mercredi 20 janvier 2010

mail Orange

 Objet : Mobilisation contre les dérives totalitaires de la pratique médicale-bis
 Je vous adresse ce courriel concernant les rites de la torture totalitaire administrative bureaucrate et judicaire psychiatrique en France, tentative de redressement d'une médecine déontologique de la santé mentale non initialement destinée à assurer les répressions d'un pouvoir de dictature sur le pays, le « flicquage » constant et quotidien d'une société policière et d'un état marxiste dont le goulag, récupéré par les pratiques médicales d'une psychiatrie de l'extrême droite, de la gauche marxiste pro-soviétique, est une résurgence du passé sans scrupule et sans façon, l'extrême droite assurant le pouvoir CRS ou KGB à camps mao à domicile de la psychiatrie, autrement dit, l'existence de secteurs de santé mentale goulags véritables ou prisons psychiatriques étatiques de même type que les prisons privées de l'Amérique Bhushienne, où s'y pratiquent des chaises de contention à tortures mortelles, dérapages de violences policières meurtrières, à but de déstabilisation de la gauche, de certains de ses penseurs dans un but politique et privé d'instituer la torture sexuelle, physique et mentale non officielles encore mais présentes en tout lieu de détention, sinon au sein de tout couple et de toute famille, dans un but de régner sans contrepartie, ni contre offensive, ni contreculture que ce soit .





Ce courrier autrement dit mes compléments de plaintes suite à une plainte que j'avais en prime abord déposée auprès de votre tribunal, et suivie de représailles depuis, courrier concernant l'usage de la torture psychiatrique à titre de soin dans les hôpitaux, secteurs psychiatriques, milieux protégés publics, privés, à domicile inclus, je poursuis ma tâche d' informer que ces pratiques médicales et dérives totalitaires qui s'apesantissent, autant qu'années de plomb, sur la ville et la région de Montpellier, autant que sur ma personne. Il serait urgent à mon avis de considérer le problème qui passe vite inaperçu, de la discrimination raciale qui persiste depuis les années 30 et la montée au pouvoir de Hitler, envers l'étiquette de la démence, qui ainsi que je vous l'ai déjà mentionné, perd de sa validité, et peut servir des pouvoirs totalitaires déjà en place, usant de cette étiquette dans la constitution de prisonniers d'opinion, en tous pays, en France surtout et également, dans le monde intellectuel et artistique, méthodes de persécutions destinant ces faux malades mentaux, à l'analphabétisme populiste requis, sinon le décès sous des tortures des plus arbitraires, physiques, mentales, extrêmement douloureuses, ainsi qu'envers ma personne, des bâtiments de force pratiquant la torture létale et des violences policières très graves, dont la peine de décapitation sous de violentes décharges électriques le plus souvent d'appareils électriques à détenteurs, dont les détonations vont jusqu'à celle d'une arme à feu, assez prolongées pour atteinte le degré mortel d'électrocution, autre forme de peine de mort du casque électrique américain, trépanations et séances de viols correctifs et décharges électriques en surnombre pouvant conduire au décès, imbibition forcée des glaires, salives, lubrifiants séminaux retirés de ces prisonniers ou issus de déchets hospitaliers prélevés sur morts de leur famille, causes en partie surinfections non traitées, obstruction systématique par intrusions constantes au domicile de ces personnes traitées sur place par abus de ces départements et secteurs, en malades mentaux eux même victimes de ces dérives totalitaires des formes nouvelles de la torture médicale, sur les lieux de leur résidence et sur tout lieu, public, privé, de leur passage, déculottages intempestifs, électrodes en petits comités et en public suivis de partis fines publiques ou non et orgies à défécations et vomissements causés par des décharges électrocutant grièvement le cerveau, pouvant faire prescrire l'innervation des nerfs grièvement électrocutés, leur extraction, voire nerfs sciatiques, usage illicite de décharges d'électrodes à titre de sévices et punitions corporelles, pratiquées sur la quasi totalité de la surface du corps, sur la surface des jambes, les genoux, les pointes des coudes, zones sensibles du corps et très électromagnétiques en soi, fixation sur le devoir de lobotomie des zones arrières du crâne, pour une lutte insensée contre la dolichocéphalie, devant rester depuis les nazis, brachycéphales, mutilations des zones intellectuelles du cerveau, électrocutions des parties génitales, parfois dans un but certain de proxénétisme, à titre d'exemple, mon dernier appartement servant de maison de redressement et de ferme d'abattage pour intellectuelles devant sous ces tortures, s'adonner à la libre prostitution, en réponse à l'un de mes derniers courriels, les visites incessantes suivies d'élèves médecins leplu ssouvent ivres, de neurochirirgines étudiants mon cas en vue de résection lobotomique, de médecins parfois psychiatres ou simples généralistes dévoyés de leur déontologie, entrepreant à but soit répressi, soit dans un esprit mercantile, soit par amusement sur femme entreprise en femme de joie, sous l'abus de cures d'électrodes, dont celles dites cathodes, posées le long de la moelle épinière, sous les fessiers, dans le haut du dos, l'arrière et le côté du cou, dans les deux cervelets dans une matraquade des zones mortelles du corps, pouvant servir de cible dans des exécutions sommaires à l'occasion de virées de pavillons de force, violences assimilables à celles qui s'infligent à l'étranger, tout travail intellectuel m'étant de ces provocations et scènes de viols, tortures sous loi du silence, condamné. je dénonce l'usage de boucliers électriques plaqués contre les côtés de la face, ou électromagnétiques, plus douloureux encore, et générant un supplice infernal tant violent, pouvant causer des lésions graves, nécessitant la neurochirurgie dite à ce moment là récupératrice des dégâts causés, en fait prémédités bien avant l'usage de ces boucliers, sinon implantés, en vigueur dans certains pavillons, tenus par personnels policiers en uniforme bleu marine, les médecins de ces secteurs acquis à la cause aryenne, et appelés afin de limiter les QI de la ville non cadrés par l'université, ou animés d'un esprit libertaire nécessitant dans ce cas, l'appel de ces services, dont chacun peut se servir en tant que SAC.



