jeudi 30 juillet 2009

Réponse au mouvement américain de défense des déments incarcérés, réponses à Mary

Réponse au mouvement américain de défense des déments incarcérés, réponses à Mary

Saturday February 7, 2009, 1:55 pm
Je soutiens votre mouvement de décriminalisation de la maladie mentale, cette tentative d'humanisation des conditions de détention et de prise en charge de malade, qu'il soit soigné ou incarcéré pour raisons politiques liées à son refus des structures sociales dues au système capitaliste mondial occidental, et américain, me semble un problème qui doit se fonder sur un remaniement des projets structurels de l'Etat, en effet, et des mentalités, mais en Amérique, la tendance va dans le bons sens, en Europe, le problème est différent, s'est marginalisé longtemps, confiné dans les drogues douces qui entretiennent les échanges sur ce sujet de la torture psychiatrique et de la répression constante qu'elle peut représenter. Il n'existe en France aucune institution sinon quelques tendances à prévenir, soutenir cette action, mais la solidarité fait défaut, les partisans isolés se font repérer, incarcérer, psychiatriser, parfois ad-mortem.
Établir les règles d'une charte des applications envers la maladie mentale me parait nécessaire. J'espère que le président Obama tiendra compte de votre action qui doit sinon se déterminer dans les lois, aboutir par un travail sur le terrain.

Le plus gros problème de l'Etat français actuellement résidant en l'existence d'un secret d'État sur l'existence des déchets nucléaires, la libre circulation des armements illicites de nouvelle convention, le délit d'opinion, et les méthodes de contention psychiatrique, conduisant à une résistance active ou passive, le problème différant en Amérique, où l'emprisonnement des malades mentaux entraine une mobilisation pour la pratique du soin et de la prise en charge médicale de la maladie mentale, les conditions de traitement de la démence en Amérique faisant encore froid dans le dos, le problème de la détention en milieu carcéral ou médical revient au même, problème de la torture autant dans les cas de maladie mentale que de délit d'opinion, ou de délinquance, le taux de suicides du à des pratiques de la torture et de la maltraitance pouvant porter atteinte à la sécurité et la vie de la personne, revenant au même dans les deux cas, de l'emprisonnement et de la psychiatrisation, décès imputés soit à la nature soit à la maladie, le problème à résoudre restant celui de la torture.

Personnellement, je réclame la réhabilitation des malades mentaux morts, enfermés ou encore traités à tort pour leur délit d'opinion ou impasse sociale envers la Psychiatrie et le jugement en conséquence des crimes contre l'humanité envers sa population de l'Etat français .

Conditions de détention psychiatrique :

Mary, je comprends très bien votre indignation, concernant les conditions de détention des malades mentaux en prison, mais je n’hésiterai à concéder au fait que les conditions de vie ou plutôt de survie sont aussi dures en hôpital psychiatrique qu’en prison, hôpitaux où le détenu doit faire face aux électrochocs et lobotomies si cela se pratique encore de nos jours (hélas, oui, plus qu’il ne parait, cf. Vol au dessus d’un nid de coucou, le film culte), et parfois si le malade en sort en vie, c’est le système nerveux à demi tué net de décharges de courants électriques, ou amputé de morceaux de cerveaux, réduit à l’état de légume, atteint d’idiotie, d’arriération sous toutes ses formes, de troubles des plus perturbants, ou diminué et condamné à vie à la prise contrainte de traitements des plus aliénants.

Certains préfèreraient mourir, d’autres s’en suicident, suicides imputés aux morts dues à la démence, en suivi comme en département psychiatrique. Parfois, leurs proches les préfèreraient décédés. Si en prison les déments meurent sous les tortures, violences physiques et mauvais traitements, il existe des sévices hospitaliers qui ces tortures les valent, même si elles diffèrent, elles ne sont moindres. L’issue le plus souvent est la mort prématurée, proche de l’euthanasie programmée des déments, vers la quarantaine ou les 50 ans. Mary, je compatis, Sincèrement, Line L.

J’ajouterai : Il existe bien une solution intermédiaire, celle dénommée hôpital de Trieste, mise en œuvre par les communistes en Italie après les années de la reconstruction d’après guerre , vers les années 50 à 70, je ne voudrais pas me tromper, où les malades mentaux étaient soignés à domicile, ou dans des maisons d’handicapés, mais le problème se pose en France pays qui va vers cette tendance, de la fermeture des lits d’hôpitaux, et de la fin du service public véritable, pour un appât d’une plus grande humanisation. Chaque solution prison, hôpital ou soins à domicile, la perversion des prises en charge du malade mental s’est instaurée, et parfois, la prison fait office d’hôpital, en effet les médicaments pour troubles mentaux s’y généralisent, les troubles affectant jusqu’à la population carcérale saine, tant les conditions de vie y sont déplorables et inhumaines.

Dans les trois cas, les droits de l’homme y sont bafoués, seule la solution, de facilité, de Trieste pourrait apporter un mieux, les familles non complices des tortures communes au sort des déments, pourraient contrôler ces débordements, qui d’ordinaire, se produisent en milieu clos, fermé, hors d’atteinte de regard humain… Mais cela engage à un investissement en temps et en argent des familles, qui sont débordées et ne peuvent réellement se consacrer à cette prise en charge familiale de la maladie, ne pouvant remplacer un personnel médical apte et efficace. C’est terrible, trop horrible, quand le calvaire des malades mentaux va-t-il se terminer…

La maladie se fonderait-elle sur la différence d’opinion, et donc le délit d’opinion, là est la question, mais il faut revenir à un fait évident, le nombre croissant et important de personnes de couleur emprisonnées dans les pays occidentaux, qui ont sombré pour des raisons le plus souvent de précarité induisant la délinquance ou de discrimination raciale des forces de l’ordre dans l’enfer carcéral, témoigne d’une situation grave de « préférence » que s’attribue la loi pour choisir du sort de chacun, en fonction de l’appartenance ethnique, idéologique, religieuse ou liée au sexe. Ce qui sont les critères de base de la détermination même des exactions et crimes contre l’humanité. Le plus atroce, c’est que le sachant, les représentants de la loi imputent la faute à la victime, et impriment plus violemment encore leur despotisme.

Toute controverse serait parler pour rien dire, face à cet état d’esprit qui relève de celui des dictatures, beaucoup de ces manifestations de cruauté sont à réduire dans nos pays, l’inaction autant que l’action se révèlent aussi inutiles, c’est le fondement de toute dictature, seule la liberté au prix de la mort et le moindre dommage pouvant résoudre le conflit. Beaucoup de bourreaux, liés à la mentalité du Ku-Klux-Klan s’érigent en autorité en Amérique autant qu’en un occident américanisé depuis Bush, et il est à craindre que votre combat ne perdure, alors, vous avez raison, votez, il n’y a que l’autorité des lois et leur juste application pour résorber ce trop plein de fascisme, le racisme, l’apartheid, ne sont une fatalité, même s’ils peuvent conduire à mourir de faiblesse face à eux, ils intimident et comptent sur ce sentiment pour régner .
Courage, je ne voudrais en rajouter. Line L.

La maladie mentale, qu’elle soit due à la consommation de toxiques ou aux rigueurs de la société, ce qui est signe déjà de rébellion selon certains, ou même la maladie tout court entreprise par les droits de la dictature et des tenants du dictat (tout dictat ne se résumant qu’à des personnes, individus de la société qui constituent cet état de droit de fait de la dictature) maladie entreprise donc faiblesse de la race, faiblesse d’esprit ou physique ce qui induit ces tenant du despotisme et du fascisme (il n’est pas seulement allemand), à condamner la maladie selon les lois de la sélection de la nature, les plus faibles sacrifiés, dans un esprit de purification ethnique de la race qui accable jusqu’aux malades mentaux, des reliquats de cette mentalité entretenue par des factions fascistes dont certaines relevant du Ku-Klux-Klan, j’insiste, encore en vigueur et qui tiennent des procédés de l’Inquisition d’Espagne, Italienne, et française, procédés des forces de l’ordre, et parfois de personnels d’établissements psychiatriques, ce qui est à craindre et ne résout le problème. Je crois qu’il réside en cela.
Line

Chère Mary,

Je comprends formellement votre déception quant à la pétition que j’ai lancée sur Care2 concernant la libre circulation des armes, qui en fait traite de leur utilisation en vue d’une hospitalisation de leurs victimes en établissements psychiatriques, c’est mon avis et il ne semble pas le votre, mais je crois que beaucoup de déments parlent de cette présence de ces armes sur le territoire national, et leur préexistence transparait dans le discours de leur maladie, qui en fait n’est que l’opinion mal digérée ou traduit de façon détournée en faux délire-langue de bois de toute une culture cinématographique et littéraire surtout de science fiction et de bandes dessinées qui défendent cette opinion. Opinion commune à un mouvement social libertaire et de gauche qui surtout émane de l’Amérique depuis des films tels La Guerre des étoiles, qui retrace bien sous une censure qui oblige à la science fiction, à mon avis, de façon grossie, les faits d’une actualité souterraine, taboue et soumise au poids du secret d’Etat, ou secret Défense. Toute personne ainsi que je l’ai déjà rédigé, qui s’y heurtera d’une façon ou d’une autre, ou qui le devinera sera détruite, éliminée physiquement ou mentalement, loi du silence qui affecte l’occident. Ces rayons qui figurent dans els dits délires de déments ne sont ni cosmiques ni extraterrestres mais d’origine humaine depuis l’existence des Faisceaux fascistes, armement dont une partie nucléaire, l’autre de type micro-ondes ou lasers, dont les informations en France ont déterminé l’utilisation actuelle contre les tempêtes ; mais tant que les médias ne s’en empareront pour de bon, le mystère sur leur existence restera. Secret d’Etat que fit des victimes depuis les années 45 à aujourd’hui, et persiste.

Mary, je suis désolée que le site qui j’héberge mes pétitions ait refusé de les garder plus longtemps, n’ayant récolté assez de signature pour y figurer plus, ceci tenant au fait que je n’ai pas effectué les traductions à temps, ni abordé un sujet aussi commun que le sort des animaux, qui fait fureur sur ce site, et je sais que le sort des déments est très en butte à l’indifférence sinon aux discriminations raciales. C’est pourquoi je n’ai plus accès à l’écriture ni au management de ces pétitions. Je ne sais comment vous pourrez supprimer votre signature, si telle est votre volonté, je n’ai en aucun cas voulu vous tromper. J’espère que mes arguments auront pu servir un rien votre cause. J’ai espéré trouver une ouverture d’esprit sur votre site, que vous m’avez apportée, concernant le sort des malades mentaux, m’en préoccupant, mon combat étant de solliciter le pouvoir d’humaniser les méthodes de détentions sur tout lieu de détention dont carcérale. C’est en ceci que vous correspondiez à mes objectifs, de sensibiliser au problème du délit d’opinion, mon chef d’accusation et préoccupation principale, qui fait le lieu commun de la démence ou prétendue démence. De moins, pour les cas que je j’aborde dans mon site, où figurent tout les réponses que j’ai pu vous apporter, selon des paliers de conscience divers

Prévention psychiatrique et dérives du système

Actuellement, il ne faut se leurrer, certaines de ces institutions luttent contre un politique sécuritaire qui aurait tendance à vouloir les utiliser pour de mesures de précaution envers le délit d’opinion et la politique de terreur d’un gouvernement qui utilise les faiblesses de ce système pour régner au nom de la société Sécuritaire et de Surveillance à l’encontre de la contestation et de la divergence d’opinion, les termes de terminologie psychiatrique et la torture médicale n’est loin, de « malade mental » devenus l’injure menaçante suprême même à l’encontre du militant, donc se méfier des dérives de ce système de prévention… La maladie mentale serait-elle synonyme pour la plus part des citoyens de contestation méritant la mort programmée si non traitée avant toute légitime défense ou crise de folie véritable de l’inculpé ? La maladie mentale existe en soi, involontaire ni préméditée par le malade, sinon qu’il est victime de la société qui le lui reproche, l’en tient pour responsable et condamne. La démence n’a à payer le prix d’une société policière envers le délit d’opinion et la divergence d’opinion quand ces deux situations sont assimilées la démence grave. S’il vous plait de torturer, des êtres innocents qu’ils soient conscients ou pas de la chose, prisonniers d’opinion du système autant que déments et inversement, cela concerne tout de même le monde. S’il vous plait d’avilir et assassiner de tortures médicales autant que des déments potentiellement dangereux, ils ne le sont tous, l’auraient fait envers autrui s’ils n’étaient soignés, vous, coupables de vous même, qui propagez la morale de la peine de mort, les mots tuent autant qu’ils peuvent sauver des vies humaines…

La maladie se fonderait-elle sur a différence d’opinion, et donc le délit d’opinion, là est la question, mais il faut revenir à un fait évident, le nombre croissant et important de personnes de couleur emprisonnées dans les pays occidentaux, qui ont sombré pour des raisons le plus souvent de précarité induisant la délinquance ou de discrimination raciale des forces de l’ordre dans l’enfer carcéral, témoigne d’une situation grave de « préférence » que s’attribue la loi pour choisir du sort de chacun, en fonction de l’appartenance ethnique, idéologique, religieuse ou liée au sexe. Ce qui est les critères de base de la détermination même des exactions et crimes contre l’humanité. Le plus atroce, c’est que le sachant, les représentants de la loi imputent la faute à la victime, et impriment plus violemment encore leur despotisme.

