jeudi 4 mars 2010

N'étant ni sous aucune mesure réelle de placement, ni ne mesure de suivi à domicile, ni de maintien en appartment thérapeutique, mesure disciplinaire, et pourtant traitée à domicile tout autant que dans éjour discipliaire dans départments de santé mentale, selon les modalités d'nterventions qui se pratiquent de nos jours,calquées sur les tortures pratiquées dans les nyerntements à l'étranger (Turquie, Asie, Amérique et "vol au dessus d'un nid de coucou,leur film favori, roumanie) je vous ai confié des écrits concernant une affaire d'usage illicite de la médecine psychiatrique dans des pratiques du proxénétisme communes à des secteurs hospitaliers, sur simple demande de pères et mères de familles à structure familiale basée sur la mère maquerelle et le père sinon führer, du moins père patriarche de type taliban, iranien, ou pakistanais, se calquant sur ce pouvoir hyperrépressif, parents protecteurs et leurs complices, obsédés par ce pouvoir du CHR d'intervenir dans le domaine privé à des fins de parties de stupre vénal et donc à des fins de constitution par leurs services, de prostituées sur exigences de leur famille, pédophile de ce système de corruption, en aficionados adeptes de cette dépravation hospitalière, contraintes par ce genre de macquage à des médecins véreux, crapuleux assez pour instituer ce droit de fait d'interventions constantes au domicile, dont ici, le mien,issue de milieux pédophiles de l'enseignement, adeptes de ce type de pédophilie psychiatrisée sur enfant martyr, pour infliger de séances d'électrochocs, électrodes en tous genres, jusqu'à la cuisson de système nerveux et cérébral,destinées à en continuum le tabasser, digéré de plus par imbibitions forcées de salives d'autrui destinées à le digérer, dans un but d'obliger et de m'obliger, à ne point leur résister, quitte pour eux à soumettre à des exécutions sommaires si refus de céder aux rites obligatoires de la prostitution dite ensuite libre,et pratiquées depuis les dernières lois de Sarkozy, en appartement, sans préservatifs, prostitution à déviances sexuelles contre-nature dangereuses pour la vie et la santé, parties de torture à thèmes et trips des plus fascistes dites de snurf, médicalisées, avec actes maints de défiguration, vitriolage de produits nocifs du corps et de la beauté de ces femmes, condamnées pour ces agissements au célibat, sous prétextes de placements d'office, le plus souvent, mesure de protection administrative de la personne en milieu dit protégé, à l'usage illicite de la torture psychiatrique des plus fascistes poussée à des degrés de violence et de crémation du système nerveux (ensuite dépecés le sujet encore en vie, systèmes cérébraux dont certains déclarés ainsi que le mien au départ de l'affaire, de très fort potentiel, donc anormal, décrété anomalie), tels qu'ils peuvent devenir meurtriers, placement le plus souvent affabulé et prétexté pour plus de liberté dans ces agissements dont soumission à la consommation forcée de porc, très enlaidissant, de la chevelure, brulure du sexe à titre répressif, affamement, privations de nourritures essentielles à la vie, auto-alimentation notamment en viande et surtout viande rouge, très prohibée, alimentation des victimes tolérée si seulement expressément, exclusivement sous régime sans protéines d'une l'alimentation forcée à base de viennoiseries grasses sucrées et salées, (croques-monsieur, et autres ) de pâtes et de pâtées pour chat par intubation, parfois jusqu'à a sur-nutrition des années maintenue, méthode issue de celles de Mussolini, malbouffe destinée à bruler, cuire,dessécher,autre procédé de crémation, digérer les protéines des chairs par l'abus de graisses et de sucre, carençant, obligation en continu au régime sans résidus destiné d'ordinaire aux examens coloscopies, régime en ce cas employé dans un but de cancériser, seule nourriture par ces bourreaux tolérée, car sans fibres, ni légumes, ni fruits, privation de sommeil, de biens vitaux et nécessaires au confort,qui leur est reproché trop bourgeois pour elles, restrictions en complicité avec des organismes de tutelles tels l'UDAF, inflictions arbitraires (sous un prétexte de devoir de substitution envers des victimes de violences), de punitions médicalisées pédophiles telles injections d'anesthésiques à cul nu en public, destinés à des séances de torture électrique, employées par les services médicaux en opérations du cerveau, imposition de nourritures contraires à la santé, forme de brutalités supplémentaires, tortures, sévices institués à tire de punitions corporelles, châtiments corporels arbitraires des rituels orgiaques pédophile encore en vigueur, envers femmes, filles émancipées, donc décrétées "pas sages" si non filles faciles, sinon en devoir d'être et rester filles tenues, de ces pratiques de la torture et méthodes policières pouvant aboutir au suicide contraint sinon le meurtre dans d'atroces souffrances mentales et physiques de la victime, ou à la pousser à l'homicide par légitime défense de leur mac, ainsi qu'il en est pour ma personne, en état de bourreaux depuis la petite enfance de leur victime, affaiblie physiquement de surcroit, d'inflictions en continu de narcotiques puissants, cuisant les chairs disloquées en plus de la cuisson de l'organisme due aux décharges violentes de courants électriques donc, des massacres, officiellement et rituellement déclarés inexpliqués et subits, incompréhensibles, les instances juridiques, les forces de la police, protégeant sciemment les faits, contraignant au règlement de compte meurtrier. Tentatives d'homicide auxquelles je ne sais par quelle résistance physique commune à ma famille, j'ai survécu, certaines décédées à cette heure de ces violences, ou rendues à la vie très diminuées. Mon appartement devenu leur "ferme", certains pavillons psychiatriques usant de telles méthodes envers certaines de leurs protégées dites "rétives"au métier, autrement-dit, leur maison d'abattage, d'entrainement, ou dite de correction destinée à contraindre sous le viol continuel, l'usage en continu de la torture électrique et psychiatrique, à se soumettre aux lois du macquage flicquant ,proxénète, lois de droit de fait destinées à établir depuis 1900 sur la France ce type de dictature régnant dans l'immobilisme social et la peur du psychiatre générée par ces secteurs médicaux institués en organes répressifs des pouvoirs établis, assez cyniques, machiavéliques et mafiosi pour "s'amuser à faire du fric, dans ces formes de placements d'office non déclarés, ni au préfectures, ni à la sécurité sociale, argent au black dont ils sont rémunérés, faute de budget plus conséquent, en cause, les suppressions des financements et subventions en provenance de l'état, sic, pour leurs abus et crimes contre l'humanité rituellement traditionnels en tous milieux, déjà connus en prolifération,dans les domaines de la psychiatrie, milieux pro-soviétiques très éthyliques, d'une supériorité raciale insupportable.
A peu tout type de maladie mentale ayant été depuis ma naissance, envers moi nvoqiées, sauf peut-être quelques unes méconnues du grand public.Chaque diagnostic, pouvant conduire à de poursuites pénales, diférant avec le médecin employé.
Peine capitale de nos jours encore exécutée,au sein des hôpitaux psychiatriques et généraux euthanasie imposée, infligée destinée d'ordinaire aux vieilles personnes anciens résistants et femmes âgées au sein des maisons de retraite capables des pires meurtres prémédités et violences létales, dont, sur ma personne, non en âge de 65 ans requis pour ce droit à l'exécution capitale dans ce genre de conditions de camps d'extermination, soumise à cette heure à cette décapitation lente commise sous le bâillon chimique de la chape de plomb totalitaire du médicament neuroleptique, le fameux traitement de la torture chimique commune à tout prisonnier politique de ce régime d'années de plomb, afin d'éviter tout ébruitement pour en partie, des faits et agissements pierre d'achoppement de ce livre, Judas, un denier de mes inédits.
