vendredi 31 juillet 2009

Plainte et compléments de plainte :

Plainte et compléments de plainte :

Plainte :

Je passe actuellement des instants difficiles face à l’embargo du secteur 2 de santé mentale de Montalti entre autre régi par Robert Brès, Mr Kadhafi en personne qui règne en sultan émir de sa filière kibboutz sur les pavillons et le secteur psychiatrique des alcooliques et drogués. Dans les années 90, après m’avoir voulue sa maîtresse et dit céder à ce fait, je n’ai osé y céder moi-même car il venait de faire mourir Karine Nicol, une de mes amies qui vivait dans l’immeuble St Guillem B sur la Paillade au moment des faits ainsi que causer nombre de morts et de décès dans le pavillon où il exerçait. Karine Nicol, amie morte des séquelles de Mairet où il l’avait enfermée, morte torturée, le cerveau très lobotomisé et réduit, quelques jours après son retour. D’autant qu’il m’enfermait dans ses pavillons, chambres et ailes fermées avec un régime particulier et de faveur pour le fait que certains de ses malades qui me harcelaient, tentaient sur moi le meurtre à main armée en conséquence de mes activités littéraires, m’ayant déjà menacée dans les années 80 du pavillon de force si j’éditais, ce que j’ai vécu à mon domicile, fixe pour délit d’opinion envers son avis et pratique du SAC sur la ville de la part de ses établissements psychiatriques.. Ce qu’il n’a avec ses collègues du Point de Repère, antenne psychiatrique située dans le quartier chaud de Montpellier, les arceaux, que très rarement ou jamais reconnu.

J’ai changé de secteur médical de secteur depuis, quand ce secteur 2 persévère en poursuites à mon encontre , met ma vie et ma santé en danger des faits quotidiens de la torture psychiatrique et médicale dont il fait un fer de lance au sein de ville et de la région, arguant de ce fait des idées suicidaires que je ferais, en fait sinon sous leurs coups et blessures, ayant entrainé je le rappelle le décès chez autrui, (ayant été témoin de tortures et meurtres au sein du secteur 2, j’étais trop lucide de ces crimes, j’en savais trop, représentais un danger potentiel, à éliminer), du moins ce serait suicidaire de se heurter d’avantage à ce secteur sans plier sous le joug ou de l’obéissance ou du décès, moi-même et toute autre personne qui s’y opposerait devant, dans le silence sous le pouvoir absolu que ce secteur représente au sein de l’hôpital, se soigner dans le devoir du prisonnier d’opinion ou renoncer à son délit d’opinion face à la politique de trust de ce secteur, dont l’organe de répression est la clinique Mairet. Connue dans Montpellier pour ses crimes contre l’humanité, maltraitances et crimes des plus atroces.

Secteur entier fouillant dans la vie privée et intime des particuliers dont moi-même, dans l’ingérence profonde des pouvoirs de l’Inquisition, affectant de supplices chrétiens et chinois qui s’ opposerait à leur fraude et machination, de causer par les pratiques usuelles de ces médecins et personnels hospitaliers, de la torture sous quelque forme qu’elle aura été choisie par eux ou leurs pratiquants, agissant selon les lois des sectes, embrigadant jusqu’au meurtre, le dépérissement certain , le crime et le suicide parfois organisé, déguisé en mort naturelle, les médecins légistes n’y croyant, achetés ou vendus à cette cause de maquillage de fraude et de crimes parfaits.

Ces médecins et leurs escadrons volants d’infirmiers et petites semi-prostituées souhaite sinon ma mort, du moins ma perte, l’ayant quitté, lui, aidé entre autres Jo Suariz, en état de proxénète très avarié sinon de meurtre envers moi-même si personne ne l’arrête, et homosexuelle qui ne me veut que la nique de son plus pur talent de tabasseusse de ma tête depuis les années 80, en visite éternelle auprès d’une de ses petites prostituées lesbiennes autant qu’elle, au domicile où cette malade mentale qu’elle a acquise à sa cause de me tabasser est hébergée, en dessous de mon appartement et qui me poursuit de sa haine maladive depuis 22 ans, à elles deux me poursuivent suivant chacun de mes actes et démarches de leurs affabulations, agressions physiques violentes, expéditions punitives et ratonnades multiples en la compagnie de complices, et diverses, rapports, dossiers fabulateurs, dépositions mensongères auprès des médecins de leur secteur. N'examinant de cause à effet que ce qu'ils avaient causé..

Causant faux procès en contumace à mon domicile d’où je devais plaider à travers murs et plafonds, sous la douche, dans les WC, sous les exactions et violences continuelles, ne devant me taire que lorsque mes agresseurs l‘auront eu décidé, sachant me faire parler et taire, me faisant parler pour me faire taire. Interrogatoires de type DST pratiqués de main froide de particuliers, vieilles femmes et leurs familles, aidées de complices, vieux messieurs ou jeunes gens exerçant dans la médecine et la police. Parfois sur leur ordre.

Me condamnant à la vie de Jacou le Croquant, doublée de Mandrin, dans la vie de la Bête du Gévaudan et celle de la Tarasque tant la plupart des films légendes et livres de la culture française m’aura été imposée des supplices endurés au cours de ces parties à thèmes qui m’étaient en particulier destinées. Face à l’ignorance des faits et la complicité de la Médecine qui ne se les laisse dire ni avouer, se maintient volontairement dans l'ignorance des nouvelles technologies afin de prétexter chez ceux qui s'y heurtent à la maladie mentale, et celle de ma famille.

Sachant cela, elles auront embarqué dans l’affaire d’autres malades du secteur de Lapeyronnie, aussi impliquées qu’delle danse trafic d’armes de nouvelle technologie, médicaments et de drogue accompagnée de trafic de femmes, qui se piquent et prennent des amphétamines à longueur de temps, d’où leur état de démence prolongé suivi de périodes démence à mégalomanie très agressive, ces personnes donc, m’agressent, me tombent dessus, pratiquent sur mes sinus (frontaux, maxillaires et mastoïdiens), zones sensibles et érogènes, du nez, zones sexuelles y compris du pourtour des orbites, du front, du visage, de la bouche, des oreilles et de l’ombilic, de l’aire uro-génitale et anale, des nerfs cruraux et sciatiques, jusqu’à la résection à vif ou non (à mon domicile) après tabassage de zones de cerveau qui s’y trouvent, contenant d'après eux mes plaintes et écrits s’acharnent sur mes nerfs trijumeaux, organes pelviens et autres organes jusqu’à la cancérisation acquise et le fibrome, jusqu’à ces dernières années, aujourd’hui encore comptant sur l‘effet de neuroleptiques pour étouffer mes cris et servir d’anesthésiant. Sévices causant le vieillissement prématuré de mes organes, la ménopause avérée et prématurée.

Les médecins psychiatres qui suivent ces déments, véreux, corrompus jusqu’à l’os, tracassés depuis longtemps, s'instituant de droit divin et les laissant agresser, torturer, tortionner sans relâche et sans fin, tortures pratiquées par eux même s’ils le jugent nécessaire pour el nier, à main armée d’appareils dits de contention, en usant pour causer et pratiquer lobotomies, tabassages à la contrefaçon de ces postes à soudure et dieu sait s’ils les contrefont, blessant grièvement à travers murs et plafonds, traversant voire s’il le faut HLM places et rues pour frapper des nuits et des journées entières durant, des années en continu durant jusqu’à ce que mort s’en suivent, investissant appartements et cités, crachant dans boisson introduisant glaires et mèches de trépans dans produits frais tels litres de yaourts et de fromages frais, causant vomissures irrépressibles et anorexie momentanée, suivie de gavages alimentaires et supplices mussoliniens dignes de l’inquisition, me disant amaigrie, de l’eau, du lait, des œufs quotidiens, et aliments destinés à rendre obèse, condamnant à l’obésité éternelle de litres de nourritures des plus diverses parfois passées et infâmes et de litres de lait entiers avalés par la forme sur vomissures dues aux tortures. Ne me laissant que très rarement le soin de me nourrir par moi-même, sinon sous éternels tabassages et cris de douleur violente. Secteur médical dans l’attitude la plus pure emprise du proxénétisme maintenu dans ce secteur hospitalier, antithétique avec la simple déontologie, divulguant mots d’ordres outranciers mensongers quant à ma situation, cause de mes malheurs.