Je signale également, des partisans apparemment de factions extrémistes se revendiquant des faisceaux, ou de la Ligue rouge, comunistes pro-soviétiques staliniens obsessionnels d'un secteur de santé mentale, militant pour l'institution sous légide de la psychiatrie, de bordels rouges privés à chambres de sadomasochisme médicalsiées en appartement privé pour l'instant en sous-marin, doté de visites répressivs des armes de la psychiatrie, dans un but de faire taire les vicitme, si sous les tortures sévices interrogatoires à électrodes à vif, elles ébruitaient, en expéditions punitives suite à mes dépot de plaintes et su rl'iniitaite de mon propre père initiateur de cette dépravation dans ces secteurs médicaux, en relais incessant d'équipes acharnées sur mes lieux de vie, envers mes libertés de pensée, équipes qui visitent sur appel délateur sectaire mon domicile, font vivre un procédure illicite de type placement d'office, sans réel placement officiel, dans un but d'euthanasie que ces secteurs appelés en renfort préconisent, envers tout ennemis de leur opinion, luttant en faveur de la dépravation, l'institution du bordel chez les femmes émancipées et culturelles, le devoir pour elles (substituées sous l'étiquette de la prétendue démence, à ces fraudes et trafics dont de drogue), de prostitution, le devoir d'ébriété, de quelque cause qu'elle soit, drogue, alcool, coups, blessures, pratique illicite de déchaînements hospitaliers, cures ad mortem d'électrodes, sévices concernant la chair, obligation à l'imbibition forcée d'alcool, vin versé au goulot et alcool à 90° ou merphène imbuqué de force, dilué dans eau minérale ou de ville, en vue de prétendre aux soins décrits et interventions multiples au cours du jour et de la nuit, innervations du système nerveux, condamnations à mort arbitraires, en sus de celles exécutées par les secteurs aryens décrit plus haut, dénommés, "l'inspection". Cassages de bras cassés en deux autant de baguette de pain sec sur genou, coups violents assenés sur dessus de cranes et nuques, pour ma part sur intervention d'un père incestueux ivre en délirium trémens le plus souvent quand il entre, sans effraction dans mon domicile, de façon fréquente et quotidienne, après acte de serrurerie d'un de ses complices, père crapuleux et fabulateur, démagogue acquis à cette cause de l'orgie répressive à mortelle en famille, entre collègues, ramené ces temps derniers ivre mort et séparé par la force d'intervenants sérieux l'ayant surpris me violent et me violentant en état second de toutes ses forces, à son véhicule faisant le planton la journée ou la nuit durant devant mon dernier domicile, croyant devoir me surprendre au nid avec mon denier amant, qu'il souhaiterait lobotomiser et détruire autant qu'il me l'a fait depuis mes premières amours et depuis que je suis née, jalousie de père en état de faux entièrement parti dans sa forclusion d'œdipe roi, me croyant encore à ce jour croyante donc à lobectomie, ou en la compagnie d'anciens amis ou concubins que j'avais chassés de ma vie pour leurs viols et violences, outrages et envies de prolonger ces pratiques envers la personne, ou lui dans le devoir de corriger le moindre de mes écrits (étant en sus d'être artiste, écrivain) et œuvres d'art qu'il perquisitionne à tout moment, des lobotomies hebdomadaires à séances d'électrodes (faisant le tour pour me les infliger, des cliniques et polycliniques privées, ousecteurs hospitaliers où on le remet afin de devoir s'expliquer sur ses comportements, toute tentative de ma part, de plainte à l'encontre des ces fraudes et abus suivie de ces représailles), et orgies rituelles les précédant, qu'il organise et m'inflige sous peine d'arsenic dans mes boissons, ce père donc et selon faits rapportés, décidant de vivre avec moi à temps complet autant qu'avec ma mère décédée qu'il voudrait et essaie de recréer en moi de ses salives et baves extirpées, qu'il me fait ingérer, me lavant lui même dans mes comas qu'il me cause de ses maltraitances, me faisant surveiller pour son ignorance « de ce qu'il se passe chez moi » par des couples logeant au dessus de mes appartements, ou vieilles femmes maquerelles d'extrême droite violentes et faisant partie de sa vie, logeant autour de mes domiciles et lieux de résidence, passage ou déplacements, véritable Stasi de corbeaux démarcheurs et indicateurs renseignant autant auprès de lui qu'auprès de services médicaux, de l'inspection et des forces de police, qu'ils appellent, sur les scandales causés par ces pratiques douteuses de la psychiatrie, défrayant la chronique de ma vie dans ses moindres détails dans un style universitaire étudié, et choisis pour cela, lui faisant protéger en déni de son mal, le démon de midi et l'alcoolisme doublé d'une tendance à la démence (démence qu'il m'impute par transfert de personnalité et déni de la sienne, lui par peur d'être interné ou incarcéré, ainsi qu'en entrave à la justice que je réclame envers ces crimes, faisant marcher le marché de la prostitution à cette encontre) due à une hépatite C pratiquement en phase terminale, son foie à plus de 60% de fibrose, en sus de revanches à ses douleurs naturelles très violentes inhérentes à des lumbagos, nerfs sciatiques, cruraux, et pénitences dit-on pénales augmentant ces névralgies, destinées à le punir de l'emprisonnement constant requis de ces douleurs hyperalgiques pour ses fautes, doublées d'acoquinements à des médecins protégeant ce type d'inceste à rites pervers violents et dangereux, lui me faisant passer pour sa feme et me contraignant sous les électrodes à un vieillissement prématuré prétexte à des soins supplémentaire et cures de jouvence t rajeunissement au lait et au œufs, omnibulé par les violences des pères iraniens de régimes totalitaires dont ceux des SS, talibans et du FIS. Mon appartement devenu leur boui-boui pour fêtes rituelles de ce type nostalgiques de Staline et d'Hitler, sous rémunération en guise récompense, d'une allocation adulte handicapée doublée d'une pension d'invalidité pour m promotion à ce statut, en cause, l'infirmité qui m'a été causée de ces fraudes, viols, avortements illicites sous la torture, (violentée, tabassée aux électrodes et électrochocs ,électrocutée et cognée parfois jusqu'à la perte artificielle de l'enfant, avec surveillance constante des dates des menstruations, coups s'il s'avère que je ne les ai pas, et dite en aménorrhée due aux excès de neuroleptiques ou à une grossesse, règles parfois causées artificiellement), mutilations bien trop fréquentes pouvant attenter à ma survie, le cerveau l'organe vital du corps par excellence, et tortures, m'obligeant à un statut non-dit de prostituée d'État autant qu'en Allemagne encore de nos jours...

