jeudi 30 juillet 2009

Motion de censure contre l'usage abusif des électro-convulso-thérapies

Motion de censure contre l'usage abusif des électro-convulso-thérapies

Cerveaux manufacturés à la main, à la chaîne, aux lasers et contrefaçons d'appareils à électrochocs, machines de schizophrènes, jusqu’à la collecte pour la gerbe, commune dont chacun se fend dans ces cas.

Opération de nettoyage des mauvaises petites idées de mai 68 en douceur et profondeur, au cas par cas du conflit de voisinage voisin-voisine créé et psychiatrisé au nom de l’étiquette de schizophrénie des personnes ciblées, politique sarkoziste, le gauchiste déclaré leader et tête pensante de la base son parti placé à son domicile sous électrochocs jusqu’au rétrécissement de son cerveau, laissé à demi ratatiné et sous internement officieux, décrétée hallucinations cénesthésiques qu’il ferait. Pincé au saut du lit coupable de réveiller, mis dans les choux du knout de la répression et de la torture chimique sur délation mensongère bien accablante de mouchards de voisinages bien en la matière compétant qui lui veut leurs problèmes et substitué en conséquence pour non conséquence de son comportement, première de ses accusations, contre lui retournées.

Procédés du SAC (dont ceux de Manville, ancien du SAC nommé sur la région). Le gauchiste ainsi débusqué contraint à la manifestation, individuelle ou organisée, s’il le peut, à mater. Tués net ou de mort lente aux contre façons d’électrochocs, ses plaidoyers par ces dits soins extirpés. La répression psychiatrisée ne lésinant sur le crime contre l’humanité ni le crime antisémite des camps nazis de déportés dont le malmenage à l’appareil contrefaisant les électrochocs simulant les gifles et coups subis sous les SS reproduit y compris sur Sartre, durant la guerre d’Algérie sur le sol français dite simples évènements. Le gauchiste ciblé tenant le rôle de juive prostituée pour le terme de pute dont les nazis l’accablent, dite seulement femme battue de violences conjugale permise à l’heure actuelle encore sauf quelque action d’association quand ces nazis là se calment les nerfs sur elle, son seul emploi, celui de souffre douleur et tête à claques bouc émissaire bref juif.

Gavage aux œufs systématique jusqu’à l’accusation d’hystérie devenu soin de la frigidité schizophrène autant que l’épilepsie causée par électrochocs devenue soin officiel de la maladie afin d’augmenter l’effet de viol si le viol dit simplement thérapeutique au nom de ces orgies publiques et privées reste un effet anormal des sens et de la pensée. Le carecher contre les idées de gauche et de mai soixante huit, les nouvelles formes de poste à soudure auxquelles sont ajoutées électrodes nouvelle tendance, et non plus les bâtonnets, instituées sous le couvert de la pratique légale de la médecine et du sceau secret défense médical. Le militantisme de gauche devant rester infantile, névrosé ou strictement pratiqué dans le langage ordurier argotique rabelaisien de la laïcité revendiquée. Bref, caricatural du savoir de l’intelligentsia dans la rédemption par le travail, du gauchiste devant se sentir sous ces dites contraintes malade. Les électrodes employées et usités de main froide de voisinage et particuliers, en tant que matraque sur cerveaux à idées de gauche un peu trop lucides.

Victimes réprimées de tout un arsenal chimique médicalisé, repiquées en douce aux neuroleptiques dits retard, à libération prolongée, sur perquisition illicite dès les 5 heures du matin s’il le faut, à leur lever, débusquées jusqu’au domicile à l’insu même du couple, jusqu’à l’assassinat par overdose, en surcroît de l’injection mensuelle officielle imposée. Après cures d’électrochocs à domicile pratiqués selon les mêmes méthodes faisant accroire auprès des autorités à l’hallucination du sujet à démobiliser, concernant ces faits, sans aucun document les prouvant, ni ordonnance ni aveu des produits médicamenteux employés. Ce genre de plombiers ne laissant de carte de visite. Destinés à pousser le sujet au meurtre ou à l'action par légitime défense, en vue de son hospitalisation dans cet hôpital prison, élimination pure et simple.

Électrochocs discrètement pratiqués d'une façon ou d'une autre par domaines médicaux, de tous secteurs, psy aussi, véreux achetés ou réduits à cela et personnels médicaux (à peu près aussi intéressés que les psychiatres), sous ‘égide de chefs de famille ou de main froide de particuliers payés pour et en conséquence, sur leur demande et exigences, dans les vessies à prendre pour des lanternes, vessies tabassées éclatées judicieusement afin de faire mériter soins ultérieurs et opérations de cette zone urogénitale certifiées réparatrices, de déchirements tissulaires dits prolapsus de la vessie chez jeunes femmes rendues obèses ou sorties de couches. Prétextées pour ces faits inutiles pour la société et sans action sociale. Idem pour toute autre affection, causée, réputée naturelle puis traitée, parfois à vie ;.

