jeudi 4 mars 2010

Je vous remercie de compter sur ma participation à votre combat pour le respect des droits de l'homme et des conventions internationnales les régissant, d'autant plu qu'envers ma personne elles ne soient respectées en rien, que la France si vous l'avez jugée autant que moi-même, après maintes invocations sur ces enfreintes, dont je vous avais fait part, d'une part au code civil, renié par un nombre relativement élevé, d'activistes de tous bords, enragés d'un militantisme extrême droite lepéniste imprégnant jusqu'aux classes de gauche, ainsi que je l'avais présupposé et puis vérifié dans les médias, code civil dénigré, sciemment bafoué, violations de ce code fer de lance de la campagne pré-électorale actuelle, le code civil français si justement appliqué, dans les règles d'application des lois qu'il recense, lois sencées préserver, protéger les droits fondamentaux et droits de l'Homme légitimes de chaque citoyen, légitimité bafouée, dans une déviance dépravée encouragant au crime au vice, à la corruption, aux crimes contre l'humanité, et exactions, des jugements en jurisprudence sencés les faire respecter. reprenant les lois indécentes d'irrationalité injuste et d'irresponsabilité (basée sur l'inversion des responsabilités commune à l'extrême droite, dans les violences envers femmes battues, et commune à la religion, les victimes punies en lieu et place de leurs agresseurs, tenus pour justes d'avoir commis infractions aux lois du code civil , jugés actes de punissement légitimes anté-procédures, justice reléguée au gré du libre arbitre de chacun se faisant de soi-même justiicer, infraction supplémentaire au code civil, pénalités laissées au gré de chacun, de loi divine et droit divin de tout citoyen croyant selon lemode pro-américain de jugement ( juré sur les lois de la Bible et fonction de ces lois religieuses) pro-bushiste, controvere du code civil actuel, stipulant et protégeant la présomption d'innocence (des coupables), ici encore , nullement respectée, des accusés, subinnocentés aujourd'hui encore d'une discrimination positive entrainant une violation du code civil français et de ses lois initilament prévues, une présomption d'innocente essentiellement bafouée envers les victimes plaignantes traitées d'exactions graves, crimes contre l'humanité constants au nom d'une culpabilité qui leur est présupposée en procédures pénales arbitraires, et d' une innocence légitime, systématique, de leurs accusés, jugés sur les modes de raisonnements arbitraires et usant de l'inversion des raisons et culpabilités communes aux lois de dicature fasciste populaires,liées à, découlants des incultures, ignorances de goupes dominants de leurs crimes et exactions, droits de fait que ces dictats entretiennent pour régner, lois religieuses de dictat protégées des livres religieux , repises par les nazis lors de l'Incendie du Troisième Reich, donc, j'en conclurai, qu'avant tout combat de défénse ds droits de l'Homme, il faudra mener en premier lieu une lutte de protection des justes applications des droits du Code Civil français, qui devrait rester exemplaire dans ses applicaitons en jurisprudence, autant qu'il reste exemplaire dans ses textes initiaux et remodelés dans le sens du respect des droits fondamentaux, exemplarité qui devrait, se dupliquer et être reprise, dans un remodèlement des codes civils asseyant les pouvoirs totalitaires des dictatures étrangères; le seul avantage de la France, est de posséder les textes assurant une démocratie,inappliquée jusqu'à présent, démocratie de façade, qui n'a eu été réelel ue dns ses texte de lois, jamais depuis leur création, ni appliqués je le répète, dans le respect de leurs sens, ni par la population respectées, siono das une reprise des lois du Jugement Dernier des Procès de Kafka, et des applications de jugment arbitraires du Procès de Nuremberg, qui parti d'ue bone résolution de justice, aboutit à une vengeance étatique et populaire indigne, dégradante, de l'image de la justice même, des camps de déportations ayant été créées, usant des lois de Talion du nazisme, pour y torturer, exterminer les prisonniers allemands après défilé humilant, où après avoir ét nourris d'ue soupe grasse laxative aux choux,ils auront du défiler dans l'avenue principale de leur lieu d'arrestation, face à une liesse popualire, en se vidant de leurs fescès, suivis d'un véhicule de voirie, balayeuse municipale, chargée d'effacer leurs traces. De tels drames se produisent envers femmes battues, humilées, violées, tabassées publiquement, d'équipes médicales sur ordre demédecines corrompus, en reprise des lois totalitaires, de leur tortures et répressions, dans tout traitement, devenu sinon resté exclusivement à titre pénal de la violence subie, des femmes battues, enfant martyrs, souffre-douleurs boucs-émissaires et victimes de viols avec violences, de violences à domicile, reproduites au centuple et traitées en psychoses délirantes hallucinatoires,contre toute évidence des faits des violences, actes de barbarie endurés, parfois des vies entières, pénalisés de toute médecine par cette reprise debla totrure pénale psychiatrique envers victimes. Politique régante du punissement pénal et psychaitrique,parfois les doubles peines s'accumulant, sur boucs émissaires victimes d'un antisémitisme envers un nouveau rôle de peuple juif à devoir assumer, sous la dénomination à visage humain, de sinon de leur démence, celle d'être traité en "il est mal", des coups portés avec armes établies instruments de soins, causes de blessures mutilatoires par amusement paramilitaire et jeu sexuel de soudards, doublement subis, pour n'avoir pas eu supporté, ou avoir eu trahi, les violences à domicile endurées.


Les victimes crucifiées sur la croix de Marie-Madeleine, prostituée de Jésus Christ (jésus-l'auteur des enfreintes aux lois, droits de l'Homme, assi dans la position inversée arienne et reprise par mai 68 , en position sexuelle dite 69, auno dlbration demsoeurs, se fondant sur l'envahissement des mauvaises moeurs de maisons closes, de réseaux la prostitution instaurée par le proxénétisme affectant jusqu'aux règlements déontologiques de la médecine psychiatrique, des conditions de détention pénale, et des déments, plus victimes des injsutices et dépravations sociales que déments, sinon victimes supplémentaires de filières de créateurs de besoins capitaliste des métiers dela médecine de ses sphères parmaceutico-paramédicales agissant sur contrats marchands, exigeant des consommations sytmatique forcée de pseudo-traitements médicamenteux tels le Prozac, heureusement remis en question et à peu-près la totalité ds traitments chimiques de la prétendue démence,prébabriquée à la chaine à but commercial de ces sphères politico-jurido-financières policières, dans des buts financiers assurés par ces contratsdont ceux de sanofi signés avec les secteurs psychiatriques et de médecine généraliste, corrompant de propagandes commerciales répressives et armées, jusqu'aux milieux intellectuels, fanatiques des orgies répressives psychiatrisées pédophyles et médicalisées proposées (sur propre membre de leur famille, de leurs relations, utilisé en objet analogon de sacrifice humain, prostituée en prisonnier d'opinion des tortures et violations des droits resencées par vos campagnes,) , les basses classes affiliées depeuis des décennies à ces méthodes basées sur le proxénétisme hospitalier l'accompagnant, appat très affriolant des foules, médications et faux soins, en fait arsenaux de méthodes totalitaires tortionnaires mais dites de pointe, en fait, issues d'entreprises commerciales à but financier dirigées de maitres du charlatannisme scientifique et médical, position inversée phallocrate de l'homme amoureux (le plus souvent le violeur maintenu dans un état multirécidiviste, parfois à longueur de vie, et bourreau) ,ou de la mère, soeur, familles entières, quelconque agresseur, vécu en martyre des injustices perverses et crimes pervers d'un(e) dément(e), soignée par la torture de coups causés d'armes dites de ocntention, congant, électrocutant grièvement, sur des temps prolongés, parfois mantenus jusqu'au suicide des victimes dans les conditions sans simulacre de torture mortelle de choix, des résistants pris par la gestapo,parfois pour le simple plaisir d'un Père, simulant le bras fatal su rson fils Abrahma, le transformantensuite en sa chèvre de légionnaire.

