciste d’une Extrême-droite et d'une Gauche que des partisans activistes désorganisent en la privant de ses défenseurs. Essais inspirés d'une société primitive prolétarienne, autant punitive que policière.

Tentatives maintenues par un usage frauduleux de la psychiatrie commuée en une force de frappe usitée par des partis extrémistes, l’asile psychiatrique lui-même pour étouffer toute affaire de corruption, d’internements abusifs, par des particuliers défenseurs de la religion, des partis incriminés, de parties civiles crapuleuses, dans un combat d’où les règles de la démocratie sont absentes. Sous la couverture et l’étiquette de la maladie mentale. Existence d’une Gauche de la résistance à résorber par la psychiatrie et de la dure, de type Hel Kaiser.

Ceci jusqu’à l’enfermement de tout contestataire réfractaire aux exactions et opérations de purge, une résurgence dans les mœurs du bas-peuple d'une nouvelle sorte de pogrom de type stalinien.

Staline et Hitler devenus les fantoches d'un lumpenprolétariat qui désire une fronde forte des préceptes de la Junte, proche des camps.

Fantasmes policiers publics hurlés dans la société, d'un exercice de la torture par une médecine engagée et enragée de çà, qui s'y adonnerait en tant que sport ou plaisir violent à titre privé, dans la légitimité d’une légitime défense qui n’existe qu’en leur faveur. En la faveur d’une Médecine détentrice de la Raison d'Etat par la force, de la Raison Universelle tout court, à quelque mot près.

Qui juge, s’attaque à tout élément contrariant de la société dans les tribunaux d’exception que sont les bureaux médicaux. Centres nerveux de toute réfutation d’arguments irréfutables et incontestables tant implacablement justes, compromettants pour la survie de l’entreprise psychiatrique ses activistes ses activismes et ses agissements. Jusqu’à la rétractation de plainte, le non-lieu, si incriminés ou traînés en justice. Jusqu’à la croûte de neurones frits dans leur jus. Parties de jus, de courts-jus et de droits de fait.

Actes médicaux infligés en guise de représailles sur quelques leaders de la Gauche et de sa base, déshonorés par le soin, tentatives certaines de dénoyautage, de destruction de mouvements de la Gauche, de ses sympathisants, intimidations violentes opposées aux mouvements libertaires et humanitaires. Des mises au pilori qui désolidarisent les moindres meneurs, intimident et prostrent les penseurs de la Gauche, exhibent les thérapies de l'acte de crime politique, une politique médicale tortionnaire, inquisitrice. Qui se veut rentable dans une rentabilisation du malade à faire frémir.

Il fallait que cela plaise au Dieu Le Père, à la Mère Folcoche et Mater Dolorosa de chaque famille.

La Gauche reste muette sur l'usage de la torture psychiatrique en France, sur ses méthodes comme sur son bien fondé, aucune remise en cause n'a été faite, depuis la chute de Staline et des anciens Goulags : Les partisans de ces dictatures étaient, précisément, de la Gauche la plus dure, la plus répressionnaire... Camps de Tchang Kai-Chek, politique de sécurisation militarisée KGB à la Sarkozy des hôpitaux psychiatriques, sur un budget non plus destiné à leur humanisation, mais à la rapide dégradation de leur rôle. Hôpitaux-prisons de type camps de torture de la CIA.

Exigence dans les masses d’une disparition du secret médical, dans le souci d’une plus grande surveillance des dissidents qu’elles font suivre et poursuivre pour leurs idées.

Est créée une sous-population, une sous-caste d’intouchables, d’ilotes grecs, de sujets quasiment prisonniers d’opinion de cette guerre civile, tribus trophées de guerre surveillés comme dans toute assignation à domicile et en liberté surveillée, dans le périmètre de leur réserve, dans le double sens du terme. Réserve qu’ils devront réintégrer aux moindres heurts avec le reste de la population, avec un médecin, ou bien un système médical.

Image du primate maintenu en cage dans son jardin d’acclimatation : Le malade jugé par la foule ne posséder que le degré d'humanité d'un animal proche pour les braves gens du chimpanzé de laboratoire, recherché pour sa facilité à se faire exploiter dans toutes les expérimentations sur sujet proposées à son entourage de mouchards. Dans toute la symbolique d’un nouveau King Kong populaire, à confiner dans un zoo humain.

Depuis la psychiatrie de Trieste la France vit des heures et des années de tir à vue dans des soins à domicile illégitimes, illicites, à dormir debout dans le déshonneur, la promiscuité et les affres de la torture d’Etat, déshonneur récupéré dans la plus stricte injustice, des plus violentes et meurtrières, dans la plus grande barbarie du monde, le Capitalisme pro-américain de Berlusconi de type médicalisé, à politique religieuse et médicale dirigée vers ses hérétiques et opposants, à les faire se rétracter, minoriser en nombre, disparaître de la surface de la Terre. Politique de Terreur pis qu’envers terroristes. Sous l’étiquette de la démence.

Régime fondé sur le crime politique mené par une Science en état de Fronde despotique de type Hitlérien regroupant tous les fascismes de Droite et de Gauche, Etat dans l’Etat, de populisme freudien, au gaspillage de vies immonde, capable de tous les crimes contre l’humanité sous le prétexte du Progrès dans des camps d’extermination à expérimentation forcée. Dans lequel chacun devrait y trouver son compte. Le trou dans la Sécu pour rembourser tout ça. Mais le ça restera le ça. Du peuple.

Régime totalitaire aux répressions totalitaires.

France. Pays de honte où Staline est Roi. Magouille de partis coalisés. Goulags Guomindangs du pauvre mettant en danger la Femme émancipée décrétée prostituée, la femme battue, la Veuve et l’Orphelin, la France déjà en péril.

Obstruction mentale de partis à idées fixes et pré-occupation de terrain sous forme d’exactions violentes commises selon les soins dégradants d’une médecine illicite, contrôle de la population incessant sur les détenus psychiatriques en semi-liberté, une sorte de liberté conditionnelle, violences verbales continuelles, incitations racistes, antisémites, à la violence ou rétorsion mentale et physique. Drogue du peuple. Font rempart, intoxiquent, incommodent, voire dérangent sérieusement. Drogue idéologique savamment, librement diffusée.

Tentatives vaines de redressement de la Gauche et de la Gauche radicale, à plusieurs reprises, dûment reprisées, autour des élections de la nouvelle Constitution Européenne, qui prêche autant que psys qui ne sont pas forcément d’origine divine, l’expérimentation scientifique sur damnés, incontournable et inattaquable, inaliénable même devant la Justice : Que nul ne saurait ni ne pourrait attaquer, ni empêcher. Cf. l’article III déjà cité de ce traité là. Constitution déjà en vigueur. Là aussi, rien que d’y penser, cela fait mal. Jusqu’à la minorité du mouvement.

Usage en fait d’une exigence dans l’urgence du soin, de la torture médicalisée, de la propagande pronazie auprès des services médicaux dans le but certain de lancer une opération de banalisation de la torture psychiatrique soumise à la loi du silence, celle de l‘internement, de la torture commune à chaque instant de la vie courante.

Campagne d’assouvissement de tous les vices par cette entremise, mauvaises mœurs, rites aryens, lutte pour l’assouvissement dans l’acte de torture, l’abrutissement des masses, l’obscurantisme religieux, l’internement de tout opposant à ce régime, réfractaire ou pacifiste, purge sociale permise par le Soin. Sion. Dans les puanteurs de bouges, médicalisés.

France des sectes de tout ordre, politiques aussi, décérébrée. Chaque clinique psychiatrique dite pavillon privé dans tous secteurs psychiatriques et hôpitaux psychiatriques, organisées de type Dame Blanche du Chili, Dieu sait si la France et l’occident en possèdent, possédant sa propre secte, n’étant que secte faisant de ses dissidents ses prisonniers d’Etat. Sectes pour certaines d’Etat, politisées, possédant leurs propres gourous et émules, internes et malades, véritables ou non, ses démarcheurs, se déclarants de l’inspection, inspecteurs ou simplement infirmiers, référents en maintien à domicile, très endoctrinant et répressifs, le plus souvent à l’insu de la personne traitée, et lui jouant les farces psychiatrisées des sectes, de type Jung, tours de magie et appartements hantées de ce style de revenants, en fait, intervenants réels.

La France, ce pays, le monde, un pays de partis dits politiques, en fait de sectes qui s'emparent des idées de la gauche et des idéologies diverses de la population, chaque parti une secte en soi, ses gourous, ses images, ses icônes, ses idolâtries, ses rites et pratiques, dogmes et sacerdoces, croyant chacun détenir la vérité, depuis les premières internationales juives et communistes, et les temps des Brigades du tigre, période de l'histoire où l'état s'était enfin inquiété de l’apparition de ces sectes, des loges franc maçonniques, et optait pour une lutte féroce et organisée envers ces organisations mondiales la plupart de type nazi et Moon. J'attends à nouveau ce temps de lutte. Le capitalisme lui -même une forme de secte, employant ces sous sectes, s'y impliquant, les absorbant et récupérant, s'en faisant des rouages parfaits de son système de négoce. l'asile psychiatrique dernier rouage du système répressif de récupération des contestataires, réfractaires, divergents et passibles de peines, asile lui même forme de société aztèque pavillonnaire çà multiples temples et dépendances de palais, ses sultans et sultanats, avec nègres à palmes et baldaquins, les bruits de palais et de couloirs, ses bruits de palais et de couloirs, leur adoration pour le temple Kéops et odes à Kéops de ce siècle, sacrifices humains publics et à titre privé, leurs prostituées, leurs cours, leurs escadrons et escadrons volants, nymphes et nymphettes, droits de cuisse et viols à main armée sur hommes femmes et enfants, razzias et jungles autour où il ne fait pas bon vivre, sinon en tant que poisson rouge dans un marigot de piranhas autant que dans Nam, le film,  le Vietnam.

Leur vin leur saké et alcools de maïs, leurs sucs de macchabées issus de ponctions voire lombaires ou amniotiques, cachets et pilules de la paix à base de cerveaux de prisonnier découpé en lanières lyophilisées, voire éthérisées, extraits de poudres de germes fécaux de femmes enceinte à diarrhées traitées pour firmes de bifidus et germes de boissons lactées, telles bêtes de somme et traites telles vaches d'étable avec droit de visite à domicile et parcage en clinique pour pérennité de la collecte divine en cas de récidive.

Palette latérale de discernement thématique, classifiée en sous ordres et sous clases d'importance, classifiant la vérité de l'univers, de la planète et de la société humaine, sous classifications chronologiques en dépendance de ces sous-ordres de prise de conscience universitaire, la vérité dans sa globalité inter intra et infra relative à elle-même, donc inter intra et infra relativité des vérités des sous-ordres du classement de approches scientifiques. Programme universitaire de la faculté de lettres Paul Valéry 1977, du Professeur de géographie Mr Ferras.