Vieux barbons se réclament Pères de famille en messes noires de Frères du Roi et commandos d’accueil envers individus choisi de la société pour leur lucidité sur l‘affaire, les opérer de mutilations cérébrales au cours de fantaisies au pas de charge entre amis du fascisme des deux extrémismes et leurs renforts. Tentatives totalitaristes de déstabilisation mentale de l’individu de gauche en dissidence de factions fascistes des partis de la gauche, dissident de l’extrême droite, donc en électron libre, donc incontrôlable et devant décéder dans l’hystérie sociale organisée en émeutes sanglantes et chasses à l’homme préméditées. A confection du handicap jusqu'à sa résection ou lobotomie, sur le type de courbe de Gauss requis d'orgies mussoliennes à gavages au lait de chamelle après vidage des intestins, du tube digestif et des testicules en guise de charivari envers nationalité maghrébine ou origine de l'amant, du concubin ou d'une connaissance du sujet, de type 1900, le film. Impossible dans ce cas de résister à l'opération de destruction démobilisatrice de la gauche, de la jeunesse humaniste altermondialiste antinazie, de la gauche souveraine, opération à résections qui vous sauveront la vie

Jusqu'à son assistanat politique ou son assassinat. Soit de propos altier, ou d’esprit supérieur de race supérieure de père fustigateur à l’électrode et à la lobotomie de rigueur à titre de beigne mandale ou mornifle paternelle de sa dextre d’Extrême droite et de son goulag français communiste liés. Sinon de main de psys avariés, fustigation accompagnées de résections de nerfs cérébraux aussi importants que nerfs sciatiques dans le corps, nerfs infibrillés de décharges électriques au points de présenter plusieurs branches séparées, autant laine désentortillée, mercerisés de produits destinés à les vernir antécédemment, puis à tuer les nerfs conducteurs des courants électriques, nerfs arrachés par trépans tels canaux déférents d’étalons pour leur perfection et leur beauté parfaite, les réseaux artériels et veineux rendus variqueux parfois à angiomes jusqu’à la rupture d’anévrisme sous les électrochocs, faisceaux et rayons d’attaque et de contention des miliciens et miliciennes armées, mortelle.

Argumentaire : Les handicapés physiques et mentaux, pour un problème qui doit être et rester le leur, de caste de race, face à face à celle assermentée, de vieux pères fouettards bourreaux de petites filles, matons des cités aux aguets en expéditions punitives organisées, vieux porcs intervenants de résidences et psys tracassés de services en virées, devant se fréquenter, copuler et marier entre eux, sous une société policière et de surveillance pétainiste vichyssoise prête à tirer de ses tireurs d’élites et plantons d’HLM résidences et lotissements ou de quartier selon le pourcentage de ces factions sur le terrain, sur le premier qui sera dénoncé par mouchard de fonction. S'amusant au départ lui même à tirer des armes mises par les services spéciaux français à tirer par pure provocation dans la nuque de l’électrode fatale ou du faisceau nazi en leur possession sous le simple prétexte qu'il a bu. Fait très toléré des asiles psychiatriques, qui rangés du coté des assassins et totalitaristes, eux mêmes peuplés de personnels médicaux issus de la pègre de la plèbe mafiosi, encouragent à la délation pétainiste du manquement au paiement de la redevance ou de la facture d'électricité, et jugent qu'il est normal et de bon ton de tuer par provocation, amusement, ou toute autre raison. Instituant le fait de répresser par les électrochocs ou la lobotomie toute personne qui subira ces types de violences et tentatives de meurtres à but de provocation policière.

Entreprises de mercenariat capables d'être engagées par toute filière ou réseau de démolition d'individus choisis pour ce travail, personnes morales ou petits particuliers, pour toute affaire de pression physiques, mercenaires liquidateurs d'affaires y compris de l’intelligentsia, et de personna non grata, filières de prostitution physique et mentale de nègres gratuits de grands et petites gens de l'édition, journalistique et littéraire, cinématographique, publiciste et des métiers de l'art, selon les facilité de la victime, et ses orientations politico éthico -économiques, entreprise de choc usant d'armes nucléaires de courte et faible portée encore en tests de trusts industriels non conventionnelles, en circulation illicite, parfois récupérées de l'arsenal technologique mis au rebut des déchèteries, ou nouvelle formule, à tester sur ces victimes, dont les déchets hospitaliers de soins dits palliatifs à domicile (dont électrochocs pratiqués jusqu’à la résection grave de cerveau et de zones frontales, en vue d’assermentation et de puissante intimidation, formule rapide-visite éclair ni vus ni connus, suivis de lavages corporels nécessaire à leur infliction) sont récupérés pour filières de l'alimentation et des produits pharmaceutiques, laboratoires et réseaux de fœtus, embryons, ovules prélevés régulièrement, surexploitation de la grogne populaire, ses populismes de partis leurs milices aryennes armées et factions de brigades rouges encore en vigueur dans les hôpitaux psychiatriques, en escadrons volants de rentre-dans-le-lard très empoignants, pour constituer des victimes de ce trafic en réseaux .