Peine capitale tentée entre autres sur mon chat, trouvé rebelle car doué d'une forte intelligente presque humaine, tabassé longtemps aux électrochocs autant qu'être humain, sachant que le crane d'un chat est de taille beaucoup plus réduite que celle d'un être humain, donc, laissé souvent à l'agonie de cette torture, réveillé par vétérinaires intervenues à temps pour lui à mon insu, tabassé quasi à mort à nouveau moi-même autant, par intervention de ces plombières électriciens des départements psychiatriques, en visites constantes sur les appels de mauvais éléments, lui, crucifié longtemps sur cette croix du chat du film 1900, jugé inutile si je devais être exécutée. Tentatives répétées d'exécution de mon chat pris en otage brulé plusieurs fois ces dernières années, jusqu'à l'odeur de viande frite des son crane et de jus de viande, son sang.mon organisme tnt intoxiqué d'overdoss de médicaments, anesthésiques, neuroleptiques quotidiens et retard, en achet se tinjections, sans placment légal, enflé de ces overdoses, causes d'oedme généralisé, jusquà la dificulté respiratore frquemment imputée au tabac, overdoses galement jusqu'à la rétention hydrique, poussée au surpoid, la dévitalisation ds chairs et tissus, par privation continue sciemment prolongée, inanition destinée à m'afaiblir, m'interdire toute riposte verbale, écrite, digérer es tissus cérébraux et réseux nerveux en vue de leur résection partielle et en grand part, digestion des tissus de l'organsime augmentée de glaires et excès salivaires de codamnés à cs mêmes pratiques, dégurgitées au cours de malaises et junes pour les mêmes opérationsneurologiques poussées jusqu'au devoir de neurochirurgie, dit "geste médical", mon corps si ce jeune se prolonge, constitué entièrement, de cytoplasme,d'eau, de quelques tissus interstitiels constitaunt l'enveloppe de cellules, fragilisées du manque de protines et de nourriture saine;
Ou du moins appropriée, souffrn d'u cancer du sein acquisde ssouffrancs et doloeurs insurmontables,  de méthodes similaires, destinées à rendre folle ou fou des blessures occasionnées, plaies multiples et répétées, tabassées jusqu'à la réanimation fréquente, brulures pouvant dans certains cas être mortelles, jusqu'à  certain degré de cuisson du cerveau, en particulier ds zones à amputer, très cuites, sinon frits dans lebeurre et le "jus" de cerveau voulu.Torture antropophage de type nazi.les zones résques, souvent présentées ensuite sur plateau de légumes régurgités pour l'occasion, fadaises que ces médecins et équipes médicales se sont permises, réputées farces Jung.
Je vous prie d'excuser la présence de doublons dans les textes que je viens d'envoyer par e-mail à votre organisme, effet echo des doublons causés par un intervenant à mon domicile, dont le role est de censurer, saboter  mes textes et écrits, couriels et manuscrits, de me reprocher éternellement, la faute professionelle qui m'a été infligée, puis mise sur mon compte, de doublons dans un travail de saisie informatiuque lors d'un CES que j'effectuais au sein dela Pharmacie de melle Rousseau, pharmacie de Saint-Eloi, dans les années 90, doublons prémédités par un de ces saboteurs, mon travail mis sous électrode quasi constantes d'équipes intervenantes fantisées sur mes lieux de travail, y compris la DDASS où j'avais entammé ce CES, puis mutée pour les raisons suivantes, de titularisation de mon poste, qui exigeait un diplome que je n'avais, j'avais été mutée ensuite à Saint-Eloi, où l'équipe, je suppose de Robert Bres, dont je n'étais plus officiellement suivie, avait décidé de mon licenciement, ainsi que de tout emploi que j'oserai tenter, qui porait m'assurer une indpendance vitale envers ce département, où ce secteur m'a voulue, sous prétexte ,et afin de prétendre à la maladie, au devor d'"éteindre" "les plus atteints", ma lutte contre ces crimes contr l'humanité sanctionnée de tentatives multiples d'infliction de l'euthanasie telle qu'ils revendiquent pour certains pavillons,qu'elle s'inflige dans ces secteurs, par mort violente et lente, sinon douce et contre le gré des victime, qui pourraient s'avérer un danger potentiel de dénonciation envers ce crimes, abus, tortures déjà subies, si ces patients n'ont "appris la leçon" imposée dela loi du silence sur ces faits, maladies mentales, préfabriquées sur les modes identiques, à un travail à la chaine, que ces personels médicaux, revendiquent, au nom de stakanovisme inavoué du travail, dont ils me veulent atteinte, toute résistence à leur politique, décrétée nazisme, atteinte grave de la maladie; paroxysme actuel de l'affaire, suite à mes plaintes, en concussion véreuse, avec le secteur 1, qui se charge de couvrir l'affaire, en séquestrant, sinon d'interventions identiques, sinon en légalisant le fait des virées, expéditions punitives à domicile, dans trams, cars, taxis, restaurants, commerces, par le placement officiel;
Les médecins de ces départements,ayant fait le temps des fêtes de fin d'année, une incursion, une partie de "rave de rêve" à petite fête alcoolisée dans mon appartement, fête où ils se sont amusés de moi, ayant cru avoir afair à un prostituée, sur délation mensongère d'une de mes voisines, alccolisée et dontje suis femem batue, elel fmme racolant aurpsè des étalbissments, en vue d'organsier ces visites impromptues à mon domicile, d'abord en vue de me "macquer" au métier deprostituée qu'elel exige d emoi, ensuite, en vue d'intimidations en ce sens, partis de sauterie infligées  avec les instruments dits de soin de leur pratique  médicale,médecins et élèves psychiatres, dénommés internes, affirmant qu'ayant bu, ils ne se souviennent de rien, ils auront voulu me faire définitivement disparaitre, afin de s'éviter tout procès, qui pourait s'avérer envers eux accablant, d'où la censure de mes txtes, rédigés sous interventions médicales, à anesthésies et électrodes, dont le plus souvent parfois électrodes sans anesthésie, d'où la présence de fautes de frappe multiples, mes rédactions entravées de ces décharges électriques, engins de contentions les simulant douloureusment, et violences  psychiatriques supplémentaires; me vouant à sur internet, intervenants n'hésitant à la l'alimentation forcée sous peine de gaspilalge de la totalité de ma nourriture par la souillure de déchets hospitalier shumains, résection lobotomique du pourtour du cerveau, sinon de matière grise cérébrale , environ un Kg dès l'entière repousse des zones amputées, ainsi que nerfs intcrâniens, dédoublés de violentes décharges électrodes,les tuant net, excisés et s'accrochant à la main d'électricité statique. D'où quelques difficultés à retrouver, mon niveau intelelctuelesl réel et encore récemment acquis, évalué au niveau agrégations, agrégations multiples car étoile de la personnalité et de facultés mentales, éclectique,l'étude philosophique dans laquelle j'ai été repoussée de ces pratiques  illicites, sanctionée des mêmespratiques,ma vie sacrifiée à cela, dans l'abstinnce sexuelle exigée, l'étude, les électrodes,les trépanations, m'ayant formée à cet éclectisme, étude sréséquées dès que sues sur délation de type vichissoise et police stasie politique régnant autour de ma personne, exercices de surveilance suivis de controles à dmicle, interprétée selon les critères phallocrates du diagnostic de démence, forme de délire paranoïde chez individus ayant subi  des controles dê type identique;toute vie relationnelle, sexuelle immédiatement si sue, sanctionnée de décharges suplémentaires;xistece condamnée au célibat, qui m'est reproché sous l'injure de "vieille fille".