Personna non grata mises sous influence médicamenteuse, sous peine de plus graves exactions et brulure intégrale du cerveau et du système nerveux, soumises aux déformations linguistiques d'un déliré schizophrène, pas le sien, qu'il devra intimiser, et sera classifiée sa symptomatique personnelle de la maladie. Du coup en vache au coup monté, classifié lui aussi symptomatique propre à la schizophrénie. Sa mémoire lobotomisée pour qu'il ne puisse plaider son réquisitoire, amputé dans toute zone cérébrale dont frontale où il se situerait, le militant non déclaré ni affilié planche. Si, sur la suggestion d'un maton, apparemment sensé l'en sauver, il écrit sa demande de grâce auprès de la présidence, symptomatique due à la maladie, là aussi, coup classique. et fait d'école.

Electrodes paralysant cerveau et système nerveux pour un long temps, parfois sans rémission selon la quantité et la longueur des séances d'électrodes, de décharges portées au delà du courant EDF. Certains types de décharges de courants paralysent, voire tuent les zones cérébrales, d'autres les brulent et d'autres les résèquent, faisant fondre en fusion les graisses cérébrales. Et donc vont jusqu’à la mutilation des chairs. Infligée à titre de répression sur victimes de rixes et de violences par voyous, qui eux sont considérés posséder la raison plus que leur victime, déclarée démente folle pour ses cris et protestations véhémentes et poussées par des tortures ineffables, à leur paroxysme. Bref, tabassent sur les modes d’intrusion à domicile de la gestapo et des services spéciaux, sur victimes de leur pratique du trou normand aux électrochocs. Pratique du trou normand par électrodes, en périodes de festivités, occasions d’orgies, notamment à base de gavages intempestifs de repas complets et toxiques à toutes heures dès les systématiquement les huit heures du matin.

Par ailleurs et d'ailleurs, l'humour chez eux est qualifié de paranoïaque, la gégène une sensation bizarre hallucinatoire de délirât sous-jaçant décompensé dénégatoire envers le monde. la gégène ne rétablissant si tant elle est sensée rétablir la santé de la pensée du prisonnier, que les obsessions de ses bourreaux, qui ne se soignent qu'ainsi. Comment l'esprit vient aux intellectuels de gauche. Il règne en ce moment un grand courant mélodramatique sinistre autant qu'une porte de prison, avec atteinte mélancolique des deux maladies psychotiques maniaco-dépressive et schizophrénique, parmi cette population de nouveaux petits médecins, psychiatres entre autres, à vous faire prostituer autant que lulu, parmi eux s'il entendent ainsi ne pas plaisanter en vous rentrant dans le lard, pour que vous couchiez à l'internat, vous y étant réfugiées par esprit érotomane et schizophrénique un soir de passage à tabac sur l'ordre de l'un d'entre eux, épris d'esprit de bravoure antisémite autant qu'anti-gauchiste, eux faisant avec la secte de scientologie, si vous ne faites ensuqué, vous sen feriez juste ne petite mélancolie de leurs services, dans le devoir de vous crever mais pas de rire. Et s'il y en a un autre qui rigole.

Cf. Motion de censure contre l'usage abusif des électro-convulso-thérapies


Appel à un hôpital répressionnaire dans ces cas de la femme contestataire, de l’homme humaniste, de l’enfant martyr, autant qu’appel à la maison de redressement médicalisée pour militants antipsychiatriques, style d’hôpital devenu prison, détenteur des libertés de penser et d’agir, chargé d’une surveillance systématique et officieuse de défenseurs des droits de l’homme et du citoyen, à tous niveaux de la société. Enferment leurs détracteurs, les internent ou font soigner, pour les fermer, à ce sujet.

Gauche pourchassée du fantasme d’un proxénétisme psychiatrisé pénal, la prostitution et la dure, médicale répressive et rédemptrice des féministes, des femmes libérées, purgatoire de leurs libertés si en voie de renoncement à leurs idéaux. Excommunicatrice de ces femmes jusques dans leur vie privée pour les faits d’armes de la droite fasciste, autant par la Médecine que par la religion. Il fallait vivre cela à l’heure de l’hôpital chez soi pour apprécier combien la terre est basse, dans la maladie mentale prétextée prétexte à tous les abus, fraudes, expérimentations et exterminations raciales, maladie mentale couverture de leurs crimes contre l’humanité. Faisant accroire à une lutte contre des moulins à vent.

La Psychiatrie, Mal français.

Torture en vérité pas bonne à dire.

Vente des biens immobiliers dans récession telle que la perte du patrimoine familial qui coute plus que revient est nécessaire à la survie des individus et des familles.

Baisse du niveau national des personnels médicaux et infirmiers, tant et tellement que ce regain de l'ignorance en France, devenue inculte, nécessite l'import autant que de bêtes de somme, de médecins et infirmiers, infirmières étrangers, sollicitant l'étrangers pour ce fait, plus cultivé que la Franc en ce domaine afin de fournir les rangs du pays en personnels aptes et capables d’exercer dignement leur métier.. Certains des médecins français dans une méconnaissance parfaite de l'anatomie du corps humain, et dignes du toubib charcuteur des OAS et nazis, tant leur charlatanisme tient au fait, embauchés par pis aller par un état français qui par défaut de personnel plus apte, les a tout de même diplômés de diplômes de complaisance, créant un certain privilège de caste de vieux seigneurs et un certain scientisme de caste s'attribuent les privilèges de caste de l'aristocratie, envers une sous caste de serf en servage leur témoignant notoriété gains et gratitude, clientèle qu'ils se fidélisent à vie des trafics précités, charlatanisme scientiste.

En résumé :

Viols, viols à titre thérapeutique, espionnage constant et maintenance à main armée de ma vie intime et privée, recel d'armes non conventionnelles sans port d'arme et trafic d’armes, issues du trafic de drogue de la prostitution et du proxénétisme, ingérence dans la vie privée, torture, torture médicale, maltraitance, barbarie et actes de cruauté, voire crimes contre l'humanité, tentatives réitérées d'assassinat, tous crimes politiques, actes de proxénétisme, sévices, voies de fait, coups et blessures, violences aggravées en vue d'expérimentations scientifiques. Effets de procédures illicites, détournements de lois, exercice illicite de la médecine, expérimentation sauvage, association de malfaiteurs corruption de fonctionnaires et racket dans le but de prostituer, expéditions punitives, effet de bureaucratie soviétique ou nazie et de secte, etc. Ce que l’on peut en retenir, en cas de main courante auprès des commissariats avant de se lâcher et que l’on vous appelle le médecin de la police, justice dans certains de ces cas, impraticable. Voir articles de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme.

Moratoire : pour un occident, une Europe ne se contentant d'un visage humain masquant la barbarie, mais un occident et une Europe humains, dotés d'une éthique civique, déontologique et morale soucieuse d'apporter bien être aux citoyens de l'Europe, de l‘occident, et non faux problèmes de rites prédateurs obnubilateurs de lucidités à un pays sous encore une Occupation de terrains neutres engagés ou de principe, agissements d'un capitalisme sauvage organisé en mafia presque russe, sournois pernicieux et rampant. Ravageur des consciences libertaires et les assimilant sous le poids et le langage des armes, à l'aveuglement idéologique et la perte d'identité de l'être humain, réduit, à l'inhumain. tout discours de la conscience autre que ceux de la langue de bois, réduite d'ailleurs au leitmotiv hitlérien, cerveaux des petits penseurs de ce siècle piliers de la démocratie et des petits actes de journalisme philosophique, arasé, décérébré, voire, médicalisé à outrance dans une tendance au retour à la constitution du délit d'opinion. . La France n'ayant jamais vécu et existé en tant que république démocratique que dans les textes de ses droits, France, une utopie, un cauchemar vivant, un conglomérat issu d’une métaculture des fascismes régnant sur terre depuis l’apparition de l ’Homme.

Il n’y a à exister aucune forme de crime contre l’humanité contre tout militant de parti quel qu’il soit pour son engagement personnel, ni ingérence dans sa vie privée, ni exaction commise afin de lui interdire d’exercer son engagement, au nom de la du droit à la torture, à la reproduction de l’usage de la torture des pays étrangers et de celle des camps de concentration qui ont été tolérés après la dernière mondiale afin de rendre aux allemands nazis prisonniers de guerre les horreurs qu’ils auront eu commises sur les juifs, résistants, homosexuels et romes exterminés. L’usage de la torture médicale mutilatoire ou pas, (en harcèlement ou non) ni en son nom ni au nom de l’usage du crime politique pour vaincre un ennemi, n’a à être tolérées en aucun cas, ni même envers un ennemi commun, car toute torture à ce compte là peut trouver justification. La torture et son usage n’a à être nié ni toléré, ni tu ni à reste inavoué, ni à être sujet d’actes dits de bravoure des dissimulation faisant accroire à la démence de tout dénonciateur ou défenseur de sa partie civile, aucun militant d’une cause quelle qu’elle soit n’a à subir la torture au nom d’une lutte des classes mobilisées dans une occupation fasciste de partis politiques, clandestine permettant le droit de torturer dans le non-dit, encore moins par le fait d’un armement licite ou illicite non conventionnel distribué par les administrations auxquelles il est en partie restitué après incarcération du contestataire, armement recelé par les factions fanatiques de ces regroupements, armement revendiqué hallucination des victimes atteintes et blessées de ces armes tolérées, connues et sciemment distribuées dans la population, par les gouvernements depuis les années 30.

Les partis politiques de Besançonneau, Chevènement, certains partis écologistes, et ceux de l’extrême droite, très durement réprimés, au point qu’il est normal que Jean-Marie Le Pen parle de mort subite, et de martyre chrétien e ses partisans, tant ils auront eu jusqu’à décéder de mort violente de ces luttes armées. Prendre la défense de l’extrême droite en ce point-ci, revient à ne tolérer, ainsi que ci-dessus, aucun acte de torture y compris mortelle, envers tout individu pour un délit d’opinion lié à une intolérance inquisitrice datant de l’Inquisition, ancrée plus profondément dans les masses populaires depuis les années 30 et la montée du nazisme en Europe, qui s’avèrerait dangereux pour sa vie, sa santé et l’intégrité de sa conscience. Pour certains militants de ces partis, et surtout ceux de la droite, leur physique refait, remodelé au laser à vif, opérations de chirurgie esthétique pratiquées au domicile des personnes, sur tout lieu de vie où elles se situeraient, dans des douleurs de blessures parfois mortelles, qui les handicapent et voire les éliminent pour handicap grave chronique, leur droit au travail ensuite remis en question, sinon rendu obligatoire autant que sous nazis.

L’incompréhension générale du problème du à une grande ignorance des populations, affectant la plupart des ressortissants lucides de tels agissements. Incompréhension rituelle envers l’étiquette de démence précoce et de schizophrénie qui leur est attribué, et affectant tout prisonnier politique, mêlé aux malades véritable de cette affection mentale, réelle pour certains des cas recensés.

