mardi 23 mars 2010

Ravie de vous connaître. j’ai fait (inévitablement) plus la guerre que l’amour, que reste-t-il, pas même le droit d’être Batifole bis puisque bisque rage cela aussi prohibé, sinon par papa, par mémé, l’Amant substitut du père et les Autres. Merci pour l’unique commentaire que vous aurez laissé sur mon blog Eclipse 2 de Batifole sauvage, cela fait plaisir de ne se sentir abandonnée, dans la tambouille où les idées se rejoignent. ce que ma vie de Tambouille m’aura occulté e interdit de transcrire, vous l’aurez fait, ce que j’aurai pu penser et commettre de ce fait, nié effacé, éradiqué, de via personna de belles à crever foutues pour les ires célestes de quelque grand, qui aura saisi l’ampleur du problème, à place, sans en vivre l’in situ réel obturateur du travail réduit au nihilisme de son devoir d’inutilité, de la Femme Parfaite, que je ne serai jamais,sauf votre respect,sans devoir partager vos idées et celles du conventionnalisme médiatique, je dirais, médiatisé ; le devoir de cigüe de la Femme aristotélicienne telle qu’elle se dévoilait jadis, capable de rédiger du Mallarmé ans l’avoir eu lu, que j’aurais pu rester, niée, envolée, submergée de la vague tellurique des mœurs fétides de morues du gratin,emportant la pensée humaine libertaire des Femmes, dans leur devoir de séduction quotidienne corrompue, focales fatales diriez-vous, oui, du mauvais roman digne des mœurs bourgeoises dans lequel mon discours éthique, universitaire et philosophique aura été noyé, parti d’un constat de vérité qui ne devait paraitre, sinon commercialisable dans les critères féminins qu’accordés à l’ »écrivainne » d’écriture éthique commerciale de nullité insipide que je devrais respecter en moi-même ans toute vacuité permise, la satire réservée à l’esprit mâle,l’étude philosophique confiée aux penseurs mâles patentés de ce monde,aspirant toute certitude inhérente à la pensée de l’homme, de l’observation (l’on ne sait comment) de la vie intime de ce bas-monde, dont je vois vous n’êtes, perché si haut du haut d’ascèses de penseur voyeur des modes de vie courante d’une plèbe dont je ne voudrais moi-m^me pour y vivre ni y éduquer ma famille, autant que vous-même, quoique, des philosophes femmes, il ‘en existe de ce jour, femelles peut-être, sous étiquette pudique de sociologues, ethnologues, diplômées hautes écoles, cadrées du discours vacuitaire officiel ramenant la lutte pour le respect des droits de l’Homme, à une tambouille ordinaire, bouillie alimentaire d’écrivassiers, plumitifs professionnels affamés de ce nouveau genre, de lavages méthodiques officiels de cerveau, réduits en purées pour bébés dont la femme ne devrait sortir, enfermée dans ce rôle de torche-couches sinon de celles de nègres des écrivains les plus célèbres. dont elle devrait perdre sa virginité mentale; Détournements de vies.en comptant sur vos œuvres pour me redresser le niveau après la chute d’Icare aux enfers; sucrage de vies et de biens intellectuels, concurrence illicite, à devoir en rester mauviette, pour non professionnalisme, commun je le crois à la population féminine, que l’on retrouve par ailleurs, sur des commentaires télévisés identiques, envers une Mazzarine à l’occasion de son dernier livre; elle n’a du pouvoir faire face aux procédés des manucures du dernier toubib appelé à son aide,les Femmes depuis leur dernier né en clinique, chargée de se soigner et condamné à la médecine clinique pour leur nerfs, ceux du zob n’y suffisant, il fallait leur en soigner d’autres, la douleur folle de l’accouchement, qui les aura rendues folles, juste un manque d’anesthésiques, elles auront dû laisser dans l’affaire, un bon bout de cervelle autant qu’Angoon et bien d’autres Femmes libérées du grand monde, sur quelque table d’opération d chirurgien esthétique méconnue. La pression… Je ne sortirai pas mon grand style des grands soirs, voix de chat des émissions missions du soir, puisque réellement prohibé, chic, enfin, un commentaire sur mon blog;
Signé : Tambouille du soir.

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