Toute tentative par témoins outrés des transes meurtrières et actes de proxénétisme de mon père, de l'interner en pavillon ou maison de retraite, suivie de représailles à électrodes et mutilations cérébrales, violences dans ce courrier décrites, de ces pavillons et gériatres appelés auxquels il aura été confié, renvoyés à mon domicile me corriger sous astreinte d'internement officiel, sous le prétexte que le père n'avait qu'un peu trop bu. Lui ne reconnaissant que parfois ses torts et sa honte de s'être tant cédé, dans ses parties de monte entre amis et de monte à cru à actes de pédophilie dont violences sur mineur notamment sur ma personne, de ma naissance à ma vie adulte et répétant ses mots d'adieu sur ma future tombe voire urne funéraire à laquelle il me promet, face à mes morts apparentes, systématiquement et sans vergogne relaxé de tout policier et médecin, parce que constaté ivre saoul.



Autant que dans tout exercice de ce type de proxénétisme, affamement de la victime en vue des maintes opérations du cerveau, toute nourriture consommée aussitôt régurgitée sous électrodes, dans l'interdiction de se nourrir par soi-même, et la soumission depuis environ avril dernier, à la suralimentation forcée à base de viande de porc destinée à me rendre d'aspect physique porcin et leur truie faite de porc dont on me veut la hure, sinon trogne à air aviné confectionné de coups et électrocutions, produits rubéfiants très carminatifs contrefaisant la cuisance d'ordinaire due à l'alcool et le nez couperosé, tuméfié, de l'ivrogne, condamnée à la défiguration (confection de cernes par électrodes sur les yeux et orbites) et au physique lubrique à obscène qu'ils me revendiquent, par également intubation de nourritures inappropriées à ma santé, violences caractérisées assermentées nécessitant l'intervention d'équipes payées pour me récupérer autant que possible, mon portrait refait systématiquement à chacune de ces parties à thème de vieux cochons et vieux salauds, (ces temps-ci l'occasion de la fête anniversaire de mes 50 ans), fêtes immondes jusqu'à leur assouvissement, quoique, nymphomanes de ces plaisirs juteux du lucre, ils persistent encore aujourd'hui en ce genre de parties de snurf, monstrueuses dépensières en argent et dessous de table, sur fille ordinaire ou de bonne condition « qui sans ces faits aurait pu rester aussi belle qu'Arielle Dombasle », ou l'ctrice inerprétant le rol de Manon des Sources, mon physique d'ordinaire, sans ces sévices, de même type que celui de cette actrice, mon niveau intellectuel repéré depuis l'enfance pour ses excellentes capacités et donc victime depuis des outrages ci-décrits au génie des enfants précoces et surdoués, présentée pour ce fait à ma mère dès ma naissance en tant qu'anormale, livrée à leurs actes de violence, tortures psychiatriques, maltraitances physiques et mentales et actes de bestialité de bourreaux, me promettant en tout temps et tout lieu au décès qui je vendais la mèche, ébruitais l'affaire d'où l'intérêt de me confier à la psychiatrie très tôt, afin de me soumettre à ces pratiques tortionnaires devant faire taire en sus des parties de genre, pierre à deux coups, toute lucidité et prise de conscience de leurs actes et tours de vaches infâmes, consacrant ma vie entière à ce rôle de prostituée et fille forcée de cette pratique illicite de la médecine à publicité mensongère.