Toute controverse serait parler pour rien dire, face à cet état d’esprit qui relève de celui des dictatures, beaucoup de ces manifestations de cruauté sont à réduire dans nos pays, l’inaction autant que l’action se révèlent aussi inutiles, c’est le fondement de toute dictature, seule la liberté au prix de la mort et le moindre dommage pouvant résoudre le conflit. Beaucoup de bourreaux, liés à la mentalité du Ku-Klux-Klan s’érigent en autorité en Amérique autant qu’en un occident américanisé depuis Bush, et il est à craindre que votre combat ne perdure, alors, vous avez raison, votez pour des lois protégeant une humanisation du traitement de la maladie mentale, il n’y a que l’autorité des lois et leur juste application pour résorber ce trop plein de fascisme, le racisme, l’apartheid, ne sont une fatalité, même s’ils peuvent conduire à mourir de faiblesse face à eux, ils intimident et comptent sur ce sentiment pour régner .
Courage, je ne voudrais en rajouter. Line L.

La maladie mentale, qu’elle soit due à la consommation de toxiques ou aux rigueurs de la société, ce qui est signe déjà de rébellion selon certains, ou même la maladie tout court entreprise par les droits de la dictature et des tenants du dictat (tout dictat ne se résumant qu’à des personnes, individus de la société qui constituent cet état de droit de fait de la dictature) maladie entreprise donc faiblesse de la race, faiblesse d’esprit ou physique ce qui induit ces tenant du despotisme et du fascisme (il n’est pas seulement allemand), à condamner la maladie selon les lois de la sélection de la nature, les plus faibles sacrifiés, dans un esprit de purification ethnique de la race qui accable jusqu’aux malades mentaux, des reliquats de cette mentalité entretenue par des factions fascistes dont certaines relevant du Ku-Klux-Klan, j’insiste, encore en vigueur et qui tiennent des procédés de l’Inquisition d’Espagne, Italienne, et française, procédés des forces de l’ordre, et parfois de personnels d’établissements psychiatriques, ce qui est à craindre et ne résout le problème. Je crois qu’il réside en cela.

En France, pour proposer un modèle d’encadrement préventif de la démence à toute forme de criminalité ou de débordements de la folie, existent des antennes médicales psychologiques, ou Centres Médico-Psychologiques qui dépendent directement de l’asile psychiatrique, et qui dispensent des soins curatifs à base de traitements à prendre dans ces locaux au sein des quartiers, en période crise pour les personnes déstabilisées, ou en traitement de longue haleine à base d’injections retard de neuroleptique tous les mois, ou 15 jours, selon un calendrier bien établi des soins, accompagnés voire d’intervention sur le terraine à domicile, permettant de juger du comportement de la personne affectée de maladie mentale, à l’extérieur de l’hôpital si vient d’être libérée sur examen médical, auquel cas est nommé un référent ou référente à qui le malade peut se référer en cas de besoin, personnel infirmier avec qui il faut savoir tout de même composer, chargé d’encadrer la personne au sortir des mesures d’hospitalisation d’Office. Ce personnel soignant est cadré par la présence de médecins hospitaliers dispensant des consultations au sein de ces CMP, en cas de rechute ou de crise, ou de besoins de consultation des malades. Ces mesures de précaution (le personnel en principe très discret et aux petits soins, mesuré beaucoup plus qu’en hospitalisation) permettent d’encadrer les crises et d’éviter des crimes, au moindre appel téléphonique de la personne malade ou du voisinage, des proches et de l’entourage, de cerner rapidement les faits et d’intervenir à temps. Malheureusement, les listes d’attente se font longues pour ce qui est des hospitalisations, avec la mesure de fermeture des lits qui se comptent désormais, en milieu hospitalier, et donc se fait sentir une délinquance et une criminalité accrue qui justifie une recrudescence de la répression, la prison ayant tendance à remplacer l’hôpital, en France du moins et je vois qu’elle suit la politique sécuritaire Américaine.

Line L.

Prise en charge médicale de la démence :

Je crois que la question de la prise en charge médicale devrait être abord examinée et revendiquée dans le cas des incarcérations de déments : le fait d'une sécurité sociale obligatoire pour tous et une prise en charge de soins et thérapies; médicales même en cas de petite démence ne conduisant pas forcément à la délinquance ou même agrave; la criminalité est à envisager. Je pense que le système social américain a engendre un problème gravissime de société irrévocable : celui de l'absence de sécurité sociale pour les sans-emploi et les plus démunis, ce qui les encourage aux trafics de multiple sortes et notamment ceux liés à la drogue et aux drogues dures, ne serait-ce qu'afin de survivre et payer parfois les frais médicaux de membres de leur famille gravement affectés de maladie incurable, cela s'est vu, dans le meilleur des cas. il faudrait demander au président Obama de revoir ce système de couverture médicale de la population non travailleuse et des plus démunis, instaurer un RMI (revenu minimum en France diminuant le taux de délinquance, même si la délinquance juvénile a augmenté). Militez en cette faveur, c'est le bon moment ! (sans vouloir paraitre ridicule) Car les personnes malades mentales seront sans quoi orientés vers les prisons plutôt que vers les établissements psychiatriques, car fait aggravant la prise en charge nécessite argent et remboursements médicaux donc sécurité sociale pour tous.
Line Llao

Je suis désolée de revenir à la charge, mais plusieurs pays européens et je suppose dans le monde, ont signé une charte attestant que la présence de membres d'ONG HUMANITAIRES (je pense à Amnesty International) pourrait être demandée sur tout lieu de détention par les intéressés qui feraient appel à leurs services, gratuitement, du moins je crois, afin de déterminée les enfreintes aux droits de l'Homme et du citoyen, l'Amérique du Nord a-t-elle ratifié cet accord, et sinon, il faudrait le proposer au président Barako Obama, tant que son mandat ne s'est écoulé et qu'il entreprend sa présidence. Beaucoup en effet enfreinte à ces droits et de réorganisation des structures de l'Etat américain sont à revoir, de regard de français, l'œil étranger voyant plus rapidement les fautes de l'extérieur que de l'intérieur, d'où l'intérêt d'un regard extérieur au problème. je crois que la refonte de la société occidentale est à refaire, nous européens, comptons beaucoup sur votre présidence, notamment en ce qu’ est des structures sociales. Merci.

Prévention sociale :

Je crois que la question de la prise en charge médicale devrait être abord examinée et revendiquée dans le cas des incarcérations de déments : le fait d'une sécurité sociale obligatoire pour tous et une prise en charge de soins et thérapies médicales même en cas de petite démence ne conduisant pas forcément à la délinquance ou même aggravée jusqu’à la criminalité est à envisager. Je pense que le système social américain a engendre un problème gravissime de société irrévocable : celui de l'absence de sécurité sociale pour les sans-emploi et les plus démunis, ce qui les encourage aux trafics de multiple sortes et notamment ceux liés à la drogue et aux drogues dures, ne serait-ce qu'afin de survivre et payer parfois les frais médicaux de membres de leur famille gravement affectés de maladie incurable, cela s'est vu, dans le meilleur des cas. il faudrait demander au président Obama de revoir ce système de couverture médicale de la population non travailleuse et des plus démunis, instaurer un RMI (Revenu Minimum d’Insertion) et une Allocation adulte handicapé ou AAH (revenus minimum en France diminuant le taux de délinquance, même si la délinquance juvénile a augmenté). Militez en cette faveur, c'est le bon moment ! (sans vouloir paraitre ridicule) Car les personnes malades mentales seront sans quoi orientées vers les prisons plutôt que vers les établissements psychiatriques, car fait aggravant la prise en charge nécessite argent et remboursements médicaux donc sécurité sociale pour tous.
Line

Les procédures d’accompagnement social et pédagogique en vue d’insertion des inactifs prévues à l’attribution des minima sociaux en France prévues par la gauche, ont été stoppées net par la venue au pouvoir de Nicolas Sarkozy, ces structures d’insertions sont loin d’être restées valides et travaillent inutilement dans une société, où la totalité du plan de relance par adaptation de l’enseignement à la demande des jeunes est remplacée par une totalitarisation de l’enseignement due au manque de subventions et de postes d’enseignants, de surveillants et éducateurs qui seraient nécessaires pour pallier à la délinquance à l’école. Mais c’est un problème typiquement français, j’espère que le président Obama ne tombera dans le piège des subventions sans suivi d’accompagnement d’insertion pédagogique, l’emploi tenant à la formation librement consentie et volontaire de chacun, le tout étant de fournir à tous emploi et sécurité sociale, la sécurité sociale ne devant être liée à l’emploi, suivant le respect des droits de la Convention des droits de l’Homme, stipulant le droit d’accessibilité à la santé pour tous, droit inaliénable en Amérique bafoué… Tout travailleur ou personne apte au travail devant s’insérer dans un emploi sane in mens, sane in corpus, bref, sain de corps et d’esprit

Merci,

Line L

J’ajouterai, que les structures d’insertion des plus démunis et des inactifs seraient libératrices d’emploi du secteur tertiaire et donc rémunérés au même tire que le secteur tertiaire des services, collatéral avec le fonctionnariat, mais pouvant introduire des emplois formateurs de postes dans le secteur privé et donc liés à ce secteur économique, ce qui induit une source inouïe de travail potentiel, sans compter le secteur de l’artisanat qui pourrait être privilégié dans des formations d’apprentissage qui pourraient débloquer de l’emploi chez les jeunes hors circuit scolaire très tôt, en France cette stratégie prend le relai de l’ANPE, permettant à des jeunes au Chômage ou en rupture de revenus sociaux, de s’insérer dans la société sans difficultés, rémunérés au départ au SMIC, donc dans moins de chances de tomber malades. Le tout étant de cibler les entreprises formatrices de jeunes, et de leur accorder des subventions en conséquence…

Line L.

Procédures d'intimidations

Ainsi que je vous l’avais confirmé dans mon combat, les procédures d’intimidation, les pressions psychologiques ou même physiques sont procédure commune dans les affaires de fraudes, autrement en français, de « magouille » ou pourrissements politique. Théorie de l’encerclement, du harcèlement ou mobing, menaces verbales, gardez toute copie de menace écrite, en guise de preuve, ces pressions se faisant rarement voir aux yeux de ceux qui pourraient vous soutenir, et ainsi, sans preuve véritable, (prenez de photographies de ces individus qui démarchent auprès de vos voisins) vous sombrerez vite dans le diagnostic de « paranoïa » vous même. D’autant plus que vous chercherez à prendre des médicaments pour vous calmer, peut être consulterez vous un psychiatre et vous n’échapperez, sans preuve évidente de ce que vous avancez ainsi que dans tout contexte de pressions gouvernementale, ou d’Etat, au diagnostic de délire de persécution, donc folie. C’est la démarche de beaucoup de malade mentaux, et les preuves les plus évidentes ne leurs sont reconnues, ils sont ensuite traités à vie, pour des faits au départ identiques aux vôtres, donc, prudence. Ces personnes essaient de vous déstabiliser, de vous rendre folle, ou de vous faire mériter le diagnostic de malade mentale, c’est leur démarche.
Je vous conseillerai de partir si vous le pouvez, de votre logement, déménagez, changez de province, d’Etat, si vous le pouvez, afin de ménager votre partie civile et votre action. Aménagez dan un Etat moins conservateur ou moins rétrograde, car le Sud est surtout affilié à un certain reste de colonialisme aigu au fascisme Ku-Klux-Klannien qui persiste.
Courage, persévérance, ne négligez rien de ce qui peut vous aider,

Amicalement,

Line L.

Ce qui me tient à cœur dan cette lutte de mon blog contre les dérives étatiques, c’est quelque part la vérité remontera à la surface tel cadavre de l’eau. Je me tue à dire et écrire que la psychiatrie ne sert en partie qu’à couvrir ces dérives et affaires de pressions mentales et physiques parfois, certains ont droit au comité d’accueil, ou à l’enlèvement, entre deux matons, pour de simples affaires de pressions familiales de famille en conflit envers un de ses membres (mon cas). La psychiatrie auquel cas se fait avocat et défenseur de la partie civile qui paye les factures des consultations, et donc si capables de payer (c'est signe de Raison) un forfait hospitalier et les soins à envisager pour se débarrasser de la personne en question, ils triomphent. Cela pour les pressions de particuliers et de personnes de la société, mais pour ce qui est des groupes de pressions d’entreprises, cela peut aller plus loi, les psychiatres les meilleurs mercenaires que l’on puisse trouver en ces affaires de pouvoirs, si telle est ma paranoïa aux yeux de beaucoup.

Cela peut aller jusqu’à causer un incendie, ou faire exploser votre voiture, desserrer les freins de votre véhicule, vous tabasser, voire, vous exécuter, accuser un de vos proches du crime. « Arrangements »
Méfiez-vous, je ne voudrais voir le pire envers vous.

Il faut l’avoir vécu pour le comprendre.
Amicalement,

Line L

Le délire de persécution que ces personnes tentent de faire pour l’instant invoquer peut à la limite se résumer par le symptôme typique de trois maladies mentales ou phase de mélancolie : la schizophrénie, la dépression ,la psychose maniaco-dépressive, auquel cas, vous passerez par des phases suicidaires, si vous persistez dans votre lutte.

Vous soupçonnerez du poison dans votre pizza, ils comptent bien là-dessus s’ils ne payent quelqu’un pour vous intimider en vous mettant quelque barbiturique dans votre nourriture, ou boissons dans un fast-food ou bar (méfiez vous si vous conduisez une voiture), vous craindre le feu instillé à votre domicile, vous fermerez dix fois l’arrivée du gaz avant de vous absenter de votre maison, vous demanderez à vos proches s’ils vous soutiennent, c’est là que se comptent les meilleurs amis, certains vous laisseront tomber en évoquant l’hallucination paranoïaque, vous allez vivre un véritable enfer si vous tombez dans le piège et fin de parcours, vous tenterez de vous suicidez si vous n’en finissez réellement par mourir, car ils persisteront tant que vous lutterez. Type de cercle vicieux classique des pressions les plus classiques.

Mesures de précautions

Mary, moi aussi, je dois changer de lieu de vie prochainement pour des raisons semblables, de harcèlement, ne pas hésiter à se déplacer, à tout abandonner, changer de vie totalement. Les juifs sous les nazis n’ont pas pensé à fuir à temps, seuls ceux qui ont fui dans les pays alliés ont survécu à l’holocauste, temps similaires d’hécatombes, au cas par cas, à notre temps…Sincèrement,

Line L.