N'étant ni sous aucune mesure réelle de placement, ni ne mesure de suivi à domicile, ni de maintien en appartement thérapeutique, mesure disciplinaire, et pourtant traitée à domicile tout autant que dans séjour disciplinaire dans départements de santé mentale, selon les modalités d'interventions qui se pratiquent de nos jours,calquées sur les tortures pratiquées dans internements à l'étranger (Turquie, Asie, Amérique et selon les modalités du film "vol au dessus d'un nid de coucou,et hôpitaux de Roumanie ayant enfreint les droit de l'Homme) je vous ai confié des écrits concernant une affaire d'usage illicite de la médecine psychiatrique dans des pratiques du proxénétisme pédophile ou envers adultes, communes à des secteurs hospitaliers, sur simple demande de pères et mères de familles à structure familiale basée sur la mère maquerelle et le père sinon führer, dictateur, du moins père patriarche de type taliban, iranien, ou pakistanais, se calquant sur ce pouvoir hyperrépressif, parents protecteurs et leurs complices, obsédés par ce pouvoir du CHR d'intervenir dans le domaine privé à des fins de parties de stupre vénal ou de contrôle, des besoins sexuels, alimentaires, aboutissant à restrictions financières, privations de besoins fondamentaux, censure mentale et écrite de l'activité intellectuelle, de preuves écrites des abus, et comportements répresseurs de toute hygiène, faculté mentale, réussite sociale, donc à des fins de constitution par leurs services, de prostituées sur exigences de leur famille, pédophile de ce système de corruption, en aficionados adeptes de cette dépravation hospitalière,ou de surcroit, de trafics en tous genres d'êtres humains promis à une surexploitation gratuite sous l'étiquette infligée le plus souvent à tort,sinon préméditée dans le but de ces trafics, le plus souvent créateurs de la folie dans un but avoué de prétention à la soigner, sinon en fait, à l'entretenir, rôle essentiel des personnels et praticiens que je dénonce, personnels médicaux frauduleux, et praticiens, médecins corrompus, charlatans, crapuleux assez pour instituer ce droit de fait d'interventions constantes au domicile, dont ici, le mien. Issue de milieux pédophiles de l'enseignement, adeptes de ce type de pédophilie psychiatrisée sur enfant martyr, pour infliger de séances d'électrochocs, électrodes en tous genres, jusqu'à la cuisson de système nerveux et cérébral,destinées à en continuum le tabasser, digéré de plus par imbibitions forcées de salives d'autrui destinées à le digérer, dans un but d'obliger et de m'obliger, à ne point leur résister, quitte pour eux à soumettre à des exécutions sommaires si refus de céder aux rites obligatoires de la prostitution dite ensuite libre,et pratiquées depuis les dernières lois répressives envers la prostitution libre pratique sur la voie publique,résolue en appartement, sans préservatifs, prostitution à déviances sexuelles contre-nature dangereuses pour la vie et la santé, parties de torture à thèmes et "trips" d'usage des plus fascistes parties dites de snurf, médicalisées, avec actes maints de défiguration, vitriolage de produits nocifs du corps, de la chevelure, des organes génitaux et de la beauté en général des femmes, reprochée au cours de ces "visites" à des victimes, dont je suis, condamnées pour ces agissements au célibat, sous prétextes illicites, fabulés, de placements d'office, le plus souvent, mesure de protection administrative de la personne en milieu dit protégé, ici, abus infligés dans la menace d'officialisation de ce placement illicite à mon domicile, sur tout lieu de passage, de déplacement en ville, que j'endure, à l'usage illicite de tortures psychiatriques des plus fascistes sinon violentes, dégradantes envers la dignité humaine, et mettant pour beaucoup en danger, la santé mentale, la santé physique, et la vie, violences poussées à des degrés de brutalités et de crémation du système cérébral et nerveux (ensuite dépecés le sujet encore en vie, systèmes cérébraux dont certains déclarés ainsi que le mien au départ de l'affaire, de très fort potentiel, donc anormal, décrété anomalie et choisi pou cible en fonction de cette détermination, potentiel souvent réévalué après résections lobotomiques faisant suite à ces parties de tortures dont neurologiques), tels qu'ils peuvent devenir meurtriers, placement le plus souvent affabulé et prétexté pour plus de liberté dans ces agissements dont soumission à la consommation forcée de porc, très enlaidissant, de la chevelure, brulure du sexe à titre répressif, affamement, privations de nourritures essentielles à la vie, auto-alimentation notamment en viande et surtout viande rouge, très prohibée, alimentation des victimes tolérée par les intervenants à domicile et en tout lieu, si seulement expressément, exclusivement sous régime sans protéines d'une l'alimentation forcée à base de viennoiseries grasses sucrées et salées, (croques-monsieur, et autres ) de pâtes et de pâtées pour chat par intubation, parfois jusqu'à sur-nutrition des années maintenue, méthode issue de celles pratiquées durant la guerre, sous la dictature de Mussolini, "malbouffe" destinée à bruler, cuire,dessécher,autre