Victime personnellement de ces trafics, et n'ayant besoin, étant donnés les fichages du Plan Edvige accédant aux fichagesmdicau xétalbis sur toute victime (jugée trop subversive et dénonciatrice ) de ces infractions désolidarisantes dans un but de diviser pour mieux régner, je ne peux sans comprometre ma sécurité, donner les renseignements personel que réclament vos pétitions lors de leur signature, les traques sur Plan Epervier non officiels aux défenseurs des droits de l'homme, désolidarisés de leurs milieux, entamée depuis les dbuts de cespalns de fichages français, organisées, acompagnées de placements extrêmement discrimiantoires à domicile, à but sécuritaire, nouvelle dénomination de couverture et de façade des assignations à résidence surveillée pratiquées depuis les années 80, dont je suis victime personnellement encore à ce jour pour attitude récidiviste de critique journaliste, jurée état critique de démence, jugées des procédures arbitraires illicites à vices de forme de tribunaux exceptionnels très répressifs de tortures paramilitaires formés autour des ces lieux de résidence surveillée, aptes à reproduire les procès de la Pucelle d'Orléans pour les mauvaises moeurs des milieux qui m'entourent, d'orientation politique pro-nazie, ou résolument pro-poutinistes, le plus souvent en co-alliance. Les dictatures n'affichant au grand jamais le terme de dictature ,leur dissidence razziée au cas par cas pour moins de transparence des éliminations physiques et suppressions profitables, à l'heure actuelle,l'Etat Français ne pouvant être dénoncé en tant que société de surveilance policiaire, sécuritaire, tant la puissance de son dictat censure la critique médiatique autant que intime et tenant du domaine privée,méthodes policières de torture de goulag soviétique,(dont les implants électroniques électriques ou électromagnétiques nouvelle vague,manipulable par télécommande à distance, testés sur dissidents cibles de ces agissements de main de délinquants, psychopathes employés pour leur irresponsabilité les amenant à torturer mortellement si personne n'intervient, et le arrête, à même titre que chiens russes ou allemands durant la dernière guerre,à cet usage, , surpuissants,de visu indétectables, causes de quiproquos inquiétants car provoquant des douleurs insoutenables autant que ceinture électrique Américaine,et donc de faux seblant d'agitation, révolte emblant injustifiées encourageant les masses à indiquer et protéger le "soin", formule nouvelle detorture électrique donc tenant lieu de formules de pointe du bracelet électronique imposé aux ioleurs récidivistes,lesimplts de préférence implantées dns les zones génitale des upercuts, joues, nez, arcades sourcilières, encourageant, à lacollaboration avec la propagande établie des pouvoirs publics. Si les violences policières dans ces cas de déviances des cadres de la loi, sont fréquentes, elles ne sont toutes connues;

Veuilez touver ci-joint, chapitre du site que j'entretiens sur internet au : www.lemonde.fr/line_llao

veuillez pardoner les quelques coquilles typographiques, résultantes et preuves, des répressions physiques invalidantes de cette censure, entrourant les rédactions de mes billets



Politique identitaire, résurgence des fascismes

La censure du débat sur l’identité nationale promulgué par le PS et Martine Aubry, débat né de la présence tolérée au nom des idées humanistes de gauche, d’intégrismes religieux de fascismes totalitaires du Moyen Orient mulsulman, infiltrant les populations immigrées de pays dictatoriaux soumises aux tortures sur le sol français des fanatiques de leurs pays d’origine toléré sur le sol français au nom d’une politique de regroupement famillial des travailleurs immigrés, surexploités, colonisés encore de nos jours sur le sol français (le fascisme capitaliste synonyme autant que tout fascisme, le colonialisme racial, le fascisme synonyme également d’exterminations raciales pouvant aller aux génocides, exterminations de masse de peuples), imposés sans acquisition de la nationalité française pour les besoins du système capitaliste, répressés dans leur exclusion absolue, privés du droit de vote pour le danger potentiel de pécisément ces fanatismes religieux importés avec eux, cette censure nie l’évidence de la présence d’une récupération d’un amalgame de fascismes issus des multiples dictatures régnant dans le monde, privilégiée et encouragée des administrations pénitentiaires, et institutions psychiatriques sur ses ressortissants (traités en vaches à lait et à traire, prisonniers politiques constitués sous l’étiquette de la démence, répressés, trépanés, torturés des mutilations de la torture psychiatrique et électrique à vie, tabassés à longueur de temps parfois à mort de ces tortures électriques mutilatoires létales, internés pour leur délit d’opinion, excécutés, constitution de prisonniers d’opinon jugée”saine”, normale”, “pas grave”) perçue “racisme”, “xénophobie”, “exactions policières”, exactions graves au nom de propos qui partis d’une évidence saine, de la peur face au danger que représentent ces dictatures en place régnant sur le pays, en Occident, et régnant, régençant la vie quotidienne, sous le couvert d’une tolérance laïque républicaine pro-bushienne envers les religions, les politiques de partis, les cultures étrangères, instaurent une politique de Terreur, aux minimisations révisionnistes sous des couverts innocents, d’une réalité de plus pernicieuses, privilégiant cet aveuglement idéologique calculée d’une propagande néo-fasciste sournoise, réalité en France de la prise de pouvoir anticipée à son élection par les voies démocratiques, d’une dictature néo-nazie multidictatauriale régnant par l’usage de la force de la privation de liberté, de la prise de corps, de la torture armée des armes des pouvoirs établis, l’identité nationale reprise de la propagande néo-nazie de l’extrême droite et du front national, les leçons de l’histoire n’ayant servi, niées du révisionisme vichissois encore de rigueur, l’histoire du fait du révisionnisme en éternel recommencement, révisionisme de bon aloi imposé dès la prise du pouvoir d’Hithler de 1900 en Allemagne, élection par les voies démocratiques du vote d’une dictature devenue un lieu commun, faille des lois républicaines du vote ayant conduit à la deuxième guerre mondiale, à l’internement et l’extermination de la premiere résistance française, de ses Cassandres (le Mythe, révisionnisme du fascisme datant depuis les débuts de l’humanité, déterminé depuis les Grecs, reproduit par l’hithérisme), dans les camps d’internement psychiatriques français, politique de génocide entretenue par la psychiatrie née en 1905 organe de génocide nazi et de propagande du nazisme, reprise par Staline, dans la grande censure névrotique du parti communiste français, usant de cet organe d’extermination psychiatrique autant que d’un goulag français, l’on ne critique pas le communisme aussi facilement que cela, politique actuelle de cette prétendue science médicale minimisée sous la censure étatique en “politique sécuritaire d’une société de surveillance”, minimisation révisionniste exigeant sous des couverts sécuritaires et d’une tolérance naïve de gauche, la présence sur le territoire français, de cette coalliance de multiples fascismes sous la couverture sémantique du respect démocratique envers des “idées” politiques. La démocratie ne saurait tolérer le fascisme en tant qu’”idées politiques”, “partis politiques”, Staline, Hithler, les dictatures du Chili, de l’Argentine, de l’Islam,ne sauraient être réduites au simple terme d’idéologies, d’engagements politiques, ni devoir être admises, ni tolérées sur ce territoire français, européen ni occidental, et mondial, sous des prétextes de “non immiscion” dans les “politiques étrangères”. Les “arabes”, “musulmans” érudits, lettés et cultivés parfois et souvent athées sans papiers violement expulsés de façon systématique et privilégiée aux sans papiers incultes et intégristes avec ou sans nationalité française, présence intégriste sciemment négligée dans ces purges étatiques à expulsions et exactions policières, hors du “territoire français”, personnes y compris connues et célébrités d’origine étrangère, les femmes libérées, émancipées cultivées, les génies et surdoués, traqués, répressés de violences policières, exactions psychiatiques prenant le relai, pogroms ponctués de traques à l’homme au nom d’une “politique identitaire nationale sécuritaire”, d’un “hopital sécuritaire”. Nouveaux juifs devant être ramenés à la “norme” de l’aveuglement analphabète idéologique d’une dictature policière de surveillance de type birman francisée “à la française” déjà en place préparant la venue d’une dictature plurifascismes planétaire plus puissante encore, que celle déjà mondialement implantée. Retentissant déjà dans la vie quotidienne, “violences urbaines”, “violences conjugales, familiales”, violences faites envers femmes, et droits de l’enfance”, “violations du code civil, des Droits de l’Homme,” termes de formule littérale des violences du fascisme masquant de cette censure étatique,sur les prémisses d’un monde souterrain underground des fascismes en place. A interdire le droit de vote des immigrés, pourquoi n’interdire celui du fascisme, présenté sous couleur de partis politiques. Ce que peuvent occulter les débats.