Procédés d'autant plus injustes et intolérables qu'ils se pratiquent sur des malades mentaux réels, qui n'ont encore moins que prisonniers d'État à connaitre ni subir l'usage de la torture à titre de soins. Capable d'instituer l'instinct de mort par contrainte à la légitime défense militarisée par tous les systèmes sociaux et psychiatriques également, moteur jugé essentiel de la lutte pour la vie, récupéré par le système capitaliste, de la force de travail.

En attendant le droit la torture de guerre officielle et légale, la torture de droit de fait officieuse et imposée autant que si légale elle était dans le pays fait rage, l’on torture le voisin, chaque individu de la société torture son prochain au nom de son délit d’opinion, lui dans le seul droit de se laisser torturer dans le mutisme qui lui sera voulu ou corrigé, son silence transgressé, afin qu’il avoue sa foi qui lui sera amputée par la lobotomie nazie qui lui reviendra s’il persiste à ne pas s’engager dans le combat fasciste, de quelque bord politique qu’il fut, dans une société de surveillance qui n’est qu’une dictature. Dénommée paranoïa schizophrène à dissociation du moi délirante hallucinatoire, envers tout libertaire contestataire lucide de ces réalités ici décrites, qui se heurtera à ce rempart de déluge et de feu dénommé l’intolérance. De plus, dans le lavage de cerveau qui sert d’éducation de la jeunesse actuelle, au nom de la guerre et d’une torture de guerre, à l’infini dans les systèmes de corruption de la population, contre les libertés de conscience, contrées de la torture pratiquée sous l’égide de la Raison unique, Raison d’Etat, et de la Raison Universelle. Dans le sabotage du travail intellectuel, le viol thérapeutique au nom du soin de la frustration des pétroleuses féministes décrétées jusques par la science psychiatrique qui leur est opposée, mal baisées, phallocraties aryennes toujours si ce n’est plus, à l’honneur. Toutes libertés devenues obligatoires. La religion un fait du fascisme.

L’attribution de l’étiquette de démence prononcée contre le délit d’opinion, traité en maladie mentale gravissime, nécessitant les méthodes les plus indignes bafouant le code civil et les crimes contre l’humanité les plus dégradants pour la vie, la santé et la dignité du prisonnier de guerre dans son incarcération en semi-liberté préventive ou carcérale et sa privation de liberté ainsi instituées. Les infirmes chargés du travail obligatoire rédempteur du pays de leur grave faute de ne point pouvoir travailler ( pour leur délit d’opinion) ne serait-ce que dans toutes leurs inaptitudes requises et de rigueur, sinon pour cette rédemption ou inutilement et gratuitement. Travail obtenu de toutes le tortures inimaginables possibles, ainsi qu’envers tout femme émancipée depuis le début de la dernière guerre, leur cas réduit à celui de la femme libérée et de la prostituée que chacun peut battre à souhait et cogner, voire exécuter froidement leur droit au non-travail, chargé de sauver la France de l’iniquité d’une récession dont la faute leur est attribuée. Soigné dans la faute de Marie-Madeleine, et selon le sort de Jésus Christ, ses infirmités voulues et obtenues par la torture mutilatoire, dans l’esprit de soigner son délit d’opinion réduit à celui du tiers monde social, selon l’imposition de la torture chimique psychiatrique sous peine d' être accompagnée de la torture électrique à longueur de vie... Théorie négationniste de la dernière vague fasciste du Pacte d’Orange. Cf. le site de SOS Racisme, chapitre négationnisme européen.

Opérations du cerveau pratiquées sur individus pour leur délit d'opinion, à l'aide d'instruments de torture, dont de opérations infligées à coups de décharges de groupe électrogène ou matraque électrique ou de tout engin de torture de guerre issu de la recherche technologique ou déjà éprouvé sur cobayes humains sous l'étiquette de la démence, jusqu'à leur parution sur le marché, qui pourra servir de groupe électrogène ou s’y assimiler, opérations du cerveau au titre de punition corporelle infligées à titre strictement répressif, lobotomies. De Deutsch Hôpital;

PO : mesure temporaire de torture sur individu isolé de la société pour ses engagements et sa liberté de conscience en délit d'opinion, constitué prisonnier d'opinion par vox populi saisissant l'Etat pour y infliger sa dictature lumpenprolétarienne.

Line Llao

Motion de censure contre les pratiques de la médecine psychiatrique

Etats dits de délires ou états second causés par ne serait-ce qu’électrochocs, en sus de malnutrition infligée, maltraitances, violences physiques et mentales, cerveaux sclérosés, nécrosés, d’individus choisis dans la société, réséqués pour ces dits délires induits à l’électrode, lobotomisés par neurologie et neurochirurgie, dits délires postopératoires, dus en partie aux effets d’anciens anesthésiques, en sus de la commotion cérébrale de l’acte chirurgical, imputés à la démence et résignés de traitements médicamenteux de contention de longue durée, accompagnés le plus souvent de mesures dites de sécurité (armes de poing à faisceaux, lasers, etc.) parfois à vie pour un état de heurts avec les autorités en fait, surpris tel.

France surmobilisée en fonction de ces attentats à main armée, constants. Société clivée, entretenant ces clivages d4ttitudes très répressives visant à interdire à tout individu qui l4oserait de sauter le pas de ces frontières invisibles mais réelles, murs réels créant discriminations et parfois fondées sur le sexisme.

Electrochocs, à l’origine produit du capitalisme naissant récupéré à des fins thérapeutiques des abattoirs ou pistolet électrique percuteur paralysant, placé entre les deux yeux de l’animal., depuis dans les abattoirs l’on a fait pire, avec le pistolet à tirette, embrochant d’une tige de métal percutante le cerveau de la bête à abattre. Mais chez l’homme l’on n’en meurt pas forcément sauf peut-être des lobotomies pratiquées dans cette zone cérébrale réputée être la zone des sens. Des nouvelles trouvailles de la technologie scientifique, sensées améliorer la vie quotidienne du malade, et ne pas faire semblant de l’exécuter, pour la plupart du temps, c’est le cas, en fin de parcours.

Selon la restriction « ne que »  (elle ne subit que des tortures) attestant, signifiant dans el double langage employé, que les tortures n’y suffiraient. Incitation à la peine de mort par exécution sommaire. Exaction.

Médecine corrompue de Médecins Assassins prosoviétiques ou pronazis, fascistes en somme, laissant la région la peur régnant sur la ville, à Jacques Blanc et Mr. Manville, terrorisme hitlérien sinon mussolinien si vous en souffrez de mélancolie, passant à la politique de terreur, politique d’extrême droite qui passe en forcing de manœuvres politiques d’envergure et de masses. Pendant que Manville ses pendants collatéraux et complices, comptent les fautes stylistiques et de frappe d’opinion et de goût de ses secrétaires travaillant la tête sous le tranchet, parfois le cerveau foulé lésé refoulé et relésé depuis la dernière entorse judicaire « la piqure sur le cul » autrement dit fessier en langage scientifique, très peu usité en médecine psychiatrique infirmière, mais fait de la répression qui doit rester personnel, individualisation de la répression, envers personnels administratifs et autres artistes de même genre que les artistes d’avant-garde et intellectuels de gauche qui refusent d’entrer dans le système, envoyés au billot de la neurochirurgie sinon au bucher des électrodes. Entre le four et le moulin, finies parachevées au laser–trépan. Depuis Bichat et Charcot.

Les douleurs profondes hyperalgiques pouvant causer le décès sans anesthésiques, dues à la torture physique préparatoire et préalable aux placements considérées,  préparation destinée à justifier d'un état de délire er d'agitation nécessitant  l'intervention neurologique ou neurochirurgicale, les douleurs mortelles  induites par la torture électrique supplémentaire, au plus simple algie, sinon hallucinatoires, selon le degré d’aveu et de confidence des faits considérés. Surajoutant au poids des commotions de l'acte chirurgical et neurologique la destruction en masse du système nerveux, électrocuté ou réséqué accompagné d’hémorragies cérébrales ponctionnées et réduites la plupart du temps, par cautérisation électrique successives à l'intervention. .La mélancolie suite au choc physique enduré, répété de multiples fois par vie .Pour ce qui est des  électrochocs, en cure. Le cerveau brulé au dernier degré suivant le type de courants  électriques utilisés, électromagnétiques, déphasants ou dits revissants,  à tel point que sont nécessaires les courants  déphasants sous peine de devoir entrer dans la spirale de la violence répressive jusqu'à devoir causer le décès d'acharnements thérapeutiques, chocs de décharges électriques et courants  accompagnés ou non de chocs mécaniques dénommés marteaux, accompagnés ou non de chocs mécaniques dénommés marteaux,

En fait mesure de STO à l’encontre de la population des infirmes et handicapés, sous peine déportation, les placements en asile psychiatriques déportations depuis la montée du nazisme et l’invention de l’asile de fous, dès les premiers temps de la barbarie sur terre. La femme ou l’homme déclaré handicapé devant se rendre de lui même au devoir de travailler gratuitement pour le simple principe de travailler.

Celui ou celle, tout individu qui refuse de travailler dans cette société, pour une raison ou une autre, devant vivre caché, résistant si objecteur de conscience de ce  système, et courir très vite, autant que travailleur salarié. Ce qui est peut-être pire. Ce qui est peut-être pire, réduit à l'immobilisme, ces individus boutés hors société, tirés de tous bords sauf votre respect, comme des  lapins, de loin. Nouveaux juifs de la société.

L’intellectualisme garant de la démocratie.



Le devoir de démocratie devant commencer par la défense des droits de la Femme de l’Enfance et du malade, des personnes les plus en butte à la violence et aux préjugés discriminatoires, commencer donc par revendiquer le droit au non-travail des handicapés, pour le moins, pour ceux qui le désirent.

Femmes, hommes, enfants déportés dans leurs foyers sinon en lits hospitaliers, passés par psychiatres écarteurs (de cuisses) de filles qui se refusent. Victimes condamnées aux basses classes,à leur intellect  et  types de rémunérations, isolées dans la population en premier lieu, choisies, évitées de tous lieux, leur vie rendue infernale des rites de l’internement, à domicile ou en pavillon, clinique et centres médicaux, puis violées sous les électrodes qui les déflorent, puis le usent sexuellement également, séchée ensuite ou fin prête pour leur mari présent ou avenir, sinon, déflorées au vilebrequin, bref trépanées. Filles forcées contraintes de vivre leur nuptialité sous ces brodequins, leur extirpant plaisirs sexuels ineffables dits Délices de Capoue, dans la douleur et la souffrance les plus profondes qui soient infligées de ces factions de Faisceaux nazis que sont des équipes entières de violeurs videurs de lycées et collèges à l’occasion, forceurs de filles, de portes de maisons, d’appartements et HLM, violeurs en collège et réunion, soudards de première en tournantes médicales dites de principes. Violant hommes, femmes, enfant, sodomisés jusqu’au dernier pore. Qui ne l’auront que perçu dans leur moi profond, ce genre de viol thérapeutique, équilibrés du repas équilibré, sucé en sus. Pour le bonheur des français, qui se repassent la soupe dans le casque de l'Allemand du STO depuis les années 40.