procédé de crémation, digérer les protéines des chairs par l'abus de graisses et de sucre, carençant, obligation en continu au régime sans résidus destiné d'ordinaire aux examens coloscopies, régime en ce cas employé dans un but de cancériser, seule nourriture par ces bourreaux tolérée, car sans fibres, ni légumes, ni fruits, sinon depuis décembre 2009,mise à jeun stricte, toute alimentation autonome suivie de viols buccaux, inflictions d'ingestions forcées de glaires et salives infectantes, mucosités nasales et lubrifiants séminaux issus de déchets humains, dont certains recueillis sur ma propre mère décédée d'un cancer, privation de nourriture causée par son mélange immédiat dès sa préparation avec ces humeurs humaines, privation de sommeil, de biens vitaux et nécessaires au confort,qui m'est reproché trop bourgeois pour mes pensées si je persiste à les affirmer dans le style obligatoire de l'analphabétisme exigé pour plus de preuve d'une "régression de facultés mentales" qui nécessiterait soins à domicile, infligés de façon anticipée et en faveur du projet de loi sur les enfermements psychiatriques à domicile, privations, gaspillages sciemment voulus de mes aliments, régime sec sans eau, pour le fait d'avoir subir l'alimentation forcée jusqu'au surpoids des décennies, occasionnant des restrictions sous la détermination que trop grosse, je devais ne plus m nourrir, en complicité avec des organismes de tutelles tels l'UDAF, inflictions arbitraires (sous un prétexte de devoir de substitution envers des victimes de violences), de punitions médicalisées pédophiles telles injections d'anesthésiques "à cul nu" en public, destinés à des séances de torture électrique, employées par les services médicaux en opérations du cerveau onéreuses, si même remboursées intégralement par mutuelles de familles des victimes,familles corrompues à ces abus, consentantes avec ces fraudes, causes de déficit de la Sécurité Sociale, imposition de nourritures contraires à la santé, forme de brutalités supplémentaires, tortures, sévices institués à titre de punitions corporelles, châtiments corporels arbitraires des rituels orgiaques pédophiles encore en vigueur, envers femmes, filles émancipées, donc décrétées "pas sages" si non filles faciles, sinon en devoir d'être et rester filles tenues, de ces pratiques de la torture et méthodes policières en accord et soutenues pare force de l'ordre,le Corps des pompiers et les urgences médicales,oppressions faisant accroire à la paranoïa mégalomane, au délire de persécution au sentiment d'indignité et d'injustice, et autres symptomatiques répertoriées interprétant en langage médical officiel, les mises en scènes fructueuses en gains, plaisirs et travail) visant à traiter ces démences préalablement prétextées, pouvant aboutir au suicide contraint sinon le meurtre dans d'atroces souffrances mentales et physiques de la victime, ou à la pousser à l'homicide par légitime défense certains des plus dangereux et dégradants de leurs persécuteurs, sinon à un soin psychiatrique ad vitam, ponctué de placements officiels de mise à pied, ainsi qu'il en est pour ma personne, personnels médicaux en état de bourreaux depuis la petite enfance de leur victime, affaiblie physiquement de surcroit, d'inflictions en continu de narcotiques puissants, cuisant les chairs disloquées en plus de la cuisson de l'organisme due aux décharges violentes de courants électriques donc, des massacres, officiellement et rituellement déclarés inexpliqués et subits, incompréhensibles, les instances juridiques, les forces de la police, protégeant sciemment les faits, contraignant au règlement de compte meurtrier chez certains "protégés". Tentatives d'homicide infligées de ces personnels bourreaux auxquelles je ne sais par quelle résistance physique commune à ma famille, j'ai survécu, certaines victimes décédées à cette heure de ces violences, ou rendues à la vie très diminuées. Mon appartement devenu leur "ferme", certains pavillons psychiatriques usant de telles méthodes envers certaines de leurs protégées dites "rétives"au métier, autrement-dit, leur maison d'abattage, d'entrainement, ou dite de correction destinée à contraindre sous le viol continuel, l'usage en continu de la torture électrique et psychiatrique, à se soumettre aux lois du macquage contrôleur ,proxénète, lois de droit de fait destinées à établir depuis 1900 sur la France ce type de dictature régnant dans l'immobilisme social et la peur du psychiatre générée par ces secteurs médicaux institués en organes répressifs des pouvoirs établis, assez cyniques, machiavéliques assez issus d'une pègre locale mafiosi pour "s'amuser à faire du fric, dans ces formes de placements d'office non déclarés, ni au préfectures, ni à la sécurité sociale, argent au black dont ils sont rémunérés, faute de budget plus conséquent, en cause, les suppressions des financements et subventions en provenance de l'état, sic, pour leurs abus et crimes contre l'humanité rituellement traditionnels en tous milieux, déjà connus en prolifération,dans les domaines de la psychiatrie, milieux pro-soviétiques très éthyliques, d'une supériorité raciale insupportable.