La nouvelle que le président Obama condamne la torture et doive s’intéresser à la torture des déments en prison me fait très plaisir, cela prouve que le combat s’engage vraiment en Amérique, qui bouge beaucoup plus que la France et l’Europe, cela est bon signe, et j’espère que votre engagement sera exaucé très rapidement. Autre bonne nouvelle, qui témoigne d’une vraie mobilisation de la population de votre continent, c’est la possible dépénalisation des treize état qui prescrivent du cannabis à usage thérapeutique, cela fera des coupables emprisonnés en moins ! Moi-même ne consommant pas de cette drogue, je suis toutefois pour sa dépénalisation thérapeutique si cette plante peut guérit plus que des médications chimiques très nocives pour la santé, médicaments plus que bénéfiques et pathogènes en soi, et avais posté par e-mail un petit texte sur une des adresses de votre blog, à un cabinet d’avocats qui y était mentionné, je vois que j’entre dans le chiffre des personnes qui travaillent en cette faveur et cela me ravit !

Mary, pour revenir à votre réponse à mon courrier d’hier, je suis désolée de vous avoir alarmée, et de voir que vous avez bien réagit me comble de joie. Je ne suis ni juive ni chrétienne, mais athée, sans religion et donc très tolérante vis-à-vis des croyances, mais je voulais simplement mentionner à titre historique les persécutions envers ce peuple juif, qui les a forcés à fuir, je voulais dire, il faut savoir partir à temps, autant que dans la fuite du christ en Egypte, si vous voulez. Mais si votre vie ne se trouve trop menacée, et a trouvé sa résolution dans les textes de lois, heureusement pour vous, j’en suis très contente.

Merci pour votre réponse,

Amicalement,

Line Llao

Mary, J’espère que votre marche dans les parcs d’Atlanta vous aura redonné confiance en vous et espoir de réussite, si je ne commente plus vos débats sur votre site, c’est parce que souffre de très graves ennuis qui me contraignent à changer sous peu de logement, vivant un enfer de la part d’un voisinage drogué et enivré, saoul et le plus souvent des cas sociaux de déments de ce style, touchés aux toxiques manipulés d’un trafic très proxénète issu de et maintenu par des départements médicaux, qui met ma vie en danger pour mes contestations et divergences d’opinion, dans les lenteurs de la mort lente par cancer et celles de la bureaucratie, très lourde à faire agir bouger dans le bon sens du droit et des lois. Je suis toujours autant ravie par vos interventions, et vous souhaite, bonne reprise et autres bond départs. Je ne suis d’aucune efficacité pour l’instant, devant me préoccuper de mes activités, corvées, efforts de rester en vie dans une crise financière du pays, en surcroit d’affaires de famille privées, et donc, je croule sous le poids des obligations. Ma famille et mon père surtout, assez âgé et très malade, servant d’arme blanche pour me contraindre à travailler sous le trafic d’influence de départements psychiatriques vraiment très véreux et collectionnant les orgies médicales à thèmes du milieu mafiosi de la région, entrainant dans des pressions physiques très violentes de ma famille et certains locataires de mon HLM en sus du trafic illicite d’armes de guerre non conventionnelles dont ils font partie et m‘assaillent. Donc, j’essaie de débrouiller l’affaire et ai tenté une action en justice, j’attends des résultats, peut être l’affaire ne sera examinée et se terminera très mal pour moi, je souffre actuellement d’un cancer et risque la mort en établissement psychiatrique, sous les maltraitances qui me sont promises et les violences que de leur part je subis. Je ne plaisante pas, évitez je vous en prie de mettre cet aveux qui m’est douloureux sur le compte de la démence… A bientôt. Merci à vous toutes, et bonne journée tout de même, je sais chacun a son poids d’obligations, mais je souffre d’incontinence urinaire assez grave et d’infections régulières des sinus dues à des interventions assez violentes de certains des locataires autour de mon logement, et de névralgies faciales très douloureuses dues à une condition pas toujours reconnue de femme battue d’un petit groupement de voisins, je sais c’est bénin, mais très handicapant, d’autant plus que je dois préparer mon groupe de chant contemporain à des concerts, et continuer des écritures, je poursuit cette activité, ayant publié deux petits livres de poésie libre, ce qui m’encourage à essayer de publier mon dernier ouvrage, Judas, qui m’a donné 10 ans de travail, paru sur mon site en français, dont je rappelle l’URL pour ceux qui lisent le français : http://linellao.numeriblog.fr/eclipse/ Je prends des antalgiques qui me permettent de respirer un peu, me font dormir et soulagent mes douleurs, dois être opérée prochainement d’un mélanome (un dé but de cancer de la peau apparemment), mais suis tout de même entourée de personnes qui me soutiennent, bien que je passe, vivant seule, par de profonds moments de détresse, seule la confidence pouvant y apporter moins de souci, aussi, je vous remercie pour votre petit mot, mais je pense que seul le sort et la suite me plainte pourront juger du futur pour moi, sinon l’aide potentielle de mes médecins. Chaque jour étant différent, et demain n’étant aujourd’hui, je fonde mon appétit de vie sur l’espoir, ayant vécu depuis 40 ans dans un désespoir profond du à la maltraitance familiale, je tente aujourd’hui un redressement fiscal, vends un bien immobilier, et essaie de me reconstruire avec une rencontre amie. En espérant que ces tentatives finiront par réussir, Ne pouvant pour l’instant que compter sur une action sinon isolée, du moins soutenue, Amicalement, Line L.

Je pense que le président Obama fait partie d’un nouveau mouvement mondial d’une gauche internationale, fondée sur le marxisme et le libéralisme de gauche, de type Ségolène Royal et Arnaud de Montebourg, une sorte de socialisme « à la française » qui atténue les risques d’une soviétisation de la France et de l’Amérique, en fait, un simple mouvement néo-libertaire altermondialiste écologiste humaniste et républicain, attaché aux valeurs de tolérance politique et religieuse, de respect des droits de l’Homme, des droits et devoirs civiques de la démocratie sans être démocrate ce qui est louable pour un président, les républicains et certains démocrates antithétiques avec la démocratie véritable telle qu’un tel regroupement mondial peut le souhaiter, jusques dans les pays asiates, et qui se réclame des premiers élans libertaires de tous les prisonniers du monde. Les délais d’interventions des départements psychiatriques en France, concernant l’internement et le placement contraint de personnes menaçant de tuer et en état de folie dangereuse, sinon potentielle, du moins poussée à son comble de violence meurtrière par d’une part l’alcoolisme et les toxiques, puis ces très longs délais de d’intervention à domicile, de placement ou de contrainte par corps, sont plus longs et couteux en vies humaines de victimes de ces violences (et ne retombent en fait que sur les victimes qui souvent sont placées à la place de leurs bourreaux en pavillon fermé pour délire de persécution et paranoïa sur l’avis d’un médecin), que les délais de saisie de plainte pouvant les faire enfermer en prison, prisons peuplées de ces malades mentaux criminels pou ces délais de saisie de l’affaires de violences et de tentatives de meurtres par personnes déstabilisées en manque de soins obligatoires, que les hôpitaux s’amusent délibérément à faire laisser en liberté pour en obtenir des état judiciairement graves, nécessitant leur emprisonnement ou leur décès par légitime défense des forces de l’ordre. Autant que dans la situation de crime qui s’est produite à Pau, où l’hôpital a délibérément laissé une mère de schizophrène manifester dans ses locaux afin de faire son fils qu’elle savait atteint de folie potentiellement dangereuse, ses devoirs de mère de le protéger contre le crime refusés jusqu’au crime commis, inéluctable, par son fils, meurtrier d’infirmières de cet hôpital, dans un crime atroce. De nombreuses personnes et surtout des femmes meurent des violences de leurs violeurs psychopathes ou bourreaux, dans des violences conjugales qu’ils instituent au nom d’un laisser faire institutionnel de ces départements médicaux, en cause les instances juridiques qui permettent avant toute saisine du procès ils mutilent ou assassinent leurs victimes de violences à domicile contre lesquelles les départements psychiatriques travaillent en mutilant jusqu’au silence sur les affaires, les victimes, dans une prise en charge de ces victimes destinées à faire entrave à la justice ou à la résolution digne des droits de l’homme bafoués, de ces affaires de corruption médicale voire juridique.

Chère Mary, Je crois qu’il y a un réel problème d’ordinateur, le site de mes pétitions est en beug, je ne peux les atteindre ni les retrouver, et mon blog est en langage informatique crypté. Pour ce qui est du cancer du sein, je ne fais pas trop de soucis toutefois, ayant été opérée d’un sein en octobre 2007, prenant un traitement hormonal anti-œstrogène depuis un an, je dois le prendre encore 4 ans, peut-être plus, selon guérison définitive. J’ai eu la chance d’avoir été opérée à temps, sans mammotectomie, seulement une balafre. Seulement, quelques violents m’ont déstabilisé un grain de beauté ou naevus, m’en ont arraché un autre à demi, et je dois me les faire opérer, en faire enlever par prévention, car volumineux. Mais j’espère que je ne m’y serai pas prise trop tard. Une amie à mo est morte récemment d’un cancer qui sein pour s’y entreprise trop tard, il a dégénéré en cancer du cerveau, puis généralisé. Je ne souffre pas de dépression depuis quelle a été traitée pour un accident dépressif lors de mes 19 ans, en fait, j’ai été accablée de maints et plusieurs diagnostics, à peu très tous ceux que peut compter la démence, et traitée pour une démence en laquelle je ne me reconnais depuis mes 23 ans, qui n’est qu’une apparence de la maladie due à des violences mentales et physiques répétées quotidiennement, et contre lesquelles je ne parviens à faire entendre la loi, sans compter les internements arbitraires dont j’ai été victime, et contre lesquels je me suis battue presque à mort jusqu’au cancer venu de tant de souffrances. C’est en connaissance de la maladie que je témoigne, celle d’autrui dont je suis accusée, et d’autrui qui me sévicie, heure après heure. Délire de persécution chez moi ? Je ne suis ni alcoolique ni droguée, je ne touche jamais à l’alcool, me contente de tabac, et le seul toxique que je connaisse est l’amour pour un homme, qui peut être me cèdera, si je reste positive, ne serait-ce que pour lui. Rien de plus navrant de voir qu’il ne peut que me motiver pour m’accorder aide et protection, mais là n’est le but de l’amour, qui doit rester désintéressé sous peine de devoir finir en prostitution vénale, quand l’amour marital est celui qui se construit et n’est du qu’à l’effort d’aimer et de se faire aimer.

Mary, En France des émissions télévisées analysent le fait, de ces tueurs apparemment psychopathes qui entrent dans des écoles et tuent effroyablement en série plusieurs collégiens ou universitaires, sans apparence première de démence ayant eu un cursus scolaire réservé et timide, et qui tuent ensuite sans que l’on aie pu déterminer auparavant leur folie, ils sont restés sans suivi médical jusqu’à leur tuerie, parfois, certains souffrent de d »pression, comme ce tueur d’Allemagne ces derniers temps. Mais rien, dans leur apparence disciplinée et calme, ne laissait déterminer leur geste. Il s’agirait d’n point de non retour d’un paroxysme de leur mal être, resté au stade affectif narcissique adolescent, leur cerveau différent de celui des adultes, une immaturité de la personnalité, en quelque sorte. Je pense que pour certains psychopathes tueurs, le même phénomène dit jouer, collatéral à la prise précoce d’alcool, de substances hallucinogènes et d’addiction aux jeux vidéos violents, donc, purs produits sociaux mal assumés. Ce qui laisse des traces indélébiles dans leurs structures mentales. Pour revenir à vos articles précédents, je pense qu’effectivement le test ADN est une bonne solution pour déterminer la culpabilité d’un psychopathe meurtrier, si sa vie doit être en jeu, du moins depuis que la police scientifique américaine fait école jusqu’en Europe, via les séries télévisées qui en font bonne éloge.
La peine de mort pour tout criminel me parait aussi absurde que la peine létale pour un dément assassin, car la preuve d’une part de sa culpabilité demeure aléatoire et basée sur l’arbitraire de procédures très calculées, avec défense parfois plus solide et appuyée sur des phénomènes de pouvoirs locaux que basés sur la vérité. D’autre part, l’on ne peut rendre à quelqu’un ce qu’il a commis, ou loi du Droit Régalien, ou Loi du Talion en France condamnée depuis la Révolution et le Code Civil, car loi liée au fascisme. D’autre part, tuer un assassin est autant tuer un innocent qu’il ne l’a fait, la folie dépassant la volonté, la culpabilité s’attachant à la volonté préméditée ou pas de tuer, le problème me parait évident, mais ce qui trouble, c’est que la peine de mort en Amérique ne soit décidée qu’Etat par Etat, sur détermination de prononcé provincial et non sur décision présidentielle. Ne connaissant le fonctionnement juridique de votre pays, je suis peu apte à juger. Merci, Line Llao

Tuer est un crime autant pour un Etat qui assassine par représailles, donc, lui-même criminel, que pour un criminel qui n’a pu prouver son innocence. Œil pour œil dent pour dent, la loi de la vengeance qu’établie la loi du Talion, rendre à autrui ce qu’il a commis, relève des tortures de la barbarie, quand l’Eglise chrétienne qui a fait les premiers pas de l’humanisme, a prêché pendant des siècles et des années (à faire jurer sur la Bible et non le Code Civil) qu’il ne fallait tuer son frère, et accorder le pardon à la faute du faible. Punir me semble un acte de vengeance qui est le vice et l’apologie du drame des incarcérés, d’abord leur expliquer le mal qu’ils ont commis, entreprendre toute prévention pédagogique avant l’irrémédiable, l’insertion sociale et le suivi individuel de chacun lui permettant de ne pas outre-dépasser les normes sociale de la loi, me parait une nécessité à défendre avant tout autre discourt. Un code civil bâti sur la loi de représailles nationales envers des individus jugés, jusques pour leur folie, me parait un fait aberrant. Et un crime contre l’humanité, de plus.