Celui ou celle, tout individu qui refuse de travailler dans cette société, pour une raison ou une autre, devant vivre caché, résistant si objecteur de conscience de ce  système, et courir très vite, autant que travailleur salarié. Ce qui est peut-être pire.

Les handicapés et handicapés mentaux, personnes dites au départ puis rendues vulnérables, mobilisés en premier par le Ministère du Travail sur circulaire de ce Ministère, réquisitionnés afin de payer de leur travail non rémunéré et bénévole malgré quelque incitation de départ financière, pou prime à l’emploi, maigre solde de ce travail de soldatesque la dette intérieure du pays, sans quoi, sinon déportés pour les réticents, rebelles et objecteurs à ce fait. Devant se soumettre sous peine de pratiques médicales de la Gestapo d’équipes avec matériel de persuasion sinon de résection de zones cérébrales entières sur le coup, et intrusions violentes et très répressives à leur domicile. Sur activisme de groupes fanatiques d’extrême gauche et d’‘extrême droite agissant sur le sodalité d’action de l’ETA. Braquant homme femmes enfants de leur part. Agissant en tant que services secrets, ne se leurrer.

Les bosses le plus souvent cérébrales, causées par coups violents prolongés et blessures, dénommées excroissances constitutionnelles et réséquées, bref, lobotomisées, par quelque méthode que ce soit

Pratiques médicales allant plus loin dans ses tortures et violences, que la Gestapo, qui à celles ci n’y aurait même pas pensé, poussant le vice suprême de ce pouvoir absolu à ce point-là. Accompagné d’un contrôle étatique de la virginité, à perdre en âge et heure voulus.

Nouveaux juifs nouveaux déportés que les malades mentaux de ces derniers siècles,, vivant la déportation s'il le faut à domicile, pays français camp de déportés pour ses déportés uniquement, ils font nombre, passent isolés le cap du suicide collectif désolidarisé, individualisé, nombre tu, caché, chiffres maquillés, mensongers, tenus tabous.

La France se comptant en cerveaux non lobotomisés, très rares dans ce pays. Autrement dit, vague de lobotomies en France, en roulement de lits au foyer des personnes ou pas. Depuis la fermeture de bon nombre des lits autant qu'à Trieste, en cours depuis Berlusconi en Italie, je me permets préciser, et sa mafia. Introduite ainsi sur le sol français par le parti communiste en personne. Opérations du cerveau. Ne serait-ce que de main de neurochirurgiens ou neurologues patentés privés ou non arrivés là, opérant sur place même s’il le faut. Le pus souvent à l‘insu du patient, ignorant du fait ou vaguement conscient de sa résection sans toutefois s’en douter.

Celui ou celle, tout individu qui refuse de travailler dans cette société, pour une raison ou une autre, devant vivre caché, résistant si objecteur de conscience de ce  système, et doit courir très vite, autant que travailleur salarié. Ce qui est peut-être pire. Réduit à l'immobilisme, ces individus boutés hors société, tirés de tous bords comme des  lapins, de loin. Nouveaux juifs de la société..

Affaires Dreyfus de chaque famille, l’internement du père, du petit ou de la petite, celui de la grand-mère et peut-être même du frérot ou du concubin, affaires destinées à corrompre, faire diversion envers les affaires de magouille du pays envers la divergence, et obnubiler d’une réoccupation du terrain des libertés de consciences par la droite l’extrême droite et les extrémismes du pays. Afin d'aveugler sur les crimes contre l'humanité que commet la république au nom de la démocratie. Faire porter à chacun et plus particulièrement à ceux qui auront été choisis dans leurs instants bien choisis, la casserole sur la tète des casseroles à la traine de Chirac, Mitterrand et des autres gouvernements.

L’Etat despote et la populace régnant en maitre, réséquant le fou coiffé de la casserole de l’Etat. Qui traine sa brosse à dent au moindre dentifrice Signal, à mon signal.

L'on n'a pas à faire avaler aux français la couleuvre supplémentaire et la pilule amère de l'usage de la torture médicale, électrique, psychiatrique dans le pays, au nom du bien fondé d'une légitimité du fait de la lutte contre la criminalité des malades mentaux, criminalisation de leur cas, comparé à celui de la délinquance maintenue dans le triomphe des trafics multiples et des plus avariés prenant naissance au sein des établissements psychiatriques, des usagers de la drogue et de l'alcool. au nom d'un fascisme ambiant décrétant que la torture et la bonne est nécessaire en cas d'application de peine, psychiatrisée pour la plupart des citoyens, sauf pour les immigrés d'origine arabe, ceux-ci et les drogués n'ayant droit qu'à la prison.

Politique de feu de fer et années de plomb sur la région de l’Hérault de Jacques Blanc et Manville, de l’ensemble des secteurs psychiatriques.

Mesures d’enfermement dues à l’enfermement dans des procédures illicites à vices de formes immanquables à cette occasion, en enfilades de couloirs de la mort et kyrielles à enchainements sataniques depuis la majorité dans les années 80, années Mitterrand, accompagnées de mesures d’enfermement dit thérapeutique, psychiatrique. La vie enfermée dans procédures-enfermement à domicile ou pas.

Bizarrement de ces expérimentations scientifiques, l’on en trouve, par médecins attitrés et patentés, des cas, de comas prolongés ou cathexis catatoniques maintenues sciemment en cathexis catatonique, anorexie déclenchées indurées et états seconds savamment maintenus en états seconds, histoire là de les faire traiter, une bonne fois pour toutes.

Agissements en France, intolérables ne se contentant que de la prière en tant que seule action.

L'opinion de ces condamnés, ce qui constitue l'identité même de l'individu et du citoyen remise en question, qualifiée de, traitée en raisonnement profond de malade mental, opérées dans le système nerveux qui la constitue et assure son existence, voire sa survie. système de prévarications

Les personnes en crise traités à domicile au grand dam de leurs entourages, voisinages et familles, empoisonnés jusqu'au handicap de ce fait d'arme là, jusqu'à ce que les personnes malades traitées ne réclament d'elles même que le placement libre, en pavillon psychiatrique, une fois guéries de cette phase très violente de répressions commises par le milieu de vie..

Les douleurs causées par la torture physique préparatoire et préalable aux placements considérées, au plus simple algie, sinon hallucinatoires, selon le degré d’aveu et de confidence des faits considérés.

C’est un conflit national en effet. Portant sur les méthodes choisies de pénalité envers des déments criminels. Trouvez, trouvons, d’autres méthodes quand elles résident dans la prévention, pas n’importe laquelle, la méthode pédagogique n’y suffisant, les traitements en cours de la maladie inefficaces à dangereux pour la vie, basés sur la maltraitance, le viol, le sévice ordurier, l’exaction de barbouze, les violences physiques, mentales, et la torture et la morale de bief, dans tous les sens du terme, le poste à soudure médical de quelque façon qu'il existe et sous toutes ses formes actuelles selon les technologies nouvelles dont chaque psychiatre devrait se tenir au courant. leur ignorance en la matière ayant déterminé à tort des cas de démence chez des personnes qui se seront heurtées à ces, précisément, nouvelles technologies issues de la recherche scientifique pour certaines.

Implants électriques électroniques ou faisceaux les simulant manipulés par drogués alcooliques, fous dangereux et gangsters en état de meurtre et de tabassage sur femme battue, bref prostituée, maquereaux logeant dans le dit voisinage et commettant en harcèlement de leur mains résections mutilatoires de cervelet et de lobes cérébraux, tant rongés de courants et décharges électriques que réséqués à la longue, ablavés dans des opérations de longue durée voire plusieurs ans, sinon détruits à vif de décharges et amputés ensuite avec ouverture des os. Dans le but de loger une balle de plus dans le crâne, ou la nuque d'un prisonnier d'opinion qui l’on s’en plaint chez les médecins, n’en meurent que sur la table d’opération plutôt que dans leur lit, s'il faut mourir. Filles, hommes tenus de médecins jeunes et vieux, envieux proxénètes et véreux, usant de la torture médicale dans leur parties de viols dites fantaisies pour leur amusement, gains et profits, sur fille qu’ils se destinent leur fille de joie, placée dans appartements maisons d’entrainement voire d’abattage sinon en pavillons disciplinaires aux mêmes fonctions, servant sous l'étiquette de la maladie, de maison de redressement dans l‘exercice du proxénétisme, sur victimes, elles  aussi,  de cette gigantesque farce politique et  escroquerie, à la Cotorep, la sécurité Sociale et fraude judiciaire gravissime. Certaines prostituées jusques dans leur emploi, parfois administratif. Avec la complicité des familles. Dans les tortures de république cotonnière. .

Pour en revenir aux implants, réseaux de prostituées issues de la même prostitution infantile dans les familles, femmes et peut-être hommes qui en proviennent les portant, torturées par ces prothèses électroniques, causant ablations de zones cérébrales dont certaines vitales décrétées contenir leurs luttes, réparties implacables et raisonnements, parties civiles et plaidoyers extirpés au cours de longs interrogatoires, qui pourraient les faire gagner en procédure contre ces médecins proxénètes tant corrompus et leurs acolytes, qui les tiennent et détiennent. De ces implants causant deux viols jusqu’à l’orgasme par heure, maintenus éternellement allumés, fonctionnant sur pile atomique au lithium implantée dans le corps, manipulés de drogués et malades mentaux. Implants placés jusques dans sinus, mastoïdiens ou rochers, maxillaires et frontaux, causant les maux et maladies des personnes de mon entourage, maladies voulues chez beaucoup dont tumeur dans le cervelet gauche et/ou droit.

Organe ne concernant, méconnu de certains, que les fonctions vitales naturelles et organiques du corps et dont certains psychiatres veulent à tout prix la résection, pour eux très importante, pratiquée à titre d’exécution sommaire, certainement causant des morts de cause à effet. Les chiffres des décès sur les tables d’opérations de la neurochirurgie, et des séquelles postopératoires, parfois soumises aux violences des médecins et infirmiers.

Certains de ces bruits de bottes et prévarications, réduisant à respirer au respirateur après lobotomie électrique, le cerveau brulé au dernier degré en plus du fait d'avoir été cogné dans les zones cérébrales repérées pour être la cause du délit d'intellectualisme subversif, voire journalistique contestataire. L’écrivain le cerveau craché sur la page blanche, les soirs de vide cérébral, commercial sous l’électrode et ses contrefaçons plus évoluées qui pourraient s’avérer fatales.



Loi de la rétroactivité en toute affaire d'agression physique. Personnels fonctionnaires et médicaux corrompus, à même d'être achetés. Exemple type : Crachats dans la soi-disant pommade en fait une crème pour visage et corps à la rose, sous le prétexte que je n'avait pas droit à ce parfum, le crachat testé de par eux apparemment à titre thérapeutique, et ses bienfaits strictement étudiés. La douleur profonde due à la torture mutilatoire une cénesthésie due au délirât non compensé ou décompensé. Eux arguant la pré séquestration ante placement d'office, pré séquestration capable de constituer sinon créer des preuves constituées et causées de toutes pièces et méthodes de torture ineffables, preuves dites irréfutables destinées à justifier ce placement, preuves constituées sinon sur faux en écritures et donc faux en justice. Pour justifier d'un état qui nécessite quelque lobotomie ou résection de cervelet, à titre de prévention à un placement décrété nécessaire pour trop grande perspicacité lucide que j'aurais. Amputation pour droits imputés, invoqués, de le devoir dans le devoir de partouzer de la partouze de pouvoir absolu, totale et  absolue, au nom de la partouze publique, et privée. Tous psy ayant au nom d'un privilège de caste, participé de près ou de loin, ne serait que dans la complicité du fait ou par assistance à personne en danger, aux viols ici précités. Il fallait si l’on ne se l’avouait, passer à confesse.



