Le débat de l’avortement devrait à mon avis se situer plus au niveau de la prévention qu'à celui de la réparation des négligences de contraception, donc contraception. Le problème étant inhérent à la propagande religieuse mondiale contre la contraception de la femme, qui n'en paie que les frais et se réclame de droit d'interruption de la vie, un pur assassinat j'en convient, l'embryon humain même encore né déjà un être humain, la solution consisterait à éviter qu'il ne soit paru sur terre, et donc, agir au niveau de la fécondation, mais, le hic se situant dans le fait que la religion l'interdit et règne sur la planète, d'où son explosion démographique, l'athéisme n'ayant fait que suivre la morale de la droite, qui préfère s'attaquer aux résultats de la "faute" de conception on désirée, plutôt que la prévenir, et instituent le droit au meurtre d'embryons humains au nom des obligations et devoirs du travail de la femme, que souvent, esclave du travail et de la société, après avoir été esclave des hommes de leurs dictats et totalitarismes, au nom de ses libertés, elle entreprend de respecter, dictature de servage, soumise au travail obligatoire au nom de son émancipation. Restituer le problème reviendrait à créer plus de plannings familiaux, de campagnes d'information et d'éducation sexuelle, qu'interdisent les religions, afin de dispenser l'information nécessaire à cette prévention, qui ne se base encore que sur des produits anticonceptionnels cancérigènes à base de produits hormonaux, et non sur l'usage qui devrait rester maitre, du préservatif, si simple, si efficace, l'avortement devant rester thérapeutique et réservé à des cas légitimes de santé précaire, viols, cas d’inceste et cas de grossesses indésirées pouvant conduire à la pathologie, les autre cas de grossesse indésirée pourraient être mieux pris en charge et aboutir à des accouchements avec adoption de l'enfant, si les accouchements à l'heure actuelle ne représentaient encore un danger de mort pour les femmes, la science s'étant bien gardée de quelque progrès en la matière plus efficace, si l'on va de nos jours sur mars en fusée. Société de consommation qui détourne les femmes de leur vraie fonction, d'être mères, leur rôle premier, en Europe du moins, les oblige à concevoir tout comme à avorter pour les besoins d'un capitalisme sauvage, société du gaspi, où l'on jette jusqu'aux bébés à la poubelle pour le simple fait d'avoir omis un préservatif durant l'acte, où les mères pour leurs quelques instants de déprave, en occident du moins, à laquelle elles sont adoubées, rendues par la société irresponsables ou inconscientes envers leur fécondité, priées pour les lois du travail de n'aimer leurs bébés, qui n’ont absolument pas mérité leur décès même en cas de viol par leur père, les assassinent froidement, quand interrompre la vie et une grossesse, ne peut se produire plus de trois fois dans la vie d’une femme, car intervention traumatisante dangereuse pour la vie et ses lois. Comment peut-on réduire une femme à tuer son enfant…. Torture, conditionnement. L’athéisme, dont je suis, devenu prosélyte en cette matière, intégriste dans son rôle et acheté aux besoins du capitalisme, de ses dictatures, niera peut-être cette solution, mais elle parait la plus saine. Un peu de morale, d'éthique déontologique dans ce champ de bataille de médecins Diafoirus poujadistes et arrivistes qui devraient vivre pour préserver la vie, et qui au nom du féminisme et de l’humanisme ont laissé pratiquer de tels débordements de gaspillages de chair humaine objet de ce marché, serait nécessaire. La polémique à mon avis, peut se situer à l’absence de prévention du viol, des conditions de la fécondation et de la femme. L’avortement ne pouvant remplacer la contraception.
jeudi 24 septembre 2009
Pitié pour les gerboises:
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