Mary, je suis très contente que vous mentionniez les camps allemands concernant l’euthanasie des malades mentaux durant la dernière guerre mondiale, car cet état d’esprit malheureusement est resté dans les mœurs et accable encore beaucoup de nos concitoyens, l’aile psychiatrique vécu encore camp d’Ausweis ou de Dachau, et l’on signale aux internés HO (Hospitalisation d’Office) égale Dachau, ce qui en France depuis Vichy est très fréquent envers tout contestataire un peu trop marginal des grands partis politiques, et donc en marge de toute protection civile venant de ces partis, à l’encontre de toute hospitalisation de leurs militants.. D’autant plus que le sort des déments interné est ramené à celui de résistants et donc à la torture qu’ils doivent y subir, envers toute pensée qui leur serait jugée délit d’opinion, pour revenir à mon strict dada.

Choc post traumatique des vétérans de guerre en Amérique :

Bonjour Mary,

En effet le choc post traumatique de vétérans de guerre est une injustice de plus au pays du rêve américain. Le confort de l’individu, même si cela peut paraître une utopie, quand le monde croule sous l’indigence et l’urgence du sort de l’Homme, doit rester une priorité, le bien être de l’être humain étant l’éthique et le devoir premier de la médecine dans le monde, je pense que ce souhait peut s’avérer réalisable. En effet, la misère psychologique existe, l’indigence de l’affect peut aller jusqu’à la mise en danger de la personne atteinte, car la souffrance mentale est une maladie et une infirmité à vie autant qu’une amputation physique, une mutilation ou lésion corporelle quelconque, l’affectation de l’esprit vécue parles autorité et surtout américaine, une faiblesse de l’esprit liée au manque de volonté, donc, méritant sanction. J’ai rencontré ce même problème en France où être sain d’esprit reste être honnête et malade mental est vécu malhonnêteté, manque de probité, mensonge, affabulation, manque de bonne volonté, ébriété, ivrognerie, faille de la personnalité pouvant faire advenir à la dangerosité et donc vice de l’esprit. Ces termes accablants poursuivent l’être humaine occident depuis leur naissance s’ils présentent quelque trouble psychologique même très tôt, et l’on retrouve les zéros de conduite identiques chez l’enfant scolarisé et adulte, sanctions morales très dures qui le sont d’autant plus que même et surtout l’accaparement psychologique peut être parfois plus mortel ou aliénant que la blessure physique, car indécelable à l’œil nu et non reconnue par la société, la blessure mentale déclarée culpabilité de soi-même à devoir reconnaître et assumer, dans le fameux « reconnais-toi malade », que beaucoup de médecins de type communiste très vicieux, instituent en établissement en France, afin de rabaisser moralement, frapper psychologiquement des malades mentaux, chargés de reconnaitre publiquement leurs défauts de personnalité, et en petit comité est il plus vicieux encore de se reconnaître « coupable » de troubles psychologiques dépendant, d’après la médecine encours, vice de forme de soi-même et vice de l’âme dans le but personnel du malade de nuire. Phénomène de pernicion du diagnostic terrible, j’ai connu un médecin qui m’a suivi durant 15 ans environ en m’accablent terriblement pour toute forme de victime que je serai, la personne atteinte de maladie en fait déjà durement malade de par la société, frappée durement pour ce fait, son sort de victime bafoué et non reconnu valide. Donc, de très grandes difficultés à reconnaitre la pension d’invalidité en cours en France, et à tore d’exemple, il y a quelques jours j’ai été copieusement et publiquement injuriée pour avoir montré ma carte d’invalide, afin d’obtenir de passer en priorité dans une file d’attente : y compris l’infirmité physique passe pour privilège en comparaison des indigences et affectations miséreuses de la population ! L’infirmité physique et surtout mentale un manque de volonté et de courage selon les populations occidentales ! L’infirme soumis au devoir d’autodépassement de son handicap, qu’il soit d’origine sociale ou lié à une blessure physique, tout trouble corporel (lié au plaisir sexuel donc selon les gens) ou mental (lié à l’activité auto-érotique narcissique donc à condamner de toutes les Eglises), combat le devoir de vivre sacrifié aux devoirs d’un pays dictatorial qui impose ses lois fasciste d’auto-domination de soi –même et d es effets de la nature liés à l’abondance des vices de sa société. Je pense que ces vétérans de guerre auront eu le sort de spermatozoïdes, conçus dès leur naissance pour lutter pour la vie et mourir dans le devoir de protéger la descendance de l’espèce et l’espèce, devoir de mourir pour son identité chromosomique native et liée au pays d’une quelconque façon, mort mentale, ou mort physique, soldats-spermatozoïdes morts à demi et morts partielles de l’esprit, de la conscience lucide, et c’es tun fait de toutes les dictatures de combattre la lucidité de la conscience, la liberté d’analyse ou délit d’opinion, j’y reviens, finalement. La maladie mentale vécue par les états et les masse sociales, excès de lucidité mentale envers des fraudes très haut niveau des Etats donc, les populismes fascistes cultivant la cécité mentale et l’obscurantisme ignorant, les jalousies des aveugles de leur conscience conditionnés par les fascismes populaires étête ces gens qui ont vécu la mort ce qui leur a donné une conscience très ouverte et très savante de situations complexes liées au gouvernement, donc, s’attirent ainsi des jalousies de petites gens qui se donnent une importance en dénigrant à ces vétérans le don d’ être très conscients au contraire sur leur vécu, le droit à leur connaissance, leur savoir, leur opinion sur des faits de guerre qui excitent les chauvinismes (très dans le complexe de supériorité), les jalousies envers les détenteurs des secrets d’Etat et donc surexcitent l’esprit très nationaliste.

D’autre part, ces hommes soldats qui ont sauvé des vies de leur pays paraît-il et ont travaillé contre leur gré pour la partie, au nom de concitoyens qui les ont usés jusqu’à leur dernier souffle de survie mentale, et puis les ont jetés à la poubelle de la société, la rue,(où ils finissent parfois ordures), et les ont rejetés autant vieux déchets sociaux, ces hommes donc, ont eu leur cerveau brulé, grillé des décharges d’adrénaline que suscitent les combats, en sus de celui qu’ils doivent mener à leur retour pour assurer leur survie et le respect qui devrait leur être du. Cerveaux grillés d’adrénaline et de pulsion de terreur violente, cerveau d’homme, non polyvalent dans ses fonctions, devant assurer en période de combat mené, une polyvalence dans l’urgence vitale, qui tient du réflexe inné et tous ne l’ont et ceux-là sont morts ou revenus blessés de guerre. Cerveau grillé de cette polyvalence des fonctions vitales forcée dans la tension cérébrale poussée à son summum. Leur invalidité de guerre on reconnue, les survivants face à cette surcharge d’ordres, de devoirs, de capacités intellectuelles et de coordination physique exigé d’un cerveau d’homme, meurent dans l’indifférence générale, et se suicident dans les drogues et l’alcool à petit feu pour oublier leur trop plein de cognition et de conscience sur les problème des responsabilité du devoir de soldat, envers sa partie son amour propre de sacrifié jeune à un pays, sacrifice de sa vie de jeune couple, pioupious tirés de leurs lits de fiançailles des formes du lysis de guerre (lysisme, déviance perversion sexuelle ici d’Etat visant à empêcher ou troubler le rapport sexuel)

Mary,

Good night and good réveil, ici, avec le décalage horaire, il est 13h 21. Cette analyse synthétique que j’ai écrite est un pur produit de ma digestion intellectuelle et un résumé d’émissions télévisées, reportages de mensuels de presse écrite, revues scientifiques et de films, séries américaines sur l’enfer du devoir des soldats du Vietnam, dont je peux citer une série : L‘enfer du devoir, et le film Nam, ou Apocalypse Now. Et Spermato, le film.

Le contenu de ce texte est une pure analyse théorique et thématique, que je peux faire sur la situation de traumatisés de guerre, d’après mon expérience personnelle et les rudiments de notions en médecine psychologique que j’ai pu acquérir mais je peux faire erreur.. Ces soldats, en plus d’avoir eu un système nerveux soumis à des tensions psychologiques répétées très intenses, causes de production d’ne chimie du cerveau et des glandes endocrines très active, se retrouvent avec un organisme dressé pour cette production chimique par un état de stress occasionnel des période de guerre, qui a laissé des traces indélébiles dans leur fonctionnement chimique neurochimique et hormonal, une fois ce système de production de secrétions organique acquis, il est très difficile de revenir en arrière, parfois le point de non–retour de ces productions cérébrales et endocrines atteint. Tout autant qu’overdose d’une addiction ou accoutumance à un toxique, sans effets d’auto dopage. Volontaire, le corps poursuit sur sa lancée, compensant des commotions répétées du cerveau et du corps, liées aux chocs nerveux continuels et explosions, détonations endurées. La volonté ne jouant que dans le degré de décryptage des visions répétées et des souvenirs, la médication chimique ne saurait remplacer le lien social ni le contact humain, la chaleur amicale de la relation humaine pleinement consentie et non hiérarchique, faisant plus de bien dans ces cas incompris, que la froideur médicale pure, qui rejoint la pureté de la race des vainqueurs et celle de la loi du plus fort. Triompher de soi pou ces victimes, n’étant crucial, mais être bien entourés, soutenus, compris, aimés et aidés leur fera plus de bien que toute thérapie qui ne pourrait qu’aider le cerveau à être capable de retenir le discours extérieur à lui même, quand la pensée, trop enfermées dans ses visions et souvenirs, d’une capte plus rien d‘autre, médication, afin d’extérioriser le problème et ne reste dans la solitude de systèmes cérébraux vaincus par la réminiscence incessante passive et suicidaire, solitaire. Ce combat contre le choc traumatique est cause de traumatisme de guerre de plus, les thérapies de véritables parcours du combattant. La psychologie, la réflexothérapie, à mon avis peuvent sembler de bonnes pratiques résolutives mais non curatives, sinon palliatives et préventives des moments de crise aigüe.

D’autant plus que ces personnes auront été amenées à tuer maintes fois par légitime défense sur ordre et devoir, donc, potentiellement dangereux pour le reste de la population car considérés encore aptes à tuer, ce que chacun s’exerce à provoquer inconsciemment, afin que ces anciens soldats se fassent un devoir de se dominer pour ne point se venger de ces représailles post–bellum, envers leur statut de soldats qui ont défendu la cause nationale et donc de chacun

Parfois, même sans aucune provocation, la mémoire, le mécanisme du cerveau revit des épisodes cruciaux causes de cas de conscience des sujets, et le fait de revivre sans cesse ces épisodes pour les traiter personnellement et tenter de trouver une solution à l’horreur qu’ls suscitent, est cause du mal véritable, la mémoire lucide des faits peut devenir dans ce cas maladie mentale, car trop vive et mettant la conscience à vif (émission télévisée sur ce phénomène).

Chacun ne se sentant supérieur à la maladie que parce qu’épargné par la maladie, mais en fait, issu en soi profondément de traumatismes successifs en couches superposées, dont le résultat est notre société, fragilisée déjà dans son patrimoine génétique malgré les bons atouts du progrès, par toute une destruction des atouts génétiques de l’espèce, due à la répression sociale et la pollution d’un régime capitaliste nocif pour la santé humaine, les mauvaises conditions de vie qui en quelques décennies ont réussi à fragiliser ce que plusieurs siècles et millénaires d’humanité, dans toutes ses barbaries, n’avaient réussi à abimer ni à détruire, c’est dire, si la société capitaliste y est allé violement et fort, pis qu’une humanité d’horreurs et de crimes contre l’humanité déjà vécue.

Envoi au Post Washington :

J’ai réfléchi à poster un message sur l’adresse de ce journal, concernant la mort du malade mental exécuté dont vous avez parlé. Mais je pense que la difficulté est en la présence de la peine de mort en soi dans votre pays, qu’elle touche autant d’innocents que de criminels véritables et n’est la solution à la vindicte populaire, aux mentalités qui réclament représailles à ce point d’hystérie collective, telle qu’elle existait en Europe au Moyen Age. En France Mr. Badinter s’est battu comme un lion pour obtenir l’abolition de la peine de mort, dans les années Mitterrand, je ne possède tous ses arguments, il s’est battu longtemps, longuement, ce travail de reptation va vous demander, peuple américain, beaucoup d’efforts, pour ceux qui osent contester la peine d’euthanasie, il vous faudrait des hommes de loi de votre bord pour vous aider, à faire bouger cette société occidentale qui si cela se trouve, retournera au supplice de la roue et l’exécution sur les places publiques.

Pour ce qui est d‘un innocent exécuté à tort, se voir mourir est aussi atroce que la mort pour quelqu’un d’attardé qui ne comprend même plus ce qu’il lui arrive, réduit au stade animal de l’ l’homme par tous procédés de la société, c’est aussi atroce que tuer un animal pour sa folie, hélas cela se pratique aussi.

Exécuter un être humain pour la mort qu’il a peut-être donnée, en état de légitime défense en soi, poussé aux ultimes limites des frontières de l’humain et de son animalité, est désespérant, peut-on souhaiter cela pour tout fils, enfant de tout couple, tombé dans la maladie, l’incarcérer, voire l’exécuter au nom de quelque faute qu’il aurait commise, à ce compte là cela pourrait se trouver pour des fautes minimes, et certains l’acceptent, c’est le plus révoltant. En France, l’on se contente de construire des unités psychiatriques capables de traiter ce genre malades, unités de prise en charge médicale je l’espère sans débordements d’inhumanité, car cela serait ne résoudre leur problème. Et cela serait suffisant pour parer aux actes, si peu nombreux d’ailleurs en pourcentages, de la criminalité des déments, J’espère que le président Obama pourra rétablir quelque peu l’ordre dans ces aberrations du système.