Politique de résection lobotomique par électrochocs ou toute autre méthode d’amputation des zones cérébrales à titre de répression, rendant impuissante à l’encontre ces méthodes dictatoriale de torture et frigide de la population d’antipsychiatrie et ses engagements éthiques, philosophiques et devenus hyperalgiques, ce type population mobilisée contre après avoir et durement sensibilisée au problème, sensée devoir modifier son raisonnement profond jugé morbide s’il dénonce ces résections si le neurochirurgiens radiologue et le neurologue en question parachevant les opérations de nettoyage à l’électrochoc, eux morbides, ni en délire de persécution, ne l’étaient, de l’argent et des profits dans l’affaire de persécutions gagnés. Laissant leur matériel de résection au libre usage et à l’usage personnel des bourreaux qu’ils constituent, autour de la personna non grata. Avec bonus de lucidité. Menée au bout du fusil, au tir à vue àbout portant en clinique et au domicile des victimes.

Peuvent faire exploser les tissus, une tête, un organe, trancher, réduire en bouillie cuite les zones visées, à travers murs plafonds et planchers, rayonnements de toute sortes, certains relevant des "aimants" (électrodes électromagnétiques, perversion des simples électrodes d'électrochocs car ajoutant le broyage hyperdouloureux des chairs et os à leur simple brûlure, écrasant pis que dans tabassage à la matraque, et causant hallucinations de par leur magnétisme) associés à sortes de bistouris lasers et formes de lasers au faisceau d’une portée de plus de 50 mètres qui peuvent forer, bruler, cogner, tuer. Armement médical autant de guerre que dans Guerre des Etoiles, inspiré de ces anciennes recherches expérimentales sur les déportés et les juifs et découlant des recherches d'après-guerre.

Etats dits de délires ou états second causés par ne serait-ce qu’électrochocs, en sus de malnutrition infligée, maltraitances, violences physiques et mentales, d’individus choisis dans la société, réséqués pour ces dits délires induits à l’électrode, lobotomisés par neurologie et neurochirurgie, dits délires postopératoires, dus en partie aux effets d’anciens anesthésiques, en sus de la commotion cérébrale de l’acte chirurgical, imputés à la démence et résignés de traitements médicamenteux de contention de longue durée, accompagnés le plus souvent de mesures dites de sécurité (armes de poing à faisceaux, lasers, etc.) parfois à vie pour un état de heurts avec les autorités en fait, surpris tel.

France surmobilisée en fonction de ces attentats à main armée, constants.

Electrochocs, à l’origine produit du capitalisme naissant récupéré à des fins thérapeutiques des abattoirs ou pistolet électrique percuteur paralysant, placé entre les deux yeux de l’animal., depuis dans les abattoirs l’on a fait pire, avec le pistolet à tirette, embrochant d’une tige de métal percutante le cerveau de la bête à abattre. Mais chez l’homme l’on n’en meurt pas forcément sauf peut-être des lobotomies pratiquées par électrodes puis bistouri tant les chairs lésées, dans cette zone cérébrale réputée être la zone des sens. Des nouvelles trouvailles de la technologie scientifique, sensées améliorer la vie quotidienne du malade, et ne pas faire semblant de l’exécuter, pour la plupart du temps, c’est le cas, en fin de parcours.

Les douleurs profondes hyperalgiques pouvant causer le décès sans anesthésiques, dues à la torture physique préparatoire et préalable aux placements considérées, préparation destinée à justifier d'un état de délire er d'agitation nécessitant l'intervention neurologique ou neurochirurgicale, les douleurs mortelles induites par la torture électrique supplémentaire, au plus simple algie, sinon hallucinatoires, selon le degré d’aveu et de confidence des faits considérés. Surajoutant au poids des commotions de l'acte chirurgical et neurologique la destruction en masse du système nerveux, électrocuté ou réséqué accompagné d’hémorragies cérébrales ponctionnées et réduites la plupart du temps, par cautérisation électrique successives à l'intervention. .La mélancolie suite au choc physique enduré, répété de multiples fois par vie .Pour ce qui est des électrochocs, en cure. Le cerveau brulé au dernier degré suivant le type de courants électriques utilisés, électromagnétiques, déphasants ou dits revissants, à tel point que sont nécessaires les courants déphasants sous peine de devoir entrer dans la spirale de la violence répressive jusqu'à devoir causer le décès d'acharnements thérapeutiques, chocs de décharges électriques et courants accompagnés ou non de chocs mécaniques dénommés marteaux, accompagnés ou non de chocs mécaniques dénommés marteaux,

En usant pour commettre violences tortures et viols répétés et répétitifs jour et nuit, en usant aussi pour leurs loisirs, instants de détente défoulement et amusements sur la personne dite à désidérer; lui tombant dessus à la moindre allégation vite crue sans façon sur sa vie intime et privée, de ces voisinages et commères du quartier, pour commettre ces électrochocs sur la surface de son crâne, tout comme sur femme battue ou prostituée pour la corriger par raclées afin quelle ne bronche ni ne bouche, ni ose les dénoncer. les bouibouis de la ville utilisant les services de ce CHR ainsi que les cliniques privées au même titre que hommes de main destinés pour se confectionner prostituées et se faire respecter auprès des personnes impliquées et formes de prostituées qu’elles représentent à leur yeux et leur est ces personnes pour un délit d'opinion qu’elles feraient envers eux et qu'ils n'avouent ni ne reconnaissent sinon entre eux et parmi leurs complices .