Assoiffement, consommation forcée des déchets par alimentation forcée,domicile devenu leur site de sauteries récréatives de ce style, à coups de beignes et mornifles, débourrages de prostituées enchambrées chez soi, soumises à la loi du silence sous l'électrode temporale pouvant être fatale, commise jusqu'à l'odeur horrible de nerfs brulés jusqu'à leur réduction en corne grillée, et a cuisson des zones cérébrales touchées, la demi-cuisson du cerveau et de l'organisme donc, jusqu'à l'odeur de viande frite, et du sang demi-frit, formes de décapitations partielles ensuite puis par tranchet, autrement-dit lobotomies si résilience encore même faible, et si résistance de témoins scandalisés de telles pratiques, condamnation à des overdoses d'injections retard non officielles et autres traitements médicamenteux servant dans ces cas, à assermenter la fille, et affaiblie ses défenses mentales, puis en viennent encore et systématiquement à la mutilation cérébrale de grandes zones du cerveau, le dessus du crâne après décapitaiton du dessus dea boite cranièn, tranchement réputé sur singes en Asie, dans des fins de consommation de leur cerveau cru, l'arrière de la tête, puis un lobe entier temporal dès leur repousse ainsi que déjà indiqué,cerveau confectionné en cerveau lait, à l'œuf pâtes en gratins et au cochon, rebords brûlés de pain grillé récupérés durant mon enfance et ma majorité, avec pouvoir absolu de me forcer à terminer tout relief de repas que j'aurai laissé, soigneusement conservé depuis afin de me les faire ingurgiter dans les cas d' attente au tournant, (sous prétexte de me rétablir avec en sus de nombre et multiples injections de produits allergènes cuisants), avec tout insecte que j'aurai tué, ainsi que blattes trouvées chez autrui ou dans mes anciens logements, très cancérigènes une fois écrasées, dans un but de me cancériser, toute autre nourriture proscrite jusqu'à la cancérisation, qu'ils souhaitent cérébrale afin de mieux officier et m'éliminer définitivement, se faisant toute une fête d'organiser et préparer cette trépanation hebdomadaire jusqu'à masturber assez efficacement pour me causer orgasmes et coït, piétinant ma viande rouge lors de sa cuisson, pour la mettre sous l'eau et laver des impuretés de leurs semelles, chargés de me la laisser ingurgiter ensuite, n'ayant plus de moyen autre de survie, quitte parfois à me faire des électrodes pour me sauver des empoisonnements causés et ainsi purger mon organisme, il fallait en accepter l'efficacité, des ingestions forcées ou de ma libre initiative car ignorante des additifs obscènes et vomissures que contenaient ces aliments, soumise aux anesthésiques à longueur de temps, nourritures d'aspect sain qui m'auraient pu être fatales, dont avec arsenic, ou ingérées simplement en état d'affamement mortel.



Scènes de tortures ignobles, ou la victime, en l'occurrence ici moi-même, promise à l'asile psychiatrique et donc au cercueil qui m'y attend, devant faire taire définitivement toute tentative de dénonciation de ce proxénétisme, à peu près tout secteur médical de Montpellier, affilié à cette pratique illicite de la médecine, les médecins des pavillons psychiatriques dont le psychiatre qui m'a été infligé depuis de nombreuses ans, couvrant de mes privations de liberté et obligation à un traitement neuroleptique bâillon de ma lucidité envers les faits, ou le placement en clinique devant faire taire ad mortem l'affaire de proxénétisme à scènes de meurtre et certains requins de la médecine privée spécialiste ou généraliste, rituels dans le rôle véreux de praticien souteneurs. dont certains n'hésitant à faire demande de l'inspection, qui use du bouclier électromagnétique, jusqu'à la torsion des intestins, ainsi que cela a été pour mon cas, ce qui nécessite des examens humiliants à sodomie médicale dans des services annexes, qui vivent sans prétention aucune, des lésions, infirmités causées dans ces services, ou sous placement illicite. Je ne puis que vous suggérer de faire en sorte si vous le pouvez que ce problème de la violence à domicile, parentale, soit abordé vraiment, afin que les personnes victimes ne vivent un cauchemar supplémentaire sous les tortures des plus violentes en internement, fait logique de toute plainte contre ce système de protection de l'inceste et des violences sinon conjugales, du moins à domicile. Parents bourreaux d'enfants devenus ensuite adultes, condamnés ensuite à la gériatrie, sur la demande d'un proche ou du parent bourreau en vie, si lui-même menacé d'être soigné en gériatrie pour sa démence avérée systématiquement respectée en tant que lucidité, substitution systématique également à ces multiples tentatives de témoins et intervenants, (parfois des médecins eux même témoins des actes de folie du père, appelés sur place), de soigner ce père, substitution faite par les pouvoirs public d'un ou plusieurs médecins hospitaliers ou chefs de secteur impliqués voués à le relâcher dans un but de faire taire toute plainte encore possible de la victime, moi-même, bouc émissaire et tête à claques de ces bourreaux traitée en juive selon les lois aryennes de antisémitisme dont celle de la substitution, limitée dans ses capacités et aptitudes, à la personne vulnérable incapable majeure, voire, confiée entre temps, à des pavillons et secteurs médicaux très discriminatoire, peu scrupuleux envers l'étiquette souvent injustifiée d'adulte handicapé, pavillons dans la phase ultime du plan d'élimination, d'extermination physique et mentale de la personne tant que sa lucidité restera présente...