Pour expliquer, compléter le texte précédent : L’identité individuelle ramenée à l’identtié culturelle, politique, religieuse et sexuelle, le surmoi de l’individu circonscrit dans les politiques de partis “surmoi” populistes populaires, de structure sectaire de sectes régissant, dirigeant les ça subconcients collectifs de collectivités communautaires, ne réagissant sur un seul mot d’ordre qu’autant bans de poissons marins, sur le senti, le ressenti viscéral promulgué par Le Pen privilégiant les viscères, point sensible stratégique de l’être humain, sa vulnérabilité première, viscéralité dressée d’éducations conditionnantes fondée sur la violence de tous ordres, viscéralité, ses tortures mentales et physiques, excluant toute réflexion, cognition, dicernement de la conscience, ni recul, délits d’opinion jugés et traités en folie. Le moi de l’individu ne se reconnnaissant, ne s’identifiant qu’au surmoi et au ça , guerre d’usure. L’individu indivisis morcelé entre l’identité collective, l’identité individuelle et mentale (tronquées des mutilations règlementaires, morcellement supplémentaire d’une identité individuelle factice artificialisée surimposée à l’identité d’origine tronquée résiduelle à ces mutilations), identité de soumission aux violences répressives de l’Etat, si non reconnaissance en elles,le ça et le surmoi collectif, de sa communauté identitaire, ce ceux des autres collectivités communautaires. la gestion de ces multiples consciences dans l’individu, perturbée des corvées et emplois quotidiens, est cause de pertes collectives d’équilibre, amenant aux difficultés des institutions scolaires, universitaires, médicales, pénitentiaires et judiciaires à gérer les débordements de psychoses sociales hystériques de ces populations, dont les dépravations, (alcoolisme des jeunes, drogues, addictions dangereuses pour la santé individuelle,collective, car conduisant à l’irresponsabilité meurtrière individuelle et de groupe, et autres opium sado-masochistes du peuple se masquant d’auto-tortures supplémentaires irrationnelles rituelles d’obsédés, compensatoires aux violences déjà subies, les tortures, vices et sévices pandémiques entre-subis telles suplémentaires aux violences tortionnaires des pouvoirs et de cette société capitaliste s’entre-torturant à s’entre-tuer par suivisme et jalousies morbide envers ses rescapés, psychoses hystériques collectives tournant en rond dans le sur-place, l’immobilisme français, occidental, vécues norme sociale dans ce cas d’impossibilité à les gérer correctement, entièrement sinon au cas par cas si cela est admis(rarement) par la loi, gestion des hystéries collectives confiée aux victimes de ces débordements, elles mêmes traités en cas de démence, selon les modalités de tortures mutilatrices médicales déjà décrites; d’où les réactions violentes des factions extrémistes, et le regain européen, occidental, des résurgences fascistes du passé, en cumul aujourd’hui et se cumulant depuis l’apparition de l’Homme sur terre.



D’où l’interêt d’une politique médicale, une surmédicalisation dont le devoir (apparent) revient à récupérer, soigner les adeptes de ces auto-inflictions conditionnées esclavagisantes jusqu’à leur auto-acception et leur revendication en tant que liberté individuelle, handicapantes voire mortelles d’auto-sévices sociaux dont l’objectif est de propager l’idéologie de l’absurdité abêtissante, oeillères mentales des foules s’auto-entre-initiant et s’entre-auto-conditionnant des tortures initiatiques devenenues mécaniques citées communes aux idéologies fascistes en regain et renouveau.