Lavages de cerveau, lavages tout court, toilettages intimes après les viols-tabassages que représentent pour la foule et les masses peu scolarisées, les électrodes, leur usage en milieu médical : Forme d'Inquisition, de supplice chrétien, simulacre d'exécution sommaire, de peine capitale sollicitée envers les personnes en délit d'opinion envers quiconque de la société. Peine de mort simulée, d’exécution sommaire âprement décidée, pose des brodequins de la Question. Hôpital russe à poupées russes, à coffrer couper y compris à l’arc électrique, de courants électriques, et découper.

Formes de tabassages policiers mutilatoires commués en besoins de viols par rixe et torture médicalisée, tabassages engendrant de multiples lésions, blessures, violences causées par la matraque électrique, violence gratuite et torture sexuelle à la fois pratiquée sur une personne traitée en prisonnier d'opinion par une partie du lumpenprolétariat, en mal d'exécution publique de l'élite, de violences sexuelles, blessures de guerre sur prisonnier d’opinion ou de guerre, autant que sur prisonniers iraquiens, une idée certainement due à la pro américanisation de la société…

Electrodes de séismos (électrochocs à décharges de courants électromagnétiques ou décharges électriques accompagnées de percussion) dénommées marteaux. Servant parfois de boucliers électriques et atomiques au niveau du torse et de l’abdomen, procédés violents provoquant éclatement des viscères, leur fracture et hémorragies internes, insuffisance respiratoire et cardiaque, gangrènes et stomisations, voire greffes cardiaques, pulmonaires, intestinales, dédoublements de nerfs sciatiques internes et donc dans certains cas, le décès. Marteaux parfois implants indifférenciables d'une action externe au corps, qui nécessitent pour les supporter des électrodes, d’électrochocs de toutes natures grillant ou cognant nerfs et systèmes nerveux pis parfois que simples brûlures causées par cigarette, ou grillages de cheveux, brûlures du système cérébral nécessitant ponction méthodique du liquide céphalo-rachidien our survie du prisonnier, sans quoi mourrait d'intoxication des brulures de ce liquide, tabassages à coups de gourdins si crise de révolte à la longue dite agitation. Forte colère dite schizoïde, si l’individu testé ne parvient à subir dans le calme les électrodes implantées quand elles lui sont allumées durant jours et nuits pendant plus d’une semaine. Des mois, des années. Individu tiré du lit dès les 6 heures du matin jusqu’aux 5 heures du mat’ pour ce type de rançonnage démoniaque à longueur de temps, matage constant sous la blouse blanche comme sous le gilet.

Autant se prendre un coin de tabouret par la tronche et les os du crâne jusqu’à l’écrasement total et absolu de l’individu, de ses chairs, ou tout autre objet contondant. Cela peut faire un choc. Eclatements cellulaires en masse des cellules cérébrales de ce fait, jusqu’à la réduction de lobes, d’encéphales de moitié, leur quasi disparition.

Choc profond de la matière grise, électrocutée elle aussi. Dans ce cas, mais à quoi peuvent donc servir la glie, la matière cérébrale, la matière grise ? Chaque zone opérée ainsi fait que les courants qui l’électrocutent emplissent le cerveau entier dans son intégralité, le corps entier en fait, jusqu’à pouvoir casser os du bassin de la hanche et du pied. Cervicales rompues, donc port de la minerve, broche dans les os. Raréfaction des ligaments. Pour les plaisirs défendus de quelques habitants

Toilettage après les séances d'électrodes, le bain forcé qui les accompagne bien souvent tant l’odeur de brûlure des chairs est forte : Le plaisir extirpé par réaction aux électrodes, celui de la crise d’épilepsie qui suit l’infliction des décharges, assimilé à la masturbation, sujet de prédilection des leçons de modestie et référence au sale, au crade et à l'aliénation, sinon à l'arriération trisomique (oligophrénie, trisomie déclarées maux de primates). En tout cas et c’est un fait connu, plaisir décrété maladie mentale grave digne de punition le plus souvent corporelle autant qu’elle sera jugée nécessaire.

Jouissance involontaire causée, je le rappelle, mais on l’oublie, par l’épilepsie due aux électrodes, jusqu’à la puanteur de chair brûlée, des vomissures des urines et des selles.