A cette occasion, je me permets de vous réclamer une action en faveur des filles garçons, hommes et femmes adultes victimes des violences conjugales de pères de famille incestueux, jaloux, violences pouvant se révéler aussi meurtrières que celles causées par les violences conjugales. L'enseignement laïque pouvant receler autant de tortures discrètes ou non commises dans le silence de la femme battue et de l'enfant martyr, dont je peux dire que je suis, enfants dès la naissances condamnés à des doses de séances de torture électrique qui les ont amenés, autant que moi même, à des réanimations quotidiennes, sur les lieux des tortures, le plus souvent, le domicile conjugal des parents, qui parfois, persécutent en famille l'un de leurs membres, incitent la médecine à les corroborer, à appesantir le poids de la torture médicale, psychiatrique, parfois, dès la maternité. Répressions, jusqu'à l'emboutissement des os de la boite crânienne, voire du visage et du pourtour du front, des yeux, n'hésitant à avoir recours aux lobotomies sur célébrités de l'intelligentsia (cf. la forme crânienne de Mr Duhamel, et autres célébrités du monde culturel, de celui du sport, et de la jet société); Milieux sordides de l'éducation laïque, aussi pédophile que le monde chrétien, adonné autant à l'orgie répressive et publique qu'en petit comité sur nouveaux-nés, durant également leur enfance totale soumise à ces tortures totalitaires, jusqu'au décès, le plus souvent, aux alentours des quarante à cinquante ans, date anniversaire du décès programmé des trisomiques dont le niveau est requis pour plus d'efficacité des soins et pratiques illicites de la dégradation totale du système nerveux et du bon fonctionnement cérébral,,date que je viens de passer dans un cap de mise à mort de mon corps et de ma vie. L'éthylisme dans ces milieux médicaux et de l'éducation, à parties fines de même type précédant la lobotomie rituelle dès la repousse des lobes amputés des du cerveau de leur proie, parties à trois, autres ou plus faisant rage et allant de pair avec celui d'infirmiers en équipes, soudoyés en bakchichs, affiliés également à ce type de parties de torture, autrement dit, parties de snurf, psychiatrisées, le plus souvent avec scènes de mise à mort pouvant tant infligées à longueur de journée, aller jusqu'à l'effet de casque électrique Américain, en sus de tentatives vaines dans mon cas d'amener au suicide, sinon api ingestion forcée de narcotiques puissants en overdoses, produits rubéfiants et soumission aux effets de torture tropicale par inflicton de Subutex, très sudorifique et hypercalcinant, hyperchauffants, très sudorifiques, cause de fièvre brutale et inexpliquée, autres procédés de la torture chimique ou crémant ou conduisant l'organisme à un très violent dessèchement (neuroleptiques en forts dosages, issus d'une recherche technologique visant plus à la répression qu'au soin pur et simple, autant puissants que la digitaline, la colchique, dont certains neuroleptiques sont issus, poison phytothérapeutique puissant autant que cigüe, rien que des plantes, selon la publicité mensongère des posologies et de la pharmacopée médicale), en sus d'injections dites retard d'ordinaire officiellement non prescrites, autant que dans messes noires à parties de jupes, dans mon cas, avec viols à violences létales jusqu'à la mort apparente mainte fois causée dans la journée. Rendue exsangue des maintes hémorragies cérébrales obtenues après résections multiples durant la semaine, lobotomies pratiquées après intubations forcées destinées à obtenir la repousse systématisées des zones amputées en question, jusqu'à leur ré-amputation, sur demande de membre de famille exacerbé par de tels possibles, je suppose services hospitaliers et de secteurs privés, prétendant au commerce de ces prélèvement en grande quantités, la moitié d'un cerveau par semaine à peu près, sur une ou un de leur prisonnier, le plus souvent d'opinion, traité en vache à lait, à traite publique de ses matières cérébrales. procédé anthropophage aux rituels cannibales, pouvant aller autant qu'en Guantanamo, à ingestion forcée des cendres de morts de leur famille chez les prisonniers en question, notamment à l'occasion des fêtes de la Toussaint. Et a présentation de dessus de crânes lobotomisés à la victime, sur plateau de ses légumes dégurgités pour l'occasion de sa mise à jeun par séances d'électrodes, anté-opération..

Le but étant de créer de toutes pièces les types de symptomatiques typiques des démences rituelles en séquelles à des pratiques illicites de la torture psychiatrique, mutilatoires et commises sous tentatives répétées de meurtre, maltraitances complexes, panoplie protocolaire des symptomatiques systématiques recensées de maladies fictives totalement arbitraires dépendantes de l'imaginaire populaire et issu de folies réelles réputées de médecins sur le sujet très imaginatifs, ayant répertorié certains comportements suite et résultante d'opérations cérébrales, ajoutées à des procédés inquisiteurs de la médecine, prétextes à l'usage ad mortem sinon cause des diminutions réelles physiques, que sont en fait, les dites symptomatiques des maladies mentales reprochée par loi de la rétroactivité à des patients qui auront été confiés au départ à ces pratiques, pour des problèmes autres que ces démences au départ imputées,parfois et le plus souvent, le simple délit d 'opinion et acquises à forte de persévérance sciemment voulue à les leur causer, de tortures électriques en cures, infligées à titre dit préventif sur tout lieu de vie,surtout ante-placement licite et destinées à causer les caractéristique des démences répertoriées, cures à domicile puis en pavillon fermé, grillant le système nerveux ou le réduisant en broyât cuit jusqu'à des projections de cerveau réduit en purée frite de plaies réouverte sous la puissance des chocs électriques, ou la fracture de os, parfois à remplacer, tués net sous la cuisson des décharges d'appareils à détenteur, ou cuits à la longue de décharges d'électrodes aboutissant à la cuisson des chairs,des os et du cerveau, en sus des cuissons aux électrochocs, ou autres formes de la torture électrique, des parties génitales, tabassées également de courants imitant des coups portés violents, causant de fortes douleurs, et dits aimants, contrefaisant le bouclier électrique de l'étranger.



