lundi 2 mai 2011

En fait, je médite le plus souvent mes réparties dans le cadre d'une publication sinon imprimée, du moins sur internet, mais je me méfie du stigmate chez les femmes de se cantonner dans l'indescriptible mutisme des femmes habituées aux barbares, à leurs barbaries et leurs massacres.J'aurais peut-être mieux fait d'étudier la sociologie, les penseuses de ce siècle,et défenseures des droits de l'homme,sacrifiés au cours de longues parties de torture médicale et d'exterminations de toutes sortes, afin qu'elles ne défient les pouvoirs établis sinon dans des régimes d'extermination raciale qui prévalent encore de nos jours, .L'étude philosophique mon dada, je m'attire des messages sur mes sites et autres supports d mes textes, des représailles aux douleurs ineffables, la censure commençant par l'obligation au délit d'opinion instauré contre les dissidences aux majorités.le Pen avance, la France de la souffrance, de la résistance, s'organise et enrôle ses camisard et maquisards, avant les élections présidentielles. Être et rester écrivain engagé plus handicapant que nègre de Pulidzer et Lévy-Strauss, ou Femme déclarée philosophie, les femmes philosophes inexistantes ou presque, le plus souvent sous quelque coton, dans l'occident entier, sinon en auto-proclamation et perte de l'aspiration, car doit rester dans les appareils ménagers  à la disposition de leur classe et de celle des Hommes, et là on les attend pour les qualifier de sociologues, sinon à soigner pour leur courage à rester sentinelles au poste de la critique en France. Ceci fait partie également de ma profession de foi.

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