Palpation papale des femmes avant les séances de torture électrique, au cas où elles seraient enceintes. Parfois, imposition des électrodes et chaise percée en cas de craintes de la femme, dite seulement trop constipée par les traitements, dans un souci de la corriger pour sa grossesse jugée improbable, inacceptable et méritant l’avortement illicite que causeront les décharges. Avortements sous coups et blessures, purges à l’huile de paraffine, si huile de ricin périmée. Depuis le temps…

Appel à une médecine inquisitrice qui au nom de la Raison d’Etat, est proche du Ku Klux Klan, et royaliste plus que le roi jusque dans le torchement de cul du prisonnier après le « tourment ». Après l’imposition des fers et les supplices originaux de la Question. Les brodequins des électrodes implantées. Dans les derniers rôtissements des buchers de l’enfer. Au moindre remuement de tripe. Ou de moignon de pensée .Scabreux contes sur les orgies faites en la présence du sujet, quand il ne devait qu'être endormi, à son domicile, sous le pouvoir du chloroforme ou de quelque anesthésique : orgies faites de soins illicites, dévoyés de leur vraie nature et dont un personnel dépravé userait contre tout dissident à cet activisme, tant originaux par l'impression de viol à main armée qu'ils leur procurent. Gavages, toilettages, électrodes pratiquées sur un corps dénudé à la hâte, dans une intention de viol, de celle de l’excision de bille, corps dénué de réflexes car endormi, que l'on maintient immobile pour qu'il ne se débatte trop ni ne se blesse, si les matons n'invitent des témoins de ce lucre, dont sa famille et ses amis, pour les aider à tenir les sangles qui immobilisent leur victime. Sangles posées sur la poitrine, les reins, laissant traces rouges et varices douloureuses. Sur une alèse, si dans un lit, parfois même, dans la salle de bain, à l’occasion d’une douche, la tête sur la serpillière, tout comme je l’ai dit dans ces cas de pratique de l’excision d’organe clitoridien devant rester moignon.

Enfant martyr de la société et de sa population, le lynché parfois est menacé de mort, les électrodes servent de simulacre d’exécution sommaire accompagné de viol avec sévices, de lobotomies exécutées à l’électricité, de lobotomies tout court-lavages de cerveau. Ces caractéristiques des électrochocs servent tout un complexe de revendication des gens des voisinages acharnés à vouloir tabasser et commettre des sévices de guerre sur un de leurs prisonniers, qui peut, acculé au suicide voulu, peut autant en finir que devenir dangereux, étant donnée la grande suffisance de chacun dans ce cas.

Sévices, violences aggravées, voies de fait, intimidations, passages à tabac policiers, coups et blessures, exactions, répression à l'étranger, violences conjugales et à domicile si reconnues, enfance martyr, violences sexuelles attouchements et lésions corporelles, brutalités, opérations psychiatriques du cerveau et électrodes, dégâts matériels maltraitance et plaies, surinfectées, surinfections à suppuration, ulcérations à points de suture et autres déterminismes concernant les séquelles. Précisément des actes de torture infligées.

Simulation par électrodes de l'effet de pénétration de baisers profonds par la douleur dans les zones superficielles érogènes du cuir chevelu et du crâne, jusqu'à la destruction de zones cérébrales profondes sous ces zones érogènes. Par viol avec violences.

Pour mater il y prennent le temps, 20 ans s'il le faut, infligeant électrodes et méthodes répressives électriques et maltraitances voire mortelles d'autre nature, jusqu'à épuisement absolu du sujet qui ne se laisse que faire désormais, quitte à accepter que l'on l'exécute, pris d'accès suicidaire, face à la douleur insupportable cause de la menace de folie qu'il sent venir de façon imminente sous les coups et blessures constants. Jusqu'à la survenue de l'accès épileptique dont chaque crise peut s'avérer mortelle si non suivie de près par personnel médical expérimenté, le sujet pouvant avaler sa langue, s’étouffer avec ses rejet sgastriques, ou se cogner dans l’épilepsie jusqu’à se tuer.. Le corps trop endolori et horrifié se débattant et se lâchant, pris d'épuisement tant la décharge d'horreur et de légitime défense contenue, d'instinct de survie contraint, aura été puissante sous les tortures, après des années de course à l'emploi et de concours de dératage constant, pour une raison ou pour une autre, pain actuel des français, endommageant jusqu'au patrimoine génétique de la population. C'est dire si le dommage corporel du corps humain de chaque individu du pays est puissant. Celui qui en survit dit guéri de lui. A peu près et pour un temps. En plus du médicament requis pour s'en remettre et s'y préparer