La féodalité une autre forme de nazisme, précisons. le pays ayant vécu depuis les premiers temps de l'humanité sous tous les nazismes et des plus divers.

Personnes ciblées, triées sur le volet, maintenues dans un état apparent sinon encore sans séquelles, de la maladie mentale, sinon physique, dans ce cas réelle autant que bras cassé, à éternellement faire semblant de réparer.

La psychiatrie, les psychiatres n'examinant que les dégâts commis et ne retenant que ces séquelles et réactions à son action de pogrom sur la nation à titre de signes de la maladie, la médecine réduite à cet artéfact de science là. La conscience politique et sociale de ces faits considérée par certains voyance-extra-lucide.

Le budget entier que l’Etat alloué aux secteurs psychiatriques passé dans l’armement de ces secteurs, d’armes d’une nouvelle convention, et d’un nouvel ordre, destinées à faire accroire aux faits de maladies, dénommées longtemps les faits et possessions de Satan, en fait imaginaires sinon préfabriquées des mutilations pratiquées de façon constante avec cet armement, employé dans des procédures illicites comportant tous les vices de forme des procès des sorcières de Salem, du procès du Jugement Dernier, celui due Nuremberg, de la Pucelle d’Orléans et de Kafka. Au domicile des personnes.

La parole d'un dit dément ne valant pas plus que propos d'enfant, ou mineur, éternels mineurs délinquants aux yeux de la justice qu'ils sont.

L'infantilisation russe requise dans les domaines de la psychiatrie, contrefaisant l'analphabétisme obligatoire conduisant à l'appréciation de régression (des facultés mentales donc linguistiques)  de quelque maladie que se soit bien mentale, infantilisation réduisant la qualité du  langage médical et scientifique de ces personnels administratifs médicaux, à la simple détermination d'un dit mal dans le langage ordurier de barbouzes, le lieu commun populaire, le dialecte de rixe et d'altercation. Toute preuve de don ou de génie des êtres ainsi accablés réduite au niveau régressé du Cours préparatoire de l'enseignement primaire. Idée lumineuse de causer la régression mentale et physique des intellectuels de gauche, des militants de leur base, propagée par les populismes en cours et en vogue. Usant de la politique d'entreprise du CHR et des cliniques privées.

Déplacements de populations en fonction de ces multiples pressions, répressions armées, autrement-dit exodes, dont celle des cerveaux fuyant à l’étranger, l’arme fatale braquée sur eux, craignant pour leur vie et leur survie, ne voulant être récupérés par les pouvoirs de cette dictature planétaire devenue  religion mondiale inquisitrice basée sur une torture médicale nouvelle forme de l'Inquisition et de la Gestapo, colonisant chaque pays la France y compris.

En cela les révisionnistes ont peut-être quelque argument de véridique, sachant qu'il se produit plus sous la dictature actuelle mondiale et aussi française de crimes contre l'humanité que dans la dernière guerre mondiale.

Pour dire autant que révisionnistes, que dans les camps de déportés il ne s'y passait en comparaison de cette dictature, que moins de ravages, la preuve en étant la présence encore sur terre de Simone Weil, et de quelques anciens déportés, si l'on peut à elle aussi lui demander de s'expliquer pourquoi elle est restée en vie de son camp d'internement.

En fait mesure coercitive militarisée de STO à l’encontre de la population des infirmes et handicapés, sous peine déportation, les placements en asile psychiatriques déportations depuis la montée du nazisme et l’invention de l’asile de fous, dès les premiers temps de la barbarie sur terre.

Celui ou celle, tout individu qui refuse de travailler dans cette société, pour une raison ou une autre, devant vivre caché, résistant si objecteur de conscience de ce  système, et courir très vite, autant que travailleur salarié. Ce qui est peut-être pire. Individu et être social libre sous le joug s'il accepte le joug, éternel problème communiste et donc psychiatrique depuis Freud, du perçu et du ressenti profond des Libertés. Le voisin mouchard indicateur auprès des services de renseignement et des services de la police, tenant compte des activités politiques et types de libertés de conscience de tel citoyen, devenu agent de territoire.

Le travail du STO nouvel esclavage actuel sous le prétexte du bénévolat des infirmes et handicapés, rétabli sous l’appareil normatif de l’hôpital, destiné à reconquérir ces droits inaliénables du pouvoir,  règnent les interdits et répressions par les droits que prend la Raison d'État en ce cas, à bien stigmatiser que le droit aux libertés individuelles n'a à résider dans le code civil qu'en tant que récompense du travail fourni dans l'effort et la peine au détriment de la vie, l'usufruit des droits acquis nié, renié dans un éternel retour des répressions, afin que se poursuive le STO. le PO (placement d'office) destiné lui  à bien faire respecter ce genre de système de pratiques et de morale de camp de travail de quelque fascisme qu'il soit.  Le travail au détriment de la vie et de la santé, ne serait-ce que celui pour tout individu de rétablir les droits individuels niés, de rebelle au système.

Les Libertés ne se gagnant dans cet éternel combat contre la récession des acquis de la gauche, l'éradication pure et simple de ceux hérités de mai 68, de mai 68, et l'interdit des libertés( réduites à la peau de chagrin n'en faites une mélancolie), qu’au détriment de la vie et au prix de la mort, sachant que les libertés ne sont que les droits individuels autrement dits libertés individuelles, à reconquérir sous peine de graves représailles entre autres le placement d’office en cas de démission ou de faiblesse d’individus face aux répressions, ou de trop de rébellion, combat de reconquête qui en sera également la cause première certaine. Les droits garantissant les libertés individuelles respectés uniquement dans la position capitaliste de respecter la reproduction des forces de travail et uniquement dans ce but là si ce droit là seulement, respecté et non enfreint.

HO (Hospitalisation d’Office) Dachau des nouveaux temps modernes.



La population des dangereux et potentiellement dangereux parmi les fous en proportion égale avec celle des meurtriers parmi les personnes dites saines, dont certaines potentiellement dangereuses et laissées en liberté, et il existe autant de fous dangereux ou potentiellement et dangereux et de meurtriers parmi les factions d 'extrême droite que dans la totalité des français.

Le protectionnisme français poussé à ce point d'aberration de torturer des malades mentaux ou tout individu soigné pour son délit d'opinion, à se maintenir en vie en cas d'acculement au suicide, de la rage au ventre seule permise, son instinct de survie brisé au point de devoir mettre ses jours en danger pour moins connaître la souffrance physique et mentale des sévices de la torture psychiatrique, ils devront, brisés jusques dans cette idée, briser du petit bois à en alimenter une ville entière, une machine capitaliste mise entre leurs mains pour que de cette rage vengeresse toujours maintenue inextinguible, ils se vengent sur cette machine à produire et produisent (rage inassouvie de répressions continuelles ainsi canalisée et dans ce but de leur instituer une force de travail instaurée sur le devoir de tuer pour survivre ou légitime défense), du profit pour leurs idées, récupérées par le système de production mondialiste. Voilà une politique d'insertion sociale digne d'après les autorités et l'opinion, de ce nom.

Fous. Fous d'horreur. Horde de gueux de serfs errants en guenilles et de servants apatrides écœurés de la patrie, taillables et corvéables à merci, issus de toutes les strates de la république  et de la société, horde d'êtres sociaux disparate condamnée aux puanteurs de bouges infects à domicile ou en pavillon, dans le remugle et la bourbe de la misère des basses classes quand leurs médecins se soulent avec raffinement au bourbon, condamnée cette populace de serfs hirsute des nerfs, à l'esprit supérieur omniprésent et revanchard du mégérisme radical et obscène, du barbonnisme médical, de l'aristocratie médicale et infirmière, au lynchage de chacun et aux pogroms de tous, autour de leur vie restante. Manipulés, éradiqués, réséqués, obstrués, obturés, sous le langage matriarcal et le paternalisme colonialiste outrancier des secteurs médicaux, soumis aux parâtres et marâtres infirmiers affiliés à la loi de les corriger, dépuceler, sodomiser,  dénoncer, surveiller, contrôler entre autres dites corvées de bas étage, auxquelles la basse tâche de gardiens de cochons à saigner  les assigne







Motion de censure contre les nouveaux types de médicaments de contention psychiatrique et la camisole chimique



Horde. Les nerfs rongés par les acides et sels, à avaler pour que le corps soit conductible au courant, puis incrusté de sel parce que le dessèchement causé par les neuroleptiques, antidépresseurs, sels lithiques de lithium, élément radioactif faisant partie des métaux lourds. Autant poudre de verre qui rongeait les plaies des déportés. En fait, produits radio actifs certainement introduits dans médicaments dits neuroleptiques, jusqu'au dessèchement des chairs, l'assoiffement grave et la potomanie aiguë à causer l'absorption de dix litres d'eau quotidiens... A contrebalancer de la prise contrainte ou sur demande selon l'infirmier ou le bon psy, de médicaments correcteurs de cet effet, dont le Surfarlène. Pas plus de six comprimés à prendre un à un  (si trois seulement de prescrits par jour) ou deux par deux matin midi et soir. à chaque repas. Prisonniers d’Etat maintenus dans la cathexis médicamenteuse. A neurasthénie en cas de manque d’esprit. Le strict humour opéré, sans autre façon.

Médicaments radioactifs. Tels le Lithium, base de nombreux antidépresseur. Ou du moins possédant les mêmes effets qu'éléments radioactifs pour ce qui est des neuroleptiques.  A voir blanc, dans éblouissement dû à fortes commotions, prolongées jusqu'à là l'évanouissement, et le goût de fer blanc dans la bouche, commun à toute irradiation à haute dose. L'assèchement jusqu'à la potomanie, les bourdonnements de tête, les vertiges, faiblesses, voire malaises, étourdissements à cloches sonnantes,  et évanouissements, jambes fauchées, chutes de tension jusqu'au trouble cardiaque, effets premiers de l'irradiation.

Neuroleptiques retard à base de belladone ou pas causant fortes commotions après leur prise, des troubles divers, du comportement,  de la gestuelle (contractures graves pouvant aller jusqu'à la rupture de ligaments et gros tendons, hyperactivité, affres et impatiences dans les jambes et les bras, envies irrépressibles de marcher sans fin, de courir longtemps), constipation opiniâtre permanente si à hautes doses jusqu'à l'occlusion intestinale totale voire l'appendicite aigüe à péritonite ou le cancer du côlon si fréquent de nos jours dû  en partie  à l'automédication de ces traitements, révulsion et effets plafonnement des yeux fixés au plafond, troubles oculaires, langues tirées, ne pouvant être ravalées, effets notoires (contractures de la langue à Piportil, sans l'effet correcteur de l'Akineton ou Lepticur.