Le métier de personnel médical psychiatrique et de médecins psychiatres, ne consistant plus depuis les années 50 à 80 à ces inflictions des diverses formes de tortures dans ce livre répertoriées, il en existe des plus abominables cela est certain, dans les asiles psychiatriques de la métropole et provinciaux; ainsi que des particularités dans certains types de tortures psychiatriques à 'étranger, aucun des décès de ces établissements et institutions, publiques et privées, recensé publiquement, aucun chiffre ne paraissant actuellement sur le taux de mortalité de ces pavillons, cliniques , centres, plus en simple maltraitance de ces pratiques protocolaires de la torture à titre de soin, à titre pénal d'autant plus de dans pavillons disciplinaires (qu'ont à voir les violences policières et les rites de tortures et persécutions meurtrières de ces pavillons avec la pratique déontologique de la médecine, si la médecine déontologique psychiatrique a eu seulement un jour depuis sa création existé, créée dans un simple but totalitaire, je le rappelle, extrêmement « répressif » d'extermination raciale) que les maisons de retraites déjà contrôlées. Je rappelle que les métiers dits médicaux, sont strictement liés pour la plupart, à la récupération sociale d'une de leurs déviances psychotique exacerbées dans le sens récupéré d'un emploi le plus souvent très rémunérateur, en principe phénomène très fréquent dans deux secteurs sociaux, le secteur primaire, (les égoutiers, plombiers, déboucheurs de WC, et autres obsédés des WC, agriculteurs) et le secteur tertiaire, dont les métiers de la chirurgie, certaines médecines liées à des types obsessionnels de folie : obsession des pieds chez les podologues, à titre d'exemple, cannibalisme récupérateur des folies de la société, de type film Hannibal chez les neurochirurgiens, analystes biologiques des selles en mal d'obsession coprophage, obsessions à rigidité mentale psychotique qui les motive à un point de foi qui les sert.

Usage à titre privé et collectif de pavillons fermés et dits de force, tenus par sortes de contrefaçons de policiers en uniforme bleu marine et casquette de représentants de l'ordre, en aucune adéquation avec la déontologie propre à la médecine, et n'usant de son étiquette qu'afin de pratiquer en toute liberté à mots couverts, les méthodes de la torture médicale à mots couverts, de violences policières à titre de soins, aptes à dérégler les organismes, le bon fonctionnement cérébral, l'amputation cérébrale et méthodes dites de soins devant être considérées délivrance du mal par les tortures endurées créé, les médecins de ce pavillons déclarés inspecteurs, couvrant dans l'hypocrisie démagogue absolue, l'usage de méthodes policières totalitaires dans l'imposition de la répression contre les libertés individuelles, droits de l'Homme et droits protégés parle code civil, le plaisir ad normem et naturel du corps, le plaisir solitaire, la masturbation onirique (punie de l'arasement des zones arrières du rêve, du rêve amoureux, l'arrondi dolichocéphale de l'arrière du crâne), le maintien du licou ou la peine de mort psychiatrisée chez les femmes mariées ou en devoir de l'être, promises, concubines et femmes en rencontre, le lysisme, le coît interrompus jusqu'au clap-end requis, et l'abstinence forcée chez les femmes adultes et jeunes filles émancipées en général, la soumission au père violeur surtout, pour les fils, au père et à la mère, au devoir conjugal, la protection de l'inceste et du devoir conjugal qui lui est dû, l'obligation au vice, à la dépravation, à la prostitution publique, au devoir de fidélité, à la préparation du corps de la femme (bains forcés sous prétexte d'hygiène, dans baignoires malpropres servant d'infliction de la stérilisation forcée des femmes émancipée par infection à salpingite causée par éradication d'une flore vaginale persécutée de trop de lavages intimes, jusqu'à cette infection stérilisante, due à ces baignoires maintenues sciemment en état de mauvaise hygiène) aux devoirs conjugaux qu'elle doit à l'homme, au mari, obligation sous peine de mort, de graves opérations du cerveau (lobotomisé dès la repousse en imbibition de ces procédés, après gavages intempestifs, des zones incriminées), à la malpropreté évidente des couples, femmes et familles, saleté devant rester commune aux populations, destinée à fournir les cabinets médicaux et secteurs médicaux publics, privés, en patients sur-infectés, jusqu'à la réapparition de la pneumonie et épidémies communes au Moyen Age, ère privilégiée des aryens, obligation aux actes contre-nature décrétés norme, contrainte des mêmes méthodes totalitaires, aux opiums connus du peuple, à son abêtissement intellectuel, à la propagande aryenne en matraquage de la restriction « ne que » signifiant que cela n'était assez, il fallait plus pousser plus loin en violences, jusqu'à celles violemment revendiquée par les groupements dirigeants de ces pavillons, cliniques, des camps nazis, soumission massive obligatoire également aux lois du fascisme dont au phallocratie. L'exécution capitale de nos jours conférée aux hôpitaux, psychiatrique en général. Mort violente ou lente, torture supplémentaire de se voir mourir sans pouvoir s'y opposer, mort infligée d'une croix sur dossier à contrats.