La restriction du budget,abandon des projets de la Nasa polluante et inutile,bon signe, états préférant investir dans l’exploration sidérale(prévus une pollution nucléaire, biologique, chimique, bactériologique, et dérèglement terrestre destructeurs, d’explosion cultivée immaîtrisée de politiques d’énergie et armement nucléaire malgré les avertissements des spécialistes et de l’opinion, politiques maintenues en persistance,de la Terre, recherche spaciale en vue d’une fuite de dirigeants étatiques machiavéliques, mégalomanes, et leurs privilégiés sur planète de secours) plutôt qu’investir dans la préservation de cet organisme d’accueil de la vie, et de l’humanité. Sachant la sale manie des peuples, d’élire leurs dictateurs parmis des aliénés hommes de paille de cercles fermés de dirigeants de partis politiques les manipulant (chef d’Etat postiche tel l’a été Hithler) et hissant au pouvoir dans ce but, ombres grises des décisions prises de ces dictateurs,chefs d’Etat potiches sinon de ces cercles de militaires, conseillers, chercheurs assermentés, et personnels affiliés en comités de promotion et de défense, se souvenir des prises de médicament du Furher, drogué voire même d’amphétamines, prétendant à l’époque, soigner la dépression mélancolique, et conférant de façon systématique, les rites de la psychose qu’il présentait, fureur, acariatrie, idées morbides, déclancheurs d’actes de barbarie pouvant pousser au meurtre,tyrannie, insomnie, hyperactivité, exaltation, hyperactivité, surexcitation psychique et sexuelle, à hystérie et libido morbide, augmentation de l’endurance et de la puissance physique, mégalmanie ou folie des grandeurs, dont l’ esprit supérieur, idées de meurtre, domination maladive, fragilité mentale, amphétamines, découvertes et testées en sus de drogues aujourd’hui connues, dans les asiles d’aliénés des années 1900 à 1950, pour étude expérimentale médicale de type nazie (anticipée à celles pratiquées dans les camps de déportation par médecins SS, expérimentations médicales biologiques scientifiques et scientistes pratiquées de nos jour aux sens des hopitaux généraux,et psychiatriques, où les conditions de cobayage humain relèvent de celle des juifs cobayes humains sujets autant que rats de la boratoire des recherches scientifiques des camps nazis, d’où l’insulte de “rats” envers les juifs, sur un programme d’expérimentation encore actuel sinon d’Etat, fonction de directives de cercles médicaux internationaux, congrès psychiatriques et scientifiques mondiaux dont ceux de l’ONU pouvant aller jusqu’au tests d’arments militaires nuclaires, lasers, autres, nécessitant la chirurgie et neurochirurgie à temps complet à but de vérification des lésions pratiquées et effets sur l’organisme des matériels testés, ainsi qu’à titre de chrirurgie rémunéatrice et réparatrice des sujets, afin qu’ils restent en vie pour la continuation de ces expérimentations sur leur corps, qui une fois top lésé, est exécuté sous la dénomination d’”euthanasie”) de la folie que créent ces drogues sur boucliers humains de résistants et déments cobayes forcés (drogue hallucinatoire dure aujourd’hui de substitution aux drogues dures telles l’héroïne, le LSD, totalement à tort encore employée à titre de psychotrope antidépresseur dans le soin des mélancolies et dépressions) qui surajoutées au Tranxène, en test également c’en est certain à cette époque, ayant un effet destructeur similaire sur le cerveau, drogues testée sur les soldats allemands, en sus du degré d’alcoolisme requis, d’abord durant la dernière guerre mondiale, les jeunesses nazis,leurs pépinières, pour un meilleur conditionement à l’arianisme, puis certainement dans les populations et pays fascistes en alliance avec Hitlher, ont amenémé les exterminations massives,tortures et camps nazis de la guerre de 39-45, et drogue dure généralisée dans son emploi pour une résistance physique à la surexploitation aux dernières limites de l’organisme et son évasion mentale. Rêve hithlérien de dépassement de soi de l’Homme, jusquà sa reprise des Jeux Olympiques.D’où la présence de drogues de l’endurance dans ces jeux, et les jeux du Tiercé symbolisant les mécanismes de la société française.



1.Le port de la burqa est essentiellement lié à un conditionnement islamiste intégriste coranique du lavage de cerveau, accompagné le plus souvent de violences caractérisées, tortures y compris sexuelles meurtrières des plus sues et tues, dont l’excision (tortures faisant parfois appel à des institutions médicales françaises) taboues chez les femmes adoubées au joug du mutisme sous ce totalitarisme intégriste admis sur le sol français, si contraintes à porter ce cercueil portatif sur le corps proscrit de la Femme, elles devaient se voir grevées d’une amende menaçant de mettre en faillite leur famille, retenir la somme sur leur niveau de vie retentissant la scolarité de leurs enfants, elles seraient victimes des représailles des fanatiques de ces familles, hommes et mères répercutant cette loi sur les femmes ( victimes autant que prostituées de leurs maquereaux) quitte à les tuer froidement des lois de l’honneur régnant dans ces sectes de mentalité primitive aux rites irrationnels et dangereux, les séquestrer à vie dans leur logement, tradition ancestrale régnant dans certains ghettos, l’émancipation culturelle associative ayant réussi à faire sortir les femmes voilées, à les dévoiler pour certaines et “occidentaliser”, séquestration qui risqu d’être remise à l’honneur chez les femmes soumises à l’intégrisme par crainte qu’elles ne circulent sous la menace d’une telle dime, serves taillables et corvéables à merci sinon du dictat religieux imposé à leur sort, du moins par l’incompréhension absurde des pouvoirs français, aggravant les violences déjà endurées depuis des siècles de dictat par ces femmes, raquettées pour simuler le consentement à cet enfermement de leur corps, quant à leur plaisir, qu’en est-il, sinon conditionnées à fanatisées pour revendiquer cet esclavage ou devoir fuir, enlevées par associations humanitaires, (seules à s’en préoccuper, à assurer la sécurité et la protection des femmes victimes) leur logement devenu camp de concentration. La loi votée sur la burqa, dictée sur un soucis sécuritaire, identitaire, de principes aveugles au nom d’idéologies bien pensantes, de lois républicaines en rien démocratiques, ignorantes des droits de la Femme sinon en leur nom, loi promulgant un retour en arrière de la France de un siècle, ne tenant aucun compte des risques mortels de la vie au quotidien des femmes, et de ces femmes.

2.Le problème réel n’est celui du droit, ni des lois républicaines ou mêmes laïques, car les lois dépendantes du nombre et la majorité des voix faisant loi, Hitler parvenu au pouvoir selon cette faille de la démocratie, le problème réside dans la “possession du corps” de la Femme à titre public confessionnel ou privé, si l’État, l’Homme et le Mâle en décident d’en rester propriétaires, l’esclavage tant imposé de tortures inhumaines que consenti chez la femme, devenu espoir de liberté chez elle, qui la fera survivre sous ce consensus dans une apparence de liberté promise, qu’elle ne trouvera qu’après sa mort ainsi que l’homme le lui a promis dans toute religion. La loi française calquée sur les lois musulmanes et de tous fascismes, punissant la femme victime de violences, viols et trafics d’êtres humains, de violences accrues à celles subies, précisément pour le simple fait de les avoir subies et parfois dénoncées, si elle l’a pu ou osé; le mutisme imposé sur les violences faites aux femmes, familiales, conjugales, maritales, patronales, religieuses, si puissant en sévices, tortures physiques, morales, molestages supplémentaires aux violences régulières, jugées normales par la loi qui protège, nie ces actes de barbarie quotidiens, les forces de l’ordre complices encourageant à ces méthodes, relaxant les violeurs, résignant au pire, voire le décès sous les coups parfois continus; la maltraitance physique le plus souvent déterminée démence, dans une inversion des responsabilités commune aux violences faites aux femmes, triple, quadruple peine suivie des abus, violences raciales envers le sexe, l’âge, physiques mutilatoires et mentales, surajoutées aux passés lourds de douleurs innommables, devant rester dans l’indescriptible des lois du silence pesant, en sus de celles du monde hospitalier, sur les violences faites aux femmes. Les rescapées privilégiées tant privilège rarissime d’être exempte de ce dictat de la violence, du droit au viol, à la surexploitation aliénant leurs droits, ayant droit de vie et de mort sur leur corps et leur identité physique, mentale, promises aux postes de battantes, ou devenues célèbres de cette exemption passant à la télévision, images symboliques de façade d’un pays souriant d’un bonheur,imaginé. Le problème, réside en l’existence de l’infliction de la torture, physique, mentale, sexuelle, sur une population du pays, celle des femmes, droit de fait à la torture établi sur ce sol à tel point que nul ne saurait, ni devrait y contrevenir, droit de fait si nié,occulté en consensus commun, par tous partis politiques, que la survie des femmes, parfois, ne peut compter que sur quelques associations, parfois dépourvues de discernement, de capacité d’action, se limitant à l’information, l’infirmation des droits, aucune action directement sur le terrain, pouvant restreindre le nombre de victimes, de décès par jours, tant que cela n’est par heure. le voile islamique, la burqa, si elle est le fanal évident de ce type de totalitarisme envers les droits fondamentaux et vitaux de la Femme, plus franc et évident que celui, insidieux, pervers, dépravé, et hypocrite des pays occidentaux, dont la France; d’autant qu’interdire la scolarisation des femmes voilées de la burqa ou du voile, serait promettre les plus émancipées à une inculture, une ignorance creuset des fanatismes intégristes religieux par ces fanatismes revendiquée, ces femmes racquetées jusqu’au mutisme absolu sur ce marché, ne pouvant que revendiquer le voile intégral, si elles veulent ‘accéder à la cognition et le savoir universitaire. Ne pas céder à ce chantage, serait plonger ce peuple des femmes islamiques, dans une horreur pire, celle de la cécité mentale sur leur sort, aveuglement idéologique qui leur interdirait toute lutte pour les droit de la Femme, y compris au sein de leurs pays d’origine si elles y retournent après leurs études, encourager leurs consœurs à l’émancipation des consciences envers la protection, la défense des Droits de l’Homme;