Détruisant ma vie intime, privée et sociale de façon obnubilatoire et obsédée, se servant de ma personne et ma pensée, détournée de son vrai but et terrain d’action, comme pare-fous envers les fous que ces médecins laissent me torturer avec tout appareil de chauffe digne du Moyen Age qu’ils trouveront à leur portée pour cela et qui imitera le supplice de la baignoire au groupe électrogène. Le tout étant que cela ne se sache ni ne se dise. Secteur plus respecté dans cette région que la junte militaire du Chili, ayant commis sur cette région et la ville de Montpellier, plus de tortures que la Dame Blanche du dit Chili, réséquant à vif des zones entières du cerveau par appareils à usage de brodequins, estimant que cela devait se passer sans un cri, autant que sous Khmers Rouges durant.

Jusqu’à douleurs profondes pouvant être mortelles, cause en sus des lésions causées, de l’épilepsie, dont mes agresseurs ont joué, s’amusant à des jeux sexuels morbides et névrotiques du plaisir épileptique qu’ils me faisaient endurer de ce viol avec violences. Et jouant à l'exécution sommaire sur moi des mois durant. Estropiant d’internes amputeurs des zones cérébrales entières et de systèmes nerveux conduisant sinon au handicap du moins à l’infirmité procurant emploi à toute une sphère pharmaceutique, médicale et paramédicale (kinésithérapeutes, sophrologues, médecines douces et spécialisées, laboratoires d’analyses et d’imagerie médicale, etc.), cabinets d’avocats et juristes. Tous impliqués dans une affaire de profits juteux .

D’autant plus que Lapeyronnie, les secteurs psychiatriques demandés en aide par particuliers et témoins de l’affaire, n’interviennent qu’en pratiquant lobotomies, résections en tous genres et aussi par électrodes dument appliquées, ne lobotomisant que les victimes, attendant bien des ans l’irrémédiable des lésions et blessures, n’intervenant que pour réséquer ou simplement trop tard, assez pour prétexter à réparer les gros dégâts que le manque de prévention a causés, laissant une population de victimes dans l’attentat, l’attente de secours et les tentatives répétées d’homicide, refusant de laisser trace de leurs intervention sinon pour tabasser à main armée du moins toujours pour matraquer aux électrochocs les victimes, ne laissant aucun certificat d’agression aux victimes étrangères à leur politique d’entreprise, prostituant par le viol le sévice, la torture médicale mentale démagogique et physique, et le viol thérapeutique jusqu’aux derniers bastions de la conscience, ne passant leurs études que dans cet apprentissage.

Tortures exercées, à mon encontre sous le prétexte que l'on ne m'entendais, que mon cerveau réséqué non officiellement avait repoussé, que je paraissais enceinte et que j'avais trouvé compagnon de bien, jusqu’à l’acquisition pour certains sujets dont le corps lâche, de la folie, sinon son apparence, du moins dans les derniers acculements à ce suicide du corps et de l’esprit. ces médecins chargés au départ de résorber une simple affaire d’agression de particuliers par leurs malades, ne lésinant sur les gros moyens des électrodes et lobotomies pour parvenir à leurs fins, en fait confectionner à la chaîne la symptomatique des maladies chez des victimes de leurs patients servis en brûlots dans la population, qu’ils ils se chargent ensuite à vie de résorber et faire semblant de traiter, s’offrant ainsi une clientèle rattachée à eux à vie, dans les conditions de l’esclavage et du servage.

Politique d’agression à main armée et non de santé, destinée à remplir les lits d’hôpitaux en roulement sur la région et à s’octroyer le droit au soin à vie sur leurs victimes. Victimes dans le devoir de vivre dans une morale et les conditions à leur domicile et dans leur périmètre d’action, de camps de travail, fasciste ou maoïstes, soumis à des plans Eperviers et de surveillance illicite faisant accroire à la paranoïa et la folie, les secteurs en question prétendant le placement d’office alors qu’aucune mesure de justice ne l’avait affirmé à ce moments là, pour opérer d’agissements multiples et des plus sales et salissants aux exactions morales et physiques constantes. Sous les prétextes les plus divers à futiles et tous les diagnostics de la folie. Leur parole contre la mienne. Toute allégation à mon encontre crue et favorisée envers toute partie civile que je monterai.

Confusions entre cas causées par feuilles volantes de dossier de cas comparés au mien, intercalées dans feuilles de mon dossier et servant de prétexte à lobotomies par électrochocs et tortures endurées par ces personnes, la similitude des cas en provenance de ces erreurs de feuilles malencontreusement glissées. Vingt, trente années d’erreurs thérapeutiques pareilles, qui ont fait que l’hôpital rôle sur l’or et moi dans la paille, réséquée, torturée et violée durant ces années de foin et de scandales publics à privés entourant l’affaire.

Cafés souillés d’urines et de salives, imprégnés de soupes de cachets broyés, destinés à soigner au départ ces malades qui les ont introduits dans mes boissons chaudes, jusqu’au coup de nerfs chez moi, l'angine de poitrine et le cassage de voix, causés par le Prozac en grandes quantités ajouté au Tranxène, ainsi qu'aux tabassages quotidiens, médicaments induisant la rixe et l’altercation en effets secondaires, locataires de l’HLM s’emparant d’un passe pour entrer tels rats d’hôtel dans mon appartement, parfois le vandalisant, dévissant l’entrebâilleur de la porte d’entrée, investissant les lieux, en perquisition permanente, commettant viols a violences, ans même se faire voir, usant du chloroforme dès que j’étais le dos tourné à eux et les locataires attenants des nouvelles formules du poste à soudure pour m'hypnotiser de fortes douleur afin que je ne remarque l'entrée des intervenants dans mon logement, véritables à eux tous, sacs à malices...

L’affaire ayant débuté par les violence conjugales que m’ont infligées deux locataires de l’HLM où je loge, individus malsains, alcooliques et déplacés, en crise d’érotomanie très violente et irrépressible envers ma personne, soumise à leurs coups longtemps, depuis à peu près 2005, eux se disant mes amants, mêlant chacun leurs médecins personnels à cet intrusion, faisant ingérence constante dans ma vie intime. Ces dernières années de ma vie une longue plaidoirie, à l’heure actuelle sérieusement endommagée, ce secteur ayant exercé son pouvoir absolu de tenir à me les réséquer, dans un but de destructions de preuves en ma personne, dans le cerveau même. S’occupant personnellement de mes textes. Ne supportant la moindre incartade à la loi des voisins et voisines en fraude, certaines de ces incartades très violentes à mon encontre, et me punissant par électrochocs pour ces fraudes et outrages à la loi commis envers ma personne.

Médecins, infirmiers, n’appréciant le type de réparties que j’ai quand ces locataires mitoyens ou de l’HLM d’eux même me prostituent sous la contrefaçon d’électrode et la contrefaçon de ces appareils à électrochocs qu’ils détiennent et dont ils se servent en tant qu’armes d’attaque et non de self-défense, prétendant les étudier sur eux. En usant pour commettre violences tortures et viols répétés et répétitifs jour et nuit, en usant aussi pour leurs loisirs, instants de détente défoulement et amusements sur ma personne ; me tombant dessus à la moindre allégation vite crue sans façon sur ma vie intime et privée, de ces voisinages et commères du quartier, pour commettre ces électrochocs sur la surface de mon crâne, tout comme sur femme battue ou prostituée pour la corriger par raclées afin quelle ne bronche ni ne bouche, ni ose les dénoncer. les bouibouis de la ville utilisant les services de ce Chr ainsi que les cliniques privées au même titre que hommes de main destinés à se faire respecter auprès des personnes impliquées et formes de prostituées que je représente à leur yeux et leur suis pour un délit d'opinion que je ferais envers eux et qu'ils n'avouent ni ne reconnaissent sinon entre eux et parmi leurs complices .

Arrachant mes cheveux et nerfs de mon système nerveux pour leur moitié, espérant les faire repousser de gavage de type Mussolinien, par intubation et alimentation artificielle, prétextant l’anorexie chez moi, supplice chrétien connu sous l’Inquisition de l’eau, du lait, des œufs et de l’aliment, au cours de fantaisies orgiaque de voisinages malintentionnés et nuisibles pour la santé, dangereux pour la vie..