A peu tout type de maladie mentale ayant été depuis ma naissance, envers moi invoquées, sauf peut-être quelques unes méconnues du grand public( hystérie de conversion, une des rares à n'avoir pas été chez moi diagnostiquée et bien pourtant simulée).Chaque diagnostic, pouvant conduire à des poursuites pénales,et différant avec le médecin employé.

Pire encore aura été commis, certains secteur revendiquant, pratiquant la peine capitale de nos jours encore exécutée par mort violente, sinon lente dans souffrances physiques, morales, atroces, pratique de l'exécution sommaire confiée non officiellement; illégalement,à certains pavillon fermés au sein des hôpitaux psychiatriques, secteurs oncologiques et généraux, ainsi que domiciles privés dans faux suivis, euthanasie imposée, infligée, destinée d'ordinaire aux vieilles personnes déclarée en fin de vie, opposants à ces pratiques, résistants à quelque litige ou hostilité de groupe, anciens résistants et femmes âgées au sein des maisons de retraite capables des pires meurtres prémédités et violences létales, dont, sur ma personne, non en âge de 65 ans requis pour ce droit à l'exécution capitale dans ce genre de conditions de camps d'extermination, soumise à cette heure à cette décapitation lente commise sous le bâillon chimique de la chape de plomb du médicament neuroleptique, fameux traitement représentant communément et employé à cet usage, de la torture chimique commune à tout prisonnier politique de ce régime d'années de crise, afin d'éviter tout ébruitement pour en partie, des faits et agissements pierre d'achoppement des peines répressives et médicalisées que je subis dans un cercle vicieux éternel .Peine capitale tentée entre autres sur mon chat, trouvé rebelle car doué d'une forte intelligente presque humaine, tabassé longtemps aux électrochocs et coups de poings sur le crâne assenés, autant qu'à être humain, sachant que le crâne d'un chat est de taille beaucoup plus réduite que celle d'un être humain, donc, laissé souvent à l'agonie de cette torture, réveillé par vétérinaires intervenues à temps pour lui à mon insu, tabassé quasi à mort à nouveau moi-même autant, par intervention de ces dits plombiers électriciens des départements psychiatriques, en visites constantes sur les mon chat crucifié longtemps sur cette croix du chat du film 1900, jugé inutile si je devais être exécutée. Tentatives répétées d'exécution de mon chat pris en otage brulé plusieurs fois ces dernières années, qui l'ont laissé brulé autant que moi-même jusqu'à l'odeur de viande frite de son crâne et de jus de viande, odeur de son sang et du mien. Mon organisme tant intoxiqué d'overdoses de médicaments, anesthésiques, neuroleptiques quotidiens et retard, en cachets et injections, prescrits ou infligés par plusieurs médecins inconnus, qui n'en tiennent le compte, sans trace ni d'eux, ni des boites contenant ces médicaments, ni de leur nom, ni de leur posologie, sans placement légal, afin d faire accroire à la maladie,mon organisme donc enflé de ces overdoses, causes d'œdème généralisé, jusqu'à la difficulté respiratoire fréquemment imputée au tabac,et de préjugés malsains envers le surpoids, l'hydropisie induite par la rétention hydrique à long terme causée de ces traitements chimiques, devant remplacer toute prise de nourriture,d' eau et tout sommeil,tortures poussant au surpoid, à la cancérisation actuelle dont je souffre à nouveau, suite à ces privations sciemment prolongées, sévices jusqu'à une dévitalisation, une brulure profonde et des blessures continuelles des chairs et tissus, l'inanition destinée à m'affaiblir, m'interdire toute riposte verbale, écrite, digérer es tissus cérébraux et réseaux nerveux en vue de leur résection partielle et en grand part, digestion des tissus de l'organisme augmentée de glaires et excès salivaires de condamnés à ces mêmes pratiques, dégurgitées au cours de malaises et jeunes pour les mêmes opérations neurologiques poussées jusqu'au devoir de neurochirurgie, dit "geste médical", mon corps si ce jeune se prolonge, constitué entièrement, de cytoplasme,d'eau, de quelques tissus interstitiels constituant l'enveloppe de cellules, fragilisées du manque de protéines et de nourriture saine;