Toxoplasmose, stérilisations forcées et schizophrénie :

Nombre de personnes qui avaient des chats ou ont été en contact avec des chats et félins ont contracté la toxoplasmose, ce qui a déterminé chez eux le diagnostic de schizophrénie, et souvent les femmes et les hommes déterminés ainsi ont été stérilisés (contraints à être opérés à leur insu ou qu’ils en aient été conscients) ne serait-ce que par traitements neuroleptiques prolongés, qui inhibent la fonctions sexuelle et donc protègent la stérilité, soit parle fait que ces traitements chez la femme induisent un traitement contraceptif pour la dangerosité de leur effet sur l’embryon qui peut naitre avec tares génétiques graves voire mortelles, ces embryons et fœtus le plus souvent non viable et avortés spontanément par l’utérus de la femme traitée. Le fait de la schizophrénie induit le fait de la stérilisation à vie de leur cas car il s’agit d’un diagnostic définitif qui suggère le traitement à vie dès son départ, et donc condamne des patients dès avant leur majorité parfois d’après la détermination chez eux de démence précoce qui précède la période d’encrage de la maladie.

D’autre part, la surconsommation et l’intoxication en plomb peut provoquer le saturnisme accompagné de météorisme ou l’aluminium et les sels d’alumine, je ne sais plus, saturnisme mal similaire à la schizophrénie et qui l’induit (recherche dans Sciences et Vie, revue scientifique des années 80). Vieilles tuyauteries, traitements à base de sels d’alumine tel le fameux Phosphalugel, pansement gastrique, ou de dérivés de cocaïne tels les sirop pour la toux Euphon, cause d'hallucinations et de visions, d'états seconds hallucinatoire parfois graves chez l'enfant et l'adolescent, émanations de gaz d’échappement, ou casseroles en aluminium, le compte y est.

J’ai des chats depuis les neufs ans, et vérifierai si je ne fais une intoxication aux toxines de toxoplasmose, cela pourrait s’avérer intéressant, en parlerai à mon médecin traitant, car n’ayant pu pour les raisons qui précèdent avoir eu d’enfants, ni faire constater à temps mes états de grossesse, sinon pour avortement licite, je n’ai pu vérifier mon infection ou non toxoplasmique, qui est sensée normalement être contrôlée chez les femmes enceintes, car dangereuse pour l’enfant et transmissible au fœtus. A vérifier tout de même...

A taire sous les crécelles des partisans de l'apartheid envers la folie autant que toute maladie honteuse qui d'ailleurs en sus est le plus souvent cause de démences.

Plus décidément, concernant les stérilisations, certains furent plus endoctrinés pour l’accepter que chargés de se prendre en main, et ceux qui furent opérés le furent par vasotectomie pour les hommes, par ligature des trompes, ou leur section ; stérilisation définitive dans ce cas. Parois la stérilisation se fait par des méthodes plus violentes, avant que ce opérations durant les années 80 à 95 aient été décidées en masse et en force dans les asiles psychiatriques dès le moindre suivi pour démence, je ne sais si cela a touché les populations d’autres démences que la schizophrénie, les traitements pour ces maladies souvent tout aussi invalidants, mais les coups, blessures, infections à salpingites causées par bains forcés dans baignoires et usages de sanitaires infectés et mal nettoyés causant l’ablation des ovaires pour leur grave affection, et blessures causées par tabassages à l’électrode auront été des méthodes jugées tout aussi naturelles pour les stérilisations forcées sensées représenter la punition à titre de représailles pour leurs fautes de la famille envers ces graves cas que représentent des personnes sensées elles ne point protester dans les conflits de générations déclenchés à la puberté contre l’ordre établi, par ces familles aidées et représentées par les psychiatres, et ces contestataires si trop révoltés téméraires ou iconoclastes, jugés hontes déshonorantes de leur famille, ratés pour la vie, d’où, les conséquences punitives des traitements attribués à titre de sanction pénale à perpétuité, malheureusement, sous des prétextes de contraindre à la santé. Certains psychiatres plus honnêtes prêchent le devoir d’extraire le traitement à vie du devoir de sanction, et le considèrent tel palliatif simple à la maladie, maladie ne signifiant pas forcément être coupable de mauvaise santé. En France du moins. La stérilisation forcée officielle est passible de 5 ans minimum d’emprisonnement aujourd’hui depuis un scandale la dénonçant dans le journal Charlie hebdo, mais pratiquée en douce et contrainte sous le port obligatoire du médicament tel tchador médicamenteux pour certaines femmes contestataires depuis que la Femme a rencontré la politique dans ces états policiers que la France de l'avant et de l'après-guerre a connus.. S’il s’agit tant là de schizophrénie.

L’inhibition de la libido déclarée partie intégrante de la symptomatique schizophrène, du d’une part aux traitement dits inhibiteurs de la folie la plus grave qui soit recensée en psychiatrie, la schizophrénie, et classifiée dangereuse, d’autre part parles encerclements continue similaires à la pratique vaudou, liés à l’enfermement thérapeutique, pratiqué sans laisser de vie intime nécessaire à l’acte d’accouplement et à la vue sexuelle, au domicile de la personne ne prévention et suivi tout comme en établissement psychiatrique, d’autre part, toute tentative de posséder une vie sexuelle ramenée à l’obsessionalisation de cette fonction naturelle, tant par la présomption d’érotomanie, que par l’interdiction formelle d’voir des rapports sexuels en établissement psychiatrique selon les règlements intérieurs, toute contrevenance à l’extérieur de ces établissement punie par la population qui persiste à traiter ces personnes suivie tout comme en pavillon disciplinaire, par mesure de sécurité et politique sécuritaire en vogue depuis bien avant mai 68, comme par représailles sexuelles et pratiques lysiques de ce viol correctif de castrer les hommes et femmes coupables de contestation , divergence et délit d’opinion en son sein. Rappelons que la castration en soi, chimique ou non, ainsi que la cécité ici cécité mentale causée par l’abrutissement constant du aux traitements neuroleptiques cumulés et prolongés, sont décrétées seulement liées à l’Oedipe, selon le mythe, cause première et classique dans les anales des cas d’école, de la venue de la démence précoce schizophrénique. La contestation jugée schizophrène depuis les années 19005, années d’établissement de la psychanalyse par Freud, sous la montée nazie. A titre d’exemple, je rappellerai les cas de stérilisations forcées de masse, envers les populations noires d’Afrique envahie par Hitler, campagne destinée avec propagande, à interdire toute mixité des relations sexuelles pouvant corrompre le patrimoine génétique et la pureté de la race aryenne, les relations mixtes par mesure préventive et de sécurité, très condamnées. Mesures politiques en consécration à cette période vichyssoise de l’extermination raciale commise par les autorités et forces de l’ordre françaises. Cela peut faire très mal de nos jours encore. Se méfier symptôme de la maladie incriminée. Contre la quelle règne un tel état de discrimination et de violence physique autant que verbale à damner éternellement les mêmes personnes critiques envers la société pour un délit d’opinion qui est le leur et ne leur est reconnu mais traité au même titre que maladie mentale de plus gravissimes voire dangereuse en état paroxysmique pouvant nuire à sa vie et la mettre en danger

Line L.

I know that religion is very important in black community, that because blacks criminalized, are believing in a sort of commune spiritual action but black wich remplace culture information and education because it-s more simply to believe without scientific proud that knowing, open of mind and all the culture. Black comunity life is it a life of sect if this Mary Neal is realy you, and the black life and the culture of your movement is so a Church ?

Sorry, i'm without religion and atheist, and i think tht if you way is common with my way of life and of thinking, religion is a sort of motor of peace and energy, but not the mine. I base my way of action on philosophy, I make difference beteween religion and philisophy.

But on the photo you are very beautiful.

Thank you Mary for your tolerence and humanity, witch are the foudation of laws and power.

I don't speack english very well without automatic traductor, but i think that the mind witch found your organisation is very fair and human, in the way of love, teaching peace and sweetness in rigths etablissment, love for humanity and human rignts alls are universals and so, any one can possede them, without any preference of social state, spiritual orientation or illness trouble and politic, philosophic thinking.

Sincerely,

Some times, it's in her dreams that womens make the futur of the earth and the laws of humanity, making rignts and duties of love on the planet and the universe, it's their work under the real work to make and educate men, some women work in this life being, the others kill them, ignore and work for herselves, they are the arms of the men. You are in these who work for the earth.
Thank,

En somme, la femme est responsable, pour les plus lucides, de la planète, sur laquelle elle se charge de nettoyer les vices de l'humanité, de remettre de l'ordre dans les désordres des guerres civiles que ses prédécesseurs et les hommes que les femmes ont fabriqués ont causées, d'éduquer l'Homme contre le mal. Et quand elle nettoie, elle nettoie. quitte à liquider le problème et parfois pour certaines, l'humanité entière. Petit quart d'heure de philosophie.

C'est aux plus lucides de nous montrer le chemin. Depuis qu'elle a osé offenser l'univers en créant sous l'égide de l'Homme, l'Homo Sapiens, elle paiera cette faute de concurrencer la création universelle jugée divine en créant l'humanité future, elle se verra le droit de la mener à sa guise, et cela sera sa seule liberté. L'homme refusant à cette tâche de participer, que la Femme décide, et soit pouvoir, du moins de décision, donc, créant la justice dans la morale et le droit humain de son devoir de création. Ce sera son unique beauté, celle de l'espèce humaine, même si elle ne lui est reconnue, elle fera sa force et son combat. Abeille ouvrière travailleuse de cette ruche qu'est sa condition et non abeille tueuse. Je rajouterai, organisée en guêpier.

Cette condition de la Femme au service de l'Homme fait la maladie au sein de la société, et du monde.

Le dire est perçu maladie. Parce que les Hommes bâtissent des empires de civilisations, et que les femmes y mettent de l'ordre, nettoient les impuretés des régimes, les régulent, modèrent et assouplissent, fatalité, pureté de leur sort, les autres promises au vulgaire au commun et au vice, et aucune de leurs répliques, jérémiades à cela ou ripostes ne seront admises. Ou sera traitée en maladie propre à l'espèce humaine, tout homme de leur avis et défenseur des droits humain si cela dans son milieu n'est accepté, traité en femme malade, mentalement dévié d'une Raison de la communauté des Hommes. Donc, traités en sous-hommes et enfermés pour leur rébellion à la raison de la société qui l'a enfantée. Pour ce qui est des femmes malades mentales ou jugées telles, elles sont pour la plupart mieux traitées que les hommes sur le plan de la violence physique par les femmes et les hommes qui les prennent en charge, mais tout aussi maltraitées de maltraitances psychologiques, dans la prise en charge par la société de leur différence, rébellion ou soumission excessive, et parfois, finissent femmes battues, ce qui représente des violences mortelles le plus souvent, mais c'est un autre problème, celui de l'incarcération des déments concernant à priori les hommes, plus facilement poussés à la criminalité que les femmes. Et la violence entre hommes peut atteindre de véritables paroxysmes, de barbarie, de crimes contre l'humanité et de déviances sexuelles dans les viols correctifs. Le devoir de la philosophie, étant de définir les problèmes de la société, afin d'en déterminer les causes, les paramètres, et d'indiquer les failles des systèmes où agir. C'est le droit de chacun, que rares quelques uns prennent ou sont en mesure de prendre. La perte en philosophes de génie dans notre monde occidental fait que les régies de l'occident sombrent dans le trouble. C'est à l'initiative des plus éclairés et lucides de prendre en main la barre du gouvernail de ce navire sans pilote véritable, et de tenter une action collective en la faveur des plus démunis, dans le devoir humanitaire de salvation non seulement de l'esprit, mais du corps de chacun. Dans un devoir éthique et médical de rétablir la santé du monde social et de chaque individu de la collectivité humaine.

Discours au président Obama, Maison Blanche :

Bonjour,

Je soutiens un mouvement de décriminalisation de la maladie mentale, cette tentative d'humanisation des conditions de détention et de prise en charge de la maladie et du malade, qu'il soit soigné ou incarcéré pour raisons politiques liées à son refus des structures sociales dues au système capitaliste mondial occidental, et américain, me semble un problème qui doit se fonder sur un remaniement des projets structurels de l'Etat, en effet, et des mentalités, mais en Amérique, la tendance va dans le bons sens, en Europe, le problème est différent, s'est marginalisé longtemps, confiné dans les drogues douces qui entretiennent les échanges sur ce sujet de la torture psychiatrique et de la répression constante qu'elle peut représenter.

Établir les règles d'une charte des applications envers la maladie mentale me parait nécessaire. J'espère que le président Obama tiendra compte de votre action qui doit sinon se déterminer dans les lois, aboutir par un travail sur le terrain.

Le plus gros problème de l'Etat français actuellement résidant en l'existence d'un secret d'État sur l'existence des déchets nucléaires, la libre circulation des armements illicites de nouvelle convention, le délit d'opinion, et les méthodes de contention psychiatrique, conduisant à une résistance active ou passive, le problème différant en Amérique, où l'emprisonnement des malades mentaux entraine une mobilisation pour la pratique du soin et de la prise en charge médicale de la maladie mentale, les conditions de traitement de la démence en Amérique faisant encore froid dans le dos, le problème de la détention en milieu carcéral ou médical revient au même, problème de la torture autant dans les cas de maladie mentale que de délit d'opinion, ou de délinquance, le taux de suicides dû à des pratiques de la torture et de la maltraitance pouvant porter atteinte à la sécurité et la vie de la personne, revenant au même dans les deux cas, de l'emprisonnement et de la psychiatrisation, décès imputés soit à la nature soit à la maladie, le problème à résoudre restant celui de la torture, notamment durant l’incarcération en prison.