M’interdisant par l’interdit de ces armes qui peuvent aller jusqu’à tuer, tout nettoyage de mon corps et de mes logements successifs. Interdit que je transgresse et qui me vaut chaque jour amputations de lobes cérébraux en partie, au grand complet si trop longtemps je persiste à poursuivre mes tâches et corvées, devoirs tels le rangement, de mes documents administratifs et à assurer la maintenance de ma vie, de mon appartement, rendu impraticable et inaccessible autant que celui de mère-grand, placée en maison de retraite car appartement rendu impraticable voire dangereux pour sa vie, car maintenu sous le feu constant et continuel de ces armes et engins à l’étage supérieur, parfois des étages inferieurs.. Dans un tel appartement suis restée quand même, d’où les dégâts corporels importants ainsi qu’au niveau santé physique. Personnes du voisinage arguant que le proxénétisme en France permis seule la prostitution condamnée si devant être obligatoire. Se faire arracher lobes cérébraux et nerfs du système nerveux ou se les faire détruire, crémés, considéré moins grave que se faire arracher dents de mâchoire ou même œil par coups de poings.

Défense de me redonner du Prozac pour que je renaisse de mes cendre, incinérée en partie et tuée raide net, d’électrochocs trop déphasants ou trop stimulants, eux passant d’une technique à l’autre dans les types de lobotomies, agrémentés d’aphrodisiaques alimentaires, permettant l’orgasme de l’épilepsie sans fausser le système nerveux génital, le gavage quotidien aux œufs en quantités nécessaires à ces fins, trop dangereux pour mon cancer. Seul ménagement possible à l’affaire. Affaire d'escroquerie à la CAF Sécurité Sociale, et Cotorep sur faux en justice et en écritures, établis sur certificats médicaux de complaisance, déclarant démentes des personnes capables, parfois jusqu'à causer leur décès, pour le profit d'une politique de trust.

Me tombant parfois et à leur heure, sur une de mes oreilles, en réséquant le pourtour, espérant y lobotomiser les centres nerveux de l’écoute en moi, utiles en cas de concert chez moi si cela se trouve que j’en organise encore, selon Mr Manville l’Art devant chez l’Handicapé se limiter à l’Art Thérapie et éviter à tout prix de se faire remarquer, et devant renoncer à socialement percoler, braquée en toute occasion dans toute zone ou aire mortelle du corps. Poursuivie pour la qualité et le niveau de mes discours.

Mes agresseurs cherchant à tuer sans se faire remarquer, résolvant au silence du meurtre parfait par méthodes de violences allant de l’ablation progressive des deux cervelets, devant être entre–temps séparés maintenus bien écartés autant fessiers dans violade, jusqu’a l’étouffement des cris par appareil irradiant braqué sur larynx et poitrine, au niveau de l’appareil cardiaque. Cuisante les chairs du corps et de la tête jusqu’à l’odeur de viande frite, le sang maintes fois réduit au jus d viande cuite ; eux cherchant le nerf vital dans le cervelet, maintenant le corps envie, et qu’ils pourraient tuer, le rongeant lentement, dans l’espoir de me faire décéder de mort lente après plusieurs tentative répétées chaque année de me tuer de mort violente. . Faisant accroire à une lente maladie dégénérative dont je souffrirais et mourrais.

S’introduisant dans mes domiciles à la façon des services secrets.

L’administration française, les services médicaux et spéciaux, feraient passer l’Inquisition et le nazisme en force dans le pays, personne ne s’en apercevrait. Ce qui induit l’appellation « d‘idées bizarres » que je ferais.

Tous droits du Code Civil et de la Convention des droits de Homme niés, bafoués.

En résumé, je dépose plainte contre les personnes auteurs et responsables de ces faits là, tous ou à peu près anonymes, sauf Mr. Rivière et ses complices, étage huit au dessus de mon appartement, pour:

Viols avec violences en collège et réunion, viols à titre thérapeutique, espionnage constant, ingérence et maintenance à main armée de ma vie intime et privée, recel d'armes non conventionnelles et de nouvelles technologies non encore reconnues dans les services médicaux, sans port d'arme et trafic d’armes, issues du trafic de drogue de la prostitution et du proxénétisme, ingérence dans la vie privée, torture, torture médicale, maltraitance, barbarie et actes de cruauté, voire crimes contre l'humanité, tentatives réitérées d'homicide, actes de proxénétisme, sévices, voies de fait, coups et blessures, violences aggravées en vue d'expérimentations scientifiques sauvages ou à titre de représailles, simple expérimentation personnelle ou violence gratuite. Pratique de la neurologie à titre d’acte de neurochirurgie avec armement de courte et faible portée à titre d’instruments de soin. Torture rituelles par implants. Charivaris. Incitation à la haine raciale, discrimination raciale sociale sexuelle et ethnique, ségrégation et apartheid, Effets de procédures illicites diffamatoires, de tribunaux d’exception, détournements de lois en vue de faux placements d’office, illicites, à domicile suivis de placements véritables destinés à officialiser et prolonger ceux qui précédaient, exercice illicite de la médecine, expérimentation sauvage sans anesthésiques d’étudiants et étudiantes en médecine sur ma personne, association de malfaiteurs et corruption de fonctionnaires, racket dans le but de prostituer, humilier, dégrader la vie et la santé par profit et amusement, atteinte à la vie privée, expéditions punitives, usurpation d’identité, destructions de preuves physiques, faux en justice et en écritures, effet de bureaucratie soviétique, nazie et de secte. Pénalités illégales. Représailles.

Ainsi qu’enfreinte aux articles de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, à la Charte des Malades et aux droits du Code Civil.

Mon infirmité consécutive à ces faits, niée et reniée, traitée en refus d’obtempérer pour un travail rend obligatoire autant que sous STO.

Trop de fous dangereux du secteur 2 et du secteur de santé mentale de Lapeyronnie, certains leur ayant fugué laissés en liberté, libres d’exercer contrôle et maintenance envers ma vie privée.

Je réclame leur enfermement pour un temps durable et une mise en liberté sous contrôle médical à vie avec obligation de soins. Je réclame également sanctions pénales légales envers les médecins et personnels médicaux qui les auront laissés m'attenter à mettre ma vie et ma santé en danger. A force de lobotomies d'électrocutions constantes, viols (2 par heure ces temps derniers) coups et blessures pour ma non violence face à une voisiner et ses acolytes en état de meurtre sur moi depuis de sans et de mois.

M'ayant causé maintes lobotomies des zones cérébrales dites contenir mes plaintes et ce livre, remplacées par prothèses gonflables manipulées à distance, testées sur moi actuellement dans expérimentations officieuses, afin de cacher l'ampleur de la résection qui pourrai choquer la vue.

Dans l’attente de votre réponse, et vous en remerciant par avance,

Je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression de mes sincères salutations.

Line Llao

Montpellier, le 19-11-2008

Complément de plainte :

Vitriolage de la femme libérée en ma personne aux poubelles intubées de l'alimentation forcée réputée chez les anorexiques, poubelles intubées en sus de médicaments hors ordonnance régulière, récoltées dans le voisinage ou auprès de la famille et ses relations, les épingles à chapeaux servant d'épingles à foulard, de l'intégrisme social. Femme libérée en moi-même réséquée, relobotomisée depuis sa stricte petite enfance pour son trop grand répondant. envers le Père, la Mère le FIS et la patrie, au non du Travail et de la fidélité de ses orifices et de son trou. Ou orifice anal quand son violeur se trompe d'orifice. Ne se rait-ce que par loi sodomite du pouvoir à lui enseigner de la rude leçon.

Avant la rupture d’anévrisme, plus que véritable dans ce cas. Ou l’hémorragie interne, cérébrale ou d’autre nature qui s’avèrera mortelle, sinon antécédemment, suite aux résections de cervelle et morceaux de cerveau de la taille de magrets de canard, prélevés sur le pourtour de la tête, (arrière du cerveau réduit à la brachycéphalie des ses deux côtés et résection de la bosse dolichocéphale, ne lui en laissant que le milieu ou profil arrière, amputation du dessus du crâne et ses deux côtés, le long des deux encéphales pratiquée à la force de décharges électriques jusqu'à la fracture et l'emboutissent des os, et leur percement, décharges électriques réduisant les zones cérébrales électrocutées en bouillie, aspirée ensuite, ceci suivi de cautérisation électrique)) une fois par an ou plus fréquemment, hémorragie menaçante. Et le lavage de cerveau aux électrodes et autres méthodes subsidiaires, en sus de l’intoxication alimentaire due aux intubations aux nourritures périmées en guise de nourritures terrestres, en guise de charivari envers mes amours. Après la vie totale de Muriel Cerf dans le Diable Vert, pour mes dons en écriture. Lobotomies à titre de représailles des établissements de Mairet et du Dr. Bres.