Conditionnements pouvant conduire à la gangrène du corps, des hommes, femmes insoumises à ces lois, à celles du viol par excellence auxquelles elles sont systématiquement substituées sous a la loi de substitution psychiatrique, défendue par psychiatres et forces de police, ou autant que je le suis encore, punies entre autres individus pour les violences subies, par inmbibition forcée de leurs organisme, de déchets hospitaliers, (eaux en grandes quantités dégurgitées, en baves, salives et glaires de tous orifices, eaux de lavage vaginaux et d'appareils sexuels, ainsi qu'après sodomie, fréquente dans ces pavillons et jusques lieux de vie privée sous leur égide), conditionnement basé sur les neuro-transmetteurs d'autrui propres à soi de ces salives et glaires extirpées du corps humain, ou même d'animaux de compagnie familiers, destinées à restituer des physiques ou pensées induites chimiquement par ces « jus » humains, autre forme de lavage de cerveau lobotomisateur, ces salives imbuquées de force, devant digérer, le sujet maintenu à jeun, condition de la correction sous électrodes, les protéines et l'organisme de ce sujet, jusqu'à son cerveau, remplacé ensuite par une nourriture contraire à sa santé, basée sur les contre-indication à la vie de son corps. Opérations barbares très scientistes décrites dans le film « Le perfinateur », de métamorphoses, parfois plusieurs opérations (régulières dans ces établissements) de ce type par vie, dangereuses, en clonages voulus issus de ces pouvoirs de ces salives, avec individus punis pour des fautes dues au vice (bruits salivaires lubriques) ou pour causes libertaires, sujets au cours des électrodes en punissement, ayant fourni ces rejets (transvasement des liquides, sucs d'un sujet décédé ou en vie dans un autre, thérapie de type Frankenstein ou politique fiction en cours) . La liberté de pensée niée, persécutée au profond du corps, de son identité mentale et physique, tué de main froide, forme dérivée de l'exécution capitale, corps devant rester esclave sinon transformé en mélanges de sujets aux idéaux similaires, constitués eux même de tels viols de leur organisme en sa totalité restante des opérations qui précédaient, son intégralité pour lutte pour son intégrité des individus confinés dans l'emprise le plus souvent fatale de ces établissements, bafouée jusqu'à l'extirpation de morceaux de cerveau, dents, bras, etc. laissés sur la table d'opération. En sus des neuroleptiques en guise d'anti-rejet de cette greffe de sucs salivaires et d'humeurs humaines, neuroleptiques en fait produits chimiques, pharmaceutiques, produits dans le but de torturer les fonctions naturelles et l'organisme, et dont la plupart, employés en psychiatrie, jusqu'à la gériatrie, causent la cuisson chimique des chairs jusqu'à leur état de saucisson sec, de corne, matière cérébrale sèche, séchée autant que grumeaux et amas de purée de blédine lyophilisée cuite au lait délayé, ( les régimes secs ajoutés, carencés en fibres, vitamines et oligoéléments nécessaires à la survie, à base de légumineuses, pâtes sèches ,farines de tubercules et régimes sans résidus pour granivores, cancérigènes et prévus anté-coloscopie, pour leurs vertus cancérigènes et de carençage, la surconsommation de produits à base de grains et de blé ayant servi d'électrochocs dès les premiers temps de l'humanité, transformant en nouilles cuites le système neveux et cérébral, l'homme devant rester omnivore) et de porc salé, steak tartare cuit des procédés décrits, en sus de la cuisson létale par fortes décharges électriques, forme de four crématoire ou portatif (chimique ou en implants électriques) , ou mécanique imposé en réponse de ce totalitarisme à la liberté de conscience déclarée démence grave à ce point de devoir la corriger. Jusqu'au pourrissement du corps, parfois encore en vie, et son décès. Autre procédé égyptien d'euthanasie Étatique, d'embaumage du corps innocent du vice exécute pour ses libertés physiques sans entraves et de pensée, jusqu'à ce que mort s'en suive.





Mobilisez vous contre cette gangrène qui atteint les services publics, déferle dans les institutions y compris scolaires, étudiantes, maternités, crèches, administrations, le médecin appelé su rplace autant que le toubib des boshs, pour une pratique identique de la médecine à celle des nazis, sous des couverts trompeurs d'offre de services et d'humanité, de soins en placements en milieux dits protégés, la formule élégante, gériatrie et maisons de retraites, véritables camps de déportés, barbarie à visage humain, autre...

Hôpital sécuritaire, camp de déportation de la nouvelle et ancienne constestation, hôpitaux, cliniques devenu à nouveau après une brêve amélioration, ceux des années 30 à 50, camps d'extermination pour ce qui est des pavilllons disciplinaires qui n'ont plus rien à voir je le répète avec la pratique médicale, sinon l'extermination raciale anti-sémite de toute rebelle à cette société, de tout réfractaire à ces agissements.

Mobilisez vous en lisant le site de mon blog : http://chelseyletterstoworld.blogspot.com/

20 déc. 2009 19:17

Pour plus de réalité face à l'usage dela torture en France,laissée aux hôpitaux et notamment lles asiles psychiatriques, la tâche de la peine capitale médicalisée qui leur est confiée depuis la création de la science médicale psychiatrique, n'a plus rien à voir avec la pratique déontologique éthique universitaire de la médecine, en vigueur au 17° siècle, siècle des Lumières, où les jeunes carabins flirtaient avec la mort et déterraient afin d'affirmer les premiers pas de la médecine, les cadavres des cimetières pour les étudier, les disséquer à l'heure de l'Inquisition des guerres de religions. au nom du courage de ces premiers étudiants décidant d'un commun accord de défier les charlatanisme de Diafoirus diaboliques et assurant depuis la survie de peuples entiers de l'humanité de leur courage invétéré envers toute cause para bellum qui leur serait opposée, ne cragnant ni la mort ni la douleur ni la souffrance sous la torture, ils auront bati la Médecine qui fit jusqu'à présent la fierté du pays des libertés, la France, une dérive dépravante et condamnatrice de toute pensée lucide qui s'en réfèrerait à l'étude déontologique de la médecine et de la science, dans sa pratique et son application éthique, fait rage et fureur depuis la fin de la guerre, dans une dépravation du service hospitalier et privé, au point qu'il faut crier halte à la substitution du soin réel à l'usage systématique et systématisé de la torture médicale au titre de soin et thérapeutique notamment et surtout dans les domaines psychiatriques et en cancérologie...