Scènes de violences policières psychiatrisées systématiques d’état policier institué depuis les années 50 en harcèlements obsessionnels et obnubilations sous peine de placement psychiatrique. Tout contre pouvoir placé au cas par cas sous anesthésique et tabassages au knout chimique et électrodes à usage thérapeutique, usitées pour opérations cérébrales répressives jusqu’à la rébellion et le délit d’opinion bien vite par ces méthodes matés, ou effet de courbe de gauss. Le mal ainsi créé autrement dit la gauche rebelle au gouvernement maintenu jusqu’à sa disparition radicale et définitive sous la répression qui l’a causé. Sans qu’aucun courrier d’avertissement de toute forme de procès ne soit envoyé à la victime de ces procédés. Pures pressions physiques ;

Le nazisme tenant aux nazis et la psychiatrie, aux psychiatres, puisque je me situe dans la condamnation à l’immobilisme de l’affaire, tabassée jusqu’à tenir debout de persécutions supplémentaires dont le Tranxène et le Prozac. Après la période de prostration narguée de violences physiques continuelles jusqu’à la réaction, à réséquer, révolte qui suit bien vite matée, d’électrodes et séances de groupe électrogène dans les zones pariétales, ablavées en partie . L’infirmité qui suit niée, promise au silence absolu sous ce pouvoir absolu.

Dénommés troubles sensoriels ou des sens, hallucinatoires chez elle, que la femme retourne à son sexe de bête qui devra rester sa seule ouverture au monde et son nombril, sous peine de devoir sentir la bête fauve sous les électrodes et le viol qui s’en suit, le sévice ordurier de l'Inquisition qui l'attend, attendu que cette seule et unique focale des pensées auxquelles le machisme devra l'assigner, la sauvera si elle ne l'indique, de sa pensée pacifiste sur le monde, prédicateur de sa perte sui elle se refuse à ce viol supplémentaire. Si elle ne tient sa science infuse qu'à l'ingestion forcée du sperme et de la semence d'intelligence de l'Homme qui la rend ainsi à l'Homo Sapiens, en sus de celui de De Gaulle, elle prendra en l’invaginant dans son œsophage-vagin la semence lyophilisée ou cachet du psychiatre géniteur qu’elle aura dans son estomac-utérus et dont elle renaitra après les séances de torture électrique comme l’on renait de ses cendres crémées, tout homme de cette trempe traité en femme.

Pratique banalisée des électrodes qui rappellent le groupe électrogène des années 50 à 60 en vogue dans les mœurs des commissariats, dans toute dictature, durant les temps de la Gestapo.

Fait de la répression qui doit rester personnel, individualisation de la répression, envers personnels administratifs et autres artistes de même genre que les artistes d’avant-garde et intellectuels de gauche qui refusent d’entrer dans le système, envoyés au billot de la neurochirurgie sinon au bucher des électrodes.

Femmes, hommes, enfants déportés dans leurs foyers sinon en lits hospitaliers, passés par psychiatres écarteurs (de cuisses) de filles qui se refusent. Victimes condamnées aux basses classes, à leur intellect et types de rémunérations, isolées dans la population en premier lieu, choisies, évitées de tous lieux, leur vie rendue infernale des rites de l’internement, à domicile ou en pavillon, clinique et centres médicaux, puis violées sous les électrodes qui les déflorent, puis le usent sexuellement également, séchée ensuite ou fin prête pour leur mari présent ou avenir, sinon, déflorées au vilebrequin, bref trépanées. Filles forcées contraintes de vivre leur nuptialité sous ces brodequins, leur extirpant plaisirs sexuels ineffables dits Délices de Capoue, dans la douleur et la souffrance les plus profondes qui soient infligées de ces factions de Faisceaux nazis que sont des équipes entières de violeurs videurs de lycées et collèges à l’occasion, forceurs de filles, de portes de maisons, d’appartements et HLM, violeurs en collège et réunion, soudards de première en tournantes médicales dites de principes. Violant hommes, femmes, enfant, sodomisés jusqu’au dernier pore. Qui ne l’auront que perçu dans leur moi profond, ce genre de viol thérapeutique, équilibrés du repas équilibré, sucé en sus. Pour le bonheur des français, qui se repassent la soupe dans le casque de l'Allemand du STO depuis les années 40.

Il est proscrit, cet égalitarisme, la hiérarchie soignant–soigné ne manquant pas de piment, elle perdure, indurée de manifestations sordides, qui prêchent d’autres devoirs civiques, le manque à gagner d’une profession qui autrefois élevait sa notoriété jusqu’au bénévolat. Dans ces milieux, le bénévolat consiste à vous faire rôtir sur le bûcher des électrodes, mort ou vif, pour bien vous agenouiller devant la réflexion du Père ou du larron voisin, à l’heure de la décapitation. Parfois à l’heure des braves.

Quand ils n’ont cru que vous chatouiller, même si cela pue la moelle en feu à vous étouffer de l’odeur dans votre appartement. L’électrocution pure et simple du corps entier à partir du cerveau. Jusqu’au coma, épileptique ou pas. Car il est méconnu peut-être que la crise d’épilepsie cause l’orgasme, le vomissement, la défécation la miction et la chute grave de tension. Jusqu’au coma. Certains mal intentionnés s’amuseraient de ce phénomène…

A vous le refaire toute une vie si vous ne l’appréciiez. L’on peut parler de miraculés de la Science, pour ceux qui ont osé ou pu s’en sortir indemnes.