Etats dits de délires ou états second causés par ne serait-ce qu’électrochocs, en sus de la malnutrition infligée, maltraitances, violences physiques et mentales, d’individus choisis dans la société, réséqués pour ces dits délires induits à l’électrode, lobotomisés par neurologie et neurochirurgie, dits délires postopératoires, dus en partie aux effets d’anciens anesthésiques, en sus de la commotion cérébrale de l’acte chirurgical, imputés à la démence et résignés de traitements médicamenteux de contention de longue durée, accompagnés le plus souvent de mesures dites de sécurité (armes de poing à faisceaux, lasers, etc.) parfois à vie pour un état de heurts avec les autorités en fait, surpris tel.

M'ayant causé maintes lobotomies des zones cérébrales dites contenir mes plaintes et ce livre, remplacées par prothèses gonflables manipulées à distance, testées sur moi actuellement, afin de cacher l'ampleur de la résection qui pourrai choquer la vue. Au nom d'un Po ou placement d'office, en fait pratiqué à l'encontre de ma personne de façon illégale, aucune mesure de préfecture prononcée jusqu'à cette en faveur de cette mesure pour moi. ce genre de lobotomie ne se pratiquant (les trois quarts du cerveau en son pourtour prélevés) qu'en pavillon fermé sous placement d'office avec accord de la mairie, de la préfecture, du maire et du préfet donc, et non à domicile sur la simple invocation signalant que je mangeais de la viande avariée (en fait congelée dans mon congélateur pris pour et considéré par la salle plénière du procès à contumax au cours duquel j'ai été jugée sans un courrier d'avertissement, simple freezer) et criais, en fait sous la torture non mentionnée permise dans les dits placements d'office

Au cours desquels auront été opérés des prélèvements frauduleux de kilos de matière cérébrale, ces dernières années servant un trafic de vente d'organes. De multiples vedettes des médias victimes passées par les dangers de ce trafic là, amputés de zones cérébrales entières telles dessus ou arrière du crane, ou ses deux côtés, certaines à vie.

D'autre part, mes steaks hachés surgelés ont bien été effectivement volés dans ce congélateur, consommés par la dite vieille femme qui avait proféré son accusation, et remplacés par elle, par ses steaks hachés surgelés de même marque, avariés eux, dont elle s'est débarrassé chez moi et que je me suis forcée à consommée, privée à ce moment là d'argent, vandalisée éternellement de cette mégère qui m'est accablante, accaparante, vociférante et jalouse, violeuse maquerelle de type mâle mensongère et .diffamatoire. me contraignant à vivre "à la colle" par la force avec elle, elle investissant aidée de ses hurleuses et suivantes, mes appartements, qu'elles visitent et où elles règnent en maitre et despotes, violentant et tabassant à longueur de temps tant cela ne leur est répressé. S’installant près de mes domiciles, me surveillant nui et jour de là, espérant pouvoir habiter réellement avec moi, le faisant à mon insu, sans oser encore se faire voir de moi. Lent travail d'approche qu'elles font en véritables ennemis, souhaitant après avoir eu essayé de me soudoyer, me prostituer. M’ayant tabassée jusqu'à mon carcinome malin, et fomentant contre moi, organisant crimes et exactions diverses à m'infliger, de façon préméditée aux yeux au vu et au su de tout un quartier et d'une ville.

D'autre part, il m'a été rapporté que j'avais eu des enfants à mon insu, au total huit, accouchés dans des accouchements à mon insu, certainement ayant été raptée sous chloroforme, puis maintenue en état second, enfants dont certains m'ont été présentés de loin, et qui m'ont reconnue leur mère. D’autres mères traitées ainsi m’ayant rapporté les faits de tels trafics dans les maternités.et services. Je suis mère de combien d'autres enfants qui ne m'ont été encore présentés, je ne le sais, peut-être utilisée en tant que mère porteuse trente années durant, violée régulièrement jusqu’à la conception inavouée ou forcée sous neuroleptiques à domicile, me laissant dans l’ignorance et maintenue dans cette ignorance de ces grossesses inavouées, tabassée tout ce temps, traitée aux électrochocs connus pour provoquer l’amnésie, pour que je oublie à la moindre étincelle de lucidité à ce sujet des enfants que j’aurais eus ou concevais, palpée analement en conséquence régulièrement là aussi. D’où les dites sensations cénesthésiques de viol. Vieillie enlaidie artificiellement par l’artifice de l’opération constante sauf en cas de sommeil, sur deux ans (de janvier 2007 à octobre 2008) de chirurgie esthétique pratiquée à vif sous faisceaux contrefaisant courants électriques et engins ou armement non conventionnels, afin qu’ils ne me reconnaissent, ces enfants là. Ils m’ont reconnue tout de même, pour certains revendiquée.

Opérations de résection de la moitié du volume initial de mon cerveau, pratiquées toutes les fis où je serai dite et décrétée enceinte, maintenue sous toutes formes de passages à tabac possibles et inimaginables, y compris à main armée des armes non conventionnelles citées, autrement-dit, d’appareils à faisceaux de types rayons employés en oncologie, autrefois désignés par les personnes déclarées malades mentales de ce fait, appareils à ondes, que se fussent radars utilisés en kinésithérapie ou autres appareils dits désormais de soin, testés des décennies sur la tête de malheureux dont je suis, décrétés schizophrènes après qu’ils se soient heurtés à tous les diagnostics, abusifs par ailleurs, de démence, pour les heurts avec les autorités couvrant et niant les faits, au sujet de ces expérimentations sauvages suivies et accompagnées de neurochirurgie lourde et bâtiments de force, afin de nier et dire réparer les dégâts, en fait sinon faire taire et éliminer dans les scandales bruyants de la population envers ces méthodes de la lois des disparitions, des personnes employées sous des formes secrètes du STO, en tant que cobaye pour des expérimentations et tests d’appareils futurs de soins, ou d’armements nucléaires de faible et courte portée en vue d’un prochain renouvellement des armements militaires. Selon les pratiques de la gestapo. Des juges de la région employés pour faire respecter par le détournement de la li du placement d’office, ces agissements aryens.

Les douleurs profondes hyperalgiques pouvant causer le décès sans anesthésiques, dues à la torture physique préparatoire et préalable aux placements considérées, préparation destinée à justifier d'un état de délire er d'agitation nécessitant l'intervention neurologique ou neurochirurgicale, les douleurs mortelles induites par la torture électrique supplémentaire, au plus simple algie, sinon hallucinatoires, selon le degré d’aveu et de confidence des faits considérés. Surajoutant au poids des commotions de l'acte chirurgical et neurologique la destruction en masse du système nerveux, électrocuté ou réséqué ceci accompagné d’hémorragies cérébrales ponctionnées et réduites la plupart du temps, par cautérisation électrique successives à l'intervention. .La mélancolie suite au choc physique enduré, répété de multiples fois par vie. Pour ce qui est des électrochocs, en cure. Le cerveau brulé au dernier degré suivant le type de courants électriques utilisés, électromagnétiques, déphasants ou dits revissants, à tel point que sont nécessaires les courants déphasants sous peine de devoir entrer dans la spirale de la violence répressive jusqu'à devoir causer le décès d'acharnements thérapeutiques, chocs de décharges électriques et courants accompagnés ou non de chocs mécaniques dénommés marteaux, accompagnés ou non de chocs mécaniques dénommés marteaux, Jusqu'à l'acquisition du cancer

A chaque preuve du fait de mon émancipation culturelle, mon crâne a éclaté, pour sa moitié de cerveau réduite en bouillie, sous les matraques diverses des secteurs cités, en plus de celles des membres actifs des groupes et groupements et de leurs médecins, vivant et habitant autour de mon logement. Tous me tabassant en continu à tour de rôle, relai qui dure depuis environ 2005, mon rôle dans la société nié ainsi pour une intelligence de grandes capacités ou très fort QI ayant tendance à repousser de ses amputation qui m’aurait été trouvée et m’a été ainsi très contestée. Pour des problèmes de divination que l’on me fait, envers cette intelligence, très jalousée du reste, ce qui me vaut tous les malheurs. Dont à priori ceux des prisonniers d’opinion, pour leur trop grande conscience envers le peuple, qui « pris dans le propre piège d’une intelligence hors norme », se font tuer de ce peuple qu’ils sont sensés représenter, émanciper et informer (en France du moins), ce que le peuple ou l’Etat leur refuse, Sans les lobotomies annuelles, de combien mon QI aurait-il été… Très grave question.