Prise en charge médicale étatique et sociale de la démence :

La question de la prise en charge médicale devrait être abord examinée et revendiquée dans le cas des incarcérations de déments : le fait d'une sécurité sociale obligatoire pour tous et une prise en charge de soins et thérapies médicales même en cas de petite démence ne conduisant pas forcément à la délinquance ou même aggravée jusqu’à la criminalité est à envisager. Je pense que le système social américain a engendre un problème gravissime de société irrévocable : celui de l'absence de sécurité sociale pour les sans-emploi et les plus démunis, ce qui les encourage aux trafics de multiple sortes et notamment ceux liés à la drogue et aux drogues dures, ne serait-ce qu'afin de survivre et payer parfois les frais médicaux de membres de leur famille gravement affectés de maladie incurable, cela s'est vu, dans le meilleur des cas. il faudrait demander au président Obama de revoir ce système de couverture médicale de la population non travailleuse et des plus démunis, instaurer un RMI (Revenu Minimum d’Insertion) et une Allocation adulte handicapé ou AAH (revenus minimum en France diminuant le taux de délinquance chez les déments et inactifs, même si la délinquance juvénile a augmenté). Car les personnes malades mentales seront sans quoi orientées vers les prisons plutôt que vers les établissements psychiatriques, car fait aggravant la prise en charge nécessite argent et remboursements médicaux donc sécurité sociale pour tous.

Je suis désolée de revenir à la charge, mais plusieurs pays européens et je suppose dans le monde, ont signé une charte attestant que la présence de membres d'ONG HUMANITAIRES (je pense à Amnesty International) pourrait être demandée sur tout lieu de détention par les intéressés qui feraient appel à leurs services, gratuitement, du moins je crois, afin de déterminée les enfreintes aux droits de l'Homme et du citoyen, l'Amérique du Nord a-t-elle ratifié cet accord, et sinon, il faudrait le proposer au président Barak Obama, tant que son mandat ne s'est écoulé et qu'il entreprend sa présidence. Beaucoup en effet d’enfreintes à ces droits de l’Homme dans mes prisons et de réorganisation des structures de l'Etat américain sont à revoir, de regard de français, l'œil étranger voyant plus rapidement les fautes de l'extérieur que de l'intérieur, d'où l'intérêt d'un regard extérieur au problème. je crois que la refonte de la société occidentale est à refaire, nous européens, comptons beaucoup sur votre présidence, notamment en ce qui est des structures sociales.

Si en prison les déments meurent sous les tortures, violences physiques et mauvais traitements, il existe des sévices hospitaliers qui ces tortures les valent, même si elles diffèrent, elles ne sont moindres. L’issue le plus souvent est la mort prématurée, proche de l’euthanasie programmée des déments, vers la quarantaine ou les 50 ans.

Il existe bien une solution intermédiaire, celle dénommée hôpital de Trieste, mise en œuvre par les communistes en Italie après les années de la reconstruction d’après guerre , vers les années 50 à 70, je ne voudrais pas me tromper, où les malades mentaux étaient soignés à domicile, ou dans des maisons d’handicapés, mais le problème se pose en France pays qui va vers cette tendance, de la fermeture des lits d’hôpitaux, et de la fin du service public véritable, pour un appât d’une plus grande humanisation. Chaque solution prison, hôpital ou soins à domicile, la perversion des prises en charge du malade mental s’est instaurée, et parfois, la prison fait office d’hôpital, en effet les médicaments pour troubles mentaux s’y généralisent, les troubles affectant jusqu’à la population carcérale saine, tant les conditions de vie y sont déplorables et inhumaines.

Dans les trois cas, les droits de l’homme y sont bafoués, seule la solution, de facilité, de Trieste pourrait apporter un mieux, les familles non complices des tortures communes au sort des déments, pourraient contrôler ces débordements, qui d’ordinaire, se produisent en milieu clos, fermé, hors d’atteinte de regard humain… Mais cela engage à un investissement en temps et en argent des familles, qui sont débordées et ne peuvent réellement se consacrer à cette prise en charge familiale de la maladie, ne pouvant remplacer un personnel médical apte et efficace. C’est terrible, trop horrible, quand le calvaire des malades mentaux va-t-il se terminer…

La maladie se fonderait-elle sur la différence d’opinion, et donc le délit d’opinion, là est la question, mais il faut revenir à un fait évident, le nombre croissant et important de personnes de couleur emprisonnées dans les pays occidentaux, qui ont sombré pour des raisons le plus souvent de précarité induisant la délinquance ou de discrimination raciale des forces de l’ordre dans l’enfer carcéral, témoigne d’une situation grave de « préférence » que s’attribue la loi pour choisir du sort de chacun, l’interner ou l’emprisonner, en fonction de l’appartenance ethnique, idéologique, religieuse ou liée au sexe. Ce qui est les critères de base de la détermination même des exactions et crimes contre l’humanité. Le plus atroce, c’est que le sachant, les représentants de la loi imputent la faute à la victime, et impriment plus violemment encore leur despotisme.

Toute controverse serait parler pour rien dire, face à cet état d’esprit qui relève de celui des dictatures, beaucoup de ces manifestations de cruauté sont à réduire dans nos pays, l’inaction autant que l’action se révèlent aussi inutiles, c’est le fondement de toute dictature, seule la liberté au prix de la mort et le moindre dommage pouvant résoudre le conflit. Beaucoup de bourreaux, liés à la mentalité du Ku-Klux-Klan s’érigent en autorité en Amérique autant qu’en un occident américanisé depuis Bush, et il est à craindre que le combat ne perdure, il n’y a que l’autorité des lois et leur juste application pour résorber ce trop plein de fascisme, le racisme, l’apartheid, ne sont une fatalité, même s’ils peuvent conduire à mourir de faiblesse face à eux, ils intimident et comptent sur ce sentiment pour régner.

Peine de mort et démence :

La maladie mentale, qu’elle soit due à la consommation de toxiques ou aux rigueurs de la société, ce qui est signe déjà de rébellion selon certains, ou même la maladie tout court entreprise par les droits de la dictature et des tenants du dictat (tout dictat ne se résumant qu’à des personnes, individus de la société qui constituent cet état de droit de fait de la dictature) maladie entreprise donc faiblesse de la race, faiblesse d’esprit ou physique ce qui induit ces tenant du despotisme et du fascisme (il n’est pas seulement allemand), à condamner la maladie selon les lois de la sélection de la nature, les plus faibles sacrifiés, dans un esprit de purification ethnique de la race qui accable jusqu’aux malades mentaux, des reliquats de cette mentalité entretenue par des factions fascistes dont certaines relevant du Ku-Klux-Klan, j’insiste, encore en vigueur et qui tiennent des procédés de l’Inquisition d’Espagne, Italienne, et française, procédés des forces de l’ordre dans les prisons et parfois de personnels d’établissements psychiatriques, ce qui est à craindre et ne résout le problème. Je crois qu’il réside en cela.

Je pense que la difficulté est en la présence de la peine de mort en soi dans votre pays, qu’elle touche autant d’innocents que de criminels véritables et n’est la solution à la vindicte populaire, aux mentalités qui réclament représailles à ce point d’hystérie collective, telle qu’elle existait en Europe au Moyen Age. En France Mr. Robert Badinter s’est battu comme un lion pour obtenir l’abolition de la peine de mort, dans les années Mitterrand, je ne possède tous ses arguments, il s’est battu longtemps, longuement, ce travail de reptation va vous demander, peuple américain, beaucoup d’efforts, pour ceux qui osent contester la peine d’euthanasie, il vous faudrait des hommes de loi de votre bord pour vous aider, à faire bouger cette société occidentale qui si cela se trouve, retournera au supplice de la roue et l’exécution sur les places publiques.

Tuer est un crime autant pour un Etat qui assassine de peines liées à la torture médicale, par représailles, donc, lui-même criminel, que pour un criminel qui n’a pu prouver son innocence. Œil pour œil dent pour dent, la loi de la vengeance qu’établie la loi du Talion, rendre à autrui ce qu’il a commis, relève des tortures de la barbarie, quand l’Eglise chrétienne qui a fait les premiers pas de l’humanisme, a prêché pendant des siècles et des années (à faire jurer sur la Bible et non le Code Civil) qu’il ne fallait tuer son frère, et accorder le pardon à la faute du faible. Punir me semble un acte de vengeance qui est le vice et l’apologie du drame des incarcérés, d’abord leur expliquer le mal qu’ils ont commis, entreprendre toute prévention pédagogique avant l’irrémédiable, l’insertion sociale et le suivi individuel de chacun lui permettant de ne pas outre-dépasser les normes sociale de la loi, me parait une nécessité à défendre avant tout autre discourt. Un code civil bâti sur la loi de représailles nationales envers des individus jugés, jusques pour leur folie, me parait un fait aberrant. Et un crime contre l’humanité, de plus

Pour ce qui est d‘un innocent exécuté à tort, se voir mourir est aussi atroce que la mort pour quelqu’un d’attardé qui ne comprend même plus ce qu’il lui arrive, réduit au stade animal de l’homme par tous procédés de la société, c’est aussi atroce que tuer un animal pour sa folie, hélas cela se pratique aussi.

Exécuter un être humain pour la mort qu’il a peut-être donnée, en état de légitime défense en soi, poussé aux ultimes limites des frontières de l’humain et de son animalité, est désespérant, peut-on souhaiter cela pour tout fils, enfant de tout couple, tombé dans la maladie, l’incarcérer, voire l’exécuter au nom de quelque faute qu’il aurait commise, à ce compte là cela pourrait se trouver pour des fautes minimes, et certains l’acceptent, c’est le plus révoltant. En France, l’on se contente de construire des unités psychiatriques capables de traiter ce genre malades, unités de prise en charge médicale je l’espère sans débordements d’inhumanité, car cela serait ne résoudre leur problème. Et cela serait suffisant pour parer aux actes, si peu nombreux d’ailleurs en pourcentages, de la criminalité des déments, J’espère que le président Obama pourra rétablir quelque peu l’ordre dans ces aberrations du système.

Prévention psychiatrique et dérives du système

En France, pour proposer un modèle d’encadrement préventif de la démence, sans en venir au problème de torturer des psychotiques, existent des antennes médicales psychologiques, ou Centres Médico-Psychologiques qui dépendent directement de l’asile psychiatrique, et qui dispensent des soins curatifs à base de traitements à prendre dans ces locaux au sein des quartiers, en période de crise pour les personnes déstabilisées, ou en traitement de longue haleine à base d’injections retard de neuroleptique tous les mois, ou 15 jours, selon un calendrier bien établi des soins, accompagnés voire d’intervention sur le terrain à domicile, permettant de juger du comportement de la personne affectée de maladie mentale, à l’extérieur de l’hôpital si vient d’être libérée sur examen médical, auquel cas est nommé un référent ou référente à qui le malade peut se référer en cas de besoin, personnel infirmier avec qui il faut savoir tout de même composer, chargé d’encadrer la personne au sortir des mesures d’hospitalisation d’Office. Ce personnel soignant est cadré par la présence de médecins hospitaliers dispensant des consultations au sein de ces CMP, en cas de rechute ou de crise, ou de besoins de consultation des malades. Ces mesures de précaution (le personnel en principe très discret et aux petits soins, mesuré beaucoup plus qu’en hospitalisation) permettent d’encadrer les crises et d’éviter, au moindre appel téléphonique de la personne malade ou du voisinage, des proches et de l’entourage, de cerner rapidement les faits et d’intervenir à temps. Malheureusement, les listes d’attente se font longues pour ce qui est des hospitalisations, avec la mesure de fermeture des lits qui se comptent désormais, en milieu hospitalier, et donc se fait sentir une délinquance et une criminalité accrue qui justifie une recrudescence de la répression, la prison ayant tendance à remplacer l’hôpital, en France du moins

Actuellement, il ne faut se leurrer, certaines de ces institutions luttent contre un politique sécuritaire qui aurait tendance à vouloir les utiliser pour de mesures de précaution envers le délit d’opinion et la politique de terreur d’un gouvernement qui utilise les faiblesses de ce système pour régner au nom de la société Sécuritaire et de Surveillance à l’encontre de la contestation et de la divergence d’opinion, les termes de terminologie psychiatrique et la torture médicale n’est loin, de « malade mental » devenus l’injure menaçante suprême même à l’encontre du militant, donc se méfier des dérives de ce système de prévention… La maladie mentale serait-elle synonyme pour la plus part des citoyens de contestation méritant la mort programmée si non traitée avant toute légitime défense ou crise de folie véritable de l’inculpé ? La maladie mentale existe en soi, involontaire ni préméditée par le malade, sinon qu’il est victime de la société qui le lui reproche, l’en tient pour responsable et condamne. La démence n’a à payer le prix d’une société policière envers le délit d’opinion et la divergence d’opinion quand ces deux situations sont assimilées la démence grave. S’il vous plait de torturer, des êtres innocents qu’ils soient conscients ou pas de la chose, prisonniers d’opinion du système autant que déments et inversement, cela concerne tout de même le monde. S’il vous plait d’avilir et assassiner de tortures médicales autant que des déments potentiellement dangereux, ils ne le sont tous, l’auraient fait envers autrui s’ils n’étaient soignés, vous, coupables de vous même, qui propagez la morale de la peine de mort, les mots tuent autant qu’ils peuvent sauver des vies humaines…

Prévention sociale :

Les procédures d’accompagnement social et pédagogique en vue d’insertion des inactifs prévues à l’attribution des minima sociaux en France prévues par la gauche, ont été stoppées net par la venue au pouvoir de Nicolas Sarkozy, ces structures d’insertions sont loin d’être restées valides et travaillent inutilement dans une société, où la totalité du plan de relance par adaptation de l’enseignement à la demande des jeunes est remplacée par une totalitarisation de l’enseignement due au manque de subventions et de postes d’enseignants, de surveillants et éducateurs qui seraient nécessaires pour pallier à la délinquance à l’école. Mais c’est un problème typiquement français, j’espère que le président Obama ne tombera dans le piège des subventions sans suivi d’accompagnement d’insertion pédagogique, l’emploi tenant à la formation librement consentie et volontaire de chacun, le tout étant de fournir à tous emploi et sécurité sociale, la sécurité sociale ne devant être liée à l’emploi, suivant le respect des droits de la Convention des droits de l’Homme, stipulant le droit d’accessibilité à la santé pour tous, droit inaliénable en Amérique bafoué… Tout travailleur ou personne apte au travail devant s’insérer dans un emploi sane in mens, sane in corpus, bref, sain de corps et d’esprit

