Sensibilisée depuis mon premier âge aux contextes des violences à  domicile que peut contenir l'éducation de la naissance de l'individu  homme femme ou enfant à sa mort, je vous prie de trouver ci-dessous  récit d'expériences personnelles qui peuvent nourrir votre but de forcer  les nations à respecter ces populations, désolidarisées, isolées,  prostrées au cas par cas, sombrant dans l'approche de la folie, tant  l'usage de la torture se banalise dès qu'il est question de domus, de  droits familiaux fondés sur le sexe et ses droits et non plus de simples violences conjugales ou maritales.Pour exemple, j'ai côtoyé ces dernières semaines, au sein d'un pavillon de jour, une jeune  musulmane amenée contre son gré à se faire hospitaliser et traiter en  démence, pour le simple refus qu'elle oppose aux lois patriarcales ou matriarcales de son  pays d'origine, le Maroc, que lui imposent sa mère, ses sœurs,  consistant au port obligatoire du voile, le fait de fréquenter,être  célibataire flirter avec un homme conçu prostitution, suit l'obligation à la  prière, sa volonté de lutter faible des coups violences et blessures que  les femmes de sa famille lui imposent, pouvant aller jusqu'au devoir de  la tuer si elle persistait à résister, l'émancipation des femmes dans  ces familles immigrées, menacé ouvertement de mort. Il est inadmissible  que sur le territoire national, la prononciation du diagnostic de folie  reste moyen de pression physique et mental dans l'imposition d'une  religion et des droits tutellaires d'un despotisme étranger reconstitué à  titre d'éducation familiale, les femmes, les enfants les plus visés,  victimes de persécutions de dictat au sein d'une population d'individus  qui démissionne face à l'ampleur du problème,la psychiatrie cautionnant  le marchandage à l'intégrisme, au mariage forcé, par un relai passant  des familles à l'intimisation, l'autocensure chez les femmes libérées  livrées aux institutions psychiatriques appuyant par des méthodes  totalitaires, le port du tchador médical, le totalitarisme des pays  maghrébins qui à défaut en France de ne pouvoir rallier  la religion à l'État,  fomentent dans le but d'un despotisme maghrébin-français cautionné par  la médecine, instituant en alliance le port du voile et le respect des  rites musulmans muselant les libertés fondamentales de la femme, réduite  à quémander le mutisme sur les violences mutilatoires le plus souvent,  endurées de peur d'être exécutées par leur famille si elles demandaient  de l'aide. Que les institutions françaises guérissent des maux de la  démence soit, mais qu'elles appuient le laminage des consciences pour  détenir des vies innocentes perverties aux troubles de la dictature est  inconcevable, sinon un fait réel, ces pressions peuvent amener à la  folie réelle des victimes invisibles, allant jusqu'aux auto-mutilations  dues aux désespoir de ces femmes livrées à la sauvagerie de familles  dont le gouvernement sur le sol de ce pays n'est français, mais  intégriste musulman..L'on ne peut plus accepter que la démocratisation  de la médecine ici, psychiatrique, banalise l'usage de la torture dans  les cas de détermination du degré de conscience d'une personne livrée  telle prisonière, être femme française dans ces familles, jugé péché  mortel, la liberté de conscience violée sans façon, délit d'opinion  tabou aux yeux d'une politique française dotée d'une science médicale de  camp d'internement  adoubant toute femme musulmane ou française à ce  crime contre l'humanité qu'est la torture ad mortem des défenseurs de la  libre pensée, s'imposant des statuts dictés par  le dictat, propagé de  mère en filles. Être une femme dans ces cas, délit d'opinion;
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