Ou du moins appropriée, souffrant d'un cancer du sein acquis des souffrances et douleurs insurmontables imposées de ces méthodes mutilatoires sur des vies entières, destinées à rendre folle ou fou des blessures occasionnées, plaies multiples et répétées, tabassées jusqu'à la réanimation fréquente, brulures pouvant dans certains cas être mortelles, jusqu'à certain degré de cuisson du cerveau, des zones génitales, de viscères et muscles du corps, en particulier des zones à amputer, très cuites, sinon frits dans le beurre et le "jus" de cerveau voulu. Torture anthropophage de type arien. Les zones réséquées, souvent présentées ensuite sur plateau de légumes régurgités pour l'occasion, "fadaises" que ces médecins et équipes médicales se sont permises, réputées farces Jung.

privilégiant un intervenant handicapé mental, assez arriéré à mon domicile, dont le rôle est de censurer, saboter mes textes et écrits, courriels et manuscrits, de me reprocher éternellement, la faute professionnelle qui m'a été infligée, puis mise sur mon compte, de doublons dans un travail de saisie informatique lors d'un CES que j'effectuais au sein d'un hôpital général de ma région, dans les années 90, doublons prémédités par un de ces saboteurs, mon travail mis sous électrodes quasi constantes d'équipes intervenantes fanatisées sur mes lieux de travail, y compris la DDASS où j'avais entamé ce CES, puis mutée pour les raisons suivantes, de titularisation de mon poste, qui exigeait un diplôme que je n'avais, j'avais été mutée ensuite à Saint-Eloi, où l'équipe, je suppose de Robert Bres, dont je n'étais plus officiellement suivie, avait décidé de mon licenciement, ainsi que de tout emploi que j'oserai tenter, qui pourrait m'assurer une indépendance vitale envers ce département, où ce secteur m'a voulue, sous prétexte ,et afin de prétendre à la maladie, au devoir d'"éteindre" "les plus atteints", ma mobilisation dans la lutte contre ces crimes contre l'humanité sanctionnée de tentatives multiples d'infliction de l'euthanasie telle qu'ils revendiquent pour certains pavillons,qu'elle s'inflige dans ces secteurs, par mort violente et lente, sinon douce et contre le gré des victime, qui pourraient s'avérer un danger potentiel de dénonciation envers ce crimes, abus, tortures déjà subies, si ces patients n'ont "appris la leçon" imposée de la loi du silence sur ces faits, maladies mentales, préfabriquées sur les modes identiques, à un travail à la chaine, que ces personnels médicaux, revendiquent, au nom de stakhanovisme inavoué du travail, dont ils me veulent atteinte, toute résistance à leur politique, décrétée nazisme, atteinte grave de la maladie; paroxysme actuel de l'affaire, suite à mes plaintes, en concussion véreuse, avec le secteur 1, qui se charge de couvrir l'affaire, en séquestrant, sinon d'interventions identiques, sinon en légalisant le fait des virées, expéditions punitives à domicile, dans trams, cars, taxis, restaurants, commerces, par le placement officiel;

Les médecins de ces départements,ayant fait le temps des fêtes de fin d'année, une incursion, une partie de "rave de rêve" à petite fête alcoolisée dans mon appartement, fête où ils se sont amusés de moi, ayant cru avoir affaire à un prostituée, sur délation mensongère d'une de mes voisines, alcoolisée et dont je suis femme battue, cette femme malsaine et peut-être suivie par le département de ce R. Brès soignant alcooliques et drogués, racolant auprès des établissements, en vue d'organiser ces visites impromptues à mon domicile, d'abord en vue de me soumettre au métier de prostituée que cette fille exigeait de moi, ensuite, en vue d'intimidations en ce sens, parties de sauteries infligées avec les instruments dits de soin de leur pratique médicale,médecins et élèves psychiatres, dénommés internes, affirmant qu'ayant bu, ils ne se souviennent de rien, ils auront voulu me faire définitivement disparaitre, afin de s'éviter tout procès, qui pourrait s'avérer envers eux accablant, d'où la censure de mes textes, rédigés sous interventions médicales, à anesthésies et électrodes, dont le plus souvent parfois électrodes sans anesthésie, d'où la présence de fautes de frappe multiples, mes rédactions entravées de ces décharges électriques, engins de contentions les simulant douloureusement, et violences psychiatriques supplémentaires; résections lobotomiques du pourtour du cerveau, sinon de matière grise cérébrale , environ un Kg dès l'entière repousse des zones amputées, ainsi que nerfs inter-crâniens, dédoublés de violentes décharges électrodes,les tuant net, excisés et s'accrochant à la main d'électricité statique. D'où quelques difficultés à retrouver, mon niveau intellectuel réel encore récemment retrouvé, si évalué au niveau agrégations, dégradé ainsi que mon physique si remodelé dans un physique digne d'attrait, dans les heures qui suivent, les étoiles de la personnalité et de facultés mentales, éclectiques,l'étude philosophique dans laquelle j'ai été repoussée de ces pratiques illicites, sanctionnées de ces pratiques,ma vie sacrifiée à cela, dans l'abstinence sexuelle exigée, ou le rapport forcé, l'étude, les électrodes,les trépanations, m'ayant formée à cet éclectisme, études réséquées dès que sues sur délation de et police stasie politique régnant autour de ma personne affiliée à ces départements, auteurs d'exercices de surveillance de mes convictions politiques, de mon opinion, orientations éthiques, religieuses,appartenances sexuelles, surveillances suivies de contrôles en perquisitions en continu de mes domiciles, toute vie relationnelle, sexuelle immédiatement si sue, sanctionnée de décharges supplémentaires;existence condamnée au célibat, qui m'est reproché sous l'injure de "vieille fille".