J’ajouterai, que les structures d’insertion et de suivi des plus démunis, déments et des inactifs seraient libératrices d’emploi du secteur tertiaire et donc rémunérés au même tire que le secteur tertiaire des services, collatéral avec le fonctionnariat, mais pouvant introduire des emplois formateurs de postes dans le secteur privé et donc liés à ce secteur économique, ce qui induit une source inouïe de travail potentiel, sans compter le secteur de l’artisanat qui pourrait être privilégié dans des formations d’apprentissage qui pourraient débloquer de l’emploi chez les jeunes hors circuit scolaire très tôt, en France cette stratégie prend le relai de l’ANPE, permettant à des jeunes au Chômage ou en rupture de revenus sociaux, de s’insérer dans la société sans difficultés, rémunérés au départ au SMIC, donc dans moins de chances de tomber malades. Le tout étant de cibler les entreprises formatrices de jeunes, et de leur accorder des subventions en conséquence…

Programmes de tests et de recherche pro-américains et nazis, alliés aux programmes de recherche communistes soviétiques et prosoviétiques, allant de la recherche sur la télépathie au clonage, en passant par l’acquisition par l’artifice de la démence et de la maladie, afin d‘en étudier les paramètres de fonctionnement de l’organisme et du cerveau, enrôlant des cobayes humains sous un Service du Travail Obligatoire aryen) personnes qui au départ ne savaient rien de cette entreprise fasciste de cobayage forcé, maintenus dans l’obligation du rapport quotidien çà effectuer, soumis à la torture sur dossier, actes de soutirage, ou cuisinage avec actes de cuissage (dans les moments de quartiers libres des bourreaux en tout lieu de résidence se défoulant autant que dans fermes de loisir afrikaners sur leurs victimes), par la torture d’engins de test et de nouvelle technologie assimilables par une utilisation à cet effet et dans ce but, aux effets du groupe électrogène, (lasers, faisceaux micro-ondes etc.…). Ces personnes, bouclier humain choisi dans la population pour ces tests de recherche en biométrique et biologie, ou tests militaires d’engins militaires, sont éliminés par les hôpitaux, par les asiles d’aliénés dès que les cobayes pour certains, osent s’ouvrir de ce carnage, élimination physique et mentale, par destruction préalable de leur personnalité par les pires tortures causées de ces engins, et sévices de maltraitances de toutes sortes. Puis, leur élimination physique est programmée à partir d’un âge déterminé, dès la quarantaine, leur personne si encore en vie à la cinquantaine, pris en charge parfois par les maisons de retraite assermentées sur le sujet. Programmes de recherche de tests accompagnés de contrôles continuels des victimes, ratissées au peigne fin et sous surveillance 24h/24 de voisinages payés en fonction, entrepris sous Georges Bush et encore en vigueur en occident.

Chère Mary, voici ci-joint les e-mails que j’ai envoyé dernièrement à Amnesty international concernant votre lutte et la vidéo sur la torture des déments en prison. En espérant que je n’ai fait trop d’erreurs, confondant Loi de Kent et loi de Kendra’s. Si Ai vous contacte, je souhaite réellement que vous leur indiquiez tout de votre combat. Je me suis permis d’indiquer vos cordonnées pour qu’ils vous joignent.
Amicalement,

Line Llao

Bonsoir,

Membre adhérent d’Amnesty international depuis plusieurs mois, je vous adresse, en dernier recours, l’adresse du site d’une vidéo reportage concernant l’incarcération en Amérique, de malades mentaux, sombrant dans une démence plus profonde encore et abimée de souffrances indicibles, augmentée des douleurs des violences de la répression quand ces malades se heurtent à la rigueur des établissements pénitentiaires. Je souhaite vivement que vous puissiez intervenir afin que ces malades mentaux qui souffrent un martyre au-delà de la supportabilité humaine, puissent bénéficier de la « Loi de Kent, ou de Kendra », loi permettant une affectation de ces malades mentaux à des soins psychiatriques hors établissements pénitentiaires. Pour ce qui est de cette loi, moi-même participant à un groupe d’action et de réflexion sur ce type d ‘incarcération pénitentiaire des déments dits criminels en Amérique, je vous conseillerai le site de ce groupe d’action envers la dépénalisation et la décriminalisation, en résumé, de la maladie mentale, AIMI, dont je suis actuellement membre et auquel je travaille depuis quelque mois. Mary Neal, qui dirige ce groupe, qui n’est un groupe de réflexion thérapeutique mais de sensibilisation à cette injustice et ce problème d’origine étatique, , a elle même souffert le martyre de son frère, assassiné en prison et rendu décédé à sa famille, après son incarcération, alors qu’il souffrait de troubles mentaux. Sensibilisant des personnes intéressées par ce drame, Mary Neal témoigne dans son blog, en anglais, de la réflexion sur ce type de torture méconnue et ignorée, et ces cas de prisonniers de droit commun soumis à des violence inhumaines, des supplices des plus éprouvants pour la conscience humaine, je vous serais reconnaissante de prendre contact avec ce groupe, afin que Mary vous indique son drame, je vous prie de considérer ses arguments dénués de prosélytisme, sa souffrance étant le courage terrible d’une sœur victime d ‘une injustice étatique criminelle.

L’adresse du groupe est sur Care2, ils auront certainement dû vous contacter de ma part, sans oser trop insister, leur pudeur faisant rempart à toute aide véritable : Care2 Groups: Assistance to the Incarcerated Mentally Ill Mailing List [AIMI@groups.care2.com]

L’émotion, la foi en l’espoir qui fait vivre leur franchise et leur détresse, le peu de moyens de leur collectif m’a émue, et vraiment je souhaite que vous puisiez faire pression pour que cette loi de Kent soit adoptée par les Etats américains ne serait-ce que pour éviter la torture supplémentaires du couloir de la mort à des déments parfois criminels, ou des prisonniers innocents du crime qu’ils ont commis, au cours de leur crise. Cette loi de prévention de la crise par l’obligation au soin, permettrait d’éviter de tels crimes contre l’humanité sans pitié pour la folie, faiblesse, faille de l’Homme quand il se soumet, forcé, à la barbarie, l’horreur véritable. Seules quelques pétitions sur internet témoignent de ces exactions, la nudité et la misère des moyens d’action touchent personnellement, font mal et pitié, dont une pétition concernant un dément dans le couloir de la mort s’étant en guise de protestation contre cette torture, arraché et mangé les deux yeux.

Je me permets de vous indiquer les contacts de Mary Neal, afin que vous puissiez dialoguer avec elle, et qu’elle vous communique ses arguments, qui à mon avis, valent d’être entendus :

Bonsoir,

Je vous prie de trouver ci-dessous mes derniers textes envoyés à des personnes dignes d’intérêt, que j’ai trouvées et rencontrée sur un site internet, cAre2, où j’avoue j’ai trouvé répondant et soutien à mon action personnelle, luter contre la torture médicale en occident et sur le territoire français, quoique absurde ou réel cela puisse paraitre :

Cher Sheldon,

Je suis ravie d’avoir eu votre contact dans mes e-mail, car je trouve en vous enfin une personne digne de représenter un être civique, qui non seulement se bat pour une cause qui m’accapare depuis mes vingt ans, mais de plus a causé des décès et des blessures mortelles chez plus d’une victime des programmes de recherche gouvernementaux. Je crois bien que ces programmes américains ont une profonde ascendance dans la recherche française, et je me heurte également à des expérimentations sauvages et organisées sous couvert paramilitaire, ou militaire, sur le territoire national français, dont de tests d’armements nouvelle convention et de pointe de l’armée, ainsi que des engins issus de la recherche technologique en tous genre, dont, appareils de soins médicaux et chirurgicaux. Les infirmités, décès causés sous le secret médical et protégés par le secret défense de l’Etat, ne me permet qu’une marge d’action, dont celle de vous contacter, afin d’unir nos efforts. Je vous communique l’adresse URL de mon site, où vous trouverez des compléments d’infirmation, dans mon livre Judas, en quatre tomes, dont le supplément au roman, constitué par la partie « pétitions » et « actualités », la configuration de ce blog ne me permettant que cette présentation du livre et du site. (http://linellao.numeriblog.fr/eclipse/)

Sheldon est un frère d'une victime des programmes de recherche des Etats unis sur des cobayes humains crédules et piégés par la force dans un contexte de recherche nazie sur sujets jusqu'à leur décès charcutés, je vous prie de trouver le texte ci-joint envoyé dernièrement à ce frère dont la pétition est sur Care2, ces programmes à mon avis s'appliquant à plusieurs états, dont l'état français, depuis les années 50 et les défendus par l'armée sous le seau du secret d'Etat et donc médical, soutenus par les factions fascistes et de l' extrême droite de chaque pays européen concerné, la psychiatrie et son infliction, l'usage de la torture médicale et psychiatrique, organe de répression français depuis les année 30, encore en vogue de nos jours, servant de support à l'application de certaines parties de ces plans : il existe encore de nos jours et peut-être plus que jamais, des assignations à domicile constituées de façon spontanée par la population sous l’égide de bandes armées d’un matériel de guerre futuriste cautionnées de l’appui d’autorités anonymes, ou autorités d’obédience médicale, parfois connues de la région, qui refusent de se dénommer, et agissent dans l’ombre de pouvoirs aux étendues occultes, groupements de cliniques prives et pavillons particuliers d’asiles psychiatriques-cliniques lieux d’expérimentations Ile du Dr Moreau, le film, secteurs médicaux entiers corrompus des affaires louches de la ville, partis politiques corrompus ou majorités en déclin capables des pires crimes contre l’humanité. Dans ces affaires très difficiles à débrouiller, l’on ne saurait à quel saint se fier sans un esprit journalistique doté d’un degré de discernement bien accroché, ce qui n’est mon fort, mais j’essaie de m’y habituer.

Je vous communique la réponse dernière que j’ai rédigée à Mary Neal, dont je vous avais tenus informés sur l’action qu’elle mène aux Etats Unis, elle même censurée et très surveillée, ne sachant à qui m’adresser, après vous, connaissant de réelles difficultés à me débarrasser d ‘un groupement ‘extrême droite logeant autour de mon nouvel appartement,(je viens de changer d’adresse), groupuscule nazi faisant partie de celui qui me pourchasse depuis les années 80. Ce groupe signé « Combat », privilégié auprès des autorités médicales et judiciaires qui l’élèvent au rang d’exemple et ne songent qu’à le modérer quand il part en vrille, oppose la lobotomie par engins de guerre au titre de réponse, critique, exactions et violences physiques en harcèlements et répression au délit d’opinion que je leur représente, faisant régner leur loi en tout lieu où ils me repèreront . Membre d’Amnesty International depuis peu, je n’ai plus les mains libres pour agir, toute action que j’aurai tentée censurée, suivie de représailles et violences médicales aggravées de contrôle quasi étatique de mes faits et actes, décérébration de mon intellect psychiatrique non déclarée, pratiquée à mon domicile autant que dans placement, une contrefaçon de SAC inavouée et voulant se faire à mon insu, afin et cela a été affirmé, que je ne réussisse trop en ma tâche d’artiste et intellectuelle, commençant à être connue et reconnue sur la ville de Montpellier. J’en ai rédigé plusieurs plaintes à cette encontre, qui peuvent se retrouver sur mon site. Si le fait en apparence paraît d’ordre mineur, la portée des ramifications organisées qui en sont les auteurs me parait digne d’intérêt et assez grave :

Dear Mary, I signed the petition, and ask you if it is sabotage that I don’t receive e-mail on my new e-mail address, because I have me also some problem of computer, and a virus witch had attack my anti-virus, and my e-mail-box, and so, I would want if you can, that you send me some message to line.llao@orange.fr, because no message is sent since many weeks from AIMI to my computer. Since I have change of e-mail address and since, more precisely, I talk on your existence to my father, and I suppose, from the surveillance and the control witch is on me since I wrote my first text of contestation, in the 80’s years, and I think that French government after me also than some politic prisoner, like if you want, an home assignation, whith politics guardians as gests who are demarched by authority to make on Edvige plan, liberties of conscience are very controlled in France, since Sarkozy is at the presidency, and I am on the list, certainly, of the suspects of contestation leaders. France is now, in my thinking, as Birmanie, a surveillance society, many exactions to the intellectuals are made and I believe that I must be attentive to my life. As psychiatry is the essential mode of act of French authority, and is call to replaced the old SAC, which attacked the gauchists intellectuals in the 50 at 70’s years, I must believe in future generations to live, without risk the death, or psychiatric torture, that is also my walk, make appear that, France use and abuse of the psychiatrics methods and torture since psychiatry who created with the Nazi’s rise, in 1905 and Freud. It’s not mental disorder, but an other devil of planet, that soviet ways of life are copied in other countries and governments, it’s a perpetual war.