L'Artane recommandé dans ces cas là de besoin de correcteur,un autre neuroleptique, s'ajoutant aux effets du neuroleptique déjà prescrit), zézaiement et parfois inaudibilité du langage ou délire inarticulé tant l'élocution rendu inarticulée par l'assoiffement et les relâchements ou contractures des muscles de la prononciation, de l'élocution, de la manducation, corps figé, maladresse, ébriété, passagère à constante, selon la durée du traitement, hébétude soignée en tant symptôme schizophrène, par augmentation des doses infligées et rajout de traitements neuroleptiques dits palliatifs, voire déliriums trémens, propos incirconstantiels, comportements non circonstanciés, voire délire logorrhéique (sous Piportil) inadéquation du comportement et comportement entêté irrationnel quand l'esprit se brouille des fortes doses entêtantes, hypersensibilité à la lumière de la peau et des yeux, blocages divers. Logorrhées. Grande fatigabilité, surpoids, obésité, fatigue donc pondérale, ou hypernervosité, insomnie, hyperactivité des membres ou impatiences (Tercian, produit médicamenteux certainement, c’est à le croire, à base de morphine base). Solian en cachets ou en gouttes, cause et de cause à effet, d'urtications puissantes dues à une cuisance permanente, et à une rubéfaction constante des tissus, et donc une irritation de la peau voire des yeux, très cancérigène.

Neuroleptiques, retard, à libération prolongée, en injection  (Piportil et Modécat retard, produits très puissants, Aldol Décanoas, durée 30 jours) ou cachets (Semap durée environ une semaine), gouttes  ou neuroleptiques quotidiens en cachets et gouttes quotidiennes infligées aux trois repas principaux ceux-ci  d'une durée de 24 heures, ou toute autre présentation si cela continue en suppositoires, cause de fièvres permanentes tout au long de la prise des traitements. D’œdèmes et bouffissures prolongées, sans compter ne sensation de faim non cénesthésique celle-là, irrépressible insurmontable à incoercible pouvant être mortelle de par les malaises et syncopes répété(e)s qu'elle peut causer. Prises pour vertiges orthostatiques et anorexie. L'on a même noté des hypotrophies prolongées de l'utérus causées par l'usage abusif du Piportil.

Sans compter la menace perpétuelle depuis ces temps actuels qui enf ait perdurent depuis les années 80, d'introduction de cyanure ou arsenic dans les injections forcées et contraintes supplémentaire à cette méthode de répression. Qui risque,  risque de chaque fiché maintenu sous cette camisole chimique de force, de voir ce prétendu soin devenir arme d‘euthanasie au cas par cas ou même en masse, en cas de guerre avouée et avérée. guerre souterraine qui persiste de nos jours, retour d'une guerre froide qui permettrait de ce genre de pratique de l'euthanasie infligée, à l'insu même du "patient", les décès de malades mentaux parfois inexpliqués, le cœur ayant lâché ou la cause du décès tue

Insuffisance respiratoire et hépatique induite par la médication neuroleptique dite camisole chimique surajoutée à celle causée par les méthodes de torture à l'électricité. Impuissance, frigidité surajoutée à celle causée par les tortures constantes, cause de douleurs et de souffrances insupportables, surhumaines. Jusqu'à l'arrêt  cardiaque.

A l'encontre de ces effets secondaires  ou pervers, prescription parfois de traitements correcteurs de ces effets indésirables, Surfarlène donc pour les assèchements de la bouche et la potomanie, médicament pouvant causer l'écoulement de bave si pris en trop grande quantité, pour la dose requise de neuroleptiques, Akinéton et Lepticur pour ce qui est des contractures et impatiences, Heptamil pour les chutes de tension trop fréquentes. Dans certains pavillons ou secteurs psychiatriques, ces effets secondaires laissés sur le compte de la maladie, et traités en tant que symptomatique grave de la démence.

Semap, Solian, neuroleptiques chimiques types remplaçant les électrochocs, électrochocs chimiques véritables brûlant les chairs et le cerveau à longueur de temps très dangereux pour la vie et la santé, car cancérigènes tant cause de brûlures internes, externes ou dénommées érythèmes voire fessiers, bref, cause d’éreutophobie, et ce, jusqu’à l’apparition du carcinome malin ou cancer, voire même, le mélanome ou cancer de la peau. Très urticants, virulemment cuisants et à mon avis, assez radioactifs pour causer dermites graves de contact et violentes allergies. Cancers en épidémie galopante sur le territoire national,  à l'heure mondiale..

Théralyte, électrolytes ou traitements à base de sels de lithium, produits radioactifs, électrocutant perpétuellement, irradiant gravement corps et cerveaux, micro-fracturant, tailladant les chairs abominablement de façon constante, jusqu'à l'apparition du carcinome, les tissus ne pouvant à la longue poursuivre leur cicatrisation, épuisés en cellules mères à la longue exterminées. Électrolytes prescrits en cas de soi-disant dépression, ou mélancolie. Sels lytiques servis (introduits dans bouteilles d’eaux minérales par rats d'hôtels de services parfois spéciaux) à titre de lutte anti-radicalisme centriste et de gauche, chevènementiste, destinés à envoyer par cancérisation de ses chairs. cet électorat au four de la médecine nucléaire, puis au crémarium, où il sera crémé.

Gauche divisée en micro-fractions ou factions, micro-fracturées à souhait des méthodes de la torture médicale. La critique contestataire de la gauche humaniste considérée mélancolie.

Tout antidépresseur, la France inondée de ces produits là au moindre trouble social, ou révolution sévère, les français dépressent, de traitements constitués de ces produits simulant les effets des électrochocs, en fait, radioactifs, à base d’une eau lourde servie en tant que médication souveraine résolutive des effets de la mélancolie de la psychose surtout maniacodépressive, schizophrène, et de la dépression, eaux lourdes, cachets radioactifs cause d’ébriété et d'une épidémie de cancers sur le territoire national, flétrissement et cassures de la peau, gerçures du cerveau, d’où la profusion de pommades calmantes des irritations voire douleurs en conséquence, et produits à base beurre, réputé cicatrisant des plaies et lénifiant, à bien devoir consommer, (jusques dans le dernier Tango à Paris et le Décaméron) sur le marché. Et en Occident, bientôt, dans les pays en voie de développement atteints des maux et  viols en tous genres des dictatures  de l'occident commis sous  la coupe de la psychiatrie. Médecine usant de la médecine expérimentale au même titre que médecine acquise et règlementaire.

Conclusion :

La psychanalyse puis la psychologie pratiquée dans ces établissements et antennes médicales, destinée au départ à inciter la formulation des maux et malheurs affectant une partie de la population, individualisée et traitée dans ses mouvements sociaux au cas par cas, ce rôle de la médecine qui aurait d’orienter ensuite ces individus vers des juristes et cabinets d’avocats pour affiner leur discernement dans des affaires de corruption, a perdu son rôle initial d’amélioration de la vie quotidienne, détournée de son rôle initial dans des dérives bureaucratiques et pernicieuses, fraude politicienne en soi. Milieu en lui même corrompu.

N’hésitant à propager la constitution de ses prisonniers d’opinion d’un armement d’infanterie nucléaire légère. Prisonniers se heurtant aux essais nucléaires au sein de la population, essais pratiqués par une partie même de cette population de ce territoire français, sur l’ensemble sur l’ensemble du pays, voire deux ou trois continents dont la Russie, l’Europe et l’Amérique. D’où le taux de cancers en occident. Paramètres des pratiques d’une médecine psychiatrique détentrice et agent de contrôle de ces prisonniers d’opinion, médecine ayant elle-même le pouvoir de les détenir de cet armement nucléaire, comble du vice, exerçant certains tests d’engins qui lui reviennent, en cherchant futur usage médical en médecine nucléaire ou chirurgicale, (tous type de faisceaux, lasers et autres), médecine psychiatrique devenue véritable ferme d’essais nucléaires et d tests d’armes et engins de guerre non conventionnels.

Tant que personne ne vous teste une ferme solaire sur la figure, cela ne parait pas, sinon en préparation, faisceaux hertziens capables de propager faisceaux manipulant engins implantés électrocutant, à travers postes émetteurs radio, téléviseurs, téléphones radio, portables. Recherche de technologie appliquée aux sciences de l’armée de terre, issue de la société de surveillance y compris de surveillance médiatique, agréée, gérée par la psychiatrie sous le couvert du diagnostic de la folie pour les personnes victimes de ce cobayage, le plus souvent, à vif. Causant parois la folie véritable des douleurs blessures et plaies endurées

Médecine mentale psychanalytique, psychiatrique et supposée d’aide psychologique préventive destinée à l’heure actuelle plus à détecter le délit d’opinion à lobotomiser en placement ou à domicile dans des préplacements dits préventifs qu’à sauver la population de ses maux. Etablissements psychiatriques tenus, régis par vieux messieurs en état de vieux barbons, dans les délices fascistes du couvent et du monastère à la fois, la population de ces établissements, véritables boui-bouis et maisons d'entrainement, camps d'exterminations de la région et de la ville, la publicité m'est restée, les gauchistes au Goulag, devenue ou restée pour la plupart mixte.



Torture pratiquée à titre de punissement et accompagnées des viols collectifs homosexuels et hétérosexuels sadiques anals sodomites et punisseurs de la torture sexuelle  à titre de simple violences jusqu'à l'acte suicidaire de forcené, à l’aide aussi à l’aide d’un matériel militaire, paramilitaire, médical et paramédical, à énergie nucléaire, aux rayonnements et faisceaux  très fortement irradiants, soumettant un bouclier de cobayes humains  à de très fortes radiations prolongées sur un temps de vie de ce fait très fortement réduit, torture engageant des poursuites allant parfois  jusqu'aux mesures disciplinaires, envers toute personne qui s’opposerait à ce trafic ou en serait victime (pour des questions d’adaptation au milieu du lieu de vie, professionnel ou d’adaptation à la profession même), placée en détention provisoire et sous contrôle médical à vie et de se fait dans la situation à la longue du soldat en légitime défense, victime soumise dans ce but à l’étiquette de la maladie mentale infligée en fonction des engagements politiques et de la liberté de conscience, ou le peu qu'il leur en reste après lobotomies en tous genres, de ces personnes incriminées par l'opprobre populaire et la psychiatrie à laquelle elle fait appel pour s'en débarrasser, pour leur seule raison de seuls êtres conscients  lucides et doués de raison restant de la société actuelle.

Personnes torturées par pur plaisir et amusement du fait de tortures de déments et de personnels soignants très pardonnés pour les persécutions exterminatrices de génocide vengeresses des libertés de conscience poussées au délit d'opinion, infligées jusqu'à l'acquisition du trouble du langage parfois de la coprophagie, du symptôme même  significatif de la maladie au départ prétendue, ayant servi de prétexte à internement, suivi et actes de dégradation corporelle et mentale dits soins destinés à l'acquisition de la symptomatique totale et absolue de la maladie invoquée..