Je dénonce dans ces abus, fraudes, traites d'êtres humains et trafics en violation du code civil et d la Convention Universelle des droits de l'Homme.
Je vous remercie de compter sur ma participation à votre combat pour le respect des droits de l'homme et des conventions internationnales les régissant, d'autant plu qu'envers ma personne elles ne soiet respectées en rien, que la France si vous l'avez jugée autant que moi-même, après maintes invocations sur ces enfreintes, dont je vous avais fait part, d'une part au code civil, renié par un nombre relativement élevé, d'activistes de tous bords, enragés d'un militantisme extrême droite lepéniste imprégnant jusqu'aux classes de gauche, ainsi que je l'avais présupposé et puis vérifié dans les médias, code civil dénigré, sciemment bafoué, violations de ce code fer de lance de la campagne pré-électorale actuelle, le code civil français si justement appliqué, dans les règles d'applicaiton des lois qu'il recense, lois sencées préserver, protéger les droits fondamentaux et droits de l'Homme légitimes de chaque citoyen, légitimité bafouée, dans une déviance dépravée encouragant au crime au vice, à la corruption, aux crimes contre l'humanité, et exactions, des jugements en jurisprudence sencés les faire respecter. reprenant les lois indécentes d'irrationalité injuste et d'irresponsabilité (basée sur l'inversion des responsabilités commune à l'extrême droite, dans les violences envers femmes battues, et commune à la religion, les victimes punies en lieu et place de leurs agresseurs, tenus pour justes d'avoir commis infractions aux lois du code civil , jugés actes de punissement légitimes anté-procédures, justice reléguée au gré du libre arbitre de chacun se faisant de soi-même justiicer, infraction supplémentaire au code civil, pénalités laissées au gré de chacun, de loi divine et droit divin de tout citoyen croyant selon lemode pro-américain de jugement ( juré sur les lois de la Bible et fonction de ces lois religieuses) pro-bushiste, controvere du code civil actuel, stipulant et protégeant la présomption d'innocence (desoupables), ici encore , nullement respectée, des accusés, subinnocentés aujourd'hui encore d'une discrimination positive entrainant une violation du code civil français et de ses lois initilament prévues, une présomption d'innocente essentiellement bafouée envers les victimes plaignantes traitées d'exactions graves, crimes contre l'humanité constants au nom d'une culpabilité qui leur est présupposée en procédures pénales arbitraires, et d' une innocence légitime, systématique, de leurs accusés, jugés su rles modes de raisonnemnts arbitiraires et usant de l'inversion des raisons et culpabilités communes aux lois de dicature fasciste populaires,liées à, découlants des incultures, ignorances de goupes dominants de leurs crimes et exactions, droits de fait que ces dictats entretienent pou , lois religieuses de dictat protégées des livres religieux , repises par les nazis lors de l' Incendie du Troisième Reich, donc, j'en conclureai, qu'avant tout combat de défénse ds droits del'Homme, il faudra mener en premier lieu une lutte de protection des justes applications des droits du Code Civil français, qui devrait rester exemplaire dans ses applicaitons en ujurispriudence, autant qu'il rest exemplaire dans ses textes initiaux et remodelés dans le sens du respect des droits fondamentaux, exemplarité qui devrait , se dupliquer et être reprise, dans un remodèlement des codes civils asseyant les pouvoirs totalitaires des dicatures étrangères; le seul avantage de la France, est de posséder les textes assurant une démocratie,inappliquée jusqu'à présent, démocratie de façade, qui n'a eu été réelel ue dns ses texte de lois, jamais depuis leur création, ni appliqués je le répète, dans le respect de leurs sens, ni par la population respectées, siono das une reprise des lois du Jugement Dernier des Procès de Kafka, et des applications de jugment arbitraires du Procès de Nuremberg, quiparti d'ue bone résolution de justice, aboutit à une vengeance étatique et populaire indigne, dégradante, de l'image de la justice même, des camps de déportations ayant été créées, usant des lois de Talion du nazisme, pour y torturer, extemienr les prisonniers allemands après défilé humilant, où après avoir ét nourris d'ue soupe grase laxative aux choux,ils auront du défiler dans l'avene principale de leur lieu d'arrestation, face à une liesse popualire, en se vidant de leurs fescès, suivis d'un véhicule de voirie, balayeuse municipale, chargée d'effacer leurs traces. De tels drames se produisent envers femmes battues, humilées, violées, tabassées publiquement, d'équipes médicales sur ordre demédecines corrompus, en reprise des lois totalitaires, de leur tortures et répressions, dans tout traitement, devenu sinon resté exclusivement à titre pénal de la violence subie, des femmes battues, enfant martyrs, souffre-douleurs boucs-émissaires et victimes de viols avec violences, de violences à domicile, reproduites au centuple et traitées en psychoses délirantes hallucinatoires,conre ottue évidence ds faits de sviolnces, actes de barbarie endurés, parfois des vies entières, pénalisés de toute médecine par cette reprise debla totrure pénale psychiatrique envers victimes . politique régante du punissment pénal et psychaitrique,parfois les doubles peines s'accumulant, sur boucs émissaires victimes d'un antisémitisme envers un nouveau rôle de peuple juif à devoir assumer, sous la dénomination à visage humain, de sinon deleur démence, cele d'être traité en "il est mal", des coups portés avec armes établies instruments de soins, causes de blessures mutilatoires par amusement paramilitaire et jeu sexuel de soudards, doublement subis, pour n'avoir pas eu supporté, ou avoir eu trahi, les violences à domicile endurées.