Merci si vous pouviez intenter quelque intervention ou action qui puisse permettre à des intellectuels, ne seraient-ce que d’aussi piètre envergure que moi-même, de librement avoir droit à la liberté d’expression, de conscience, de pensée et d’action, droit à l’information et aux soins adéquats, ainsi qu’à la santé, mes ennemis eux plutôt cherchant à me détériorer toute santé qui pourrait me réussir, sur le territoire français, sans se heurter à des violences et tortures continuelles, pour le métier d’artiste peintre et d’écrivain que j’avais choisi de poursuivre, mes aptitudes et mes résultats depuis la fin de ma scolarité me le permettant, tout don sérieux, et même aptitude à un métier lobotomisé d’expériences scientistes, traité en maladie mentale mégalomane chez moi. La résurgence ou la continuité de la présence de prisonnier d’Etat sur le sol de ce pays me parait évidente, mon sort ne vaut pas mieux que celui d’un prisonnier de camp maoïste ou étranger, quand il ne s’aligne sur les rites de Guantanamo. Toute dénonciation qui sera faite par votre organisme de tortures à l’étranger sera suivie de tortures identiques qui me seront infligées de ces bandes menées de médecins ou « inspecteurs » peu scrupuleux, tout aussi longtemps que je n’aurai renoncé « à m’en préoccuper », s’en prenant (selon les lois de l’absurde de déments qu’ils protègent et défendent envers les lois, parfois renorment), à moi tout autant qu’à tout défenseur des droits de l’Homme qu’il trouveront en leur présence , défenseur moi-même depuis longtemps des droits de l’homme, et militant dans le peu de moyens qui m’est resté de mes capacités physiques et intellectuelles, suite aux ravages commis par les violences, enfreintes aux droits de l’Homme, au code civil qu’ils ne respectent, exactions constantes et quotidiennes de ces groupements, cherchant à me réduire à l’inaction, au renoncement et au reniement de soi, à l’ignorance de l’érudition que je connaissais depuis mon Bac philosophie, ainsi qu’au STO pour eux. Je réside assiégée, ne sachant comment ni où résister à de telles représailles, ces mafias ayant tué froidement de mutilations plus d’un pilier de la démocratie et leur base sur la région, sans que dénoncer cela puisse être défendu. Il ne s’agit plus là de sabotage uniquement, mais d’atteintes physiques pouvant conduire au crime politique, la région ne vivant plus que de ces agissements luttes intestines et combats entre Georges Frêches et Jacques Blanc, rappelons-le, d’obédience nazie.

Je vous remercie pour votre news letter, et répond à votre article sur les mutilations sexuelles des femmes, cette pratique bien ancrée hélas dans les coutumes françaises et occidentales, rite autant religieux que athée, car la science et la médecine invoquées dans ces cas, la libre pensée fonctionnant selon la raison scientifique devenue religion et raison d ‘Etat, la médecine (Etat dans l’Etat, Vatican dans le Vatican) et surtout la médecine psychiatrique et ses médecins appelées à tenir le rôle de gourou exciseur, exorciste exorciseur du mal d’Aimer de la femme, et de l’Amour de l’Homme, plus d’amoureux de la planète, encore moins de passionaria, la Passion ne passera, selon l’église évangélique des intégrismes de ces religions, qu’elles soient athées ou pas :

L’excision des femmes et de leur pénis « modèle-réduit de celui de l’homme », celle du prépuce des hommes, ce qui équivaut si les organes peuvent ainsi se comparer, à l’excision d ‘une petite lèvre chez la femme, cette excision pouvant se pratiquer par éradication du plaisir sexuel et innervation lente des nerfs des zones érogènes, des organes du plaisirs, la femme ayant le seul droit de voir mourir lentement son innervation sexuelle du plaisir, par électrodes, implantées, forme nouvelle de l’infibulation pratiquée encore de nos jours en psychiatrie, de main de personnels médicaux très embarrassés pour l’expliquer car eux même condamnés à la semi ou totale clitoridectomie ne serait-ce que par son inhibition ou son viol ou à l’ablation du prépuce, ce qui peut créer des problèmes réels, le gland de l’homme excisé frottant avec les vêtements serrés, et se mutilant d’avantage, non protégé par le prépuce, le pénis selon certains, toujours excité ou à demi, (car cette mutilation empêche les gestes sains de la masturbation, le manchon du sexe trop réduit de cette ablation, et ne pouvant coulisser) de cette forme de nudité supplémentaire et forcée, homme forcés de cette exaction. D’où des personnels médicaux, « passés par » ces ablations, dits tordus et tracassés de première, autan si ce n’est plus que leurs prétendus malades. La folie indiquée dans les cas de femme ou d’homme possédant ses facultés mentales mais aussi doué de posséder l ’intégrale possession de son appareil génital, et son libre usage. La condamnation sociale du plaisir et de la libre possession de son corps, de son appareil génital, une des clefs du christianisme e du capitalisme. Ce qui crée une population de vices et d’inhibés ou mutilés sexuellement, homophiles, forme de droit d’asile social contre ces persécutions. L’inhibition sexuelle autre forme de mutilation génitale, privant de l’usage du clitoris, des organes du plaisir chez l’homme et la femme, et donc, nerf de la guerre de nos sociétés ; le plaisir intégral du corps et de l’orgasme complet, ou réduit à être partiel, condamné par le viol jusqu’à l’auto-lysisme, causé par l’alcool, récupéré par les drogues causant l’orgasme, autrement-dit, l’interdit personnel du plaisir jugé acte de prostitution et condamné à au proxénétisme sinon familial, du moins social, médical et répressionnaire. Les viols correctifs, la suralimentation forcée, consentie ou non, sont un exemple de méthodes usitées pour condamner à son annihilation le plaisir sexuel et la pleine possession de ses organes.

La torture, génitale et mentale, la mutilation cérébrale ou du système nerveux dans ces cas d’émancipation féminine ou masculine, dès ses prémisses, est qualifié de droit incontestable à incontournable à la mutilation sexuelle et de là nerveuse et cérébrale. D’où l’usage de la répression psychiatrique dans ces cas, en France, et en Occident. Se crée un système de suspicion et de chasses aux sorcières qui dure en France, en Europe, depuis le 19° siècle et la princesse Eugénie, ou le Directoire... Suivi d’une codification vestimentaire des pratiques de ces mutilations, très importante dans al détermination de la folie incriminée dans les cas d’émancipation intellectuelle. Et la pratique de cette mutilation des femmes au cours d’accouchements répétés pour lesquels elles auront é té conditionnées et poussées à les admettre, car rendus dangereux pour leur vie, et roulette russe de la société, le premier certifié assez mutilatoire, violeur et volontairement douloureux pour causer des plaies et dégradations voulues de l’organe féminine, définitives, assez du moins pour empêcher freiner réprimer ou gêner l’orgasme. Accouchements exciseurs causes de revanches des mères sur leurs filles et fils pour leur pleine possessions de leur facultés et fonctions naturelles, et des persécutions envers la nubilité des enfants, adolescents, et de l’attribution du diagnostic de folie, justifié ou pas, chez les adolescents. Car certains présentent à la suite de ces exactions, des troubles psychologiques et mentaux, d’autres, simplement rebelles importunés et victimes de ces rites obnubilatoires, et donc internés ou suivis médicalement pour leur rébellion. La stérilisation forcé des femmes dites atteintes de folie pour les persécutions subies de ces rites mutilatoires, les ayant sauvées en quelque sorte, de ces accouchements mutilateurs, leur est reprochée ensuite, par l’innervation aux implants ou aux électrodes, de leur système nerveux sexuel ; électrodes hors convention et non officielles, mais réputées efficaces, je le rappelle, allant jusqu’au plaisir forcé de l’épilepsie, autre forme de viol, dit thérapeutique, et mutilateur également. Remplaçant celles de l’accouchement évité.

La réduction obligatoire dans les familles françaises, chrétiennes ou même athée, des petites lèvres des petites filles ou des jeunes femmes, se pratique encore, petites lèvres rendues « enveloppantes » c'est-à-dire très volumineuses et développées, et donc pouvant être cause de gêne épouvantable chez les jeunes filles, conditionnées dès la puberté pour se les faire opérer (jeans serrés mutilateurs, prohibition) et réduire autant que par réduction de poitrine, par toute une sous culture destinée à frustrer de l’acte sexuel afin d’ancrer le plaisir anté-opératoire causé par les rites familiaux et sociaux, par la frustration causant une érection ou semi érection continuelle sans aucune possibilité de satisfaction, sinon causée en cachette dans l’interdit et la surveillance totale de la vie intime, ou au cours d’orgies à farces Jung nazies, facéties et scènes de boui-bouis, de théâtre de cabaret familiales et sociales. Ceci vaut autant pour les hommes, contraints autant que les femmes et les enfants à ne point se toucher, autrement dit à ne point avoir recours au plaisir solitaire condamné à mort par les religions, chrétien en également,, ceci maintenu jusqu’à l’apparition des pollutions, nocturnes et parfois diurnes, ce qui est une gêne sociale, un handicap dans le travail, crée un phénomène relationnel apitoyé et compatissant de relations amicales pour « sauver le jeune homme » de la confusion, ce phénomène ne se passe de clinique privée ou de l’hôpital surtout psychiatrique chez les familles et classes fortunées, les basses classes réglant le problème par la violence familiale et voies de fait mortelles, le proxénétisme, et les violences parfois meurtrières conjugales.

Les jeunes gens mariés à leur famille, ni plus ni moins, le temps de se faire « sauver » par la vie maritale ou conjugale, de ce fléau. D’où le rôle du beau-père castrateur, des belles-mères, contrôleuses génitales et malthusiennes du plaisir des couples, une certaine parti de la médecine, psychiatrique surtout, très corrompu dans l’exercice de G. Bush, la chasteté préconisée chez les jeunes jusqu’à leur mariage, rendu obligatoire donc, l’inhibition sinon leur mutilation de leurs fonctions sexuelles et le contrôle mental, génital, de leur vie sexuelle et leur droit à la reproduction, la stérilisation forcée des dissidents et résistants, contestataires et récalcitrants, conseillée et pratiquée par la médecine même. Jusqu’à l’hystérie sociale, la barbarie populaire, la transe sociale et la folie généralisée. L’être sain accusé de folie pour son émancipation et la possession de ses facultés et fonctions naturelles, la folie librement admise, considérée et décrétée norme, la schizophrénie revenant à être une des rares situations de dénonciation de ces faits, ou forme de l’accusation de démence envers la contestation lucide à ces exactions et pratiques, considérée délit d’opinion, ce qui est tu et tabou, le délit d’opinion en France, et en Occident, s’il est condamné par la psychiatrie, est non-dit, ni reconnu aussi ouvertement qu’à l’étranger. Si les femmes connaissent l’excision, la mutilation génitale et ses rites sociaux, les hommes autant. La Beauté des jeunes gens niée, sinon crachée au visage et surexploitée dans certains cas, car causée par tant de souffrance, et de pureté morale des victimes.

La suite consiste en la surmutilation du sexe des femmes, dans des rapports de couple, violeurs assez pour rendre frigide. L’essentiel étant qu’aucun ni aucune ne puisse s’en sortir entière, ou entier, autant que cheval et bête de somme, mais coupé pour plus de docilité.

La psychiatrisation de la femme émancipée afin que son langage érudit soit ramené à la stricte et pure simplicité du langage destiné à l’éducation de sa progéniture soit des plus adéquat à ce qu’en espère la norme sociale que fait respecter la psychiatrie, en tuant en elle toute forme de sa faconde, sa culture et son niveau ramené par la constitution de son corps en celui de prisonnière d’opinion, à celui des basses classes du lumpenprolétariat, norme requise jusques dans la haute société qui préfère ses bécasses qu’elle met sur le pinacle et prostitue en toute liberté, aux femmes cultivées douées de savoir, d’intelligence, de finesse et dénuées des rituels sadomasochiste du culte ;

Si la véritable maladie en France, mentale telle qu’elle est prise en charge médicalement par la psychiatrie moderne, n’est l’établissement du diagnostic de démence, envers des prisonniers de la torture électrique dont les sensations causées sont délibérément, si cela n’est clair ni pas compris objet de diagnostic de folie ;

Chasse au célibataires et pogroms organisés par la population sur travail commandité de psychiatres, envers l’usage coutumier dit répétitif de la masturbation, ou l’onanisme ou plaisir solitaire, (certifié par la populace et la psychiatrie ne rien foutre ou branler à ne rien faire, langage ordurier médical, donc être résolument Fouriériste), la Veuve joyeuse des amoureux en attente de couple, des couples brisés, de la masturbation à deux, sur des problèmes d’interdit dus à la religion et à un regain de nazisme dans les secteurs médicaux intervenants sur appels délateurs de type vichyssois. Chasses aux sorcières répétées dans les rangs des célibataires dénommés dans ces secteurs psychiatriques réputés pour mettre une fin à ce mal, dans la population des célibataires dénommées vieux garçons et vieilles dès l’âge de la nuptialité, ou de la puberté, jusqu’à des crises de révoltes chez ces personnes pourchassée de soins intensifs à domiciles déclarés préventif s’en fait de véritables placements d’office à internement non déclaré sinon suivi médical, soins pouvant atteindre un degré de violence certain, jusqu’aux voies de fait prolongées jusqu’à l’apparition de troubles réels, physiques et/ou mentaux, violences de type violences conjugales parfois jusqu’au décès suivis de violences supplémentaires de type opératoires, sans anesthésiques, viols correctifs et thérapeutiques en genre et de toutes natures, accompagnés et ou suivis d’opérations du cerveau le plus souvent au départ neurologiques et neurochirurgicales, précédent un état de crise post opératoire nécessitant l’hospitalisation réelle et office.

Moi-même victime de réductions sexuelles, (réduction des petites lèvres autour du clitoris, ablation de son prépuce, partage en deux répété du frein du clitoris, dès l’âge des 9 ans jusqu’à aujourd’hui, implantation d’électrodes génitales afin de réfréner et punir le plaisir, solitaire ou à deux) et de mutilations nerveuses pour le simple fait de posséder encore l’usage de mes organes génitaux, non mutilés ainsi qu’il est de rigueur par l’accouchement protocolaire, ces pratiques en France monnaie courante,

En espérant que vous pourrez agir, et mes remerciements pour ce que vous avez déjà pu faire,

Sincèrement,

Line Llao

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