Baisse du niveau national des personnels médicaux et infirmiers, tant et tellement que ce regain de l'ignorance en France, devenue inculte, nécessite l'import autant que de bêtes de somme, de médecins et infirmiers, infirmières étrangers, sollicitant l'étrangers pour ce fait, plus cultivé que la France en ce domaine afin de fournir les rangs du pays en personnels aptes et capables d'exercer dignement leur métier.. Certains des médecins français dans une connaissance parfaite de l'anatomie du corps humain, et dignes du toubib charcuteur des OAS et nazis, tant leur charlatanisme tient au fait, embauchés par pis aller par un état français qui par défaut de personnel plus apte, les a tout de même diplômés de diplômes de complaisance, créant un certain privilège de caste de vieux seigneurs et un certain scientisme de caste s'attribuant les privilèges de caste de l'aristocratie, envers une sous caste de serf en servage leur témoignant notoriété gains et gratitude, clientèle qu'ils se fidélisent à vie des trafics précités, charlatanisme scientiste.

Individus, hommes, femmes, ayant lutté contre toute une vie contre l’étiquette et appellation de l’hystérie pour le simple fait de la masturbation ou du plaisir onanique, se retrouvent, frigides et castrés définitivement ou pour longtemps de leurs fonctions sexuelles, pris par les méthodes anti-hystérie de l’hôpital psychiatrique, qui enfreignant les lois, excisent et tuent systématiquement à vif le réseau nerveux sexuel, préférant s’en rendre au système nerveux des organes génitaux plutôt qu’aux zones cérébrales en étant le commandement, isolant ces zones des organes qu’elles concernent, et dont enfermés et traités à vie pour absente totale de vie sexuelle et crises d’assertions, délirium trémens, agitation.

Opérations du cerveau pratiquées sur individus pour leur délit d'opinion, à l'aide d'instruments de torture, opérations infligées à titre strictement répressif. Ou lobotomies de type neurologique. De Deutsch Hôpital;

Temps contemporains de barbaries phobiques menées à la folie, dont sont accusés la femme libertaire et l'homme émancipé, son unique soutien en ce monde. Son supplice de Tantale de vivre Eve au paradis doté dun Adam humain et réservé, paradis promis de nos temps modernes, compromis, devenu immolateur de sa survie, du surcroit des folies planétaires de la Terre, sursaturée des grands mythes Chrétiens, condamnée à la guerre ou périr. La survie de l'espèce, destin de la Femme, vouée au prix du sang versé de la mort, seul instinct de l'Homme.

Les dictatures intégristes des pays du Moyen orient et de l'orient depuis les désastres de l'immigration choisie récupérées par les pouvoirs qui passent de ce surajout de pouvoirs absolu, en force en France, opération de forcing pouvoir machiavélique médical infirmier et de camorra qui assujettit et se développe sur l'Occident et, la Femme lettrée qui le dénoncera et l'osera, forcée, et devra faire piètre figure, fille soumise à la première pimbêche de ces intégrismes fascistes qui l'aura voulu. Menée tambour battant par la voie de la libre circulation des armes légères reprise et récupérée elle par la médecine psychiatrique qui en use pour régner. Transformant chaque père de famille en véritable Saddam Hussein, barbu de l'Inquisition nouvelle qui alliée à la présence de l'intégrisme du FIS, Inquisition musulmane, qui passe en maître des milieux lettres de l'intelligentsia aux basses classes populaires.

Dans les ghettos français, chaque femme libérée d’origine maghrébine ou même française, passée par les armes ici décrites, arment non conventionnel de l’armée de terre, armes de poing d’infanterie légère, destinées à lobotomiser à travers murs et planchers, sur une portée de faisceau de 50 à 500 m, le crâne des personnes jugées posséder un cerveau assez développé pour relever de l’émancipation politique, intellectuelle, et féminine, ces trois critères allant de pair, l’humanisme faisant leur point de rencontre, cette lutte démesurée envers et contre tout esprit libérateur des dictatures, fait morts et blessés à tel point que la moitié de l’intelligentsia française est soit lobotomisée soit exécutée de cette entreprise de razzia totalitaire envers les cerveau du pays et susceptible de commuer les pouvoirs absolus du monde en liberté. La moitié de la population exécutée de ces armements illicite, les survivants arasés au moindre signe de contestation, divergence d’opinion, soit à son insu, soit de façon si souterraine qu’il est impossible de le faire reconnaître sans se faire taxer de démence. Raquet immonde mais purge véridique.

Sodas dans bouteilles à capsule, ingérés par une moitié de la population, mélangés à traitement assoiffant neuroleptiques, destinés à calmer les esprits de révolte de l’agitation publique, et à augmenter la consommation de ces produits, destinés au départ à étancher les soifs les plus rebelles.

