vendredi 29 avril 2011

j'ai bien reçu votre e-mail, et me ravis de cette soif qui tient de la fuite en avant, le  vide intérieur vide d'amour et d'être aimé de la personne choisie,le corps plus creuset des âmes au parfum subtil d'encens mystique et fiévreux, soulageant tellement la bouffée d'air vicié qui se sclérosait au fond des poumons trop opprimés dans cette vie urbaine, qui fait que toute misère à l'étranger, est divertissement des malheurs quotidiens que nous vivons, les totalitarismes compensant par un appel à la beauté artistique, qui fait que les artistes s'il veulent vivre, font pacte de non agression avec les pouvoirs en place, où le désespoir de chacun niche ses rêves, dans des alvéoles de la société, où se créent le crime de vivre,  la beauté et le sens de la fidélité à une  ligne de conduite interne.
Lâchons le bouillon, les textes les plus tristes valent bien d'être profanés, dans l'idée, seule compte l'action, et s'arracher à la plume du nid, un symptôme de santé.
Allons donc,
merci pour votre e-mail

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