Torture au service d'une totalitarisation prohibitrice de la science de personnels médicaux et de médecins dits diplomés armés des armes de la médecine et d'une dictature véritable du Soin, de l'Opération mutilatoire castratrice des libertés, de conscience, de pensée, d'action, formée d'une junte militaire réelle de médecins des plus crapuleux et corrompus aux devoirs civiques de la déparvation du Service obligatoire sexuel,(réseau pédophile à titre initiatique chez l'enfance handicapée ou prétendue handicapée) répression et de la torture médicale, de l'établissement du bordel (rémunérateur des établissements hopitaliers) chez la femme émancipée, cultivée et cuturelle, lettrée, et douée d'un savoir altruiste non corrompu, ou artiste,torture médicale mercenaire de pouvoirs politiques établis, étatiques et privés, depuis l'invasion rétroactive de la corruption en France, en Europe, des réseaux marchands du mercantilisme totalitariste de Bush, contre lequel s'et élevé déjà paru dans la presse, un collectif de médecin, luttant contre une prospection dans les milieux médicaux, en vue d'une société policière psychiatrisée en France, usant du marché de la psychiatrie, de la gériatire, de la pédiatrie et des luttes intestines anti-féministes réputées de partis politiques extrémistes en la matière, pour déjà sévir et régner, abusant de la neurologie, de la neurochirirguie, à titre de soin et violence, viols dits thérapeutiques dits soins en psychiatrie, sinon en cure préventive, internements sécuritaires préventifs d'une société de surveillance stasique instaurant une politique de terreur du moins usant du détournement de l'attribution du diagnostic de démence, pour obtenir droit au travail fortement rémunératueur, en opérations du cerveau très onéreuses et sources de grand profit, en usage dans les femrs d'abattages pour femems ciblées destinées à laprostitution, parfois inelecutelles si elles présentent dons et culture, prfois les trafics, soit à tire de rérpession dans justice expéditive, soit à titre purement répresif envers les idées libertaires, écologistes, avant-gardistes et humanitaires, dans un but populiste de décérébration de ce mouvement de gauche intellectuel et éclairé, le populisme demandeur de ces services psychiatriques, de leurs exactions, crimes, crimes politiques, crimeparaits et crimes contre l'humanité, dans un but d'étêtement de l'intelligentsia, classifiée classe de nantis.

Merci donc, je nepeux que citer mon cas à tire d'exemple, si votre action, celle d'associations réputées contreleproxénétisme ayant répondu à mes multiples demande d'aide, par l'usage abusif de ces services psychiatriques dans un but de démantèlement du discours de cette gauche, voulu, par nombre d'associations charitatives, le plus souvent chrétiennes, doté du label manufacturé, préfabriqué de ce trust médical, typique de la démence, avec confection par l'arfice de tortures innommables prétendues soins, de la "gueule de l'emploi" connue aux handicaps, et d'un degré d'analphabétisme infantile discriminatroire; autre forme de traite d'êtres humains, réservés certains dès lanaissanc si leur famile s'y prête, à des soins couteux, créateurs de maladies de tous ordres, et travaillant à l'entretenir dans un certain degé calculé d'infirmité, dans une ségrégation très répressive violente et discriminatoire, envers toute tentantive d'évasion du système mercantile de ce marché;sous une loi du silence pouvant s'évarer meurtrière.
Pour ce qui est de l'identité nationale, elle réside à l'heure actuelle, à l'urgence identitiaire de l'inasouvissement total absolu, sous ce pouvoir absolu, des besoins vitaux protégés par les droits fondamentaux de la Convention universelle des Droits de l'Homme, inappliquée, mise en danger, l'identité nationale si elle reste en crise, priovient des effets en traîne de la crise, la politique dictatoriale  réactionnelle de rigueur nationale, vissant les identités, les sources profondes de la vie, la libre expression de la pensée et des besoins vitaux,  la restriction, ler ationnement des vivres essentielles à la survie, des besoins minima de l'homme réduits à une consommation d'erzats alimentaires basés sur des denrées dangereuses et contraires à la santé humaine (féculents, pommes de terre,cancérigène en surconsommation, farines, riz, pâtes, huiles, l'homme n'étant granivore, sucres immédiats, conserves, denrées de base distibuées par la banque alimentaire,ne pouvant privilégier les produits frais, réservés aux privilgiés), conduit à une résurgence de l'identitaire nationaliste, qui a conduit après l'internationale juive et l'internationale communiste, dans les années 30, étant donné un degré de pénurie identique, à la montée du fascisme en Europe, au partage administratif des pouvoirs entre la bureaucratie pré-vichissoise des années 30 et la bureaucratie soviétique, ayant suivi en URSS. la pénurie en biens et en vivre, ayant abouti, dans les deux cas de ces dictatures, aux crises identitaires  identique, ainsi qu'aux mêmes phénomènes de société, créant une résistance, la folie, des crise identitaire de la personnalité, démences réelels ou causées des méthodes des dictats, l'euthanasiant en camps d'internements, la folie, intimisation des troubles de la société, ou  pure résistance non reconnue sinon interprétée en démence, des réviosonnismes nourris des deux dictatures, encore en vie sur le sol français, européen, et se coalisant en pouvoir absolu, dans un tissus interstitiel social de base et un pouvoir administatif en intra-action et interaction constante avec ces populations fanatisées de cette idéologie insidieuse rampante et régnante,en attente d'un régime de dictature plus dur en rêve, en mal et en gésine d'une dernière guerre mondiale,si les résistances en résurgence laissent libre cours, libre action et chèque en blanc à ces pouvoir coalisés, dans l'aveuglement politique, la cécité mentale idéologique qu'ils cultivent selon la minimisation envers ce nationalisme, et l'invasion du soviétisme,qui ont permis l'explosion des deux facismes, la dernière guerre mondiale; nazis, vous avez dit nazis ? 
Merci d'avance pour votre réaction, en comptant sur votre engagement éthique,

Line L.

10:35:00 par Chelsey

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