Les placements administratifs judiciaires et d'office, par tiers ou dits libres n'ont à servir de prétexte à la pratique de  torture étatique ou à titre personnel sur des individus rejetés pour leur délit d'opinion en vers la société. L'infirmité réelle et le handicap surtout mental, considérés paradis fiscal de faignants contrefaisant les lois de l'aristocratie. Paradis fiscal en fait de la médecine. Aboutissant en procédures envers des vidimes de ces agissements et exactions en séries prolongées des ans durant, procédures au cours desquelles la victime déclarées démente par ces services médicaux au nom d'une cabale au nom de la théorie du complot de fond plébéienne de populistes en campagne, et collaborateurs en familles entières de ce système totalitaire au nom de leur ignorance, est réexaminée par le moindre fait de ces exactions, si dégradante que cet examen exige le contumax, afin d'éviter une humiliation supplémentaire au à la victime, individu d'une population de personnes de son cas et de sa condition, traitée au cas par cas, condamnée de surcroit  aux assises et jugée en condamnée, éternelle coupable de la folie incriminée qu'au nom du faux témoignage et du faux en écriture elle ferait.

D’autre part : Meurtres et tentatives réitérées d'assassinat perpétrés sur ordonnance prémédités ou pas  détruisant les preuves des faits, usant de délais de justice saisie pour tentatives répétées de meurtre, assez longs pour que les meurtres sur cabale soit accomplis a bout d'une véritable résistance, passive ou active, des victimes Tests de trust véritable, à base de matériel nouvelle gamme d’appareils de soins nucléaires, de neurochirurgie et de neurologie, ainsi qu'arme ne nouvelle convention, avec à la clef enrôlement forcé du cobaye désigné pour travailler sous STO et étiquette de la démence mentale, sa seule rémunération et quelqu’argent de poche d’origine familiale ; l'argent gagné du profit des études ainsi pratiquées sur la personne désignée, revenant aux mouchard et surveillants de principe de cette étude dite médicale. sous peine de placement d'office si la victime de ce trafic en réseau, résiste un peu trop ce qui lui vaudra maintes représailles les et violences physiques, à actes de tortures pratiquées de main de ses néo-bourreaux à l'aide précisément des instruments d'étude, servant également à parties de tabassges, de snurf et d’instruments d’interrogatoire, ferme d'abattage et de travail obligatoire dites chantiers, mis sous couverture et surveillance médicale, psychiatrique, de médecins corrompus à très véreux, truands autant que proxénètes.

Tests scientistes, autant que sous nazis durant la dernière guerre mondiale dans camps de déportés, ou actuellement encore dans goulag russe, d’opérations du cerveau et de son système nerveux, pouvant s’attaquer là l’ensemble des fonctions naturelles et de leurs organes. Sous l’égide de la famille, consentante et elle-même participant à l’opération de cassage de volonté de la victime, par toutes méthodes de la torture psychiatrique, parties de viols pour leur amusement, et de contention pour leur satisfaction personnelle et par jeu de la violence gratuite, à main armée de ces instruments.

Avec devoir de prévariquer ainsi, prévariquer en termes de jurisprudence, signifiant corrompre. Opérant du cerveau à titre de simple rixe, perpétuelle, ou de tabassage ou de torture; pratiquée de main de particulier ou sur ordre de la famille, sous prétexte d’autorité. Ou de sévérité. Si le fascisme st une autorité paternelle ou paternaliste abusive et un accès de sévérité. Réseaux de Mères Folcoches et Pères Fouettards de la Sévérité de style Opus Dei, causant internements abusifs et rituels chez de leurs proches servis en tant que prisonniers d’opinion à la population, vieux barbons et Pères de morale de couvents, ne tolérant que vice, torture, sévice des plus vicieux, intolérance et séquestrations des petites filles modèles et garçons sages, ne les voulant qu’à leur image, issus du moule de leur procréation tyrannique, dictatoriale, amorale, abusive et d'obédience fasciste de tyrans domestiques et ménagers El Kaiser en personne dont il fallait le culte de l'être suprême, au complexe d'Oedipe castrateur récurrent à projection sadique sur le proche en question... Qui même acculé au suicide devrait se choisir soi –même dans l’autodétermination psychanalytique.

Prisonniers d’opinion repérés pour leur niveau de QI, servant de vaches à lait et à traire, de lobophages de lobotomies qui leurs sont réséquées à longueur d’année, souvent à leur insu, parfois dès que certains l’ont deviné, brutalisés, torturés de violences mortelles le plus souvent s’ils se refusent à laisser la porte de leur appartement crochetable, appartement devenu ferme d‘abattage pour qu’ils, hommes, femmes, soient prostituées de ces réseaux issus de familles instituant l’apartheid et du fascisme instituant sur ces personnes l’effet de race supérieure autant que sur juifs de la dernière guerre mondiale, qui travaillent en surcroit à des œuvres littéraires, scientifiques, journalistiques ou autres travaux de ces fermes de travail obligatoire, lobotomies donc retrouves dans sauces, produits de consommation courante y compris alimentaires, ainsi que de nombreux déchets hospitaliers, humeurs, vomissures d’eaux additionnées de traitements médicamenteux appropriés, ainsi que mucus de bébés réquisitionnés par le trafic, meurtris tabassés, maltraités jusqu'à la dégurgitation totale de leurs aliments dont purées, retrouvées dans soupes conditionnées congelées régurgités par totalitarisme causé par violences, causé par torture électrique ou autres types de tortures, déchets donc humains servant à confection de produits pharmaceutiques, tels lotions pour nettoyages de peau, lymphes servant à sérums physiologiques, etc., sans compter les soupes congelées à bases de vomissures et régurgitations de bébés et nourrissons condamnés à et utilisés par ce trafic. Ces personnes ciblées dépecées à vif d’organes ou lobes entiers de leur cerveau et de leur corps, organes récupérés pour marché de ces organes. Se méfier du fait que leurs graisses ne servent autant que celle des enfants juifs dans la période de l’occupation Allemande, à faire des savonnettes

Pères de familles dont le mien, en état de rationalisation morbide de leur cas et de la situation, pratiquant sur victime choisie, traitée en éternelle mineure, ou mineur, l’internement arbitraire à vie au domicile ou en pavillon fermé, au même titre que rouste ou raclée à prostituées privée. Ou danseuse nue qu’il se flatte et se plaint de devoir entretenir de l’argent de l’héritage et du patrimoine familial, revient cher et devrait disparaitre, prochainement euthanasiée. Leur victime, fille, fille ou proche, maintenu dans un état de décrépitude tel que la mort souhaitée paraitra naturelle et enfin survenue, pour abréger ses souffrances endurées, violée de maints corps de médecine dont ceux de la psychiatrie, de la neurologie et de la neurochirurgie y compris expérimentale et scientiste, de médecins corrompus d’une mafia de la sphère médical marchant avec le système de corruption nés pour les rites de jalousie criminelle de ces pères prédateurs en déprédation envers un proche pouvant reprendre sa liberté en trouvant partenaire, ne serait-ce que cela, pères pouvant de cette jalousie maladive haineuse dont ils se vengent sur autrui pousser au meurtre sur enfants, parent, tous proches, ou appareil médical...

J'engage les personnes encore lucides et responsables de ce pays, de l'occident, et dans le monde,  à cautionner, par une action concertée et qui tient de l'engagement personnel, cette motion de censure contre l'usage des électrochocs, de leurs contrefaçons et techniques évoluées dérivées de la neurologie, à titre préventif et  à titre de soin, ou de torture étatique psychiatrique encore en usage de nos jours, ainsi que contre l'usage dérivé et détourné de sa déontologie de la neurochirurgie à tire de soin résolutif de la démence. Constituant prisonniers d’opinion et politiques, sachant que toute prévention est rarement utilisée pour éviter cet anéantissement qui pousse le plus souvent à la démence et la dangerosité, que  le chiffre augmente du nombre d'internements abusifs qui usent de ces stratagèmes afin d'étouffer des affaires de corruption, d'abus de pouvoirs autant des milieux hospitaliers, secteurs psychiatriques et cliniques ou cabinets privés, que ceux des classes sociales et enfin des états  qui règnent sur ce territoire occidental.

J’engage à cautionner cette motion de censure contre la torture psychiatrique et médicale exercée au nom des apanages de la fonction, au même titre ou en tant que soins, dans les milieux publics et privés, contre la constitution de prisonniers d’opinion et d’Etat au sein des populations, sous la pratique des internements abusifs et de l’étiquette employée à cet effet de la folie. Secret d’Etat niant les droits du Code Civil sauf ceux assurant le dictat de l'Etat à l'encontre de ces personnes fichées et ciblées, tous droits des l'Homme niés, bafoués, leurs droits aliénés. En France, dans le monde et en occident.

P.S. :

Le refus de présenter et d’user de cette motion de censure en tant que pétition tient au fait que je refuse que tout défenseur de cette motion délivre son identité et sa signature, pouvant et cela est un risque évident, devenir la cible du plan de surveillance étatique des libertés de conscience, faire l’objet de représailles du pouvoir et s’avérer fiché sous le Plan Edwige, en préparation depuis 2005.


Sévices, violences aggravées, voies de fait, intimidations, passages à tabac policiers, coups et blessures, exactions, répression à l'étranger, violences conjugales et à domicile si reconnues, enfance martyr, violences sexuelles attouchements et lésions corporelles, brutalités, opérations psychiatriques du cerveau et électrodes, dégâts matériels maltraitance et plaies, surinfectées, surinfections à suppuration, ulcérations à points de suture et autres déterminismes concernant les séquelles. Précisément des actes de tortures infligées.
Simulation par électrodes de l'effet de pénétration de baisers profonds par la douleur dans les zones superficielles érogènes du cuir chevelu et du crâne, jusqu'à la destruction de zones cérébrales profondes sous ces zones érogènes. Par viol avec violences.
Pour mater il y prennent le temps, 20 ans s'il le faut, infligeant électrodes et méthodes répressives électriques et maltraitances voire mortelles d'autre nature, jusqu'à épuisement absolu du sujet qui ne se laisse que faire désormais, quitte à accepter que l'on l'exécute, pris d'accès suicidaire, face à la douleur insupportable cause de la menace de folie qu'il sent venir de façon imminente sous les coups et blessures constants. Jusqu'à la survenue de l'accès épileptique dont chaque crise peut s'avérer mortelle si non suivie de près par personnel médical expérimenté, le sujet pouvant avaler sa langue, s’étouffer avec ses rejet gastriques, ou se cogner dans l’épilepsie jusqu’à se tuer.. Le corps trop endolori et horrifié se débattant et se lâchant, pris d'épuisement tant la décharge d'horreur et de légitime défense contenue, d'instinct de survie contraint, aura été puissante sous les tortures, après des années de course à l'emploi et de concours de dératage constant, pour une raison ou pour une autre, pain actuel des français, endommageant jusqu'au patrimoine génétique de la population. C'est dire si le dommage corporel du corps humain de chaque individu du pays est puissant. Celui qui en survit dit guéri de lui. A peu près et pour un temps. En plus du médicament requis pour s'en remettre et s'y préparer

Scènes de violences policières psychiatrisées systématiques d’état policier institué depuis les années 50 en harcèlements obsessionnels et obnubilations sous peine de placement psychiatrique. Tout contre pouvoir placé au cas par cas sous anesthésique et tabassages au knout chimique et électrodes à usage thérapeutique, usitées pour opérations cérébrales répressives jusqu’à la rébellion et le délit d’opinion bien vite par ces méthodes matés, ou effet de courbe de gauss. Le mal ainsi créé autrement dit la gauche rebelle au gouvernement maintenu jusqu’à sa disparition radicale et définitive sous la répression qui l’a causé. Sans qu’aucun courrier d’avertissement de toute forme de procès ne soit envoyé à la victime de ces procédés. Pures pressions physiques ;
Le nazisme tenant aux nazis et la psychiatrie, aux psychiatres, puisque je me situe dans la condamnation à l’immobilisme de l’affaire, tabassée jusqu’à tenir debout de persécutions supplémentaires dont le Tranxène et le Prozac. Après la période de prostration narguée de violences physiques continuelles jusqu’à la réaction, à réséquer, révolte qui suit bien vite matée, d’électrodes et séances de groupe électrogène dans les zones pariétales, ablavées en partie . L’infirmité qui suit niée, promise au silence absolu sous ce pouvoir absolu.