Mesures d’enfermement dues à l’enfermement dans des procédures illicites à vices de formes immanquables à cette occasion, en enfilades de couloirs de la mort et kyrielles à enchainements sataniques depuis la majorité dans les années 80, années Mitterrand, accompagnées de mesures d’enfermement dit thérapeutique, psychiatrique. La vie enfermée dans procédures-enfermement à domicile ou pas.

En fait mesure coercitive militarisée de STO à l’encontre de la population des infirmes et handicapés, sous peine déportation, les placements en asile psychiatriques déportations depuis la montée du nazisme et l’invention de l’asile de fous, dès les premiers temps de la barbarie sur terre.

Celui ou celle, tout individu qui refuse de travailler dans cette société, pour une raison ou une autre, devant vivre caché, résistant si objecteur de conscience de ce système, et courir très vite, autant que travailleur salarié. Ce qui est peut-être pire. . Individu et être social libre sous le joug s'il accepte le joug, éternel problème communiste et donc psychiatrique depuis Freud, du perçu et du ressenti profond des Libertés.

Femmes, hommes, enfants déportés dans leurs foyers sinon en lits hospitaliers, passés par psychiatres écarteurs (de cuisses) de filles qui se refusent placées sous médicaments à domicile, dans faux placements illicites. Violés sous les électrodes qui les déflorent, puis le usent sexuellement également, séchée ensuite ou fin prête pour leur mari présent ou avenir, sinon, déflorées au vilebrequin, bref trépanées. Filles forcées contraintes de vivre leur nuptialité sous ces brodequins, leur extirpant plaisirs sexuels ineffables dits Délices de Capoue, dans la douleur et la souffrance les plus profondes qui soient infligées de ces factions de Faisceaux nazis que sont des équipes entières de violeurs videurs de lycées et collèges à l’occasion, forceurs de portes de maisons, d’appartements et HLM, violeurs en collège et réunion, soudards de première en tournantes médicales dites de principes. Violant hommes, femmes, enfant, sodomisés jusqu’au dernier pore. Qui ne l’auront que perçu dans leur moi profond, ce genre de viol thérapeutique, équilibrés du repas équilibré, sucé en sus. Pour le bonheur des français, qui se repassent la soupe dans le casque de l'Allemand du STO depuis les années 40. au nom d’un de mes grands-mères qui a eu subi le STO.

Les handicapés et handicapés mentaux, personnes dites vulnérables, mobilisés en premier par le Ministère du Travail sur circulaire de ce Ministère, réquisitionnés afin de payer de leur travail non rémunéré et bénévole malgré quelque incitation de départ financière, pour prime à l’emploi, maigre solde de ce travail de soldatesque la dette intérieure du pays, sans quoi, sinon déportés pour les réticents, rebelles et objecteurs à ce fait. Devant se soumettre sous peine de pratiques médicales de la Gestapo, avec intrusions violentes et très répressives à leur domicile. Dont le mien. Sur activisme de groupes fanatiques d’extrême gauche et d’‘extrême droite agissant sur le sodalité d’action de l’ETA. Braquant homme femmes enfants de leur part. Dont moi-même. Agissant en tant que services secrets, ne se leurrer.

Cela n’est que le début des opérations. En but d’instaurer un véritable trafic de la violence urbaine, régionale et sociale.

A partir de confusions entre cas, causées par feuilles volantes de dossier de cas comparés au mien, intercalées dans feuilles de mon dossier et servant de prétexte à lobotomies par électrochocs et tortures endurées par ces personnes, la similitude des cas en provenance de ces erreurs de feuilles malencontreusement glissées vingt, trente années d’erreurs thérapeutiques pareilles, qui ont fait que l’hôpital rôle sur l’or (et moi dans la paille, réséquée, torturée et violée durant ces années considérées de "foin" planant sur la ville entière qui serait le mien et de scandales publics à privés entourant l’affaire) affaire d'escroquerie auprès de la CAF Sécurité Sociale, et Cotorep sur faux en justice en écritures, établis sur certificats médicaux de complaisance, dossiers constitués de ces pièces déclarant démentes des personnes capables, parfois jusqu'à causer leur décès, pour le profit d'une politique de trust.

La psychanalyse puis la psychologie pratiquée dans ces établissements et antennes médicales, destinée au départ à inciter la formulation des maux et malheurs affectant une partie de la population, individualisée et traitée dans ses mouvements sociaux au cas par cas, ce rôle de la médecine qui aurait d’orienter ensuite ces individus vers des juristes et cabinets d’avocats pour affiner leur discernement dans des affaires de corruption, a perdu son rôle initial d’amélioration de la vie quotidienne, détournée de son rôle initial dans des dérives bureaucratiques et pernicieuses, fraude politicienne en soi. Milieu en lui même corrompu.

N’hésitant à propager la constitution de ses prisonniers d’opinion. Se heurtant aux essais nucléaires au sein de la population, essais pratiqués par une partie même de cette population de ce territoire français, sur l’ensemble sur l’ensemble du pays, voire deux ou trois continents dont la Russie, l’Europe et l’Amérique. D’où le taux de cancers en occident. Paramètres des pratiques d’une médecine psychiatrique détentrice et agent de contrôle de ces prisonniers d’opinion, médecine ayant elle-même le pouvoir de les détenir de cet armement nucléaire, comble du vice, exerçant certains tests d’engins qui lui reviennent, en cherchant futir usage médical en médecine nucléaire ou chirurgicale, (tous type de faisceaux, lasers et autres), médecine psychiatrique devenue véritable ferme d’essais nucléaires et d tests d’armes et engins de guerre non conventionnels. Tant que personne ne vous teste une ferme solaire sur la figure, cela ne parait pas, sinon en préparation, faisceaux hertziens capables de propager faisceaux manipulant engins implantés électrocutant, à travers postes émetteurs radio, téléviseurs, téléphones radio, portables. Recherche de technologie appliquée aux sciences de l’armée de terre, grée par la psychiatrie sous le couvert du diagnostic de la folie pour les personnes victimes de ce cobayage, le plus souvent, à vif. Causant parois la folie véritable des douleurs blessures et plaies endurées

Médecine mentale psychanalytique et d’aide psychologique préventive destinée à l’heure actuelle plus à détecter le délit d’opinion à lobotomiser en placement ou à domicile dans des préplacements dits préventifs qu’à sauver la population de ses maux. Etablissements psychiatriques tenus, régis par vieux messieurs en état de vieux barbons, dans les délices fascistes du couvent et du monastère à la fois, la population de es établissements, véritables boui-bouis et maisons d'entrainement, camps d'exterminations de la région et de la ville, la publicité m'est restée, les gauchistes au Goulag, devenue ou restée pour la plupart mixte.

M’attendant dès ma sortie d’hôpital ou de clinique où ces tenants m’expédient de rage froide afin de m’éliminer avec étouffement de l’affaire si j’intente procédure ou tentative de plainte. Espérant parfois me pousser au suicide, n’hésitant à la tentative multiple et répétée de suppression, sinon de ma personne du oins de ma conscience. Espérant de leurs harcèlements incessants me laisser folle, avec la complicité entière ou partielle de ma famille, à l’origine de ces heurts. Manipulée ainsi que ses relations, en tant qu'arme blanche aux arguments de poids et en supplément de pression physique à mon encontre.

Vieux messieurs ensuite, portant l’odeur typique de cure d’abeille de leur établissement, venus me violer en douceur personnellement, à titre de médaille du courage pendant les séances d’électrochocs destinés à lobotomiser mon cerveau pour sa moitié, afin de m’enseigner dans le sens de leur enseignement, à me faire mettre le poing de la droite et de l’extrême droite bien profond, me volant dans les plumes depuis une semaine environ, ne se faisant voir de moi dans la contrefaçon des services spéciaux, usant de la perquisition de ce type, violant toutes les lois. Méthodes destinées à faire passer leurs victimes choisies pour hallucinée, pratique de secte, me bannissant du pays, me braquant en pleine nuit également. Après avoir eu tué de main froide chacun de mes fœtus qu’ils auront causé de leurs basses œuvres de tortures ineffables, me les ayant crevés dans le ventre, une fos ma stérilisation forcée, tant revendiquée par une foule de prétendant à ce fait, pour les raison précédente, acquise.