Pénaliser de l’expulsion, du refus de nationalité les hommes fanatiques fondamentalistes serait déjà bon signe, mais leur permettrait de reproduire leur violations des droits de l’Homme su d’autres femmes soit de retour dans leur pays d’origine, soit envers leurs femmes sur le sol français, sachant que le femmes voilées de l’Islam sont soumises au mariage forcé, au port du voile intégral, à la séquestration, aux rites fondamentalistes sous peine des violences familiales tortionnaires jusqu’au décès de l’omerta de l’Intifada, recluses dans le mutisme infligé de cette loi, sur ces tortures et violences, sur leur acception intime et personnelle de ces enfreintes à leurs droits, elles ne pourront qu’en signaler pour la plupart une fausse acceptation, qui leur sera retenue, pour les pénaliser, expulser, dans le refus imposé de leur nationalité, d’avantage.



Ainsi que cela a déjà été signalé dans un forum, le problème épineux de l’intégrisme religieux, quand il résiste à l’intégration des lois assurant la démocratie dans un pays, est le degré de conditionnement mental auquel il assigne, asservissement tenant du dressage, du lavage (ravage) de cerveau d’abord de la population la plus faible psychiquement, les enfants, mode identique de lavages du cerveau méthodiques à celui du nazisme lors ds pépinères de l’enfance hitlérienne, futurs SS, créant des formaions nerveuses, cérébrales, irréversibles, dans les populations féminines et des hommes issus de ces écoles religieuses coraniques, les femmes reproduisant mécaniquement, sur les phénomènes de reproduction de l’excison des femmes, les maltraitances déjà subies sur leurs filles, garçons promis aux embrigadements ultérieurs de ce culte, dans une reproduction de génération en génération, de ce système de fanatisation de secte. Exclues pour les vioaltions du code civil, des règles de la démocratie, qui ne sont des règles pour de règles, mais issues de lois étudiées pour être appliquées dans le juste droit sensé de leur application, pour que se respectent les droits fondamentaux, vitaux, dont le droit à la vie, le droit des Femmes, les droits de l’Enfance, des libertés individuelles. Quand la fanatisation peut s’emparer de tout et n’importe quoi, si cela se peut, l’on parviendra un de ces jours, à la totalitarisation de la secte des collectionneurs de capsules de cannettes de bières… L’intégration pour l’intégration, non,mais fonction du respect des libertés des concitoyens, donc des femmes issues de ces populations immigrées, quoique celles issues de populations autres qu’islamiques, posent moins “problème”, du fait pour nombre d’entre-elles de leur degré démancipation leur permettant le statut de réfugiées en France, pays d’accueil des ressortissants, réfugiés économiques et politiques des dictatures étrangères.



Ramener la privation des droits de la condition féminine sous les lois de l’Islam, au degré de pilosité des barbus intégristes de toutes religions, dont celle de gauchistes convaincus, tout aussi primitifs que premiers hommes dans leurs conceptions des droits de la Femme en occident, serait effectuer un sérieux amalgame, quoique, il faille reconnaitre, que contraindre à se raser la barbe, les barbus de ces écoles religieuses fanatiques, coraniques, juives, laïques, (la laîcité peut s’emballer dans un certain intégrisme religieux dont l’intolérance peut aboutir aux phénomènes identiques d’exclusion discriminatoire, voire, de violences et mutilations sexuelles ou d’autre nature les prolongeant, faisant appel à des fonctions administratives publiques, privées et médicales rémunérées pour l’infliction de ces tortures aliénantes et mutilatoires, dont l’excision, phénomène social repris du moyen orient où il se pratique souvent en clinique, autant que certaines mutilations punitives, dont celles de la main pour les voleurs), serait déjà un pas en avant, sinon une humilation non légale ni démocratique. Donc, il vaudrait mieux considére le problème réel, de la présence d’un islamisme intégriste sur le sol français, admis par les autorités jusqu’à une montée des idéologies d’extrême droite fondées sur le racisme, l’apparence, le préjugé et l’intolérance fanatique religieuse, présence d’intégrisme religieux donc islamique pouvant en effet recéler des foyers extrémistes fonctionant au sein des getthos, causés par le repli des immigrés en commutarisme défensif à racisme inversé, enrageant, exacerbant l’extrême droite, les violences policières à leur égard, et ne résolvant en rien, la réduction de la religion musulman à l’intégrisme extrémiste. Toutefois, si aucune action en la faveur des immigrés ayant adopté les modes de vie occidentaux, français, travaillant,impsés et souvent nourrissant des idées en afinité avec la gauche, l’humanisme,l’émancipation cuturelle, et la libération de la condition de la femme, ces familles émancipées, pour lesquelles serait légitimle droit de vote, seront soumises aux lois traditionnelles et omerta de ces fanatiques religieux, inerdisant de leur danger, l’attribution du droit de vote aux immigrés. Le problème n’étant celui de la burqa, mais celui de l’action, des agissements souterrains et secrets de ces réseaux extrémistes sous-estimés, alimentant en terroristes les pays du Moyen orient. Ne déclancher en rien une chasse aux sorcières, il faudrait simplement que les pouvoirs français s’attaquent aux causes négligées du mal et non aux effets ; la tenue vestimentaire des adeptes du Klu-klux-Klan et des fanatiques religieux de l’Inquisition, un petit bout de tissus anodin ? l’Etat français accepte la présence de l’Inquisition musulmane sur son territoire et la condition terrible de ses femmes, voila l’innacceptable; admis sous le principe de la tolérance laïque, ainsi que cela a été heureusement dit plus haut dans un commentaire, la tolérance laïque tolère l’Inquisition, la fanatisation des religions, y compris catholique, elle n’a à tolérer l’’aveuglement idéologique, la violation des droits du Code civil, des droits de l’Homme, ni les agissements d’un totalitarisme primitif religieux et politique, (la religion à a tête du pouvoir dans ces pays d’origine) de plus créant le trouble au sein de sa nation des tortures et sévices qu’il sous-entend pour s’exercer, notamment envers une population féminine et d’enfants qu’il persécute de barbaries insoupçonnées, conditionne et cloitre; déclarer la guerre à Saddam Hussein en contre-partie de sa dictature, si cela a été un bien pour ses vicitmes, prisonniers politiques et d’opinion, n’a répondu qu’à un besoin politique stratégique d’envahissement économique américain, donc, dans le cas d’une extension d’un dictat de ce type micro-Etat dans l’Etat, aux ramifications nationales, dans le pays français, quelle solution apporter, ni ne porte atteinte aux victimes, et choisisse la sanction humaine qui y mettra une fin ? Sachant que certaines de ces filières musulmanes fournissent en extrémistes les réseaux d’Alkaidha, d’où la résistance à la construction de minarets, mosquées et lieux de culte, ce qui rend plus innaccessible encore la prise de température de ces réseaux.