Cerveaux féminins microcéphaliques atteints de limites aryennes, sur corps déformés d'éléphantiasis, femmes anorexiques tombées dans la nourriture pour s'habituer aux effets disgracieux de la grossesse et ses pertes d'identité mentale, physique, boulimie instituée par les mères dans ce sens d'habituer à la maternité les jeunes femmes nubiles, privée avant toute majorité du besoin sinon de l'assouvissement d'être aimées d'un conjoint réel, castrées de leur désir et de leur plaisir féminin au nom d'une maternité qui doit leur rester un devoir assidu, promis libération féminine et si seulement consentie par la famille, qui les nourrit au lait de chamelle autant que dans république Iranienne ou irakienne ottomane, phénomènes identiques de société patriarcale, de type intégriste musulmane, d'une société parcellisée, micro fracturée en micro cellules intégristes de tous ordres, qui raquettent pour un ordre, quand tant d'autres attendent hommes et femmes survivants à cet ordre d'une cellule parcellaire, pour les tordre dans un sens adverse et les arracher à la paix, de leur vie intime, jugée égoïste et inutile tant qu'elle n'aura servi à quelque phénomène de secte de quelque cellule de plus, ou de toujours la même, qui envahit lentement corps et esprit, dilapide temps de vie et de repos, obnubile et sert d'occupation nazie des corps et des esprits, mobilisés dans cette guerre éternelle qui tant sert à réunir des pays volontairement divisés, combat éternel de réunification de ces pouvoirs divisés, réduits à des clans adverses, pièges tortionnaires exigent tous les sacrifices, pathogènes et mortels. Raquet immonde mais purge véridique.

L'énervé en question ne devant s'en prendre qu'aux services sociaux s'il y a, ou services médicaux qui s'en feront paraît-il de parfaits avocats. Arraisonnant plus pour arraisonner aux groupe électrogènes, (implantés s'il le faut jusques dans les plaies fraîches ou de dents excisées de leur mâchoire, plaies sanguinolentes considérées celles d'un clitoris ablavé à torturer aux aimants à distance et électricité pour que le problème de l'excision dans le Maghreb fasse plus mal ou fait des tortures de l'Algérie.) sinon convaincants uniquement par le raisonnement envers les arraisoneurs.

Electrodes. Servent dans clitoridectomie directe, existe une forme dérivée indirecte encore de nos jours en vigueur dans centres hospitaliers et cliniques privées, à titre de prévention de la dépression et de l’hystérie, innervation du réseau nerveux de l’arbre des ramifications nerveuses de l’organe clitoridien par tabassage de ce réseau au poste à soudure jusqu’à le paralyser à vie ou le rendre non fonctionnel. Voire le tuer, net ou à la longue et ils en prennent le temps. Torture encore de nos jours en vigueur dans les hôpitaux psychiatriques français, infligée depuis le Moyen Age dans les asiles d’aliénés, au nom de l’hystérie de la femme et de son clitoris à cette époque là trouvé « en massue » tant auto-torturé de maltraitances et tortures induites, voire, cancérisé. D'où chez certaines enclines (à force d'exaltation maintenue et d'états seconds prolongés par divers procédés), à se mutiler cet organe du plaisir que la médecine réserve à la fillette, ainsi que multiples zones érogènes dont celles du visage, d’où le port de la ceinture de chasteté hygiénique, encore récemment en vente dans pharmacies.

France mère de l'individu, pavée des pavés de mai 68 teintés du sang versés de nos jours par ces brigades rouges, par aussi les milices aryennes, et parsemées de rêves noirs. Ami, l'ami cherche encore les amis.

Opérations du cerveau pratiquées sur individus pour leur délit d'opinion, à l'aide d'instruments de torture, opérations infligées à titre strictement répressif. Ou lobotomies de type neurologique. De Deutsch Hôpital;

PO, ou HO, placement d’office : mesure temporaire de torture sur individus isolés de la société pour ses engagements et sa liberté de conscience en délit d'opinion, constitués prisonniers d'opinion par vox populi saisissant l'Etat.

Méthodes. Pratiquées jusqu’à ce que le corps du dissident lui soit son propre traître et le trahisse, Judas en soi, que son propre propriétaire ne puise plus garder sa confiance en lui. Possédé d’un corps animal traître et traître à sa patrie qui se retourne contre son maître dans la révolte du Maître et de l’Esclave, dans tous les tours et détours de sa et de la nature, dont celle du cancer, de la faiblesse, de la tare physique, le corps devenu prison individuelle portative, qui empêche, et lutte contre, la liberté de conscience et de pensée. Sport de milicien d'y parvenir en son ennemi.

Je revendique, réclame, préconise, depuis toujours, l'interdiction, l'abolition des méthodes de la torture médicale précitées, et de la torture électrique constituant à l'heure actuelle la torture psychiatrique encore en vigueur depuis la création de la psychiatrie.

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