J'accuse les tenants et auteurs de ces agissement de :

Trafic de proxénétisme, de drogue, de médicaments, de recel, diffusion et usage à mon encontre également et sur l'ensemble de la région d’armements de nouvelle convention, testées sur prétendus malades et malades certifiés déments, d’influence et de femmes ayant appartenu ou appartenant, autant que serves, aux deux départements de secteur mentale de Mr Montalti, ancien département du Dr Ribstein ou secteur 2 et son département de force de, ainsi qu’au département de santé mentale 1 dit de Mairet, bâtiment réputé de force du secteur, tenu par le Dr Pouget, Bâtiments à valeur de secte de type Moon et de Scientologie sur la région, usant de stratagème identiques à ceux de ces sectes. De représailles abus de confiance, détournement de lois, tentatives de meurtre, meurtre sur autrui et escroqueries ; Pratique de la torture et de la torture systématique à titre de soin et de médecine sur personnes fichées et prétendues vulnérables dans ce but, personnes qui ne seraient dites vulnérables sans ces tortures qui leur sont infligées. Certaines restées vulnérables, diminuées et atteintes d'infimités graves de ces méthodes.

Récidives après sanctions et pénalités qui m'ont été rapportées, pour leurs représailles. Reniement et enfreinte des droits de l’’Homme. Pressions mentales et physiques inavouées, abus de la part de ces établissements en réseaux de complices et habitants de la ville voire de la région entière, Reproduction des agissements du SAC (Service d’Action Civique) selon les pratiques nazies de la gestapo, sur appel au devoir civique et propagande aryenne accompagnée d’actes de sublimination auprès de la population, au cours d’émissions de radio, dont celles de Fun Radio dont j’ai été employée (en 1998).

Line LLao

Montpellier, le 20-11-2008

Objet : Complément de plainte 2 :

Perquisitions de jour et de nuit, à mes domiciles successifs, exécutées sur l’ordre (rapporté) du père, de ses amis et relations de la famille, prétendus mes amis, en fait, des ripoux très corrompus à la cause du père et des agissements en question en forçant ma porte, dans le but de contrôler mon comportement, mes idées dites préconçues donc coupables, décrétées délirantes de ce fait, sans se faire voir de moi, s’introduisant à pas de loup et discrètement, me chloroformant profitant de mon manque de vigilance du aux traitements médicamenteux, et profitant du moindre de mes dos tournés, pour m’infliger injections et traitements de choc ou enlèvements et rixes. relations de ma famille qui m’ont été toute ma vie durant imposées, servant de police privée au père et aux voisinages miens qu’il aura corrompu, de sa haine œdipienne et Respectueuse du SAC de Charles Pasqua., dont il m’inflige les pénalités psychiatriques depuis que je suis née. Relations, famille instrumentalisée à mon encontre dans l’affaire, ne rêvant plus que de me posséder baiser jusques dans le cul rouler et dénaturer, laissée infirme autant que moi-même Le procès de l’établissement de Mairet et des exactions qui y ont été commises des décennies durant, m’étant fait, pour n’avoir pas été hospitalisée à ce pavillon.

Trois motif d’agissements pareils envers moi-même : Faire respecter l’extrême droite, ses miliciens et miliciennes, m’interdire tout délit d’opinion par les voix de la torture médicale, psychiatrique, policière, m’obliger au langage imposé du dialecte de secte fondé sur un délirât de dément choisi pour ce fait, m’infliger les grandes affaires et faits divers de l’actualité afin de m’en tenir informée si m’informer est interdit de ces représailles dont interdiction communiste de consulter les médias et les sources de mon raisonnement, dont l’affaire Cleastrem, psys de Guingamp, affaire des emplois fictifs, bref, les vieilles et nouvelles casseroles de l’Etat français, du capitalisme impérialiste, j’en passe et des certaines. Affaires et faits divers dont est friande l’extrême droite, moi-même dans l’interdit communiste de m’informer et de me tenir informer de cette affaire. L’extrême droite fonctionnant en accord avec le parti communiste en ce sens.

Ne se calmant qu’à la condition que je sois passée par les électrodes, injections d'eau de mer jusqu'à la danse de Saint Guy des marins et la phlébite organisée, le caillot assuré, traitements lourds et trépans requis pour me clouer le bec voire lobotomies plus importantes, toutes les fois où ma famille descendrait dans la région et à chaque dispute que me causerait qui que ce soit pour mon délit d’opinion envers lui. Délit d’opinion tenu pour les faits de la maladie mentale envers moi invoquée.

Quand la voisine du dessus me passe à tabac, l’on vient par effraction de la porte à mon domicile me repiquer, en surcroit du traitement officiel, pour m'apprendre à la respecter, sachant que les dossiers contenant, s'ils sont répertoriés, ces traces d'injections jusques dans le cervelet et interventions à domicile, sont tenus secrets, jamais présents dans le dossier officiel, ne traitant que le résultat des faits et tortures de cette Inquisition. focalisant ensuite sur mes fautes de frappe de ces textes que je rédige pendant leurs interventions, maltraitances opérations neurologiques, voire neurochirurgicales et vendettas moi-même comme personne travaillant jusques sur le bloc opératoire..

Quand cette voisine me tabasse au faisceau et contrefaçons d'électrochocs, spécialement pour me faire repunir.

Moi-même dans le devoir d'écraser longtemps dans le mutisme devant de ces agissements, ne de n'en sortir que quand ces voisinages l'exigeraient selon leur bon vouloir par la voix des armes et de la torture psychiatrique, de la pratique illicite de leur main, de la médecine et de subir leurs opérations quand ils voudront sur moi se calmer les nerfs..

Quand l'affaire a repris pour le fait chez ces intervenants de devoir m'empêcher de percoler socialement par le biais d'un travail rémunéré ou pas, bénévole ou personnel, fruit de mes dons, puis du devoir de m’imposer le devoir de travailler sous le STO sous el prétexter que je ne foutais rien, sic, puis sous les prétexter que je n'avais à échapper à eur emprise en me trouvant quelque compagnon qui puisse m'être bon mari, enquêtant à tous vents pour que se connaisse son identité et lui en imposer autant qu'à moi-même, ce que j'ai dû taire au détriment de ma vie privée et de ma santé. Le cerveau refait couturé de tout acte contre nature. .

Loi de la rétroactivité en toute affaire d'agression physique de ce type.

Les voix des commères hurlantes et vieilles harpies en campagnes vociférantes considérées voix de la dissociation du moi que je ferais, entre autres personnes persécutées de ces veilles miliciennes.

Mes deux sourcils enfoncés délibérément dans la face des tabassages constants, pour le mot malheureux de primates dont j'avais qualifié des agresseurs, à l'étage supérieur. Cf. la chanson de Renaud sur les petites bourgeoises blondasses pétasses maquillées comme un carré d'as, qui leur foutent les glandes, casse toi tu pues laisse les nibards et marche à l'ombre, sur le sujet, dès que cela sent le cramé ou le rousti. C’est moi qui fais la pétasse.

Appareils de chauffe dit de chauffage, irradiant fortement ou fours micro-ondes, appareils de guerre totale ou guerre nucléaire, disposés, placés dans appartements mitoyens à ceux des personnes à déloger. Jusqu'au coup de soleil, brûlures en plaques, naevi vitrifiés, déstabilisés, en mélanomes, fortes irritations, micro-taillades et peaux fendillées, incommodations voire insolations. Causes de cancers et cancers généralisés dans le pays. Ou bien appareils à faisceaux micro-ondes et lasers de type anti-tempête (paru dans les informations télévisées), version modèles réduits, testés actuellement sur la moitié de la population, dans la pratique du viol accompagné de torture.

N'ayant droit de ma libre opinion et conscience tranquille à l'usage ni emploi de la loi du Talion ou Droit Régalien, ni à l'usage envers autrui des pénalités judiciaires en cours de nos jours, ni aux mesures de répression psychiatrique signifiant les méthodes totalitaires de la torture médicale, ni le droit de faire justice par soi même, le Dr Brès Robert ayant calculé en collaboration avec ses émules et acolytes et la complicité de la famille, le droit de par ces méthodes auxquelles moi j'avais le devoir de me confronter, et qui me revenaient, de me contrer dans les arguments de mon opinion jusqu'au point ultime de la cancérisation. Bref, ayant choisi l'élimination physique pure et simple, avec celle de l'affaire, il triomphe ainsi, n'attendant que mon décès après ce type d'exécution sommaire, me laissant dans la lente agonie promise. Dans des traitements subsidiaires à ceux qu'il espérait et qu'il m'inflige encore en surcroit de ceux que m'impose mon médecin officiel. Si je résistais à la mort subite.