Problème de société récurrent :Constitution à des fins d’un réseau hospitalier de médecine psychiatrique, dont un réseau de prostitution pédophile et homophile, à mon avis, usant pour régner de conflits familiaux, et des cas de maltraitance, de violence familiale, d’inceste, de violences à domicile en tous genres, pour non les régler, mais constituer des filles tenues, réseau médical spécialiste en matière de violences sexistes envers les femmes, notamment une certaine criminalité sinon raciale envers les intellectuelles et femmes émancipées, signifiant dans ce cas leur devoir d’abêtissement et d’infantilisation de leur logos, je remarque une nette tendance à la psychiatrisation des femmes violées, battues, prostituées, au sein même de la famille, dans le particularités atroces de la torture psychiatrique,tout aussi grave et meurtrière que les violences conjugales qu’elles semblent reproduire, simuler, imposer, ainsi que le devoir conjugal envers le médecin spécialiste, mariage dans la perte de la fidélité, aussi condamnée, l’obligation ainsi contrainte, au “droit de prostitution” érigé en devoir civique du STO, sous prétexte parfois de service sexuel “initiatique à a sexualité chez les incultes et demeurés, trafics d’un proxénétisme hospitalier féodal, gériatrique, psychiatrisé, méthodique, dépuceleur de jeunes filles, depuis la défloration au vilebrequin, écarteurs de cuisses de femmes rebelles à ce système de corruption de service hospitalier et psychiatrique, qui ne consiste plus qu’à imposer la torture médicale, y compris pédiatrique, anti-féministe, sous convention de torture électrique cérébrale constante, mutilatoire des zones cérébrales incriminées pour trop d’idées (de gauche, la gauche vécue mal, démence grave) mutilations nerveuses et cérébrales simulant et à titre de mutilation sexuelle déjà imposée, jusqu’au devoir de neurochirurgie, “geste médical” systématique, systématisé destiné à récupérer les victimes dites protégées, en devoir d’acception de ces pratiques, des dégâts causés par la torture électrique, envers les femmes condamnées pour ces agissements envers le célibat, l’infidélité et la discorde dans les couples, dans l’obligation du devoir conjugal, et le respect dû à l’infliction identique de l’inceste, et la protection systématique des violences conjugales, familiales, à domicile, faites à femme et l’enfance martyr, sous la soumission obligatoire sous intervention psychiatrique d’urgence, à la domination du mâle, le discours de la femme tronqué des lobotomies commises sous appareil de torture électrique parfois infligée jusqu’à des blessures entraînant le décès, autant fréquemment que par violence à domicile.



Quitte pour certaines de ces victimes assez émancipées pour se rebeller, d’être contraintes pour survivre, de tuer ou d’essayer de supprimer par légitime défence parfois par strict réflexe d’instinct de survie, leur bourreau tyran domestique, geste de survie jusqu’à présent puni de la peine de mort, décapitation sinon psychiatrisée pour intolérence activiste envers un acte jugé d’”irresponsabilité” selon l’orientation politique et religieuse des juges,décapitations le plus souvent pratiquées dans chambres létales occasionnelles, au cours d’internements arbitraires dans conditions hors normes sans procédure licite véritable, sur décision de tribunaux d’exception improvisés dans bureaux médicaux, décisions de peines capitales fonctions du contexte politico-social et médical, ne serait-ce que pour simple tentative de supression envers un homme attentant à la vie, pratiquées sinon en incarcération pénale au bout autant qu’un internement psychiatrique d’un long parcours de souffrance d’un couloir de la mort institué de façon avouée ou non, ainsi qu’en France à l’heure actuelle, en Occident. peines demort avouées parfois “mort douce”, “apoplexie”, fatigue létale”, “mort par épuisement”, toute forme de mort naturelle, ou accidentelle prétextée, légalisée par médecins légistes assermentés, consentants, activistes eux-même sinon achetés.