Dénommés troubles sensoriels ou des sens, hallucinatoires chez elle, que la femme retourne à son sexe de bête qui devra rester sa seule ouverture au monde et son nombril, sous peine de devoir sentir la bête fauve sous les électrodes et le viol qui s’en suit, le sévice ordurier de l'Inquisition qui l'attend, attendu que cette seule et unique focale des pensées auxquelles le machisme devra l'assigner, la sauvera si elle ne l'indique, de sa pensée pacifiste sur le monde, prédicateur de sa perte sui elle se refuse à ce viol supplémentaire. Si elle ne tient sa science infuse qu'à l'ingestion forcée du sperme et de la semence d'intelligence de l'Homme qui la rend ainsi à l'Homo Sapiens, en sus de celui de De Gaulle, elle prendra en l’invaginant dans son œsophage-vagin la semence lyophilisée ou cachet du psychiatre géniteur qu’elle aura dans son estomac-utérus et dont elle renaitra après les séances de torture électrique comme l’on renait de ses cendres crémées, tout homme de cette trempe traité en femme.

Son opinion, le long réquisitoire de son éternel combat ablavés, amputés, réséqués, relobotomisés dans la sale la frustration la douleur, la souffrance poussée à son point ultime de cancérisation, et le manque d’hygiène de sa prison portative, son véritable domicile de nouvelle sous-race de juive errante. Son amour jugé érotomanie, ses coups de foudre électrocutés pour crise d’érotomanie aboutissant à la névrose obsessionnelle schizophrène.
Pratique banalisée des électrodes qui rappellent le groupe électrogène des années 50 à 60 en vogue dans les mœurs des commissariats, dans toute dictature, durant les temps de la Gestapo.
Fait de la répression qui doit rester personnel, individualisation de la répression, envers personnels administratifs et autres artistes de même genre que les artistes d’avant-garde et intellectuels de gauche qui refusent d’entrer dans le système, envoyés au billot de la neurochirurgie sinon au bucher des électrode.
Femmes, hommes, enfants déportés dans leurs foyers sinon en lits hospitaliers, passés par psychiatres écarteurs (de cuisses) de filles qui se refusent. Victimes condamnées aux basses classes, à leur intellect et types de rémunérations, isolées dans la population en premier lieu, choisies, évitées de tous lieux, leur vie rendue infernale des rites de l’internement, à domicile ou en pavillon, clinique et centres médicaux, puis violées sous les électrodes qui les déflorent, puis le usent sexuellement également, séchée ensuite ou fin prête pour leur mari présent ou avenir, sinon, déflorées au vilebrequin, bref trépanées. Filles forcées contraintes de vivre leur nuptialité sous ces brodequins, leur extirpant plaisirs sexuels ineffables dits Délices de Capoue, dans la douleur et la souffrance les plus profondes qui soient infligées de ces factions de Faisceaux nazis que sont des équipes entières de violeurs videurs de lycées et collèges à l’occasion, forceurs de filles, de portes de maisons, d’appartements et HLM, violeurs en collège et réunion, soudards de première en tournantes médicales dites de principes. Violant hommes, femmes, enfant, sodomisés jusqu’au dernier pore. Qui ne l’auront que perçu dans leur moi profond, ce genre de viol thérapeutique, équilibrés du repas équilibré, sucé en sus. Pour le bonheur des français, qui se repassent la soupe dans le casque de l'Allemand du STO depuis les années 40.

Il est proscrit, cet égalitarisme, la hiérarchie soignant–soigné ne manquant pas de piment, elle perdure, indurée de manifestations sordides, qui prêchent d’autres devoirs civiques, le manque à gagner d’une profession qui autrefois élevait sa notoriété jusqu’au bénévolat. Dans ces milieux, le bénévolat consiste à vous faire rôtir sur le bûcher des électrodes, mort ou vif, pour bien vous agenouiller devant la réflexion du Père ou du larron voisin, à l’heure de la décapitation. Parfois à l’heure des braves.
Quand ils n’ont cru que vous chatouiller, même si cela pue la moelle en feu à vous étouffer de l’odeur dans votre appartement. L’électrocution pure et simple du corps entier à partir du cerveau. Jusqu’au coma, épileptique ou pas. Car il est méconnu peut-être que la crise d’épilepsie cause l’orgasme, le vomissement, la défécation la miction et la chute grave de tension. Jusqu’au coma. Certains mal intentionnés s’amuseraient de ce phénomène…
A vous le refaire toute une vie si vous ne l’appréciiez. L’on peut parler de miraculés de la Science, pour ceux qui ont osé ou pu s’en sortir indemnes.
Baisse du niveau national des personnels médicaux et infirmiers, tant et tellement que ce regain de l'ignorance en France, devenue inculte, nécessite l'import autant que de bêtes de somme, de médecins et infirmiers, infirmières étrangers, sollicitant l'étrangers pour ce fait, plus cultivé que la France en ce domaine afin de fournir les rangs du pays en personnels aptes et capables d'exercer dignement leur métier.. Certains des médecins français dans une connaissance parfaite de l'anatomie du corps humain, et dignes du toubib charcuteur des OAS et nazis, tant leur charlatanisme tient au fait, embauchés par pis aller par un état français qui par défaut de personnel plus apte, les a tout de même diplômés de diplômes de complaisance, créant un certain privilège de caste de vieux seigneurs et un certain scientisme de caste s'attribuant les privilèges de caste de l'aristocratie, envers une sous caste de serf en servage leur témoignant notoriété gains et gratitude, clientèle qu'ils se fidélisent à vie des trafics précités, charlatanisme scientiste.
Individus, hommes, femmes, ayant lutté contre toute une vie contre l’étiquette et appellation de l’hystérie pour le simple fait de la masturbation ou du plaisir onanique, se retrouvent, frigides et castrés définitivement ou pour longtemps de leurs fonctions sexuelles, pris par les méthodes anti-hystérie de l’hôpital psychiatrique, qui enfreignant les lois, excisent et tuent systématiquement à vif le réseau nerveux sexuel, préférant s’en rendre au système nerveux des organes génitaux plutôt qu’aux zones cérébrales en étant le commandement, isolant ces zones des organes qu’elles concernent, et dont enfermés et traités à vie pour absente totale de vie sexuelle et crises d’assertions, délirium trémens, agitation.
L'énervé en question ne devant s'en prendre qu'aux services sociaux s'il y a, ou services médicaux qui s'en feront paraît-il de parfaits avocats. Arraisonnant plus pour arraisonner aux groupe électrogènes, (implantés s'il le faut jusques dans les plaies fraîches ou de dents excisées de leur mâchoire, plaies sanguinolentes considérées celles d'un clitoris ablavé à torturer aux aimants à distance et électricité pour que le problème de l'excision dans le Maghreb fasse plus mal ou fait des tortures de l'Algérie.) sinon convaincants uniquement par le raisonnement envers les arraisoneurs.


Electrodes. Servent dans clitoridectomie directe, existe une forme dérivée indirecte encore de nos jours en vigueur dans centres hospitaliers et cliniques privées, à titre de prévention de la dépression et de l’hystérie, innervation du réseau nerveux de l’arbre des ramifications nerveuses de l’organe clitoridien par tabassage de ce réseau au poste à soudure jusqu’à le paralyser à vie ou le rendre non fonctionnel. Voire le tuer, net ou à la longue et ils en prennent le temps. Torture encore de nos jours en vigueur dans les hôpitaux psychiatriques français, infligée depuis le Moyen Age dans les asiles d’aliénés, au nom de l’hystérie de la femme et de son clitoris à cette époque là trouvé « en massue » tant auto-torturé de maltraitances et tortures induites, voire, cancérisé. D'où chez certaines enclines (à force d'exaltation maintenue et d'états seconds prolongés par divers procédés), à se mutiler cet organe du plaisir que la médecine réserve à la fillette, ainsi que multiples zones érogènes dont celles du visage, d’où le port de la ceinture de chasteté hygiénique, encore récemment en vente dans pharmacie.
France mère de l'individu, pavée des pavés de mai 68 teintés du sang versés de nos jours par ces brigades rouges, par aussi les milices aryennes, et parsemées de rêves noirs. Ami, l'ami cherche encore les amis.
Opérations du cerveau pratiquées sur individus pour leur délit d'opinion, à l'aide d'instruments de torture, opérations infligées à titre strictement répressif. Ou lobotomies de type neurologique. De Deutsch Hôpita
PO, ou HO, placement d’office : mesure temporaire de torture sur individus isolés de la société pour ses engagements et sa liberté de conscience en délit d'opinion, constitués prisonniers d'opinion par vox populi saisissant l'Etat.Méthodes. Pratiquées jusqu’à ce que le corps du dissident lui soit son propre traître et le trahisse, Judas en soi, que son propre propriétaire ne puise plus garder sa confiance en lui. Possédé d’un corps animal traître et traître à sa patrie qui se retourne contre son maître dans la révolte du Maître et de l’Esclave, dans tous les tours et détours de sa et de la nature, dont celle du cancer, de la faiblesse, de la tare physique, le corps devenu prison individuelle portative, qui empêche, et lutte contre, la liberté de conscience et de pensée. Sport de milicien d'y parvenir en son ennemi.

Je revendique, réclame, préconise, depuis toujours, l'interdiction, l'abolition des méthodes de la torture médicale précitées, et de la torture électrique constituant à l'heure actuelle la torture psychiatrique encore en vigueur depuis la création de la psychiatrie.

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