Les maladies mentales ou décrétées démences de type dépressif, maniaco-dépressif, et schizophrénique, traitées par lobotomie et résections parfois graves constante à quasi constante des zones frontales, de ces armements nucléaires et d’autres technologies décrits, jusqu’à ce qu’advienne la maladie d’Alzheimer, le plus souvent dès ‘âge de la trentaine et quarantaine, population visée, repérée pour subir ce genre de répression et menacée de ce genre de ratonnade.

La féodalité une autre forme de nazisme, précisons. Le pays ayant vécu depuis les premiers temps de l'humanité sous tous les nazismes et des plus divers.

Personnels fonctionnaires et médicaux corrompus, à même d'être achetés. Crachats dans le café et la soi-disant pommade en fait une crème pour visage et corps à la rose, sous le prétexte que je n'avait pas droit à ce parfum, le crachat testé de par eux à tire thérapeutique, et ses bienfaits strictement étudiés. la douleur profonde due à la torture mutilatoire une cénesthésie due au délirât non compensé ou décompensé. Eux arguant la pré séquestration ante placement d'office, pré séquestration capable de constituer sinon créer des preuves constituées et constituées de toutes pièces et méthodes de torture ineffables, preuves dites irréfutables destinées à justifier ce placement. Pour justifier d'un état qui nécessite quelque lobotomie ou résection de cervelet, à titre de prévention à un placement décrété nécessaire pour trop grande perspicacité lucide que je ferais. Amputation pour droits imputés, invoqués, de le devoir dans le devoir de partouzer de la partouze de pouvoir absolu, totale et absolue, au nom de la partouze publique, et privée.

D'autant plus que l'opération du cerveau est déjà en soi un viol collectif à elle seule, viol dit thérapeutique à tel point que l'on n'y voit plus la notion de viol en soi. Pratiqué au domicile du dit aliéné ou en pavillon. Viols décompensés que font les prisonniers d’opinion ainsi traités. De toutes nourritures cancérigènes, en état éternel de surniutrition, ou laissés faméliques, manquant dérisoirement de fer comme de fers à repasser tant maintenus dans la misère noire qui les fait dire anorexiques, torchés aux électrochocs s'ils manque de papier WC comme de papier monnaie, la pauvreté depuis ces périodes de récession, une vilaine manie (morale de Voltaire concernant les serfs et manants de son époque), à traiter de façon nazie..

Après avoir pollué mon cerveau et ma mémoire de cette affaire qui dure depuis une trentaine d’année, certains de ces psys du secteur 2 de psychiatrie de Montpellier, entre autres ceux comme par hasard du point de repère, ont proposé la lobotomie des centres nerveux contenant l’affaire et de m’en rendre amnésique de façon totale et parfaite, amnésie totale ou partielle, ne concernant dans ce cas que la mémoire immédiate de mes discours et plaidoyers (maintenus assez longtemps sous une foire aux trépans er tasers digne de m’attribuer l’accusation de logorrhéique), se cela pouvait me soulager, et l’ont entrepris, razziant zones frontales, occipitales, pariétales, nasales et de la mémoire. L'on ne va pas tout de même leur appeler l'exorciste pour les déposséder de leur foi de m'abattre et exécuter.

Les douleurs causées par la torture physique préparatoire et préalable au placement, considérées, au plus simple algie, sinon hallucinatoires, selon le degré d’aveu et de confidence du fait précité.

Pour en revenir aux implants et faisceaux les simulant, réseaux de prostituées issues de la même prostitution infantile dans les familles, femmes et peut-être hommes qui en proviennent les portant, torturé(es) par ces prothèses électroniques, causant ablations de zones cérébrales contenant leurs luttes, réparties implacables et raisonnements, parties civiles et plaidoyers extirpés au cours de longs interrogatoires, qui pourraient les faire gagner en procédure contre ces médecins proxénètes et leurs acolytes, qui les tiennent et détiennent. De ces implants causant deux viols jusqu’à l’orgasme par heure, maintenus éternellement allumés, fonctionnant sur pile atomique au lithium implantée dans le corps. Implants placés jusques dans sinus, mastoïdiens ou rochers, maxiliaires et frontaux, causant les maux et maladies des personnes de mon entourage, maladies voulues chez moi, dont tumeur dans le cervelet gauche et droit. Organe ne concernant je le rappelle si cela est méconnu de certains, que les fonctions vitales naturelles et organiques du corps.

Implants électriques électroniques manipulés par drogués alcooliques, faisceaux à fous dangereux et gangsters logeant dans le dit voisinage, commettant en harcèlements de leur mains résections mutilatoires de cervelet et de lobes cérébraux, tant rongés de courants et décharges électriques que réséqués à la longue, ablavés dans des opérations de longue durée voire plusieurs ans, sinon détruits à vif de décharges et amputés ensuite avec ouverture des os. Histoire de loger une balle de plus dans le crâne, ou la nuque d'un prisonnier d'opinion qui l’on s’en plaint chez les médecins, n’en meurent que sur la table d’opération. Plutôt que dans leur lit, s'il faut mourir. Filles, hommes tenus de médecins jeunes et vieux proxénètes et véreux, usant de la torture médicale dans leur parties de viols dites fantaisies pour leur amusement, gains et profits, sur fille de joie placée sous l'étiquette de la maladie dans appartements maisons d’entrainement voire d’abattage sinon en pavillons disciplinaires aux même fonctions, victime, elle aussi, de cette gigantesque farce politique et escroquerie à la Cotorep, à la sécurité Sociale et fraude judiciaire gravissime. Certaines prostituées jusques dans leur emploi, parfois administratif. Avec la complicité des familles. Dans les tortures de république cotonnière. Ou coup de bambou. Sans autre forme de commentaire.

Arasant des zones cérébrales entières telles les zones de la vue, pour l’interprétation du mot homonymique de centre nerveux de la vision (hallucinatoire), la vue étant la vision en soi, depuis les premiers temps de la médecine. Terme conflictuel autant que l’interprétation par la médecine, la psychiatrie et la loi, des mots à homonymes tels mousse petit mousse ou mousse de salive), voix (du langage parlé, de chant, ou intérieure, donc automatiquement hallucinatoire et acouphène, terme technique), filles bien en fait terme désignant les chic filles dites bien donc stables mentalement pendant leur traite, selon les lois des trois capitaines d’orgie, chanson entre autres de Brassens ou la chanson d’Hélène, s'attaquant aux filles soutien de la démocratie et de l'intelligentsia. les avocats du diable qu'ils représentent au sein des populations et dont ils font perdurer le mythe, jouant sur les mots. Jusqu'aux senteurs orgiaques de gruyère génital de nombril et smegma, au jambon de curé et charcuterie pour tout acte de boucher charcuteur ou charcutier destiné à vous mettre les jointures en culs, parfums de l'obscène. D'où le taux de suicides en France.

Ne laissant en vie que les attardés et assez arriérés de bêtise pour qu'ils ne soient opérés, cela serait leur ablaver le peu qu'il leur reste d'idée, sauvés de la lobotomie par la connerie triomphante de la borne ambiante.

L'on n'a pas à faire avaler aux français la couleuvre supplémentaire et la pilule amère de l'usage de la torture médicale, électrique, psychiatrique dans le pays, au nom du bien fondé d'une légitimité du fait de la lutte contre la criminalité des malades mentaux, criminalisation de leur cas, comparé à celui de la délinquance maintenue dans le triomphe des trafics multiples et des plus avariés prenant naissance au sein des établissements psychiatriques, des usagers de la drogue et de l'alcool. au nom d'un fascisme ambiant décrétant que la torture et la bonne est nécessaire en cas d'application de peine, psychiatrisée pour la plupart des citoyens, sauf pour les immigrés d'origine arabe, ceux-ci et les drogués n'ayant droit qu'à la prison. Politique de Jacques Blanc et Manville, de l’ensemble des secteurs psychiatriques qui leur lècheront les bottes dans tout le sens du cirage à la blennorragie de leurs bordels et hôtels borgnes pour se répéter. Cf. Le film Ghotic à ce sujet. Et la mafia dans ce cas est toujours russe, ou américaine.

Le forfait hospitalier, forfait du crime parfait bref, véritable forfaiture, leur forfait accompli.

Vivez en toute sérénité au milieu de leurs bandes de casseurs en bande...