Je voue une profonde admiration à l’égard du collectif de psychiatres iconoclastes qui ont “osé” enfin opposer un discours approprié en contre-attaque à la politique sécuritaire actuelle prenant en otage la poplationds malades mentaux, attaque de front qui n’est nouvelle, ainsi que les meurtres et menaces de mort homophobes à nouveau présent sur “le sol français” datant de la phase préparatoire aux exterminations raciales en hôpitaux psychiatriques nazis antécédant les camps de déportation SS dont les “camps roses” d’extermination raciale des homosexuels, la question dans ces cas de la réelle détermination de la légitimité du diagnostic de folie est à soulever,fausses déclarations de démence à envisager, déterminantes elles d’une demande véridique propagée par le climat social et des pouvoirs établis en libre concurence illicite faisant appel à ces mesures, d’un fichage méthodique médical et sécuritaire amenant à une surveillance et prise en charge dite thérapeutique (hors normes, parfois destinée à trafics interieurs aux hopitaux, de traites muliples de l’être humain,sinon pour certains prostitués sosus cette appellation de mesures de protection de la personne, “déments” nouveaux déportés soumis à cobayages contraints sous expérimentations scientifiques de camps de déportation ariens) de membres jugés “gênants” de partis politique,journalistes (si l’on peut dans ce cas “médicaliser” de ces mesures, les journalistes du Canard enchainé, les employés d’Emaus) défenseurs et sympathisants (adhérents ou non) de causes humanitaires non entrant dans le cadre de lignes “cadrantes” (sinon laminantes des mêmes urgences médicales) d’organismes et partis politiques agréés, donc, incontrolables, dans une politique totalitariste, de controle épervier anti-terroriste systmatique des activités intellectuelles de chaque individu en électron libre de la société, au non d’une potentialité infime selon les chiffres annoncés, de dangerosité (chifres infinitésimaux en comparaison de ceux de la criminalité urbaine et nationale) de “déments”, dangerosité créée, préfabriquée, causée dans un but de publicité mensongère coup de pub médiatique envers ce militantisme pour une sécurisation des asiles d’aliénés auxquels la démocratie revient, dans une double exigence de mainmise lourde sur tout patient,et de l’imposition en soumarin de la peine de mort sur certains “cas difficiles” (l’histoire ne dira s’il s’agit de prisonniers politiques et d’opinion constitués de ces mesures, par ailleurs appliquées depuis au moins les années 50),masquée sous le nom libertaire “d’euthanasie”,les psychiatres le dénoncent, par abus imposés de procédés dicatoriaux du “soin” créateurs de la démence, pousés à son paroxysme de criminalié et de légitime défense, donc prétendus soins basés sur quelles définitions de leur nature (à l’heure actuelle,la torture psychiatrique à son apogée et portée depuis 1930 à son comble), des critères de la démence dans ce cas, si tant de fraudes électorales politiques mensongères sinon à but de profit règnent, démarchage pro-Bushien, ou invasion de vague néo-nazie négationniste, en résurgence en Amérique avec celle du Klu-Klux-Klan ? A quand l’assignation officielle en résidence surveillée de type Birman de dissidents politiques, mais c’est peut-être déjà le “cas”,sous dénomination choisie de la langue de bois courante, de “placement anticipé sécuritaire”, non encore officiel, mais déjà en pratique non légalisée. S’il s’agissait donc tant de cela, la destruction du service public administratif fonctionnaire et hospitalier placé sous l’hégémonie de ce dogme depuis 1930 résiduel de l’administration de Vichy,et du pacte de non aggression d’Hithler avec Staline, générant un partage administratif dans une coalition sépararéeencore en viguer et en résurgence, des pouvoirs bureaucratiques soviétiques et pétainistes, guerre commune de deux fronts adverses, l’un imposant déjà au nom d’un militantisme fanatique les mesures totalitaires dans ce site décrites, l’autre militant vainnement mais farouchement tout de même face à au raz-de-marée tsunami sécuritaire d’une dictature policière dans les pressions physiques mentales et attaques personnelles que ces méthodes non toutes avouées ni officielles ni sues, sous-entendent. Politique de reptation de l’envahissement SS, de propagation obcsurantiste d’un aveuglement idéologique sur cette avancée, privilégiant l’ébriété générale soit par surexploitation, privation de vivres nécessaires à la vie, de sommeil liée à cet esclavagisme, dont celui des trois-huits, l’acculturation des masses sociales, le devoir d’ébriété des consommations rituelles obligatoires des opiums du peuples privilégiés en addictions souvent fatales, dont les drogues et l’éthylisme, assurant cette cécité mentale déjà créée des méthodes dictatotriales de tortures sociales et étatiques, ayant amené la dernière guerre mondiale dans l’inadvertance totale des sociétés face à cette reptation évidente d’une prochaine guerre mondiale de type identique, sinon destructrice définitivement de la planète, malgré les avertissements multiples des consciences lucides dont plusieurs exterminées en camps d’internement nazis dont les asiles d’aliénés, méthodes d’aveuglement totalitaire menées jusqu’à la non “compréhension” générale, méthodes de tortures d’occupation de terrain dont la politique imposée d’une monoculture viticole du midi et de régions assignées depuis des époques royalistes reculées, jusqu’à autonomisation revendicatrice de cette production viticole, monoculture ravinant le sols, les appauvrissant en substrats nutriciels essentiels à la vie d’une végétation réductrice des pollutions industrielles et atomiques, déforestation causes des incendies catastrophes multiples fréquentes en périodes de réchauffement climatique du à cette pollution capitaliste planétaire, dans le reniement d’une écologie humaine et sociale.



En sus des méthodes totalitaires d’une politique dite sécuritaire des établissements de santé mentale, imposée à titre de traitement de la folie et de soulagment de ses maux, souffrance morale supplémentaire aux tortures médicales substituant les soins prétendus, au nom d’un militantisme subaigu pour la peine capitale envers la dissidence au cas par cas d’abord “raisonnée” des tortures mutilatoire connues, passage en douceur de peines de mort envers ces dissidents, dénommée par le corps médical ”euthanasie”,l’euthnasie dont le débat a encore été abordé, ne devant relever que d’abord et en premier lieu, de cette lutte sociale pour une peine de mort généralisée et médicalisée confiée aux hôpitaux psychiatriques envers tout contestataire à ce régime, et la pratiquant depuis les années 80, sur de surcroit toutes victimes de ces méthodes un peu trop”gênantes” de la société pour l’implacabilité de ses arguments, réquisitoires et plaidoyers contre totue attaque au nom d’ue intolérance religieuse des multiples fascismes régnant dans les masses, et ceux des pouvoirs étalbis les divisant, par cuisson progressive létale du cerveau, de son système nerveux, sinon accompagnée d’ablation progressive également du cerveau par amputation des zones cuites et brulées, explosées et desséchées selon le mode de traitement électrique, brulures augmentées de la cuisson chimique de produits pharmaceutiques employés dans ces cas de torture psychiatrique, dont la cuisson chimique constante causée de certains neuroleptiques sensés remplacer les électrodes, électrochocs anciennes et nouvelle formules dans la pratique médicale actuelle leur infliction constante. Dans chambres létales présentes en cliniques au sein des hopitaux psychiatriques, cliniques privées, pavillons d’asiles psychiatriques, parfois improvisées dans simple chambre de patient, sur lit de fortune dans résidences privées, HLM, dans des cas d’assignations à résidence surveillée, méthodes birmanes intoduites ne France dans les années 80, dissimulées de nos jours sous le prétexte d”internement préventif sécuritaire”, le plus souvent non officiel ni déclaré, dissimulant la présence de prisonniers politiques et d’opinion réels, constitués depuis les années 50 et la Guerre des Nerfs ou Guerre Froide sous l’infliction de faux en écritures, faux témoignages en jurisprudence si l’affaire portée en justice, auprès des autorités et des forces de l’ordre, faux stipulant à tort le diagnostics de démence grave, détournement de lois, dont celle de la substitution à des violences subies au cours troubles de l’ordre public causés de troubles majeurs d’impétrants, privilégiés pour avoir commis violences physiques et mentales, juqu’à scènes de tortures quotidiennes continuelles sur des militants de gauche, relaxe systmatique de ces extémistes adverses laissés sur mesure d’intimidation dans le droit de poursuivre leurs actes de violences sur leurs vitimes, relaxe due à la stricte inversion des faits dans les versions multiples de ces affaires, des responsabilités et culpabilités, les militants hommes ou femmes victimes de dégradations corporelles mutilatoires voire importantes suites aux agressions en continuum de ces casseurs, inculpées à contumax et devant témoigner à toute heure sous la torture électrique, sinon internées, détournements donc de lois concernant la privation de liberté de personnes, ciblées pour le caractère subersif, d’une divergence d’opinion, qui si rendue publique, pourrait causer scandale parmis factions adverses de ce délit d’opinion ainsi constitué, de défenseurs conventionnels des libertés individuelles, de la démocratie, des droits de l’Homme, de la Femme et de l’Enfance, sympathisants de partis politiques de gauche, dont l’Ecologie, non admis sur simple délation de particuliers de voisinages immédiats, dans certains milieux fanatisés d’extrême droite,ou d’extrême gauche pro-soviétique, en butte à militants si isolés du fait de n’être soutenus ni défendus par leurs proches, de milieux extrémistes ciblant ces personnes qu’en premier lieu ils torturent sinon exécutent de crimes politiques, passionnels ou dus à la maltraitance, et excluent si auront survécu, prisonniers politiques d’autant plus ciblés que représentants d’une liberté de pensée défenseur d’une gauche humaniste, libertaire et pacifiste, issue d’un mouvment post Mai 68 à déterminer, ficher médicalement, limiter, infantiliser, surveiller étroitement, rattacher à une quelconque ligne de parti admis cadrant des mêmes rouleaux compresseurs d’un asile psychiatrique utilisé en Goulag et moyen de pression physique, toute liberté de conscience laissée en électron libre, libre de ses actes et mouvements, donc, à éradiquer, sinon foidement éliminer,au cas par cas, sous la loi du silence imposée de ce détournemnt premier de loi qu’est l’infliction à tort du diagnostic de démence pour délit d’opinion, traité des méthodes psychiatriques à vie, destinée à limiter, asphyxier, éliminer des tortures de guerre mentales sexuelles et physiques communes au pouvoir psychiatrique, il en existe dans ces cas des non conventionnelles, tout action de ce mouvement.