Les victimes crucifiées sur la croix de Marie-Madeleine, prostituée de Jésus Christ (jésus-l'auteur des enfreintes aux lois, droits de l'Homme, assi dans la position inversée arienne et reprise par mai 68 , en position sexuelle dite 69, auno dlbration demsoeurs, se fondant sur l'envahissement des mauvaises moeurs de maisons closes, de réseaux la prostitution instaurée par le proxénétisme affectant jusqu'aux règlements déontologiques de la médecine psychiatrique, des conditions de détention pénale, et des déments, plus victimes ds injsutices et dépravations sociales que déments, sinon victimes supplémentaires de filières de créateurs de besoins capitaliste des métiers dela médecine de ses sphère parmaceutico-paramédicales agissant sur contrats marchands, exigeant des consommations sytmatique forcée de pseudo-traitements médicamenteux tels le Prozac, heureusment remis en question et à peu-près la totalité ds traitments chimiques de la prétendue démence,prébabriquée à la chaine à but commercial de ces sphères politico-jurido-financières policières, dans des buts financiers assurés par ces contratsdont ceux de sanofi signés avec les secteurs psychiatriques et de médecine généraliste, corrompant de propagandes commerciales répressives et armées, jusqu'aux milieux intellectuels, fanatiques des orgies répressives psychiatrisées pédophyles et médicalisées proposées (sur propremembr delru famille, de leurs relations, utilisé en objet analogon de sacrifice humain, prostituée en prisonnier d'opinion des otrture resencéespar vos campagnes) , les basses classes affiliées depeuis des décennies à ces méthodes basées sur le proxénétisme hospitalier l'accompagnant, appat très affriolant des foules, , médications et faux soins, en fait arsenaux de méthodes totalitaires tortionnaires mais dites de pointe, en fait, issues d'entreprises commerciales à but financier dirigées de maitres du charlatannisme scientifique et médical, position inversée phallocrate de l'homme amoureux (le plus souvent le violeur maintenu dans un état multirécidiviste, parfois à longueur de vie, et bourreau) ,ou de la mère, soeur, familles entières, quelconque agresseur, vécu en martyre des injustices perverses et crimes pervers d'un(e) dément(e),

Victime personnellement de ces trafics, et n'ayant besoin, étant donnés les fichages du Plan Edvige accédant aux fichagesmdicau xétalbis sur toute victime (jugée trop subversive et dénonciatrice ) de ces infractions désolidarisantes dans un but de diviser pour mieux régner, je ne peux sans comprometre ma sécurité, donner les renseignements personel que réclament vos pétitions lors de leur signature, les traques sur Plan Epervier non officiels aux défenseurs des droits de l'homme, désolidarisés de leurs milieux, entamée depuis les dbuts de cespalns de fichages français, organisées, acompagnées de placements extrêmement discrimiantoires à domicile, à but sécuritaire, nouvele dénomination de couverture et de façade des assignations à résidence surveillée pratiquées depuis les années 80, dont je suis victime personnellement encore à ce jour pour attitude récidiviste de critique journaliste, jurée état critique de démence, jugées des procédures arbitraires illicites à vices de forme de tribunaux exceptionnels très répressifs de tortures paramilitaires formés autour des ces lieux de résidence surveillée, aptes à reproduire les procès de la Pucelle d'Orléans pour les mauvaises moeurs des milieux qui m'entourent, d'orientation politique pro-nazie, ou résolument pro-poutinistes, le plus souvent en co-alliance. les dicatures n'affichant au grand jamais le terme de dictature ,leur dissidence razziée au cas par cas pour moins de transparence des éliminations physiques et suppressions profitables, à l'heure actuelle,l'Etat Français ne pouvant être dénoncé en tant que société de surveilance policiaire, sécuritaire, tant la puissance de son dictat censure la critique médiatique autant que intime et tenant du domaine privée,méthodes policières de torture de goulag soviétique, encourageant, à lacollaboration avec la propagande établie des pouvoirs publics;Si les violences policières dans ces cas de déviances des cadres de la loi, sont fréquentes, elles ne sont toutes connues.

1 commentaire:

  1. J’ai exprimé ma colère ainsi

    http://ysengrimus.wordpress.com/2010/03/01/adultophobie-l%E2%80%99expression-sans-concession-de-l%E2%80%99epouvante-lancinante-de-mon-imaginaire-de-parent/

    Je suis absolument incapable autrement.
    Paul Laurendeau

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