Appareils de chauffe dit de chauffage, irradiant fortement ou fours micro-ondes, appareils de guerre totale ou guerre nucléaire, disposés, placés dans appartements mitoyens à ceux des personnes à déloger. Jusqu'au coup de soleil, brûlures en plaques, naevi vitrifiés, déstabilisés, en mélanomes, fortes irritations, micro-taillades et peaux fendillées, incommodassions voire insolations. Causes de cancers et cancers généralisés dans le pays. Ou bien appareils à faisceaux micro-ondes et lasers de type anti-tempête (paru dans les informations télévisées), version modèles réduits, testés étudiés actuellement sur la moitié de la population, dans la pratique du viol accompagné de torture.

Arrachant mes cheveux et nerfs de mon système nerveux pour leur moitié, espérant les faire repousser de gavage de type Mussolinien, par intubation et alimentation artificielle, prétextant l’anorexie chez moi, supplice chrétien connu sous l’Inquisition de l’eau, du lait, des œufs et de l’aliment, au cours de fantaisies orgiaque de voisinages malintentionnés et nuisibles pour la santé, dangereux pour la vie.

Médecins, infirmiers, n’appréciant le type de réparties que j’ai quand ces locataires mitoyens ou de l’HLM d’eux même me prostituent sous la contrefaçon d’électrode et la contrefaçon de ces appareils à électrochocs qu’ils détiennent et dont ils se servent en tant qu’armes d’attaque et non de self-défense, prétendant les étudier sur eux. En usant pour commettre violences tortures et viols répétés et répétitifs jour et nuit, en usant aussi pour leurs loisirs, instants de détente défoulement et amusements sur ma personne ;.me tombant dessus à la moindre allégation vite crue sans façon sur ma vie intime et privée, de ces voisinages et commères du quartier pour commettre ces électrochocs sur la surface de mon crâne, tout comme sur femme battue ou prostituée pour la corriger par raclées afin quelle ne bronche ni ne bouche, ni ose les dénoncer. les bouibouis de la ville utilisant les services de ce CHR ainsi que les cliniques privées au même titre que hommes de main destinés à se faire respecter auprès des personnes impliquées et formes de prostituées que je représente à leur yeux et leur suis pour un délit d'opinion que je ferais envers eux et n'avouent ni ne reconnaissent sinon entre eux et parmi leurs complices.

M’interdisant par l’interdit de ces armes qui peuvent aller jusqu’à tuer, tout nettoyage de mon corps et de mes logements successifs. Interdit que je transgresse et qui me vaut chaque jour amputations de lobes cérébraux en partie, au grand complet si trop longtemps je persiste à poursuivre mes tâches et corvées, devoirs tels le rangement, de mes documents administratifs et à assurer la maintenance de ma vie, de mon appartement, rendu impraticable et inaccessible autant que celui de mère-grand, placée en maison de retraite car appartement rendu impraticable voire dangereux pour sa vie car maintenu en joue sous le feu constant et continuel de ces armes et engins à l’étage supérieur, parfois des étages inférieurs. Dans un tel appartement suis restée quand même, d’où les dégâts corporels et au niveau de la santé physique.

Personnes du voisinage arguant que le proxénétisme en France permis seule la prostitution condamnée si devant être obligatoire. Se faire arracher lobes cérébraux et nerfs du système nerveux ou se les faire détruire, crémés, considéré moins grave que se faire arracher dents de mâchoire ou même œil par coups de poings.

Défense de me redonner du prozac pour que je renaisse de mes cendres, incinérée en partie et tuée raide net, d’électrochocs trop déphasants ou trop stimulants passant de l’un à l’autre, agrémentés d’aphrodisiaques alimentaires, dont les œufs, permettant l’orgasme de l’épilepsie sans fausser les systèmes nerveux génital, le gavage quotidien aux œufs en quantités nécessaire à ces fins, trop dangereux pour mon cancer. Seul ménagement possible à l’affaire.

Me tombant parfois et à leur heure, sur une de mes oreilles, en réséquant le pourtour, espérant y lobotomiser les centres nerveux de l’écoute en moi, utiles en cas de concert chez moi si cela se trouve que j’en organise encore, selon Mr Manville l’Art devant chez l’Handicapé se limiter à l’Art Thérapie et éviter à tout prix de se faire remarquer, et devant renoncer à socialement percoler, braquée en toute occasion dans toute zone ou aire mortelle du corps.

Poursuivie pour la qualité et le niveau de mes discours.

Mes agresseurs cherchant à tuer sans se faire remarquer, résolvant au silence du meurtre parfait par méthodes de violences allant de l’ablation progressive des deux cervelets, devant être entre–temps séparés maintenus bien écartés autant fessiers dans violade, jusqu'à l’étouffement des cris par appareil irradiant braqué sur larynx et poitrine, au niveau de l’appareil cardiaque.


Mes agresseurs cherchant à tuer sans se faire remarquer, résolvant au silence du meurtre parfait par méthodes de violences allant de l’ablation progressive des deux cervelets, devant être entre–temps séparés maintenus bien écartés autant fessiers dans violade, jusqu’a l’étouffement des cris par appareil irradiant braqué sur larynx et poitrine, au niveau de l’appareil cardiaque. Cuisante les chairs du corps et de la tête jusqu’à l’odeur de viande frite, le sang maintes fois réduit au jus de viande cuite ; eux cherchant le nerf vital dans le cervelet, maintenant le corps en vie, et qu’ils pourraient tuer, le rongeant lentement, dans l’espoir de me faire décéder de mort lente après plusieurs tentative répétées chaque année de me tuer de mort violente.

Faisant accroire à une lente maladie dégénérative dont je souffrirais et mourrais.

S’introduisant dans mes domiciles à la façon des services secrets.

L’administration française, les services médicaux et spéciaux, feraient passer l’Inquisition et le nazisme en force dans le pays, personne ne s’en apercevrait. Ce qui induit l’appellation « d‘idées bizarres » que je ferais.

En résumé, je dépose plainte contre les personnes auteurs et responsables de ces faits là, tous ou à peu près anonymes, contre Mr. Rivière et ses complices, étage huit au dessus de mon appartement, pour :

Viols avec violences en collège et réunion, viols à titre thérapeutique, espionnage constant, ingérence et maintenance à main armée de ma vie intime et privée, recel d'armes non conventionnelles et de nouvelles technologies non encore reconnues dans les services médicaux, sans port d'arme et trafic d’armes, issues du trafic de drogue de la prostitution et du proxénétisme, ingérence dans la vie privée, torture, torture médicale, maltraitance, barbarie et actes de cruauté, voire crimes contre l'humanité, tentatives réitérées d'homicide, actes de proxénétisme, sévices, voies de fait, coups et blessures, violences aggravées en vue d'expérimentations scientifiques sauvages ou à titre de représailles, simple expérimentation personnelle ou violence gratuite. Pratique de la neurologie à titre d’acte de neurochirurgie avec armement de courte et faible portée à titre d’instruments de soin.. Torture rituelle par implants. Charivaris. Incitation à la haine raciale, discrimination raciale sociale sexuelle et ethnique, ségrégation et apartheid, Effets de procédures illicites diffamatoires, de tribunaux d’exception, détournements de lois en vue de faux placements d’office, illicites, à domicile suivis de placements véritables destinés à officialiser et prolonger ceux qui précédaient, exercice illicite de la médecine, expérimentation sauvage sans anesthésiques, association de malfaiteurs corruption de fonctionnaires et racket dans le but de prostituer, humilier, dégrader la vie et la santé par profit et amusement, atteinte à la vie privée, expéditions punitives, usurpation d’identité, destructions de preuves physiques, faux en justice et en écritures, effet de bureaucratie soviétique, nazie et de secte. pénalités illégales.

Mon infirmité consécutive à ces faits, niée et reniée, traitée en refus d’obtempérer pour un travail rend obligatoire autant que sous STO.

Ainsi qu’enfreinte aux articles de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, à la Charte des Malades et aux droits du Code Civil.

Trop de fous dangereux du secteur 2 et du secteur de santé mentale de Lapeyronnie, certains leur ayant fugué, laissés en liberté, libres d’exercer contrôle et maintenance envers ma vie privée.

Je réclame leur enfermement en pavillon psychiatrique pour un temps durable et une mise en liberté sous contrôle médical à vie avec obligation de soins. Je réclame également sanctions pénales égales envers les médecins et personnels médicaux qui les auront laissés m'attenter à mettre ma vie et ma santé en danger. A force de lobotomies d'électrocutions constantes, viols (2 par heure ces temps derniers) coups et blessures, pour ma non violence face à une voisine et ses acolytes en état de meurtre sur moi depuis des ans et de mois.

Line Llao

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