Autre version de paragraphe :Je voue une profonde admiration à l’égard du collectif de psychiatres “iconoclastes” qui ont “osé” enfin opposer un discours approprié en contre-attaque à la politique sécuritaire actuelle prenant en otage la poplationds malades mentaux, attaque de front qui n’est nouvelle, ainsi que les meurtres homophobes à nouveau présent sur “le sol français” datant de la phase préparatoire aux exterminations raciales en hôpitaux psychiatriques nazis antécédant les camps de déportation SS dont les “camps roses” d’extermination raciale des homosexuels, la question dans ces cas de la réelle détermination de la légitimité du diagnostic de folie est à soulever, fausses déclarations de démence à envisager, déterminantes elles d’une demande véridique propagée par le climat social et des pouvoirs établis en libre concurence illicite faisant appel à ces mesures, d’un fichage méthodique médical et sécuritaire amenant à une surveillance et prise en charge dite thérapeutique (hors normes, parfois destinée à trafics interieurs aux hopitaux, de traites muliples de l’être humain,sinon pour certains prostitués sosus cette appellation de mesures de protection de la personne, “déments” nouveaux déportés soumis à cobayages contraints sous expérimentations scientifiques de camps de déportation ariens) de membres jugés “gênants” de partis politique,journalistes (si l’on peut dans ce cas “médicaliser” de ces mesures, les journalistes du Canard enchainé, les employés d’Emaus) défenseurs et sympathisants (adhérents ou non) de causes humanitaires non entrant dans le cadre de lignes “cadrantes” (sinon laminantes des mêmes urgences médicales) d’organismes et partis politiques agréés, donc, incontrolables, dans une politique totalitariste, de controle épervier anti-terroriste systmatique des activités intellectuelles de chaque individu en électron libre de la société, au non d’une potentialité infime selon les chiffres annoncés, de dangerosité ( chiffres infinitésimaux en comparaison de ceux de la criminalité urbaine et nationale) de “déments”, dangerosité créée, préfabriquée, causée dans un but de publicité mensongère coup de pub médiatique envers ce militantisme pour une sécurisation des asiles d’aliénés auxquels la démocratie revient, dans une double exigence de mainmise lourde sur tout patient,et de l’imposition en soumarin de la peine de mort sur certains “cas difficiles” (l’histoire ne dira s’il s’agit de prisonniers politiques et d’opinion constitués de ces mesures, par ailleurs appliquées depuis au moins les années 50),masquée sous le nom libertaire “d’euthanasie”,les psychiatres le dénoncent, par abus imposés de procédés dicatoriaux du “soin” créateurs de la démence, poussés à son paroxysme de criminalié et de légitime défense, donc prétendus soins basés sur quelles définitions de leur nature (à l’heure actuelle,la torture psychiatrique à son apogée et portée depuis 1930 à son comble), des critères de la démence dans ce cas, si tant de fraudes électorales politiques mensongères sinon à but de profit règnent, démarchage pro-Bushien, ou invasion de vague néo-nazie négationniste, en résurgence en Amérique avec celle du Klu-Klux-Klan ? A quand l’assignation officielle en résidence surveillée de type Birman de dissidents politiques, mais c’est peut-être déjà le “cas”,sous dénomination choisie de la langue de bois courante, de “placement anticipé sécuritaire”, non encore officiel, mais déjà en pratique non légalisée.

S’il s’agissait donc tant de cela, la destruction du service public administratif fonctionnaire et hospitalier placé sous l’hégémonie de ce dogme depuis 1930 résiduel de l’administration de Vichy,et du pacte de non aggression d’Hithler avec Staline, générant un partage administratif dans une coalition sépararée encore en viguer et en résurgence, des pouvoirs bureaucratiques soviétiques et pétainistes , guerre commune de deux fronts adverses, l’un imposant déjà au nom d’un militantisme fanatique les mesures totalitaires dans ce site décrites, l’autre militant vainnement mais farouchement tout de même face à au raz-de-marée tsunami sécuritaire d’une dictature policière dans les pressions physiques mentales et attaques personnelles que ces méthodes non toutes avouées ni officielles ni sues, sous-entendent.



Politique de reptation de l’envahissement SS, de propagation obcsurantiste d’un aveuglement idéologique sur cette avancée, privilégiant l’ébriété générale soit par surexploitation, privation de vivres nécessaires à la vie, de sommeil liée à cet esclavagisme, dont celui des trois-huits, l’acculturation des masses sociales, le devoir d’ébriété des consommations rituelles obligatoires des opiums du peuples privilégiés enaddictionssouvent fatales, dont les drogues et l’éthylisme, assurant cette cécité mentale déjà créée des méthodes dictatotriales de tortures sociales et étatiques, ayant amené la dernière guerre mondiale dans l’inadvertance totale des sociétés face à cette reptation évidente d’une prochaine guerre mondiale de type identique, sinon destructrice définitivement de la planète, malgré les avertissements multiples des consciences lucides dont plusieurs exterminées en camps d’internement nazis dont les asiles d’aliénés, méthodes d’aveuglement totalitaire menées jusqu’à la non “compréhension” générale, méthodes de tortures d’occupation de terrain dont la politique imposée d’une monoculture viticole du midi et de régions assignées depuis des époques royalistes reculées, jusqu’à autonomisation revendicatrice de cette production viticole, monoculture ravinant le sols, les appauvrissant en substrats nutriciels essentiels à la vie d’une végétation réductrice des pollutions industrielles et atomiques, déforestation causes des incendies catastrophes multiples fréquentes en périodes de réchauffement climatique du à cette pollution capitaliste planétaire, dans le reniement d’une écologie humaine et sociale.

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